Imaginez un monde où les ordinateurs pourraient prédire ce que vous allez faire avant même que vous ne le fassiez. Ça peut sembler tout droit sorti d’un film de science-fiction du style de Minority Report, mais les chercheurs du célèbre MIT (Massachusetts Institute of Technology) sont en train de rendre ça possible ! En effet, ils ont mis au point un modèle d’IA (intelligence artificielle) qui est capable d’analyser les limitations d’un agent, qu’il soit humain ou artificiel, pour en déduire ses actions futures les plus probables.
Dingue, non ?
Mais comment ce modèle s’y prend-il pour jouer les madame Irma ? En fait, tout est une question de limites. Nan, je ne parle pas des limites de vitesse ou des dates de péremption, hein. Je parle des contraintes qui pèsent sur un agent peu importe sa nature, biologique ou numérique.
Prenons un exemple concret : Vous êtes en train de jouer aux échecs contre un ordinateur. Vous avez vos propres contraintes : votre niveau de jeu, votre connaissance des ouvertures et des fins de partie, votre capacité à anticiper les coups de l’adversaire… Bref, tout un tas de facteurs qui limitent vos possibilités d’action. Eh bien, c’est exactement ce que le modèle d’IA du MIT analyse !
En se basant sur ces fameuses limites, il est capable d’inférer les coups que vous avez le plus de chances de jouer. Pas besoin d’être Garry Kasparov pour comprendre à quel point c’est bluffant. Votre ordinateur sera bientôt meilleur que vous aux échecs… et dans plein d’autres domaines !
Mais attention, le modèle du MIT ne prétend pas prédire l’avenir avec une précision de 100%. Il s’agit plutôt d’identifier des tendances et des schémas de comportement en fonction des limitations d’un agent. Ça reste néanmoins un outil très puissant pour anticiper les actions les plus probables.
D’ailleurs, les applications de cette technologie vont bien au-delà des jeux de société. Je pense par exemple au voitures autonomes qui pourraient anticiper les mouvements des piétons et des autres véhicules, des assistants virtuels qui sauraient exactement ce que vous allez leur demander avant même que vous n’ouvriez la bouche, des robots industriels capables de s’adapter en temps réel aux changements de leur environnement… Les possibilités sont infinies !
Bien sûr, tout cela soulève aussi son lot de questions éthiques. Est-ce qu’on a vraiment envie que les machines lisent dans nos pensées comme dans un livre ouvert ? Est-ce que ça ne risque pas de créer de sacrés problèmes de vie privée et de manipulation ? Imaginez que votre enceinte connectée décide de vous commander une pizza quatre fromages parce qu’elle a deviné que vous aviez un petit creux… Flippant, non ?
Mais bon, on n’en est pas encore là. Pour l’instant, les chercheurs du MIT sont encore en train de plancher sur leur modèle pour le perfectionner et étendre ses capacités. Et croyez-moi, c’est loin d’être un long fleuve tranquille ! L’IA a beau faire des progrès de géant, prédire le comportement humain reste un sacré défi. On est tellement imprévisibles et irrationnels, nous autres mortels…
En attendant de pouvoir déléguer toutes nos décisions à une machine, le modèle du MIT nous offre un aperçu de ce que pourrait être le futur de l’interaction homme-machine. Un futur où les ordinateurs nous comprendraient mieux que nous-mêmes, pour le meilleur et pour le pire. Perso, j’oscille entre fascination et inquiétude.
Et vous ?
Vous pensiez connaître Castlevania sur le bout des doigts ? Eh bien 25 ans après la sortie de Castlevania: Legacy of Darkness sur notre bonne vieille Nintendo 64, des petits malins ont déniché un tout nouveau code Konami planqué dans les entrailles du jeu.
Ce code Konami est une vraie petite bombe puisqu’il déverrouille d’un coup TOUS les personnages et leurs costumes alternatifs, et ce dès le début de l’aventure ! Fini de devoir se farcir le jeu deux fois pour accéder à Henry et Carrie. Là c’est open bar direct, et ça change complètement la donne !
Moises et LiquidCat, deux fans passionnés du jeu, ont également déniché deux autres codes bien sympathiques. Le premier remplit entièrement votre inventaire, peu importe le héros que vous incarnez. Fini la galère pour trouver des potions et des équipements, vous voilà paré pour latter du vampire en claquant des doigts. Le second code, disponible uniquement dans les versions japonaise et européenne, booste votre arme au max et vous file un stock de joyaux dont même Picsou serait jaloux. De quoi rendre votre quête bien plus funky !
Pour activer ces codes, rien de plus simple :
Codes bonus pour les plus curieux :
Alors certes, dit comme ça, ça peut sembler un poil cheaté mais ça fait un quart de siècle que ce jeu nous nargue avec ses secrets, donc ça va, y’a tolérance. En plus, avouons-le, ces codes tombent à pic pour (re)découvrir cet opus culte car s’il y a bien un reproche qu’on pouvait faire à Legacy of Darkness, c’était ce côté un peu prise de tête avec un seul personnage jouable au début. Un choix curieux qui pouvait rebuter certains joueurs. Mais grâce à ce code Konami providentiel, ce problème est relégué aux oubliettes ! Vous pouvez enfin profiter des cinq perso et de leurs capacités uniques sans vous prendre le chou.
Alors si vous aussi vous avez une Nintendo 64 qui prend la poussière dans un coin (ou un émulateur), c’est le moment ou jamais de ressortir Castlevania: Legacy of Darkness et de tester ces fameux codes.
"Early Access" was once a novel, quirky thing, giving a select set of Steam PC games a way to involve enthusiastic fans in pre-alpha-level play-testing and feedback. Now loads of games launch in various forms of Early Access, in a wide variety of readiness. It's been a boon for games like Baldur's Gate 3, which came a long way across years of Early Access.
Early Access, and the "Advanced Access" provided for complete games by major publishers for "Deluxe Editions" and the like, has also been a boon to freeloaders. Craven types could play a game for hours and hours, then demand a refund within the standard two hours of play, 14 days after the purchase window of the game's "official" release. Steam-maker Valve has noticed and, as of Tuesday night, updated its refund policy.
"Playtime acquired during the Advanced Access period will now count towards the Steam refund period," reads the update. In other words: Playtime is playtime now, so if you've played more than two hours of a game in any state, you don't get a refund. That closes at least one way that people could, with time-crunched effort, play and enjoy games for free in either Early or Advanced access.
Will Chrome, the world's most popular browser, ever kill third-party cookies? Apple and Mozilla both killed off the user-tracking technology in 2020. Google, the world's largest advertising company, originally said it wouldn't kill third-party cookies until 2022. Then in 2021, it delayed the change until 2023. In 2022, it delayed everything again, until 2024. It's 2024 now, and guess what? Another delay. Now Google says it won't turn off third-party cookies until 2025, five years after the competition.
A new blog post cites UK regulations as the reason for the delay, saying, "We recognize that there are ongoing challenges related to reconciling divergent feedback from the industry, regulators and developers, and will continue to engage closely with the entire ecosystem." The post comes as part of the quarterly reports the company is producing with the UK’s Competition and Markets Authority (CMA).
Interestingly, the UK’s CMA isn't concerned about user privacy but instead is worried about other web advertisers that compete with Google. The UK wants to make sure that Google isn't making changes to Chrome to prop up its advertising business at the expense of competitors. While other browser vendors shut down third-party cookies without a second thought, Google said it wouldn't turn off the user-tracking feature until it built an alternative advertising feature directly into Chrome, so it can track user interests to serve them relevant ads. The new advertising system, called the Topics API and "Privacy Sandbox," launched in Chrome in 2023. Google AdSense is already compatible.
Des groupes de cybercriminels sont à la recherche de profils capables de trouver des informations, négocier et mettre la pression sur les victimes des cyberattaques, en particulier les grands patrons.
Figurez-vous qu’Elektrobit, le géant allemand de l’électronique automobile, vient de nous pondre un truc qui va faire plaisir aux fans de libre : EB corbos Linux, le premier système d’exploitation open source qui respecte les normes de sécurité les plus pointues du monde de la bagnole.
En gros, les constructeurs en ont marre de se trimballer des kilomètres de câbles et des centaines de boîtiers noirs dans leurs caisses-. L’idée, c’est de tout centraliser sur quelques « super ordinateurs » qu’ils appellent des « plateformes de calcul haute performance ». Et chacun gère son domaine : la conduite, l’info-divertissement, les aides à la conduite… Bref, ça simplifie le bordel et ça permet de faire évoluer les fonctionnalités sans toucher au hardware.
Le hic, c’est que tout ce bazar logiciel doit être hyper sécurisé. Parce que si votre autoradio plante, c’est pas bien grave, mais si c’est votre direction assistée qui décide de partir en vacances, bonjour les dégâts ! C’est là qu’EB corbos Linux entre en scène.
Grâce à son architecture unique, ce système d’exploitation prend Linux et le rend compatible avec les exigences les plus draconiennes en matière de sécurité automobile, genre les normes ISO 26262 et IEC 61508 en utilisant un hyperviseur et un système de monitoring externe qui valide les actions du noyau. En gros, Linux peut continuer à évoluer tranquillou sans compromettre la sécurité.
Comme cette distrib est basé sur du bon vieux Linux, il profite de toute la puissance de l’open source. Genre les milliers de développeurs qui bossent dessus, les mises à jour de sécurité en pagaille, la flexibilité, la rapidité d’innovation… Tout ça dans une distrib’ véhicule-compatible, c’est quand même cool. En plus, Elektrobit a développé ce petit miracle main dans la main avec l’équipe d’ingénieurs d’Ubuntu Core chez Canonical. Autant dire que c’est du lourd !
Elektrobit a pensé à tout puisqu’ils proposent même une version spéciale pour les applications critiques, genre les trucs qui peuvent tuer des gens s’ils plantent. Ça s’appelle EB corbos Linux for Safety Applications, et c’est le premier OS Linux à décrocher la certification de sécurité automobile auprès du TÜV Nord.
Mais le plus cool, c’est qu’avec cet OS, vous pouvez laisser libre cours à votre créativité de développeur automobile. Vous voulez intégrer les dernières technos de conduite autonome, d’intelligence artificielle, de reconnaissance vocale… Pas de problème, Linux a tout ce qu’il faut sous le capot.
Imaginez que vous bossiez sur un système de reconnaissance de panneaux pour aider à la conduite. Avec ça, vous pouvez piocher dans les bibliothèques open source de traitement d’image, de machine learning, etc. Vous adaptez tout ça à votre sauce, en respectant les contraintes de sécurité, et voilà ! En quelques sprints, vous avez un truc qui déchire, testé et approuvé pour la route. Et si un autre constructeur veut l’utiliser, il peut, c’est ça la beauté de l’open source !
Autre exemple, vous voulez développer un système de monitoring de l’état de santé du conducteur, pour éviter les accidents dus à la fatigue ou aux malaises. Là encore, EB corbos Linux est votre allié. Vous pouvez utiliser des capteurs biométriques, de l’analyse vidéo, des algorithmes de détection… Tout en étant sûr que votre code ne mettra pas en danger la vie des utilisateurs.
Bref, vous l’aurez compris, c’est le meilleur des deux mondes avec d’un côté, la puissance et la flexibilité de Linux, de l’open source, de la collaboration à grande échelle et de l’autre, la rigueur et la sécurité indispensables au monde automobile, où la moindre erreur peut coûter des vies.
California's electric grid, with its massive solar production and booming battery installations, is already on the cutting edge of the US's energy transition. And it's likely to stay there, as the state will require that all passenger vehicles be electric by 2035. Obviously, that will require a grid that's able to send a lot more electrons down its wiring and a likely shift in the time of day that demand peaks.
Is the grid ready? And if not, how much will it cost to get it there? Two researchers at the University of California, Davis—Yanning Li and Alan Jenn—have determined that nearly two-thirds of its feeder lines don't have the capacity that will likely be needed for car charging. Updating to handle the rising demand might set its utilities back as much as 40 percent of the existing grid's capital cost.
Li and Jenn aren't the first to look at how well existing grids can handle growing electric vehicle sales; other research has found various ways that different grids fall short. However, they have access to uniquely detailed data relevant to California's ability to distribute electricity (they do not concern themselves with generation). They have information on every substation, feeder line, and transformer that delivers electrons to customers of the state's three largest utilities, which collectively cover nearly 90 percent of the state's population. In total, they know the capacity that can be delivered through over 1,600 substations and 5,000 feeders.
Ryan Gosling hosts a round of carpool karaoke with his stuntmen for the forthcoming action comedy The Fall Guy.
Universal Studios has been going meta with its marketing for its forthcoming action comedy The Fall Guy. Ryan Gosling and Emily Blunt are the marquee stars; Gosling plays a Hollywood stuntman trying to make a movie with his estranged ex-girlfriend (Blunt). But it's the actual stuntmen standing in for Gosling during action sequences who get the spotlight in a new promotional video for the film.
As previously reported, The Fall Guy is directed by David Leitch, who also brought us the glorious John Wick (his uncredited directorial debut with Chad Stahelski). It's a loose adaptation of the popular 1980s TV series of the same name starring Lee Majors. Per the official synopsis:
Oscar nominee Ryan Gosling stars as Colt Seavers, a battle-scarred stuntman who, having left the business a year earlier to focus on both his physical and mental health, is drafted back into service when the star of a mega-budget studio movie—being directed by his ex, Jody Moreno, played by Golden Globe winner Emily Blunt—goes missing. While the film’s ruthless producer (Hannah Waddingham), maneuvers to keep the disappearance of star Tom Ryder (Aaron Taylor-Johnson) a secret from the studio and the media, Colt performs the film’s most outrageous stunts while trying (with limited success) to charm his way back into Jody’s good graces. But as the mystery around the missing star deepens, Colt will find himself ensnared in a sinister, criminal plot that will push him to the edge of a fall more dangerous than any stunt.
In this incarnation, Gosling's Colt Seavers isn't a bounty hunter on the side; he's just a stuntman—a bit past his prime—who stumbles into solving a mystery. Blunt costars as Jody Moreno, Colt's ex-girlfriend and a former camera operator who finally gets the chance to direct her first film. Aaron Taylor-Johnson plays movie star Tom Ryder, who goes missing mid-shoot. Stephanie Hsu plays Ryder's personal assistant, and Winston Duke plays Colt's stunt coordinator and BFF. Ted Lasso's Hannah Waddingham appears as Gail, the producer of Jody's film. And OG Fall Guy Lee Majors (now in his 80s) is expected to have a cameo; perhaps he'll perform the theme song, "Unknown Stuntman," that he wrote and recorded for the original series.
The Senate last night approved a bill that orders TikTok owner ByteDance to sell the company within 270 days or lose access to the US market. The House had already passed the bill, and President Biden signed it into law today.
The "Protecting Americans From Foreign Adversary Controlled Applications Act" was approved as part of a larger appropriations bill that provides aid to Ukraine, Israel, and Taiwan. It passed in a 79-18 vote. Biden last night issued a statement saying he will sign the appropriations bill into law "as soon as it reaches my desk." He signed the bill into law today, the White House announced.
The bill classifies TikTok as a "foreign adversary controlled application" and gives the Chinese company ByteDance 270 days to sell it to another entity. Biden can extend the deadline by up to 90 days if a sale is in progress.
Seagate Technology has reportedly notified its customers abouts its plans to raise prices on new hard drive orders and for demands that exceed prior agreements, echoing a similar move by Western Digital, which increased its prices earlier this month. These changes come in response to a surge in demand for high-capacity HDDs and constraints in supply due to decreased production capabilities of both Seagate and Western Digital, reports TrendForce.
According to industry insights reported by TechNews, the sector anticipates that the scarcity of high-capacity HDD products will persist throughout the current quarter and possibly extend over the entire year. It is forecasted that HDD prices will rise by 5% to 10% in Q2 2024 alone and could increase further as a reault of the ongoing challenges faced by the storage industry.
The primary driver behind Seagate's decision is increased demand for high-capacity HDDs, which are used to train AI models. This demand spike, coupled with a reduction in production output from hard drive makers, has created a significant supply-demand imbalance. As a result, Seagate has decided to adjust their pricing strategy to manage the situation. Further exacerbating the issue are global inflationary pressures which continue to inflate costs across the board, which also contributed to the company's decision to increase prices, Seagate said in a message to clients published by TrendForce.
Seagate emphasized that its reduced production capacity has been a major challenge, hindering the company's ability to fulfill customer demands fully and promptly.
"As a result, we will be implementing price increases effective immediately on new orders and for demand that is over and above previously committed volumes," the alleged memo from Seagate reads. "Supply constraints are expected to continue and as such we anticipate that prices will continue to increase in the coming quarters."
Earlier this month Western Digital also informed its customers about price hikes for its HDD and SSD products. This notification was based on similar issues — higher than anticipated demand across the whole product range and additional supply chain challenges affecting the electronics sector. Western Digital's announcement made it clear that these disruptions are likely to continue, prompting further price adjustments.
Sources: TrendForce, TrendForce, TechNews
Elite: Dangerous players will soon be able to pay real money for access to in-game ships for the first time, a major change that already has some long-time players raging about a "pay-to-win" shift for the long-running game.
Since Elite Dangerous launched over nine years ago, the game has sold ships in exchange for in-game credits earned through gameplay. The separate ARX currency, which can be purchased with real money, has been reserved for cosmetic upgrades such as paint jobs.
That's all set to change next month, though, when owners of the Odyssey expansion will be able to purchase early access to the Python Mk II variant ship for 16,250 ARX (the equivalent of about $11 to $13, depending on how much ARX is purchased in bulk). Non-Odyssey owners won't be able to purchase the Python Mk II with regular credits until three months later, on August 7. At that point, the ship will also be available as an ARX-denominated "pre-built ship package" that "allow[s] you to kickstart your career in the latest ship, including a brand-new paintjob and ship kit."
SpaceX launches have become extremely routine. On Tuesday evening, SpaceX launched its 42nd rocket of the year, carrying yet another passel of Starlink satellites into orbit. Chances are, you didn't even notice.
All the same, the cumulative numbers are mind-boggling. SpaceX is now launching at a rate of one mission every 2.7 days this year. Consider that, from the mid-1980s through the 2010s, the record for the total number of launches worldwide in any given year was 129. This year alone, SpaceX is on pace for between 130 and 140 total launches.
But with Tuesday evening's mission, there was a singular number that stood out: 300. The Falcon family, which includes the Falcon 9 and Falcon Heavy boosters, recorded its 300th successful first-stage landing.