Lateo.net - Flux RSS en pagaille (pour en ajouter : @ moi)

🔒
❌ À propos de FreshRSS
Il y a de nouveaux articles disponibles, cliquez pour rafraîchir la page.
À partir d’avant-hierAnalyses, perspectives

Une républicaine tacle violemment l’expertise de la FDA sur les vaccins Covid

Jeudi, à Capitoll Hill, lors d’une audience organisée par le sous-comité spécial de surveillance de la Chambre sur la pandémie de coronavirus, la républicaine Marjorie Taylor Greene a rejeté les affirmations du Dr Peter Marks directeur de l’évaluation et de la recherche sur les produits biologiques à la Food and Drug Administration,  sur l’efficacité des vaccins. Ce dernier a annoncé que les vaccins contre le Covid-19 ont sauvé « environ 3,2 millions » de vies aux États-Unis. A cet effet, Marjorie Taylor Greene a déclaré : « Je ne suis pas médecin, mais j’ai un doctorat pour reconnaître les conneries quand je les entends. » Les experts médicaux et des représentants démocrates dénoncent l’impact de cette “désinformation”, qui selon eux, pouvant avoir avec des conséquences graves pour la santé publique. Comme toujours, les autorités sanitaires américaines justifient leur décision en invoquant l’importance primordiale de la santé publique et la menace potentielle d’une situation d’urgence pandémique.

Depuis le lancement des vaccins contre le Covid-19, en 2021, le plus grand flou règne sur l’ampleur des effets secondaires de ces injections. Cela ne fait qu’accroître le doute de la population américaine.La républicaine Marjorie Taylor Greene, a récemment contesté les statistiques sur le nombre de vies sauvées par les vaccins contre le Covid-19, remettant en question l’expertise médicale de Marks. En effet, le Dr Peter Marks, directeur de l’évaluation et de la recherche sur les produits biologiques à la Food and Drug Administration,  a déclaré « environ 3,2 millions » de vies américaines ont été sauvées par les vaccins contre le Covid. Marjorie Taylor Greene a déclaré qu’elle pouvait reconnaître les “conneries” quand elle les entendait. L’influence croissante de l’activisme anti-vaccin, soutenu par certaines factions du parti républicain, inquiète les responsables de la santé publique qui accusent ce mouvement de propager des théories du complot dangereux. L’administration Biden espère que ça finira par disparaître.

Ce contenu est réservé aux abonnés

Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.

Connectez-vous si vous avez acheté un abonnement et/ou ce contenu.

S'abonner

Accédez à tous nos contenus.
Plus de 5 000 articles.

Acheter l'article

Déverrouillez cet article et obtenez un accès permanent pour le lire.

Les financiers de Gilead déçus, ses actions en forte baisse 

Basée à Foster City, en Californie, la société Gilead a annoncé que son chiffre d’affaires du quatrième trimestre a chuté suite à la baisse des ventes des médicaments contre le VIH et le Covid-19. L’entreprise a également déclaré que l’essai de son antiviral oral expérimental Covid a échoué. Après l’annonce de ses perspectives de ventes, la valeur de ses actions est attendue en baisse en pré-marché à Wall Street.

En début de la pandémie, le Remdesivir du laboratoire américain Gilead, vendu sous le nom de Veklury, a fait l’objet de toutes les attentions. Alors même que le Remdesivir n’a pas encore démontré son efficacité et n’a pas encore commercialisé. Les actionnaires de Gilead avaient déjà prévu que son médicament  pourrait rapporter 2,5 milliards $ à sa commercialisation. Si l’OMS avait déconseillé officiellement son utilisation, à cause des effets secondaires malgré sa toxicité, en octobre 2020, l’Union européenne s’était engagée à acheter 500.000 doses de ce médicament dangereux. Mardi, Gilead Sciences, le géant pharmaceutique américain, a annoncé que ses résultats du quatrième trimestre déçoivent les attentes avec un bénéfice ajusté par action de 1,72$, à comparer à un consensus de 1,76$ et un niveau de 1,67$ un an avant. Les revenus ont reculé de 4% à 7,12 milliards de dollars, contre 7,08 milliards de consensus. Parallèlement, il a annoncé que la Food and Drug Administration (FDA) suspend les essais cliniques de son médicament contre le cancer du sang, le magrolimab.

Ce contenu est réservé aux abonnés

Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.

Connectez-vous si vous avez acheté un abonnement et/ou ce contenu.

S'abonner

Accédez à tous nos contenus.
Plus de 5 000 articles.

Acheter l'article

Déverrouillez cet article et obtenez un accès permanent pour le lire.

Silver: Better Than Gold

By Maryam Henein I tell people that HoneyColony‘s Silver Excelsior is so good, that the government came after us for it. It’s not colloidal but...

Silver: Better Than Gold

Paxlovid ne réduit pas le risque de Covid long, d’après une étude américaine

Une nouvelle étude américaine a confirmé que le traitement contre le Covid-19, Paxlovid, ne réduit pas le risque de développer les symptômes du « Covid long ». En revanche, il constitue un allié de taille pour les personnes non vaccinées et les patients à haut risque. Concernant le rebond du Covid-19, les chercheurs de l’université de Californie à San Francisco ont déclaré qu’il s’agit d’un effet indésirable rare.

Pour rappel, la pilule Paxlovid a obtenu une autorisation en urgence de l’Agence américaine des médicaments (FDA) le 22 décembre 2021. Le Paxlovid est destiné aux patients non hospitalisés âgés d’au moins 12 ans pesant plus de 40 kg, souffrant de COVID-19 léger ou modéré et présentant un risque élevé de maladie grave. Ce traitement peut être prescrit aux patients âgés de plus de 60 ans, ceux porteurs d’une immunodépression ou ceux présentant une comorbidité à haut risque de forme sévère, quel que soit leur âge. A sa sortie, Pfizer affirmait que sa pilule Paxlovid pouvait réduire le risque d’hospitalisation et de décès. Depuis l’utilisation du médicament antiviral Paxlovid de Pfizer, de plus en plus de patients américains ont signalé le phénomène de rebonds de Covid. Le phénomène de rebond se présente comme une réapparition des symptômes du COVID-19 ou l’apparition d’un nouveau test viral positif après un test négatif. Par ailleurs selon une étude de l’UCSF, le Paxlovid ne réduit pas le risque de symptômes à long terme de la COVID-19.

Ce contenu est réservé aux abonnés

Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.

Connectez-vous si vous avez acheté un abonnement et/ou ce contenu.

S'abonner

Accédez à tous nos contenus.
Plus de 5 000 articles.

Acheter l'article

Déverrouillez cet article et obtenez un accès permanent pour le lire.

Floride : le vaccin ARN rend infertile, selon les autorités sanitaires

Le chirurgien général Dr Joseph Ladapo de la Floride a déclaré mercredi que le gouvernement devrait arrêter le déploiement des vaccins contre le Covid-19 à ARNm. Il a indiqué que l’utilisation de ces produits est risquée pour les hommes. Pour la Food and Drug Administration FDA, cette affirmation est pure désinformation, pouvant avoir avec des conséquences sur la santé publique, mais notamment sur la couverture vaccinale actuelle, qui est déjà faible.

Début septembre 2023, les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC) américains ont préconisé une large utilisation des vaccins COVID-19 mis à jour, pour toute personne âgée de 6 mois et plus. Cette recommandation a suscité la controverse en Floride, le chirurgien général Dr Joseph Ladapo, a déconseille vivement le nouveau vaccin mis à jour pour les moins de 65 ans. Pour rappel, en 2022, la Floride a été le premier État à recommander officiellement de ne pas administrer les vaccins COVID-19 aux enfants en bonne santé. Le Dr Ladapo avait déjà évoqué les nombreux effets indésirables des vaccins tels que « les troubles de la coagulation, les lésions cardiaques aiguës, la paralysie de Bell, l’encéphalite, l’appendicite et le zona ». Mercredi, le chirurgien général de la Floride a déclaré i que le gouvernement devrait cesser d’administrer des vaccins à ARNm contre la COVID-19, car ils ne « ne conviennent pas à une utilisation chez l’homme »

Ce contenu est réservé aux abonnés

Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.

Connectez-vous si vous avez acheté un abonnement et/ou ce contenu.

S'abonner

Accédez à tous nos contenus.
Plus de 5 000 articles.

Acheter l'article

Déverrouillez cet article et obtenez un accès permanent pour le lire.

USA : vers une utilisation des anticorps monoclonaux face à une vaccination Covid à la traîne

La société de technologie basée dans le Massachusetts, Invivyd, a déposé la demande d’autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) de son anticorps monoclonal contre le Covid-19 auprès de la FDA (Food and Drug Administration).

Même si le Covid a fondamentalement pris fin, Invivyd, une société de biotechnologie basée dans le Massachusetts, a annoncé qu’elle avait soumis une demande auprès de la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis pour une autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) pour son anticorps monoclonal destiné à prévenir le COVID-19.On pourrait penser que les organisations sanitaires vont une fois de plus accorder des autorisations de commercialisation à des thérapies inefficaces et expérimentales, malgré les preuves répétées de leur dangerosité. Pour rappel, l’Agence européenne des médicaments (EMA) a déjà révoqué les traitements à base d’anticorps monoclonal pour soigner les patients covidés. Selon l’EMA,ces traitements par anticorps monoclonal sont incapables de neutraliser les nouveaux sous-variants

Ce contenu est réservé aux abonnés

Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.

Connectez-vous si vous avez acheté un abonnement et/ou ce contenu.

S'abonner

Accédez à tous nos contenus.
Plus de 5 000 articles.

Acheter l'article

Déverrouillez cet article et obtenez un accès permanent pour le lire.

Après le pactole covid, Moderna parie sur de nouveaux produits pour stimuler ses ventes

La société Moderna, longtemps associée à son vaccin Covid, connaît un regain d’optimisme suite à la déclaration positive d’Oppenheimer. L’analyste d’Oppenheimer, Hartaj Singh a affirmé que le fabricant de vaccins Covid pourrait commercialiser cinq produits d’ici 2026. Suite à cette annonce, l’action de Moderna a grimpé. En effet, la fin de l’état d’urgence sanitaire lié au Covid-19 a entraîné une diminution significative des revenus de la société biopharmaceutique en 2023.

2023 a été une année marquée par une baisse significative de la valeur des actions de Moderna. Cette baisse des bénéfices est principalement attribuée à la diminution de la demande de vaccins COVID-19. Malgré un marché du Covid en crise, les prévisions actuelles indiquent un potentiel de croissance stimulé par un pipeline diversifié. Les actions de Moderna ont clôturé en hausse de plus de 13 % mardi après qu’Oppenheimer a relevé le titre à « surperformance », affirmant que le fabricant de vaccins Covid pourrait commercialiser cinq produits d’ici 2026.

Ce contenu est réservé aux abonnés

Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.

Connectez-vous si vous avez acheté un abonnement et/ou ce contenu.

S'abonner

Accédez à tous nos contenus.
Plus de 5 000 articles.

Acheter l'article

Déverrouillez cet article et obtenez un accès permanent pour le lire.

La Floride alerte sur les dangers des vaccins ARNm

Alors que les nouvelles données du gouvernement fédéral américain ont révélé que seulement 56 millions d’américains ont reçu le vaccin anti – Covid-19 actualisé. Les Centers for Disease Control and Prevention affirment qu’il y a un « besoin urgent » d’augmenter la couverture vaccinale face à l’augmentation des niveaux de maladies respiratoires. Vendredi, la Food and Drug Administration (FDA) a dénoncé les déclarations du chirurgien général de Floride, Joseph Ladapo, qui remettaient en question la sécurité des vaccins COVID-19,  avançant des inquiétudes sur le potentiel cancérogène des vaccins ARNm. Pour la FDA, cette affirmation est pure désinformation ,pouvant avoir avec des conséquences graves pour la santé publique. Pour le gouverneur de la Floride Ron DeSantis, les agences fédérales de santé restent le « bras armé de Big Pharma » avec leur « autoritarisme médical » (obligations du port de masques, obligations vaccinales…).

Début septembre, les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC) américains ont préconisé une large utilisation des vaccins COVID-19 mis à jour, pour toute personne âgée de 6 mois et plus. Cette recommandation a suscité la controverse en Floride, le chirurgien général Dr Joseph Ladapo, a déconseille vivement le nouveau vaccin mis à jour pour les moins de 65 ans. Pour rappel, en 2022, la Floride a été le premier État à recommander officiellement de ne pas administrer les vaccins COVID-19 aux enfants en bonne santé. A l’époque la porte-parole de la Maison-Blanche, Jen Psaki, avait qualifié de “profondément inquiétante”, la décision du département de la santé de Floride et continue de pousser à la doxa vaccinale. Précédemment, le Dr Ladapo a fait de nombreuses déclarations sur la dangerosité des vaccins, vivement critiquées par les démocrates et les épidémiologistes. Il a par exemple déconseillé aux jeunes hommes de se faire vacciner en raison des cas d’inflammation cardiaque signalés. Le Dr Ladapo a évoqué les nombreux effets indésirables des vaccins tels que « les troubles de la coagulation, les lésions cardiaques aiguës, la paralysie de Bell, l’encéphalite, l’appendicite et le zona ». A ce jour, seulement 11 % des Floridiens ont reçu un booster actualisé.

Ladapo alerte sur les effets indésirables des injections ARN

Dans une lettre récente à la FDA, le chirurgien général nommé par le gouverneur Ron DeSantis, Joseph Ladapo a émis des doutes sérieux sur la sécurité des vaccins COVID-19, en particulier ceux à ARNm. Il a soulevé la possibilité que le système d’administration de ces vaccins puisse introduire de l’ADN contaminant dans les cellules humaines, augmentant ainsi le risque de cancer.

Ladapo avait également demandé à la FDA et au CDC si le risque d’intégration de l’ADN a été évalué par les fabricants de vaccin et fourni aux agences fédérales.

Dr. Kawsar Talaat, professeur associé au département de la santé internationale de la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health, a répondu que ces préoccupations n’ont aucune base scientifique.

De même le Dr. Peter Marks, directeur du Center for Biologics Evaluation and Research for the FDA, a qualifié les allégations du Dr Ladapo d’infondées sur le plan scientifique.

Dans un communiqué, Marks souligne que Ladapo a mal interprété les processus cellulaires, expliquant qu’il est scientifiquement improbable que des quantités significatives d’ADN contaminant se retrouvent dans le noyau des cellules humaines. De plus, Marks insiste sur le rôle crucial des vaccins dans la réduction des risques de décès, d’hospitalisation et de maladies graves liées au COVID-19. Toujours ce narratif du « seul le vaccin peut nous sauver », puis du « seuls d’irresponsables complotistes refusent le vaccin ».

Pour mémoire, le microbiologiste Kevin McKerman avait révélé dans une étude que les vaccins Pfizer ARNm sont contaminés par la présence de l’ADN double brin et les promoteurs du virus simien 40 (SV40). Le niveau de contamination est élevé puisqu’il est de 30%. C’est une quantité qui dépasse les limites réglementaires en Europe et aux États-Unis. Notons que la présence de l’ADN dans les vaccins constitue une véritable source de danger pour les personnes vaccinées.

Réticence vaccinale à cause de la désinformation

Pour Dr. Kawsar Talaat, « ces déclarations de Ladapo sont conçues pour effrayer les gens plutôt que d’enquêter sur la vraie science ». Elle dénonce l’impact de cette désinformation, qui reflète le faible taux de vaccination en Floride, une tendance qui s’étend sur tout le continent américain.

En effet, seulement 11 % des Floridiens ont reçu une mise à jour du vaccin COVID-19, malgré la population significative de personnes âgées, les plus vulnérables. La FDA accuse le gouverneur et son chirurgien général de désinformation, ayant contribué à cette réticence vaccinale, mettant en danger la population face à la persistance du virus.

Comme toujours, les autorités sanitaires américaines  justifient leur décision en invoquant l’importance primordiale de la santé publique et la menace potentielle d’une situation d’urgence pandémique. Comme toujours, il y a une tendance à étouffer l’information lorsque des preuves scientifiques liées aux effets secondaires des injections contre le Covid. Les informations ne sont pas relayées, les médias subventionnés choisissent délibérément d’ignorer les preuves lorsqu’elles sont disponibles.

Ladapo a fustigé les autorités sanitaires fédérales en déclarant :

« les CDC et la FDA disent toujours quelque chose de très différent … ils ne sont pas francs avec les gens au sujet des données et de ce qui est connu et inconnu et qui est le mieux pour eux. »

Bonjour 👋
Ravi de vous rencontrer.

Inscrivez-vous pour recevoir chaque jour les articles publiés la veille dans votre boîte de réception.

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Nous vous remercions pour votre inscription. Vous recevrez notre prochaine newsletter dans moins de 24 heures.

La vaccination Covid est un génocide plus silencieux et plus efficace que la guerre

Une analyse des données des essais cliniques du vaccin COVID-19 de Pfizer-BioNTech, publiée ce mois-ci dans l’International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research, montre que les fabricants de vaccins ont caché aux autorités de réglementation des données sur les décès afin de pouvoir bénéficier d’une autorisation d’utilisation d’urgence.

L’article La vaccination Covid est un génocide plus silencieux et plus efficace que la guerre est apparu en premier sur Strategika.

Malgré la dangerosité du Paxlovid, la FDA refuse un antiviral japonais plus efficace

Après avoir imposé son vaccin et fait un lobbying contre les médicaments existants, Pfizer décroche aux USA un monopole des moyens de lutte contre le COVID, avec à son antiviral Paxlovid. Une alternative plus efficace, l’ensitrelvir, commercialisée sous le nom de Xocova au Japon, semble inaccessible aux États-Unis en raison de retards dans le processus d’approbation de la FDA. Il ne sera pas disponible aux États-Unis avant la fin de 2024.

Pour rappel, la pilule Paxlovid, issu de la combinaison des médicaments ritonavir et nirmatrelvir, a obtenu une autorisation en urgence de l’Agence américaine des médicaments (FDA) le 22 décembre 2021. A sa sortie, Pfizer affirmait que sa pilule Paxlovid pouvait réduire le risque d’hospitalisation et de décès. Comme avec les vaccins, le marché des pilules anti-covid cherche à s’établir peu à peu après avoir fait écarter des médicaments existants. La pilule de Pfizer a couté au gouvernement américain 530 dollars par traitement en 2022.

Ce contenu est réservé aux abonnés

Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.

Connectez-vous si vous avez acheté un abonnement et/ou ce contenu.

S'abonner

Accédez à tous nos contenus.
Plus de 5 000 articles.

Acheter l'article

Déverrouillez cet article et obtenez un accès permanent pour le lire.

Malgré son inefficacité, le prix du Paxlovid augmente

Comme les vaccins Covid, l’antiviral Paxlovid issu de la combinaison des médicaments ritonavir et nirmatrelvir va passer au marché commercial traditionnel l’année prochaine, d’après les déclarations du fabricant (Pfizer) et du ministère américain de la Santé et des Services sociaux. Le prix du médicament pourrait augmenter, ce qui pourrait le rendre moins accessible pour plupart des patients selon les médecins.

La pilule Paxlovid a obtenu une autorisation d’urgence de mise sur le marché de la part de l’Agence américaine des médicaments (FDA) le 22 décembre 2021. A sa sortie, Pfizer affirmait que sa pilule Paxlovid pouvait réduire le risque d’hospitalisation et de décès. Mais comment croire de telles affirmations vu que les promesses non tenues à propos du vaccin? Biden s’entête à bourrer les Américains de traitements anti-Covid présentés comme innovants, avec des promesses d’efficacité exceptionnelle, sans se poser des questions sur les effets secondaires ou l’efficacité réelle de ces traitements.

Ce contenu est réservé aux abonnés

Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.

Connectez-vous si vous avez acheté un abonnement et/ou ce contenu.

S'abonner

Accédez à tous nos contenus.
Plus de 5 000 articles.

Acheter l'article

Déverrouillez cet article et obtenez un accès permanent pour le lire.

Marché de la vaccinothérapie : l’UE met des bâtons dans les roues de Novavax

Selon le Financial Times, la biotech américaine Novavax fait face à un nouveau revers. L’UE retarde l’approbation de son vaccin Covid actualisé. À ce jour,  l’Agence européenne des médicaments (EMA) n’a pas encore donné son feu vert pour le vaccin actualisé de Novavax, demandant des informations supplémentaires. Cette situation compromet davantage l’avenir de Novavax, déjà confrontée à des défis de production et à une baisse significative de la valeur de ses actions. L’Agence européenne des médicaments (EMA) avait déjà approuvé, mercredi 30 août, le vaccin mis à jour de Pfizer/BioNTech et, le 14 septembre, celui de Moderna : le Spikevax XBB.1.5.

Fin septembre, le directeur de l’Agence européenne des médicaments (EMA), Emer Cooke, avait annoncé que la décision concernant l’utilisation du vaccin contre le Covid-19 mis à jour de Novavax devrait être annoncée en octobre. Mais visiblement l’EMA, l’organisme de réglementation pharmaceutique de l’Union européenne (UE), a décidé de faire marche arrière. L’UE préfère retarder l’approbation du vaccin Nuvaxovid révisé, préférant privilégier la concurrence avec les deux géants, Pfizer et Moderna. Cette décision attendue de l’EMA dans les prochaines semaines sera pourtant déterminante pour l’avenir de Novavax sur le marché européen, qui est déjà saturé.

Ce contenu est réservé aux abonnés

Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.

Connectez-vous si vous avez acheté un abonnement et/ou ce contenu.

S'abonner

Accédez à tous nos contenus.
Plus de 5 000 articles.

Acheter l'article

Déverrouillez cet article et obtenez un accès permanent pour le lire.

USA : un médecin teste un traitement anti-covid sur des détenus à leur insu

Des détenus du comté de Washington à Fayetteville, en Arkansas, ont porté plainte contre le Dr Robert Karas. Ils ont déclaré avoir reçu une surdose d’ivermectine, à leur insu en aout 2021. Le médecin aurait mené une expérience dans le but de connaître les effets de ce médicament antiparasitaire chez les patients atteints du Covid-19. Les détenus ont remporté une indemnité de 2.000$ chacun.

De nombreux chercheurs ont évoqué l’efficacité de certains médicaments incluant notamment l’hydroxychloroquine et l’ivermectine dans le traitement du Covid-19. Avec le lobbying intensif des laboratoires, les médias mainstream ont également alimenté la confusion et la désinformation autour de ce médicament. Traitement peu cher, plusieurs gouvernements ont autorisé la prescription de l’ivermectine comme traitement contre le covid, ces pays ont tous eu recours à ces traitements avec des résultats probants. La FDA (Food and Drug Administration) n’a jamais approuvé l’utilisation de ce vermifuge dans le traitement du Covid-19. En septembre 2021, la FDA avait déclaré que de nombreux patients ont présenté des troubles de santé nécessitant des soins médicaux spécifiques, incluant une hospitalisation, après avoir s’être automédiqués avec de l’ivermectine.

Ce contenu est réservé aux abonnés

Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.

Connectez-vous si vous avez acheté un abonnement et/ou ce contenu.

S'abonner

Accédez à tous nos contenus.
Plus de 5 000 articles.

Acheter l'article

Déverrouillez cet article et obtenez un accès permanent pour le lire.

Dans une perspective du « tout vaccinal », la FDA approuve le Novavax actualisé

La Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a autorisé l’utilisation d’urgence du vaccin Covid mis à jour de Novavax chez les personnes âgées de 12 ans et plus. Cette décision a été annoncée officiellement mardi. Les actions de la société ont connu une hausse de 8%.

Face à une prétendue hausse des cas liés à la souche EG. 5, surnommée «Eris», actuellement dominante aux États-Unis, les CDC se préparent à lancer une nouvelle campagne de vaccination qui couvrira désormais toutes les personnes âgées de 6 mois et plus. Alors que les vaccins à base d’ARNm mis à jour par les concurrents Pfizer/BioNTech et Moderna ont été autorisés aux États-Unis, la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a récemment accordé une autorisation d’urgence pour une version mise à jour du vaccin Novavax contre le COVID-19. Novavax, une biotech basée dans le Maryland, se distingue par le fait que son vaccin anti-COVID-19 est son seul produit commercialisé. Confrontée à des défis financiers, la société a mis en œuvre des mesures de réduction des coûts et place de grands espoirs dans les ventes de son vaccin mis à jour pour assurer sa pérennité. Il est souligné que la solvabilité de l’entreprise pourrait être compromise si le succès commercial de ce vaccin n’est pas au rendez-vous.

Ce contenu est réservé aux abonnés

Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.

Connectez-vous si vous avez acheté un abonnement et/ou ce contenu.

S'abonner

Accédez à tous nos contenus.
Plus de 5 000 articles.

Acheter l'article

Déverrouillez cet article et obtenez un accès permanent pour le lire.

USA : les CDC préconisent les injections ARN mises à jour dès l’âge de 6 mois

Le 12 septembre, les CDC (Centers for Disease Control and Prevention) américains ont recommandé l’administration des vaccins à ARNm actualisés de Moderna et de Pfizer aux personnes de plus de 6 mois. Les CDC américains n’ont pas choisi de cibler spécifiquement des populations dites “à risque” pour la campagne de vaccination, comme certains experts l’ont suggéré et comme d’autres pays l’ont recommandé.

Aux États-Unis, l’accélération de la campagne d’injections – même pédiatrique – est imminente. Face à une prétendue circulation rapide des virus respiratoires, comme le nouveau variant Covid-19, la grippe et la bronchiolite, les CDC ont recommandé le vaccin mis à jour pour toutes les personnes âgées de plus de 6 mois et plus. Cette décision du CDC est intervenue le lendemain du jour où la Food and Drug Administration (FDA) a approuvé les vaccins à ARN messager (ARNm) COVID-19 mis à jour de Moderna et Pfizer-BioNTech pour les personnes de 12 ans ou plus et autorisé les injections pour une utilisation d’urgence chez les enfants de 6 mois à 11 ans. Comme toujours, Big Pharma donne la direction à suivre. L’occident s’aligne.

Ce contenu est réservé aux abonnés

Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.

Connectez-vous si vous avez acheté un abonnement et/ou ce contenu.

S'abonner

Accédez à tous nos contenus.
Plus de 5 000 articles.

Acheter l'article

Déverrouillez cet article et obtenez un accès permanent pour le lire.

The FDA Approves New Pfizer And Moderna Boosters

By Mac Slavo The Food and Drug Administration has approved new booster shots by both Pfizer and Moderna. These shots are supposedly designed to target...

The FDA Approves New Pfizer And Moderna Boosters

Les grandes entreprises pharmaceutiques saignent les limules pour répondre à la demande croissante de vaccins

L'industrie pharmaceutique réduit les populations de limules le long de la côte atlantique afin de prélever le sang des animaux pour fabriquer un produit utilisé pour tester l'innocuité des médicaments injectables et des vaccins.

L'industrie pharmaceutique épuise les populations de limules le long de la côte atlantique des États-Unis sans rendre compte de ses actes - et avec de graves conséquences pour l'environnement.

L’article Les grandes entreprises pharmaceutiques saignent les limules pour répondre à la demande croissante de vaccins est apparu en premier sur Strategika.

Les règlements des politicards et les big pharmas mont tuer

Les politicards et les big pharmas continuent leur combat contre ceux qui veulent utiliser des molécules non brevetables pour soigner des personnes atteintes de certaines maladies comme par exemple ce coronavirus chinois…

Le professeur Didier Raoult et d’autres, à Marseille et en Chine ont expliqué qu’en pareilles circonstances, il faut d’abord diagnostiquer correctement les patients pour bien identifier la cause de leur maladie en faisant des tests pour le plus grand nombre possible des personnes susceptibles d’être atteintes par ce virus, comme cela s’est fait en Corée, du Sud.

Ensuite, ayant bien identifié ce coronavirus qui est la cause de cette maladie, il suffit de prescrire de l’hydroxychloroquine (200 mg x 3 par jour pour 10 jours) + Azithromycine (500 mg le 1er jour puis 250 mg par jour pour 5 jours de plus) comme l’indique le communiqué de l’Institut Hospitalo-Universitaire Méditerranée Infection publié le 22 mars,

Document 1 :

Cette molécule est utilisée depuis plus de 70 ans par un très grand nombre de personnes séjournant dans les pays dans lesquels sévit le paludisme et sa toxicité très faible est bien connue.

Malgré tout, le directeur général de la santé en France a décidé de classer le 13 janvier 2020 l’hydroxychloroquine sur la liste des substances vénéneuses !

Document 2 :

L’acharnement des politicards de tous bords et des groupes de pression des big pharmas qui font tout pour empêcher les gens de guérir de cette maladie contagieuse qui sévit en particulier en Europe en ce moment est particulièrement criminel.

Seul parmi les chefs d’Etat, le Donald préconise les remèdes du professeur Didier Raoult et d’autres, et il doit se battre contre les fonctionnaires corrompus de la gauche américaine pour les faire adopter par la FDA !

Les solutions imposées par les politicards et les big pharmas (avec entre autres le confinement) ne font qu’aggraver la situation de tout le monde.

***

Cliquer ici pour voir le communiqué de l’Institut Hospitalo-Universitaire Méditerranée Infection publié le 22 mars.

Cliquer ici pour voir l’extrait du Journal Officiel relatif à l’arrêté classant l’hydroxychloroquine sur la liste des substances vénéneuses.

La photo du début de cet article montre la file d’attente des Marseillais voulant se faire tester du coronavirus devant l’Institut Hospitalo-Universitaire Méditerranée Infection.

© Chevallier.biz

,

❌