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Imprimantes HP – Un nouveau firmware qui fait grincer des dents

Par : Korben

Ah les imprimantes, ces petites boites en plastique bon marché, bien bruyantes, sans lesquelles on serait bien embêtés pour imprimer nos QR Codes pour les JO photos de vacances ou nos documents. Mais attention, si vous avez une imprimante HP, vous risquez d’être encore plus embêtés !

En effet, la célèbre marque a eu la bonne idée de balancer une mise à jour firmware qui bloque l’utilisation des cartouches d’encre non estampillées HP. Sympa non ? Du coup, si vous aviez l’habitude d’acheter des cartouches génériques pour faire des économies, c’est raté. Votre imprimante va gentiment vous envoyer bouler en vous disant d’aller acheter des cartouches HP, sinon rien.

Cette mise à jour firmware contient une fonctionnalité de sécurité qui empêche l’utilisation de cartouches d’encre non-HP, monopolisant ainsi le marché des cartouches de remplacement. Bien que les détails techniques ne soient pas précisés, il est probable que la mise à jour utilise un algo spécifique et des techniques de gestion des droits numériques (DRM) pour vérifier l’authenticité de la puce sur la cartouche et empêcher son utilisation si ce n’est pas une cartouche de marque HP.

Forcément, ça n’a pas plu à tout le monde cette histoire. Des petits malins ont décidé d’attaquer HP en justice, en mode « non mais oh, on n’est pas des pigeons non plus » (Vous la sentez la conviction que j’y mets ?). Ils accusent la marque de vouloir monopoliser le marché des cartouches d’encre en forçant les utilisateurs à acheter ses propres cartouches hors de prix. Les plaignants affirment que HP a cherché à tirer profit des coûts irrécupérables des clients en monopolisant le marché secondaire des cartouches d’encre de remplacement par le biais de la sécurité dynamique et d’autres tactiques.

Alors ils ont bien tenté de se défendre en disant « mais non, on ne bloque pas toutes les cartouches, regardez il y a des marques compatibles« . Sauf que les plaignants ne sont pas dupes. Ils ont bien compris que le but du jeu était de profiter du fait que les gens ont déjà investi dans une imprimante HP pour leur faire cracher un max de thunes en cartouches.

Mais le fabriquant ne compte pas se laisser faire. La marque affirme que les mises à jour de firmware qui bloquent certaines cartouches sont là pour « protéger l’innovation et la propriété intellectuelle« . Arf ! En gros, si vous voulez utiliser une imprimante HP, vous devez passer à la caisse pour acheter des cartouches HP, sinon c’est de la triche. HP soutient également que les plaignants ne peuvent pas réclamer de dommages et intérêts pour avoir été surfacturés en vertu des lois antitrust fédérales américaines, car les consommateurs qui achètent des produits auprès d’un intermédiaire ne peuvent poursuivre le fabricant que pour obtenir une injonction, et non pour récupérer des dommages et intérêts résultant d’une prétendue surfacturation.

Le problème, c’est que cette stratégie est un poil abusive. C’est un peu comme si on vous forçait à faire le plein de votre Renault uniquement dans les stations Renault (je sais, ça n’existe pas), en prétextant que les autres essences ne sont pas assez bien pour votre voiture. Pas cool.

D’ailleurs, le PDG de HP, Enrique Lores, a exprimé l’espoir d’attirer les clients vers un modèle d’abonnement à l’impression, où les clients sont facturés pour avoir suffisamment imprimé ou utilisé suffisamment de fournitures. Mais attention, certaines estimations suggèrent que les prix de l’encre pour imprimante peuvent être assez élevés, allant de 439 à 2 380 dollars le litre. Outch ! C’est encore plus cher que le parfum de luxe.

Alors certes, HP n’est pas le seul à jouer à ce petit jeu. Les fabricants d’imprimantes ont bien compris que c’est sur les cartouches d’encre qu’ils se font le plus de blé, mais bloquer carrément les cartouches concurrentes, c’est un cran au-dessus. Et ça risque de leur coûter cher en procès et en image de marque. D’ailleurs, on peut se demander si d’autres fabricants d’imprimantes ont mis en place des mises à jour similaires, et s’ils font également l’objet de poursuites judiciaires ? Ça pourrait avoir un impact sur les choix des utilisateurs.

En attendant, si vous avez une imprimante HP récalcitrante, vous pouvez toujours essayer de bidouiller le firmware pour contourner le problème. Mais à vos risques et périls, car la marque risque de ne pas apprécier que vous trichiez avec son système. Et puis bon, il faut quand même avouer que c’est un peu la galère de devoir se prendre la tête avec son imprimante juste pour pouvoir imprimer tranquille.

Bref, tout ça pour dire que cette histoire de firmware bloquant est un bel exemple de comment les fabricants essaient de nous la faire à l’envers pour gratter toujours plus de pognon. Mais les consommateurs ne sont pas prêts à se laisser faire, et HP risque de le découvrir à ses dépens. En attendant, si vous cherchez une imprimante, peut-être que vous devriez regarder du côté des marques qui ne vous obligent pas à vendre un rein pour acheter des cartouches. Juste une suggestion comme ça, en passant…

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Un client IRC fonctionnel intégré dans un BIOS

Par : Korben

La news de ce dimanche, c’est que Phillip Tennen, un de ces génies du clavier a réussi l’impensable : faire tourner un client IRC directement dans le BIOS de sa carte mère, sans même avoir besoin d’un système d’exploitation !

Alors, pour faire simple, le BIOS (ou l’UEFI maintenant), c’est comme le cerveau reptilien de votre ordinateur. C’est le premier truc qui se lance quand vous appuyez sur le bouton « ON », avant même que Windows, Linux ou MacOS ne pointe le bout de son nez. Normalement, ce bidule sert juste à vérifier que tout est en ordre et à passer la main au système d’exploitation. Mais voilà certains se lèvent un matin et décident que ce serait cool d’y coller un client IRC.

Alors concrètement, à quoi ça ressemble ? Eh bien ça a une vraie interface graphique, avec des polices TrueType et tout le toutim et notre bonhomme a même implémenté quelques commandes IRC de base, histoire de pouvoir tailler une bavette avec les copains sans même avoir à démarrer Windows. Pratique pour les soirées LAN où on a la flemme d’attendre que l’OS se lance ! (Quoi ça existe plus les soirées LAN ?? ouinnn)

Ça montre qu’avec un peu (beaucoup) d’huile de coude et une bonne dose de créativité, y’a pas de limites à ce qu’on peut faire avec nos bécanes même si dans 99% des cas, ça sert à rien, faut bien l’avouer.

Mais bon, je sais que parmi vous, y’a plein de bidouilleurs de génie qui rêvent déjà de faire tourner leur propre truc dans le BIOS, alors si vous voulez vous lancer, je vous conseille d’aller jeter un œil au code source et aux explications concernant ce fameux client IRC pour UEFI. C’est bourré de commentaires et d’explications, de quoi vous donner des idées pour vos propres projets délirants. Perso, si y’en a qui sont chaud, je vous commande un browser, une version offline de Korben.info et un client Twitter pour BIOS.

Bref, ça ne va pas révolutionner nos vies mais ça reste une sacrée prouesse technique !

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En route vers des modèles IA moins énergivores mais tout aussi efficaces

Par : Korben

Vous avez sûrement entendu parler de l’impact environnemental faramineux de l’intelligence artificielle, que ce soit pour demander à ChatGPT de nous donner un coup de main ou pondre une image de fou sous Midjourney, l’IA a un appétit gargantuesque en énergie. Il parait qu’une seule requête à ChatGPT consommerait autant d’électricité que 40 recharges de smartphone ! Un peu dingue.

Mais rassurez-vous, tout n’est pas perdu. Une équipe de chercheurs en informatique de l’Université de Copenhague a trouvé une solution pour mettre l’IA au régime, sans pour autant lui couper les vivres. Leur étude, qui sera présentée lors de la conférence internationale ICASSP-2024, montre qu’en gardant l’efficacité énergétique en tête dès la conception des modèles d’IA, on peut réduire leur empreinte carbone de 70 à 80% sans sacrifier leurs performances. C’est pas mal, hein ?

Les chercheurs ont pour cela, passé au crible plus de 400 000 modèles de réseaux de neurones convolutifs, ces IA qui servent à analyser des images médicales, à faire de la traduction ou encore à reconnaître des visages. En se basant sur ces calculs, ils ont alors concocté un genre de « livre de recettes » pour les pros de l’IA, avec des exemples de modèles moins énergivores mais tout aussi efficaces.

Alors oui, dans certains domaines comme les voitures autonomes ou la médecine, il ne faut pas rigoler avec la précision. Mais pour le reste, les chercheurs insistent : il faut adopter une approche globale qui prenne en compte non seulement les performances des modèles, mais aussi leur impact climatique.

Si le sujet vous intéresse, je vous invite à jeter un œil à l’article original ! Les chercheurs ont même mis à disposition ce fameux « livre de recettes » sur Github pour que les dev spécialisé en IA puissent s’en inspirer et réduire l’empreinte carbone de leurs modèles. C’est un vrai premier pas vers une IA plus durable et responsable, et ça c’est cool !

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Sprite Fusion – Un éditeur de niveaux 2D pour vos jeux, utilisable directement dans le navigateur

Par : Korben

Mes amis, laissez-moi aujourd’hui vous parler de Sprite Fusion, un outil gratuit de conception de niveaux 2D qui vous permet de créer de magnifiques cartes de tuiles (les fameuses « tiles ») directement dans votre navigateur.

Grâce à cet éditeur vous allez pouvoir concevoir rapidement des niveaux pour vos propres jeux.

Pour commencer, il est très facile de charger vos ensembles de tuiles avec un simple glisser-déposer ou un copier-coller. Ensuite, avec l’éditeur de cartes de tuiles, vous pouvez créer vos niveaux en utilisant des sélections de tuiles uniques ou multiples.

Alors, qu’est-ce qu’une carte de tuiles, exactement ?

Et bien c’est une carte 2D composée de petites images répétées pour créer une carte. Les cartes de tuiles sont utilisées dans de nombreux types de jeux, comme des jeux de plateforme ou encore des RPG.

Avec Sprite Fusion, il est possible d’exporter directement votre carte en tant que Tilemap Unity native ou en tant que scène TileMap Godot. De plus, Sprite Fusion inclut un système automatique de tuiles facile à utiliser dès le départ pour une conception rapide du terrain. Vous n’avez pas besoin de code personnalisé, il vous suffit d’exporter votre carte de tuiles en tant que package Unity ou scène Godot et de la faire glisser et déposer dans votre moteur !

Pour ceux qui souhaitent partager leurs projets avec d’autres, Sprite Fusion permet également d’exporter vos projets au format JSON compact, facilitant ainsi le partage. Avec des exemples tels que Hazmat Pixel Art – Niveau 1, Mining Odyssey, Spritesheet Dashers et Tiled Map Retro Simulator, vous pouvez voir l’étendue des possibilités offertes par cet outil.

L’utilisation de cet éditeur est totalement gratuite et ne nécessite aucune création de compte. Il fonctionne avec les principaux navigateurs et vous pouvez l’utiliser sans aucune limitation pour un usage personnel ou commercial. Et si vous avez des questions, n’hésitez pas à les poser sur leur serveur Discord.

Spite Fusion prend également en charge les collisions, vous permettant de définir n’importe quelle couche en tant que collisionneur pour utiliser les collisions dans votre jeu. De plus, il propose une fonctionnalité d’auto-tiling, qui vous permet de placer automatiquement des tuiles en fonction de leurs voisines, facilitant ainsi la conception rapide de cartes de terrain.

A vous de tester maintenant !

Merci à Lorenper

Le support des cartes AMD débarque sur Ollama

Par : Korben

Bonne nouvelle, Ollama vient tout juste d’annoncer un truc qui devrait vous faire plaisir : le support des cartes graphiques AMD en preview ! Cela signifie que toutes les fonctionnalités d’Ollama peuvent maintenant être accélérées par les cartes graphiques AMD, que ce soit sur Linux ou Windows.

Mais au fait, c’est quoi Ollama ? Pour les deux du fond qui suivent pas, je vous refais un topo vite fait. Ollama, c’est un outil hyper pratique qui permet de faire tourner des grands modèles de langage open-source directement sur votre machine locale. Genre Mistral, Llama 2 et toute la clique.

Alors, quelles sont les cartes AMD compatibles ?

Pas de panique, je vous ai préparé une petite liste bien détaillée. Dans la famille des Radeon RX, on retrouve les monstres comme les 7900 XTX, 7900 XT, 7800 XT, 6900 XT et compagnie. Pour les pros, la gamme Radeon PRO est aussi de la partie avec les W7900, W6800X Duo, Vega II… Bref, y a du beau monde au rendez-vous. Et si vous êtes un fan des cartes Instinct, pas de jaloux, les MI300X, MI250, MI100 et autres sont aussi supportées.

Ollama promet également que d’autres modèles de cartes graphiques suivront. Alors on croise les doigts et on surveille les annonces comme le lait sur le feu. En attendant, si vous voulez vous lancer dans l’aventure Ollama avec votre carte AMD, c’est simple comme bonjour.

Téléchargez Ollama pour Linux ou Windows, installez le bouzin et hop, vous voilà parés pour faire chauffer votre GPU AMD ! C’est pas beau la vie ? Je vous ai même fait un tutoriel ici !

Allez, je vous laisse, j’ai un rendez-vous urgent avec mon Llama2 uncensored qui me fait de l’œil.

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Inkulinati : chien et lapin compris

Par : Remouk

— Article rédigé par l’ami Remouk (DansTonChat) – Merci à lui —
— Contient des liens affiliés Amazon —

Prendre une feuille de papier dans son classeur d’école, et dessiner des petits bonshommes armés, des monstres, les faire se battre les uns les autres, les découper au ciseau, ajouter des catapultes, des échelles, les rayer, gommer des éléments, recommencer… Vous faisiez ça aussi, vous, quand vous étiez petits ? Inkulinati reprend ce concept mais le transpose dans une époque médiévale et fantastique. 🪄

Remplacez votre feuille d’écolier par un parchemin, votre criterium par une plume et de l’encre, ajoutez un peu de magie pour que les personnages prennent vie et bougent réellement sur le papier, et voilà : vous pouvez imaginer exactement à quoi ressemble ce jeu de stratégie / tactique en tour par tour !

Pour expliquer le gameplay de manière très simple, mais un peu foireuse, imaginez un Worms en tour par tour. Donc en gros c’est un RPG tactique où on donne des ordres un par un : déplacement, attaque, utiliser un pouvoir, passer son tour… Sauf que comme dans Worms, c’est en vue de côté, avec des armes à distance et beaucoup d’humour.

Déjà, nos unités (épéistes, chevaliers, lanciers (?!) et autres… Y a genre 50 unités différentes) sont des animaux rigolos. Et puis ils n’hésitent pas à montrer leurs fesses, par exemple, pour étourdir l’ennemi. Normal. Les petits dialogues et textes, disséminés un peu partout, prêtent toujours à sourire, c’est léger, c’est marrant, c’est cool ! Il faut ramasser de l’encre sur le terrain (ou en voler) pour pouvoir dessiner de nouvelles créatures. Malin.

Les combats, assez tactiques, intéressants, et parfois ardus, demandent réflexion, puis sont enrobés d’une ganache roguelite. C’est à dire que les évènements sont déterminés de manière procédurales, on choisit un peu notre chemin pour viser la facilité ou bien des récompenses à débloquer (monstres, pouvoirs, trésors…) qui nous serviront pour la suite… Afin de mieux recommencer et faire une meilleure run !

Il y a aussi un mode Joueur contre Joueur, mais je n’ai pas eu l’occasion de le tester. Sur le papier, ça ne peut qu’être cool, car les combats contre le CPU sont cools. 😀 Franchement c’est un bon petit jeu de stratégie, rigolo mais proposant un gameplay solide, si vous appréciez le genre vous pouvez foncer !

Acheter Inkulinati sur Nintendo Switch – PC (Steam, Gog, Epic) – XboxPlayStation

Hack – La police conçue pour le code source

Par : Korben

Y’a pas si longtemps, je vous ai présenté la police de caractères Luciole qui permet de donner beaucoup de lisibilités aux personnes mal voyantes.

Et bien dans le même esprit, je vous fais découvrir aujourd’hui Hack. Cette police de caractère libre au nom dénué d’originalité a été conçue pour soulager les petits neuneuils des développeurs qui aiment coder jusqu’au bout de la nuit. Hack intègre des versions gras, italique, regular…etc. avec un support de toutes les langues et tous les glyphes possibles y compris le cyrillique, le grec…etc.

Son design améliore la lisibilité du code, avec du contraste, une bonne hauteur des lettres, un zéro rempli pour ne pas le confondre avec le 0 majuscule, un bon espacement…etc. Tout est dans la subtilité, ça se touche beaucoup la nouille typographique, mais vous devriez quand même l’essayer, car ça ne peut être que plus confortable que ce bon vieil Arial que vous collez partout.

Vous pouvez la télécharger ici et même la tester dans le playground ici selon votre langage de dev préféré et le style de votre IDE (mode sombre, clair…etc.)

Du transferts de fichiers simplifiés avec Aim !

Par : Korben

Aim est un outil en ligne de commande qui vous permet de télécharger et d’uploader des fichiers tout en prenant en charge la reprise en cas de déconnexion ou d’échec du transfert.

Pour l’installer, ouvrez un terminal et entrez la commande suivante :

cargo install aim

Des binaires pour Linux et macOS sont également disponibles ici. Sinon, y’a toujours Docker pour ceux qui aiment mettre le moindre truc en conteneur. Il peut également se mettre à jour lui-même grâce à cette commande :

aim --update

L’outil est capable de télécharger n’importe quoi du moment que c’est diffusé en http, sftp, ftp, ssh et S3. Pour le lancer, il suffit simplement de lui donner l’url du fichier à récupérer :

aim https://domain.com/fichier.zip

Et pour uploader vers un endpoint c’est :

aim fichier.zip https://domain.com/destination

Aim prend en charge plusieurs formats de sortie et vous permet de configurer des indicateurs personnalisés pour les barres de progression. Vous pouvez partager facilement des fichiers entre différentes machines et les télécharger à l’aide d’un simple navigateur.

Vous pouvez par exemple partager un répertoire courant comme ceci :

aim .

Et à partir d’une seconde machine, accéder à ce partage :

aim http://ADRESSEIP:8080

Ou directement à un fichier précis :

aim http://ADRESSEIP:8080/fichier.zip

L’une des particularités d’Aim est sa capacité à utiliser différentes méthodes d’authentification, telles que les URL basiques, les fichiers .netrc, les clés SSH et les dossiers AWS. Cela rend l’accès aux fichiers plus sécurisé et fiable, en évitant les problèmes d’authentification courants.

Aim propose également un mode interactif avec l’option -i pour naviguer dans les fichiers dispo au bout d’une URL.

Voilà pour la petite présentation d’Aim. De quoi automatiser vos scripts de téléchargement ou d’upload très simplement.

Luciole, la police de caractères qui va faire plaisir aux malvoyants

Par : Korben

Je cherchais une police de caractère pour la prochaine version de mon site et je viens de tomber sur Luciole.

Développée grâce à une collaboration entre des chercheurs en accessibilité numérique et des designers, cette police tient compte d’une douzaine de critères spécifiques afin de répondre aux besoins des personnes malvoyantes.

Ainsi, chaque lettre de Luciole est pensée avec une structure claire qui optimise l’encombrement visuel. Même les mots les plus complexes apparaissent lisibles et aérés grâce aux espacements minutieusement étudiés entre les lettres et les lignes. La ponctuation, les chiffres et les signes grecs ou mathématiques ont également été dessinés avec soin pour faciliter leur lecture. Au total, ce sont plus de 700 signes avec leurs variantes, ce qui permet d’écrire dans quasiment toutes les langues européennes.

Mais ce qui rend vraiment cette police unique, c’est qu’elle ne se contente pas de répondre aux besoins des malvoyants. Elle est également adaptée pour quiconque cherche une expérience de lecture améliorée.

Moins de fatigue visuelle après de longues sessions de travail sur écran, ça ne se refuse pas.

Si vous souhaitez essayer Luciole, c’est très facile. Il suffit d’aller sur le site officiel de Luciole et de récupérer le zip contenant les .ttf et .otf à installer sur votre système. Évidemment, tout est sous licence Create Commons Attribution, donc vous pourrez l’utiliser et la diffuser gratuitement, y compris pour des usages commerciaux.

Comment détecter les clé USB / Cartes SD frauduleuses avec ValiDrive ?

Par : Korben

Vous avez acheté une clé USB ou une carte SD de plusieurs téraoctets sur AliExpress ou Amazon et vous commencez à douter de la capacité de stockage de votre nouveau joujou. En effet, une arnaque courante chez certains constructeurs bas de gamme, consiste à vendre pas cher des clés USB de 1 ou 2 To totalement frauduleuses. C’est-à-dire que votre système la verra bien, par exemple, comme une clé de 2 To, sauf qu’à l’intérieur il n’y aura que quelques Go de stockage.

C’est un gros souci, car si vous dépassez la capacité de cette clé en la blindant de fichiers, sans vous en apercevoir, les données ne seront pas écrites du tout et c’est au moment où vous aurez besoin de votre backup ou de vos fichiers que vous vous apercevrez de la supercherie.

Mais alors, comment faire pour vérifier la capacité réelle d’un disque avant d’y stocker toutes vos précieuses données ?

C’est là qu’intervient ValiDrive. Ce petit logiciel pour Windows, développé par Gibson Research Corporation, va effectuer des vérifications aléatoires sur toute la capacité de stockage d’un disque USB pour s’assurer du stockage et de la récupération des données.

Une fois l’analyse terminée, ValiDrive affichera alors les statistiques de temps d’accès du disque ainsi que la valeur réelle du stockage disponible. En gros, en vert, c’est du stockage valide (ici 62 GB) et en rouge l’espace non valide.

Bref, ne vous laissez pas berner par des offres trop alléchantes et des capacités de stockage trop belles pour être vraies et en cas de doute, un petit coup de ValiDrive. Comme ça, si vous avez acheté de la merde, retour à l’envoyeur !

Karektar – Pour créer facilement votre propre police de qualité

Par : Korben

Sérif or not sérif, là est la question. En général, les typographes sont des gens qui ont de grosses lunettes et qui ont très très mal à la tête, car ils réfléchissent fort fort fort, toute la journée, à l’empattement du prochain « A » minuscule qu’ils vont inventer. Et bien sûr, comme ils souffrent d’être incompris, ils aiment se soulager en méprisant sur les réseaux sociaux, les gens qui utilisent encore du Comic Sans MS en 2023. Non, mais rendez-vous compte !!! Quels connares !!!

Maintenant, parlons peu, mais parlons bien. Si vous aussi, vous voulez rejoindre le club très fermé des typographes, voici LE site dont vous avez besoin. Il s’agit de Karektar qui vous permet de dessiner pixel par pixel, la future police de vos rêves, que Microsoft ne rachètera probablement pas et que vous serez obligé de vendre en ligne sous des licences cheloues d’utilisation. Mais peu importe, car toutes les polices ont le droit d’exister.

J’ai donc pris ma plus belle écriture virtuelle pour vous proposer Tagada, ma police patte de mouche que les médecins vont bientôt tous utiliser pour faire leurs ordonnances numériques. C’est sûr.

Et voilà le rendu final ! Pas de quoi rougir tellement c’est beau.

Et vive le Comic Sans MS, quoi qu’en disent les z’élites.

Des animations JS pour mettre en valeur les diaporamas de votre site.

Par : Korben

OK, les photographes et autres dessinateurs ! Si vous voulez exposer vos oeuvres sur votre site web préféré, alias le vôtre, j’ai ce qu’il vous faut !

Il s’agit d’un dépôt Github qui regroupe toute une collection de slideshows en HTML que vous pourrez adapter ensuite à votre propre site et avec vos propres images.

Chaque type de diaporama propose ainsi une animation différente, ce qui vous permettra de mettre en valeur vos images avec un peu de HTML et de JS.

Voici quelques exemples en vidéo :

Je n’ai pas grand-chose à dire de plus là-dessus, c’est simple, efficace et gratuit !

Donc à vous de tester maintenant en cliquant ici !

Découvrez GPU Ram Drive – Du stockage de fichiers super rapide grâce à votre carte graphique

Par : Korben

Salut tout le monde !

Aujourd’hui, j’aimerais partager avec vous une astuce incroyable pour booster les performances de votre ordinateur. Car oui, vous le savez, on peut utiliser la RAM de son PC comme espace de stockage (ramdisk). Mais on peut aller encore plus loin en utilisant la mémoire de notre carte graphique. C’est là où GpuRamDrive entre en scène !

Il s’agit d’un logiciel open source qui nous permet d’utiliser la mémoire libre de notre carte graphique comme une extension de la RAM de votre ordinateur pour en faire un disque de stockage virtuel. Niveau perf, c’est comme passer d’un vélo à une moto. Je me devais donc de partager cette trouvaille avec vous.

Mais avant d’aller plus loin, laissez-moi vous donner un peu de contexte sur cette technologie. Savez-vous ce que signifie le terme GPU ? Il s’agit de l’unité de traitement graphique, Graphics Processing Unit en anglais. Les GPUs sont des processeurs puissants qui sont spécialement conçus pour accélérer les graphiques et les calculs complexes. Ils sont généralement plus rapides que les processeurs traditionnels et disposent de leur propre mémoire, appelée mémoire vidéo (VRAM).

Par conséquent, l’idée de GpuRamDrive est simplement de tirer profit de cette puissance en réquisitionnant une partie de la mémoire vidéo pour en faire un espace de stockage.

Alors, comment fait-on ?

Pour commencer, je vous recommande de vérifier combien de mémoire VRAM votre carte graphique possède. Vous pouvez faire cela en ouvrant le Gestionnaire des tâches de Windows (Ctrl + Shift + Esc), puis en cliquant sur l’onglet « Performances », et en choisissant « GPU ». Notez votre valeur de « Mémoire dédiée » – c’est la VRAM disponible.

Maintenant que l’on sait combien de mémoire nous avons à disposition, il est temps d’installer GpuRamDrive.

Téléchargez le fichier zip de GpuRamDrive à partir de GitHub, puis créez et formatez un disque RAM, en spécifiant la quantité de mémoire à utiliser, ainsi que le système de fichiers et le nom du volume.

Et voilà, vous avez maintenant un disque RAM basé sur la mémoire de votre GPU ! Vous pouvez l’utiliser comme n’importe quel autre disque. Vous pouvez y déplacer les fichiers et les applications que vous utilisez fréquemment pour profiter de vitesses de lecture et d’écriture améliorées, et ainsi redonner du mordant à votre machine.

Cependant, il est important de noter que la mémoire RAM est volatile, ce qui signifie que les données seront perdues en cas de coupure d’alimentation ou de redémarrage de l’ordinateur. Donc, veillez à sauvegarder régulièrement vos données importantes sur un autre disque.

En somme, GpuRamDrive est un excellent moyen d’exploiter la mémoire vidéo disponible de votre carte graphique pour booster les performances de votre ordinateur. C’est un outil puissant qui peut vous aider à tirer le meilleur parti de votre matériel et vous pouvez en savoir plus en cliquant ici !

Créez vos cartes D&D avec l’outil gratuit Dungeon Scrawl

Par : Korben

Dungeon Scrawl est un outil en ligne gratuit qui va faire plaisir à tous les amateurs de D&D (Donjons et Dragons) qui souhaitent créer des cartes de bataille D&D hyper facilement. Mais vous pouvez aussi l’utiliser pour d’autres jeux, ou d’autres choses comme vos sessions de brainstorming ou vos plans pour le jardin.

Avec Dungeon Scrawl, vous pouvez créer une carte unique en seulement 60 secondes, idéal pour les créations de dernière minute avant de vous lancer dans une nouvelle partie. Les cartes isométriques de D&D permettent ainsi de transmettre une certaine profondeur dans vos lieux de jeu qui sont plus difficiles à exprimer avec une simple carte vue de dessus.

L’outil offre ainsi la possibilité de créer des cartes sans limites, de sauvegarder et de charger des fichiers .ds, d’exporter vos cartes enPNG, d’importer des cartes générées, de dessiner sur des grilles carrées et hexagonales, d’utiliser des bibliothèques d’images et d’importer des images personnelles, mais également de personnaliser les styles, d’ajouter du texte et de créer des cartes isométriques.

Pour vous donner une idée de la marche à suivre pour réaliser vos propres cartes, voici quelques étapes pour commencer facilement avec Dungeon Scrawl :

  1. Allez sur le site Dungeon Scrawl.
  2. Sélectionnez la taille de votre grille et le type de cases (carrées ou hexagonales).
  3. Utilisez les outils pour dessiner des murs, ajouter des pièces, des portes, des meubles et d’autres objets.
  4. Personnalisez les styles, les couleurs et les largeurs de ligne pour obtenir l’apparence que vous désirez.
  5. Sauvegardez la carte au format .ds et, si vous le souhaitez, exportez-la en tant qu’image .png ou en PDF.

Si vous êtes prêt à passer à la vitesse supérieure, il existe également Dungeon Scrawl Pro pour 7 € par mois. Il propose des fonctionnalités supplémentaires telles que le mode sombre, l’exportation en PDF, l’ajout de textures, l’éclairage (en accès anticipé), l’exportation de grandes cartes, l’exportation à des résolutions plus élevées, l’utilisation commerciale et la possibilité d’importer un fichier de sauvegarde dans un autre.

Cet outil risque d’éveiller en vous une véritable passion pour la création de cartes D&D et j’espère qu’il vous plaira autant qu’à moi.

À découvrir ici

Prise de notes et dessins sur une toile infinie avec Lorien

Par : Korben

Imaginez-vous disposant d’une toile sans fin sur laquelle dessiner tout ce qui vous passe par la tête. Avoir un espace infini pour s’exprimer, esquisser des idées et peindre des paysages idylliques sans se soucier de manquer de place est un rêve pour tous les créatifs. Et ce rêve est maintenant devenu réalité grâce à Lorien, une application de prise de notes et de dessins sur une toile infinie!

Lorien est née de la volonté de créer un outil polyvalent pour la prise de notes, les croquis et les brainstormings. N’imaginez pas un logiciel aussi sophistiqué que Krita, Gimp ou Photoshop. Mais au lieu de travailler sur des images classiques, Lorien enregistre vos coups de pinceau en vectoriel. Cette application est entièrement développée avec le moteur de jeu Godot et prend très peu de place sur votre disque dur.

En plus de cette toile infinie, Lorien offre un zoom presque infini ainsi qu’une grille pour dessiner avec précision. D’autres fonctionnalités viennent également enrichir l’expérience utilisateur, notamment la compatibilité avec les tablettes graphiques (comme les Wacom), la sensibilité à la pression, ou encore l’export en SVG. On a même droit à des raccourcis clavier personnalisables, des palettes de couleurs intégrées et personnalisables, et un mode sans distraction pour ceux qui veulent laisser libre cours à leur créativité.

Lorien est disponible en plusieurs langues : anglais, allemand, italien, coréen, russe, espagnol, turc, portugais brésilien, chinois… Il y en a pour tous les goûts et toutes les cultures.

Et vous savez quoi ? Vous pouvez télécharger la dernière version stable directement sur Github.

Bonne création infinie à tous !!

À découvrir ici

Ship of Harkinian – Le portage amélioré d’Ocarina of Time

Par : Korben

Et si on parlait un peu du jeu Ship of Harkinian, un projet de portage non officiel sur PC du célèbre jeu The Legend of Zelda : Ocarina of Time sorti sur Nintendo 64. Évidemment, pas mal de choses ont été corrigées et améliorées, mais rassurez-vous, il est possible dans les options, de désactiver tous les tweaks pour permettre aux joueurs de profiter de l’expérience originale de 1998 s’ils le souhaitent.

Ce qui est cool, c’est que vous pouvez tout régler. Chaque paramètre du jeu est modifiable et vous pouvez même rajouter des frames par seconde ou avoir des textures haute définition pour le rendre plus fluide et joli. Pour ceux qui ont la flemme, il y a également un menu de triche pour avoir des armes, de la santé…etc. en illimité.

Et vous pouvez même avoir le jeu en français !! Trop cool non ?

Si vous êtes intéressé par ce projet, suivez les instructions pour télécharger et mettre à jour le jeu via Discord. Il faudra également posséder la ROM (cherchez ça sur Google : cee6bc3c2a634b41728f2af8da54d9bf8cc14099 )

Différentes ROMs sont compatibles offrant des expériences de jeu différentes, comme la version Master Quest. Je vous invite à lire le Readme.txt livré avec le portage si vous voulez en savoir plus à ce sujet.

Le projet « Ship of Harkinian » est réalisé par des bénévoles passionnés par le jeu et il avance à son rythme. Il est d’ailleurs dispo sous Linux, macOS, Windows, WiiU et Switch.

Il est important de noter que certaines fonctionnalités, comme les sauvegardes en continu sont expérimentales et peuvent causer des problèmes, alors, soyez prudent en les utilisant.

Bref, si vous êtes un fan de la série Zelda et que vous souhaitez redécouvrir Ocarina of Time avec des améliorations et des fonctionnalités supplémentaires, n’hésitez pas à essayer le projet Ship of Harkinian !

Source

Comment j’ai généré mes premières cartes Pokemon avec l’IA

Par : Korben

On peut en faire des choses sympas avec l’IA ! Notamment avec GPT-3.5 et surtout Midjourney qui est capable de faire de jolies images dans le style de votre choix. Et si je vous disais q’un furieux prénommé Jack a mis au point tout un script en Python qui permet de générer des cartes Pokemon qui n’existent pas en vrai, mais qui sont tout aussi réalistes. Et surtout des pokemons avec leurs évolutions qui sont cohérentes entre elles.

Carte pokemon générée par IA

Le projet est libre et dispo sur Github et voici comment faire ça chez vous, à la maison.

Étape 1: Installation de Python 3.10 (ou supérieur)

Assurez-vous que Python 3.10 (ou une version plus récente) est bien installé sur votre ordinateur ^^. Vous pouvez vérifier si Python est déjà installé en tapant la commande suivante dans votre terminal:

python --version

Si vous ne disposez pas de Python, vous pouvez le télécharger depuis le site officiel de Python.

Étape 2: Installation des dépendances

Téléchargez le script Python du générateur de cartes Pokemon AI à partir de GitHub comme ceci :

git clone https://github.com/pixegami/pokemon-card-generator.git

Et placez-vous dans le dossier :

cd pokemon-card-generator

Puis installez les dépendances en tapant la commande suivante dans votre terminal :

pip install -r requirements.txt

Étape 3: Configuration de l’environnement

Ajoutez le chemin d’accès de votre dossier source au PYTHONPATH en tapant la commande suivante dans votre terminal bash :

export PYTHONPATH=$PYTHONPATH:src

Étape 4: Configuration d’OpenAI et de Midjourney

Si vous souhaitez utiliser OpenAI (GPT-3.5) pour générer des noms et des descriptions, vous devez créer un compte OpenAI et récupérer votre clé API.

Ensuite, vous pouvez ajouter votre clé API dans un fichier .env dans le dossier racine du projet.

nano .env

Et collez ceci dedans :

OPENAI_API_KEY="sk-xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx"

Pour utiliser Midjourney pour générer des images de cartes, vous devez également créer un compte et rejoindre leur Discord.

Étape 5: Générer des cartes Pokemon

Ensuite, pour générer des cartes Pokemon, ouvrez votre terminal et tapez la commande suivante:

python src/generate.py
Image de l'IA utilisée pour générer les cartes pokemon

Cela va générer un ou plusieurs fichiers JSON contenant une série de cartes (entre 1 et 3 cartes) pour chaque élément (feu, eau…etc). La rareté, le type de créature et le nombre d’évolutions des cartes seront aléatoires.

Si vous voulez générer des cartes pour un élément spécifique, vous pouvez utiliser l’option -e (par exemple, pour générer des cartes pour l’élément feu):

python src/generate.py -n 10

Vous pouvez également préciser un type de Pokemon spécifique à générer en utilisant l’option –subject (par exemple, pour générer des cartes de Pokemon Citrouilles, pumpkin en anglais) :

python src/generate.py -e grass --subject pumpkin
Exemple de carte pokemon générée par IA

Étape 6: Générer des images de cartes avec Midjourney

Dans le fichier JSON, vous trouverez un prompt pour générer l’image qui va bien dans Midjourney ainsi que le nom du fichier. Donc copiez le prompt d’image de chaque carte dans le bot Midjourney (à voir si ça peut aussi s’automatiser). Vous obtiendrez alors 4 images différentes. Choisissez celle qui vous plait le plus et faites en un agrandissement.

Programme informatique utilisé pour générer les cartes pokemon

Ensuite, téléchargez l’image et sauvegardez-la dans le dossier « images » du dossier « output ». N’oubliez pas de renommer l’image pour qu’elle corresponde à l’image file dans le fichier JSON (par exemple, 001_chippo.png).

Notez que si vous n’avez pas Midjourney, vous pouvez également utiliser Stable Diffusion. Avec un peu d’entraînement, vous arriverez à des résultats du même niveau, comme ce qu’arrive à faire NickOlas.

La preuve :

Illustration de l'article 'Comment j'ai généré mes premières cartes Pokemon avec l'IA'

Étape 7: Générer le rendu final des cartes

À présent, vous pouvez utiliser le script « render_cards.py » pour générer un rendu PNG des cartes.

Toutes les cartes qui pour lesquelles vous avez généré une image avec Midjourney seront correctement finalisées. Pour exécuter le script, tapez la commande suivante dans votre terminal:

python src/render_cards.py

Les cartes finales seront alors sauvegardées dans le dossier « renders ».

Et voilà ! Vous avez maintenant généré des cartes Pokemon aléatoires à l’aide d’IA en utilisant Python !

Logo de Pokemon utilisé dans l'article

Ce qui pourrait être sympa évidemment, ce serait de franciser tout ça pour avoir des cartes Pokemon en français.

Pokémon Écarlate et Violet en 5 étapes

Par : Remouk

— Article rédigé par l’ami Remouk (DansTonChat) – Merci à lui —

Aaah Pokémon, ça fait 27 ans que ça existe, on commence à connaître ! Chaque génération propose son lot de différence et les deux Pokémon Écarlate & Violet, sortis au mois de novembre dernier, ne font pas exception à la règle. Mais aujourd’hui, en lieu et place d’un test classique, j’avais envie d’accentuer les points forts de ces nouveaux jeux, en faisant une liste de ce que j’ai trouvé cool. 🙂 Bien sûr, je vous parlerais quand même de ce qui m’a déçu, et à la toute fin je vous donnerai mon avis de gamer chevronné !

1) Un monde tout vert

Ok, on commence par la promesse initiale : le monde ouvert. Ce nouveau Pokémon suit les traces de pattes de Légendes Pokémon Arceus et propose des environnements ouverts, à explorer à notre guise. Dès le départ (enfin, après une séquence de didacticiel qui met en place l’histoire), on peut choisir par quel côté débuter notre expédition, par définir quel objectif atteindre en priorité, etc. C’est aussi rafraîchissant qu’un verre de lait meumeu !

Et malgré cette réelle liberté, la progression est plutôt bien dosée. On débloque régulièrement des pouvoirs pour notre monture, ce qui nous permet d’atteindre de nouvelles zones. Le niveau des Pokémons rencontrés correspond plutôt bien à notre niveau à nous (et quand ce n’est pas le cas ce n’est pas trop gênant), là dessus, c’est bien foutu. Le scénario sort un peu du schéma habituel et on prend plaisir à avancer à son rythme.

2) L’école forbuissonnière

Au centre de la map : l’Académie. Ce n’est pas précisé clairement au départ, mais je vous conseille de vous y rendre régulièrement entre deux “missions”, car il y a des leçons à débloquer, ça nous apprend pas mal de subtilités sur le gameplay ou l’univers du jeu : y a des mini-quêtes, on va tisser des liens avec les profs et quelques élèves, et ça structure un peu notre progression. Et puis ça permet de récupérer plein de récompenses facilement. 😀

Ces allers-retours ne sont pas agaçants, car dès le départ de l’aventure, on a accès au déplacement rapide (concrètement : téléportation) et la carte nous indique les points intéressants de manière claire. Si l’envie vous prend de chasser les créatures téracristalisées, ou de retourner découvrir une zone précise, c’est faisable !

3) Des combats pas barbants

Je m’explique. 😀 Le système de baston a toujours été sympa, mais parfois un peu fastidieux (écrans de transitions et textes un peu longs, combats aléatoires…). Dans Arceus, tout cela avait été un peu bouleversé (aucun écran de transition, attaques rapides ou puissantes, Pokémon barons…), et c’était cool. Mais ici ils sont revenus en arrière sur pas mal de points. :’( Heureusement ils ont gardé certains trucs, et ajouté plein de petits détails qui nous facilitent la vie et rendent l’expérience plus fluide et agréable que dans les autres jeux canoniques.

Capturer un Pokémon demande toujours d’entrer en combat, cependant, se cacher dans les hautes herbes et lui balancer une pokéball par surprise (dans le dos) facilitera grandement l’opération. Manger certains aliments (on peut cuisiner et faire des piques-niques) boostera nos compétences de capture ou autre. Il est possible d’avoir un Pokémon de compagnie qui se balade à nos côtés : il ira se battre automatiquement, engrangeant XP et objets sans intervention de notre part ou presque. Ça nous évite plein de combats superflus, rend l’exploration et le farming plus agréable.

4) Une interface qui QoL

Plus besoin d’aller voir un NPC précis planqué dans un recoin paumé, pour effectuer certaines action bien précises : les menus sont complets, et nous permettent ENFIN de quasiment tout faire quand on le souhaite (même d’apprendre d’anciennes techniques, de renommer les Pokémons, …). OUF.

Aussi, pour une fois, on a un “vrai” mode multijoueur. On peut se retrouver jusqu’à 4 joueurs dans la même instance, explorer, échanger, faire des photos (🤷), participer à des raids ensemble, etc. L’avancée dans le scénario reste indépendante, car le jeu conserve la progression de chaque joueur, mais il est possible de faire nos quêtes chacun de son côté tout en étant dans le même monde, se retrouver sur la map, faire des échanges, etc.

5) Violet, écarlate, tout n’est pas rose

J’apprécie beaucoup ce volet, mais je regrette certains points. Tout d’abord, l’aspect graphique : c’est assez vide, fade, et parfois ça rame… 🙁 Un comble quand on voit certains jeux comme les Xenoblade, Zelda, ou Dragon Quest XI, beaucoup plus jolis et fluides sur la même console !

Aussi, je trouve dommage que le système de chasse/capture, tel qu’il était implémenté dans Arceus, ne soit pas de retour. Pareil pour les “barons”, les Pokémon de différentes tailles, etc. C’était vachement fun et ça apportait de la variété au gameplay.  Peut-être que la prochaine génération osera faire le mélange de tout ça ?

Conclusion

En dehors de ces quelques regrets, je trouve que c’est un excellent jeu, qui renouvelle l’expérience de belle manière. La durée de vie est plus que correcte, le scénario promet quelques surprises et l’aspect collectionnite est toujours aussi réussi. Ça apporte un bon petit coup de frais à la licence, vraiment agréable, je conseille !

Acheter Pokémon Violet ou Écarlate sur Nintendo Switch

L’heure de l’Inscryption

Par : Remouk

— Article rédigé par l’ami Remouk (DansTonChat) – Merci à lui —

Un an après la version Windows, quelques adaptations (Linux, macOS, Playstation…) et quelques récompenses plus tard (IGF, GDCA, BAGA…), c’est un jeu encensé par tout le monde qui déboule enfin sur Switch : Inscryption.

Alors moi, je me méfie toujours des jeux qui profitent de ce genre de buzz, surtout quand ce sont des petites créations indés qui ne paient pas de mine. On crie parfois au génie pour des trucs qu’on a déjà vu (en mieux) ailleurs. Mais je me suis laissé tenté par le côté jeu de cartes / roguelite, devenu nomade grâce à la console de Nintendo, ainsi que de l’ambiance horreur… C’était parfait pour accompagner mes fêtes de fin d’année. 😀

Et si je vous en parle aujourd’hui, c’est évidemment parce qu’il a réussi à me convaincre. Et je ne peux pas VRAIMENT vous dire pourquoi.

On débute le jeu face à un mystérieux adversaire, un conteur, qui va nous narrer en direct notre propre histoire, en portant des masques pour jouer les différents personnages. Il nous explique les règles, le déroulement, on se déplace sur une carte et à chaque arrêt, on va pouvoir modifier son deck (ajouts, modifications de cartes, etc.) ou combattre avec. Si l’on perd, on recommence à zéro. Enfin pas totalement, car on débloque quand même des éléments qui vont rester d’une partie à l’autre. 🤓

Au niveau du jeu en lui-même, le système ressemble à ce qu’on peut connaître chez Hearthstone, Magic the Gathering, etc. mais bien sûr avec des subtilités qui lui sont propres (par exemple, il faut sacrifier une carte pour pouvoir en jouer une autre ! Ou alors le décompte des points qui est fait à l’aide d’une balance). Et puis au détour d’une partie, on va remarquer des choses… Bizarres…

À partir de là, difficile de vous expliquer sans spoiler, alors je vais rester vague. Disons que vos compétences en terme d’escape room pourraient être mises à l’épreuve. Un jeu dans le jeu ? Qui lui-même est dans un jeu ? On perd pied, le cerveau explose en quatre dimensions, et on comprend le génie d’Inscryption.

Je ne vais pas vous dire que c’est un titre absolument incroyable ou parfait, car clairement, il ne sera pas au goût de tout le monde. Il a des petits défauts. L’ambiance un peu glauque peut rebuter. Il faut être adepte de deck building, aimer résoudre des énigmes, ne pas avoir peur de (tout ?) perdre.

Malgré cela, et même s’il ne révolutionne aucunement le genre, Inscryption propose un gameplay très solide ainsi qu’une histoire qui tirent pleinement partie du média : le jeu vidéo.

Il coûte moins de 20€ et propose une expérience absolument unique, tellement originale, tellement prenante, que j’aurais été triste de passer à côté. Alors je vous le conseille : jetez-y un œil ! Et essayez de ne pas le perdre. 😉

Inscryption est disponible sur Steam, Playstation 4 & 5, et Nintendo Switch

Pour augmenter ou basculer entre différents services de cartographie

Par : Korben

Quand vous devez consulter une carte d’un territoire ou d’une ville, sur quel site allez-vous ? Probablement Google Maps ? Si vous êtes libristes, plutôt OpenStreetMap.

Et si vous êtes en Chine, il y a des chances pour que ce soit Baidu Maps.

Bref, chacun a son service de cartographie préférée. Mais si je vous disais que maintenant vous n’avez plus besoin de choisir grâce à ce bookmarklet ?

Alors petit rappel pour les plus jeunes, un bookmarklet est un petit bout de JavaScript qui se place dans les favoris de votre navigateur et vous permet d’activer une fonctionnalité sur un site en cours.

Ainsi, vous pouvez aller sur Google Maps, OpenStreetMaps…etc, vous positionner sur l’endroit de votre choix, puis cliquer sur le bookmarklet pour avoir un accès rapide à des tas de services de cartographie qui vous renverront vers l’endroit que vous avez ciblé.

Mais ce n’est pas tout, puisque OpenSwitchMaps vous propose également d’activer différents outils sur votre carte. Ainsi, vous pourrez récupérer une image PNG de la zone, convertir des coordonnées GPS, lancer une recherche Flickr ou Twitter sur la zone ciblée, ouvrir un éditeur GPX, calculer des distances entre deux points…et ainsi de suite.

Alors comment ça s’utilise ? Et bien tout d’abord, ajoutez un signet (bookmarklet) à votre navigateur en faisant glisser le lien suivant vers votre barre de signets : OpenSwitchMaps Web.

Ou en ajoutant la fonction suivant dans un bookmark :

JavaScript:(function(){ window.location.href='https://tankaru.github.io/OpenSwitchMapsWeb/index.html#'+location.href;})();

Ensuite, ouvrez Google Maps ou un équivalent puis cliquez sur le bookmark. Et voilà, vous n’avez plus qu’à choisir le service qui vous intéresse.

C’est super intéressant et pratique si vous interagissez souvent avec des services de cartographie et je suis certain que vous allez découvrir plein de services cools.

Des polices de caractères

Par : Korben

Si vous en avez assez de chercher toujours les mêmes polices sur des sites gratuits comme DaFont, Google Fonts ou UrbanFont, j’ai un autre site à vous proposer qui devrait vous plaire.

Son nom : iFonts !

Vous y trouverez des tas de polices de caractères sourcées par les créateurs du site. Elles sont plutôt jolies et classées par catégories (Sans Serif, Serif, Slab Serif, Display, Blackletter, Script et Symbols). Un vrai plaisir de parcourir tout ça, notamment grâce aux images qui mettent bien en avant chaque police.

La plupart sont totalement gratuites, mais sachez que certaines archives proposées contiennent également des polices sous licence. Donc, prenez le temps de lire les fichiers de licence avant de les utiliser commercialement.

Bref, de quoi renouveler un peu le stock de polices originales de qualité.

Comment identifier le CPU (processeur) ou la carte mère de votre PC ?

Par : Korben

Quand on dispose d’un ordinateur sur lequel on ne sait pas grand-chose, soit parce que c’est de la récup, soit parce qu’on l’a acheté d’occasion, il y a 3 façons de déterminer quel est le modèle du processeur, de la carte mère, de la carte graphique, de la mémoire…etc.

  • Méthode N°1 : Trouver le numéro de série du PC et se rendre sur le site du fabricant pour connaitre les specs détaillées.
  • Méthode N°2 : Prendre son plus beau tournevis et démonter la machine pour aller inspecter les composants.
  • Et la méthode N°3 qui est ma préférée : Utiliser un petit soft !

Comment identifier le processeur d’une machine sous Windows 11 ?

Alors sous Windows 10 ou Windows 11, la référence ultime pour ce genre de chose, c’est bien évidemment CPU-Z. Il s’agit donc d’un logiciel gratuit qui va vous permettre de récupérer des tas d’informations sur les composants principaux de votre PC Windows, à savoir le nom, le numéro, le nom de code, les niveaux de cache et j’en passe de votre processeur.

Également toutes les informations concernant la carte mère, avec son chipset, sa marque, son modèle…etc.

Sans oublier ensuite le type de mémoire RAM présente, avec la taille des barrettes, les spécifications remontées par le module SPD…etc ainsi que toutes les informations concernant la carte graphique présente dans votre ordinateur.

Pour télécharger CPU-Z pour Windows, rendez-vous ici sur le site officiel.

Comment identifier la carte mère d’un PC Linux ?

Sous Linux, il y a un clone de CPU-Z qui s’appelle… CPU-X.

Hé oui, y’a de l’idée. Tout est quasiment identique en termes d’interface et l’application open source remonte aussi bien des informations détaillées sur le type de processeurs que vous avez, sur la marque, le modèle et le socket de la carte mère, sans oublier les données concernant les barrettes de RAM ou encore la carte graphique ainsi que la version de l’OS Linux en place.

C’est merveilleux ! Et ça fonctionne sous Debian, Ubuntu, Fedora, FreeBSD…etc. Tout est détaillé sur la page Github du projet, mais pour l’installer sous Ubuntu / Debian ou Mint, il suffit d’ouvrir un terminal et de taper la commande suivante :

sudo apt install cpu-x

Puis de lancer l’application avec la commande :

cpu-x

Et voilà. Si vous avez l’habitude d’utiliser CPU-Z, vous ne serez pas dépaysé avec l’interface de CPU-X.

Télécharger CPU-X pour Linux ici.

Bonne découverte de votre matos à tous !

Comment faire de son visage un cartoon ?

Par : Korben

Tout le monde vous le répète à longueur de journée : « T’es un vrai dessin animé vivant ».

Jouez le jeu jusqu’au bout et transformez-vous en vrai cartoon grâce à ce projet de machine learning baptisé VToonify. Vous pouvez l’installer sur votre propre machine si vous disposez de CUDA et PyTorch ou le lancer via un Google Colab.

Mais le plus simple reste encore d’aller sur Hugging Face et d’expérimenter tout ça directement.

À partir de là, vous choisissez le modèle de données à utiliser. Si vous choisissez un modèle avec « -d » vous pourrez ajuster le degré de cartoonification voulu. Autrement, laissez faire les réglages par défaut (sans -d) pour un résultat un peu meilleur.

Une fois le modèle chargé, vous pourrez alors envoyer soit une photo, soit carrément une vidéo. Celle-ci sera remise à l’échelle, ce qui lui fera perdre un peu de qualité.

Ensuite, vous n’aurez plus qu’à passer à l’étape 3 pour « toonifier » votre image ou votre vidéo et taaadaaa !

Le résultat est bien flippant non ?

Maintenant, comme je vous l’ai appris déjà, rendez vous sur l’outil de restauration de visage ARC de Tencent, et vous aurez un résultat un peu plus propre, mais encore plus creepy.

De longues heures de fun en perspective !!!!

Une clôture électrique anti-escargots et limaces DIY

Par : Korben

Voici un bricolage facile à mettre en place qui vous permettra de protéger vos plantations des escargots et autres limaces. L’idée est simple puisqu’il s’agit d’une clôture électrique en scotch cuivré (trouvable ici sur Amazon) qui grâce à une pile 9V permet de distribuer des petites châtaignes aux affamés.

Vous pouvez ranger le beurre à l’ail car cela ne tue pas les animaux mais protégera vos tomates, salades et compagnie. Dans la vidéo, vous verrez comment faire sur une jardinière. Par contre pour l’astuce en pleine terre avec un couvercle en plastique, je ne pense pas que ce soit l’idéal car le plastique peut blesser la plante qui va grossir. A mon avis, on peut faire autrement, mais c’est à réfléchir. Vous aurez peut-être des idées.

A garder dans un coin de votre tête pour l’année prochaine.

Merci à Laurent pour le partage.

Felt – Pour créer votre carte sur Internet

Par : Korben

Vous devez préparer une carte pour illustrer un sujet, répertorier des événements, planifier un roadtrip, intégrer dans une brochure et j’en passe ?

Et bien, bonne nouvelle, j’ai le service de vos rêves. Cela s’appelle Felt et ça permet avec quelques outils simples de dessiner des trajets, placer des pictos ou importer des images sur des cartes dont vous pouvez choisir le fond.

Formidable non ?

Ainsi, chacun peu s’approprier une zone pour l’enrichir avec ses propres données et la partager ensuite à qui veut. On peut même importer des fichiers KML, KMZ, GPX, JSON ou GEOJSON pour remplir plus rapidement la carte de données déjà collectées.

Le rendu est génial, très propre et vous pouvez ensuite d’un seul clic la partager via un simple lien ou l’intégrer dans une page web.

Pour que vous vous rendiez mieux compte des possibilités de Felt, je vous laisse avec cette vidéo.

À découvrir ici.

Tous les caractères ASCII, Unicode, emojis…etc à portée de clic sous Chrome / Edge

Par : Korben

Si vous aimez écrire des trucs chelous en ASCII, vous savez sûrement lancer l’utilitaire de table de caractères ASCII sous Windows ou le Visualiseur de caractères sous macOS.

Mais pour aller plus vite, il existe une extension Chrome / Edge, nommée pompeusement « Special Characters » qui vous mets tout ça à portée de clic. Vous allez pouvoir écrire en chinois, en arabe, en cyrillique ou encore en emojis et j’en passe. Il y a au total, plus de 150 000 caractères différents.

▣ ✈ ✰ య ܓ ᅕ ↷ ◠

Tous les caractères sont classés dans plus de 300 catégories et vous avez même un petit moteur de recherche pour aller plus vite.

Transformer une photo en cartoon

Par : Korben

Il existe de nombreuses applications mobiles permettant de cartoonifier une photo ou de caricaturer quelqu’un. Mais si vous avez la flemme d’installer ça sur votre smartphone, et bien sachez que ça existe aussi en site web classique?

C’est ce que propose SocialBook au travers de sa page cartoonize qui permet grâce à une photo que vous uploader, de récupérer une image stylisée Disney, Miyazaki, Simpsons, 3D…etc.

Alors niveau ressemblance, je pense que ça dépend des personnes. Par exemple, en ce qui me concerne, j’ai l’impression que je suis assez loin physiquement des résultats.

Mais c’est fun quand même. Le site est gratuit toutefois il faudra vous inscrire si vous en voulez plus. Sachez qu’il est même possible de cartoonifier un corps entier et si vous souhaitez voir à quoi ressembleriez si vous étiez du sexe opposé, c’est également possible.

Je me trouve pas mal 🙂

À tester ici

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