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À partir d’avant-hierDivers

Smuggling network creating look-alikes busted in Greece

On 15 and 16 July 2019, the Hellenic Police, supported by Europol, dismantled an organised criminal group (OCG) smuggling migrants from Turkey to Greece and facilitating their secondary movements to other EU Member States.

Seasonally adjusted government deficit decreased to 0.5% of GDP in the euro area

In the first quarter of 2019, the seasonally adjusted general government deficit to GDP ratio stood at 0.5% in the euro area (EA19), a decrease compared with 1.1% in the fourth quarter of 2018. In the EU28, the deficit to GDP ratio stood at 0.6%, a decrease compared with 1.0% in the previous quarter.

Government debt up to 85.9% of GDP in euro area

At the end of the first quarter of 2019, the government debt to GDP ratio in the euro area (EA19) stood at 85.9%, compared with 85.1% at the end of the fourth quarter of 2018. In the EU28, the ratio increased from 80.0% to 80.7%. However, compared with the first quarter of 2018, the government debt to GDP ratio fell in both the euro area (from 87.1% to 85.9%) and the EU28 (from 81.6% to 80.7%).

Pour trouver un emploi, mettez à profit vos soft-skills !

Par : Nora Leon

C’est la pénurie. Trop d’emplois dans le secteur du numérique, et trop peu de candidats qualifiés. Il est de plus en plus difficile pour les recruteurs de trouver des profils qui correspondent aux besoins de leurs clients

Pourquoi les candidats manquent-ils autant ? Comment tirer votre épingle du jeu pour décrocher un emploi qui vous intéresse ?

D’après une étude américaine récente, 89 % des entreprises s’attendent à rencontrer des difficultés pour trouver des employés qualifiés dans le numérique l’année prochaine. Certains départements de ressources humaines font appel à trois voire quatre agences de recrutement simultanément tant elles ont du mal à trouver des candidats qualifiés.

Cette pénurie de compétences et d’expérience augmente au fur et à mesure que la technologie gagne du terrain. Pour répondre à ce problème, les entreprises modifient leurs techniques de recrutement.

Des tendances qui évoluent

Par nécessité, les entreprises renoncent peu à peu aux candidats au « profil parfait », ces moutons à cinq pattes avec beaucoup d’expérience et de compétences pointues, pour privilégier des candidats dotés d’autres qualités prometteuses et de talents dont ils peuvent faire bénéficier l’entreprise.

De fait, on conseille aux employeurs de se concentrer de plus en plus sur les compétences comportementales transversales. Celles-ci incluent : 

  • la personnalité
  • les traits de caractère
  • les compétences sociales et de communication
  • mais aussi les compétences commerciales qui sont utiles dans différents domaines et à divers postes. 

Les compétences techniques peuvent être enseignées ; trouver un candidat avec les bonnes compétences comportementales est la clé.

D’après Vik Patel, PDG de Future Hosting, les compétences techniques sont nécessaires, mais pas suffisantes. Il privilégie le recrutement de candidats « autotéliques », qui possèdent une bonne capacité d’adaptation et sont motivés par la curiosité et le désir d’apprendre. Pour lui, la persévérance et l’application ont une importance capitale car on demande constamment aux employés de faire preuve d’autonomie.

Chez OpenClassrooms, nous savons que les compétences comportementales sont particulièrement importantes aujourd’hui, car les employés doivent sans cesse acquérir de nouvelles compétences pour suivre l’évolution de la technologie.

Mettez en avant vos compétences comportementales

Les employeurs sont à la recherche de candidats possédant des compétences comportementales et traits de caractère tels que l’adaptabilité, la confiance en soi, une bonne gestion du stress, la créativité et la curiosité. Pourquoi ? Parce qu’ils rendent les entreprises plus résistantes face aux changements.

Les compétences techniques peuvent être enseignées aux candidats qui ne possèdent pas d’expérience préalable.

Les meilleurs employés s’avèrent souvent être ceux qui ont la bonne combinaison de compétences comportementales et qui sont capables d’apporter un réel avantage compétitif à une organisation et non ceux qui possédaient le plus d’expérience lorsqu’ils ont été engagés.

Voici quelques compétences comportementales que vous pouvez mettre en avant sur votre CV et lors d’entretiens, car elles sont très demandées dans de nombreux domaines et pour de nombreux postes :

Ces cours peuvent être suivis séparément et se trouvent dans le programme de nos formations en ligne.

Pour plus d’informations sur les compétences, vous pouvez lire notre article sur le bilan de compétences.

L’article Pour trouver un emploi, mettez à profit vos soft-skills ! est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.

Do criminals dream of electric sheep? How technology shapes the future of crime and law enforcement

The advent of so-called disruptive technologies – those that fundamentally alter the way we live, work and relate to one another – provides criminals with new ways to pursue their illegal goals, but also equips law enforcement with powerful tools in the fight against crime. To remain relevant and effective, it is necessary for law enforcement authorities to invest in understanding and actively pursuing new, innovative solutions. Europol has published today a report, which will serve as a basis for future discussions between Europol, EU law enforcement and their stakeholders.

Numerous weapons confiscated during the EU-coordinated Joint Operation "ORION"

Some 300 pieces small arms, almost 1,500 pieces of light weapons, more than 140,000 pieces ammunition and over 200 kg explosives were seized by the Moldovan and Ukrainian law enforcement agencies during a Joint Operation (JO) codenamed “ORION”, coordinated by the European Union Border Assistance Mission to Moldova and Ukraine (EUBAM) in cooperation with the European Law Enforcement Agency (Europol).

Production in construction down by 0.3% in both euro area and EU28

In May 2019 compared with April 2019, seasonally adjusted production in the construction sector decreased by 0.3% in both the euro area (EA19) and the EU28, according to first estimates from Eurostat, the statistical office of the European Union. In April 2019, production in construction decreased by 1.7% in the euro area and by 1.3% in the EU28.

Annual inflation up to 1.3% in the euro area

The euro area annual inflation rate was 1.3% in June 2019, up from 1.2% in May. A year earlier, the rate was 2.0%. European Union annual inflation was 1.6% in June 2019, stable compared to May. A year earlier, the rate was 2.1%. These figures are published by Eurostat, the statistical office of the European Union.

Des cours OpenClassrooms à Tech Lead, l’histoire d’Olivier

Olivier Maréchal, la trentaine, a déjà eu plusieurs vies.

Après s’être reconverti à différentes occasions puis s’être formé sur des cours en ligne via OpenClassrooms, il est aujourd’hui Tech Lead chez WakeOnWeb à Aix-en-Provence.

Spécialisé dans la conception et le développement d’applications web, il gère la partie technique des projets. Son poste va du chiffrage à la livraison du produit en passant par le choix des technologies et la supervision des équipes de développeurs. Incursion dans son parcours.

Une auto-formation pour se reconvertir

J’ai arrêté l’école après avoir obtenu mon bac ES. Pendant deux ans, j’ai réalisé des petites missions d’intérim : cela n’a pas été une expérience extraordinaire.

J’ai ensuite pris la décision de m’engager dans l’armée où j’étais sous-officier. Au bout de six ans, j’étais arrivé au bout, j’avais la certitude de vouloir faire autre chose. Donc, j’ai cherché une porte de sortie pour me reconvertir. 

Je me suis renseigné sur les métiers du développement car j’aimais déjà beaucoup l’informatique. L’armée me proposait de financer une formation ou un stage en entreprise. J’ai réalisé un stage de six mois dans une agence de communication, ce qui m’a mis le pied à l’étrier pour le développement. En parallèle de ce stage, j’ai commencé à suivre les cours en ligne proposés par OpenClassrooms

À l’issue du stage, en cherchant un CDI, j’ai constaté qu’il y avait beaucoup d’offres d’emploi pour du développement PhP/Symfony. J’ai rapidement décroché un entretien d’embauche dans une société spécialisée dans le développement d’applications Symfony pour le compte d’entreprises tiers. Les recruteurs m’ont challengé : ils m’ont donné trois semaines pour me familiariser avec le langage Symfony. Suite à cela, j’ai dû faire mes preuves au cours d’un test technique.

Ils ont constaté que j’avais potassé tous les cours disponibles sur OpenClassrooms. J’ai été embauché comme développeur chez eux. 

De Développeur web à Tech Lead

Après cette première expérience de deux ans, j’ai changé d’entreprise et je suis arrivé chez WakeOnWeb en tant que développeur. Au sein de la boîte, j’ai pu évoluer.

Soutenu par mon patron, je suis passé Tech Lead il y a un peu plus de six mois. 

Mon travail aujourd’hui, c’est d’analyser les besoins du client, d’évaluer le coût de la prestation et les délais puis de gérer l’organisation technique. Je choisis les technologies les plus adaptées, je répartis les tâches et j’encadre les développeurs. Dans notre gestion de projet, chaque tâche est divisée en sous-tâche et soumise à ma validation par les développeurs.

Je ne me sens pas vraiment manager ou chef d’équipe, je suis là comme soutien technique lorsque les développeurs ont besoin d’aide. 

Je fais encore moi-même un peu de code. Parfois, il faut intervenir sur la partie infrastructure, pour ce qui est déploiement automatique, intégration continue ou lorsque l’on développe des composants que l’on aimerait réutiliser par la suite. Dans ce cas, je m’en occupe et j’élabore la documentation pour ensuite la fournir aux développeurs.

La principale qualité d’un Tech Lead est l’adaptabilité. Il faut être patient. C’est primordial pour se mettre au niveau de chacun et transmettre correctement les briefs et les informations. Parfois, certaines choses me semblent évidentes. Elles ne le sont pas forcément pour le développeur que j’ai en face de moi.

Il faut aussi rester curieux. Par ailleurs, l’assurance est importante pour assumer les décisions que l’on prend au quotidien. Et à l’inverse, il faut être capable de se remettre en question pour faire machine arrière lorsque l’on a fait le mauvais choix de technologie, par exemple. Il est indispensable enfin d’être très organisé, car toute la journée, on jongle avec différentes missions. En somme, il faut savoir prioriser. 

Un rôle de mentor

Tout au long de ma reconversion, je me suis formé seul. Je n’ai pas bénéficié du soutien d’un mentor ou d’un coach, puisque les formations en ligne OpenClassrooms n’étaient pas encore ouvertes. Or, je pense que parfois on est un peu perdus et que c’est très bénéfique d’avoir quelqu’un avec qui partager ses doutes et ses questions pour continuer à avancer. C’est pour cela que je me suis engagé en tant que mentor pour suivre les étudiants OpenClassrooms des formations développement web et développeur PhP/Symfony. 

Se former seul est possible si l’on accepte d’investir beaucoup de temps et de curiosité. Le code informatique est un monde déroutant à première vue, mais il ne faut pas baisser les bras même quand on a l’impression de stagner.

Il existe un très grand nombre de technologies. Je suis convaincu qu’il est indispensable de se fixer un objectif et de s’y tenir.

Les recruteurs cherchent tous les types de profils : personnellement, je ne me suis jamais senti défavorisé parce que je n’avais pas de diplôme. Au contraire, je pense que ma reconversion a été un atout à mettre en avant dans mon parcours.

Mon expérience dans l’armée, avec des personnes sous mes ordres m’a permis d’acquérir une forme de maturité appréciée des recruteurs, et qui explique sans doute que je sois parvenu à rebondir ensuite dans un tout autre domaine.

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Euro area international trade in goods surplus €23.0 bn

The first estimate for euro area (EA19) exports of goods to the rest of the world in May 2019 was €203.4 billion, an increase of 7.1% compared with May 2018 (€189.9 bn). Imports from the rest of the world stood at €180.3 bn, a rise of 4.2% compared with May 2018 (€173.0 bn). As a result, the euro area recorded a €23.0 bn surplus in trade in goods with the rest of the world in May 2019, compared with +€16.9 bn in May 2018. Intra-euro area trade rose to €172.0 bn in May 2019, up by 4.9% compared with May 2018.

Industrial production up by 0.9% in euro area

In May 2019 compared with April 2019, seasonally adjusted industrial production rose by 0.9% in the euro area (EA19) and by 0.8% in the EU28, according to estimates from Eurostat, the statistical office of the European Union. In April 2019, industrial production fell by 0.4% in the euro area and by 0.6% in the EU28.

RP : comment construire sa stratégie et mobiliser les journalistes ?

Par : Nora Leon

Lancement produit, rebranding, levée de fonds… Les occasions de travailler avec des journalistes sont nombreuses pour les responsables marketing et communication. Une campagne de relations presse (RP) a pour enjeu d’augmenter la visibilité d’une marque. Et ce auprès de futurs clients, du grand public ou d’acteurs institutionnels. Si les retombées presse sont au rendez-vous, c’est un succès pour l’image et la notoriété.

Le métier a un aspect relationnel décisif. En effet, les meilleurs professionnels du milieu disposent d’un réseau actionnable de journalistes et d’influenceurs, dont connaissent les sujets de prédilection. Ils ont noué avec eux une relation au fil des années.

À cela s’ajoute toute une composante numérique, depuis l’avènement d’Internet. À présent, les échanges se font en majorité via le web. Twitter et LinkedIn sont devenus des outils de contacts presse. Les e-RP sur Twitter intègrent aussi de plus en plus les influenceurs : ce sont les personnalités compétentes sur un sujet. À cela s’ajoutent des outils en ligne. Ceux axés sur la veille augmentent la réactivité des responsables presse, pour rebondir sur les actualités chaudes. D’autres sont également intéressants pour relancer les journalistes ou mesurer l’efficacité d’une campagne.

Dans ce contexte 2.0, les journalistes sont très sollicités. Difficile de tirer son épingle du jeu.

Alors, comment affiner sa stratégie presse ? Cibler le bon média ? Intéresser un journaliste et nouer une relation de confiance sur le long-terme ?

1- Affiner son positionnement

Le fondement d’une campagne presse réussie est un positionnement clair. Il s’appuie sur deux éléments.

  • Le premier, les sujets qui “ont bonne presse”, qui intéressent globalement les journalistes.
  • Le second, les problématiques stratégiques pour la marque.

Nous avons contacté une experte qui nous a expliqué comment réussir l’exercice de la stratégie presse.

[À suivre : notre cours gratuit construisez et pilotez une marque dans le temps. D’autres cours gratuits sur le marketing sont aussi disponibles sur notre école en ligne.]

Repérer les problématiques “press-friendly”

Les relations presse fonctionnent, tout comme le social media management, sur une alternance entre les prises de paroles “chaudes” et “froides”. C’est-à-dire les sujets d’actualité inédits et ceux qui pourraient être traités toute l’année.

Dans l’idéal, une information “chaude”, fait l’objet d’une exclusivité dans un journal adapté à la cible que la marque veut toucher. Par exemple, Les Echos pour une annonce de levée de fonds en France.

Cependant, pour maintenir sa présence dans la presse toute l’année, le responsable RP peut aussi transformer du froid en chaud en rebondissant sur l’actualité ou en s’inscrivant dans le débat public. Pour cela, notre experte conseille de partir d’une veille attentive

Il faut réussir à capter les messages qui intéressent tel ou tel journaliste. En veillant au quotidien les sujets larges liés aux enjeux de son entreprise, on écoute le “bruit” presse autour de ces problématiques.

« C’est bien, dans l’idéal, de partir d’une veille large, puis affiner en repérant les thèmes précis qui reviennent. Par exemple, dans le cas des sujets “éducation” et “emploi”, on voit vite que le retour à l’emploi ou la reconversion professionnelle intéressent la presse. Partant de là, on peut créer des contenus ou prendre position sur ces sujets auprès de journalistes qui ont l’habitude de les traiter”. 

Choisir les médias les plus pertinents

En fonction des sujets intéressants et des journalistes qui les traitent, on repère les médias dans lesquels on veut apparaître.

On peut aussi faire le chemin inverse, en repérant un média où on voudrait être mentionné. Pour y arriver, il faut observer les problématiques traitées par les journalistes de son secteur”.

Le mieux est aussi de panacher ses prises de contacts à l’échelle des différents médias : 

  • Le tiers 1 : les médias grand public 
  • Le tiers 2 : la presse spécialisée, qui ne touche pas le grand public ;
  • Le tiers 3 : Contribuer aux média via des tribunes 

L’objectif est ici d’avoir un panel large de prises de paroles dans la presse généraliste et spécialisée. 

Définir les messages-clés de la marque

Ensuite, le responsable RP forge les messages sur lesquels la marque se positionnera. C’est-à-dire les leitmotiv de la marque. Ils peuvent être définis sous formes de problématiques principales (exemple : le futur de l’éducation, l’accessibilité dans l’éducation, l’insertion professionnelle…), ou de phrases clés (exemples : La mission d’OpenClassrooms est de rendre l’éducation accessible). 

Plus ces éléments seront ancrés dans la communication globale d’une marque, plus elle aura de chances d’être considérée experte sur ses sujets principaux.

Donc, des journalistes pourront contacter ses fondateurs pour prendre la parole sur les sujets qui les concernent. 

2- Amener son message à bon port

Les journalistes sont sursollicités. Donc, leur envoyer le mauvais message au mauvais moment nuit à la réputation d’un responsable RP. Pour éviter cet écueil et augmenter ses chances d’être publié, notre experte a quelques astuces.

Cibler le bon journaliste

L’un des risques principaux est de ne pas envoyer son communiqué à la bonne personne. Il faut donc être rigoureux.

Il est indispensable de faire de la curation pour savoir qui écrit précisément sur quel sujet. Des outils comme Mention, Kantar Media ou MeltWater permettent d’entrer dans ce genre de détails et d’agréger ses données. Dès qu’on repère qu’un journaliste écrit sur une problématique qui nous intéresse, on l’ajoute à son fichier presse ».

Mieux vaut être qualitatif que quantitatif. Ces listes presse doivent être segmentées et précises. Dans le cas contraire, il ne faut pas s’attendre à avoir de réponse.

Trouver les contacts directs

Notre experte l’assure, il est essentiel d’avoir un accès direct au journaliste. Avec une base de données, c’est plus facile. Hors Antenne ou Babbler par exemple contiennent les coordonnées des journalistes. Babbler propose même de voir ceux qui s’intéressent au contenu de la marque, pour pouvoir rebondir un signe d’intérêt.

Je me sers des tags pour trouver les journalistes que je souhaite contacter, assure la responsable presse. 

Sans fichier presse, la plupart des journalistes sont sur Twitter. Et le nerf de la guerre reste de retrousser ses manches pour appeler les rédactions.

Choisir son moment

Cela compte. Imaginez être en bas d’une liste de 400 e-mails, à 19h. Aucune chance d’être lu.

Les journalistes ont souvent leurs conférences de rédaction entre 9 et 10 heures. Donc, pour qu’ils lisent un e-mail juste avant, il faut l’envoyer à 8h30. Pour tout ce qui est conférences de presse, cela doit se passer entre 10h et 15 heures, car c’est à ce moment qu’ils bouclent. Les quotidiens quant à eux bouclent à partir de 15h.

L’enjeu : arriver exactement au moment où le journaliste recevra l’information.

Soigner sa relance

Il n’y a pas de RP sans relance.

Cependant, recontacter un journaliste est tout un art. La responsable presse que nous avons interrogée a mis en place une méthode qui a fait ses preuves.

« J’envoie d’abord un mail avec le communiqué de presse et un texte simple présentant les grandes lignes. J’attends le lendemain pour rappeler la personne. Je pitche la nouvelle pendant deux minutes, et il peut regarder l’information en parallèle. C’est là que j’ai les meilleures chances d’avoir gain de cause ».

Pour un événement, on relance une semaine avant. Pour une info chaude, deux heures de courtoisie sont de rigueur après l’envoi du mail, avant de passer son coup de fil. 

3- Établir une relation de confiance

Installer une relation de confiance avec un journaliste se fait sur le long-terme.

Ce sont des années de pratique avec les mêmes journalistes. Ils font tout pour préserver leur éthique, et sont donc à raison difficiles d’approche.

Cela étant dit, il y a des fondamentaux pour commencer à construire cette relation gagnant-gagnant : du bon contenu contre une vitrine médiatique.

Ecrire aux spécialistes

La règle numéro une des RP, est de proposer uniquement des sujets dont on est sûr qu’ils intéressent le journaliste

Cela veut dire concrètement qu’on ne peut pas envoyer une information à n’importe qui et que la qualité prime sur la quantité.

Je fais de la pédagogie en interne. Je n’envoie pas une information qui ne prendra pas. Il faut être empathique et savoir sur quoi chacun écrit, si on ne souhaite pas se griller définitivement.

Proposer des exclusivités et des embargos

Utilisez l’embargo et l’exclusivité pour pour aider les journalistes à gagner du temps.

« Je propose une exclusivité à un journaliste sélectionné pour son média et sa coloration, quand j’ai de vraies bonnes infos ».

Personnaliser

Tout comme en marketing automation, il est indispensable d’être dans l’hyper personnalisation

On s’adresse directement à la personne. On lui montre qu’on connaît les sujets qui l’intéressent. On lui explique brièvement pourquoi on a pensé à elle pour ce sujet. Plus la personnalisation est naturelle et pertinente, plus on a de chances de recevoir une réponse. 

Remercier avec finesse

“Remercier un journaliste est un jeu d’équilibriste. Il ne faut pas en faire trop, pour ne pas lui donner l’impression qu’on cherche à le soudoyer. En même temps, c’est important d’envoyer un e-mail simple pour dire qu’on est contents”. 

  • À éviter : envoyer de cadeaux (a fortiori une bouteille de champagne) ; trop insister sur les remerciements.
  • À faire : proposer des avantages immatériels, par exemple un déjeuner avec un co-fondateur ou le président de l’entreprise.

En un mot 

Trouver l’équilibre n’est pas simple en RP. Dans ce métier essentiellement relationnel, de nombreux codes existent pour réussir. Pour autant, nous espérons que ces quelques pistes vous aiguillent dans la bonne direction… pour avoir bonne presse.

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Europol organises fifth edition of training course on payment card fraud

Today took place the closing ceremony of the 5th edition of the Europol Training Course on Payment Card Fraud Forensics and Investigations, hosted by the Spanish National Police Academy in Avila, Spain. More than 250 international students have attended this Programme since its first edition in 2015.

Illegal tobacco factory producing 2 000 cigarettes a minute dismantled

A joint operation between the Bulgarian National Police (Национална Полиция) and National Customs Agency (Агенция Митници), the Moldovan Police and the State Border Guard Service of Ukraine, with Europol’s coordination, has seen the arrest of 12 individuals involved in the illicit trade of tobacco.

Tirana hosts Europol’s first liaison office in the Western Balkans

Europol’s new liaison bureau in Tirana (Albania) was officially opened today, 11 July 2019, in the presence of the General Director of the Albanian State Police, Ardi Veliu, EU Ambassador to Albania, Luigi Soreca, and Europol Executive Director, Catherine De Bolle. Albania is the first country in the Western Balkans to host a Europol liaison office and this opening highlights the importance of Albania and the Western Balkans as partners for Europol and the EU.

Parallel investigations bring down sexual exploitation network and freeze criminal profits in 12 counties

Operation Webmaster targeted a Finnish organised criminal group involved in human trafficking for sexual exploitation and money laundering. The joint operation led to six arrests, 16 website shutdowns and multiple seizures of cash and luxury goods. Following the action day on 26 March 2019, the suspects’ bank accounts in 12 different countries were frozen. With support from Europol and Eurojust, the Spanish National Police (Policía Nacional) joined forces with national authorities from 14* other countries to bring down the trafficking ring.

EU population up to over 513 million on 1 January 2019

On 1 January 2019, the population of the European Union (EU) was estimated at almost 513.5 million, compared with 512.4 million on 1 January 2018. During 2018, more deaths than births were recorded in the EU (5.3 million deaths and 5.0 million births), meaning that the natural change of the EU population was negative for a second consecutive year. The population change (positive, with 1.1 million more inhabitants) was therefore due to net migration.

House prices up by 4.0% in both the euro area and the EU

House prices, as measured by the House Price Index, rose by 4.0% in both the euro area and the EU in the first quarter of 2019 compared with the same quarter of the previous year. These figures come from Eurostat, the statistical office of the European Union.

Entrepreneuse, salariée et maman : comment Mathilde jongle avec les casquettes

Mathilde Bermont-Hurst est graphiste de formation. Entrepreneuse dans l’âme, elle monte sa boîte appelée Cherry Fizz pendant ses études, pour s’installer à son compte. 

C’est un peu par hasard qu’elle envisage 10 ans plus tard de compléter sa formation en UX design, en suivant une formation en ligne sur OpenClassrooms.

Maman de deux enfants et diplômée depuis novembre 2018, Mathilde mène aujourd’hui de front un poste de chef de projet salarié et des projets pour les clients de Cherry Fizz. 

Graphiste et entrepreneuse

Au départ, Mathilde a un parcours plutôt linéaire, orienté vers la création et l’art :

J’ai fait les beaux-arts après le bac puis l’école d’art MJM pour apprendre à utiliser les logiciels de création. Pendant ma première année d’études, je me suis mise à mon compte en tant que graphiste, en 2007. Une fois mon diplôme en poche, je suis restée à mon compte et j’ai évolué vers la direction artistique et la communication visuelle.

En 2017, Mathilde rencontre des petites difficultés avec Cherry Fizz et ressent l’envie de se relever de nouveaux défis :  “Mon entreprise ne fonctionnait pas comme je le voulais et j’ai commencé à envisager de me former à nouveau. J’étais même prête à éventuellement retourner sur les bancs de l’école. Comme je n’avais pas de patron, je n’avais pas d’exigences particulières, si ce n’était que je devais continuer en parallèle à avoir un salaire chaque mois. Après avoir cherché en vain un CDI, j’ai demandé un financement à Pôle Emploi. Mon projet n’a pas été accepté parce que j’avais déjà mon entreprise mais quelques mois plus tard, OpenClassrooms m’a informée que la région Grand-Est finançait des formations. C’est donc comme cela que j’ai démarré ma formation en Design ».

C’était idéal pour moi de pouvoir travailler à distance tout en développant mes compétences.

Un parcours OpenClassrooms à son rythme

Mathilde a validé la formation en 18 mois, en prenant le temps nécessaire pour équilibrer son activité professionnelle et ses études.

Je devais garder de la place aussi pour ma vie de famille.

« J’ai deux enfants qui ont 9 et 3 ans aujourd’hui. Pendant la formation, je travaillais plutôt le soir et j’organisais les vidéo conférences lorsque mon mari s’occupait des enfants. Nous savions que cette organisation demanderait un investissement de la part de tous les deux en terme d’intendance. S’il y avait des projets à terminer le week-end, je ne pouvais pas toujours me rendre disponible.

Mon mari étant dans le design également, il me donner aussi quelques coups de pouce quand j’en avais besoin. Sur les projets où j’étais moins à l’aise comme le code ou le projet WordPress, j’ai aussi pu compter sur l’aide des autres étudiants. Le Workplace d’OpenClassrooms est vraiment top de ce point de vue là.  

De Strasbourg, Mathilde et sa famille déménagent à Nantes. De nouveaux changements mais surtout une aubaine pour le domaine dans lequel elle est à présent diplômée : “Je me suis retrouvée dans un contexte différent où il fallait aussi que je relance mon entreprise. En même temps, je me suis rendue compte qu’à Nantes, il y avait beaucoup de propositions d’emploi dans le numérique. Donc, j’ai envisagé de chercher un job en attendant de pouvoir redémarrer pleinement l’activité de Cherry Fizz.” 

Salariée et pleine d’idées

En un mois de recherche, Mathilde obtient deux entretiens et deux propositions de poste. Plutôt de bon augure : “J’ai choisi l’une des deux entreprises dans laquelle je suis restée trois mois. Puis, l’entreprise Conserto m’a démarchée comme Product Owner, mon poste actuel. Je ne souhaitais pas travailler dans le design en ayant un patron alors que d’un point de vue créatif, je me suis toujours débrouillée de façon indépendante. Je n’avais pas envie d’être subordonnée à la décision de quelqu’un.

Chez Conserto, une entreprise de conseil et d’expertise en informatique, Mathilde fait de la gestion de projet. Elle est l’interface entre l’entreprise et le client :

J’entretiens les relations client et j’ai une équipe créa qui est associée à mes projets. Je n’en fait pas partie mais je mets en place des ateliers UX avec le directeur artistique de l’agence. Je suis sur un projet de long-terme qui me plaît, je ne gère qu’un seul gros client.”

Si elle est épanouie aujourd’hui à son poste, Mathilde l’entrepreneuse collecte les bonnes idées pour de futurs projets :

Je suis toujours en réflexion, j’ai plein d’autres idées pour le futur. J’ai un profil de meneuse, j’aime bien prendre des décisions. Donc, à terme, j’envisage de recréer quelque chose, d’ouvrir un studio, pourquoi pas avec des collaborateurs.

« Je suis très portée sur l’UX design, l’expérience client, l’agilité, le management visuel : ce sont des problématiques qui m’intéressent. Le formation OpenClassrooms m’a donné accès à tout cela. J’ai appris énormément de choses, ne serait-ce que dans le fonctionnement d’une entreprise. Et j’entrevois bien d’autres possibilités de projets passionnants.”

À suivre donc…

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Finnish presidency activities on internal security kick off with informal COSI meeting at Europol

The informal meeting of the Council’s Standing Committee on Operational Cooperation on Internal Security (COSI) at Europol today marks the start of internal security-related activities of Finland’s Presidency of the Council of the EU. This is the first time an informal COSI meeting has been co-hosted by an EU agency, which also honours the 20th anniversary of Europol.

People on the move – statistics on mobility in Europe

Did you know that among the half a billion people living in the EU, 8% do not have the nationality of their country of residence? Also, 1.3 million Europeans live in one country, but work in another, and 1.7 million EU students study abroad.

Combiner maths et développement informatique, le projet de Fayçal 

Par : Nora Leon

Une grande détermination. C’est ce qui ressort de notre échange avec Fayçal, l’un des étudiants boursiers de la formation LevelUp, en partenariat avec Google.org. 

Après avoir cherché sa voie en fac de maths, Fayçal s’est décidé pour la formation développeur iOS. Bien décidé à coder et soutenu par sa copine, il met en œuvre l’énergie nécessaire pour faire aboutir ses rêves. Rencontre. 

Qu’est-ce qui t’a mené à LevelUp ?

Je suis un matheux. J’ai fait une licence de maths info à Paris Descartes… Que j’ai arrêtée. Ce n’était pas assez concret. Je n’étais pas fixé sur ce que je voulais, mais je savais bien ce que je ne voulais pas. Notamment, faire de recherche en master, devenir prof ou data scientist comme mon frère. Cela m’intéresse peu, même si c’est très demandé. Donc, comme je ne savais pas encore quoi faire, je me suis inscrit sur Deliveroo et Uber en attendant.

Mon frère m’a proposé de devenir développeur iOS, car c’est un métier très demandé. Je me suis auto-formé sur les cours OpenClassrooms dès mars 2018 en suivant des cours, tout en cherchant un moyen de me faire financer une formation diplômante d’un an. Début 2019, j’ai reçu le mail d’Uber et Deliveroo annonçant une bourse d’études OpenClassrooms en partenariat avec Google.org.

J’avais très peu de chances de l’obtenir. Donc, imaginez mon soulagement quand on me l’a accordée !

Pourquoi la formation développeur d’applications iOS ?

Pour la Tech, d’abord. Apple code en C, option que j’avais choisie en maths info.

Ce métier était donc dans la suite logique de ce que je savais déjà. Et au niveau technique, c’est passionnant car le code en iOS a un lien avec tout : le design, l’écriture, le respect des normes. C’est très complet et cela donne plusieurs dimensions au job.

Mais aussi par rapport à Apple. J’aime son image épurée et le fait que les composants interagissent ensemble. C’est aussi une marque sécurisée et confidentielle, deux points que je considère très positifs.

Apple est enfin très rigoureux dans ses standards qualité. Cela me plaît, car je me mets au défi d’arriver à ce niveau

Comment vois-tu l’avenir ? 

J’ai momentanément arrêté les maths, mais j’ai quand même les chiffres dans la peau ! Donc, j’aimerais bien concilier code informatique et arithmétique dans mon futur emploi

Pour cela, il me suffirait de travailler dans les algorithmes. Je trouverais intéressant de proposer des améliorations dans le code des ingénieurs, tout comme les mathématiciens qui peaufinent l’algorithmie.

Pour y parvenir, je compte reprendre mes études en maths en alternance avec mon emploi, pour développer mes compétences. 

Et je voudrais aussi développer des outils open source qui aideraient à participer aux génomes. C’est important pour moi de résoudre des problèmes concrets. Je suis convaincu qu’il faut partager ses connaissances : je cherche donc à être dans une dynamique d’échange

Le mot de la fin ? 

Aujourd’hui, ma charge de travail est conséquente, même si je prends plaisir à étudier et pratiquer le développement. J’avance vite, car mon mentor m’épaule, alors qu’avant j’étais seul

Je mets beaucoup d’énergie dans la formation et suis prêt à faire les sacrifices nécessaires pour réussir

Je me projette aussi sur le moyen-terme. Après quelques années en poste, j’aimerais devenir mentor. Je me sens déjà redevable de ce qu’on m’a donné. Plus tard, j’accompagnerai des étudiants qui seront au stade où j’en suis à présent.

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Immobilier-danger.com : Taux de crédit immobilier en juillet 2019

C'est la période estivale aussi au niveau des taux de crédit immobilier. Tous les indicateurs sont au beau fixe avec des records qui sont battus régulièrement et des emprunteurs qui peuvent bénéficier de ces meilleures conditions pour acheter leur maison, financer l'investissement dans un appartement ou encore renégocier leur crédit en cours ou les faire racheter.

Comme en mai, les taux de prêt immobilier diminuent encore un peu en juin 2019 et cela devrait se poursuivre dans les mois à venir étant donné les annonces de la Banque Centrale Européenne et les conséquences déjà perçues sur l'OAT 10 ans de la France.

Découvrez les dernières actualités sur les taux immobiliers en juillet 2019 ainsi que nos conseils pour bien emprunter et améliorer votre financement.

Mise à jour : découvrez les taux d'emprunt immobilier en septembre 2019.

Keeping sport safe and fair: 3.8 million doping substances and fake medicines seized worldwide

Thirty-three countries*, INTERPOL, the Joint Research Centre (JRC), the European Anti-Fraud Office (OLAF), the World Anti-Doping Agency (WADA) joined forces in the Europol-coordinated operation Viribus for a massive crackdown on the trafficking of doping materials and counterfeit medicines.

Making cooperation even easier with Financial Intelligence Units

Over 100 representatives from 46 Financial Intelligence Units (FIUs) visited Europol today on the margins of the Egmont Group Plenary meeting in The Hague. The financial crime experts were presented with some of the core activities of Europol.

EU28 current account surplus €40.5 bn

The EU28 seasonally adjusted current account of the balance of payments recorded a surplus of €40.5 billion (1.0% of GDP) in the first quarter of 2019, up from a surplus of €40.2 billion (1.0% of GDP) in the fourth quarter of 2018 and down from a surplus of €58.3 billion (1.5% of GDP) in the first quarter of 2018, according to estimates released by Eurostat, the statistical office of the European Union.

Setting the scene for cybercrime: trends and new challenges

The level of digitalisation in our societies is increasing every day and so is cybercrime. This situation requires law enforcement and prosecution practitioners to constantly adapt their expertise, tools and practices to effectively and efficiently respond to this change.

Qu’est-ce que le design thinking ?

En deux mots : processus créatif.
Nous vous expliquons en quoi il consiste dans le  détail.

C’est utile pour toutes les personnes qui souhaitent faire une formation en UX design, ou simplement avoir des connaissances sur ce sujet Tech.

[Pour aller plus loin, suivez le cours Initiez-vous au design thinking]

Qu’est-ce que le design ?

Le mot “design” a émergé en Angleterre au 17ème, en ayant pour définition “thing shall be done”. Ce mot est issu du vieux français “designer”, venant du latin “designare”. Il signifie “marquer d’un signe”. Le design se réfère à la concrétisation d’une idée par un dessin, la formalisation tangible d’un concept, la production d’une solution.

Par extension, c’est aussi est une méthodologie de résolution de problèmes, à la croisée de l’art et de la science. Cette activité fait donc appel à nos deux hémisphères cérébraux, le côté gauche rationnel et le côté droit émotionnel, synthèse de la pensée analytique et intuitive.

Qu’est-ce que le Design Thinking ?

Jusqu’au années 90 on appliquait le design à des domaines d’application très circonscrits, comme le graphisme, le produit, l’architecture,  la mode, les interfaces, la mécanique…. En 1969, Herbert Simon, dans son ouvrage The Science of Artificial, considère pour la première fois le design comme “a new way of thinking” (“une nouvelle manière de penser”). Aujourd’hui on se sert de la manière de penser du processus créatif pour répondre à des enjeux stratégiques d’organisation, sans distinction de domaines d’application.

Dans les années 80, le Design Thinking a été théorisé à l’Université de Stanford. Au début des années 90, l’agence de design IDEO met pour la première fois ces concepts en pratique, afin d’aider ses clients à concevoir de nouveaux produits et services. Ces dernières années, de nombreux cabinets de conseil ont utilisé cette méthode.

Pourquoi utilise-t-on le Design Thinking ? 

Le Design Thinking est donc une méthodologie d’innovation, internationalement reconnue, pour créer des services, produits, expériences, stratégies, systèmes… On l’utilise spécifiquement lorsque la problématique n’appelle pas une typologie de réponse prédéfinie et que l’on ne veut pas restreindre le champ des possibles trop tôt. C’est une méthodologie qui peut s’appliquer dans tous les services des organisations. 

Par exemple, une problématique peut être transverse à plusieurs directions et avoir une multitude de manières d’y apporter une réponse. La recherche se focalise sur les utilisateurs. Donc, elle amène des insights (des points de connaissance des  consommateurs). Ces derniers peuvent porter soit sur leurs problématiques, leurs besoins, qu’on va chercher à solutionner au travers du produit ou service. La réponse apportée pour combler leurs besoins, est ainsi libérée des contraintes internes.  Alors, c’est plus simple  d’identifier la direction adéquate pour mettre en œuvre la solution. 

Quel est le processus d’innovation ?

Un projet débute par la définition d’une problématique précise à laquelle on apportera une réponse créative. La créativité s’exprime par les moments de divergence (ouverture au foisonnement) et de convergence (sélection de possibilités) à chaque étape. Un processus de Design Thinking est structuré en 3 phases distinctes et successives, même si des itérations peuvent exister en leur sein :

1- Inspiration : comprendre les besoins et aspirations des utilisateurs, ainsi que les enjeux économiques et techniques de leur environnement. 

2- Idéation : imaginer avec les utilisateurs et partenaires des solutions innovantes et parfaitement adaptées aux besoins. 

3- Implémentation : réaliser un prototype puis le tester directement auprès des utilisateurs afin d’avoir leur retour avant la mise en œuvre.

ou

L’atelier de co-création est un point central qui a pour but d’activer l’intelligence collective avec les parties prenantes pour imaginer ensemble des solutions nouvelles. 

Quelles sont les spécificités de la méthode ? 

Le Design Thinking place les utilisateurs au centre de la conception de services. En premier lieu car ce sont eux qui sont les bénéficiaires de l’innovation, mais l’objectif in-fine est de créer de la valeur en retour pour l’organisation. Ainsi, l’empathie est une condition fondamentale tout au long du processus, pour bien cerner les besoins des utilisateurs et leur apporter une réponse adéquate. Les utilisateurs peuvent être les clients d’une société, les citoyens d’un gouvernement, les sociétaires d’une coopérative ou même les collaborateurs d’une organisation. 

Autour des utilisateurs, la multidisciplinarité des acteurs en présence est essentielle car elle permet de répondre à la complexité des projets. Qu’ils soient utilisateurs, experts, collaborateurs, partenaires, l’ensemble des parties prenantes crée de la valeur tout au long du processus, si leur participation est intégrée à la démarche.

Quels sont les bénéfices de cette approche ? 

Le Design Thinking permet d’intégrer des critères d’usage, technique et économique dans la solution. Ce qui permet d’apporter une solution qui soit   : 

1- La désirabilité : s’assurer que la solution plaise à l’utilisateur

2- La faisabilité : s’assurer que la solution soit réalisable

3- La viabilité : s’assurer que la solution soit stable économiquement

Aujourd’hui de nombreuses organisations comme Apple, Airbnb mais aussi des villes comme Helsinki ou Los Angeles possèdent une direction du design (Chief Design Officer). La valeur et l’expansion du design est sans appel, alors qu’attend votre entreprise pour former les collaborateurs à cette approche et créer une direction du design ?  

Si cet article a aiguisé votre curiosité et a suscité l’envie de vous jeter dans l’expérience, beaucoup d’entreprises offrent maintenant des formations au Design Thinking. 

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Volume of retail trade down by 0.3% in euro area

In May 2019 compared with April 2019, the seasonally adjusted volume of retail trade decreased by 0.3% in the euro area (EA19) and by 0.4% in the EU28, according to estimates from Eurostat, the statistical office of the European Union. In April 2019, the retail trade volume decreased by 0.1% both in the euro area and in the EU28.

Business investment stable at 23.6% in the euro area

In the first quarter of 2019, the business investment rate was 23.6% in the euro area, stable compared to previous quarter. The business profit share in the euro area was 39.8% in the first quarter of 2019, compared with 40.0% in the fourth quarter of 2018.

Household saving rate up to 12.6% in the euro area

The household saving rate in the euro area was 12.6% in the first quarter of 2019, compared with 12.1% in the fourth quarter of 2018. The household investment rate in the euro area was 9.3% in the first quarter of 2019, compared with 9.2% the previous quarter.

Industrial producer prices down by 0.1% in euro area

In May 2019, compared with April 2019, industrial producer prices fell by 0.1% in the euro area (EA19) and remained unchanged in the EU28, according to estimates from Eurostat, the statistical office of the European Union. In April 2019, prices decreased by 0.3% in the euro area and remained unchanged in the EU28.

New task force at Europol to target the most dangerous criminal groups involved in human trafficking and migrant smuggling

On 2 July, the Joint Liaison Task Force Migrant Smuggling and Trafficking in Human Beings (JLT-MS) was launched at Europol. This new operational platform will allow liaison officers from all EU Member States to step up the fight against constantly adapting criminal networks.

Cumuler un boulot à temps plein et une formation en ligne : mission impossible ?

Est-ce possible de réussir une formation en ligne en même tant qu’on travaille ?  Vous êtes nombreux à vous poser cette question. Et pour cause :  vous aimeriez vous reconvertir, mais vous avez des contraintes financières.  Pour avoir l’avis de quelqu’un qui conjugue formation et emploi à plein temps, nous sommes allés à la rencontre de Cécile Desray, étudiante sur notre formation Community manager, mais aussi assistante RH à temps plein et bénévole dans une association. 

Comment organise-t-elle ses semaines ? Comment trouve-t-elle son équilibre ? Voici son témoignage. 

D’un métier alimentaire à une passion

Cela fait six ans que je suis à mon poste d’assistante RH, c’est une bonne entreprise, mais mon travail n’est pas un métier-passion. Je suis très créative, mes compétences ne sont que peu exploitées dans ce milieu.

Un constat sur lequel s’accordent la plupart des profils créatifs évoluant dans des postes exempts de toute dimension artistique. Pour exprimer sa créativité au travail, Cécile doit donc compter sur sa vie extra-professionnelle. Elle est passionnée par le sport et fait notamment du roller-derby. Bénévole au sein du conseil d’administration de son club, elle y endosse la responsabilité de coordinatrice communication, qui implique notamment le pilotage des réseaux sociaux. 

« En temps qu’assistante RH, je travaille du lundi au vendredi, j’arrive le matin vers 8h45 et repars le soir vers 17h30. Il y a pire » nous explique-t-elle, « mais l’association me prend 5 à 6 heures chaque semaine, sans compter ce qui relève de ma vie privée ». Lorsqu’elle décide de se lancer dans sa formation Cécile le sait : « ce sont des conditions qui demandent une véritable organisation ».

[À lire : Pour réussir ses études en ligne, l’organisation, c’est la clé]

Comment se former en parallèle d’un emploi ?

Profiter de la flexibilité matérielle

Le mot d’ordre lorsque l’on veut se lancer dans une formation avec un emploi du temps serré : fle-xi-bi-li-té

Il y a un côté pratique dans les formations OpenClassrooms, car on a juste besoin d’un peu de temps, d’un ordinateur portable et d’une connexion Internet.

Un point de départ intéressant pour Cécile, car si ces simples conditions sont réunies, elle peut profiter de n’importe quel créneau de temps libre pour se former. Qu’elle soit chez elle ou en déplacement.

Allonger la durée de formation

Prolongée, une formation se retrouve découpée en séances de travail plus courtes, et donc, plus faciles à caser dans un emploi du temps chargé.

Comment ? Il suffit de nous demander, et si besoin, demander aux organismes financeurs.

Je suis financée par mon OPCO et j’avais des heures CPF à disposition. Normalement la formation de Community Manager dure un an, mais j’ai pu étendre la limite. J’ai choisi de faire la formation sur deux ans.

Tirer parti de la flexibilité du mentor

Comme les étudiants, les mentors n’ont qu’un objectif en tête : votre réussite. « Je suis suivie par une mentor bienveillante et compréhensive qui sait toujours s’adapter en cas de retard ou imprévu » nous explique Cécile, « C’est d’ailleurs le cas avec un projet que je mène en ce moment, j’ai dépassé ma date de rendu prévisionnelle que je m’étais fixée, mais nous avons trouvé une solution ». Quel que soit la formation, vous trouverez toujours en cas de pépin une oreille attentive et un mentor compréhensif.  

Des conseils pour celles et ceux qui hésitent ?

J’ai toujours été passionnée par les réseaux sociaux et le web . J’ai découvert le community management à travers mes activités de bénévole. Je ne pensais pas que ça pourrait devenir mon métier, mais dans le numérique tout évolue très vite.

Cécile a bien conscience des nombreuses portes qui s’offrent à elle. « Dans les formations OpenClassrooms, on commence tous par apprendre à apprendre, à se remettre dans une posture d’apprentissage », poursuit-elle, « c’est une notion que l’on perd effectivement avec le temps, mais qui est pourtant essentielle en phase de reconversion. Un bon point de départ, car aujourd’hui j’aime apprendre, et je me dis que si je devais me lancer dans une nouvelle formation, je le ferais sans problème ». Elle en profite au passage pour adresser trois conseils aux étudiants dans la même situation qu’elle :

  • Donnez-vous du temps : « c’est important pour réussir. Dans mon cas je sentais bien qu’il serait compliqué de m’en tenir à une année, deux c’est parfait. Si je termine avant, ce sera tant mieux ».
  • Préparez bien votre planning : « le genre d’outil indispensable pour trouver son équilibre entre la quantité de travail à faire et les deadlines à respecter ».
  • Prenez de l’avance dès que possible : « cela permet d’anticiper les difficultés, mieux gérer les retards et surtout de terminer plus vite ».

Pour répondre à la question : non, étudier et travailler à plein-temps est loin d’être impossible. Les formations en ligne sont d’une flexibilité telle qu’elles peuvent s’adapter à la plupart des agendas, même les plus chargés. 

Une heure par-ci, une heure par-là, plus deux-trois chaque week-end. Voire plus quand il ne fait pas beau.

À l’arrivée, cela permet à Cécile de se dégager plus d’une dizaine d’heures de formation par semaine. Ajoutez à cela un mentor, des organismes financeurs compréhensifs et vous avez toutes les clés en main pour mener votre nouvelle double (ou triple) vie.

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Trailblazers: A night of talks in partnership with The Macallan

Curators David Biello and Chee Pearlman host TED Salon: Trailblazers, in partnership with The Macallan, at the TED World Theater in New York City on June 27, 2019. (Photo: Photo: Ryan Lash / TED)

The event: TED Salon: Trailblazers, hosted by TED design and arts curator Chee Pearlman and TED science curator David Biello

When and where: Thursday, June 27, 2019, at the TED World Theater in New York City

The partner: The Macallan

Music: Sammy Rae & The Friends

The talks in brief:

Marcus Bullock, entrepreneur and justice reform advocate

  • Big idea: Over his eight-year prison sentence, Marcus Bullock was sustained by his mother’s love — and her photos of cheeseburgers. Years later, as an entrepreneur, he asked himself, “How can I help make it easier for other families to deliver love to their own incarcerated loved ones?”
    Communicating with prisoners is notoriously difficult and dominated by often-predatory telecommunications companies. By creating Flikshop — an app that allows inmates’ friends and families to send physical picture postcards into prison with the ease of texting — Marcus Bullock is bypassing the billion-dollar prison telecommunications industry and allowing hundreds of thousands of prisoners access to the same love and motivation that his mother gave him.
  • Quote of the talk: “I stand today with a felony, and just like millions of others around the country who also have that ‘F’ on their chest, just as my mom promised me many years ago, I wanted to show them that there was still life after prison.”

“It’s always better to collaborate with different communities rather than trying to speak for them,” says fashion designer Becca McCharen-Tran. She speaks at TED Salon: Trailblazers, in partnership with The Macallan, at the TED World Theater, June 27, 2019, New York, NY. (Photo: Ryan Lash / TED)

Becca McCharen-Tran, founder and creative director of bodywear line CHROMAT

  • Big idea: Fashion designers have a responsibility to create inclusive designs suited for all gender expressions, ages, ability levels, ethnicities and races — and by doing so, they can shatter our limited definition of beauty.
    From day one in school, fashion designers are taught to create for a certain type of body, painting “thin, white, cisgender, able-bodied, young models as the ideal,” says fashion designer Becca McCharen-Tran. This has made body-shaming a norm for so many who strive to assimilate to the illusion of perfection in fashion imagery. McCharen-Tran believes creators are responsible for reimagining and expanding what a “bikini body” is. Her swimwear focused clothing line CHROMAT celebrates beauty in all its forms. They unapologetically counter the narrative through inclusive, explosive designs that welcome all of the uniqueness that comes with being a human.
  • Quote of the talk: “Inclusivity means nothing if it’s only surface level … who is making the decisions behind the scenes is just as important. It’s imperative to include diverse decision-makers in the process, and it’s always better to collaborate with different communities rather than trying to speak for them.”

Amy Padnani, editor at the New York Times (or, as some of her friends call her, the “Angel of Death”)

  • Big idea: No one deserves to be overlooked in life, even in death.
    Padnani created “Overlooked,” a New York Times series that recognizes the stories of dismissed and marginalized people. Since 1851, the newspaper has published thousands of obituaries for individuals like heads of state and celebrities, but only a small amount of those obits chronicled the lives of women and people of color. With “Overlooked,” Padnani forged a path for the publication to right the wrongs of the past while refocusing society’s lens on who’s considered important. Powerful in its ability to perspective-shift and honor those once ignored, “Overlooked” is also on track to become a Netflix series.
  • Fun fact: Prior to Padnani’s breakout project, the New York Times had yet to publish obituaries on notable individuals in history such as Ida B. Wells, Sylvia Plath, Ada Lovelace and Alan Turing.

Sam Van Aken shares the work behind the “Tree of 40 Fruit,” an ongoing series of hybridized fruit trees that grow multiple varieties of stone fruit. He speaks at TED Salon: Trailblazers, in partnership with The Macallan, at the TED World Theater, June 27, 2019, New York, NY. (Photo: Ryan Lash / TED)

Sam Van Aken, multimedia contemporary artist, art professor at Syracuse University in New York and creator of the Tree of 40 Fruit

  • Big idea: Many of the fruits that have been grown in the US were originally brought there by immigrants. But due to industrialization, disease and climate change, American farmers produce just a fraction of the types available a century ago. Sam Van Aken has hand-grafted heirloom varieties of stone fruit — peaches, plums, apricots, nectarines and cherries — to make the “Tree of 40 Fruit.” What began as an art project to showcase their multi-hued blossoms has become a living archive of rare specimens and their histories; a hands-on (and delicious!) way to teach people about conservation and cultivation; and a vivid symbol of the need for biodiversity in order to ensure food security. Van Aken has created and planted his trees at museums and at people’s homes, and his largest project to date is the 50-tree Open Orchard — which, in total, will possess 200 varieties originated or historically grown in the region — on Governor’s Island in New York City.
  • Fun fact: One hundred years ago, there were over 2,000 varieties of peaches, nearly 2,000 varieties of plums, and nearly 800 named apple varieties grown in the United States.
  • Quote of the talk: “More than just food, embedded in these fruit is our culture. It’s the people who cared for and cultivated them, who valued them so much that they brought them here with them as a connection to their homes, and it’s the way they passed them on and shared them. In many ways, these fruit are our story.”

Removing his primetime-ready makeup, Lee Thomas shares his personal story of living with vitiligo. He speaks at TED Salon: Trailblazers, in partnership with The Macallan, at the TED World Theater, June 27, 2019, New York, NY. (Photo: Ryan Lash / TED)

Lee Thomas, broadcast journalist

  • Big idea: Despite having a disease that left him vulnerable to stares in public, Lee Thomas discovered he could respond to ignorance and fear with engagement and dialogue.
    As a news anchor, Lee Thomas used makeup to hide the effects of vitiligo, an autoimmune disorder that left large patches of his skin without pigmentation. But without makeup, he was vulnerable to derision — until he decided to counter misunderstanding with eye contact and conversation. Ultimately, an on-camera story on his condition led him to start a support group and join others in celebrating World Vitiligo Day.
  • Quote of the talk: “Positivity is something worth fighting for — and the fight is not with others, it’s internal. If you want to make positive changes in your life, you have to consistently be positive.”

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Euro area unemployment at 7.5%

The euro area (EA19) seasonally-adjusted unemployment rate was 7.5% in May 2019, down from 7.6% in April 2019 and from 8.3% in May 2018. This is the lowest rate recorded in the euro area since July 2008. The EU28 unemployment rate was 6.3% in May 2019, down from 6.4% in April 2019 and from 6.9% in May 2018. This is the lowest rate recorded in the EU28 since the start of the EU monthly unemployment series in January 2000.

Immobilier-danger.com : Hypothèque : solution de garantie d'un prêt immobilier

Lorsque vous souhaitez acheter un appartement ou une maison avec un crédit immobilier, la banque va très probablement vous demander de souscrire une garantie. Elle veut s'assurer que dans le cas où vous ne payez pas vos mensualités d'emprunt, elle pourra retrouver son argent.

Il existe plusieurs solutions pour garantir un prêt immobilier. Parmi les plus courantes, il existe la possibilité de prendre une hypothèque sur la maison ou l'appartement que vous financez avec ce crédit.

Sur cette page, nous allons décrypter tout ce qui concerne cette hypothèque :

-Définition d'une hypothèque.

-Conservation des hypothèques

-Différents frais à payer à la souscription ou à la levée

-Hypothèque, caution ou PPD ?

Qu’est-ce que la démarche Scrum ?

Les origines de la démarche Scrum

À l’origine de la démarche Scrum, le terme “Agile” qui désigne une approche moderne de la gestion de projet via un développement itératif. Cette méthode est née dans les années 50 aux États-Unis.

Les bases du cadre Scrum, “mêlée” en anglais, ont été introduites en 1986 par Hirotaka Takeuchi et Ikujiro Nonaka dans un article publié par The Harvard Business Review. 

Les auteurs ont utilisé des métaphores sportives pour décrire deux approches différentes de la gestion du développement de produits. 

Selon eux, certaines équipes sont comme des coureurs dans un relai, se passant le témoin en ligne droite. D’autres équipes sont des joueurs de rugby jouant ensemble la même partie, évoluant en va-et-vient selon les besoins.

Ils ont conclu que l’approche de course à relais était obsolète alors celle du rugby donnerait les clés pour faire face à un contexte de plus en plus concurrentiel. Le Scrum était né.

[À découvrir : notre formation certifiante Scrum Master].

En résumé :

  • Agile : ensemble de méthodes et pratiques qui permettent de développer un produit ou un service informatique de manière empirique. La méthode Agile permet de résoudre des problèmes complexes, en les divisant en des tâches individuelles, en les priorisant et en les répartissant à chaque membre compétent d’une équipe. Les grands principes sont exposés dans le Manifeste Agile.
  • Le Scrum : cadre (Framework en anglais) de gestion de projet qui est utilisé pour implémenter la méthode Agile. C’est le “cadre” le plus apprécié.   

Pour nous éclairer sur cette méthode, deux experts : Arnaud Lissajoux, scrum master,  formateur aux métiers du numérique et créateur de la certification française chez OpenClassrooms (Formation Scrum Master, 3 cours et 3 projets) et Michel Chan, managing consultant chez Tenzing conseil et utilisateur de la démarche Scrum.

“Le Scrum repose sur trois piliers : transparence, adaptation et inspection en continu. L’adaptation, c’est la capacité à pivoter, délayer une fonctionnalité obsolète, ou valoriser rapidement une nouvelle innovation. La transparence, c’est lorsque toute le monde comprend ce qu’il faut faire et que la communication est bonne.– Arnaud

Comment utiliser le Scrum ? Le déroulé des opérations

L’enjeu de Scrum est, selon le site Scrum.org, de “résoudre des problèmes complexes dans un environnement dynamique, productif et créatif, tout en créant des produits à forte valeur ajoutée”

Résumé du modèle Scrum

© Arnaud Lissajoux et OpenClassrooms

Le matériel

Nul besoin d’équipements sophistiqués pour débuter avec le Scrum.

Un simple outil pour organiser ses pensées suffit. Celui-ci peut tout aussi être un logiciel comme Trello (outil de gestion de projet en ligne qui permet d’implémenter le Scrum) ou n’importe quel tableau, feuille etc. On a coutume de penser aux post-its quand on parle d’atelier scrum, et en effet, ils sont utiles.

L’équipe

Une équipe Scrum compte rarement plus d’une dizaine de personne

Au-delà, la productivité et la vitesse déclinent et il est préférable de scinder le groupe en deux équipes Scrum.

Au sein de celle-ci il faut désigner deux rôles : le Product Owner et le Scrum Master (ou facilitateur agile)

Le Product Owner représente les intérêts du client. Il définit les fonctionnalités du produit final, il est Monsieur “quoi”. Le Scrum Master aide l’équipe à résoudre les difficultés pour arriver à l’objectif final, il est Monsieur “comment”. Pour les amateurs du genre, il est en quelque sorte le Maître du jeu : il guide les joueurs mais ne participe pas de manière opérationnelle.

Le Backlog

Le Product Owner est responsable du Backlog (le carnet du produit), ce qui implique qu’il valide tout ce qui pourrait y être inclus. 

Pour cela, une conception préalable, centrée sur l’utilisateur, rend possible son analyse du parcours et des retours de clients afin de bien contextualiser les besoins

Puis il consigne et priorise les récits utilisateurs (décrivent avec précision le contenu des fonctionnalités à développer) ainsi que les spécificités du produit dans le Backlog. 

Exemple : si on utilisait le Scrum pour créer un bateau, une des tâches prioritaires du Product Owner serait : “doit avoir une coque”.

Le Sprint

Une fois le Backlog défini, les Sprints entrent en jeu. Ce sont les intervalles de temps pendant lesquels l’équipe complète un certain nombre de tâches du Backlog. En moyenne, le “sprint” dure deux semaines. 

Pour suivre l’avancée de la réalisation des tâches du Backlog pendant le Sprint, on utilise un tableau : c’est là que les informations sont centralisées, affichées et accessibles en permanence.

Exemple : L’équipe Scrum est évaluée sur sa capacité à accomplir les tâches du Backlog sur la période du Sprint (1, 2, 3 ou 4 semaines fixée(s) par l’équipe pour toute la gestion du projet).

Le “Daily Scrum” 

La clé de la rapidité réside dans la communication entre les membres de l’équipe, notamment sur les obstacles rencontrés mais aussi les progrès. 

C’est pour cette raison que l’équipe se retrouve en “Daily Scrum”, littéralement la “mêlée quotidienne”, une réunion où chacun fait part aux autres de son avancement. 

Le format ? Chaque jour à la même heure pendant 15 minutes.

Le contenu ? Chaque membre répond à trois questions

Qu’ai-je fait hier ?
Qu’est-ce que je dois faire aujourd’hui ?
Quelles sont les difficultés que je dois affronter ?

Le but de ce point n’est pas de vérifier ce qui a été fait ou non puisque tout peut être consulté dans le tableau central. Celui-ci sert à déceler des difficultés et à aider les membres de l’équipe. Le Scrum Master doit alors jouer son rôle de Monsieur “Comment” et trouver des solutions. Le Scrum master peut mesurer la pertinence de ces réunions en demandant aux participant(e)s de prendre quelques minutes afin de noter chaque daily scrum à main levée (de 1 à 5, technique Return On Time Invested).

 “Sprint review” et “Sprint restropective”

Chaque période de sprint s’achève avec deux bilans qui permettent de partager les retours d’expérience de chacun et de préparer le prochain sprint.

Le premier est la Sprint review dédiée au “quoi” : animée par le Product Owner (le fameux Monsieur quoi), il s’agit d’une revue de qui a été fait. Celle-ci s’accompagne souvent d’une démonstration produit, ou d’une présentation des améliorations.

Le second est la Sprint retrospective consacré au “comment”. L’équipe doit réfléchir aux obstacles de la dernière période, des points faibles et des points forts. Le Scrum Master joue le modérateur. Si besoin, il veille à recentrer la réunion sur les points d’amélioration à mettre en œuvre pour la suite.

Enfin, l’équipe met à jour le Backlog et planifie le prochain sprint.

Dans quel cas utiliser le Scrum ? 

Retours d’expériences : La démarche Scrum est utilisée par des développeurs ou des ingénieurs pédagogiques pour développer des sites internet, des applications mobiles…

  • Arnaud pour sa dernière mission en tant que Scrum Master a développé un logiciel SaaS et une application mobile, permettant de créer et diffuser des fictions interactives. 
  • Michel contribue à une mission Scrum depuis un an pour un client dans le secteur de la banque-assurance. Ici, la démarche diffère de la méthode classique, car il est le chef de projet de l’équipe Scrum, un rôle qui n’existe pas normalement. Le projet nécessite l’intégration d’un certain nombre de produits d’assurance. La méthode Scrum permet d’intégrer et de délivrer de la valeur après chaque sprint, au fur et à mesure des produits et des fonctionnalités destinés aux clients, alors que pour un projet classique “en silo” la livraison ne se ferait qu’au terme de l’intégration d’un produit.

Quels en sont les avantages et inconvénients de la démarche Scrum ?

Les avantages :

  • Une gestion intelligente du travail qui engendre plus d’efficacité et de productivité
  • Une meilleure visibilité et communication des équipes sur les sujets en cours
  • La valorisation et autonomie de chaque membre du groupe 
  • Une cohésion d’équipe, une réflexion constante pour dépasser les difficultés
  • Une meilleure performance, “La vitesse et la qualité du travail des agences agiles, sont bien au-dessus de celles qui ne le sont pas” – Arnaud (source Annual State of Agile Report)
  • La vélocité (définition ici). C’est l’idée de dire que l’équipe est capable de faire une certaine quantité de travail en un temps donné, plus que de prédire une date finale de livraison.

Les inconvénients ou difficultés :

  • Il est nécessaire d’être extrêmement rigoureux sur la mise en place et le suivi.
  • La méconnaissance des méthodes agiles en général au sein de l’organisation. Certains professionnels croient notamment qu’on peut faire plus de choses avec le Scrum, qu’on peut ajouter une tâche facilement avec une flexibilité maximale. Or, avec la méthode Scrum, c’est la même roadmap et les mêmes objectifs, mais surtout une manière différente de travailler.

Comment débuter un framework Scrum ?

Une journée pour l’apprendre, des années pour le maîtriser”.

C’est une phrase très connue au sein des utilisateurs de Scrum. C’est un peu comme le poker, les règles s’acquièrent facilement, mais savoir y jouer vraiment nécessite de la pratique. 

Quelques conseils pour vous guider :

  • Apprendre le jargon (Scrum Master, Sprint, Backlog etc.)
  • Lire avec attention le guide officiel de Scrum développé par Ken Schwaber et Jeff Sutherland
  • Choisir le bon Scrum Master, comme le conseille Arnaud : “Un bon facilitateur aura déjà eu un rôle de designer, de développeur… Donc une expertise métier assez forte.”
  • Adapter le framework Scrum quand c’est nécessaire. Pour sa dernière mission, Arnaud a constitué une équipe de développeurs qui travaillent à distance: “L’ensemble des rituels Scrum a eu lieu en visioconférence. On privilégie traditionnellement un environnement de travail physique pour le Scrum, mais aujourd’hui, il faut continuer à s’adapter”
    « La culture agile doit être déjà en place dans l’entreprise pour qu’il n’y ait pas de problème entre la compréhension de l’agile et son appropriation.” – Miche
  • Il faut toujours chercher de la valeur pour le client. À chaque sprint, il faut chercher à ajouter de nouvelles fonctionnalités au produit.” – Michel
  • Ne pas modifier la roadmap tout le temps. “Ce n’est pas dérangeant de revoir l’objectif final notamment le Product Owner est d’accord, mais il faut que cela soit fait en concertation et pas remis en cause toutes les deux semaines.” – Michel
  • Créer le Backlog et et planifier le sprint. Quelques exemples de Backlog pour débutants : 12 Kanban Board Examples for beginners et Tutoriel pour débuter avec la méthode Scrum sur Trello
  • Garder à l’esprit que le but de Scrum n’est pas de travailler plus mais plus efficacement et en synergie avec son équipe. L’idée est d’éviter les latences entre deux tâches (la fameuse métaphore de l’attente du bâton lors du relais).

Sources :

L’article Qu’est-ce que la démarche Scrum ? est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.

How has the EU progressed towards the Sustainable Development Goals?

Sustainable development aims to achieve a continuous improvement in citizens’ quality of life and well-being, without compromising the well-being of future generations. This involves the pursuit of economic progress, while safeguarding the natural environment and promoting social justice.

Euro area annual inflation stable at 1.2%

Euro area annual inflation is expected to be 1.2% in June 2019, stable compared to May, according to a flash estimate from Eurostat, the statistical office of the European Union.

Comment grandir en tant que mentor ?

Depuis quelques années, le mentorat prend une place de plus en plus prégnante dans la vie de l’entreprise : accompagnement, mutualisation des compétences, hyperconnectivité, partage de savoir-faire, les bénéfices sont nombreux.

Chez OpenClassrooms, chaque étudiant est suivi par un mentor tout au long de son parcours et jusque dans sa recherche d’emploi. Les fonctions du mentor sont multiples et l’échange se fait dans les deux sens, comme la trajectoire de Jordane Lacroix en témoigne.

[Vous aussi, postulez en tant que mentor]

Venu au mentorat de façon naturelle

Jordane, mentor depuis 3 ans au sein de l’école en ligne OpenClassrooms, est spécialisé dans le design UX/UI et le front-end : “J’ai une formation de communication visuelle. Aujourd’hui le design est une spécialité qui s’étend dans beaucoup de domaines, on est amené à toucher au code si on fait du design d’interface par exemple. J’interviens sur la formation développeur web car les premiers projets sont consacrés à la partie front-end, et sur la formation UX design qui est sorti récemment.”

Jordane se dit touché par les valeurs de pédagogie et de transmission, il donne le sentiment d’avoir toujours accompagné son entourage quand il le pouvait. Il raconte : “Le mentorat, c’est une longue histoire pour moi car en soi, j’ai le sentiment d’en faire depuis toujours. À l’adolescence, au début de l’informatique, j’ai été amené à dépanner des proches puis par bouche-à-oreille, on m’a recommandé dans des cercles de plus en plus élargis pour donner des cours sur Photoshop et en html/css ».

J’ai vite constaté que la pédagogie était un domaine qui me plaisait, l’idée de transmettre, d’aider… Je trouve cela important.

Une mission bien précise…

Chez OpenClassrooms, le mentor joue un rôle central dans le parcours des étudiants qui effectuent leur apprentissage à distance et donc en autonomie.

Ma mission est de donner des pistes et de répondre à des problématiques que les apprenants rencontrent pendant la semaine. Ils sont souvent seuls face à leur projet donc j’interviens parfois pour les recadrer quand ils s’écartent un peu trop du sujet.

Il prend aussi pour mission de préparer les étudiants à leur insertion sur le marché du travail à l’issue de leur formation : “J’essaie aussi toujours d’anticiper l’après OpenClassrooms et donc d’imaginer les attentes d’un recruteur ou d’un potentiel client. À partir du brief initial, il m’arrive d’apporter des éléments nouveaux pour permettre à l’étudiant d’aller plus loin s’il le souhaite. À court terme, c’est la réussite au jury qui importe mais ensuite je sais qu’on va les attendre au tournant, donc il m’importe de les préparer à rencontrer des personnes qui seront peut-être beaucoup plus exigeantes ou sévères”.

Les étudiants se posent beaucoup de questions quant à leur insertion sur le marché du travail : est-ce que je vais devenir freelance, est-ce que je vais intégrer une agence ? On discute, j’essaye de les aiguiller là-dessus.

Et des qualités particulières à avoir

Lorsque l’on demande à Jordane quelle est la qualité indispensable à acquérir pour être un bon mentor, il répond immédiatement l’empathie. « Je pense que l’empathie est indispensable pour se mettre à la portée de chacun ».

En même temps, il faut trouver le bon curseur entre l’empathie et la nécessité de recadrer et tirer vers le haut. Tout doit être dit mais avec bienveillance, pour ne pas braquer l’apprenant.

« La pédagogie évidemment est le cœur de la mission, c’est important pour faire passer des notions compliquées. Par exemple, j’utilise souvent des analogies ou des images dans d’autres domaines que l’informatique pour expliquer quelque chose d’abstrait.” 

Le mentor est aussi là pour motiver les étudiants, les rassurer et leur donner confiance : “Certains étudiants partent de loin donc il ne faut pas oublier de les encourager régulièrement. Parfois, on va avoir tendance à comparer le rendu de projet d’un apprenant par rapport à un autre alors que ce qui est intéressant et ce qu’il faut regarder ce sont les trajectoires et progrès individuels.”

Un échange à double sens

Comme l’explique Jordane, le mentor n’est pas un professeur donc il n’y a pas de rapport de hiérarchie et finalement l’échange se fait dans les deux sens.

Le mentorat est tout aussi bénéfique pour le mentor lui-même :

Pour moi, c’est un peu un laboratoire, cette expérience de mentorat.

« Il y a des risques que je ne peux pas forcément prendre sur des projets clients, par manque de temps ou d’opportunité ».

Le fait de tester des choses avec les étudiants me permet de continuer à apprendre, à expérimenter.

« J’ai aussi des élèves qui me présentent parfois des outils que je ne connais pas, même si j’essaye de faire de la veille régulièrement donc c’est très enrichissant car je les intègre ensuite dans mon travail au quotidien.” 

En tant que mentor, il est en effet indispensable de rester à jour dans son domaine d’expertise, ce qui permet de se lancer des défis : “On n’a pas toujours la réponse immédiatement aux questions des étudiants mais ce qui me plaît c’est de rester toujours proactif, d’aller chercher des données sur le terrain. Par exemple, aux États-Unis, ils sont en avance sur certains sujets. Donc, je regarde souvent des vidéos, des articles en anglais pour rester à jour et apporter aux étudiants les dernières technologies ou méthodes qui arrivent sur le marché pour qu’ils soient le plus compétitifs possibles face aux recruteurs ensuite. Cela permet de rester à l’écoute aussi de mon côté et de me former constamment aux nouveautés.”

Dans une autre mesure, l’expérience de mentorat de Jordane a eu des répercussions très positives pour lui dans la gestion de son activité. Il explique : “Je bénéficie aussi de la bonne image d’OpenClassrooms parce que cela parle à beaucoup de personnes ».

Dans ma profession, ce rôle de mentor m’a ouvert énormément de portes, des nouveaux contrats, un réseau. J’ai eu le sentiment d’être plus légitime dans mon domaine et donc d’avoir plus confiance en moi ensuite.

« Le fait de devoir communiquer très souvent avec les apprenants, on acquiert cette soft skill qui est très importante. Cela permet d’être ensuite moins réservé dans d’autres cercles professionnels. J’ai la certitude qu’aujourd’hui je communique globalement mieux et cela m’a beaucoup aidé. Le mentorat m’a donné un nouvel élan, c’est très positif.”

La mentorat relaté par Jordane s’apparente finalement à une expérience positive et enrichissante à bien des égards, basée sur des valeurs de respect et de bienveillance. Et vous, seriez-vous prêt à mettre votre expertise au service des étudiants OpenClassrooms ?

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Interview : que recherchent les recruteurs chez les candidats Tech ?

Nicolas Macherey a fondé WakeOnWeb en 2015. Implantée sur trois sites à Paris, Lyon et Aix-en-Provence, cette entreprise de près de 40 salariés conçoit des solutions numériques et technologiques sur-mesure pour les entreprises.

Pour conserver leur expertise face aux changements permanents du monde du numérique, les professionnels de la Tech doivent rester en veille permanente et être curieux des dernières innovations. C’est ce que nous explique Nicolas au travers de sa propre expérience.

Un processus de recrutement ouvert

WakeOnWeb est une société encore jeune, qui a connu des hauts et des bas. S’il y a eu un peu plus de turn-over lors des périodes de creux, aujourd’hui les équipes sont bien en place, soudées et compétentes.

La stratégie de recrutement de Nicolas ? Miser sur la diversité : “J’ai fait un pari en fondant WakeOnWeb, car c’est difficile d’être bien formé sur toutes les technologies. »

Alors, j’ai employé des gens qui étaient soit des développeurs expérimentés, soit des passionnés autodidactes. Certains n’avaient même pas le bac ou étaient de jeunes diplômés tout juste sortis  d’école. Ils avaient l’avantage d’être encore modelables.

« Personnellement, je connais les formations en ligne OpenClassrooms depuis le début, mais je laisse les gens choisir leur formation lorsqu’ils font leur contrat de professionnalisation ou leur formation continue. J’ai eu beaucoup d’alternants qui venaient de formations différentes : SupInfo, écoles d’ingé, OpenClassrooms…

Bien que les compétences techniques soient indispensables pour proposer la meilleure expertise aux entreprises, Nicolas valorise d’autres éléments aussi  : “Nous sommes une société de service donc nous devons nous adapter aux circonstances du client et dans ce contexte, être capables de monter en compétences rapidement, de s’adapter, de rebondir. C’est très important quelles que soient les bases techniques que l’on a eues au départ. C’est pour cette raison que je valorise les profils variés. »

Je n’ai pas d’a priori, je ne regarde jamais les CV avant de faire entrer les candidats en entretien, que je juge d’abord sur leurs valeurs humaines.

« Puis dans un deuxième temps, ils passent un test de personnalité et un test technique qui est adapté en fonction du profil. On ne donnera pas le même test à un architecte développeur qu’à un junior en reconversion par exemple. »

Un apprentissage permanent

Les technologies du numérique sont en constante évolution et de plus en plus nombreuses.

Pour rester compétitifs, les professionnels de la tech n’ont d’autre choix que de continuer à apprendre et à se former tout au long de leur carrière.

Nicolas croit aux vertus de la formation interne et externe :

Notre métier est d’apporter l’innovation technologique dans les entreprises donc si on n’encourage pas la formation continue auprès de nos collaborateurs, on se laisse dépasser très rapidement.

« Au sein de WakeOnWeb, on a un programme de formation interne qui est encadré par nos architectes. Le marché évolue constamment, donc on sélectionne avec nos collaborateurs les technologies qu’on trouve   intéressantes à connaître et maîtriser. Le but n’est pas de devenir spécialiste de tout non plus, on évalue de façon concrète l’expertise qui est la plus pertinente pour nous.”

Incorporer la formation au sein de l’entreprise demande une organisation du travail adaptée, qui peut sembler complexe à mettre en place à première vue.

Cependant, elle représente indéniablement un investissement sur le long terme.

Lorsqu’on sélectionne une nouvelle technologie, on laisse les employés se dégager du temps pour se former à partir des ressources ou des outils qu’ils choisissent, en échange de quoi ils rédigent une présentation ou un article qui peut être profitable à tous sur la techno en question.

« Cela représente un coût mais c’est indispensable dans notre domaine. Par conséquent, nous avons mis en place ce système en début d’année et nous verrons si cela perdure”, explique Nicolas.

Quel que soit le langage informatique que l’on maîtrise le mieux, ce qui est inhérent à tous les métiers du numérique est la curiosité d’apprendre perpétuellement pour rester innovant. Finalement, c’est sans doute la qualité première recherchée par les recruteurs dans le domaine, à l’image de Nicolas.

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Three quarters of all trips by EU residents are within their own country

In 2017, EU residents made 1.3 billion trips with overnight stays that amounted to almost 6.4 billion nights. The average trip length was 5.1 nights. Compared with 2016, the number of tourism trips by EU residents increased by 4%. Three quarters (73%) of all trips were spent within the country of residence (domestic trips), while one quarter (27%) were abroad (outbound trips), of which 21% to other EU countries and 6% to destinations outside the EU.

The threat from terrorism in the EU became more complex in 2018

In 2018, terrorism continued to represent a major security threat in EU Member States. Horrific attacks killed thirteen people and injured many more. A stark increase in the number of arrests linked to right-wing extremism, although still relatively low, indicates that extremists of diverging orientation increasingly consider violence as a justified means of confrontation. Compared to 2017, the number of attacks and victims in the EU dropped significantly. However, the number of disrupted jihadist terrorist plots increased substantially.

Operation Goldfinger tackles crime group from the Western Balkans

Today, the Copenhagen Special Investigation Unit of the Danish Police (Dansk Politi), arrested 31 individuals of a large, poly-criminal organisation, which smuggled, sold and distributed firearms and drugs throughout the EU. They are charged with the smuggling and distribution of 1.650 kg of cocaine. The Danish Police searched houses in 40 locations and huge amounts of narcotics, firearms and cash were found. The investigation was carried out in cooperation with law enforcement organisations from Germany, the Netherlands, Slovenia, Sweden as well as Albania.

Book thieves - 15 suspects arrested in Romania and the United Kingdom

On 25 June, the Romanian National Police, British Metropolitan Police and Italian Carabinieri, with the support of Europol and Eurojust, disrupted a criminal organisation involved in organised thefts and trafficking in cultural goods.
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