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À partir d’avant-hierOpenClassrooms : le blog

Quelles sont les carrières techniques accessibles grâce à Salesforce ?

Les compétences et les certifications Salesforce developer sont créatrices d’opportunités professionnelles. Du côté technique, des postes de développeur Salesforce ou d’architecte technique sont accessibles avec la bonne formation et de l’expérience.

Les compétences Salesforce donnent accès à des salaires compétitifs : aux États-Unis, le salaire annuel d’un développeur Salesforce est en moyenne 125 000 $ et celui d’un architecte technique 150 000 $.

OpenClassrooms et Salesforce ont allié leurs forces pour créer le parcours développeur Salesforce, destiné à préparer les étudiants à l’examen donnant accès à la certification Salesforce Platform Developer I via l’éducation en ligne. Vous pouvez découvrir l’annonce de ce partenariat ici. Ce parcours est chaudement recommandé aux développeurs qui souhaitent travailler avec le logiciel Salesforce et être compétitifs.

Continuez votre lecture pour en savoir plus sur les développeurs Salesforce et découvrir comment devenir l’un d’entre eux grâce à OpenClassrooms.

Existe-t-il une demande en matière de compétences Salesforce ?

Oui ! 3,3 millions d’emplois seront créés par Salesforce et son écosystème plus large d’ici 2022. Les recherches de Burning Glass Technologies (une entreprise qui analyse le marché du travail) sur la demande d’emplois Salesforce en 2017 ont montré que le nombre d’offres de postes demandant des compétences Salesforces augmentait plus vite que la moyenne des offres d’emplois et que ces emplois étaient mieux rémunérés que ceux qui ne demandaient pas de compétences Salesforce.

Qu’est-ce qu’un développeur Salesforce ?

Un développeur Salesforce est un développeur logiciels hautement spécialisé, c’est pourquoi il a un salaire supérieur à celui d’un développeur classique. Vous pouvez en savoir plus sur la plateforme cloud CRM de Salesforce ici.

Les développeurs Salesforce font principalement de la programmation. Toutefois, une grande partie du travail de tous les professionnels Salesforce est également d’utiliser le logiciel Salesforce pour proposer des solutions pour entreprises. Cela signifie que, grâce à leur formation Salesforce, ils doivent être en mesure d’écrire le code qui fait fonctionner la plateforme, mais également d’utiliser celle-ci.

Les développeurs Salesforce construisent des fonctionnalités en créant des déclencheurs Salesforce et créent des pages Visualforce basées sur les besoins des clients.

Le modèle commercial de Salesforce fonctionne en embauchant des personnes via Salesforce pour travailler pour les entreprises qui utilisent la plateforme. Vous pouvez également travailler directement pour les entreprises qui utilisent Salesforce ou en tant que développeur Salesforce freelance.

Les compétences techniques et spécifiques le plus souvent demandées par les employeurs pour ce rôle sont : Salesforce, Apex, Visualforce, Lightning, Java/C/OOP, JavaScript, JQuery, AngularJS, Bootstrap, SQL/SOQL, et les services web.

Les compétences relationnelles les plus souvent demandées par les employeurs pour ce rôle sont : des compétences de communication, d’écriture, de résolution des problèmes, de gestion de projet, de service client, une bonne organisation, des capacités de travail en équipe et de la créativité.

Comment les développeurs utilisent-ils et mettent-ils à profit la plateforme Salesforce ?

Salesforce l’explique très bien sur son site internet :

« La plateforme Salesforce permet aux développeurs de construire et de déployer rapidement des applications cloud fiables, solides, sécurisées et évolutives sans avoir à s’inquiéter de la configuration du matériel ou des applications prérequises. Pour commencer rapidement, la plateforme donne accès à des outils et des services prêts à l’emploi pour automatiser vos processus d’affaires, les intégrer avec des applications externes, fournir des mises en page évolutives et plus encore. »

Quels sont les différents niveaux de qualification Salesforce ?

Les badges Trailhead représentent ce que vous avez appris.

Les Superbadges démontrent que vous êtes en mesure de mettre en pratique ce que vous avez appris pour résoudre des problèmes complexes et réels du monde du travail. Par exemple, pour les développeurs, il existe les Superbadges Apex Specialist, Data Integration Specialist et Lightning Experience Specialist.

Les certifications Salesforce sont la plus haute qualification disponible et démontrent votre expertise générale dans un rôle spécifique. C’est la manière la plus efficace pour vous démarquer lorsque vous postulez pour des rôles spécifiques ou des projets, et elles sont très demandées par les employeurs. En effet, une fois que vous possédez une certification (et qu’elle est à jour), vous apparaissez sur une base de données consultable par les employeurs potentiels.

Les certifications Salesforce s’obtiennent en passant un examen.

L’une des certifications est la certification Salesforce Certified Platform Developer I. C’est en se basant sur cette certification qu’OpenClassrooms a collaboré avec Salesforce pour créer et proposer le parcours développeur Salesforce.

Voyons plus en détail les prérequis de la certification Salesforce et le parcours d’OpenClassrooms :

Qu’est-ce que la certification Salesforce Platform Developer I ?

Pour obtenir le statut de Salesforce Certified Platform Developer I, vous devez réussir l’examen et pour cela, il vous faut un certain niveau d’études et d’expérience. Vous devrez avoir de l’expérience dans le développement et le déploiement de la logique métier de base et des interfaces utilisateur, en utilisant les fonctionnalités de programmation de la plateforme Lightning.

Pour réussir l’examen de Salesforce Certified Platform Developer I, Salesforce recommande généralement de posséder 1 à 2 ans d’expérience en tant que développeur et au moins six mois d’expérience de travail avec la plateforme Lightning.

L’examen Salesforce Certified Platform Developer I est composé de 60 questions à choix multiples auxquelles vous devez répondre en 110 minutes. Le score minimum pour réussir l’examen est de 65 % de bonnes réponses. Au moment où nous écrivons cet article, l’inscription à l’examen coûte 200 dollars et le tarif pour le repasser est de 100 dollars (ces deux chiffres peuvent varier en fonction des taxes de chaque pays).

Pourquoi suivre le parcours d’Openclassrooms pour acquérir les compétences spécifiques à Salesforce ?

Le parcours développeur Salesforce d’OpenClassrooms vous prépare à l’examen de Salesforce Certified Developer I et est la meilleure voie à suivre pour devenir développeur Salesforce.

 D’après Salesforce, vous devez posséder 1 à 2 ans d’expérience mais le parcours d’OpenClassrooms a été spécialement conçu en partenariat avec Salesforce pour vous guider au niveau requis sans expérience préalable dans le développement. 

En suivant le parcours développeur Salesforce d’OpenClassrooms, vous acquerrez toutes les compétences nécessaires pour être développeur classique, mais aussi l’ensemble des compétences spécifiques à Salesforce afin de réussir l’examen (si vous souhaitez obtenir leur accréditation). Salesforce requiert l’expérience, les compétences et les connaissances suivantes pour obtenir la certification – vous pouvez être sûr qu’à la fin de votre parcours développeur Salesforce d’OpenClassrooms :

  • Vous saurez utiliser les fonctionnalités de programmation clés de la plateforme Lightining pour développer des interfaces personnalisées afin d’étendre les fonctions de Salesforce et développer de la logique métier sur-mesure.
  • Vous saurez étendre la plateforme Lightning en utilisant Apex et Visualforce et vous comprendrez les composants Lightning.
  • Vous connaîtrez et saurez tirer profit des fonctions déclaratives pertinentes de la plateforme lorsque c’est approprié.
  • Vous saurez quand adopter une approche déclarative ou une approche programmatique.
  • Vous connaîtrez le cycle de développement, de la programmation aux phases de test, et les environnements disponibles.
  • Vous maîtriserez les fonctions de l’application mobile Salesforce et les bases du framework Lightning.
  • Vous saurez quand utiliser le générateur de processus Lightning ou les déclencheurs Apex.
  • Vous aurez de l’expérience dans le domaine des langages orientés objet comme Java, JavaScript, C#, Ruby et .NET.
  • Vous aurez de l’expérience dans le domaine des applications pilotées par les données et des bases de données relationnelles.
  • Vous aurez de l’expérience dans le domaine de l’architecture Modèle-vue-contrôleur (MVC) et de l’architecture orientée composants.

Comme vous pouvez le voir, OpenClassrooms vous permettra d’acquérir un ensemble impressionnant de compétences en suivant le parcours développeur Salesforce.

Inscrivez-vous dès maintenant !

 

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Les conseils de Charlène pour réussir son alternance

Les études, c’est bien, l’expérience, c’est mieux. Vous avez envie de connaître le monde de l’entreprise, de vous mettre à l’épreuve et tester vos compétences?  La solution, nous l’avons, et elle s’appelle… l’alternance!

Très prisées par nos étudiants, les formations en alternance ont le vent en poupe. D’une durée variable mais généralement longue (de 1 à 3 ans), ces formations diplômantes permet d’engranger une première expérience professionnelle, appréciée par les recruteurs. Elle vous permet de mettre en application rapidement ce que vous apprenez en formation, et de vous forger des précieuses capacités d’organisation personnelle. Et chez OpenClassrooms, vous pouvez faire cette formation diplômante en alternance… en ligne. 

Avec les conseils avisés de Charlène, étudiante chez OpenClassrooms dans la formation expert en stratégies marketing et communication, découvrez comment préparer et réussir au mieux cette période chargée en travail et en apprentissage.

Comment (bien) choisir votre entreprise?

Le choix de l’entreprise qui vous accueille en tant qu’alternant est très personnel. Il dépend de la réalité des offres, de votre formation et surtout, de vos aspirations.

A la différence d’un stage de quelques mois, l’alternance est un engagement personnel et professionnel sur le long terme. Alors renseignez-vous sur l’entreprise, ses produits, ses services et ses valeurs, avant de vous lancer. Ce qu’elle fait vous intéresse-t-il ? Les missions qu’elle vous propose sont-elles alignées avec vos attentes ?

“En parallèle de la  formation expert en marketing et communication chez OpenClassrooms, j’ai travaillé en alternance au sein d’une start-up spécialisée dans l’événementiel BtoB. Pendant plusieurs mois,  j’ai été en charge de la stratégie digitale, et je me suis notamment occupée du site internet, de son optimisation et de son développement publicitaire ».  

Avec le recul, je pense que l’idéal est de commencer par une entreprise de taille moyenne.

« En effet, l’avenir des start-up reste très incertain, l’équipe est souvent réduite et les tâches hors cadre, qui n’ont rien à voir avec le poste occupé, peuvent vite s’accumuler et devenir la norme. A contrario, dans un grand groupe, on peut vite se sentir oublié… et surtout, ne pas voir l’impact direct du travail accompli.”

Qu’est-ce qu’on attend de vous en entreprise?

La réponse est simple : on attend de vous une attitude professionnelle. Même si vous êtes encore en apprentissage, mettez-vous dans la peau d’un salarié et agissez en conséquence. Votre implication sera récompensée et votre maître d’apprentissage plus enclin à vous confier des tâches à responsabilité.

Je considère l’alternance comme la voie royale pour un étudiant qui souhaite se confronter au monde du travail.

« Encore faut-il se montrer proactif pour profiter pleinement de cette période d’apprentissage. Comment ? En prenant des initiatives, en faisant preuve de réactivité et en restant ouvert et curieux. ”

Et parce que les relations humaines comptent, ne négligez pas votre intégration au sein des équipes. Posez des questions sur le fonctionnement des services, intéressez-vous aux missions de vos collègues, participez (si votre emploi du temps le permet) à la vie de l’entreprise.

Quel rythme choisir ?

Là aussi, il existe différentes solutions, selon les besoins de l’entreprise et la fréquence de vos cours. Généralement, pour un parcours de formation d’un an, comptez un contrat de 24 mois en entreprise.

Pendant les quelques mois de mon alternance, j’ai travaillé quatre jours en entreprise, du lundi au jeudi, et j’ai réservé ma journée du vendredi à ma formation chez OpenClassrooms.

« Le rythme peut être ajusté mais c’est généralement l’entreprise qui décide. Personnellement, j’ai travaillé sur mes projets le midi, le soir et souvent le week-end, car la seule journée de vendredi ne suffisait pas. Il faut savoir que c’est un rythme très intense et que des sacrifices seront nécessaires pour tenir les délais fixés.”

Comment mener de front études et travail?

Pour affronter sereinement votre période d’alternance, deux maîtres mots : organisation et rigueur. L’équilibre entre vos cours, vos journées en entreprise et votre temps personnel n’est pas facile à atteindre. Alors, veillez à garder un agenda à portée de main, notez vos rendez-vous, anticipez les périodes de révision pour les examens. Bref, facilitez-vous la vie et octroyez-vous des moments de pause.

Le plus dur quand on commence à étudier et à travailler en alternance, c’est de savoir s’auto-gérer. Gérer son temps avant tout, mais aussi son énergie. On est vite confronté à ses limites et à son mode de fonctionnement ».

Pour faire face au rythme soutenu, il faut beaucoup de rigueur mais aussi une certaine résilience et une forte capacité d’adaptation.

Que faire en cas de pépin?

Que ce soit à l’initiative des entreprises ou de l’alternant lui-même, les ruptures de contrat sont fréquentes (plus de 160.000 chaque année). Si les missions ne vous conviennent pas ou que vous souhaitez changer d’entreprise, cela est possible. Attention toutefois à toujours communiquer avec votre employeur et à quitter votre poste en bons termes.

Profitez de la période d’essai pour faire le point sur vos missions. Cela évitera une rupture de contrat qui pourrait compromettre le cursus de formation. En effet, résilier un contrat est plus simple avant la fin de la période d’essai : cela peut se faire de manière unilatérale ou d’un commun accord avec l’employeur, en remplissant et signant un simple formulaire.”

Une résiliation est également possible si vous obtenez votre diplôme : pensez à prévenir l’entreprise deux mois avant par lettre recommandée. En revanche, si la rupture est due à une faute grave, commise par vous-mêmes ou votre employeur, il peut y avoir des poursuites judiciaires des deux parties.

Une expérience en alternance peut se révéler une belle opportunité pour votre avenir professionnel. Gare à l’épuisement et au manque d’organisation toutefois, car il s’agit d’une période intense.

Quelques ressources pour creuser un peu plus le sujet :

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Le design thinking, un booster de réunions ?

La réunionite est une pathologie contemporaine aïgue de nos organisations. Selon le cabinet Thethinklab, 90% des collaborateurs s’ennuient tellement en réunions que 73% d’entre eux travaillent sur d’autres projets pendant ce temps.

Pourquoi changer notre manière d’organiser des réunions ? Comment le design peut apporter de la valeur en réunion ?

[À suivre : notre formation UX designer ; à consulter : nos cours gratuits en Design, à découvrir, nos formations à distance]

En un mot, qu’est-ce que le Design Thinking ?

C’est une méthodologie de résolution de problèmes complexes, centrée sur les utilisateurs. Le processus créatif et collaboratif se déroule en trois phases : 1- Inspiration, 2- Idéation, 3- Implémentation.

Les ingrédients clefs du design thinking sont l’empathie que l’on doit avoir avec les utilisateurs, la qualité visuelle des supports de facilitation et de restitution, la multidisciplinarité en fonction du projet ainsi que la concrétisation des idées avec des maquettes ou prototypes. Voyons comment ces caractéristiques principales participent à booster une réunion et comment s’appuyer sur les trois étapes clefs du parcours.

Pourquoi utiliser le Design Thinking pour une réunion ?

Booster une réunion veut dire être collectivement :

  • plus productif pour un résultat plus complet et pertinent
  • plus efficient pour une meilleure gestion du temps
  • plus inclusif pour mieux engager les collaborateurs

La majorité de l’ennui résultant des réunions est dû au présentéisme pour partager des informations, dans des organisations complexes. Heureusement, il y a d’autres manières pour transmettre de l’information efficacement. Le but principal d’une réunion devrait rester celui d’apporter une solution créative à une problématique, en utilisant l’intelligence collective pour générer des idées et prendre ces décisions. Le design est une manière de faciliter la créativité à plusieurs, avec des outils adaptés.

Comment changer le format des réunions ?

Dans le monde du design, une “réunion” s’appelle “atelier”. Lors d’une réunion, il y a un “ordre du jour” avec des “présentations”. Lors d’un atelier il y a un “déroulé” avec des “supports d’animation”. Ce n’est pas seulement une différence sémantique, c’est bien l’approche de la rencontre que nous voulons changer.

Dans un atelier, on agit concrètement en incarnant notre présence, on relie les mains et la tête, le cœur et le corps, on modèle, on prototype…. On doit aussi faire évoluer l’état d’esprit des participants vers des modèles propice au changement :

  • Valeurs : professionnalisme et bienveillance
  • Posture : humilité et empathie
  • Production : participative et visuelle

Pour évoluer d’une réunion classique à un atelier collaboratif, il faut inévitablement changer le format de la rencontre :

  • Cadre : un espace insolite avec des murs dégagés plutôt qu’une grande table centrale. Ex : louer un atelier d’artiste avec une belle lumière zénithale et des plantes, aménagés avec des murs blancs, des canapés, des chaises et tables et équipés de tableaux blancs.
  • Mouvement : activer les corps en alternant les temps assis et debout plutôt que de rester immobile sur sa chaise Ex : faire une restitution d’observation avec des diapos confortablement assis dans un canapé, puis brainstormer en sous-groupe autour de tables, et présenter puis thématiser les idées debout devant un tableau.
  • Outils : des canevas créatifs pour participer collectivement plutôt que des écrans individuels Ex : Roadmap projet : utiliser un plan d’action vierge, et demander aux participants les actions qu’ils souhaitent mener ainsi que les échéances. Noter de manière bien visible sur des post-its et les placer à la vue de tous sur la roadmap.

Comment se déroule un atelier ?

Le déroulé d’un atelier est crucial pour son succès. On peut le construire à l’image d’une expérience collaborative, comme un parcours d’un service avec les différentes phases :

Avant

  • Préparation : partager l’objet afin que chacun puisse y réfléchir

Pendant

  • Réveil : animer les corps et les esprits avec des activités interactives
  • Cadrage : demander à chacun ses objectifs collectifs et individuels
  • Immersion : échanger les faits et établir une problématique commune
  • Conceptualisation : partager les idées et sélectionner un concept
  • Implémentation : visualiser une solution et établir un plan d’action
  • Adieu : répartir les tâches aux participants et fixer une prochaine date

Après

  • Restitution : Envoyer une note en fin de réunion sous forme visuelle avec des photos et diagrammes.

Quels sont les bénéfices de l’usage du Design Thinking ?

In fine, les impacts de l’utilisation de nouvelles méthodes d’animation de réunion sont multiples. Les collaborateurs prenant part aux décisions seront mieux valorisés et auront plus confiance en eux. La facilitation créative et collective stimulera l’idéation et l’innovation. Un plan d’action partagé impliquera chacun dans la mise en œuvre concrète.

Profitez de ce moment pour penser à la prochaine réunion que vous devez organiser. Mettez vous dans la peau d’un artisan d’art et invitez tous les participants dans votre atelier. Ils en ressortiront dynamisés et enthousiastes pour atteindre ensemble les objectifs de votre projet !

En conclusion, nous suggérons que le Design Thinking peut aider à activer efficacement la prise de décision et la génération d’idée. Même s’il existe d’autres manières pour partager de l’information, il reste nécessaire parfois dans des projets complexes de se réunir dans cet objectif. Ainsi, il faudrait très certainement réinventer le format de ce type de réunion, et cela pourrait être l’objet d’un prochain article. Comment réinventer le partage d’information en entreprise ? Un projet de Design Thinking pourrait tout à fait y répondre.

À propos de Yoann : 

Yoann Rouillac est designer stratégique au sein du cabinet de conseil en stratégie opérationnelle Tenzing Conseil, entreprise à impact. Il met les outils et méthodes du design au service de problématiques stratégiques des clients. Très sensible aux enjeux écologiques, il s’efforce de créer des solutions impactantes socialement et environnementalement.

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La check-list des bonnes pratiques à adopter entre deux entretiens

Par : Lou Dumas

Entretien 1, c’est plié. Processus bouclé ? Pas tout à fait car, si c’est une bonne chose de faite… vous êtes dans l’attente du suivant. Bingo, le recruteur vous rappelle suite pour un deuxième entretien… Votre votre formation en ligne chez OpenClassrooms et votre motivation l’ont interpellé ! Dans l’intervalle, vous ne comptez tout de même pas en rester là ?

OpenClassrooms vous explique point par point comment profiter des quelques jours qu’il vous reste pour mettre toutes les chances de votre côté et relancer intelligemment votre interlocuteur.

Pour élaborer cette check-list, nous avons sollicité les lumières d’une experte, Marion Comolet, membre de l’équipe Talent Solutions chez LinkedIn anciennement RH responsable du recrutement chez Parfums Christian Dior (LVMH).

« Avant toute chose, demandez au recruteur de s’avancer sur un calendrier de recrutement. Une fois qu’il s’est engagé sur une date maximale de retour, il vous sera plus facile de relancer et surtout de savoir quand le faire. »

Maximiser ses chances

Renforcer son CV a posteriori

Vous avez une faiblesse sur un point par manque de connaissances ou d’expérience sur le sujet ? Il vous reste quelques jours pour rectifier le tir et prendre les devants en suivant – pourquoi pas ? – un cours en ligne !

« Par exemple on a testé votre niveau en espagnol, vous n’avez pas été satisfait(e) de votre performance, vous pouvez parfaitement expliquer que vous êtes prêt(e) à entreprendre des démarches pour vous améliorer. Attention cependant à ne pas focaliser l’attention du recruteur dessus, il avait peut-être trouvé votre niveau suffisant. »

Prouver sa proactivité

Vous pouvez également vous inscrire à une formation qui démontrera votre proactivité lors du prochain round. Vous pourrez ainsi revendiquer une corde de plus à votre arc, à venir très prochainement.

Ne pas proposer l’irréalisable toutefois, vous ne pourrez pas apprendre à coder d’ici l’entretien suivant. Quoique… 

Booster votre préparation

Vous en voulez encore plus sur les subtilités du poste, de l’entreprise, du secteur ? Vous avez la possibilité d’interroger des salariés, en restant bien entendu courtois et respectueux de leur temps. Privilégiez pour cela de courts entretiens téléphoniques ou des messages LinkedIn ciblés.

Relancer avec pertinence

Remercier, tout simplement

Simple, rapide, efficace.

On pense que tous les candidats font des mails de remerciement mais je peux vous assurer que ce n’est pas le cas.

Poser des questions appropriées

Votre interlocuteur ne pourra pas vous reprocher de vouloir prolonger la discussion, à condition que vos interventions soient à propos. Que ce soient des questions qui vous taraudent a posteriori…

Ou des références “clin d’œil”

Article intéressant reprenant un sujet abordé, documentation diverse (liens, vidéos…) : posez-vous toujours la question de leur valeur ajoutée pour votre interlocuteur. Si celle-ci vous paraît élevée, vous pourriez bien faire la différence avec ce genre de propositions : elles suggèrent ce que vous pourriez apporter à l’équipe par la suite !

« Certains recruteurs ne souhaiteront pas nécessairement ces informations, d’autres les apprécieront, l’important est de comprendre leurs attentes. Une excellente candidate que j’ai rencontrée il y a quelques années m’avait fait suivre après un entretien un livre qu’elle lisait sur les enjeux d’un nouveau secteur pour lequel je recrutais. Ce n’est pas la raison pour laquelle elle a été recrutée mais c’est un petit plus non négligeable ! »

Les limites de l’exercice

Ce genre de relance se fait par mail, il faut savoir que les processus de recrutement sont toujours plus longs que prévu, il est donc nécessaire de relancer de façon professionnelle, calme et bienveillante vis-à-vis du recruteur.

Time is the limit!

N’abusez pas du temps de vos interlocuteurs. Le principal écueil à éviter ? L’effet pot de colle. Qui voudrait d’une sangsue dans son équipe au quotidien ?

Précision, concision, pertinence

Prenez ces trois conditions comme un triangle d’or pour vos interventions entre deux entretiens. Demandez-vous toujours si ce que vous vous apprêtez à envoyer répond bien à cette trilogie de critères gagnants. Pas de précipitation donc : tout est possible jusqu’à quelques heures avant la prochaine interview !

« Dans tous les cas, les emails doivent être rédigés avec le plus grand soin, attention aux fautes d’orthographe, n’hésitez pas à les faire relire car le stress peut parfois vous faire passer à côté d’erreurs. »

La question du last minute

Si les timings sont courts, il n’en reste pas moins important d’anticiper un tout petit peu. Votre interlocuteur 1 doit avoir le temps de vanter vos mérites à votre interlocuteur 2 à la machine à café…

« Vous pouvez à la fin de vos entretiens demander « Y a-t-il un moment où vous serez moins joignable dans les jours qui viennent ? », car rien ne sert d’attendre si le recruteur est parti en vacances et au moins vous savez à quoi vous en tenir. »

Vous détenez désormais la check-list idéale pour optimiser votre temps entre deux entretiens… il ne reste plus qu’à déterminer quelles sont les options les plus adaptées à votre cas et – surtout – à vous faire confiance. N’hésitez pas par ailleurs à ressortir ce guide en cas de troisième ou quatrième entretien…

Enfin maintenez la relation en éveil.

« Il se peut que vous ne soyez pas sélectionné(e) pour ce poste ou que l’entretien soit exploratoire, vous faites alors partie des viviers de talents de l’entreprise, n’hésitez pas à entretenir cette relation ! Envoyez de vos nouvelles (pas plus de deux fois par an). J’ai de nombreux exemples de candidats qui ont ainsi été embauchés des mois ou des années plus tard. »

Bonne chance !

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Qu’est-ce que Salesforce ? Pourquoi devenir développeur Salesforce ?

Par : Nora Leon

Dans cet article, nous vous présentons les services proposés par Salesforce et nous vous expliquons pourquoi faire une formation Salesforce developer est un choix de carrière stratégique. Salesforce est une entreprise mondiale à la pointe de la technologie des logiciels cloud CRM, qui fournit des solutions pour des entreprises de premier plan dans le monde entier.

Qu’est-ce que cela signifie ? Toute entreprise a besoin d’interagir avec ses clients. Et pour prospérer, elle doit le faire efficacement. Ces interactions couvrent notamment le marketing, la vente, le commerce, le support client. Pour que tout soit simple, les entreprises ont besoin d’un logiciel intelligent conçu et utilisé par des professionnels qualifiés.

C’est précisément ce service que Salesforce fournit. Salesforce « booste » chaque interaction entreprise-client pour ses clients, qui comptent plus de 150 000 entreprises de secteurs variés dans le monde. Parmi elles, Amazon Web Services, Virgin Media, Coca-Cola, Kuoni, Eurostar, Ocado et Aston Martin.

Le portefeuille de clients de Salesforce grandit chaque jour, ainsi que sa demande en matière de développeurs Salesforce qualifiés pour maintenir et personnaliser le logiciel pour chacun des clients.

Pour répondre à cette demande, OpenClassrooms et Salesforce ont collaboré afin de créer un parcours développeur Salesforce sur-mesure qui permettra d’acquérir les compétences nécessaires à une carrière en tant que développeur Salesforce – et qui vous préparera pour l’examen Salesforce Certified Platform Developer I.

Être développeur Salesforce certifié vous garantit d’être très demandé et vous assure une carrière stimulante dans le domaine de la technologie cloud CRM.

Alors, quels sont les détails de cette opportunité ?

La gestion de la Relation Client

Salesforce est une plateforme de gestion de la relation client (CRM). Chaque entreprise a besoin d’un CRM.

La gestion de la relation client est un mélange des stratégies utilisées par une entreprise pour gérer les interactions avec ses clients, afin de rester en contact avec eux et cultiver leur relation et leur loyauté de manière intelligente et professionnelle. Elle est également utilisée pour attirer de nouveaux clients potentiels vers l’entreprise.

Une plateforme CRM est utilisée pour faire correspondre le marketing aux objectifs de chiffre d’affaires et simplifier les processus. C’est un moyen de rassembler, d’analyser et d’utiliser des données commerciales à jour – y compris les données des ventes, du marketing, du service client et des réseaux sociaux – et de tout visualiser au même endroit.

C’est un outil commercial efficace, qui assure aux entreprises de ne jamais rater une information, une tendance ou une communication importante. Toute entreprise moderne qui n’utilise pas de plateforme CRM est largement désavantagée.

Cependant, il faut des compétences et une certification pour développer ces plateformes CRM. La formation développeur Salesforce d’OpenClassrooms vous permet d’acquérir ces compétences et de vous préparer à l’examen nécessaire pour obtenir la certification.

Un outil construit sur le cloud

Salesforce est basé sur le cloud, ce qui signifie que le logiciel est hébergé sur le cloud et qu’on y accède par internet.

Une plateforme cloud CRM permet un développement plus rapide, un accès fluide, une utilisation facile et des mises à jour automatiques. C’est un outil rentable et évolutif, fiable, avec des hauts niveaux de sécurité, de flexibilité et une compatibilité accrue.

L’International Data Corporation (IDC) a rapporté que les dépenses des entreprises en matière de services et d’infrastructures cloud continueront d’augmenter en 2019 et prédit une croissance de 23 % par rapport à 2018. Sur la période 2017-2022, elle prévoit une augmentation du marché chaque année, pour atteindre une dépense pour les services cloud publics de 370 milliards de dollars en 2022.

Cela signifie que la demande en matière d’emplois pour maintenir et développer ces services est également en augmentation.

Le modèle commercial de Salesforce est construit de telle manière que des personnes peuvent être embauchées via Salesforce pour travailler pour les entreprises qui utilisent sa plateforme. Vous pouvez également travailler pour les entreprises qui utilisent Salesforce directement, ou bien en tant que développeur Salesforce freelance. Afin d’être compétitif et de réussir sur la plateforme Salesforce, vous aurez besoin des certifications appropriées. Le parcours développeur Salesforce d’OpenClassrooms vous donnera accès à cette opportunité.

En savoir plus sur Salesforce

Le CRM et l’informatique cloud font partie de la révolution technologique qui a un eu un impact considérable sur les entreprises. Salesforce conserve sa réputation impressionnante de leader du marché des plateformes CRM.

L’entreprise apporte 5 éléments essentiels aux entreprises :

  1. L’innovation – Salesforce se place loin devant les autres fournisseurs de CRM ce qui donne à ses utilisateurs un avantage notable par rapport à leurs concurrents pour évoluer et conserver leur avance. Avec Salesforce, la technologie de l’information devient la technologie de l’innovation.
  2. Une plateforme – Tout est rassemblé au même endroit et la plateforme intègre de nombreuses applications différentes grâce à AppExchange. Cela permet une expérience utilisateur simple, intuitive et pratique et rend possible l’innovation.
  3. De la productivité – Salesforce propose sa plateforme Lightning, entièrement personnalisable, qui a fait ses preuves en tant que moteur d’efficacité et de croissance.
  4. De la mobilité – La plateforme fonctionne sur mobile et possède une application sophistiquée, ce qui signifie que les employés de l’entreprise peuvent l’utiliser partout, à tout moment, créant des possibilités illimitées en matière d’efficacité.
  5. Une communauté – Salesforce compte plus de 2,3 millions de membres qui forment une communauté solide appelée « Trailblazer », composée d’individus, de partenaires et de développeurs qui utilisent tous la plateforme et partagent leur expertise et leurs expériences. Cet accès à la communauté est un avantage immense pour votre carrière.

 

Inscrivez-vous à la formation développeur Salesforce d’OpenClassrooms dès aujourd’hui !

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[Secteur] Pourquoi et comment travailler dans la FinTech ?

Par : Nora Leon

Avec près de 400 millions d’euros levés par près de 70 entreprises en 2018, la FinTech a le vent en poupe.

Puisque la formation en ligne OpenClassrooms se met un point d’honneur à accompagner ses diplômés vers l’emploi, nous avons rencontré Amélie Bérille, spécialiste en recrutement à l’international, experte dans le domaine et recruteuse chez Payment & Cards Network.

Amélie nous a éclairé sur les actualités dans ce secteur, ainsi que les pré-requis pour y travailler. Tour d’horizon d’un marché en hyper-croissance qui recrute dans tous les domaines d’expertise.

Un secteur en prise de vitesse

La FinTech, définition

La FinTech est née du croisement de la finance et de la technologie.

C’est un marché innovant, qui repense des services financiers ou bancaires en utilisant de nouvelles technologies ou en créant de nouveaux usages.

Le secteur de la FinTech regroupe différents acteurs : néo-banques, AssurTech, RegTech, entreprises de paiement, financement participatif ou encore crypto-monnaies.

Quelles évolutions pour ce secteur ?

Le secteur de la FinTech en pleine expansion et de nombreux acteurs entrent en jeu tous les ans. Selon France FinTech, on peut compter plus d’une centaine d’acteurs sur le marché Français. Parmi eux, on peut citer par exemple Leetchi, Qonto, Spendesk, October, Treezor ou encore Pumpkin.

Le nombre de levées de fond réalisées par les FinTech a aussi fait un bond, passant de 172 millions (2015) à 318 millions (2017). Un chiffre qui s’est encore amplifié en 2018 (365 millions) et reste en constante augmentation.

C’est un secteur en pleine croissance, qui recrute. Les entreprises grandissent et s’internationalisent rapidement, soit en créant des bureaux à l’étranger, soit en s’exportant à l’international depuis la France.

La FinTech recrute dans toutes les spécialités

Des défis multiples

Les FinTechs ont comme mission de dépoussiérer le secteur bancaire traditionnel, notamment à coup d’innovations ou encore d’expérience client revisitée.

Entre fusion, acquisition et grosses levées de fonds, le secteur se structure et mûrit.

Ces entreprises évoluent dans un cadre très réglementé, notamment avec de nouvelles lois européennes telles que la RGPD ou la DSP2. “Ces réglementations peuvent être des freins mais aussi de vraies sources d’opportunités et d’accélération.”

L’enjeu est d’innover et toujours se développer dans un cadre qui peut être contraignant.

Des problématiques de recrutement

Qui dit croissance dit embauches, et notamment des profils commerciaux, techniques, technico-fonctionnels ou experts dans certains domaines.

Les entreprises recherchent des profils très variés, assure Amélie. 10 à 30% des postes à pourvoir sont des rôles IT : Développement web, DevOps, Data, Chef de Projet Technique, etc.  Des connaissances en IA, blockchain, machine learning ou la capacité à comprendre d’une API sont souvent appréciées. Des postes dans la Fraude, Risques ou encore la Conformité sont aussi nombreux.

Les FinTechs sont comme toutes autres entreprises ont aussi des fonctions supports : marketing et communication, ressources humaines, finance, comptabilité… »

En fonction de l’entreprise (sa taille, le niveau de maturité de son produit), ces besoins changent. Certains recrutements sont aussi intimement liés au produit : “Par exemple, une FinTech avec une solution B2C de type app mobile va plutôt rechercher des personnes dans ce domaine.”

Les profils très techniques ou liés à une expertise particulière peuvent être plus difficiles à identifier. ”Ce n’est pas spécifique à la FinTech, mais ces profils sont rares et il peut être compliqué de les attirer. C’est plutôt un marché qui va être drivé par les candidats que les entreprises”.

Il s’agit donc d’aller chercher ces candidats et les attirer, ce qui fait pleinement parti du rôle des recruteurs!

Sur des critères précis

Quels sont les pré-requis ?

Contrairement aux idées reçues, il n’est absolument pas nécessaire d’avoir travaillé en banques ou assurances pour intégrer une FinTech.

De manière générale, les profils avec une vraie culture web, Tech et venant d’environnements IT, Software, e-commerce, mobiles, ou du paiement par exemple sont souvent privilégiés.”

Mais la curiosité est clé : “Étant de fait des Start Up – ou anciennes Start Up – avec une profonde identité Tech, les Fintech recherchent des talents avec ce même mindset. Curieux, touche à tout, et doté d’un brin d’esprit entrepreneurial seraient sûrement les fondamentaux du profil idéal. On pourrait également ajouter la capacité à innover, à repenser, à s’adapter – sans oublier l’agilité”.

Quelles compétences sont décisives ?

Il faut être motivé, curieux et intéressé par le secteur. L’important est de trouver la bonne FinTech et le bon poste pour un profil donné.

“En termes de soft-skills, on cherche des personnes qui savent innover, s’adapter, entreprendre, évoluer dans un environnement agile et international. Une start-up est en permanente évolution, donc pour réussir, les employés doivent aussi adhérer à la mission, et avoir un vrai esprit d’équipe”.

Pour postuler, Amélie nous transmet plusieurs conseils avisés :

  • Il faut vraiment s’adapter au type d’entreprise. Pour moi, la lettre de motivation classique n’est plus trop d’actualité. Il vaut mieux un CV bien ciblé, adapté en fonction du poste, et surtout un mail de contact vraiment personnalisé. Le candidat doit dire ce qu’il peut apporter, avec un ton adapté, de manière synthétique.
  • On ne s’embarrasse pas des formules ronflantes et à rallonge, le ton est plus informel que dans une banque traditionnelle.
  • Pensez à identifier les Recruteurs, Chasseurs de tête ou agences de recrutement dans le domaine et contactez-les !
  • Le réseau est aussi important. On peut parfois envoyer un message à un directeur, ou au recruteur sur LinkedIn pour échanger, se renseigner, être curieux…”

    L’expérience montre souvent qu’y aller un peu au culot peut payer.

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Burn-out : la formation comme une thérapie. Le témoignage de Yann

Sans logement et avec un travail qui le pousse au burn-out, Yann Clément, papa à temps plein, décide de reprendre les choses en mains. Première étape : élargir ses perspectives d’avenir. Il décide donc de suivre la formation chef de projet digital. Patient, méthodique et déterminé, il commence alors à placer ses pions.

Quel a été pour toi le signal de départ ?

« Je travaille en temps que spécialiste produit dans un centre d’appel. J’aide mes interlocuteurs, mais j’ai aussi le nez dans les statistiques et les process. Cela fait beaucoup de travail ».

En 2015, j’ai été arrêté un mois et demi en raison d’un burn-out. C’est alors que j’ai décidé de commencer à me former. Une manière pour moi de redonner un sens à ma vie et d’avancer.

Pourquoi t’être tourné vers OpenClassrooms  ?

« Je cherchais une formation en présentiel, critère alors très important pour moi, sauf que j’habite à Troye dans l’Aube et que par ici… il n’y en a pas beaucoup. Celles que je visaient se trouvaient à Paris, mais pour moi ce n’était pas une option. Je ne pouvais pas laisser ma femme gérer seule notre petite fille. Après avoir finalement trouvé des aides pour le financement, je me lance donc sans grandes attentes dans la formation chef de projet digital. Nous sommes en 2016, j’ai douze mois devant moi pour y arriver, pas un de plus ».

Je ne le sais pas encore, mais ça va devenir très sport.

À cause du burn-out  ?

« Pas seulement. Cette année-là, notre première fille avait sept ans et notre deuxième à peine un an. Nous faisions alors construire une maison. Les travaux ayant pris du retard, nous avons dû nous loger chez un couple d’amis… qui avaient aussi deux enfants ». 

Je devais à nouveau gérer le travail, ma famille, mais aussi les travaux et ma reconversion.

« Pour un début de formation, c’était vraiment compliqué, mais j’avais tout de même de la chance dans toute cette histoire : les vidéos de la formation étaient accessibles H24. Je travaillais donc la nuit entre 21h et 1h du matin ».

J’avais aussi un mentor très impliqué dans mon parcours. En plus de m’aider à me former, il devenait un véritable point d’appui pour avancer.

As-tu réussi ta formation dans les temps ?

Oui, malgré cette situation compliquée, j’ai réussi à boucler le parcours dans les douze mois.

« Dans ces conditions, se fixer une deadline a vraiment du bon, elle permet de rester concentré et motivé, même avec un travail ou des conditions difficiles  à côté. Une fois arrivé à la fin, je me suis octroyé trois mois de pause. J’ai ensuite décidé de me lancer dans une autre formation, complémentaire à la première, celle de product manager. À l’heure où on se parle, je suis encore dessus. »

Comment t’organises-tu pour celle-ci ?

« Je n’ai plus mes problèmes de maison, mais j’ai toujours ma vie de famille et mon travail à assurer. Aussi le niveau bac+5 de cette formation demande un travail supérieur à la précédente ».

Mes journées sont donc régies par une organisation quasi militaire qui commence à 6h.

« Je pense que c’est aussi ça qui me permet de tenir le rythme. Cela avait fonctionné la première fois, je continue donc sur la même lancée et me forme tous les jours à partir de 21h. »

Comment imagines-tu la suite ?

« Je suis toujours en poste, mais j’envisage désormais de changer. Je vais me tourner vers un travail plus en phase avec mes nouvelles formations. J’ai commencé à faire des recherches, mais j’avoue me laisser du temps. J’envisage même d’effectuer une troisième formation avant de vraiment me lancer, celle de DevOps. Les formations d’OpenClassrooms offrent à chaque fois de nouvelles portes de sortie, je veux donc m’assurer de trouver le bon secteur et ouvrir celle qui me correspond le mieux. »

Tu es passé de suspicieux à addict aux formations on dirait ?

Plus qu’addict, évangéliste même ! Elles m’ont redonné confiance en moi, redonné l’envie d’apprendre et d’aimer son travail, choses que l’on perd en situation de burn-out.

« Grâce à cela j’ai réussi à convertir cinq personnes de faire pareil, des profils totalement différents. Je m’amuse même à les coacher et les accompagner. Il y a aussi des personnes qui sont là pour moi si j’en ai besoin. C’est un point qui est vraiment bien avec OpenClassrooms. On accède à une véritable communauté sur laquelle on peut compter. Un véritable réseau dans lequel on crée du lien et sur lequel on peut se reconstruire. »

En situation de reconversion, à chacun son rythme. La quarantaine passée, Yann a décidé de prendre son temps, pour lui ce n’est pas un problème. Une stratégie qui s’avère payante, alors même que les conditions ne jouent vraiment pas en sa faveur. Son secret : un optimisme sans faille et une organisation bien rodée. Il le dit lui-même :

Quel que soit le parcours, quel que soit l’âge, il n’y a pas de limite à ces formations. Hormis celles qu’on s’impose.

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Pourquoi manager par la confiance ?

Dans le monde des entreprises, la course à l’innovation se joue aussi à l’échelle humaine. En termes de management, l’objectif est généralement d’intégrer ce cercle vertueux alliant performances économiques et bien-être des salariés, mais comment faire ?

Élodie Baussand et Arnaud Regnier, associés du cabinet Tenzing Conseil, nous en disent plus sur l’attitude à adopter en s’appuyant sur l’un des piliers de leur organisation : le management par la confiance.

Le management par la confiance, c’est quoi ?

« C’est un management basé sur l’équilibre entre confiance et accompagnement. D’un côté, nous faisons confiance à nos consultants en leur donnant des responsabilités. De l’autre, nous les accompagnons dans le bon déroulement de leurs missions. » – Arnaud Regnier

Cette culture managériale est le principal des cinq piliers sur lesquels s’est bâti le cabinet. La confiance est l’essence même de l’organisation. Cette notion se traduit par une réelle volonté de faire prendre conscience à chacun des employés des forces dont ils disposent, de les utiliser et d’avoir un regard objectif sur qui ils sont, ce qu’ils sont en mesure de faire.

« Cette introspection est surtout valable pour les axes d’amélioration » nous explique Élodie, « manager par la confiance, c’est avant tout amener chacun des employés à adopter un point de vue critique quand il le faut ». Une quête d’objectivité qui intègre plus largement une véritable « culture du feedback » à part entière, primordiale quel que soit le style de management. Les retours sont des maillons essentiels au processus d’amélioration. Ils sont synonymes de transparence et in fine : source de confiance.

En quoi est-ce un management différent ?

Pour réellement fonctionner, les notions de « confiance » et « différence » doivent se retrouver dans toutes les strates de l’entreprise. En bonne entreprise sociale, Tenzing les intègre dans sa mission première : « réduire les inégalités » et y fait référence dans chacun de ses piliers.

Pilier n°1 – La promotion des talents

Tenzing favorise la reconnaissance des jeunes de milieux modestes « en leur donnant accès aux métiers du conseil », commence Élodie, « un véritable tremplin, car dans cette culture fortement élitiste, les origines sont souvent un facteur d’exclusion ».

Pilier n°2 – Un mode de recrutement ouvert

« Nous avons pour cela mis en place un recrutement véritablement ouvert, nous permettant de passer d’une culture du diplôme à celui de la compétence » poursuit-elle, « chez nous, cela se matérialise par un ou deux recrutements de profils atypiques »

Pilier n°3 – Un modèle de gouvernance partagée

Point très important : Tenzing est une entreprise hybride détenue par sa propre association. « Cela nous permet de faire cause commune, d’acter que nous partageons une même vision de ce que doit être l’entreprise : plus redistributive et prenant sa part à la résolution de problèmes de société », explique-t-elle.

Pilier n°4 – Le partage de la valeur financière

« 100% des bénéfices redistribuables le sont pour des associations », termine-t-elle. De quoi donner plus de sens à son travail et se différencier du schéma classique d’une entreprise.

Pour impliquer ses équipes, Tenzing mise tout sur la mixité et les parcours très différents de chacun. « L’idée ici est d’entretenir la personnalité dans le management pour ne pas entrer dans une logique de formation. Celle des cabinets de conseil plus traditionnels, dans lesquels tout le monde serait dans le même moule. Cette différence a aussi de la valeur pour nos clients » conclut Arnaud.

Après « faire confiance », le véritable second mot d’ordre chez Tenzing est : « cultiver la différence », et ce à tous les niveaux : dans le recrutement, dans la gouvernance et jusque dans les actions.

Objectifs et mise en place

Quelles que soient les particularités de chaque maillon, tous doivent remplir leurs rôles de manière optimale. « L’idée est donc d’établir de vrais liens entre managers et managés » explique Élodie, « il est impératif que les employés comprennent que les managers sont là pour les accompagner, les aider à se développer » et non pas les contrôler à la tâche ou les sanctionner.

« Le management par la confiance, c’est avant tout avoir confiance en son management » – Élodie Baussand

En plus du solide combo « mission première + cinq piliers » cela passe aussi par le bon sens des managers et le respect des règles de management classiques :

  • L’écoute
  • L’exemplarité
  • La considération
  • La remise en question
  • La transparence dans les actions et la communication, etc.

Ainsi réglés, les rouages du management par la confiance ont tout pour bien tourner. Attention toutefois, il existe des risques à prendre en compte avant de se lancer.

Comment assurer le succès de cette approche ?

Le management par la confiance passe par une réelle conduite du changement et de nombreuses expérimentations. « On ne s’arrête pas à de petites bonnes intentions de type bienveillance, droit à l’erreur, non, il faut aller chercher la vraie subsidiarité » explique Arnaud.

« Il faut accepter que chacun prenne ses responsabilités, et ça, c’est dur ».

Manager par la confiance, signifie donc mettre son ego de côté, accepter de déléguer… accepter de faire confiance.

« L’un des autres risques dans ce type de management, c’est aussi la possibilité que certains employés prennent mal les retours », ajoute Élodie. Quand une entreprise applique une stratégie de management par la confiance, la personnalité de chacun est directement exposée. C’est pourquoi il se crée des liens plus forts que d’habitude. Quand tout va bien, c’est parfait, mais en cas de coup dur, cela peut faire mal.

« On est en confiance, on exprime ses opinions, on exprime qui on est, mais il ne faut pas oublier qu’on reste dans un environnement professionnel. » – Élodie Baussand

Enfin, la confiance accordée laisse également place à une forme de liberté qui peut poser problème à certains profils demandant à être encadrés. Pour eux, la liberté peut se transformer en pression et devenir source de stress. Pour pallier à ces risques, l’entreprise doit donc impérativement déployer des capteurs permettant d’évaluer tout au long de l’année le moral des troupes. Chez Tenzing, un système interne d’évaluation à 360 entre collaborateurs a été mis en place. Ils utilisent des outils comme Bloomin pour mesurer et agir rapidement si besoin.

« Il est également bon d’organiser trois à quatre événements par ans », ajoute Arnaud, « organisés par des prestataires extérieurs si possible, car cela reste le meilleur moyen de libérer la parole et non plus la conditionner au sein même de l’entreprise ».

Pour conclure

Le management par la confiance permet aux entreprises d’ouvrir de nouvelles portes et de saisir de nouvelles opportunités en révélant des talents. C’est un terreau particulièrement fertile si, à l’image de Tenzing, les notions de « confiance » et « différence » sont réellement prises en compte dans toutes les strates de l’entreprise : de la mission première et les piliers jusque dans le recrutement, les actions et la considération des risques.

Les entreprises mettent beaucoup de modèles collaboratifs et agiles en place pour casser les silos, mais tout cela n’est vraiment efficace que si on manage correctement par la confiance. Nous le constatons tous les jours sur le terrain, c’est un sujet qui plaît, mais qui est très difficile à mettre en œuvre. Il y a une tendance, toutefois les entreprises n’y sont pas encore. – Arnaud Reigner

Le management par la confiance n’en serait-il qu’à ses débuts ?

 

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De militaire à scrum master, la reconversion de Cédric

Cédric a passé 5 ans en tant que Sergent dans l’Armée de Terre, principalement en tant qu’instructeur pour les jeunes recrues. La voie militaire était logique dans son parcours car son père était légionnaire. Depuis sa reconversion, il a pu évoluer sur des missions de product management. Il est aujourd’hui comme Scrum Master au sein de la Banque Internationale de Luxembourg.

Depuis, Cédric est également devenu mentor chez OpenClassrooms pour accompagner des étudiants et renforcer ses compétences transverses.

Comment est-il passé de militaire à Scrum Master et mentor ? Portrait.

Comment as-tu réalisé ta reconversion ?

J’ai loupé le coche de reconversion avec l’armée : je n’avais pas réalisé les démarches à temps pour la préparer. Ainsi, j’ai pris les devants avec Pôle Emploi pour ouvrir les droits. J’ai pu bénéficier d’une subvention de la région pour la formation développeur web sur OpenClassrooms.

Souvent, on est redirigé vers des organismes de formation traditionnels, délocalisés par rapport aux zones d’habitation et des zones d’affectation du régiment. En termes de transport, c’est loin d’être l’idéal et les conditions ne sont pas optimales.

C’est là qu’OpenClassrooms, solution 100% en ligne, s’avère intéressante, quel que soit notre lieu de résidence.

Je connaissais déjà OpenClassrooms avant cette reconversion : lorsqu’on n’est pas en opération avec l’armée, il y a beaucoup de temps d’attente en métropole. Je suivais des cours chez OpenClassrooms pendant ces moments au régiment. Pour toute personne qui se pose la question de se reconvertir, c’est une façon de découvrir le site.

Quels défis as-tu relevés en formation ?

L’autonomie, c’est une autodiscipline qu’on a déjà en étant militaire et le développement de nos compétences est aussi inscrit dans le code du soldat. Cela ne nous change pas du quotidien.

En temps que militaire, on passe beaucoup de temps à faire des formations tout au long de notre carrière. Dans le cadre de ma reconversion, c’était plaisant car la formation OpenClassrooms est en adéquation avec les besoins du métier : c’est adapté à ce que les recruteurs recherchent.  

J’ai particulièrement apprécié l’aspect pratique, concret, et opérationnel des projets.

 

Comment OpenClassrooms t’a-t-elle accompagné ?

OpenClassrooms m’a vraiment accompagné de manière personnalisée. Des gens sont là pour vous, il y a un vrai suivi.

Petite anecdote : mon mentor était aussi un ancien militaire. Cela m’a encore plus stimulé : je me suis dis que s’il avait réussi, je pouvais aussi y arriver.

C’est une grande famille, même si on ne porte plus l’uniforme. Savoir que des mentors sont des anciens militaires nous rassure vraiment.

Quels conseils donnerais-tu à un militaire qui souhaite se reconvertir ?

L’armée est une belle expérience de vie et apporte de vraies valeurs. En revanche, il est difficile de transposer les compétences techniques militaires dans le domaine civil ; même si mon rêve d’enfant était de devenir mercenaire, j’ai vite compris que cela n’était pas possible.

Beaucoup de militaires ne vont pas vers les métiers du numérique car ils ne les connaissent pas ou peu et peuvent avoir peur de l’inconnu.

Mais au contraire, est intéressant et possible de les exercer.  Les reconversions traditionnelles sont chauffeur de poids lourd ou agent de sécurité. Si on veut être ambitieux, et évoluer de manière professionnelle, il faut choisir les métiers qui ont le vent en poupe et de l’avenir. De plus, on peut acquérir des compétences et des connaissances tout en étant soldat.

Pour réaliser et réussir une reconversion, on peut appliquer certaines règles présentes dans le code du soldat : autodiscipline, introspection, rigueur. Les “soft skills” qu’on obtient à l’armée permettent aussi de réussir une formation. Il faut s’appuyer dessus et oser s’ouvrir à des perspectives nouvelles.  

À propos des auteurs de cet article

Aurélie est Mentorship Manager chez OpenClassrooms. Elle fait partie de l’équipe qui sélectionne les meilleurs profils de professionnels et accompagne les mentors tout au long de leur expérience chez OpenClassrooms, leur garantissant une bonne collaboration.

 

 

Antoine est responsable partenariats chez OpenClassrooms. Il fait partie de l’équipe qui permet aux publics éloignés de l’emploi (notamment les jeunes décrocheurs, vétérans de l’armée ou encore réfugiés) d’accéder à une formation pour faire avancer leur carrière.

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Comment maximiser l’impact social d’une entreprise ?

La prise de conscience de la responsabilité sociale des entreprises (RSE) et le soulèvement général de l’économie sociale et solidaire (ESS) ont propulsé la notion d’impact social sur le devant de la scène entrepreneuriale. Beaucoup de structures cherchent désormais à maximiser cette conception, qui demeure, pour certains, relativement lointaine et floue.

De quoi parle-t-on vraiment ? Comment se lancer ? Comment avoir un impact réellement positif et le maximiser ?

Nous en avons discuté avec trois experts en la matière : Élodie Baussand et Arnaud Regnier, associés chez Tenzing Conseil et Mathieu Nebra, fondateur d’OpenClassrooms.

Qu’est-ce que l’impact social d’une entreprise ?

L’impact social correspond à l’ensemble des conséquences d’ordre sociales, sociétales et environnementales des actions d’une entreprise sur ses parties prenantes et sur la société dans son ensemble.

Que ce soit dans le mouvement gilets jaunes ou dans les discussions sur le climat : les entreprises ont un rôle à jouer – Arnaud Regnier

La notion d’impact social est en partie le résultat de cette convergence d’initiatives menées aujourd’hui en faveur du développement durable. Un point que de nombreuses entreprises cherchent donc à favoriser pour leur image, mais aussi pour leur avenir. En fonction des missions, des ressources et priorités de chacune, les démarches peuvent varier avec plus ou moins d’efficacité.

Les cas Tenzing Conseil et OpenClassrooms

Tenzing Conseil et OpenClassrooms sont deux entreprises dites « sociales ».

Elles sont détenues par leur propre association et leurs statuts indiquent une mission première d’ordre social, leur permettant de prendre part à leur manière à l’ESS. Elles jouent donc, malgré une notion de profit, dans la même cour que les associations non lucratives, les fondations, les mutuelles et les coopératives. Autrement dit, pour des entreprises, elles ont un impact social maximal.

Tenzing est un cabinet de conseil qui a été créé avec la volonté de « favoriser la reconnaissance des jeunes de milieux modestes en leur donnant accès aux métiers du conseil ». Dans ce domaine particulièrement élitiste, les origines sont souvent facteur d’exclusion.

Ils ont pour cela mis en place un recrutement ouvert, permettant de passer d’une culture orientée diplômes à une culture orientée compétences, mais ce n’est pas tout. « En tant qu’entreprise à impact social et sociétal, comme OpenClassrooms, nous avons un mode de gouvernance partagée et 100% de nos bénéfices sont redistribués », nous explique Élodie.

Le modèle de Tenzing se trouve entre l’entreprise classique et celui de l’ESS. On veut montrer qu’on peut avoir une activité qui allie sens et performance – Arnaud Regnier

Côté OpenClassrooms, l’engagement prend une place tout aussi importante. « Nous n’avons qu’une mission : rendre l’éducation accessible » explique Mathieu.

Nous sommes l’une des premières entreprises françaises à l’inscrire dans nos statuts et à faire évoluer la gouvernance en fonction – Mathieu Nebra

L’idée derrière cette démarche ? Prendre en compte la mission dans les prises de décision de l’entreprise, à tous les niveaux, qu’il s’agisse de décisions opérationnelles ou stratégiques.

« La mission première exige beaucoup d’attention. Elle n’existe que si elle est partagée par les actionnaires et les équipes. De plus, la simple question « cela correspond-il à la mission » permet d’apporter des réponses simples et débloquer toute sorte de situations » – Mathieu Nebra

À l’arrivée, l’impact social de ce type d’entreprise atteint des sommets. Si bien que la notion d’« enjeux RSE », telle que perçue dans les entreprises classiques « n’a ici plus vraiment lieu d’être » explique Mathieu.

Comment mesurer l’impact social d’une entreprise ?

L’idée ici est de mettre en place un processus permettant de comprendre puis valoriser les effets générés par l’entreprise dans sa mission. Le champ d’évaluation peut donc être très étendu, la taille de l’impact variant en fonction des engagements de l’entreprise. Cela devient d’autant plus compliqué que l’impact peut concerner différents types de bénéficiaires : les bénéficiaires physiques directs, des zones territoriales définies, ou même la société dans son ensemble. C’est souvent ici que se perdent les entreprises..

Voici les principales méthodes référencées par le conseil supérieur de l’ESS en 2011. Elles sont toujours valables aujourd’hui et sont positionnées selon deux dimensions : leur visée interne ou externe et le nombre de critères pris en compte.

Il en manque un grand nombre et il serait périlleux de détailler toutes les méthodes ici. Retenez simplement qu’il y a l’embarras du choix et que pour être pertinent il devra être porté en fonction de trois critères précis :

  • Le périmètre : il est impossible de tout évaluer de manière exhaustive, il faut donc choisir et faire la lumière sur un ou plusieurs points bien précis.

  • Les ressources : quelle est la durée dont je dispose ? Quels sont mes moyens financiers, matériels, humains ?  Il faut baser sa méthodologie sur des outils réellement accessibles.
  • La raison et la cible : les motivations derrière l’évaluation sont-elles d’ordre interne (exemple : renforcer la culture d’entreprise), ou d’ordre externe (exemple : convaincre des investisseurs). Répondre à cette question permet déjà de mieux cerner la dimension de la démarche.

Il n’y a pas de meilleure méthode ou de méthode unique, c’est à l’entreprise d’élaborer celle qui lui correspond le mieux. Quel que soit le moment auquel elle décide de se lancer, les enjeux ou la finalité de l’évaluation. En fonction de la méthode choisie, le processus mis en place devra cependant respecter ces trois étapes clés :

1) Définir ce qui compte : ou la définir le nombre de critères d’évaluation. Ils permettent au passage d’afficher les valeurs auxquelles l’entreprise se réfère.

2) Mesurer : en utilisant des indicateurs qualitatifs ou quantitatifs spécifiques, qui visent à préciser les critères retenus et leur faire gagner en objectivité.

3) Communiquer : en partageant les résultats en interne, en externe, et en tirant un maximum d’enseignements des actions menées.

Comment maximiser l’impact social ?

Il s’agit d’intégrer un cercle vertueux dans lequel tout le monde est gagnant : l’entreprise, les parties prenantes, les collaborateurs et la planète – Arnaud Regnier

Conseil n°1 : avoir une mission sociétale liée au business

Il y aura ainsi plus de chances que la démarche plaise aux collaborateurs en quête de sens, ce qui favorisera leur implication. « Beaucoup d’entreprises sont dans une politique RSE incarnée par un fond philanthropique ou du mécénat, et financent des projets qui n’ont rien à voir avec leur business. Ce n’est pas une mauvaise chose, mais les salariés peuvent se sentir moins concernés par la cause » nous assure Arnaud.

Et l’enjeu est double, car côté investisseurs, le principe est le même. « Citizen Capital s’intéresse uniquement à des entreprises qui ont un objet social en rapport avec leur mission. Ils demandent des infos sur l’activité financière, sociale, demandent un reporting annuel. C’est l’un des premiers fonds d’investissement à faire cela en France » ajoute Mathieu.

Conseil n°2 : bien cibler ses partenaires

Une fois la mission clairement définie, il devient plus simple de trouver une thématique. Cela permet notamment d’accéder à un réseau de partenaires déjà en place et d’y apporter sa contribution. « Cela nous évite de nous disperser, permet d’avoir un vrai effet levier et maximise notre impact » nous explique Élodie, « L’idée derrière étant aussi de mettre en relation les acteurs associatifs pour maximiser le leur ».

« Toutes les entreprises qui voudraient s’engager peuvent trouver des structures avec lesquelles travailler. On peut même aller loin dans les connexions, il faut prendre le temps d’y réfléchir » – Arnaud Regnier

Conseil n°3 : laisser venir ses partenaires

« Cartographier des acteurs de l’ESS et trouver ses potentiels partenaires n’est pas simple pour une entreprise qui veut mener des actions » poursuit Arnaud, « d’où l’intérêt de cibler et de laisser venir à soi ». Une simple page dédiée sur le site peut attirer un grand nombre de projets solidaires, mais il faut tout de même communiquer dessus, notamment sur les réseaux sociaux.

Un autre type d’action est mené chaque année par Tenzing pour attirer les meilleurs partenaires : l’appel à projets. « Le nôtre s’appelle le Prix Tenzing » précise Élodie, « nous l’avons remis cette année à Sciences-Po en présence de Muriel Penicaud (ministre du travail) et Emmanuel Faber (PDG de Danone) ». Un temps fort pour les associations qui sont réellement mises en lumière,  mais aussi pour Tenzing qui valorise ainsi son modèle auprès de ses clients.

Ainsi les participants voient que d’autres voies sont possibles, c’est un événement militant – Élodie Baussand

Le prix Tenzing, une belle occasion de trouver des partenaires et de communiquer sur ses actions.

Conseil n°4 : obtenir des labels

Des labels comme B-Corp permettent de rendre visible l’action positive de l’entreprise – Elodie Baussand

Ce label vise à certifier l’impact des entreprises engagées. « C’est une reconnaissance internationale » ajoute Mathieu, « beaucoup de grandes entreprises connues pour leur engagement sont déjà labellisées et nous cherchons également à l’obtenir pour OpenClassrooms ».

Conseil n°5 : créer un comité d’impact

Une autre idée adoptée par OpenClassrooms dans laquelle il est question cette fois de faire évoluer la gouvernance de l’entreprise. « En plus des dirigeants, des investisseurs et des collaborateurs, notre comité d’impact réunit toutes les parties prenantes » explique Mathieu. Ainsi, l’avis des professeurs, mentors, étudiants, partenaires et représentants des autorités publiques sont pris en compte dans les décisions de l’entreprise.

Le comité d’impact n’a pas pouvoir de décision, mais il est autonome et peut interpeller lorsque l’entreprise dévie de sa mission. C’est très peu courant, je crois même qu’on est parmi les premiers en France – Mathieu Nebra

Conseil n°6 : mettre en perspective les résultats de l’impact

L’impact social d’une entreprise est une notion globale dans laquelle chacun des collaborateurs a une part qui lui revient. « Malheureusement, on peut difficilement constater directement le fruit de son action », nous explique Élodie, « en revanche on peut facilement constater le résultat d’un mouvement collectif. À l’entreprise de mettre en place des systèmes qui peuvent mettre l’impact en perspective et le rendre visible ».

Chez OpenClassrooms, cela se traduit à travers un compteur d’emplois créés. « Il est possible de compter de manière assez précise le nombre de jobs créés qui sont en lien avec nos formations. Nous avons donc installé un compteur flip-flap qui affiche le nombre et tient les comptes » explique Mathieu. Un moyen simple et efficace d’afficher un résultat au vu et au su de tous.

Pour conclure

La maximisation de l’impact social passe par la mise en place d’un terrain favorable au développement de l’aspect social. Il n’existe pas de méthode universelle, mais on peut s’accorder sur le fait qu’il existe un ensemble de démarches, plus ou moins complexes, basées sur l’implication et la transparence de chacun. Que l’on soit engagé par nature comme les entreprises « sociales » ou par envie pour les entreprises « économiques », tout le monde peut trouver son cercle vertueux et avoir un impact social significatif.

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Comment utiliser LinkedIn efficacement dans sa recherche d’emploi

Aujourd’hui, il est impensable d’aborder sa recherche d’emploi sans le recours à LinkedIn, le réseau social professionnel le plus populaire avec près d’un français sur 3 actif sur le réseau. Les entreprises et les recruteurs y sont présents, et les candidats ont à leur portée de nombreux outils pour se distinguer.

Amélie Bérille est consultante dans un cabinet de recrutement international.  Elle nous donne ses meilleurs conseils pour optimiser l’utilisation du réseau LinkedIn et décrocher l’emploi dont on rêve.

[Pour aller plus loin, à suivre, notre cours gratuit Élaborez votre stratégie de recherche d’emploi qui comprend tout un volet sur l’optimisation de son profil LinkedIn. D’autres cours gratuits sont disponibles dans la rubrique insertion professionnelle].

Le mode veille

Même si on est en poste, il est toujours recommandé de garder un œil sur les actualités du marché du travail, notamment dans le secteur qui nous concerne. Cette démarche de veille sera extrêmement bénéfique le jour où vous serez réellement en recherche d’un nouvel emploi. Comme vous y prendre ?

Repérez les entreprises intéressantes

Faites-vous une liste de celles dans lesquelles vous souhaiteriez exercer, et suivez-les sur LinkedIn, pour recevoir leurs actualités.

Il y a notamment une fonctionnalité sur LinkedIn qui permet de suivre l’actualité d’une entreprise en un clic, c’est pratique.

Identifiez les bonnes personnes dans l’écosystème

Si vous adressez la lettre de motivation à la bonne personne ou que vous avez déjà parlé de la culture d’entreprise avec un des collègues, vous gagnez des points. LinkedIn est une mine d’or pour se renseigner sur les personnes que vous allez cibler, ne vous en privez pas.

Ça peut être le manager de l’entreprise qui vous intéresse, son fondateur ou la personne en charge du recrutement. Le candidat peut aussi se renseigner sur les cabinets de recrutement, les chasseurs de têtes, ou les agences spécialisées dans un secteur ou un métier particulier.

Entrez en contact avec ces personnes

Il est parfois plus facile d’envoyer une invitation à quelqu’un d’un simple clic que d’entamer ensuite la conversation avec cette même personne. Pour Amélie, il ne faut pas hésiter : « Je pense que c’est bien de demander des connexions avec les personnes qui vous intéressent, de leur envoyer une invitation et aussi de leur envoyer un message personnalisé ».

C’est constructif d’entamer un dialogue, à condition que ce soit pertinent et ciblé donc il faut évidemment se renseigner au préalable pour ne pas que la demande ait l’air hasardeuse.

Soyez transparent

N’ayez pas peur de dire exactement ce que vous cherchez et de partager votre démarque dee manière transparente. « C’est généralement bien perçu, on peut par exemple envoyer : « J’élargis en ce moment mon réseau et je suis très intéressé par votre entreprise ou votre secteur. Je serais curieux d’échanger avec vous sur le sujet ». »

Soignez votre e-réputation

Nous sommes nombreux sur LinkedIn, mais beaucoup moins à être réellement actifs et à prendre la parole. Or, c’est l’un des moyens les plus efficaces pour être visible. Tout repose sur la manière de faire, voici les conseils d’Amélie :

Les bonnes pratiques

Les maladresses à éviter

Publier ou partager des contenus concernant son secteur d’activité ou domaine d’expertise

S’en tenir à une fréquence d’un contenu par semaine

La publication de CV vidéo a généralement un impact positif s’il est bien construit

Attention, LinkedIn n’est pas Facebook. Il ne faut pas y publier des contenus personnels de type photos de vacances.

Les commentaires ou posts négatifs pour se plaindre des recruteurs ou de son employé sont rédhibitoires

Ne rien faire que vous n’aimeriez pas que votre futur collègue ou employé voit

Le mode recherche active

Après l’étape de veille, de nombreuses fonctionnalités LinkedIn peuvent vous faciliter la tâche pour devenir visible aux yeux des recruteurs et chercher activement un nouvel emploi.

“ Ouvert aux opportunités professionnelles »

Lorsque vous êtes en recherche active d’emploi, Amélie recommande d’activer l’option “Ouvert aux opportunités professionnelles”. Elle indique ce que vous recherchez (le type de poste, d’entreprise, la localisation). On peut même affiner cette recherche en ajoutant quelques notes.

Amélie précise : « Ceci n’est visible que par les recruteurs (profils LinkedIn recruteurs) qui reçoivent une notification et sont informés de votre disponibilité. »

Utilisez la page Carrière

La page Carrière sur LinkedIn recense toutes les offres d’emploi des entreprises, ce qui permet de faire une vraie recherche ciblée avec les filtres qui vous correspondent. Il est également possible d’activer les notifications pour chaque nouvelle offre d’emploi qui apparaîtra vous concernant.

Pour exploiter pleinement cette fonctionnalité, Amélie ajoute : « Lorsque l’on est en recherche active, c’est le moment privilégié pour mettre en branle le réseau que l’on a constitué au moment de notre veille. Sur la page Carrière, vous pouvez également repérer les personnes qui sont en poste dans les entreprises qui vous intéressent pour vous faire conseiller, recommander ou coopter. »

Souscrivez à l’abonnement Premium

Amélie recommande également de souscrire à l’abonnement LinkedIn Premium au moment où on passe en recherche active.

L’investissement sur quelques mois en vaut la chandelle je pense. Cela permet de débloquer d’autres fonctionnalités intéressantes comme l’envoi de InMail à des personnes qui ne sont pas dans notre réseau.

Pour aller plus loin

Comment cartonner sur LinkedIn ?

L’article Comment utiliser LinkedIn efficacement dans sa recherche d’emploi est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.

Julien, à la conquête d’un métier qui lui correspond

Après avoir mis de côté ses prédispositions pour le graphisme au profit d’un emploi stable et sécuritaire dans l’industrie pharmaceutique, Julien Butty a repris sa carrière en main. Il se dans la formation Développeur PHP/Spmfony pendant près de deux ans chez OpenClassrooms et trouve un emploi dans une agence qui lui plaît avant même la fin de sa formation. Récit d’un parcours atypique mais tout en contrôle.

Stabilité versus passion

À la fin du lycée, Julien pense mettre à profit ses compétences créatives pour travailler dans le graphisme, mais tout ne se passe pas comme prévu : “Au départ, j’ai suivi un parcours assez classique, j’ai eu un bac ES puis je suis parti en BTS communication visuelle. J’avais une prédisposition pour le dessin mais suite à de mauvais choix, j’ai malheureusement raté ces études. Après un job d’été, j’ai eu l’opportunité d’obtenir un poste dans le domaine pharmaceutique : j’élaborais des solutions antibiotiques en suivant des étapes de préparation ».

Même si ce n’était pas ce que je souhaitais faire à la base et que j’avais l’impression d’avoir régressé en terme de compétences, le salaire était confortable et je suis resté près de quinze ans dans l’entreprise.

Julien se sent piégé dans son emploi sécuritaire qui ne correspond pas à ses envies et ressent le besoin d’évoluer. Il prend d’abord un congé sabbatique pour s’essayer à la vente immobilière mais cela ne lui convient pas davantage : “J’ai tenté ma chance mais ça ne correspondait pas du tout à mon caractère, je suis donc retourné auprès de mon employeur ».

J’avais en tête de revenir à mes premiers amours, mais mon diplôme était obsolète et le milieu du graphisme semblait saturé à ce moment-là.

« Au cours d’une discussion, une web designer m’a conseillé de me renseigner sur les formations de développement proposées par OpenClassrooms. Je souhaitais vraiment obtenir un diplôme reconnu par l’État donc la plateforme m’a séduit. Je viens de terminer la formation développeur d’applications PHP/Symfony. “

Une reconversion au timing impeccable

Julien conserve son emploi dans l’entreprise pharmaceutique en parallèle de sa formation. Malgré quelques périodes de pause, il a bouclé son parcours récemment et a opéré avec succès sa transition dans le domaine du développement digital et informatique.

Avant la fin de la formation, je ne me sentais pas forcément prêt à intégrer une agence mais j’avais mis à jour mon profil sur LinkedIn malgré tout. De nombreux recruteurs sont venus à moi, à qui je n’ai pas donné de réponse favorable jusqu’à ce que je tombe sur une agence qui semblait me convenir. Les entretiens se sont très bien passés, c’était bienveillant et ils m’ont fait passer un test technique ».

Mon manque d’expérience pouvait inquiéter un peu mais le fait de montrer que ma reconversion était une décision réfléchie a plu.

« J’ai donc intégré l’agence 4 mois avant la fin de ma formation chez OpenClassrooms, et pour l’instant je travaille sur deux projets qui m’ont été assignés : l’élaboration d’un CRM pour créer des contrats et l’accompagnement d’un bailleur social dans la résolution de problèmes et la création de nouvelles fonctionnalités. J’évolue tranquillement grâce au soutien de l’équipe et je suis vraiment satisfait.”

Aujourd’hui, Julien est donc développeur back-end Symfony PHP alors qu’il n’avait pas de connaissances particulières en informatique initialement. Il a commencé son nouveau travail deux jours après la fin de son contrat avec son ancien employeur pharmaceutique. “Au départ, on a le syndrome de l’imposteur car on doit réaliser des choses que l’on ne sait pas faire. Mais dans le développement, l’assimilation de certains concepts prend du temps et ce sont des étapes normales à franchir ».

Il ne faut pas avoir peur, ni se décourager mais plutôt appréhender la résolution de problèmes de code comme un jeu.

Pour aller plus loin :

L’interview de Julien sur le blog de l’agence Novaway pour laquelle il travaille.

L’article Julien, à la conquête d’un métier qui lui correspond est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.

Suis-je fait pour être entrepreneur? Le guide ultime

Nous sommes nombreux à nous être réveillés un matin avec cette question en tête, n’est-ce pas ? Synonyme d’indépendance, de prospérité et de réussite sociale, l’entrepreneuriat a de quoi faire rêver.

Mais c’est aussi une réalité française. La preuve : tous les jours, 1 800 nouvelles entreprises sont créées dans l’Hexagone. L’esprit start-up a fortement contribué à ce fourmillement entrepreneurial : certains jeunes diplômés se lancent à peine sortis des études dans une formation entrepreneur, avec une idée en tête, quelques copains et beaucoup de café pour survivre aux nuits blanches.

Mais si aujourd’hui “monter sa boîte” est loin d’être réservé à une poignée de téméraires fortunés, cela reste un sacré défi à relever.

Envie de savoir si vous avez l’étoffe de l’entrepreneur ? Suivez nos conseils avisés et inspirez-vous du précieux retour d’expérience d’Aurore Choanier, co-fondatrice de La Kube, une box littéraire sur-mesure.

L’entrepreneur se connaît très bien

… mais il se cherche toujours.

« Connais-toi toi-même. » Cette devise, inscrite au frontispice du Temple de Delphes en Grèce, est celle de l’entrepreneur. Une aventure entrepreneuriale est un formidable exercice de développement personnel. C’est souvent la voie qu’on choisit pour retrouver du sens et partir en quête d’un avenir épanouissant. Et pour se donner une chance de réussir, mieux vaut savoir ce qu’on veut et être capable de se remettre en question.

Comment est née la Kube?

Mon parcours universitaire ne me prédestinait pas à l’entreprenariat, mais j’ai toujours voulu construire quelque chose.

« En parallèle de mes études de communication, j’ai travaillé en alternance dans quelques agences. Assez longtemps pour me rendre compte que je ne me voyais pas faire ce métier toute ma vie… Alors, pour voir plus grand, je suis partie pour un séjour à New York. C’est là-bas que j’ai rencontré Samuel, qui est aujourd’hui mon associé (avec Anthony, nous sommes trois). La Kube est née de cette belle rencontre!

Et vous? Êtes-vous prêt à en apprendre toujours plus sur vous-même et sur vos (vraies) ambitions professionnelles? Pour progresser, rien n’est plus important que cet état d’esprit. Vous n’avez pas besoin d’avoir un Master en Psychologie pour cerner votre personnalité et questionner vos désirs : cela peut commencer par quelques lectures avisées.

Quelques exemples : Jeux d’écriture, Libérez votre créativité, Trouver son Ikigaï.

L’entrepreneur se confronte à un problème

… et il trouve la solution.

Le but d’une entreprise n’est pas (seulement) d’engendrer des bénéfices. Au contraire, une entreprise naît le plus souvent d’un besoin réel. Un créateur d’entreprise est quelqu’un qui a pris conscience d’un problème et qui souhaite y trouver une solution. Et celle-ci peut concerner une toute petite partie de la population ou bien le plus grand nombre.

Quel est le concept de la Kube?

“La Kube est une box de lecture personnalisée. Tous les mois, nos abonnés reçoivent un livre (et quelques goodies) sélectionné par un libraire indépendant sur la base de leurs goûts et envies. A l’origine de notre concept, le constat personnel de Samuel : après un gros coup de cœur littéraire (A l’Est d’Eden, de John Steinbeck), il ne parvient pas à renouveler l’expérience, noyé sous l’offre gigantesque des grands magasins. Trop de choix, et personne pour le conseiller. »

Après avoir sondé d’autres lecteurs passionnés comme nous, nous avons décidé de bâtir notre offre sur le rôle central des libraires indépendants.

Et vous? Avez-vous l’habitude de trouver des solutions? Parfois, d’une idée simple peut naître un business très intéressant et, surtout, utile. Parlez-en autour de vous et soyez réceptif, les retours des autres sont précieux.

Les idées fusent dans votre tête et vous en oubliez la moitié en cours de route? Ayez un carnet sur vous à tout moment pour noter même les plus farfelues.

L’entrepreneur est résilient

… car il sait qu’un échec est une opportunité.

Il n’existe pas de création d’entreprise sans obstacles. Pour cela, une bonne résistance aux chocs est indispensable. Etre entrepreneur signifie accepter de commettre des erreurs et d’ajuster le tir quand il le faut, sans sombrer dans une auto-commisération stérile.

Il y a-t-il eu des moments difficiles au sein de la Kube ?

« Bien sûr, il y a eu des étapes plus compliquées que d’autres. Au bout de trois mois seulement, nous nous sommes rendus compte que le business model qu’on avait bâti n’était pas viable, ni d’un point de vue économique, ni logistiquement parlant ».

Il fallait réagir vite : nous avons bloqué les ventes pendant trois mois et avons retravaillé le business model jusqu’à trouver une alternative satisfaisante.

« Nous avons abandonné l’idée de confier l’expédition des commandes par les libraires eux-mêmes, déjà très occupés dans leurs magasins. En prenant en charge la partie logistique, nous avons pris le bon revirement et sommes repartis sur de nouvelles bases.

Et vous? Résilience et persévérance font-il partie de votre vocabulaire? Pour concrétiser un projet, il faut beaucoup de détermination et de résistance. Observez vos réactions face à l’échec : apprendre à relativiser et à rebondir fera évoluer votre état d’esprit. Rome ne s’est pas faite en un jour.

L’entrepreneur s’écoute

… sans oublier d’écouter les autres.

Souvent, un entrepreneur est quelqu’un qui se fait confiance. Intuition et clairvoyance sont d’excellents atouts pour un créateur d’entreprise… Mais il est indispensable de ne pas oublier les autres dans cette affaire. Ceux avec qui vous travaillez, notamment, et ceux qui bénéficieront directement de vos idées : vos clients.

Qu’est-ce qui fait le succès de la Kube?

C’est très simple : chaque produit ou offre que nous concevons à la Kube est basé sur les attentes réelles de notre communauté de lecteurs. Pour cela, nous sondons régulièrement nos clients pour construire des offres sur un mode collaboratif.

« Ils peuvent voter pour les thématiques des box à venir et ainsi participer activement à leur succès… Cette écoute est à la base de la relation que nous voulons entretenir avec notre communauté. Sans oublier que nous sommes trois associés dans l’aventure, et que notre entente  est tout aussi primordiale pour continuer de faire grandir notre société.”

Et vous? Faites-vous preuve d’empathie et d’écoute dans vos relations? La fibre relationnelle se travaille, comme le salto arrière ou la guitare. Et parce que “seul on va plus vite mais ensemble on va plus loin”, l’entrepreneur a tout intérêt à bien s’entourer.

L’entrepreneur est créatif

… mais aussi réactif, agile, débrouillard.

Dans l’imaginaire collectif, on attribue beaucoup de qualités à l’entrepreneur modèle : passionné, volontaire, fonceur, audacieux… Quid des entrepreneurs timides et complexés? En réalité, nous avons tous des ressources cachées qui ne demandent qu’à être mobilisées. Parmi elles, la créativité.

Quelle est ta plus belle réussite dans ton aventure entrepreuneuriale?

“Ma plus belle fierté et réussite, c’est d’avoir su exploiter ma créativité depuis le début de la Kube. J’ai souvent regretté de ne pas avoir entrepris des études plus créatives, comme le design ou le graphisme. Aujourd’hui, je retrouve cette part de créativité au quotidien. Car on ne peut pas être plus créatif que quand on lance sa boîte !« 

Avoir des idées, c’est bien ; les mettre en forme et les voir se concrétiser, c’est quelque chose de magique.

« Dans une jeune entreprise, on évoque mille projets à la minute, et il y a toujours quelque chose de nouveau à faire. C’est cela pour moi, être entrepreneur : vouloir créer, développer, défendre une idée et souhaiter en faire profiter les autres. C’est aussi savoir s’adapter : parfois les choses vont très vite, parfois au contraire il faut savoir ralentir. ”

Et vous? Quelles sont vos plus belles qualités d’entrepreneur? Aimez-vous créer? La création demande beaucoup d’audace. Montrer ses créations, encore plus. Résistez au perfectionnisme et donnez forme à vos idées, même si elles ne sont pas complètement abouties. C’est aussi cela que signifie l’expression “sortir de sa zone de confort”…

Vous l’aurez compris, il n’y a pas de critères gravés dans le marbre pour devenir un entrepreneur accompli. Tout est une question d’état d’esprit et de volonté. Savoir se questionner et questionner votre environnement sont déjà deux belles qualités qui pourraient faire de vous le prochain à sauter le pas.

L’article Suis-je fait pour être entrepreneur? Le guide ultime est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.

Les meilleures plateformes pour trouver une alternance

Trouver une alternance : les meilleures plateformes

  • Le portail de l’alternance, un site gouvernemental
  • Le site de l’APEC dédié aux jeunes diplômés
  • La Bonne Alternance
  • Keljob, Indeed, Monster, JobIRL
  • Stages.fr, L’Étudiant Stages, CapStages.

______________

La formation en alternance se porte mieux que jamais. Pour preuve, les alternants sont deux fois moins nombreux à être au chômage que les diplômés ayant suivi un cursus traditionnel, selon une étude de l’Apec. Pas étonnant donc que plus de 500 000 contrats de professionnalisation ou d’apprentissage soient signés chaque année en France !

Pour trouver une alternance, rien de mieux que d’écumer les plateformes qui diffusent les offres. En parallèle, les candidatures spontanées peuvent payer, car convaincre un recruteur d’embaucher un alternant plutôt qu’un stagiaire est possible… Surtout sachant les aides de 5 à 8000 euros que le Gouvernement a mis en place à l’été 2020.

Alors, comment trouver son alternance ? Quels sites pour trouver une alternance faciliteront votre recherche ? Voici notre sélection !

Le saviez-vous ?

OpenClassrooms propose gratuitement un accompagnement de 2 mois pour trouver une alternance. Vous êtes aidé(e) chaque semaine par un coach, qui vous donne des conseils personnalisés.

CV, lettres, argumentaire en entretien, e-réputation ou encore mises en relations avec des employeurs potentiels… Tout est fait pour trouver une alternance rapidement. 

Si ce coaching vous intéresse, postulez à ce programme gratuit pour être recontacté(e) par notre équipe !

JE POSTULE

Et maintenant, place aux plateformes !

Les institutionnelles

Le Portail de l’Alternance

C’est quoi ? Soutenu par le Ministère du Travail, le Portail de l’Alternance porte bien son nom. Ce site institutionnel est LA bible. Vous y trouverez les conseils et l’actualité du secteur. 

Comment ça marche ? Le Portail de l’Alternance propose un premier volet dédié aux entreprises, au sein duquel elles peuvent publier une offre et faire une simulation des aides et du salaire en fonction des contrats. De son côté, l’alternant peut rechercher des offres d’emploi et simuler sa rémunération.

Quelles sont les offres ? À la fois des contrats d’apprentissage et de professionnalisation. Le site regroupe des offres dans toute la France, pour tous les secteurs d’activité, dans le public comme le privé. Plus de 8 000 contrats y sont disponibles.

L’Apec des Jeunes Diplômés

C’est quoi ? Dédiée à l’emploi des cadres, l’Apec est une association privée financée par les cotisations des entreprises employant des cadres. La plateforme propose un accès spécifique aux jeunes diplômés.

Comment ça marche ? Toutes les entreprises privées françaises peuvent y déposer des annonces d’emploi, de stage ou d’alternance. Pour les candidats, le site est 100% gratuit.

Quelles sont les offres ? Au quotidien, on y trouve environ 400 annonces de contrats d’apprentissage ou de professionnalisation. Les offres concernent principalement les cadres, notamment dans les secteurs du marketing, de la communication et de la finance.

La Bonne Alternance

C’est quoi ? Géré par Pôle emploi, ce site recense les entreprises qui recrutent le plus d’alternants. Malin ! Pour cela, il utilise un algorithme permettant de savoir quelles sont les sociétés qui ont le plus embauché d’alternants sur les 5 dernières années. Pourquoi pas les cibler pour des candidatures spontanées…

Comment ça marche ? En plus d’avoir accès à la liste des entreprises recrutant le plus d’alternants, le candidat peut envoyer une candidature spontanée directement depuis la plateforme. Un fonctionnement intéressant puisque, selon le site, 7 employeurs sur 10 recrutent sans déposer d’offres.

Quelles sont les offres ? Des contrats d’apprentissage et de professionnalisation. Le petit plus : la recherche se fait par ville ! Vous aurez donc toutes les chances de trouver dans votre secteur.

Les généralistes

Keljob

C’est quoi ? Avec environ 30 000 offres d’emplois et 1,4 million de CV enregistrés, Keljob est considérée comme la première plateforme d’annonces d’emplois en France. Pour l’alternance, elle regroupe environ 1 200 offres chaque mois. Fiou !

Comment ça marche ? Pour avoir accès au formulaire de candidature, il est nécessaire de renseigner son email. Disponible également sur mobile, Keljob permet d’importer sa lettre de motivation et son CV depuis un service de stockage en ligne (Dropbox, Google Drive, etc.).

Quelles sont les offres ? Ultra généraliste, Keljob propose des contrats d’apprentissage et de professionnalisation pour tous les secteurs d’activité, tel que le marketing, la vente, la tech et le numérique, partout en France.

Indeed

C’est quoi ? À la différence des autres plateformes, Indeed est un moteur de recherche d’emploi. Il présente ainsi l’avantage de regrouper toutes les annonces d’alternance disponibles en ligne. 15 000 offres peuvent y être publiées en même temps !

Comment ça marche ? Vous indiquez simplement vos critères de recherche (poste, contrat, lieu, etc.). Le site vous proposera toutes les annonces qui matchent !

Quelles sont les offres ? Tous les contrats d’alternance et sur toute la France.

Monster

C’est quoi ? Tout comme Keljob, Monster est l’un des leaders de la recherche d’emploi en France. En plus de revendiquer 75 000 nouveaux CV enregistrés chaque mois, la plateforme américaine propose une section dédiée à l’alternance.

Comment ça marche ? Très intuitif, le site permet d’exclure des mots-clés afin d’affiner sa recherche et de trier les offres selon de nombreux critères (entreprise, expérience, lieu, télétravail… etc.). De plus, vous pouvez publier votre CV et lettre de motivation sur la plateforme afin de postuler plus rapidement aux annonces. Pratique !

Quelles sont les offres ? Également généraliste, Monster revendique en moyenne 1 500 offres d’alternance. Pour s’y retrouver, chaque annonce dispose d’une description abrégée afin d’avoir accès aux informations principales d’un seul coup d’œil.

Walt

C’est quoi ? Walt est le compagnon de route qu’on garde à portée de main (un peu comme un  Tamagotchi) pour son orientation et sa recherche d’alternance.
Plus besoin de chiner de l’info à droite à gauche : sur Walt, on retrouve à la fois les offres de formation et les jobs en alternance, les infos et les tips utiles pour postuler. Le petit plus ? Leurs vidéos très bien faites qui font découvrir le quotidien des alternants de tous métiers.

Comment ça marche ? En s’inscrivant sur Walt, on est directement visible des écoles et entreprises qui recrutent. En 1 clic, on peut postuler aux offres ou encore se faire recontacter par une école.

Quelles sont les offres ?  Plus de 24 000 offres d’emploi et plus de 25 000 formations en alternance sont disponibles, tous secteurs et tous domaines confondus, pour tous les niveaux. De quoi trouver son bonheur.

JobIRL

C’est quoi ? Un site qui fait appel à la force du réseau pour s’orienter au mieux. La plateforme propose en effet des mises en contact avec des pros pour en apprendre plus sur un métier ou un secteur. Vous pouvez aussi contacter des apprentis pour savoir en quoi consiste leur mission et comment est l’ambiance dans leur entreprise.

Comment ça marche ? L’annuaire des bénévoles permet de contacter directement les alternants ou pros qui vous intéressent. Pourquoi pas même discuter avec certaines personnes pour explorer le réseau caché de l’emploi et décrocher votre alternance ?!

Quelles sont les offres ? Le site référence aussi de 8000 offres d’alternance, en plus des conseils prodigués et des contacts disponibles. Une mine d’or, quoi.

Les alternatives

Stage.fr

C’est quoi ? Comme son nom l’indique, c’est la référence pour trouver des stages… mais aussi des alternances. Dédié aux étudiants et aux jeunes diplômés, Stage.fr revendique 30 000 annonces et 5 millions de visiteurs par an.

Comment ça marche ? Sur Stage.fr, les candidats peuvent consulter les offres d’alternance gratuitement. Les recruteurs, eux, paient pour diffuser leurs annonces.

Quelles sont les offres ? Le site propose avant tout des stages, mais également des contrats d’apprentissage et de professionnalisation. Il regroupe les offres de grandes entreprises, dont Groupama, Capgemini, Norauto et La Poste…

L’Étudiant Stages

C’est quoi ? Une filiale du magazine L’Étudiant. Spécialisée dans l’information sur la formation et les métiers pour les jeunes de 15 à 25 ans, le site s’adresse avant tout aux lycéens et aux jeunes diplômés.

Comment ça marche ? Le principal avantage est de fournir l’email de l’entreprise qui recrute ou une URL de contact. Il est donc plus facile de postuler et de réaliser des relances. D’autant plus que ce service est aussi disponible sur Smartphone et sur tablette.

Quelles sont les offres ? En moyenne, L’Étudiant Stages regroupe environ 2 000 offres d’alternance. Plutôt généraliste, le site propose des contrats dans la majorité des domaines et pour tout niveau de diplôme.

KAP’Stages

C’est quoi ? Filiale d’Annonces Jaunes, le site est dédié à la recherche de stages et d’alternances. Sa particularité ? Il offre un accompagnement aux candidats.

Comment ça marche ? Contrairement aux autres plateformes, KAP’Stages permet de se créer un profil. Grâce à celui-ci, les recruteurs peuvent découvrir en détail les postulants, tandis que les candidats bénéficient de statistiques sur leur nombre de visites et le succès de leur CV.

Quelles sont les offres ? En plus des stages, la plateforme propose de nombreux contrats d’apprentissage et de professionnalisation. Bien que généraliste, elle est avant tout destinée aux profils disposant au minimum d’un Bac +2.

Sans oublier les (très) spécialisées

Développez.com : comme son nom le laisse entendre, ce site est uniquement consacré aux développeurs et aux métiers de l’informatique recherchant un emploi ou une alternance.

La Fabrique de l’Avenir : porté par l’Union des industries et métiers de la métallurgie, ce site propose plus de 9 000 offres d’emploi dans le secteur de l’industrie et de la métallurgie, dont plus de 500 en alternance.

Vitijob : uniquement dédiée aux métiers de la vigne et du vin, la plateforme propose des contrats d’alternance pour de la production, de la commercialisation, de la logistique et du management. 

Métiers Hôtel-Resto : comme son nom l’indique, ce site propose uniquement des offres d’emploi et d’alternance dans le secteur de la restauration et de l’hôtellerie.

IFRIA : au service de la filière alimentaire, cette plateforme regroupe toutes les offres de formation et d’alternance du secteur.

Staff Santé : dédiée aux secteurs de la santé, du paramédical et du social, cette plateforme permet de créer son CV et de postuler directement sur le site de l’employeur.

Pour aller plus loin :

Faites-vous accompagner par nos coachs pour trouver un contrat d’apprentissage !

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Quelles sont les bonnes pratiques entre deux entretiens ?

La recherche d’emploi n’est pas un long fleuve tranquille et les étapes sont parfois nombreuses avant d’obtenir une réponse à sa candidature.

Loin d’être une science exacte, il y a néanmoins certaines pratiques qui permettent de mettre toutes les chances de votre côté.

ll n’est pas rare que l’on décroche un premier entretien avec un certain interlocuteur puis que l’on vous fasse rencontrer une autre personne de l’entreprise pour une deuxième sélection, voire davantage.

Comment se préparer entre deux entretiens et maximiser les probabilités de réussite ?

Pallier ses lacunes

Le premier entretien permet de tester l’eau, de découvrir l’état d’esprit de l’entreprise et du recruteur ainsi que leurs attentes. Avant l’étape suivante, il est intéressant pour vous de faire un debriefing pour voir comment améliorer ces entrevues.

Se former

Si lors des précédents échanges, vous vous êtes trouvé en difficulté au sujet d’une compétence exigée par l’entreprise que vous n’avez pas, vous pouvez essayer de faire la différence à l’entretien suivant. Caroline est consultante en Ressources Humaines et explique : “Certaines entreprises ont besoin que leurs employés soient à l’aise avec un logiciel en particulier par exemple. Si le candidat n’en maîtrise pas l’utilisation, il peut se sentir piégé lors du premier entretien mais je trouve cela valorisant à l’entrevue suivante de montrer que l’on a essayé de se renseigner, pourquoi pas indiquer que l’on a suivi une petite formation en ligne ou que l’on a mis en place un mentorat avec quelqu’un de son réseau qui a la compétence recherchée.”

S’informer

On ne sait pas toujours à l’avance comment un entretien d’embauche va être mené. Il est possible que vous n’ayez pas réponse à tout dès le premier échange, et ce n’est pas forcément rédhibitoire. Il est aussi courant que le premier entretien soit relativement superficiel, puis que le suivant serve à aborder certains sujets de manière plus approfondie, comme l’actualité de l’entreprise, ses enjeux actuels, ses projections à plus ou moins long terme, etc. Dans ces cas, il est intéressant d’utiliser le temps entre deux entretiens pour compléter vos connaissances sur l’entreprise :

Parfois, simplement taper le nom de l’entreprise ou du domaine d’activité dans Google Actualités permet de rester à jour et d’obtenir une ou deux informations clés à réutiliser lors de l’entretien suivant.”

Entretenir le dialogue

En terme de communication entre le recruteur et le candidat, tout est question d’équilibre. Ce peut être efficace de se rappeler à la mémoire du recruteur entre deux entretiens si le clin d’œil est fait avec subtilité, comme l’explique Caroline :

 

Les recruteurs n’aiment pas les candidats qui en font trop, ils aiment avoir le temps de prendre du recul sur le premier entretien pour pouvoir préparer la suite du processus de recrutement.

« Il ne faut donc pas donner le sentiment de les harceler. En revanche, si vous lisez une info en rapport avec un sujet mentionné lors de votre précédente entrevue ou sur lequel vous auriez envie de rebondir lors du suivant, ce peut être pertinent d’envoyer au recruteur le lien d’un article ou d’une vidéo pour souligner votre intérêt. Vous pouvez aussi envoyer un mail plus formel qui récapitule le premier échange puis qui développe ce dont vous aimeriez encore discuter la fois suivante (négociation du salaire, précision des missions, des avantages etc).”

Approfondir & anticiper la suite

Le premier entretien d’embauche se prépare évidemment avec soin. Mais il ne faut pas relâcher la garde entre les différentes étapes qui seront toutes de plus en plus spécifiques : entretien avec une personne plus haut placée dans la hiérarchie, échange autour d’un sujet particulier, mise en situation, tests d’anglais, de logique ou technique.

Adrien a l’habitude des processus de recrutement à rallonge, il a travaillé chez Wedogift, chez Hubspot, chez Vekia et vient de démarrer un nouveau job au sein de la start-up Alan.
Il nous partage son expérience :

Je regarde régulièrement le blog de l’entreprise en question pour être à jour de son actualité et des articles qui peuvent m’aider à comprendre le marché.

« Ensuite, je fais évidemment un tour sur la page Facebook pour vérifier qu’il n’y a pas eu de nouveau post entre les deux entretiens ».

Au plus j’avance dans le processus de recrutement, au plus je vais chercher en détail des informations qui peuvent faire la différence.

Par exemple, je vais regarder à quels comptes l’entreprise est abonnée sur Twitter pour essayer de comprendre quelles sont les personnes qui sont influentes dans ce secteur d’activité et qui sont considérées comme des modèles. J’utilise aussi Linkedin, quand je suis suffisamment avancé dans le processus de recrutement et que je commence à me projeter. Je vais regarder le profil de mes potentiels futurs collègues. Je pense que ce n’est pas nécessaire pour le premier entretien, alors que cela peut faire la différence dans un deuxième temps, au moment où tous les moyens sont bons pour se démarquer. Je regarde leurs expériences passées, les articles qu’ils ont publiés, likés et je vois comment faire le lien avec ce que moi je veux montrer et apporter à l’entreprise.”

Au-delà des réseaux sociaux, le site de l’entreprise regorge souvent d’informations indispensables pour rester en alerte entre deux entretiens, notamment la page “Carrière” qui donne souvent de précieux renseignements sur la culture d’entreprise.

Caroline recommande aussi de se tourner vers des sites comme Welcome to the Jungle ou Glassdoor : “Ces plateformes donnent de précieuses informations sur la vie de l’entreprise si elle y est référencée.
Sur Welcome to the Jungle, vous pouvez trouver des informations comme la parité dans la boîte, le nombre de salariés, le nombre de postes vacants etc. Sur Glassdoor, il y a les témoignages précieux de personnes qui ont déjà passé des entretiens d’embauche dans l’entreprise, vous pouvez donc vous rendre compte de la façon dont est menée le recrutement et vous y préparer de façon adéquate. Vous trouverez aussi le niveau de salaire proposé afin d’anticiper le moment de la négociation de votre rémunération ».

Le premier entretien sert à cerner votre personnalité, c’est important de rester dans la mesure et de ne pas en faire trop. Mais ensuite, c’est précieux d’arriver au 2ème ou 3ème entretien en ayant ce genre d’informations en tête, cela peut réellement faire la différence par rapport aux autres candidats.

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Les neurosciences derrière l’éducation en ligne

Par : Nora Leon

Apprendre quelque chose de nouveau comme une langue étrangère, une compétence numérique ou un sport demande de la pratique et de la répétition. Mais pourquoi ?

Dans cet article, nous vous présentons comment les principes des neurosciences peuvent être utilisés pour optimiser l’apprentissage. Cela devrait vous aider à choisir le bon programme de formation à distance mais aussi à organiser vos séances de travail pour favoriser votre réussite.

Apprendre doit devenir une habitude

La mémoire de travail, ou mémoire active, est limitée. On ne peut traiter qu’une certaine quantité d’informations à la fois. C’est pour cela que l’on peut se sentir bloqué mentalement lorsque l’on reçoit trop d’informations d’un coup. Pensez au moment où vous avez appris vous garer en créneau, par exemple : alterner entre l’accélérateur et le frein ; surveiller l’espace par-dessus son épaule et dans les rétroviseurs ; faire attention aux autres voitures et aux obstacles ; manœuvrer le volant à l’envers… Au début, c’est beaucoup à assimiler.

Lorsqu’on apprend quelque chose de nouveau, il se crée des connexions entre nos neurones qui transmettent des idées, des modèles de pensée et des souvenirs. Ces connexions s’activent lorsque nous dormons. Plus nous réfléchissons à un sujet et plus nous répétons des actions, plus les voies neuronales sont solides. Cela permet ensuite à la mémoire à long terme d’accéder aux informations et aux connaissances requises lorsque nous en avons besoin.

Qu’est-ce que cela signifie en termes d’éducation ?

Que la répétition aide à renforcer ces connexions au fil du temps, empêchant les nouvelles idées et les nouvelles habitudes de s’effacer.

Faire du sport régulièrement permet à notre corps de rester en forme et, de la même manière, la répétition consolide les habitudes et le processus d’apprentissage. Plus nous apprenons, mieux nous apprenons.

Stimuler différents sens améliore l’apprentissage

Lorsqu’il s’agit de créer des connexions entre des idées, notre cerveau réagit différemment en fonction des sens qui sont stimulés. Toutes sortes d’apports sensoriels (images, sons, odeurs, sensations ou goûts) peuvent faire naître de nouvelles connexions. Les stimulus sensoriels renforcent la création et la conservation de souvenirs.

Lorsqu’on applique ce concept à l’éducation moderne, les outils numériques peuvent offrir une aide précieuse pour faciliter l’apprentissage, en stimulant différents sens grâce à des vidéos, des quiz, des infographies, des forums en ligne et des sessions de mentorat. Ce genre d’approche dynamique permet un taux de rétention d’information plus élevé. Lorsqu’on choisit son programme d’éducation en ligne, il est essentiel d’opter pour une plateforme qui adopte une approche multi-sensorielle.

Éviter les distractions favorise l’apprentissage

Aujourd’hui, nous sommes confrontés à de trop nombreuses distractions tout au long de la journée et cela peut rendre la concentration difficile. D’après Gallup research, le temps que nous passons à travailler sur une tâche avant d’être interrompus ou de passer à autre chose est d’environ trois minutes.

Le « multitasking » (le fait de faire plusieurs choses en même temps) peut encombrer notre mémoire de travail et entraver notre capacité à retenir de nouvelles informations.

Si quelques interruptions occasionnelles peuvent aider à stimuler la créativité (parler avec un collègue peut par exemple permettre de trouver de nouvelles idées), de trop nombreuses interruptions peuvent en revanche surcharger notre mémoire de travail et ralentir notre progrès.

Voici quelques solutions pour remédier à ce problème :

  • Établissez des espaces de travail définis
  • Planifiez de courtes pauses pour donner du rythme à votre travail
  • Essayez de minimiser les interruptions afin de maximiser votre concentration
  • Mettez votre téléphone portable en mode avion, installez des applications qui bloquent les réseaux sociaux durant votre temps de travail, etc.

Consultez notre cours « Apprendre à apprendre » qui vous aide à cultiver votre capacité d’apprentissage et celle de vos équipes.

Découvrez également nos nombreusesformations en lignede niveau licence ou master qui emploient une approche multi-sensorielle de l’apprentissage.

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Du musée à la gestion de projet digital, le rebondissement de Noémie

Comme bon nombre de diplômés, Noémie peine à à trouver un poste qui lui convient à la sortie de ses masters dans le domaine de l’art. Contrainte d’envisager une reconversion professionnelle, elle décide de compléter son profil créatif par des compétences plus techniques en développement web. Histoire d’un rebondissement à plusieurs casquettes !

Initialement, quel a été ton parcours universitaire ?

J’ai une licence d’histoire de l’art et archéologie, un master en gestion du patrimoine et un autre master en régie d’exposition, montage des œuvres.

Quelles ont été tes expériences professionnelles avant la formation OpenClassrooms ?

Après mes diplômes, je cherchais un poste de régisseuse d’œuvres d’art dans les musées. Le régisseur, c’est le chef de projet des musées. C’est un poste qui requiert notamment des savoirs techniques concernant la conservation des œuvres : leur transport, la gestion des emprunts des œuvres par un musée ou un autre, la gestion des assurances, la logistique et les équipes. Malheureusement, le secteur de la culture étant relativement bouché, je n’ai jamais trouvé d’opportunités qui me correspondaient.

J’avais réalisé des stages mais à l’embauche on me reprochait mon manque d’expérience.

Qu’est-ce qui t’a donné envie de vous former à nouveau ?

J’ai enchaîné les petits boulots et en parallèle j’ai participé à plusieurs ateliers sur la reconversion professionnelle, comme je voyais que c’était très compliqué de trouver un poste dans l’art. Au cours de ces ateliers, j’ai découvert l’infographie qui m’a beaucoup plu, comme j’ai un profil créatif. Puis petit à petit, je me suis orientée vers le web design, j’ai obtenu un poste en CDI dans un lycée agricole où on m’a demandé d’administrer le site internet et là j’ai eu envie d’acquérir de vraies compétences dans le domaine.

Comment as-tu découvert OpenClassrooms ?

Un proche m’a parlé d’OpenClassrooms et j’ai commencé à suivre les cours en ligne gratuits en développement web par curiosité.

J’ai trouvé ça passionnant.

Quelle formation as-tu suivie ?

J’ai tout de suite été intéressée par le développement, qui selon moi est très créatif aussi. J’ai pensé que le parcours chef de projet multimédia spécialisé développement serait encore plus professionnalisant qu’une formation en web design, et donc c’est ce que j’ai choisi. Mon parcours a été financé par Pôle Emploi à partir de février 2018. 

Quelles sont les compétences que tu as acquises ?

J’ai appris à réaliser des livrables en respectant un cahier des charges, mais aussi une note de cadrage. J’ai découvert la méthodologie de la gestion de projet, pour établir un rétroplanning, travailler en cascade. Du point de vue développement, ce sont des compétences en back-end que j’ai acquises pour l’instant, ce qui m’a donné envie à l’avenir de me former également pour le front-end.

Quels ont été tes projets de mise en pratique ?

Au cours de la formation, j’ai fait un stage de plus de deux mois dans une agence digitale spécialisée dans le print. C’était une petite boîte, donc j’ai touché à tout, c’était génial, très pratique : gestion de projet, développement CMS, travail de logo, maîtrise de la suite Adobe.

Suite à la formation OC, comment s’est déroulée ta recherche d’emploi ?

J’ai envoyé une candidature à une agence que je connaissais et j’ai présenté les projets que j’avais réalisés au cours de la formation et qui étaient en ligne. Au cours de l’entretien, j’ai dû expliquer comment j’avais gérer ces projets d’un point de vue technique.

C’est la dimension autodidacte de la formation OpenClassrooms que j’ai pu mettre en avant : le fait que je puisse montrer que je savais travailler en autonomie a plu.

J’ai aussi pu valoriser mon expérience de stage polyvalent. Finalement, c’est aussi mon profil très complet grâce à ma reconversion qui a séduit : je fais du graphisme, du développement, de la gestion de projet, j’ai un esprit créatif et curieux.

Quels sont tes conseils aux personnes qui souhaitent se reconvertir ou se former mais n’osent pas vraiment sauter le pas ?

Il faut être confiant, écouter ses désirs et sa volonté d’avancer.

Néanmoins, le pré-requis pour ce type de formation est d’avoir déjà un projet professionnel défini en tête, de savoir travailler en autonomie et de gérer son propre emploi du temps, ce qui n’est pas forcément évident pour tout le monde. Ce sont des domaines dans lesquels on ne trouve pas toujours les solutions immédiatement donc il faut rester motivé malgré tout. OpenClassrooms est justement fait de telle sorte qu’on ne vous donne pas les solutions bêtement, les mentors vous guident, expliquent et vous amènent à comprendre vos erreurs pour les résoudre par vous-même. C’est très formateur quand on a vraiment  envie d’apprendre.

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En quoi la formation à distance OpenClassrooms est-elle flexible ?

Par : Nora Leon

Jiddu Krishnamurti, le penseur Indien de l’éducation alternative, était convaincu qu’apprendre “devait aider l’individu à mûrir librement”. Et justement, chez OpenClassrooms, tout a été fait pour que chaque personne puisse étudier “librement”, c’est-à-dire selon ses propres modalités d’apprentissage.

Nous aimons dire que les études sur une formation à distance OpenClassrooms sont “flexibles”. Qu’est-ce que cela signifie ? Qu’est-ce que cela change pour vous ? Explications.

Étudier à son rythme

OpenClassrooms permet d’étudier à son rythme. Si vous avez déjà fait des études auparavant, vous avez vu qu’en école et à la faculté, quand un cours est terminé, vous avez soit compris, soit pris du retard. Vous devez nécessairement digérer cette leçon pour la fois suivante.

À l’inverse, sur nos parcours diplômants, vous pouvez revoir le cours autant de fois que vous le souhaitez. Et surtout, prendre autant de temps que nécessaire sur un projet professionnalisant, ces missions pratiques que vous devez réaliser comme si vous étiez déjà en entreprise.

Chaque mission proposée aux étudiants est concrète. Elle apporte des compétences utiles en poste. Donc, nous préférons que vous preniez plus de temps sur l’un de ces exercices qui serait pour vous plus compliqué, afin de bien intégrer ces savoirs.

D’autres missions à l’inverse, seront traitées plus rapidement : en fonction de l’aisance de la personne sur le parcours, elle peut aussi terminer plus vite, et ne paie donc pas les mois restants.

Moduler son temps d’apprentissage

De plus, les études chez OpenClassrooms sont tout-à-fait conciliables avec une vie de famille ou même un emploi à plein ou mi-temps. Les vidéos, cours et projets sont accessibles 7 jours sur 7, ce qui permet à de nombreux étudiants de jongler entre les deux.

Cela signifie que :

  • Chacun peut moduler son temps d’apprentissage : de quelques heures par semaine à un temps plein. L’étudiant paye au mois et peut étirer la durée de sa formation si nécessaire.
  • Et étudier sur les plages horaires qu’on souhaite : le matin, le soir ou pendant les week-ends si besoin.

C’est pratique pour se reconvertir : malgré la contrainte financière, ces études s’adaptent à l’emploi du temps de la vie quotidienne et non l’inverse.

J’ai commencé mon parcours il y a un an et j’ai cumulé grossesse du petit deuxième puis boulot dans une agence pendant 1 mois et maintenant je suis à mon compte tout en essayant de terminer ma formation. C’est pas de la tarte en effet mais c’est possible !” Pauline, étudiante Développeuse Web

Etudier depuis n’importe où

Enfin, les cours et projets sont accessibles depuis n’importe où, avec une bonne connexion Internet.

Cela permet :

  • De se former même depuis la campagne, sans avoir besoin de prendre un second logement dans une grande ville lointaine ;

Je vis à Béziers. J’avais cherché des formations en marketing, mais elles étaient toutes éloignées et j’aurais dû payer cher pour me loger et les transports en présentiel. OpenClassrooms m’a permis de me former depuis chez moi”. Caroline, experte en stratégies marketing freelance diplômée d’OpenClassrooms.

  • D’accéder aux cours même quand on part en vacances, par exemple pendant les fêtes et pendant l’été ; 
  • De continuer ses études même si l’on est amené à déménager dans une autre région ou à l’étranger, par exemple pour suivre son conjoint ; 
  • Ou enfin, de se former depuis l’étranger si on est expatrié.

Chez OpenClassrooms, nous sommes convaincus que chacun peut être heureux au travail. En créant des formations adaptables aux emplois du temps et contraintes de tous, nous avons voulu rendre l’éducation accessible à chaque moment de la vie.

Vous voulez en savoir plus sur nos formations en ligne ? Discutez-en avec nos conseillers pédagogiques.

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Reconverti et indépendant : quel statut choisir ?

Liberté, créativité, horaires flexibles, travail nomade : si pour vous reconversion rime avec indépendance, il y a de fortes chances que vous vous lanciez dans le monde du freelancing ou de l’entreprenariat.

Le choix du statut juridique de votre future entreprise est une étape incontournable lorsque vous décidez de travailler à votre compte. Il dépendra bien évidemment de votre activité, mais aussi d’autres critères personnels.

Pas simple alors de saisir toutes les subtilités fiscales de chaque statut : le jargon et les acronymes ont de quoi laisser perplexe. Pour vous aider à y voir plus clair, voici un tour d’horizon de toutes les possibilités qui s’offrent à vous.

SARL, SAS, EURL et autres acronymes : quelle différence ?

Avant de rentrer dans le vif du sujet, une première grande distinction s’impose. En effet, le choix du statut juridique d’une entreprise dépend tout d’abord :

  • Du nombre de personnes qui la composent
  • Et de la responsabilité endossée par l’entrepreneur ou l’indépendant qui se lance sur le marché.  

Si vous vous lancez en solo, vous représentez votre propre structure et n’avez pas forcément besoin de créer une société : vous pourrez exercer en tant que micro-entrepreneur ou bien en EI (Entreprise Individuelle).

Dans ce cas, votre responsabilité vis-à-vis de votre situation financière et fiscale est dite  « illimitée » : il n’y a pas de séparation entre vos ressources personnelles et vos gains professionnels.

Au contraire, en créant une société, votre responsabilité est « limitée » : votre entreprise est une personne morale et vous y injectez un capital. Vos biens personnels sont donc protégés en cas de faillite. Et la société vous permet bien évidemment de travailler avec des associés.

Micro-entreprise et Entreprise Individuelle : débuter une activité sans contraintes

La Micro-entreprise est, de fait, une entreprise ultra-simplifiée. Sa création et sa radiation sont rapides et gratuites. En tant que micro-entrepreneur, vous êtes considéré comme un travailleur non-salarié (TNS) et êtes affilié à la Sécurité Sociale des Indépendants (ex RSI) ; vous disposez d’un numéro de SIRET, vous payez des cotisations sociales à l’Urssaf et êtes imposé sur vos revenus.

En micro-entreprise, tout se base sur votre CA (chiffre d’affaire) : vous facturez vos clients, et, selon la nature de votre activité, vous acquittez d’un taux maximum de charges sociales d’environ 23%. Si vous ne gagnez rien, vous ne payez pas de charges.

En contrepartie de cette grande souplesse, vous ne pouvez pas dépasser les 70 000 € de CA annuel. Et vous n’êtes assujetti à la TVA (20% à rajouter sur la facture et à reverser à l’Etat) qu’à partir de 33 200 €.

A retenir :

  • Vos capitaux personnels et professionnels ne sont pas séparés : votre entreprise, c’est vous !
  • Légalement, vous devez tout de même disposer d’un compte bancaire séparé pour encaisser vos clients.
  • Vous devez déclarer mensuellement ou trimestriellement vos revenus, même s’ils sont nuls.
  • Votre comptabilité est simplifiée et vous êtes responsable de la tenue de vos comptes.
  • Vous pouvez payer vos impôts en même temps que vos cotisations à l’Urssaf (versement libératoire sur l’impôt) ou bien séparément ; dans ce cas, vous bénéficiez d’un abattement de 34% avant impôt.

Les aides :

Si vous êtes inscrit au chômage au moment où vous créez votre micro-entreprise, vous bénéficiez de l’ACRE : vos charges sociales sont moins élevées et augmentent progressivement sur trois ans avant d’atteindre le pourcentage défini par la loi.

L’Entreprise Individuelle est également une entreprise simplifiée. La création est gratuite, il y a peu de formalités de gestion, et vous n’êtes pas tenu à publier vos résultats comme pour une société. De même qu’en micro-entreprise, vous êtes un travailleur non-salarié, affilié à la Sécurité Sociale des Indépendants.

Si vous optez pour ce statut, vous pourrez toutefois déduire vos frais professionnels de votre chiffre d’affaire. Cela signifie que votre entreprise générera des bénéfices (CA – frais réels = bénéfices), sur lesquels seront calculées vos cotisations sociales (à hauteur d’environ 40/45%).

Frais professionnels, quesako ?

Les frais professionnels déductibles désignent les dépenses nécessaires au bon fonctionnement de votre entreprise. Ces frais doivent être justifiés et cohérents avec votre activité. Quelques exemples :

  • Repas personnels ou professionnels
  • Loyers (si vous travaillez depuis chez vous)
  • Frais de fournitures
  • Frais de transport
  • Frais engagés dans la création d’un site internet professionnel
  • Achat de matériel…

A retenir :

  • Ici encore, votre patrimoine personnel est confondu avec vos revenus professionnels.
  • Votre comptabilité est simplifiée. Attention néanmoins à demander un visa fiscal à un comptable pour ne pas se voir majorer les cotisations sociales de 25%.
  • Votre rémunération correspond aux bénéfices nets engendrés par votre activité
  • Votre chiffre d’affaire n’est pas plafonné.

Attention : si vous êtes un créatif et que vous souhaitez vendre de la production artistique uniquement, intéressez-vous plutôt aux régimes sociaux de la Maison Des Artistes et de l’AGESSA, plus intéressants en termes de charges sociales.

EURL et SARL : maximiser votre rémunération

Si vous dépassez le plafond de chiffre d’affaire imposé par le statut de micro-entrepreneur, vous pouvez vous lancer dans la création d’une Entreprise Unipersonnelle à Responsabilité Limitée (EURL) ou d’une Société A Responsabilité Limitée (SARL).

Dans ces deux cas, l’entreprise constitue une personne morale distincte de votre personne physique. Votre responsabilité est donc engagée uniquement sur le capital social investi au départ. En EURL et SARL vous êtes toujours considéré comme un travailleur non-salarié, affilié à la Sécurité Sociale des Indépendants.

Qu’est-ce qui change par rapport au statut de micro-entreprise ou d’EI ?

Premièrement, la comptabilité d’une entreprise autre que la micro-entreprise ou l’EI est toujours gérée par un expert comptable ; de plus, la création/radiation d’une société engendre des frais.

Dans le cadre d’une société, vous aurez la possibilité de vous dégager une rémunération : le montant et la fréquence de cette rémunération reste à votre discrétion. Et fiscalement, votre entreprise est désormais soumise à l’impôt sur les sociétés (un impôt plafonné selon votre CA, qui peut s’élever à 15, 28 ou 33%).

Concrètement, vous réalisez un chiffre d’affaire duquel seront déduits vos frais professionnels ainsi que votre rémunération nette, et les charges sociales directement proportionnelles à cette rémunération (à hauteur de 38%). Une fois l’impôt sur les sociétés soustrait, il vous reste le bénéfice. Ce bénéfice, vous pouvez décider d’en faire votre trésorerie ou bien de vous le verser sous forme de dividendes à la fin de l’année. Les dividendes sont soumis à l’impôt sur le revenu.

A retenir :

  • Même en l’absence de chiffre d’affaire, vous payez des cotisations minimales annuelles.
  • On déclare une fois par an son chiffre d’affaire.
  • Les statuts EURL et SARL sont intéressants si vous souhaitez bien vous rémunérer ; en revanche, votre couverture sociale n’est pas optimale.
  • Fiscalement, l’EURL et la SARL sont des statuts plus intéressants que l’EI, car vous paierez moins de charges sociales.

SAS et SASU : le choix de la sécurité

En Société par Actions Simplifiée et Société par Actions Simplifiée Unipersonnelle, vous êtes assimilé salarié (dirigeant).

Comme pour l’EURL et la SARL, l’entreprise constitue ici une personne morale distincte de votre personne physique. En revanche, vous êtes affilié au régime générale de la Sécurité Sociale.

De votre chiffre d’affaire seront déduits vos frais professionnels ainsi que votre rémunération nette, et l’impôt sur les sociétés. Jusqu’ici, rien de nouveau sous le soleil. Ce qui change, c’est essentiellement le taux de charges sociales, qui s’élève à 75%. Ce taux vous permet de bénéficier d’une très bonne couverture sociale, à l’instar d’un salarié ; avec ce statut, vous vous rémunérez donc sous forme de fiches de paye mensuelles.

Concernant les bénéfices, vous pouvez encore une fois décider d’en faire votre trésorerie ou bien de vous le verser sous forme de dividendes à la fin de l’année. A noter qu’en SAS et SASU le taux de prélèvement est plus avantageux par rapport aux dividendes en EURL et SARL.

A retenir :

  • Si vous ne vous versez pas de salaire, vous ne payez pas de cotisations.
  • Les statuts SASU et SAS sont intéressants si vous souhaitez assurer vos arrières en termes de retraite et chômage.
  • Vous aurez tout intérêt à vous verser un salaire mensuel raisonnable et à davantage profiter des dividendes en fin d’année.

 

Vous l’aurez compris, le statut juridique de votre entreprise est avant tout un choix personnel : il doit être adapté à vos objectifs et à la nature de votre activité indépendante. Il existe des cabinets spécialisés qui pourront vous accompagner dans ce choix, comme Novaa.

Pour aller plus loin dans les comparatifs :

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Comment OpenClassrooms choisit-elle ses experts ?

Par : Nora Leon

Chez OpenClassrooms, nous mettons une énergie considérable dans le choix de nos intervenants sur les cours.

Charlène, Instructional Design Manager chez OpenClassrooms, nous en dit plus sur le processus de recrutement de ces experts qui créent chaque année plusieurs centaines de cours gratuits à distance et en ligne sur OpenClassrooms.

Une particularité de notre pédagogie

Un cours à distance et 100% en ligne requiert des intervenants encore plus clairs que dans un cours en présentiel. L’expert ne répète pas, il faut donc que tout soit limpide en visionnant la vidéo et en lisant le texte. La technicité est cruciale, car elle permet de proposer des connaissances à jour et pointues.

Nous ne prenons pas d’acteurs, au contraire d’autres écoles en ligne, car nous souhaitons que les étudiants se reconnaissent dans ces professionnels, les prennent comme modèles. Cela garantit aussi la variété dans les cours, qui sont créés par des personnalités. Alors, qui sont ces professionnels ?

Une diversité d’experts

En ce qui concerne le choix des experts qui dispensent des savoirs théoriques sur la plateforme, l’enjeu est double :

  • Proposer les cours les plus qualitatifs possibles, à la pointe techniquement et pédagogiques ;
  • Et mettre en avant des modèles professionnels dans lesquels les étudiants peuvent se projeter pour guider leur carrière.

En ce qui concerne la technicité des personnes recrutées, nous faisons attention à choisir des experts en activité. Charlène le précise :

Nos experts sont en fait des professionnels, et pas des professeurs.

Nous voulons qu’ils exercent pour être encore aux prises avec l’actualité de la profession, qu’ils connaissent parfaitement les outils et les tendances actuelles du métier… Bref, qu’ils soient imprégnés d’une réelle vision terrain. Ensuite, nous ajoutons notre pédagogie à leur expertise pour que les cours soient compréhensibles. Mais la matière première, c’est l’expérience professionnelle fraîche”.

Chaque professeur est sélectionné pour son expertise, sur un cours précis. C’est la raison pour laquelle au sein d’une formation diplômante, on trouve plusieurs experts.

S’engager à prendre la personne la plus compétente sur chaque sujet garantit la qualité des cours.

Ensuite, nous constituons l’ensemble des professionnels qui enseignent, en gardant en mémoire que les étudiants y voient des modèles. Nous diversifions les profils en termes d’âges, de genres, et d’origines géographique et ethnique.

“Nous avons pris cette décision notamment car nous nous sommes rendus compte que les formations de code où il y avait plus d’étudiantes étaient celles où des femmes enseignaient.

Donc, nous essayons de représenter la diversité des professionnels dans toutes les spécialités, en particulier celles qui sont a priori encore masculines. Par exemple, Olga et Emily enseignent le code en anglais sur de nombreux cours”, assure Charlène.

Et ces deux éléments, qualité et diversité, justifient que nous fassions venir les meilleurs professeurs de loin. Par exemple, pour un cours en anglais sur .NET, nous avons fait venir des États-Unis John Altenbernd, qui est senior software engineer et a 20 ans d’expérience. Nous avons des professeurs des quatre coins du monde, et notamment des États-Unis, du Royaume-Uni, de Belgique et de Suisse. À part pour le tournage des vidéos, ils travaillent à distance.

Des critères fermes

Trois critères d’importance égale entrent en compte pour choisir les intervenants. Pour garantir l’impartialité, ils sont validés par trois équipes différentes, affirme Charlène.

1- L’expertise technique. Elle est vérifiée par le responsable de filière au fil de discussions avec le professionnel, au travers de son CV. Nous ajoutons parfois des tests techniques à ces process.

2- La volonté de transmettre. Nos experts ne sont pas a priori des professeurs, donc nous n’exigeons pas d’eux qu’ils aient de bonnes bases en pédagogie. Par contre, nous voulons qu’ils aient envie de vulgariser leur savoir, et qu’ils sachent expliquer même les notions complexes. Pour s’en assurer, nos ingénieurs pédagogiques discutent avec eux et leurs demandent d’expliquer quelques notions complexes pour voir s’ils arrivent à les rendre accessibles pour un débutant.

3- L’aisance face à la caméra. Nous faisons enfin faire 5 vidéos de test à distance aux futurs experts, et nous les testons aussi au sein de nos studios avec nos réalisateurs. Les principaux critères sont le fait d’être passionné par sa matière et de la transmettre, de s’exprimer clairement… Bien sûr, du media training est prévu pour chaque personne qui réalise un cours, mais nous devons sentir le “potentiel face caméra”. Et malheureusement, de nombreux candidats qui ont passé les deux premiers filtres échouent à l’épreuve de la caméra.

Pour nous, trouver un expert est complexe. Ces critères sont non négociables. Nous sommes convaincus que c’est à ce prix que nos formations resteront de qualité”.

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Thomas, le développeur globe-trotteur

Thomas Proust a étudié les langues étrangères appliquées en anglais et japonais, mais c’est en Allemagne qu’il démarre sa vie professionnelle en tant que commercial. Sans transition ou presque, c’est au Japon qu’il part ensuite s’installer et travailler en freelance. C’est là-bas aussi qu’il entreprend une reconversion grâce à OpenClassrooms et s’initie à la programmation et au développement informatique.

De la vente à la programmation

Rien ne semblait prédestiner Thomas à se lancer dans le développement puisqu’il s’est initialement formé aux langues étrangères.

« J’ai fait un master en langues étrangères appliquées à Lyon, puis comme je n’arrivais pas à trouver de stage au Japon mais que je souhaitais avoir une expérience à l’étranger, je suis parti en Allemagne. J’étais product manager dans la pharmaceutique, je vendais des tests de dépistage rapide. J’ai ensuite déménagé au Japon où je me suis installé comme auto-entrepreneur dans le trading international. J’achetais des conteneurs d’emballages alimentaires en Asie que je revendais en France. »

Paradoxalement, Thomas confie ne pas être particulièrement à l’aise dans le domaine de la vente et avoir voulu s’engager dans une voie plus pratique :

« J’ai toujours voulu créer des choses, mais je n’ai pas une fibre très artistique. Quand j’ai découvert la programmation, cela m’a plu de voir que je pouvais créer des choses de cette façon-là, sans forcément avoir de talents artistiques. C’était une complète reconversion.

J’avais déjà suivi plusieurs tutoriels sur OpenClassrooms et cela m’avait intéressé. C’est quelque chose qui m’a toujours attiré et donc j’ai décidé de me lancer dans le parcours développement. Mon idée était vraiment de réussir à travailler à temps plein dans ce domaine par la suite. »

Recherches d’emploi entre le Japon…

À l’issue de sa formation chez OpenClassrooms, Thomas laisse définitivement tomber la vente au profit du développement informatique.

« Au début de la formation, je continuais à travailler en freelance en parallèle.

Puis à la fin du parcours, ça n’a pas été simple pour moi de trouver un emploi ici sur place car je ne suis pas tout à fait bilingue en japonais. En France, les postes de développeur en remote ne sont pas encore très nombreux, et encore moins lorsqu’il y a 8h de décalage horaire. J’ai poursuivi mes recherches pendant quelques mois tout en continuant à me former et me spécialiser sur des technologies comme le blockchain. »

Thomas trouve finalement un poste de développeur full stack au sein de l’entreprise dans laquelle sa femme travaille et dont le domaine d’expertise est justement le blockchain.

« Ce qui les a intéressés lors de l’entretien, c’est de voir ce que j’avais déjà réalisé.

Je me suis vraiment fait la main avec les 5 projets du parcours OpenClassrooms et j’ai pu mettre cela en avant. Notamment le dernier projet qui m’a amené à élaborer un livre jeu, avec des choix à faire à chaque page et qui représentait un gros travail en développement back end. »

… Et la France

Thomas a plus d’un tour dans son sac puisqu’après plusieurs années passées au Japon avec sa famille, il souhaite revenir s’installer en France. Il se remet donc rapidement à la recherche d’un poste ici : « J’ai postulé à une annonce sur LinkedIn, il y avait 2-3 autres candidats en lice et malgré la distance, cette fois-ci, c’est moi qu’ils ont sélectionné. C’est une start-up spécialisée dans la technologie blockchain également. Je travaille pour l’instant en freelance pour eux et ils attendent mon retour en France pour me prendre en CDI. » Thomas jongle donc en ce moment avec deux emplois différents, entre les deux pays.

À la suite de son expérience, il conseille vivement à ceux que le domaine attire de tenter leur chance : « Le développement informatique peut être très frustrant mais si on aime, il faut persévérer car il y énormément d’offres d’emploi en ce moment. Même lorsqu’on est en poste, les recruteurs nous abordent régulièrement.

Toutes les semaines, je reçois 4-5 demandes d’entreprises alors que je ne suis pas en recherche d’emploi. »

Effectivement, Thomas n’est plus en recherche et semble avoir son compte pour le moment : reconversion réussie.

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Comment tirer parti d’un entretien d’évaluation ?

Par : Nora Leon

Panique à bord, l’heure de votre entretien d’évaluation a sonné. Qu’il soit annuel, semestriel ou trimestriel, il est souvent vécu comme un moment de stress. Pourtant, ses vertus sont nombreuses :

  • Faire le bilan et revenir sur la performance d’une période donnée,
  • Échanger des retours constructifs avec son manager sur la manière de travailler ensemble,
  • Fixer des objectifs et un plan d’action concret pour la suite,
  • Évoquer l’évolution au sein de l’entreprise.

Sarah Ben Allel est Head of People chez Qonto, une néo-banque B2B. Passionnée par les relations humaines et forte de 6 ans d’expérience dans les RH chez L’Oréal, elle a rejoint cette start-up en pleine croissance dans le but de co-construire sa politique RH : attirer, recruter et fidéliser ont été ses grands chantiers depuis le premier jour. Et avec une équipe qui est passée de 50 à 140 en moins d’un an et demi, elle a dû rapidement réfléchir à la manière de suivre l’évolution des équipes, notamment au travers des entretiens d’évaluation.

Alors, comment faire de l’entretien d’évaluation une opportunité ? Établir une discussion saine et constructive ? Mesurer les résultats et mettre sur pied un plan d’action pour grandir ? Sarah nous livre sa vision sur ces sujets utiles aux managers comme aux employés.

Un bilan factuel et constructif

Le point de départ de cet entretien : l’atteinte des objectifs de l’employé.

A-t-il réussi à atteindre les objectifs fixés par le manager ? Les a-t-il même dépassés ? Sur ce point, pas de surprise. Les résultats doivent être factuels.

“C’est le rôle du manager de fixer des objectifs clairs et mesurables pour son équipe (sous forme d’OKR par exemple). Et si ce n’est pas le cas, il ne faut surtout pas que les collaborateurs hésitent à être proactifs sur le sujet, proposer et ajuster si besoin ».

« C’est la clé pour parler le même langage et savoir exactement les sujets qui doivent être abordés en entretien. Personne n’est sensé tomber de sa chaise en apprenant ce qu’attendait son manager. Pour que cet entretien soit productif, il doit être un bilan d’éléments prédéfinis en amont.”

Au-delà des objectifs, l’entretien est l’occasion de regarder plus en détails les résultats pour prendre le moment de reconnaître les succès ou alors, lorsque les objectifs ne sont pas atteints, réfléchir à ce qui peut être mis en place pour la période suivante.

Cela étant dit, le seul mot d’ordre sur la teneur des échanges est qu’ils doivent être factuels.

Le feedback doit être factuel. Et donc, amené avec des éléments et des exemples précis et circonstanciés. S’il ne l’est pas, il n’a pas de valeur”.

Comment s’y prendre ?

Il faut prendre le temps de préparer l’entretien en amont. Par exemple, l’employé peut venir avec les chiffres et résultats qui attestent de ses réussites :

“Apporter des chiffres pour quantifier le nombre de recrutements lorsque l’on est recruteur ou le nombre d’articles rédigés, de retombées presse ou de followers acquis par rapport à l’objectif lorsque si on est en charge de  la communication ».

« Dès qu’on a de la donnée, les chiffres parlent. Ils sont utiles pour affiner la discussion et argumenter en vue d’une formation, d’une augmentation ou d’une prise de responsabilités”, assure Sarah.

Le conseil de Sarah : se replonger dans son agenda pour se rappeler de tout ce que vous avez mis en place, ou organisé (par exemple : l’organisation de tel événement etc.).

La revue des compétences

C’est aussi le moment de constater le niveau sur un sujet et les progrès faits.

D’abord sur les compétences métier, par exemple : un développeur qui aurait appris un langage informatique pour progresser dans son rôle. Ou au contraire, la personne qui serait en retard sur un projet à cause de sa maîtrise insuffisante d’un outil.

Ou encore sur les compétences interpersonnelles, qui  font aussi l’objet d’une revue. Le manager peut faire un retour concret sur un comportement positif qu’il a noté : “je trouve que tu apportes une dynamique très positive à l’équipe en partageant quotidiennement tes nouvelles idées”, ou proposer un changement : “j’ai constaté que tu avais du mal à dire non et donc in fine à prioriser. Je pense notamment à telle situation il y a x temps  dans x situation”.

“Et une fois ces constats dressés, il ne sont utiles que si un plan d’action est proposé par l’employé ou son manager.”

Quelles questions poser ?

  • Si les progrès sont manifestes, comment la personne veut-elle aller encore plus loin ?
  • S’ils sont encore insuffisants, quelle formation ou bonne pratique peut-elle suivre pour s’améliorer ?

Des retours mutuels

C’est enfin le moment de parler de la collaboration. Au quotidien, on peut se donne des retours sur son travail mais on parle rarement de la manière de travailler ensemble et de collaborer. L’entretien est un moment clé pour en discuter que ce soit plus ou moins agréable  à entendre” explique Sarah.

Même si cette dimension doit être illustrée d’exemples et rester la plus factuelle possible, elle implique aussi parfois des ressentis. “Voici ce que j’ai ressenti à ce moment-là”. De là découle une discussion et une suite d’ajustements pour voir comment mieux travailler ensemble, notamment si le retour était négatif. Dans tous les cas, deux mots d’ordre : objectivité et bienveillance.

“L’état d’esprit où chacun se trouve est décisif. Il est primordial de vouloir comprendre ce que l’autre nous dit, de l’écouter. C’est un dialogue, et ce peu importe la relation hiérarchique”. 

Partager des retours, oui, mais toujours en lien avec le travail : “Anticipez si l’impact du feedback est important et utile, l’idée n’est pas de tomber dans un procès à charge !”

Une fenêtre sur l’avenir

Fixer des objectifs atteignables

C’est aussi le moment de s’aligner sur le programme des prochains mois. Les objectifs non atteints sont souvent remis sur la table avec un nouveau plan d’action. S’y ajoutent de nouveaux, en ligne avec ceux de l’entreprise et de l’équipe.

Lors de l’entretien, il est tout à fait possible, voire conseillé, de les commenter. Si l’un des objectifs semble trop élevé, le dire à son manager permet de désamorcer dès le départ des situations qui deviendraient compliquées par la suite. Ce dernier a ses propres raisons de le fixer (par exemple, une ambition économique), mais doit pouvoir expliquer comment il est atteignable. Dans le cas contraire, cela peut être le moment de réajuster ces cibles pour les rendre réalistes.

Solliciter une formation

Si le salarié a besoin d’une formation pour réussir, il doit la demander. Lorsqu’il est force de proposition, il montre qu’il a conscience de ses atouts, mais aussi de ses axes d’amélioration, et qu’il est prêt à être acteur de son succès.”

Cet entretien, à fortiori s’il comprend des retours sur l’insuffisance d’une compétence, sert à établir le plan d’action pour redresser la barre. Et si une formation peut aider, elle doit être mise en place : il est primordial d’accompagner les collaborateurs sur les compétences qu’ils ne maîtrisent pas assez pour être performants dans leur poste. Et la formation peut aussi être une récompense et pousser un collaborateur à découvrir de nouvelles choses.

Que préparer ?

  • Les arguments pour justifier que vous voulez monter en compétences sur tel sujet plutôt qu’un autre.
  • Un benchmark des formations sur ce sujet, en motivant votre préférence.

Demander une augmentation salariale

L’entretien n’est pas forcément synonyme d’augmentation. Mais parfois, il permet d’aborder la question du salaire. Si les objectifs sont atteints voire dépassés, que le poste est complètement maîtrisé, que la personne prend de plus en plus de responsabilités, ou encore que la personne se considère en dessous du marché, alors le sujet est  complètement légitime.

“Idéalement, il ne faut pas attendre que le salaire devienne un sujet de crispation et pour cela, c’est au manager d’anticiper.”

Le manager doit faire l’exercice en amont de préparer cette question, en collaboration avec les RH,  en regardant certains points clés, comme par exemple :

  • les dernières augmentations, l’évolution des collaborateurs
  • les études de marché
  • le positionnement par rapport à l’interne (sur des métiers similaires)

Si ce n’est pas le manager, les collaborateurs ne doivent pas hésiter à prendre le sujet en main : “L’une de nos salariées est venue me voir un jour en m’apportant les éléments suivants. Elle avait demandé à 5 personnes à poste égal, expérience égale et entreprise similaire leur salaire sur leur poste et elle avait quelques études qui montraient qu’elle était décrochée de 15% par rapport au marché. Elle a eu son augmentation”.

Le conseil de Sarah : aller voir  des études de marché de salaires sur les sites de recrutement pour vous faire une idée plus précise de votre positionnement. Attention, il en faut plusieurs pour pouvoir se positionner.

Discuter de son évolution à moyen-terme

Enfin, l’entretien est une fenêtre sur l’avenir et permet de se projeter dans l’entreprise. Faire évoluer les meilleurs éléments est clé pour les fidéliser.

Le point de départ pour aborder cette question, c’est simplement de demander à l’employé quelles sont ses aspirations. Veut-il manager ? Souhaite-t-il rester sur la même technologie ? Évoluer sur son poste ou changer de fonction ?”. Une fois ces éléments recueillis, l’employé sait que ses demandes d’évolution sont prises en compte, et le manager peut l’aider à construire sa carrière, mais pas seul : “Par la suite, la responsabilité de l’équipe RH, c’est de voir si à moyen-terme, une opportunité peut se libérer pour cette personne. Car avoir le réflexe de se tourner vers l’interne plutôt que vers l’externe permet entre autres de construire de belles carrières, qui motivent les talents, et les gardent engagés”.

“En conclusion, on peut se dire qu’importe le format, qu’importe la temporalité, l’entretien d’évaluation doit être un prétexte pour échanger, sur le passé mais surtout sur l’avenir dans le but de ressortir de ce moment clé plus motivé que jamais”

Pour aller plus loin :

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Mettre en avant ses compétences comportementales pour trouver un travail

Par : Nora Leon

À cause du manque de candidats qualifiés pour les emplois du secteur numérique, il est de plus en plus difficile pour les recruteurs de trouver des profils qui correspondent aux besoins de leurs clients. Dans cet article, nous vous présentons les difficultés que rencontrent aujourd’hui les professionnels des ressources humaines et les recruteurs et vous expliquons comment en tirer profit.

D’après une étude récente, 89 % des entreprises s’attendent à rencontrer des difficultés pour trouver des employés qualifiés dans le numérique l’année prochaine. Certains départements de ressources humaines font appel à trois voire quatre agences de recrutement simultanément tant elles ont du mal à trouver des candidats qualifiés.

Cette pénurie de compétences et d’expérience va augmenter à mesure que la technologie se développe. Pour répondre à ce problème, les entreprises modifient leurs techniques de recrutement en ayant recours à la formation à distance, par exemple.

Des tendances qui évoluent

Si vous cherchez un emploi, cette section va vous intéresser. Par nécessité, les entreprises renoncent peu à peu aux candidats au « profil parfait » du « mouton à quatre pattes » avec beaucoup d’expérience pour privilégier des candidats dotés d’autres compétences prometteuses et de talents dont ils peuvent faire bénéficier l’entreprise.

On conseille aux employeurs de se concentrer de plus en plus sur les compétences comportementales transversales. Celles-ci incluent la personnalité, les traits de caractère, les compétences sociales et de communication, mais aussi les compétences commerciales qui sont utiles dans différents domaines et à divers postes.

Les compétences techniques peuvent être enseignées ; trouver un candidat avec les bonnes compétences comportementales est la clé.

D’après Vik Patel, PDG de Future Hosting, les compétences techniques sont nécessaires, mais pas suffisantes. Il privilégie le recrutement de candidats « autotéliques », qui possèdent une bonne capacité d’adaptation et sont motivés par la curiosité et le désir d’apprendre. Pour lui, la persévérance et l’application ont une importance capitale car on demande constamment aux employés de faire preuve d’autonomie.

Chez OpenClassrooms, nous savons que les compétences comportementales sont particulièrement importantes aujourd’hui, car les employés doivent sans cesse acquérir de nouvelles compétences pour suivre l’évolution de la technologie.

Mettez en avant vos compétences comportementales

Les employeurs sont à la recherche de candidats possédant des compétences comportementales et traits de caractère tels que l’adaptabilité, la confiance en soi, une bonne gestion du stress, la créativité et la curiosité. Pourquoi ? Parce qu’ils rendent les entreprises plus résistantes face aux changements.

Les compétences techniques peuvent être enseignées aux candidats qui ne possèdent pas d’expérience préalable.

Les meilleurs employés s’avèrent souvent être ceux qui ont la bonne combinaison de compétences comportementales et qui sont capables d’apporter un réel avantage compétitif à une organisation et non ceux qui possédaient le plus d’expérience lorsqu’ils ont été engagés.

Voici quelques compétences comportementales que vous pouvez mettre en avant sur votre CV et lors d’entretiens, car elles sont très demandées dans de nombreux domaines et pour de nombreux postes :

  • Désir d’apprendre et de garder ses connaissances à jour/curiosité
  • Autonomie et débrouillardise
  • Initiative
  • Bonne capacité de résolution des problèmes
  • Créativité/imagination
  • Adaptabilité
  • Bonne gestion du stress
  • Capacité à travailler efficacement en équipe
  • Capacité à gérer les conflits
  • Bonne relation avec les clients

Si vous souhaitez travailler sur vos compétences comportementales, OpenClassrooms vous propose des cours qui vous permettent de développer un certain nombre de ces compétences dont Apprenez à apprendre, Travaillez en autonomie, Travaillez efficacement en équipe, Prenez la parole en public, et Communiquez et formalisez vos idées par le storytelling. Ces cours peuvent être suivis séparément et se trouvent dans le programme de nos formations diplômantes de niveau licence et master.

Pour plus d’informations sur les compétences, vous pouvez lire nos articles sur le bilan de compétences.

 

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Les bons réflexes pour répondre à une fiche de poste

Bien analyser une fiche de poste, c’est la première étape pour décrocher un contrat !

Comment hiérarchiser l’information et mettre les chances de son côté dans son CV, sa lettre de motivation puis en entretien avec le recruteur ?


Jean Julien Boucher
est consultant en Recrutement chez Co-Efficience et il a répondu à nos questions sur le sujet.

Sur quoi faut-il faut être attentif sur une fiche de poste ?

L’intitulé du poste, le lieu et la rémunération sont les trois points primordiaux à prendre en compte quand on découvre une fiche de poste. A partir du moment où ces trois éléments vous conviennent, vous pouvez regarder de plus près les missions proposées et le profil recherché par l’entreprise.

Comment adapter son CV ?

Le CV doit être personnalisé en fonction de l’annonce à laquelle on répond. Il est nécessaire de faire ressortir des mots clés que l’on a pu identifier au préalable dans l’annonce afin de capter l’œil du recruteur.

💡 Bon à savoir :
Ces mots clé sont d’autant plus importants que, dans le cas d’une candidature en ligne, de nombreux logiciels peuvent repérer les mots clés… Et disqualifier les candidatures pas assez proches de l’offre !

Pour un développeur par exemple, il ne faut pas hésiter à adapter son vocabulaire (« j’ai tel niveau sur telle techno ou framework, j’utilise la démarche scrum et agile… ») afin de faire écho à l’offre en question.

Pour aller plus loin, voici quelques ressources :

Pour la lettre de motivation : que faut-il mettre en avant selon les caractéristiques du poste ?

La lettre de motivation est un bon moyen pour donner des exemples de réussites lors de ses dernières expériences. C’est aussi une occasion de s’exprimer, de raconter des anecdotes en corrélation avec le poste.

De plus, il est important de personnaliser la lettre de motivation à l’image de l’entreprise : un paragraphe en rapport avec la société est un plus. Cela démontre le fait de s’être renseigné auparavant sur l’activité de la société mais surtout, de connaître les enjeux du poste qui nous intéresse.

[À lire : Lettre ou mail de motivation : comment les réussir]

Comment parler de ses expériences lors de l’entretien ?

Démontrer ses compétences à travers des exemples concrets et concis, des mises en situation qui nous mettent en valeur vis-à-vis du poste sont autant de façons de mettre en avant ses expériences.

La règle d’or est de toujours répondre de façon précise et relativement courte ; et le candidat doit toujours justifier ses réponses en illustrant ses propos.

Et si le recruteur a envie d’en savoir plus, il le fera savoir ! Il est donc important de laisser respirer la discussion (des silences sont utiles) et d’être attentif aux questions et à la communication non-verbale… Pour pouvoir passer le relais au recruteur pour poser une question.

Quels sont les pièges à éviter lorsque l’on postule ?

Je dirais que le principal piège est de ne pas s’être assez renseigné sur l’activité de la société, de postuler sans savoir réellement à qui l’on s’adresse.

Y a-t-il des erreurs rédhibitoires sur un CV, une lettre de motivation ou lors d’un entretien d’embauche ?

Tromper sur ses acquis est une chose vite décelable par le recruteur, même si cela reste tout de même rare.

Les fautes d’orthographe dans la lettre de motivation sont aussi un véritable frein pour le recruteur qui ne prend, la plupart du temps, pas le temps de donner suite à la candidature.

A l’inverse, quelle est la meilleure façon de se distinguer ?

Une fois de plus, la meilleure façon de se distinguer est de donner des mises en situations d’expériences passées dans lesquelles on a su rebondir face à une action inhabituelle. Le candidat peut organiser son discours selon la méthode S.T.A.R : Situation/Travail/Action/Résultat.

Les entreprises sont souvent demandeuses d’anecdotes sur votre façon de réagir face à un événement impromptu.

Par expérience, avez-vous d’autres recommandations à faire à un candidat ?

Le candidat veut souvent jouer un rôle alors que la botte secrète est simplement de rester soi-même. Se renseigner sur l’entreprise est bien entendu la base d’une candidature réussie. Quelques conseils supplémentaires :

  • Chercher le nom de l’entreprise à laquelle on souhaite postuler sur Google mais surtout sur Linkedin
  • Communiquer avec les contacts/connaissances qui sont en lien avec cette entreprise, savoir pourquoi ce poste est vacant, se renseigner sur l’ambiance au sein de la société, la politique de rémunération…
  • Jeter un œil sur les réseaux sociaux de la société en question, regarder les valeurs qu’ils partagent
  • Se mettre des alertes pour recevoir les nouveaux postes vacants sur divers sites de recrutement 
  • Relancer l’interlocuteur RH pour multiplier ses chances de décrocher un entretien.

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« Soft skills » ou qualités interpersonnelles : faites-en un atout en entretien !

Vous avez trouvé une offre qui vous correspond et vous vous apprêtez à envoyer votre candidature.

Une formation adéquate et un parcours professionnel cohérents sont primordiaux pour décrocher le poste de vos rêves. Néanmoins, ils sont loin d’être suffisants lorsqu’il s’agit de convaincre un recruteur de vous faire confiance.

Pour mettre toutes les chances de votre côté, misez sur vos compétences interpersonnelles. On vous donne quelques pistes, avec l’aide d’Amandine Ruas, spécialiste en ressources humaines et coach en développement personnel et professionnel.

[Pour aller plus loin, retrouvez nos cours « Élaborez votre stratégie de recherche d’emploi » et « Obtenez l’emploi qui vous correspond » à la fin de cet article].

Compétences interpersonnelles : de quoi parle-t-on ?

Les compétences interpersonnelles, appelées aussi soft skills, sont les qualités personnelles, humaines et relationnelles que vous montrez sur le lieu de travail. Elles ne concernent ni vos diplômes, ni vos connaissances techniques sur un sujet, mais bien votre savoir-être.

Communication orale, écoute active, pédagogie, empathie, adaptabilité, gestion du stress, travail d’équipe sont des exemples de compétences interpersonnelles.

Attention, ces soft skills représentent un critère de sélection au même titre que votre formation ou vos expériences professionnelles.

En effet, de plus en plus de recruteurs estiment qu’un bon candidat devra non seulement disposer des compétences techniques attendues pour le poste, mais aussi et surtout s’intégrer et s’épanouir au sein de l’entreprise. Les soft skills donneront du relief à votre profil et fourniront au recruteur des informations précieuses sur votre valeur ajoutée pour son organisation.

Quels sont les soft skills les plus recherchés? 

“ Il existe un large panel de compétences interpersonnelles. En tant qu’ancienne RH, j’ai identifié deux qualités très importantes : la communication (orale et écrite) et l’adaptabilité. Ce sont des indicateurs très puissants du potentiel du candidatnous confie Amandine.

“ Concrètement, la communication se décline en plusieurs soft skills : la clarté de l’élocution, par exemple, et la capacité de faire passer un message clair et structuré, à l’écrit comme à l’oral. En entreprise, une bonne communication permet une collaboration de qualité, c’est essentiel. 

Idem pour l’adaptabilité : dans un monde où tout va très vite, les entreprises évoluent et se réorganisent en permanence, les salariés sont mobiles, il faut être capable de s’adapter aux changements.”

Identifiez vos soft skills pour rendre votre candidature unique

Nous avons tous des compétences interpersonnelles plus ou moins développées. Elles sont propres au vécu et à la personnalité de chacun, et peuvent évoluer au fil des expériences professionnelles. Alors, comment savoir les reconnaître, et en tirer profit ? Voici les conseils d’Amandine :

  • Travaillez sur vous. La connaissance de soi est très importante et vous aide à mettre le doigt sur vos qualités. Posez-vous des questions sur vos expériences professionnelles antérieures : avez-vous fait preuve d’esprit d’équipe, de créativité, d’innovation? A quel moment?
  • Faites appel à un expert. Réalisez un bilan de compétences*(lien article) ou bien échangez avec un coach pour avoir un regard extérieur sur vos qualités relationnelles. Certaines sont si naturelles pour vous qu’elles peuvent passer inaperçues!
  • Expérimentez. Les compétences s’ancrent dans la pratique : si vous souhaitez améliorer votre communication orale, entraînez-vous seul, en vous enregistrant par exemple, ou bien avec un proche.

Comment mettre en valeur vos soft skills ?

  • Mentionnez-les dans votre CV. Associez les soft skills les plus significatives à chacune de vos expériences professionnelles, ou bien notez-les directement sous votre nom. Elles attireront l’oeil du recruteur.
  • Préparez-vous à en parler en entretien. A niveau de compétences techniques égales, les soft skills feront la différence entre vous et les autres candidats.
  • Associez-les à une anecdote. Vos soft skills doivent résonner avec vos expériences personnelles et professionnelles antérieures. Cela convaincra le recruteur de la pertinence de vos propos.
  • Faites le lien avec votre futur emploi. Les soft skills sont transposables et vous saurez en tirer profit sur votre prochain poste : expliquez comment.

“ Dans un processus de recrutement, la qualité de votre candidature mettra en valeur certains de vos soft skills tout naturellement. C’est pourquoi je conseille aux candidats de soigner chaque échange avec les entreprises.

La rédaction de votre CV et lettre de motivation prouvera votre capacité à communiquer efficacement vos idées à l’écrit ; un échange de mails réactif et bien mené montrera que vous êtes quelqu’un d’organisé et d’efficace ; enfin, un entretien d’embauche serein aura démontré que vous savez gérer une situation de stress” explique Amandine.

Quels sont les pièges à éviter ?

  • Oubliez la liste de courses. Soyez sélectif et mentionnez uniquement les soft skills qui vous distinguent vraiment.
  • Ne vous contentez pas de citer les soft skills à la mode. Sortez des sentiers battus et concentrez-vous sur vos qualités réelles, sans tomber dans les stéréotypes.
  • Ne négligez pas l’importance de vos soft skills. Entraînez-vous à les remettre en contexte : ce sont des qualités de “terrain” qui ont beaucoup de valeur aux yeux des recruteurs.

 

Pour résumer, il n’y a pas meilleure arme que la connaissance de soi pour réussir tous vos entretiens. Prenez conscience de vos soft skills, entraînez-vous, et vous ferez la différence.

Pour aller plus loin :

Vous pouvez également suivre notre cours « Élaborez votre stratégie de recherche d’emploi« .

 

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Les meilleures plateformes pour freelances dans le numérique


Créatifs, développeurs, spécialistes de la communication, de plus en plus de
profils exerçant dans le secteur du digital choisissent de se lancer en solo. Et si vous faites partie de ces 13 millions de travailleurs indépendants qui parsèment la France, vous savez à quel point il est difficile de maintenir un afflux régulier de clients.

Surfant sur la vague du freelancing, de nombreuses plateformes de mise en relation entre indépendants et clients ont vu le jour. Souvent critiquées mais néanmoins très utilisées par des indépendants en tous genres, il en existe aujourd’hui pour tous les goûts et toutes les bourses.

Envie de trouver LA plateforme adaptée à vos besoins? Nous vous proposons un tour d’horizon des meilleurs sites pour rencontrer vos futurs clients.

 

Les poids lourds

 

Upwork et Freelancer


Comment ça marche ?
Ce sont les deux plateformes internationales pour freelances les plus utilisées du web. Ici, vous êtes directement contacté par les clients ou vous répondez aux projets qu’ils proposent à la communauté.

Pour quels profils ? Graphistes, designers, développeurs, data scientists, consultants, rédacteurs, traducteurs, fonctions support…

Gratuit ou payant ? L’inscription est gratuite. Vous fixez votre prix et facturez le client.

  • Upwork applique une commission dégressive (20, 10 ou 5%) en fonction du montant de la mission : plus le montant est important, moins vous payerez de commission.
  • Freelancer applique des frais de 20% sur chaque transaction (15% si vous adhérez au compte premium payant).

Statistiques : Les membres et les offres se comptent en plusieurs dizaines de millions !

Le plus : Une multitude de missions à pourvoir et une communication à double sens. Idéal si vous travaillez en anglais et recherchez des clients partout dans le monde.

 

Malt

 

Comment ça marche ? Sur Malt, ce sont les clients qui contactent les freelances. Les recruteurs choisissent le profil idéal via le moteur de recherche du site : plus votre profil sera complet et attrayant, plus vous aurez de chances de remonter dans l’algorithme.

Pour quels profils ? Métiers du marketing et de la communication, rédacteurs, community managers, développeurs, consultants et créatifs.

Gratuit ou payant ? L’inscription est gratuite et la plateforme applique une commission de 10% sur le montant HT de chaque la mission, dégressive en cas de collaborations régulières. Aucune commission ne s’applique si vous ramenez vos propres clients sur la plateforme.

Statistiques : 100.000 freelances et 66.000 clients.

Le plus : Vos clients et collaborateurs peuvent rédiger des avis qui apparaîtront sur votre profil.

 

Les 100% gratuites 

 

404Works

 

Comment ça marche ? Dès la création de votre compte, vous avez accès aux missions postées par les clients et pouvez proposer votre devis.

Pour quels profils ? Graphistes, développeurs, ergonomes, consultants SEO, rédacteurs, photographes, motion designers, community manager, webdesigner, infographistes…

Gratuit ou payant ? A l’inscription, la plateforme est complètement gratuite pour prestataires et clients et aucune commission n’est appliquée. Toutefois, l’offre premium pour le freelances (à 9,99 € HT par mois) est devenue indispensable pour pouvoir répondre à la totalité des annonces et bénéficier d’une meilleure visibilité.

Statistiques : 50.000 freelances inscrits.

Le plus : la plateforme s’adresse uniquement aux travailleurs basés en France. Cela évite une concurrence de prix déloyale avec des freelances installés dans d’autres pays. le travail offshore.

 

XXE

 

Comment ça marche ? Les entreprises peuvent vous contacter directement et vous confier des missions. La plateforme permet aussi de monter des équipes de freelances sur des projets proposés par les clients.

Pour quels profils ? Beaucoup de profils tech et développeurs web, mais aussi consultants, rédacteurs, photographes, designers…

Gratuit ou payant ? Freelances et entreprises peuvent accéder gratuitement à XXE. Le modèle économique de la plateforme est en “freemium”, comme 404Works : un abonnement à 9,90 € HT permet de bénéficier de services supplémentaires.

Statistiques : 20.000 freelances inscrits.

Le plus : sur XXE, votre TJM (Taux Journalier Moyen) se présente sous la forme d’une fourchette de prix, vous gardez ainsi une marge de négociation.

 

Les (très) spécialisées

 

Codeur

 

Comment ça marche ? Les clients postent des offres de missions détaillées, auxquelles répondent publiquement les freelances.

Pour quels profils ? Plateforme spécialisée dans les métiers du web, on y trouve beaucoup d’offres destinées aux développeurs, webmasters et aux freelances qui gravitent autour de la création de sites de e-commerce et d’applications.

Gratuit ou payant ? Gratuite pour les clients et sur abonnement pour les indépendants, à partir de 29 € HT par mois. Une commission de 4% est facturée au freelance pour chaque projet réalisé.

Statistiques : 167.000 freelances inscrits.

Le plus : Le site existe depuis 2006 et est très connu dans le milieu du développement web.

 

Comet

 

Comment ça marche ? Sur cette plateforme pour ingénieurs freelances, vous recevez des propositions de mission correspondant à vos compétences et aspirations. De leur côté, les entreprises se voient recommander le profil le plus adapté à leurs besoins sous 48 heures. Les échanges se font via Slack.

Pour quels profils ? Ingénieurs tech et data.

Gratuit ou payant ? La plateforme est entièrement gratuite pour les ingénieurs, et prend une commission fixe de 15% à la charge du client.

Statistiques : une communauté de 1.400 freelances.

Le plus : Comet propose à ses membres des mutuelles aux tarifs négociés, des conseils comptables et juridiques et d’autres services pensés sur-mesure pour les freelances.

 

Creads

 

Comment ça marche ? Creads est la première plateforme française de création de contenus graphiques, digitaux et vidéos. Un fois rejoint le vivier de créatifs, vous serez contacté par les chefs de projet, qui font le lien entre freelances et clients. Ces derniers ont accès à votre portfolio et peuvent également vous contacter directement.

Pour quels profils ? La plateforme est ouverte à tous les créatifs freelances spécialisés en graphisme, vidéo et conception-rédaction.

Gratuit ou payant ? Gratuit pour les freelances et payant pour les clients.

Statistiques : 50.000 freelances inscrits.

Le plus : Les propositions de mission affluent sans recherches de votre part.

Talents Around

 

Comment ça marche ? Cette plateforme met en relation jeunes créatifs et grands groupes. Vous devez créer un profil complet, avec portfolio et vidéo de présentation. Une fois votre inscription validée, la plateforme propose les profils adaptés aux besoins du client grâce à un algorithme.  

Pour quels profils ? Plateforme dédiée aux créatifs, elle est constituée de cinq catégories de métiers : arts visuels, arts graphiques, web, divertissement, design.

Gratuit ou payant ? 100% gratuit pour les freelances.

Statistiques : 350 talents sélectionnés par les fondatrices de la plateforme.

Le plus : Cette plateforme donne un véritable coup de pouce aux jeunes profils créatifs sans réseau et à la recherche de missions intéressantes.

 

Les plus sélectives

 

FreelanceRepublik

 

Comment ça marche ? La plateforme soumet les candidats à des tests techniques, puis propose au client une présélection de freelances. Seules 15% des candidatures sont présentées par mission.

Pour quels profils ? Ingénieurs, développeurs et chefs de projet dans le secteur de la tech.  

Gratuit ou payant ? Aucun frais côté freelance, puisque la commission est toujours à la charge du client.

Statistiques : environ 10.000 freelances inscrits.

Le plus : Des missions vraiment sur-mesure grâce à un système de “matching” efficace.

Crème de la crème


Comment ça marche ?
Cette plateforme très sélective est ouverte à tous les freelances de l’univers digital. Les candidats retenus peuvent contacter le client après avoir pris connaissance du brief de la mission. Les candidatures sont limitées à 5 par brief.

Pour quels profils ? Freelances dans les secteurs tech et data, marketing et communication, design et produits.

Gratuit ou payant ? L’inscription à la plateforme est gratuite. Sur chaque prestation, Crème de la crème garde 15% de commission. Aucune commission ne s’applique si vous ramenez vos propres clients sur la plateforme.

Statistiques : 4.000 freelances inscrits et plus de 5.000 entreprises.

Le plus : Entouré d’une véritable communauté, vous pouvez échanger avec d’autres freelances et bénéficier d’une assistance administrative. Cerise sur le gâteau, l’application mobile permet un suivi en temps réel des relations clients.

 

Pour aller plus loin :

Toutes les plateformes pour freelances à connaître

L’étude sur les freelances réalisée en 2017 par Malt et OuiShare

 

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Design : Comment mener un entretien semi-directif ?

Pour créer la meilleure solution possible, un designer doit identifier au mieux le problème qu’il souhaite adresser. Il devient alors essentiel de recueillir des données qualitatives pour mettre en lumière les frustrations de ses potentiels futurs utilisateurs ou bien confirmer certaines hypothèses.

Mais trouver les bonnes questions ne suffit généralement pas, il est nécessaire de les poser de la bonne manière, de façon à récolter un maximum d’informations de qualité et surtout pertinentes pour le projet.

L’entretien semi-directif est justement réputé pour être la meilleure technique à utiliser pour se familiariser avec les attentes de ses utilisateurs.

Pour nous éclairer sur le sujet, nous avons rencontré Mathilde Buenerd, Designer et Développeur Front-End en freelance. Mathilde est également mentor chez OpenClassrooms sur les parcours Développeur Front-end et UX Designer

 

Tout d’abord, qu’est-ce qu’un entretien semi-directif ?

 

C’est un peu comme un jeu de piste dans lequel la mission est d’obtenir le point de vue d’un utilisateur, sans lui poser de questions directes, pour découvrir ses envies.

L’idée, c’est de créer une conversation qui ne donne pas l’impression de subir un interrogatoire. L’interlocuteur peut alors s’exprimer librement et prodiguer des informations de bien meilleure qualité.

De manière générale, l’entretien semi-directif est utilisé dans tout ce qui touche aux sciences sociales. Mais d’un point de vue professionnel, on le retrouve surtout dans le monde de l’expérience utilisateur. Le design d’expérience permet d’élaborer le produit de manière à ce que la navigation soit intuitive et agréable en travaillant sur le parcours utilisateur idéal, les fonctionnalités et les options qui lui seront proposées. Dans un jeu par exemple, on peut utiliser des entretiens semi-directifs pour essayer de déterminer à quelle fréquence les personnes vont y jouer, à quel moment et dans quel contexte.

 

Quels sont les principaux avantages de ce type d’entretien ?

 

Contrairement à un simple questionnaire, où la personne se contente de répondre aux questions posées, l’entretien semi-directif prodigue plus de liberté dans les questions, ce qui permet d’improviser et d’aller bien plus loin et plus profond dans l’entretien.

Les entretiens semi-directifs se font en face à face, ils permettent donc de percevoir des choses que l’on ne verrait pas dans un questionnaire en ligne comme les jeux de regard ou le langage corporel en général. Cela prend du temps, en préparation comme en exécution, mais les données récoltées ouvrent incontestablement plus de portes.

Le fait de personnaliser les questions en fonction des réponses de l’usager permet de mieux saisir le point de vue de l’intéressé, que ça permet d’éviter des malentendus ou les erreurs de compréhension qui arrivent couramment dans un questionnaire écrit. L’interrogé peut, par exemple, demander de réexpliquer une question qu’il trouve équivoque, et le designer a également la possibilité de demander des clarifications sur l’une réponses, qu’il n’a pas tout à fait saisie.

 

Qui interroge-t-on lors d’un entretien semi-directif, et à quel stade du projet ?

 

En premier lieu, on va chercher à interroger des utilisateurs potentiels du service ou du produit que l’on est en train de réaliser.

Pour des résultats de qualité, il faut faire en sorte d’avoir des profils différents en termes d’âge, de lieu de résidence, d’activité, de sexe et de mode de vie.

Il peut également être intéressant d’interroger des personnes qui n’utilisent pas le service en question, afin de déterminer pourquoi ils ne l’utilisent pas et d’envisager une solution. Par exemple, une marque de café peut très bien se décider d’interroger des gens qui ne boivent pas de café.

En règle générale, c’est en amont d’un projet que l’on cherche à comprendre son périmètre. Une fois que le projet est lancé, on parle plus de tests utilisateur, qui peuvent prendre la forme d’entretiens semi-directifs mais qui n’en sont pas réellement étant donné que l’improvisation est limitée par le prototype ou le produit existant.

 

Y a-t-il un mode d’emploi ?

 

C’est une démarche d’observation et d’analyse, il n’y a pas vraiment de mode d’emploi, mais seulement des bonnes pratiques. Chacun peut avoir son style, sa technique et sa créativité. Certaines personnes seront plus communicatives face à des images par exemple, il est donc important de bien préparer ses questions et d’apprendre à adapter son discours en cours d’entretien.

En premier lieu, pour amener la personne à se dévoiler, il est essentiel de poser des questions ouvertes pour susciter des conversations et ne pas hésiter à demander des exemples. Quelques questions doivent être préparées en amont et classées en thématiques, pour ordonner le raisonnement de l’échange mais l’intérêt de cette méthode est justement de pouvoir improviser durant l’entretien en fonction des réponses de l’interrogé. Questionner sur les faits plutôt que sur des opinions permettra de réunir des données moins subjectives et donc plus facile à traiter.

Il faut aussi apprendre à relativiser les propos de la personne interrogée, car cette dernière n’est pas experte et qu’elle ne fait que nous donner des informations personnelles sur ses conditions d’utilisation. C’est pourquoi un entretien semi-directif ne suffit pas, il faut en réaliser plusieurs pour se faire une idée concrète des points de frustration.

 

Comment discerner une information à traiter d’une autre à ignorer ?

 

Un entretien semi-directif a pour objectif d’élaborer la plus grande proposition de valeur possible, afin que le produit plaise et se vende.

En fonction du nombre de retours, si certaines remarques reviennent régulièrement, alors il faut se pencher sur la question. Un problème sera identifié en fonction de la quantité de retours négatifs que l’on récolte sur un sujet. Un des nombreux intérêts de l’entretien semi-directif est justement d’aller recueillir des informations de la part de quelqu’un qui a du recul, voire une sorte de candeur, vis-à-vis du produit ou du service concerné. Notamment parce qu’il est commun que l’équipe de développement ait la tête dans le guidon.

 

Ce modèle a-t-il des limites ?

 

La principale limite de cette approche, est qu’elle est chronophage ; c’est à dire trente minutes minimum d’entretien, sachant qu’il y a beaucoup de temps de préparation et que le traitement des résultats en demande encore plus.

Il est donc difficile d’interroger beaucoup de monde et on peut rapidement passer à côté d’une information importante en manquant de rigueur. Ces entretiens sont donc à éviter si l’objectif est de récolter des données quantitatives.

 

À propos de Gabriel : 

Après des études à l’ESSEC et à l’ESCP, Gabriel a fait le choix de se lancer sans attendre dans une aventure entrepreneuriale. En parallèle, il évolue en tant qu’ingénieur d’affaires dans une société de conseil en Digital. Amoureux de la nature, il poursuit actuellement, en cours du soir, des études de management des forêts.

 

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Étudiant en situation de handicap : pourquoi votre employeur a intérêt à vous embaucher

Par : Nora Leon

Contrairement aux idées reçues, les entreprises ont intérêt à privilégier l’alternance par rapport aux stages et aux CDD, et notamment si la personne est en situation de handicap. Si c’est votre cas, peut-être que cette idée vous rend sceptique. Et que vous hésitez encore à vous lancer dans un parcours diplômant en alternance avec OpenClassrooms. Pourtant, voici les raisons pour lesquelles postuler en alternance est tout-à-fait réaliste, dès lors que l’on se place du point de vue de l’employeur.

Voici quatre raisons pragmatiques pour lesquelles l’alternance est une opportunité pour les entreprises.

1 — Obtenir une aide

Les recruteurs sont pragmatiques : soyons-le aussi. À compétences et expérience égales, votre candidature en tant que personne en situation de handicap est avantageuse.

En effet, en vous choisissant, l’employeur peut bénéficier d’aides allant jusqu’à 3000€ en contrat d’apprentissage et 4000€ en contrat de professionnalisation. Ce dispositif est calculé au prorata de votre présence en entreprise à partir du 6ème mois, et peut être renouvelé dans certains cas. C’est donc un argument en faveur de votre embauche.

2 — Améliorer la diversité au sein de l’entreprise

Il est prouvé que la diversité ethnique, culturelle et en termes de genre favorise la créativité et la bonne entente des équipes. De plus, les employeurs cherchent sans cesse à dorer leur marque-employeur, ce qui peut passer par une meilleure mixité sociale dans leur organisation.

Pour ces deux raisons, de nombreux employeurs sont favorables à l’embauche de personnes RQTH et favorisent même régulièrement ces profils à CV égal.

3 — Bénéficier d’un dispositif d’encadrement qui minimise les risques

L’apprentissage prévoit un suivi par un maître d’apprentissage des personnes en poste, chaque semaine. Contrairement au stage où la fréquence et le contenu du suivi sont laissés à l’appréciation de l’organisation, les maîtres d’apprentissage doivent effectuer un accompagnement régulier. Ce dernier est une garantie supplémentaire que l’apprenti sera bien encadré et qu’il montera donc en compétences comme prévu. Sachant qu’à la suite d’un apprentissage, l’employeur a tout intérêt à embaucher le professionnel, pour ne pas avoir à former un candidat en CDI qui ne serait pas encore adapté aux pratiques de l’entreprise.

4 — Avoir accès à des profils dotés de maturité professionnelle

Les recruteurs recherchent en permanence des talents avec des qualités interpersonnelles, qui, même si elles sont parfois innées, se construisent au fil de l’expérience. Or, il n’y a pas d’âge limite dans le cadre d’un contrat d’apprentissage pour une personne en situation de handicap.

Donc, si vous êtes dans le cadre d’une reconversion professionnelle, c’est un bon signe pour l’employeur. Ce dernier mettra dans la balance votre âge (et donc votre maturité professionnelle) en plus de vos compétences techniques.

Conclusion

Si vous hésitiez à prendre contact avec nous pour vous former en alternance, nous espérons vous avoir convaincu que votre handicap n’est pas un frein à l’embauche, au contraire.

Lors de vos entretiens, vos atouts vont payer : compétences professionnelles solides, personnalité dynamique, motivation ou passion pour le secteur de l’entreprise où vous avez postulé. Votre situation de handicap ne devrait pas peser bien lourd face à tout cela. Et si l’on ajoute les arguments ci-dessus, vous devriez être un candidat solide pour le poste.

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Travailleur en situation de handicap : comment convaincre un patron de vous recruter en apprentissage ?

Par : Nora Leon

« Ce n’est pas parce que les choses sont difficiles que nous n’osons pas, c’est parce que nous n’osons pas qu’elles sont difficiles. » Sénèque

Et si comme le croyait ce philosophe grec du Ier siècle après Jésus-Christ, il suffisait d’essayer de réaliser nos objectifs pour voir qu’ils sont à portée de main ?

Si vous lisez cet article, le vôtre est de trouver une alternance, pour vous former de manière professionnelle chez OpenClassrooms au sein d’une formation diplômante.

[ À lire : pourquoi vous former par la pratique ? ]

Alors, comment convaincre le recruteur que vous êtes la bonne personne pour le poste ? Comment parler de votre handicap, et en faire une force ?

Prouver que vous êtes proactif et motivé

Le plus important pour un recruteur est souvent l’état d’esprit d’un candidat. Nous vous conseillons donc d’insister sur deux points :

1- Votre passion pour votre futur métier
2- Votre aptitude à apprendre rapidement.

1- Pour prouver votre passion et motivation, démontrez que vous avez réfléchi à votre projet professionnel et que vous êtes sûr de vouloir apprendre ce métier. Plus vous serez convaincant, plus vous rassurerez le recruteur.

  • Expliquez pourquoi vous avez choisi cette voie. Si vous avez parlé à des professionnels du secteur ou du métier, racontez brièvement ce qui vous a plu dans leur discours.
  • Le mieux est d’avoir suivi des cours ou réalisé de petits projets qui comprennent des compétences dont vous aurez besoin. Si vous êtes dans ce cas, mentionnez les cours suivis et les compétences acquises. Les recruteurs veulent des candidats opérationnels rapidement, ce point sera donc déterminant.

  • Faites attention à votre langage corporel, car votre corps peut miner votre crédibilité si vous ne pensez pas ce que vous dites. Au contraire, si vous êtes très motivé, que vous souriez et que votre posture corporelle est alignée, le recruteur vous fera naturellement confiance.

[ À lire : Maîtrisez votre langage corporel en entretien ]

Ensuite, abordez le sujet de l’apprentissage.

  • Insistez sur le fait que vous savez que vous devez apprendre, car l’humilité est appréciée. Vous pouvez aussi communiquer à quel point cela vous motive de grandir professionnellement sur le terrain.
  • Et surtout, prouvez que vous apprenez de façon efficace. Par exemple, en expliquant que vous avez réalisé un projet ou appliqué une compétence juste après un cours. Les exemples illustrent et donnent du poids à vos arguments, soyez donc le plus concret possible.

[ À lire : Apprentissage et proactivité, la clé du succès ? ]

Une fois que vous aurez abordé ces points, votre situation de handicap ne devrait plus être un sujet bloquant. Cependant, il est tout de même utile d’en parler, pour jouer cartes sur table. Voici comment.

Démystifier votre handicap

L’enjeu de cette rencontre est de rassurer le recruteur : votre handicap ne vous empêchera pas de monter en compétences, d’interagir avec vos collègues et d’être efficace.

Vous avez deux options.

  • Soit, vous préférez ne pas mentionner votre handicap. S’il est visible (par exemple, si vous vous déplacez à l’aide d’un fauteuil roulant), le recruteur en aura connaissance et se dira dans la plupart des cas que ce n’est pas un sujet bloquant. S’il est invisible et non problématique dans votre poste, vous pouvez ne pas le mentionner.
  • La deuxième option est d’en parler. Certaines personnes n’ont aucun problème à le faire, pour d’autres c’est plus délicat (mais faisable).

Quand est-ce nécessaire ? C’est important lorsque votre handicap peut avoir des répercussions sur votre travail et que vous avez besoin d’aménagements. L’employeur doit pouvoir s’engager en connaissance de cause. Si votre handicap n’impacte pas votre travail, c’est aussi important d’en parler si cela vous dégage l’esprit.

Qu’est-ce que cela vous apporte ? Cela a le mérite d’établir une transparence et une confiance avec le recruteur. Et cela vous permet aussi de lui montrer qu’il a des avantages financiers, à compétences égale, à vous prendre en alternance.

Vous l’aurez compris, dans la plupart des cas et surtout si cela a un impact sur votre poste, nous conseillons d’aborder le sujet. Voici quelques astuces pour que cet échange soit constructif :

1- Renseignez le recruteur sur votre handicap.

Concrètement, quel est votre handicap ? Comment cela se traduit-il dans votre quotidien ? Souvent, l’expliquer de manière sereine et décomplexée permet de dédramatiser le sujet.

2- Expliquez ce que cela change pour vous en poste.
Avez-vous des aménagements à faire dans votre travail ? En contrepoint, rassurez le recruteur sur le fait que vous en êtes capable et que vous êtes motivé.

3- Mentionnez les avantages à vous recruter.
Notamment :

  • La prime à l’embauche de personnes en situation de handicap. Les aides sont valables pour les entreprises du secteur privé ou du secteur public.
  • La sécurité offerte par le fait de tester la compatibilité d’une personne avec l’équipe et les valeurs de l’entreprise. Vous offrez au recruteur la possibilité de savoir s’il veut vous recruter et le confort de le faire en connaissance de cause.
  • Le fait que cela aille dans le sens de la diversité en entreprise (bénéfique pour l’équilibre des équipes et pour la marque-employeur). Et d’ailleurs, il existe des quotas de diversité réglementaires dans lesquels un profil RQTH peut être comptabilisé.
  • Le fait que vous pouvez entrer en formation à la date qui l’arrange.

[ À lire : Alternant en situation de handicap : pourquoi un employeur a intérêt à vous recruter ?]

En tant que candidat en situation de handicap, mais aussi très proactif et motivé, vous avez donc plusieurs cordes à votre arc pour convaincre un recruteur.
Pour arriver bien préparé en entretien, nous vous proposons de rédiger la liste des avantages pour l’employeur à privilégier votre candidature. Vous pourrez la relire la veille de l’entretien, et ainsi avoir les idées claires le jour J. Bonne chance !

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Apprentissage & proactivité : la recette du succès ?

 

Que l’on soit en poste ou en recherche d’emploi, la capacité à apprendre à apprendre est l’une des compétences les plus importantes au XXIème siècle. Ajoutez-y une once de proactivité et vous obtenez selon nous ce qui s’approche le plus de la recette du succès.

Comment bien adopter cette démarche ? Qu’est ce qu’être proactif peut apporter à une carrière  ? Quels sont les pièges à éviter ?

Nous avons demandé à Gwen Rivet, Growth Manager chez OpenClassrooms et étudiant sur la formation diplômante data analyst, un profil formé aux langues et sciences sociales.


S’il est aujourd’hui aussi à l’aise avec la data et les nombres qu’avec les mots, c’est qu’au cours de ses formations, Gwen a toujours su faire rimer apprentissage et proactivité.

[ À suivre : les cours gratuits sur OpenClassrooms ]

 

 

Qu’est-ce qui t’a poussé à adopter cette approche ?

« On vit dans un monde où le travail évolue constamment, encore plus dans le digital. Il faut impérativement comprendre les  outils, termes et nouveaux acronymes qui peuvent débarquer du jour au lendemain. La seule solution pour rester à la page, c’est d’être vraiment proactif. »

Comment t’es-tu lancé ?

 

« J’ai toujours été à l’aise avec les maths, pour mon travail j’étais donc plutôt confiant, mais il fallait impérativement que maîtrise les outils et données. Concrètement, je me sentais de le faire, mais je ne savais pas comment. J’ai donc commencé par me renseigner, lire des articles, j’ai  même lu toutes les doc des outils que j’utilise.

 

Aujourd’hui je vais encore plus loin en suivant une formation Data Analyst sur Openclassrooms. »

Comment intègres-tu la formation dans ton quotidien ?

 

« Il faut penser par semaine. Pour la formation que j’ai choisie, c’est entre six et huit heures. Je me fixe un ou deux jours pendant lesquels je bosse une ou deux heures après le boulot, puis je réserve une matinée le week-end. Je fais aussi de la veille. Pas tous les jours, mais régulièrement. »

Tu arrives à trouver assez de temps pour cela ?

« Pour gagner du temps sur la veille, le mieux reste de s’inscrire à des de newsletters, mais il faut faire attention à ne garder que les plus pertinentes. En ce moment, j’en reçois deux ou trois par jour, qui sont très concises. Comme cela, je ne passe pas des heures et des heures à lire des articles.

Être proactif, c’est avant tout être efficace. Pour ça il y aussi la possibilité de se créer des alertes Google sur des mots clés. À part cela, nous échangeons aussi beaucoup d’informations au sein de mon équipe. »

Est-ce qu’il y a des erreurs à ne pas commettre ?

«  Il ne faut pas vouloir faire trop de choses en même temps ni vouloir aller trop vite, car cela nous fait nous rendre compte de la masse de travail qu’il y a. Le risque :  se démotiver avant d’avoir commencé et être frustré.

Il faut vraiment se dire : « je me concentre sur une chose à la fois et j’y vais étape par étape ». Il faut aussi éviter de  se mettre de pression inutile. On ne peut pas tout savoir, c’est comme ça, on aura toujours des choses à apprendre. C’est d’ailleurs l’une des clés pour rester motivé. »

De quoi es-tu le plus fier dans ce que t’as apporté le fait d’être proactif ?

« Il y a avant tout la fierté de se dire qu’on y arrive et qu’avec le temps on peut acquérir des compétences totalement transversales. J’ai un profil littéraire et aujourd’hui je jongle avec les datas, c’est plutôt valorisant.

Il y a aussi deux autres choses très satisfaisantes. La première, c’est que je peux voir directement à quel point ma proactivité impacte mon travail au quotidien, car je mesure mes actions grâce à la data et au reporting. Je me dis tous les jours que ce que je fais chez OpenClassrooms sert à quelque chose.

La deuxième, c’est que j’ai énormément gagné en confiance en moi. Je suis bien plus à l’aise quand je dois m’exprimer sur des sujets pointus. Déjà parce que je comprends parfaitement de quoi on parle, et parce que je sens aussi que mes interventions ont de plus en plus de poids et de valeur. »

Cette immédiateté dans les résultats donne une dimension presque tangible aux bénéfices d’une attitude proactive. C’est ce qui plaît à Gwen depuis le début. Cela le pousse à étoffer quotidiennement ses compétences dans le marketing, pour qui sait, un jour, penser à entamer une carrière dans un tout autre domaine.

À propos de Mathieu :

Un pied dans la rédaction, l’autre dans les réseaux sociaux, Mathieu s’est formé auprès de médias parmi les plus actifs et novateurs de Paris.Passionné par les nouveaux modes d’écriture, il s’est lancé comme rédacteur indépendant en 2018. Son objectif : anticiper l’influence du digital sur nos vies, et explorer le futur du travail.

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Des achats en métallurgie au conseil en stratégies marketing en freelance à 47 ans, la trajectoire de Caroline

Par : Nora Leon

 

[ Regardez le témoignage vidéo de Caroline à la fin de cet article ]

Avant, on restait plusieurs décennies dans une entreprise. Aujourd’hui, les gens ont plusieurs vies, ils apprennent tout au long de leur vie plusieurs métiers qui les passionnent”.

À 47 ans, Caroline assiste au rachat de l’entreprise où elle exerce. Les équipes administratives, dont son poste, sont délocalisées en Roumanie. Mais cette professionnelle pleine de ressources compte bien rester à Béziers et saisir cette opportunité pour changer de métier. Grâce au budget alloué aux salariés qui veulent partir et se réinventer, elle donne un cap nouveau à sa carrière professionnelle.

Attirée par le marketing, elle enchaîne deux parcours diplômants chez OpenClassrooms, la formation responsable marketing, et la formation experte en stratégies de communication. C’est en réalisant les projets concrets qu’elle se découvre une véritable passion pour ces disciplines. Suite au premier parcours, elle monte son activité d’indépendante pour accompagner les entreprises de la région de Béziers. À présent, Caroline est pleinement épanouie, signe d’une reconversion réussie.

[ À lire : Les formations OpenClassrooms, une pédagogie par la pratique ]

Une reconversion mûrie

Après 15 ans passés au sein du service des achats dans le domaine des hydrocarbures, Caroline a fait le tour de son métier.

“J’ai eu plusieurs vies professionnelles. J’ai commencé ma carrière dans le tourisme, puis j’ai fait 20 ans dans les achats. J’achetais du matériel pour sécuriser des puits de pétrole. Et puis, à un moment, quand tu exerces à peu près le même métier depuis des années, ça devient monotone. J’étais dans une entreprise où la prise d’initiatives était limitée. Par exemple, ce que j’avais appris en qualité, je ne pouvais pas l’appliquer en achats. Alors, j’ai eu envie d’autre chose”.

Caroline profite du rachat de la société où elle travaille pour repenser sa carrière professionnelle. La première étape : se former. Elle compare les formations qui existent dans la spécialité qu’elle vise, avec la contrainte qu’elle veut rester à Béziers.


“J’avais peu de choix : en habitant à Béziers, les écoles étaient loin et j’aurais dû consacrer un budget important pour y aller ou me loger là-bas une partie de la semaine. La formation en ligne me convenait donc parfaitement”.
Caroline choisit OpenClassrooms pour pouvoir se former à son rythme et à distance, sachant qu’elle a un budget-temps de deux ans payés par sa société dans le cadre du rachat.

Un saut à pieds joints dans l’entrepreneuriat

Ce que Caroline découvre sur le parcours responsable marketing l’enchante. Elle lève les doutes sur sa capacité à étudier à 47 ans, et apprend en un an tout ce dont elle a besoin pour lancer son entreprise.

“Chez OpenClassrooms, ce que j’ai découvert sur le marketing m’a passionnée. Je me suis rendue compte qu’on pouvait apprendre sans limites et même que je trouvais cela facile”.

Pendant la formation, Caroline mûrit l’idée de monter sa propre structure en freelance. Dès son premier diplôme obtenu, elle se lance. “En janvier, j’ai créé mon entreprise de freelance en marketing. J’ai rapidement eu des commandes de création de sites web et de campagnes marketing”.  

Pour proposer un service global à ses clients, elle veut compléter sa formation en marketing opérationnel par une seconde formation d’experte en stratégies marketing.

Et en parallèle, je me suis lancée dans la formation experte en stratégies de marketing et communication. C’est ma première année, je dois encore construire mon réseau de clients et j’ai donc le temps pour parfaire ma formation à mi-temps. Mais les clients tombent vite, car quand on est passionné, cela se voit, et les gens veulent travailler avec vous. Par exemple, ma professeure de chant m’a confié tout le marketing de son site de Sophrologie car elle a senti que j’étais vraiment impliquée et créative dans mon activité”.

Des projets à l’horizon

La reconversion de Caroline lui a permis de dépasser ses doutes, se découvrir un nouveau terrain d’expression et de vivre un nouveau chapitre épanouissant de sa vie professionnelle. Prête à changer de métier, elle a pris le taureau par les cornes pour se donner les moyens de ses ambitions. Et elle ne compte pas s’arrêter en si bon chemin, car elle adore son activité.

À présent, je compte rester freelance en marketing et communication. Pourquoi pas même embaucher des indépendants pour travailler sur les commandes que j’ai. Je continuerai aussi à mettre à jour mes compétences en permanence. Tout évolue si vite que c’est une condition pour exceller dans la discipline qui nous passionne.”

https://youtu.be/W_SdtfczUQg

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Les 10 erreurs fatales sur un CV

À l’heure où tout va vite, inutile de dire que nous n’avons pas deux fois la chance de faire une bonne première impression avec notre CV.

Ça passe ou ça casse, alors autant mettre toutes les chances de son côté dans sa recherche d’emploi, en évitant certaines erreurs rédhibitoires.

D’après Claire-Lise Colin, chargée de recrutement, « tout est question d’équilibre entre le trop et le pas assez, si vous ne voulez pas que votre CV termine à la poubelle avant même que le recruteur n’ait lu votre nom. »

Voici quelques pièges dans lesquels, heureusement, vous ne tomberez pas.

[Pour en savoir plus, suivez aussi notre cours Obtenez l’emploi qui vous correspond.]

1- Ecrire un CV infini

Le plus gros risque sur un CV est de vouloir absolument tout caser et donc de s’éparpiller. Si c’est de plus en plus difficile au fil du temps, il est primordial que le CV tienne en une page.

Claire-Lise est formelle :

« Quoi qu’il arrive, n’étalez pas votre parcours au-delà des dix dernières années, ce n’est pas la peine ! »

Il est indispensable de faire le tri dans les différentes expériences professionnelles et compétences. La règle d’or est d’adapter le CV au poste auquel on postule et donc d’éliminer les éléments qui ne sont pas pertinents au regard des compétences demandées.

2- Vous perdre en fatras, fouillis et galimatias

En une page, la difficulté est évidemment de parvenir à être clair et organisé. Il faut que le CV soit lisible facilement, sans que le recruteur n’ait à deviner où se trouvent tels ou tels éléments.

La recommandation de Claire-Lise :

« Faites en sorte que l’ensemble soit aéré, et tenez vous à une seule et même police pour l’ensemble, suffisamment grande pour que le recruteur n’ait pas à sortir sa loupe. »

3- Rater son design

Certains candidats en font un peu trop du point de vue de la mise en page et du design de leur CV.

Ce qui n’est généralement pas plus convaincant que de miser sur la simplicité. Vouloir trop en faire d’un point de vue graphique peut desservir votre propos à l’arrivée.

Ne cumulez pas les couleurs flashy, les tailles de police, les styles, car cela fait mal aux yeux.

4- Être approximatif

Il faut éviter de laisser planer le doute sur certains éléments du CV, le recruteur a besoin de cerner votre parcours en un seul coup d’œil.

Par exemple, si vous avez réalisé un stage de quelques mois dans une entreprise à cheval entre 2016 et 2017, ne mettez pas simplement « de 2016 à 2017 » qui peut vouloir signifier que le stage a duré deux ans. Soyez précis pour ne pas donner l’impression que vous cachez des choses.

5- Laisser une coquille (SOS orthographe !)

Cela va presque sans dire mais il est toujours bon de rappeler malgré tout qu’il vaut mieux se faire relire que de laisser traîner des coquilles.

Le recruteur se raccroche parfois à de petits détails pour faire le tri dans l’ensemble des candidatures : alors, une simple faute pourrait vous disqualifier.

6- Rater votre copier-coller

Aussi rédhibitoire qu’une faute d’orthographe, voire plus : se tromper de destinataire ou faire un mauvais copier-coller en oubliant de changer le nom du recruteur, oups… Autant vous dire que commencer par une vexation n’est pas le meilleur moyen de faire bonne impression.

Si vous gérez beaucoup de candidatures à la fois, assurez-vous de faire les bons ajustements pour chaque nouveau mail envoyé. Quitte à vous créer une liste d’éléments à vérifier un par un avant l’envoi (le nom sur le CV et la lettre, les passages mentionnant l’entreprise, le titre sur votre CV…).

7- Ajouter des détails inappropriés

Le recruteur n’est pas censé vous demander d’informations sur votre vie privée, il n’est pas recommandé de les faire apparaître sur votre CV (croyances, statut marital, adresse…).

En revanche, vous pouvez préciser la date à laquelle vous êtes disponible et surtout ne pas oublier vos coordonnées : mail, téléphone et les liens vers votre profil Linkedin et/ou votre site web si vous en avez à mettre en avant  (en rapport avec le poste, bien sûr !).

8- Arborer une photo non professionnelle

La photo n’est pas obligatoire sur le CV en France. Si vous décidez d’en mettre une, choisissez une photo décente et professionnelle : de bonne qualité, centrée, sur fond neutre.

Faites en sorte qu’elle ne prenne pas la moitié de la page », précise Claire-Lise.

9- En faire (beaucoup) trop

Lorsque l’on cherche un emploi depuis quelques temps, on peut avoir le sentiment de surnager dans un vaste océan dans lequel il est difficile de se distinguer.

Or, vouloir se démarquer à tout prix en utilisant l’humour, la fantaisie ou la flatterie à mauvais escient est généralement contre-productif. Encore une fois, la clarté et la simplicité sont de mise.

10- Vous tromper dans le format

« Dernier point et pas des moindres : envoyez toujours votre CV au format PDF » martèle Claire-Lise.

Ainsi, vous êtes certain que votre mise en page n’aura pas bougé et que le recruteur, quelle que soit la plateforme qu’il utilise, pourra l’ouvrir et le lire sans avoir une multitude de manipulations à faire.

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Un programme de pro pour travailler son expression orale

Par : Lou Dumas

Examen en vue, entretien d’embauche en perspective ou simple présentation à soutenir ? Pas de panique ! Vous n’iriez pas courir un semi-marathon sans quelques séances de préparation… Si on ne naît pas (toujours) bon orateur, on peut assurément le devenir. En la matière, un bon entraînement peut faire des miracles.

Stéphane de Freitas en est convaincu. Pour diffuser la bonne parole, il a fondé l’association Eloquentia, qui dispense des formations à la prise de parole en public auprès d’étudiants à l’université et organise des concours d’éloquence partout en France. Le plus célèbre d’entre eux est celui de Paris 8 Saint-Denis, immortalisé dans le documentaire À voix haute, sorti en salles en 2017.

Profs d’expression scénique et de chant, avocats, pros du recrutement et slammeurs s’y succèdent pour donner à une vingtaine de volontaires avides de mieux s’exprimer à l’oral – comme vous – les clés d’un art oratoire 2.0.  Suivez les coachs !

[Et notre cours intitulé Prenez la parole en public.]

Séance 1 – s’interroger sur ses motivations

Je vais prendre la parole, mais pour dire quoi ? Quel est le cœur de mon message ? Qu’est-ce que mon public doit retenir ?  

Ces questions simples peuvent vous aider à dérouler votre discours beaucoup plus clairement et à être percutant le jour J. Se mettre à la place des personnes qui vont vous écouter est une astuce de pro clé qui vous évitera bien des écueils avant, pendant et après votre intervention : longueurs, hors sujet, ton inapproprié…

Séance 2 – structurer son discours

Une fois le message clarifié, il s’agit de passer à la structure du discours, fondamentale. Vous avez le pouvoir – yes, you can! – de prendre votre public par la main et de l’emmener avec vous tout naturellement via quelques étapes simples :

  • Une introduction globale qui rappelle le contexte de votre prise de parole et évite de perdre un peu trop vite votre auditoire au détour d’un terme technique dégainé un peu tôt…
  • Un argumentaire solide illustré d’exemples concrets et si possible nouveaux pour votre cible (statistiques, références, anecdotes pertinentes). A l’issue de cet argumentaire le mieux articulé possible, la personne en face de vous doit non seulement être restée éveillée (!) et concentrée sur ce que vous avez à dire mais aussi idéalement avoir l’impression d’avoir appris quelque chose. Alors oui ça se corse, mais c’est un facteur de succès essentiel.
  • Une conclusion et pas des moindres : elle représente idéalement 15% de votre discours. Vous devez commencer par une brève synthèse des arguments défendus puis essayer de laisser une forte impression. La dernière phrase doit être marquante, elle couronne votre raisonnement. L’idée est qu’elle reste gravée dans l’esprit des personnes qui vous écoutent, c’est le moment de sortir votre plus belle punchline.

Séance 3 – savoir s’adapter

Avoir préparé et structuré son intervention, c’est bien. Savoir la faire évoluer en fonction de son auditoire et des circonstances, c’est encore mieux. Pour saisir les signaux à l’instant t, encore faut-il ne pas être rigidement collé à ses notes ou paralysé par la peur – et si vous lisez ces quelques lignes, vous voyez de quoi nous voulons parler…

Deux options s’offrent à vous :

  • Se renseigner en amont si vous en avez la possibilité : nombre de personnes présentes, leurs fonctions et éventuellement leur état d’esprit
  • Poser des questions le moment venu : demander par exemple à un examinateur de reformuler, être dans l’échange et savoir en tirer des conclusions. Peut-être que la punchline que vous aviez prévue est un peu trop osée…  Ou qu’au contraire vous pouvez y aller plus fort !

Pas d’inquiétude, si vous avez suffisamment travaillé lors de la séance 2, il y a de fortes chances que vous soyez à l’aise pour évoluer librement et compléter la 3 avec succès. Voyons ce que nous réserve la suite du coaching.

Séance 4 – maîtriser son corps et sa voix

Rappelez-vous que plus que la voix, c’est le corps tout entier qui est engagé dans la prise de parole. Pour une bonne expression orale, la voix, la posture, la gestuelle mais aussi le regard doivent coller à ce que l’on raconte. Qui donc pousserait un coup de gueule les bras ballants ou ferait une déclaration d’amour les yeux dans le vide ? Certainement pas vous !

Un très bon exercice pour améliorer la maîtrise de ces différents paramètres est de se filmer en train de dérouler son discours. Vous découvrirez alors votre corps et votre voix tel que les autres le perçoivent : la main dans la poche, les mouvements de balancier, le regard fuyant, les intonations et tics de langage… Pas de malaise, c’est une séance que vous pouvez tout à fait pratiquer en solo avec un smartphone et répéter à l’envi. Jusqu’à ce que vous ayez trouvé la posture et le ton justes.

Pour les plus courageux, n’hésitez pas à solliciter un regard extérieur.

Séance 5 – travailler sa diction

Bien articuler, parler assez fort mais pas TROP, trouver sa vitesse de croisière (qui, pour rappel, sera celle que votre interlocuteur est en mesure de suivre) vient juste après l’exercice de la vidéo et le réajustement de la posture globale.

En fonction des défauts que vous aurez constatés, vous pouvez utiliser les outils suivants : 

  • La tête à claps : vous devez impérativement avoir un camarade de jeu pour pratiquer cet exercice. Vous lui déroulez votre discours et il tape dans ses mains deux fois à chaque fois que vous prononcez un “euhhh” pour combler un silence ou une hésitation. Au-delà de trois claps, retour à la case départ.
  • Le panier garni : reprenez les intentions de votre discours mais en utilisant uniquement des noms de fruits ou de légumes. Incongru n’est-ce pas ? Cet exercice vous force à prêter attention au rythme vocal, à la mélodie du discours, aux intonations et aux gestes qui les accompagnent. Bluffant !
  • La méditation : la circulation de l’air est une variable clé de votre bonne expression orale. Une petite méditation en trois temps peut vous être très bénéfique : commencez par respirer par le ventre en plaçant une main sur l’abdomen et ralentissez progressivement le rythme de vos inspirations et expirations (5 minutes), prenez conscience du poids de votre corps et des contacts avec le sol (5 minutes), songez à un souvenir joyeux, replongez-vous dans une émotion positive (5 minutes), redressez-vous, étirez-vous, ouvrez les yeux ! Ouf, ça ne fait pas de mal non ?
  • La lecture à voix haute : saisissez n’importe quel ouvrage à votre disposition (le programme TV n’est pas vraiment une option) et lisez-en quelques pages à voix haute, pour vous-même ou votre entourage. Entraînez-vous à bien détacher les mots, à trouver le bon volume sonore et cherchez la fluidité.

Haut les cœurs ! Entraînement terminé.

Vous devriez être fin prêts du point de vue du fond comme de la forme, quelque soit l’échéance de votre prise de parole. Courage pour franchir la ligne d’arrivée et n’hésitez pas à répéter le programme sur la durée.

Il paraît que la répétition favorise la décontraction et après tout, les plus belles performances ne se sont pas construites en un jour.

Pour aller plus loin, suivez notre cours intitulé Prenez la parole en public.

À propos d’OpenClassrooms

OpenClassrooms est un institut de formation à distance, 100% en ligne, pour apprendre les compétences les plus recherchées par les recruteurs et les plus prometteuses. Le but : décrocher un emploi très recherché et qui ait de l’avenir !

Nous formons à tous les métiers du numérique, notamment le développement web et mobile, le design, les systèmes et réseaux, la data science, la gestion de projet, le marketing, les ressources humaines et l’entrepreneuriat.

Tous les cours des programmes de formation à distance sont accessibles gratuitement en ligne.

Nos cursus à équivalent Bac +2, +3 et +5 se réalisent en ligne. Ils sont composés d’un mélange de vidéos, de cours écrits, de projets professionnalisants réalisés par l’étudiant pour apprendre par la pratique, et de sessions de mentorat hebdomadaires avec un expert du métier. Les formations durent entre 6 et 18 mois en fonction des sujets et du temps alloué par l’étudiant. 

À l’issue du programme, les étudiants sont coachés par des experts pour faciliter leur recherche d’emploi. Ce dernier est d’ailleurs garanti.  

Cela vous intéresse ? 

J’en discute avec mon conseiller pédagogique

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OpenClassrooms est certifié Organisme de formation

Le monde du recrutement est en ébullition ! Tout bouge et les profils des candidats s’étoffent de nombreuses compétences particulières qui viennent compléter les diplômes plus  » classiques « .

Cependant nous tenons à préciser qu’OpenClassrooms est bien reconnu officiellement comme un organisme de formation, c’est à dire « toute personne qui réalise des prestations de formation professionnelle continue au sens de l’article L6313-1 C ».

Comme tout diplôme, au delà de sa valeur intrinsèque, la « valeur » d’une certification obtenue sur OpenClassrooms est également celle que lui attribue les recruteurs… et les certifiés ! OpenClassrooms travaille donc au quotidien pour faire connaître les MOOCs, pour créer des partenariats avec des institutions et des entreprises reconnues, et convaincre les acteurs du marché du travail que suivre un MOOC dans son intégralité et jusqu’à sa certification requiert de la discipline, de la rigueur et démontre une véritable motivation. Ce sont ces savoir-être, parfois plus que les savoir-faire, qui font pencher la balance dans les recrutements.

Plusieurs études sont conduits à ce sujet comme par exemple celle menée en début d’année 2014 par RTI international et Duke University dont vous pouvez trouver le compte rendu ici.

On en profite pour vous dire que si vous avez obtenu une certification d’un MOOC, vous pouvez désormais l’ajouter sur votre profil LinkedIn

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Lucile a décroché un emploi

Pouvez-vous vous présenter rapidement vous et votre parcours ?

Après des études universitaires de linguistiques et informatiques et quelques boulot alimentaires, j’ai enfin réussi à entrer dans le monde des développeurs. J’ai commencé par développer des logiciels de bases de données. Je suis aujourd’hui, à 32 ans, toujours dans ce domaine.

Parlons des cours et des certificats de réussite ! Vous en avez plusieurs, félicitations ! Quelle plus-value vous apportent-ils? Comment les mettez-vous en avant dans votre métier ?

Profitant d’une période de chômage cet été, j’ai suivi la formation « Administrez vos bases de données avec MySQL. En effet, je venais de rater un test technique lors d’un entretien d’embauche et il fallait que je comble certaines lacunes pour les suivants. J’ai été embauchée à l’entretien d’après, où mes nouvelles compétences un point fort pour cette réussite. Depuis, comme j’avais obtenu le compte Premium « grâce » à ma phase de chômage, j’ai pu suivre à mon rythme les formations de PHP et HTML5/CSS3. Je n’en ai pas besoin dans mon travail mais cela m’a permis d’agrandir ma culture web.

Qu’est-ce qui vous plait dans la formation type MOOC et plus particulièrement sur la plateforme OpenClassrooms ?

J’aime pouvoir suivre une formation sérieuse sans me déplacer. Le contenu s’élargit rapidement et il y a de plus en plus de choix et de spécialités. j’aime aussi l’idée de s’auto-corriger entre élève. Cela permet de comprendre encore mieux les corrigés d’exercices.

Enfin, avez-vous un conseil à donner aux nouveaux sur la plateforme?

Eclatez-vous, soyez sérieux et indulgents pour les corrections.

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Quelles sont les différentes spécificités du métier de développeur en 2017 ?

Depuis 2011 Stack Overflow interroge les développeurs sur leurs technologies préférées, leurs habitudes de codage et leurs préférences de travail. Cette année, 64 000 développeurs ont répondu à l’appel pour vous révéler les outils et les tendances de leur métier pour cette année 2017.

Profil du développeur 2017 :

Près des trois quarts des répondants s’identifient comme développeurs web, bien que beaucoup aient également déclaré qu’ils travaillent à créer des applications de bureau et des applications mobiles.

Types de développeurs spécifiques:

La grande majorité des développeurs web sont des développeurs web complet, à savoir à la fois de back-end et front-end.

Du côté des développeurs mobiles, il y a une forte préférence pour le développement sur Android, comme en témoigne ce graphique :

Les langages de programmation :

1/ Top 10 des langages de programmation en forte croissance :

Pour la cinquième année consécutive, JavaScript est le langage de programmation le plus couramment utilisé. Et encore une fois, SQL prend la deuxième place, et Java troisième. La grande nouvelle cette année, est que, pour la première fois en cinq ans l’utilisation de Python a dépassé PHP !

2/ Le top 10 des langages les plus demandés par les employeurs :

JavaScript et SQL sont les langues les plus populaires sur les développeurs web et les développeurs d’applications bureautiques.

Côté outil d’environnement, Visual Studio reste l’outil développeur le plus populaire pour les développeurs web et les développeurs d’applications bureautiques.

Les statuts d’emploi des développeurs :

En france, plus de 80% des développeurs sont employés à temps complet. Seuls 10% travaillent en indépendants.

Où travaillent-ils ?

Plus de développeurs travaillent pour les logiciels et les entreprises Internet / Web que n’importe quelle autre industrie, mais on retrouve également des développeurs dans diverses industries à travers l’économie.

Par ailleurs, nous imaginons souvent des développeurs travaillant dans des start-up, mais dans le monde entier, environ 9% seulement des développeurs travaillent dans les start-up. La majorité des développeurs travaillent dans des sociétés cotées en bourse ou des sociétés privées !

Méthodologie et contrôle de version

Les méthodologies les plus populaires pour les développeurs sont la méthode Agile et la méthode Scrum, utilisées par plus de 60% d’entre eux, pour maintenir leurs projets sur la bonne voie !

Du côté du contrôle de version, Git est unanimement plébiscité !

La Formation avec OpenClassrooms

Plus d’une dizaine de parcours diplômants vous attendent sur notre site pour vous former au développement https://openclassrooms.com/paths?q=&hPP=12&idx=prod_PATHS_fr&p=0&hFR%5Btags.id%5D%5B0%5D=1457&is_v=1

Inscrivez-vous dès maintenant et commencez votre formation dès aujourd’hui !

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L’histoire de Kévin : de gendarme à développeur

À 25 ans, Kévin a déjà plusieurs carrières et reconversions à son actif. La dernière en date ? Il s’est formé au développement chez OpenClassrooms alors qu’il était encore en poste dans la gendarmerie. Aujourd’hui, il travaille dans une agence de communication à Bordeaux. Récit d’un parcours atypique et réussi.

Initialement, quel a été ton parcours universitaire et professionnel ?

Après le bac, je suis parti en fac de droit. J’ai arrêté au bout d’un an car je n’aimais pas l’ambiance de travail et le droit ne me convenait pas non plus. J’ai donc passé un concours pour devenir sous-officier de gendarmerie. Je l’ai eu, mais il y avait un an d’attente pour entrer dans l’école donc en attendant j’ai officié chez les pompiers. À ma sortie de l’école, je suis resté dans la gendarmerie quasiment quatre ans.

Qu’est-ce qui t’a donné envie de te former à nouveau ?

Je me suis rendu compte que ce n’était pas la vie dont je rêvais. Il fallait donc que je trouve une porte de sortie puisque je n’avais pas de diplôme.

Depuis tout jeune, je connaissais OpenClassrooms (ndlr via le Site Zéro), j’avais fait les tutos pour apprendre à coder. Le web a toujours été un milieu qui m’intéressait mais jusqu’à présent je ne pensais pas forcément que je pouvais en faire un métier. En découvrant les formations proposées, je me suis dit que ça me correspondait et que j’allais pouvoir faire un métier qui me plaisait. J’ai donc choisi un parcours spécialisé en développement ».

Comment s’est passée ta formation ?

La formation a duré un peu plus d’un an, je l’ai entamée alors que j’étais encore en poste à la gendarmerie. C’était un peu compliqué de tout gérer en même temps mais j’ai réussi à m’organiser malgré tout, jusqu’au moment où j’ai décidé de démissionner.

Pendant la formation, on est suivi par un mentor avec qui on communique toutes les semaines, qui nous guide et qui valide la soutenance finale.

Quelles compétences as-tu acquises ?

D’un point de vue du code, j’ai appris énormément de choses. La formation est complète car on apprend des notions assez générales de développement front, de développement back. J’ai eu aussi des cours de gestion de projet, c’est quelque chose avec lequel je n’étais pas familier et aujourd’hui, je me rends compte que c’est vraiment utile au quotidien dans mon travail. Je suis capable de lire un cahier des charges, une note de cadrage, etc.

Selon ce qui nous convient mieux, on peut ensuite se spécialiser. Comme je préférais coder, je me suis davantage investi dans le développement.

Après la formation, comment s’est déroulée ta recherche d’emploi ?

En fait après ma démission de la gendarmerie, j’ai commencé à chercher un emploi, même si je n’avais pas encore complètement terminé la formation. Au bout d’un mois, j’ai eu deux entretiens dont un concluant et j’ai obtenu un CDI dans une agence de communication.

Comment as-tu valorisé ta reconversion et mis en avant ton passage chez OpenClassrooms ?

Mon parcours atypique a plu et comme pendant la formation, on a six projets à rendre sur des thèmes différents, on se constitue un portfolio et donc on a déjà des choses à montrer lors des entretiens d’embauche. J’avais déjà dû créer des sites web, donc c’est comme si j’avais déjà eu une expérience.

Les recruteurs ont apprécié la dimension autodidacte d’OpenClassrooms. Ça démontre une certaine discipline et une rigueur d’être capable de se former de chez soi à distance.

Aujourd’hui, quelles sont tes missions au quotidien ?

Je suis développeur dans une petite agence de communication, Weglio, depuis 10 mois. Jusqu’à présent, ils externalisaient les missions et aujourd’hui c’est moi qui m’en charge à plein temps. On élabore des sites, on fait du community management, du référencement, du web marketing. Moi, je fais surtout du code, de façon assez variée puisque ça peut être de la mise en page, de l’amélioration de rendu, de l’intégration de maquette. Je fais aussi souvent de la création de back office, de système de paiement. Comme je suis le seul développeur, je jongle entre le développement front end et la grosse partie back end.

Est-ce qu’à l’issue de la formation, tu avais le sentiment d’avoir les compétences nécessaires pour t’intégrer en entreprise ?

Au début, j’avais peur de me retrouver devant des projets que je ne pourrais pas gérer mais la formation m’avait vraiment bien préparé.

L’avantage chez OpenClassrooms, c’est aussi qu’il y a une grosse communauté de mentors et d’étudiants qui est très active donc je savais que je pouvais demander de l’aide en cas de besoin.

Ça m’a rassuré et pour le moment, il n’y a pas eu de problèmes que je ne savais pas résoudre.

Je me suis rendu compte que j’avais acquis de véritables compétences en développement.

Une de mes premières missions quand je suis arrivé dans l’agence par exemple, a été de devoir reprendre un site qui avait déjà été codé. Or, reprendre le code de quelqu’un d’autre, c’est assez compliqué et encore une fois, tout s’est bien passé finalement.

Quels sont tes conseils aux personnes qui souhaitent se reconvertir ou se former mais n’osent pas sauter le pas ?

Au départ, je pensais vraiment que la promesse OpenClassrooms était trop belle pour être vraie. Mais quand on n’est pas bien dans son travail, s’il y a une petite porte vers une amélioration, il faut tenter sa chance.

La formation est tout à fait accessible, même en étant encore en poste à côté. On est tellement bien accompagnés que ça se passe sans difficulté. Chaque projet est bien pensé et même à distance, on est finalement mieux suivis qu’à l’école ou à la fac grâce à l’investissement des mentors.

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OpenClassrooms et Microsoft œuvrent pour réduire la pénurie de profils Tech

Mon associé Mathieu Nebra avait 13 ans lorsqu’il s’est heurté pour la première fois à la problématique que vous avons mis un point d’honneur à solutionner depuis. Il voulait acquérir une nouvelle compétence – en l’occurrence, savoir développer du code informatique. Mais il ne trouvait pas de ressources efficaces pour le faire à l’époque. Alors, nous les avons créées nous-mêmes.

À présent, la raison d’être d’OpenClassrooms est de rendre une éducation de qualité accessible à toutes et tous, et d’amener tous nos étudiants vers une carrière épanouissante.

Aujourd’hui, des décennies après la fondation du projet par Mathieu, une nouvelle vague technologique secoue à nouveau l’économie à l’échelle internationale. Vous avez tous entendu parler de la rareté des professionnels de la Tech. Embaucher un excellent profil en développement, systèmes et réseaux ou data science n’a jamais été aussi ardu. En France, 29% des recruteurs déclaraient en 2018 avoir des difficultés à recruter, et jusqu’à 67% dans les entreprises de plus de 250 salariés. D’ici à 2030,  1.5 millions de salariés hautement qualifiés pourraient manquer dans le numérique en France, et cela occasionnerait selon les projections un manque à gagner de 175 millions d’euros. Aux États-Unis,  557 000 emplois en développement et IT devraient être créés d’ici à 2026, soit plus que dans tous les autres secteurs confondus.

Les talents manquent pour occuper ces postes, en France comme à l’international. Par conséquent, les personnes qui possèdent ces compétences rares ont peuvent viser des salaires décorrélés des prix médians du marché. Le salaire moyen pour les emplois en développement et IT aux États-Unis en Mai 2017 était $84 580. Sans comparaison donc avec le salaire moyen pour les autres emplois, qui était de $37 690.

OpenClassrooms s’engage à préparer les étudiants à saisir les opportunités créées dans le secteur du numérique. Cette fois, une entreprise innovante du secteur nous donne un coup de main.

En effet, nous sommes fiers d’annoncer notre partenariat avec Microsoft pour recruter et former la prochaine génération d’ingénieurs en intelligence artificielle aux États-Unis, en Europe et au Royaume-Uni.

Nous avons pour objectif de préparer efficacement des candidats à embrasser des carrières en intelligence artificielle et machine learning. Pour y parvenir, nous construisons ensemble un programme de niveau Master, qui bénéficiera à la fois de l’approche par missions d’OpenClassrooms, et de l’expertise de Microsoft sur ces sujets.

OpenClassrooms crée des programmes de qualité, pensés pour être accessibles au plus grand nombre. Si l’on ajoute en prime le savoir-faire des meilleurs experts au monde – tels ceux qui font partie de l’équipe de Microsoft –, nos chances de réduire la fracture entre la demande de profils Tech et les professionnels formés sur le sujet sont décuplées. Nous sommes ravis d’avoir un impact positif sur cette problématique.

Pierre Dubuc,
CEO d’OpenClassrooms.

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Début d’entretien : comment se pitcher efficacement ?

Après de longues recherches, vous avez enfin mis la main sur une annonce pour un poste qui semble vous correspondre. En effet, après avoir reçu votre CV et votre lettre de motivation, le recruteur vous contacte pour un entretien d’embauche.

C’est une étape supplémentaire à passer pour vous rapprocher du job de vos rêves. Dans tout entretien, se présenter est un moment incontournable, que vous pouvez donc anticiper et préparer en amont afin de transformer l’essai lors de votre rencontre avec le recruteur.

[À suivre : le cours « Obtenez l’emploi qui vous correspond » sur OpenClassrooms].

 

Le passage incontournable en entretien

 

Si certains entretiens d’embauche prennent parfois des tournures inattendues, il y a une constante dans chacun d’eux : la présentation du candidat. “Présentez-vous”, “Parlez-moi de vous”, “Racontez moi votre parcours”, sont autant de façons pour le recruteur de vous céder la parole en début d’entretien.

C’est un moment important car l’opportunité vous est donnée de prendre le contrôle de l’échange et de le tourner à votre avantage. Quelle impression souhaitez-vous donner ?

Claire-Lise Colin est chargée de recrutement chez Lunchr. Selon elle,

“Le plus important est de réussir à capter l’attention et à créer une connexion avec l’interlocuteur pour qu’il se souvienne de vous. Il faut que le candidat soit attentif pour comprendre à quel moment le recruteur se désintéresse de votre propos.”

Sur le contenu, se présenter ne représente a priori pas un piège alors si vous avez pu établir au préalable votre discours, vous pourrez être concis et vous concentrer sur d’autres éléments au moment de vous lancer : adopter une gestuelle adaptée, poser votre voix, regarder le recruteur dans les yeux, sourire et parler avec clarté. Autant d’éléments qui constituent 90% de l’opinion que l’on se fait d’une personne, assure Claire-Lise.

 

Comment s’y préparer ?

 

Idéalement, le candidat doit être capable de se présenter en une minute.

Si vous êtes à l’entretien, cela signifie que vos expériences ont déjà en partie intéressé le recruteur. L’entretien a pour but de confirmer que vous ayez tous les deux les mêmes attentes concernant le poste en jeu. Votre présentation doit être adaptée à l’entreprise et au poste pour lequel vous postulez.

La ligne directrice à suivre :

  • Qui êtes-vous : vous mentionnez votre situation actuelle. Êtes-vous en poste ou en recherche d’emploi ? Quelles sont exactement vos missions et défis ? Selon Claire-Lise Colin, il faut voir un angle d’attaque convaincant sans repartir complètement en arrière sur tous les détails de vos diplômes et formations : “ un quadra qui parle de son diplôme de polytechnique, pour moi, c’est ridicule. Il faut vraiment essayer de parler au présent. C’est important avant tout d’expliquer ce que vous cherchez aujourd’hui, de façon très précise”.
  • D’où venez-vous : quelles sont les expériences qui vous permettent d’affirmer que vous avez aujourd’hui les compétences nécessaires pour le poste en question ? Sélectionnez une ou deux expériences pertinentes, au cours desquelles vous avez le plus appris.
  • Ambitions futures : à ce moment de la présentation, vous devez faire le lien entre les deux parties précédentes et le poste pour lequel vous postulez. Comment imaginez-vous incarner ce job au regard de vos expériences passées et de vos compétences acquises ? En quoi votre profil correspond t-il aux particularités de l’entreprise ? C’est le moment où vous devez être le plus cohérent pour convaincre votre interlocuteur.
    En tant que recruteuse, Claire-Lise explique qu’elle est sensible aux candidats qui savent ce qui veulent :
    C’est rassurant, ça fait plus rêver qu’un candidat qui ne sait pas exactement bien se positionner ou qui est juste là pour la renommée de la boîte, par exemple.”

 

Les erreurs à éviter

 

  • Vous devez être prêt pour que l’entretien paraisse fluide mais vous ne devez pas donner l’impression de réciter votre présentation.
    Le recruteur est également intéressé de percevoir les traits de votre caractère au travers de votre réponse. Ayez l’air naturel et détendu. “
    Se montrer vraiment stressé est rédhibitoire, parce que quelque soit le poste aujourd’hui, le candidat sera amené à parler en public à un moment donné, à manager des gens ou à devoir défendre des idées devant des supérieurs. Donc il ne faut pas trop montrer que l’on est impressionnable. »
  • L’erreur classique est de vouloir absolument tout dire, de trop entrer dans les détails et donc d’endormir le recruteur. Vous ne devez pas dépasser les 2 minutes grand maximum, et encore une fois restez attentif aux réactions de votre interlocuteur pour vous adapter.
    .
  • En lien avec le point précédent, ne vous égarez pas dans des anecdotes ou des expériences qui n’apportent rien pour le poste pour lequel vous candidatez. Claire-Lise explique : “L’important est de parler à tout prix de la boîte pour laquelle vous postulez car le recruteur a envie de se projeter avec vous donc il faut au minimum montrer que vous vous êtes renseigné sur la culture d’entreprise, ses valeurs. Pour autant, ne soyez pas mielleux, le recruteur ne cherche pas quelqu’un qui ne lui dise uniquement ce qu’il a envie d’entendre”
  • Le danger lors de cette étape de l’entretien est que vous vous sentiez confiant parce que justement vous avez anticipé et préparé cette question au préalable. Ne vous montrez pas trop sûr de vous, voire arrogant. Répondez avec humilité.
  • Ce n’est jamais bien vu de dénigrer votre précédent employeur, car comme le dit Claire-Lise, “la faute peut en fait venir du candidat, c’est très compliqué de juger”.
  • Même si vous n’aviez pas tout à fait préparé ou appris votre discours par cœur, ne montrez pas que vous êtes désarçonné. Quoiqu’il arrive ne paniquez pas et faites en sorte de rester souriant, et motivé.

Pour aller plus loin, suivez le cours « Obtenez l’emploi qui vous correspond » sur OpenClassrooms.

 

À propos d’Aglaé : 

Aglaé est auteur-rédacteur. Elle a fondé Word Shaper, une agence créative qui propose des services d’écriture, de consulting et de conception.

 

 

 

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De directeur commercial à Marseille à entrepreneur à Anglet, la reconversion de Cyril

À Marseille, Cyril était directeur commercial depuis plus de quinze ans. Perte de sens et problèmes de hiérarchie le poussent quitter son poste pour de nouvelles aventures. Sans idée ni projet pour la suite, il pose ses valises à Anglet avec sa femme et ses deux enfants.

Entre océan et montagne, il décide de repartir sur de nouvelles bases et commence par un premier programme : « Apprenez à apprendre » de Guillaume Parrou. Cela devient son quotidien, huit heures par jour il enchaîne les cours. Une idée germe alors dans son esprit : et si la formation digitale devenait son nouveau métier ? Il suit le parcours Ingénieur responsable pédagogique, et monte son propre projet. Quelques mois après le lancement de sa startup, nous l’avons rencontré.

Qu’est-ce qui t’a amené à te lancer dans ce processus de reconversion  ?

 

« Sûrement le fait d’avoir quarante ans.

J’avais un bon poste, une bonne équipe, mais comme beaucoup de personnes, je n’étais plus en phase avec ce qui m’était demandé, ce que je devais faire. Le management vertical de l’entreprise créait un vrai décalage entre mon travail, mes envies et ma personnalité. À la fin, je n’avais plus l’impression d’apprendre, d’avancer, j’étais perdu.

Ma femme souhaitait elle aussi redéfinir son projet professionnel. La vie à Marseille devenait oppressante. C’était une décision difficile, surtout financièrement, mais  c’est ce tout qui nous motivé à partir.

On s’était donné deux ans, mais au bout de dix mois on était déjà installés à Anglet, prêts pour un nouveau départ. »


Avais-tu déjà une idée de reconversion à ce moment-là  ?

 

« Non. Tout le monde me disait : « Mais c’est pas possible, tu ne peux pas lâcher ce boulot sans aucun projet, sans rien derrière ? C’est pas vrai ? Ou alors tu as gagné au Loto ? ». Pas du tout.

Je n’avais aucune idée et je ne voulais certainement pas en avoir. Je voulais avant tout me vider la tête et faire un bilan. Je voulais m’imprégner pleinement de mon nouveau contexte. Ça m’a pris six mois.

J’ai beaucoup surfé, profité de mes journées et petit à petit les choses se sont clarifiées. En fait, dans mon ancien boulot, je me voyais plus comme un accompagnateur, un formateur qu’un manager pur et dur. J’avais envie de garder cet aspect ».

 

Comment as-tu commencé avec Openclassrooms  ?

 

« Le fait de stagner, de ne rien apprendre de nouveau et me sentir largué m’a donné l’envie de me mettre à la page. Pôle Emploi m’a aiguillé vers des MOOCs un peu poussiéreux. J’aimais le format, j’ai juste cherché ailleurs. Je suis tombé sur « Apprenez à apprendre » de Guillaume Parrou. Bingo ! C’était exactement ce par quoi je devais commencer.

Ça m’a parlé, on s’adressait à moi directement. J’ai donc commencé à suivre d’autres parcours. J’étais hyper stimulé et content. Après vingt ans, retourner à l’école. J’avais l’impression d’être de nouveau à la page, c’était vraiment gratifiant ».

 

Comment s’est ensuite passée la transition, jusqu’à la création de ta startup Sweetcher Digital Learning ?

 

« Quitte à me lancer, autant y aller à fond, alors j’ai commencé à creuser ce qu’il y avait autour de la formation en ligne.

Petit à petit, j’ai appris à travailler en autonomie et intégrer des outils que je n’utilisais pas du tout jusqu’ici. En plus du parcours, ça m’a permis de mettre en place une veille efficace, je gagnais en crédibilité sur le sujet. J’ai pu petit à petit cibler mon futur métier et ma prochaine formation : Ingénieur responsable pédagogique.

J’ai ensuite commencé à faire parler de moi, notamment sur LinkedIn. À ce moment-là, Sweetcher n’était pas du tout le plan, je comptais au moins terminer mon parcours, mais j’ai été contacté par une personne spécialisée dans la prise de parole. Il était intéressé par la manière dont j’étais capable de digitaliser l’apprentissage.

Ensemble,  nous avons lancé un premier SPOC en partenariat avec l’APEC destiné aux personnes en recherche d’emploi et création d’entreprise. Et au passage, créé notre propre petite communauté, qui commençait à nous solliciter. Nous ne pouvions pas leur dire « non, mais en fait je suis encore étudiant », j’ai donc créé ma structure.

Aujourd’hui nous avons nos locaux, elle est lancée et elle tourne. ».

 


Quels conseils donnerais-tu aux élèves d’OpenClassrooms ?

 

« Chez OpenClassrooms, il y a beaucoup de choix de formations. Tellement qu’on est obligé de se dire « je la ferai plus tard », mais il faut voir au-delà. Car les parcours sont vraiment riches et  demandent un réel engagement.

Il y a un mentorat hebdomadaire, moi c’était Marie. Elle n’a pas essayé de m’imposer sa façon de faire, sa façon de voir les choses. Elle a plutôt cherché à développer ma façon d’être, ma singularité.

Derrière il y a des formateurs et des personnes qui répondent. Des personnes que j’ai eues des heures au téléphone et qui m’accompagnaient sur mes premières prestations. Quand je ne savais pas vers qui me tourner, j’avais eux. Parfois, ce n’était même pas mes mentors et ils ont quand même été complètement disponibles. C’est ça qui est bien aussi si on a besoin de plus de conseils !

Aussi, par le biais d’OpenClassrooms on a accès à une communauté. Tout le monde est bienveillant. Quand j’ai proposé ma formation, j’ai eu des retours immédiatement. J’ai notamment rencontré  deux personnes avec qui on a ensuite échangé nos compétences.

On est dans le troc de compétences hyper vertueux ! »

En partant sur de nouvelles bases saines et la tête vide, Cyril a su développer projet professionnel dans l’air du temps et en phase avec lui-même. Il a joué le jeu, s’est impliqué dans ses formations et cela a payé. Prêt à faire comme lui ?

 

À propos de Mathieu : 

Un pied dans la rédaction, l’autre dans les réseaux sociaux, Mathieu s’est formé auprès de médias parmi les plus actifs et novateurs de Paris. Passionné par les nouveaux modes d’écriture, il s’est lancé comme rédacteur indépendant en 2018. Son objectif : anticiper l’influence du digital sur nos vies, et explorer le futur du travail.

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Comment devenir développeur ?

Le métier de développeur est de plus en plus demandé par les entreprises et pour lequel de plus en plus de personnes se forment. Mais comment devient-on un bon développeur et quelle est la meilleure façon d’apprendre ?

Adrien Guéret est développeur front-end chez OpenClassrooms. Il nous a partagé sa vision du métier et quelques conseils pour les développeurs en devenir.

 

L’envie d’avoir envie

 

De nombreuses formations existent pour se familiariser avec le développement web et elles n’exigent généralement pas d’autres pré-requis que d’avoir un ordinateur qui fonctionne.

Cependant, pour Adrien, ce qui fait la différence et permet de se distinguer des autres, est d’être passionné par le sujet : “Je trouve magique de pouvoir construire quelque chose, de coder puis de voir des choses apparaître et de pouvoir interagir avec. On ne peut pas tous être passionnés mais si on ne l’est pas, ce n’est pas la bonne démarche selon moi. Il faut être prêt à investir du temps, à passer sa journée devant l’ordinateur, à éventuellement avoir des projets persos en dehors du travail.

Au-delà d’une bonne formation ou d’un diplôme, ce qui fait la différence sur le marché, c’est de pouvoir présenter un book de projets déjà réalisés pour montrer sa motivation.”

S’il y a des bases théoriques à connaître, pour le métier de développeur, rien de plus efficace que la pratique. Le premier site qu’a créé Adrien était un fansite autour du jeu vidéo Super Mario : “Sur mon ordinateur, j’avais une page de tutoriel, une page de code et la page du site, et j’avançais comme cela pas à pas. Le site était horrible mais il fonctionnait et c’est comme ça que j’ai appris beaucoup plus qu’au cours de ma formation à SUPINFO. Se lancer dans son propre projet permet de faire face à ses propres limites, ses propres problématiques, ça motive.”

 

Le goût des problèmes & le mythe du canard

 

Selon Adrien, il y a deux qualités essentielles à avoir ou à acquérir pour être un bon développeur : être patient et curieux.

Ça arrive très souvent qu’on bute sur des problèmes, qu’on ne comprenne pas, qu’on doive se remettre en question et il faut aimer ça. Hier par exemple, j’ai passé la journée sur un bug que je ne comprenais pas et donc que je n’arrivais pas à résoudre.

Mes collègues n’ont pas réussi à m’aider, en faisant des recherches sur Internet, je n’ai pas trouvé la solution non plus car le problème était trop spécifique. Donc, c’était vraiment à moi d’analyser la situation, d’avancer pas à pas pour comprendre ce qui n’allait pas et trouver mon erreur avec du recul.

La clé pour devenir développeur, c’est persévérer, ne pas se décourager même comme les résultats ne sont pas immédiats, avoir confiance en sa capacité à trouver des solutions et ne pas douter de ses compétences au premier obstacle rencontré.

Dans le milieu, le mythe du canard illustre justement à quel point le métier de développeur repose sur la résolution de problèmes avant tout : “Souvent, quand on est bloqué seul devant un problème, on a la tête dans le guidon et on tourne en rond sans réussir à comprendre. Du coup, on recommande d’avoir un canard en plastique, ou une peluche, ou simplement un objet intermédiaire à qui on va parler et exposer le problème. Généralement, le simple fait d’énoncer le problème à voix haute permet de percuter et de cibler là où cela bloque. Cela paraît simpliste mais c’est très efficace et nous permet de ne pas déranger ses collègues à chaque fois que l’on rencontre une difficulté.”

 

Veille et formation en continue

 

Le domaine du développement web est en plein essor en ce moment et c’est un milieu qui évolue très rapidement. Il est donc essentiel pour un développeur de rester en veille permanente et de toujours chercher à actualiser ses compétences.

Adrien le constate et l’explique bien :

Même si le poste est similaire, le métier que je fais aujourd’hui n’a rien à voir avec le métier que je faisais il y a encore trois ans. Ce n’est pas la même technologie, pas la même philosophie, donc c’est important de se remettre sans cesse en question et de rester à la page. On peut être bon dans un domaine mais toujours avoir l’humilité de se dire qu’on a encore des choses à apprendre avant d’être un expert. Aujourd’hui, je vois des seniors en recrutement, ils n’ont pas su évoluer et ils sont bloqués dans ce qu’ils savent faire sans pouvoir s’adapter au marché actuel. “

Indispensable donc pour un développeur de ne pas se reposer sur ses lauriers et d’être suffisamment passionné et curieux là encore, pour ajuster ses compétences continuellement.

 

Pour aller plus loin :

 

  • Adrien recommande la newsletter de React : http://reactjsnewsletter.com/.
  • À suivre aussi, les comptes Twitter : @JavaScriptDaily ; @css ; @the_jsf ; @LeaVerou.

 

À propos d’Aglaé : 

Aglaé est auteur-rédacteur. Elle a fondé Word Shaper, une agence créative qui propose des services d’écriture, de consulting et de conception.

 

 

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Pourquoi apprendre par la pratique ?

Si vous nous lisez régulièrement, ou si vous suivez un parcours de formation chez OpenClassrooms, vous l’aurez compris : chez nous, vous n’êtes plus à l’école.

Vous souhaitez apprendre un nouveau métier ? Au lieu de mémoriser des notions et viser la moyenne pour obtenir votre diplôme, nous avons décidé de changer de perspective et de vous proposer des formations réellement professionnalisantes.

Nous y croyons dur comme fer : l’apprentissage par la pratique est non seulement plus stimulant, mais aussi plus efficace. Ainsi, nous avons tout misé sur des formations exigeantes et axées sur l’action. Envie de savoir comment ça marche ? Vous saurez tout.

 

Une approche différente de l’apprentissage

 

Beaucoup de formations en ligne se présentent sous forme de cours, avec des notions et des documents à mémoriser, et des tests d’évaluation. Cette méthode, scolaire par excellence, permet d’engranger des connaissances théoriques. Mais,  nous en sommes persuadés, il faut pouvoir se frotter à l’exercice pour affronter sereinement vos premières expériences professionnelles.

« Chez OpenClassrooms, nous voulons former des étudiants pour qu’ils soient prêts à affronter le monde du travail. Alors, pour créer une expérience d’apprentissage en ligne efficace et motivante, nous sommes repartis de zéro.

Nous nous sommes mis dans la peau d’un recruteur, puis dans celle du candidat. Une entreprise recherche des professionnels avec de l’expérience et des compétences précises ; et un candidat a besoin de prouver ses capacités pour décrocher un job.

Notre conclusion : les compétences ne s’obtiennent pas seulement en regardant des vidéos (ou bien : en consommant du contenu), en apprenant par cœur ou en remplissant des tests, mais bien en appliquant immédiatement ce que l’on apprend, en se posant les bonnes questions et en échangeant avec des professionnels qui exercent déjà le métier » explique Charlène Friang, qui manage nos ingénieurs pédagogiques chargés des parcours de formation.

Les parcours d’OpenClassrooms ne ressemblent en rien à ce que vous avez connu à l’école. Oubliez les heures passées au fond de la classe à prendre des notes, les révisions compliquées, les examens. Ici, tout commence par la pratique.

 

La pratique d’abord

 

Toutes nos formations sont conçues par les ingénieurs pédagogiques d’OpenClassrooms, en collaboration avec des experts.

Elles se développent autour d’une série de projets, dont la difficulté est progressive. C’est la réalisation de ces projets qui vous permet d’acquérir les compétences nécessaires (techniques mais aussi interpersonnelles) pour exercer votre nouveau métier.

« Nos étudiants ne vont pas apprendre des notions : on leur demande d’abord et avant tout de “faire”. En se mettant en action, ils commencent à rencontrer des obstacles, à se poser des questions et à échanger avec leur mentor, qui est présent pour les guider et les conseiller.

Les projets sont des reconstitutions de scénarios professionnels, réalistes et techniques. Quelques exemples de projet selon les parcours : la réalisation d’un site internet, la conception d’une application, la préparation d’un budget prévisionnel, la création d’un plan marketing… Pour valider chaque projet, l’étudiant produit un livrable et présente son travail lors d’une soutenance » explique Charlène. « Pour aider l’étudiant, le rôle du mentor est primordial et assure le bon déroulement du parcours » poursuit-elle.

Cette pédagogie par projet est un parti pris essentiel dans la conception des formations chez OpenClassrooms. Pour réussir et apprendre, l’étudiant est amené à faire ses propres recherches, à se confronter à un client (hypothétique), et à travailler dans un contexte donné, avec des contraintes et des besoins définis.

« Nous fournissons bien sûr aux étudiants des cours théoriques, mais ils sont libres de s’en servir ou pas. L’apprentissage de ces ressources n’est pas obligatoire et encore moins noté. Nous les considérons comme un support intéressant au regard d’une mise en pratique rapide » précise Charlène.

 

Les avantages d’apprendre par la pratique

 

Apprendre par la pratique, en se confrontant rapidement à l’exercice, comporte des bénéfices certains sur le court et moyen terme. Quels sont les plus importants?

« Chez OpenClassrooms, l’apprentissage est précis et sélectionné. Vous n’apprenez rien d’inutile. Au contraire, vous gagnez du temps, puisque nos formations sont réalisables en un an (contre trois à cinq ans à l’université). Cela est possible car les projets permettent de rentrer dans le vif du sujet sans s’attarder sur la théorie » explique Charlène.

La durée de réalisation des projets est flexible, pour vous permettre d’apprendre à votre rythme. Et, plus important encore, vous avez le droit à l’erreur : en faisant l’expérience d’un métier, vous rencontrerez tout naturellement des obstacles et des difficultés. Si une soutenance n’est pas validée, pas d’inquiétude, vous pouvez recommencer.

« Nos formations sont très exigeantes. En effet, les projets vous obligent à mobiliser plein de ressources. En même temps, vous développez une forte autonomie et cultivez l’art… de la persévérance » conclut-elle.

Cerise sur la gâteau, l’expertise intégrée durant votre période de formation est facilement valorisable une fois que vous passez vos entretiens d’embauche. Les livrables produits constituent votre portfolio, et le recruteur dispose d’une preuve tangible de vos acquis. Ainsi, votre employabilité augmente considérablement.

 

Prêt à embarquer? Si notre méthode vous tente, vous savez ce qu’il vous reste à faire : choisissez le parcours qui est fait pour vous, changez de métier, changez de vie.

En savoir plus sur la pédagogie par projet

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Data analyst, scientist, architect, quelles différences ?

Les métiers de la Data sont très en vogue sur le marché de l’emploi à l’heure actuelle. Selon Accenture, 79% des dirigeants sont d’avis que les entreprises négligeant le traitement et l’exploitation de leurs données. De quoi se tailler un poste passionnant, quelle que soit la structure.

Alors, quels sont les métiers de la data science ?

Le Data Analyst

Son rôle rôle est de comprendre les diverses données d’une entreprise (chiffres de vente, études de marché, circuits logistiques, coûts des fournisseurs, etc… ) afin d’en tirer des informations claires et utiles pour l’entreprise.

Ces informations pourront ensuite être traitées par un Data Scientist. Le Data Analyst est responsable de la chaîne de collecte et de traitement de données, et se porte garant de leur intégrité. Une fois l’analyse des données effectuée, le Data Analyst produit généralement des rapports destinés aux différents services de l’entreprise afin d’optimiser leurs prise de décision.

Le Data Scientist

Pour la quatrième année consécutive, Data Scientist a été classé par Glassdoor, l’un des plus grands sites d’emploi et de recrutement au monde, au premier rang des meilleurs emplois aux États-Unis. Il existe de nombreuses définitions du métier de Data-Scientist. Jake Porway, fondateur de DataKind, cabinet de conseil londonien spécialisé dans la data science, nous délivre la sienne.

“Un Data Scientist est un profil hybride rare : un informaticien doté des capacités de programmation nécessaires à la création de logiciels permettant de gratter, de combiner et de gérer des données provenant de diverses sources, ainsi qu’un statisticien qui sait comment tirer parti des informations qu’elles contiennent. Il ou elle combine ses compétences pour créer de nouveaux prototypes avec la créativité et la minutie nécessaires pour poser et répondre aux questions les plus profondes sur les données et sur les secrets qu’elles contiennent”.

Historiquement, les Data Scientists sont des profils qui viennent du monde de la statistique et dotés d’une certaine appétence pour le code. En plus de structurer et de traiter de la donnée comme le font les Data Analysts, un Data Scientist se doit d’apprendre à les contextualiser afin de leur trouver une utilisation à valeur ajoutée. Ce rôle est absolument nécessaire lorsque le volume et la vitesse de données d’une entreprise dépassent un certain niveau. Il faut alors des compétences plus solides pour trier des données non structurées afin d’extraire les informations critiques.

Le Data Architect

Métier référence en matière de gestion des données, le Data Architect est, dans un premier temps, un bon Data Analyst, capable d’interpréter des algorithmes complexes pour les adapter à une architecture distribuée. Si le Data Analyst se concentre sur la donnée, le Data Architect a pour rôle de construire les fondations de tous les systèmes de gestion, de prédiction, et d’analyse dont les données sont la ressource principale.

Il définit la manière dont les données seront stockées, utilisées, intégrées et gérées par différentes entités de données et systèmes informatiques, ainsi que par toute application utilisant ou traitant ces données d’une manière ou d’une autre.

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Quel que soit la spécialité que vous choisissez, vous pourrez aider l’entreprise à prendre des décisions éclairées au niveau de sa stratégie, et donc avoir un impact direct sur ses performances.

 

À propos de Gabriel : 

Après des études à l’ESSEC et à l’ESCP, Gabriel a fait le choix de se lancer sans attendre dans une aventure entrepreneuriale. En parallèle, il évolue en tant qu’ingénieur d’affaires dans une société de conseil en Digital. Amoureux de la nature, il poursuit actuellement, en cours du soir, des études de management des forêts.

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8 raisons de devenir développeur mobile

Faire un choix de carrière n’est jamais facile, où que vous en soyez dans la vie. Que vous démarriez votre vie professionnelle ou que vous souhaitiez faire un changement de carrière, le nombre d’options qui s’offrent à vous peut être impressionnant.

Mais avez-vous envisagé le métier de développeur mobile ? Si ce n’est pas le cas, sachez qu’il existe d’excellentes raisons d’étudier le développement mobile. En voici huit.

 

1 — Les développeurs mobiles gagnent plus d’argent

Le salaire annuel d’un développeur mobile débutant est compris entre 43 000 et 51 000 €, alors que celui d’un développeur web débutant est compris entre 29 000 € et 34 000 €. Cette différence de revenus est largement due à la faible quantité de développeurs mobiles disponibles et à la forte demande.

2 — L’utilisation de smartphones ne cesse d’augmenter

En 2017, plus de la moitié de la population mondiale possédait un smartphone, ce qui représente une augmentation de 30 % par rapport à 2016. Le taux de pénétration du marché augmente à une vitesse sans précédent, ce qui se traduit par une hausse du nombre d’emplois dans le développement mobile.

3 — La demande en développeurs mobiles est forte

D’après des données recueillies par StackOverflow, le développement iOS et le développement Android sont deux des trois domaines principaux souffrant d’une offre de main d’œuvre faible pour une demande importante.

 

Quels sont les domaines où la demande est forte ?

 

Il y a une importante demande en développeurs back-end web/cloud, iOS, Android, et DBA SQL.

4 — Vous pouvez gagner de l’argent en vendant votre application

Si vous êtes capable de développer votre propre application mobile, vous serez peut-être également en mesure de de générer une source de revenu en la rendant disponible à l’achat dans l’App Store ou sur Google Play. Avec des compétences en développement mobile, il vous suffit d’une bonne idée et le monde s’offre à vous.

5 —  Vous pouvez apprendre en ligne sans quitter votre emploi actuel

Avec un accès à l’éducation en ligne toujours plus facile, vous pouvez conserver votre emploi actuel pendant que vous étudiez le développement mobile. Vous pouvez étudier le développement iOS ou Android sur OpenClassrooms et faire les choses à votre rythme, en fonction de vos disponibilités.

6 — Le développement d’applications mobiles a un impact plus direct sur l’utilisateur final

Contrairement au développement web front-end et back-end, le développement d’une application mobile a un impact plus immédiat et direct sur l’utilisateur final. La capacité d’une application mobile à accéder à la localisation, aux contacts et à l’agenda de l’utilisateur rend l’expérience utilisateur plus personnalisée, et si vous souhaitez travailler sur des projets à fort impact, le développement mobile pourrait vous correspondre.

7 —  Vous rejoindrez une communauté

Il y a de très nombreux développeurs mobiles et un grand nombre d’entre eux peuvent être trouvés sur internet. Si vous rencontrez des problèmes sur un projet ou si vous souhaitez simplement échanger avec des personnes partageant votre métier, vous aurez toute une communauté à portée de clic.

8 — Vous serez en apprentissage permanent

Le développement mobile est non seulement un domaine relativement nouveau, mais il est également en constante évolution. Il est idéal pour tous ceux qui ont peur de s’ennuyer dans leur métier ou qui souhaitent apprendre tout au long de leur vie, car vous aurez toujours des choses nouvelles sur lesquelles travailler.

 

Vous êtes prêt à sauter le pas ?

 

Si vous envisagez sérieusement de vous lancer dans le développement mobile, OpenClassrooms peut vous aider à atteindre vos objectifs.

Nos parcours diplômants en ligne sont centrés sur des projets professionnalisants que vous pouvez suivre à votre rythme. Ils vous donnent également accès à des sessions de mentorat hebdomadaires avec des experts du milieu qui visent à s’assurer que vous allez dans la bonne direction.

Et comme nous sommes sûrs que vous trouverez un travail après l’obtention de votre diplôme, nous vous proposons notre dispositif Emploi Garanti, qui vous assure un remboursement de votre parcours si vous ne trouvez pas d’emploi dans les six mois suivant l’obtention de votre diplôme.

 

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Pourquoi se former à la data science est une excellente idée

Bien que de plus en plus habitués à lire et à relire les chiffres considérables liés aux données que nous générons, nous n’en sommes pas moins surpris à chaque nouvelle étude publiée. En 2018 par exemple, le nombre d’internautes autour du globe a dépassé les 4 milliards de personnes, soit plus de la moitié de l’humanité. Les données générées par l’utilisation des Smartphones et des objets connectés ont amené Statista à estimer que le marché des données à l’échelle mondiale devrait doubler de valeur dans les dix prochaines années, passant de 42 à 103 milliards de dollars.

Selon Accenture, 79% des dirigeants sont d’avis que les entreprises négligeant le traitement et l’exploitation de leurs données, perdraient leur positionnement concurrentiel et se dirigeraient vers leur perte. Loin d’être une simple tendance, les données prennent de plus en plus d’importance dans de nombreux enjeux stratégiques. Pour faire face à la demande croissante de ressources capables de maîtriser et de tirer profit d’un flot conséquent de données, les métiers de Data Analyst, de Data Scientist et dede Data Architect montent au front.

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Pourquoi se former à un métier dans la data?

 

Pour répondre à cette question, nous avons rencontré Maxime, Tech Recruiter chez Urban Linker, un cabinet de recrutement spécialisé dans le digital :

 

“A une certaine époque, il était plutôt aisé pour une entreprise de déterminer le retour sur investissement de chaque initiative.

Aujourd’hui, à cause de la la multiplication des canaux de communication, nous vivons dans un monde particulièrement incertain.

C’est là que la donnée prend de l’importance ; en la structurant pour extraire certains indicateurs, elle aide à la prise de décision sur des sujets divers, mais qui deviennent stratégiques”. 

Peu exploitée il y a encore quelques années, la donnée fait désormais partie des éléments les plus cruciaux d’une entreprise.

C’est pourquoi Maxime est catégorique : pour une entreprise qui produit un minimum de données, ignorer cette manne d’information serait synonyme de perte conséquente d’avantages concurrentiels.

“Certaines entreprises ne génèrent pas assez de données pour commencer à l’exploiter. Mais pour une entreprise qui en a suffisamment, ne pas se pencher dessus dès aujourd’hui, c’est foncer dans le mur. Et cela, les grands groupes français l’ont compris, ils ont été les premiers à se pencher sur le sujet dans l’hexagone”.

En revanche, du côté des start-ups, la donnée revêt un autre visage. Elle va permettre à des ingénieurs de s’attaquer à des marchés, jusqu’à maintenant fermés, comme la santé.

“Avant, le marché de la médecine était réservé aux praticiens. Maintenant, en analysant de gros volumes de données, des entreprises tech peuvent proposer des solutions innovantes, comme l’anticipation des risques de cancer via l’analyse de millions de radios”.  

 

Qui sont ces entreprises qui recherchent des profils de “data-specialists” ?

 

“Si la France n’a pas encore atteint le niveau des États-Unis en termes de recrutement de ce type de profils, nous n’en sommes pas moins déjà en pénurie. En effet, beaucoup d’ingénieurs français ont fait le choix de partir de l’autre côté de l’Atlantique pour faire valoir leur expertise data”.

Aux Etats-Unis, beaucoup de géants de la tech ont pris le virage de la data rapidement et surtout massivement : ils ont tous créé des unités qui sont dédiées à la data-science.

En France, même si les grands groupes ont compris le potentiel de leurs données et que la demande a beaucoup augmenté en quelques années, les initiatives se font plus timides. Pour les start-ups, en revanche, c’est une autre histoire.

De nombreuses jeunes entreprises ont compris l’enjeu stratégique lié à la data et elles se structurent de manière à pouvoir accueillir et traiter des gros volumes de données, que ce soit en projection ou via l’Open-Data”.

Même si certains secteurs semblent se détacher de par leur couverture médiatique, l’enjeu lié à la récolte et à l’analyse des données semble universel. “C’est difficile d’identifier des secteurs particuliers… Certains sont plus en avance que d’autres certes, mais aujourd’hui, tout type d’entreprise doit se poser la question de la data un jour. Nous avons d’ailleurs vu beaucoup de secteurs se pencher sur la question alors qu’on aurait jamais pu se l’imaginer ; le droit par exemple”.

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Les données sont désormais omniprésentes dans un monde de plus en plus digital, et il devient urgent pour les entreprises de collecter et de conserver toutes les données générées, afin de ne pas rater une information importante, voire critique.

Or, la donnée est inutile si l’on a pas les compétences pour la structurer, la traiter et l’exploiter. Si ces trois métiers ont le vent en poupe depuis les 5 dernières années, c’est justement pour répondre à ces enjeux et inscrire les entreprises dans un nouveau mode de fonctionnement centré sur les données.

Que ce soit pour de l’analyse, de la business intelligence ou même de la prédiction, les données ont besoin de leurs bergers pour pouvoir dévoiler tout leur potentiel.

 

À propos de Gabriel : 

Après des études à l’ESSEC et à l’ESCP, Gabriel a fait le choix de se lancer sans attendre dans une aventure entrepreneuriale. En parallèle, il évolue en tant qu’ingénieur d’affaires dans une société de conseil en Digital. Amoureux de la nature, il poursuit actuellement, en cours du soir, des études de management des forêts.

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Rencontrez Margaret, UX designer diplômée d’OpenClassrooms

Par : Nora Leon

Chez OpenClassrooms, nous ne proposons pas seulement des formations pour les métiers qui seront demandés dans le futur, nous aidons nos étudiants à faire avancer leur carrière et à trouver du travail maintenant.

Margaret a étudié avec OpenClassrooms dans notre parcours UX Designer de niveau équivalent à Bac +5. Autant vous le dire tout de suite, Margaret a trouvé un emploi avant même d’avoir terminé son projet final. Voici son histoire.

 

Que faisais-tu avant OpenClassrooms ?

 

J’étais designer numérique freelance. Je faisais de la conception web et de l’HTML/CSS pour de petits clients qui avaient en général besoin d’un logo et d’un site web professionnel pour leur entreprise.

Avant de travailler en freelance, j’ai été designer numérique pour une entreprise de jeu vidéo indépendante.

 

Comment as-tu connu OpenClassrooms ?

 

J’ai découvert OpenClassrooms par le bouche-à-oreille à la fin 2017. C’est l’un de mes amis qui m’en a parlé.

J’avais déjà commencé à rechercher des formations d’UX design mais je n’en trouvais pas qui correspondaient à mes besoins. Je voulais aller au-delà des cours en ligne gratuits. Je souhaitais arrêter de travailler en freelance et trouver un emploi à plein temps en tant qu’UX designer. J’avais besoin d’une formation qui me donnerait les bonnes compétences pour me préparer à ce travail.

 

Pourquoi as-tu choisi d’étudier avec OpenClassrooms ?

 

J’ai une licence en publicité. Elle m’a aidé à développer une réflexion critique et créative, mais n’abordait pas le monde numérique. Comme beaucoup d’autres personnes de ma génération, je suis autodidacte.

Au fil du temps, j’ai construit ma carrière dans le design numérique en « apprenant par la pratique » et le parcours d’UX Designer d’OpenClassrooms est construit sur le même principe. Pour moi, c’est la meilleure façon d’apprendre. C’est cela qui m’a convaincue.

Beaucoup d’autres éléments positifs ont également influencé ma décision, comme les sessions de mentorat avec un professionnel, la structure du parcours (10 gros projets répartis par thème) et bien sûr, le diplôme reconnu.

 

Qu’as-tu préféré chez OpenClassrooms ?

 

J’ai beaucoup apprécié le fait que les cours soient en ligne, car cela me permettait de gérer mon temps de manière autonome. La liberté était cruciale pour moi. En tant que freelance, j’avais besoin d’une grande flexibilité.

 

Quels sont les plus gros défis que tu as rencontrés et comment as-tu réussi à les surmonter ?

 

Les premiers projets étaient les plus gros défis. Tout était nouveau : j’ai rencontré ma mentor et j’ai commencé les cours. J’ai passé beaucoup de temps à préparer les fichiers à rendre, créer les diaporamas, m’entraîner pour les présentations, etc. J’étais nerveuse et je me sentais débordée.

Le projet 2 en particulier était très difficile. Je devais faire une recherche en ethnographie, interviewer des gens. Mais au bout d’un moment, il faut se lancer, non ? Il faut le faire, c’est tout. Ma mentor était très rassurante. Grâce à elle, j’ai rencontré le premier participant et j’ai pris confiance en moi car nous avions peaufiné ma trame d’interview, que j’ai suivie au plus près.

J’étais en train d’apprendre, et je savais que si quelque chose se passait mal, j’essaierais à nouveau et ni ma mentor ni personne d’autre ne me jugerait. Nous sommes là pour ça. Pour apprendre par la pratique.

 

Combien de temps après l’obtention de ton diplôme as-tu trouvé un travail ?

 

Très rapidement ! Je n’ai même pas encore obtenu mon diplôme (j’en suis au projet 9) mais j’ai déjà trouvé un travail. J’ai commencé il y a quelques semaines.

J’en étais au projet 8 quand j’ai reçu un e-mail d’un contact qui me demandait mon CV. Son entreprise recherchait un UX designer. En fait, à ce moment-là, j’avais déjà commencé à travailler sur le projet 10, qui consiste à créer un portfolio en ligne, un profil LinkedIn, etc. J’étais déjà à la recherche d’un emploi à plein temps à Bordeaux.

L’entreprise que pour laquelle je travaille a une mission très importante. Je suis heureuse de rejoindre une équipe qui rassemble des individus talentueux aux parcours divers. Je travaille avec un autre UX designer, ce qui me permet d’échanger et de partager des idées avec un expert.

Ma mentor a joué un rôle très important. Elle m’a fait prendre confiance en moi en tant qu’UX designer. Elle m’a beaucoup soutenue et m’a encouragée à contacter d’autres professionnels sur LinkedIn. Elle m’a fait des remarques utiles pour améliorer mon portfolio en ligne.

Même si j’ai trouvé un emploi rapidement, je voudrais ajouter que ce n’était pas facile. Avant cela, j’avais envoyé ma candidature pour d’autres emplois d’UX design, mais je n’avais pas reçu de réponse. Chercher un travail peut être difficile. On ne doit pas se laisser décourager. C’est plus facile à dire qu’à faire, mais il n’y a pas d’autre moyen.

 

Qu’est-ce que ta formation OpenClassrooms t’a appris sur toi-même ?

 

OpenClassroom demande beaucoup de travail, mais cela m’a appris que je pouvais le faire ! Ça paraît simple dit comme ça, mais avant de se lancer, ça n’est pas si évident.

 

En quoi ta formation OpenClassrooms a changé ta vie ?

 

Le travail en freelance, c’est super, mais ça peut également être très dur et demander beaucoup d’énergie. Je ne voulais plus travailler en freelance, du moins pas de la même manière. Je ne savais pas quoi faire.

J’avais toujours été intéressée par l’UX design. À un moment, je me suis rendu compte que je pouvais tirer avantage de la liberté que j’avais en tant que travailleuse indépendante pour investir un an de ma vie dans une chose à laquelle je croyais. Cela a été un énorme défi sous beaucoup d’aspects, mais ça valait le coup.

Je suis une gameuse et j’ai déjà travaillé dans le monde du jeu vidéo. Cette expérience d’utilisatrice peut être appliquée à de nombreux domaines, dont le jeu vidéo, la réalité virtuelle et la réalité augmentée. Je crois qu’il y a là un grand potentiel.

 

Rejoindre ce parcours OpenClassrooms est l’une des meilleures décisions de ma vie.

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Vous souhaitez en savoir plus sur nos parcours diplômants ? Visitez notre site pour découvrir notre programme d’UX design ainsi que nos nombreux autres parcours diplômants.

 

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Comment me valoriser dans le cadre d’une reconversion ?

Passer d’un métier à un autre, repartir de zéro, se former après plusieurs années : une reconversion professionnelle revient à monter dans un train lancé à pleine vitesse. Et parce qu’elle implique de grandes décisions, cette période soulève bon nombre de questions, que le recruteur lui aussi voudra poser !

Comment se valoriser face en entretien de recrutement ? Nous avons abordé le sujet avec Delphine Latour, coach en développement personnel et spécialiste du recrutement depuis plus de dix ans.

Elle nous a donné trois clés essentielles.

Clé n°1 : comprendre sa reconversion

« Dans une reconversion, il y a des hauts, des bas, on est dans une zone de turbulences. Pour ne pas se perdre en route, il est important de comprendre et se rappeler souvent pourquoi on en est là. »

La reconversion peut résulter d’une envie de changement, de réaliser un rêve, d’avoir une vie de famille, mais aussi d’une perte de sens, de valeurs, voire d’un burn-out.

« Il existe autant de reconversions que de raisons », nous indique Delphine, « on n’est plus dans les années 70, 80, 90, quand le travail était toute notre vie ». Entendez  par-là : aujourd’hui, on veut profiter. Une tendance de fond qui touche les nouvelles comme les anciennes générations, et chacun trouve ses raisons.

Pour pouvoir bien se vendre et se démarquer dans cette foule en quête de sens, il est essentiel d’identifier la raison derrière sa reconversion.

« Même si c’est un échec, il faut être sincère avec soi-même. »

Car selon Delphine : « la sincérité créée la transparence », deux valeurs essentielles pour les recruteurs, qui cherchent eux à bien comprendre la raison d’une reconversion. Être en phase avec la réalité, c’est avant tout donner de la force au projet, c’est une source de motivation.

« Cela permet de se caler sur les bons rails. »

Ceux qui permettent de se fixer un objectif et d’avancer pour accéder à l’étape suivante : se lancer.

Clé n°2 : raconter son parcours avec humilité

Les expériences passées, même anciennes, sont importantes : « il ne faut pas se sentir mal à l’aise ou pas à sa place », nous explique Delphine. « Il faut les mettre en relief, car il y a forcément des passerelles entre les expériences passées avec le poste visé ». Il est ici aussi question de transparence, mais attention toutefois à ne pas s’éterniser sur le sujet.

[ À lire : comment effectuer un bilan de compétences ? ]

Face à un recruteur, il faut être synthétique et habile : il faut savoir pitcher. Dites d’où vous venez, ce que vous avez fait avant, combien de temps et pourquoi vous avez décidé de changer. « Il faut vite être amené à parler des projets actuels, de la suite » nous affirme Delphine, « car tout miser sur son passé, c’est aussi révéler un certain manque de confiance ».

Prise en main, suivi des usages et dernières avancées… pour avoir grandi avec les nouvelles technologies, les jeunes générations vont avoir un avantage certain sur les anciennes dès que la reconversion concerne le digital. Le risque ici : vouloir se montrer en phase et afficher un décalage. C’est pourquoi il est important de savoir doser entre « ce que je sais » et « ce que j’ai à apprendre ». Une notion d’humilité capitale, car elle prouve à la fois votre capacité de remise en question et votre volonté d’apprendre. Un terrain neutre à offrir impérativement au recruteur, afin que celui-ci puisse se projeter. C’est également là que vous devez mettre en avant vos soft skills, qui sont aujourd’hui aussi importants que les compétences techniques.

Clé n°3 : adopter le bon état d’esprit

« Un projet de reconversion, il faut en être fier. »

Cette volonté d’avancer est un choix, une envie, c’est donc une preuve authentique de motivation.

« Vous n’êtes pas en face d’un recruteur parce que vous êtes une personne qui subit, vous êtes là parce que vous êtes une personne qui choisit ».

Adieu la passivité, on parle ici d’adopter une attitude et une routine proactive. Il faut se renseigner, comprendre, tester et recommencer.

La peur des recruteurs est le manque de stabilité. Il faut donc les rassurer là-dessus. Cela passe, comme nous venons de le dire, par la transparence, la sincérité, la proactivité, mais aussi la sagesse d’esprit. Montrez que vous êtes conscient des risques que vous prenez. Selon Delphine, « c’est une remise en cause qui montre une certaine force d’esprit ». Un point clé à ne surtout pas négliger en entretien.

« Et l’âge… est-il un facteur déterminant ?
Ce n’est pas un critère », nous répond-elle sans hésiter.

« On peut se reconvertir à tout âge, car l’important, c’est l’état d’esprit, l’envie d’avancer. »

Un état d’esprit dans lequel doivent se retrouver RH et candidats, même les plus seniors. « Chacun doit bien comprendre qu’on n’est plus dans la linéarité des carrières, pour les jeunes générations, mais aussi pour les personnes restées longtemps à un même poste ».

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Dans une période de reconversion, chacun sa propre histoire, ses forces, ses faiblesses, mais toutes disposent d’éléments favorables à leur réussite.

Pour les trouver, il faut réfléchir et agir avec transparence et la sincérité. Avec soi-même, mais aussi avec le recruteur. Il faut parfaitement cerner sa reconversion pour mieux expliquer son projet.

Le but étant de se démarquer des autres candidats, vous n’aurez pas d’autre choix que celui de l’authenticité.

Pour aller plus loin… 

Téléchargez notre guide sur la reconversion professionnelle.

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Entretien d’embauche : le dress code décrypté selon les secteurs

Par : Alice Gren

L’habit ne fait pas le moine au travail : info ou intox ? Au risque d’en voir certains d’entre-nous envoyés au bûcher direct : oui, il est important de choisir ses vêtements en fonction de son milieu professionnel.

Petite piqûre de rappel : lors d’un entretien d’embauche, les dix premières secondes compteront plus que toute l’entrevue, paraît-il.

Avant de faire flamber votre carte bleue pour trouver LA tenue adaptée, réfléchissons au dress code de votre secteur.

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Secteurs jeunes et décontractés :  dress code ou pas dress code ?

Steve Jobs ou Bill Gates nous l’ont bien fait comprendre : le duo jean/baskets convient également aux grands pontes.

Néanmoins, méfiez-vous des apparences : comme en témoigne cet article au sujet du dress code de la Silicon Valley, même les entreprises high tech accordent une importance à la manière dont on s’habille. Non, vous ne rêvez pas, derrière chaque « techie » décontracté se cache un uniforme bien pensé. Mieux encore, chaque tribu a son propre style vestimentaire…

Le dress code façon high tech (ou l’art d’avoir l’air aucun cool sans aucun effort)

Le look tech : développeurs, spécialistes en data

On les reconnaît généralement au trio jean, T-shirt accompagné de l’incontournable hoodie, parfois aux couleurs de leur entreprise. Sans oublier les traditionnelles baskets blanches, pour la jouer décontracté(e) jusqu’au bout.

S’ils s’en affranchissent, c’est pour enfiler des vêtements dans lesquels ils et elles se sentent simplement bien. Pulls oversize, pantalons carotte un peu larges, sandales ouvertes en été. À cela, certains ajoutent casquettes, bracelets, lunettes… À chacun son style, tout en décontraction.

Le look designer

Chez les designers, la plupart ajoutent une touche un peu plus mode, en toute discrétion. C’est une tenue neutre, comme un jean et un pull foncé, ou une chemise, avec une petite particularité : un foulard dans les cheveux, une ceinture colorée, des baskets ou des chaussures originales. Car quand on est artiste dans l’âme, souvent, cela s’exprime aussi dans l’habillement. Les recruteurs sont habitués à ce que les créatifs se permettent certaines fantaisies : n’hésitez donc pas à dévoiler un peu de votre personnalité en choisissant l’accessoire qui en dira un peu sur vous.

Dans les entreprises de la tech, les Gafas et start-ups font du « come as you are » leur marque de fabrique.

Le dress code sans dress code

Carla, responsable évènementielle chez Autentik-Events – une petite agence parisienne – témoigne de la flexibilité de son secteur professionnel :

Pour nous, il n’y a pas de « tenue correcte exigée », la tenue parfaite est d’être soi-même car c’est dans l’ADN de notre agence : l’authenticité avant tout. Pour résumer, on est dans l’esprit « venez comme vous êtes » !

Traduction : le « flexi dress code » peut aussi être un moyen de refléter l’ouverture d’esprit d’une société et sa capacité à s’adapter à tous les styles. Il est permis de s’habiller : 

– En robe, jupe sous le genou, chemise ou top coloré ou non, bottines, talons ou ballerines pour ces dames ;
– En chemise ou pull et pantalon avec des baskets ou des mocassins en cuir pour les hommes.

Toutefois, qui dit secteur jeune et dynamique ne dit pas forcément que le relâchement soit permis, ajoute Camille, assistante Directeur Artistique au sein de l’agence parisienne LES GROS MOTS :

Bien qu’il n’y ait aucun dress code dans mon agence de pub quel que soit le poste (créatifs, marketing et autres), il faut faire attention à ton look lorsque tu rencontres le client car tu représentes l’entreprise pour laquelle tu travailles.

De facto, on laisse exprimer son style tout en évitant les extravagances qu’on réserve aux sessions cafète entre collègues.

Le smart casual est indiqué – soit le style chic et décontracté – lors des rencontres plus solennelles ou lorsque l’on travaille pour une start-up et/ou une entreprise de la big tech (les géants du Web), fervents adeptes du casual chic.

Le casual chic à la sauce big companies & start-ups

Dans bien des entreprises, on préconise le « casual chic« , notamment chez l’Oréal. Cela signifie un style plutôt décontracté (on oublie le noir et blanc, le costume et les vêtements trop normés), tout en restant classe. Et justement, les apprêts sont très regardés dans ces entreprises : pas question de faire de faux pas dans votre style vestimentaire.

Pour trouver l’équilibre, partez sur une tenue discrète et élégante, et ajoutez-y un ou deux accessoires coordonnés, une petite touche de couleur (attention, pas plus de trois couleur dans une tenue, disent les couturiers), de quoi rendre votre tenue unique, sans pour autant devenir extravagante.

Smart casual chez les hommes :

– Pantalons en coton, lin ou jeans élégants et souvent slims ;
– Chemise en coton (repassée s’il-vous-plaît et rentrée dans le pantalon), avec ou sans motif géométrique qui apporte un style ;
– Baskets blanches (de type Stan Smith pour la touche cool) ou chaussures en cuir, parfois avec un motif discret et classe ;
– Certains portent une cravate mince, un nœud papillon (en bois ou en tissu), bracelets et bagues. Ou même un petit foulard en soie coloré pour apporter une touche design à l’ensemble. 

 Smart casual chez les femmes :

– Robe ou jupe en dessous du genou, souvent apprêtée ;
– Avec des collants foncés ou à motifs discrets (points, losanges, lignes) ;
– Ou pantalon carotte de couleur coordonnée, ou pantalon en coton ou lin ajusté ;
– T-shirt avec ou sans manches ;
– Pull en cachemire ou laine ou gilet, parfois oversize  ;
– Escarpins, bottines (dans la limite des 6 cm), baskets élégantes ou ballerines ;
– Headbands, barrettes bariolées, colliers oversize en accord avec leur tenue, lunettes arrondies coordonnées.

Le casual chic ++ en agence

Certains secteurs jugent sur le dress code. C’est notamment le cas des agences de communication et de publicité qui ont plutôt tendance à se placer dans la catégorie des afficionados de la mode.

Dans ces milieux, l’image est un élément clé comme nous l’affirme Claire Romanet, fondatrice du cabinet Elaee. Selon elle,

« L’apparence joue un rôle de premier plan » dans la com’. Le petit détail aura donc toute son importance. Exemple : la chaussure non cirée ou la chaussette de tennis est rédhibitoire selon Claire. Pour les femmes, il faut impérativement faire la différence entre élégant et clinquant : pas d’obligation de porter le tailleur dans l’esprit casual smart, mais sans pour autant passer au short, trop laisser-aller ».

A noter : si vous postulez pour un emploi de créatif en agence, veillez à ne pas tomber dans le piège « trop » smart : classe oui mais en évitant le costard qui renvoie un manque d’originalité. Idem pour le secteur de la mode : on évite le chic trop banal avec le petit détail qui marquera votre personnalité (sautoir, bracelet, matière inhabituelle…).

En somme, le costume-cravate de base s’adresse plutôt aux cadres sup’ plus classiques.

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Le « business attire » : pour qui, pourquoi et dans quel contexte ?

 

De quoi parle-t-on ? Généralement appliqué dans le monde des affaires ou dans le cadre d’événements professionnels, le business attire n’est autre que le costume traditionnel des quartiers d’affaires. Cabinets de conseil, finance, ingénierie sont les premiers secteurs concernés. Viennent s’ajouter d’autres environnements assez formels  (commerciaux, représentants, négociateurs…) en charge de représenter leur activité auprès du client.

Le dress code classique du cadre sup’ :

  • Costume et cravate sombres et repassés de près (on évite les motifs affriolants sur les cravates) ;
  • Chemise claire ;
  • Chaussettes noires ;
  • Chaussures en cuir à lacets sobres et foncés (on oublie les sneakers).

Le dress code classique de la cadre sup’ :

  • Tailleur-pantalon ou jupe sous le genou noirs, bleu marine, gris ;
  • Chemise ou haut clair en soie ou coton, repassé de près ;
  • Collants noirs ou à motifs discrets (points, losanges, lignes) ;
  • Chaussures fermées à talons de 7 cm maximum ou Richelieu élégantes.
  • Quid des autres couleurs appropriées ?

Si vous souhaitez exprimer (en toute discrétion) le côté original qui est en vous, vous pouvez éventuellement troquer le sempiternel costume ou tailleur contre une teinte gris ou bleu foncé. Le bleu clair pour la chemise est tout à fait toléré, à condition que la cravate soit plus foncée. Et surtout, surtout : pas plus de deux couleurs et/ou motifs qui traduisent la volonté d’attirer
l’attention, ou pire, de déstabiliser vos interlocuteurs.

Minute papillon, ne prenez pas votre air renfrogné. Si votre job vous le permet, il est tout à fait possible d’assagir votre style auprès du client, sans vous travestir pour autant. Claire, responsable RSE chez LSDH (grande entreprise du secteur agro-alimentaire) à Orléans nous le confirme :

Notre proximité avec le client nous oblige à garder un style « habillé » – client oblige – mais pas trop guindé car on veut montrer notre proximité avec le terrain. Un vrai casse-tête ! Chez moi, c’est pantalon foncé, top de type blouse fluide ou chemise et chaussures à petits talons (6 ou 7 cm maximum), du coup c’est très confort. J’ai aussi une veste tailleur grise que je réserve uniquement aux clients car je préfère un look plus décontracté en interne. Mais pour garder notre touche « perso » on se lâche bien plus volontiers sur les manteaux et les sacs, de couleur rouge, jaune vert ou rose.

Un entretien ? Voici comment choisir votre look.

Analysez ce que vous savez de l’entreprise.

Est-ce une entreprise jeune ? Une start-up ?  Un grand groupe ? Une banque ?
– Combien y a-t-il de collègues et quel est l’âge moyen ? 
– À quoi ressemble le site Internet ? Est-il design, dynamique ? Ou plutôt conservateur ? 

Si vous postulez dans un cabinet de conseil, en banque, dans les assurances, dans une entreprise bien installée, avec beaucoup de collaborateurs, ou dans une PME gérée par des personnes d’un certain âge, préférez un costume ou un tailleur classique, quitte à ajouter un accessoire qui égaie la tenue.

Si vous postulez en agence de communication ou de design, sur un poste qui nécessite de la représentation chez le client, ou dans une entreprise de taille moyenne ou un grand groupe qui affiche sa volonté d’être « casual chic », suivez le mode d’emploi ci-dessus pour s’habiller comme tel.

Si enfin vous êtes dans une profession où pouvez adopter un style plus décontracté, comme le développement informatique, le design, ou encore les emplois en start-ups, sortez les stan-smith et votre T-shirt préféré, cela ne devrait pas poser de problème.

Alors, le dress code est-il ou non un impératif au travail ?

Quelle que soit notre manière de nous habiller au bureau, elle reflète notre métier et position dans l’entreprise. Start-uppeur décontracté, businessman tiré à quatre épingles : chaque attirail traduit l’image que renvoie votre secteur professionnel.

Alors, on fait quoi ? On choisit avant tout le milieu qui nous correspond, et les us et coutumes dont il s’accompagne. 

Pour aller plus loin :

Les bons réflexes pour répondre à une fiche de poste

Les 10 erreurs fatales sur un CV

https://blog.openclassrooms.com/2019/10/15/comment-creer-un-portfolio-convaincant/

 

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La trajectoire de Nicolas, devenu Data Analyst sans le Bac

Par : Nora Leon


“Même si on n’a pas eu son Bac, même si on n’a pas fait d’études, on peut très bien s’épanouir dans une carrière.

 

 

Ce n’est pas parce que le format classique ne nous convient pas qu’on est forcément hermétique à l’envie d’apprendre, qu’on n’est pas curieux. Sachant qu’apprendre à apprendre, c’est la clé”.

Nicolas a 30 ans. Il est marseillais. Il est indépendant en Data Analysis, et a de grands projets pour sa carrière, notamment à San Francisco. Aujourd’hui, il est dans les meilleures conditions pour apprendre, évoluer, s’épanouir professionnellement.

Pourtant, il n’a pas fait d’études et ne croyait pas pouvoir en arriver là il y a 10 ans. Une histoire qui nous prouve qu’avec de la niaque, tout est possible.  

Découvrez aussi son histoire en vidéo, à la toute fin de cet article. 



Un diplôme en… Bidouille

 

Au collège, Nicolas n’aime pas les études. Il ne passe jamais le Bac.

J’ai eu une scolarité un peu chaotique. J’étais en échec, j’ai redoublé ma troisième, redoublé ma seconde et arrêté ensuite. Je cherchais à tout prix à bosser”.

Très tôt, il touche un peu à l’informatique. “Je n’ai pas vraiment choisi de bosser dans le web. À l’âge de 12, 13 ans, j’ai découvert Internet et convaincu ma mère de prendre une connexion. J’ai codé très tôt. Ensuite, j’ai eu une première mission dans le numérique. À l’époque, j’avais un boulot en tant que commercial. L’un des membres de l’équipe, qui savait que je voulais arrêter ce métier, m’a fait confiance pour réaliser son site web et ses cartes de visite. Ça a été mon premier pied dans le design et le code”.

À partir de là, Nicolas apprend sur le tas, sur OpenClassrooms, anciennement le Site du Zéro : “je connaissais le SdZ depuis le début. Je me formais sur des cours et j’ai énormément appris dessus”.

Puis, il apprend en faisant. Il fait un DAEU à la Fac en un an, réalise ses propres sites, se forme au SEO, publie de la pub sur Internet. Du bidouillage, il passe à des jobs en agences, où il monte en compétences. Autodidacte en data analyse, il travaille en ce moment pour un client qui lui paie sa formation OpenClassrooms en Data Analysis, pour qu’il monte en compétences rapidement.

 

La soif d’apprendre

 

“Je ne suis pas un privilégié. Je n’ai pas le bac, je n’ai pas fait d’études… Je pars vraiment de tout en bas.

En revanche, cela fait 10 ans que je travaille dans le web. J’ai été en agence à Marseille, à Paris, j’ai monté une boîte qui n’a pas marché, etc. J’ai vraiment fait plein de trucs pour en arriver où j’en suis”.

En 10 ans, Nicolas s’est construit un réseau et a assemblé des connaissances et compétences utiles sur le marché du travail. Chez OpenClassrooms, il assoit ses bases solides en data analyse, et il se prépare pour la formation Data Scientist, qui l’aidera à monter en technicité.

“Aujourd’hui, je travaille principalement avec de la donnée web en tant qu’expert Analytics. Demain, j’aimerais grâce aux connaissances plus globales en statistiques ou en modélisation, avoir des compétences rares qui me permettront de pouvoir bosser dans une ONG, et dans un secteur qui me botte : l’environnement, la recherche, la santé. Suite aux deuux parcours OpenClassrooms, je devrais être armé pour cela”.

En 10 ans, Nicolas a aussi changé de rapport à l’éducation. Le système scolaire classique ne lui convenait pas. Maintenant, il dévore les cours et projets en ligne. OpenClassrooms donne les clés de la réussite, en s’appuyant sur des compétences réelles. Si on suit un cours, qu’on va au bout des projets, on a de vraies compétences qu’on peut mettre en avant”. 

 

Un rêve grand comme l’Amérique

 


Suite à sa formation en analyse des datas, Nicolas s’autorise à rêver en grand. Le projet : rejoindre sa copine à San Francisco, continuer sur la formation Data Scientist, et conquérir la Silicon Valley, qui bouge énormément au niveau Tech.

À côté de ce rêve américain, Nicolas souhaite aussi à moyen terme s’engager pour le bien commun. Il nous a parlé avec passion d’associations qui réunissent des professionnels de la Tech. Le but : aider ponctuellement des ONG et des projets à but non lucratif et à fort impact.

J’aimerais aussi donner de mon temps pour aider des projets ou des ONG qui ne peuvent pas se payer un Data Analyst ou Data Scientist. Par exemple, dans la science, dans la santé, ou encore l’environnement”.

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Lorsqu’on demande à Nicolas ce qu’il pense des études aujourd’hui, il sourit à pleines dents.

Chacun peut apprendre, il suffit d’avoir envie. Il faut que ça fasse vibrer, que ce soit un plaisir de bosser les cours. Et c’est important de le faire avec de la rigueur, à fond et de viser l’excellence, quel que soit notre bagage avant. Vraiment rien ne résiste à l’envie”.

Alors, un conseil pour le Nicolas de tes 18 ans, si tu le croisais ? “Je lui dirais de ne pas complexer de ne pas avoir fait d’études, d’aller vers là où il a envie d’aller et vers ce en quoi il croit”.

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Pour aller plus loin, jetez un coup d’œil à notre parcours Data Analyst et Data Scientist.

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Comment reprendre confiance après avoir fait une erreur au travail

Faire une erreur au travail peut insinuer le doute en vous. Cependant, vous pouvez apprendre de vos erreurs et regagner confiance en vous en quelques étapes faciles.

Les voici :

Rappelez-vous que les erreurs ne sont que des étapes sur le chemin du progrès. Chaque erreur est une opportunité d’apprendre, d’élargir vos compétences et d’accroître votre confiance en vous.

 

Réfléchissez à votre erreur et assumez vos responsabilités

 

La première étape est d’accepter ce qui s’est produit et de réfléchir de manière honnête aux raisons de votre erreur et à ce que vous auriez pu faire différemment. Parlez-en avec un ami ou, si c’est approprié, avec un collègue, ou même avec votre supérieur. Pour vous aider à y voir plus clair, vous pouvez également mettre ces réflexions par écrit.

Ensuite, faites le nécessaire pour assumer la responsabilité de vos actions. Bien sûr, tout ceci dépend de ce qui s’est passé, mais vous pouvez par exemple présenter vos excuses ou refaire le travail. Si vous n’êtes pas certain de la meilleure façon de réagir, n’hésitez pas à demander conseil autour de vous.

Ces deux étapes vous permettront de tirer les leçons de votre expérience, de passer à autre chose et d’en ressortir grandi. Ce n’est pas toujours facile, mais c’est très important.

Inspirez-vous du célèbre inventeur américain Thomas Edison, qui disait : « Je n’ai pas échoué, j’ai juste trouvé 10 000 façons qui ne fonctionnent pas. »

 

Affirmez-vous

 

Pour reprendre le contrôle de vos sentiments et mettre fin au doute qui vous assaille, focalisez votre attention sur ce que vous avez réussi par le passé, qu’il s’agisse de grands ou de petits succès.

Fixez-vous également des objectifs atteignables à court terme pour vous constituer de nouvelles réussites. Cela boostera votre confiance en vous. Si vous vous fixez une série de petits objectifs après une erreur et que vous les atteignez, vous restaurerez la confiance que votre expérience négative avait ébranlée.

 

Sortez de votre zone de confort

 

Une fois que vous avez atteint une série de petits objectifs et que votre confiance en vous se répare peu à peu, osez sortir de votre zone de confort.

Pour cela, il vous faut identifier les limites de votre zone de confort et la façon dont celle-ci vous freine au quotidien.

Tâchez d’adopter une nouvelle approche dans votre travail grâce à ce que votre expérience vous a appris. Pensez à la manière dont vous envisagez certaines tâches et aux raisons qui vous font agir ainsi, puis posez-vous des questions. Qu’est-ce que vous vous empêchez de faire parce que vous avez peur que ça ne marche pas ou que vous vous sentez intimidé ?

La folie est souvent définie comme le fait de « recommencer la même chose, encore et encore, en espérant des résultats différents. » Déployez de nouvelles manières créatives d’aborder les problèmes et regardez votre confiance en vous décoller.

 

Modifiez votre langage corporel

 

Le langage corporel peut influencer la façon dont vous vous sentez mais également la façon dont les autres vous perçoivent. La psychologue sociale Amy Cuddy explique dans un TED talk très intéressant, basé sur ses recherches, la manière dont la position de notre corps affecte notre confiance en nous et peut-être même la chimie du corps.

En théorie, si vous vous tenez comme une personne qui a confiance en elle, vous commencerez à ressentir cette confiance. Pensez à votre posture : marchez en vous tenant droit et rappelez-vous de regarder les autres dans les yeux et de sourire.

 

Notre conclusion pleine de confiance

Tout le monde fait des erreurs et il arrive à tous de ne pas toujours atteindre son potentiel.

Faire une erreur au travail peut d’abord s’apparenter à une expérience insurmontable, mais avec le recul, cela vous paraîtra sans importance et vous en verrez même les conséquences positives.

Si, en réagissant de la bonne manière, vous réussissez à transformer une expérience négative en quelque chose de positif, vous en ressortirez grandi sur le plan personnel comme professionnel.

 

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