Les deux discours prononcés par le locataire de la Maison-Blanche, les 3 et 4 juillet, à l’occasion de la fête nationale américaine sont un cas d’école. Certains, à l’instar du
San Francisco Chronicle, dénoncent un appel à la haine et à la division, d’autres, comme le
Wall Street Journal, louent ses accents patriotes. Deux versions irréconciliables qui illustrent les mille et une divisions des Américains.