Lateo.net - Flux RSS en pagaille (pour en ajouter : @ moi)

🔒
❌ À propos de FreshRSS
Il y a de nouveaux articles disponibles, cliquez pour rafraîchir la page.
À partir d’avant-hierAnalyses, perspectives

Ah, si seulement Bruno Le Maire était ministre de l’Economie ! par Florent Machabert

L’info de la semaineL’inflation fait préférer le cash aux Français -Mauvaise nouvelle pour l’euro numérique ! Depuis l’automne 2021, comme expliqué dans Finance & Tic, les Français ont montré un regain d’intérêt pour les espèces, qui s’est accentué en 2023 : une tendance attribuée à l’inflation galopante et que la désinflation actuelle n’est pas venue démentir. Le baromètre annuel Ifop révèle ainsi que 83% des Français se déclarent attachés au cash, avec une utilisation quotidienne en hausse, puisqu’elle concerne désormais près de 3 Français sur 4. Cette « préférence pour la liquidité », comme eût dit Keynes, s’explique selon les intéressés eux-mêmes par « sa gestion budgétaire plus aisée », notamment en période d’inflation, où le paiement en espèces permettrait de mieux contrôler ses dépenses.

Même si l’argent liquide conserve une forte dimension symbolique dans les périodes d’incertitude, le fait d’épargner en cash, pour se rassurer, traduit surtout une certaine méfiance envers l’avenir. Espérons que le déclin économique dans lequel la France s’enfonce ne se transforme pas en récession inflationniste à la faveur du début de flambée des cours du pétrole (voir notre dernière rubrique ci-dessous). Vous pourriez alors devoir ressortir votre brouette, comme pendant la République de Weimar…

Ce contenu est réservé aux abonnés

Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.

Connectez-vous si vous avez acheté un abonnement et/ou ce contenu.

S'abonner

Accédez à tous nos contenus.
Plus de 5 000 articles.

Acheter l'article

Déverrouillez cet article et obtenez un accès permanent pour le lire.

Faut-il investir dans l’hydrogène ? par Florent Machabert

Par : Rédaction

Panneaux photovoltaïques, éoliennes, véhicules électriques : pas un jour ne s’écoule dans les médias sans que ne soient évoquées la « crise environnementale » et la nécessité d’opérer une « transition énergétique » pour « sauver la planète ». Pourtant, l’hydrogène fait rarement partie des options vantées pour « décarboner » le monde, et ce, alors même que le conflit en Ukraine a brutalement contraint l’Europe à réduire sa dépendance aux hydrocarbures russes. A tort ? Oui, si l’on en croit un rapport d’une banque d’affaires qui prétend que cette molécule pourrait représenter en 2050 quelque 15% du mix énergétique de l’UE et un marché mondial de plusieurs centaines de milliards d’euros.

Avec cet opus, nous renouons avec une classe d’actifs que nous avons quelque peu délaissée au fil des dossiers : les actifs tangibles, dont nous sommes pourtant des inconditionnels, tant ils sont une pièce maîtresse de toute stratégie de « sécession patrimoniale », comme en témoignent les dossiers N°2 (l’or), N°3 (les métaux blancs), N°4 (les matières premières), sans oublier l’« or numérique » que constitue le bitcoin (N°9).

Ce contenu est réservé aux abonnés

Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.

Connectez-vous si vous avez acheté un abonnement et/ou ce contenu.

S'abonner

Accédez à tous nos contenus.
Plus de 5 000 articles.

Acheter l'article

Déverrouillez cet article et obtenez un accès permanent pour le lire.

Apple car au ravin, Bitcoin au sommet, par Florent Machabert

Par : Rédaction

L’info de la semaineLe Sénat tente à nouveau de flécher le livret A pour financer la guerre ! Finance & Tic s’en était fait l’écho en 2023 : le Sénat envisage d’allouer une partie des fonds du livret A (et du LDDS) à l’industrie de la défense française. Après deux tentatives avortées (censure du Conseil constitutionnel), cette proposition, soutenue par la majorité sénatoriale, vise à aider les petites et moyennes entreprises du secteur de la défense à… obtenir des financements.

Les tentatives précédentes, d’abord lors des débats sur la loi de programmation militaire 2024-2030, puis en plein débat budgétaire de fin d’année, ont été rejetées pour des « raisons de procédure », selon L Fabius. Cette idée révèle toutefois des divergences d’opinions importantes au sein du gouvernement : alors que certains ministres saluent l’initiative du Sénat comme un moyen de renforcer la souveraineté et la réindustrialisation (en plein naufrage belliciste présidentiel sur la scène internationale), d’autres estiment qu’il existe d’autres moyens de financer l’effort de défense que l’épargne réglementée, laquelle doit prioritairement rester dédiée au logement social. Affaire à suivre…

Le chiffre de la semaine

2000, l’effectif d’Apple qui va être réaffecté de l’e-car autonome à l’IA

Ce contenu est réservé aux abonnés

Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.

Connectez-vous si vous avez acheté un abonnement et/ou ce contenu.

S'abonner

Accédez à tous nos contenus.
Plus de 5 000 articles.

Acheter l'article

Déverrouillez cet article et obtenez un accès permanent pour le lire.

Comment éviter un contrôle fiscal ? par Florent Machabert

Par : Rédaction

Depuis 2017, les services fiscaux français recouvrent en moyenne 9 Mds € d’impôts moyennant des redressements. A horizon 2027, Bercy compte par ailleurs réaliser 25% de contrôles supplémentaires et a d’ailleurs embauché 1 500 contrôleurs de plus et étoffé de 40 agents la « police fiscale ». Près de 100 000 particuliers sont d’ores et déjà contrôlés chaque année et, dans un contexte où l’Etat peine de plus en plus à boucler son budget, ce chiffre ne devrait faire qu’augmenter.

Avec l’augmentation des effectifs et des contrôles prévus, les services fiscaux visent à dissuader la fraude fiscale et à assurer une contribution équitable de tous les contribuables au financement des dépenses publiques.

Aussi, nous vous présentons dans ce 40ème dossier :


– Les principaux moyens déployés par Bercy pour repérer les fraudes ;
– Les principales situations à risques en matière d’impôt sur le revenu ;
– Les cas plus spécifiques de l’IFI et des droits de succession.

Bonjour 👋
Ravi de vous rencontrer.

Inscrivez-vous pour recevoir chaque jour les articles publiés la veille dans votre boîte de réception.

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Nous vous remercions pour votre inscription. Vous recevrez notre prochaine newsletter dans moins de 24 heures.

La BCE est dans le décor, par Florent Machabert

L’info de la semaine- Vague de licenciements chez les fleurons industriels allemands ! Ce n’est pas faute de vous l’expliquer dans Finance & Tic: l’industrie allemande traverse une profonde période de crise, comme en témoignent les récentes annonces de Bosch, qui prévoit des coupes sévères dans ses effectifs, de l’ordre de 3 500 postes d’ici fin 2027, principalement au sein de sa filiale BSH spécialisée dans l’électroménager. Cette décision découle de la nécessité de réduire les coûts (notamment énergétiques…) et de s’adapter à un marché difficile et en déclin, marqué par une baisse de la demande et une concurrence accrue. L’indice des directeurs d’achat confirme la détérioration continue de la production industrielle en Allemagne qui est désormais en récession depuis plusieurs mois consécutifs.

Le secteur secondaire est confronté outre-Rhin à de multiples défis, notamment la hausse de ses coûts de production, la concurrence étrangère et les difficultés propres à l’industrie automobile. Cette situation pousse les entreprises à revoir leurs stratégies, y compris la possibilité de délocaliser certaines activités à l’étranger, notamment aux Etats-Unis : c’est l’un des effets recherchés, mais non avoués, des sanctions économiques contre… la Russie et du dynamitage de North Stream II ! Cette série de suppressions d’emplois n’est pas isolée. Miele, un fabricant d’électroménager haut de gamme, a également annoncé jusqu’à 2 700 suppressions d’emplois (12% de ses effectifs). La majeure partie de ces suppressions devrait affecter les postes « indirects », c’est-à-dire hors services de production et chaînes de montage.

Ce contenu est réservé aux abonnés

Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.

Connectez-vous si vous avez acheté un abonnement et/ou ce contenu.

S'abonner

Accédez à tous nos contenus.
Plus de 5 000 articles.

Acheter l'article

Déverrouillez cet article et obtenez un accès permanent pour le lire.

Février 2024 : 10e anniversaire du conflit en Ukraine

Par : Samir Saul

Dans les prochains jours, on entendra sûrement parler d’un soi-disant deuxième anniversaire de la guerre en Ukraine. Gouvernements occidentaux, « grands » médias diffusant à longueur de journée la ligne […]

The post Février 2024 : 10e anniversaire du conflit en Ukraine appeared first on Investig'action.

Simplifier pour blanchir. Comment l’AFP lave Biden de tout soupçon

Par : pauline

Depuis décembre, Joe Biden fait l’objet d’une procédure de destitution menée par les Républicains. En cause : des soupçons de corruption par l’intermédiaire du business de son fils Hunter Biden, […]

The post Simplifier pour blanchir. Comment l’AFP lave Biden de tout soupçon appeared first on Investig'action.

Je décrypte pour vous un relevé annuel d’assurance-vie, par Florent Machabert

Par : Rédaction

Dans cette capsule, Machabert reprend, page après page et ligne à ligne, les détails d’un relevé annuel d’assurance-vie, document long et fastidieux à liure. Il vous dit à quels détails il vous faut être attentif et les éventuels arbitrages à rendre en conséquence. Nous guettons toujours la parution des décrets de la loi « Industrie verte » d’octobre 2023 qui pourraient bouleverser la gestion de vos contrats d’assurance-vie et de vos PER.

Dans cette capsule, Machabert passe en revue les détails essentiels d’un relevé annuel d’assurance-vie, un document souvent fastidieux mais crucial pour la gestion de vos contrats. Dossier de référence : le 11è dossier de Florent Machabert, qui intègre des conseils en matière d’assurance-vie, et le premier baromètre de l’épargne.

Bonjour 👋
Ravi de vous rencontrer.

Inscrivez-vous pour recevoir chaque jour les articles publiés la veille dans votre boîte de réception.

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Nous vous remercions pour votre inscription. Vous recevrez notre prochaine newsletter dans moins de 24 heures.

Faut-il créer une SCI pour gérer son immobilier ? par Florent Machabert

Par : Rédaction

Une entreprise sur sept créée chaque année est une Société Civile Immobilière, alias une SCI : pourquoi cet engouement ? Est-ce un passage obligé pour gérer son patrimoine, étant entendu (voir le dossier N°38) qu’il s’agit déjà d’un bon instrument pour en anticiper la transmission ?

Dans le cadre de ce 39 dossier, nous examinerons l’engouement croissant pour les Sociétés Civiles Immobilières (SCI) en tant que moyen de gestion de patrimoine.

Nous vous présentons donc dans ce 39ème dossier :

  • En quoi consiste une SCI et les principaux cas de figure où elle s’impose ;
  • Un kit de création pas à pas si vous décidez de vous lancer ;
  • Un état des lieux des écueils à éviter ;
  • La mise à jour du baromètre général des portefeuilles (en annexe).
    Un indispensable pour tout savoir sur cette structure juridique qui a le vent en poupe.

Bonjour 👋
Ravi de vous rencontrer.

Inscrivez-vous pour recevoir chaque jour les articles publiés la veille dans votre boîte de réception.

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Nous vous remercions pour votre inscription. Vous recevrez notre prochaine newsletter dans moins de 24 heures.

Bonjour 👋
Ravi de vous rencontrer.

Inscrivez-vous pour recevoir chaque jour les articles publiés la veille dans votre boîte de réception.

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Nous vous remercions pour votre inscription. Vous recevrez notre prochaine newsletter dans moins de 24 heures.

Transmettre en gardant la main, par Florent Machabert

Par : Rédaction

Dans ce dossier 38, Machabert renoue avec les dossiers à mi-chemin entre le droit notarial et la gestion de patrimoine, comme il l’avait déjà fait avec le dossier N°18. Ce dossier est pensé pour vous aider à anticiper votre succession (et ses droits « à titre gratuit », qui portent mal leur nom tant ils sont lourds en France), tout en gardant la main. Il est donc proposé un tour d’horizon complet et précis de toutes les options qui s’offrent à vous pour réduire de votre vivant les droits dont devront s’acquitter vos héritiers, sans perdre totalement le contrôle de votre patrimoine. Même la famille Delon gagnera à lire ce dossier !

Avec cet opus, nous renouons avec les dossiers à mi-chemin entre le droit notarial et la gestion de patrimoine. Aussi, vous est-il présenté dans ce 38ème dossier :


– Le dernier intérêt à détenir une assurance-vie ;
– Les donations entre vifs et le démembrement de propriété ;
– Un premier aperçu des SCI (société civile immobilière).

Profitez encore du dossier de rétrospective 2023 (23 dossiers en 1)

Bonjour 👋
Ravi de vous rencontrer.

Inscrivez-vous pour recevoir chaque jour les articles publiés la veille dans votre boîte de réception.

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Nous vous remercions pour votre inscription. Vous recevrez notre prochaine newsletter dans moins de 24 heures.

La caste ne cherche plus qu’à gagner du temps, par Florent Machabert

Par : Rédaction

L’info de la semaineLes Accords de Bâle III entreront bien en vigueur à la date prévue. L’Autorité bancaire européenne (ABE), que nous vous avons présentée dans Finance & Tic, a dévoilé sa feuille de route pour l’entrée en vigueur progressive des accords de Bâle III en Europe à partir de janvier 2025. Les banques commerciales sont appelées à coopérer étroitement pour mettre en œuvre ces nouvelles règles, qui visent à durcir les calculs des risques bancaires et à augmenter les réserves requises. La feuille de route de l’ABE clarifie le séquençage de la réglementation ainsi que les priorités pour finaliser les éléments clés avant la fin de cette année. Malgré les préoccupations initiales des grandes banques françaises sur le calendrier, l’ABE a assuré que les travaux seraient achevés à temps. On ne peut cependant pas s’empêcher de penser que ces accords trahissent en réalité la très grande fragilité de tout le secteur bancaire européen, comme en témoigne l’indice SX7E des banques européennes, que nous suivons de très près pour vous et qui a baissé de 76% depuis la crise des subprimes.

L’ABE est chargée de rédiger environ 140 mandats pour concrétiser ces accords internationaux. La coopération des banques est cruciale dans ce cadre pour fournir des données concrètes afin d’alimenter ces travaux. Les priorités de l’institution incluent la gestion des risques de marché, des risques de crédit et des risques opérationnels. De plus, des sujets tels que la transition climatique et le régime prudentiel pour les banques des pays tiers sont également au programme. Bâle III vise enfin à offrir aux banques un cadre réglementaire unifié pour opérer au sein de l’Union Européenne. Palpitant.  

Le chiffre de la semaine

-0,02%, le taux de croissance du PIB français au 4ème trimestre 2023

Ce contenu est réservé aux abonnés

Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.

Connectez-vous si vous avez acheté un abonnement et/ou ce contenu.

S'abonner

Accédez à tous nos contenus.
Plus de 5 000 articles.

Acheter l'article

Déverrouillez cet article et obtenez un accès permanent pour le lire.

Trois, deux, un, impact, par Florent Machabert

Par : Rédaction

L’info de la semaine- La fin progressive du bouclier tarifaire au 01/02/24. Nous vous l’annoncions dans les colonnes de Finance & Tic : à compter du 1er février 2024, une augmentation des tarifs de l’électricité est prévue pour les particuliers et les entreprises. Les hausses seront de 9,8% sur les tarifs heures pleines et heures creuses, et de 8,6% sur les tarifs de base. Cette augmentation est liée à la fin graduelle du « bouclier tarifaire ». Initialement prévu pour décembre 2023, le terme définitif du bouclier tarifaire sera le mois de février 2025.

Bruno Lumière© est venu justifier cette « décision difficile » en arguant de la nécessité de garantir l’investissement dans de nouvelles capacités de production électrique et de mettre fin à la politique du « quoi qu’il en coûte ». Les montants de l’augmentation varieront en fonction des contrats souscrits. A titre d’exemple, un ménage chauffé au gaz verra sa facture augmenter d’environ 4,5 € par mois, tandis qu’un ménage chauffé à l’électricité en maison individuelle pourrait connaître une hausse d’environ 18 € par mois. La hausse de l’électricité atteint désormais 47% depuis mai 2019… Mais il paraît que c’est la faute de Poutine !

Ce contenu est réservé aux abonnés

Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.

Connectez-vous si vous avez acheté un abonnement et/ou ce contenu.

S'abonner

Accédez à tous nos contenus.
Plus de 5 000 articles.

Acheter l'article

Déverrouillez cet article et obtenez un accès permanent pour le lire.

Se créer des rentes, par Florent Machabert

Par : Rédaction

Qui n’a jamais – ne serait-ce qu’un instant – rêvé de vivre sans travailler ? En réalité, ce rêve est accessible à qui décide de « faire travailler » son épargne à sa place, tâche qui est, vous vous en rendrez compte à la lecture de ce dossier, un travail à part entière mais qui sera d’autant plus à votre portée que vous vous lancerez jeune dans l’aventure de la « rente ».

S’il est tout d’abord absolument primordial d’être au clair avec vos besoins financiers futurs, il vous restera encore à identifier les bons supports (classes d’actifs, véhicules d’investissement, etc.) susceptibles de servir la rente souhaitée, tout en gardant un œil sur les impacts de ces revenus sur votre situation fiscale. Inclut également en annexe l’édition N°13 du « baromètre Machabert ».


Nous vous présentons donc dans ce 37ème dossier :


– Nos techniques d’évaluation de vos besoins financiers;
– Les principaux véhicules & classes d’actifs capables de générer une rente ;
– L’impact de ces rentes sur votre situation fiscale ;
– La mise à jour du baromètre général des portefeuilles (en annexe).

Bonjour 👋
Ravi de vous rencontrer.

Inscrivez-vous pour recevoir chaque jour les articles publiés la veille dans votre boîte de réception.

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Nous vous remercions pour votre inscription. Vous recevrez notre prochaine newsletter dans moins de 24 heures.

Du mur à la trappe : splendeurs et misères de la dette publique, par Florent Machabert

Par : Rédaction

L’info de la semaineSans nouveau miracle, les USA sont piégés par leur dette publique record. Les États-Unis sont actuellement piégés dans une redoutable trappe à dettes ! On en parle dans Finance & Tic. Lorsque le service de la dette d’un pays, incluant intérêts et remboursements, croît durablement plus vite que son PIB, la faillite devient inévitable. Cette situation est notamment accentuée outre-Atlantique par un endettement initial élevé. Le remboursement de cette dette n’est alors pas viable et cela n’est pas sans rappeler l’effondrement de l’URSS en raison du « social-clientélisme » pratiqué avec zèle (merci à C Gave pour cette expression). Vivre au-dessus de ses moyens comme le font les USA est donc insoutenable, puisqu’ils consacrent près de 1 000 Mds $ annuellement au remboursement des seuls intérêts de la dette publique ! Sur les marchés, les obligations d’État US sont pourtant traditionnellement considérées comme sans risque. Cependant, la dette émise par le gouvernement américain (mais également par certains membres de la zone euro, suivez mon regard) devient de plus en plus risquée.

Les besoins de financement massifs de l’économie américaine sont flagrants, notamment avec ses antécédents de crises financières (2008, 2020). Ils ont été systématiquement comblés par la planche à billets, quadruplant le bilan de la FED en un peu plus de 10 ans. Les rendements décroissants des USA sont une véritable bombe à retardement pour leur économie. Un cataclysme financier mondial sans précédent n’est désormais plus à exclure.

Ce contenu est réservé aux abonnés

Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.

Connectez-vous si vous avez acheté un abonnement et/ou ce contenu.

S'abonner

Accédez à tous nos contenus.
Plus de 5 000 articles.

Acheter l'article

Déverrouillez cet article et obtenez un accès permanent pour le lire.

Les conseils de W Buffett pour identifier les actions « à potentiel », par Florent Machabert

Par : Rédaction

Avec cette capsule, Machabert lance une série au long cours sur les grands investisseurs. Cette semaine, il revient sur la stratégie gagnante de W Buffett en vous expliquant en quoi consiste chacun des 24 conseils qu’il a distillés tout au long de sa longue (et brillante) carrière dans les marchés boursiers.


Cette semaine, plongez dans les méandres des marchés boursiers avec Machabert, qui décortique les 24 conseils judicieux que Buffett a distillé tout au long de sa carrière exceptionnelle. Machabert vous guide dans l’univers complexe, mais passionnant, des investissements avec une expertise inégalée.

Ce contenu est réservé aux abonnés

Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.

Connectez-vous si vous avez acheté un abonnement et/ou ce contenu.

S'abonner

Accédez à tous nos contenus.
Plus de 5 000 articles.

Acheter l'article

Déverrouillez cet article et obtenez un accès permanent pour le lire.

Offrez-vous le vademecum 2024 de la sécession patrimoniale ! par Florent Machabert

Par : Rédaction

Dans ce hors-série, vous retrouverez une rétrospective en un seul volume des 23 dossiers parus en 2023.De l’Inde au Japon, en passant par la nature-investissement, l’IFI ou encore le PEL, ce numéro compile pour seulement 119€ (pour tout achat avant le 31/01/24) tous les numéros bimensuels de sécession patrimoniale de Florent Machabert parus l’an passé en exclusivité dans Le Courrier des Stratèges.


Attention, à compter du 01/02/24, il vous en coûtera 149€.

Inclut la dernière mise à jour du baromètre.

Liste des dossiers contenus :

  • le N°13 sur la nature-investissement (vignoble, forêt, bétail) ;
  • le N°14 sur les SCPI ;
  • le N°15 sur la pierre et l’immobilier alternatif ;
  • le N°16 sur la défiscalisation immobilière ;
  • le N°17 sur la débancarisation en cryptos ;
  • le N°18 sur la gestion en bon père de famille et l’optimisation successorale ;
  • le N°19 sur le désendettement et l’épargne bancaire ;
  • le N°20 sur l’opportunité d’acheter des actions Air Liquide ;
  • le N°21 sur la fiscalité des cryptos ;
  • le N°22 sur les actions en bourse (mode d’emploi) ;
  • le N°23 sur l’achat d’or en temps de crise et de guerre ;
  • le N°24 sur la préparation de sa retraite ;
  • le N°25 sur les banques digitales & courtiers en ligne ;
  • le N°26 sur le Plan d’Épargne Logement ;
  • le N°27 sur les ETF (fonds indiciels) ;
  • le N°28 sur les produits structurés ;
  • le N°29 sur l’IFI ;
  • le N°30 sur l’Inde ;
  • le N°31 sur les actions & obligations des autres émergents ;
  • le N°32 sur le Japon ;
  • le N°33 sur les enchères ;
  • le N°34 sur la négociation d’un crédit en 2024 ;
  • le N°35 sur les actions françaises (mise à jour du dossier N°8).

Bonjour 👋
Ravi de vous rencontrer.

Inscrivez-vous pour recevoir chaque jour les articles publiés la veille dans votre boîte de réception.

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Nous vous remercions pour votre inscription. Vous recevrez notre prochaine newsletter dans moins de 24 heures.

Le match pour la liberté monétaire a commencé, par Florent Machabert

Par : Rédaction

L’info de la semaineLa néo-banque Monzo met un orteil dans le crédit social. La néo-banque britannique Monzo a lancé une rétrospective personnalisée pour ses clients, similaire à celle de Spotify, analysant leurs habitudes de dépenses en 2023. Certains clients ont exprimé leur mécontentement en découvrant que leurs dépenses faisaient l’objet d’un « scoring », tandis que d’autres ont trouvé ces révélations embarrassantes. La réaction négative montre les limites des rétrospectives personnalisées notamment dans le secteur financier, nécessitant des précautions particulières compte tenu de la sensibilité du sujet.

Bien que Monzo ne semble pas plus perturbé que cela par la controverse, cette déconvenue souligne l’importance de traiter les clients de manière individuelle plutôt que comme un groupe homogène : c’est tout l’art de la personnalisation marketing. La question des données personnelles est également soulevée, car les données financières sont considérées comme sensibles. Monzo espère que cette initiative attirera de nouveaux clients en 2024. Et vous, savez-vous si votre établissement bancaire fait aussi cela ? Indice : les principales banques françaises s’y livrent depuis plusieurs années… 

Ce contenu est réservé aux abonnés

Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.

Connectez-vous si vous avez acheté un abonnement et/ou ce contenu.

S'abonner

Accédez à tous nos contenus.
Plus de 5 000 articles.

Acheter l'article

Déverrouillez cet article et obtenez un accès permanent pour le lire.

Où va l’or en 2024 ? par Florent Machabert

Par : Rédaction

Dans cette capsule, Florent Machabert nous parle de l’or, placement incontournable pour réussir sa sécession patrimoniale. Loin de se livrer à l’exercice des “prévisions”, Machabert vous explique dans cette capsule les principaux déterminants du cours de l’or pour que vous vous fassiez votre propre opinion quant aux évolutions possibles du métal jaune en 2024.

Machabert retrace aussi la performance de cet actif refuge en 2023, la met en perspective depuis 2008 et donne des clefs de compréhension pour l’année qui commence. Pour aller plus loin, procurez-vous les dossiers suivants :

Bonjour 👋
Ravi de vous rencontrer.

Inscrivez-vous pour recevoir chaque jour les articles publiés la veille dans votre boîte de réception.

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Nous vous remercions pour votre inscription. Vous recevrez notre prochaine newsletter dans moins de 24 heures.

Great Reset ou Great Resist en 2024 ? par Florent Machabert

Par : Rédaction

L’info de la semaine – Vers un krach boursier après le rallye de fin 2023 ? Nous décortiquerons pour vous cette information dans le prochain numéro de Finance & Tic : les marchés boursiers ont connu une flambée, soutenue par la perspective du retour – déjà ! – des politiques accommodantes des banques centrales. Cependant, les PER (Price Earning Ratios) ont également explosé, indiquant des valorisations excessives, notamment pour des entreprises comme Amazon ou Tesla. Malgré cette euphorie boursière, qu’on qualifie parfois de « rallye de fin d’année », les indicateurs économiques, tels que les indices PMI de décembre, signalent une récession imminente en France et dans la Zone Euro, mais d’ores et déjà actée en Allemagne.

L’industrie française est particulièrement touchée. Les services ne sont pas épargnés non plus, affichant des niveaux de plus en plus bas. En dépit des annonces officielles, l’économie française semble inéluctablement promise à la récession, avec une perspective de chute du PIB qui pourrait atteindre 4% dès le premier trimestre 2024. Plusieurs autres risques sont à surveiller en 2024, notamment une crise sociétale aux États-Unis et sociale en France, des créances douteuses pour plusieurs banques mondiales, une croissance mondiale faible, une inflation persistante, des niveaux élevés de dette publique au sein de l’OCDE, des taux longs toujours élevés, une implosion/explosion de la Zone Euro et des risques géopolitiques qui demeurent (Kiev, Gaza, Taiwan, etc.).

Ce contenu est réservé aux abonnés

Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.

Connectez-vous si vous avez acheté un abonnement et/ou ce contenu.

S'abonner

Accédez à tous nos contenus.
Plus de 5 000 articles.

Acheter l'article

Déverrouillez cet article et obtenez un accès permanent pour le lire.

G7 contre BRICS+ : la partie de vases communicants a commencé, par Florent Machabert

L’info de la semaine-Les banques centrales saoudienne et chinoise signent un important accord d’échange de devises !7 Mds de $ ! La Banque centrale d’Arabie saoudite – nous vous en parlions dans Finance & Tic – a signé un important accord d’échange de devises (swap) d’une valeur de plus de 6,9 Mds $ sur trois ans avec la Banque populaire de Chine. Cet accord, dont seule la presse spécialisée s’est fait l’écho, vise à promouvoir l’utilisation des monnaies locales (riyal/renminbi) en lieu et place du dollar américain pour régler le commerce et financer l’investissement entre les deux pays. Ces lignes de swap facilitent en effet l’échange de devises entre banques centrales, assurant la stabilité financière… en même temps qu’une dédollarisation entre un membre historique des BRICS et un futur membres des BRICS+ dès le 1er janvier 2024.  

Les relations économiques entre l’Arabie saoudite et la Chine se renforcent en effet depuis plusieurs années, avec des flux commerciaux bilatéraux croissants. Des accords récents couvrent ainsi des domaines tels que les transports, le tourisme et les investissements, démontrant l’engagement des deux nations à renforcer leur partenariat. La 10e conférence commerciale sino-arabe a également eu lieu en juin dernier, soulignant les efforts du prince héritier Mohammed bin Salman (MBS) pour renforcer les liens sino-arabes, au détriment, forcément, du Pacte du Quincy signé entre les USA et l’Arabie saoudite en 1945. 

Ce contenu est réservé aux abonnés

Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.

Connectez-vous si vous avez acheté un abonnement et/ou ce contenu.

S'abonner

Accédez à tous nos contenus.
Plus de 5 000 articles.

Acheter l'article

Déverrouillez cet article et obtenez un accès permanent pour le lire.

Même les fakirs ne peuvent éternellement danser sur un volcan, par Florent Machabert

Par : Rédaction

L’info de la semaine – Nouvel assouplissement des conditions d’octroi de crédit par le HCSF- En écho à notre dossier N°34 et au numéro de décembre de Finance & Tic, le Haut Conseil de Stabilité Financière vient encore d’assouplir les conditions d’octroi d’un crédit immobilier pour 2024.

Le HCSF a ainsi annoncé trois nouvelles mesures pour en faciliter l’accès. La première permet aux emprunteurs acquérant un bien ancien à rénover, dont les travaux dépassent 10% du prix, de contracter un crédit sur 27 ans au lieu de 25. La deuxième défalque les intérêts du prêt-relais du calcul du taux d’endettement, à condition que le nouveau crédit n’excède pas 80% du montant de l’ancien bien à vendre. Enfin, la troisième mesure donne aux banques plus de flexibilité en mesurant désormais le taux de dérogation (on vous explique ce que c’est dans ledit dossier) sur trois trimestres glissants. Ces ajustements visent à stimuler le marché immobilier mais aussi à rendre le crédit plus accessible dans un contexte de baisse de la production de prêts immobiliers de 50% en deux ans.

Ce contenu est réservé aux abonnés

Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.

Connectez-vous si vous avez acheté un abonnement et/ou ce contenu.

S'abonner

Accédez à tous nos contenus.
Plus de 5 000 articles.

Acheter l'article

Déverrouillez cet article et obtenez un accès permanent pour le lire.

Un crédit-relais est-il toujours toxique ?

Par : Rédaction

Dans la conjoncture actuelle, faut-il recourir à un crédit-relais pour financer votre nouvel achat ? Dans cette capsule, Machabert vous dit tout sur le crédit-relais, ce complément au crédit immobilier classique qui peut vous permettre, parfois à des conditions avantageuses, de boucler votre plan de financement si vous êtes secundo-accédant et pris, à ce titre, dans les affres de “l’achat-revente”.

Des précautions doivent en effet être prises et des conditions quant aux opérations immobilières en jeu vérifiées.

Pour aller plus loin : le dossier N°34, un dossier indispensable sur comment décrocher un prêt en 2024.

Bonjour 👋
Ravi de vous rencontrer.

Inscrivez-vous pour recevoir chaque jour les articles publiés la veille dans votre boîte de réception.

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Nous vous remercions pour votre inscription. Vous recevrez notre prochaine newsletter dans moins de 24 heures.

Décrocher un prêt en 2024

Afin de pouvoir négocier aux mieux votre prêt en 2024. Cette semaine, Machabert vous éclaire sur les différentes recommandations concernant votre prêt. De nombreux critères sont à prendre en compte, à commencer par le profil de l’emprunteur.

Du fait de la remontée des taux décidée par la BCE depuis juillet 2022, nous sommes au cœur de l’un des plus gros krachs obligataires depuis les années 80. Alors qu’un crédit sur 20 ans se négociait en moyenne 1,1% en février 2022, il vous en coûtera désormais environ 4,5%, lequel taux effondre ainsi votre capacité d’emprunt de 20% en moins de 18 mois ! Nul besoin donc de faire de longs discours pour comprendre le lent dégonflement de la bulle immobilière, en tout cas un retour progressif à la normale du prix des logements qui ne fait pas les affaires des vendeurs mais qui offre aux acheteurs de nouvelles – et réelles – opportunités. A condition de ne pas trébucher sur l’un des nombreux obstacles du véritable parcours du combattant que représente souvent la négociation d’un prêt en 2023-2024 en France et que nous vous aidons à dépasser dans le présent opus.

Nous vous présentons donc dans ce 34ème dossier :

– Nos recommandations en matière de prêt si vous êtes primo-accédant ;

– Nos recommandations en matière de prêt si vous êtes secundo-accédant ;

– Nos recommandations en matière de prêt si vous êtes investisseur ;

– Nos ultimes astuces si vous envisagez de négocier un crédit en 2024.

Inclut aussi la mise à jour mensuelle du baromètre Machabert.

Bonjour 👋
Ravi de vous rencontrer.

Inscrivez-vous pour recevoir chaque jour les articles publiés la veille dans votre boîte de réception.

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Nous vous remercions pour votre inscription. Vous recevrez notre prochaine newsletter dans moins de 24 heures.

En piste pour un krach bancaire ? par Florent Machabert

Par : Rédaction

L’info de la semaineBNP Paribas dans la tourmente !Nous y consacrerons l’édito du numéro de décembre de Finance & Tic mais insistons sur cette information : alors que la banque systémique française a connu un incident technique majeur paralysant la consultation des comptes en ligne et les paiements en CB, se tenait également la même semaine le second procès dans lequel des clients l’accusent de tromperie pour des crédits immobiliers toxiques.

La filiale de crédit à la consommation de BNP Paribas, BNP Paribas Personal Finance (Cetelem), a été une nouvelle fois condamnée dans l’affaire Helvet Immo pour des crédits immobiliers douteux en francs suisses. La cour d’appel de Paris a confirmé la culpabilité de la banque, lui imposant une amende de 187 500 € pour « pratiques commerciales trompeuses » et des dommages et intérêts à verser importants. L’affaire porte notamment sur la dissimulation des risques dans la commercialisation de près de 800 M€ de crédits entre 2008 et 2009. Les emprunteurs attendent le montant indemnisant le préjudice moral subi, probablement 50 000 € par emprunteur. BNP Paribas conteste la décision et a deux mois pour saisir la Cour de Cassation…

Ce contenu est réservé aux abonnés

Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.

Connectez-vous si vous avez acheté un abonnement et/ou ce contenu.

S'abonner

Accédez à tous nos contenus.
Plus de 5 000 articles.

Acheter l'article

Déverrouillez cet article et obtenez un accès permanent pour le lire.

La France En Marche est devenue une France bloquée, par Florent Machabert

Par : Rédaction

L’info de la semaineNouvelle hausse du chômage en France– La France a connu une augmentation du chômage au troisième trimestre, avec un taux passé de 7,2% à 7,4% de la population active (+3%). Comme nous vous le disions dans Finance & Tic, Cette hausse est particulièrement marquée chez les jeunes, avec un taux de chômage de 17,6%. Les données de l’Insee révèlent également que 64 000 personnes supplémentaires étaient à la recherche d’un emploi au cours de cette période, portant le total des actifs inoccupés à 2,3 millions. Notre Bruno national et Olivier Dussopt, attribuent cette hausse au ralentissement de l’économie mondiale (faudrait pas se sentir concernés, hein ?), accentué par les politiques monétaires restrictives depuis 2022 (qui ne sont que le retour de bâton du laxisme covidien), le tout sur fond de tensions géopolitiques. Bercy, comme d’habitude, a toujours tout bon.  

La Banque de France avait pourtant estimé que le chômage se stabiliserait à 7,2% d’ici la fin de l’année, trajectoire infirmée par les dernières données. Bien que le gouvernement de notre Laideur Maximo n’ait pas officiellement abandonné l’objectif de plein emploi d’ici 2027, la réalisation de cet objectif semble de plus en plus compromise. Le ministre en charge de l’Effondrement économique depuis 2017 souligne désormais la nécessité de réformes, en matière de mobilité des salariés (via des politiques de logement agressives), de formation des séniors et d’indemnisation (à la baisse) du chômage pour maintenir une différence incitative entre revenus du travail et revenus de la redistribution. On dirait un programme électoral, sauf que l’équipe est déjà aux manettes…

Ce contenu est réservé aux abonnés

Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.

Connectez-vous si vous avez acheté un abonnement et/ou ce contenu.

S'abonner

Accédez à tous nos contenus.
Plus de 5 000 articles.

Acheter l'article

Déverrouillez cet article et obtenez un accès permanent pour le lire.

Mai 68 : une révolution de la société ouverte contre la France

Alors que la France continue d’être gouverné "par le chaos" et vers le chaos, il est opportun de revenir sur les évènements et les forces qui déstabilisèrent la France en mai 1968. Une séquence historique qui s’apparentait à une révolution colorée tant dans sa méthodologie que par ses objectifs politiques.

L’article Mai 68 : une révolution de la société ouverte contre la France est apparu en premier sur Strategika.

Comment vivre en ville avec le moins d’argent possible

Vivre avec moins d'argent pour compenser l'inflation, la perte de pouvoir d'achat, la perte d'un emploi, ou tout autre aléa de la vie entraînant une baisse de revenus, est plus facile à la campagne qu'à la ville. Voyons ce qu'il est possible de faire pour vivre en ville à moindre coût. Ceci sans investissements pharaoniques préalables, investissements uniquement accessibles à ceux qui, de toute façon, n'ont pas de soucis d'argent.

L’article <strong>Comment vivre en ville avec le moins d’argent possible</strong> est apparu en premier sur Strategika.

L'Algérie, le hirak et la France (La Vigie)

J'ai peu publié sur l'Algérie dans Egéa, même si j'ai toujours suivi attentivement ce qui se passait dans ce pays si proche. C'est pourquoi il est important de vous signaler le récent dossier, en lecture gratuite, que La Vigie consacre au sujet avec son dossier stratégique n° 11 : L'Algérie, le hirak et la France (daté du 30 mai 2019).

En effet, La Vigie suit attentivement le dossier maghrébin depuis de nombreuses années. Au centre du Maghreb et dans une relation ancienne à la France, il y a l’Algérie. Ce pays proche est un thème d’études régulier du Cercle euromaghrébin de La Vigie (CEM : lien) que nous conduisons depuis plus de deux ans. Ce Cercle réunit pour un échange de vues mensuel et informel quelques spécialistes ou experts intéressés par les questions euromaghrébines et par la perspective stratégique de la Méditerranée occidentale. Il va de soi que le Hirak (le mouvement) déclenché en Algérie depuis plusieurs mois a particulièrement mobilisé le CEM, d’autant plus qu’il entretient des contacts multiples avec des acteurs et chercheurs sur place, ce qui lui offre une vue précise de la situation en Algérie.

Aussi, après avoir été relativement discrets jusqu’ici à ce sujet (tout de même : deux lorgnettes du LV 112 et 115, un article du LV 117, un billet sur le site), il nous semble aujourd’hui opportun de faire valoir nos vues sur ce dossier qui intéresse la France au premier chef.

C’est pourquoi les deux rédacteurs habituels de La Vigie se sont associés la compétence et l’autorité du professeur Kader Abderrahim, maître de conférences à Science Po et membre du CEM.

Voici donc un texte à trois voix qui parle surtout de l’Algérie, mais aussi du Maghreb et de la France.

Cliquer ici pour télécharger l'étude au format pdf.

Source image

O. Kempf

❌