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Hier — 28 mars 2024Le courrier des stratèges

Taxer les super-profits ? En voilà une bonne blague…

Face à l’effondrement en cours de nos finances publiques, à la recherche d’au moins 50 milliards € d’économies, beaucoup de Dr Folamour de l’équilibre budgétaire ont une idée lumineuse : taxer les super-riches, et spécialement les super-profits des méchantes grandes entreprises qui profitent de la situation. Lorsque, en 2022, le sujet vint sur la table, on parlait alors de 12 milliards de recettes possibles, et même plus. Ce n’était que justice : ceux qui profitent du capitalisme de connivence doivent payer leur écot à la cause de l’Etat. Mais, l’affaire a fait “pschitt”. Le gain final est inférieur à 4 milliards. C’est que : taxer les super-profits, tout le monde est pour. Mais un super-profit, c’est quoi au juste ? Le pouvoir n’est pas une affaire d’intention, mais de compétence.

C’est comme toujours en France, on dépense trop. Et pour éviter de se serrer la ceinture, on invente des cagnottes cachées dans lesquelles il suffirait de puiser pour vivre heureux et sans souci. La théorie des “super-profits” n’y échappe pas.

Mettons les choses au clair : toute réglementation génère ses super-profits. Lorsque le gaz russe a été banni par une réglementation limitant le libre-échange avec la Russie, mécaniquement, les Etats membres de l’UE ont fabriqué des super-profits pour les énergéticiens qui se sont mis à profiter de la hausse des prix. Sans ce choix de sanctionner la Russie, on ne parlerait pas de super-profits dans l’industrie.

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Un amendement du MoDem pour supprimer l’élection présidentielle au suffrage universel

Un amendement glissé dans un débat sur l’article 49-3: le député Erwan Balanant, du MoDem, a proposé de revenir à un collège électoral pour élire le président de la République. Soyez prévenus: si vous critiquez M’sieur Erwan, vous êtes d’une “ignorance crasse”, vous ne voulez pas d’une vraie démocratie, vous ne connaissez rien à l’argumentation des juristes etc….En réalité, la manoeuvre est grosse comme une ficelle: la caste se demande comment éviter l’arriver de Marine Le Pen à l’Elysée. Et puis Emmanuel Macron pourrait, avec un nouveau collège électoral, se représenter, n’est-ce pas?

Le député MODEM Erwan Balanant a déposé un amendement visant à supprimer l'élection du président de la République au suffrage universel. Il propose qu'il soit élu par un collège électoral pour 7 ans. La proposition a été rejetée mais le culot de ces macronards est ahurissant. https://t.co/rV7xNXwdE1 pic.twitter.com/HNpakL73ES

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Certains policiers sont-ils des flemmards qui viennent juste chercher un salaire ?

Certains milieux identitaires transforment les policiers en héros des temps modernes et soutiennent que toute critique contre les dysfonctionnements de la police au jour le jour relèveraient de la trahison nationale. Pourtant… gavés de primes en tout genre et soigneusement protégés par le ministère de l’Intérieur, certains policiers ne donnent pas le sentiment d’avoir l’intérêt général chevillé au corps et, disons-le, font honte au jour le jour au service public et à sa noblesse. On en veut pour preuve le récit d’un médecin, menacé dans l’exercice de ses fonctions… et mal traité par le policier auprès de qui il voulait porter plainte.

Kevin Arnold est interne en troisième année de médecine générale. Son histoire est racontée par le très sérieux et très macroniste Quotidien du médecin :

Mi-décembre, un patient d’une quarantaine d’années consulte pour « un problème de dos ». Il refuse l’examen clinique et réclame d’emblée une prescription de médicament. Le généraliste en formation le recadre et lui explique calmement qu’il ne délivre pas de prescriptions sans examen préalable.

Le patient se montre de plus en plus agressif et menaçant, et exige le nom et le matricule du jeune interne pour se plaindre… à la Sécu. (…)

« Mais j’étais quand même un peu perturbé », poursuit l’interne, qui, sur les conseils de l’Ordre et de son maître de stage, décide de porter plainte au commissariat. Coup de chance, il est reçu tout de suite. Mais à partir de ce moment, Kévin va enchaîner les déconvenues. « Quand je leur ai parlé du protocole établi entre l’Ordre, la police et le préfet pour les dépôts de plainte des médecins, ils m’ont regardé l’air de dire : “Il est bien gentil celui-là, de quoi nous parle-t-il” ». L’agent censé prendre sa déposition fait tout pour le décourager, arguant qu’il a besoin d’éléments supplémentaires pour qualifier l’infraction. « Le patient n’avait pas menacé de me péter les dents ou de me tuer », grince la victime. « Ne pas vouloir écouter mon histoire, montrer des signes d’impatience et attendre d’une certaine façon que je renonce à déposer plainte, bref, l’attitude des policiers m’a presque plus choqué que mon agression elle-même », se désole le jeune interne. « On ne s’attend pas à être reçu de cette manière et à se retrouver soi-même à la place du suspect », ajoute-t-il.

Le Quotidien du médecin

Un jeune interne agressé dans un cabinet médical qui se retrouve dans la position de l’accusé lorsqu’il tente de porter plainte au commissariat ? Un policier qui a manifestement autre chose à faire que de servir le public ?

Mais non, il faut être gauchiste pour imaginer une affaire aussi rocambolesque concernant Saint-Poulet.

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Attal conduit-il la France dans un scénario à la grecque ou à l’argentine ?

Hier, Attal a profité de l’absence de Macron et de quelques autres (en voyage au Brésil) pour parler dans le poste. Le Premier Ministre a expliqué les différentes mesurettes qu’il compte prendre, et que nous avions détaillées, pour résoudre la crise systémique des finances publiques. Aucune réforme d’ampleur n’est prévue. L’engrenage se met en place : le canoë France s’approche du gouffre, et les rameurs n’ont pas la force de remonter le courant. Allons-nous vers un scénario à la grecque ? ou à l’argentine ?

Gabriel Attal a fait le choix de parler dans le poste, hier, pour expliquer les mesures qu’il comptait prendre pour endiguer la crise des finances publiques. Nous avions déjà annoncé l’essentiel (et même un peu plus). De l’intervention d’Attal, on retiendra plusieurs points :

  • le Premier Ministre a dicté sa feuille de route pour un durcissement des conditions d’indemnisation du chômage. On parle désormais de limiter l’indemnisation à 14 ou 15 mois, contre 18 mois aujourd’hui, et de diminuer l’indemnisation elle-même
  • pour le reste, Gabriel Attal a laissé planer le doute sur les augmentations d’impôt
  • il a écarté des augmentations d’impôts pour les classes moyennes et pour les entreprises
  • mais cette affirmation est bien vague : quid de la fiscalité écologique ? de celle des dividendes, si importante pour les entrepreneurs ?
  • la taxations des super-profits devrait être améliorée (càd mise réellement en pratique)

Mais on voit bien ce qui manque dans cette logique. Gabriel Attal effleure les sujets, se contente d’un catalogue de mesures éparses. Il n’entreprend aucune réforme de l’action publique destinée à diminuer durablement les dépenses.

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COVID : un journaliste du NYT accuse les scientifiques de “tromperie” sur la thèse de la fuite de laboratoire

Jusqu’à présent, il est impossible de confirmer définitivement l’origine du virus qui a provoqué la pandémie du Covid-19.Ancien journaliste du New York Times, Donald McNeil Jr accuse un groupe d’éminents scientifiques de l’avoir « clairement induit en erreur » concernant l’origine du Covid-19. Selon Donald McNeil Jr, ces experts ont minimisé la possibilité d’une origine artificielle du virus, induisant ainsi en erreur les journalistes et influençant la couverture médiatique.

Plus de quatre ans après le début de la pandémie, l’origine du Covid-19 reste encore inconnue, bien que de nombreuses enquêtes aient été menées. La thèse officielle du gouvernement chinois reste encore aujourd’hui, celle d’une origine naturelle du virus : une zoonose issue de la chauve-souris ou du Pangolin. Une thèse citée dans le rapport de l’OMS publié en mars 2021, largement critiqué parce que les autorités chinoises ont été fortement impliquées dans sa rédaction. En juin 2023, l’Office of the Director of National Intelligence (ODNI) ou bureau du directeur du renseignement national, avait publié un rapport de 10 pages tant attendu, qui fournit de nouveaux détails sur les conclusions de la communauté du renseignement américaine, mais ne permet pas de déterminer de manière définitive si la source du coronavirus est liée à une zoonose issue de la chauve-souris ou du Pangolin ou à un incident survenu dans un laboratoire. Actuellement, Donald McNeil Jr, ancien journaliste du New York Times, a exprimé son scepticisme envers l’hypothèse d’une fuite de laboratoire après avoir été influencé par des virologues épidémiologiques de haut niveau. Selon lui, ces experts lui ont fait croire que la fuite en laboratoire était la théorie la plus plausible. McNeil Jr accuse ces scientifiques de l’avoir induit en erreur dès le début de la pandémie, ce qui a influencé la couverture médiatique et conduit à un débat étouffé sur les origines du virus.

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ALERTE : les amis de Bayrou veulent faire payer le déficit aux entrepreneurs

Il y a donc deux France : d’un côté, celle des bureaucrates qui ont la garantie de l’emploi et qui creusent les déficits, de l’autre côté, celle des entrepreneurs qui se battent pour créer des richesses, qui risquent tout chaque jour, et qui sont allègrement tondus par la bureaucratie. Pour combler le déficit, François Bayrou et ses amis ont clairement choisi leur camp : ce sera celui des creuseurs de déficit. Les entrepreneurs paieront ! L’un des députés MODEM, Jean-Paul Mattéi, pourrait voir triompher l’idée qu’il ressort chaque année : le relèvement du taux du prélèvement forfaitaire unique sur les dividences, une mesure qui étrangle des entrepreneurs déjà surtaxés. Il faut s’organiser dès maintenant pour bloquer cette mesure scélérate.

Chaque année, ce notaire des Pyrénées-Atlantiques, département où sévit le septuagénaire François Bayrou, élu député après avoir été maire de la mystérieuse commune de Ger, propose la même chose : faire les poches des entrepreneurs en augmentant le prélèvement forfaitaire unique grâce auquel les entrepreneurs ne sont imposés qu’à 50% sur leurs dividendes. Rappelons-le, si, facialement, le prélèvement forfaitaire unique est à 30%, il intervient après l’impôt sur les sociétés, qui est de 25%.

Donc, un entrepreneur qui réalise 100.000€ de bénéfices, commence à en verser 25.000 au titre de l’impôt sur les bénéfices. Puis, s’il se verse les 75.000€ restants sous forme de dividendes, il doit ensuite payer une taxe de 30%, soit 22.500€. Ne restent donc que 52.500€ sur les 100.000€ initiaux… un niveau de taxation qu’aucun député n’accepterait pour lui-même, redisons-le inlassablement.

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Pour combler le déficit, Macron exonère les privilégiés et saigne les plus faibles

Après le coup de calebasse du déficit 2023 annoncé à 4,9% du PIB et malencontreusement effondré à 5,5% sans que personne ne s’en aperçoive, Macron est aux abois. Il n’a guère envie de consacrer du temps à ces menues choses qui concernent la vie quotidienne des Français, et préfère s’occuper de combattre l’ogre russe. Mais il a bien conscience qu’il va falloir satisfaire les agences de notation et convaincre les créanciers de continuer à acheter de la dette française. Solution ? on commence par serrer les vis des plus faibles, et à ne pas fâcher les privilégiés du régime : cette fameuse bureaucratie qui fait et défait les Présidents.

Donc, on le sait pertinemment maintenant, Bercy n’a pas vu le déficit 2023 exploser bien au-delà de ce que le Parlement avait voté. Et la Cour des Comptes, avant même ce dérapage, avait demandé 50 milliards d’économies pour tenir les engagements européens de la France et revenir aux fameux 3% de déficit de Maastricht. Nous reviendrons rapidement sur les demandes foisonnantes du parti de l’impôt, qui réclame des hausses de la pression fiscale tous azimuts.

D’ici là, on relèvera les premières pistes d’économies affichées par le gouvernement dans la presse :

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À partir d’avant-hierLe courrier des stratèges

Un avertissement venu du “Old Deep State”: Macron conduit à une guerre nucléaire

Ce sont des anciens des services secrets. Ils ont participé à la politique d’hégémonie américaine mais ils détestent l’idéologie des néoconservateurs. C’est pourquoi je les appelle, ironiquement, le ‘Vieil Etat Profond”. Ils sont réunis dans le groupe Veteran Intelligence Professionals for Sanity. (Ancien du Renseignement Chevronnés pour le Bon Sens). Il faut les écouter attentivement! Ils ont écrit à Biden pour l’avertir: Emmanuel Macron ne prend pas les Russes au sérieux. Il ne croit pas que les Russes frapperont des troupes françaises au sol. Par inconscience, il pourrait entraîner, au bout d’une chaîne de réactions, les Etats-Unis dans un affrontement nucléaire avec la Russie. Retenons en particulier cette phrase: “Un (…) facteur inquiétant est que les Russes sont susceptibles de croire que la folie de Macron a l’approbation tacite de certains responsables américains et occidentaux, qui semblent désespérés de trouver un moyen de modifier la trajectoire de la guerre en Ukraine – d’autant plus que les élections approchent”.

Ce texte est paru sur InformationClearingHouse.blog. C’est la rédaction du Courrier des Stratèges qui est responsable des intertitres et des passages soulignés.

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Kosovo : Kouchner était au courant du trafic d’organes sur des Serbes et n’a rien fait

L’opinion a souvent (ou pour beaucoup) oublié l’horreur du trafic d’organes protégé par l’OTAN et par Bernard Kouchner en 1999, lors de l’intervention destinée à “libérer” le Kosovo de la présence historique serbe, contestée par les bandits albanais de l’UCK. Ceux-ci ont profité des opérations militaires et de la protection occidentale pour alimenter la mafia albanaise en organes humains gratuits revendus à prix d’or aux quatre coins de la planète. Comme l’affirme le colonel Hogard, la justice considère que Bernard Kouchner n’a absolument rien dit… mais était parfaitement au courant.

Quels sont les crimes que l’OTAN, lorsqu’elle a occupé le Kosovo, a couverts, commis par la milice musulmane albanaise UCK contre les orthodoxes serbes ? Les médias occidentaux restent discrets sur le sujet. Pourtant… le pire y a existé, grâce à la cécité volontaire des troupes occidentales qui “libéraient” le Kosovo du joug serbe.

Jacques Hogard en témoigne, notamment au cours d’une longue interview qu’il nous a donnée hier.

C’est l’occasion de souligner le rôle de Bernard Kouchner dans cette affaire, grand partisan du droit d’ingérence humanitaire : la démocratie avant la paix, disent les néo-conservateurs très liés aux intérêts israéliens… et Kouchner est sur cette ligne, ne manquant jamais une occasion de pourfendre l’islamisme et de défendre les intérêts occidentaux. Manifestement, il s’agit là d’une doctrine à géométrie variable, lorsqu’il s’agit de combattre les chrétiens orthodoxes en s’appuyant sur des barbares musulmans.

Pour ceux qui seraient sceptiques, je rappelle ici le contenu du rapport Marty, de 2011, pour l’Assemblée parlementaire du conseil de l’Europe, sur le trafic d’organes commis par l’UCK en 1999, au bénéfice de la “guerre de libération” :

Souvenons-nous que l’OTAN et les USA produisent aussi de la propagande, et que, sous couvert de “libérer les peuples”, l’axe anglo-saxon et sa cinquième colonne, sont capables de justifier le pire au nom de la démocratie et de la liberté.

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Santé mentale: les garçons plus affectés que les filles durant le COVID, selon une étude

A cause de la crise COVID, nombreux jeunes ont été confrontées au stress, à la solitude, à la peur de la maladie, à l’anxiété … une nouvelle étude menée par des chercheurs de plusieurs universités britanniques révèle des différences importantes entre les garçons et les filles quant à l’impact de la pandémie sur leur santé mentale. Nombreux sont les jeunes garçons qui ont développé des sentiments dépressifs. En 2022, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, patron de l’OMS, avait déclaré que « les informations dont nous disposons actuellement sur l’impact de la COVID-19 sur la santé mentale dans le monde ne sont que la partie émergée de l’iceberg ». Pourtant c’est l’OMS qui a davantage encouragé ces politiques « enfermistes », comme toujours, l’OMS est dans son rôle favori celui du pyromane qui se fait pompier.

La crise du COVID a entraîné des conséquences considérables sur la santé mentale des adolescents à travers le monde. Selon une étude menée par les scientifiques de l’Université de Liverpool, de l’Université métropolitaine de Manchester, de l’Université de Reading et du King’s College de Londres, la pandémie de Covid-19, l’effet négatif de la pandémie du Covid-19 sur la santé mentale a été plus important chez les garçons que chez les filles. Les résultats ont été publiés dans le Journal européen de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent. En effet, si le Covid-19 a affecté physiquement les individus, il a également mis en exergue la hausse des syndromes dépressifs, notamment chez les jeunes.

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Déficit à 5,5% : le bal des faux-culs sur les vraies causes du naufrage commence

Depuis cet automne, nous alertons sur les risques qui devaient peser sur les finances publiques en 2024… et nous ne nous trompions pas complètement, puisque le dérapage du déficit est devenu une sorte de sujet à la mode. Et, sans grande surprise, il fait l’objet d’une savante opération de désinformation pilotée depuis Bercy et relayée consciencieusement par tous les journalistes encartés qui bouclent leurs fins de mois grâce aux subventions de l’Etat (au nom de la déontologie évidemment). Remettons donc quelques éléments au point pour dissiper ce grand enfumage sur les causes réelles de l’effondrement français.

Donc l’INSEE a confirmé le chiffre qui circulait depuis près de 15 jours : le déficit public en 2023 n’est pas de 4,9% du PIB comme initialement prévu et annoncé, mais bien de 5,5%, ce qui est beaucoup moins bien. Toute la question est de savoir pour quelle raison ce dérapage incontrôlé survient. Et, sur ce point, le gouvernement a une explication toute trouvée : les impôts rendent moins, la croissance est en berne. Circulez, y a rien à voir, c’est la faute de la croissance ! Et notre gestion n’y est pour rien, bien entendu.

Ces éléments de propagande ont été fidèlement repris par la presse subventionnée. Voici ce qu’écrit le Monde, par exemple :

Reprise intégrale de la doctrine officielle : le déficit dérape à cause du ralentissement de la croissance et de la baisse des recettes fiscales. Bien entendu, rien sur l’excès de dépenses, comme si, dans l’esprit du journaliste moyen, un déficit provenait forcément de la baisse de l’impôt mais ne pouvait pas provenir d’excès de dépenses. Et c’est bien l’objectif de Bercy, d’expliquer que, en matière de finances publiques, il faut regarder du côté de la croissance, des impôts, mais pas des dépenses de l’Etat. Surtout des dépenses des ministères, qui doivent être inattaquables.

Pourtant, nous avons rappelé quelques points, notamment cette hausse de 35% des dépenses de l’Etat depuis l’arrivée de Macron au pouvoir. Et nous avions signalé l’été dernier le dérapage permanent de ces dépenses… Mais si le gouvernement subventionne largement la presse, c’est bien pour faire oublier cet aspect gênant des choses, et concentrer l’attention sur la faiblesse de l’impôt.

L’INSEE a quand eu le bon goût de proposer un autre tableau pour mieux expliquer le phénomène :

Ce tableau détaille la dérive des différents postes de dépenses et de recettes de l’Etat, et on comprend mieux, en effet, la difficulté présente.

Du côté des recettes, d’abord, si, effectivement, les impôts ont marqué le pas par rapport à 2022, le racket des salariés par les cotisations sociales a progressé de 4,5%.

Du côté des dépenses, le gros morceau est constitué par les dépenses de fonctionnement, qui ont augmenté de 6%. Les prestations sociales ont augmenté de 3%. Les dépenses d’investissement ont augmenté de 8,5%. Cet investissement est essentiellement dû aux collectivités locales.

Il est donc évident que, le problème qui s’est posé tient moins à l’essoufflement des impôts qu’à l’explosion des investissements et des dépenses de fonctionnement des administrations.

Mais cet effort de lecture simple des tableaux de l’INSEE est au-dessus du niveau moyen de nos brillants journalistes subventionnés, qui adorent expliquer que ne pas reprendre les élements de langage du gouvernement et penser par soi-même, c’est du complotisme.

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Nicolas Dupont-Aignan renonce à aller aux européennes, faute d’argent

Ce matin, Nicolas Dupont-Aignan a annoncé qu’il renonçait à présenter une liste aux européennes. Il explique ce choix par le souci de ne pas éparpiller le vote souverainiste, et par la volonté de préserver ses moyens financiers en vue de la présidentielle. Florian Philippot et François Asselineau restent donc “seuls” en lice pour réclamer tous deux le Frexit.

Nicolas Dupont-Aignan jette donc l’éponge pour les européennes : trop d’argent, trop de temps, trop de dispersion. Si les sondages lui prédisaient un meilleur sort que Philippot ou Asselineau, le président de Debout la France risquait d’engloutir dans cette opération une importante somme sans espérance de décrocher un élu au Parlement européen.

Désormais, deux listes souverainistes devraient donc se “partager le gâteau” :

  • les Patriotes de Philippot devraient pouvoir déposer une liste et imprimer leur propagande électorale grâce au “trésor de guerre” accumulé par Florian Philippot durant le COVID et l’épisode du passe sanitaire. Nul ne sait toutefois si Philippot fera directement campagne pour le Frexit, ou s’il demandera un referendum en ce sens. Cette idée semble poussée par Jean-Frédéric Poisson, qui a quitté le mouvement zemmouriste
  • L’UPR de François Asselineau devrait également présenter une liste favorable au Frexit. Asselineau déclare avoir levé plus de 600.000€ à ce stade

Pour l’instant, chacun de ces listes est créditée de 0,5% dans les sondages… mais rien n’exclut qu’une surprise intervienne.

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Aux européennes, la caste veut gagner en agitant les épouvantails Trump et Poutine – par Ulrike Reisner

Par : Rédaction

Actuellement la nervosité règne non seulement dans les sièges des partis, mais aussi dans les groupes d’experts de la caste au pouvoir. Comment éviter que les élections de juin ne se transforment en un vote sur les échecs de l’UE ? Le mot d’ordre, surprenant, a été passé au sein des partis de gouvernement: si vous voulez gagner les élections, ne faites pas preuve de triomphalisme , car cela récolterait plus de résistance que de soutiens. Cela semble déroutant ? Bien sûr, mais des conseils comme celui-ci montrent qu’il y a un manque d’idées claires sur l’avenir de l’Union. On mise donc sur un concept qui a fait ses preuves – la propagation de la peur et de la terreur. Dans le doute, Trump et Poutine doivent être instrumentalisés pour inquiéter les gens et ainsi en tirer un profit politique.

L’inquiétude et la préoccupation se répandent parmi les partis pro-européens établis. L’échéance électorale de juin se rapproche, les pronostics se dégradent à vue d’œil. Selon un récent sondage , réalisé par Ipsos en collaboration avec Euronews, une union entre les conservateurs, les sociaux-démocrates, les libéraux et les Verts serait nécessaire : c’est la seule façon de s’assurer 453 sièges sur les 720 que compte le Parlement, et donc la majorité simple avec 62,9 %.

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Machabert : “L’hôpital public n’a pas de problème de budget, mais d’organisation”

Dans cet entretien avec Florent Machabert, nous abordons la question épineuse des moyens de l’hôpital public. Que valent les rumeurs folles selon lesquelles l’Etat se désengagerait de l’hôpital, et selon lesquelles “Macron aurait baissé le budget des hôpitaux” ? Rien ne vaut un bon retour aux chiffres…

Dans cette capsule, nous faisons un point sur les dépenses hospitalières qui n’ont cessé d’augmenté plus vite que le PIB depuis 1997, date de la première loi de financement de la sécurité sociale.

  • les dépenses des hôpitaux sont cadrées par un objectif national de dépenses d’assurance-maladie
  • cet objectif a très fortement augmenté, de façon continue, depuis 1997
  • régulièrement, les dépenses réelles ont d’ailleurs dépassé l’ONDAM, c’est-à-dire la prévision initiale en loi de financement de la sécurité sociale
  • les graves problèmes des hôpitaux publics ne peuvent donc être imputés à une imaginaire baisse des budgets, même si de nombreux défenseurs du monopole public véhiculent (avec malice) cette fausse rumeur
  • en revanche, l’extrême bureaucratisation de l’hôpital prive les services de soins de moyens importants, et entrave leur action
  • la culture managériale de la centralisation et de la verticalité ajoute à cette perte d’efficacité
  • le culte du “Big is beautiful” pousse à créer des hôpitaux géants qui déresponsabilisent les personnels
  • la verticalité imposée par le ministère de la Santé et par les ARS achève de paralyser les compétences individuelles

Seule une introduction de l’ordre spontané dans les hôpitaux publics permettra de rétablir l’efficacité des soins.

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Le Conseil de Sécurité vote une demande de cessez-le-feu: les USA lâchent-ils Netanyahu?

Le torchon brûle entre Biden et Netanyahu. Le Conseil de Sécurité des Nations-Unies vient de voter une résolution demandant un “cessez-le-feu immédiat” à Gaza. Aucun membre permanent n’a mis, cette fois, de veto. Les Etats-Unis se sont abstenus. Benjamin Netanyahu avait menacé les USA de rompre toute concertation avec Washington sur la suite de la guerre à Gaza si les Etats-Unis ne mettaient pas leur veto. Va-t-il mettre sa menace à exécution? En tout cas, chaque jour qui passe isole un peu plus le Premier ministre israélien et son gouvernement sur la scène internationale

Le Conseil de Sécurité des Nations Unies a voté, pour la première fois depuis le 7 octobre, une résolution de cessez-le-feu pour Gaza:

Le texte présenté par les 10 membres non permanents du Conseil a reçu 14 votes pour et une abstention (Etats-Unis). Les cinq membres permanents du Conseil sont : Chine, Etats-Unis, France, Royaume-Uni et France.

Dans la résolution, les membres du Conseil de sécurité se déclarent « profondément préoccupés par la situation humanitaire catastrophique qui règne dans la bande de Gaza » et prennent note de l’action diplomatique en cours menée par l’Égypte, les États-Unis et le Qatar, « visant à parvenir à la cessation des hostilités, à obtenir la libération des otages et à accroître la fourniture et la distribution de l’aide humanitaire ».

Dans ce contexte, la résolution du Conseil adoptée lundi « exige un cessez-le-feu humanitaire immédiat pendant le mois du Ramadan qui soit respecté par toutes les parties et mène à un cessez-le-feu durable ».(…)

Elle « exige également la libération immédiate et inconditionnelle de tous les otages et la garantie d’un accès humanitaire pour répondre à leurs besoins médicaux et autres besoins humanitaires, et exige en outre des parties qu’elles respectent les obligations que leur impose le droit international à l’égard de toutes les personnes qu’elles détiennent ».

Les membres du Conseil insistent enfin « sur la nécessité urgente d’étendre l’acheminement de l’aide humanitaire aux civils et de renforcer la protection des civils dans l’ensemble de la bande de Gaza » et « exigent à nouveau la levée de toutes les entraves à la fourniture d’une aide humanitaire à grande échelle ».

unnews.org, 25 mars 2024

Benjamin Niet-anyahu

Le Premier ministre israélien avait menacé, avant le vote:

Si les États-Unis n’utilisent pas leur droit de veto au Conseil de sécurité aujourd’hui, j’annulerai la visite de la délégation israélienne à Washington.

The Cradle, canal Telegram, 25 mars 2024

La visite à Washington en question faisait suite à l’entrevue entre Netanyahu et Blinken, vendredi 22 mars: le Premier ministre israélien ne voulait toujours pas en démordre, quant à la nécessité d’une offensive terrestre à Rafah mais il voulait bien envoyer des représentants de son gouvernement discuter des modalités….

La menace n’a pas eu l’effet escompté. Mais à Tel-Aviv on s’obstine:

Bureau de M. Netanyahu :

“Le retrait des États-Unis de leur position nuit aux efforts visant à libérer les personnes enlevées, car il donne au Hamas l’espoir que la pression internationale lui permettra d’accepter un cessez-le-feu sans la libération des personnes enlevées.

The Cradle, canal Telegram, 25 mars 2024

Ce n’est pas ce que dit la résolution, à vrai dire, qui demande la libération inconditionnelle de tous les otages – point d’ailleurs inacceptable pour le Hamas. Mais Netanyahu n’écoute plus rien: il ne veut pas cesser la guerre, en fait.

La capacité de survie politique du Premier ministre israélien est légendaire. Mais combien de temps pourra-t-il encore tenir si Washington le lâche?

La France devient-elle le seul pays européen qui soutient l’Ukraine ?

Assez curieusement, on entend peu parler du dernier conseil européen, tenu jeudi et vendredi à Bruxelles, où les Etats-membres de l’Union évoqué la question de l’Ukraine et de la défense européenne. Ils ont aussi parlé de Gaza. Mais… silence radio. Dans les faits, les Européens ne sont guère parvenus à mettre de l’argent frais sous les déclarations ronflantes en faveur de Zelinsky. Et ils confirment leur renoncement aux traditions libérales en affirmant vouloir utiliser les avoirs russes gelés pour financer la reconstruction en Ukraine. Entre autres…

Comme on le voit, le Conseil européen n’a guère marqué d’évolution majeure dans les positions de l’Union européenne.

  • sur l’Ukraine, la réunion a surtout permis a renvoyé au conseil des ministres de la Défense le soin d’apporter une nouvelle aide financière à un Zleensky aux abois. Ce délai accordé montre bien la difficulté aujourd’hui (savamment passée sous silence) de faire l’unanimité du Conseil sur un soutien de plus en plus coûteux à une Ukraine aux abois
  • le Conseil a validé l’idée d'”affecter au profit de l’Ukraine les recettes exceptionnelles provenant d’avoirs russes immobilisés, y compris la possibilité d’un financement du soutien militaire.” Cette utilisation des taux d’intérêt produits par les avoirs russes pourrait s’avérer désastreuse à long terme, pour nos banques
  • en matière de défense, le Conseil s’est surtout contenté d’incantations, tout en rappelant que l’OTAN demeurait le centre de gravité de notre dispositif militaire…
  • concernant Gaza, l’Union a appelé à un cessez-le-feu immédiat

Bref, en dehors de Macron, personne ne se bouge plus vraiment pour faire avancer la machine européenne.

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Breton demande accès à toutes les données numériques privées des souverainistes

Thierry Breton est décidément le meilleur ami de la dictature par Bruxelles, et le meilleur idéologue de l’Europe de la surveillance. Cette semaine, il devrait publier des directives à destination des plateformes pour réquisitionner l’accès aux données de connexion des opposants au régime, regroupés sous l’étiquette des ingérences étrangères. Au passage, personne ne juge utile de signaler que ces données permettent de connaître les intentions de vote… et de procéder à des opérations ciblées de contre-influence. Ou comment truquer les élections sans l’avouer.

Soumettre les grandes plateformes numériques (le réseau X compris) à des exigences dignes d’une dictature communiste en matière de violation de la vie privée et de liberté d’expression, tel est l’exercice commencé par le Digital Services Act, la directive totalitaire de l’Union, l’été dernier, et que Thierry Breton poursuit sans discontinuer et sans rien lâcher. Alors que les élections européennes approchent, et s’annoncent comme une victoire populiste, la Commission veut optimiser ses chances d’entraver la parole souverainiste, sous le prétexte fallacieux bien connu de lutter contre les “inégrences étrangères” et, au besoin, de changer l’issue finale du vote.

Donc, cette semaine, pour parvenir à ces objectifs “libéraux”, la commission devrait publier des directives complémentaires à destination des huit grandes plateformes numériques (Telegram n’en fait pas partie) pour qu’elles prennent des mesures pour que les réseaux sociaux “ne soient pas utilisées à mauvais escient pour manipuler nos scrutins”… Superbe inversion accusatoire.

Dans le panel de mesures, la Commission demande pudiquement d'”accorder au régulateur un accès à leurs algorithmes”. Cette expression savante dissimule derrière des concepts mathématiques ce qu’on appelle couramment la surveillance par l’algorithme, parallèlement demandée à titre permanent en France par le président de la commission des Lois à l’Assemblée, le macroniste de gauche Sacha Houlié. Cette surveillance consiste à fournir aux services de renseignement tout le contenu des comptes sociaux des internautes.

Cette transmission est importante, parce qu’elle permet, à grande échelle, de prédire assez précisément les intentions de vote des opposants (et de leurs amis), et, éventuellement de cibler des messages destinés à modifier leur comportement ou leur opinion.

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Canada : Musk financera les frais de justice d’une soignante réfractaire aux injections COVID

Le réseau social X, anciennement connu sous le nom de Twitter, a récemment annoncé son engagement à contribuer financièrement aux frais juridiques de la Dre Kulvinder Kaur Gill. Cette pédiatre de Brampton, en Ontario, a été réprimandée par les autorités pour ses tweets anti-vaccin Covid. Un des tweets de la médecin affirmait que les vaccins COVID n’étaient pas nécessaires.

I've been overwhelmed by outpouring of kindness & generosity of Cdns & people globally. I'm reading all of your msgs/prayers. My sincerest thank you💛

We're at ~50% of fundraising goal of $300K with only 4 days left until deadline

Pls donate what you canhttps://t.co/b0cc5pZIBk https://t.co/AnV2vkG7G3

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Comment Macron va vous racketter pour réparer ses dégâts et ses dettes

Les lecteurs du Courrier ne le découvrent pas : l’obésité et la cupidité de la bureaucratie qui tient le pouvoir sont devenues des menaces létales pour la démocratie. Pour éviter tout effort, la bureaucratie de l’Etat est bien décidée à faire payer le reste du pays pour conserver son mode de gouvernance autoritaire et un exercice solitaire du pouvoir par Emmanuel Macron et la caste qu’il représente. Après sept ans de malgoverno français, le pouvoir en est réduit à la faillite pour acheter la paix sociale. Et maintenant, l’heure de l’addition approche.

Macron est arrivé au pouvoir en 2017. Depuis son élection, les dépenses de l’Etat ont augmenté de 35% ! Cette explosion s’explique largement par le besoin d’acheter la paix sociale au moyen de nombreuses aides, et par le souci de soigner sa base électorale. Macron est le candidat des fonctionnaires, ne l’oublions jamais.

Sauf que la situation, comme nous l’indiquons régulièrement, devient intenable :

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Ah, si seulement Bruno Le Maire était ministre de l’Economie ! par Florent Machabert

L’info de la semaineL’inflation fait préférer le cash aux Français -Mauvaise nouvelle pour l’euro numérique ! Depuis l’automne 2021, comme expliqué dans Finance & Tic, les Français ont montré un regain d’intérêt pour les espèces, qui s’est accentué en 2023 : une tendance attribuée à l’inflation galopante et que la désinflation actuelle n’est pas venue démentir. Le baromètre annuel Ifop révèle ainsi que 83% des Français se déclarent attachés au cash, avec une utilisation quotidienne en hausse, puisqu’elle concerne désormais près de 3 Français sur 4. Cette « préférence pour la liquidité », comme eût dit Keynes, s’explique selon les intéressés eux-mêmes par « sa gestion budgétaire plus aisée », notamment en période d’inflation, où le paiement en espèces permettrait de mieux contrôler ses dépenses.

Même si l’argent liquide conserve une forte dimension symbolique dans les périodes d’incertitude, le fait d’épargner en cash, pour se rassurer, traduit surtout une certaine méfiance envers l’avenir. Espérons que le déclin économique dans lequel la France s’enfonce ne se transforme pas en récession inflationniste à la faveur du début de flambée des cours du pétrole (voir notre dernière rubrique ci-dessous). Vous pourriez alors devoir ressortir votre brouette, comme pendant la République de Weimar…

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12 morts et 130 blessés au “Crocus City Hall” à Moscou! Les USA savaient-ils?

Un attentat a eu lieu ce soir à Moscou, dans un bâtiment abritant une salle de concert et des magasins. Les USA savaient-ils que quelque chose se tramait? Au moment où nous publions, on fait état d’au moins 12 morts et 130 blessés. Mais, outre une fusillade, les terroristes ont déclenché un incendie et il est difficile de savoir combien de personnes sont prisonnières des flammes. Les réseaux sociaux se sont enflammés suite à la diffusion d’une capture d’écran: une alerte de sécurité diffusée par l’ambassade américaine en Russie il y a deux semaines, qui annonçait un potentiel attentat dans une salle de concert. Le lien sur le site de l’ambassade est toujours actif….

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Finances publiques : chronique d’une catastrophe annoncée

Nous reviendrons longuement dimanche sur la situation des finances publiques et sur l’arrivée prévisible du parti de l’impôt, qui devrait proposer de rançonner les Français pour rétablir les comptes. D’ici là, nous donnons quelques chiffres-clés sur le désastre qui s’annonce.

Selon les informations qui circulent désormais tous azimuts, la situation des finances publiques connaît une détérioration brutale qui donne des sueurs froides au gouvernement. Plusieurs chiffres-clés circulent qui indiquent l’étendue des dégâts :

  • intialement, le déficit 2023 devait être de 4,9%. Retraité par Bercy, il s’élèverait finalement à 5,6% du PIB. C’est un coup de tonnerre, qui souligne l’affaiblissement de Bercy, et l’incompétence, une fois de plus, de Bruno Le Maire.
  • la prévision d’un déficit de 4,4% en 2024 paraît d’ores et déjà une histoire ancienne
  • la Cour des Comptes estime qu’il faut réaliser 50 milliards d’économies d’ici 2027
  • les agences de notation devraient réexaminer la note de la France prochainement : le 26 avril pour Fitch et Moody’s, le 31 mai pour Standard and Poor’s
  • potentiellement, la France pourrait donc subir une forte attaque spéculative avant les élections européennes…

Ne manquez nos publications de dimanche sur le sujet.

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Comment le Crédit Agricole fait des bénéfices colossaux sur votre dos…

Dans le capitalisme de connivence qui nous domine, les banques tiennent un rôle de choix : puissantes, elles ont la faculté d’obtenir des réglementations favorables et protectionnistes pour leurs intérêts, comme elles ont la faculté de bloquer des réformes qui pourraient leur nuire. L’affaire de l’assurance emprunteur illustre parfaitement ce type d’arrangements loin des regards. Une banque comme le Crédit Agricole a pu dégager des dizaines de milliards de bénéfices depuis des années grâce à ce dispositif pas complètement d’équerre avec les règles de la concurrence. Mais elle n’est pas la seule : quelques banques en ont bien profité.

L’assurance emprunteur est une assurance-vie que vous êtes obligé de souscrire lorsque vous contractez un emprunt.

  • très longtemps, les banques ont pu obliger les clients à souscrire au contrat d’assurance emprunteur qu’elles proposaient en même temps que le crédit
  • les politiques de défiscalisation dans l’immobilier ont permis aux banques de “caser” de nombreux contrats d’assurance emprunteur dans des conditions non-concurrentielles, et parfois opaques (sur ce point, voire notre article “patrimoine” du jour, sur l’intérêt ou non d’acheter de l’immobilier défiscalisé pour préparer sa retraite et la vidéo ci-dessous)
  • ce marché est très cartellisé
  • encore aujourd’hui, faute d’une concurrence suffisante, les banques peuvent placer ces contrats qui sont surfacturés
  • un rapport de l’IGF de 2013 affirme que la surfacturation des contrats était d’environ 50%
  • des évolutions législatives ont permis une mise en concurrence, mais leur effet reste encore limité

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L’avertissement russe: si Macron veut la guerre, il l’aura !

Le porte-parole du Kremlin Dimitri Peskov a utilisé pour la première fois le terme de “guerre” pour caractériser l’intervention russe en Ukraine. Jusqu’à présent, les déclarations officielles russes s’en tenaient à la terminologie de “l’Opération Spéciale”. Même si cela fait ricaner les innombrables imbéciles qui fréquentent les allées du pouvoir et les plateaux de télévision à Paris, la distinction entre “guerre” et “opération spéciale” permet à Moscou d’ignorer officiellement la présence de combattants venus des pays de l’OTAN; et donc d’éviter toute escalade. Pataugeant avec toute la vanité dont il est capable dans son inculture et son absence de compréhension des règles de la diplomatie et de la guerre, Emmanuel Macron laisse diffuser des photos traitées par intelligence artificielle pour montrer des biceps usurpés; mais il est incapable de comprendre les vertus de ce qui reste implicite dans les relations internationales, permettant aux acteurs d’une confrontation de disposer de portes de sortie. Le porte-parole de la présidence russe est donc très clair: si Emmanuel Macron veut la guerre, il l’aura!

Le porte-parole du Kremlin; Dimitri Peskov, pèse chacun de ses mots. Voici ce qu’il a déclaré au média russe Argumenti i Fakti ce 22 mars 2024:

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Surplombant la dette, la création sans limite de fausse monnaie, par Jean Goychman   

D’une façon cyclique, le problème de la dette réapparait à la une des médias. C’est un peu le « monstre du loch Ness » destiné à réactiver la peur de l’inconnu pour nous rappeler que nous vivons « au-dessus de nos moyens » et que tel le « marchand de Venise » nos créanciers vont bientôt exiger « livre de chair » que nous devons leur donner. Et, comme toujours, les partisans des différentes doctrines vont monter à l’assaut pour proposer la solution qu’ils défendent avec constance.

Les uns diront que « l’État dépense trop », d’autres que « les riches doivent payer » ou que « l’immigration coûte trop cher » Bref, toutes les idéologies ont leur solution…

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Emmanuel Macron : seule menace existentielle pesant sur la France ! par Jean-François TACHEAU

Emmanuel MACRON est un acteur de génie. La réalité, c’est qu’il aurait pu rivaliser avec Heath Ledger qui fit une remarquable interprétation du Joker dans The Dark Knight (2008) et avec Robin Lord Taylor, qui fit un excellent pingouin dans la série Gotham.Il est manifestement imbattable dans les rôles de bad guys. Et la petite rétrospective des rôles qu’il a endossés dans la vraie vie est tout simplement stupéfiante.

Le 14 mars dernier, Emmanuel Macron s’est efforcé de préparer les Français à entrer dans une économie de guerre en interprétant à la perfection un nouveau rôle, celui de BIG BROTHER en attribuant toute la responsabilité de la situation dans laquelle nous nous trouvons aux Russes et au régime de Vladimir Poutine.   L’interview de Gilles Bouleau et d’Anne-Sophie Lapix avait pour objectif d’éclairer les Français suite à l’annonce sidérante du 26 février d’un possible envoi de troupes au sol sur le territoire ukrainien, suite au -très anticonstitutionnel- accord de défense signé avec l’Ukraine le 16 février, visant la réintégration de tous les territoires annexés par la Russie, Crimée comprise, et son intégration dans l’Union Européenne et l’OTAN, (une alliance militaire constituée contre la Russie permettant surtout aux Américains de vendre leurs matériels).

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Epargne retraite : la grosse erreur à ne pas commettre avec l’immobilier défiscalisé

Nous avons évoqué la nécessité de préparer soigneusement sa retraite, surtout si l’on est cadre, dans la perspective des inévitables baisses qui se préparent. Nous vous avons déjà mis en garde contre les erreurs à ne pas commettre dans ce domaine. Aujourd’hui, pour les abonnés de la chaîne Youtube “Patrimoine”, nous expliquons quelles erreurs à ne surtout pas commettre avec la défiscalisation immobilière… car elle pourrait vous coûter très cher.

Quel contribuable n’a pas été sollicité par du “Robien”, du “Scellier”, du “Pinel”, du “Girardin” et autres investissements immobiliers supposés permettre une défiscalisation substantielle ? Certains préconisent d’avoir recours à ces dispositifs pour nourrir son épargne retraite. Je crois précisément le contraire. Ces investissements peuvent se révéler ruineux, et je vous explique ici pourquoi ils n’enrichissent que les banques et les promoteurs immobiliers.

Cette vidéo est à rapprocher de notre article consacré aux pratiques bancaires en matière immobilière.

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Semaine Sainte : ces 8 jours où Jésus a percuté le judaïsme

La Semaine Sainte commence dimanche. Pour cette occasion, Edouard Husson nous propose un urbi et orbi qui revient sur les circonstances historiques de cette semaine qui a changé le judaïsme, et qui a façonné le monde chrétien pour les 2.000 ans qui ont suivi. Quelle est la part de récit historique dans les Evangiles ? Quelle est la part de foi religieuse ? Nous y revenons pied à pied, point par point.

Une semaine avant sa crucifixion, Jésus de Nazareth arrive à Jérusalem. Pendant les sept jours qui s’ouvrent, des événements qui vont changer la face du monde surviennent.

  • Jésus est accueilli triomphalement par les “petites gens” de la capitale juive
  • quelques jours plus tard, il est arrêté
  • sa “passion” est à l’origine d’un monde nouveau qui mettra plusieurs siècles à émerger
  • aujourd’hui, il existe une concurrence mémorielle et archéologique à Jérusalem, qui complique l’histoire du christianisme

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Tuberculose : hausse alarmante des décès en Europe, selon l’OMS

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a annoncé que la Région européenne a enregistré plus de 7.000 décès supplémentaires dus à la tuberculose pendant les trois années de la pandémie de Covid-19. Selon un rapport de l’OMS, le COVID a entraîné des perturbations dans le dépistage, le diagnostic et le traitement de la tuberculose. Pour  l’OMS , la lutte mondiale contre la tuberculose doit de nouveau être renforcée, car la crise Covid a perturbé les services de santé du monde. Si l’agence onusienne appelle à une action urgente pour rétablir la situation, on se demande pourquoi l’OMS a-t-elle autant encouragé ses politiques enfermistes?

L’une des conséquences tragiques de ces perturbations des systèmes de santé à travers le monde, est l’impact sur la lutte contre la tuberculose, comme le souligne un récent rapport de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Selon le rapport de l’OMS, la région européenne se remet progressivement de la pandémie de COVID-19, mais elle continue de subir les effets néfastes de celle-ci sur la gestion de la tuberculose. Les données les plus récentes révèlent une augmentation des notifications de tuberculose dans 38 États membres européens de l’OMS.

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Une étude révèle les risques de la ventilation mécanique chez les patients COVID en soins intensifs

Durant la crise Covid-19, l’utilisation d’une assistance ventilatoire mécanique faisait partie des soins attribués aux patients atteints du Covid-19 souffrant d’hypoxie. Une nouvelle étude, publiée dans JAMA, suggère que viser des niveaux d’oxygène plus bas pourrait être plus bénéfique pour les patients souffrant d’un faible taux d’oxygène ou d’hypoxie. Cette recherche remet en question l’idée selon laquelle des niveaux d’oxygène plus élevés sont toujours préférables et souligne l’importance de réévaluer les pratiques de gestion de l’oxygène dans les unités de soins intensifs pour améliorer les résultats cliniques des patients.

La gestion des niveaux d’oxygène chez les patients atteints de COVID-19 en unité de soins intensifs (USI) a été un défi majeur pour les professionnels de la santé depuis le début de la pandémie. Une nouvelle étude vient de révéler que le niveau d’oxygénation supplémentaire devrait être plus faible.

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De Gaulle a-t-il voulu rétablir la monarchie ?

Dans cet entretien avec Yves-Marie Adeline, nous abordons une question somme toute assez méconnue de la geste gaullienne : le grand Charles rêvait-il ou non de rétablir la monarchie en France ? Dans cette mise en perspective, Yves-Marie Adeline nous rappelle les relations complexes du général avec Henri, comte de Paris, qu’il espéra un temps installer sur le trône de France.

Dans cette interview, on notera :

  • le lien historique tissé dès les années 40 entre le général De Gaulle et le comte de Paris, héritier du trône
  • l’espoir, caressé dans les années 50 et 60, de rétablir une monarchie en remplacement du système des partis que le général De Gaulle abhorrait
  • l’impossibilité de rétablir la monarchie, constatée dans les années 60
  • l’imprégnation, dans les institutions de la Vè République, de l’idéal monarchiste

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Allemagne : neutralité climatique grâce à la réduction du PIB ? par Ulrike Reisner

Par : Rédaction

L’Office fédéral allemand de l’environnement a récemment publié ses prévisions sur l’évolution des émissions de gaz à effet de serre. Ces données doivent montrer que l’objectif de protection du climat pour 2030 – une réduction d’au moins 65 % par rapport à 1990 – pourrait être atteint. Enfin une bonne nouvelle pour Robert Habeck. Mais pendant que celui-ci exulte, le nombre de faillites augmente en Allemagne, de plus en plus d’entreprises délocalisent leur production à l’étranger en raison de coûts trop élevés.

C’était une bonne journée pour Robert Habeck : avec 673 millions de tonnes, les émissions de gaz à effet de serre de l’année dernière auraient déjà baissé d’environ 10% par rapport à 2022, ont annoncé le ministère de l’Economie et l’Office fédérale de l’environnement. Il s’agirait de la plus forte baisse depuis la réunification en 1990.

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Brésil : Jair Bolsonaro inculpé dans l’affaire de faux certificats de vaccin

Selon CNN Brasil mardi, l’ancien  président brésilien Jair Bolsonaro est confronté à des accusations de fraude, selon lesquelles il aurait ordonné la falsification des données de vaccination contre le Covid-19 pendant son mandat. Ces allégations ont été rendues publiques par la police fédérale brésilienne. Pour ses proches, cet acharnement de la justice n’est qu’un prétexte pour priver Bolsonaro de ses droits politiques et l’empêcher ainsi de se présenter aux prochaines élections.

Durant le Covid, l’ancien président brésilien, Jair Bolsonaro avait toujours affiché son opposition à la vaccination et aux pass sanitaire. Selon les médias locaux, il a été entendu par la police fédérale dans une affaire de falsification de cartes de vaccination. Selon la police, Jair Bolsonaro aurait ordonné à l’un de ses proches collaborateurs d’entrer de fausses données de vaccination pour lui-même et sa fille dans le système du ministère de la Santé. Il est accusé d’avoir falsifié les données de vaccination contre le Covid-19 pendant qu’il était au pouvoir. Bolsonaro a toujours nié catégoriquement les accusations portées contre lui. Il a affirmé que cette affaire est une tentative de nuire à sa réputation et de le discréditer politiquement. Battu au second tour à la présidentielle d’octobre 2022, Bolsonaro et sa famille avaient quitté le Brésil deux jours avant l’investiture de son successeur de gauche – Luiz Inacio Lula da Silva – pour séjourner durant trois mois aux États-Unis.

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Meyssan : “Un tiers des amputations sans anesthésie à Gaza se fait sur des enfants”

Dans cette interview (quinzomadaire) de Thierry Meyssan, nous dressons un point de la situation humanitaire dramatique dans laquelle se trouve les habitants de Gaza, et la stratégie d’éviction délibérée menée par les Israéliens pour expulser les Palestiniens et pratiquer un nettoyage ethnique. Au-delà des considérations de géopolitique, il n’est pas inutile de rappeler les souffrances inhumaines que l’Occident inflige à des civils au nom de ses narratifs néo-conservateurs.

Dans cette interview quinzomadaire, Thierry Meyssan nous dresse le panorama de la situation à Gaza, qui est tragique :

  • le blocus israélien crée une crise humanitaire qui, dans le mois qui vient, va se révéler abominable : la mort de dizaines de milliers de civils est programmée
  • l’armée israélienne se livre sans vergogne à des crimes de guerre inexcusables
  • l’objectif est de pratiquer un nettoyage ethnique en Palestine

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L’économie de guerre Française : un leurre ! par Michel Goldstein

LE BILLET D’HUMEUR DE LA LISTE “NON! PRENONS-NOUS EN MAINS!” – La France est-elle passée en économie de guerre comme l’annonce le Président de la République ? Le secteur de l’armement en France, c’est quatre mille entreprises. Et c’est vrai, elles produisent en ce moment à des cadences inhabituelles.

MBDA, par exemple, (détenue par Airbus 37,5%, BAE systems 37,5% et Leonardo 25%) a ainsi doublé ses commandes en 2023.Mais la réalité est autre, les difficultés sont considérables ; on manque de poudre pour les obus mais aussi des matières premières pour la fabriquer, la Chine ayant interrompu ses livraisons.

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Attention à l’euro-assignat, par Yves-Marie Adeline

Par : Rédaction

Certes, il faut se méfier des prophètes de l’apocalypse financière, qui se contentent de s’asseoir sur une horloge, annoncent qu’à un moment il sera quatorze heures, et attendent que les aiguilles de l’horloge leur donnent raison : une fois sur douze, leur prédiction se réalise infailliblement. Prudence, donc, il y a des gens qui en font leur fonds de commerce.

Ce qui n’empêche nullement de regarder ce qui se passe dans le secteur bancaire en ce moment. La Banque Centrale Européenne a déclaré accuser pour 2023 une perte d’un milliard trois cents millions d’euros : pour l’éponger, elle a dépensé ses provisions pour risques financiers.

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Stop ou encore? L’Etat-major veut déployer 20 000 soldats français en Ukraine

Déployer 20 000 soldats français en Ukraine? Affronter la Russie? Le général Schill, Chef d’Etat-Major de l’Armée de Terre (CEMAT), donc l’un des plus hauts gradés français, en parlait ouvertement hier 19 mars dans le journal “Le Monde”. Une partie de notre monde dirigeant est prise d’une douce folie. La Russie serait une petite puissance, surestimée. La France serait en moyen, avec d’autres pays de l’Union Européenne, de déployer quelques dizaines de milliers d’hommes et de tenir le Dniepr. Une analyse détaillée de l’analyste militaire Simplicius nous aide à faire le point sur ce qui se passe dans les coulisses du pouvoir à Paris. Dans l’objectif de mettre les Français devant le fait accompli? Ou bien dans une fuite en avant pour tenter (vainement) de repousser la terrible onde de choc que produira l’annonce de l’effondrement militaire ukrainien?

Simplicius, l’un des meilleurs chroniqueurs de la guerre d’Ukraine, le dit sans détours:

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L’OTAN semble avoir activé le parti de la guerre en Europe : attention au pire !

Il y a deux semaines, Emmanuel Macron était encore seul à évoquer l’envoi de troupes en Ukraine pour affronter la Russie, se heurtant au ricanement incrédule de la foule et des observateurs. Mais, progressivement, l’ambiance change : l’OTAN semble activer le parti de la guerre, qui appelle désormais ouvertement à l’envoi de troupes. De toutes parts, les voix s’élèvent pour rouler des mécaniques et encourager à l’affrontement direct avec la Russie. Attention à l’issue désormais prévisible de ces incantations : quelqu’un finira bien par appuyer sur le mauvais bouton.

Il y a quelques jours, donc, Emmanuel Macron a lancé les hostilités à l’occasion d’une conférence sur la sécurité en Europe, appelant à déployer des troupes en Ukraine. Nous avons largement abordé ce sujet, en suggérant d’ailleurs que, sans attendre la moindre validation de quiconque, l’opération avait commencé.

Ce qui paraissait farfelu il y a quinze jours encore devient désormais une sorte d’incantation collective portée par ce que l’on doit désormais appeler le parti de la guerre.

Nicolas Tenzer, le lobbyiste du Deep State US

Nicolas Tenzer est un lobbyiste assumé du complexe militaro-industriel américain. Figure emblématique de l’Aspen Institute France, il est à la tête d’un think tank ouvertement otaniste.

🔴Guerre en Ukraine ➡ Emmanuel Macron a "totalement raison" d'envisager l'envoi de troupes pour contrer la Russie même si "ce n'est pas souhaitable", selon Nicolas Tenzer enseignant à Sciences Po, spécialiste des questions géostratégiques #8h30franceinfo pic.twitter.com/8y1d23UMFC

— franceinfo (@franceinfo) March 17, 2024

Ses premières interventions guerrières datent d’il y a trois semaines, ce qui constitue déjà une sérieuse indication sur le caractère concerté de la campagne favorable à l’envoi de troupes en Ukraine. Depuis les propositions d’Emmanuel Macron, Tenzer est un invité fréquent des médias favorables à l’OTAN. Il y multiplie les déclarations fracassantes, dont celle-ci :

«On n’a jamais gagné une guerre quand on combat en arrière de cour, quand on fait combattre notre guerre par quelqu’un d’autre. Il y a un moment, il faut se poser directement la question de l’engagement. Et c’est ce tabou qu’Emmanuel Macron a voulu lever.»

Et d’après l’ancien haut fonctionnaire, «la Russie n’est pas si puissante que ça». «Économiquement, la Russie est un nain qui est en train de décliner. Elle connaît une fuite des capitaux, des talents. Voyez l’état des hôpitaux, des infrastructures, des écoles», a-t-il poursuivi.

Nicolas Tenzer

La Russie, un nain qui est en train de décliner…

Charles Michel, le président du Conseil européen

Autre intervention qui mérite d’être notée : celle de Charles Michel, le président du Conseil européen, qui appelle ouvertement à préparer la guerre.

Nous devons donc être bien préparés en matière de défense et passer en mode “économie de guerre”. Il est temps d’assumer la responsabilité de notre propre sécurité. Nous ne pouvons plus compter sur d’autres ou être à la merci des cycles électoraux aux États-Unis ou ailleurs.

Charles Michel

Tiens, l’expression “économie de guerre” est posée, histoire de bien préparer les esprits.

Progressivement, donc, on voit le parti de la guerre s’affirmer, avec cette idée qu’il faut se préparer au pire avec d’autant plus légèreté que la Russie est un nain…

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La masse salariale de l’Etat a augmenté de 17% depuis l’arrivée de Macron au pouvoir

Une théorie répandue veut que Macron soit un affreux néo-libéral qui diminue les moyens de l’Etat et fasse les beaux jours du “marché”. C’est bien méconnaître les arcanes du capitalisme de connivence, qui permet en même temps de faire prospérer la bureaucratie et d’enrichir les copains. La preuve ? Depuis l’arrivée au pouvoir de Macron, la masse salariale de l’Etat n’a certainement pas baissé. Elle a même augmenté de 17%, signe d’un dynamisme qui n’a absolument rien de libéral.

Un désengagement de l’Etat depuis l’arrivée du néo-libéral Macron au pouvoir ? Ce n’est pas exactement ce qui ressort de l’analyse de la masse salariale de l’Etat sur les huit dernières années. En 2016, soit un an avant les présidentielles, l’Etat dépensait 123 milliards€ pour payer ses fonctionnaires. En 2023, la dépense était passée à 145 milliards€. La hausse est donc sans appel, et personne ne peut soutenir que l’Etat se serait désengagé sur cette période.

Un phénomène particulier est notable dans cet ensemble : le rôle des campagnes électorales dans l’augmentation de la masse salariale. En 2017, la masse salariale de l’Etat a brutalement augmenté de 4,5 milliards, avant de stagner relativement jusqu’à… 2022. Dans cette année de présidentielle, la masse salariale a à nouveau augmenté de 4 milliards, avant de réaugmenter de 6 milliards en 2023 !

Plusieurs points sont à noter :

  • la masse salariale de l’Etat augmente avec les présidentielles en grande partie parce qu’Emmanuel Macron est le Président des fonctionnaires
  • l’inflation a obligé l’Etat à “lacher” du lest sur les augmentations de salaire en 2022 et 2023
  • l’année 2023 est donc celle d’un laxisme budgétaire au moment même où l’Union Européenne nous somme de revenir à un déficit de 3% du PIB
  • la capacité du gouvernement à imposer une forte baisse du nombre de fonctionnaires sera un élément essentiel de la diminution du déficit dans les années à venir

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Aux USA, la propagande sur le vaccin continue

De nouveau, les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) américains envisagent de recommander un rappel du vaccin Covid au printemps pour les personnes âgées et les groupes vulnérables. Le Centre de Contrôle des Maladies (CDC) souligne l’importance pour les personnes âgées de 65 ans et plus de recevoir une dose supplémentaire d’injection COVID-19, adaptée aux variants actuels. Cette mesure vise à renforcer la protection contre le virus, notamment pour les personnes âgées et les individus immunodéprimés. Aux États-Unis, bien que le variant JN.1 représente plus de 80% de tous les cas COVID les données préliminaires ne montrent pas d’aggravation des symptômes chez les patients infectés par ce variant.

Début septembre 2023, les autorités sanitaires américaines ont lancé le mythe d’une nouvelle vague de covid. Pour justifier le déploiement des injections de rappel bivalent Covid, le Centre américain de contrôle et de prévention des maladies (CDC) argue que le nombre d’infections et d’hospitalisations dues au COVID a augmenté. Dans ses nouvelles directives, les CDC ont indiqué que les personnes âgées de 65 ans et plus devraient recevoir un rappel de vaccin Covid-19 au printemps 2024. Bien que le CDC recommande les nouveaux vaccins pour toutes les personnes âgées de 6 mois et plus depuis le mois de septembre 2023, la confiance à l’égard de la vaccination Covid s’érode, seule une minorité des Américains ont été vaccinés jusqu’à présent.

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Y a-t-il une taupe russe à l’Elysée?

Dans les messages qu’il a fait passer par agence TASS interposée, le directeur du renseignement extérieur russe fait état sans vergogne de conversations tenues à l’Elysée. Ecoutes? Renseignement humain? Visiblement le palais de la présidence est mal protégé de la pénétration du renseignement étranger. On soulignera le décalage entre des gouvernants qui traquent de prétendus “relais d’influence” de la Russie en France (pour faire taire toute voix qui n’est pas alignée sur le récit pro-ukrainien) mais qui sont apparemment incapables de se protéger d’une ingérence russe réelle. Il serait temps de sortir de l’univers d’OSS 117 pour enfin protéger le pays.

Georges Pâques (1914-1993), haut fonctionnaire français arrêté par la DST en 1963 pour espionnage au profit de l’URSS

J’ai sursauté en lisant l’une des deux dépêches de l’Agence TASS, qui rapporte les propos du directeur du service de renseignement extérieur russe:

Tôt ou tard, Macron devra révéler l’horrible vérité, mais il essaiera de retarder les “aveux” le plus longtemps possible. Comme on le dit à l’Élysée, le nombre de Français tués ‘a déjà franchi un seuil psychologiquement significatif’. La divulgation de données aussi sensibles pourrait inciter les citoyens à protester, surtout dans le contexte des campagnes antigouvernementales massives menées par les agriculteurs dans tout le pays”, a noté M. Narychkine.

Selon le chef des services de renseignement, l’armée française est “visiblement préoccupée” par le nombre croissant de citoyens français tués en Ukraine.

Agence TASS, 19 mars 2024

Quel est le degré de pénétration du renseignement russe dans les services de l’Etat?

Quand on prend le temps de peser tous les mots, cette dépêche est très inquiétante pour les intérêts français. Le chef du service de renseignement extérieur russe ne se cache même pas: il avoue qu’il a connaissance de conversations tenues dans l’entourage du Président de la République ou à l’Etat-Major et au Ministère de la Défense?

Alors écoutes? Renseignement humain? On a le droit de poser la question sans détour: y a-t-il une taupe russe à l’Elysée?

On aimerait bien que des parlementaires posent la question au ministre de l’Intérieur et au ministre de la Défense.

Ils traquent la liberté d’expression mais ne savent pas se protéger du renseignement étranger

Nos gouvernants sont très forts pour vouloir censurer toute personne qui n’adhère pas au récit officiel sur la guerre d’Ukraine. En revanche, ils ne semblent pas se préoccuper de l’éventuelle pénétration des services étrangers jusqu’au cœur de l’appareil d’Etat.

Et ne nous faisons pas d’illusions: si le directeur du renseignement extérieur russe affiche un peu de ce qu’il sait de conversations tenues à l’Elysée, il est légitime de se demander si notre pays est défendu contre la pénétration des services de différents pays, à commencer par la Chine, les Etats-Unis et l’Allemagne.

Nous avons le droit d’être sceptiques.

Infox ou confirmation? – 2000 soldats français prévus au sol en Ukraine selon les Russes

S’agit-il d’une intoxication russe ou d’un avertissement que le gouvernement et l’Etat-major français devraient écouter? Sergueï Narychkine est le chef du renseignement extérieur russe. Il parle rarement. Selon l’Agence Tass, Narychkine évalue à 2000 hommes le contingent français qu’Emmanuel Macron envisage d’envoyer en Ukraine. Si le plan du gouvernement français était mis à exécution, les soldats français seraient une cible prioritaire prévient le directeur du SVR. Mais les révélations de ce proche de Vladimir Poutine ne s’arrêtent pas là: Narychkine – qui fait état sans vergogne de conversations tenues à l’Elysée! – confirme qu’il y a déjà des pertes françaises importantes en Ukraine (des “volontaires”) et il suppose qu’Emmanuel Macron a peur de l’avouer devant son opinion publique. Bien entendu, nous prenons avec précaution les déclarations faites par le représentant d’un pays auquel Emmanuel Macron a lancé un défi militaire; pour autant, constatons que les informations données par Narychkine viennent confirmer les informations reçues depuis une semaine par le Courrier des Stratèges de sources françaises.

Sergueï Narychkine est le directeur du renseignement extérieur russe. Il vient d’envoyer un message sans ambiguïté à Emmanuel Macron! La Russie suit de près le plan français d’envoi de troupes en Ukraine. Et elle agirait en conséquence si le président français s’obstinait.

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L’accord bilatéral avec l’Ukraine n’est toujours pas publié officiellement : existe-t-il vraiment ?

Macron a fait tout un foin de l’accord bilatéral avec l’Ukraine, mais cet accord existe-t-il vraiment ? Non seulement, il a été signé par Macron en violation de la Constitution, ce qui pose un sacré problème, mais il n’a été publié nulle part ailleurs que sur le site de l’Elysée. Bref, il n’a aucune existe juridique à ce stade, et toute contestation d’une mesure prise en son nom peut donc s’appuyer sur le constat de son illégalité…

Mais l’accord bilatéral avec l’Ukraine existe-t-il vraiment ? Tout le monde en parle, et l’Assemblée Nationale et le Sénat l’ont approuvé… mais il n’a aucune existence légale. Pour deux raisons.

Première raison : les conditions de signature et de ratification de l’accord ne sont pas constitutionnelles. Jacques Myard, maire de Maisons-Laffitte, l’a abondamment expliqué dans l’interview que nous reproduisons. La Constitution prévoit qu’un Président de la République négocie et ratifie les traitrés, certainement pas qu’il les signe seul dans son coin. Qui plus est, s’agissant d’un traité impliquant des dépenses, il doit fair el’objet d’une ratification en bonne et due forme de la part du Parlement. Or le Président n’a pas engagé la ratification du traité avec l’Ukraine, il a simplement organisé un débat sur une déclaration général à propos de ce traité.

Ce texte est donc nul et non avenu, en l’état !

Deuxième raison : pour être applicable, un texte doit être publié au Journal Officiel. C’est cette publication qui donne une valeur juridique aux actes de la République. Et, miracle ! le traité bilatéral n’a pas été publié officiellement. Il est bien proposé à la lecture sur le site de l’Elysée, mais rien de plus ! concrètement, il n’a donc pas plus de valeur légale qu’un discours de Macron.

Face à ces vices majeurs, il va devenir indispensable que les citoyens se mobilisent pour obtenir le respect de la Constitution.

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Crise énergétique : comment Bruxelles courtise l’Ukraine, par Ulrike Reisner

L’UE a ouvert des négociations d’adhésion avec l’Ukraine, avec une perspective jusqu’en 2030. Le pays est en guerre, l’économie est en ruine, la reconstruction prendra des décennies – les élections démocratiques sont reportées jusqu’à nouvel ordre. La liste des problèmes est longue et les perspectives d’amélioration rapide sont minces. Mais l‘adhésion pourrait aller plus vite si Kiev peut fournir quelque chose dont l’UE a un besoin urgent : de l’énergie par exemple. Les jalons de ce “deal” sont déjà posés.

On sait que Bruxelles intervient massivement depuis deux ans sur le marché européen de l’énergie, sans légitimité démocratique et au mépris des réserves de souveraineté des Etats membres. La Commission abuse de la clause d’urgence pour prolonger une situation précaire qu’elle a elle-même contribué à créer, notamment en adoptant plusieurs trains de sanctions contre la Russie.

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L’Europe de la guerre, l’Europe de la peur – par Michel Goldstein

LES BILLETS D’HUMEUR DE LA LISTE “NON! PRENONS-NOUS EN MAINS!”Toutes les positions prises par le gouvernement Français et Européen nous mènent directement vers les conflits.

Aucune recherche de diplomatie, aucune position pour éviter l’escalade. La France et l’Europe jouent sur la peur.

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Le CETA au Sénat : guerre de lobbies derrière la farce du protectionnisme

Le Sénat pourrait, à l’occasion d’une “niche parlementaire”, rejeter la ratification du traité de libre-échange avec le Canada. Le motif est simple : vive le protectionnisme qui (paraît-il) protège notre agriculture. La réalité est un peu différente : c’est une guerre des lobbies qui commence. Si la filière bovine s’estime menacée par l’accord, d’autres filières, y compris dans l’agriculture, tire largement profit de ce texte appliqué de manière provisoire. Reste la difficulté d’appliquer des accords qui ne sont pas ratifiés : une manie qui devient dangereuse.

Le CETA (traité de libre-échange avec le Canada) pourrait bien subir un coup dur du Sénat aujourd’hui. Nous vous aidons à remonter le fil de cette affaire, en complément de la capsule ci-dessus qui vous dit tout sur le fond de l’accord.

  • le CETA (traité de libre-échange avec le Canada) a été signé en 2017 et ratifié par l’Assemblée Nationale en 2019
  • le gouvernement ne l’a jamais soumis au vote du Sénat
  • l’accord prévoyait son application provisoire dans l’attente de la ratification complète
  • des sénateurs ont décidé de proposer son rejet dans une proposition de loi examinée à l’occasion d’une niche parlementaire
  • l’initiative est prise par le groupe communiste, assez naturellement opposé au libre-échange
  • des sénateurs républicains soutiennent ce rejet
  • un sénateur républicain a rendu un avis soulignant l’absence de “clause-miroir” sur l’élevage de bovins au Canada : le risque de l’accord consiste donc à permettre une concurrence du boeuf français avec le boeuf canadien, protégé par moins de normes sanitaires
  • un autre sénateur républicain a rendu un avis dans le même sens. Il est lui-même éleveur de boeufs, dans le village de Sébastien Béraud, bien connu de nos lecteurs
  • le lobby des spiritueux se mobilise fortement pour le maintien de l’accord qui, globalement, profite à l’agro-alimentaire français
  • il n’en reste pas moins que Macron a manifestement un problème récurrent avec la ratification des traités. Nous évoquions déjà la semaine dernière le caractère très irrégulier du traité bilatéral avec l’Ukraine (voir l’interview ci-dessous). La ratification du CETA illustre l’absence de consultation du Parlement par Macron, en matière de traités internationaux… en violation de la Constitution

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COVID: une nouvelle étude appuie la thèse de l’accident de laboratoire

L’origine du Covid-19 continue à susciter de nombreuses interrogations, avec des théories divergentes concernant la transmission du virus à l’homme ou une possible fuite de laboratoire. La thèse officielle du gouvernement chinois est, encore aujourd’hui, celle d’une origine naturelle du virus, à partir d’une zoonose issue de la chauve-souris ou du Pangolin. Une récente étude australienne publiée dans la revue universitaire à comité de lecture Risk Analysis remet en question cette hypothèse. Cette étude propose une probabilité plus élevée du COVID-19 provenant d’un laboratoire plutôt que d’une source naturelle.

Une étude de la revue Risk Analysis s’est concentrée sur la probabilité d’une origine non naturelle du Covid-19. Les chercheurs ont trouvé de nouvelles preuves indiquant qu’on ne peut pas écarter l’origine en laboratoire. Les agences de renseignements des États-Unis ont de plus en plus d’éléments pour étayer la thèse de la sortie accidentelle du SARS-Cov-2 “cultivé” au laboratoire P4 de la ville de Wuhan. Cependant, le gouvernement américain est gêné aux entournures. Il y a en effet de fortes présomptions concernant une participation américaine aux recherches de Wuhan. Les origines du Covid-19 restent difficiles à établir parce qu’il y a encore volonté de cacher la vérité.

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Mais alors : les troupes françaises sont-elles déjà en Ukraine ou pas ?

Depuis la semaine dernière, la polémique sévit pour savoir si oui ou non Macron a dissimulé la présence de troupes françaises en Ukraine, ou bien sur leur envoi prochain. Le Courrier a d’ores et déjà publié des indiscrets sur le sujet. Depuis, les langues se sont déliées, et les informations s’accumulent sur le renforcement de notre dispositif, tout spécialement en Roumanie, à l’approche de l’armée russe. Dans notre nouveau numéro de Chaos Global, nous revenons sur ce sujet en détail. Et, pour l’instant, la situation semble bien opaque…

Plusieurs informations essentielles sont donc à enregistrer :

  • des troupes spéciales de l’OTAN, dont des troupes françaises, et des troupes de soutien, sont déployées en Ukraine depuis le début du conflit
  • des troupes françaises sont par ailleurs pré-positionnées en Roumanie, en Pologne et dans les pays Baltes
  • ce dispositif est en voie de renforcement
  • il est fortement question d’un déploiement préventif en Moldavie pour dégager des régiments ukrainiens postés à la frontière avec la Transnistrie
  • des rumeurs récurrentes évoquent une intervention future à Odessa pour éviter une prise de la ville par l’armée russe
  • il faudra suivre la réalité de la stratégie de l’OTAN, et tout spécialement celle de la France, dans l’hypothèse d’un recul rapide de l’armée ukrainienne

Rappelons l’importante interview de Jacques Myard dans le Courrier (voir ci-dessous) qui détaille l’illégalité et l’anti-constitutionnalité de l’accord bilatéral avec l’Ukraine.

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En direct de Moscou : le coup de gueule de Yannick Urrien contre la propagande et les normies

Yannick Urrien nous a informé chaque jour sur sa mission d’observation pour les élections présidentielles russes. Il nous dresse un bilan de cette mission sous forme d’un coup de gueule contre la propagande de l’OTAN, et contre les normies qui refusent d’aborder la réalité factuelle en dehors des oeillères fortement “conseillées” par le pouvoir.

Dans cette interview, Yannick Urrien, fondateur de La Baule +, nous confie son ras-le-bol vis-à-vis de ce que Cass Sunstein appelle la “crippled epistomology” des normies : ceux-ci ont une confiance aveugle dans les processus les plus faisandés des pays occidentaux, et une méfiance sans limite, jusqu’à la caricature, pour tout ce qui vient de Russie.

Nous en profitons pour remercier une nouvelle fois Yannick Urrien, et pour récapituler ses interventions sur notre chaîne depuis vendredi.

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La hausse du baril de pétrole pourrait-elle accélérer en France un “scénario argentin” ?

Par : Rédaction

Dans cette capsule d’alerte, Machabert analyse le mouvement haussier du pétrole et ses conséquences potentiellement dramatiques sur les déficits budgétaire et courant de la France, qui pourrait, dans un scénario extrême, faire défaut sur sa dette et ainsi aller au tapis comme l’Argentine à la fin des années 90.

Dans cette capsule, Machabert met en garde contre les risques sérieux que représente le mouvement haussier du prix du pétrole pour l’économie française. Il appelle à une vigilance accrue et à des mesures préventives pour atténuer les effets négatifs potentiels sur les déficits budgétaire et courant, et pour éviter un scénario extrême de défaut sur la dette, qui pourrait placer la France dans une situation similaire à celle de l’Argentine à la fin des années 90.

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