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À partir d’avant-hierOpenClassrooms : le blog

Développement web : se former dès maintenant à un métier d’avenir

Deux métiers phares se cachent derrière nos sites Internet : le développeur WordPress et l’intégrateur web. Pour former au mieux ces profils, particulièrement recherchés par les entreprises, OpenClassrooms propose deux nouvelles formations, accessibles même sans avoir codé avant.

Le métier de développeur attire les talents de tous âges. Avec la diversification des technologies de développement, le marché évolue vers une spécialisation des compétences. Les entreprises ont besoin de développeurs performants dans un langage ou un outil précis. C’est pour répondre à cette demande qu’OpenClassrooms lance deux nouveaux parcours de formation en ligne, conçus pour les développeurs débutants. La voie d’entrée vers votre future carrière ? Décryptage.

Choisir un métier d’avenir

Les caractéristiques, compétences requises et champ d’action propres à chaque métier vont vous permettre d’identifier celui qui correspond le plus à vos envies de carrière.

Le développeur WordPress va se spécialiser dans la création de sites web grâce à un CMS. Il rejoindra plutôt des agences web ou se lancera en freelance ; tandis que l’intégrateur web travaille sur la partie visible d’un site : son interface, et il sera très recherché en ESN ou startup tech. 

Une fois l’orientation choisie : comment apprendre concrètement un métier ?

Se former au mieux selon les attentes du marché

Pour permettre à chaque futur développeur d’acquérir les connaissances les plus précises, techniques et actuelles, OpenClassrooms a conçu ses formations avec des experts métiers et les met à jour très régulièrement. Les parcours Développeur WordPress et Intégrateur Web permettent d’apprendre les bases des langages et outils techniques les plus courants : PHP, HTML, CSS, Git & GitHub, JavaScript, ainsi que le SEO, la gestion de projets web et la maintenance de sites. Les acquis propres à chaque métier sont ensuite approfondis dans les formations dédiées.

Se former au développement WordPress

Cette formation s’adresse à toutes les personnes souhaitant être rapidement autonomes dans le développement de sites web performants et sur-mesure avec WordPress (le CMS le plus utilisé). Les étudiants apprendront, en plus des langages courants, les bases d’Elementor, Gutenberg, ainsi que des notions de jQuery et de Responsive design.

Se former à l’intégration Web

L’intégration web  plaira à des profils techniques qui s’intéressent au front-end et ont envie de maîtriser React : l’un des frameworks JavaScript les plus utilisés. Une fois la formation terminée, les apprenants sont capables de créer des applications & interfaces web complètes et optimisées, et de dynamiser des pages web. Ils découvrent, en plus des langages courants, Redux, SASS, les appels API, Visual Studio Code et Figma. 

Informations pratiques & débouchés 

Ces deux formations permettent, en 9 mois, de décrocher un diplôme de niveau 5 (bac +2), reconnu par l’État, et de se constituer un portfolio technique particulièrement utile pour valoriser son expertise. Le but d’OpenClassrooms : rendre tous les apprenants employables en tant que développeurs junior. Un coaching à l’emploi est même proposé en fin de cursus pour ceux qui le désirent.

Que vous soyez étudiant, demandeur d’emploi ou en reconversion, si le métier de développeur vous attire, n’attendez plus ! Les parcours sont même finançables avec vos crédits CPF, selon statut, et peuvent être effectués en alternance (18 mois). La date de démarrage ? C’est vous qui choisissez !

Alors, pourquoi pas vous ? Osez faire un travail qui vous plaît.

RDV ici et ici pour obtenir toutes les informations et décider de la suite pour votre carrière.

Vous pouvez faire confiance à OpenClassrooms pour vous donner toutes les chances de réussir.

La pédagogie innovante d’OpenClassrooms

OpenClassrooms est un acteur majeur de la formation en ligne en Europe. Plus de 10 000 personnes se sont déjà formées au développement web avec notre école, et des millions d’autres sur tous types de compétences techniques. Depuis 2013, notre mission est votre réussite, et nous avons, pour cela, mis au point une pédagogie spécifique.

L’approche unique d’OpenClassrooms pour monter en compétences rapidement :

  → FLEXIBILITÉ : des cours 100 % en ligne & un rythme adaptable à son emploi du temps

  → CONCRET : un minimum de théorie et un maximum de pratique avec la réalisation de projets issus de scénarios professionnels

  → MOTIVATION : le soutien hebdomadaire d’un mentor, lui-même développeur, et l’accès à une communauté d’entraide virtuelle avec d’autres étudiants

Prêt à vous lancer dans le développement web ?

 

INSCRIPTIONS DÉVELOPPEUR WORDPRESS


INSCRIPTION INTÉGRATEUR WEB

Intégrateur web développeur wordpress
Tableau comparatif

Devenez développeur en 5 étapes

 

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Devenez Développeur en 5 étapes

Le métier de développeur figure en tête des plus recherchés par les recruteurs, selon une analyse de l’Apec. Cette première place a d’ailleurs été renforcée par la crise sanitaire, qui a accéléré la transformation numérique de l’économie. De plus en plus, les entreprises comptent en effet sur l’expertise technique de profils spécialisés dans le code. Le défi désormais pour ces profils : acquérir les bonnes compétences. OpenClassrooms, acteur majeur de la formation en ligne, partage ses meilleurs conseils pour aider les futurs développeurs à se lancer. Alors, comment percer dans le développement informatique ?

 

Si les envies de reconversion se multiplient, le développement web attire de plus en plus. Passionnés de nouvelles technologies, candidats à l‘aventure freelance : les talents sont nombreux. Et ça tombe bien : ce métier ne connaît pas la crise. Les entreprises ont besoin de développeurs, mais pas n’importe lesquels ! Une véritable tendance se dessine sur le marché du travail et certaines compétences Tech très précises deviennent bien plus prisées que d’autres. En s’appuyant sur de solides données marché ainsi que les retours d’expérience de développeurs experts, OpenClassrooms a identifié les plus recherchées actuellement. 

Et si vous pouviez acquérir ces compétences, même sans avoir codé avant, à votre rythme, et sans retourner sur les bancs de l’école, avec un diplôme à la clé ?

Découvrez, en cinq étapes-clés, la marche à suivre pour apprendre les codes de votre future carrière.

1. Identifier le métier de développeur correspondant à son profil 

Que vous soyez étudiant, en recherche d’emploi ou déjà en poste, vous êtes en plein questionnement autour de votre carrière. Vous ne savez pas coder, ou avez quelques connaissances en développement. Mais ce secteur vous plaît et vous sentez que vous pourriez vous épanouir dans un métier technique.

Alors vous êtes au bon endroit. Pour aider un maximum de personnes à obtenir un emploi d’avenir dans la création de sites web, OpenClassrooms propose de nouvelles formations accessibles quel que soit l’âge ou le parcours. Ces formations ont été lancées pour répondre à une véritable demande, comme l’explique Nicolas Patschkowski, Learning designer en charge de ce projet : « Le marché recherche des développeurs spécialisés, car les technologies de développement, langages et outils, sont de plus en plus diversifiés. Les entreprises ont besoin de développeurs performants, spécialisés dans un langage. » 

Quel métier sera le plus adapté à vos envies de carrière ?

Le Développeur WordPress est autonome, créatif, technique et aime la diversité de projets. Il est capable de créer facilement des sites sur-mesure de A à Z sur WordPress, le CMS sur lequel sont hébergés 42,9 % des sites web aujourd’hui. Mais il dispose également de solides compétences techniques pour rendre un site performant et le personnaliser au mieux selon les besoins des clients (blogs, sites e-commerce ou vitrines).

L’intégrateur web travaille également sur des projets variés, avec une forte expertise dans le code. C’est la partie la plus visible des sites web dont il est en charge : l’interface. Il maîtrise React : l’un des frameworks JavaScript les plus utilisés. Sa mission : intégrer les éléments visuels demandés par un client dans les pages d’un site web pour créer une interface harmonieuse, dynamique et facilement navigable.  

Vous y voyez plus clair désormais ! Mais alors comment passer du choix théorique d’un métier à son apprentissage concret ? Là est toute la force de la formation. Mais attention : pas n’importe laquelle. 

2. Choisir la bonne école pour se former 

De nombreuses formations existent dans le digital. Elles promettent toutes de vous apprendre vite et bien le métier de vos rêves. Comment s’y retrouver ? Il convient d’être très vigilant quant au sérieux de l’organisme choisi. Pourquoi OpenClassrooms serait l’école la plus adaptée à votre évolution de carrière ?

Historique. Parmi toutes les écoles existantes, OpenClassrooms occupe une place de choix dans la formation aux métiers du numérique depuis 2013 (et même dès 1999 avec le Site du Zéro !). Les chiffres sont évocateurs : nous avons déjà permis à des millions de personnes d’apprendre tous types de compétences techniques, dont 10 000 ayant suivi notre parcours “Développeur web”. Nos cours en ligne sont même utilisés dans plusieurs écoles d’informatique et d’ingénieurs, et plébiscités par de nombreux développeurs désireux de mettre à jour leurs acquis. 

Contenu. Comment être sûr de bénéficier d’un enseignement de qualité ? La correspondance entre le contenu des formations OpenClassrooms et les compétences recherchées par les entreprises, est primordiale. Nous analysons en permanence l’évolution des métiers et mettons ainsi à jour un quart de l’ensemble de notre catalogue chaque année. 

Reconnaissance. C’est grâce à cette expertise que la plupart de nos formations permettent désormais d’obtenir des diplômes de niveau reconnu par l’État : un gage de confiance supplémentaire. Et pour poursuivre notre mission de rendre l’éducation accessible à tous, nos formations sont éligibles à plusieurs types de financement, selon le statut de chacun. 

Notre promesse : vous transmettre les connaissances les plus précises et actuelles possibles.

3. Se spécialiser dans un des métiers du développement informatique 

En tant que futur développeur, votre expertise fera toute la différence. Pour garantir un haut niveau technique dans ses deux nouvelles formations, OpenClassrooms a fait le choix de produire l’intégralité de ses contenus en interne, en s’entourant de profils dûment sélectionnés.

« Pour élaborer ces deux parcours, nous nous sommes appuyés sur des outils très puissants, permettant d’analyser de nombreuses données marché relatives à la recherche d’emploi, en vue de développer des référentiels de compétences. Nos ingénieurs pédagogiques travaillent également en continu avec des experts métiers, interrogés sur leur quotidien, pour identifier les méthodes, outils & acquis indispensables à leur métier. » Nicolas Patschkowski, Learning designer.

Ainsi, en 9 mois, les compétences que vous maîtriserez en tant que Développeur WordPress et Intégrateur Web sont :

Développeur WordPress :

  • Créer des sites personnalisés de manière efficace dans le cadre de développement d’activité ou de lancement de nouvelles offres de l’entreprise ou d’un client
  • Personnaliser des thèmes et des plugins WordPress afin de développer des sites aux fonctionnalités avancées et à l’interface sur-mesure.
  • Maîtriser les technologies et les langages techniques les plus demandés : WordPress, PHP, HTML, CSS, Git & Github, JavaScript, Elementor, Gutenberg, ainsi que des notions de jQuery et de Responsive design.

Intégrateur web :

  • Créer une application web complète et responsive pour permettre à l’entreprise ou au client de vendre ses produits et services en ligne, sur tous types d’appareils.
  • Dynamiser des pages web pour mieux mettre en valeur les produits / services d’une entreprise. 
  • Créer des interfaces communiquant avec le back-end du site pour créer des applications dynamiques et permettre aux clients de s’identifier sur le site.
  • Maîtriser les technologies et les langages techniques les plus demandés : HTML, CSS, SASS, JavaScript, React & Redux, les appels API, et quelques notions de Visual Studio Code, le responsive design, Figma, Git & GitHub.

Chacun de ces deux parcours permet également de maîtriser la gestion de projet web, les outils de veille technologique, et les bases du SEO.

Mais rentrons dans le vif du sujet : comment notre école va-t-elle vous former, vous, à votre futur métier ?

4. Apprendre son futur métier de manière (vraiment) efficace 

Se former demande un véritable engagement. Pourtant, même si l’envie de faire évoluer sa carrière est là, la motivation peut manquer pour mener à bien ce projet de vie. Chez OpenClassrooms, nous avons étudié tous les mécanismes de l’apprentissage et élaboré une pédagogie innovante avec un seul objectif : faciliter et optimiser la formation, pour tous. Tout a été pensé pour que vous alliez au bout de nos parcours, et viviez une belle expérience personnelle et professionnelle. Se former ne ressemble alors en rien à ce que vous avez expérimenté à l’école auparavant. Les spécificités de nos formations sont :

  • Praticité. Tous les cours se déroulent en ligne pour garantir un maximum de flexibilité physique et temporelle. Vous apprenez à tout moment, de n’importe où, et adaptez donc votre formation à votre emploi du temps.
  • Alternance. Tous les parcours peuvent être effectués en alternance avec un format hybride (en ligne / en présentiel), et l’aide d’OpenClassrooms et de son réseau pour trouver son entreprise (contrat de professionnalisation ou d’apprentissage).
  • Mode projets : Savoir c’est bien, savoir-faire c’est mieux ! Comme l’explique Nicolas Patschkowski, Learning designer : « Tout ce qui est enseigné aux étudiants est fait dans le but d’acquérir les compétences-clés du métier : pas de théorie superflue, ni d’initiation. Notre pédagogie est active et repose sur la réalisation de projets issus de scénarios professionnels. Chaque apprenant vit une expérience immersive dans son futur métier ! ». Apprendre par la pratique renforce la vitesse de mémorisation et les capacités professionnelles.`« Tout ce qui est enseigné aux étudiants est fait dans le but d’acquérir les compétences-clés du métier : pas de théorie superflue, ni d’initiation. Notre pédagogie est active et repose sur la réalisation de projets issus de scénarios professionnels. Chaque apprenant vit une expérience immersive dans son futur métier ! » Nicolas Patschkowski, Learning designer. 
  • Soft skills. Interactions professionnelles, présentation synthétique d’une solution à un client : ces compétences sont indispensables pour être un bon développeur. Plusieurs jeux de rôle sont organisés au fil du parcours, pour vous permettre d’incarner au mieux votre future posture de développeur. 
  • Suivi individuel. Tous les étudiants sont accompagnés par un mentor, expert du métier choisi, tout au long de leur formation. Des sessions individuelles d’échanges sont organisées chaque semaine en parallèle des cours en ligne : de quoi rester motivé,, dépasser les blocages, ancrer les nouvelles connaissances et permettre une véritable passation d’expérience.
  • Soutien. Les professeurs et conseillers pédagogiques OpenClassrooms sont dédiés à votre réussite et disponibles si besoin, tout comme la communauté d’étudiants sur Facebook Workplace.
  • Ressources. Des cours optionnels vous sont accessibles pour aller plus loin.

Alors, oui, certains diront que se former en ligne demande beaucoup d’autonomie. Mais Nicolas Patschkowski, Learning designer, précise : « C’est un challenge utile pour tous les futurs développeurs, car ce métier nécessite d’être autonome avec les outils digitaux, d’être capable de se former sur internet, trouver ses réponses par soi-même, demander à d’autres professionnels. »

5. Être épanoui dans le développement informatique

S’il y a bien un  métier qui ne connaît pas la crise : c’est celui de développeur ! Mais quel environnement de travail vous attire le plus ? Les développeurs WordPress sont très recherchés en agences web et sont nombreux aussi à se lancer en freelance. Les intégrateurs web se retrouvent beaucoup dans les start-ups et entreprises Tech, mais aussi en ESN.

De débutant à développeur, il n’y a qu’un pas. Alors, une fois votre formation diplômante dans le développement web terminée : que se passe-t-il ? OpenClassrooms met tout en œuvre pour favoriser votre employabilité. « Nos formations sont professionnalisantes. Elles ont pour but de rendre tous les apprenants employables en tant que développeurs junior ! », explique Nicolas Patschkowski.

« Nos formations sont professionnalisantes. Elles ont pour but de rendre tous les apprenants employables en tant que développeurs junior ! »
Nicolas Patschkowski, Learning designer.

Tout au long du parcours, vous avez réalisé une succession de projets concrets, avec l’aide de votre mentor, et les avez présentés à des experts métiers dans le cadre de sessions d’évaluation. Ces projets sont désormais rassemblés au sein d’un portfolio : véritable vitrine de vos capacités techniques ! Après avoir validé toutes les étapes requises, vous obtenez votre diplôme : une certification RNCP de niveau 5 (équivalent bac +2) reconnue par l’État. Vous avez désormais toutes les cartes en main pour commencer votre nouvelle vie professionnelle et être épanoui dans un travail qui vous plaît.

OpenClassrooms propose, à la fin de la formation, un parcours de coaching à l’emploi pour tous les étudiants qui le désirent. Des coachs spécialisés en insertion professionnelle peuvent alors les aider à préparer leurs CV, leurs lettres de motivation et leurs entretiens, en vue d’optimiser leur recherche d’emploi. De quoi mettre toutes les chances de votre côté !

Alors, pourquoi pas vous ?

Faites un bond dans votre carrière grâce au développement informatique et avec OpenClassrooms !

Postulez pour vous former à votre futur métier :

Découvrez également ici tous nos parcours de formations diplômants dans le développement informatique.

 

Intégrateur web développeur wordpress
Tableau comparatif

 

Développement web : se former dès maintenant à un métier d’avenir

 

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 « Chaque étudiant a ses forces et ses faiblesses », Jérémy, mentor 

Développeur FullStack chez Advize Groupe, Jérémy transmet sa passion du code en étant mentor sur OpenClassrooms. Il a découvert cette opportunité à travers Mobiskill, notre partenaire expert du recrutement sur les postes Tech.

Comment et pourquoi êtes-vous devenu mentor pour OpenClassrooms ?

J’ai toujours aimé enseigner, transmettre mes connaissances, et aider les autres.

Dès le début de mes études supérieures, j’ai commencé à donner des cours bénévolement à mes camarades en nous regroupant toutes les semaines dans une salle prêtée par l’établissement.

Cela me plaisait tellement que les cours particuliers sont devenus un emploi étudiant grâce à un statut d’auto-entrepreneur, pour venir en aide à des étudiants de niveau collège et lycée dans les matières scientifiques.

Alors que je cherchais un nouvel emploi dans le développement Web, on m’a proposé de devenir mentor chez OpenClassrooms. Une occasion de combiner amour des cours et du partage et passion du développement.

En quoi le mentorat consiste-t’il et qu’est-ce qu’il vous apporte ?

J’ai actuellement trois étudiants avec qui nous réalisons une heure de mentorat individuel chaque semaine.

Chaque étudiant est différent : il a sa façon de penser, ses points forts, ses faiblesses et ses expériences passées. C’est d’autant plus riche lorsqu’il s’agit d’une reconversion professionnelle. Cette composante humaine et cette diversité de profils  rendent chaque séance différente par rapport aux précédentes.

Cela m’apporte à la fois des aspects passionnants au niveau professionnels, mais surtout de nouvelles connaissances.

Et bien sûr, en tant que mentor, on se nourrit des échanges avec nos étudiants. 

Quelle est votre activité professionnelle en dehors du mentorat ?

Je suis développeur Web FullStack. J’ai 5 ans d’expérience professionnelle, sans compter les nombreuses d’années d’entraînement qui les ont précédées.

Le développement est un secteur de passion, c’est rare qu’on commence seulement après ses études. Souvent, on a déjà pas mal codé et mené des projets pendant ses études.

Qu’est-ce qui vous plaît dans ces métiers ?

Le développement est une aventure.

Chaque jour, les demandes, les problèmes, les idées et les façons de faire sont différents. En effet, chaque client va avoir des demandes qui lui sont propres. Les bugs remontés ne sont jamais les mêmes. Et le domaine progresse très rapidement, ce qui oblige à se mettre à jour, mais permet de découvrir de nouvelles façons de faire.

Y a-t-il des sujets sur lesquels vous aussi vous aimeriez vous former ?

La gestion de projet. J’adore m’organiser, le contact humain et aider les autres de manière pratique ou en leur partageant mes connaissances. Les métiers de la Tech sont poreux. On peut passer d’une spécialité à une autre de manière assez agile… Alors, pourquoi pas devenir chef de projet plus tard ? Affaire à suivre !

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L’apprentissage du développement vous intéresse ? Rendez-vous sur les formations diplômantes en développement informatique pour choisir votre domaine de prédilection et vous faire accompagner par un mentor.

Si comme Jérémy, vous aimez transmettre vos connaissances, devenez mentor !

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Podcast Joboscope épisode #18 : Développeur Front-End

« L’un des aspects qui m’a donné envie de devenir développeuse, c’est que c’est un monde infini de connaissances, il y a toujours des nouvelles choses à découvrir ».  Valentine Langer 

Pilier fondamental de la conception d’applications et de produits digitaux, le métier de développeur Front-End reste encore mystérieux pour beaucoup. Pire, nombreux sont ceux qui font l’amalgame avec le métier de développeur / développeuse Back End, son antonyme. Pourtant, le métier de développeur / développeuse Front End est unique en son genre, et propose à ses pratiquants une riche palette d’expériences… Et si vous en appreniez plus sur cette fonction très demandée ? Et sur ce métier que vous pouvez apprendre au sein de l’école en ligne OpenClassrooms…

On passe ⅓ de notre vie au travail. Autant exercer un job qu’on aime ! OpenClassrooms veut vous aider à trouver un métier qui vous donne envie de vous lever le matin. En écoutant le podcast le Joboscope, vous vous ferez une idée du quotidien d’un Développeur Font-End :

  • À quoi ressemble chaque journée quand on est dans le développement Front-End
  • Les technologies utilisées dans l’univers du développement Front
  • La nature des missions abordées au quotidien et les compétences à développer pour s’épanouir dans ce métier
  • Les avantages et les inconvénients de ce rôle créatif et technique à la fois
  • Les perspectives d’évolution de carrière et les salaires moyens dans l’univers du développement — à son compte ou sous contrat !

J’écoute l’épisode sur Apple Podcasts

Dans l’édition Développeur / développeuse Front-End, trois professionnels discutent de leur métier avec Marion Armengod, journaliste et modératrice. À la date d’enregistrement, Julie Berteaux est développeuse Front freelance,  Valentine Langer occupe ce rôle chez Lifen, tandis que Benjamin Mornat travaille chez Webnet. Si leurs postes ont peut-être évolué lors de votre écoute, leurs témoignages n’en restent pas moins actuels !

En écoutant l’épisode, vous découvrirez les coulisses de l’univers du développement Front-End, et ce qui le rend si attractif aux yeux de nos trois invités… À savoir, la richesse des expériences à portée de main, et la diversité des connaissances engrangées !

« Le plus important, c’est vraiment d’être à l’écoute, d’avoir toujours envie d’évoluer. Parce que stagner n’est pas une option : la technologie avance tellement vite, qu’elle avance plus vite que nous. Il faut toujours être à la page, toujours avoir envie d’apprendre de nouvelles choses » . Benjamin

Vous apprendrez aussi à faire la différence entre les métiers souvent confondus du développement Front-End et du développement Back-End, deux pratiques très complémentaires, mais également très différentes. 

«Le développeur Front est plus proche des utilisateurs, il va aborder les choses en frontal puisqu’il va voir les problèmes qui sont remontés directement. Mais il va aussi devoir travailler avec le Back-End pour avoir le bon modèle de données, ou pour avoir la bonne information au bon moment » . Valentine                                       

Vous découvrirez également quelles sont les synergies entre ces deux métiers. 

Envie d’en savoir plus ? 

J’écoute l’épisode sur Spotify

Vous plongerez en écoutant cet épisode dans le quotidien de nos intervenants, qui vous partageront sans langue de bois les aspects positifs de leur métier, tout comme ses inconvénients !

« Je pense que pour n’importe quel métier technique comme le nôtre, il faut vraiment être très persévérant si l’on choisit cette voie, puisque cela implique de beaucoup se former, beaucoup lire, de toujours continuer à accepter d’apprendre ». Valentine

Nous vous dévoilerons aussi les évolutions de carrière envisageables, ainsi que les évolutions de salaire sur ce métier très demandé.

Vous entendrez les confidences des trois professionnels sur leur métier et leur manière de l’exercer. C’est sans tabous, promis !

« Quand on est confronté à des frameworks de code qui ne marchent pas, que l’on butte dessus et que l’on ne trouve pas la solution, ça peut très, très vite devenir frustrant ! ». Benjamin

« La grande différence avec le Back-End, c’est qu’en Front-End, il faut quand même avoir une sensibilité assez visuelle. Il faut être doté d’un certain sens de l’esthétique pour mettre en œuvre une page, synchroniser des éléments entre eux… ». Julie 

« Vous êtes proche de l’expérience utilisateur, c’est vraiment très agréable de comprendre et de voir ce que vous faites avoir un impact au quotidien ». Valentine

« En premier lieu, ce qu’il faut savoir, c’est que le partage, c’est le plus important. Notre métier, on ne peut pas réussir tout seul ». Benjamin

 « C’est un monde dans lequel il y a beaucoup de choses qui encouragent le travail en équipe, de manière humble, avec une communauté qui fait preuve de beaucoup d’honnêteté intellectuelle ». Valentine

 « Un autre aspect très important, de ce métier, et d’autres métiers de la tech, c’est l’indépendance. Une fois qu’on a son ordinateur et un bon wifi, on peut travailler d’où on veut ». Julie 

Liens utiles :

Le Joboscope Développeur / développeuse Front-End sur Ausha
Le Joboscope Développeur / développeuse Front-End sur Apple Podcasts
Le Joboscope Développeur / développeuse Front-End sur Spotify
Le Joboscope Développeur / développeuse Front-End sur Deezer 

Envie de découvrir d’autres aspects du métier de développeur / développeuse ?

Allez découvrir les épisodes dédiés aux autres rôles du développement :

Développeur / développeuse Web

Développeur / développeuse Back-End

Développeur / développeuse iOS

Développeur / développeuse Android

Envie d’apprendre ce métier chez OpenClassrooms ?

OpenClassrooms est une école en ligne qui propose des formations en ligne certifiantes ou diplômantes pour apprendre les métiers du numérique.

Notre formation « Développeur d’application – JavaScript React », d’une durée de 12 mois (à partir de 18 mois en alternance), débouche sur un niveau bac +3/4 au RNCP (Répertoire National des Certifications Professionnelles).

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Ousmane, alternant développeur Web sur Prép’Apprentissage

Dans un monde où tout change très vite et où les besoins en termes de métiers évoluent à toute vitesse, Ousmane Yattara a fait le pari de développer ses compétences numériques. Il s’est positionné sur le développement Web, secteur en forte demande, et suit actuellement une formation en alternance chez OpenClassrooms pour devenir développeur, suite au programme financé Prép’Apprentissage. Retour sur un virage numérique réussi ! 

Bonjour Ousmane, pourquoi as-tu choisi le développement Web sur Prép’Apprentissage ?

Après un bac pro en gestion-administration, j’ai eu une expérience de management en rayon chez Monoprix. 

Très rapidement, je me suis rendu compte qu’aujourd’hui tout est numérisé, d’où la nécessité d’apprendre à s’adapter.

J’ai déjà de belles cordes à mon arc : je parle anglais couramment, je maîtrise plutôt bien les outils informatiques, mais je trouvais qu’il manquait le petit plus qui rendrait mon profil plus attractif.

Et à mon sens, ce petit plus, c’était de comprendre ce qui se passe derrière un ordinateur : autrement dit, de faire fleurir mes aptitudes en informatique.

C’est ce qui m’a poussé à suivre cette formation en développement Web proposée par OpenClassrooms. Aujourd’hui, je peux réaliser des choses passionnantes :  créer une page Internet, mettre en place des outils numériques et les utiliser sans problèmes… Je commence même à maîtriser des langages informatiques. Je suis ravi de ma progression.

Qu’est-ce que tu as pensé de ta formation OpenClassrooms ?

C’est vraiment merveilleux de nous accorder cette opportunité, qui n’est pas forcément évidente à décrocher ! OpenClassrooms m’a aidé à transformer mon projet en réalité.

As-tu bénéficié d’un accompagnement ?

On m’a proposé d’intégrer le programme Prép’Apprentissage, qui dure 4 mois et prépare à la recherche d’alternance. J’ai été suivi par plusieurs coachs tout au long de cette préparation.

Dans la première partie de ce programme, on explore 4 métiers très recherchés, dont celui de développeur Web. Pendant cette phase, ma première coach en orientation professionnelle m’a aidé à m’organiser et à trouver mon rythme, et surtout à confirmer que c’était le bon métier pour moi. 

Sur la deuxième partie de la formation, l’idée était de développer des bases sur le métier de développeur. J’ai eu un mentor qui a été extraordinaire, qui m’a accompagné jusqu’au bout. On a travaillé main dans la main pour réaliser les premiers projets de la formation développeur Web. Cela m’a aidé à progresser, c’était une super expérience. 

Enfin, sur la troisième partie, l’idée était pendant un mois de créer les bons outils pour décrocher une alternance : la lettre de motivation, le CV… J’ai été suivi par un autre coach aguerri, qui m’a poussé à me remettre en question et clarifier mes objectifs de carrière. Il m’a fait prendre conscience que même si j’avais déjà des savoir-faire, développés dans mes premières expériences professionnelles et des aptitudes administratives, je devais persévérer et développer de nouvelles compétences. Il m’a aidé à définir un plan d’action que j’ai réussi à accomplir avec lui. 

Aujourd’hui, grâce à OpenClassrooms, je me sens bien dans ma peau ! J’ai la sensation d’avoir fait les choses correctement et d’en avoir retiré beaucoup de valeur : je n’ai loupé aucune étape, j’ai suivi les cours de manière très investie, et le résultat est extraordinaire. Je cherche maintenant une entreprise pour terminer la formation développeur Web en alternance, et me lancer sur le marché de l’emploi.

À lire : l’histoire d’Alicia, aussi reconvertie sur Prép’Apprentissage

C’est un magnifique témoignage ! Et justement, demain, c’est ton alternance qui commence ?

Je suis encore en recherche. Le souci, c’est que les entreprises recherchent plutôt des compétences en PHP, JavaScript… Dans notre formation, malheureusement, nous n’avons pas encore entamé l’étape de ces langages.

Mais je profite du temps libre qu’il me reste avant l’alternance pour suivre les cours en PHP de Mathieu Nebra. Je n’en suis qu’à la moitié et je suis déjà capable d’analyser et comprendre ce qu’est le PHP. J’ai aussi appris à faire la différence entre les langages de programmation pour des sites dynamiques et ceux des sites statiques. 

J’ai la sensation d’avoir bien avancé. Je sais désormais parler de variables, des fonctions, c’est une merveille pour moi, tout ça. Et puis sur WordPress, je commence à créer des sites Internet tout seul : la difficulté et le défi ne me font plus peur.

Pourquoi souhaites-tu continuer en alternance ? 

Ousmane répond du tac au tac avec un petit sourire : « Elle va faire de moi quelqu’un de nouveau ! (rires). L’alternance, c’est le meilleur moyen aujourd’hui d’apprendre facilement et d’une manière adaptée tout ce que l’on veut. 

On a beau acquérir du savoir par l’écrit, la vidéo ou l’oral, la pratique reste toujours plus efficace. », explique le jeune homme.

Un dernier mot à partager avec nous ? Est-ce que tu recommanderais OpenClassrooms aux personnes qui souhaitent se former aux développement Web ? 

OpenClassrooms, c’est merveilleux ! Sincèrement, je trouve que l’approche et le suivi sont très humains. Personne ne m’a lâché, je n’avais jamais ressenti ça dans aucune formation auparavant. Je suis accompagné par mon coach, par le student success manager — c’est très précieux.

Toute l’équipe s’inquiète de savoir comment les choses se passent pour moi, je reçois souvent des textos me demandant comment j’évolue. Une fois la formation terminée, je pensais que le suivi s’arrêterait peut-être. Mais il n’en est rien ! J’échange toujours autant avec mes interlocuteurs, on m’envoie des offres d’emploi… L’aventure continue, et j’en suis très heureux.

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Le métier de développeur Web est en plein essor. Quel que soit le secteur dans lequel vous souhaitez évoluer, des compétences en développement peuvent être un bel atout à présenter à un recruteur. 

Vous aussi, vous vous intéressez au développement Web ? Rendez-vous sur la page parcours de la formation pour découvrir son contenu. Vous pouvez aussi suivre les cours dispensés sur le parcours gratuitement ; cela vous donnera un bon aperçu pour vous lancer sur cette formation professionnalisante. 

Vous voulez encore explorer les métiers possibles ? Vous avez maximum le niveau bac et au maximum 20 ans ? Rendez-vous sur la page du programme Prép’Apprentissage pour en savoir plus.

 

[Podcast] Trouver une alternance en temps de crise

[Podcast] S’intégrer en télétravail en alternance

[Podcast] Prép’Apprentissage : choisir un métier et trouver une alternance sans galérer

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« J’aime voir mes étudiants surmonter les difficultés », Ranga, mentor

Développeur d’applications chez Nokia, Ranga est aussi passionné par la formation et la transmission des connaissances. C’est cette envie de partager son expérience qui l’a poussé à devenir mentor chez OpenClassrooms, sur la formation en ligne Développeur d’applications python. Rencontre.

Pourquoi et comment êtes-vous devenu mentor OpenClassrooms ?

Grâce à un collègue qui est mentor depuis plus de 4 ans, et que je connais depuis longtemps ! Il m’a fait découvrir OpenClassrooms et j’ai sauté le pas. C’était un grand défi pour moi, dont je suis content aujourd’hui.

Qu’est-ce qui vous a donné envie de sauter le pas ?

Je donne des cours de soutien scolaire en mathématiques depuis l’époque de mes classes préparatoires. Comme j’avais un bon niveau en mathématiques, j’ai été en mesure d’aider pas mal d’étudiants. Le mentorat avec OpenClassrooms, c’est un moyen de maintenir une continuité avec tout ça. 

Je souhaite continuer dans la formation. Un jour peut-être, j’aimerais travailler exclusivement dans ce domaine. OpenClassrooms, c’est à la fois un beau défi et une porte pour aller dans cette direction.

Pourquoi cet attrait pour la formation ? 

Parce que j’aime être en contact avec des personnes et les aider. En parallèle des mathématiques, j’ai aussi donné des cours de musique. La formation, pour moi, c’est allier l’utile à l’agréable par la transmission de connaissances tout en faisant quelque chose qu’on aime. Il n’y a pas mieux ! 

Comme je suis aussi développeur logiciel, j’ai eu envie de transmettre mes connaissances dans ce domaine-ci également.

En quoi consiste le mentorat ?

Le mentorat consiste à suivre les étudiants tout au long de leur parcours, d’être leur allié, de les aiguiller.

Pour moi, c’est avant tout un échange qui va dans les deux sens. D’une part, j’apporte à l’étudiant des connaissances qui vont lui permettre de réaliser son parcours dans les meilleures conditions. D’autre part, le mentorat me permet de constamment monter en compétences, car les étudiants m’apprennent énormément. Je suis en effet dans l’IT (informatique) et ce secteur bouge sans arrêt !

J’apprécie aussi que l’on soit dans un cadre un peu moins “sérieux”. On est un peu plus proches avec les étudiants, une relation de confiance se met en place.

Qui sont vos étudiants, comment décririez-vous votre relation avec eux ?

Ce qui est génial, c’est la diversité des profils. Il y a des étudiants qui ont mon âge, certains sont plus jeunes, d’autres beaucoup plus vieux que moi. Je trouve ça chouette, parce que de mon côté, j’ai fini mes études il y a 6 ans et je comprends encore plutôt bien ce qu’attendent les étudiants, comment ils réfléchissent, les choses sur lesquelles ils bloquent, parce que j’ai eu les mêmes problèmes. 

Quoi qu’il en soit, j’essaie d’instaurer un climat de confiance dans ma relation avec les étudiants, pour les mettre à l’aise.

Quel est le lien entre votre métier et le mentorat ?

Quand je suis rentré chez Nokia, j’ai été développeur logiciel, et au bout de deux ans environ, mon manager m’a donné des responsabilités. Il m’a demandé de former les nouveaux arrivants, les jeunes, les alternants et les stagiaires. 

Ça a été un déclic. J’ai fini par former quasiment toute l’équipe et mon chef m’a donné plus de responsabilités.

Je me suis retrouvé à faire des formations pour l’ensemble des développeurs et testeurs français. J’avais des audiences de 1000, 2000 personnes, c’était vraiment sympa ! 

C’est aussi formidable de constater que mes formations sont bien reçues. Parfois, un collègue vient me voir pour me dire qu’il a apprécié ma formation. D’autres me demandent de leur envoyer des vidéos, et mon manager me relaie parfois leurs éloges ! Ces retours positifs me confortent sur le chemin de la formation professionnelle.

Finalement, aujourd’hui, la formation, c’est ce qui vous plaît le plus dans votre métier ?

Oui ! Aujourd’hui, presque tous les mois, mon manager me demande d’animer une formation pour les nouveaux arrivants, ou sur d’autres sujets. On réserve 20 à 30% de mon temps sur le sujet.

Ça m’apporte une casquette de formateur chez Nokia, alors que je n’étais pas du tout venu pour ça ! (rires) Mais c’est formidable, parce que ça va exactement dans le sens de ce que je veux faire.

Il faudrait quand même que vous continuiez à exercer ?

C’est vrai ! L’IT, ça avance très, très vite. Donc il faut en effet absolument que j’exerce le métier dans un milieu professionnel. `

C’est pourquoi, je continue à travailler dans mon entreprise, notamment pour garder les bonnes pratiques de développement et pour continuer à perfectionner mes compétences auprès d’autres collègues.

Est-ce qu’il y a un projet de la formation Développeur Python que vous avez trouvé particulièrement intéressant ?

De manière générale, les projets les plus intéressants à mentorer pour moi sont les premiers. Tout simplement parce que c’est là que les étudiants ont le plus de mal. Ils découvrent le monde du développement et c’est génial de les voir progresser, se dépasser et surmonter leurs difficultés.

Puis, au bout d’un certain moment, ils ont l’expérience nécessaire pour commencer à apprendre tout seuls, bien qu’ils aient encore besoin de moi parfois. J’interviens alors plutôt pour du suivi, voire du déblocage. 

Une anecdote à nous partager ?

Je me souviens d’une étudiante qui n’y connaissait rien en informatique. Elle a passé son cap du projet numéro 4 et elle était tellement fière, c’était un plaisir ! C’est son acharnement au travail qui a permis sa réussite.

J’adore voir mes étudiants terminer leur parcours, être fiers d’eux-mêmes.

Qu’est-ce qui se passe lorsqu’ils finissent leur parcours ? 

J’arrête de les mentorer, mais je reste en contact avec tous mes étudiants, que ce soit sur LinkedIn ou sur Workplace. J’ai encore des étudiants d’il y a six mois qui me contactent pour me dire qu’ils ont trouvé du boulot, je trouve ça génial. 

Le défi, c’est vraiment les étudiants qui n’ont jamais eu d’expérience en informatique. Dans ces cas-là, il faut sans cesse adapter sa manière d’enseigner à la personne.. 

Vous avez l’air d’adorer la mission de mentor…

Absolument ! J’aimerais beaucoup, si possible, pouvoir travailler très rapidement  dans le domaine de la formation. Et justement, avec le collègue qui m’a présenté OpenClassrooms, nous avons un projet de collaboration. 

J’adore aussi la relation humaine qu’on a avec nos étudiants, c’est vraiment génial. J’ai pu donner des missions à certains étudiants aussi ! Je connais leur niveau parce que je les ai formés, ça me permet de leur donner des missions les yeux fermés. 

Dès que je vois une opportunité, je la partage aussi à mes anciens étudiants. Ça permet de les mettre très vite dans le bain. J’essaie de rester en contact avec eux et de les aider un maximum. 

Le mot de la fin ? 

OpenClassrooms, c’est une superbe opportunité, que ce soit pour les étudiants ou les mentors. Un grand merci, parce que je m’éclate dans ce que je fais !

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Devenir mentor chez OpenClassrooms, c’est une aventure humaine qui semble avoir réussi à Ranga. Son rôle lui permet de tisser des liens avec les étudiants qu’il accompagne, mais aussi d’enrichir ses propres compétences de formateur. Une opportunité pour Ranga d’ajouter de nouvelles cordes à son arc, et de préparer la suite de sa carrière tout en s’épanouissant.

Envie vous aussi de sauter le pas et de devenir mentor ? Rendez-vous sur la page Carrières Mentors

« Je rencontre une richesse de profils », Danyl, mentor

 

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« J’aime accompagner les étudiants jusqu’à la réussite », Danyl, mentor

Par : Nora Leon

Danyl Semmache est ingénieur informatique chez Nokia mais aussi mentor sur les formations en ligne développeur iOS, développeur Web et Product Manager d’OpenClassrooms.

En parallèle, il donne également des cours à l’ECE Paris sur le développement d’applications mobiles. Il nous parle de sa mission de transmission et de son quotidien de développeur. Rencontre.

Bonjour Danyl, comment êtes-vous devenu mentor sur OpenClassrooms, et pourquoi ? 

Je suis mentor OpenClassrooms depuis 4 ans, j’accompagne une trentaine d’étudiants en ce moment.

Lors de mes études supérieures, je faisais du bénévolat au sein d’une association en tant que tuteur dans laquelle j’aidais des collégiens en difficulté scolaire en ZEP. 

J’ai poursuivi l’aventure à la sortie de l’école, en devenant mentor. J’avais envie de partager mes connaissances, en parallèle de mon CDI. 

J’ai créé mon statut d’auto-entrepreneur pour postuler chez OpenClassrooms. Et c’est là que j’ai pu devenir mentor sur le parcours iOS pour commencer. 

Être mentor est une aventure humainement très riche. Je rencontre des profils différents, mais qui ont tous le même but : changer de vie professionnelle pour s’épanouir davantage. 

C’est génial de voir qu’une fois la formation passée, mes étudiants sont heureux dans leur travail. J’ai été témoin de nombreuses réussites : je suis content d’y avoir participé. 

En fait, c’est plus que du code, c’est une aventure humaine, et c’est ce que j’adore. 

Et comment avez-vous connu OpenClassrooms ? 

J’étais inscrit sur OpenClassrooms, anciennement le Site du Zéro, depuis 2011. J’ai commencé à coder à l’âge de 16 ans en suivant les cours de Mathieu Nebra, en HTML – CSS. Cela m’a très vite donné envie de poursuivre l’aventure. 

Le code m’a beaucoup plu et j’ai intégré une école informatique. 

J’ai eu la chance de suivre un beau parcours dans le Programme Grande Ecole de l’EPITECH, à l’UNISTRA et à HEC Paris. J’ai donc naturellement eu envie de rendre la pareille en transmettant mon savoir.

Dans les faits, en quoi cela consiste-t-il d’être mentor ? 

Être mentor, c’est avant tout suivre et accompagner les étudiants au fil de leur parcours, s’assurer qu’ils montent en compétences et répondre à toutes leurs questions. 

Je fixe également avec eux leurs objectifs. Ils doivent être cohérents avec leur personnalité et leur environnement personnel.

Je dois m’assurer que les étudiants sont sur les bons rails et qu’ils avancent à leur rythme.

Et vous parvenez à concilier votre métier et votre activité de mentor ? Y a-t-il un lien entre les deux ?

Absolument. J’arrive à concilier les deux en bonne partie grâce au sport, qui m’a appris à avoir de la discipline et être organisé. 

J’ai commencé ma carrière chez Orange. Je faisais du développement d’applications mobiles grand public au même moment où je suis devenu mentor iOS. Petit à petit, j’ai élargi mes compétences pour être aujourd’hui mentor sur quatre parcours. 

Ensuite, lors de mon passage chez Nokia, j’ai acquis deux autres certifications : PSM1, pour le parcours de Scrum Master, et plus récemment, la PSPO1, pour accéder au parcours de manager de projet. 

L’opportunité de devenir enseignant en école d’ingénieurs à l’ECE a été rendue possible parce que j’avais cette expérience de mentor chez OpenClassrooms. J’ai pu y apprendre le code quand j’étais plus jeune, devenir développeur ensuite, puis ingénieur, et aujourd’hui transmettre mes connaissances. Cela m’a alors ouvert des portes à de nouvelles opportunités professionnelles. 

Mon activité de mentor m’a permis de grandir dans mon approche, dans ma manière d’expliquer les choses.

Je retravaille certaines notions pour ensuite mieux les transmettre à mes étudiants. Je peaufine régulièrement ma méthode pour qu’elle soit pédagogique et ludique à la fois.

Aujourd’hui, une chose est sûre : je souhaite conserver un pied dans la formation, en parallèle de mon activité professionnelle d’ingénieur.

Qu’est-ce que vous préférez dans votre activité professionnelle ? 

Dans mon école, on m’a appris à « apprendre à apprendre”. Au quotidien, cela se traduit ainsi : toujours avoir un pied dans les dernières actualités tech et me tenir informé des nouveautés. 

Mais ce que j’aime par-dessus tout, c’est transmettre mes connaissances et accompagner des étudiants jusqu’à la réussite. C’est pour moi la plus belle des victoires.

D’ailleurs, il m’arrive souvent de recommander des anciens étudiants pour devenir mentors à leur tour. En quatre ans, j’ai recommandé une dizaine de personnes qui ont intégré OpenClassrooms. 

Voulez-vous partager une histoire qui vous rend particulièrement fier ? 

J’en ai plusieurs, mais une m’a particulièrement touché.

La personne n’avait pas pu finir le parcours développement Web, pour des raisons personnelles. Père de famille, trentenaire, il m’avait dit qu’il reprendrait un jour le parcours. Lorsque j’ai repris de ses nouvelles, il était devenu webmaster en CDI. Il m’écrivait qu’il avait enfin trouvé un travail qui lui plaisait, qu’il ne comptait pas ses heures, qu’il apprenait énormément et qu’il était très heureux. 

Il y bien sûr d’autres belles réussites, avec des personnes qui ont terminé leur parcours. J’accompagnais un étudiant sur le parcours Développeur d’applications iOS qui avait arrêté ses études en 3e année de fac.

Sa formation s’est très bien passée et je l’avais d’ailleurs recommandé chez Orange pour son premier stage. Il travaille aujourd’hui chez BforBank avec un salaire de bac +5. C’est une belle victoire. 

En fait, j’ai beaucoup de jolies histoires à partager. En ce moment, j’accompagne une personne réfugiée politique, qui était professeur d’économie dans son pays et qui possède quelques bases en programmation acquises en France. Il s’apprête à se professionnaliser avec OpenClassrooms et postule pour le parcours de data analyst. Je l’accompagne pour trouver son alternance. 

Mais vous êtes aussi coach ? 

Oui, tout à fait, je suis mentor et coach. En tant que coach, la mission est un peu différente, car il s’agit de mettre le pied à l’étrier à des personnes pour qu’elles trouvent un emploi ou une alternance.

Et qu’est-ce que vous préférez entre les deux ? À moins que ce soit complémentaire ? 

J’ai fait du mentorat pendant 4 ans, et j’en fais toujours. 

Il m’arrivait très souvent, en fin de parcours, de donner quelques derniers conseils : compléter son profil LinkedIn, créer un compte sur GitHub, Stack et Overflow ou encore peaufiner son CV. 

J’ai donc postulé pour être coach en insertion professionnelle chez OpenClassrooms, et j’y prends désormais beaucoup de plaisir. 

Je suis également mentor évaluateur. Je fais passer des soutenances aux étudiants, dont certains qui sont aux quatre coins du monde. Cela me fait d’ailleurs penser à d’autres anecdotes.

J’accompagnais un étudiant congolais, qui vivait en Russie, sur un parcours en développement Web. Ce qu’il étudiait à la fac ne lui plaisait pas, il souhaitait quelque chose de plus axé sur la pratique. Il codait depuis ses 15 ans, et ses parents lui donnaient une somme tous les mois, dont une partie finançait son parcours OpenClassrooms. Ses parents n’étaient d’ailleurs pas au courant qu’il passait un double diplôme. Il a obtenu son diplôme et il a postulé pour continuer ses études au Canada. En attendant, il travaille à distance pour The Good Seat, une entreprise française où je l’ai recommandé en tant que freelance.

J’ai aussi coaché un autre étudiant qui a suivi le parcours développement d’application iOS. Ce dernier m’ayant pris pour exemple, une fois son diplôme en poche, il avait pour ambition de poursuivre sa scolarité en intégrant Epitech avec l’admission parallèle. Il est travailleur et pourvu d’une très grande maturité, nous avons tous mis en œuvre afin de lui permettre d’atteindre ses objectifs.

Pour ma part, je suis arrivé chez OpenClassrooms de manière assez indirecte. Lorsque j’étais en 3e année à Epitech, j’ai été professeur assistant lors du “Coding Club Summer Camp”, événement durant lequel on animait des ateliers en initiation au développement Web pour les futurs étudiants de l’école. J’y ai rencontré Brian T., qui avait alors 17 ans. Il est désormais mentor chez OpenClassrooms et c’est grâce à lui que j’ai aussi intégré le site.

Lorsqu’on s’est rencontrés, il voulait intégrer Epitech. Cela ne s’est pas fait et il est parti en année sabbatique. Il a rejoint OpenClassrooms dès son lancement, parce que le site proposait des parcours diplômants. En un an, il a obtenu un équivalent bac +3 de chef de projet multimédia. François Hollande lui a remis son diplôme. Cet étudiant a finalement étudié au sein d’une école multimédia et a été diplômé d’un master à 21 ans. Il est désormais data product manager chez France TV et mentor.

Y a-t-il un ouvrage dont vous recommandez la lecture parce qu’il vous a inspiré personnellement ou professionnellement ?

Absolument ! J’en ai plusieurs mais celui que je recommande reste “The 4-Hour Workweek” de Tim Ferriss. C’est un livre de développement personnel qui m’a grandement inspiré.

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Entre pédagogie et numérique, la reconversion de Hakim

Par : Nora Leon

Passionné par le numérique et ayant déjà quelques connaissances en informatique, Hakim a souhaité consolider cette base dans le cadre de sa recherche d’emploi. Il découvre le parcours Passeport Numérique d’OpenClassrooms via Pôle emploi, et décide de se lancer.

Aujourd’hui, confiant pour son avenir professionnel, il s’apprête à postuler dans le domaine de l’animation numérique, fort de ses nouvelles compétences !

D’un métier à une passion : une curiosité grandissante envers le numérique

Hakim est fort de 15 ans de carrière dans la satisfaction clientèle. En tant que téléconseiller, la base même de son rôle a toujours été d’accompagner ses clients par le biais d’outils numériques. Mais plus qu’un métier, progressivement, le numérique est devenu une vraie passion pour lui

J’avais une bonne compréhension des ordinateurs, je savais ce qu’était un disque dur, une unité centrale. Et quand j’étais curieux d’un sujet, j’allais chercher des réponses sur Google”, témoigne-t-il. “Mais j’ai rapidement eu envie d’acquérir des bases complémentaires.

Hakim découvre alors, via l’application Ma Formation sur son smartphone, les opportunités de formations au numérique qui s’offrent à lui : « J’ai tapé des mots clés comme ‘conseiller numérique’, ‘animateur numérique’… J’avais envie d’apprendre à transmettre mes connaissances, par exemple en travaillant pour une association, un organisme, ou même pour l’État. »

Je suis persuadé que c’est l’avenir, d’expliquer aux gens novices qui n’y connaissent rien comment utiliser le numérique.

C’est au cours de ses recherches qu’Hakim trouve la formation Passeport Numérique d’OpenClassrooms. « Avec le confinement, le COVID, c’était dur de trouver des formations en présentiel. La formation Passeport Numérique avait été bien notée par d’autres demandeurs d’emploi, ce qui m’a motivé à y postuler »

Mais avant cela, Hakim a tout de même contacté sa conseillère Cap emploi, faire le point et valider son projet de formation. Il est en effet reconnu travailleur handicapé et bénéficie à ce titre d’un suivi par cet organisme. Très vite, il est reçu par sa référente à Marseille, qui l’encourage. « J’ai présenté le projet à ma référente Cap emploi, et elle m’a dit « si c’est réellement votre passion d’animer des ateliers multimédia, je vous vois bien dans le domaine ». Elle m’a encouragé à me lancer ».

Mise à niveau accélérée et nouveau départ avec le Passeport Numérique

Pour Hakim, le parcours Passeport Numérique, bien que rapide et intense, s’est très bien passé. Comme il en témoigne : « J’ai apprécié l’expérience ! J’ai été suivi du début à la fin chaque semaine, et dès qu’il y avait un problème, qu’il soit technique ou administratif, les conseillers pédagogiques étaient disponibles et très réactifs ».

Par ailleurs, Hakim bénéficie aussi de l’accompagnement personnalisé d’un mentor, qui l’aide notamment dans la réalisation de ses projets ainsi que dans ses soutenances. Et de ce côté-là aussi, la satisfaction est au rendez-vous. Comme le résume Hakim , « je suis très satisfait de mon mentor, mais aussi des évaluateurs que j’ai rencontrés. Je dois passer mon dernier projet lundi prochain. Je suis confiant, mon mentor a validé mon travail et m’a encouragé. Je me sens en totale confiance avec OpenClassrooms, et je conseille ce parcours ! ».

Et pour la suite, Hakim ne manque pas d’idées : « j’ai assisté à un webinaire sur les possibilités après la fin de mon financement. Je vais avoir le droit à 6 sessions de coaching, pour m’aider à trouver un emploi. J’en profiterai pour consolider mon CV et envoyer des candidatures. »

Mon but, c’est de trouver un emploi dans le domaine de l’animation numérique.

Une détermination alimentée par une conviction que le numérique s’immisce de plus en plus dans nos vies. Hakim le résume très bien : « Factures, impôts, … Aujourd’hui, on fait tout via Internet ! Mais il y a encore de nombreuses personnes qui ont des difficultés, par exemple les personnes âgées. Comme j’ai le contact humain facile, je pense sincèrement pouvoir aider ces gens, les accompagner ».

Mais ses ambitions et ses idées ne s’arrêtent pas là, et Hakim a aussi identifié d’autres opportunités : « dans les écoles, il y a aussi de plus en plus d’animations d’ateliers de sensibilisation numériques. J’aimerais beaucoup expliquer aux enfants comment fonctionne Internet, quels sont ses dangers, quels outils utiliser… Et je pourrais aussi envisager d’aider des personnes en situation de handicap à se familiariser avec le numérique. Quoi qu’il en soit, je suis confiant pour l’avenir ».

Quelle que soit la piste de carrière qui se concrétise pour Hakim, sa priorité est de mettre le pied à l’étrier et de commencer à travailler : “je suis même prêt à postuler à un CDD qui se transformerait en CDI. L’essentiel pour moi, c’est de commencer à exercer ma passion. C’est en forgeant que l’on devient forgeron”.

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Comme Hakim l’a compris, la maîtrise des outils informatiques et numériques est un enjeu de plus en plus fort sur le marché du travail. Grâce à la formation Passeport Numérique, il a réussi à transformer une passion en opportunité de carrière, et se dirige désormais vers une filière porteuse : celle de l’animation numérique. Le tout, en valorisant la compétence qui l’a accompagné tout au long de ses 15 ans de carrière : un excellent sens du relationnel et une envie de transmettre ses connaissances !

Vous aussi, vous souhaitez monter en compétences au sein du parcours Passeport Numérique ? Rendez-vous sur la page parcours de la formation pour découvrir son contenu. Vous pouvez aussi suivre les cours dispensés sur OpenClassrooms gratuitement ; cela vous donnera un bon aperçu pour vous lancer sur cette formation professionnalisante. 

Ludivine, en route vers la comptabilité avec Passeport Numérique

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Pauline, du marketing au produit en formation développeur Web

Par : Nora Leon

« J’ai appris plusieurs langages informatiques et surtout la logique du code dans la formation Développeur Web. Ce bagage me sert aujourd’hui à communiquer avec la Tech dans mon métier de Product Marketing Manager ».

Du CRM au product marketing, il n’y a qu’un pas ? C’est en tout cas ce qu’a constaté Pauline Fumeron suite à sa formation en ligne Développeuse Web sur OpenClassrooms. Elle revient sur son expérience en formation et son impact sur sa carrière. Rencontre.

Comment avez-vous choisi ce parcours ? 

J’avais envie d’apprendre le code, et il fallait commencer quelque part. L’avantage de la formation Développeur Web était qu’elle était courte, diplômante, et basée sur des projets concrets.

J’avais déjà un petit socle de choses que j’avais apprises en autodidacte. Cependant, il me manquait le cadre pour apprendre. J’avais aussi besoin d’étoffer mes compétences avec de bonnes bases en HTML et CSS. En somme, avoir une connaissance basique du code orienté objet, pour comprendre les logiques d’une application ou d’un code donné. J’avais envie d’apprendre à modifier, tester des choses… 

Mon projet n’était pas vraiment de devenir développeuse Web à part entière. Je voulais plutôt savoir échanger avec des équipes tech. Je travaillais dans le marketing et en particulier le CRM à ce moment-là. Mon besoin était donc plus lié à la mise en place de workflows automatisés, de landing pages ou de templates marketing, dans le cadre du marketing automation.

Vous avez mené de front le parcours et un emploi. Comment cela s’est-il passé ?

Ça s’est bien passé. Mais il faut avouer que c’est tout de même une charge de travail !

Après chaque journée de boulot, j’avais une à trois heures le soir en semaine à passer sur mon parcours, plus le weekend.

Quand c’est facile, ça va. Mais quand les projets deviennent plus compliqués… Ça se corse ! Avec l’accompagnement de mes mentors, j’ai eu pas mal d’aide pour retrouver la motivation quand j’en avais besoin.

Qu’avez-vous préféré ?

Les projets de mise en situation, les cas concrets. À la fin, tu te retrouves avec un livrable viable.

J’ai développé différentes applications. Je suis surtout montée en compétences sur des langages divers, tous appris sur des applications métiers très concrètes.

Tout faire de A à Z m’a donné confiance sur ma capacité à réaliser plein de choses ! C’était le cœur de la formation et la base de ce qui suit derrière.

Aujourd’hui, quelles compétences utilisez-vous le plus en poste ? 

Ma compréhension technique au quotidien m’aide vraiment. Je ne code pas, mais ce que j’ai appris facilite les discussions avec les équipes de développeurs, Product Managers… J’ai aussi une meilleure compréhension du logiciel tech sur lequel je travaille. Je cerne plus vite les sujets ; je me sens à l’aise. C’est cela dont j’avais besoin.


Je me sers pas mal des bases pour continuer à automatiser des choses.

Quel impact a eu cette formation sur la suite de votre carrière ? 

Aujourd’hui, je suis Product Marketing Manager chez Lifen, une entreprise en forte croissance dans le domaine de la santé dont l’objectif est de simplifier et faciliter la communication médicale des professionnels de santé au quotidien.

Le parcours d’OpenClassrooms a participé à me faire gagner confiance en moi. Je me sens aujourd’hui plus légitime sur pas mal de sujets.

J’ai pu faire ce que je voulais et être sereine sur mes capacités à évoluer sur un poste en marketing produit. 

Aujourd’hui, je suis Product Marketing Manager. Je suis la voix de l’équipe produit en interne pour faire en sorte que tout le monde connaisse les fonctionnalités de notre produit, que les lancements se passent bien, que les clients utilisent le logiciel. Je suis également la voix de nos utilisateurs et clients. Ma mission est de me faire l’écho de leurs demandes pour aider à construire un produit qui réponde à leurs besoins. Je mêle ma casquette produit et marketing au quotidien. Ces compétences complémentaires posent aussi les jalons pour la suite. Je sais que je peux appendre et je le ferai encore.

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Comme Pauline, vous travaillez en Webmarketing ou CRM et vous souhaitez bifurquer vers le Product Marketing ?

La formation en ligne Développeur Web est disponible, soit en alternance, soit à plein-temps. Vous pouvez aussi éventuellement faire financer votre formation par un organisme national ou local (Pôle emploi, Cap emploi, les Missions locales) selon votre profil et le quota de places disponibles.

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Hassan, de la qualité ISO à la qualité informatique 

Par : Nora Leon

Hassan Doumali, diplômé de la formation en ligne PHP/Symfony en 2018, a trouvé sa place dans le monde professionnel de la Tech. Reconverti, il a su réconcilier son parcours en qualité dans le ferroviaire avec son poste de Testeur Q&A dev en ESN. Alumni enthousiaste et comblé en poste, il souhaitait partager son histoire.

Partie 1 – L’avant OpenClassrooms

La reconversion de Hassan remonte à loin : avant même de devenir développeur, cette idée lui trottait dans la tête.

Formé dans l’ingénierie, Hassan s’oriente vers le métier de responsable qualité dans le domaine des normes ISO. Il travaille pendant plusieurs années comme prestataire dans le domaine ferroviaire pour la SNCF. Un métier certes technique, mais pas dans le domaine informatique.

En parallèle, Hassan mûrit son changement de cap.

Je m’intéressais à la programmation. Mon projet n’a pas pris forme du jour au lendemain.

Dans un premier temps, Hassan suit les cours en ligne gratuits de la plateforme. [mettre exemples cours]. « Le but, c’était de voir si ça m’intéressait. J’avais aussi mon beau-frère qui était chef de projet informatique. On discutait pas mal de son métier, pour savoir si ça pouvait me plaire. Je voyais au jour le jour les projets sur lesquels il bossait, et ça m’intéressait beaucoup ! », se souvient Hassan.

À un moment, Hassan a le déclic. « Je me suis intéressé sérieusement au fait de changer de voie. Je voulais me former. Comme je travaillais en parallèle, j’ai pensé aux parcours diplômants d’OpenClassrooms. Quand on suit une formation en parallèle de son travail, on n’apprend pas forcément de manière très linéaire. J’avais besoin de flexibilité. Le format en ligne permet cela », explique-t-il.

Partie 2 – La formation OpenClassrooms

Au gré des cours suivis en parallèle de son job, Hassan choisit le langage PHP. « J’ai suivi des cours en ligne sur Java, PHP, Python. J’ai accroché sur PHP qui me semblait plus accessible. D’autres gens accrochent sur d’autres langages, mais moi c’est celui où j’ai eu le plus de facilités. Sa structure me semblait plus compréhensible »

Inscrit sur la formation Développeur PHP-Symfony d’un an, Hassan obtient son diplôme au bout de 10 mois, en décembre 2018. Pendant sa formation, il s’active.

Je me fixais des journées de travail pleines. C’était comme si j’étais au boulot : je travaillais 6 ou 7 heures.

« Je commençais vers 9h du matin, je  faisais une pause pour reprendre vers 13h30… Puis je travaillais jusqu’à 17h30, 18h. Ce rythme m’a permis d’acquérir les bonnes pratiques »

La formation se passe bien car Hassan est satisfait du contenu et de la structure des enseignements. Le fait d’apprendre sur des projets professionnalisants, en faisant, s’avère un vrai plus pour lui. Il apprécie aussi les cours, qui comportent du texte et des vidéos. Pour lui, « le mélange des deux facilite l’assimilation ». Enfin, sa bonne entente avec son mentor, le professionnel qui l’accompagne en visioconférence chaque semaine, lui offre un suivi personnalisé. « Grâce à mon mentor, j’ai avancé sereinement à partir de HTML et CSS. C’était top », conclut-il.

Partie 3 – L’après OpenClassrooms 

À la sortie de sa formation, Hassan trouve rapidement un emploi en ESN, et commence à travailler en qualité informatique pour Capgemini. Il intègre une équipe Tech agile, où les équipes Projets expriment le besoin client, les développeurs créent les features et son équipe Qualité teste les applications pour s’assurer de leur bon fonctionnement. 

« Je suis Testeur QA, précise Hassan. Je teste les applications, pour valider ou non leur mise en prod. Je ne suis pas dev, mais j’utilise le développement au quotidien. Je suis en relation avec les développeurs, et j’utilise le Python. J’ai pu me familiariser rapidement avec ce langage comme je connaissais le PHP. Le fait d’être développeur me met très à l’aise en QA. Je comprends tout de suite ce que m’explique un développeur, là où mes deux collègues non-devs mettent plus de temps. On gère tous les tests unitaires côté dev. Comme j’ai vu l’autre côté du miroir, j’anticipe et on gagne au moins 4 ou 5 jours sur chaque projet. C’est énorme », explique Hassan.

Le jeune homme est ravi de sa nouvelle orientation. « Mon métier de testeur QA regroupe mon ancien métier de responsable qualité et tout ce que j’ai appris en développement. J’adore ma mission pour le client, et le fait d’être en contact avec les développeurs, c’est top ! »

Les plus du métier sont selon Hassan le fait d’apprendre au quotidien et l’autonomie laissée. « Avant, je connaissais la partie organisationnelle, les procédures, le respect du cahier des charges, l’agile… À cela, j’ai ajouté l’esprit du développeur : savoir fouiller, trouver des solutions, être créatif, apprendre la logique des langages ».

Ce sont des métiers dans lesquels, justement, il faut savoir chercher, s’organiser, se débrouiller. On ne nous amène pas l’info sur un plateau. C’est stimulant de chercher et gratifiant de trouver !

Outre les connaissances techniques, Hassan découvre de nouveaux secteurs en ESN. « Là, chez mon client, on travaille pour plusieurs mutuelles. On s’occupe de la création et de la modification de contrats d’assurés. Je n’avais aucune connaissance dans le secteur de la santé, ni sur les outils de tests du client. 6 mois plus tard, j’ai énormément appris et on a mis en prod 3 projets. On est super fiers ! Voir les clients satisfaits, c’est très valorisant ! ».

Le mot de la fin 

Si Hassan n’avait qu’un mot à transmettre à ses futurs collègues qui veulent devenir développeurs, ce serait « foncez ».

Son parcours le montre, les formations en développement d’OpenClassrooms permettent de s’orienter vers les métiers du développement ou de la gestion de projet informatique, mais aussi du testing. « C’est un domaine en forte tension où la demande est importante et les salaires très intéressants », témoigne Hassan. Le diplômé n’a eu aucun mal à trouver un emploi.

Les employeurs connaissent OpenClassrooms, ce qui fait aussi la différence.

Une fois en poste, « les équipes sont reconnaissantes pour le travail effectué, raconte Hassan. Les RH savent que d’autres entreprises peuvent nous chasser car nos profils sont encore trop rares, donc ils font en sorte de nous garder. Au bout de six mois, j’étais promu testeur confirmé, avec le salaire qui va avec ». Preuve qu’en développement informatique comme en testing, de très belles places sont à prendre.

L’article Hassan, de la qualité ISO à la qualité informatique  est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.

Entre communication, culture et développement Front-End, le parcours de Flore

Par : Nora Leon

Certains postes requièrent énormément de débrouillardise. Flore Malonda, chargée de communication dans la culture, a dû devenir un vrai couteau suisse pour aller plus loin dans son job. De la comm au graphisme, du graphisme à l’intégration de maquettes, la jeune femme va toujours plus loin, « vers l’infini et au-delà »… Flore a d’ailleurs décidé en 2021 d’aller un cran plus loin en devenant aussi développeuse Front-end. Portrait. 

Tu ne viens pas du tout de l’informatique. Au contraire, tu as étudié le design et les sciences humaines à la Fac, c’est bien cela ?

Oui, tout à fait ! J’ai commencé par une licence d’arts plastiques spécialisée en « Design graphique ». J’ai continué en master en gestion des arts et de la culture, que j’ai terminé en 2019. Mais même pendant ma formation, j’avais commencé à toucher à des maquettes. Nous avions des TD pour lesquels il fallait réaliser certains sites, pour imaginer le rendu du produit développé. Donc finalement, mon intérêt pour l’intégration web remonte à assez loin.

Et donc, tout naturellement, tu as utilisé ces compétences en poste ? 

Je suis passionnée par la musique classique et spécialisée dans cette branche de la culture. Or, on l’a vu pendant la crise, ce sont des milieux où on peut vite avoir des coupes dans les budgets… Il faut donc savoir faire beaucoup avec peu. 

Dans la culture, j’ai eu plusieurs rôles. J’étais chargée de communication, un poste relativement touche-à-tout dans ce milieu. Je m’occupais de la communication sur les réseaux sociaux, du site Internet… Pour mener à bien mes missions, j’ai commencé à faire de simples wireframes, des croquis rapides sur des bouts de papier que je transposais sur Indesign. Ce n’était pas idéal, mais je n’avais pas accès aux logiciels de mise en page Web ou de design comme Sketch, Figma, Adobe XD. Nous n’avions pas la possibilité de développer dans le dur, donc je gérais des CMS. Ça m’a donné envie d’apprendre à développer. Donc, j’ai commencé à apprendre à coder en Front-End dans mon coin.

D’où ton envie de passer à la vitesse supérieure avec un parcours en alternance ?

Oui ! J’ai choisi la formation en ligne Développeuse d’applications Front-end. Je la fais en 2 ans en alternance. C’est vrai qu’apprendre en ligne en autodidacte est possible, mais que c’est plus confortable et efficace de le faire dans une formation cadrée, en étant accompagnée… 

J’ai choisi le Front-End car le côté design d’interfaces m’intéresse beaucoup.

J’ai besoin de savoir maquetter mes interfaces pour les développer ensuite. Comme je touche déjà au graphisme, le développement est très complémentaire ! Par contre, pour l’instant, le côté Backend ne m’intéresse pas trop. Il ne répond pas vraiment à mon besoin pour le secteur culturel. 

Donc, tu envisages de retourner dans le milieu de la culture après ton alternance ? 

C’est possible ! Tout dépend de comment cela se passera avec mon employeur actuel, de ce que je vais apprendre, des projets sur lesquels je travaillerai… 

Mon constat de départ était que je voulais enrichir mes compétences pour apporter un bagage en développement au milieu culturel.

Peu de responsables communication sont capables de donner vie à un site, alors que c’est tellement utile à tant d’institutions culturelles ! 

La culture a un besoin criant de se réinventer, et je pense que cela passera notamment par la digitalisation. Il faut que des salariés proposent d’installer des outils plus puissants que ceux qu’on a actuellement dans de nombreux musées, opéras, dans des associations artistiques. Pendant la crise du coronavirus, la culture s’est retrouvée en rade car elle ne pouvait pas passer en ligne facilement. Je trouve ça tellement triste ! La société a besoin d’art et de beauté. La culture est un milieu crucial qu’il faut protéger et mettre en valeur. 

Une fois que je serai développeuse front, je ne serai plus jamais dépendante d’un CMS pour lequel mon organisation culturelle n’aura pas le budget !

Cela étant dit, aujourd’hui, je travaille au sein d’une entreprise du CAC 40, et qui sait où cette expérience me mènera.

Justement, comment s’est passée la recherche d’alternance ? Tu as rapidement signé ton contrat ? 

J’ai bénéficié du dispositif de l’État qui permettait de commencer sa formation en même temps qu’on recherche un employeur.

Je me suis donc inscrite sur mon parcours diplômant d’OpenClassrooms en novembre et j’ai trouvé mon employeur actuel en janvier.

J’ai commencé les 5 premiers projets pendant ma recherche d’emploi, ce qui me donne une belle avance pour ma formation. En parallèle, j’ai bénéficié du coaching pour trouver un employeur. Ce coaching était gratuit et m’a aidée à bien postuler. J’ai fait les six séances d’accompagnement avec ma coach Maïwenn et quelques workshops pour échanger des conseils avec d’autres étudiants, tous les 2 mois. C’était motivant ! Je me suis aussi entraînée sur CodinGame pour passer les tests techniques en entretien. Ça m’a aidée à intégrer la syntaxe JavaScript, les notions d’algorithmie notamment.

Tu as commencé à travailler chez Free en février. Tu nous racontes ?

Cela fait trois semaines que j’ai commencé. Je suis dans la partie distribution : nous créons des outils pour les boutiques de Free. Nous sommes 4. Je m’occupe de la partie Web Design. Je pense que mes connaissances préalables en design et graphisme m’ont valu la place. C’est certain, car pour l’instant je travaille sur des technos que je ne connais pas encore ! Il faut que j’apprenne rapidement React, Redux et les Hook (une manière de coder en React).

Mon employeur a en revanche apprécié que je sache déjà réaliser des wireframes, que j’ai des connaissances en ergonomie, en affichage sur différents écrans…

Cela se passe très bien car mon tuteur joue le jeu et m’aide à monter en compétences. J’alterne entre la tête dans le code et mes projets OpenClassrooms. J’apprends toute seule pendant un moment, puis on fait un point avec mon chef pour que je m’améliore en continu. 

La formation en alternance est concrète car je mets tout de suite en pratique ce que j’apprends en réalisant les TD et en suivant les cours. Et justement, j’ai demandé à mon mentor de passer directement au 11ème projet qui est sur du React. Normalement, le parcours de formation est linéaire, mais j’ai besoin de monter en compétences sur ce langage assez vite pour mon boulot chez Free. C’est chouette cette flexibilité : ça va me permettre d’être bientôt au niveau pour occuper mes fonctions chez Free. Et pour le reste, affaire à suivre… 

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CodinGame, l’entraînement de code aux tests techniques

Par : Nora Leon

Grâce au partenariat d’OpenClassrooms avec CodinGame, ses diplômés s’entraînent gratuitement aux tests techniques en développement informatique pendant leurs séances de coaching en insertion professionnelle

Pourquoi est-ce important dans le cadre d’un recrutement et comment fonctionne CodinGame, cet outil ludique et innovant ? Explications. 

Les tests techniques, une étape clé du recrutement 

En fonction du poste et du niveau attendu, de nombreux recruteurs Tech font passer des tests techniques. C’est l’occasion pour eux : 

  • D’évaluer le niveau sur un langage ou framework
  • De voir la façon dont le ou la candidat(e) réfléchit 
  • De tester des compétences particulières (algorithmie…)
  • Et enfin de voir comment la personne se débrouille en situation de stress. 

Pour préparer ces tests techniques, rien de mieux que la pratique. C’est la raison pour laquelle nous sommes ravis d’être partenaires avec CodinGame, un acteur qui aide énormément à roder sa pratique du code.

[À lire : Comment préparer un test technique ?

[À suivre : Notre cours pour se préparer aux tests techniques]

Comment s’entraîne-t-on sur CodinGame ? 

Sur CodinGame, plusieurs modalités sont disponibles pour coder. 

  • On peut s’entraîner sur des énoncés ludiques en prenant son temps ou avec un chronomètre pour se tester. 
  • On peut aussi participer à des compétitions, afin de monter en compétences encore plus rapidement grâce à l’enjeu. 

Dans tous les cas, on peut discuter avec la communauté très active de développeurs. 

Avec toujours en tête qu’on apprend mieux… en s’amusant ! Quand on se prépare sur la plateforme, on a donc autant l’impression de jouer que de bosser. Pratique… 

Nos étudiants témoignent 

« Je m’appelle Flore et je suis alternante en développement Front-end chez Free. Pendant mon coaching de six séances pour trouver mon contrat, je me suis entraînée sur CodinGame pour passer les entretiens techniques.

C’était super pour roder mes connaissances en algorithmique et m’entraîner à intégrer la syntaxe du JavaScript. Ça m’a vraiment permis de voir que si j’enlevais un point virgule mon code ne fonctionnait plus, et de trouver facilement le bug pour m’améliorer.

J’ai aussi apprécié de réfléchir sous forme de problèmes. Je me posais le problème en « pseudo code écrit », en me disant : « mon code doit faire telle chose ».  Je créais la boucle de condition en mots. Une fois que j’avais fait ça, je rédigeais le code proprement dit.

Un petit truc : au début, je trouvais cela stressant d’avoir un timer. Je recopiais l’énoncé pour pouvoir le résoudre tranquillement de mon côté… Mais c’est tout de même un bon exercice de bosser sous temps contraint quand on a plus d’expérience ».

[À lire : Comment Juliette, coach, a aidé Salomé à trouver un emploi]

Envie d’améliorer votre code sur CodinGame ? 

Direction les formations diplômantes en ligne d’OpenClassrooms pour bénéficier du coaching de 6 séances en insertion professionnelle.


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Özlem et Rana, professionnelles turque et syrienne, codent aujourd’hui en France

Par : Nora Leon

Özlem est physicienne de formation en Turquie ; Rana est une ingénieure informatique syrienne, qui exerçait jusqu’en 2015 en tant que maître de conférences en informatique à l’université d’Alep. Özlem a dû quitter son pays à cause du contexte politique, Rana pour rejoindre son mari. En France, elles se forment au sein de la formation développeuse Web en alternance chez OpenClassrooms, et réinventent leur vie professionnelle avec brio. Portraits croisés. 

D’où viens-tu et comment es-tu arrivée en France ?

Özlem : Je viens de Turquie. J’y ai grandi pendant les 29 premières années de ma vie. Je suis arrivée en France le 2 juillet 2017. J’ai dû quitter la Turquie car je suis socialiste et militante. Être opposée au régime, c’est un dur et long combat. Mais j’étais déterminée… j’ai été arrêtée et jugée par le régime en place. Après mon jugement, j’ai dû partir, car rester en Turquie était dangereux pour moi.

Rana : Je suis arrivée en 2015 en France, pour rejoindre mon époux. Je l’avais rencontré en 2011 alors qu’il faisait ses études d’architecture à Alep et que j’étais comme lui maître de conférence à l’université. Comme il avait fait son master et son doctorat en France, en 2012, quand la guerre a commencé, l’ambassade française de Syrie l’a rappelé en France. Nous nous sommes mariés et j’ai pu le rejoindre. 

Veux-tu nous raconter la transition ?

Rana : Au début, ça a été pas mal de découvertes et de déménagements pour trouver notre équilibre. Nous avons habité à Angers, où nous avons de la famille. J’ai découvert la vie là-bas. Au bout de quelques mois, nous avons attendu un heureux événement.

Ma fille est née en août, et après m’être occupée d’elle pendant deux ans et demie, dès qu’elle a été à la crèche, j’ai pu reprendre ma vie professionnelle. 

Comment as-tu trouvé ton alternance ? 

Rana : Quand on arrive dans un nouveau pays, on cherche à valoriser son cursus professionnel. Au cours de mes recherches pour trouver un emploi, j’ai découvert Techfugees. C’est une organisation internationale qui accélère l’inclusion sociale des personnes déplacées à travers une utilisation responsable des nouvelles technologies. Le programme que j’ai intégré, T4WOMEN, vise l’orientation des femmes réfugiées dans les métiers du numérique.

Pendant six mois, on suit des cours et on visite des entreprises de la Tech pour choisir un métier et trouver son nouvel employeur. L’équipe de Techfugees m’a bien aidée. Comme j’habitais à Angers, ils ont pris en charge mes aller-retours. Le programme d’accompagnement que j’ai suivi dure six mois. Au début, je ne pensais pas me déplacer autant… Mais l’équipe m’a encouragée.

À la fin du programme, j’ai eu trois propositions d’embauche. J’avais une offre de CDI à Paris chez Octo Technology, mais trouver un logement et une école pour ma fille aurait été difficile. On me proposait aussi deux alternances en développement, chez RTE et Cstar Industries.

J’ai choisi de continuer à me former via l’alternance, et de le faire en télétravail chez Cstar depuis Angers. 

Özlem : Moi aussi, j’ai participé au programme T4WOMEN de Techfugees. C’est vrai qu’il permet à la fois d’améliorer son français, de suivre des cours intéressants et de rencontrer de nombreuses entreprises pour choisir son métier. Pour moi, c’était utile, car je suis physicienne de formation, et que j’avais choisi de me reconvertir. J’ai rencontré RTE, l’entreprise où je fais mon alternance en développement informatique, à un job dating organisé par OpenClassrooms.

Maintenant, je me reconvertis de la physique à l’informatique ! 

Et la suite ? Comment l’envisages-tu ?

Özlem : Je suis contente de ma formation en informatique avec OpenClassrooms et de mon alternance. RTE, l’entreprise où je travaille, est dans le secteur de l’énergie. Cela m’intéresse beaucoup de travailler dans cette branche, j’espère donc y avoir un contrat en CDI à la fin de mon alternance en tant que future  développeuse Web

Rana : J’ai commencé mon alternance chez Cstar Industries en janvier. C’est un défi d’arriver sur des projets déjà commencés, de comprendre le contexte… Maintenant que je suis mieux intégrée, je suis épanouie en poste. Si j’ai la chance de continuer comme développeuse web avec mon entreprise actuelle, je le ferai avec plaisir. 

Côté études, j’ai obtenu mon Master I en Génie Informatique en Syrie en 2016 et j’ai toujours l’espoir de terminer mon master II un jour !

Au côtés de Techfugees et d’entreprises engagées pour le bien commun telles que notre partenaire RTE ou Cstar Industries, OpenClassrooms espère que ce genre de programmes de formation solidaires ouvrira la voie à une éducation plus inclusive, juste et accessible.

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Techfugees, RTE et OpenClassrooms s’associent pour accélerer l’accès des femmes réfugiées à la formation et l’emploi dans la Tech

Par : Nora Leon

Dans nos sociétés à l’évolution rapide, l’accès à l’éducation et aux compétences du numérique seront déterminants pour façonner un monde plus inclusif et durable.

« De nombreux acteurs s’engagent déjà pour faire rimer numérique et inclusion. Parmi eux, l’école en ligne OpenClassrooms travaille notamment avec plusieurs acteurs pour accompagner des personnes réfugiées dans leur intégration professionnelle en leur permettant de se former à des métiers en tension. Un dispositif qui révèle le potentiel des personnes réfugiés en même temps qu’il traduit l’ambition de l’entreprise : rendre l’éducation accessible ».

Maureen Sigliano, Présidente du Comité d’Impact d’OpenClassrooms

Depuis quelques années déjà, des associations et des entreprises prennent à bras-le-corps la problématique de l’accompagnement des personnes réfugiées. Et pour cause : dans un monde jalonné par les guerres et où les dérèglements climatiques exponentiels pourraient amener 140 millions de personnes à devoir se déplacer d’ici à 2050*, cette problématique déjà prégnante risque de devenir centrale pour bon nombre d’États.

Loin d’adopter une vision misérabiliste de la situation, Techfugees est une organisation internationale qui œuvre à accélerer l’inclusion sociale des personnes déplacées à travers une utilisation responsable des nouvelles technologies. OpenClassrooms et des employeurs gagnés à la cause des personnes réfugiées ont à cœur de faire leur part en permettant l’accès à des formations certifiantes ou diplômantes à distance et en embauchant ces talents.

Former pour élargir les horizons

L’un des programmes phares de Techfugees s’intitule T​F4WOMEN​ (Tech For Women). Il vise l’orientation et l’insertion professionnelle de femmes au statut de réfugiées dans les métiers du numérique. Pour Marine Plossu, Responsable Programmes & Partenariats chez OpenClassrooms, les synergies avec OpenClassrooms sont naturelles : « ​Techfugees fait partie des associations qui agissent pour l’insertion professionnelle des réfugiés politiques ou environnementaux. Nous travaillons aussi avec Wintegreat, Singa et des CPH pour ne citer que ces structures. Elles sont nombreuses à épauler les réfugiés. Chez OpenClassrooms, nous rendons l’éducation accessible via des formations diplômantes, professionnalisantes et accessibles à distance. En outre, nous attachons une importance particulière au fait de favoriser l’insertion des femmes dans les métiers du numérique, avec le concours d’employeurs engagés comme RTE ou Cstar. Nous sommes fiers d’avoir mis sur pied cette collaboration vertueuse avec Techfugees et RTE. Nous espérons la voir se démultiplier dans les mois à venir !​ ».

Justement, depuis 2019, les participantes au programme d’insertion de Techfugees, désignées par le termes de “f​ellows​”, suivent les cours d’OpenClassrooms sur les métiers de la Tech afin d’obtenir des certificats reconnus par les employeurs français. Ces cours sont assortis de sessions de mentorat assurées par des employés issus des rangs des partenaires du programme TF4Women comme RTE, BNP Paribas, Leetchi-MangoPay ou encore Cisco France.

Pour Joséphine Goube, CEO de Techfugees,

C​’est une formidable opportunité pour nos fellows qui sont en majorité qualifiées à hauteur d’un BAC +3, de voir leurs compétences enfin validées et reconnues par des employeurs français.

« Quant à l’embauche, elle est simplifiée par la relation de confiance qui s’installe au travers des sessions de mentorat et de la progression constatée sur la plateforme d’OpenClassrooms« . ​Mieux encore, plusieurs fellows​ ont su trouver un emploi en alternance à l’issu du programme et dans le cadre d’une formation diplômante chez OpenClassrooms.

C’est le cas d’Ozlem et Mojan, toutes deux en alternance au sein de RTE, une entreprise du secteur de l’énergie.

Ozlem, jeune militante turque de 29 ans et réfugiée politique en France, y est arrivée en juillet 2017. Elle suit le parcours développeuse web en alternance chez RTE.

Mojan, elle, est iranienne. Également arrivée en France en 2012, elle fait alors de l’apprentissage du français une priorité. Volontaire, elle réussit à convaincre un agent de la Mairie de Paris de l’embaucher comme assistante en maternelle. Elle y reste quatre ans, avant d’essayer de trouver un emploi dans la chimie, sa formation en Iran. Malgré un stage chez l’Oréal, elle ne parvient pas à décrocher de poste : « b​ien que ma licence en Chimie ait une équivalence en France, c’était difficile de retrouver un emploi dans cette branche. Aucun poste n’était ouvert chez l’Oréal à l’issue de mon stage… ».

Je pense que j’avais surtout besoin de me remettre sur des rails, de retrouver confiance en moi et de me rediriger vers un secteur plus porteur​ .

Coup du destin, Mojan entend parler de Techfugees, qui propose un programme d’insertion des réfugiés dans la Tech. Tout se dénoue pour elle : « L​e programme Fellowship était très complet. Au fil des visites chez les entreprises de la Tech et des cours sur OpenClassrooms, en 6 mois, j’avais confirmé mon intérêt pour la gestion de projet. J’avais déjà travaillé avec les méthodes en cascade en Iran, et donc je voulais creuser. À un job dating organisé par Techfugees, j’ai rencontré le directeur recherche et développement de RTE, qui a été intéressé par mon profil. Aujourd’hui, je me forme au métier de Product Manager au sein de cette entreprise du secteur de l’énergie. C’est passionnant ».

Pour les deux jeunes femmes, le soutien de Tech fugees et d’OpenClassrooms ainsi que la confiance des équipes de RTE leur a permis de se forger des perspectives d’avenir à la hauteur de leurs ambitions et compétences, en France.

Un vivier de talents pour les employeurs 

L’équipe de Techfugees en est convaincue : les personnes déplacées représentent un potentiel humain et professionnel invisible. Ce sont des femmes le plus souvent éduquées qui parviennent à se réfugier en Europe. Elles sont donc frustrées de ne pas pouvoir reprendre leur carrière dans leur pays d’accueil. Pour Joséphine,

c​’est grâce à la collaboration constructive entre des employeurs engagés comme chez RTE, l’équipe professionnelle et bénévole de Techfugees qui identification et accompagne ces personnes réfugiées et à la mise à disposition efficace de contenus pédagogiques dispensés par OpenClassrooms, que nous avons pu offrir aux fellows les opportunités qu’elles méritent.

En effet, 80% des fellows ont reçu des offres d’emplois à la sortie. « C’est une première étape, importante, vers une éducation plus inclusive, conduisant à l’embauche et à la reconnaissance des compétences de femmes réfugiées en France dans les secteurs du numérique », conclut la cheffe d’entreprise.

L’enthousiasme de Isabelle Tanguy, P​ilote de projets en Ressources Humaines c​hez RTE, est représentatif des retours que font les entreprises face à la qualité des candidats issus des programmes de Techfugees. Pour elle, embaucher une réfugiée est à la fois gage du sens éthique de l’entreprise, mais aussi une réelle opportunité de recrutement. « ​Nous sommes ravis de nous associer à OpenClassrooms pour permettre aux femmes réfugiées de s’insérer sur le marché de l’emploi. Grâce à ce type d’alliance, nous générons des opportunités pour des futurs talents numériques. Ce partenariat entre les deux entreprises et l’association Techfugees résulte d’une collaboration naturelle qui traduit une vision commune ; créer un impact positif fort et pérenne chez les femmes réfugiées en formant les talents de demain. »

Ce partenariat entre les deux entreprises résulte d’une collaboration naturelle qui traduit une vision commune ; créer un impact positif fort et pérenne chez les femmes réfugiées en formant les talents de demain.

Au côtés de Techfugees et d’entreprises engagées pour le bien commun telles que notre partenaire RTE, OpenClassrooms espère que ce genre de programmes de formation solidaires ouvrira la voie à une éducation plus inclusive, juste et accessible.

* Source 

[Saviez-vous que c’était le bon moment pour démarrer une alternance ? Jusqu’au 31 décembre 2020, le gouvernement propose une aide à l’embauche. Les entreprises peuvent toucher entre 5 et 8000€ de prime d’alternance supplémentaire. Le temps de recherche a aussi été étendu de 3 à 6 mois après le début d’une formation. Vous commencez sereinement votre parcours diplômant chez nous, et nous vous aidons à trouver votre employeur dans les mois qui suivent. Rendez-vous sur notre page Alternance]

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De comptable en polynésie à développeur en Auvergne, le portrait d’Augustin

Par : Nora Leon

Du haut de ses 29 ans, Augustin Kavera a déjà eu plusieurs vies. Tour à tour comptable et militaire en Outre-mer et en France métropolitaine, il se reconvertit en 2017 en reprenant sa formation en ligne sur OpenClassrooms. Aujourd’hui, suite à une formation diplômante, Augustin est développeur web en Auvergne. Portrait. 

De la Polynésie Française à l’hexagone 

Augustin est originaire de Polynésie. Il y grandit et y étudie la comptabilité. Puis, lui vient l’envie d’explorer les autres aspects de son pays en travaillant dans l’hexagone. Il s’engage donc dans l’armée. “J’habitais depuis toujours en Polynésie. C’est juste à côté des Amériques. Donc, pour mes vacances, j’allais de temps à autre avec des copains du lycée aux “States” (San Francisco, Vegas, NY), en Nouvelle Zélande, à Hawaii. On s’organisait de petits voyages et on économisait pour se payer le billet, l’hébergement et les loisirs. À un moment, je me suis rendu compte que je ne connaissais pas la France métropolitaine. C’est pour cela que je me suis engagé dans l’Armée de terre. J’avais envie d’explorer de nouveaux horizons”. 


En France, Augustin fait partie tour à tour de deux régiments : un régiment de transmissions [pour établir un maillage de communication avec de la CHF (Chaîne des forces Hertzienne), de la HDTAC (Haut-Débit Tactique) et Syracuse 3 (cf. Wikipédia)] et un régiment d’artillerie. Là-bas, il tombe amoureux. Sa compagne est elle aussi militaire, au sein d’un régiment différent. Comme souvent dans la vie, Augustin fait un compromis.Avec ma compagne, nous appartenions à deux régiments différents. C’est difficile, dans ces cas-là, de créer une vie de famille, surtout que nous venions d’avoir notre premier enfant. J’ai donc quitté l’armée. C’était la bonne décision, car j’avais fait le tour de mon boulot en tant que militaire. Je ne regrette rien car il m’a fait grandir : la cohésion d’équipe m’a aguerri humainement. Mais c’était le moment de repartir à l’aventure autrement”. 

C’est alors qu’Augustin se tourne vers l’un de ses premiers amours, l’informatique.

Une reconversion à base de persévérance

Augustin était, comme beaucoup d’ados, mordu de jeux vidéos. “Plus jeune, j’étais un geek ! Avec mes amis, on aimait les jeux vidéos, on organisait des LAN entre amis, on se partageait quelques ‘astuces’ pour craquer un logiciel payant par exemple. On bidouillait aussi quelques hacks pour pouvoir jouer à certains jeux. En souvenir de cela, j’ai décidé de commencer une carrière dans l’informatique”. 

Pour se former, il a le réflexe “Internet”. En faisant quelques recherches, il trouve OpenClassrooms. Réticent au début, il se concentre sur les avantages de l’éducation en ligne : “j’étais un peu mi-figue, mi-raisin. Mais ça me plaisait d’être autonome et d’apprendre à mon rythme. Et comme je m’étais ennuyé dans des études trop théoriques à mon goût, je ne voulais plus me retrouver assis sur une chaise, devant un professeur« .

La promesse d’avoir un mentor m’a aussi convaincu. Et maintenant que je suis diplômé, je peux l’assurer : c’est le pilier de la formation, qui nous aide vraiment à réussir.

Avec l’aide de ses mentors, Augustin prend à bras-le corps les projets de sa formation en développement et gestion de projet. Des exercices pratiques non sans défis. Il raconte : “Le premier projet nous mettait dans le bain de WordPress, c’était facile et motivant. C’est au deuxième que ça a commencé à se corser. C’était le module “gestion de projet” de la formation. Il y avait de l’administratif, par exemple des notes de cadrage à rédiger. Je me suis demandé, comme d’autres, si j’avais choisi la bonne formation. Mais j’ai tenu bon et à partir du projet 3, c’est redevenu du code”. 

Et c’est justement ce projet de code qui donne le plus de fil à retordre à Augustin. “C’était du PHP orienté objet. Pour un débutant, c’était costaud ! Le cours sur la POO était trop avancé, avec des termes techniques qui font mal à la tête. Ça a été bien galère. Sur ce projet, j’ai effectué un changement de mentor car je n’avançais pas. Heureusement, OpenClassrooms m’a attribué une mentor qui m’a apporté des explications et beaucoup aidé. C’est aussi la force de la formation, le changement de mentor. Beaucoup n’ont pas assez de cran pour le demander de peur de blesser la personne mais quand il faut, on ne se pose pas la question, on fonce et on avance : sinon on stagne. J’ai vu cette lumière blanche qui m’attendait à la sortie du tunnel”. 

Une fois cet obstacle passé, Augustin monte en puissance dans son apprentissage.

Suite au projet 3, j’ai eu un déclic. Les projets suivants sont devenus plus faciles. Je captais vite et ma formation s’est accélérée

Fort de cette expérience, Augustin a pris du recul sur ses études. Pour lui, la clé est de continuer coûte que coûte. “Dans ce genre de formations, il y a toujours des coups de blues. Mais il ne faut pas baisser les bras. Il faut s’accorder une pause, puis revenir. En 2018, j’ai parrainé des étudiants moins avancés que moi dans la formation. L’un d’eux a lâché sur le projet 3. C’était dommage : il avait beaucoup bossé et s’était autofinancé. Mes autres filleuls, eux, ont tenu bon et obtenu leur diplôme. Il faut se donner les moyens de réussir. On termine ce que l’on a commencé, peu importe si on fait une pause”.

Un nouvel emploi au poil 

Une fois diplômé, Augustin cherche un emploi en Auvergne. Il raconte :

C’était un peu dur de trouver un job. On demandait de l’expérience et il fallait se vendre. Mais j’ai été coaché par un mentor en insertion professionnelle et cela m’a beaucoup aidé.

Aujourd’hui, Augustin est développeur d’applications au sein du Conseil départemental du Puy de Dôme. Un poste polyvalent et dense qui mêle de la création d’application intranet pour tous les services du conseil en fonction des demandes, de l’intégration de formulaire sur un CMS, des créations de structure de sites satellites et même du référencement. 

En ce moment, l’un des projets sur lesquels il travaille est la réalisation d’un site pour promouvoir au niveau local des actions vers la transition écologique. Le conseil régional propose des événements autour des initiatives “vertes” auxquelles les résidents peuvent participer, et Augustin gère le site dédié, code le formulaire d’inscription pour participer à l’événement et le back-office utilisé par les employés du conseil pour gérer l’organisation. Il gère aussi la maintenance de tous les sites institutionnels propres au Conseil.

Au-delà de cela, il se concentre sur le fait de s’adapter à son poste actuel, d’acquérir de l’expérience et à moyen-terme de proposer des améliorations au niveau technologique. “Je suis sur les traces de celui que je remplace. Je code en utilisant  JavaScript (AJAX, JSON, JSONP, JQuery) avec du PHP et de la programmation orientée objet. Lors de ma formation, j’ai été formé aux nouvelles technologies tel que Symfony 3+. Dans mon job, je dois au contraire revenir à d’anciennes technologies. Notamment du PHP 5.3.13 avec le framework Laravel 4.2 alors qu’aujourd’hui on est sur des versions 7 de PHP et avec la version 6 de Laravel. Il y a un très gros écart entre les versions que j’utilise au travail et ce qui existe aujourd’hui. Sur 10 lignes de code, je pourrais économiser 9 lignes par exemple. Il faut s’adapter constamment et toujours rester en veille. Mais je pourrai proposer des bonnes pratiques pour migrer nos apps quand j’aurai un peu plus d’expérience”.

Maintenant qu’il code, la vision d’Augustin sur le monde de l’informatique a évolué. « C’est tellement technique et passionnant, entre les algorithmes, la logique mathématique et le foisonnement des langages et frameworks. J’ai tout à explorer« , s’enthousiasme-t-il.

Et lui de conclure avec une fierté toute légitime :

Je suis parti de rien et aujourd’hui je suis développeur

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Du web design au développement, la reconversion d’Émilie

Maman célibataire d’un petit garçon de 6 ans, Emilie Sabathier vient tout juste de valider sa formation développeur web. Après 13 ans de webdesign dans une agence, elle nous raconte sa reconversion professionnelle, de la prise de risque, à la découverte d’une communauté virtuelle, au-delà même de sa formation.

Parle-nous un peu de ton parcours…

J’ai été webdesigner pendant 13 ans dans une agence digitale. On réalisait des campagnes mobiles, des bannières, des landing pages. Au début, mon travail consistait essentiellement à faire de l’intégration, mais j’ai évolué et commencé à toucher à la partie graphique également. Puis, j’ai commencé à gérer le planning créa, qui supposait notamment d’être en charge de la répartition des tâches,  du respect des délais, et du suivi hebdomadaire des statistiques.

À la fin, j’étais très polyvalente. Cependant, je stagnais et, je ne m’y retrouvais plus trop en terme d’objectifs. Alors, j’ai fini par quitter ce poste d’un commun accord avec mon employeur.

Après quelques mois à chercher du travail dans le webdesign, j’ai eu un petit souci de santé. J’ai profité de cette période pour me faire opérer et j’ai été arrêtée. J’ai mis à profit ce moment pour me poser et commencer à faire naître l’idée d’une reconversion.

De retour sur le marché de l’emploi en septembre dernier, je me suis vraiment posé la question de ce que je voulais faire, et de quel tournant je voulais donner à ma carrière.

Qu’est-ce qui t’a décidée à suivre cette formation chez OpenClassrooms ?

J’avais entendu parler de l’école en ligne OpenClassrooms et je voulais me défier, tenter quelque chose de nouveau. C’est là que je me suis dit que le développement web pouvait être assez complémentaire avec mon parcours précédent, étant donné que je faisais déjà de l’intégration CSS. Le côté plus technique du front et du back-end m’intéressait, mais j’avais toujours eu peur de me lancer là-dedans. 

J’avais sollicité des formations dans mon ancienne entreprise et tenté d’apprendre par moi-même, mais ce n’était pas évident.

Prendre la décision de me lancer n’était pas facile, d’autant que je suis maman et qu’il fallait que je trouve un organisme à distance qui me permette de m’occuper de mon fils, tout en travaillant à fond sur une formation.

C’est pour cela que mon choix s’est orienté vers OpenClassrooms, sur lequel j’avais aussi eu de bons échos avant.

Comment as-tu vécu l’expérience de la formation ?

La formation a duré 8 mois. J’ai pris mon temps pour acquérir de bonnes bases et pratiques, notamment sur la partie programmation. Je travaillais environ 7/8h par jour sur les cours, projets et présentations pour les soutenances. Je voulais faire plus que ce qui était demandé sur les projets. 

Workplace [le forum communautaire privé d’OpenClassrooms] m’a beaucoup aidée au début. J’aimais particulièrement les topics et les groupes variés, et j’étais assez étonnée de voir le niveau de réactivité de la communauté. Entre les groupes spécifiques et la conversation messenger en direct, il y a un vrai soutien qui permet de tenir le coup. Ce n’est pas toujours facile de gérer une formation à distance, en totale autonomie, et ce malgré la présence des mentors. Donc la communauté est un vrai plus quand on a des questions au quotidien, ou simplement besoin de soutien.

Cette formation apprend vraiment l’autonomie, et à aller chercher ses propres réponses sur divers supports.

J’ai eu deux mentors au cours de ma formation. Sur les deux premiers projets, j’avais déjà des connaissances sur WordPress et pour monter des maquettes en responsive. Ce que j’ai particulièrement apprécié, c’est que mon premier mentor a réussi à me lancer des défis  et à me tirer vers le haut, pour monter en compétences dès le début et apprendre des choses en plus de ce que je maîtrisais déjà. On est donc allés plus loin que ce que demande la formation. Sur les trois derniers projets, mon deuxième mentor m’a accompagnée sur la compréhension de la programmation.

Etant donné que je viens du design, j’avais besoin qu’on m’explique les choses de manière concrète et imagée et elle a vraiment su s’adapter à ces contraintes. Notre travail commun a été vraiment bénéfique.

Comment s’est passé l’après-formation ?

Mon objectif était de trouver un CDI dans l’Essonne ou à Paris. La logique aurait voulu que je continue dans le front mais je ne me refusais aucune opportunité, même en back, car les deux approches sont complémentaires et intéressantes à apprendre. Dans l’absolu pour moi, tout dépend de l’offre, de la structure, des objectifs, et du discours du recruteur.

J’ai d’abord été suivie par une coach d’OpenClassrooms et elle était vraiment extra ! Hyper positive, elle me rassurait beaucoup dans mes démarches parce que malgré mes 13 ans d’expérience, je me retrouvais junior en développement, et le soutien moral est l’un des aspects les plus importants.

D’ailleurs je suis épatée qu’OpenClassrooms propose ces services. Même si ce n’est que pour deux mois, c’est génial car cela te donne les clés pour pouvoir te débrouiller tout seul par la suite. D’autant que c’est un univers qui évolue tellement qu’il faut absolument rester à la page et continuer d’apprendre.

J’avais prévu de réaliser quelques projets en parallèle de ma recherche d’emploi, pour étoffer mon portfolio et rester active. Mais tout s’est passé assez vite. Après l’obtention de mon diplôme mi-juillet, j’ai fait un post sur LinkedIn et j’ai tout de suite été contactée par de nombreuses ESN (entreprises de services numériques). J’ai rencontré différents recruteurs mais je suis allée vers la société qui n’avait pas peur de miser sur mon potentiel et de poursuivre ma formation en interne.

Le 9 septembre dernier, j’ai donc pris mes nouvelles fonctions de développeuse junior. Aujourd’hui, je travaille en front et en back pour réaliser des sites vitrines sur Symfony 4 et l’objectif est de pouvoir monter en compétences pour aller sur du full stack, faire du e-commerce, gérer des clients. Depuis une semaine, je pilote un projet en totale autonomie et j’ai à la fois le sentiment d’apprendre beaucoup de choses mais aussi de mettre à profit les acquis de ma formation. 

Tes conseils pour ceux qui hésitent encore à se lancer ?

Mon but avec cette formation était vraiment de sortir de ma zone de confort et de montrer à mon fils que j’étais une battante. Je voulais aussi me prouver que je pouvais dépasser mes limites et apprendre des choses plus techniques.

On pense parfois que le développement, c’est inaccessible. Alors oui, c’est difficile, mais la progression vient quand on n’abandonne pas. Il faut continuer de travailler, demander des conseils aux mentors, aller sur Workplace, demander de l’aide, et ne pas rester seul. 

Et puis, il ne faut pas trop se stresser avec le temps. Il faut au contraire prendre le temps nécessaire pour acquérir de bonnes bases, c’est très important. Sans s’en rendre compte, on avance tous les jours, et quand on prend un peu de recul, on ressent  une immense satisfaction et beaucoup de fierté.

Et aujourd’hui que je suis en poste, je peux assurer que la formation prépare vraiment au métier. Mes connaissances ont rassuré mon recruteur et mes acquis m’ont donné le sentiment d’être prête, et ça, c’est capital ! 

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Le parcours de Julie : d’autodidacte à développeuse web en alternance

C’est après plusieurs expériences professionnelles variées qu’à 25 ans, Julie Pilarski décide de suivre enfin le chemin de sa passion : l’informatique et plus précisément le développement web. Elle démarre une formation au sein de l’école en ligne OpenClassrooms, qu’elle poursuit actuellement en alternance grâce à un contrat professionnel. Entre théorie, mise en pratique et apprentissage, voici le parcours riche de Julie.

Quand la passion ressurgit

Julie est passionnée d’informatique depuis très jeune. “Dès que j’ai eu mon premier ordinateur”, précise t-elle. “J’ai toujours appris en autodidacte les rudiments de l’informatique. J’ai pris l’habitude de rendre service autour de moi, dans ma famille, auprès de mes amis qui avaient besoin de résoudre un problème.” Après l’obtention de son bac, Julie démarre donc naturellement un BTS en informatique : “J’ai appris quelques bases pour la création de sites internet, j’ai été initiée à certains langages informatiques. Cela m’a vraiment plu. Malheureusement, les circonstances ont fait que je n’ai pas pu terminer cette formation.” Poussée par les événements de la vie comme elle le dit, Julie obtient son BAFA et devient finalement animatrice périscolaire et en centres de loisirs. Cette expérience dure quatre ans.

Pour autant, Julie ne perd pas de vue le domaine dans lequel elle souhaiterait toujours réellement évoluer : “C’est au cours d’un rendez-vous avec ma conseillère de la mission locale, que j’ai évoqué à nouveau la volonté de revenir à ma passion. Étant à l’aise dans le domaine, j’envisageais de me lancer en maintenance informatique. C’est à ce moment-là que l’on m’a parlé d’OpenClassrooms et la possibilité de se faire financer une formation par la région. Deux jours après, j’avais une réponse positive pour commencer un parcours diplômant. Comme j’attendais cela depuis longtemps, j’étais confiante de démarrer une formation où il fallait être relativement autonome et motivée.” Malgré tout, la formation nécessite de l’organisation : “Au-delà des langages informatiques, la formation m’a aussi permis de développer mon organisation. J’ai dû trouver mon rythme, apprendre à m’auto-gérer, me motiver sans m’écoeurer. C’est vraiment un équilibre à trouver.

Une vidéo originale pour trouver une alternance

Julie a donc démarré la formation de développeur web en octobre 2018. “J’ai commencé par un programme de trois mois intitulé OpenDeclic, puis je suis passée en contrat professionnel. Il a donc fallu trouver une entreprise pour poursuivre le financement de la formation un an de plus.” 

Depuis plusieurs années, Julie anime la chaîne Youtube Ysoh autour de sa passion pour l’high tech, la 3D et les jeux vidéo. Elle poste régulièrement des vidéos à ses 1500 abonnées autour de ces thèmes. “Ma coach OpenClassrooms a vu que j’étais à l’aise devant la caméra et qu’il y avait un potentiel à exploiter. Elle m’a donc proposé de faire une vidéo de présentation pour trouver mon alternance. L’objectif était vraiment de rester moi-même et de faire ressortir ma personnalité. J’ai utilisé un fond vert pour recréer un style un peu futuriste. La vidéo a suscité beaucoup de partages sur LinkedIn avant même qu’elle ne soit publiée officiellement sur Youtube et c’est de cette façon que mon employeur actuel m’a contactée”, raconte Julie.

Une développeuse web en devenir

Depuis mai, Julie est en entreprise 4 jours par semaine et en formation le reste du temps. “J’ai été recrutée par le réseau d’entreprises Lab’Science. Ils sont spécialisés dans la réalisation de mobilier clés en main pour les laboratoires, les chambres froides, etc. Ils étaient à la recherche d’un community manager, qui aurait aussi des compétences en développement pour la création de sites Internet. Ils m’ont proposé le poste, en précisant que j’aurais donc également à gérer les réseaux sociaux de l’entreprise.” 

Julie fait figure d’experte et travaille donc en totale autonomie au sein de l’entreprise puisqu’elle est la seule à avoir des compétences poussées en informatique. “Mon responsable donne son avis en terme de communication et je me charge de la partie technique et de la création des outils. La partie réseaux sociaux est en plus, j’apprends sur le tas et c’est une dimension intéressante aussi, même si à terme c’est vraiment le développement web pur sur lequel je souhaite me concentrer.” L’entreprise pour laquelle Julie travaille envisage de la garder à l’issue de son diplôme. Même si elle ne fait pas que du développement, Julie apprécie son cadre de travail : “L’avantage, c’est qu’on ne m’impose pas de contrainte de temps, je peux donc travailler à mon rythme. C’est souple, je peux même être en télétravail. Et comme il y a plusieurs sièges partout en France, je pourrais aussi décider de changer de locaux, par exemple. Nous verrons donc où j’en serai dans un an.

**

À terme, Julie aimerait faire ses armes dans des agences web, où elle pourrait trouver une émulation au sein d’une équipe de passionnés comme elle. Avant pourquoi pas de s’installer en freelance, une fois qu’elle aura un portfolio rempli de projets convaincants. Quoi qu’il arrive, elle est définitivement sur sa lancée.

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Par quel langage informatique dois-je commencer ?

Par : Nora Leon

Vous avez décidé d’apprendre à développer un site ? Une application ? Le tout premier pas pour y parvenir est d’apprendre un premier langage informatique. 

HTML et CSS sont un point d’entrée que choisissent la plupart des débutants. Ils sont utiles pour structurer du texte et des images, entre autres super-pouvoirs. 

Sans avoir jamais appris à développer, chacun peut facilement acquérir les bases de ces deux langages en suivant gratuitement le cours “Apprenez à créer votre site Internet avec HTML5 et CSS3”. Ce cours fait d’ailleurs partie des formations à distance “Développeur web” et “Développeur d’applications FrontEnd”. 

Cet article est une introduction à ces deux langages. Suite à cette lecture, chacun sera armé pour commencer le cours. 

Que sont HTML et CSS ?

HTML (Hypertext Markeup Langage) est un outil pour construire des pages web. 

CSS (Cascading Style Sheets) est ce qu’on utilise pour créer leur aspect visuel. 

Ces deux aspects sont parfaits et complémentaires pour commencer à apprendre le code informatique. Voici comment cela fonctionne exactement. 

Imaginez une page web. Elle est composée de contenus (les titres, le texte et les images) qui ont une certaine apparence (une police d’écriture, une palette de couleurs, un style). 

HTML est le langage pour créer du contenu structuré pour raconter une histoire. CSS s’occupe de l’apparence : la mettre en place et mettre en mouvement ce qui doit l’être. 

Pourquoi utiliser deux langages, s’ils sont tellement liés ? Cela facilite la vie des développeurs. Ils se concentrent sur le contenu et ensuite sur l’apparence, sans avoir besoin de se charger des deux en même temps. 

Par exemple, si OpenClassrooms voulait modifier complètement ses couleurs de marque pour les améliorer, ainsi que son design, nous pourrions utiliser le CSS. Nous pourrions en effet modifier l’aspect du site sans toucher au contenu (les vidéos, le texte des cours…). Par contre, si nous voulions modifier le contenu, nous devrions avoir recours au HTML

Ça y est, la distinction est claire ? Bravo, c’est l’information à retenir pour commencer sereinement le cours sur ces deux langages. Pas encore besoin de comprendre la syntaxe, car cela, c’est l’objet du cours !

Et justement, à la fin du premier chapitre du cours, chacun peut déjà écrire ses premières lignes de code. 

Prêt(e) à écrire vos premières lignes de code ?

Voici l’introduction gratuite à HTML et CSS, le cours “cours “Apprenez à créer votre site Internet avec HTML5 et CSS3”.

 

Je commence le cours 

À propos d’OpenClassrooms 

OpenClassrooms est un institut de formation à distance, 100% en ligne, pour apprendre les compétences les plus recherchées par les recruteurs et les plus prometteuses. Le but : décrocher un emploi très recherché et qui ait de l’avenir !

Nous formons à tous les métiers du numérique, notamment le développement web et mobile, le design, les systèmes et réseaux, la data science, la gestion de projet, le marketing, les ressources humaines et l’entrepreneuriat.

Tous les cours des programmes de formation à distance sont accessibles gratuitement en ligne.

Nos cursus à équivalent Bac +2, +3 et +5 se réalisent en ligne. Ils sont composés d’un mélange de vidéos, de cours écrits, de projets professionnalisants réalisés par l’étudiant pour apprendre par la pratique, et de sessions de mentorat hebdomadaires avec un expert du métier. Les formations durent entre 6 et 18 mois en fonction des sujets et du temps alloué par l’étudiant. 

À l’issue du programme, les étudiants sont coachés par des experts pour faciliter leur recherche d’emploi. Ce dernier est d’ailleurs garanti.  

Cela vous intéresse ? 

J’en discute avec mon conseiller pédagogique

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Maman, salariée et étudiante : la reconversion de Sandrine

Étudier, travailler et s’occuper de sa jolie marmaille…
Est-ce possible ?

La réponse est OUI ! Avoir des enfants et un job à temps plein n’empêchent pas de réussir une formation OpenClassrooms. 

Pa contre, une bonne organisation est essentielle pour tenir sur le long terme.

Mais il n’y a pas de “bon moment” pour entamer une reconversion professionnelle, et à trop vouloir attendre, parfois on ne se lance jamais. 

[À lire : Reconversion professionnelle, les étapes clés]

L’histoire de Sandrine Linise montre bien qu’il est possible de se former tout en continuant à s’occuper de ses enfants et en travaillant à côté. Ses conseils pourraient bien vous inspirer pour franchir le cap.

Un parcours atypique 

Sandrine a 43 ans, est salariée à temps plein de nuit, freelance en développement web et inscrite à la formation développeur web dans l’école en ligne OpenClassrooms.

Elle a trois enfants, dont une petite fille de 5 ans. Son parcours est atypique : depuis longtemps, elle rêvait de se reconvertir et d’apprendre à coder.

J’ai commencé à m’intéresser au développement web il y a douze ans. A l’époque je n’y connaissais rien, mais j’ai quand même aidé mon mari à lancer son site Internet et j’ai adoré l En cherchant des solutions, j’ai donc fait mon premier site sans avoir aucune notion de code.

Intriguée, Sandrine commence à se former seule en ligne et se lance en freelance en 2011. Elle décroche quelques missions mais est contrainte d’arrêter la formation lors de la naissance de sa fille. En parallèle, elle travaille de nuit en tant qu’aide soignante dans un centre d’autistes. Pas facile de concilier tant de casquettes !

Une organisation bien ficelée

En 2015, Sandrine décide de reprendre une formation en développement web. Après un congé parental d’un an, elle monte un dossier pour obtenir un financement. Qui n’arrivera que trois ans après… En 2018, elle débute sa formation à distance chez OpenClassrooms, alors qu’elle est désormais maman de trois enfants. Elle continue de travailler de temps en temps à la création de sites internet pour ses clients.

Aujourd’hui, mes journées sont réglées comme du papier à musique : je m’occupe de ma fille entre 16h30 et 19h, puis je pars travailler jusqu’à 7h du matin. La nuit est parfois agitée. A mon retour, j’accompagne ma petite à l’école, puis je travaille à ma formation toute la matinée. Je prends une vraie pause en début d’après-midi. 

« Je travaille au centre d’autistes alternant une semaine de trois jours de travail et une semaine de quatre jours de travail. Mais même si je peux dormir la nuit, il m’arrive de faire des nuits blanches pour mes missions freelance.”

Concilier vie pro et perso : on y arrive

Comment mener de front tant de projets sans négliger sa vie personnelle ? Sandrine respecte son planning bien rempli, s’octroie des moments de repos et profite de sa fille dans l’après-midi. 

Je prépare mon calendrier minutieusement. C’est difficile de s’y tenir, mais on y arrive ! Parfois, il y a des contretemps, cela ne se passe pas comme prévu. Alors, on se retrousse les manches et on trouve une solution. 

« Le fait d’étudier en ligne permet une grande flexibilité. On peut adapter ses horaires, travailler à son rythme et, à terme, se reconvertir pour profiter davantage de la vie. Même s’il y a des sacrifices à faire aujourd’hui, je sais pourquoi je les fais.”

[À lire : En quoi la formation OpenClassrooms est-elle flexible ?]

Les conseils de Sandrine

  • Parlez de votre projet à votre partenaire et trouvez des solutions ensemble au quotidien.
  • Continuez de vivre une vie « normale » : le repos, les amis, les loisirs vous permettent de continuer sans vous épuiser.
  • Ne loupez pas le coche ! Il n’y a pas d’âge pour se reconvertir et se former à un nouveau métier.
  • Pensez “long terme » : le fait de se projeter permet de ne pas baisser les bras et de rester motivé. 

Les histoires de parents heureux et reconvertis sont nombreuses. Une bonne organisation et beaucoup de motivation sont les atouts de ceux qui réussissent à concilier leur vie familiale et leur projet de reconversion. À vous de jouer ! 

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Aude, des “études plaisir” au développement web à Édimbourg

Aude Leissen est bien en accord avec son époque et considère qu’aujourd’hui on ne fait plus une seule et même carrière au cours de sa vie.

Après des études dans le domaine de l’histoire, elle trouve normal de se former à nouveau, dans un domaine plus professionnalisant cette fois. Elle choisit la formation développeur web de l’école en ligne OpenClassrooms.

Autonome et motivée, elle a obtenu un poste de développeur web junior dans une agence marketing à Édimbourg en Écosse il y a quelques mois. 

Un cursus atypique mais logique

Aude est incertaine à la fin du lycée mais elle appréhende cela de façon très positive et enrichissante :

Je n’avais pas forcément de projet professionnel après mon bac donc j’ai choisi des études plaisir. J’ai fait une licence et un master en histoire, en recherche précisément. J’ai beaucoup appris et en effet, je me suis éclatée.

À l’issue de son enseignement supérieur, Aude réfléchit et mûrit la suite : « Je savais à l’avance qu’à l’issue de mon master, il faudrait que je trouve une autre formation professionnalisante cette fois. J’ai fait un point sur mes compétences auprès de Pôle Emploi. Comme job étudiant, j’avais de l’expérience en tant que serveuse mais je ne voulais pas en faire une carrière. »

Un jour, j’ai vu une offre d’emploi pour être testeuse informatique qui demandait des prérequis en histoire pour tester leur produit. J’ai postulé sans être sélectionnée à l’arrivée mais cela m’a fait prendre conscience que les deux univers n’était pas incompatibles. Il se trouve que j’avais toujours été attirée par l’informatique sans prendre vraiment le temps de m’y consacrer.

Aude valide certains cours proposés par OpenClassrooms avant de se renseigner sur les parcours certifiants. « La validité des diplômes, c’était important pour moi. Assez rapidement, je me suis lancée pour le parcours Développeur web. Mon parcours universitaire m’a beaucoup aidée car cela m’a permis d’acquérir une grande autonomie. Or, pour suivre une formation à distance, il faut vraiment être motivé et disposé à travailler seul. C’est important, parce qu’il y a forcément des hauts et des bas. Le fait d’être déjà passée par là à la fac m’a permis de reconnaître les différentes étapes que j’allais traverser. J’avais davantage de recul alors j’étais capable de me dire à certains moments “ok, j’en ai marre, j’arrête, je ne suis plus efficace, je reprendrai ce problème demain ou dans quelques jours le temps que cela repose”, alors qu’à l’inverse il m’est arrivé de passer parfois 3-4 jours sur le même problème de code pour essayer de le résoudre. »

Une recherche pour un emploi Outre-Manche

Ayant déjà voyagé à plusieurs occasions, Aude a l’envie de s’expatrier à nouveau et se lance dans une recherche d’emploi à l’étranger. « Un poste junior, c’est toujours assez compliqué à trouver. On ne peut pas tout apprendre en cours, donc j’ai un peu souffert du syndrome de l’imposteur au moment de ma recherche d’emploi. Pourtant, la formation m’a aussi donnée une base et une super boîte à outils de sites, de plateformes sur lesquels je sais que je peux trouver des réponses. »

Dans le doute, après l’obtention de son diplôme, Aude suit le parcours OpenClassrooms d’accompagnement personnalisé à la recherche d’un emploi.

Ma mentor m’a permis de tout remettre à plat : CV, réseaux sociaux, lettre de motivation. Il s’agissait de trouver mon vrai premier boulot donc je ne voulais pas prendre le risque de me fermer certaines portes.

« Les offres d’emploi ne correspondaient pas toujours exactement à mon profil, mais les recruteurs cherchaient généralement quelqu’un à qui ils allaient pouvoir apprendre quelque chose de nouveau donc j’ai pu mettre en avant la logique de mon parcours et le fait que je m’étais formée de façon autonome, que j’étais avide d’apprendre, curieuse, que je savais chercher pour trouver des solutions mais que je savais aussi me tourner vers les bonnes personnes lorsque j’avais besoin d’aide. J’avais également plusieurs projets à montrer, ce qui était très positif. »

Après quelques mois de recherche et de prises de contact, Aude obtient une lettre d’embauche pour une entreprise anglaise d’optimisation informatique. Elle a aussi un bon contact avec une agence marketing écossaise qu’elle décide finalement de rejoindre. « Je travaille pour la branche digitale comme développeur web junior, au sein d’une petite équipe de six personnes. Pour l’instant, je fais de la maintenance sur les différents projets en cours avant de reprendre des projets tout neufs très prochainement. Il y a des outils et des langages que je connais, ce qui les surprend dans l’entreprise, et d’autres que je ne maîtrisent pas encore mais pour lesquels je vais apprendre. »

Finalement, le parcours d’Aude montre que les compétences acquises en formation OpenClassrooms s’exportent aussi très bien à l’étranger. 

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Des cours OpenClassrooms à Tech Lead, l’histoire d’Olivier

Olivier Maréchal, la trentaine, a déjà eu plusieurs vies.

Après s’être reconverti à différentes occasions puis s’être formé sur des cours en ligne via OpenClassrooms, il est aujourd’hui Tech Lead chez WakeOnWeb à Aix-en-Provence.

Spécialisé dans la conception et le développement d’applications web, il gère la partie technique des projets. Son poste va du chiffrage à la livraison du produit en passant par le choix des technologies et la supervision des équipes de développeurs. Incursion dans son parcours.

Une auto-formation pour se reconvertir

J’ai arrêté l’école après avoir obtenu mon bac ES. Pendant deux ans, j’ai réalisé des petites missions d’intérim : cela n’a pas été une expérience extraordinaire.

J’ai ensuite pris la décision de m’engager dans l’armée où j’étais sous-officier. Au bout de six ans, j’étais arrivé au bout, j’avais la certitude de vouloir faire autre chose. Donc, j’ai cherché une porte de sortie pour me reconvertir. 

Je me suis renseigné sur les métiers du développement car j’aimais déjà beaucoup l’informatique. L’armée me proposait de financer une formation ou un stage en entreprise. J’ai réalisé un stage de six mois dans une agence de communication, ce qui m’a mis le pied à l’étrier pour le développement. En parallèle de ce stage, j’ai commencé à suivre les cours en ligne proposés par OpenClassrooms

À l’issue du stage, en cherchant un CDI, j’ai constaté qu’il y avait beaucoup d’offres d’emploi pour du développement PhP/Symfony. J’ai rapidement décroché un entretien d’embauche dans une société spécialisée dans le développement d’applications Symfony pour le compte d’entreprises tiers. Les recruteurs m’ont challengé : ils m’ont donné trois semaines pour me familiariser avec le langage Symfony. Suite à cela, j’ai dû faire mes preuves au cours d’un test technique.

Ils ont constaté que j’avais potassé tous les cours disponibles sur OpenClassrooms. J’ai été embauché comme développeur chez eux. 

De Développeur web à Tech Lead

Après cette première expérience de deux ans, j’ai changé d’entreprise et je suis arrivé chez WakeOnWeb en tant que développeur. Au sein de la boîte, j’ai pu évoluer.

Soutenu par mon patron, je suis passé Tech Lead il y a un peu plus de six mois. 

Mon travail aujourd’hui, c’est d’analyser les besoins du client, d’évaluer le coût de la prestation et les délais puis de gérer l’organisation technique. Je choisis les technologies les plus adaptées, je répartis les tâches et j’encadre les développeurs. Dans notre gestion de projet, chaque tâche est divisée en sous-tâche et soumise à ma validation par les développeurs.

Je ne me sens pas vraiment manager ou chef d’équipe, je suis là comme soutien technique lorsque les développeurs ont besoin d’aide. 

Je fais encore moi-même un peu de code. Parfois, il faut intervenir sur la partie infrastructure, pour ce qui est déploiement automatique, intégration continue ou lorsque l’on développe des composants que l’on aimerait réutiliser par la suite. Dans ce cas, je m’en occupe et j’élabore la documentation pour ensuite la fournir aux développeurs.

La principale qualité d’un Tech Lead est l’adaptabilité. Il faut être patient. C’est primordial pour se mettre au niveau de chacun et transmettre correctement les briefs et les informations. Parfois, certaines choses me semblent évidentes. Elles ne le sont pas forcément pour le développeur que j’ai en face de moi.

Il faut aussi rester curieux. Par ailleurs, l’assurance est importante pour assumer les décisions que l’on prend au quotidien. Et à l’inverse, il faut être capable de se remettre en question pour faire machine arrière lorsque l’on a fait le mauvais choix de technologie, par exemple. Il est indispensable enfin d’être très organisé, car toute la journée, on jongle avec différentes missions. En somme, il faut savoir prioriser. 

Un rôle de mentor

Tout au long de ma reconversion, je me suis formé seul. Je n’ai pas bénéficié du soutien d’un mentor ou d’un coach, puisque les formations en ligne OpenClassrooms n’étaient pas encore ouvertes. Or, je pense que parfois on est un peu perdus et que c’est très bénéfique d’avoir quelqu’un avec qui partager ses doutes et ses questions pour continuer à avancer. C’est pour cela que je me suis engagé en tant que mentor pour suivre les étudiants OpenClassrooms des formations développement web et développeur PhP/Symfony. 

Se former seul est possible si l’on accepte d’investir beaucoup de temps et de curiosité. Le code informatique est un monde déroutant à première vue, mais il ne faut pas baisser les bras même quand on a l’impression de stagner.

Il existe un très grand nombre de technologies. Je suis convaincu qu’il est indispensable de se fixer un objectif et de s’y tenir.

Les recruteurs cherchent tous les types de profils : personnellement, je ne me suis jamais senti défavorisé parce que je n’avais pas de diplôme. Au contraire, je pense que ma reconversion a été un atout à mettre en avant dans mon parcours.

Mon expérience dans l’armée, avec des personnes sous mes ordres m’a permis d’acquérir une forme de maturité appréciée des recruteurs, et qui explique sans doute que je sois parvenu à rebondir ensuite dans un tout autre domaine.

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Combiner maths et développement informatique, le projet de Fayçal 

Par : Nora Leon

Une grande détermination. C’est ce qui ressort de notre échange avec Fayçal, l’un des étudiants boursiers de la formation LevelUp, en partenariat avec Google.org. 

Après avoir cherché sa voie en fac de maths, Fayçal s’est décidé pour la formation développeur iOS. Bien décidé à coder et soutenu par sa copine, il met en œuvre l’énergie nécessaire pour faire aboutir ses rêves. Rencontre. 

Qu’est-ce qui t’a mené à LevelUp ?

Je suis un matheux. J’ai fait une licence de maths info à Paris Descartes… Que j’ai arrêtée. Ce n’était pas assez concret. Je n’étais pas fixé sur ce que je voulais, mais je savais bien ce que je ne voulais pas. Notamment, faire de recherche en master, devenir prof ou data scientist comme mon frère. Cela m’intéresse peu, même si c’est très demandé. Donc, comme je ne savais pas encore quoi faire, je me suis inscrit sur Deliveroo et Uber en attendant.

Mon frère m’a proposé de devenir développeur iOS, car c’est un métier très demandé. Je me suis auto-formé sur les cours OpenClassrooms dès mars 2018 en suivant des cours, tout en cherchant un moyen de me faire financer une formation diplômante d’un an. Début 2019, j’ai reçu le mail d’Uber et Deliveroo annonçant une bourse d’études OpenClassrooms en partenariat avec Google.org.

J’avais très peu de chances de l’obtenir. Donc, imaginez mon soulagement quand on me l’a accordée !

Pourquoi la formation développeur d’applications iOS ?

Pour la Tech, d’abord. Apple code en C, option que j’avais choisie en maths info.

Ce métier était donc dans la suite logique de ce que je savais déjà. Et au niveau technique, c’est passionnant car le code en iOS a un lien avec tout : le design, l’écriture, le respect des normes. C’est très complet et cela donne plusieurs dimensions au job.

Mais aussi par rapport à Apple. J’aime son image épurée et le fait que les composants interagissent ensemble. C’est aussi une marque sécurisée et confidentielle, deux points que je considère très positifs.

Apple est enfin très rigoureux dans ses standards qualité. Cela me plaît, car je me mets au défi d’arriver à ce niveau

Comment vois-tu l’avenir ? 

J’ai momentanément arrêté les maths, mais j’ai quand même les chiffres dans la peau ! Donc, j’aimerais bien concilier code informatique et arithmétique dans mon futur emploi

Pour cela, il me suffirait de travailler dans les algorithmes. Je trouverais intéressant de proposer des améliorations dans le code des ingénieurs, tout comme les mathématiciens qui peaufinent l’algorithmie.

Pour y parvenir, je compte reprendre mes études en maths en alternance avec mon emploi, pour développer mes compétences. 

Et je voudrais aussi développer des outils open source qui aideraient à participer aux génomes. C’est important pour moi de résoudre des problèmes concrets. Je suis convaincu qu’il faut partager ses connaissances : je cherche donc à être dans une dynamique d’échange

Le mot de la fin ? 

Aujourd’hui, ma charge de travail est conséquente, même si je prends plaisir à étudier et pratiquer le développement. J’avance vite, car mon mentor m’épaule, alors qu’avant j’étais seul

Je mets beaucoup d’énergie dans la formation et suis prêt à faire les sacrifices nécessaires pour réussir

Je me projette aussi sur le moyen-terme. Après quelques années en poste, j’aimerais devenir mentor. Je me sens déjà redevable de ce qu’on m’a donné. Plus tard, j’accompagnerai des étudiants qui seront au stade où j’en suis à présent.

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Interview : que recherchent les recruteurs chez les candidats Tech ?

Nicolas Macherey a fondé WakeOnWeb en 2015. Implantée sur trois sites à Paris, Lyon et Aix-en-Provence, cette entreprise de près de 40 salariés conçoit des solutions numériques et technologiques sur-mesure pour les entreprises.

Pour conserver leur expertise face aux changements permanents du monde du numérique, les professionnels de la Tech doivent rester en veille permanente et être curieux des dernières innovations. C’est ce que nous explique Nicolas au travers de sa propre expérience.

Un processus de recrutement ouvert

WakeOnWeb est une société encore jeune, qui a connu des hauts et des bas. S’il y a eu un peu plus de turn-over lors des périodes de creux, aujourd’hui les équipes sont bien en place, soudées et compétentes.

La stratégie de recrutement de Nicolas ? Miser sur la diversité : “J’ai fait un pari en fondant WakeOnWeb, car c’est difficile d’être bien formé sur toutes les technologies. »

Alors, j’ai employé des gens qui étaient soit des développeurs expérimentés, soit des passionnés autodidactes. Certains n’avaient même pas le bac ou étaient de jeunes diplômés tout juste sortis  d’école. Ils avaient l’avantage d’être encore modelables.

« Personnellement, je connais les formations en ligne OpenClassrooms depuis le début, mais je laisse les gens choisir leur formation lorsqu’ils font leur contrat de professionnalisation ou leur formation continue. J’ai eu beaucoup d’alternants qui venaient de formations différentes : SupInfo, écoles d’ingé, OpenClassrooms…

Bien que les compétences techniques soient indispensables pour proposer la meilleure expertise aux entreprises, Nicolas valorise d’autres éléments aussi  : “Nous sommes une société de service donc nous devons nous adapter aux circonstances du client et dans ce contexte, être capables de monter en compétences rapidement, de s’adapter, de rebondir. C’est très important quelles que soient les bases techniques que l’on a eues au départ. C’est pour cette raison que je valorise les profils variés. »

Je n’ai pas d’a priori, je ne regarde jamais les CV avant de faire entrer les candidats en entretien, que je juge d’abord sur leurs valeurs humaines.

« Puis dans un deuxième temps, ils passent un test de personnalité et un test technique qui est adapté en fonction du profil. On ne donnera pas le même test à un architecte développeur qu’à un junior en reconversion par exemple. »

Un apprentissage permanent

Les technologies du numérique sont en constante évolution et de plus en plus nombreuses.

Pour rester compétitifs, les professionnels de la tech n’ont d’autre choix que de continuer à apprendre et à se former tout au long de leur carrière.

Nicolas croit aux vertus de la formation interne et externe :

Notre métier est d’apporter l’innovation technologique dans les entreprises donc si on n’encourage pas la formation continue auprès de nos collaborateurs, on se laisse dépasser très rapidement.

« Au sein de WakeOnWeb, on a un programme de formation interne qui est encadré par nos architectes. Le marché évolue constamment, donc on sélectionne avec nos collaborateurs les technologies qu’on trouve   intéressantes à connaître et maîtriser. Le but n’est pas de devenir spécialiste de tout non plus, on évalue de façon concrète l’expertise qui est la plus pertinente pour nous.”

Incorporer la formation au sein de l’entreprise demande une organisation du travail adaptée, qui peut sembler complexe à mettre en place à première vue.

Cependant, elle représente indéniablement un investissement sur le long terme.

Lorsqu’on sélectionne une nouvelle technologie, on laisse les employés se dégager du temps pour se former à partir des ressources ou des outils qu’ils choisissent, en échange de quoi ils rédigent une présentation ou un article qui peut être profitable à tous sur la techno en question.

« Cela représente un coût mais c’est indispensable dans notre domaine. Par conséquent, nous avons mis en place ce système en début d’année et nous verrons si cela perdure”, explique Nicolas.

Quel que soit le langage informatique que l’on maîtrise le mieux, ce qui est inhérent à tous les métiers du numérique est la curiosité d’apprendre perpétuellement pour rester innovant. Finalement, c’est sans doute la qualité première recherchée par les recruteurs dans le domaine, à l’image de Nicolas.

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Dans la bibliothèque d’un développeur : les livres incontournables

Beaucoup d’entreprises cherchent à recruter de bons développeurs, c’est la profession du moment. Quelque soit sa spécialité, un développeur se doit d’être souple, curieux, créatif et avide de résoudre des problèmes parfois complexes. Si une grande partie de cette profession s’apprend par la pratique, certains ouvrages sont de vraies mines d’or pour se perfectionner d’un point de vue plus théorique. Beaucoup de ces ouvrages sont régulièrement réédités et remis à jour étant donné que c’est un domaine dans lequel les choses changent très rapidement.

Extreme programming Explained de Kent Beck

C’est la deuxième édition de l’ouvrage, initialement paru en 1999 et considéré comme une bible pour les développeurs. L’objectif de l’auteur, spécialiste en XP, est de donner des clés pour améliorer le développement de logiciels. On trouve des clés pour impliquer l’ensemble de son équipe, quelque soit sa taille, en élaborant un espace de travail partagé et sur mesure, pour réduire le taux d’erreur, ou encore pour planifier les décisions économiques et les décisions technologiques de l’entreprise.

Refactoring : Improving the design of existing code de Martin Fowler

Dans ce livre, vous trouverez de nombreuses idées et techniques pour améliorer vos bases de code. Le refactoring, appelé réingénierie logicielle en français est un principe qui vise à transformer un logiciel à partir d’un modèle déjà existant. La méthode de l’auteur consiste à suivre une étape à la fois de ce processus pour limiter le risque d’erreur. La dernière édition de l’ouvrage date de décembre 2018.

Clean Code de Robert Martin

En apparence, un mauvais codage peut avoir l’air de fonctionner très bien. Seulement, si ce code n’est pas propre, cela peut avoir des conséquences désastreuses pour un développeur et son entreprise. L’objectif de Robert Martin est d’aiguiser l’oeil des développeurs pour qu’ils soient capables de distinguer une bonne ligne de code d’une mauvaise et pour qu’ils puissent transformer un mauvais codage en un codage de bonne qualité.

The Clean Coder : a code of conduct for professional programmers de Robert Martin

Dans cet ouvrage plus récent que le précédent, l’expert en programmation donne des outils très concrets pour se perfectionner dans ce qu’il appelle l’artisanat de logiciel. Présenté comme un véritable code de conduite du développeur, l’auteur voit au-delà de l’aspect technique et explique comment gérer la pression, le stress, comment communiquer convenablement sur son travail, comment gérer son temps et apprendre à dire non quand c’est nécessaire.

Design Patterns en Java de Laurent Debrauwer

Ce livre présente 23 modèles de conception en langage UML et Java en explicitant chaque fois le problème associé et la solution apportée. L’ouvrage s’organise autour de trois grands axes de conception : les patterns de construction, les patterns de structuration et les patterns de comportement. L’auteur s’adresse essentiellement à des développeurs et concepteurs spécialisés en programmation orientée objet.

La programmation orientée objet de Hugues Bersini

La dernière édition de ce manuel indispensable est parue en 2017 et on y trouve tous les mécanismes de la programmation orientée objet, accompagnés d’illustrations pratiques. Didactique, chaque partie se termine par de nombreux exercices dans les langages les plus populaires : Java, Android, Python, UML 2, PHP ou encore C++.

UX Design et économie des interfaces de Jean-François Nogier et Jules Leclerc

L’UX Design est l’étape clé pour rendre un produit numérique agréable d’utilisation. Cet ouvrage s’adresse aux concepteurs d’applications, et grâce à de nombreux exemples, les auteurs tentent d’apporter des solutions à n’importe quel projet. De nombreux sujets sont passés au crible comme le ciblage des utilisateurs, les choix graphiques, le système de navigation, ou encore la conception dite mobile first.

Kotlin – Les fondamentaux du développement d’application AndroidAndroïd de Anthony Cosson

Destiné aux développeurs de tout niveau, ce livre donne les bases du langage Kotlin permettant de développer des applications mobiles au format AndroidAndroïd. Des pré-requis en programmation objet orientée sont nécessaires mais les fondamentaux sont repris en début d’ouvrage. Les concepts sont expliqués simplement et il est possible de télécharger le code associé à chacune des démonstrations de l’auteur pour que le lecteur puisse s’entraîner.

JavaScript : The Good Parts de Douglas Crockford

JavaScript, devenu langage du web par défaut, est parfois sous-estimé comme langage de programmation. Expert en la matière, Douglas Crockford redonne à JavaScript tous ses titres de noblesse, en détaillant le spectre des possibles avec cet outil. Vous aurez peut-être à désapprendre quelques unes de vos mauvaises habitudes, mais si vous souhaitez développer des sites ou applications web, ce livre est un indispensable.

Responsive Web Design de Ethan Marcotte

Dans ce livre, on comprend l’importance de mettre au point des interfaces qui soient agiles et adaptables. Parce qu’aujourd’hui les sites et applications doivent s’adapter à tous les types de supports et que les développeurs doivent intégrer dans leur travail une certaine flexibilité de l’expérience utilisateur. Le responsive web design, c’est finalement concevoir une programmation intelligente pour satisfaire le plus grand nombre d’utilisateurs.

Pour aller plus loin et rester à jour :

-La plateforme Egghead rassemble des développeurs web professionnels et des contributeurs qui mettent en ligne des tutoriels et des cours en accès libre sur les derniers outils en date.

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Comment ma reconversion a attiré les recruteurs : l’histoire de Stéphanie

Stéphanie Houssin est développeuse web chez de Particulier à Particulier depuis septembre. Son parcours est atypique depuis la fin de son parcours universitaire et sa première expérience professionnelle.

À partir du moment où elle a décidé de se former au sein de l’école en ligne OpenClassrooms à nouveau pour exercer un métier qui lui correspond vraiment, les étoiles se sont parfaitement alignées pour elle, jusqu’à son embauche avant même la fin de sa formation OpenClassrooms.

De la psychologie et des inventaires

Au départ, Stéphanie n’a pas forcément le profil web : “J’ai fait un bac littéraire puis j’ai fait des études de psycho et j’ai obtenu une maîtrise en psychologie cognitive. Finalement, je n’ai pas poursuivi dans ce domaine car je voulais commencer à travailler et donc j’ai été embauchée dans une boîte d’inventaires.”

Elle reste en poste plusieurs années puis l’entreprise est rachetée par un géant américain. Stéphanie a un déclic :

Même si j’ai fait parti des employés qu’ils ont gardés, cela a été un déclencheur pour moi. Je commençais à être lassée de ce que je faisais. J’étais sur les routes tous les jours. J’ai donc obtenu une rupture conventionnelle.

Stéphanie entame son processus de reconversion à l’étranger : “C’est arrivé complètement par hasard. J’ai pu partir à l’étranger et j’ai passé deux ans en Israël. Tout s’est joué à ce moment-là ».

J’étais à l’aube de mes 40 ans et je me suis dit qu’il était temps que je fasse quelque chose qui me plaisait.

« J’hésitais beaucoup entre le développement web et la cuisine. Là-bas, j’ai eu la chance d’avoir des expérience en cuisine, notamment dans une ambassade. C’était très intéressant mais j’en ai assez rapidement vu les limites.

Une formation financée par Pôle Emploi

L’idée du développement web et du code commence à faire son chemin dans l’esprit de Stéphanie : “C’est étrange, j’étais attirée par le développement mais mes connaissances en la matière étaient nulles. Je savais à peine ce que c’était le code. Dans ma tête, j’avais simplement envie de créer des sites Internet et très vite, je me suis rendue compte que c’était bien plus complexe que cela. Par ailleurs, j’ai toujours aimé les chiffres et j’ai imaginé qu’il y avait une logique commune avec le code. »

À son retour d’Israël, Stéphanie entame les démarches : J’ai retrouvé des droits Pôle emploi que j’avais réussi à geler avant de partir. Je suis donc allée demander le financement d’une formation en développement ».

On m’a d’abord dit que ma candidature pour OpenClassrooms avait peu de chance d’aboutir, mais je n’en ai pas démordu et j’ai obtenu une réponse positive le lendemain.

« J’ai donc suivi une formation en développement avec un diplôme à la clé. C’était vraiment très formateur et je suis contente d’avoir complété les connaissances en code avec une casquette de gestion de projet.”

Un recrutement simple et efficace

Incroyable parcours puisque Stéphanie n’a même pas le temps de terminer son parcours OpenClassrooms que son profil intéresse déjà les recruteurs : “Je suis même pas encore allée complètement au bout de la formation puisque j’ai trouvé du boulot quelques mois avant le dernier projet ».

Je n’ai même pas vraiment eu le temps de chercher. Un jour, je me suis simplement dit que j’allais actualiser mon compte LinkedIn, y ajouter mon CV et voir comment mon profil serait reçu. Je n’attendais rien. Pourtant, un recruteur m’a appelée pour me rencontrer car il avait deux postes à me proposer. Je suis allée aux entretiens extrêmement détendue puisque je pensais que ce serait un test et que je ne serais jamais prise. Le jour-même, j’ai eu une réponse positive.

Se reconvertir est un défi parfois long et fastidieux, mais Stéphanie est convaincue que c’est aussi ce qui intéresse les employeurs : “Les recruteurs ont beaucoup aimé le fait que j’étais en reconversion, c’est ce qu’ils recherchent pour ce type de poste ».

Le fait de se reconvertir après 40 ans, je pense que c’est montrer que l’on sait exactement ce qu’on veut, qu’on a bossé, galéré et qu’on a une grande volonté.

« Mon parcours universitaire a aussi intéressé. C’est vrai que dans mes études en psychologie, j’avais été confrontée à de la résolution de problèmes. Quand on y réfléchit, il y a énormément de similitudes avec le développement. J’ai retrouvé pas mal de mécanismes.”

Un parcours OpenClassrooms réussi qui prouve que tout est accessible, quels que soient l’âge ou les expériences passées.

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Claire ou le goût des casse-têtes informatiques

Claire Serra a 27 ans, un profil très scientifique et un diplôme d’ingénieur spécialisé dans l’aménagement du territoire en poche quand elle bifurque vers le développement informatique.

Diplômée de l’école en ligne OpenClassrooms et passée par tous les échelons, elle est aujourd’hui en CDI comme développeuse web dans une agence à Lausanne.

Initialement, quel a été ton parcours universitaire ?

Mon parcours est assez hétéroclite. Après mon bac S, j’ai intégré une prépa MPSI/MP (maths & physiques). Suite à l’obtention du concours, je suis entrée dans l’école d’ingénieur de l’université de Tours, avec comme spécialité l’aménagement du territoire. J’ai été diplômée en 2014. Ma recherche d’emploi a été difficile, le secteur n’étant pas porteur.

À ce moment-là, j’envisage de me rediriger vers un métier qui me parle davantage, qui corresponde à mes aspirations et à mes envies.

Je fais un bref passage dans le professorat. Le métier de professeur des écoles m’avait toujours attirée, mais j’ai vite réalisé que cela ne me correspondait pas tout à fait non plus.

J’ai un profil cartésien, j’aime ce qui est logique et technique, alors je décide finalement de me lancer dans l’informatique et le développement web.

Quel a été le déclencheur pour te former à nouveau ?

Je suis de nature curieuse et entreprenante. J’aime découvrir de nouvelles choses : alors l’idée même d’apprendre et de m’engager dans une voie professionnalisante était stimulante pour moi. Je n’étais pas en poste à ce moment-là donc je ne pouvais que chercher un nouvel horizon.

Comment as-tu découvert OpenClassrooms ?

Après avoir longtemps hésité, je voulais trouver une école informatique qui me permettrait d’obtenir une certification rapidement, et si possible qu’elle soit peu coûteuse.

J’avais trouvé une école à Lyon qui m’a fait passer des tests et réaliser des exercices depuis le site d’OpenClassrooms. En navigant sur la plateforme, j’ai donc découvert les parcours proposés et la formation Développeur web, nouvelle à ce moment-là.

Cela durait 6 mois, se faisait en télétravail… C’était parfait pour moi.

Avais-tu une appétence pour le développement informatique ?

Plus jeune, j’avais déjà créé un site web personnel. Je ne l’avais pas codé mais j’avais appris à insérer du contenu et à le mettre en ligne.

J’avais bien aimé l’idée de concevoir quelque chose de visible par le monde entier, et aujourd’hui encore, c’est ce qui m’enthousiasme.

Plus tard, j’ai suivi quelques cours d’informatique pendant lesquels j’ai pu me familiariser avec le code et les bases de données. Ces cours me plaisaient.

Réfléchir sur la logique d’exécution du programme, analyser le problème et le résoudre, c’est comme un casse-tête pour moi. Et j’adore ça.

Quelles sont les compétences que tu as acquises durant la formation ?

J’ai appris le HTML, CSS, Javascript, jQuery, PHP. Au cours de mon dernier projet, j’ai également choisi d’apprendre le framework Symfony (3) qui n’était pas inclus dans la formation. J’ai bien fait car je crois que c’est un gros avantage pour se présenter sur le marché du travail.

Quels ont été tes projets de mise en pratique ?

J’ai réalisé les projets du parcours. Le dernier projet était particulièrement intéressant car je devais réaliser un site web de A à Z. C’est-à-dire que j’ai dû décider quel genre de site ou d’application j’allais mettre en place, quel serait son but, sa cible. Il fallait qu’il puisse allier toutes les compétences que j’avais acquises.

J’ai choisi de réaliser un jeu, une application ludique pour des enfants à l’école primaire. J’ai fait un travail de conception, sur le scénario du jeu, j’ai dû anticiper l’expérience utilisateur. Après avoir réalisé le cahier des charges, j’ai commencé à développer l’application.

Ce projet était parfait pour cimenter tout ce que j’avais appris depuis le début. Je suis fière du résultat, et j’ai ensuite pu utiliser ce projet pour convaincre en entretien.

Suite à la formation OpenClassrooms, comment s’est déroulée ta recherche d’emploi ?

J’ai reçu beaucoup d’appels de recruteurs et je suis allée à plusieurs entretiens, qui ont été infructueux au départ. Je souffrais de mon manque d’expérience dans le domaine alors j’ai choisi de faire mes premiers pas dans une association en tant que bénévole. Un mois après l’avoir intégrée, j’ai également rejoint une startup à mi-temps, comme bénévole aussi.

En parallèle, je continuais mes recherches d’emploi. Je n’étais pas à l’aise en entretien d’embauche, je n’arrivais pas à me valoriser et donc à concrétiser pour obtenir le poste.

Petit à petit, je me suis fait aider pour cibler mes faiblesses, et j’ai compris comment inverser la tendance.

Ce travail sur moi m’a permis de trouver un stage dans une entreprise à Genève puis d’être embauchée en tant que freelance pendant 3 mois. Cette expérience a été intéressante et valorisante, et m’a aidée à vendre mes compétences plus facilement ensuite. Un mois après, j’ai enfin décroché mon CDI à Lausanne.

Au cours de ce processus de recherche, j’ai pu m’apercevoir que certains recruteurs avaient eux-mêmes suivi une formation OpenClassrooms et la grande majorité connaissait la plateforme. Donc, ils n’étaient pas frileux sur le sujet.

Quel est ton poste aujourd’hui et quelles sont tes missions au quotidien ?

Je suis développeuse web et je travaille avec le langage PHP et le framework associé Symfony au sein d’une petite entreprise (< 10 employés).

Je travaille donc essentiellement sur des sites web : je corrige des bugs, je développe de nouvelles fonctionnalités. Je touche aussi au design, je participe à la réalisation de nouveaux sites ou de nouvelles applications.

Il y a des projets anciens qui sont basés sur du Symfony 1, et des plus récents basés sur Symfony 2 et 3, voire 4.

Je n’utilise pas WordPress, mais j’ai appris le CMS « Craft CMS » que je trouve très intuitif. Je suis même devenue la référente dans le domaine au sein de l’entreprise.

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De cavalière et caissière à développeuse web, l’histoire d’Anaïs

Par : Nora Leon

Anaïs est une force de la nature. Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elle a une volonté de fer !

Elle a suivi la formation développeur web. Ce programme l’ai aidée à transformer sa vie professionnelle. Anaïs était cavalière puis caissière ; elle est devenue développeuse web à plein temps. Aujourd’hui, elle apprend son nouveau métier en alternance à Aix-en-Provence.

Avant de prendre son courage à deux mains pour s’inscrire dans l’un de nos parcours diplômants, Anaïs avait déjà suivi 50 cours sur OpenClassrooms. 50 ! Et ce, alors qu’elle était enceinte de sa fille. Et d’autres encore même à l’hôpital.

À présent qu’elle est inscrite à la formation développeur web, elle est sur la voie d’une nouvelle carrière et d’un brillant avenir. Car Anaïs ne compte pas s’arrêter là : elle souhaite avec l’expérience devenir Tech lead. Voici son histoire.

Raconte-nous comment tu as commencé avec OpenClassrooms.

A : Je m’appelle Anaïs. J’ai 27 ans et je suis développeuse web après avoir étudié avec OpenClassrooms. Au début de ma vie professionnelle, j’ai travaillé dans le milieu équestre. Mais c’était plus une passion qu’une vocation. Plus tard, j’ai pris des emplois saisonniers en tant que barmaid et d’hôtesse dans la restauration… Puis, comme je voulais me poser après la rencontre avec mon conjoint, je suis devenue caissière.

J’avais envie de plus. Et comme mon conjoint avait changé de carrière et était devenu développeur web après avoir suivi un parcours diplômant d’OpenClassrooms, je me suis dit : « Pourquoi ne pas essayer ? Pourquoi pas moi ? »

Comment vis-tu ton parcours avec OpenClassrooms ?

A : J’ai commencé le premier cours de mon programme 15 jours avant de découvrir que j’étais enceinte. J’ai continué le programme pendant ma grossesse. Je l’ai même continué à l’hôpital où j’ai dû passer un mois avec ma fille après sa naissance.

J’ai jonglé entre les biberons, les couches et mes cours sur OpenClassrooms.

Comment gères-tu le travail et les études ?

A : J’ai pu trouver un travail qui financerait mon parcours diplômant OpenClassrooms [pendant ma première année]. J’ai 5 projets à créer en 12 mois. J’organise mon temps de formation comme je le souhaite. En accord avec mon employeur, j’ai choisi de consacrer mes vendredis à mes études (je travaille du lundi au jeudi).

En fonction de la difficulté de chaque projet, je dois parfois également étudier certains soirs de semaine et le week-end.

Que préfères-tu chez OpenClassrooms ?

La liberté. Je ne suis pas à l’école. Je ne suis pas derrière un bureau ou sous le contrôle d’un professeur. Je progresse à mon rythme. Je sais ce pour quoi je travaille. J’ai un but final.

Lorsque l’on opère un changement de carrière, on est fier de parler de son progrès, de pouvoir dire quelque chose comme : « J’ai été peintre dans le bâtiment, cavalière, caissière et aujourd’hui je suis votre égale. »

Des conseils pour ceux qui voudraient se lancer ?

A : À un moment, j’avais l’habitude d’étudier la programmation et de m’entraîner à coder pendant 10 à 15 jours puis de faire une pause de 10 à 15 jours. C’était une grossière erreur que j’ai faite au début de mon parcours.

Lorsque l’on commence à apprendre le code, on n’est pas encore assez autonome pour faire une pause longue sans pratiquer.

D’autres mots d’encouragement ?

A : Aujourd’hui, j’ai suivi plus de 50 cours avec OpenClassrooms – je les ai entièrement terminés – en plus de ceux compris dans mon parcours diplômant. Je les ai dévorés ! Je voudrais en suivre encore plus, apprendre plus et je ne suis pas près d’avoir terminé.

On dit souvent qu’il faut avoir le bac ou bien une licence, qu’il faut avoir le cerveau spécialement programmé pour apprendre mais en fait, c’est faux. Cela vient petit à petit.

Si vous souhaitez en savoir plus sur le parcours Développeur web ou sur nos autres parcours diplômants de niveau licence ou master, faites un tour sur le site de l’école en ligne OpenClassrooms.

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Salesforce et OpenClassrooms annoncent un programme de formation mondial

Un marché du travail en évolution et axé sur la technologie nécessite des modèles de formation et de recrutement également en évolution et axés sur la technologie.

Et pourtant, alors que le nombre d’emplois dans les domaines liés à la technologie a explosé, il existe un manque inquiétant de travailleurs qualifiés disponibles pour les pourvoir.

Un étude récente s’est intéressée à 600 entreprises mondiales avec plus d’un milliard de revenus chaque année et a montré que 93 % d’entre elles estiment que le manque de compétences en informatique les freine dans leur croissance et leur transformation.

Les anciens modèles de formation, de recrutement et d’embauche des travailleurs qualifiés doivent être profondément transformés. Un plus grand nombre de diplômés en informatique ne suffira pas à combler ce fossé de compétences. Il faut penser différemment.

Les entreprises doivent participer à la création d’un vivier de talents ouvert à des candidats de tous horizons. De nouveaux modèles de coopération entre les entreprises et les plateformes d’éducation en ligne peuvent émerger afin d’améliorer l’éducation et l’accès à l’emploi dans le domaine de la technologie.

Aujourd’hui, je suis heureux d’annoncer qu’OpenClassrooms noue un tel partenariat avec Salesforce.

Nous allions nos forces pour vous présenter un nouveau modèle d’éducation, dans lequel les employeurs et les professeurs travaillent ensemble en continu pour façonner les expériences des étudiants et leur fournir un chemin vers l’emploi.

Dans ce nouveau programme Salesforce developer, nous visons à recruter et former 1000 personnes pour ce type d’emploi d’ici 2021. Pendant 9 mois, elles suivront des cours qui les prépareront à occuper des postes hautement qualifiés dans le domaine de l’informatique cloud.

L’ensemble de la formation est façonné à partir des problèmes sur lesquels travaillent les équipes d’ingénieurs de Salesforce afin de confronter les étudiants à une série de scénarios tirés de la réalité leur permettant de mettre en pratique leurs nouvelles compétences. Les étudiants passionnés seront recrutés dans le monde entier à travers les réseaux et les plateformes d’OpenClassrooms.

À la fin du parcours, les étudiants obtiendront un diplôme reconnu par l’État et certifié par Salesforce.

OpenClassrooms mettra à leur disposition des sessions de coaching professionnel pour les aider à trouver des postes recherchés dans le domaine de la technologie, dans le réseau des clients et partenaires de Salesforce, dont font partie Capgemini et Accenture. Si au bout de six mois ils n’ont pas trouvé d’emploi, nous leur rembourserons leur parcours.

Des partenariats tels que celui-ci – qui sont réellement mondiaux et sortent des modes de recrutement classiques – pourraient bien être la solution pour que les talents d’aujourd’hui s’adaptent rapidement aux changements que la technologie apporte à l’économie. J’ai bon espoir qu’OpenClassrooms devienne un leader de ces solutions.

Pierre Dubuc, Président d’OpenClassrooms

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Betty, de l’entrepreneuriat au développement iOS

Betty Ourry a 43 ans, 4 enfants et une expérience de 18 années à la tête d’une entreprise industrielle. Sa vie professionnelle l’a amenée à se former en continu. À la découverte des formations OpenClassrooms, elle se positionne d’abord en tant que mentor. Puis, elle passe de l’autre côté de la barrière, devient à son tour étudiante dans la formation développeur iOS, avec la ferme intention de s’insérer sur le marché du digital.

Une dirigeante d’entreprise dans un univers masculin

Dès la fin de ses études, Betty prend la tête d’une société de projets industriels, qui élabore des bancs de test pour l’industrie automobile et l’aéronautique. Elle explique que c’est un métier technique, dans un univers essentiellement masculin. Elle gère la relation client, la stratégie et le positionnement technique de l’entreprise et manage les 10 employés.

Tout au long de sa carrière, elle fait de la veille et continue de se former : “ J’ai déjà un bac +5, puis toute la dimension technique, je l’ai apprise au cours de ma carrière. L’avantage d’OpenClassrooms, c’est qu’on peut justement obtenir des certifications pour ces compétences techniques. Lorsqu’on a des employés, ils se chargent généralement de la partie technique, mais j’ai souvent supervisé l’installation ou la maintenance des projets clients, et je me tiens au fait des nouveaux outils. J’ai également validé un master en qualité en 2011″.

J’ai toujours considéré que c’était indispensable de continuer à apprendre et de valoriser ces acquis par un diplôme.

Une coach et une mentor bienveillante

Betty se familiarise avec le Site du Zéro (l’ancêtre d’OpenClassrooms) au début de sa carrière. Puis, elle s’intéresse aux nombreux MOOC qui fleurissent sur Internet, jusqu’à s’investir sérieusement dans les cours proposés par OpenClassrooms. “J’ai vraiment été touchée par l’approche d’OpenClassrooms et j’ai commencé à me former au développement de logiciels. J’avais constaté que les langages de programmation était en train d’évoluer et que je n’avais pas cette corde à mon arc ».

En me baladant sur le site, j’ai vu que vous recherchiez des mentors en entrepreneuriat. Cela m’a tapé dans l’œil car je suis assez impliquée dans l’écosystème. J’ai été élue à la Chambre de commerce régionale, et également Présidente d’une association qui s’appelle Femmes chefs d’entreprise en Aquitaine. Depuis un moment, j’avais envie d’aider les autres à monter des projets ou même des start-up”

Betty postule donc pour devenir mentor chez OpenClassrooms et approuve le processus de sélection, qu’elle trouve à la fois sérieux et professionnel. Elle apprécie de voir les bienfaits de l’accompagnement des étudiants dans la réussite de leurs projets. “Il y a énormément de problématiques lorsque l’on monte un projet, notamment des problématiques RH : comment trouver le bon gestionnaire de paie par exemple ? J’ai pu mettre mon expertise et mon réseau au service des étudiants.”

Une étudiante en reconversion

Conquise par l’envers du décor qu’elle découvre en tant que mentor, Betty s’engage dans une formation en développement iOS, convaincue qu’elle sera prise en charge avec bienveillance au sein d’une structure organisée, certifiante et professionnalisante. Elle raconte : “Je savais que j’aurais une structure avec des outils comme Workplace, un accès à une communauté d’étudiants et de mentors avec qui on se parle ».  

Le web est aujourd’hui un domaine extrêmement dynamique, dans lequel les femmes devraient oser se lancer et ne plus ressentir le syndrôme de l’imposteur. J’ai été agréablement surprise de voir qu’il y avait justement beaucoup de femmes chez OpenClassrooms, je trouve cela génial.

« Ce sont des parcours qui ne sont pas évidents, il faut savoir s’organiser et être autonome. Mais tout est fait pour vérifier que vous avez bien acquis les compétences au fur et  à mesure. Chaque projet de la formation est validé par une soutenance, ce qui est pertinent, car cela permet de s’assurer que la notion est intégrée et que vous êtes opérationnel professionnellement.”

Betty est sur le point de terminer sa formation et déterminée à trouver un emploi dans une société spécialisée dans le numérique. Elle voit comme une chance la possibilité de se spécialiser dans un langage informatique en particulier, autour duquel elle pourra ensuite continuer… À se former.

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Quelles sont les carrières techniques accessibles grâce à Salesforce ?

Les compétences et les certifications Salesforce developer sont créatrices d’opportunités professionnelles. Du côté technique, des postes de développeur Salesforce ou d’architecte technique sont accessibles avec la bonne formation et de l’expérience.

Les compétences Salesforce donnent accès à des salaires compétitifs : aux États-Unis, le salaire annuel d’un développeur Salesforce est en moyenne 125 000 $ et celui d’un architecte technique 150 000 $.

OpenClassrooms et Salesforce ont allié leurs forces pour créer le parcours développeur Salesforce, destiné à préparer les étudiants à l’examen donnant accès à la certification Salesforce Platform Developer I via l’éducation en ligne. Vous pouvez découvrir l’annonce de ce partenariat ici. Ce parcours est chaudement recommandé aux développeurs qui souhaitent travailler avec le logiciel Salesforce et être compétitifs.

Continuez votre lecture pour en savoir plus sur les développeurs Salesforce et découvrir comment devenir l’un d’entre eux grâce à OpenClassrooms.

Existe-t-il une demande en matière de compétences Salesforce ?

Oui ! 3,3 millions d’emplois seront créés par Salesforce et son écosystème plus large d’ici 2022. Les recherches de Burning Glass Technologies (une entreprise qui analyse le marché du travail) sur la demande d’emplois Salesforce en 2017 ont montré que le nombre d’offres de postes demandant des compétences Salesforces augmentait plus vite que la moyenne des offres d’emplois et que ces emplois étaient mieux rémunérés que ceux qui ne demandaient pas de compétences Salesforce.

Qu’est-ce qu’un développeur Salesforce ?

Un développeur Salesforce est un développeur logiciels hautement spécialisé, c’est pourquoi il a un salaire supérieur à celui d’un développeur classique. Vous pouvez en savoir plus sur la plateforme cloud CRM de Salesforce ici.

Les développeurs Salesforce font principalement de la programmation. Toutefois, une grande partie du travail de tous les professionnels Salesforce est également d’utiliser le logiciel Salesforce pour proposer des solutions pour entreprises. Cela signifie que, grâce à leur formation Salesforce, ils doivent être en mesure d’écrire le code qui fait fonctionner la plateforme, mais également d’utiliser celle-ci.

Les développeurs Salesforce construisent des fonctionnalités en créant des déclencheurs Salesforce et créent des pages Visualforce basées sur les besoins des clients.

Le modèle commercial de Salesforce fonctionne en embauchant des personnes via Salesforce pour travailler pour les entreprises qui utilisent la plateforme. Vous pouvez également travailler directement pour les entreprises qui utilisent Salesforce ou en tant que développeur Salesforce freelance.

Les compétences techniques et spécifiques le plus souvent demandées par les employeurs pour ce rôle sont : Salesforce, Apex, Visualforce, Lightning, Java/C/OOP, JavaScript, JQuery, AngularJS, Bootstrap, SQL/SOQL, et les services web.

Les compétences relationnelles les plus souvent demandées par les employeurs pour ce rôle sont : des compétences de communication, d’écriture, de résolution des problèmes, de gestion de projet, de service client, une bonne organisation, des capacités de travail en équipe et de la créativité.

Comment les développeurs utilisent-ils et mettent-ils à profit la plateforme Salesforce ?

Salesforce l’explique très bien sur son site internet :

« La plateforme Salesforce permet aux développeurs de construire et de déployer rapidement des applications cloud fiables, solides, sécurisées et évolutives sans avoir à s’inquiéter de la configuration du matériel ou des applications prérequises. Pour commencer rapidement, la plateforme donne accès à des outils et des services prêts à l’emploi pour automatiser vos processus d’affaires, les intégrer avec des applications externes, fournir des mises en page évolutives et plus encore. »

Quels sont les différents niveaux de qualification Salesforce ?

Les badges Trailhead représentent ce que vous avez appris.

Les Superbadges démontrent que vous êtes en mesure de mettre en pratique ce que vous avez appris pour résoudre des problèmes complexes et réels du monde du travail. Par exemple, pour les développeurs, il existe les Superbadges Apex Specialist, Data Integration Specialist et Lightning Experience Specialist.

Les certifications Salesforce sont la plus haute qualification disponible et démontrent votre expertise générale dans un rôle spécifique. C’est la manière la plus efficace pour vous démarquer lorsque vous postulez pour des rôles spécifiques ou des projets, et elles sont très demandées par les employeurs. En effet, une fois que vous possédez une certification (et qu’elle est à jour), vous apparaissez sur une base de données consultable par les employeurs potentiels.

Les certifications Salesforce s’obtiennent en passant un examen.

L’une des certifications est la certification Salesforce Certified Platform Developer I. C’est en se basant sur cette certification qu’OpenClassrooms a collaboré avec Salesforce pour créer et proposer le parcours développeur Salesforce.

Voyons plus en détail les prérequis de la certification Salesforce et le parcours d’OpenClassrooms :

Qu’est-ce que la certification Salesforce Platform Developer I ?

Pour obtenir le statut de Salesforce Certified Platform Developer I, vous devez réussir l’examen et pour cela, il vous faut un certain niveau d’études et d’expérience. Vous devrez avoir de l’expérience dans le développement et le déploiement de la logique métier de base et des interfaces utilisateur, en utilisant les fonctionnalités de programmation de la plateforme Lightning.

Pour réussir l’examen de Salesforce Certified Platform Developer I, Salesforce recommande généralement de posséder 1 à 2 ans d’expérience en tant que développeur et au moins six mois d’expérience de travail avec la plateforme Lightning.

L’examen Salesforce Certified Platform Developer I est composé de 60 questions à choix multiples auxquelles vous devez répondre en 110 minutes. Le score minimum pour réussir l’examen est de 65 % de bonnes réponses. Au moment où nous écrivons cet article, l’inscription à l’examen coûte 200 dollars et le tarif pour le repasser est de 100 dollars (ces deux chiffres peuvent varier en fonction des taxes de chaque pays).

Pourquoi suivre le parcours d’Openclassrooms pour acquérir les compétences spécifiques à Salesforce ?

Le parcours développeur Salesforce d’OpenClassrooms vous prépare à l’examen de Salesforce Certified Developer I et est la meilleure voie à suivre pour devenir développeur Salesforce.

 D’après Salesforce, vous devez posséder 1 à 2 ans d’expérience mais le parcours d’OpenClassrooms a été spécialement conçu en partenariat avec Salesforce pour vous guider au niveau requis sans expérience préalable dans le développement. 

En suivant le parcours développeur Salesforce d’OpenClassrooms, vous acquerrez toutes les compétences nécessaires pour être développeur classique, mais aussi l’ensemble des compétences spécifiques à Salesforce afin de réussir l’examen (si vous souhaitez obtenir leur accréditation). Salesforce requiert l’expérience, les compétences et les connaissances suivantes pour obtenir la certification – vous pouvez être sûr qu’à la fin de votre parcours développeur Salesforce d’OpenClassrooms :

  • Vous saurez utiliser les fonctionnalités de programmation clés de la plateforme Lightining pour développer des interfaces personnalisées afin d’étendre les fonctions de Salesforce et développer de la logique métier sur-mesure.
  • Vous saurez étendre la plateforme Lightning en utilisant Apex et Visualforce et vous comprendrez les composants Lightning.
  • Vous connaîtrez et saurez tirer profit des fonctions déclaratives pertinentes de la plateforme lorsque c’est approprié.
  • Vous saurez quand adopter une approche déclarative ou une approche programmatique.
  • Vous connaîtrez le cycle de développement, de la programmation aux phases de test, et les environnements disponibles.
  • Vous maîtriserez les fonctions de l’application mobile Salesforce et les bases du framework Lightning.
  • Vous saurez quand utiliser le générateur de processus Lightning ou les déclencheurs Apex.
  • Vous aurez de l’expérience dans le domaine des langages orientés objet comme Java, JavaScript, C#, Ruby et .NET.
  • Vous aurez de l’expérience dans le domaine des applications pilotées par les données et des bases de données relationnelles.
  • Vous aurez de l’expérience dans le domaine de l’architecture Modèle-vue-contrôleur (MVC) et de l’architecture orientée composants.

Comme vous pouvez le voir, OpenClassrooms vous permettra d’acquérir un ensemble impressionnant de compétences en suivant le parcours développeur Salesforce.

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Qu’est-ce que Salesforce ? Pourquoi devenir développeur Salesforce ?

Par : Nora Leon

Dans cet article, nous vous présentons les services proposés par Salesforce et nous vous expliquons pourquoi faire une formation Salesforce developer est un choix de carrière stratégique. Salesforce est une entreprise mondiale à la pointe de la technologie des logiciels cloud CRM, qui fournit des solutions pour des entreprises de premier plan dans le monde entier.

Qu’est-ce que cela signifie ? Toute entreprise a besoin d’interagir avec ses clients. Et pour prospérer, elle doit le faire efficacement. Ces interactions couvrent notamment le marketing, la vente, le commerce, le support client. Pour que tout soit simple, les entreprises ont besoin d’un logiciel intelligent conçu et utilisé par des professionnels qualifiés.

C’est précisément ce service que Salesforce fournit. Salesforce « booste » chaque interaction entreprise-client pour ses clients, qui comptent plus de 150 000 entreprises de secteurs variés dans le monde. Parmi elles, Amazon Web Services, Virgin Media, Coca-Cola, Kuoni, Eurostar, Ocado et Aston Martin.

Le portefeuille de clients de Salesforce grandit chaque jour, ainsi que sa demande en matière de développeurs Salesforce qualifiés pour maintenir et personnaliser le logiciel pour chacun des clients.

Pour répondre à cette demande, OpenClassrooms et Salesforce ont collaboré afin de créer un parcours développeur Salesforce sur-mesure qui permettra d’acquérir les compétences nécessaires à une carrière en tant que développeur Salesforce – et qui vous préparera pour l’examen Salesforce Certified Platform Developer I.

Être développeur Salesforce certifié vous garantit d’être très demandé et vous assure une carrière stimulante dans le domaine de la technologie cloud CRM.

Alors, quels sont les détails de cette opportunité ?

La gestion de la Relation Client

Salesforce est une plateforme de gestion de la relation client (CRM). Chaque entreprise a besoin d’un CRM.

La gestion de la relation client est un mélange des stratégies utilisées par une entreprise pour gérer les interactions avec ses clients, afin de rester en contact avec eux et cultiver leur relation et leur loyauté de manière intelligente et professionnelle. Elle est également utilisée pour attirer de nouveaux clients potentiels vers l’entreprise.

Une plateforme CRM est utilisée pour faire correspondre le marketing aux objectifs de chiffre d’affaires et simplifier les processus. C’est un moyen de rassembler, d’analyser et d’utiliser des données commerciales à jour – y compris les données des ventes, du marketing, du service client et des réseaux sociaux – et de tout visualiser au même endroit.

C’est un outil commercial efficace, qui assure aux entreprises de ne jamais rater une information, une tendance ou une communication importante. Toute entreprise moderne qui n’utilise pas de plateforme CRM est largement désavantagée.

Cependant, il faut des compétences et une certification pour développer ces plateformes CRM. La formation développeur Salesforce d’OpenClassrooms vous permet d’acquérir ces compétences et de vous préparer à l’examen nécessaire pour obtenir la certification.

Un outil construit sur le cloud

Salesforce est basé sur le cloud, ce qui signifie que le logiciel est hébergé sur le cloud et qu’on y accède par internet.

Une plateforme cloud CRM permet un développement plus rapide, un accès fluide, une utilisation facile et des mises à jour automatiques. C’est un outil rentable et évolutif, fiable, avec des hauts niveaux de sécurité, de flexibilité et une compatibilité accrue.

L’International Data Corporation (IDC) a rapporté que les dépenses des entreprises en matière de services et d’infrastructures cloud continueront d’augmenter en 2019 et prédit une croissance de 23 % par rapport à 2018. Sur la période 2017-2022, elle prévoit une augmentation du marché chaque année, pour atteindre une dépense pour les services cloud publics de 370 milliards de dollars en 2022.

Cela signifie que la demande en matière d’emplois pour maintenir et développer ces services est également en augmentation.

Le modèle commercial de Salesforce est construit de telle manière que des personnes peuvent être embauchées via Salesforce pour travailler pour les entreprises qui utilisent sa plateforme. Vous pouvez également travailler pour les entreprises qui utilisent Salesforce directement, ou bien en tant que développeur Salesforce freelance. Afin d’être compétitif et de réussir sur la plateforme Salesforce, vous aurez besoin des certifications appropriées. Le parcours développeur Salesforce d’OpenClassrooms vous donnera accès à cette opportunité.

En savoir plus sur Salesforce

Le CRM et l’informatique cloud font partie de la révolution technologique qui a un eu un impact considérable sur les entreprises. Salesforce conserve sa réputation impressionnante de leader du marché des plateformes CRM.

L’entreprise apporte 5 éléments essentiels aux entreprises :

  1. L’innovation – Salesforce se place loin devant les autres fournisseurs de CRM ce qui donne à ses utilisateurs un avantage notable par rapport à leurs concurrents pour évoluer et conserver leur avance. Avec Salesforce, la technologie de l’information devient la technologie de l’innovation.
  2. Une plateforme – Tout est rassemblé au même endroit et la plateforme intègre de nombreuses applications différentes grâce à AppExchange. Cela permet une expérience utilisateur simple, intuitive et pratique et rend possible l’innovation.
  3. De la productivité – Salesforce propose sa plateforme Lightning, entièrement personnalisable, qui a fait ses preuves en tant que moteur d’efficacité et de croissance.
  4. De la mobilité – La plateforme fonctionne sur mobile et possède une application sophistiquée, ce qui signifie que les employés de l’entreprise peuvent l’utiliser partout, à tout moment, créant des possibilités illimitées en matière d’efficacité.
  5. Une communauté – Salesforce compte plus de 2,3 millions de membres qui forment une communauté solide appelée « Trailblazer », composée d’individus, de partenaires et de développeurs qui utilisent tous la plateforme et partagent leur expertise et leurs expériences. Cet accès à la communauté est un avantage immense pour votre carrière.

 

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Julien, à la conquête d’un métier qui lui correspond

Après avoir mis de côté ses prédispositions pour le graphisme au profit d’un emploi stable et sécuritaire dans l’industrie pharmaceutique, Julien Butty a repris sa carrière en main. Il se dans la formation Développeur PHP/Spmfony pendant près de deux ans chez OpenClassrooms et trouve un emploi dans une agence qui lui plaît avant même la fin de sa formation. Récit d’un parcours atypique mais tout en contrôle.

Stabilité versus passion

À la fin du lycée, Julien pense mettre à profit ses compétences créatives pour travailler dans le graphisme, mais tout ne se passe pas comme prévu : “Au départ, j’ai suivi un parcours assez classique, j’ai eu un bac ES puis je suis parti en BTS communication visuelle. J’avais une prédisposition pour le dessin mais suite à de mauvais choix, j’ai malheureusement raté ces études. Après un job d’été, j’ai eu l’opportunité d’obtenir un poste dans le domaine pharmaceutique : j’élaborais des solutions antibiotiques en suivant des étapes de préparation ».

Même si ce n’était pas ce que je souhaitais faire à la base et que j’avais l’impression d’avoir régressé en terme de compétences, le salaire était confortable et je suis resté près de quinze ans dans l’entreprise.

Julien se sent piégé dans son emploi sécuritaire qui ne correspond pas à ses envies et ressent le besoin d’évoluer. Il prend d’abord un congé sabbatique pour s’essayer à la vente immobilière mais cela ne lui convient pas davantage : “J’ai tenté ma chance mais ça ne correspondait pas du tout à mon caractère, je suis donc retourné auprès de mon employeur ».

J’avais en tête de revenir à mes premiers amours, mais mon diplôme était obsolète et le milieu du graphisme semblait saturé à ce moment-là.

« Au cours d’une discussion, une web designer m’a conseillé de me renseigner sur les formations de développement proposées par OpenClassrooms. Je souhaitais vraiment obtenir un diplôme reconnu par l’État donc la plateforme m’a séduit. Je viens de terminer la formation développeur d’applications PHP/Symfony. “

Une reconversion au timing impeccable

Julien conserve son emploi dans l’entreprise pharmaceutique en parallèle de sa formation. Malgré quelques périodes de pause, il a bouclé son parcours récemment et a opéré avec succès sa transition dans le domaine du développement digital et informatique.

Avant la fin de la formation, je ne me sentais pas forcément prêt à intégrer une agence mais j’avais mis à jour mon profil sur LinkedIn malgré tout. De nombreux recruteurs sont venus à moi, à qui je n’ai pas donné de réponse favorable jusqu’à ce que je tombe sur une agence qui semblait me convenir. Les entretiens se sont très bien passés, c’était bienveillant et ils m’ont fait passer un test technique ».

Mon manque d’expérience pouvait inquiéter un peu mais le fait de montrer que ma reconversion était une décision réfléchie a plu.

« J’ai donc intégré l’agence 4 mois avant la fin de ma formation chez OpenClassrooms, et pour l’instant je travaille sur deux projets qui m’ont été assignés : l’élaboration d’un CRM pour créer des contrats et l’accompagnement d’un bailleur social dans la résolution de problèmes et la création de nouvelles fonctionnalités. J’évolue tranquillement grâce au soutien de l’équipe et je suis vraiment satisfait.”

Aujourd’hui, Julien est donc développeur back-end Symfony PHP alors qu’il n’avait pas de connaissances particulières en informatique initialement. Il a commencé son nouveau travail deux jours après la fin de son contrat avec son ancien employeur pharmaceutique. “Au départ, on a le syndrome de l’imposteur car on doit réaliser des choses que l’on ne sait pas faire. Mais dans le développement, l’assimilation de certains concepts prend du temps et ce sont des étapes normales à franchir ».

Il ne faut pas avoir peur, ni se décourager mais plutôt appréhender la résolution de problèmes de code comme un jeu.

Pour aller plus loin :

L’interview de Julien sur le blog de l’agence Novaway pour laquelle il travaille.

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Du musée à la gestion de projet digital, le rebondissement de Noémie

Comme bon nombre de diplômés, Noémie peine à à trouver un poste qui lui convient à la sortie de ses masters dans le domaine de l’art. Contrainte d’envisager une reconversion professionnelle, elle décide de compléter son profil créatif par des compétences plus techniques en développement web. Histoire d’un rebondissement à plusieurs casquettes !

Initialement, quel a été ton parcours universitaire ?

J’ai une licence d’histoire de l’art et archéologie, un master en gestion du patrimoine et un autre master en régie d’exposition, montage des œuvres.

Quelles ont été tes expériences professionnelles avant la formation OpenClassrooms ?

Après mes diplômes, je cherchais un poste de régisseuse d’œuvres d’art dans les musées. Le régisseur, c’est le chef de projet des musées. C’est un poste qui requiert notamment des savoirs techniques concernant la conservation des œuvres : leur transport, la gestion des emprunts des œuvres par un musée ou un autre, la gestion des assurances, la logistique et les équipes. Malheureusement, le secteur de la culture étant relativement bouché, je n’ai jamais trouvé d’opportunités qui me correspondaient.

J’avais réalisé des stages mais à l’embauche on me reprochait mon manque d’expérience.

Qu’est-ce qui t’a donné envie de vous former à nouveau ?

J’ai enchaîné les petits boulots et en parallèle j’ai participé à plusieurs ateliers sur la reconversion professionnelle, comme je voyais que c’était très compliqué de trouver un poste dans l’art. Au cours de ces ateliers, j’ai découvert l’infographie qui m’a beaucoup plu, comme j’ai un profil créatif. Puis petit à petit, je me suis orientée vers le web design, j’ai obtenu un poste en CDI dans un lycée agricole où on m’a demandé d’administrer le site internet et là j’ai eu envie d’acquérir de vraies compétences dans le domaine.

Comment as-tu découvert OpenClassrooms ?

Un proche m’a parlé d’OpenClassrooms et j’ai commencé à suivre les cours en ligne gratuits en développement web par curiosité.

J’ai trouvé ça passionnant.

Quelle formation as-tu suivie ?

J’ai tout de suite été intéressée par le développement, qui selon moi est très créatif aussi. J’ai pensé que le parcours chef de projet multimédia spécialisé développement serait encore plus professionnalisant qu’une formation en web design, et donc c’est ce que j’ai choisi. Mon parcours a été financé par Pôle Emploi à partir de février 2018. 

Quelles sont les compétences que tu as acquises ?

J’ai appris à réaliser des livrables en respectant un cahier des charges, mais aussi une note de cadrage. J’ai découvert la méthodologie de la gestion de projet, pour établir un rétroplanning, travailler en cascade. Du point de vue développement, ce sont des compétences en back-end que j’ai acquises pour l’instant, ce qui m’a donné envie à l’avenir de me former également pour le front-end.

Quels ont été tes projets de mise en pratique ?

Au cours de la formation, j’ai fait un stage de plus de deux mois dans une agence digitale spécialisée dans le print. C’était une petite boîte, donc j’ai touché à tout, c’était génial, très pratique : gestion de projet, développement CMS, travail de logo, maîtrise de la suite Adobe.

Suite à la formation OC, comment s’est déroulée ta recherche d’emploi ?

J’ai envoyé une candidature à une agence que je connaissais et j’ai présenté les projets que j’avais réalisés au cours de la formation et qui étaient en ligne. Au cours de l’entretien, j’ai dû expliquer comment j’avais gérer ces projets d’un point de vue technique.

C’est la dimension autodidacte de la formation OpenClassrooms que j’ai pu mettre en avant : le fait que je puisse montrer que je savais travailler en autonomie a plu.

J’ai aussi pu valoriser mon expérience de stage polyvalent. Finalement, c’est aussi mon profil très complet grâce à ma reconversion qui a séduit : je fais du graphisme, du développement, de la gestion de projet, j’ai un esprit créatif et curieux.

Quels sont tes conseils aux personnes qui souhaitent se reconvertir ou se former mais n’osent pas vraiment sauter le pas ?

Il faut être confiant, écouter ses désirs et sa volonté d’avancer.

Néanmoins, le pré-requis pour ce type de formation est d’avoir déjà un projet professionnel défini en tête, de savoir travailler en autonomie et de gérer son propre emploi du temps, ce qui n’est pas forcément évident pour tout le monde. Ce sont des domaines dans lesquels on ne trouve pas toujours les solutions immédiatement donc il faut rester motivé malgré tout. OpenClassrooms est justement fait de telle sorte qu’on ne vous donne pas les solutions bêtement, les mentors vous guident, expliquent et vous amènent à comprendre vos erreurs pour les résoudre par vous-même. C’est très formateur quand on a vraiment  envie d’apprendre.

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Thomas, le développeur globe-trotteur

Thomas Proust a étudié les langues étrangères appliquées en anglais et japonais, mais c’est en Allemagne qu’il démarre sa vie professionnelle en tant que commercial. Sans transition ou presque, c’est au Japon qu’il part ensuite s’installer et travailler en freelance. C’est là-bas aussi qu’il entreprend une reconversion grâce à OpenClassrooms et s’initie à la programmation et au développement informatique.

De la vente à la programmation

Rien ne semblait prédestiner Thomas à se lancer dans le développement puisqu’il s’est initialement formé aux langues étrangères.

« J’ai fait un master en langues étrangères appliquées à Lyon, puis comme je n’arrivais pas à trouver de stage au Japon mais que je souhaitais avoir une expérience à l’étranger, je suis parti en Allemagne. J’étais product manager dans la pharmaceutique, je vendais des tests de dépistage rapide. J’ai ensuite déménagé au Japon où je me suis installé comme auto-entrepreneur dans le trading international. J’achetais des conteneurs d’emballages alimentaires en Asie que je revendais en France. »

Paradoxalement, Thomas confie ne pas être particulièrement à l’aise dans le domaine de la vente et avoir voulu s’engager dans une voie plus pratique :

« J’ai toujours voulu créer des choses, mais je n’ai pas une fibre très artistique. Quand j’ai découvert la programmation, cela m’a plu de voir que je pouvais créer des choses de cette façon-là, sans forcément avoir de talents artistiques. C’était une complète reconversion.

J’avais déjà suivi plusieurs tutoriels sur OpenClassrooms et cela m’avait intéressé. C’est quelque chose qui m’a toujours attiré et donc j’ai décidé de me lancer dans le parcours développement. Mon idée était vraiment de réussir à travailler à temps plein dans ce domaine par la suite. »

Recherches d’emploi entre le Japon…

À l’issue de sa formation chez OpenClassrooms, Thomas laisse définitivement tomber la vente au profit du développement informatique.

« Au début de la formation, je continuais à travailler en freelance en parallèle.

Puis à la fin du parcours, ça n’a pas été simple pour moi de trouver un emploi ici sur place car je ne suis pas tout à fait bilingue en japonais. En France, les postes de développeur en remote ne sont pas encore très nombreux, et encore moins lorsqu’il y a 8h de décalage horaire. J’ai poursuivi mes recherches pendant quelques mois tout en continuant à me former et me spécialiser sur des technologies comme le blockchain. »

Thomas trouve finalement un poste de développeur full stack au sein de l’entreprise dans laquelle sa femme travaille et dont le domaine d’expertise est justement le blockchain.

« Ce qui les a intéressés lors de l’entretien, c’est de voir ce que j’avais déjà réalisé.

Je me suis vraiment fait la main avec les 5 projets du parcours OpenClassrooms et j’ai pu mettre cela en avant. Notamment le dernier projet qui m’a amené à élaborer un livre jeu, avec des choix à faire à chaque page et qui représentait un gros travail en développement back end. »

… Et la France

Thomas a plus d’un tour dans son sac puisqu’après plusieurs années passées au Japon avec sa famille, il souhaite revenir s’installer en France. Il se remet donc rapidement à la recherche d’un poste ici : « J’ai postulé à une annonce sur LinkedIn, il y avait 2-3 autres candidats en lice et malgré la distance, cette fois-ci, c’est moi qu’ils ont sélectionné. C’est une start-up spécialisée dans la technologie blockchain également. Je travaille pour l’instant en freelance pour eux et ils attendent mon retour en France pour me prendre en CDI. » Thomas jongle donc en ce moment avec deux emplois différents, entre les deux pays.

À la suite de son expérience, il conseille vivement à ceux que le domaine attire de tenter leur chance : « Le développement informatique peut être très frustrant mais si on aime, il faut persévérer car il y énormément d’offres d’emploi en ce moment. Même lorsqu’on est en poste, les recruteurs nous abordent régulièrement.

Toutes les semaines, je reçois 4-5 demandes d’entreprises alors que je ne suis pas en recherche d’emploi. »

Effectivement, Thomas n’est plus en recherche et semble avoir son compte pour le moment : reconversion réussie.

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Quelles sont les différentes spécificités du métier de développeur en 2017 ?

Depuis 2011 Stack Overflow interroge les développeurs sur leurs technologies préférées, leurs habitudes de codage et leurs préférences de travail. Cette année, 64 000 développeurs ont répondu à l’appel pour vous révéler les outils et les tendances de leur métier pour cette année 2017.

Profil du développeur 2017 :

Près des trois quarts des répondants s’identifient comme développeurs web, bien que beaucoup aient également déclaré qu’ils travaillent à créer des applications de bureau et des applications mobiles.

Types de développeurs spécifiques:

La grande majorité des développeurs web sont des développeurs web complet, à savoir à la fois de back-end et front-end.

Du côté des développeurs mobiles, il y a une forte préférence pour le développement sur Android, comme en témoigne ce graphique :

Les langages de programmation :

1/ Top 10 des langages de programmation en forte croissance :

Pour la cinquième année consécutive, JavaScript est le langage de programmation le plus couramment utilisé. Et encore une fois, SQL prend la deuxième place, et Java troisième. La grande nouvelle cette année, est que, pour la première fois en cinq ans l’utilisation de Python a dépassé PHP !

2/ Le top 10 des langages les plus demandés par les employeurs :

JavaScript et SQL sont les langues les plus populaires sur les développeurs web et les développeurs d’applications bureautiques.

Côté outil d’environnement, Visual Studio reste l’outil développeur le plus populaire pour les développeurs web et les développeurs d’applications bureautiques.

Les statuts d’emploi des développeurs :

En france, plus de 80% des développeurs sont employés à temps complet. Seuls 10% travaillent en indépendants.

Où travaillent-ils ?

Plus de développeurs travaillent pour les logiciels et les entreprises Internet / Web que n’importe quelle autre industrie, mais on retrouve également des développeurs dans diverses industries à travers l’économie.

Par ailleurs, nous imaginons souvent des développeurs travaillant dans des start-up, mais dans le monde entier, environ 9% seulement des développeurs travaillent dans les start-up. La majorité des développeurs travaillent dans des sociétés cotées en bourse ou des sociétés privées !

Méthodologie et contrôle de version

Les méthodologies les plus populaires pour les développeurs sont la méthode Agile et la méthode Scrum, utilisées par plus de 60% d’entre eux, pour maintenir leurs projets sur la bonne voie !

Du côté du contrôle de version, Git est unanimement plébiscité !

La Formation avec OpenClassrooms

Plus d’une dizaine de parcours diplômants vous attendent sur notre site pour vous former au développement https://openclassrooms.com/paths?q=&hPP=12&idx=prod_PATHS_fr&p=0&hFR%5Btags.id%5D%5B0%5D=1457&is_v=1

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L’histoire de Kévin : de gendarme à développeur

À 25 ans, Kévin a déjà plusieurs carrières et reconversions à son actif. La dernière en date ? Il s’est formé au développement chez OpenClassrooms alors qu’il était encore en poste dans la gendarmerie. Aujourd’hui, il travaille dans une agence de communication à Bordeaux. Récit d’un parcours atypique et réussi.

Initialement, quel a été ton parcours universitaire et professionnel ?

Après le bac, je suis parti en fac de droit. J’ai arrêté au bout d’un an car je n’aimais pas l’ambiance de travail et le droit ne me convenait pas non plus. J’ai donc passé un concours pour devenir sous-officier de gendarmerie. Je l’ai eu, mais il y avait un an d’attente pour entrer dans l’école donc en attendant j’ai officié chez les pompiers. À ma sortie de l’école, je suis resté dans la gendarmerie quasiment quatre ans.

Qu’est-ce qui t’a donné envie de te former à nouveau ?

Je me suis rendu compte que ce n’était pas la vie dont je rêvais. Il fallait donc que je trouve une porte de sortie puisque je n’avais pas de diplôme.

Depuis tout jeune, je connaissais OpenClassrooms (ndlr via le Site Zéro), j’avais fait les tutos pour apprendre à coder. Le web a toujours été un milieu qui m’intéressait mais jusqu’à présent je ne pensais pas forcément que je pouvais en faire un métier. En découvrant les formations proposées, je me suis dit que ça me correspondait et que j’allais pouvoir faire un métier qui me plaisait. J’ai donc choisi un parcours spécialisé en développement ».

Comment s’est passée ta formation ?

La formation a duré un peu plus d’un an, je l’ai entamée alors que j’étais encore en poste à la gendarmerie. C’était un peu compliqué de tout gérer en même temps mais j’ai réussi à m’organiser malgré tout, jusqu’au moment où j’ai décidé de démissionner.

Pendant la formation, on est suivi par un mentor avec qui on communique toutes les semaines, qui nous guide et qui valide la soutenance finale.

Quelles compétences as-tu acquises ?

D’un point de vue du code, j’ai appris énormément de choses. La formation est complète car on apprend des notions assez générales de développement front, de développement back. J’ai eu aussi des cours de gestion de projet, c’est quelque chose avec lequel je n’étais pas familier et aujourd’hui, je me rends compte que c’est vraiment utile au quotidien dans mon travail. Je suis capable de lire un cahier des charges, une note de cadrage, etc.

Selon ce qui nous convient mieux, on peut ensuite se spécialiser. Comme je préférais coder, je me suis davantage investi dans le développement.

Après la formation, comment s’est déroulée ta recherche d’emploi ?

En fait après ma démission de la gendarmerie, j’ai commencé à chercher un emploi, même si je n’avais pas encore complètement terminé la formation. Au bout d’un mois, j’ai eu deux entretiens dont un concluant et j’ai obtenu un CDI dans une agence de communication.

Comment as-tu valorisé ta reconversion et mis en avant ton passage chez OpenClassrooms ?

Mon parcours atypique a plu et comme pendant la formation, on a six projets à rendre sur des thèmes différents, on se constitue un portfolio et donc on a déjà des choses à montrer lors des entretiens d’embauche. J’avais déjà dû créer des sites web, donc c’est comme si j’avais déjà eu une expérience.

Les recruteurs ont apprécié la dimension autodidacte d’OpenClassrooms. Ça démontre une certaine discipline et une rigueur d’être capable de se former de chez soi à distance.

Aujourd’hui, quelles sont tes missions au quotidien ?

Je suis développeur dans une petite agence de communication, Weglio, depuis 10 mois. Jusqu’à présent, ils externalisaient les missions et aujourd’hui c’est moi qui m’en charge à plein temps. On élabore des sites, on fait du community management, du référencement, du web marketing. Moi, je fais surtout du code, de façon assez variée puisque ça peut être de la mise en page, de l’amélioration de rendu, de l’intégration de maquette. Je fais aussi souvent de la création de back office, de système de paiement. Comme je suis le seul développeur, je jongle entre le développement front end et la grosse partie back end.

Est-ce qu’à l’issue de la formation, tu avais le sentiment d’avoir les compétences nécessaires pour t’intégrer en entreprise ?

Au début, j’avais peur de me retrouver devant des projets que je ne pourrais pas gérer mais la formation m’avait vraiment bien préparé.

L’avantage chez OpenClassrooms, c’est aussi qu’il y a une grosse communauté de mentors et d’étudiants qui est très active donc je savais que je pouvais demander de l’aide en cas de besoin.

Ça m’a rassuré et pour le moment, il n’y a pas eu de problèmes que je ne savais pas résoudre.

Je me suis rendu compte que j’avais acquis de véritables compétences en développement.

Une de mes premières missions quand je suis arrivé dans l’agence par exemple, a été de devoir reprendre un site qui avait déjà été codé. Or, reprendre le code de quelqu’un d’autre, c’est assez compliqué et encore une fois, tout s’est bien passé finalement.

Quels sont tes conseils aux personnes qui souhaitent se reconvertir ou se former mais n’osent pas sauter le pas ?

Au départ, je pensais vraiment que la promesse OpenClassrooms était trop belle pour être vraie. Mais quand on n’est pas bien dans son travail, s’il y a une petite porte vers une amélioration, il faut tenter sa chance.

La formation est tout à fait accessible, même en étant encore en poste à côté. On est tellement bien accompagnés que ça se passe sans difficulté. Chaque projet est bien pensé et même à distance, on est finalement mieux suivis qu’à l’école ou à la fac grâce à l’investissement des mentors.

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Comment devenir développeur ?

Le métier de développeur est de plus en plus demandé par les entreprises et pour lequel de plus en plus de personnes se forment. Mais comment devient-on un bon développeur et quelle est la meilleure façon d’apprendre ?

Adrien Guéret est développeur front-end chez OpenClassrooms. Il nous a partagé sa vision du métier et quelques conseils pour les développeurs en devenir.

 

L’envie d’avoir envie

 

De nombreuses formations existent pour se familiariser avec le développement web et elles n’exigent généralement pas d’autres pré-requis que d’avoir un ordinateur qui fonctionne.

Cependant, pour Adrien, ce qui fait la différence et permet de se distinguer des autres, est d’être passionné par le sujet : “Je trouve magique de pouvoir construire quelque chose, de coder puis de voir des choses apparaître et de pouvoir interagir avec. On ne peut pas tous être passionnés mais si on ne l’est pas, ce n’est pas la bonne démarche selon moi. Il faut être prêt à investir du temps, à passer sa journée devant l’ordinateur, à éventuellement avoir des projets persos en dehors du travail.

Au-delà d’une bonne formation ou d’un diplôme, ce qui fait la différence sur le marché, c’est de pouvoir présenter un book de projets déjà réalisés pour montrer sa motivation.”

S’il y a des bases théoriques à connaître, pour le métier de développeur, rien de plus efficace que la pratique. Le premier site qu’a créé Adrien était un fansite autour du jeu vidéo Super Mario : “Sur mon ordinateur, j’avais une page de tutoriel, une page de code et la page du site, et j’avançais comme cela pas à pas. Le site était horrible mais il fonctionnait et c’est comme ça que j’ai appris beaucoup plus qu’au cours de ma formation à SUPINFO. Se lancer dans son propre projet permet de faire face à ses propres limites, ses propres problématiques, ça motive.”

 

Le goût des problèmes & le mythe du canard

 

Selon Adrien, il y a deux qualités essentielles à avoir ou à acquérir pour être un bon développeur : être patient et curieux.

Ça arrive très souvent qu’on bute sur des problèmes, qu’on ne comprenne pas, qu’on doive se remettre en question et il faut aimer ça. Hier par exemple, j’ai passé la journée sur un bug que je ne comprenais pas et donc que je n’arrivais pas à résoudre.

Mes collègues n’ont pas réussi à m’aider, en faisant des recherches sur Internet, je n’ai pas trouvé la solution non plus car le problème était trop spécifique. Donc, c’était vraiment à moi d’analyser la situation, d’avancer pas à pas pour comprendre ce qui n’allait pas et trouver mon erreur avec du recul.

La clé pour devenir développeur, c’est persévérer, ne pas se décourager même comme les résultats ne sont pas immédiats, avoir confiance en sa capacité à trouver des solutions et ne pas douter de ses compétences au premier obstacle rencontré.

Dans le milieu, le mythe du canard illustre justement à quel point le métier de développeur repose sur la résolution de problèmes avant tout : “Souvent, quand on est bloqué seul devant un problème, on a la tête dans le guidon et on tourne en rond sans réussir à comprendre. Du coup, on recommande d’avoir un canard en plastique, ou une peluche, ou simplement un objet intermédiaire à qui on va parler et exposer le problème. Généralement, le simple fait d’énoncer le problème à voix haute permet de percuter et de cibler là où cela bloque. Cela paraît simpliste mais c’est très efficace et nous permet de ne pas déranger ses collègues à chaque fois que l’on rencontre une difficulté.”

 

Veille et formation en continue

 

Le domaine du développement web est en plein essor en ce moment et c’est un milieu qui évolue très rapidement. Il est donc essentiel pour un développeur de rester en veille permanente et de toujours chercher à actualiser ses compétences.

Adrien le constate et l’explique bien :

Même si le poste est similaire, le métier que je fais aujourd’hui n’a rien à voir avec le métier que je faisais il y a encore trois ans. Ce n’est pas la même technologie, pas la même philosophie, donc c’est important de se remettre sans cesse en question et de rester à la page. On peut être bon dans un domaine mais toujours avoir l’humilité de se dire qu’on a encore des choses à apprendre avant d’être un expert. Aujourd’hui, je vois des seniors en recrutement, ils n’ont pas su évoluer et ils sont bloqués dans ce qu’ils savent faire sans pouvoir s’adapter au marché actuel. “

Indispensable donc pour un développeur de ne pas se reposer sur ses lauriers et d’être suffisamment passionné et curieux là encore, pour ajuster ses compétences continuellement.

 

Pour aller plus loin :

 

  • Adrien recommande la newsletter de React : http://reactjsnewsletter.com/.
  • À suivre aussi, les comptes Twitter : @JavaScriptDaily ; @css ; @the_jsf ; @LeaVerou.

 

À propos d’Aglaé : 

Aglaé est auteur-rédacteur. Elle a fondé Word Shaper, une agence créative qui propose des services d’écriture, de consulting et de conception.

 

 

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8 raisons de devenir développeur mobile

Faire un choix de carrière n’est jamais facile, où que vous en soyez dans la vie. Que vous démarriez votre vie professionnelle ou que vous souhaitiez faire un changement de carrière, le nombre d’options qui s’offrent à vous peut être impressionnant.

Mais avez-vous envisagé le métier de développeur mobile ? Si ce n’est pas le cas, sachez qu’il existe d’excellentes raisons d’étudier le développement mobile. En voici huit.

 

1 — Les développeurs mobiles gagnent plus d’argent

Le salaire annuel d’un développeur mobile débutant est compris entre 43 000 et 51 000 €, alors que celui d’un développeur web débutant est compris entre 29 000 € et 34 000 €. Cette différence de revenus est largement due à la faible quantité de développeurs mobiles disponibles et à la forte demande.

2 — L’utilisation de smartphones ne cesse d’augmenter

En 2017, plus de la moitié de la population mondiale possédait un smartphone, ce qui représente une augmentation de 30 % par rapport à 2016. Le taux de pénétration du marché augmente à une vitesse sans précédent, ce qui se traduit par une hausse du nombre d’emplois dans le développement mobile.

3 — La demande en développeurs mobiles est forte

D’après des données recueillies par StackOverflow, le développement iOS et le développement Android sont deux des trois domaines principaux souffrant d’une offre de main d’œuvre faible pour une demande importante.

 

Quels sont les domaines où la demande est forte ?

 

Il y a une importante demande en développeurs back-end web/cloud, iOS, Android, et DBA SQL.

4 — Vous pouvez gagner de l’argent en vendant votre application

Si vous êtes capable de développer votre propre application mobile, vous serez peut-être également en mesure de de générer une source de revenu en la rendant disponible à l’achat dans l’App Store ou sur Google Play. Avec des compétences en développement mobile, il vous suffit d’une bonne idée et le monde s’offre à vous.

5 —  Vous pouvez apprendre en ligne sans quitter votre emploi actuel

Avec un accès à l’éducation en ligne toujours plus facile, vous pouvez conserver votre emploi actuel pendant que vous étudiez le développement mobile. Vous pouvez étudier le développement iOS ou Android sur OpenClassrooms et faire les choses à votre rythme, en fonction de vos disponibilités.

6 — Le développement d’applications mobiles a un impact plus direct sur l’utilisateur final

Contrairement au développement web front-end et back-end, le développement d’une application mobile a un impact plus immédiat et direct sur l’utilisateur final. La capacité d’une application mobile à accéder à la localisation, aux contacts et à l’agenda de l’utilisateur rend l’expérience utilisateur plus personnalisée, et si vous souhaitez travailler sur des projets à fort impact, le développement mobile pourrait vous correspondre.

7 —  Vous rejoindrez une communauté

Il y a de très nombreux développeurs mobiles et un grand nombre d’entre eux peuvent être trouvés sur internet. Si vous rencontrez des problèmes sur un projet ou si vous souhaitez simplement échanger avec des personnes partageant votre métier, vous aurez toute une communauté à portée de clic.

8 — Vous serez en apprentissage permanent

Le développement mobile est non seulement un domaine relativement nouveau, mais il est également en constante évolution. Il est idéal pour tous ceux qui ont peur de s’ennuyer dans leur métier ou qui souhaitent apprendre tout au long de leur vie, car vous aurez toujours des choses nouvelles sur lesquelles travailler.

 

Vous êtes prêt à sauter le pas ?

 

Si vous envisagez sérieusement de vous lancer dans le développement mobile, OpenClassrooms peut vous aider à atteindre vos objectifs.

Nos parcours diplômants en ligne sont centrés sur des projets professionnalisants que vous pouvez suivre à votre rythme. Ils vous donnent également accès à des sessions de mentorat hebdomadaires avec des experts du milieu qui visent à s’assurer que vous allez dans la bonne direction.

Et comme nous sommes sûrs que vous trouverez un travail après l’obtention de votre diplôme, nous vous proposons notre dispositif Emploi Garanti, qui vous assure un remboursement de votre parcours si vous ne trouvez pas d’emploi dans les six mois suivant l’obtention de votre diplôme.

 

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Les 10 métiers les plus recherchés dans le numérique

Par : Nora Leon


Quel emploi très recherché vous permettra de vous faire une place rapidement dans le numérique ?

80 000. C’était le nombre d’emplois à pourvoir en informatique rien qu’en 2018.

C’est aussi le nombre minimum de recrutements dans le numérique d’ici à 2020. De quoi se faire une place au soleil.

Concrètement, dans la Tech, on parle de 40 000 chefs de projets, 12 000 développeurs et 9 000 techniciens. Dans d’autres domaines, les recruteurs recherchent aussi une flopée d’experts en data, systèmes et réseaux, marketing et communication…

Ces emplois sont à pourvoir en Île-de-France (56%) et en province (43%), avec des bassins d’emplois notamment en Auvergne-Rhône-Alpes, en Provence-Alpes-Côte d’Azur, dans les Hauts-de-France, dans les Pays de la Loire, en Occitanie  ou encore en Grand-Est et Bretagne.

Voici les métiers très demandés auxquels vous pouvez vous former.

Développeur web

Il crée des sites web et donne vie aux maquettes. Responsable d’assembler les pages en HTML5 et CSS3 à partir de modélisations graphiques, le développeur web intègre les contenus (textes, images, sons, vidéos) dans le code. Il assure la compatibilité avec les différents moteurs de recherche et met en place la communication entre client et serveur, en plus de gérer les bases de données. Bref, un développeur web donne vie aux sites, de leur structure (le back) à leur apparence (le front).

Salaire brut annuel débutant : 29 000 à 34 000 €*
Ce métier peut aussi parfaitement s’exercer en tant qu’indépendant.
Voir la formation développeur web en 6 mois.

Développeur mobile

Il réalise des applications mobiles sur iOS ou sur Android. Analyse des besoins clients, définition des étapes de fonctionnement de l’application, développement, test et validation des fonctionnalités, support client et mise en place d’une documentation technique, correction des bugs… Tout y passe pour réaliser des applications mobiles fonctionnelles, fiables et viables.

Salaire brut annuel : 43 000 à 51 000 €*
Ce métier peut aussi parfaitement s’exercer en tant qu’indépendant.
Voir le parcours OpenClassrooms en 1 an en iOS ou Android

Chef de projet digital

Le chef de projet web est responsable de la réalisation de produits digitaux (sites, boutiques en ligne, applications web et mobiles, logiciels…). En tant que bon chef d’orchestre, il est responsable du planning et du budget et garant de la qualité des rendus. Pour mener à bien les projets, il coordonne les équipes de développeurs, designers et web marketeurs.

Ce profil polyvalent, entre développement, marketing digital et gestion de projet est très recherché, principalement en CDI. Ce métier peut s’exercer en entreprise, en agence ou SSII, en Île-de-France ou en province.

Salaire brut annuel : 30 000 à 39 000 €
Voir le parcours OpenClassrooms en 1 an

Administrateur systèmes, réseaux et cloud

Ce professionnel est un architecte : il conçoit les infrastructures systèmes et réseaux sur un site et/ou en cloud. Il le fait en adaptant son travail aux contraintes du système d’information de son entreprise. Il s’assure de la sécurité, administre les différents comptes utilisateurs et les droits d’accès, et stocke les données de manière sécurisée et viable.

En fonction de la taille de l’entreprise et du secteur, il gère tout le système d’information (3 à 30 000 machines) ou est expert d’une partie spécifique. Étant données les transformations au niveau des technologies du cloud, ce métier est en constante évolution et a de beaux jours devant lui.

Salaire brut annuel débutant : 30 000 à 35 000 €
Voir le parcours OpenClassrooms en 1 an

DevOps

Le DevOps a une double casquette de développeur et d’administrateur systèmes. Cela lui permet de faire le pont entre les équipes pour livrer les applications sans bugs, et les déployer facilement sur leurs infrastructures de destination.

Sans DevOps,  les équipes en développement et systèmes communiquaient peu ; désormais les applications peuvent être livrées et testées en continu.

Ce rôle, qui rend les activités des développeurs et administrateurs systèmes compatibles et optimisées, est de plus en plus central au sein des équipes techniques. Le métier n’existe que depuis 2009. Donc, les outils et pratiques sont encore à construire, ce qui explique l’ampleur que ce  profil devrait prendre dans les prochaines années, en entreprise comme en agence.

Salaire brut annuel débutant : 30 000 à 45 000 €
Voici quelques cours qui vous permettront d’acquérir les bonnes compétences : 

Expert en cybersécurité

L’expert en sécurité des SI protège les terminaux (PC, mobiles, objets connectés) et les systèmes d’information (serveurs, réseaux) des cyberattaques. Il doit également réaliser un audit des risques pour les diminuer et établir un protocole de gestion des menaces pour y répondre de manière optimale et réactive.

Le secteur de la cybersécurité est en train d’exploser : d’après une étude du cabinet Gartner, 90 milliards de dollars y ont été consacrés en 2017, et 81% des entreprises déclarent déjà avoir eu un problème de sécurité de l’information.

Tous secteurs confondus, la cybersécurité représente 9% des recrutements, selon le baromètre IMT des métiers du numérique. Parmi les secteurs les plus en demande, l’audit et le conseil (13%), les opérateurs télécoms (12%) et les éditeurs de logiciels (10%). Le besoin est croissant aussi dans le secteur des banques et assurances.

Salaire brut annuel débutant : 40 000 à 75 000 €
Voir le parcours OpenClassrooms en un an

Experts en Data science

Trois profils sont très recherchés :

– Le data analyst, qui prépare et nettoie des données et les analyse pour en tirer des conclusions ;

– Le data scientist, qui à partir de grandes quantités de données, établit des tendances et réalise des prédictions grâce aux statistiques ;

– Le data architect, qui crée l’architecture des serveurs permettant de traiter des données.

Ces métiers représenteraient 8% des demandes de professionnels tous secteurs confondus et atteindraient même 11% dans l’audit, le conseil et les industries télécoms électroniques, selon le baromètre IMT des métiers du numérique.

Salaire brut annuel débutant :
Data analyst : 29 000 à 38 000 €*
Data scientist  : 35 000 à 45 000 €*
Data architect : 40 000 à 50 000 €*
Voir les parcours OpenClassrooms :
Data analyst
Data scientist
Data architect

Community, Social Media Manager

Les marques prennent constamment la parole sur la toile et les réseaux sociaux. Dans ce contexte,  le community manager gère leur présence et anime leurs communautés.

Les missions du Social Media Manager sont hétéroclites. Il établit la stratégie social media, anime les communautés avec du contenu créatif, viral et reconnaissable, développe et monétise ses audiences, analyse les retombées et la réputation en ligne de l’organisation ou encore gère des communautés internes à l’entreprise.

Ces profils sont très recherchés en CDI ou en freelance.

Salaire brut annuel débutant : 26 000 à 40 000 €*
En freelance : 250 à 400 € par jour en fonction de l’expérience.
Voir le parcours OpenClassrooms en un an 

Digital brand Content Manager

Au croisement entre le métier de stratège de marque, Content Manager et Social Media Manager, ce profil hybride est garant des contenus de communication.

Pour populariser la marque, informer et convaincre les clients et créer de l’engagement, ce couteau suisse en marketing imagine, crée et diffuse ses contenus (articles de blog ou de presse vidéos, podcasts et posts sur les réseaux sociaux).

Ce profil stratégique est recherché à la fois en agence et en entreprise.

Salaire brut annuel : 30 000 à 60 000 € en fonction du profil**
Voir le parcours OpenClassrooms en un an

UX designer

L’UX designer (UX = User Experience) a pour mission d’optimiser l’expérience utilisateur, notamment sur un site ou une application. Il doit penser le parcours de l’utilisateur pour que celui-ci trouve facilement ce qu’il cherche et apprécie sa visite. L’UX designer doit donc interviewer les utilisateurs pour comprendre leurs besoins et leur logique, afin de proposer une ergonomie efficace. Il prend en compte les fonctionnalités, l’intuition, l’accessibilité et les objectifs de l’entreprise. Un casse-tête… passionnant !

Très recherché en agence comme en entreprise, l’UX designer peut également travailler en tant qu’indépendant. 

Salaire brut annuel débutant : 30 000 à 40 000 €
Voir le parcours OpenClassrooms en un an

Sources :

Études

* Selon l’étude sur les rémunérations du cabinet Robert Half 
** Selon l’étude du Blog du Modérateur en 2017
Baromètre IMP des métiers du numérique 2018
Expectra – Baromètre des salaires cadres 2018
Adzuna – Étude sur les métiers du numérique par région

Articles
80 000 emplois à pourvoir dans le numérique, par le laboratoire du numérique

À lire ensuite :

Devenir UX designer, est-ce une bonne idée ?
Découvrez l’UX design, le pendant numérique du métier d’architecte
À quoi ressemble le métier d’UX designer en start-up ?
La data science pour tous chez OpenClassrooms 
3 métiers porteurs du marketing et de la communication
Le mot de la pro : le community management selon Amandine Gleyzes
Le mot de la pro : le marketing opérationnel selon Amandine Richardot
Pourquoi changer de métier ?
Quel est le bon moment pour changer de métier ?
Quels sont les métiers les plus recherchés dans le numérique ?
OpenClassrooms, un modèle pédagogique par la pratique 

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