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À partir d’avant-hierDivers

FS-ISAC and Europol Partner to Combat Cross-Border Cybercrime

The Financial Services Information Sharing and Analysis Center (FS-ISAC) and Europol’s European Cybercrime Centre (EC3) today announced a partnership to combat cybercrime within the European financial services sector. The purpose of the MOU will be to facilitate and enhance the law enforcement response to financially motivated cybercriminals targeting banks and other financial institutions through a symbiotic intelligence-sharing network.

Trash worth millions of euros

It's well known there's always two sides of a story, if not more, but we all agree that waste management is an important issue as waste has a huge negative impact on the natural environment. On the top of that, as a business worth billions of euros, waste management has given criminal networks the opportunity to diversify their activities and infiltrate the economy. The large quantity of waste left over from industry production processes in Europe is feeding a growing demand for waste disposal services.

Production in construction down by 0.7% in euro area

In July 2019 compared with June 2019, seasonally adjusted production in the construction sector decreased by 0.7% in the euro area (EA19) and by 0.1% in the EU28, according to first estimates from Eurostat, the statistical office of the European Union. In June 2019, production in construction increased by 0.6% in the euro area and by 0.1% in the EU28.

Annual inflation stable at 1.0% in the euro area

The euro area annual inflation rate was 1.0% in August 2019, stable compared to July. A year earlier, the rate was 2.1%. European Union annual inflation was 1.4% in August 2019, stable compared to July. A year earlier, the rate was 2.2%. These figures are published by Eurostat, the statistical office of the European Union.

Le parcours de Julie : d’autodidacte à développeuse web en alternance

C’est après plusieurs expériences professionnelles variées qu’à 25 ans, Julie Pilarski décide de suivre enfin le chemin de sa passion : l’informatique et plus précisément le développement web. Elle démarre une formation au sein de l’école en ligne OpenClassrooms, qu’elle poursuit actuellement en alternance grâce à un contrat professionnel. Entre théorie, mise en pratique et apprentissage, voici le parcours riche de Julie.

Quand la passion ressurgit

Julie est passionnée d’informatique depuis très jeune. “Dès que j’ai eu mon premier ordinateur”, précise t-elle. “J’ai toujours appris en autodidacte les rudiments de l’informatique. J’ai pris l’habitude de rendre service autour de moi, dans ma famille, auprès de mes amis qui avaient besoin de résoudre un problème.” Après l’obtention de son bac, Julie démarre donc naturellement un BTS en informatique : “J’ai appris quelques bases pour la création de sites internet, j’ai été initiée à certains langages informatiques. Cela m’a vraiment plu. Malheureusement, les circonstances ont fait que je n’ai pas pu terminer cette formation.” Poussée par les événements de la vie comme elle le dit, Julie obtient son BAFA et devient finalement animatrice périscolaire et en centres de loisirs. Cette expérience dure quatre ans.

Pour autant, Julie ne perd pas de vue le domaine dans lequel elle souhaiterait toujours réellement évoluer : “C’est au cours d’un rendez-vous avec ma conseillère de la mission locale, que j’ai évoqué à nouveau la volonté de revenir à ma passion. Étant à l’aise dans le domaine, j’envisageais de me lancer en maintenance informatique. C’est à ce moment-là que l’on m’a parlé d’OpenClassrooms et la possibilité de se faire financer une formation par la région. Deux jours après, j’avais une réponse positive pour commencer un parcours diplômant. Comme j’attendais cela depuis longtemps, j’étais confiante de démarrer une formation où il fallait être relativement autonome et motivée.” Malgré tout, la formation nécessite de l’organisation : “Au-delà des langages informatiques, la formation m’a aussi permis de développer mon organisation. J’ai dû trouver mon rythme, apprendre à m’auto-gérer, me motiver sans m’écoeurer. C’est vraiment un équilibre à trouver.

Une vidéo originale pour trouver une alternance

Julie a donc démarré la formation de développeur web en octobre 2018. “J’ai commencé par un programme de trois mois intitulé OpenDeclic, puis je suis passée en contrat professionnel. Il a donc fallu trouver une entreprise pour poursuivre le financement de la formation un an de plus.” 

Depuis plusieurs années, Julie anime la chaîne Youtube Ysoh autour de sa passion pour l’high tech, la 3D et les jeux vidéo. Elle poste régulièrement des vidéos à ses 1500 abonnées autour de ces thèmes. “Ma coach OpenClassrooms a vu que j’étais à l’aise devant la caméra et qu’il y avait un potentiel à exploiter. Elle m’a donc proposé de faire une vidéo de présentation pour trouver mon alternance. L’objectif était vraiment de rester moi-même et de faire ressortir ma personnalité. J’ai utilisé un fond vert pour recréer un style un peu futuriste. La vidéo a suscité beaucoup de partages sur LinkedIn avant même qu’elle ne soit publiée officiellement sur Youtube et c’est de cette façon que mon employeur actuel m’a contactée”, raconte Julie.

Une développeuse web en devenir

Depuis mai, Julie est en entreprise 4 jours par semaine et en formation le reste du temps. “J’ai été recrutée par le réseau d’entreprises Lab’Science. Ils sont spécialisés dans la réalisation de mobilier clés en main pour les laboratoires, les chambres froides, etc. Ils étaient à la recherche d’un community manager, qui aurait aussi des compétences en développement pour la création de sites Internet. Ils m’ont proposé le poste, en précisant que j’aurais donc également à gérer les réseaux sociaux de l’entreprise.” 

Julie fait figure d’experte et travaille donc en totale autonomie au sein de l’entreprise puisqu’elle est la seule à avoir des compétences poussées en informatique. “Mon responsable donne son avis en terme de communication et je me charge de la partie technique et de la création des outils. La partie réseaux sociaux est en plus, j’apprends sur le tas et c’est une dimension intéressante aussi, même si à terme c’est vraiment le développement web pur sur lequel je souhaite me concentrer.” L’entreprise pour laquelle Julie travaille envisage de la garder à l’issue de son diplôme. Même si elle ne fait pas que du développement, Julie apprécie son cadre de travail : “L’avantage, c’est qu’on ne m’impose pas de contrainte de temps, je peux donc travailler à mon rythme. C’est souple, je peux même être en télétravail. Et comme il y a plusieurs sièges partout en France, je pourrais aussi décider de changer de locaux, par exemple. Nous verrons donc où j’en serai dans un an.

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À terme, Julie aimerait faire ses armes dans des agences web, où elle pourrait trouver une émulation au sein d’une équipe de passionnés comme elle. Avant pourquoi pas de s’installer en freelance, une fois qu’elle aura un portfolio rempli de projets convaincants. Quoi qu’il arrive, elle est définitivement sur sa lancée.

L’article Le parcours de Julie : d’autodidacte à développeuse web en alternance est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.

29 arrests in France and Spain in a migrant smuggling case

The Spanish National Police (Policía Nacional) and the French National Police (Police Nationale), supported by Europol, dismantled a large poly-criminal network involved in migrant smuggling, trafficking of human beings and drug trafficking. 

En quoi consiste vraiment le métier de data analyst ?

De plus en plus d’entreprises se dotent d’une équipe data aujourd’hui. Le data analyst est le maillon de la chaîne qui rassemble les données pertinentes et les fournit aux équipes qui en ont besoin. Les enjeux sont nombreux pour interpréter, comparer, comprendre et donc ajuster un service ou un produit.

Kévin est data analyst depuis sept mois au sein de la start-up Spendesk. À la croisée entre code, statistiques et business, il nous raconte son métier.

Un profil polyvalent

J’ai un profil un peu atypique dans le domaine de la data. Je me suis d’abord formé comme ingénieur, puis j’ai obtenu un double diplôme avec une école de commerce.

J’ai toujours été attiré par l’informatique et la technologie. Durant mon cursus universitaire, j’ai souvent choisi les options qui s’en rapprochaient le plus.

Mes expériences professionnelles étaient davantage tournées vers la finance, puisque j’ai réalisé des stages dans des fonds d’investissement destinés aux start-up. Plus particulièrement, les start-up qui s’intéressaient justement à la gestion de la donnée.

Mon premier vrai contact avec la data a eu lieu au cours d’un autre stage de quelques mois au sein de la BNP. C’était différent de ce que je fais aujourd’hui, puisque c’était un grand groupe et ma mission en tant que stagiaire était toute relative, mais j’avais néanmoins une position équivalente à celle d’un data architect. 

Ce sont ces stages qui m’ont donné envie de travailler au sein d’une start-up. Je pensais que la data serait un bon moyen de mettre à profit mes capacités d’analyse et les compétences acquises en école d’ingénieur. La data est un secteur en plein essor, les données sont partout, il y en a de plus en plus et c’est un enjeu énorme que de savoir les analyser correctement. Particulièrement pour des jeunes entreprises qui démarrent, qui ont besoin de recul et de références chiffrées. C’est pour cela qu’il y a également des outils de plus en plus puissants qui sont développés, ce que je trouve très intéressant. 

À l’issue de mes études, je tenais donc à travailler au sein d’une start-up. Je voulais vraiment voir croître une entreprise et prendre part à cette évolution. Je cherchais un poste avec un minimum de technique, tout en sachant que je ne suis pas développeur non plus.

Au fil de mes recherches, il est apparu que le métier de data analyst me correspondait bien et que de plus en plus d’entreprises cherchaient à se constituer une équipe data.

C’est la raison pour laquelle je pense que même en tant que junior, et sans trop d’expérience en data, j’ai pu trouver un poste. Le marché est très ouvert actuellement. Même aujourd’hui en étant en poste, il m’arrive de recevoir des offres. Les opportunités se multiplient dans ce secteur.

Des journées au rythme des demandes et des besoins

Depuis sept mois, je suis donc chez Spendesk en tant que data analyst. C’est une start-up qui a été créée il y a un peu plus de trois ans et qui propose aux entreprises de prendre en charge la gestion de leurs dépenses. La mission est de simplifier tout le processus de gestion comptable. À mon arrivée, nous étions 55 employés et aujourd’hui nous sommes plus d’une centaine. La start-up se porte bien et elle est soutenue par un gros fond d’investissement européen. 

Ma principale mission en tant que data analyst est de faire en sorte que les équipes aient accès aux données dont elles ont besoin.

Je travaille donc aussi bien avec l’équipe produit, que l’équipe ventes, l’account manager, l’équipe financière ou même les fondateurs lorsqu’il faut remonter certaines informations générales sur l’entreprise. C’est très transversal. Je me dois de transmettre de la donnée qui soit valable donc vérifiée et pertinente au regard de la problématique de l’équipe qui fait la demande. 

Mon travail s’organise principalement autour de plusieurs axes. 

Tout d’abord, je travaille sur les tableaux de bord des différentes équipes : cela consiste à mettre à disposition des chefs d’équipe les Indicateurs clés de performance (KPI en anglais). Ces indicateurs sont des données, que l’on définit ensemble et qui permettent ensuite de se positionner stratégiquement pour un objectif donné, comme améliorer la satisfaction client, générer du trafic, ou augmenter ses ventes, par exemple. 

En collaboration avec le data ingénieur et le data scientist, nous travaillons aussi sur les infrastructures, pour les optimiser au maximum les outils dont nous nous servons. Il arrive aussi que je travaille sur des analyses plus ouvertes afin de soumettre des rapports aux équipes. Dans ce cas, c’est à moi d’aller chercher la data que je pense pertinente pour essayer de comprendre pourquoi un client n’utilise plus tel outil par exemple, et ensuite faire les recommandations nécessaires. À ce niveau, on croise aussi bien des données qualitatives en interviewant le client et des données quantitatives grâce au GRC (l’ensemble des outils de la gestion de relation client).

Nous sommes une équipe data de cinq personnes : deux data analysts, un data scientist, un data ingénieur qui s’occupe de l’architecture et une personne qui supervise l’équipe qui a aussi un rôle de data architect.

Les journées et les semaines sont assez variables en fonction des projets en cours. Néanmoins, il y a toujours un moment dans la journée que je dédie aux requêtes au sein de l’entreprise.

J’essaye aussi régulièrement d’échanger avec les chefs d’équipe pour discuter autour de leur tableau de bord, voir comment le mettre à jour et l’optimiser. Ensuite, je dois délimiter aussi des temps sans interaction où je me concentre vraiment sur les analyses

En ce moment par exemple, nous travaillons à mettre en place un nouveau tableau de bord pour l’équipe support. C’est l’équipe qui répond aux questions des entreprises clients. L’objectif est de savoir si nous sommes suffisamment efficaces dans les retours que nous faisons aux clients, de comprendre pourquoi un outil est plus utilisé qu’un autre, de savoir quel pourcentage de support, d’aide on apporte à nos gros clients par rapport aux plus petits, pour ensuite équilibrer nos services.

Des défis en constante évolution

Le vrai défi dans l’analyse est de conserver un esprit critique et une rigueur dans ce qu’on présente.

Il faut réussir à pousser suffisamment loin pour pouvoir tirer des conclusions qui ont du sens. Dans un deuxième temps, il faut s’assurer que la personne à qui est adressée l’analyse puisse la comprendre et s’y référer. Tout l’enjeu est vraiment de mettre en place les outils nécessaires pour que les équipes puissent ensuite être les plus autonomes possible. C’est la dimension qui est particulièrement enthousiasmante pour moi dans ce métier, car on se doit d’être curieux et de comprendre le métier de chacun pour être le plus pertinent possible et anticiper les besoins

Je pense qu’à terme, l’équipe data va grossir et se structurer davantage. Chaque data analyst pourra alors avoir une spécialité, il y en aura un qui travaillera pour la partie produit, un autre pour les ventes par exemple, en ayant un vrai domaine d’expertise chacun. Ce sont les perspectives d’évolution que j’imagine. Comme le métier change beaucoup en ce moment, j’essaye régulièrement de déjeuner avec les équipes data d’autres start-up à Paris. Nous discutons de comment est structurée leur équipe, de nos problématiques communes, ou des nouveaux outils.

Ensuite, au sein de ma boîte, nous prenons aussi le temps de nous former régulièrement aux nouveaux logiciels. Je dirais que c’est finalement la curiosité qui est la qualité principale à cultiver en tant que data analyst, au-delà des exigences techniques du métier. 

L’article En quoi consiste vraiment le métier de data analyst ? est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.

Transform: The talks of TED@DuPont

Hosts Briar Goldberg and David Biello open TED@DuPont at The Fillmore, September 12, 2019, in Philadelphia, Pennsylvania. (Photo: Ryan Lash / TED)

Transformation starts with the spark of something new. In a day of talks and performances about transformation, 16 speakers and performers explored exciting developments in science, technology and beyond — from the chemistry of everyday life to innovations in food, “smart” clothing, enzyme research and much more.

The event: TED@DuPont: Transform, hosted by TED’s David Biello and Briar Goldberg

When and where: Thursday, September 12, 2019, at The Fillmore in Philadelphia, PA

Music: Performances by Elliah Heifetz and Jane Bruce and Jeff Taylor, Matt Johnson and Jesske Hume

The talks in brief:

“The next time you send a text or take a selfie, think about all those atoms that are hard at work and the innovation that came before them,” says chemist Cathy Mulzer. She speaks at TED@DuPont at The Fillmore, September 12, 2019, in Philadelphia, Pennsylvania. (Photo: Ryan Lash / TED)

Cathy Mulzer, chemist and tech shrinker

Big idea: You owe a big thank you to chemistry for all that technology in your pocket.

Why? Almost every component that goes into creating a superpowered device like a smartphone or tablet exists because of a chemist — not the Silicon Valley entrepreneurs that come to most people’s minds. Chemistry is the real hero in our technological lives, Mulzer says — building up and shrinking down everything from vivid display screens and sleek bodies to nano-sized circuitries and long-lasting batteries.

Quote of talk: The next time you send a text or take a selfie, think about all those atoms that are hard at work and the innovation that came before them.”


Adam Garske, enzyme engineer

Big Idea: We can harness the power of new, scientifically modified enzymes to solve urgent problems across the world.

How? Enzymes are proteins that catalyze chemical reactions — turning milk into cheese, for example. Through a process called “directed evolution,” scientists can carefully edit and design the building blocks of enzymes for specific functions — to help treat diseases like diabetes, reduce CO2 in our laundry, break down plastics in the ocean and more. Enzyme evolution is already changing how we tackle health and environmental issues, Garske says, and there’s so much more ahead.

Quote of the talk: With enzymes, we can edit what nature wrote — or write our own stories.”


Henna-Maria Uusitupa, bioscientist

Big idea: Our bodies host an entire ecosystem of microorganisms that we’ve been cultivating since we were babies. And as it turns out, the bacteria we acquire as infants help keep us healthier as adults. Henna-Maria Uusitupa wants to ensure that every baby grows a healthy microbiome.

How? Babies must acquire the right balance of microbes in their bodies, but they must also receive them at the correct stages of their lives. C-sections and disruptions in breastfeeding can throw a baby’s microbiome out of balance. With a carefully curated blend of probiotics and other chemicals, scientists are devising ways to restore harmony — and beneficial microbes — to young bodies.

Quote of the talk: “I want to contribute to the unfolding of a future in which each baby has an equal starting point to be programmed for life-long health.”


Leon Marchal, innovation director 

Big Idea: Animals account for 50 to 80 percent of antibiotic consumption worldwide — a major contributing factor to the growing threat of antimicrobial resistance. To combat this, farmers can adopt a number of practices — like balanced, antibiotic-free nutrition for animals — on their farms.

Why: The UN predicts that antimicrobial resistance will become our biggest killer by 2050. To prevent that from happening, Marchal is working to transform a massive global industry: animal feed. Antibiotics are used in animal feed to keep animals healthy and to grow them faster and bigger. They can be found in the most unlikely places — like the treats we give our pets. This constant, low-dose exposure could lead some animals to develop antibiotic-resistant bugs, which could cause wide-ranging health problems for animals and humans alike. The solution? Antibiotic-free production — and it all starts with better hygiene. This means taking care of animal’s good bacteria with balanced nutrition and alterations to the food they eat, to keep their microbiomes more resilient.

Quote of the talk: “We have the knowledge on how to produce meat, eggs and milk without or with very low amounts of antibiotics. This is a small price to pay to avoid a future in which bacterial infections again become our biggest killer.”


Physical organic chemist Tina Arrowood shares a simple, eco-friendly proposal to protect our freshwater resources from future pollution. She speaks at TED@DuPont at TED@DuPont at The Fillmore, September 12, 2019, in Philadelphia, Pennsylvania. (Photo: Ryan Lash / TED)

Tina Arrowood, physical organic chemist

Big idea: Human activity is a threat to freshwater rivers. We can transform that risk into an environmental and economic reward.

How? A simple, eco-friendly proposal to protect our precious freshwater resources from future pollution. We’ve had technology that purifies industrial wastewaters for the last 50 years. Arrowood suggests that we go a step further: as we clean our rivers, we can sell the salt byproduct as a primary resource — to de-ice roads and for other chemical processing — rather than using the tons of salt we currently mine from the earth.

Fun fact: If you were to compare the relative volume of ocean water to fresh river water on our planet, the former would be an Olympic-sized swimming pool — and the latter would be a one-gallon jug.


“Why not transform clothing and make it a part of our digitized world, in a manner that shines continuous light into our health and well-being?” asks designer Janani Bhaskar. She speaks at TED@DuPont at The Fillmore, September 12, 2019, in Philadelphia, Pennsylvania. (Photo: Ryan Lash / TED)

Janani Bhaskar, smart clothing designer

Big Idea: By designing “smart” clothing with durable technologies, we can better keep track of health and well-being.

How? Using screen-printing technology, we can design and attach biometric “smart stickers” to any piece of clothing. These stickers are super durable, Bhaskar says: they can withstand anything our clothing can, including workouts and laundry. They’re customizable, too — athletes can use them to track blood pressure and heart rate, healthcare providers can use them to remotely monitor vital signs, and expecting parents can use them to receive information about their baby’s growth. By making sure this technology is affordable and accessible, our clothing — the “original wearables” — can help all of us better understand our bodies and our health.

Quote of the talk: “Why not transform clothing and make it a part of our digitized world, in a manner that shines continuous light into our health and well-being?”


Camilla Andersen, neuroscientist and food scientist

Big idea: We can create tastier, healthier foods with insights from people’s brain activity.

How? Our conscious experience of food — how much we enjoy a cup of coffee or how sweet we find a cookie to be, for example — is heavily influenced by hidden biases. Andersen provides an example: after her husband started buying a fancy coffee brand, she conducted a blind taste test with two cups of coffee. Her husband described the first cup as cheap and bitter, and raved about the second — only to find out that the two were actually the same kind of coffee. The taste difference was the result of his bias for the new, fancy coffee — the very kind of bias that can leave food scientists in the dark when testing out new products. But there’s a workaround: brain scans that can access the raw, unfiltered, unconscious taste information that’s often lost in people’s conscious assessments. With this kind of information, Andersen says, we can create healthier foods without sacrificing taste — like creating a zero-calorie milkshake that tastes just like the original.

Fun fact: The five basic tastes are universally accepted: sweet, salty, sour, bitter and umami. But, based on evidence from Andersen’s EEG experiments, there’s evidence of a new sixth basic taste: fat, which we may sense beyond its smell and texture. 


“Science is an integral part of our everyday lives, and I think we’re only at the tip of the iceberg in terms of harnessing all of the knowledge we have to create a better world,” says enzyme scientist Vicky Huang. She speaks at TED@DuPont at The Fillmore, September 12, 2019, in Philadelphia, Pennsylvania. (Photo: Ryan Lash / TED)

Vicky Huang, enzyme scientist

Big idea: Enzymes are unfamiliar to many of us, but they’re far more important in our day-to-day lives than we realize — and they might help us unlock eco-friendly solutions to everything from food spoilage to household cleaning problems. 

How? We were all taught in high school that enzymes are a critical part of digestion and, because of that, they’re also ideal for household cleaning. But enzymes can do much more than remove stains from our clothes, break down burnt-on food in our dishwashers and keep our baguettes soft. As scientists are able to engineer better enzymes, we’ll be able to cook and clean with less energy, less waste and fewer costs to our environment.

Quote of the talk: “Everywhere in your homes, items you use every day have had a host of engineers and scientists like me working on them and improving them. Just one part of this everyday science is using enzymes to make things more effective, convenient and environmentally sustainable.”


Geert van der Kraan, microbe detective

Big Idea: We can use microbial life in oil fields to make oil production safer and cleaner.

How? Microbial life is often a problem in oil fields, corroding steel pipes and tanks and producing toxic chemicals like dihydrogen sulfide. We can transform this challenge into a solution by studying the clues these microbes leave behind. By tracking the presence and activity of these microbes, we can see deep within these undergrounds fields, helping us create safer and smoother production processes.

Quote of the talk: “There are things we can learn from the microorganisms that call oil fields their homes, making oil field operations just a little cleaner. Who knows what other secrets they may hold for us?”


Lori Gottlieb, psychotherapist and author

Big idea: The stories we tell about our lives shape who we become. By editing our stories, we can transform our lives for the better.

How? When the stories we tell ourselves are incomplete, misleading or just plain wrong, we can get stuck. Think of a story you’re telling about your life that’s not serving you — maybe that everyone’s life is better than yours, that you’re an impostor, that you can’t trust people, that life would be better if only a certain someone would change. Try exploring this story from another point of view, or asking a friend if there’s an aspect of the story you might be leaving out. Rather than clinging to an old story that isn’t doing us any good, Gottlieb says, we can work to write the most beautiful story we can imagine, full of hard truths that lead to compassion and redemption — our own “personal Pulitzer Prize.” We get to choose what goes on the page in our minds that shapes our realities. So get out there and write your masterpiece.

Quote of the talk: “We talk a lot in our culture about ‘getting to know ourselves,’ but part of getting to know yourself is to unknow yourself: to let go of the one version of the story you’ve told yourself about who you are — so you can live your life, and not the story you’ve been telling yourself about your life.”


“I’m standing here before you because I have a vision for the future: one where technology keeps my daughter safe,” says tech evangelist Andrew Ho. He speaks at TED@DuPont at The Fillmore, September 12, 2019, in Philadelphia, Pennsylvania. (Photo: Ryan Lash / TED)

Andrew Ho, tech evangelist

Big idea: As technological devices become smaller, faster and cheaper, they make daily tasks more convenient. But they can also save lives.

How? For epilepsy patients like Andrew Ho’s daughter Hilarie, a typical day can bring dangerous — or even fatal — challenges. Medical devices currently under development could reduce the risk of seizures, but they’re bulky and fraught with risk. The more quickly developers can improve the speed and portability of these devices (and other medical technologies), the sooner we can help people with previously unmanageable diseases live normal lives.

Quote of the talk: Advances in technology are making it possible for people with different kinds of challenges and problems to lead normal lives. No longer will they feel isolated and marginalized. No longer will they live in the shadows, afraid, ashamed, humiliated and excluded. And when that happens, our world will be a much more diverse and inclusive place, a better place for all of us to live.”


“Learning from our mistakes is essential to improvement in many areas of our lives, so why not be intentional about it in our most risk-filled activity?” asks engineer Ed Paxton. He speaks at TED@DuPont at The Fillmore, September 12, 2019, in Philadelphia, Pennsylvania. (Photo: Ryan Lash / TED)

Ed Paxton, aircraft engineer and safety expert

Big idea: Many people fear flying but think nothing of driving their cars every day. Statistically, driving is far more dangerous than flying — in part because of common-sense principles pilots use to govern their behavior. Could these principles help us be safer on the road?

How? There’s a lot of talk about how autonomous vehicles will make traffic safer in the future. Ed Paxton shares three principles that can reduce accidents right now: “positive paranoia” (anticipating possible hazards or mishaps without anxiety), allowing feedback from passengers who might see things you don’t and learning from your mistakes (near-misses caused by driving while tired, for example).

Quote of the talk:  “Driving your car is probably the most dangerous activity that most of you do … it’s almost certain you know someone who’s been seriously injured or lost their life out on the road … Over the last ten years, seven billion people have boarded domestic airline flights, and there’s been just one fatality.”


Jennifer Vail, tribologist

Big idea: Complex systems lose much of their energy to friction; the more energy they lose, the more power we consume to keep them running. Tribology — or the study of friction and things that rub together — could unlock massive energy savings by reducing wear and alleviating friction in cars, wind turbines, motors and engines.

How? By studying the different ways surfaces rub together, and engineering those surfaces to create more or less friction, tribologists can tweak a surprising range of physical products, from dog food that cleans your pet’s teeth to cars that use less gas; from food that feels more appetizing in our mouth to fossil fuel turbines that waste less power. Some of these changes could have significant impacts on how much energy we consume.

Quote of the talk: “I have to admit that it’s a lot of fun when people ask me what I do for my job, because I tell them: ‘I literally rub things together.'”

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Euro area job vacancy rate at 2.3%

The job vacancy rate in the euro area (EA19) was 2.3% in the second quarter of 2019, stable compared with the previous quarter and up from 2.1% in the second quarter of 2018, according to figures published by Eurostat, the statistical office of the European Union. In the EU28, the job vacancy rate was also 2.3% in the second quarter of 2019, stable compared with the previous quarter and up from 2.2% in the second quarter of 2018.

Tabletop Exercise at Europol on Terrorist Content Dissemination Online

On 11 September, the EU Internet Referral Unit (EU IRU) organised a tabletop exercise with EU Member States’ law enforcement authorities, third countries and online service providers (OSPs) at Europol’s headquarters, in The Hague, under the umbrella of the European Commission-led EU Internet Forum. 

Annual growth in labour costs at 2.7% in euro area

Hourly labour costs rose by 2.7% in the euro area (EA19) and by 3.1% in the EU28 in the second quarter of 2019, compared with the same quarter of the previous year. In the first quarter of 2019, hourly labour costs increased by 2.5% and 2.7% respectively. These figures are published by Eurostat, the statistical office of the European Union.

Euro area international trade in goods surplus €24.8 bn

The first estimate for euro area (EA19) exports of goods to the rest of the world in July 2019 was €206.5 billion, an increase of 6.2% compared with July 2018 (€194.5 bn). Imports from the rest of the world stood at €181.7 bn, a rise of 2.3% compared with July 2018 (€177.6 bn). As a result, the euro area recorded a €24.8 bn surplus in trade in goods with the rest of the world in July 2019, compared with +€16.9 bn in July 2018. Intra-euro area trade rose to €165.6 bn in July 2019, up by 1% compared with July 2018.

Border Stories: A night of talks on immigration, justice and freedom

Hosts Anne Milgram and Juan Enriquez kick off the evening at TEDSalon: Border Stories at the TED World Theater in New York City on September 10, 2019. (Photo: Ryan Lash / TED)

Immigration can be a deeply polarizing topic. But at heart, immigration policies and practices reflect no less than our attitude towards humanity. At TEDSalon: Border Stories, we explored the reality of life at the US-Mexico border, the history of the US immigration policy and possible solutions for reform — and investigated what’s truly at stake.

The event: TEDSalon: Border Stories, hosted by criminal justice reformer Anne Milgram and author and academic Juan Enriquez

When and where: Tuesday, September 10, 2019, at the TED World Theater in New York City

Speakers: Paul A. Kramer, Luis H. Zayas, Erika Pinheiro, David J. Bier and Will Hurd

Music: From Morley and Martha Redbone

A special performance: Poet and thinker Maria Popova, reading an excerpt from her book Figuring. A stunning meditation on “the illusion of separateness, of otherness” — and on “the infinitely many kinds of beautiful lives” that inhabit this universe — accompanied by cellist Dave Eggar and guitarist Chris Bruce.

“There are infinitely many kinds of beautiful lives,” says Maria Popova, reading a selection of her work at TEDSalon: Border Stories. (Photo: Ryan Lash / TED)

The talks in brief:

Paul A. Kramer, historian, writer, professor of history

  • Big idea: It’s time we make the immigration conversation to reflect how the world really works.
  • How? We must rid ourselves of the outdated questions, born from nativist and nationalist sentiments, that have permeated the immigration debate for centuries: interrogations of usefulness and assimilation, of parasitic rhetoric aimed at dismantling any positive discussions around immigration. What gives these damaging queries traction and power, Kramer says, is how they tap into a seemingly harmless sense of national belonging — and ultimately activate, heighten and inflame it. Kramer maps out a way for us to redraw those mental, societal and political borders and give immigrants access to the rights and resources that their work, activism and home countries have already played a fundamental role in creating.
  • Quote of the talk: “[We need] to redraw the boundaries of who counts — whose life, whose rights and whose thriving matters. We need to redraw … the borders of us.”

Luis H. Zayas, social worker, psychologist, researcher

  • Big idea: Asylum seekers — especially children — face traumatizing conditions at the US-Mexico border. We need compassionate, humane practices that give them the care they need during arduous times.
  • Why? Under prolonged and intense stress, the young developing brain is harmed — plain and simple, says Luis H. Zayas. He details the distressing conditions immigrant families face on their way to the US, which have only escalated since children started being separated from their parents and held in detention centers. He urges the US to reframe its practices, replacing hostility and fear with safety and compassion. For instance: the US could open processing centers, where immigrants can find the support they need to start a new life. These facilities would be community-oriented, offering medical care, social support and the fundamental human right to respectful and dignified treatment.
  • Quote of the talk: “I hope we can agree on one thing: that none of us wants to look back at this moment in our history when we knew we were inflicting lifelong trauma on children, and that we sat back and did nothing. That would be the greatest tragedy of all.”

Immigration lawyer Erika Pinheiro discusses the hidden realities of the US immigration system. “Seeing these horrors day in and day out has changed me,” she says. (Photo: Ryan Lash / TED)

Erika Pinheiro, nonprofit litigation and policy director

  • Big idea: The current US administration’s mass separations of asylum-seeking families at the Mexican border shocked the conscience of the world — and the cruel realities of the immigration system have only gotten worse. We need a legal and social reckoning.
  • How? US immigration laws are broken, says Erika Pinheiro. Since 2017, US attorneys general have made sweeping changes to asylum law to ensure fewer people qualify for protection in the US. This includes all types of people fleeing persecution: Venezuelan activists, Russian dissidents, Chinese Muslims, climate change refugees — the list goes on. The US has simultaneously created a parallel legal system where migrants are detained indefinitely, often without access to legal help. Pinheiro issues a call to action: if you are against the cruel and inhumane treatment of migrants, then you need to get involved. You need to demand that your lawmakers expand the definition of refugees and amend laws to ensure immigrants have access to counsel and independent courts. Failing to act now threatens the inherent dignity of all humans.
  • Quote of the talk: “History shows us that the first population to be vilified and stripped of their rights is rarely the last.”

David J. Bier, immigration policy analyst

  • Big idea: We can solve the border crisis in a humane fashion. In fact, we’ve done so before.
  • How? Most migrants who travel illegally from Central America to the US do so because they have no way to enter the US legally. When these immigrants are caught, they find themselves in the grips of a cruel system of incarceration and dehumanization — but is inhumane treatment really necessary to protect our borders? Bier points us to the example of Mexican guest worker programs, which allow immigrants to cross borders and work the jobs they need to support their families. As legal opportunities to cross the border have increased, the number of illegal Mexican immigrants seized at the border has plummeted 98 percent. If we were to extend guest worker programs to Central Americans as well, Bier says, we could see a similar drop in the numbers of illegal immigrants.
  • Quote of the talk: “This belief that the only way to maintain order is with inhumane means is inaccurate — and, in fact, the opposite is true. Only a humane system will create order at the border.”

“Building a 30-foot-high concrete structure from sea to shining sea is the most expensive and least effective way to do border security,” says Congressman Will Hurd in a video interview with Anne Milgram at TEDSalon: Border Stories. (Photo: Ryan Lash / TED)

Will Hurd, US Representative for Texas’s 23rd congressional district

  • Big idea: Walls won’t solve our problems.
  • Why? Representing a massive district that encompasses 29 counties and two times zones and shares an 820-mile border with Mexico, Republican Congressman Will Hurd has a frontline perspective on illegal immigration in Texas. Legal immigration options and modernizing the Border Patrol (which still measures their response times to border incidents in hours and days) will be what ultimately stems the tide of illegal border crossings, Hurd says. Instead of investing in walls and separating families, the US should invest in their own defense forces — and, on the other side of the border, work to alleviate poverty and violence in Central American countries.
  • Quote of the talk: “When you’re debating your strategy, if somebody comes up with the idea of snatching a child out of their mother’s arms, you need to go back to the drawing board. This is not what the United States of America stands for. This is not a Republican or a Democrat or an Independent thing. This is a human decency thing.”

Juan Enriquez, author and academic

  • Big idea: If the US continues to divide groups of people into “us” and “them,” we open the door to inhumanity and atrocity — and not just at our borders.
  • How? Countries that survive and grow as the years go by are compassionate, kind, smart and brave; countries that don’t govern by cruelty and fear, says Juan Enriquez. In a personal talk, he calls on us to realize that deportation, imprisonment and dehumanization aren’t isolated phenomena directed at people crossing the border illegally but instead things are happening to the people who live and work by our sides in our communities. Now is the time to stand up and do something to stop our country’s slide into fear and division — whether it’s engaging in small acts of humanity, loud protests in the streets or activism directed at enacting legislative or policy changes.
  • Quote of the talk: “This is how you wipe out an economy. This isn’t about kids and borders, it’s about us. This is about who we are, who we the people are, as a nation and as individuals. This is not an abstract debate.”

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Industrial production down by 0.4% in euro area

In July 2019 compared with June 2019, seasonally adjusted industrial production fell by 0.4% in the euro area (EA19) and by 0.1% in the EU28, according to estimates from Eurostat, the statistical office of the European Union. In June 2019, industrial production fell by 1.4% in both the euro area and EU28.

Regional diversity in the EU – how does your region compare?

Is it easier to find a job in your region than in other regions of the European Union (EU)? Is the median age of the population higher or lower than elsewhere in the EU? What are the main business activities of your region? How much money is invested in research and innovation? Is your region richer than others? Which region has the highest internet use?

Operational Centre at Europol: 30 countries team up to combat crime in the Western Balkans

The Joint Action Day (JAD) Western Balkans 2019 is an international operation, involving 6 758 law enforcement officers: 6 708 officers on the ground and 50 officers in the Operational Centre at Europol’s headquarters.

Philip, de tourneur-fraiseur à administrateur réseau

« Pas si simple à 18 ans de choisir sa voie, une carrière, un métier ».

Philip Dumet s’est lancé dans la vie active un peu précipitamment après avoir raté son bac une première fois. Il a ensuite exercé un métier contraignant pendant plusieurs années, dans lequel il savait qu’il ne pourrait pas évoluer.

Il décide alors de prendre un autre chemin. Aujourd’hui, il termine la formation administrateur infrastructure et cloud de l’école en ligne OpenClassrooms et s’apprête à ouvrir un nouveau chapitre de sa vie professionnelle, dans un secteur qui lui correspond parfaitement.

Un début de carrière comme tourneur-fraiseur

Indécis au lycée, Philip fait le choix de commencer à travailler très tôt. “J’ai passé un bac STG mécanique que j’ai raté la première fois puis obtenu l’année suivante en candidat libre. À ce moment-là, je ne savais pas vraiment quelle direction prendre professionnellement, c’était encore un peu tôt”, explique t-il.

Après son premier échec au bac, il est embauché dans une entreprise comme opérateur sur commande numérique : “J’étais tourneur-fraiseur, c’est-à-dire que je réalisais des pièces en série sur des machines. Ensuite, je contrôlais les pièces, je réalisais des programmes informatiques également ».

« C’était un métier très répétitif, avec des horaires contraignants, que j’ai fait malgré tout pendant 5 ans en intérim ».

Philip est conscient que sans autre diplôme que son bac, il aura peu de perspectives d’évolution dans cette entreprise. Même chose s’il veut se reconvertir dans un domaine qui lui plaît davantage.

Des formations manquées puis la bonne formule

Au bout de ces cinq ans comme tourneur-fraiseur, j’ai décidé de me lancer et j’ai essayé de faire plein de petites formations. À ce moment-là, mon idée était de devenir automaticien ».

« Seulement, à chaque fois que j’envisageais une formation, il y avait toujours un pépin au dernier moment et la formation n’avait finalement pas lieu. J’ai perdu quasiment deux ans de cette façon ».

Débrouillard en informatique, Philip a quelques compétences dont il se sert sur son temps libre. C’est de cette façon qu’il découvre les formations diplômantes en ligne proposées par OpenClassrooms : “Depuis toujours, je bidouillais en informatique et j’avais pris l’habitude d’aller sur le site d’OpenClassrooms lorsque j’avais un problème que je n’arrivais pas à résoudre. Je suivais les cours gratuits. Alors, quand j’ai vu les formations diplômantes qu’ils proposaient, à distance et avec un mentor, j’ai réalisé que c’était la formule qui me correspondait tout à fait pour me former.

Selon lui, ce sont les conditions d’apprentissage idéales et le parfait compromis compte tenu du secteur d’activité dans lequel il souhaite désormais évoluer.

Avec juste le bac en poche, il m’aurait fallu au moins deux ans pour commencer de zéro dans n’importe quel autre cursus. Or, financièrement, ce n’était pas forcément envisageable.

Philip se lance donc avec OpenClassrooms et choisit la formation Administrateur infrastructure & cloud. “J’ai pu me permettre de faire les six premiers mois du parcours à plein temps, j’ai donc avancé rapidement au début. Puis, j’ai eu besoin de retravailler, ce qui a un peu ralenti la formation mais c’était malgré tout faisable. Je pense qu’en faisant quelques sacrifices et avec la motivation, c’est une formation vraiment accessible en un an. Il y a des moments plus compliqués que d’autres mais c’est très épanouissant.

Administrateur réseau : un métier d’avenir

La formation est complète et permet à Philip d’acquérir de nombreuses compétences indispensables pour être crédible sur le marché du travail :

« Je suis capable de blacklister un serveur, j’ai tout appris à propos des réseaux, des adresses IP, de la virtualisation, je peux réaliser de la documentation technique et des procédures. J’ai également été initié à la gestion de projets et sensibilisé à la sécurité informatique ».

À l’issue de la formation, Philip a le choix entre réaliser un projet ou un stage. “J’ai choisi de réaliser un stage de deux mois. J’ai senti que c’était nécessaire pour que je gagne en confiance”.

L’histoire est belle puisqu’il fait ce stage au sein de l’entreprise pour laquelle il travaillait auparavant comme tourneur-fraiseur. Au département informatique cette fois.

« Ils ont été ravis de m’accueillir comme administrateur réseau, étant donné que je connaissais déjà l’entreprise ».

« Et pour moi, c’était aussi l’occasion de découvrir une autre facette de cette boîte pour laquelle j’avais travaillé pendant plusieurs années.”

Fraîchement diplômé, Philip est désormais à la recherche d’un emploi. “Idéalement, j’aimerais travailler dans un environnement de type data center, car cela m’intéresse beaucoup. Je pense que la sécurité informatique est aussi une problématique en plein boom actuellement : l’administrateur système peut couvrir cette dimension également.

Fort de nouvelles connaissances, Philip voit l’administration de réseau comme un métier d’avenir : “L’administrateur est garant du système d’informations de l’entreprise. Il doit s’assurer que le réseau est fonctionnel pour l’ensemble des employés, il forme les utilisateurs au matériel informatique, s’occupe des sauvegardes, de l’installation et de la maintenance des machines ».

« Ce sont des missions très variées au quotidien, qui sont devenues des piliers indispensables dans quasiment toutes les entreprises aujourd’hui ».

Philip est ainsi la preuve qu’avec une bonne dose de motivation et la formation adéquate, de tourneur-fraiseur à administrateur réseau, il n’y a finalement qu’un pas.

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Europe’s second-largest counterfeit currency network on the dark web taken down in Portugal

The Portuguese Judicial Police (Polícia Judiciária) dismantled Europe’s second-largest counterfeit currency network on the dark web with Europol’s support. Five individuals have been arrested and are accused of counterfeiting and organised crime. Counterfeit banknotes were seized across Europe, notably in France, Germany, Spain and Portugal, worth over € 1.3 million.

Un jour dans la peau d’un Community Manager

Modération de commentaires, animation de pages Facebook, rédaction de tweets, création des contenus pour un fil Instagram, pilotage d’une chaîne Twitter ou de listes Pinterest… A quoi ressemble la journée d’un Community manager ? 

Claire Abrieux Georges, 33 ans, community manager & Webmaster à la Bibliothèque nationale de France, nous plante le décor d’une journée typique dans son boulot.

9h – 10h

Dès mon arrivée au bureau, je commence par faire le tour des comptes dont je m’occupe : la page Facebook, le compte Twitter, le compte Instagram et la chaîne YouTube.

A la Bnf, la plupart de nos publications ont une longue traîne : elles enregistrent encore des visualisations et des réactions jusqu’à quinze jours après avoir été publiées. C’est assez rare, sachant que sur Facebook un post lambda a une durée de vie d’un jour ! Sur nos pages, les gens remontent le fil d’actualités.

Je réponds au fur et à mesure aux nouveaux commentaires. En plus de proposer du contenu, nos réseaux sociaux servent de relais au public de la bibliothèque : les internautes nous écrivent via Messenger et posent des questions d’ordre pratique sur les fiches Google. Leur répondre est une priorité et rentre dans ma routine quotidienne.

Après ce petit tour des réseaux, je vérifie et je mets à jour le calendrier éditorial.

Celui-ci est très mouvant, et des nouvelles publications peuvent s’y greffer au dernier moment. Je commence ensuite à préparer les tweets de la journée et je poste ce qui doit doit l’être.

Chaque réseau a son propre rythme de publication, avec des horaires et des fils conducteurs différents.

Nous publions sur Instagram tous les jours, selon un programme préparé le lundi pour toute la semaine. Je travaille avec une photographe professionnelle de la BnF pour les visuels, car nous essayons d’avoir une vision esthétique de nos collections.

Sur Facebook, nous publions une à deux fois par jour et nous faisons souvent des Lives. J’ai un stock de sujets préparés à l’avance et un fil conducteur, mais j’adapte aussi beaucoup en fonction de l’actualité. Sur Twitter, c’est plutôt en illimité et au jour le jour. Je prépare parfois des “threads”, soit des séries de tweets publiés à la suite pour développer une histoire. Sur notre chaîne YouTube, les publications sont plus espacées car elles dépendent de la production vidéo de la Bnf.

Ce qui compte aujourd’hui, c’est surtout la diffusion de l’information : pour qu’elle soit visible, il faut qu’elle soit reprise, relayée et commentée.

10h – 12h

Pendant le reste de ma matinée, je rédige ou réécris du contenu pour les réseaux.

C’est le moment idéal pour préparer les publications un peu plus compliquées, qui demandent de la recherche d’informations en interne notamment.

Il n’est pas rare que j’adapte des contenus fournis par nos experts. A la BnF, il existe de nombreuses collections d’ouvrages, auxquelles sont rattachés des services dédiés. Dans chaque service, un contributeur nous relaie des contenus à adapter pour les réseaux. Cela demande non seulement un travail de coordination mais aussi de “vulgarisation” de concepts parfois techniques.

Chaque communauté est différente. La nôtre est curieuse et pose souvent des questions pointues, qui concernent la conservation des ouvrages, par exemple.

Pour y répondre, je me mets en contact avec les spécialistes de la BnF. Notre public est passionné d’art et intrigué par la variété de ressources que nous mettons à disposition ; c’est pour cela que nous recevons très peu de commentaires violents ou haineux.

14h – 16h

Après le déjeuner, c’est le moment des réunions. Avec les membres de mon équipe, nous échangeons et nous répartissons les sujets à rédiger. Nous parlons aussi planning, débroussaillons les calendriers éditoriaux et proposons de nouveaux sujets susceptibles d’intéresser notre communauté.

Je travaille en équipe avec une autre Community Manager, un Webmaster, une photographe, et j’échange régulièrement avec les CM d’autres services de la BnF qui s’occupent des comptes Gallica (la bibliothèque numérique) et RetroNews (les archives presse).

Les réunions sont aussi l‘occasion de faire remonter certaines décisions à ma hiérarchie.

En tant que CM, je suis en lien direct avec le public et chaque réponse que je fournis sur les réseaux sociaux engage la responsabilité de l’établissement tout entier. La réputation de la BnF passe largement par le Community Management !

16h – 18h

En fin d’après-midi, je poursuis mes recherches d’informations et je fais de la veille pour relever les sujets d’actualité. Je programme également les posts qui seront publiés en dehors de mes horaires de bureau, le matin très tôt par exemple. En même temps, j’ai des tâches d’intégration à assurer sur le site Internet.

L’animation de nos comptes s’enrichit également de nombreuses collaborations, toutes passionnantes : nous préparons par exemple des posts croisés avec le Musée du Louvre, la British Library… Le foisonnement de sujets est tel qu’aucune de mes journées ne se ressemble.

Cela demande beaucoup de flexibilité : je jongle entre les échanges de contenus en interne, les partenariats et les réponses au public, sans compter les imprévus et les posts de dernière minute.

Mon travail est tout sauf monotone et j’adore ça.

Week-end et soirées

En général, je ne travaille pas en dehors de mes horaires de bureau. C’est une situation assez rare dans le monde du Community Management.

Si vous êtes freelance ou travaillez en entreprise, vous n’échapperez pas au travail en soirée et le week-end ! Mais je pense qu’il faut savoir “débrancher” de temps en temps pour prendre du recul sur ce qu’on fait.

Il m’arrive tout de même de couvrir un bon nombre d’événements organisés par la Bnf. En soirée, nous relatons sur les réseaux les séances des Trésors de Richelieu, pendant lesquelles un conservateur montre et explique au public un ouvrage exceptionnel. Lors des Journées du Patrimoine, je suis mobilisée tout le week-end : j’assure des visites guidées en direct avec une caméra, je fais des stories sur Instagram en direct de la bibliothèque…

Dans ces moments-là, on est 100% concentré à la fois sur ce qui se passe sur place et sur les retours de la communauté en ligne. J’essaie d’enrichir le débat, tout en relayant les questions posées par les internautes aux experts sur place. Un exercice incontournable pour un CM.

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Immobilier-danger.com : Le garant : élément clé pour une location de logement

Avant de mettre en location un appartement ou une maison, un propriétaire bailleur va chercher à s'assurer que le locataire choisi limitera les risques d'impayés de loyer et de charges.

Pour cela, il va sélectionner les meilleurs dossiers en fonction des revenus et de la situation du locataire. Mais il va également très probablement vouloir un garant qui se porte caution en cas de manquement aux obligations de celui-ci.

Nous verrons qu'avoir un garant solide est un atout majeur pour battre vos concurrents dans votre dépôt de dossier pour une location de logement. Nous expliquerons en quoi cela consiste d'être garant d'une location.

Enfin, nous constaterons qu'il n'y a pas qu'une personne physique de votre entourage qui peut tenir ce rôle de caution financière. Plusieurs solutions alternatives sérieuses existent : Visale pour une garantie par l'État, une caution bancaire ou encore la souscription à un garant en ligne.

Au sommaire de cette page :

- 1. Pas de garant, pas de location ?

- 2. Se porter garant : quels documents ? À quoi cela engage ?

- 3. Organismes et sociétés pour garantir votre logement

GDP up by 0.2% and employment up by 0.2% in the euro area

GDP growth in the euro area and EU28 Seasonally adjusted GDP rose by 0.2% in both the euro area (EA19) and the EU28 during the second quarter of 2019, compared with the previous quarter, according to an estimate published by Eurostat, the statistical office of the European Union. In the first quarter of 2019, GDP had grown by 0.4% in the euro area and by 0.5% in the EU28.

Immobilier-danger.com : Taux de prêt immobilier en septembre 2019

Traditionnellement c'est très calme au niveau de l'évolution des taux de crédit immobilier durant les mois de juillet et août. Il n'en a rien été en 2019. En effet, comme vous allez le voir dans cette analyse des taux de prêt immobilier en septembre 2019, les dernières statistiques montrent encore des baisses de taux cet été.

Les emprunteurs avec les meilleurs dossiers ont notamment vu les meilleurs taux fortement baisser durant ces dernières semaines. Il est alors d'autant plus intéressant de soigner son dossier de financement pour un achat immobilier ou un rachat de crédit.

Au sommaire de cette page :

- 1. Les statistiques sur les taux des crédits signés en août

- 2. Le comparatif des taux immobiliers moyens en septembre

- 3. Les meilleurs taux et comment les obtenir

- 4. Des taux bientôt sous les 1.00 % en moyenne ?

Mise à jour : découvrez les taux de crédit immobilier en octobre 2019.

For people under 75, two deaths out of three in the EU could have been avoided

In the European Union (EU), about 1.7 million persons aged less than 75 died in 2016. Among them, around 1.2 million deaths could be considered as premature according to the recently developed Eurostat-OECD list of avoidable mortality. Out of those, 741 000 preventable deaths could have been avoided through effective public health and primary prevention interventions, and 422 000 treatable deaths through timely and effective health care interventions.

Maxime Renahy : DGSE : l’impuissance de l’état ?

Thinkerview diffusé en direct le 3 septembre 2019

Volume of retail trade down by 0.6% in euro area

In July 2019 compared with June 2019, the seasonally adjusted volume of retail trade fell by 0.6% in the euro area (EA19) and by 0.5% in the EU28, according to estimates from Eurostat, the statistical office of the European Union. In June 2019, the retail trade volume increased by 1.2% in the euro area and by 1.3% in the EU28.

Industrial producer prices up by 0.2% in euro area

In July 2019, compared with June 2019, industrial producer prices rose by 0.2% in the euro area (EA19) and by 0.3% in the EU28, according to estimates from Eurostat, the statistical office of the European Union. In June 2019, prices decreased by 0.6% in the euro area and by 0.7% in the EU28.

Portrait de Claire-Émilie, mentor en marketing

Claire-Émilie Lecocq est mentor au sein de la formation responsable marketing au sein de l’école en ligne OpenClassrooms. Nous sommes allés à sa rencontre pour en savoir plus sur ses motivations et son approche de cet accompagnement sur-mesure.

Comment et pourquoi es-tu devenue mentor pour OpenClassrooms ?

Je m’intéressais à toutes les problématiques de l’éducation et c’est grâce à des portes ouvertes OpenClassrooms que j’ai découvert ce principe de parcours diplômant et de mentorat. J’y ai vu une occasion de diversifier mes missions car la plupart du temps je travaille pour des start-up au niveau stratégique et opérationnel. 

En quoi cela consiste et qu’est-ce que cela t’apporte ?

Le mentor guide et oriente les élèves. Le but est de leur donner une idée de la réalité du marketing au-delà de la théorie des cours.

Avoir ce rôle-là me permet de prendre du recul sur ce que je fais, de remettre en perspective certaines notions avec lesquelles je suis familière ou au contraire moins à l’aise.

Cela m’oblige à mieux comprendre et mieux formuler ce que je fais de façon instinctive au quotidien. C’est aussi très valorisant de voir un élève progresser, acquérir des réflexes, monter en compétences. 

Quelle est ton activité professionnelle en dehors du mentorat ?

Je fais du marketing et de la rédaction de contenus pour des start-up. Je suis installée en freelance depuis presque trois ans.

Qu’est-ce qui te plaît dans ce métier ?

J’aime la diversité des missions, la liberté que j’ai en terme d’organisation, dans le choix de mes missions et de mes clients.

Y a-t-il des sujets sur lesquels toi aussi tu aimerais te former ?

Pas forcément, mais je réfléchis constamment à la façon dont je peux faire évoluer mon activité.

J’envisage de travailler éventuellement avec plus de personnes, ou d’organiser des missions en physique chez les clients pour être un peu moins derrière mon ordinateur.

Le côté formation me plaît bien aussi pour le partage d’expérience mais je ne me vois pas devenir prof en tant que tel. C’est en cours de réflexion.

Y a-t-il un ouvrage dont tu recommandes la lecture parce qu’il t’a inspiré personnellement ou professionnellement ?

Récemment, la lecture du livre Le pouvoir du moment présent d’Eckhart Tolle m’a donné une meilleure compréhension des mécanismes qui sont en jeu dans nos vies. Cela aide à prendre du recul sur nos ressentis, la manière dont on appréhende les choses.

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Les plus impressionnantes attaques en cybersécurité

Par : Nora Leon

Au rythme où vont les hackers, le responsable cybersécurité sera bientôt indispensable au sein de toute entreprise. Pourtant, ces profils sont encore rares sur le marché : ce qui explique qu’ils soient aussi très bien payés et rarement en recherche d’emploi.

Par ailleurs, pour toute personne qui possède un ordinateur personnel, connaître les pare-feux les plus récents permet également de protéger ses données intimes.

Et justement, Mathieu Nebra, développeur et fondateur de l’école en ligne OpenClassrooms, a récemment proposé un cours pour découvrir l’univers en plein essor de la cybersécurité. Un cours utile pour celles et ceux qui veulent y travailler, ou juste se tenir informés des bonnes pratiques en matière de sécurité informatique. En somme, à l’heure du tout-numérique, il s’agit même de culture générale !

Cet article a pour but d’introduire la cybersécurité en partageant les formes d’attaques les plus courantes et leurs parades actuelles.

Les attaques fréquentes en cybersécurité 

Les failles logicielles

Les failles logicielles sont des défauts liés à des bugs des logiciels. Il y en a dans quasiment tous les logiciels, des systèmes d’exploitation Windows, macOS, Linux… aux logiciels comme Skype, Google Chrome, Firefox, Word. 

En revanche, dès qu’une faille est repérée, elle doit être corrigée. C’est pour cela que les logiciels doivent être mis à jour régulièrement. 

Pour se protéger, il est conseillé dinstaller les mises à jour des logiciels le plus régulièrement possible.

Les failles réseau

Les failles peuvent aussi avoir lieu à un autre niveau : celui du réseau.

Prenons un exemple : si les données de l’entreprise sont échangées entre postes en wifi, et que ce wifi n’est pas chiffré, il est facile pour quelqu’un dans la rue d’aspirer tous les échanges qui ont lieu. Dans ces échanges, il y a notamment les cookies dans lesquels on peut parfois trouver des données d’authentification !

Ajoutez à cela les serveurs auxquels on peut se connecter avec un mot de passe simple, voire sans mot de passe. Il y a aussi des routeurs qui restent configurés avec le mot de passe par défaut (admin/password). Et ne rigolez pas ! Cela arrive très fréquemment.

De simples négligences comme celles-ci sont à l’origine de nombreuses cyberattaques.

Les droits d’accès 

Que se passe-t-il quand on ne veut pas se prendre la tête avec les droits d’accès ? On donne des accès de niveau administrateur à tout le monde ! On partage ses codes d’accès aux collègues, on les écrit sur des post-it au bureau…

C’est évidemment la source de nombreux problèmes de sécurité. Une entreprise où tout le monde est administrateur est une entreprise où chaque personne risque d’effectuer une action qui peut avoir des conséquences désastreuses.

A l’inverse, concentrer tous les droits d’administration sur une personne est aussi risqué. Et si cette personne quittait l’entreprise sans donner les mots de passe ? Si elle était frappée d’amnésie ? Tant de situations où le responsable IT peut se retrouver dans de beaux draps…

Envie d’en savoir plus sur les grands hacks du monde du web ?

Retrouvez l’historique dans le “cours “Découvrez l’univers de la cybersécurité”.

À propos d’OpenClassrooms

OpenClassrooms est un institut de formation à distance, 100% en ligne, pour apprendre les compétences les plus recherchées par les recruteurs et les plus prometteuses. Le but : décrocher un emploi très recherché et qui ait de l’avenir !

Nous formons à tous les métiers du numérique, notamment le développement web et mobile, le design, les systèmes et réseaux, la data science, la gestion de projet, le marketing, les ressources humaines et l’entrepreneuriat.

Tous les cours des programmes de formation à distance sont accessibles gratuitement en ligne.

Nos cursus à équivalent Bac +2, +3 et +5 se réalisent en ligne. Ils sont composés d’un mélange de vidéos, de cours écrits, de projets professionnalisants réalisés par l’étudiant pour apprendre par la pratique, et de sessions de mentorat hebdomadaires avec un expert du métier. Les formations durent entre 6 et 18 mois en fonction des sujets et du temps alloué par l’étudiant. 

À l’issue du programme, les étudiants sont coachés par des experts pour faciliter leur recherche d’emploi. Ce dernier est d’ailleurs garanti.  

Cela vous intéresse ? 

J’en discute avec mon conseiller pédagogique

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Europol’s Executive Director carries out first official visit to Switzerland

Catherine De Bolle, Europol’s Executive Director, arrived in Bern on 29 August for her first official visit to Switzerland. In the Swiss capital, Ms De Bolle met Nicoletta della Valle, Director of the Swiss Federal Police (fedpol), Michael Matthiessen, Ambassador of the European Union to Switzerland and to the Principality of Liechtenstein and Jules Hoch, Police Chief of the Liechtenstein National Police Force.

Euro area unemployment at 7.5%

The euro area (EA19) seasonally-adjusted unemployment rate was 7.5% in July 2019, stable compared with June 2019 and down from 8.1% in July 2018. This remains the lowest rate recorded in the euro area since July 2008. The EU28 unemployment rate was 6.3% in July 2019, stable compared with June 2019 and down from 6.8% in July 2018. This remains the lowest rate recorded in the EU28 since the start of the EU monthly unemployment series in January 2000. These figures are published by Eurostat, the statistical office of the European Union.

Euro area annual inflation stable at 1.0%

Euro area annual inflation is expected to be 1.0% in August 2019, stable compared to July according to a flash estimate from Eurostat, the statistical office of the European Union.

Découvrez les fondamentaux de l’UX design 

Par : Nora Leon

C’est la cinquième compétence la plus recherchée par les recruteurs, selon le baromètre LinkedIn en 2019.

Une chose est sûre, l’UX design est une étoile montante au sein des métiers du web.

Et pour cause : les marques se tournent à présent vers les retours de leurs utilisateurs. L’enjeu : leur offrir la meilleure expérience possible sur leur site et via leurs produits. Or, l’UX s’appuie sur des enquêtes utilisatrices concrètes et précises pour prendre des décisions. 

Cet article a pour but d’introduire un concept clé en UX design, celui d’affordance, avant de plonger le cours “Découvrez les fondamentaux de l’UX design”.

Qu’est-ce que l’affordance en UX design ?

Les utilisateurs s’habituent au progrès et à la qualité. On ne les attrappe pas avec un produit moyen. Ils ont vite fait de trouver une meilleure solution, et par conséquent, de déserter un produit ou service.

Par ailleurs, parallèlement à l’accélération de la société grâce à Internet et aux nouvelles technologies, les utilisateurs s’attendent à un progrès constant, des améliorations, des innovations, des mises à jour… De manière générale, lorsqu’ils téléchargent une application, ils veulent qu’elle fonctionne, et bien (bien = efficace, digne de confiance, rapide). 

Cela s’appelle l’affordance. Ce mot est un anglicisme : traduit d’ “affordability » (« afford » (pouvoir se permettre) + « ability » (capacité)), il désigne l’accessibilité, le caractère abordable d’un produit ; elle est remise sur le devant de la scène dès qu’une innovation apparaît.

Si une nouvelle innovation prend le pas et s’inspire de la base d’une précédente innovation (que tout le monde a eu le temps de prendre en main), cela ne demande qu’un léger temps d’adaptation.

Par contre, si un nouveau produit est trop innovant, trop en avance sur son temps (et ce, même s’il est génial), il va générer un manque d’affordance :

  • Provoquer auprès des utilisateurs de la confusion, de l’incapacité à prendre en main le produit, de l’incompréhension, voire de la frustration, de la colère…
  • Empêcher les utilisateurs de comprendre l’intérêt du produit, les faire rester sur l’acquis (beaucoup plus pratique et simple à leurs yeux) et fuir la nouveauté.

Mise en pratique

Alors, prêts à apprendre comment mettre en place l’équilibre parfait en termes d’affordance pour un produit ?

Direction le cours “Découvrez les fondamentaux de l’UX design”

Il est gratuit et vous apprendra les bases de la recherche utilisatrice. 

À propos d’OpenClassrooms

OpenClassrooms est un institut de formation à distance, 100% en ligne, pour apprendre les compétences les plus recherchées par les recruteurs et les plus prometteuses. Le but : décrocher un emploi très recherché et qui ait de l’avenir !

Nous formons à tous les métiers du numérique, notamment le développement web et mobile, le design, les systèmes et réseaux, la data science, la gestion de projet, le marketing, les ressources humaines et l’entrepreneuriat.

Tous les cours des programmes de formation à distance sont accessibles gratuitement en ligne.

Nos cursus à équivalent Bac +2, +3 et +5 se réalisent en ligne. Ils sont composés d’un mélange de vidéos, de cours écrits, de projets professionnalisants réalisés par l’étudiant pour apprendre par la pratique, et de sessions de mentorat hebdomadaires avec un expert du métier. Les formations durent entre 6 et 18 mois en fonction des sujets et du temps alloué par l’étudiant. 

À l’issue du programme, les étudiants sont coachés par des experts pour faciliter leur recherche d’emploi. Ce dernier est d’ailleurs garanti.  

Cela vous intéresse ? 

J’en discute avec mon conseiller pédagogique

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Centenary of the Polish State Police: Europol presents exhibition with items from the past 100 years of Polish policing.

On 27 August, Catherine De Bolle, Executive Director of Europol and Paulina Filipowiak, Director of the International Police Cooperation Bureau of the Polish State Police opened an exhibition to mark the centenary of the Polish State Police. Europol has enjoyed long and close cooperation with Poland. Ms De Bolle was pleased to speak at the opening of the exhibition, which features items from the past 100 years of Polish policing. 

Evaluer l’impact d’OpenClassrooms 

Chez OpenClassrooms, nous évaluons tout ce que nous faisons à l’aune de notre mission. Nous nous demandons : “en quoi est-ce que ce membre de l’équipe, cette formation, cette fonctionnalité donnera accès à chacun – et ce, quelle que soit sa situation actuelle – à une éducation abordable et de qualité ?” 

Notre mission est notre étoile polaire.

OpenClassrooms est à une étape critique dans sa vie de d’entreprise. Dans le même temps où nous grandissons et proposons nos formations tout autour du monde, il est de plus en plus important d’établir avec certitude une méthode d’évaluation de l’efficacité de notre mission. C’est la raison pour laquelle nous prenons aujourd’hui une décision audacieuse.

Je suis ravi d’annoncer la création du Comité d’Impact d’OpenClassrooms.

Au sein de ce groupe seront rassemblées toutes les parties prenantes de l’entreprise, depuis la communauté éducative jusqu’au monde de l’EdTech. À compter d’aujourd’hui, ces experts nous aideront à tenir le cap de notre mission, de manière totalement indépendante. 

Ce Comité d’Impact est un corps indépendant, chargé d’être le garant de la cohérence des décisions de l’entreprise par rapport à sa mission. Ce n’est pas un gadget : son existence a été actée dans nos statuts d’entreprise. 

Les membres du comité ont d’ailleurs le droit de questionner les décisions du board d’OpenClassrooms et ses membres sont tenus d’y répondre. Il produira également un rapport annuel détaillant les progrès d’OpenClassrooms en termes d’impact.

Dans une démarche de transparence, ces rapports seront publics et consultables depuis notre site Internet.

La diversité qui fait la force de notre communauté a sciemment été préservée au sein du Comité. Ce dernier compte des employés, étudiants, diplômés, professeurs et mentors d’OpenClassrooms, ainsi que des experts indépendants, afin de garantir la neutralité et l’équilibre de cette équipe. Notamment des professeurs d’université et enseignants au sein de l’Éducation Nationale et des professionnels travaillant au sein d’organisations non gouvernementales et d’entreprises.

Notre Comité d’Impact est unique en son genre au sein de l’écosystème EdTech international. C’est aussi le tout premier tous secteurs confondus en France.

Il se réunit pour la première fois aujourd’hui, pour définir ensemble les critères qui détermineront les progrès de l’entreprise, et voir comment ces experts travailleront ensemble. La semaine prochaine, je vous partagerai les résultats de cette réunion, ainsi que notre vision pour la suite. 

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Les fondamentaux de la gestion de projet agile 

Par : Nora Leon

Vous l’avez peut-être déjà remarqué dans le monde du travail : la gestion de projet n’est pas toujours un long fleuve tranquille. Ou plutôt, pas souvent. Délais difficiles voire impossibles à respecter, budget qui explose en vol, frictions dans l’équipe ou encore changements de programme intempestifs… Dans ces conditions, c’est un authentique défi de garder toute l’équipe motivée !

Mais la vie est bien faite : il existe une méthode pour calibrer et gérer les projets réalisés dans un environnement évolutif, par exemple en start-up. Cette méthodologie est dite “agile”. Aujourd’hui, elle est adoptée en gestion de projet marketing, design, développement… Par de plus en plus de chefs de projets dans des secteurs très divers. 

C’est donc la preuve qu’elle est plus que adéquate pour :

  • Éviter que des imprévus ne déroutent une équipe ; 
  • S’adapter à des feuilles de route et des environnements changeants ; 
  • Et surtout, établir une communication transparente et une cohésion de groupe salutaires à la bonne conduite de toute réalisation. 

Alors, en quoi consiste cette méthode ?

C’est ce que transmet le cours “Initiez-vous à la gestion de projet agile”. Pas à pas, il explique comment créer une équipe agile, l’amener à échanger, prendre en compte les besoins utilisateurs et organiser de A à Z la gestion d’un projet. 

Cet article introduit ce cours. En effet, la première étape est savoir créer les conditions d’existence et de développement de l’intelligence collective. 

Cet exploit de fourmis le prouve bien, ensemble, nous sommes capables de réaliser des choses inatteignables tout seuls. Encore faut-il savoir se lier aux autres et définir ensemble la meilleure solution à adopter. 

C’est pourquoi l’intelligence collective (ou le fait d’unir les idées et forces de chacun) est la clé dans le fonctionnement d’une équipe, sans contraindre, sans brider et sans faire preuve d’autoritarisme. Comment la favoriser ? 

Appuyons-nous sur les recherches de Bruce Wayne Tuckman pour aller ensemble plus loin et plus vite. Ce psychosociologue américain a en effet défini un modèle de construction qui répond parfaitement aux exigences d’une équipe agile. Avec la valorisation d’une communauté d’intérêts et d’un espace collaboratif, les 4 premières étapes du modèle de Tuckman exploitent tous les avantages de l’intelligence collective :

  1. Formation, les membres de l’équipe apprennent à se connaître et s’accepter. Les conflits latents ne sont pas ou peu abordés.
  2. Tension, les membres de l’équipe se placent les uns par rapport aux autres, se confrontent et peuvent parfois entrer en conflit.
  3. Régularisation, l’équipe commence à développer un cadre coopératif et collaboratif plus fluide. Les membres partagent des valeurs et des objectifs communs. La confiance s’installe dans l’équipe qui s’auto-organise progressivement.
  4. Exécution, chaque membre de l’équipe est interdépendant, autonome et compétent. La confiance est bien installée ; but à atteindre pour gérer un projet efficacement.

Envie d’aller plus loin dans la compréhension de la méthode agile ? De savoir ce que toutes ces étapes mystérieuses cachent : 

  • Créer l’équilibre dans une équipe agile ; 
  • Installer des objectifs communs et définir le rôle de chacun ; 
  • Mener des entretiens utilisateurs pour définir les besoins clients ; 
  • Préparer la gestion de projet et le rétroplanning selon la méthode kanban et le planning poker
  • Gérer le projet en mode “lean”. 

Rendez-vous sur le cours : 

Je suis le cours

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Par quel langage informatique dois-je commencer ?

Par : Nora Leon

Vous avez décidé d’apprendre à développer un site ? Une application ? Le tout premier pas pour y parvenir est d’apprendre un premier langage informatique. 

HTML et CSS sont un point d’entrée que choisissent la plupart des débutants. Ils sont utiles pour structurer du texte et des images, entre autres super-pouvoirs. 

Sans avoir jamais appris à développer, chacun peut facilement acquérir les bases de ces deux langages en suivant gratuitement le cours “Apprenez à créer votre site Internet avec HTML5 et CSS3”. Ce cours fait d’ailleurs partie des formations à distance “Développeur web” et “Développeur d’applications FrontEnd”. 

Cet article est une introduction à ces deux langages. Suite à cette lecture, chacun sera armé pour commencer le cours. 

Que sont HTML et CSS ?

HTML (Hypertext Markeup Langage) est un outil pour construire des pages web. 

CSS (Cascading Style Sheets) est ce qu’on utilise pour créer leur aspect visuel. 

Ces deux aspects sont parfaits et complémentaires pour commencer à apprendre le code informatique. Voici comment cela fonctionne exactement. 

Imaginez une page web. Elle est composée de contenus (les titres, le texte et les images) qui ont une certaine apparence (une police d’écriture, une palette de couleurs, un style). 

HTML est le langage pour créer du contenu structuré pour raconter une histoire. CSS s’occupe de l’apparence : la mettre en place et mettre en mouvement ce qui doit l’être. 

Pourquoi utiliser deux langages, s’ils sont tellement liés ? Cela facilite la vie des développeurs. Ils se concentrent sur le contenu et ensuite sur l’apparence, sans avoir besoin de se charger des deux en même temps. 

Par exemple, si OpenClassrooms voulait modifier complètement ses couleurs de marque pour les améliorer, ainsi que son design, nous pourrions utiliser le CSS. Nous pourrions en effet modifier l’aspect du site sans toucher au contenu (les vidéos, le texte des cours…). Par contre, si nous voulions modifier le contenu, nous devrions avoir recours au HTML

Ça y est, la distinction est claire ? Bravo, c’est l’information à retenir pour commencer sereinement le cours sur ces deux langages. Pas encore besoin de comprendre la syntaxe, car cela, c’est l’objet du cours !

Et justement, à la fin du premier chapitre du cours, chacun peut déjà écrire ses premières lignes de code. 

Prêt(e) à écrire vos premières lignes de code ?

Voici l’introduction gratuite à HTML et CSS, le cours “cours “Apprenez à créer votre site Internet avec HTML5 et CSS3”.

 

Je commence le cours 

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À l’issue du programme, les étudiants sont coachés par des experts pour faciliter leur recherche d’emploi. Ce dernier est d’ailleurs garanti.  

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Immobilier-danger.com : Préparer un dossier pour une location d'appartement

Trouver un appartement à louer dans son budget n'est déjà pas aisé. De plus, il faudra ensuite convaincre le propriétaire bailleur que vous êtes le meilleur candidat parmi les différents locataires qui vont déposer un dossier pour cette location de logement.

Plus la location est intéressante (loyer abordable, qualité du bien ou de l'emplacement, etc.) et plus il y aura de dépôt de dossiers de location. Voici tout ce qu'il faut fournir comme documents dans votre dossier de location et surtout pourquoi et comment vous devez y prêter un maximum d'attention pour vous démarquer des autres et obtenir les clés de ce logement après avoir signé un bail.

Au sommaire de cette page :

- 1. L'importance d'un dossier de qualité.

- 2. La liste des documents à fournir (les indispensables et les complémentaires)

- 3. 4 conseils pour se démarquer des autres dossiers

- 4. Le garant, un atout majeur souvent indispensable

- 5. Aucun paiement avant signature

Les clés pour bien travailler en équipe

Par : Nora Leon

Capitaliser sur la force d’une équipe est clé, notamment au travail. À plusieurs, on communique mieux, on unit plusieurs compétences pour aller plus loin, et les résultats n’en sont que décuplés. De plus, son emploi acquiert une dimension de cohésion bien agréable. 

Pour autant, travailler sereinement avec ses collègues ne va pas forcément de soi. Parfois, on constate des frictions dues aux caractères, aux différences culturelles, à la hiérarchie ou aux divergences de points de vue… Qu’il est heureusement possibles de gommer. Comment ? 

La meilleure façon pour y parvenir est de travailler ensemble et d’ajuster. Cela étant dit, se préparer en apprenant les techniques principales pour bien travailler ensemble nous donne plus de cordes à notre arc. 

C’est le but du cours Travaillez efficacement en équipe, dans lequel on apprend étape par étape à s’épanouir et évoluer au sein d’un groupe de collègues. 

Cet article vous ouvre une petite lucarne sur les éléments que ce que le cours peut vous apporter. 

Définir son rôle au sein de l’équipe 

Pour fonctionner harmonieusement au sein d’une équipe, il est nécessaire de comprendre à la fois le but commun et son rôle pour y parvenir. 

Or, il existe 9 rôles qui contribuent, dans une dynamique d’équipe, au succès des projets (Source : Belbin, 2003). Chacun peut normalement se reconnaître dans l’un d’eux : 

  1. Le concepteur : il apporte les nouvelles idées.
  2. L’analyste : il évalue avec logique et objectivité les options.
  3. L’expert : il apporte une connaissance approfondie d’un domaine clé pour la mission.
  4. L’organisateur : il structure la répartition des tâches, le planning, la logistique.
  5. Le propulseur : il propose des solutions créatives et innovantes pour régler les problèmes.
  6. Le perfectionneur : il assure le polissage des fins de projets et veille au respect des normes de qualité.
  7. Le coordinateur : il est le garant de la réalisation des objectifs et il met en place les délégations.
  8. Le promoteur : il conçoit et met en œuvre la stratégie.
  9. Le soutien : il est le coéquipier par excellence, qui apporte sa contribution partout où elle est utile.

Au sein d’une équipe, votre rôle dépendra de l’équilibre entre les trois éléments suivants : 

  • Le poste : votre fonction vous prédispose à un type de rôle. Certains postes sont analytiques, ou créatifs, en rapport avec l’organisation ou la communication… Mais la fonction de comptable peut être exercée sous l’angle « organisateur » ou « perfectionneur », tandis qu’un assistant marketing peut tenir un rôle de « coordinateur » autant que de « promoteur » ou de « soutien ». À vous d’arbitrer.
  • Votre affinité : instinctivement, vous remplissez votre fonction sous un angle singulier correspondant à la conscience que vous avez de vos compétences du moment, à votre niveau d’introversion, à votre résistance au stress, à vos aptitudes intellectuelles, à votre fonctionnement émotionnel, à votre système de valeurs.
  • La dynamique du groupe : on ne décide pas complètement du rôle que l’on va tenir. On y est poussé parfois malgré soi, soit parce que c’est ce que les autres voient en vous, soit parce que votre rôle d’affinité est déjà pourvu. Notez que vous augmentez le risque de conflit si vous prenez un rôle déjà occupé.

Aujourd’hui, les équipes sont plus diversifiées que jamais. Elles se composent de différents profils et nationalités, de personnalités très diverses… Ce qui apporte des opportunités uniques d’être à la fois créatifs et efficaces. 

Au sein des entreprises les plus dynamiques, l’appréhension d’un poste et d’un rôle peuvent évoluer, car la cohésion d’équipe et l’ouverture d’esprit le permettent. On appelle cela le “phénomène du changement de rôles”. La clé pour bien coopérer est d’accepter une mission en fonction d’une situation donnée, sans mettre trop en avant ses propres préférences.

Chaque projet mené en équipe est aussi l’occasion de grandir professionnellement et même personnellement. 

Vous voulez en savoir plus sur le travail d’équipe ?

Rendez-vous au premier chapitre du cours “Apprenez à travailler en équipe d’OpenClassrooms. Il est gratuit et très complet, ce serait dommage de vous en priver.

 

Je commence le cours

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À l’issue du programme, les étudiants sont coachés par des experts pour faciliter leur recherche d’emploi. Ce dernier est d’ailleurs garanti.  

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Comment se remettre dans le bain de l’apprentissage ?

Par : Nora Leon

85% des métiers de 2030 n’existent pas encore : c’est la conclusion d’une étude  Pôle emploi en 2018. 

Dans le même temps, de plus en plus d’actifs veulent se reconvertir. Le magazine Nouvelle vie professionnelle a d’ailleurs réalisé un sondage qui montre que 60% des adultes français ont déjà pensé à changer de métier. 64% d’entre eux voudraient se lancer, et 28% ont déjà mis ce projet à exécution. 

Dans le contexte où le marché de l’emploi évolue rapidement et où les profils “atypiques” sont de plus en plus acceptés par les recruteurs, se former à nouveau fait d’autant plus sens. 

Alors, quel que soit son métier actuel, son âge ou son niveau d’études, chacun peut décider que demain sera sa rentrée scolaire. Voici comment. 

Redécouvrir le plaisir d’apprendre 

Certains avaient la bosse de l’école. D’autres, au contraire, étaient comme notre étudiante Coralie, allergiques à l’enseignement traditionnel. 

Une fois mon bac en poche, j’ai vite compris qu’il serait compliqué de me former dans un système éducatif théorique et standardisé, unique option à l’époque. IUT ou école privée, ça n’a pas loupé, je me suis fait renvoyer de tous les établissements où j’ai mis les pieds.

[À lire : comment Coralie s’est réconciliée avec les études]

Toujours est-il qu’en chacun de nous se cache une personne curieuse, avide de nouvelles connaissances. L’enjeu est de la faire ressurgir.

Voici deux étapes utiles pour y arriver : 

1- S’autoriser l’enthousiasme

Dresser la liste des sujets qui nous passionnent, même si nous ne les avons jamais abordés, peut aider. Ce sont peut-être des passions très spécifiques à explorer. 

La mémoire et la faculté d’apprentissage sont comme des muscles : quel que soit le sujet sur lequel on les exerce, c’est bénéfique.

2- Retrouver sa curiosité d’enfant 

Étonnamment, à l’âge adulte, nous ne sommes plus censés nous étonner. Une espèce de consensus tacite flotte dans l’air : les grands savent

Donc, au contraire des enfants qui questionnent tout et progressent de façon exponentielle (ma nièce de 2 ans m’a expliqué récemment dernier qu’elle était nyctalope*), les adultes apprennent souvent moins. Et ils en sont frustrés !

Le fait de stagner m’a donné l’envie de me mettre à la page. Pôle Emploi m’a aiguillé vers des MOOCs un peu poussiéreux. J’aimais le format, j’ai juste cherché ailleurs. Je suis tombé sur « Apprenez à apprendre » de Guillaume Parrou. Bingo ! C’était exactement ce par quoi je devais commencer. Ça m’a parlé, on s’adressait à moi directement. J’étais hyper stimulé et content. Après vingt ans, retourner à l’école. C’était vraiment gratifiant”.

[À lire : de commercial à pédagogue et entrepreneur, la reconversion de Cyril]

Aussi, se poser des questions est toujours vertueux. La clé, c’est d’être curieux pour accueillir avec enthousiasme et bienveillance le fait d’avoir tant à apprendre !

Picorer les ressources du net 

Une fois la fringale de nouvelles connaissances bien en place, il faut explorer

Jamais autant de disciplines ne sont nées en aussi peu de temps ; et jamais autant de ressources pour les comprendre n’ont été disponibles gratuitement. 

Donc, pour se remettre dans une dynamique d’études, le mieux est de plonger dans les cours et exercices disponibles. Plus besoin d’aller en bibliothèque pour accéder au savoir, car énormément de cours, thèses de recherche, livres et vidéos sont en ligne. Ils sont un chemin balisé et graduel vers la reconversion.

1- S’orienter 

Ceux qui veulent changer de métier mais sans vraiment savoir quel secteur ou profession choisir peuvent simplement suivre un cours d’introduction à plusieurs disciplines très recherchées pour trancher. 

2- Apprendre à son rythme

Les autres qui savent déjà quel métier ils veulent apprendre peuvent commencer à tout moment à suivre des cours sur Internet

Voire aller plus loin en s’inscrivant à une formation diplômante à distance

Y a-t-il une méthodologie pour apprendre ?

Oui et non : chacun a tout le loisir de trouver la méthode et le rythme qui lui conviennent. C’est très individuel. 

Par contre, il est important de comprendre qu’apprendre vite et bien n’est pas un privilège, un don ou un talent réservé aux bons élèves nés avec « des facilités« . A priori, nous pouvons tous cultiver cette capacité d’apprentissage pour nous améliorer, à tout âge et dans n’importe quelle discipline. Notre potentiel est illimité.

Pour en faire pleinement l’expérience, chacun a besoin de maîtriser différentes stratégies et tactiques d’apprentissage. Grâce à celles-ci, les apprenants surmontent des barrières comme :

  • les blocages psychologiques ; 
  • les erreurs d’orientation ; 
  • le manque d’organisation et la procrastination ;
  • ou les difficultés de mémorisation.

Où acquérir ces méthodes qui facilitent les études ?

Une solution est de suivre le cours Apprenez à apprendre comme une boîte à outils pour relever ce défi. Ou de le voir comme un mode d’emploi pour piloter la plus fantastique des machines : nos cerveaux.

Bonne lecture !

À propos d’OpenClassrooms

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Nous formons à tous les métiers du numérique, notamment le développement web et mobile, le design, les systèmes et réseaux, la data science, la gestion de projet, le marketing, les ressources humaines et l’entrepreneuriat.

Tous les cours des programmes de formation à distance sont accessibles gratuitement en ligne.

Nos cursus à équivalent Bac +2, +3 et +5 se réalisent en ligne. Ils sont composés d’un mélange de vidéos, de cours écrits, de projets professionnalisants réalisés par l’étudiant pour apprendre par la pratique, et de sessions de mentorat hebdomadaires avec un expert du métier. Les formations durent entre 6 et 18 mois en fonction des sujets et du temps alloué par l’étudiant. 

À l’issue du programme, les étudiants sont coachés par des experts pour faciliter leur recherche d’emploi. Ce dernier est d’ailleurs garanti.  

Cela vous intéresse ? 

J’en discute avec mon conseiller pédagogique

* Si vous non plus vous ne connaissiez pas le mot nyctalope, c’est un adjectif qui désigne la faculté de voir distinctement dans la pénombre ou pendant la nuit.

 

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Production in construction unchanged in euro area

In June 2019 compared with May 2019, seasonally adjusted production in the construction sector remained unchanged in the euro area (EA19) and decreased by 0.3% in the EU28, according to first estimates from Eurostat, the statistical office of the European Union. In May 2019, production in construction decreased by 0.5% in the euro area and by 0.4% in the EU28.

Production in construction unchanged in euro area

In June 2019 compared with May 2019, seasonally adjusted production in the construction sector remained unchanged in the euro area (EA19) and decreased by 0.3% in the EU28, according to first estimates from Eurostat, the statistical office of the European Union. In May 2019, production in construction decreased by 0.5% in the euro area and by 0.4% in the EU28.

What does it mean to become a TED Fellow?

Par : TED Staff

TED Fellows celebrate the 10-year anniversary of the program at TEDSummit: A Community Beyond Borders, July 22, 2019 in Edinburgh, Scotland. (Photo: Ryan Lash / TED)

Every year, TED begins a new search looking for the brightest thinkers and innovators to be part of the TED Fellows program. With nearly 500 visionaries representing 300 different disciplines, these extraordinary individuals are making waves, disrupting the status quo and creating real impact.

Through a rigorous application process, we narrow down our candidate pool of thousands to just 20 exceptional people. (Trust us, this is not easy to do.) You may be wondering what makes for a good application (read more about that here), but just as importantly: What exactly does it mean to be a TED Fellow? Yes, you’ll work hand-in-hand with the Fellows team to give a TED Talk on stage, but being a Fellow is so much more than that. Here’s what happens once you get that call.

1. You instantly have a built-in support system.

Once selected, Fellows become part of our active global community. They are connected to a diverse network of other Fellows who they can lean on for support, resources and more. To get a better sense of who these people are (fishing cat conservationists! space environmentalists! police captains!), take a closer look at our class of 2019 Fellows, who represent 12 countries across four continents. Their common denominator? They are looking to address today’s most complex challenges and collaborate with others — which could include you.

2. You can participate in TED’s coaching and mentorship program.

To help Fellows achieve an even greater impact with their work, they are given the opportunity to participate in a one-of-a-kind coaching and mentoring initiative. Collaboration with a world-class coach or mentor helps Fellows maximize effectiveness in their professional and personal lives and make the most of the fellowship.

The coaches and mentors who support the program are some of the world’s most effective and intuitive individuals, each inspired by the TED mission. Fellows have reported breakthroughs in financial planning, organizational effectiveness, confidence and interpersonal relationships thanks to coaches and mentors. Head here to learn more about this initiative. 

3. You’ll receive public relations guidance and professional development opportunities, curated through workshops and webinars. 

Have you published exciting new research or launched a groundbreaking project? We partner with a dedicated PR agency to provide PR training and valuable media opportunities with top tier publications to help spread your ideas beyond the TED stage. The TED Fellows program has been recognized by PR News for our “PR for Fellows” program.

In addition, there are vast opportunities for Fellows to hone their skills and build new ones through invigorating workshops and webinars that we arrange throughout the year. We also maintain a Fellows Blog, where we continue to spotlight Fellows long after they give their talks.

***

Over the last decade, our program has helped Fellows impact the lives of more than 180 million people. Success and innovation like this doesn’t happen in a vacuum — it’s sparked by bringing Fellows together and giving them this kind of support. If this sounds like a community you want to join, apply to become a TED Fellow by August 27, 2019 11:59pm UTC.

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« Mes clients approuvent mes études », assure Coralie, indépendante

« Il faut que tu passes ton bac » lui répétaient ses parents. Sauf qu’à quinze ans, Coralie se penchait déjà sur le lancement d’un premier site Internet. Ce n’était pas faute d’avoir essayé, mais les études, ce n’était pas pour elle.

Aujourd’hui développeuse front-end en freelance, Coralie a décidé de renouer avec les études pour avancer dans son métier. Passée maître dans l’art de la débrouille, elle décroche alors sa bourse pour la formation LevelUp d’OpenClassrooms, un programme fait sur-mesure pour aider les indépendants à avancer dans leur métier, ou à se reconvertir. À partir de là, tout s’accélère pour elle.

Quel a été ton parcours universitaire ?

Une fois mon bac en poche, j’ai vite compris qu’il serait compliqué de me former dans un système éducatif théorique et standardisé, unique option à l’époque.

IUT ou école privée, ça n’a pas loupé, je me suis fait renvoyer de tous les établissements où j’ai mis les pieds. Mais je n’ai pas laissé tomber pour autant.

J’ai commencé à travailler en temps qu’intégratrice web à dix-neuf ans et j’ai fini par trouver mes limites après quelques années. Je devais vraiment me former pour avancer.

Après avoir décroché un bac +2, je me retrouve étudiante en licence à trente ans. Aujourd’hui, je suis freelance, tout se passe bien, mais les années continuent de passer et il est l’heure pour moi d’anticiper sur le long-terme.

C’est la raison pour laquelle j’ai intégré le parcours de formation LevelUp, fait pour les indépendants. 

Que prévois-tu grâce à LevelUp ?

J’envisage de devenir chef de projet digital à temps plein. Un métier beaucoup plus complet que celui de développeur, dans lequel on est plus dans l’exécution que la planification et la gestion d’un projet. Je veux toucher un peu à tout, sauf que je n’ai pas forcément les compétences ou la méthodologie adaptée. J’ai besoin d’un tremplin comme Level Up pour bien me lancer. 

Qu’est-ce qui t’a séduite dans ce programme ?

Il  y avait un point qui me gênait au début. C’était la déshumanisation par le digital des formations en ligne. Pour autant, j’ai vraiment été surprise par le format d’apprentissage. C’est beaucoup de pratique que je ne le pensais et tout est très bien encadré.

J’ai un mentor avec qui j’échange une fois par semaine et qui prend le temps de m’accompagner.

D’ailleurs, maintenant que j’ai testé, je peux dire que c’est le format d’apprentissage le plus humain que je connaisse. 

Le programme a un autre atout : il laisse beaucoup de flexibilité. Je suis à mi-temps, entre les études et mon travail. Tout se passe bien. Il faut simplement s’organiser et se ménager du temps pour avancer dans les projets.

Que penses-tu de ces projets à réaliser dans la formation ?

Ils sont concrets et peuvent être utilisés directement pour un portfolio. Je suis moins concernée, avec vingt ans d’expérience, j’en ai déjà beaucoup, mais je pense à ceux qui démarrent. On a un an pour compléter la formation. Je viens de boucler mon troisième projet en seulement quatre mois. Ce sera moins prolifique pour certains, plus pour d’autres, tout dépend de l’organisation. Encore une fois la flexibilité est au rendez-vous, chacun fait au mieux avec ce qui lui est proposé et go. 

Est-ce que tu as rencontré des difficultés ou douté au cours de ta formation ?

J’avais peur que mes clients voient la formation d’un mauvais œil, qu’en m’engageant dans une telle démarche, j’aie moins de temps pour eux.

Sauf que j’ai des clients géniaux qui voient eux aussi cela comme une opportunité. Ils suivent ma formation de près et ont hâte que je décroche mon diplôme.

Au contraire de me pénaliser, c’est même très valorisable auprès d’un client ou d’un employeur.

Qu’as-tu envie de dire aux futurs élèves qui doutent ou hésitent ?

Il ne faut pas avoir peur de se lancer, au contraire. Je leur conseille de foncer ! C’est une belle opportunité à saisir.

De même, une fois lancé, il ne faut pas lâcher. Des coups de mou, c’est normal, il y en aura. On en a tous. Mais il faut vraiment faut adopter et conserver une démarche volontaire du début à la fin. C’est la clé et c’est comme cela que l’on génère un cercle vertueux. 

À l’issue de sa formation, Coralie voudrait également devenir mentor chez OpenClassrooms sur les sujets qu’elle maîtrise depuis plusieurs années. « On m’a tellement tendu la main que j’ai envie de rendre la pareille » précise-t-elle, « je trouve cela beau ce qui se passe dans une formation ».

Après avoir rencontré des difficultés dans sa jeunesse avec les formats d’éducation traditionnels, Coralie a enfin le sentiment d’avoir trouvé celui qui lui convient le mieux.

J’ai attendu ce format dix ans avant qu’il émerge : maintenant, je rattrape le temps perdu.

L’article « Mes clients approuvent mes études », assure Coralie, indépendante est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.

Annual inflation down to 1.0% in the euro area

The euro area annual inflation rate was 1.0% in July 2019, down from 1.3% in June. A year earlier, the rate was 2.2%. European Union annual inflation was 1.4% in July 2019, down from 1.6% in June. A year earlier, the rate was 2.2%. These figures are published by Eurostat, the statistical office of the European Union.

Immobilier-danger.com : Immobilier août 2019 : les chiffres et informations du mois

Pas de pause pour les actualités immobilières en août 2019. On continue d'obtenir de précieuses informations sur le marché immobilier que ce soit pour son activité professionnelle ou pour mieux gérer son projet. Voici les principales statistiques et informations à retenir pour l'immobilier en France ce mois-ci.

Au sommaire de cette page :

- 1. Le bilan de la Banque de France sur les crédits immobiliers

- 2. Nouveaux records pour les taux immobiliers

- 3. Attention au coût de l'assurance emprunteur

- 4. Dernières statistiques sur la construction de logements

- 5. Obligation d'un diagnostic amiante pour des travaux

Mise à jour : découvrez les actualités immobilières de septembre 2019.

Euro area international trade in goods surplus €20.6 bn

The first estimate for euro area (EA19) exports of goods to the rest of the world in June 2019 was €189.9 billion, a decrease of 4.7% compared with June 2018 (€199.3 bn). Imports from the rest of the world stood at €169.3 bn, a fall of 4.1% compared with June 2018 (€176.6 bn). As a result, the euro area recorded a €20.6 bn surplus in trade in goods with the rest of the world in June 2019, compared with +€22.6 bn in June 2018. Intra-euro area trade fell to €160.5 bn in June 2019, down by 6.6% compared with June 2018.

Les multiples casquettes d’Anne-Marie, formatrice enthousiaste

Première diplômée de la formation en pédagogie de l’école en ligne OpenClassrooms, Anne-Marie, 57 ans, est de ces personnes aux profils surprenants et surtout aux casquettes multiples. 

Pas facile de résumer son parcours : journaliste, correctrice, auteure, coach, formatrice… Mais aussi,  une vraie passion pour l’écriture. Le fil rouge de ses diverses expériences professionnelles ? L’amour pour la langue française et un goût prononcé pour l’accompagnement. Portrait.

Du journalisme à la formation, un parcours diversifié

Des études de cinéma, une école de journalisme, un Master en édition électronique et une formation en correction : au cours de sa carrière, Anne-Marie n’a jamais cessé d’apprendre

J’ai toujours choisi mes études en fonction des besoins que j’avais sur le moment et au gré de mes envies. Je fais les choses par passion, je suis pleine d’enthousiasme et j’aime le communiquer aux autres.

Au cours de sa vie, elle travaille comme journaliste, correctrice indépendante, puis se lance dans l’accompagnement et devient coach certifiée. Depuis quelques années, elle anime des ateliers méthodologiques et donne des cours en communication écrite, tout en s’intéressant aux mécanismes d’apprentissage.

En tant que correctrice, j’ai été sollicitée pour accompagner des élèves en difficulté, et leur apprendre à écrire de manière plus juste. Mais j’ai vite pris conscience qu’expliquer les règles de grammaire, même d’une manière différente, ne servait à rien. J’ai identifié le problème : il fallait d’abord les motiver, les encourager, faire germer en eux un état d’esprit favorable à l’acquisition des connaissances. C’est pour cela que je suis devenue coach, puis formatrice spécialisée dans les méthodes d’apprentissage.”

Apprentissage et voyages

Anne-Marie a beaucoup voyagé, notamment avec sa famille. Un an sur les routes de Nouvelle-Zélande, deux ans autour de la Méditerranée et en Amérique du Sud en camion, avec une traversée en cargo. Lors de ce deuxième voyage, ses trois enfants suivent les cours via le Cned. Anne-Marie se confronte alors aux difficultés de la scolarité à distance.

Deux ans à jongler avec différents profils d’apprentissage… Ces voyages ont été très enrichissants. En Nouvelle-Zélande, j’ai découvert un système éducatif très bienveillant : je me souviens d’un panneau à l’entrée de l’école indiquant les 30 façons de dire à un enfant combien il est formidable.

Cette expérience amène Anne-Marie à imaginer un accompagnement pour les familles nomades. Et avec une coach équithérapeute, elle propose également des accompagnements pour les parents ayant choisi l’instruction en famille.

Une formation pour s’initier à la conception pédagogique

En 2018, après avoir suivi une trentaine de cours chez OpenClassrooms, Anne-Marie décide de s’inscrire à la formation Ingénieur responsable pédagogique, d’une durée de six mois, en parallèle de ses activités professionnelles. Elle obtient son diplôme en juin 2019.

“Ce parcours est très riche. Avant tout, je souhaitais me former à la conception pédagogique, un sujet qui me tient particulièrement à coeur. Mais au-delà du contenu, je voulais me mettre dans une position d’apprenante et comprendre comment on appréhende une formation en ligne ».

J’ai ressenti beaucoup de liberté, et j’ai pris goût à travailler sur des projets très diversifiés.

Le parcours éveille chez Anne-Marie l’envie de creuser le sujet de l’intelligence collaborative. Comment créer des interactions lorsqu’on étudie en ligne et que tout se passe derrière un écran ? 

“Nous avons aujourd’hui la chance de disposer de tous ces outils numériques, l’apprentissage est partout accessible. L’enjeu est d’adapter les formations aux individus, tout en laissant de la place aux échanges. Parfois, il suffit d’avoir une conversation avec quelqu’un pour avoir un éclairage et sortir d’une impasse.“

Un projet de micro-learning

Anne-Marie ne compte pas s’arrêter là et elle continue de se former aux outils d’innovation pédagogique. Elle a un projet en tête pour la rentrée 2019 : créer un dispositif en micro-learning pour accompagner les jeunes dans leur apprentissage. 

Il m’importe que quiconque puisse trouver son environnement d’apprentissage. Pour cela, il faut savoir proposer des solutions créatives, être inventif.

« Avec le micro-learning, les élèves en difficulté auraient accès à des modules directement sur leur smartphone ; le but étant qu’ils prennent confiance et qu’ils apprennent à s’organiser ».

J’aime par-dessus tout permettre aux jeunes personnes de se défaire de l’étiquette du “mauvais élève” et de les réconcilier avec l’apprentissage.

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Euro area international trade in goods surplus €20.6 bn

The first estimate for euro area (EA19) exports of goods to the rest of the world in June 2019 was €189.9 billion, a decrease of 4.7% compared with June 2018 (€199.3 bn). Imports from the rest of the world stood at €169.3 bn, a fall of 4.1% compared with June 2018 (€176.6 bn). As a result, the euro area recorded a €20.6 bn surplus in trade in goods with the rest of the world in June 2019, compared with +€22.6 bn in June 2018. Intra-euro area trade fell to €160.5 bn in June 2019, down by 6.6% compared with June 2018.
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