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À partir d’avant-hierLe courrier des stratèges

Moi, Léo Nicolian, fiché S que Goldnadel appelle à persécuter…

Léo Nicolian n’est pas forcément connu du grand public. C’est un personnage étrange, haut en couleur, né au Liban mais d’origine arménienne. Il s’est illustré récemment par une vidéo qui lui vaut une auto-saisine du Parquet. On l’y voit filmer à son insu un inconnu dans le bus, probablement un rabbin, et lui poser des questions provocatrices sur la situation à Gaza. Sur le fond, bien entendu, l’intrusion dans la vie privée telle que l’a pratiquée Léo Nicolian nous paraît inadmissible – et il le concède dans l’entretien. Il choquera à juste titre par le caractère inapproprié de sa comparaison entre ce qui lui arrive et le sort des Juifs persécutés durant la Seconde Guerre mondiale. Cependant nous sommes surpris par la tempête qui s’est déchaînée contre lui. Nicolian a en effet diffusé ces images sur les réseaux sociaux. Il ne savait pas alors que cette séquence, que Léo Nicolian qualifie lui-même d’immorale, deviendrait un cheval de bataille pour Gilles-William Goldnadel.

Je souhaite rappeler ici plusieurs points :

  • le fait de filmer un inconnu à son insu, et d’en diffuser les images sur les réseaux sociaux, qui plus est sans son consentement, est immoral et illégal
  • les provocations liées à la Shoah auprès d’un inconnu sont également illégales et dangereuses
  • Léo Nicolian le reconnaît durant l’entretien
  • toutefois, l’appel à la vengeance communautaire n’est guère plus reluisant
  • il est regrettable que la justice “couvre” des débordements communautaires qui ne font qu’attiser les désordres

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Liste citoyenne : pourquoi Michel Goldstein, ancien macroniste, est tête de liste…

Nous avons créé la surprise hier en présentant une liste citoyenne souverainiste aux législatives, rassemblant un arc républicain en gestation avec une personnalité en tête de liste au passé lié à En Marche. Notre parti pris est de constituer une coalition large et ouverte autour de notre programme et de notre ambition d’une alliance tactique contre une nouvelle étape dans la construction européenne. Les principaux concernés expliquent aujourd’hui cette démarche aux sympathisants du mouvement.

On retiendra de cet entretien que :

  • Michel Goldstein souscrit au programme adopté par le groupe “Prenons-nous en main”
  • qu’il est déterminé à mener le combat contre l’Europe fédérale
  • qu’il dispose d’une expérience légitime pour conduire cette liste
  • qu’Edouard Husson et lui jettent les bases d’un axe très large pour mener le combat
  • que la stratégie d’alliance de la liste ne s’arrêtera pas là

Rendez-vous jeudi prochain pour un prochain rendez-vous sur le même sujet

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Comment Alfred Grosser (1925-2024) a transformé nos dirigeants en eunuques gardiens des intérêts du couple germano-américain

Alfred Grosser, patriarche des études françaises sur l’Allemagne, est mort hier 7 février 2024 à Paris, à l’âge de 99 ans. Je vois beaucoup d’éloges. Mais je n’ai jamais pensé que les oraisons funèbres doivent être des panégyriques – surtout pour des personnages publics. Brisons les idoles. Dans le cas de Grosser, il faut dire les choses: cet homme a dominé et stérilisé à la fois les études françaises sur l’Allemagne des années 1950 aux années 1990. Et cela a eu des conséquences catastrophiques pour la politique de la France face à l’Allemagne. Suivre la méthode grosserienne, qui visait à écarter tous les sujets qui fâchaient entre la France et l’Allemagne, a transformé des générations de dirigeants en eunuques gardiens des intérêts du couple germano-américain.

Quelques souvenirs personnels, pour commencer!

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Quand Philippe de Villiers paye son écot à la caste mondialisée

On a connu Philippe de Villiers souverainiste français avec l’argent du milliardaire mondialiste Jimmy Goldsmith, puis souverainiste français soutien d’un Zemmour dont il niait ses grands dieux qu’il fût une marionnette de la finance new-yorkaise. On connaît désormais Philippe de Villiers souverainiste français grand admirateur du porte-voix israélien Georges-William Goldnadel. Cette étrange souveraineté française qui fait des ronds-de-jambe au monde des néo-conservateurs américains.

Cher @PhdeVilliers , je porterai cette déclaration, comme une Légion d’honneur. Judée et Vendée nous réunissent dans le même combat pour défendre nos racines et les êtres qui y vivent debout. pic.twitter.com/KQMLFxHcgK

— G-William Goldnadel (@GWGoldnadel) January 21, 2024

Philippe de Villiers semble beaucoup aimer Georges-William Goldnadel, qu’il qualifie de “grand Français courageux”. Il paraît même que Goldnadel est un maquisard comme Villiers. “Judée et Vendée”, dit Goldnadel, pour évoquer cet imaginaire lien forgé par les mêmes amis et les mêmes ennemis.

Donc, Goldnadel, incarnation parfaite de l’atlantisme en France, porté par Bolloré, le milliardaire mondialiste, serait une sorte de chouan du Levant.

De deux choses l’une : soit Villiers est directement ou indirectement stipendié pour raconter ce genre de fable. Soit il est sincère. Soit les deux. Dans tous les cas, on comprend mieux pourquoi la cause souverainiste recule depuis qu’il en a pris l’étendard. Villiers est ce genre d’amis qui vous dispensent à tout jamais d’avoir des ennemis.

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Quand Philippe de Villiers inventait le souverainisme mondialisé avec l’argent de la caste

La WorldWide Freedom Initiative qui s’est tenue à Paris le 10 novembre a réuni la fine fleur d’un certain souverainisme auto-proclamé : Charles Gave, André Bercoff, Eric Morillot, mais aussi Florian Philippot, Nicolas Dupont-Aignan, Jean-Frédéric Poisson et Eric Zemmour. L’événement était organisé par l’association Republican Overseas, dirigée par un avocat franco-américain, Randy Yaloz, proche des milieux israéliens, et par le Danube Institute. Ce type de rapprochement entre les “populistes” et les milieux néo-conservateurs attachés au sionisme n’est pas nouveau. Déjà, en 1994, Philippe de Villiers en avait donné un exemple pour les élections européennes, en bénéficiant du soutien financier de Jimmy Goldsmith. Nous rappelons ici le récit que De Villiers lui-même fit de cette extraordinaire incursion de l’influence mondialiste dans la vie politique française.

Certaines coïncidences troublent. Lorsque le Courrier avait souligné l’influence de la finance américaine dans la campagne d’Eric Zemmour, Philippe de Villiers avait fini par faire un communiqué pour dénoncer de la malveillance dans ces propos. La suite a pourtant démontré que nous avions raison.

Il faut dire que Philippe de Villiers n’est pas né de la dernière pluie dans cette démarche où l’on fait passer des vessies pour des lanternes, et où l’on joue aux souverainistes quand on se contente de percevoir l’argent du mondialisme. De ce point de vue, le récit qu’il donne de sa campagne aux européennes de 1994 dans son livre “Le moment est venu de dire ce que j’ai vu” (éditions Albin Michel, 2015) est un aveu circonstancié et détaillé de la façon dont le populisme français s’accommode très bien des soutiens financiers venus de la caste.

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