By B.N. Frank There is no doubt that diabetes has become an epidemic. Additionally, decades of research have revealed that exposure to electromagnetic fields (EMF)...
Buyer Beware: FDA Issues Warnings Against “Smart” Wearables that Claim to Measure Blood Sugar
Depuis le lancement des vaccins contre le Covid-19, en 2021, le plus grand flou règne sur l’ampleur des effets secondaires de ces injections. Cela ne fait qu’accroître le doute de la population américaine.La républicaine Marjorie Taylor Greene, a récemment contesté les statistiques sur le nombre de vies sauvées par les vaccins contre le Covid-19, remettant en question l’expertise médicale de Marks. En effet, le Dr Peter Marks, directeur de l’évaluation et de la recherche sur les produits biologiques à la Food and Drug Administration, a déclaré « environ 3,2 millions » de vies américaines ont été sauvées par les vaccins contre le Covid. Marjorie Taylor Greene a déclaré qu’elle pouvait reconnaître les “conneries” quand elle les entendait. L’influence croissante de l’activisme anti-vaccin, soutenu par certaines factions du parti républicain, inquiète les responsables de la santé publique qui accusent ce mouvement de propager des théories du complot dangereux. L’administration Biden espère que ça finira par disparaître.
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En début de la pandémie, le Remdesivir du laboratoire américain Gilead, vendu sous le nom de Veklury, a fait l’objet de toutes les attentions. Alors même que le Remdesivir n’a pas encore démontré son efficacité et n’a pas encore commercialisé. Les actionnaires de Gilead avaient déjà prévu que son médicament pourrait rapporter 2,5 milliards $ à sa commercialisation. Si l’OMS avait déconseillé officiellement son utilisation, à cause des effets secondaires malgré sa toxicité, en octobre 2020, l’Union européenne s’était engagée à acheter 500.000 doses de ce médicament dangereux. Mardi, Gilead Sciences, le géant pharmaceutique américain, a annoncé que ses résultats du quatrième trimestre déçoivent les attentes avec un bénéfice ajusté par action de 1,72$, à comparer à un consensus de 1,76$ et un niveau de 1,67$ un an avant. Les revenus ont reculé de 4% à 7,12 milliards de dollars, contre 7,08 milliards de consensus. Parallèlement, il a annoncé que la Food and Drug Administration (FDA) suspend les essais cliniques de son médicament contre le cancer du sang, le magrolimab.
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By Maryam Henein I tell people that HoneyColony‘s Silver Excelsior is so good, that the government came after us for it. It’s not colloidal but...
Pour rappel, la pilule Paxlovid a obtenu une autorisation en urgence de l’Agence américaine des médicaments (FDA) le 22 décembre 2021. Le Paxlovid est destiné aux patients non hospitalisés âgés d’au moins 12 ans pesant plus de 40 kg, souffrant de COVID-19 léger ou modéré et présentant un risque élevé de maladie grave. Ce traitement peut être prescrit aux patients âgés de plus de 60 ans, ceux porteurs d’une immunodépression ou ceux présentant une comorbidité à haut risque de forme sévère, quel que soit leur âge. A sa sortie, Pfizer affirmait que sa pilule Paxlovid pouvait réduire le risque d’hospitalisation et de décès. Depuis l’utilisation du médicament antiviral Paxlovid de Pfizer, de plus en plus de patients américains ont signalé le phénomène de rebonds de Covid. Le phénomène de rebond se présente comme une réapparition des symptômes du COVID-19 ou l’apparition d’un nouveau test viral positif après un test négatif. Par ailleurs selon une étude de l’UCSF, le Paxlovid ne réduit pas le risque de symptômes à long terme de la COVID-19.
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Début septembre 2023, les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC) américains ont préconisé une large utilisation des vaccins COVID-19 mis à jour, pour toute personne âgée de 6 mois et plus. Cette recommandation a suscité la controverse en Floride, le chirurgien général Dr Joseph Ladapo, a déconseille vivement le nouveau vaccin mis à jour pour les moins de 65 ans. Pour rappel, en 2022, la Floride a été le premier État à recommander officiellement de ne pas administrer les vaccins COVID-19 aux enfants en bonne santé. Le Dr Ladapo avait déjà évoqué les nombreux effets indésirables des vaccins tels que « les troubles de la coagulation, les lésions cardiaques aiguës, la paralysie de Bell, l’encéphalite, l’appendicite et le zona ». Mercredi, le chirurgien général de la Floride a déclaré i que le gouvernement devrait cesser d’administrer des vaccins à ARNm contre la COVID-19, car ils ne « ne conviennent pas à une utilisation chez l’homme »
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Même si le Covid a fondamentalement pris fin, Invivyd, une société de biotechnologie basée dans le Massachusetts, a annoncé qu’elle avait soumis une demande auprès de la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis pour une autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) pour son anticorps monoclonal destiné à prévenir le COVID-19.On pourrait penser que les organisations sanitaires vont une fois de plus accorder des autorisations de commercialisation à des thérapies inefficaces et expérimentales, malgré les preuves répétées de leur dangerosité. Pour rappel, l’Agence européenne des médicaments (EMA) a déjà révoqué les traitements à base d’anticorps monoclonal pour soigner les patients covidés. Selon l’EMA,ces traitements par anticorps monoclonal sont incapables de neutraliser les nouveaux sous-variants
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2023 a été une année marquée par une baisse significative de la valeur des actions de Moderna. Cette baisse des bénéfices est principalement attribuée à la diminution de la demande de vaccins COVID-19. Malgré un marché du Covid en crise, les prévisions actuelles indiquent un potentiel de croissance stimulé par un pipeline diversifié. Les actions de Moderna ont clôturé en hausse de plus de 13 % mardi après qu’Oppenheimer a relevé le titre à « surperformance », affirmant que le fabricant de vaccins Covid pourrait commercialiser cinq produits d’ici 2026.
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Début septembre, les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC) américains ont préconisé une large utilisation des vaccins COVID-19 mis à jour, pour toute personne âgée de 6 mois et plus. Cette recommandation a suscité la controverse en Floride, le chirurgien général Dr Joseph Ladapo, a déconseille vivement le nouveau vaccin mis à jour pour les moins de 65 ans. Pour rappel, en 2022, la Floride a été le premier État à recommander officiellement de ne pas administrer les vaccins COVID-19 aux enfants en bonne santé. A l’époque la porte-parole de la Maison-Blanche, Jen Psaki, avait qualifié de “profondément inquiétante”, la décision du département de la santé de Floride et continue de pousser à la doxa vaccinale. Précédemment, le Dr Ladapo a fait de nombreuses déclarations sur la dangerosité des vaccins, vivement critiquées par les démocrates et les épidémiologistes. Il a par exemple déconseillé aux jeunes hommes de se faire vacciner en raison des cas d’inflammation cardiaque signalés. Le Dr Ladapo a évoqué les nombreux effets indésirables des vaccins tels que « les troubles de la coagulation, les lésions cardiaques aiguës, la paralysie de Bell, l’encéphalite, l’appendicite et le zona ». A ce jour, seulement 11 % des Floridiens ont reçu un booster actualisé.
Dans une lettre récente à la FDA, le chirurgien général nommé par le gouverneur Ron DeSantis, Joseph Ladapo a émis des doutes sérieux sur la sécurité des vaccins COVID-19, en particulier ceux à ARNm. Il a soulevé la possibilité que le système d’administration de ces vaccins puisse introduire de l’ADN contaminant dans les cellules humaines, augmentant ainsi le risque de cancer.
Ladapo avait également demandé à la FDA et au CDC si le risque d’intégration de l’ADN a été évalué par les fabricants de vaccin et fourni aux agences fédérales.
Dr. Kawsar Talaat, professeur associé au département de la santé internationale de la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health, a répondu que ces préoccupations n’ont aucune base scientifique.
De même le Dr. Peter Marks, directeur du Center for Biologics Evaluation and Research for the FDA, a qualifié les allégations du Dr Ladapo d’infondées sur le plan scientifique.
Dans un communiqué, Marks souligne que Ladapo a mal interprété les processus cellulaires, expliquant qu’il est scientifiquement improbable que des quantités significatives d’ADN contaminant se retrouvent dans le noyau des cellules humaines. De plus, Marks insiste sur le rôle crucial des vaccins dans la réduction des risques de décès, d’hospitalisation et de maladies graves liées au COVID-19. Toujours ce narratif du « seul le vaccin peut nous sauver », puis du « seuls d’irresponsables complotistes refusent le vaccin ».
Pour mémoire, le microbiologiste Kevin McKerman avait révélé dans une étude que les vaccins Pfizer ARNm sont contaminés par la présence de l’ADN double brin et les promoteurs du virus simien 40 (SV40). Le niveau de contamination est élevé puisqu’il est de 30%. C’est une quantité qui dépasse les limites réglementaires en Europe et aux États-Unis. Notons que la présence de l’ADN dans les vaccins constitue une véritable source de danger pour les personnes vaccinées.
Pour Dr. Kawsar Talaat, « ces déclarations de Ladapo sont conçues pour effrayer les gens plutôt que d’enquêter sur la vraie science ». Elle dénonce l’impact de cette désinformation, qui reflète le faible taux de vaccination en Floride, une tendance qui s’étend sur tout le continent américain.
En effet, seulement 11 % des Floridiens ont reçu une mise à jour du vaccin COVID-19, malgré la population significative de personnes âgées, les plus vulnérables. La FDA accuse le gouverneur et son chirurgien général de désinformation, ayant contribué à cette réticence vaccinale, mettant en danger la population face à la persistance du virus.
Comme toujours, les autorités sanitaires américaines justifient leur décision en invoquant l’importance primordiale de la santé publique et la menace potentielle d’une situation d’urgence pandémique. Comme toujours, il y a une tendance à étouffer l’information lorsque des preuves scientifiques liées aux effets secondaires des injections contre le Covid. Les informations ne sont pas relayées, les médias subventionnés choisissent délibérément d’ignorer les preuves lorsqu’elles sont disponibles.
Ladapo a fustigé les autorités sanitaires fédérales en déclarant :
« les CDC et la FDA disent toujours quelque chose de très différent … ils ne sont pas francs avec les gens au sujet des données et de ce qui est connu et inconnu et qui est le mieux pour eux. »
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By B.N. Frank The U.S. Food and Drug Administration (FDA) has a long history of NOT protecting Americans from unsafe products – some that have...
Une analyse des données des essais cliniques du vaccin COVID-19 de Pfizer-BioNTech, publiée ce mois-ci dans l’International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research, montre que les fabricants de vaccins ont caché aux autorités de réglementation des données sur les décès afin de pouvoir bénéficier d’une autorisation d’utilisation d’urgence.
L’article La vaccination Covid est un génocide plus silencieux et plus efficace que la guerre est apparu en premier sur Strategika.
Pour rappel, la pilule Paxlovid, issu de la combinaison des médicaments ritonavir et nirmatrelvir, a obtenu une autorisation en urgence de l’Agence américaine des médicaments (FDA) le 22 décembre 2021. A sa sortie, Pfizer affirmait que sa pilule Paxlovid pouvait réduire le risque d’hospitalisation et de décès. Comme avec les vaccins, le marché des pilules anti-covid cherche à s’établir peu à peu après avoir fait écarter des médicaments existants. La pilule de Pfizer a couté au gouvernement américain 530 dollars par traitement en 2022.
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La pilule Paxlovid a obtenu une autorisation d’urgence de mise sur le marché de la part de l’Agence américaine des médicaments (FDA) le 22 décembre 2021. A sa sortie, Pfizer affirmait que sa pilule Paxlovid pouvait réduire le risque d’hospitalisation et de décès. Mais comment croire de telles affirmations vu que les promesses non tenues à propos du vaccin? Biden s’entête à bourrer les Américains de traitements anti-Covid présentés comme innovants, avec des promesses d’efficacité exceptionnelle, sans se poser des questions sur les effets secondaires ou l’efficacité réelle de ces traitements.
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Fin septembre, le directeur de l’Agence européenne des médicaments (EMA), Emer Cooke, avait annoncé que la décision concernant l’utilisation du vaccin contre le Covid-19 mis à jour de Novavax devrait être annoncée en octobre. Mais visiblement l’EMA, l’organisme de réglementation pharmaceutique de l’Union européenne (UE), a décidé de faire marche arrière. L’UE préfère retarder l’approbation du vaccin Nuvaxovid révisé, préférant privilégier la concurrence avec les deux géants, Pfizer et Moderna. Cette décision attendue de l’EMA dans les prochaines semaines sera pourtant déterminante pour l’avenir de Novavax sur le marché européen, qui est déjà saturé.
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De nombreux chercheurs ont évoqué l’efficacité de certains médicaments incluant notamment l’hydroxychloroquine et l’ivermectine dans le traitement du Covid-19. Avec le lobbying intensif des laboratoires, les médias mainstream ont également alimenté la confusion et la désinformation autour de ce médicament. Traitement peu cher, plusieurs gouvernements ont autorisé la prescription de l’ivermectine comme traitement contre le covid, ces pays ont tous eu recours à ces traitements avec des résultats probants. La FDA (Food and Drug Administration) n’a jamais approuvé l’utilisation de ce vermifuge dans le traitement du Covid-19. En septembre 2021, la FDA avait déclaré que de nombreux patients ont présenté des troubles de santé nécessitant des soins médicaux spécifiques, incluant une hospitalisation, après avoir s’être automédiqués avec de l’ivermectine.
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Face à une prétendue hausse des cas liés à la souche EG. 5, surnommée «Eris», actuellement dominante aux États-Unis, les CDC se préparent à lancer une nouvelle campagne de vaccination qui couvrira désormais toutes les personnes âgées de 6 mois et plus. Alors que les vaccins à base d’ARNm mis à jour par les concurrents Pfizer/BioNTech et Moderna ont été autorisés aux États-Unis, la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a récemment accordé une autorisation d’urgence pour une version mise à jour du vaccin Novavax contre le COVID-19. Novavax, une biotech basée dans le Maryland, se distingue par le fait que son vaccin anti-COVID-19 est son seul produit commercialisé. Confrontée à des défis financiers, la société a mis en œuvre des mesures de réduction des coûts et place de grands espoirs dans les ventes de son vaccin mis à jour pour assurer sa pérennité. Il est souligné que la solvabilité de l’entreprise pourrait être compromise si le succès commercial de ce vaccin n’est pas au rendez-vous.
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Aux États-Unis, l’accélération de la campagne d’injections – même pédiatrique – est imminente. Face à une prétendue circulation rapide des virus respiratoires, comme le nouveau variant Covid-19, la grippe et la bronchiolite, les CDC ont recommandé le vaccin mis à jour pour toutes les personnes âgées de plus de 6 mois et plus. Cette décision du CDC est intervenue le lendemain du jour où la Food and Drug Administration (FDA) a approuvé les vaccins à ARN messager (ARNm) COVID-19 mis à jour de Moderna et Pfizer-BioNTech pour les personnes de 12 ans ou plus et autorisé les injections pour une utilisation d’urgence chez les enfants de 6 mois à 11 ans. Comme toujours, Big Pharma donne la direction à suivre. L’occident s’aligne.
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By Mac Slavo The Food and Drug Administration has approved new booster shots by both Pfizer and Moderna. These shots are supposedly designed to target...
L'industrie pharmaceutique réduit les populations de limules le long de la côte atlantique afin de prélever le sang des animaux pour fabriquer un produit utilisé pour tester l'innocuité des médicaments injectables et des vaccins.
L'industrie pharmaceutique épuise les populations de limules le long de la côte atlantique des États-Unis sans rendre compte de ses actes - et avec de graves conséquences pour l'environnement.
L’article Les grandes entreprises pharmaceutiques saignent les limules pour répondre à la demande croissante de vaccins est apparu en premier sur Strategika.
Les politicards et les big pharmas continuent leur combat contre ceux qui veulent utiliser des molécules non brevetables pour soigner des personnes atteintes de certaines maladies comme par exemple ce coronavirus chinois…
Le professeur Didier Raoult et d’autres, à Marseille et en Chine ont expliqué qu’en pareilles circonstances, il faut d’abord diagnostiquer correctement les patients pour bien identifier la cause de leur maladie en faisant des tests pour le plus grand nombre possible des personnes susceptibles d’être atteintes par ce virus, comme cela s’est fait en Corée, du Sud.
Ensuite, ayant bien identifié ce coronavirus qui est la cause de cette maladie, il suffit de prescrire de l’hydroxychloroquine (200 mg x 3 par jour pour 10 jours) + Azithromycine (500 mg le 1er jour puis 250 mg par jour pour 5 jours de plus) comme l’indique le communiqué de l’Institut Hospitalo-Universitaire Méditerranée Infection publié le 22 mars,
Document 1 :
Cette molécule est utilisée depuis plus de 70 ans par un très grand nombre de personnes séjournant dans les pays dans lesquels sévit le paludisme et sa toxicité très faible est bien connue.
Malgré tout, le directeur général de la santé en France a décidé de classer le 13 janvier 2020 l’hydroxychloroquine sur la liste des substances vénéneuses !
Document 2 :
L’acharnement des politicards de tous bords et des groupes de pression des big pharmas qui font tout pour empêcher les gens de guérir de cette maladie contagieuse qui sévit en particulier en Europe en ce moment est particulièrement criminel.
Seul parmi les chefs d’Etat, le Donald préconise les remèdes du professeur Didier Raoult et d’autres, et il doit se battre contre les fonctionnaires corrompus de la gauche américaine pour les faire adopter par la FDA !
Les solutions imposées par les politicards et les big pharmas (avec entre autres le confinement) ne font qu’aggraver la situation de tout le monde.
***
Cliquer ici pour voir le communiqué de l’Institut Hospitalo-Universitaire Méditerranée Infection publié le 22 mars.
Cliquer ici pour voir l’extrait du Journal Officiel relatif à l’arrêté classant l’hydroxychloroquine sur la liste des substances vénéneuses.
La photo du début de cet article montre la file d’attente des Marseillais voulant se faire tester du coronavirus devant l’Institut Hospitalo-Universitaire Méditerranée Infection.
© Chevallier.biz
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