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À partir d’avant-hierOpenClassrooms : le blog

Comment nous mesurons l’impact des formations OpenClassrooms

En tant que co-fondateur d’OpenClassrooms, j’ai voulu créer un type d’entreprise différent qui a un impact réel et concret sur la vie des gens. C’est pour cela qu’OpenClassrooms est une entreprise avec une mission claire : rendre l’éducation accessible. C’est ce qui nous motive et nous pousse au quotidien à aller plus loin.

Mais comment savoir si on réussit à rendre l’éducation accessible ? Quel est l’objectif concret que l’on doit suivre et mesurer ?

Nous avons donc fait un choix clair chez OpenClassrooms : nous voulons que nos étudiants voient un impact positif sur leur vie professionnelle. Nous voulons les rendre employables ou qu’ils créent eux-mêmes leur emploi.

Nous voulons le vérifier, nous voulons le mesurer, nous voulons le prouver. Et quand cet impact n’est pas suffisant (spoiler alert : on peut toujours faire mieux ! 😅), alors nous travaillerons sans relâche à l’améliorer.


Nos mesures d’impact

Nous avons choisi 2 mesures pour guider notre impact chez OpenClassrooms :

  • Le taux de diplomation (ex : « 72% des étudiants décrochent leur diplôme »)
  • Le taux d’insertion dans l’emploi (ex : « 79% des diplômés trouvent un emploi »)

Note : ces mesures d’impact concernent les étudiants sur les parcours d’OpenClassrooms qui visent un diplôme.

Ces 2 mesures sont liées : les étudiants se forment dans le but d’avoir un diplôme, puis ensuite cherchent à trouver un emploi grâce à ce diplôme.

⚠ Le problème est qu’il y a 1 million de façons différentes de calculer ces taux. Bien souvent, cette méthode de calcul n’est pas explicitée, elle n’est pas vérifiée par un organisme indépendant. Selon la méthode utilisée, je peux vous présenter un taux d’insertion dans l’emploi de 90% comme un taux de 55%. Il est donc impossible de comparer les chiffres d’une école à une autre car la formule n’est jamais vraiment la même… et il est tentant pour chacun de montrer les meilleurs chiffres.

Chez OpenClassrooms, nous nous sommes interrogés sur la bonne formule longuement, en analysant les bonnes pratiques des standards émergents comme CIRR et EQOS.
Avec beaucoup de travail et de rigueur, voici comment nous calculons nos chiffres.

Taux de diplomation

Le taux de diplomation nous permet de savoir si nos formations sont vraiment accessibles, c’est-à-dire qu’un taux acceptable d’étudiants arrivent à obtenir leur diplôme.

La formule est la suivante :

Nombre d'étudiants ayant obtenu leur diplôme dans les délais annoncés
---- divisé par ----
Nombre d'étudiants ayant démarré la formation

Exemple : 100 étudiants démarrent une formation de 1 an. 60 d’entre eux la finissent en 1 an ou moins. 10 la finissent en plus d’1 an. Les 30 autres ne vont pas jusqu’au bout. Dans ce cas, le taux de diplomation est de 60% (60% de l’ensemble des étudiants a fini la formation dans les temps).

👆 Il est important de noter que tous les étudiants qui démarrent la formation sont pris en compte, même s’ils ne participent qu’un seul jour avant de changer de formation.

Cela veut dire qu’il est quasi-impossible qu’une formation puisse atteindre les 100% de diplomation (cela voudrait d’ailleurs dire que le diplôme est donné à tout le monde, ce qui serait un très mauvais signal !).

Taux d’insertion dans l’emploi

Le taux d’insertion dans l’emploi nous permet de vérifier qu’en ayant rendu l’éducation accessible, nous avons bien un impact positif sur la vie des étudiants.

La formule est la suivante :

Nombre de diplômés ayant trouvé un travail dans les 6 mois
---- divisé par ----
Nombre de diplômés

Exemple : sur 100 diplômés, 70 trouvent un travail dans les 6 mois, 10 trouvent un travail après 6 mois et le reste ne trouve pas de travail. Le taux d’insertion dans l’emploi est de 70%.

« Trouver un travail » signifie soit :

  • Obtenir un contrat de travail salarié
  • Monter son entreprise
  • Obtenir une évolution de poste dans l’entreprise.

Il doit donc y avoir un changement clair dans la vie de l’étudiant.

Dans tous les cas, « avoir trouvé un travail » signifie avoir un travail dans le métier que l’on a appris. Si vous vous formez au digital marketing et que vous prenez un poste de vendeur, soyons clairs : cela ne comptera pas.

Certains diplômés sont exclus du calcul. Nous pensons qu’il est normal de ne pas prendre en compte tous les diplômés et nous sommes basés sur les standards CIRR et EQOS pour cela. Voici donc en toute transparence les diplômés non pris en compte :

  • Ceux qui ne répondent pas à nos sondages
    (nous essayons de les joindre mais nous n’avons pas de réponse)
  • Ceux qui continuent leurs études
    (ils ont fait la formation pour que ça soit un tremplin pour une autre formation)
  • Ceux qui n’ont pas le droit de travailler
    (pour des raisons de visa, d’âge)
  • Ceux qui avaient indiqué au début de la formation qu’ils ne comptaient pas chercher de travail
    (ils font la formation pour le plaisir par exemple).

Nos chiffres

Dès aujourd’hui, nous sommes heureux de publier l’impact des formations OpenClassrooms suivantes :

Impact de la formation Conseiller en évolution professionnelle (diplômés de 2021)

Pourquoi ces formations ? Parce que nous avons travaillé récemment pour nous assurer de la rigueur des chiffres de ces 2 formations (et je peux vous dire que cela a demandé du travail !).

Notre objectif sera d’étendre ces informations pour l’ensemble de nos formations par la suite. Nous sommes preneurs d’ores et déjà de tous vos retours, questions et réactions !

Nous faisons déjà un constat clair : bien souvent, les étudiants en alternance ont les meilleurs taux de réussite et les meilleurs taux de placement dans l’emploi.

Vous le verrez, ces chiffres ne sont pas parfaits et ils n’ont pas vocation a l’être : nous souhaitons nous améliorer en continu et pensons qu’engager la conversation avec vous est le meilleur moyen de faire progresser les formations ! 


Nous espérons que vous apprécierez ces détails et cette rigueur. Nous en avons besoin pour améliorer en continu l’efficacité de nos formations.

Plus important encore : nous pensons que nous vous devons ces informations. Il est normal que vous y ayez accès pour choisir votre formation !

 

 

L’article Comment nous mesurons l’impact des formations OpenClassrooms est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.

« Le métier de CM, une superbe découverte », Raphaëlle, diplômée

Par : Nora Leon

Raphaëlle Fasquelle, passionnée d’art, s’est cherchée après une licence de généalogie. Suite à un bilan de compétences, elle a trouvé sa voie, CM. Et qui sait, peut-être deviendra-t-elle Community Manager d’un musée ou d’une fondation artistique ? Portrait.

Que faisais-tu avant OpenClassrooms ? Tu as un diplôme de généalogie, n’est-ce pas ?

Après mon Bac (en 2010) j’ai eu une licence en Histoire de l’art et un BTS notariat avec le CNED. Puis j’ai fait une formation de généalogie à distance. 

Donc je suis une habituée des formations à distance. M’inscrire à OpenClassrooms était dans la continuité, car je sais travailler seule. Je suis passionnée d’histoire. J’avais choisi un métier dont on entend pas parler, généalogiste. Cela n’a pas fonctionné, mais tant mieux pour moi car aujourd’hui j’exerce un métier qui est plus ouvert et qui recrute plus. 

Généalogiste, on en entend beaucoup parler à la télé, on appelle ça des ‘chasseurs d’héritiers’. Tu peux soit rechercher les ancêtres d’une personne ou chercher les héritiers dans le monde entier, et tu peux apporter une nouvelle très bonne à quelqu’un qui n’avait pas connaissance d’une famille.

Mais c’est rare que les personnes aient une vocation, cherchent activement à devenir généalogistes. Cela va être d’anciens juristes, notaires, historiens. Il n’y a aucun diplôme d’État pour cela. C’est un métier de personnes qui ont déjà pas mal d’années d’expérience : on m’a reproché d’être trop jeune.

Personne ne comprenait ma passion pour les archives… Fouiller dans les vieux documents n’intéresse pas tout le monde. 

Bref, je n’ai pas trouvé d’emploi. À partir du moment où je me suis dit que je n’allais pas réussir, ça a été assez dur d’être face à un mur. Je me suis laissée le temps de réfléchir, de trouver ce qui pouvait correspondre à ma personnalité. Ma vie ne peut pas s’arrêter à mon travail ! Je fais du piano, beaucoup de sport. Je voulais avoir le temps nécessaire pour consacrer du temps à ça.

J’ai une personnalité plutôt créative, avenante, et je voulais un métier qui me permettait de temps en temps d’avoir accès à un milieu sportif, artistique. Je ne savais pas trop où me diriger.

Comment as-tu fait pour trouver ta voie ?

Le temps de trouver, j’ai travaillé dan une galerie d’art, dans l’habillement pour bébé, j’ai été auto-entrepreneure en immobilier… Au bout d’un moment, j’étais perdue. J’ai rencontré une coach en développement personnel. À ses côtés, j’ai compris ce dont j’avais besoin et que le métier de CM était tout à fait moi.

On a conclu que ça me correspondait bien car une facette de ma personnalité c’est que je suis assez dynamique. Je n’aime pas trop faire traîner les choses. Il y a pas mal de choses dans mon comportement, ma personnalité, comme le fait que je sois autonome, indépendante, j’adore rencontrer des gens, j’aime pas rester sur un seul projet, qui collait.

Ma coach m’a fait rencontrer le CM avec lequel elle travaillait. Finalement, ça allait de soi.

C’était une évidence car je me suis dit : « si je trouve une marque qui me correspond, je saurai véhiculer les bonnes valeurs, faire ressortir le cœur de l’entreprise ».

C’était aussi, parce que vivant à Nantes, les postes y en a beaucoup. Pas comme généalogiste. 

Comment as-tu connu OpenClassrooms ?

 

J’ai choisi OpenClassrooms parce que mon conjoint a suivi la formation « développeur Web » et a trouvé du travail avant d’avoir fini sa formation. Je le voyais avec son mentor, à fond dans ses projets. Il m’a dit « rappelle-toi, j’ai fait cette formation », regarde pour toi. J’ai jeté un coup d’œil et la formation CM convenait.

L’avantage, c’est qu’on peut s’inscrire à n’importe quel moment de l’année. Je me suis inscrite en avril 2020, à savoir que j’ai mis 2 mois à décider quelle école prendre, ce qui est très court.

En plus, c’était en plein confinement. Je voyais plein de personnes qui étaient perdues, et je ne voulais pas attendre que les choses arrivent, je voulais être actrice de mon orientation et aller de l’avant.

Je n’avais pas le niveau pour la formation CM, j’ai dû faire une vidéo de motivation, j’ai dû demander des lettres de référence. 

Comment s’est passée la formation ? Le mentor ? Les soutenances ? Comment jonglais-tu ?

J’ai l’une de mes dernières soutenances vendredi. 

J’arrive à la fin, je pense que d’ici un mois et demi, c’est fini !

La semaine dernière, je disais à mon mentor que j’étais triste… C’est le problème des gens qui aiment apprendre. C’est la fin, tu as hâte, mais dans cet environnement, tu apprends, tu évolues…

Se voir évoluer, grandir, c’est super ! 

Le fait de savoir qu’après je vais être sur le marché du travail, ça fait un peu peur. Mais c’est l’avantage, car le côté théorique est là, mais ce n’est pas le plus important. Être au cœur du boulot de ton futur métier t’oblige à te dépasser. 

Malgré toutes les formations que j’avais faites, j’ai moins peu moins peur grâce à celle-ci d’aller sur le marché du travail. Après un BTS ou une licence, t’as un stage de deux mois si t’as de la chance… Là j’ai déjà pratiqué, je sais ce qu’on attend de moi, ce qu’on va me demander, et même si c’est pas évident de s’imaginer devant un vrai patron, j’ai quand même moins peur.

Et le coaching, c’est nickel. J’ai trop hâte ! C’est le truc qui me manque parce que ce n’est pas évident de passer des entretiens.

Avec mon mentor, ça s’est super bien passé. J’ai fait une pause dans la formation pour travailler l’été, et le mentor est top. Ce n’est pas une relation de mentor à élève, c’est plutôt de collègue à collègue. Plus expérimenté, qui apporte des réponses à un collègue moins expérimenté.

C‘est une relation très solide, qui ne met pas trop la pression. Il est détente, il y a aussi ce côté motivant, on a envie de faire plaisir à son mentor, on a envie de travailler. Et d’avoir son expérience, c’est énorme ! Car avoir son expérience de spécialiste, c’est incroyable car il me fait comprendre, il me dit que j’ai ma place dans ce milieu. Il me fait des retours constructifs, quand je fais quelque chose de bien, de mal et il n’y a pas de faux semblants. Ce n’est pas formel, on parle pas que boulot ! 

Que t’apporte le mentorat ? 

J’ai beaucoup plus confiance en moi, en mes capacités à apprendre et à apprendre vite.

Ça m’a aussi appris à être autonome. 

Et j’ai aussi appris à mieux m’exprimer à l’oral car on fait quand même pas mal de soutenances avec des mentors évaluateurs. Le fait de jouer ce rôle de CM, cette mise en situation, ça m’a permis d’apprendre à communiquer de manière plus professionnelle. Et aussi à être beaucoup moins stressée parce que c’est pas la même chose d’être derrière un écran, rencontrer une personne différente. Ça m’a permis de dédramatiser les présentations professionnelles.

Mon mentor me dit souvent qu’il faut apprendre à être convaincante. CM, on entend souvent que c’est juste « publier sur les réseaux sociaux ». En fait, il faut convaincre quand on présente ton projet. Et rebondir sur des questions déstabilisantes des personnes qui  ne pensent pas que c’est un enjeu important. 

Ce que tu préfères chez OpenClassrooms ? 

L’autonomie. La possibilité de travailler à mon rythme. C’est indispensable à ma façon de vivre. Et la deuxième chose, le mentorat.

Et la suite ?

Je suis déjà en recherche d’emploi ! Normalement, fin août-début septembre j’espère avoir du travail dans l’ouest de la France. Je préférerais travailler en agence, mais si une petite entreprise me plaît, je n’hésiterai pas à postuler, un petit CDI ce serait pas mal ! Tout ce qui est musées, j’aimerais beaucoup. Mais j’aimerais m’exercer en agence pour bien me faire la main, quitte à attendre un peu pour aller dans le milieu de l’art. 

L’article « Le métier de CM, une superbe découverte », Raphaëlle, diplômée est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.

Podcast Joboscope épisode #19 : Ingénieur pédagogique

« Pour moi, c’est l’un des luxes de ce métier. C’est de pouvoir faire plein de choses différentes, de pouvoir faire vraiment, de toucher à plein de secteurs. Donc finalement, on va apprendre autant que l’on va aider ».  Alexandre Weerts

L’explosion du numérique et le besoin croissant de formation aux nouveaux métiers apparaissant chaque année ont accéléré l’importance de l’éducation continue en entreprise. Ce faisant, les écoles, universités et entreprises ont été amenées à créer le métier d’ingénieur pédagogique. À mi-chemin entre facilitateur et enseignant, ce profil hybride est un véritable couteau-suisse, capable d’imaginer et de créer des parcours de formation hybrides, rendant l’éducation plus accessible pour tous… Et si vous en appreniez plus sur cette fonction relativement jeune, mais très prometteuse ? Et sur ce métier que vous pouvez apprendre au sein de l’école en ligne OpenClassrooms…

On passe ⅓ de notre vie au travail. Autant exercer un job qu’on aime ! OpenClassrooms veut vous aider à trouver un métier qui vous donne envie de vous lever le matin. En écoutant le podcast le Joboscope, vous vous ferez une idée du quotidien d’un Ingénieur pédagogique :

  • À quoi ressemble la journée-type d’un Ingénieur pédagogique
  • Les différences majeures entre un Ingénieur pédagogique et un Enseignant
  • Les outils utilisés pour travailler a quotidien
  • Les avantages et les inconvénients de ce rôle à la jonction de nombreux départements de l’entreprise
  • Les perspectives d’évolution de carrière et les salaires moyens d’un ingénieur pédagogique

 J’écoute l’épisode sur Apple Podcasts

Dans l’édition Ingénieur / ingénieure pédagogique, trois professionnels discutent de leur métier avec Marion Armengod, journaliste et modératrice. À la date d’enregistrement, Alexandre Weerts est concepteur pédagogique de la Fédération française de Tennis.

Vanessa Baron quant à elle, est chargée de conception pédagogique au Parc Zoologique de Paris et Amandine Lemoult est ingénieure pédagogique au sein du groupe Thalès. Si leurs postes ont peut-être évolué lors de votre écoute, leurs témoignages n’en restent pas moins actuels ! 

En écoutant l’épisode, vous découvrirez ce qui passionne nos intervenants dans leur job au quotidien – à savoir, la polyvalence des compétences sollicitées pour être un bon Ingénieur pédagogique, et la diversité des projets rencontrés au cours d’une carrière ! 

« Il y a une dimension intellectuelle et créative qui est très intéressante dans l’ingénierie pédagogique. Il faut imaginer le parcours, les différentes étapes, les dispositifs, les bons outils… Et ensuite, c’est à nous de créer et d’identifier les bonnes ressources ». Alexandre 

Vous plongerez aussi dans la diversité des aspects de ce métier en fonction des secteurs concernés, et de la taille des entreprises dans lesquelles évoluent les différents profils interviewés.                                                                                      

Et bien sûr, vous aurez l’occasion de creuser en détail les modalités du rôle d’ingénieur pédagogique, mais aussi de mieux comprendre la différence entre ce nouveau rôle et celui d’enseignant…

« Pour moi, la différence majeure entre un enseignant et un ingénieur pédagogique, c’est que nous n’avons pas le savoir, on ne connaît pas forcément les sujets sur lesquels on va travailler. Par contre, sur la brique pédagogique, c’est nous qui apportons le cadre, la méthodologie, l’agencement des choses pour rendre la formation fluide ». Amandine

Envie d’en savoir plus ?

J’écoute l’épisode sur Spotify

Vous découvrirez en écoutant cet épisode dans le quotidien de nos intervenants, qui vous partageront sans langue de bois les aspects positifs de leur métier, tout comme ses inconvénients !

 « Je trouve que c’est un métier qui est encore assez mal compris parfois par notre entourage et on ne se rend pas compte à quel point créer un dispositif de formation, c’est chronophage ». Alexandre 

Nous vous dévoilerons aussi les évolutions de carrière envisageables, ainsi que les évolutions de salaire sur ce métier très demandé.

Vous entendrez les confidences des trois professionnels sur leur métier et leur manière de l’exercer. C’est sans tabous, promis !

« On apprend des choses sur différents sujets tous les jours, il y a vraiment un échange de savoirs dans ce métier. Pour moi, la transmission dans les deux sens, c’est vraiment important ! ». Amandine

«Chaque jour est différent, chaque semaine est différente parce qu’on est vraiment liés à notre programmation, donc aux activités au quotidien. » Vanessa

« Notre métier est assez nouveau. Il est assez lié au numérique, nous sommes amenés à utiliser dans nos dispositifs de formation des outils innovants, ». Alexandre

« Il faut être très organisé et il faut avoir beaucoup de patience pour réussir à délivrer de manière régulière les formations en fonction des contraintes de chacun ». Amandine

« Je pense que la polyvalence et l’adaptation, ce sont quand même nos points forts dans notre métier ». Vanessa

 « On dit que pour produire une heure de e-learning, c’est 250 heures de boulot ». Alexandre 

Liens utiles :

Le Joboscope Ingénieur / ingénieure pédagogique sur Ausha
Le Joboscope Ingénieur / ingénieure pédagogique sur Apple Podcasts
Le Joboscope Ingénieur / ingénieure pédagogique sur Spotify
Le Joboscope Ingénieur / ingénieure pédagogique sur Deezer

Envie de découvrir d’autres aspects du métier d’ingénieur / ingénieure pédagogique ? 

Allez découvrir le métier suivant  :

Chef de projet digital

Podcast Joboscope – Épisode #4 : Chef de projet digital

Envie d’apprendre ce métier chez OpenClassrooms ?

OpenClassrooms est une école en ligne qui propose des formations en ligne certifiantes ou diplômantes pour apprendre les métiers du numérique.

Notre formation « Ingénieur responsable pédagogique », d’une durée de 6 mois (à partir de 12 mois en alternance), débouche sur un niveau bac +3/4 au RNCP (Répertoire National des Certifications Professionnelles).

L’article Podcast Joboscope épisode #19 : Ingénieur pédagogique est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.

Podcast Joboscope épisode #18 : Développeur Front-End

« L’un des aspects qui m’a donné envie de devenir développeuse, c’est que c’est un monde infini de connaissances, il y a toujours des nouvelles choses à découvrir ».  Valentine Langer 

Pilier fondamental de la conception d’applications et de produits digitaux, le métier de développeur Front-End reste encore mystérieux pour beaucoup. Pire, nombreux sont ceux qui font l’amalgame avec le métier de développeur / développeuse Back End, son antonyme. Pourtant, le métier de développeur / développeuse Front End est unique en son genre, et propose à ses pratiquants une riche palette d’expériences… Et si vous en appreniez plus sur cette fonction très demandée ? Et sur ce métier que vous pouvez apprendre au sein de l’école en ligne OpenClassrooms…

On passe ⅓ de notre vie au travail. Autant exercer un job qu’on aime ! OpenClassrooms veut vous aider à trouver un métier qui vous donne envie de vous lever le matin. En écoutant le podcast le Joboscope, vous vous ferez une idée du quotidien d’un Développeur Font-End :

  • À quoi ressemble chaque journée quand on est dans le développement Front-End
  • Les technologies utilisées dans l’univers du développement Front
  • La nature des missions abordées au quotidien et les compétences à développer pour s’épanouir dans ce métier
  • Les avantages et les inconvénients de ce rôle créatif et technique à la fois
  • Les perspectives d’évolution de carrière et les salaires moyens dans l’univers du développement — à son compte ou sous contrat !

J’écoute l’épisode sur Apple Podcasts

Dans l’édition Développeur / développeuse Front-End, trois professionnels discutent de leur métier avec Marion Armengod, journaliste et modératrice. À la date d’enregistrement, Julie Berteaux est développeuse Front freelance,  Valentine Langer occupe ce rôle chez Lifen, tandis que Benjamin Mornat travaille chez Webnet. Si leurs postes ont peut-être évolué lors de votre écoute, leurs témoignages n’en restent pas moins actuels !

En écoutant l’épisode, vous découvrirez les coulisses de l’univers du développement Front-End, et ce qui le rend si attractif aux yeux de nos trois invités… À savoir, la richesse des expériences à portée de main, et la diversité des connaissances engrangées !

« Le plus important, c’est vraiment d’être à l’écoute, d’avoir toujours envie d’évoluer. Parce que stagner n’est pas une option : la technologie avance tellement vite, qu’elle avance plus vite que nous. Il faut toujours être à la page, toujours avoir envie d’apprendre de nouvelles choses » . Benjamin

Vous apprendrez aussi à faire la différence entre les métiers souvent confondus du développement Front-End et du développement Back-End, deux pratiques très complémentaires, mais également très différentes. 

«Le développeur Front est plus proche des utilisateurs, il va aborder les choses en frontal puisqu’il va voir les problèmes qui sont remontés directement. Mais il va aussi devoir travailler avec le Back-End pour avoir le bon modèle de données, ou pour avoir la bonne information au bon moment » . Valentine                                       

Vous découvrirez également quelles sont les synergies entre ces deux métiers. 

Envie d’en savoir plus ? 

J’écoute l’épisode sur Spotify

Vous plongerez en écoutant cet épisode dans le quotidien de nos intervenants, qui vous partageront sans langue de bois les aspects positifs de leur métier, tout comme ses inconvénients !

« Je pense que pour n’importe quel métier technique comme le nôtre, il faut vraiment être très persévérant si l’on choisit cette voie, puisque cela implique de beaucoup se former, beaucoup lire, de toujours continuer à accepter d’apprendre ». Valentine

Nous vous dévoilerons aussi les évolutions de carrière envisageables, ainsi que les évolutions de salaire sur ce métier très demandé.

Vous entendrez les confidences des trois professionnels sur leur métier et leur manière de l’exercer. C’est sans tabous, promis !

« Quand on est confronté à des frameworks de code qui ne marchent pas, que l’on butte dessus et que l’on ne trouve pas la solution, ça peut très, très vite devenir frustrant ! ». Benjamin

« La grande différence avec le Back-End, c’est qu’en Front-End, il faut quand même avoir une sensibilité assez visuelle. Il faut être doté d’un certain sens de l’esthétique pour mettre en œuvre une page, synchroniser des éléments entre eux… ». Julie 

« Vous êtes proche de l’expérience utilisateur, c’est vraiment très agréable de comprendre et de voir ce que vous faites avoir un impact au quotidien ». Valentine

« En premier lieu, ce qu’il faut savoir, c’est que le partage, c’est le plus important. Notre métier, on ne peut pas réussir tout seul ». Benjamin

 « C’est un monde dans lequel il y a beaucoup de choses qui encouragent le travail en équipe, de manière humble, avec une communauté qui fait preuve de beaucoup d’honnêteté intellectuelle ». Valentine

 « Un autre aspect très important, de ce métier, et d’autres métiers de la tech, c’est l’indépendance. Une fois qu’on a son ordinateur et un bon wifi, on peut travailler d’où on veut ». Julie 

Liens utiles :

Le Joboscope Développeur / développeuse Front-End sur Ausha
Le Joboscope Développeur / développeuse Front-End sur Apple Podcasts
Le Joboscope Développeur / développeuse Front-End sur Spotify
Le Joboscope Développeur / développeuse Front-End sur Deezer 

Envie de découvrir d’autres aspects du métier de développeur / développeuse ?

Allez découvrir les épisodes dédiés aux autres rôles du développement :

Développeur / développeuse Web

Développeur / développeuse Back-End

Développeur / développeuse iOS

Développeur / développeuse Android

Envie d’apprendre ce métier chez OpenClassrooms ?

OpenClassrooms est une école en ligne qui propose des formations en ligne certifiantes ou diplômantes pour apprendre les métiers du numérique.

Notre formation « Développeur d’application – JavaScript React », d’une durée de 12 mois (à partir de 18 mois en alternance), débouche sur un niveau bac +3/4 au RNCP (Répertoire National des Certifications Professionnelles).

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Sylvie, de la coiffure à l’immobilier grâce à Passeport Numérique

Par : Nora Leon

De la coiffure à l’immobilier, il n’y a qu’un pas ? C’est ce que nous apprend l’histoire de Sylvie Tello, diplômée Passeport Numérique. Après bien des années à prendre soin des coiffures de ses clients et un petit passage à vide, Sylvie a rebondi sur OpenClassrooms, l’école en ligne des métiers du numérique. L’occasion de bifurquer vers un métier qui lui plaît vraiment. Rencontre.

Bonjour Sylvie, vous êtes coiffeuse de métier, c’est cela ?

J’ai fait une longue carrière, mais je suis coiffeuse au départ et mon dernier métier était assistante maternelle. Coup dur de la vie, au décès de ma maman, j’ai perdu toute motivation. J’avais perdu mon père quelques années auparavant, donc c’était une deuxième partie de moi qui s’en allait. J’ai ressenti une profonde tristesse et pendant un an, je n’ai plus pu travailler.

Chez Pôle emploi, mon premier conseiller ne s’est pas montré très compréhensif. J’ai changé et je suis tombée sur une dame qui, elle, a voulu m’aider. 

Votre conseillère qui vous a proposé la formation « Passeport numérique » ?

Oui ! Elle a vite compris que je ne me voyais plus dans le milieu de la coiffure, à travailler le samedi et le dimanche et même les jours fériés. Je suis maman et ma petite dernière a treize ans : j’ai besoin de temps libre pour me consacrer à ma famille. 

Pour autant, j’aime le relationnel, le commerce, parler, les gens. Cela vient de mon métier de coiffeuse. J’ai pensé au dropshipping, mais cela me faisait peur de me lancer seule ; je n’ai pas pris le risque. 

Alors, nous avons exploré le métier d’agent immobilier, dont je suis passionnée. Pour l’exercer, il me fallait de bonnes bases en informatique. Ma conseillère m’a proposé la formation rapide Passeport numérique pour que je me forme. Elle m’a dit : « Lancez-vous, vous allez apprendre plein de choses ! ». Et elle avait raison !

Comment s’est passée la formation ?

J’ai été très surprise de ce format en ligne. Au départ, je pensais que mon mentor allait être avec moi du matin au soir par visio, mais en fait je devais être autonome (rires). 

Ma première mentor ne comprenait pas que j’aie besoin qu’elle me montre les choses sur l’ordinateur plusieurs fois. D’elle-même, elle m’a proposé de continuer avec une personne plus pédagogue, qui a parfaitement compris mes besoins. 

Je suis vraiment bien tombée. Mon mentor m’a poussée vers le haut, m’a aidée à avoir confiance en moi.

Il m’a donné pas mal d’autonomie, en m’accompagnant pour que je m’en sorte.

À partir de là, je me suis éclatée en formation. Dans Passeport Numérique, on apprend les bases de tout ce qui est utile sur un ordinateur. J’ai découvert PowerPoint, Google Meets, j’ai approfondi mes connaissances sur Zoom et Word. 

J’ai fait des slides toute seule. Même insérer une image, pour une débutante comme moi, ce n’était pas évident ! J’ai aussi dû organiser une réunion ou encore travailler sur un projet fictif pour le restaurant le Fouquet’s. Les projets sont intéressants, bien expliqués et si on comprend pas, on demande.

Pour les soutenances, je suis tombée les mentors validateurs m’ont mise à l’aise. Je suis allée au bout de la formation. Je suis fière de moi !

Qu’avez-vous aimé dans la pédagogie d’OpenClassrooms ? 

Tant de choses ! Les projets sont bien faits, et le rythme est flexible. On ne te met pas la pression avec les dates, on sait que tu vas rattraper. Je me suis donnée à fond. 

J’ai aussi apprécié l’aspect humain. On a notre mentor et la communauté sur l’outil interne où tous les étudiants s’entraident, se motivent. On se félicite, on se soutient, parfois on fait même connaissance en vrai. 

Qu’est-ce que cette formation vous a apporté de plus important ?

 

Au-delà d’une aisance sur un ordinateur (le but de Passeport Numérique !), c’est surtout de la confiance en moi. 

Au début, j’avais peur. Je me disais que les autres avaient tous fait plein d’études, que moi la petite coiffeuse je n’avais rien à faire là. Je me suis vite rendue compte que j’avais tout à fait ma place et que moi aussi, je pouvais énormément apprendre.

Et puis, j’ai quand même 54 ans… Chez OpenClassrooms, suite à Passeport Numérique, j’ai un coach pour chercher un emploi. Ça me rassure de ne pas être seule dans la nature !

Avez-vous été surprise de quelque chose ? 

Je ne pensais pas réussir à me débrouiller toute seule. Je croyais que j’allais être prise par la main toute la journée. Finalement, je n’en ai pas eu besoin, ça a roulé tout seul. 

J’ai aussi été surprise de la façon dont la formation était organisée. Ça va doucement, on n’a pas la pression. Et tant mieux, car quand on me met la pression, je n’y arrive pas ! (rires).

À présent que vous avez réussi Passeport Numérique, quel est votre projet ?

Je voudrais devenir agent immobilier. J’ai soif d’apprendre et ce secteur m’attire beaucoup. 

Aujourd’hui, je suis en Action de Formation Préalable au Recrutement (AFPR) en stage chez un agent immobilier. J’adore mon nouveau métier et j’espère rester dans cette agence à l’issue de mon stage.

D’ailleurs, il y a des ponts avec mon ancien métier et mon futur job ! En coiffure, on a un côté psychologue. On écoute, on conseille nos clients… Je pense retrouver cet aspect avec mes futurs clients en agence immobilière, car quand on achète un appartement ou une maison, c’est une grande décision de vie. 

Ce métier me permettra d’utiliser mes qualités d’écoute et de communication, que j’aime tant mettre en pratique.

Une chose est sûre, Passeport Numérique m’a mise sur des rails pour terminer ma carrière dans un métier qui me plaît. 

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Vous vous retrouvez dans le témoignage de Sylvie et avez envie, vous aussi, de suivre le programme Passeport Numérique ?

Il est financé par Pôle emploi et vous permettra d’être à l’aise sur les outils numériques, quel que soit votre projet professionnel. Vous aussi, lancez-vous !

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Comment préparer et réussir un entretien d’embauche ?

Par : Nora Leon

Les recruteurs examinent souvent plus de 100 CV pour un poste donné. Mais ils ne rencontrent généralement que quelques candidats. S’il vous invite à entretien, c’est donc toujours une excellente nouvelle ! Mais alors, comment tiret parti de cette chance et vous donner toutes les chances de passer à l’étape suivante ?

Pour vous donner des conseils concrets qui vous aideront à décrocher votre poste, nous avons rencontré Honorine Jollans, experte en recrutement. Voici ses astuces pour bien préparer et réussir vos entretiens d’embauche.

Étape 1 – Bien préparer l’entretien

As-tu une méthode pour se familiariser avec l’entreprise ?

Aller sur son site. Les candidats le font tellement rarement, c’est dommage. Vous postulez, plus qu’à une entreprise, à un certain environnement, une culture, des valeurs, des projets, dans un secteur qui vous attire plus ou moins. Pour savoir si vous avez envie de postuler, si le poste comme l’entreprise correspondent à vos attentes, il faut que vous ayez fait le tour des informations disponibles sur elle. Par ailleurs, si vous connaissez bien l’histoire et les enjeux de l’entreprise, cela se ressent et vous marquez des points.

L’idée n’est pas tant de tout savoir sur l’entreprise, que d’avoir des informations clés à mettre en rapport avec votre futur poste, pour pouvoir alimenter intelligemment la discussion.

Par exemple : quelqu’un qui postule en contrôle de gestion, à la comptabilité, ou a fortiori en finance de marché, doit s’être renseigné sur les données financières de l’entreprise. Quand on postule en marketing, c’est pareil : on doit connaître les concurrents de notre service et les chiffres clé du marché, pour évaluer où seront les opportunités de croissance.

Dans certaines structures comme les entreprises familiales, les chiffres ne sont pas publiés. Cependant, un candidat qui montre qu’il ou elle a essayé de les chercher sera toujours valorisé par rapport à un autre.

À quelles questions doit-on se préparer à répondre ?

  • Savoir raconter son parcours, mais cela va de soi. Sur cette question, le défi est de rester synthétique, en détaillant uniquement les points pertinents par rapport à l’offre sur laquelle on postule.
  • La fameuse question des qualités et des défauts. Il est important de savoir mettre en valeur les retours positifs de ses anciens managers, mais aussi les axes d’amélioration. C’est bien d’avoir du concret, et même des exemples en situation. Et de dire quel est notre plan pour s’améliorer sur tel sujet. Évitez évidemment les défauts qui n’en sont pas, par exemple “je suis perfectionniste”, et restez honnêtes, tant que le défaut n’est pas rédhibitoire pour le poste en question (par exemple : un business developer timide).

  • Une autre question importante : “Qu’attendez-vous de votre manager ?”. La relation avec lui ou elle est cruciale, car il ou elle vous guidera, de votre intégration à votre travail au quotidien, mais aussi pour vous faire évoluer au sein de l’entreprise. Évidemment, chacun a des attentes différentes, et c’est bien d’avoir pris du recul sur les siennes pour pouvoir les formuler !

Doit-on chercher à contacter des collaborateurs de l’entreprise ?

Cela dépend des cultures d’entreprises. Certaines le font énormément. Chez L’Oréal par exemple, c’est un acquis : les déjeuners sont très pratiqués, même avec des personnes plus haut dans la hiérarchie et/ou qu’on ne connaît pas. Mais ce n’est pas bien vu dans certaines entreprises.

Et si l’on se lance, encore faut-il poser les bonnes questions. Je vous conseille de ne pas poser de questions opportunistes (quel sera mon salaire, aurai-je de gros horaires, quels sont les avantages en nature). Les questions pertinentes sont celles liées à la culture d’entreprise, car c’est difficile à sentir de l’extérieur. Et tout ce qui concerne le métier du collaborateur, les missions que vous aurez en commun avec lui ou elle.

En tout cas, cela ne pourra pas être mal vu si vous n’avez pas fait cette démarche. Les recruteurs n’ont pas d’attentes sur le sujet.

Avant l’entretien, qu’est-ce qu’on ne doit pas oublier ?

Le CV papier est de moins en moins demandé, souvent on l’a imprimé, et le profil LinkedIn suffit.

Mais il est indispensable de venir avec un carnet et un stylo. C’est essentiel de noter les infos que le recruteur ou le manager vous donnera sur les missions ou sur l’entreprise.

Rien de plus désagréable que de voir que la personne est passive : cela donne l’impression qu’elle n’est pas très intéressée, voire qu’elle ne nous écoute pas.

Et bien sûr, si vous exercez un métier créatif, n’oubliez pas votre portfolio !

[À lire : Comment créer un portfolio convaincant ?]

As-tu une méthode pour éviter le stress qui précède l’entretien ?

Première chose : soyez à l’heure. Ce n’est pas confortable d’arriver en retard. Pour cela, anticipez votre trajet. Si vous n’avez pas le temps de le faire une fois avant, ayez conscience du temps qu’il faut mettre pour y aller, et prenez un peu de marge, quitte à vous asseoir au café à côté avant l’entretien.

Ensuite, dédramatisez la situation : les entretiens ne sont pas un grand oral où vous jouez votre carrière, mais plutôt un moment d’échange. Je le re-précise à chaque fois, on pose des questions, on creuse certains aspects, on comprend le parcours de la personne mais sans enjeu paralysant.

Et les meilleurs échanges sont les plus naturels !

Étape 2 – Comment réussir l’entretien d’embauche ?

S’habiller

Tout dépend de l’entreprise. Certaines sont plus formelles tandis que d’autres sont très “relax”. Mais peu importe l’entreprise, évitez les baskets ainsi que les jeans troués.

Préférez également les couleurs neutres, évitez les décolletés plongeants si vous êtes une femme, vous ne seriez pas à l’aise. Le but est de faire ressortir ses expériences et que l’attention ne soit pas portée sur autre chose que le CV et les échanges. Soyez simple, sobre, mettez des habits dans lesquels vous vous sentez bien, et ne tentez pas des combinaisons trop excentriques ce jour-là.

[À lire : Le dress code selon les secteurs]

Arriver sur place

15-20 minutes avant, c’est parfait. Être trop en avance ne donne pas une bonne image de vous (on se dit que vous êtes stressé voire un peu paranoïaque) et nous met mal à l’aise car on se sent obligés de vous recevoir en avance. Cela m’est arrivé pas plus tard qu’il y a deux semaines, le candidat est arrivé avec 45 minutes d’avance, c’était trop. Par contre, le quart d’heure de politesse est très apprécié.

On dit que le premier contact compte. Comment le réussir ?

Tout repose sur l’énergie que le candidat va renvoyer.

C’est tellement plus agréable d’avoir quelqu’un de souriant, qui montre qu’il ne subit pas le fait d’être là. Soyez dynamique et jovial. Si c’est le cas, on sent déjà que l’échange va être plus agréable pour nous, que vous ne vous contenterez pas de répondre par oui ou par non.

Y a-t-il des « questions pièges ? »

J’ai remarqué que les candidats peinent sur certaines questions :

  • Comment ils se sont organisés dans leur recherche pour se renseigner sur l’entreprise. Cette question permet de voir si la personne est organisée et synthétique. Il faut reprendre méthodiquement votre démarche (d’abord le site de l’entreprise, ensuite les concurrents, ensuite les podcasts YouTube, ensuite la presse écrite, etc.) pour renvoyer cette image d’organisation.
  • Comment ils se renseignent sur leur activité dans leur environnement. En RH par exemple, les lois changent régulièrement : c’est donc nécessaire de s’updater. Au Marketing aussi, c’est essentiel. Avec cette question, on voit si la personne est curieuse. Ayez deux ou trois sites de veille en tête pour ne pas buter sur la question.[À lire : 13 ressources incontournables pour une bonne veille RH ; Les meilleurs outils de veille Social Media]

As-tu des exemples de bonnes questions de fin d’entretien ?

Cela dépend des profils et des postes.

En entretien RH, les questions sur les missions ne s’y prêtent pas forcément toujours : vous pouvez alors poser des questions sur l’organisation de l’entreprise, sur sa culture.

En entretien avec un manager, on peut demander ce qu’est une journée type, par exemple. C’est classique, mais cela fonctionne.

Comment gérer son langage corporel ?

Les recruteurs sont formés sur la lecture de votre langage corporel. Donc c’est vraiment important de bien vous tenir.

On n’est pas au café, c’est un moment assez formel. Tenez-vous droit, jambes décroisées, mains sur la table sans faire trop de gestes, cela montre une certaine politesse.

[À lire : Comment maîtriser votre langage corporel en entretien ?]

Comment un profil atypique peut-il se mettre en valeur ? 

Pour moi, il ne faut pas se cacher de l’être. C’est important de le mettre en avant, de rester fidèle à son parcours. Et de savoir le raconter !

Une personne peut s’être trompée dix fois de voie, si elle a pris du recul sur ses choix, et a ressorti le positif de chaque expérience, ce n’est pas bloquant.

Elle peut aussi avoir des intérêts divers et aller au bout de chaque expérience.

Avoir eu différentes vies professionnelles peut être un atout formidable. Pour en tirer tous les bénéfices, je vous conseille en amont de l’entretien de faire la liste par écrit de comment vous allez raconter cette histoire par rapport au poste. Il y a forcément des ponts, et, pas de complexes, votre histoire est singulière et d’autant plus intéressante.

Votre enjeu sera de rassurer votre interlocuteur : vous vous êtes nourri de toutes ces expériences et vous êtes multi-compétences, un vrai plus pour son business.

Et quelqu’un qui a eu une pause dans sa carrière ?

Je mentirais en disant que c’est un atout, mais si on sait expliquer pourquoi on a eu une pause, c’est presque gagné.

On a tous à un moment des problèmes personnels, ou des difficultés pour trouver un travail, ou même l’envie de se réaliser autrement que dans le travail.

Les recruteurs savent mieux que quiconque que le marché de l’emploi est impitoyable, et ils pourront comprendre votre situation si vous avez pris du recul et tiré les enseignements de votre expérience. Là encore, les rassurer est important : il faut expliquer les choses simplement et avec honnêteté pour qu’ils sentent que vous êtes prêt pour un nouveau départ et que vous serez fiable sur ce poste.

As-tu un exemple où le candidat s’est disqualifié et pourquoi ?

Justement, à propos du mensonge… Je me souviens d’une candidate créa qui postulait à la direction artistique d’une marque, en tant que future styliste. Je lui ai demandé si elle avait regardé le dernier défilé de la marque, qui avait eu lieu la semaine précédente. Elle m’a dit qu’elle l’avait regardé, mais a été incapable de me dire son thème. Là, elle s’était clairement grillée, elle n’avait pas préparé l’entretien et j’allais remettre en doute sa curiosité, son intérêt pour la marque, sa passion pour le stylisme. Elle était venue les mains dans les poches et ça s’est vu. Très mauvais point !

Attention aussi à ceux qui parlent comme si le recruteur était leur copain, de manière familière.

En conclusion, si vous ne deviez retenir que trois conseils dans cette liste :

Connaissez bien l’entreprise et le poste. 

  • Nourrissez votre entretien avec une présentation de vous en rapport avec le poste, et avec des questions pertinentes sur la fonction, la culture d’entreprise et les enjeux de votre futur poste. Vous êtes passionné par les problématiques soulevées, il faut que cela se sente.

Soyez dans la bonne attitude.

  • Souriez en rencontrant votre interlocuteur, notez les informations que l’on vous apporte, soyez engageant dans votre langage corporel. Soyez transparent, ne déformez surtout pas la vérité pour commencer par un contrat de confiance tacite. Remerciez en fin d’entretien, et faites un follow-up concis et poli par mail. 

Et le plus important : ayez confiance en vous.

  • Vous ne jouez pas votre vie pendant cette entrevue, et vous retomberez toujours sur vos pattes. Votre parcours, qu’il soit linéaire ou plus sinueux, est forcément intéressant. Vous êtes arrivé en entretien, donc le recruteur est curieux de vous rencontrer ! Écoutez-le, expliquez-lui comment vous pouvez répondre à ses besoins, présentez-vous tel que vous êtes. Vous êtes sûrement la bonne personne.

Bonne chance !

 

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Entretien d’embauche : les pires et meilleures questions à poser

Par : Nora Leon

Voici un palmarès commenté des pires et meilleures questions en entretien d’embauche, afin de vous préparer pour le jour J.

Les pires questions

Les pires questions sont celles qui ne vous permettent pas de cerner le poste, celles auxquelles vous auriez eu la réponse si vous aviez fait un minimum de recherches, ou encore celles qui ne vous mettent pas en valeur  (demander trop tôt son salaire, les modalités de vacances, les avantages attachés au poste…).

Au fait, vous ne m’avez pas encore dit, quel est le salaire pour ce poste ?

Vous devez poser cette question plus tard dans le process et idéalement laisser l’employeur la poser d’abord, ou si le recruteur vous y invite.
Si vous la posez trop tôt dans le processus ou sans vous intéresser au produit, vous risquez de passer pour un tire-au-flanc seulement intéressé par l’argent, or le recruteur veut savoir si vos missions vont vous passionner, si la vision de l’entreprise vous inspire, etc.

Que faites-vous exactement dans cette entreprise ?

Vous devez vous être renseigné sur votre interlocuteur. C’est d’ailleurs un signe de proactivité que de demander au RH avec qui vous allez passer l’entretien. Donc n’hésitez pas.

Pouvez-vous me dire quels sont vos plus grands concurrents ?

Vous auriez dû vous renseigner…

Vous avez des horaires plutôt stricts ou c’est flexible ?

La question est épineuse à manier en entretien. Mieux vaut sonder des gens qui ont travaillé dans cette entreprise en passant par LinkedIn ou regarder les commentaires d’employés sur Glassdoor.

Variante : si je fais plus d’heures que prévues au contrat, me seront-elles payées ?

À moins que vous ne la liiez à une vie de famille foisonnante, et que le recruteur en face de vous y soit sensible, elle peut renvoyer de mauvais signaux. Un recruteur cherche quelqu’un qui saura s’investir par passion et professionnalisme. Si vous posez la question, faites donc bien attention à ce que le recruteur comprenne que votre besoin de flexibilité sur les horaires ne fait pas pour autant de vous quelqu’un de laxiste ou de désengagé.

Comment se sont déroulés les autres entretiens ? Y a-t-il de meilleurs candidats que moi ?

Cela ne vous regarde pas et ce n’est pas stratégique de poser cette question, à laquelle le recruteur ne peut décemment pas répondre dans le cadre du recrutement. Vous le mettriez dans une position désagréable, qu’il n’apprécierait probablement pas.

Est-ce que vous avez plutôt un poste de (fonction connexe) à pourvoir ?

Vous montrez que vous avez pris ce rendez-vous par défaut, que le poste ne vous intéresse guère.

Pensez-vous que j’aie une chance à ce poste ?

S’il ne le pensait pas, vous ne seriez pas là. Mais à ce moment là, vous lui fournissez la preuve que vous n’avez aucune confiance en vos capacités à décrocher le job. Au mieux le recruteur ne relève pas, au pire il peut changer d’avis à votre sujet, et pas en votre faveur.

Les meilleures questions

Ce sont celles qui permettent de bien cerner le poste et de prendre l’ampleur des responsabilités qui vont vous incomber. De rebondir sur ce que le recruteur vous dit sur vos missions, en tentant de problématiser le poste, la mission et les défis globaux de l’entreprise. Qui permettent aussi de cerner (sans jugement) la culture d’entreprise pour savoir si elle vous correspondra. Et de manière générale, de favoriser un échange qualitatif avec l’employeur.

Pouvez-vous me décrire une journée type à ce poste ?

Vous vous projetez à ce poste et êtes dans le concret.

Quelle proportion de mon temps devrai-je consacrer à chaque partie de ma mission ?

Cette question vous permet de cerner le contenu de votre poste. Elle rassure aussi l’employeur car vous montrez que vous êtes au clair avec ce qui vous incombera. La personne en face de vous sera d’autant plus sereine si la répartition vous enthousiasme.

Pouvez-vous me dire pourquoi vous aimez travailler dans cette entreprise ?

Cette question créée un dialogue avec le recruteur de manière transparente, ouverte, et vous permet de vous projeter dans les aspects positifs.

Variante : savez-vous ce que mon prédécesseur appréciait dans mon futur poste ?

Quelles seront mes perspectives d’évolution à ce poste ?

En demandant cela, il est manifeste que vous vous projetez dans l’entreprise et avez de l’ambition. Attention cependant : préparez-vous à répondre à la question : “quel est votre plan de carrière à moyen terme ?”.

J’ai vu que l’équipe comprenait une dizaine de personnes. Pouvez-vous m’en dire plus sur la structure de l’équipe et les personnes avec qui je travaillerai directement ?

Vous prouvez que vous vous êtes renseigné, et que vous voulez en savoir plus. C’est une question légitime et pertinente. En fait, ce serait même étrange que vous ne la posiez pas.

Pouvez-vous m’en dire plus sur le rôle de l’équipe au sein de l’entreprise ?

Vous prenez de la hauteur sur votre rôle et cherchez à savoir quel pourra être l’impact de votre département sur le succès de l’entreprise au global. Bons points !

Quel type de manager est mon chef ?

Savez-vous comment les personnes que je managerai fonctionnent et aiment être encadrées ?

Vous manifestez une sensibilité pour le management, doublée de sollicitude et de capacité à vous adapter à une nouvelle équipe. C’est rassurant.

Les collaborateurs sont-ils encouragés à tester des stratégies ou à innover ? Dans quel cadre ? Comment un succès est-il déterminé ?

Cela montre votre esprit d’initiative et que vous souhaitez aussi avoir des résultats.

À quelle fréquence et comment évaluez-vous les performances des collaborateurs ?

Vous avez le souci de vous améliorer et approfondissez pour connaître la culture d’entreprise en termes d’atteinte d’objectifs.

Votre entreprise a-t-elle une culture de l’apprentissage en continu ? Si oui, les employés peuvent-ils proposer des formations qu’ils souhaitent suivre ?

Encore une fois, cela vous positionne comme proactif et volontaire.

Quels sont les prochains grands chantiers auxquels mon équipe / l’entreprise devra s’attaquer ? Quels sont les freins potentiels à la réussite de ces défis ?

Cela prouve que vous savez prendre de la hauteur et penser les enjeux stratégiques de l’entreprise.

J’ai vu que (telle entreprise) avait mis en place telle stratégie qui a très bien fonctionné et remplirait vos objectifs (X objectif). Avez-vous pensé à un projet similaire ? Si non, pourquoi ?

Vous montrez que vous réfléchissez déjà à des initiatives et que vous vous êtes renseignés sur le marché. 

Y a-t-il des points de vigilance sur mon poste ?
Variante : Avez-vous des conseils à me donner pour prendre mon poste en main de manière optimale ?

Cela montre que vous êtes ouvert aux conseils, proactif, que vous vous projetez et que vous voulez que cela se passe bien.

Une fois le processus bien avancé, vous pouvez demander si l’entreprise permet d’intéresser ses salariés aux résultats ou propose des BSPCE (Bons de souscriptions pour actions) à ses employés.

Cela montrera que vous souhaitez faire partie intégrante de l’aventure.

Avez-vous un point d’inquiétude sur mon profil / mes compétences / ma capacité à m’intégrer dans votre entreprise ?

Par là, vous donnez l’occasion au recruteur de discuter ouvertement de ses doutes, et vous pouvez l’aider à les lever.

Notre entretien touche à sa fin et je ne veux pas vous retenir. Mais voyez-vous un inconvénient à ce que je contacte l’un des collaborateurs de mon département pour lui poser des questions sur mon futur poste et les enjeux de notre équipe ?

Vous respectez le temps du recruteur tout en montrant votre dynamisme et envie d’aller plus loin dans le processus.

Quelles sont les prochaines étapes du processus de recrutement ?

Vous serez perçu comme une personne organisée et intéressée par le poste.


 
Et vous, en connaissez-vous d’autres ? Écrivez-les en commentaires !

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5 raisons de postuler en alternance chez Gabereek, l’école digitale des groupes Vivendi, Havas et Bolloré

Par : Nora Leon

Et si OpenClassrooms vous offrait sur un plateau la possibilité de vous former en alternance à un métier très recherché ?

Notre école en ligne propose justement des places pour se former en alternance au sein de Gabereek, l’école digitale innovante du groupe Vivendi (acteur mondial de la culture, du divertissement, des médias et de la communication) et du groupe Bolloré, leader du transport et de la logistique.

Ces places en or sont à pourvoir… Pourquoi pas par vous ? Voici 5 bonnes raisons de postuler dès aujourd’hui !

Apprendre un métier d’avenir

70% des métiers de 2050 ne sont même pas encore inventés. Mais le secteur de l’innovation recherche déjà ses talents sur divers postes ! Développement web, gestion de projet digital, product management, UX design, data, marketing, systèmes et réseaux… Tous les métiers sur lesquels Gabereek recrute en alternance sont très recherchés à l’heure actuelle.

Vous ajouterez donc à votre arc des compétences utiles pour augmenter l’attrait de votre profil professionnel. 

Mettre en pratique directement ce que vous apprenez

Le format de l’alternance est parfait pour apprendre, que ce soit votre première formation ou que vous changiez de métier.

Selon un rythme défini en accord avec Gabereek, vous passerez une partie de la semaine à étudier en ligne et le reste dans les locaux de l’entreprise (le télétravail est à convenir avec vos managers et en fonction de la situation sanitaire).

Vous aurez donc l’occasion de mettre en pratique directement le métier sur des missions stimulantes. Vous profiterez des opportunités offertes par les différentes équipes expertes sur leurs métiers, et développerez vos compétences en continu.

Faire partie d’un groupe international riche d’opportunités

Le groupe Vivendi compte de nombreuses entités telles que Canal+, Universal Music, Havas, Dailymotion, Gameloft, Editis… Le groupe Bolloré quant à lui est le leader du transport et de la logistique et compte aussi de nombreuses entités.
Intégrer Gabereek, c’est donc la possibilité de développer votre carrière dans un groupe aux multiples expertises, qui favorise la mobilité au sein de ses entités.

Vous former sans la contrainte financière

L’alternance est avantageuse pour les étudiants : la formation est prise en charge par l’employeur. Ce dernier rémunère aussi l’apprenti selon une grille tarifaire légale (en fonction de son expérience, de son âge…). 

C’est donc l’occasion d’acquérir des compétences précieuses sur le terrain et sans pression financière.

Décrocher un job à la sortie 

8 alternants sur 10 sont embauchés à la fin de leur contrat. C’est votre chance également de faire bonne impression et de vous intégrer aux équipes. Suite à leur expérience réussie, Gabereek souhaite recruter certains talents à la fin de leur alternance. À bons entendeurs ! 

Je veux postuler, que faire ?

Rendez-vous sur la page recrutement Gabereek – OpenClassrooms dès aujourd’hui pour postuler !

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CodinGame, l’entraînement de code aux tests techniques

Par : Nora Leon

Grâce au partenariat d’OpenClassrooms avec CodinGame, ses diplômés s’entraînent gratuitement aux tests techniques en développement informatique pendant leurs séances de coaching en insertion professionnelle

Pourquoi est-ce important dans le cadre d’un recrutement et comment fonctionne CodinGame, cet outil ludique et innovant ? Explications. 

Les tests techniques, une étape clé du recrutement 

En fonction du poste et du niveau attendu, de nombreux recruteurs Tech font passer des tests techniques. C’est l’occasion pour eux : 

  • D’évaluer le niveau sur un langage ou framework
  • De voir la façon dont le ou la candidat(e) réfléchit 
  • De tester des compétences particulières (algorithmie…)
  • Et enfin de voir comment la personne se débrouille en situation de stress. 

Pour préparer ces tests techniques, rien de mieux que la pratique. C’est la raison pour laquelle nous sommes ravis d’être partenaires avec CodinGame, un acteur qui aide énormément à roder sa pratique du code.

[À lire : Comment préparer un test technique ?

[À suivre : Notre cours pour se préparer aux tests techniques]

Comment s’entraîne-t-on sur CodinGame ? 

Sur CodinGame, plusieurs modalités sont disponibles pour coder. 

  • On peut s’entraîner sur des énoncés ludiques en prenant son temps ou avec un chronomètre pour se tester. 
  • On peut aussi participer à des compétitions, afin de monter en compétences encore plus rapidement grâce à l’enjeu. 

Dans tous les cas, on peut discuter avec la communauté très active de développeurs. 

Avec toujours en tête qu’on apprend mieux… en s’amusant ! Quand on se prépare sur la plateforme, on a donc autant l’impression de jouer que de bosser. Pratique… 

Nos étudiants témoignent 

« Je m’appelle Flore et je suis alternante en développement Front-end chez Free. Pendant mon coaching de six séances pour trouver mon contrat, je me suis entraînée sur CodinGame pour passer les entretiens techniques.

C’était super pour roder mes connaissances en algorithmique et m’entraîner à intégrer la syntaxe du JavaScript. Ça m’a vraiment permis de voir que si j’enlevais un point virgule mon code ne fonctionnait plus, et de trouver facilement le bug pour m’améliorer.

J’ai aussi apprécié de réfléchir sous forme de problèmes. Je me posais le problème en « pseudo code écrit », en me disant : « mon code doit faire telle chose ».  Je créais la boucle de condition en mots. Une fois que j’avais fait ça, je rédigeais le code proprement dit.

Un petit truc : au début, je trouvais cela stressant d’avoir un timer. Je recopiais l’énoncé pour pouvoir le résoudre tranquillement de mon côté… Mais c’est tout de même un bon exercice de bosser sous temps contraint quand on a plus d’expérience ».

[À lire : Comment Juliette, coach, a aidé Salomé à trouver un emploi]

Envie d’améliorer votre code sur CodinGame ? 

Direction les formations diplômantes en ligne d’OpenClassrooms pour bénéficier du coaching de 6 séances en insertion professionnelle.


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Comment réussir un salon de recrutement ?

Par : Nora Leon

Un salon de recrutement est une mine d’or pour trouver un emploi, car les entreprises sont présentes et disponibles pour rencontrer leurs futures pépites. Les personnes cochées gratuitement pour trouver un emploi au sein de l’école en ligne OpenClassrooms le savent, aller à ces événements est la promesse de créer des contacts de qualité et de multiplier ses chances de recevoir une offre d’emploi. Alors, pourquoi s’en priver ?

Dans cet article, nous vous expliquons : 

  • comment préparer un salon de recrutement ;
  • la méthode gagnante pour aborder une entreprise ;
  • comment relancer pour augmenter vos chances de résultats.

En amont : que préparer ? 

Un salon de recrutement représente une opportunité en or de faire bonne impression, à condition de s’être bien préparé(e). 

Un mois avant 

[TEMPS NÉCESSAIRE : entre 4h et 1 semaine]

Un salon de recrutement est avant tout une affaire d’image. Vous pouvez voir cela comme un speed-dating entre candidats et entreprises… où, comme en amour, il faut être pomponné(e). Physiquement, mais surtout au niveau de votre “personal branding”, encore appelé l’identité professionnelle.

Travaillez donc sur votre identité en avance pour avoir le temps de tout faire : 

  • créer ou améliorer votre LinkedIn (À lire : notre article sur le profil LinkedIn
  • nettoyer les pages indésirables ou personnelles sur Internet vous concernant (mettre Instagram et Facebook en mode privé…)
  • mettre à jour votre CV (À lire : notre article sur les CV)
  • rédiger votre pitch professionnel. C’est un petit paragraphe de trois ou quatre phrases qui présentent votre objectif professionnel. (À lire : notre article sur le pitch)

Autres éléments importants : 

  • Pensez aux cartes de visite ! On vous les demandera pendant le salon. Créez-les un mois à l’avance pour éviter tout stress. Avant impression, montrez-les à des amis ou professionnels du secteur visé pour avoir leur avis. Pour les créer facilement, plusieurs sites Internet existent, notamment Moo. Faites simple pour être efficace : prénom, nom, votre spécialité (par exemple Développeur Web), téléphone et email
  • si l’événement est payant, prenez vos places en avance, sinon vous risquez de vous retrouver sur le banc de touche… 

Si vous suivez ces instructions à la lettre et que vous n’avez pas encore travaillé sur votre identité professionnelle, vous pouvez en avoir entre 4h et  1 semaine complète de travail. Ne procrastinez pas trop, pour ne pas vous laisser surprendre…

Deux semaines avant 

[TEMPS NÉCESSAIRE : 15, 20 minutes par entreprise environ]

Un salon réussi est un salon pré-pa-ré ! Deux semaines avant, regardez les entreprises présentes et sélectionnez celles qui vous intéressent le plus. 

Pour nouer un contact de qualité avec elles, vous aurez besoin de faire des recherches. Nous vous conseillons de créer une fiche synthétique pour chaque entreprise, que vous pourrez emporter sur l’événement. 

Voici les informations nécessaires : 

  • nom, date de création, nombre d’employés 
  • une ou deux phrase(s) pour résumer l’activité, en partant du vocabulaire du site de l’entreprise
  • une ou deux phrase(s) sur pourquoi cette entreprise vous intéresse (ce sera très utile pour aborder l’employeur !)
  • deux ou trois interrogations que vous avez, ou choses qui vous interpellent, pour nourrir une discussion avec l’employeur
  • nom du RH (s’il n’y en a que 1, 2 ou 3), nom de votre potentiel boss si vous le trouvez sur LinkedIn. Ce seront peut-être eux sur le salon, et rien ne fait plus plaisir que de voir que la personne s’est renseignée et a visé juste en vous trouvant !

Ce travail de recherche est l’une des clés pour tirer parti du salon de recrutement. Plus vous montrerez que vous connaissez l’entreprise, ses membres et voulez comprendre ses enjeux, plus vous serez pertinent(e) aux yeux de votre potentiel employeur. C’est la raison pour laquelle nous conseillons de passer au moins 15 minutes à faire des recherches sur chaque entreprise

Une fois ces fiches réalisées, il est nécessaire de les relire régulièrement avant le salon, pour être bien à l’aise. 

Trois jours avant 

[TEMPS NÉCESSAIRE : 2 heures]

Trois jours ouvrés avant (attention au piège du week-end), préparez tous les éléments dont vous aurez besoin sur le salon :

  • imprimez votre CV sur un joli papier pour chaque entreprise (idéalement en personnalisant le CV), et une dizaine de fois au moins en modèle neutre au cas où vous découvririez d’autres stands intéressants. Pensez à la pochette pour les stocker et qu’ils ne soient pas chiffonnés. La pochette doit être sobre et en bon état, pour rester professionnel
  • si besoin, imprimez votre entrée au salon en même temps que les CV
  • prévoyez un carnet bon état et deux stylos (au cas où le premier lâche)
  • ayez vos cartes de visite à portée de main pour facilement les distribuer
  • gardez vos fiches dans la pochette pour les relire en cas de trou de mémoire
  • regardez où se tient le salon et comment vous y rendre
  • décidez des vêtements que vous allez porter et assurez-vous qu’ils soient propres [À lire : notre article sur le code vestimentaire par industrie]

Une fois cette liste déroulée, ça y est ! Vous n’avez plus qu’à attendre sereinement le salon. 

Le jour J : comment aborder une entreprise ?

Une fois le grand jour arrivé, ne laissez rien au hasard. L’objectif : faire grande impression les employeurs qui vous intéressent le plus. Voici nos conseils : 

1- Début de salon 

  • ne commencez pas par l’employeur que vous préférez : faites-vous la main sur quelques entreprises qui vous intéressent moyennement avant. 
  • une fois que vous êtes à l’aise avec votre pitch (2 ou 3 entreprises), vous pourrez attaquer. 

2- État d’esprit 

  • l’état d’esprit et l’énergie dans lesquels vous arrivez au stand feront la différence. Un salon est avant tout une rencontre humaine : soyez détendu(e) sans être désinvolte, souriant(e), et écoutez avec attention ce que vous dira la personne en face

3- Pitch

  • présentez-vous de manière brève et précise. Le recruteur doit avoir les réponses aux questions suivantes : “Comment s’appelle-il ? Quel est son projet professionnel / sa spécialité ? Pourquoi s’intéresse-t-il à mon entreprise ?
  • à la fin du pitch, vous pouvez finir en disant que vous savez que l’entreprise est en croissance et/ou qu’elle recherche [tel_poste] et demander au recruteur si c’est exact pour lui rendre la parole. 

4- Échange 

  • la discussion qui s’ensuit est le moment le plus important : montrez que vous vous êtes renseigné(e) sans pour autant faire un exposé, 
  • posez des questions sur l’entreprise, ses objectifs, ses besoins, le poste… 
  • pensez à sourire
  • à la fin, vous pouvez demander comment la personne souhaite continuer : devez-vous envoyer votre CV laissé en physique, une lettre, postuler sur le site, etc. 
  • et surtout remercier pour l’échange et souhaiter une bonne suite de salon.

Après le salon, comment augmenter mes chances ? 

Votre boulot ne s’arrête pas le soir du salon… au contraire ! C’est en aval du salon que vous pouvez vous différencier, car peu de candidats prennent le temps de remercier et relancer. 

  • le lendemain du salon, envoyez les candidatures demandées en disant que vous avez rencontré [prénom_nom_poste] et que vous remerciez pour l’échange. Vous pouvez parler de ce que vous avez retenu de l’échange (sans faire un résumé exhaustif bien sûr), de ce que vous avez apprécié dans l’entreprise… Et même ajouter la personne sur LinkedIn si vous avez bien senti la discussion
  • entre trois jours et une semaine après le premier envoi, relancez pour avoir une réponse. Ne vous découragez pas : quatre à six relances sont parfois nécessaires pour avoir gain de cause. [À lire : notre article pour savoir relancer]. Vous pouvez d’ailleurs même relancer par téléphone, c’est souvent très bien reçu et c’est très différenciant.

Bonne chance !

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8 métiers du digital très recherchés de l’après-crise

Par : Nora Leon

Gel des salaires et dépublication de 50% des offres au premier semestre 2020, les effets de la crise du Coronavirus sur le marché du travail se sont vite faits sentir. Alors, comment faire lorsqu’on ne projette pas de travailler dans l’un des secteurs devenus plus que jamais « essentiels », tels la santé ? 

De plus en plus de nouveaux métiers apparaissent sous l’influence du numérique.  Comment savoir lesquels seront demandés demain ? En dépit de la crise économique, de très belles places restent à prendre dans bien des domaines du numérique ou liés au numérique (tous les métiers qui ont été impactés par la digitalisation, par exemple responsable paie ou RH). Quels seront les métiers digitaux les plus en vogue en 2021 ? Nous avons croisé plusieurs études pour faire le point.

#1 Collaborateur paie

Il fait partie des métiers qui sont structurellement en déficit de talents. Autrement dit, puisqu’on manquait de gestionnaires de paie en 2020, on devrait aussi en manquer en 2021. Cette pénurie de profils explique que ce métier soit le premier sur la liste * de ceux qui vont augmenter en 2021 selon Capital. 

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Vous avez décidé d’apprendre ce métier ? La formation Gestionnaire de paie en alternance est faite pour vous.

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#2 Commercial grands comptes

Métier star car l’un des plus demandés ** depuis le déconfinement (il figure en 4ème place), il a de beaux jours devant lui. Pour relancer l’économie et surtout leurs ventes, les entreprises devront redoubler d’efforts commerciaux et auront donc besoin de renforts. Ce métier aussi devrait voir son salaire augmenter en 2021, toujours selon Capital.

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Vous avez décidé d’apprendre ce métier ? La formation
Commercial en alternance est faite pour vous.

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#3 Développeur informatique

Là encore, si les développeurs étaient trop peu nombreux pour l’explosion de demandes en 2020, ils devraient le rester en 2021. L’étude Michael Page sur les recrutements face à la Covid-19 est claire, elle met en premier « l’ensemble des métiers de l’IT ». Il s’agit d’un échantillon large qui comprend les métiers de développeur Web, développeur mobile, technicien informatique, administrateur infrastructure et cloud… le métier de développeur étant le 8ème le plus recherché entre le premier et le deuxième confinement.

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Vous avez décidé de devenir développeur ? La formation Développeur Web en alternance est faite pour vous.

Envie de commencer par tester ce métier puis d’être accompagné(e) pour trouver une alternance pour l’apprendre ? Direction le Programme Prép’Apprentissage 100% financé. 

Vous êtes demandeur(se) d’emploi ? Pôle Emploi finance votre formation à temps plein grâce au programme “Solution 100% à distance”.

#4 Chef de projet informatique

Chef d’orchestre sur des projets Web, le chef de projet digital est de plus en plus recherché. De nombreuses entreprises font appel à lui pour gérer des projets complexes, au carrefour entre les ventes, le marketing et la Tech (développeurs, équipes produit et IT). Pas étonnant donc qu’on le retrouve dans la liste des métiers dont le salaire va augmenter en 2021. 

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La formation Chef de projet est parmi les plus suivies de l’école en ligne OpenClassrooms : foncez ! Elle est disponible aussi en alternance.

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#5 Data analyst, data scientist

L’étude *** Michael Page publiée à l’automne 2020 met en avant les profils de la data comme des réservoirs à emploi. Selon ces experts, le numérique et les nouvelles technologies resteraient toujours aussi porteurs. 

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Prêt(e) à devenir data analyst ou data scientist ? Cette formation est disponible aussi en alternance et est financée par Pôle Emploi si vous êtes demandeur(se) d’emploi. Postulez au programme “Solution 100% à distance”

#6 UX designer

Tout aussi en demande que les métiers de l’IT, celui d’UX designer a la cote. Chargé de proposer la meilleure expérience utilisateur possible sur un produit numérique (site, application, etc), il est indispensable aux entreprises du numérique. Lui aussi devrait voir son salaire augmenter en 2021.
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Vous avez décidé de devenir UX designer ? La formation d’UX designer en alternance est faite pour vous. 

#7 Expert en cybersécurité

Dans une société régie par la donnée, le secteur de la cybersécurité est en plein essor. Nul doute que les experts encore trop peu nombreux pour les besoins croissants des entreprises seront demain encore très recherchés. 

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Vous avez décidé de travailler dans la cybersécurité ? Jetez un coup d’œil au Master « Responsable en Sécurité des Systèmes d’Information » délivré par l’Université de Technologies de Troyes sur OpenClassrooms. Cette formation est disponible aussi en alternance.

Pour les demandeur(se)s d’emploi, Pôle Emploi vous propose une formation à temps plein et 100% financée de Responsable en sécurité des systèmes d’information.

#8 RH

De manière contextuelle, les responsables des ressources humaines devraient également être plus mobilisés que jamais. Certaines entreprises au climat social instable feront en effet appel à leurs services pour faire passer la tempête, selon l’étude Michael Page. 

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Vous avez décidé d’apprendre ce métier ? La formation Responsable RH en alternance devrait vous convenir. 

En un mot 

Plus que jamais, c’est un défi de s’orienter sur le marché du travail. De nouveaux métiers apparaissent en permanence, alors que certains postes se font rares. Nous espérons que cet article vous aura aidé(e) à voir quelles voies seront prometteuses dans les mois à venir. 

Et si vous souhaitez bénéficier d’une aide pour vous former ou vous reconvertir, sachez que nos équipes sont disponibles. Nous vous accompagnons de votre orientation ou votre recherche d’alternance, vous suivons tout au long de votre formation et jusque dans votre recherche de job, à l’aide d’un coach RH dédié.

Ça m’intéresse 

* Source : Capital, 2020 (Lien).
** Source : La Dépêche (Lien).
*** Source : Michael Page, 2020 (Lien).

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La check-list des bonnes pratiques à adopter entre deux entretiens

Par : Lou Dumas

Entretien 1, c’est plié. Processus bouclé ? Pas tout à fait car, si c’est une bonne chose de faite… vous êtes dans l’attente du suivant. Bingo, le recruteur vous rappelle suite pour un deuxième entretien… Votre votre formation en ligne chez OpenClassrooms et votre motivation l’ont interpellé ! Dans l’intervalle, vous ne comptez tout de même pas en rester là ?

OpenClassrooms vous explique point par point comment profiter des quelques jours qu’il vous reste pour mettre toutes les chances de votre côté et relancer intelligemment votre interlocuteur.

Pour élaborer cette check-list, nous avons sollicité les lumières d’une experte, Marion Comolet, membre de l’équipe Talent Solutions chez LinkedIn anciennement RH responsable du recrutement chez Parfums Christian Dior (LVMH).

« Avant toute chose, demandez au recruteur de s’avancer sur un calendrier de recrutement. Une fois qu’il s’est engagé sur une date maximale de retour, il vous sera plus facile de relancer et surtout de savoir quand le faire. »

Maximiser ses chances

Renforcer son CV a posteriori

Vous avez une faiblesse sur un point par manque de connaissances ou d’expérience sur le sujet ? Il vous reste quelques jours pour rectifier le tir et prendre les devants en suivant – pourquoi pas ? – un cours en ligne !

« Par exemple on a testé votre niveau en espagnol, vous n’avez pas été satisfait(e) de votre performance, vous pouvez parfaitement expliquer que vous êtes prêt(e) à entreprendre des démarches pour vous améliorer. Attention cependant à ne pas focaliser l’attention du recruteur dessus, il avait peut-être trouvé votre niveau suffisant. »

Prouver sa proactivité

Vous pouvez également vous inscrire à une formation qui démontrera votre proactivité lors du prochain round. Vous pourrez ainsi revendiquer une corde de plus à votre arc, à venir très prochainement.

Ne pas proposer l’irréalisable toutefois, vous ne pourrez pas apprendre à coder d’ici l’entretien suivant. Quoique… 

Booster votre préparation

Vous en voulez encore plus sur les subtilités du poste, de l’entreprise, du secteur ? Vous avez la possibilité d’interroger des salariés, en restant bien entendu courtois et respectueux de leur temps. Privilégiez pour cela de courts entretiens téléphoniques ou des messages LinkedIn ciblés.

Relancer avec pertinence

Remercier, tout simplement

Simple, rapide, efficace.

On pense que tous les candidats font des mails de remerciement mais je peux vous assurer que ce n’est pas le cas.

Poser des questions appropriées

Votre interlocuteur ne pourra pas vous reprocher de vouloir prolonger la discussion, à condition que vos interventions soient à propos. Que ce soient des questions qui vous taraudent a posteriori…

Ou des références “clin d’œil”

Article intéressant reprenant un sujet abordé, documentation diverse (liens, vidéos…) : posez-vous toujours la question de leur valeur ajoutée pour votre interlocuteur. Si celle-ci vous paraît élevée, vous pourriez bien faire la différence avec ce genre de propositions : elles suggèrent ce que vous pourriez apporter à l’équipe par la suite !

« Certains recruteurs ne souhaiteront pas nécessairement ces informations, d’autres les apprécieront, l’important est de comprendre leurs attentes. Une excellente candidate que j’ai rencontrée il y a quelques années m’avait fait suivre après un entretien un livre qu’elle lisait sur les enjeux d’un nouveau secteur pour lequel je recrutais. Ce n’est pas la raison pour laquelle elle a été recrutée mais c’est un petit plus non négligeable ! »

Les limites de l’exercice

Ce genre de relance se fait par mail, il faut savoir que les processus de recrutement sont toujours plus longs que prévu, il est donc nécessaire de relancer de façon professionnelle, calme et bienveillante vis-à-vis du recruteur.

Time is the limit!

N’abusez pas du temps de vos interlocuteurs. Le principal écueil à éviter ? L’effet pot de colle. Qui voudrait d’une sangsue dans son équipe au quotidien ?

Précision, concision, pertinence

Prenez ces trois conditions comme un triangle d’or pour vos interventions entre deux entretiens. Demandez-vous toujours si ce que vous vous apprêtez à envoyer répond bien à cette trilogie de critères gagnants. Pas de précipitation donc : tout est possible jusqu’à quelques heures avant la prochaine interview !

« Dans tous les cas, les emails doivent être rédigés avec le plus grand soin, attention aux fautes d’orthographe, n’hésitez pas à les faire relire car le stress peut parfois vous faire passer à côté d’erreurs. »

La question du last minute

Si les timings sont courts, il n’en reste pas moins important d’anticiper un tout petit peu. Votre interlocuteur 1 doit avoir le temps de vanter vos mérites à votre interlocuteur 2 à la machine à café…

« Vous pouvez à la fin de vos entretiens demander « Y a-t-il un moment où vous serez moins joignable dans les jours qui viennent ? », car rien ne sert d’attendre si le recruteur est parti en vacances et au moins vous savez à quoi vous en tenir. »

Vous détenez désormais la check-list idéale pour optimiser votre temps entre deux entretiens… il ne reste plus qu’à déterminer quelles sont les options les plus adaptées à votre cas et – surtout – à vous faire confiance. N’hésitez pas par ailleurs à ressortir ce guide en cas de troisième ou quatrième entretien…

Enfin maintenez la relation en éveil.

« Il se peut que vous ne soyez pas sélectionné(e) pour ce poste ou que l’entretien soit exploratoire, vous faites alors partie des viviers de talents de l’entreprise, n’hésitez pas à entretenir cette relation ! Envoyez de vos nouvelles (pas plus de deux fois par an). J’ai de nombreux exemples de candidats qui ont ainsi été embauchés des mois ou des années plus tard. »

Bonne chance !

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[Secteur] Pourquoi et comment travailler dans la FinTech ?

Par : Nora Leon

Avec près de 400 millions d’euros levés par près de 70 entreprises en 2018, la FinTech a le vent en poupe.

Puisque la formation en ligne OpenClassrooms se met un point d’honneur à accompagner ses diplômés vers l’emploi, nous avons rencontré Amélie Bérille, spécialiste en recrutement à l’international, experte dans le domaine et recruteuse chez Payment & Cards Network.

Amélie nous a éclairé sur les actualités dans ce secteur, ainsi que les pré-requis pour y travailler. Tour d’horizon d’un marché en hyper-croissance qui recrute dans tous les domaines d’expertise.

Un secteur en prise de vitesse

La FinTech, définition

La FinTech est née du croisement de la finance et de la technologie.

C’est un marché innovant, qui repense des services financiers ou bancaires en utilisant de nouvelles technologies ou en créant de nouveaux usages.

Le secteur de la FinTech regroupe différents acteurs : néo-banques, AssurTech, RegTech, entreprises de paiement, financement participatif ou encore crypto-monnaies.

Quelles évolutions pour ce secteur ?

Le secteur de la FinTech en pleine expansion et de nombreux acteurs entrent en jeu tous les ans. Selon France FinTech, on peut compter plus d’une centaine d’acteurs sur le marché Français. Parmi eux, on peut citer par exemple Leetchi, Qonto, Spendesk, October, Treezor ou encore Pumpkin.

Le nombre de levées de fond réalisées par les FinTech a aussi fait un bond, passant de 172 millions (2015) à 318 millions (2017). Un chiffre qui s’est encore amplifié en 2018 (365 millions) et reste en constante augmentation.

C’est un secteur en pleine croissance, qui recrute. Les entreprises grandissent et s’internationalisent rapidement, soit en créant des bureaux à l’étranger, soit en s’exportant à l’international depuis la France.

La FinTech recrute dans toutes les spécialités

Des défis multiples

Les FinTechs ont comme mission de dépoussiérer le secteur bancaire traditionnel, notamment à coup d’innovations ou encore d’expérience client revisitée.

Entre fusion, acquisition et grosses levées de fonds, le secteur se structure et mûrit.

Ces entreprises évoluent dans un cadre très réglementé, notamment avec de nouvelles lois européennes telles que la RGPD ou la DSP2. “Ces réglementations peuvent être des freins mais aussi de vraies sources d’opportunités et d’accélération.”

L’enjeu est d’innover et toujours se développer dans un cadre qui peut être contraignant.

Des problématiques de recrutement

Qui dit croissance dit embauches, et notamment des profils commerciaux, techniques, technico-fonctionnels ou experts dans certains domaines.

Les entreprises recherchent des profils très variés, assure Amélie. 10 à 30% des postes à pourvoir sont des rôles IT : Développement web, DevOps, Data, Chef de Projet Technique, etc.  Des connaissances en IA, blockchain, machine learning ou la capacité à comprendre d’une API sont souvent appréciées. Des postes dans la Fraude, Risques ou encore la Conformité sont aussi nombreux.

Les FinTechs sont comme toutes autres entreprises ont aussi des fonctions supports : marketing et communication, ressources humaines, finance, comptabilité… »

En fonction de l’entreprise (sa taille, le niveau de maturité de son produit), ces besoins changent. Certains recrutements sont aussi intimement liés au produit : “Par exemple, une FinTech avec une solution B2C de type app mobile va plutôt rechercher des personnes dans ce domaine.”

Les profils très techniques ou liés à une expertise particulière peuvent être plus difficiles à identifier. ”Ce n’est pas spécifique à la FinTech, mais ces profils sont rares et il peut être compliqué de les attirer. C’est plutôt un marché qui va être drivé par les candidats que les entreprises”.

Il s’agit donc d’aller chercher ces candidats et les attirer, ce qui fait pleinement parti du rôle des recruteurs!

Sur des critères précis

Quels sont les pré-requis ?

Contrairement aux idées reçues, il n’est absolument pas nécessaire d’avoir travaillé en banques ou assurances pour intégrer une FinTech.

De manière générale, les profils avec une vraie culture web, Tech et venant d’environnements IT, Software, e-commerce, mobiles, ou du paiement par exemple sont souvent privilégiés.”

Mais la curiosité est clé : “Étant de fait des Start Up – ou anciennes Start Up – avec une profonde identité Tech, les Fintech recherchent des talents avec ce même mindset. Curieux, touche à tout, et doté d’un brin d’esprit entrepreneurial seraient sûrement les fondamentaux du profil idéal. On pourrait également ajouter la capacité à innover, à repenser, à s’adapter – sans oublier l’agilité”.

Quelles compétences sont décisives ?

Il faut être motivé, curieux et intéressé par le secteur. L’important est de trouver la bonne FinTech et le bon poste pour un profil donné.

“En termes de soft-skills, on cherche des personnes qui savent innover, s’adapter, entreprendre, évoluer dans un environnement agile et international. Une start-up est en permanente évolution, donc pour réussir, les employés doivent aussi adhérer à la mission, et avoir un vrai esprit d’équipe”.

Pour postuler, Amélie nous transmet plusieurs conseils avisés :

  • Il faut vraiment s’adapter au type d’entreprise. Pour moi, la lettre de motivation classique n’est plus trop d’actualité. Il vaut mieux un CV bien ciblé, adapté en fonction du poste, et surtout un mail de contact vraiment personnalisé. Le candidat doit dire ce qu’il peut apporter, avec un ton adapté, de manière synthétique.
  • On ne s’embarrasse pas des formules ronflantes et à rallonge, le ton est plus informel que dans une banque traditionnelle.
  • Pensez à identifier les Recruteurs, Chasseurs de tête ou agences de recrutement dans le domaine et contactez-les !
  • Le réseau est aussi important. On peut parfois envoyer un message à un directeur, ou au recruteur sur LinkedIn pour échanger, se renseigner, être curieux…”

    L’expérience montre souvent qu’y aller un peu au culot peut payer.

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Comment utiliser LinkedIn efficacement dans sa recherche d’emploi

Aujourd’hui, il est impensable d’aborder sa recherche d’emploi sans le recours à LinkedIn, le réseau social professionnel le plus populaire avec près d’un français sur 3 actif sur le réseau. Les entreprises et les recruteurs y sont présents, et les candidats ont à leur portée de nombreux outils pour se distinguer.

Amélie Bérille est consultante dans un cabinet de recrutement international.  Elle nous donne ses meilleurs conseils pour optimiser l’utilisation du réseau LinkedIn et décrocher l’emploi dont on rêve.

[Pour aller plus loin, à suivre, notre cours gratuit Élaborez votre stratégie de recherche d’emploi qui comprend tout un volet sur l’optimisation de son profil LinkedIn. D’autres cours gratuits sont disponibles dans la rubrique insertion professionnelle].

Le mode veille

Même si on est en poste, il est toujours recommandé de garder un œil sur les actualités du marché du travail, notamment dans le secteur qui nous concerne. Cette démarche de veille sera extrêmement bénéfique le jour où vous serez réellement en recherche d’un nouvel emploi. Comme vous y prendre ?

Repérez les entreprises intéressantes

Faites-vous une liste de celles dans lesquelles vous souhaiteriez exercer, et suivez-les sur LinkedIn, pour recevoir leurs actualités.

Il y a notamment une fonctionnalité sur LinkedIn qui permet de suivre l’actualité d’une entreprise en un clic, c’est pratique.

Identifiez les bonnes personnes dans l’écosystème

Si vous adressez la lettre de motivation à la bonne personne ou que vous avez déjà parlé de la culture d’entreprise avec un des collègues, vous gagnez des points. LinkedIn est une mine d’or pour se renseigner sur les personnes que vous allez cibler, ne vous en privez pas.

Ça peut être le manager de l’entreprise qui vous intéresse, son fondateur ou la personne en charge du recrutement. Le candidat peut aussi se renseigner sur les cabinets de recrutement, les chasseurs de têtes, ou les agences spécialisées dans un secteur ou un métier particulier.

Entrez en contact avec ces personnes

Il est parfois plus facile d’envoyer une invitation à quelqu’un d’un simple clic que d’entamer ensuite la conversation avec cette même personne. Pour Amélie, il ne faut pas hésiter : « Je pense que c’est bien de demander des connexions avec les personnes qui vous intéressent, de leur envoyer une invitation et aussi de leur envoyer un message personnalisé ».

C’est constructif d’entamer un dialogue, à condition que ce soit pertinent et ciblé donc il faut évidemment se renseigner au préalable pour ne pas que la demande ait l’air hasardeuse.

Soyez transparent

N’ayez pas peur de dire exactement ce que vous cherchez et de partager votre démarque dee manière transparente. « C’est généralement bien perçu, on peut par exemple envoyer : « J’élargis en ce moment mon réseau et je suis très intéressé par votre entreprise ou votre secteur. Je serais curieux d’échanger avec vous sur le sujet ». »

Soignez votre e-réputation

Nous sommes nombreux sur LinkedIn, mais beaucoup moins à être réellement actifs et à prendre la parole. Or, c’est l’un des moyens les plus efficaces pour être visible. Tout repose sur la manière de faire, voici les conseils d’Amélie :

Les bonnes pratiques

Les maladresses à éviter

Publier ou partager des contenus concernant son secteur d’activité ou domaine d’expertise

S’en tenir à une fréquence d’un contenu par semaine

La publication de CV vidéo a généralement un impact positif s’il est bien construit

Attention, LinkedIn n’est pas Facebook. Il ne faut pas y publier des contenus personnels de type photos de vacances.

Les commentaires ou posts négatifs pour se plaindre des recruteurs ou de son employé sont rédhibitoires

Ne rien faire que vous n’aimeriez pas que votre futur collègue ou employé voit

Le mode recherche active

Après l’étape de veille, de nombreuses fonctionnalités LinkedIn peuvent vous faciliter la tâche pour devenir visible aux yeux des recruteurs et chercher activement un nouvel emploi.

“ Ouvert aux opportunités professionnelles »

Lorsque vous êtes en recherche active d’emploi, Amélie recommande d’activer l’option “Ouvert aux opportunités professionnelles”. Elle indique ce que vous recherchez (le type de poste, d’entreprise, la localisation). On peut même affiner cette recherche en ajoutant quelques notes.

Amélie précise : « Ceci n’est visible que par les recruteurs (profils LinkedIn recruteurs) qui reçoivent une notification et sont informés de votre disponibilité. »

Utilisez la page Carrière

La page Carrière sur LinkedIn recense toutes les offres d’emploi des entreprises, ce qui permet de faire une vraie recherche ciblée avec les filtres qui vous correspondent. Il est également possible d’activer les notifications pour chaque nouvelle offre d’emploi qui apparaîtra vous concernant.

Pour exploiter pleinement cette fonctionnalité, Amélie ajoute : « Lorsque l’on est en recherche active, c’est le moment privilégié pour mettre en branle le réseau que l’on a constitué au moment de notre veille. Sur la page Carrière, vous pouvez également repérer les personnes qui sont en poste dans les entreprises qui vous intéressent pour vous faire conseiller, recommander ou coopter. »

Souscrivez à l’abonnement Premium

Amélie recommande également de souscrire à l’abonnement LinkedIn Premium au moment où on passe en recherche active.

L’investissement sur quelques mois en vaut la chandelle je pense. Cela permet de débloquer d’autres fonctionnalités intéressantes comme l’envoi de InMail à des personnes qui ne sont pas dans notre réseau.

Pour aller plus loin

Comment cartonner sur LinkedIn ?

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Quelles sont les bonnes pratiques entre deux entretiens ?

La recherche d’emploi n’est pas un long fleuve tranquille et les étapes sont parfois nombreuses avant d’obtenir une réponse à sa candidature.

Loin d’être une science exacte, il y a néanmoins certaines pratiques qui permettent de mettre toutes les chances de votre côté.

ll n’est pas rare que l’on décroche un premier entretien avec un certain interlocuteur puis que l’on vous fasse rencontrer une autre personne de l’entreprise pour une deuxième sélection, voire davantage.

Comment se préparer entre deux entretiens et maximiser les probabilités de réussite ?

Pallier ses lacunes

Le premier entretien permet de tester l’eau, de découvrir l’état d’esprit de l’entreprise et du recruteur ainsi que leurs attentes. Avant l’étape suivante, il est intéressant pour vous de faire un debriefing pour voir comment améliorer ces entrevues.

Se former

Si lors des précédents échanges, vous vous êtes trouvé en difficulté au sujet d’une compétence exigée par l’entreprise que vous n’avez pas, vous pouvez essayer de faire la différence à l’entretien suivant. Caroline est consultante en Ressources Humaines et explique : “Certaines entreprises ont besoin que leurs employés soient à l’aise avec un logiciel en particulier par exemple. Si le candidat n’en maîtrise pas l’utilisation, il peut se sentir piégé lors du premier entretien mais je trouve cela valorisant à l’entrevue suivante de montrer que l’on a essayé de se renseigner, pourquoi pas indiquer que l’on a suivi une petite formation en ligne ou que l’on a mis en place un mentorat avec quelqu’un de son réseau qui a la compétence recherchée.”

S’informer

On ne sait pas toujours à l’avance comment un entretien d’embauche va être mené. Il est possible que vous n’ayez pas réponse à tout dès le premier échange, et ce n’est pas forcément rédhibitoire. Il est aussi courant que le premier entretien soit relativement superficiel, puis que le suivant serve à aborder certains sujets de manière plus approfondie, comme l’actualité de l’entreprise, ses enjeux actuels, ses projections à plus ou moins long terme, etc. Dans ces cas, il est intéressant d’utiliser le temps entre deux entretiens pour compléter vos connaissances sur l’entreprise :

Parfois, simplement taper le nom de l’entreprise ou du domaine d’activité dans Google Actualités permet de rester à jour et d’obtenir une ou deux informations clés à réutiliser lors de l’entretien suivant.”

Entretenir le dialogue

En terme de communication entre le recruteur et le candidat, tout est question d’équilibre. Ce peut être efficace de se rappeler à la mémoire du recruteur entre deux entretiens si le clin d’œil est fait avec subtilité, comme l’explique Caroline :

 

Les recruteurs n’aiment pas les candidats qui en font trop, ils aiment avoir le temps de prendre du recul sur le premier entretien pour pouvoir préparer la suite du processus de recrutement.

« Il ne faut donc pas donner le sentiment de les harceler. En revanche, si vous lisez une info en rapport avec un sujet mentionné lors de votre précédente entrevue ou sur lequel vous auriez envie de rebondir lors du suivant, ce peut être pertinent d’envoyer au recruteur le lien d’un article ou d’une vidéo pour souligner votre intérêt. Vous pouvez aussi envoyer un mail plus formel qui récapitule le premier échange puis qui développe ce dont vous aimeriez encore discuter la fois suivante (négociation du salaire, précision des missions, des avantages etc).”

Approfondir & anticiper la suite

Le premier entretien d’embauche se prépare évidemment avec soin. Mais il ne faut pas relâcher la garde entre les différentes étapes qui seront toutes de plus en plus spécifiques : entretien avec une personne plus haut placée dans la hiérarchie, échange autour d’un sujet particulier, mise en situation, tests d’anglais, de logique ou technique.

Adrien a l’habitude des processus de recrutement à rallonge, il a travaillé chez Wedogift, chez Hubspot, chez Vekia et vient de démarrer un nouveau job au sein de la start-up Alan.
Il nous partage son expérience :

Je regarde régulièrement le blog de l’entreprise en question pour être à jour de son actualité et des articles qui peuvent m’aider à comprendre le marché.

« Ensuite, je fais évidemment un tour sur la page Facebook pour vérifier qu’il n’y a pas eu de nouveau post entre les deux entretiens ».

Au plus j’avance dans le processus de recrutement, au plus je vais chercher en détail des informations qui peuvent faire la différence.

Par exemple, je vais regarder à quels comptes l’entreprise est abonnée sur Twitter pour essayer de comprendre quelles sont les personnes qui sont influentes dans ce secteur d’activité et qui sont considérées comme des modèles. J’utilise aussi Linkedin, quand je suis suffisamment avancé dans le processus de recrutement et que je commence à me projeter. Je vais regarder le profil de mes potentiels futurs collègues. Je pense que ce n’est pas nécessaire pour le premier entretien, alors que cela peut faire la différence dans un deuxième temps, au moment où tous les moyens sont bons pour se démarquer. Je regarde leurs expériences passées, les articles qu’ils ont publiés, likés et je vois comment faire le lien avec ce que moi je veux montrer et apporter à l’entreprise.”

Au-delà des réseaux sociaux, le site de l’entreprise regorge souvent d’informations indispensables pour rester en alerte entre deux entretiens, notamment la page “Carrière” qui donne souvent de précieux renseignements sur la culture d’entreprise.

Caroline recommande aussi de se tourner vers des sites comme Welcome to the Jungle ou Glassdoor : “Ces plateformes donnent de précieuses informations sur la vie de l’entreprise si elle y est référencée.
Sur Welcome to the Jungle, vous pouvez trouver des informations comme la parité dans la boîte, le nombre de salariés, le nombre de postes vacants etc. Sur Glassdoor, il y a les témoignages précieux de personnes qui ont déjà passé des entretiens d’embauche dans l’entreprise, vous pouvez donc vous rendre compte de la façon dont est menée le recrutement et vous y préparer de façon adéquate. Vous trouverez aussi le niveau de salaire proposé afin d’anticiper le moment de la négociation de votre rémunération ».

Le premier entretien sert à cerner votre personnalité, c’est important de rester dans la mesure et de ne pas en faire trop. Mais ensuite, c’est précieux d’arriver au 2ème ou 3ème entretien en ayant ce genre d’informations en tête, cela peut réellement faire la différence par rapport aux autres candidats.

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Reconverti et indépendant : quel statut choisir ?

Liberté, créativité, horaires flexibles, travail nomade : si pour vous reconversion rime avec indépendance, il y a de fortes chances que vous vous lanciez dans le monde du freelancing ou de l’entreprenariat.

Le choix du statut juridique de votre future entreprise est une étape incontournable lorsque vous décidez de travailler à votre compte. Il dépendra bien évidemment de votre activité, mais aussi d’autres critères personnels.

Pas simple alors de saisir toutes les subtilités fiscales de chaque statut : le jargon et les acronymes ont de quoi laisser perplexe. Pour vous aider à y voir plus clair, voici un tour d’horizon de toutes les possibilités qui s’offrent à vous.

SARL, SAS, EURL et autres acronymes : quelle différence ?

Avant de rentrer dans le vif du sujet, une première grande distinction s’impose. En effet, le choix du statut juridique d’une entreprise dépend tout d’abord :

  • Du nombre de personnes qui la composent
  • Et de la responsabilité endossée par l’entrepreneur ou l’indépendant qui se lance sur le marché.  

Si vous vous lancez en solo, vous représentez votre propre structure et n’avez pas forcément besoin de créer une société : vous pourrez exercer en tant que micro-entrepreneur ou bien en EI (Entreprise Individuelle).

Dans ce cas, votre responsabilité vis-à-vis de votre situation financière et fiscale est dite  « illimitée » : il n’y a pas de séparation entre vos ressources personnelles et vos gains professionnels.

Au contraire, en créant une société, votre responsabilité est « limitée » : votre entreprise est une personne morale et vous y injectez un capital. Vos biens personnels sont donc protégés en cas de faillite. Et la société vous permet bien évidemment de travailler avec des associés.

Micro-entreprise et Entreprise Individuelle : débuter une activité sans contraintes

La Micro-entreprise est, de fait, une entreprise ultra-simplifiée. Sa création et sa radiation sont rapides et gratuites. En tant que micro-entrepreneur, vous êtes considéré comme un travailleur non-salarié (TNS) et êtes affilié à la Sécurité Sociale des Indépendants (ex RSI) ; vous disposez d’un numéro de SIRET, vous payez des cotisations sociales à l’Urssaf et êtes imposé sur vos revenus.

En micro-entreprise, tout se base sur votre CA (chiffre d’affaire) : vous facturez vos clients, et, selon la nature de votre activité, vous acquittez d’un taux maximum de charges sociales d’environ 23%. Si vous ne gagnez rien, vous ne payez pas de charges.

En contrepartie de cette grande souplesse, vous ne pouvez pas dépasser les 70 000 € de CA annuel. Et vous n’êtes assujetti à la TVA (20% à rajouter sur la facture et à reverser à l’Etat) qu’à partir de 33 200 €.

A retenir :

  • Vos capitaux personnels et professionnels ne sont pas séparés : votre entreprise, c’est vous !
  • Légalement, vous devez tout de même disposer d’un compte bancaire séparé pour encaisser vos clients.
  • Vous devez déclarer mensuellement ou trimestriellement vos revenus, même s’ils sont nuls.
  • Votre comptabilité est simplifiée et vous êtes responsable de la tenue de vos comptes.
  • Vous pouvez payer vos impôts en même temps que vos cotisations à l’Urssaf (versement libératoire sur l’impôt) ou bien séparément ; dans ce cas, vous bénéficiez d’un abattement de 34% avant impôt.

Les aides :

Si vous êtes inscrit au chômage au moment où vous créez votre micro-entreprise, vous bénéficiez de l’ACRE : vos charges sociales sont moins élevées et augmentent progressivement sur trois ans avant d’atteindre le pourcentage défini par la loi.

L’Entreprise Individuelle est également une entreprise simplifiée. La création est gratuite, il y a peu de formalités de gestion, et vous n’êtes pas tenu à publier vos résultats comme pour une société. De même qu’en micro-entreprise, vous êtes un travailleur non-salarié, affilié à la Sécurité Sociale des Indépendants.

Si vous optez pour ce statut, vous pourrez toutefois déduire vos frais professionnels de votre chiffre d’affaire. Cela signifie que votre entreprise générera des bénéfices (CA – frais réels = bénéfices), sur lesquels seront calculées vos cotisations sociales (à hauteur d’environ 40/45%).

Frais professionnels, quesako ?

Les frais professionnels déductibles désignent les dépenses nécessaires au bon fonctionnement de votre entreprise. Ces frais doivent être justifiés et cohérents avec votre activité. Quelques exemples :

  • Repas personnels ou professionnels
  • Loyers (si vous travaillez depuis chez vous)
  • Frais de fournitures
  • Frais de transport
  • Frais engagés dans la création d’un site internet professionnel
  • Achat de matériel…

A retenir :

  • Ici encore, votre patrimoine personnel est confondu avec vos revenus professionnels.
  • Votre comptabilité est simplifiée. Attention néanmoins à demander un visa fiscal à un comptable pour ne pas se voir majorer les cotisations sociales de 25%.
  • Votre rémunération correspond aux bénéfices nets engendrés par votre activité
  • Votre chiffre d’affaire n’est pas plafonné.

Attention : si vous êtes un créatif et que vous souhaitez vendre de la production artistique uniquement, intéressez-vous plutôt aux régimes sociaux de la Maison Des Artistes et de l’AGESSA, plus intéressants en termes de charges sociales.

EURL et SARL : maximiser votre rémunération

Si vous dépassez le plafond de chiffre d’affaire imposé par le statut de micro-entrepreneur, vous pouvez vous lancer dans la création d’une Entreprise Unipersonnelle à Responsabilité Limitée (EURL) ou d’une Société A Responsabilité Limitée (SARL).

Dans ces deux cas, l’entreprise constitue une personne morale distincte de votre personne physique. Votre responsabilité est donc engagée uniquement sur le capital social investi au départ. En EURL et SARL vous êtes toujours considéré comme un travailleur non-salarié, affilié à la Sécurité Sociale des Indépendants.

Qu’est-ce qui change par rapport au statut de micro-entreprise ou d’EI ?

Premièrement, la comptabilité d’une entreprise autre que la micro-entreprise ou l’EI est toujours gérée par un expert comptable ; de plus, la création/radiation d’une société engendre des frais.

Dans le cadre d’une société, vous aurez la possibilité de vous dégager une rémunération : le montant et la fréquence de cette rémunération reste à votre discrétion. Et fiscalement, votre entreprise est désormais soumise à l’impôt sur les sociétés (un impôt plafonné selon votre CA, qui peut s’élever à 15, 28 ou 33%).

Concrètement, vous réalisez un chiffre d’affaire duquel seront déduits vos frais professionnels ainsi que votre rémunération nette, et les charges sociales directement proportionnelles à cette rémunération (à hauteur de 38%). Une fois l’impôt sur les sociétés soustrait, il vous reste le bénéfice. Ce bénéfice, vous pouvez décider d’en faire votre trésorerie ou bien de vous le verser sous forme de dividendes à la fin de l’année. Les dividendes sont soumis à l’impôt sur le revenu.

A retenir :

  • Même en l’absence de chiffre d’affaire, vous payez des cotisations minimales annuelles.
  • On déclare une fois par an son chiffre d’affaire.
  • Les statuts EURL et SARL sont intéressants si vous souhaitez bien vous rémunérer ; en revanche, votre couverture sociale n’est pas optimale.
  • Fiscalement, l’EURL et la SARL sont des statuts plus intéressants que l’EI, car vous paierez moins de charges sociales.

SAS et SASU : le choix de la sécurité

En Société par Actions Simplifiée et Société par Actions Simplifiée Unipersonnelle, vous êtes assimilé salarié (dirigeant).

Comme pour l’EURL et la SARL, l’entreprise constitue ici une personne morale distincte de votre personne physique. En revanche, vous êtes affilié au régime générale de la Sécurité Sociale.

De votre chiffre d’affaire seront déduits vos frais professionnels ainsi que votre rémunération nette, et l’impôt sur les sociétés. Jusqu’ici, rien de nouveau sous le soleil. Ce qui change, c’est essentiellement le taux de charges sociales, qui s’élève à 75%. Ce taux vous permet de bénéficier d’une très bonne couverture sociale, à l’instar d’un salarié ; avec ce statut, vous vous rémunérez donc sous forme de fiches de paye mensuelles.

Concernant les bénéfices, vous pouvez encore une fois décider d’en faire votre trésorerie ou bien de vous le verser sous forme de dividendes à la fin de l’année. A noter qu’en SAS et SASU le taux de prélèvement est plus avantageux par rapport aux dividendes en EURL et SARL.

A retenir :

  • Si vous ne vous versez pas de salaire, vous ne payez pas de cotisations.
  • Les statuts SASU et SAS sont intéressants si vous souhaitez assurer vos arrières en termes de retraite et chômage.
  • Vous aurez tout intérêt à vous verser un salaire mensuel raisonnable et à davantage profiter des dividendes en fin d’année.

 

Vous l’aurez compris, le statut juridique de votre entreprise est avant tout un choix personnel : il doit être adapté à vos objectifs et à la nature de votre activité indépendante. Il existe des cabinets spécialisés qui pourront vous accompagner dans ce choix, comme Novaa.

Pour aller plus loin dans les comparatifs :

L’article Reconverti et indépendant : quel statut choisir ? est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.

Mettre en avant ses compétences comportementales pour trouver un travail

Par : Nora Leon

À cause du manque de candidats qualifiés pour les emplois du secteur numérique, il est de plus en plus difficile pour les recruteurs de trouver des profils qui correspondent aux besoins de leurs clients. Dans cet article, nous vous présentons les difficultés que rencontrent aujourd’hui les professionnels des ressources humaines et les recruteurs et vous expliquons comment en tirer profit.

D’après une étude récente, 89 % des entreprises s’attendent à rencontrer des difficultés pour trouver des employés qualifiés dans le numérique l’année prochaine. Certains départements de ressources humaines font appel à trois voire quatre agences de recrutement simultanément tant elles ont du mal à trouver des candidats qualifiés.

Cette pénurie de compétences et d’expérience va augmenter à mesure que la technologie se développe. Pour répondre à ce problème, les entreprises modifient leurs techniques de recrutement en ayant recours à la formation à distance, par exemple.

Des tendances qui évoluent

Si vous cherchez un emploi, cette section va vous intéresser. Par nécessité, les entreprises renoncent peu à peu aux candidats au « profil parfait » du « mouton à quatre pattes » avec beaucoup d’expérience pour privilégier des candidats dotés d’autres compétences prometteuses et de talents dont ils peuvent faire bénéficier l’entreprise.

On conseille aux employeurs de se concentrer de plus en plus sur les compétences comportementales transversales. Celles-ci incluent la personnalité, les traits de caractère, les compétences sociales et de communication, mais aussi les compétences commerciales qui sont utiles dans différents domaines et à divers postes.

Les compétences techniques peuvent être enseignées ; trouver un candidat avec les bonnes compétences comportementales est la clé.

D’après Vik Patel, PDG de Future Hosting, les compétences techniques sont nécessaires, mais pas suffisantes. Il privilégie le recrutement de candidats « autotéliques », qui possèdent une bonne capacité d’adaptation et sont motivés par la curiosité et le désir d’apprendre. Pour lui, la persévérance et l’application ont une importance capitale car on demande constamment aux employés de faire preuve d’autonomie.

Chez OpenClassrooms, nous savons que les compétences comportementales sont particulièrement importantes aujourd’hui, car les employés doivent sans cesse acquérir de nouvelles compétences pour suivre l’évolution de la technologie.

Mettez en avant vos compétences comportementales

Les employeurs sont à la recherche de candidats possédant des compétences comportementales et traits de caractère tels que l’adaptabilité, la confiance en soi, une bonne gestion du stress, la créativité et la curiosité. Pourquoi ? Parce qu’ils rendent les entreprises plus résistantes face aux changements.

Les compétences techniques peuvent être enseignées aux candidats qui ne possèdent pas d’expérience préalable.

Les meilleurs employés s’avèrent souvent être ceux qui ont la bonne combinaison de compétences comportementales et qui sont capables d’apporter un réel avantage compétitif à une organisation et non ceux qui possédaient le plus d’expérience lorsqu’ils ont été engagés.

Voici quelques compétences comportementales que vous pouvez mettre en avant sur votre CV et lors d’entretiens, car elles sont très demandées dans de nombreux domaines et pour de nombreux postes :

  • Désir d’apprendre et de garder ses connaissances à jour/curiosité
  • Autonomie et débrouillardise
  • Initiative
  • Bonne capacité de résolution des problèmes
  • Créativité/imagination
  • Adaptabilité
  • Bonne gestion du stress
  • Capacité à travailler efficacement en équipe
  • Capacité à gérer les conflits
  • Bonne relation avec les clients

Si vous souhaitez travailler sur vos compétences comportementales, OpenClassrooms vous propose des cours qui vous permettent de développer un certain nombre de ces compétences dont Apprenez à apprendre, Travaillez en autonomie, Travaillez efficacement en équipe, Prenez la parole en public, et Communiquez et formalisez vos idées par le storytelling. Ces cours peuvent être suivis séparément et se trouvent dans le programme de nos formations diplômantes de niveau licence et master.

Pour plus d’informations sur les compétences, vous pouvez lire nos articles sur le bilan de compétences.

 

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Les bons réflexes pour répondre à une fiche de poste

Bien analyser une fiche de poste, c’est la première étape pour décrocher un contrat !

Comment hiérarchiser l’information et mettre les chances de son côté dans son CV, sa lettre de motivation puis en entretien avec le recruteur ?


Jean Julien Boucher
est consultant en Recrutement chez Co-Efficience et il a répondu à nos questions sur le sujet.

Sur quoi faut-il faut être attentif sur une fiche de poste ?

L’intitulé du poste, le lieu et la rémunération sont les trois points primordiaux à prendre en compte quand on découvre une fiche de poste. A partir du moment où ces trois éléments vous conviennent, vous pouvez regarder de plus près les missions proposées et le profil recherché par l’entreprise.

Comment adapter son CV ?

Le CV doit être personnalisé en fonction de l’annonce à laquelle on répond. Il est nécessaire de faire ressortir des mots clés que l’on a pu identifier au préalable dans l’annonce afin de capter l’œil du recruteur.

💡 Bon à savoir :
Ces mots clé sont d’autant plus importants que, dans le cas d’une candidature en ligne, de nombreux logiciels peuvent repérer les mots clés… Et disqualifier les candidatures pas assez proches de l’offre !

Pour un développeur par exemple, il ne faut pas hésiter à adapter son vocabulaire (« j’ai tel niveau sur telle techno ou framework, j’utilise la démarche scrum et agile… ») afin de faire écho à l’offre en question.

Pour aller plus loin, voici quelques ressources :

Pour la lettre de motivation : que faut-il mettre en avant selon les caractéristiques du poste ?

La lettre de motivation est un bon moyen pour donner des exemples de réussites lors de ses dernières expériences. C’est aussi une occasion de s’exprimer, de raconter des anecdotes en corrélation avec le poste.

De plus, il est important de personnaliser la lettre de motivation à l’image de l’entreprise : un paragraphe en rapport avec la société est un plus. Cela démontre le fait de s’être renseigné auparavant sur l’activité de la société mais surtout, de connaître les enjeux du poste qui nous intéresse.

[À lire : Lettre ou mail de motivation : comment les réussir]

Comment parler de ses expériences lors de l’entretien ?

Démontrer ses compétences à travers des exemples concrets et concis, des mises en situation qui nous mettent en valeur vis-à-vis du poste sont autant de façons de mettre en avant ses expériences.

La règle d’or est de toujours répondre de façon précise et relativement courte ; et le candidat doit toujours justifier ses réponses en illustrant ses propos.

Et si le recruteur a envie d’en savoir plus, il le fera savoir ! Il est donc important de laisser respirer la discussion (des silences sont utiles) et d’être attentif aux questions et à la communication non-verbale… Pour pouvoir passer le relais au recruteur pour poser une question.

Quels sont les pièges à éviter lorsque l’on postule ?

Je dirais que le principal piège est de ne pas s’être assez renseigné sur l’activité de la société, de postuler sans savoir réellement à qui l’on s’adresse.

Y a-t-il des erreurs rédhibitoires sur un CV, une lettre de motivation ou lors d’un entretien d’embauche ?

Tromper sur ses acquis est une chose vite décelable par le recruteur, même si cela reste tout de même rare.

Les fautes d’orthographe dans la lettre de motivation sont aussi un véritable frein pour le recruteur qui ne prend, la plupart du temps, pas le temps de donner suite à la candidature.

A l’inverse, quelle est la meilleure façon de se distinguer ?

Une fois de plus, la meilleure façon de se distinguer est de donner des mises en situations d’expériences passées dans lesquelles on a su rebondir face à une action inhabituelle. Le candidat peut organiser son discours selon la méthode S.T.A.R : Situation/Travail/Action/Résultat.

Les entreprises sont souvent demandeuses d’anecdotes sur votre façon de réagir face à un événement impromptu.

Par expérience, avez-vous d’autres recommandations à faire à un candidat ?

Le candidat veut souvent jouer un rôle alors que la botte secrète est simplement de rester soi-même. Se renseigner sur l’entreprise est bien entendu la base d’une candidature réussie. Quelques conseils supplémentaires :

  • Chercher le nom de l’entreprise à laquelle on souhaite postuler sur Google mais surtout sur Linkedin
  • Communiquer avec les contacts/connaissances qui sont en lien avec cette entreprise, savoir pourquoi ce poste est vacant, se renseigner sur l’ambiance au sein de la société, la politique de rémunération…
  • Jeter un œil sur les réseaux sociaux de la société en question, regarder les valeurs qu’ils partagent
  • Se mettre des alertes pour recevoir les nouveaux postes vacants sur divers sites de recrutement 
  • Relancer l’interlocuteur RH pour multiplier ses chances de décrocher un entretien.

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« Soft skills » ou qualités interpersonnelles : faites-en un atout en entretien !

Vous avez trouvé une offre qui vous correspond et vous vous apprêtez à envoyer votre candidature.

Une formation adéquate et un parcours professionnel cohérents sont primordiaux pour décrocher le poste de vos rêves. Néanmoins, ils sont loin d’être suffisants lorsqu’il s’agit de convaincre un recruteur de vous faire confiance.

Pour mettre toutes les chances de votre côté, misez sur vos compétences interpersonnelles. On vous donne quelques pistes, avec l’aide d’Amandine Ruas, spécialiste en ressources humaines et coach en développement personnel et professionnel.

[Pour aller plus loin, retrouvez nos cours « Élaborez votre stratégie de recherche d’emploi » et « Obtenez l’emploi qui vous correspond » à la fin de cet article].

Compétences interpersonnelles : de quoi parle-t-on ?

Les compétences interpersonnelles, appelées aussi soft skills, sont les qualités personnelles, humaines et relationnelles que vous montrez sur le lieu de travail. Elles ne concernent ni vos diplômes, ni vos connaissances techniques sur un sujet, mais bien votre savoir-être.

Communication orale, écoute active, pédagogie, empathie, adaptabilité, gestion du stress, travail d’équipe sont des exemples de compétences interpersonnelles.

Attention, ces soft skills représentent un critère de sélection au même titre que votre formation ou vos expériences professionnelles.

En effet, de plus en plus de recruteurs estiment qu’un bon candidat devra non seulement disposer des compétences techniques attendues pour le poste, mais aussi et surtout s’intégrer et s’épanouir au sein de l’entreprise. Les soft skills donneront du relief à votre profil et fourniront au recruteur des informations précieuses sur votre valeur ajoutée pour son organisation.

Quels sont les soft skills les plus recherchés? 

“ Il existe un large panel de compétences interpersonnelles. En tant qu’ancienne RH, j’ai identifié deux qualités très importantes : la communication (orale et écrite) et l’adaptabilité. Ce sont des indicateurs très puissants du potentiel du candidatnous confie Amandine.

“ Concrètement, la communication se décline en plusieurs soft skills : la clarté de l’élocution, par exemple, et la capacité de faire passer un message clair et structuré, à l’écrit comme à l’oral. En entreprise, une bonne communication permet une collaboration de qualité, c’est essentiel. 

Idem pour l’adaptabilité : dans un monde où tout va très vite, les entreprises évoluent et se réorganisent en permanence, les salariés sont mobiles, il faut être capable de s’adapter aux changements.”

Identifiez vos soft skills pour rendre votre candidature unique

Nous avons tous des compétences interpersonnelles plus ou moins développées. Elles sont propres au vécu et à la personnalité de chacun, et peuvent évoluer au fil des expériences professionnelles. Alors, comment savoir les reconnaître, et en tirer profit ? Voici les conseils d’Amandine :

  • Travaillez sur vous. La connaissance de soi est très importante et vous aide à mettre le doigt sur vos qualités. Posez-vous des questions sur vos expériences professionnelles antérieures : avez-vous fait preuve d’esprit d’équipe, de créativité, d’innovation? A quel moment?
  • Faites appel à un expert. Réalisez un bilan de compétences*(lien article) ou bien échangez avec un coach pour avoir un regard extérieur sur vos qualités relationnelles. Certaines sont si naturelles pour vous qu’elles peuvent passer inaperçues!
  • Expérimentez. Les compétences s’ancrent dans la pratique : si vous souhaitez améliorer votre communication orale, entraînez-vous seul, en vous enregistrant par exemple, ou bien avec un proche.

Comment mettre en valeur vos soft skills ?

  • Mentionnez-les dans votre CV. Associez les soft skills les plus significatives à chacune de vos expériences professionnelles, ou bien notez-les directement sous votre nom. Elles attireront l’oeil du recruteur.
  • Préparez-vous à en parler en entretien. A niveau de compétences techniques égales, les soft skills feront la différence entre vous et les autres candidats.
  • Associez-les à une anecdote. Vos soft skills doivent résonner avec vos expériences personnelles et professionnelles antérieures. Cela convaincra le recruteur de la pertinence de vos propos.
  • Faites le lien avec votre futur emploi. Les soft skills sont transposables et vous saurez en tirer profit sur votre prochain poste : expliquez comment.

“ Dans un processus de recrutement, la qualité de votre candidature mettra en valeur certains de vos soft skills tout naturellement. C’est pourquoi je conseille aux candidats de soigner chaque échange avec les entreprises.

La rédaction de votre CV et lettre de motivation prouvera votre capacité à communiquer efficacement vos idées à l’écrit ; un échange de mails réactif et bien mené montrera que vous êtes quelqu’un d’organisé et d’efficace ; enfin, un entretien d’embauche serein aura démontré que vous savez gérer une situation de stress” explique Amandine.

Quels sont les pièges à éviter ?

  • Oubliez la liste de courses. Soyez sélectif et mentionnez uniquement les soft skills qui vous distinguent vraiment.
  • Ne vous contentez pas de citer les soft skills à la mode. Sortez des sentiers battus et concentrez-vous sur vos qualités réelles, sans tomber dans les stéréotypes.
  • Ne négligez pas l’importance de vos soft skills. Entraînez-vous à les remettre en contexte : ce sont des qualités de “terrain” qui ont beaucoup de valeur aux yeux des recruteurs.

 

Pour résumer, il n’y a pas meilleure arme que la connaissance de soi pour réussir tous vos entretiens. Prenez conscience de vos soft skills, entraînez-vous, et vous ferez la différence.

Pour aller plus loin :

Vous pouvez également suivre notre cours « Élaborez votre stratégie de recherche d’emploi« .

 

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Les meilleures plateformes pour freelances dans le numérique


Créatifs, développeurs, spécialistes de la communication, de plus en plus de
profils exerçant dans le secteur du digital choisissent de se lancer en solo. Et si vous faites partie de ces 13 millions de travailleurs indépendants qui parsèment la France, vous savez à quel point il est difficile de maintenir un afflux régulier de clients.

Surfant sur la vague du freelancing, de nombreuses plateformes de mise en relation entre indépendants et clients ont vu le jour. Souvent critiquées mais néanmoins très utilisées par des indépendants en tous genres, il en existe aujourd’hui pour tous les goûts et toutes les bourses.

Envie de trouver LA plateforme adaptée à vos besoins? Nous vous proposons un tour d’horizon des meilleurs sites pour rencontrer vos futurs clients.

 

Les poids lourds

 

Upwork et Freelancer


Comment ça marche ?
Ce sont les deux plateformes internationales pour freelances les plus utilisées du web. Ici, vous êtes directement contacté par les clients ou vous répondez aux projets qu’ils proposent à la communauté.

Pour quels profils ? Graphistes, designers, développeurs, data scientists, consultants, rédacteurs, traducteurs, fonctions support…

Gratuit ou payant ? L’inscription est gratuite. Vous fixez votre prix et facturez le client.

  • Upwork applique une commission dégressive (20, 10 ou 5%) en fonction du montant de la mission : plus le montant est important, moins vous payerez de commission.
  • Freelancer applique des frais de 20% sur chaque transaction (15% si vous adhérez au compte premium payant).

Statistiques : Les membres et les offres se comptent en plusieurs dizaines de millions !

Le plus : Une multitude de missions à pourvoir et une communication à double sens. Idéal si vous travaillez en anglais et recherchez des clients partout dans le monde.

 

Malt

 

Comment ça marche ? Sur Malt, ce sont les clients qui contactent les freelances. Les recruteurs choisissent le profil idéal via le moteur de recherche du site : plus votre profil sera complet et attrayant, plus vous aurez de chances de remonter dans l’algorithme.

Pour quels profils ? Métiers du marketing et de la communication, rédacteurs, community managers, développeurs, consultants et créatifs.

Gratuit ou payant ? L’inscription est gratuite et la plateforme applique une commission de 10% sur le montant HT de chaque la mission, dégressive en cas de collaborations régulières. Aucune commission ne s’applique si vous ramenez vos propres clients sur la plateforme.

Statistiques : 100.000 freelances et 66.000 clients.

Le plus : Vos clients et collaborateurs peuvent rédiger des avis qui apparaîtront sur votre profil.

 

Les 100% gratuites 

 

404Works

 

Comment ça marche ? Dès la création de votre compte, vous avez accès aux missions postées par les clients et pouvez proposer votre devis.

Pour quels profils ? Graphistes, développeurs, ergonomes, consultants SEO, rédacteurs, photographes, motion designers, community manager, webdesigner, infographistes…

Gratuit ou payant ? A l’inscription, la plateforme est complètement gratuite pour prestataires et clients et aucune commission n’est appliquée. Toutefois, l’offre premium pour le freelances (à 9,99 € HT par mois) est devenue indispensable pour pouvoir répondre à la totalité des annonces et bénéficier d’une meilleure visibilité.

Statistiques : 50.000 freelances inscrits.

Le plus : la plateforme s’adresse uniquement aux travailleurs basés en France. Cela évite une concurrence de prix déloyale avec des freelances installés dans d’autres pays. le travail offshore.

 

XXE

 

Comment ça marche ? Les entreprises peuvent vous contacter directement et vous confier des missions. La plateforme permet aussi de monter des équipes de freelances sur des projets proposés par les clients.

Pour quels profils ? Beaucoup de profils tech et développeurs web, mais aussi consultants, rédacteurs, photographes, designers…

Gratuit ou payant ? Freelances et entreprises peuvent accéder gratuitement à XXE. Le modèle économique de la plateforme est en “freemium”, comme 404Works : un abonnement à 9,90 € HT permet de bénéficier de services supplémentaires.

Statistiques : 20.000 freelances inscrits.

Le plus : sur XXE, votre TJM (Taux Journalier Moyen) se présente sous la forme d’une fourchette de prix, vous gardez ainsi une marge de négociation.

 

Les (très) spécialisées

 

Codeur

 

Comment ça marche ? Les clients postent des offres de missions détaillées, auxquelles répondent publiquement les freelances.

Pour quels profils ? Plateforme spécialisée dans les métiers du web, on y trouve beaucoup d’offres destinées aux développeurs, webmasters et aux freelances qui gravitent autour de la création de sites de e-commerce et d’applications.

Gratuit ou payant ? Gratuite pour les clients et sur abonnement pour les indépendants, à partir de 29 € HT par mois. Une commission de 4% est facturée au freelance pour chaque projet réalisé.

Statistiques : 167.000 freelances inscrits.

Le plus : Le site existe depuis 2006 et est très connu dans le milieu du développement web.

 

Comet

 

Comment ça marche ? Sur cette plateforme pour ingénieurs freelances, vous recevez des propositions de mission correspondant à vos compétences et aspirations. De leur côté, les entreprises se voient recommander le profil le plus adapté à leurs besoins sous 48 heures. Les échanges se font via Slack.

Pour quels profils ? Ingénieurs tech et data.

Gratuit ou payant ? La plateforme est entièrement gratuite pour les ingénieurs, et prend une commission fixe de 15% à la charge du client.

Statistiques : une communauté de 1.400 freelances.

Le plus : Comet propose à ses membres des mutuelles aux tarifs négociés, des conseils comptables et juridiques et d’autres services pensés sur-mesure pour les freelances.

 

Creads

 

Comment ça marche ? Creads est la première plateforme française de création de contenus graphiques, digitaux et vidéos. Un fois rejoint le vivier de créatifs, vous serez contacté par les chefs de projet, qui font le lien entre freelances et clients. Ces derniers ont accès à votre portfolio et peuvent également vous contacter directement.

Pour quels profils ? La plateforme est ouverte à tous les créatifs freelances spécialisés en graphisme, vidéo et conception-rédaction.

Gratuit ou payant ? Gratuit pour les freelances et payant pour les clients.

Statistiques : 50.000 freelances inscrits.

Le plus : Les propositions de mission affluent sans recherches de votre part.

Talents Around

 

Comment ça marche ? Cette plateforme met en relation jeunes créatifs et grands groupes. Vous devez créer un profil complet, avec portfolio et vidéo de présentation. Une fois votre inscription validée, la plateforme propose les profils adaptés aux besoins du client grâce à un algorithme.  

Pour quels profils ? Plateforme dédiée aux créatifs, elle est constituée de cinq catégories de métiers : arts visuels, arts graphiques, web, divertissement, design.

Gratuit ou payant ? 100% gratuit pour les freelances.

Statistiques : 350 talents sélectionnés par les fondatrices de la plateforme.

Le plus : Cette plateforme donne un véritable coup de pouce aux jeunes profils créatifs sans réseau et à la recherche de missions intéressantes.

 

Les plus sélectives

 

FreelanceRepublik

 

Comment ça marche ? La plateforme soumet les candidats à des tests techniques, puis propose au client une présélection de freelances. Seules 15% des candidatures sont présentées par mission.

Pour quels profils ? Ingénieurs, développeurs et chefs de projet dans le secteur de la tech.  

Gratuit ou payant ? Aucun frais côté freelance, puisque la commission est toujours à la charge du client.

Statistiques : environ 10.000 freelances inscrits.

Le plus : Des missions vraiment sur-mesure grâce à un système de “matching” efficace.

Crème de la crème


Comment ça marche ?
Cette plateforme très sélective est ouverte à tous les freelances de l’univers digital. Les candidats retenus peuvent contacter le client après avoir pris connaissance du brief de la mission. Les candidatures sont limitées à 5 par brief.

Pour quels profils ? Freelances dans les secteurs tech et data, marketing et communication, design et produits.

Gratuit ou payant ? L’inscription à la plateforme est gratuite. Sur chaque prestation, Crème de la crème garde 15% de commission. Aucune commission ne s’applique si vous ramenez vos propres clients sur la plateforme.

Statistiques : 4.000 freelances inscrits et plus de 5.000 entreprises.

Le plus : Entouré d’une véritable communauté, vous pouvez échanger avec d’autres freelances et bénéficier d’une assistance administrative. Cerise sur le gâteau, l’application mobile permet un suivi en temps réel des relations clients.

 

Pour aller plus loin :

Toutes les plateformes pour freelances à connaître

L’étude sur les freelances réalisée en 2017 par Malt et OuiShare

 

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Apprentissage & proactivité : la recette du succès ?

 

Que l’on soit en poste ou en recherche d’emploi, la capacité à apprendre à apprendre est l’une des compétences les plus importantes au XXIème siècle. Ajoutez-y une once de proactivité et vous obtenez selon nous ce qui s’approche le plus de la recette du succès.

Comment bien adopter cette démarche ? Qu’est ce qu’être proactif peut apporter à une carrière  ? Quels sont les pièges à éviter ?

Nous avons demandé à Gwen Rivet, Growth Manager chez OpenClassrooms et étudiant sur la formation diplômante data analyst, un profil formé aux langues et sciences sociales.


S’il est aujourd’hui aussi à l’aise avec la data et les nombres qu’avec les mots, c’est qu’au cours de ses formations, Gwen a toujours su faire rimer apprentissage et proactivité.

[ À suivre : les cours gratuits sur OpenClassrooms ]

 

 

Qu’est-ce qui t’a poussé à adopter cette approche ?

« On vit dans un monde où le travail évolue constamment, encore plus dans le digital. Il faut impérativement comprendre les  outils, termes et nouveaux acronymes qui peuvent débarquer du jour au lendemain. La seule solution pour rester à la page, c’est d’être vraiment proactif. »

Comment t’es-tu lancé ?

 

« J’ai toujours été à l’aise avec les maths, pour mon travail j’étais donc plutôt confiant, mais il fallait impérativement que maîtrise les outils et données. Concrètement, je me sentais de le faire, mais je ne savais pas comment. J’ai donc commencé par me renseigner, lire des articles, j’ai  même lu toutes les doc des outils que j’utilise.

 

Aujourd’hui je vais encore plus loin en suivant une formation Data Analyst sur Openclassrooms. »

Comment intègres-tu la formation dans ton quotidien ?

 

« Il faut penser par semaine. Pour la formation que j’ai choisie, c’est entre six et huit heures. Je me fixe un ou deux jours pendant lesquels je bosse une ou deux heures après le boulot, puis je réserve une matinée le week-end. Je fais aussi de la veille. Pas tous les jours, mais régulièrement. »

Tu arrives à trouver assez de temps pour cela ?

« Pour gagner du temps sur la veille, le mieux reste de s’inscrire à des de newsletters, mais il faut faire attention à ne garder que les plus pertinentes. En ce moment, j’en reçois deux ou trois par jour, qui sont très concises. Comme cela, je ne passe pas des heures et des heures à lire des articles.

Être proactif, c’est avant tout être efficace. Pour ça il y aussi la possibilité de se créer des alertes Google sur des mots clés. À part cela, nous échangeons aussi beaucoup d’informations au sein de mon équipe. »

Est-ce qu’il y a des erreurs à ne pas commettre ?

«  Il ne faut pas vouloir faire trop de choses en même temps ni vouloir aller trop vite, car cela nous fait nous rendre compte de la masse de travail qu’il y a. Le risque :  se démotiver avant d’avoir commencé et être frustré.

Il faut vraiment se dire : « je me concentre sur une chose à la fois et j’y vais étape par étape ». Il faut aussi éviter de  se mettre de pression inutile. On ne peut pas tout savoir, c’est comme ça, on aura toujours des choses à apprendre. C’est d’ailleurs l’une des clés pour rester motivé. »

De quoi es-tu le plus fier dans ce que t’as apporté le fait d’être proactif ?

« Il y a avant tout la fierté de se dire qu’on y arrive et qu’avec le temps on peut acquérir des compétences totalement transversales. J’ai un profil littéraire et aujourd’hui je jongle avec les datas, c’est plutôt valorisant.

Il y a aussi deux autres choses très satisfaisantes. La première, c’est que je peux voir directement à quel point ma proactivité impacte mon travail au quotidien, car je mesure mes actions grâce à la data et au reporting. Je me dis tous les jours que ce que je fais chez OpenClassrooms sert à quelque chose.

La deuxième, c’est que j’ai énormément gagné en confiance en moi. Je suis bien plus à l’aise quand je dois m’exprimer sur des sujets pointus. Déjà parce que je comprends parfaitement de quoi on parle, et parce que je sens aussi que mes interventions ont de plus en plus de poids et de valeur. »

Cette immédiateté dans les résultats donne une dimension presque tangible aux bénéfices d’une attitude proactive. C’est ce qui plaît à Gwen depuis le début. Cela le pousse à étoffer quotidiennement ses compétences dans le marketing, pour qui sait, un jour, penser à entamer une carrière dans un tout autre domaine.

À propos de Mathieu :

Un pied dans la rédaction, l’autre dans les réseaux sociaux, Mathieu s’est formé auprès de médias parmi les plus actifs et novateurs de Paris.Passionné par les nouveaux modes d’écriture, il s’est lancé comme rédacteur indépendant en 2018. Son objectif : anticiper l’influence du digital sur nos vies, et explorer le futur du travail.

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OpenClassrooms et Microsoft œuvrent pour réduire la pénurie de profils Tech

Mon associé Mathieu Nebra avait 13 ans lorsqu’il s’est heurté pour la première fois à la problématique que vous avons mis un point d’honneur à solutionner depuis. Il voulait acquérir une nouvelle compétence – en l’occurrence, savoir développer du code informatique. Mais il ne trouvait pas de ressources efficaces pour le faire à l’époque. Alors, nous les avons créées nous-mêmes.

À présent, la raison d’être d’OpenClassrooms est de rendre une éducation de qualité accessible à toutes et tous, et d’amener tous nos étudiants vers une carrière épanouissante.

Aujourd’hui, des décennies après la fondation du projet par Mathieu, une nouvelle vague technologique secoue à nouveau l’économie à l’échelle internationale. Vous avez tous entendu parler de la rareté des professionnels de la Tech. Embaucher un excellent profil en développement, systèmes et réseaux ou data science n’a jamais été aussi ardu. En France, 29% des recruteurs déclaraient en 2018 avoir des difficultés à recruter, et jusqu’à 67% dans les entreprises de plus de 250 salariés. D’ici à 2030,  1.5 millions de salariés hautement qualifiés pourraient manquer dans le numérique en France, et cela occasionnerait selon les projections un manque à gagner de 175 millions d’euros. Aux États-Unis,  557 000 emplois en développement et IT devraient être créés d’ici à 2026, soit plus que dans tous les autres secteurs confondus.

Les talents manquent pour occuper ces postes, en France comme à l’international. Par conséquent, les personnes qui possèdent ces compétences rares ont peuvent viser des salaires décorrélés des prix médians du marché. Le salaire moyen pour les emplois en développement et IT aux États-Unis en Mai 2017 était $84 580. Sans comparaison donc avec le salaire moyen pour les autres emplois, qui était de $37 690.

OpenClassrooms s’engage à préparer les étudiants à saisir les opportunités créées dans le secteur du numérique. Cette fois, une entreprise innovante du secteur nous donne un coup de main.

En effet, nous sommes fiers d’annoncer notre partenariat avec Microsoft pour recruter et former la prochaine génération d’ingénieurs en intelligence artificielle aux États-Unis, en Europe et au Royaume-Uni.

Nous avons pour objectif de préparer efficacement des candidats à embrasser des carrières en intelligence artificielle et machine learning. Pour y parvenir, nous construisons ensemble un programme de niveau Master, qui bénéficiera à la fois de l’approche par missions d’OpenClassrooms, et de l’expertise de Microsoft sur ces sujets.

OpenClassrooms crée des programmes de qualité, pensés pour être accessibles au plus grand nombre. Si l’on ajoute en prime le savoir-faire des meilleurs experts au monde – tels ceux qui font partie de l’équipe de Microsoft –, nos chances de réduire la fracture entre la demande de profils Tech et les professionnels formés sur le sujet sont décuplées. Nous sommes ravis d’avoir un impact positif sur cette problématique.

Pierre Dubuc,
CEO d’OpenClassrooms.

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Début d’entretien : comment se pitcher efficacement ?

Après de longues recherches, vous avez enfin mis la main sur une annonce pour un poste qui semble vous correspondre. En effet, après avoir reçu votre CV et votre lettre de motivation, le recruteur vous contacte pour un entretien d’embauche.

C’est une étape supplémentaire à passer pour vous rapprocher du job de vos rêves. Dans tout entretien, se présenter est un moment incontournable, que vous pouvez donc anticiper et préparer en amont afin de transformer l’essai lors de votre rencontre avec le recruteur.

[À suivre : le cours « Obtenez l’emploi qui vous correspond » sur OpenClassrooms].

 

Le passage incontournable en entretien

 

Si certains entretiens d’embauche prennent parfois des tournures inattendues, il y a une constante dans chacun d’eux : la présentation du candidat. “Présentez-vous”, “Parlez-moi de vous”, “Racontez moi votre parcours”, sont autant de façons pour le recruteur de vous céder la parole en début d’entretien.

C’est un moment important car l’opportunité vous est donnée de prendre le contrôle de l’échange et de le tourner à votre avantage. Quelle impression souhaitez-vous donner ?

Claire-Lise Colin est chargée de recrutement chez Lunchr. Selon elle,

“Le plus important est de réussir à capter l’attention et à créer une connexion avec l’interlocuteur pour qu’il se souvienne de vous. Il faut que le candidat soit attentif pour comprendre à quel moment le recruteur se désintéresse de votre propos.”

Sur le contenu, se présenter ne représente a priori pas un piège alors si vous avez pu établir au préalable votre discours, vous pourrez être concis et vous concentrer sur d’autres éléments au moment de vous lancer : adopter une gestuelle adaptée, poser votre voix, regarder le recruteur dans les yeux, sourire et parler avec clarté. Autant d’éléments qui constituent 90% de l’opinion que l’on se fait d’une personne, assure Claire-Lise.

 

Comment s’y préparer ?

 

Idéalement, le candidat doit être capable de se présenter en une minute.

Si vous êtes à l’entretien, cela signifie que vos expériences ont déjà en partie intéressé le recruteur. L’entretien a pour but de confirmer que vous ayez tous les deux les mêmes attentes concernant le poste en jeu. Votre présentation doit être adaptée à l’entreprise et au poste pour lequel vous postulez.

La ligne directrice à suivre :

  • Qui êtes-vous : vous mentionnez votre situation actuelle. Êtes-vous en poste ou en recherche d’emploi ? Quelles sont exactement vos missions et défis ? Selon Claire-Lise Colin, il faut voir un angle d’attaque convaincant sans repartir complètement en arrière sur tous les détails de vos diplômes et formations : “ un quadra qui parle de son diplôme de polytechnique, pour moi, c’est ridicule. Il faut vraiment essayer de parler au présent. C’est important avant tout d’expliquer ce que vous cherchez aujourd’hui, de façon très précise”.
  • D’où venez-vous : quelles sont les expériences qui vous permettent d’affirmer que vous avez aujourd’hui les compétences nécessaires pour le poste en question ? Sélectionnez une ou deux expériences pertinentes, au cours desquelles vous avez le plus appris.
  • Ambitions futures : à ce moment de la présentation, vous devez faire le lien entre les deux parties précédentes et le poste pour lequel vous postulez. Comment imaginez-vous incarner ce job au regard de vos expériences passées et de vos compétences acquises ? En quoi votre profil correspond t-il aux particularités de l’entreprise ? C’est le moment où vous devez être le plus cohérent pour convaincre votre interlocuteur.
    En tant que recruteuse, Claire-Lise explique qu’elle est sensible aux candidats qui savent ce qui veulent :
    C’est rassurant, ça fait plus rêver qu’un candidat qui ne sait pas exactement bien se positionner ou qui est juste là pour la renommée de la boîte, par exemple.”

 

Les erreurs à éviter

 

  • Vous devez être prêt pour que l’entretien paraisse fluide mais vous ne devez pas donner l’impression de réciter votre présentation.
    Le recruteur est également intéressé de percevoir les traits de votre caractère au travers de votre réponse. Ayez l’air naturel et détendu. “
    Se montrer vraiment stressé est rédhibitoire, parce que quelque soit le poste aujourd’hui, le candidat sera amené à parler en public à un moment donné, à manager des gens ou à devoir défendre des idées devant des supérieurs. Donc il ne faut pas trop montrer que l’on est impressionnable. »
  • L’erreur classique est de vouloir absolument tout dire, de trop entrer dans les détails et donc d’endormir le recruteur. Vous ne devez pas dépasser les 2 minutes grand maximum, et encore une fois restez attentif aux réactions de votre interlocuteur pour vous adapter.
    .
  • En lien avec le point précédent, ne vous égarez pas dans des anecdotes ou des expériences qui n’apportent rien pour le poste pour lequel vous candidatez. Claire-Lise explique : “L’important est de parler à tout prix de la boîte pour laquelle vous postulez car le recruteur a envie de se projeter avec vous donc il faut au minimum montrer que vous vous êtes renseigné sur la culture d’entreprise, ses valeurs. Pour autant, ne soyez pas mielleux, le recruteur ne cherche pas quelqu’un qui ne lui dise uniquement ce qu’il a envie d’entendre”
  • Le danger lors de cette étape de l’entretien est que vous vous sentiez confiant parce que justement vous avez anticipé et préparé cette question au préalable. Ne vous montrez pas trop sûr de vous, voire arrogant. Répondez avec humilité.
  • Ce n’est jamais bien vu de dénigrer votre précédent employeur, car comme le dit Claire-Lise, “la faute peut en fait venir du candidat, c’est très compliqué de juger”.
  • Même si vous n’aviez pas tout à fait préparé ou appris votre discours par cœur, ne montrez pas que vous êtes désarçonné. Quoiqu’il arrive ne paniquez pas et faites en sorte de rester souriant, et motivé.

Pour aller plus loin, suivez le cours « Obtenez l’emploi qui vous correspond » sur OpenClassrooms.

 

À propos d’Aglaé : 

Aglaé est auteur-rédacteur. Elle a fondé Word Shaper, une agence créative qui propose des services d’écriture, de consulting et de conception.

 

 

 

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Entretien d’embauche : le dress code décrypté selon les secteurs

Par : Alice Gren

L’habit ne fait pas le moine au travail : info ou intox ? Au risque d’en voir certains d’entre-nous envoyés au bûcher direct : oui, il est important de choisir ses vêtements en fonction de son milieu professionnel.

Petite piqûre de rappel : lors d’un entretien d’embauche, les dix premières secondes compteront plus que toute l’entrevue, paraît-il.

Avant de faire flamber votre carte bleue pour trouver LA tenue adaptée, réfléchissons au dress code de votre secteur.

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Secteurs jeunes et décontractés :  dress code ou pas dress code ?

Steve Jobs ou Bill Gates nous l’ont bien fait comprendre : le duo jean/baskets convient également aux grands pontes.

Néanmoins, méfiez-vous des apparences : comme en témoigne cet article au sujet du dress code de la Silicon Valley, même les entreprises high tech accordent une importance à la manière dont on s’habille. Non, vous ne rêvez pas, derrière chaque « techie » décontracté se cache un uniforme bien pensé. Mieux encore, chaque tribu a son propre style vestimentaire…

Le dress code façon high tech (ou l’art d’avoir l’air aucun cool sans aucun effort)

Le look tech : développeurs, spécialistes en data

On les reconnaît généralement au trio jean, T-shirt accompagné de l’incontournable hoodie, parfois aux couleurs de leur entreprise. Sans oublier les traditionnelles baskets blanches, pour la jouer décontracté(e) jusqu’au bout.

S’ils s’en affranchissent, c’est pour enfiler des vêtements dans lesquels ils et elles se sentent simplement bien. Pulls oversize, pantalons carotte un peu larges, sandales ouvertes en été. À cela, certains ajoutent casquettes, bracelets, lunettes… À chacun son style, tout en décontraction.

Le look designer

Chez les designers, la plupart ajoutent une touche un peu plus mode, en toute discrétion. C’est une tenue neutre, comme un jean et un pull foncé, ou une chemise, avec une petite particularité : un foulard dans les cheveux, une ceinture colorée, des baskets ou des chaussures originales. Car quand on est artiste dans l’âme, souvent, cela s’exprime aussi dans l’habillement. Les recruteurs sont habitués à ce que les créatifs se permettent certaines fantaisies : n’hésitez donc pas à dévoiler un peu de votre personnalité en choisissant l’accessoire qui en dira un peu sur vous.

Dans les entreprises de la tech, les Gafas et start-ups font du « come as you are » leur marque de fabrique.

Le dress code sans dress code

Carla, responsable évènementielle chez Autentik-Events – une petite agence parisienne – témoigne de la flexibilité de son secteur professionnel :

Pour nous, il n’y a pas de « tenue correcte exigée », la tenue parfaite est d’être soi-même car c’est dans l’ADN de notre agence : l’authenticité avant tout. Pour résumer, on est dans l’esprit « venez comme vous êtes » !

Traduction : le « flexi dress code » peut aussi être un moyen de refléter l’ouverture d’esprit d’une société et sa capacité à s’adapter à tous les styles. Il est permis de s’habiller : 

– En robe, jupe sous le genou, chemise ou top coloré ou non, bottines, talons ou ballerines pour ces dames ;
– En chemise ou pull et pantalon avec des baskets ou des mocassins en cuir pour les hommes.

Toutefois, qui dit secteur jeune et dynamique ne dit pas forcément que le relâchement soit permis, ajoute Camille, assistante Directeur Artistique au sein de l’agence parisienne LES GROS MOTS :

Bien qu’il n’y ait aucun dress code dans mon agence de pub quel que soit le poste (créatifs, marketing et autres), il faut faire attention à ton look lorsque tu rencontres le client car tu représentes l’entreprise pour laquelle tu travailles.

De facto, on laisse exprimer son style tout en évitant les extravagances qu’on réserve aux sessions cafète entre collègues.

Le smart casual est indiqué – soit le style chic et décontracté – lors des rencontres plus solennelles ou lorsque l’on travaille pour une start-up et/ou une entreprise de la big tech (les géants du Web), fervents adeptes du casual chic.

Le casual chic à la sauce big companies & start-ups

Dans bien des entreprises, on préconise le « casual chic« , notamment chez l’Oréal. Cela signifie un style plutôt décontracté (on oublie le noir et blanc, le costume et les vêtements trop normés), tout en restant classe. Et justement, les apprêts sont très regardés dans ces entreprises : pas question de faire de faux pas dans votre style vestimentaire.

Pour trouver l’équilibre, partez sur une tenue discrète et élégante, et ajoutez-y un ou deux accessoires coordonnés, une petite touche de couleur (attention, pas plus de trois couleur dans une tenue, disent les couturiers), de quoi rendre votre tenue unique, sans pour autant devenir extravagante.

Smart casual chez les hommes :

– Pantalons en coton, lin ou jeans élégants et souvent slims ;
– Chemise en coton (repassée s’il-vous-plaît et rentrée dans le pantalon), avec ou sans motif géométrique qui apporte un style ;
– Baskets blanches (de type Stan Smith pour la touche cool) ou chaussures en cuir, parfois avec un motif discret et classe ;
– Certains portent une cravate mince, un nœud papillon (en bois ou en tissu), bracelets et bagues. Ou même un petit foulard en soie coloré pour apporter une touche design à l’ensemble. 

 Smart casual chez les femmes :

– Robe ou jupe en dessous du genou, souvent apprêtée ;
– Avec des collants foncés ou à motifs discrets (points, losanges, lignes) ;
– Ou pantalon carotte de couleur coordonnée, ou pantalon en coton ou lin ajusté ;
– T-shirt avec ou sans manches ;
– Pull en cachemire ou laine ou gilet, parfois oversize  ;
– Escarpins, bottines (dans la limite des 6 cm), baskets élégantes ou ballerines ;
– Headbands, barrettes bariolées, colliers oversize en accord avec leur tenue, lunettes arrondies coordonnées.

Le casual chic ++ en agence

Certains secteurs jugent sur le dress code. C’est notamment le cas des agences de communication et de publicité qui ont plutôt tendance à se placer dans la catégorie des afficionados de la mode.

Dans ces milieux, l’image est un élément clé comme nous l’affirme Claire Romanet, fondatrice du cabinet Elaee. Selon elle,

« L’apparence joue un rôle de premier plan » dans la com’. Le petit détail aura donc toute son importance. Exemple : la chaussure non cirée ou la chaussette de tennis est rédhibitoire selon Claire. Pour les femmes, il faut impérativement faire la différence entre élégant et clinquant : pas d’obligation de porter le tailleur dans l’esprit casual smart, mais sans pour autant passer au short, trop laisser-aller ».

A noter : si vous postulez pour un emploi de créatif en agence, veillez à ne pas tomber dans le piège « trop » smart : classe oui mais en évitant le costard qui renvoie un manque d’originalité. Idem pour le secteur de la mode : on évite le chic trop banal avec le petit détail qui marquera votre personnalité (sautoir, bracelet, matière inhabituelle…).

En somme, le costume-cravate de base s’adresse plutôt aux cadres sup’ plus classiques.

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Le « business attire » : pour qui, pourquoi et dans quel contexte ?

 

De quoi parle-t-on ? Généralement appliqué dans le monde des affaires ou dans le cadre d’événements professionnels, le business attire n’est autre que le costume traditionnel des quartiers d’affaires. Cabinets de conseil, finance, ingénierie sont les premiers secteurs concernés. Viennent s’ajouter d’autres environnements assez formels  (commerciaux, représentants, négociateurs…) en charge de représenter leur activité auprès du client.

Le dress code classique du cadre sup’ :

  • Costume et cravate sombres et repassés de près (on évite les motifs affriolants sur les cravates) ;
  • Chemise claire ;
  • Chaussettes noires ;
  • Chaussures en cuir à lacets sobres et foncés (on oublie les sneakers).

Le dress code classique de la cadre sup’ :

  • Tailleur-pantalon ou jupe sous le genou noirs, bleu marine, gris ;
  • Chemise ou haut clair en soie ou coton, repassé de près ;
  • Collants noirs ou à motifs discrets (points, losanges, lignes) ;
  • Chaussures fermées à talons de 7 cm maximum ou Richelieu élégantes.
  • Quid des autres couleurs appropriées ?

Si vous souhaitez exprimer (en toute discrétion) le côté original qui est en vous, vous pouvez éventuellement troquer le sempiternel costume ou tailleur contre une teinte gris ou bleu foncé. Le bleu clair pour la chemise est tout à fait toléré, à condition que la cravate soit plus foncée. Et surtout, surtout : pas plus de deux couleurs et/ou motifs qui traduisent la volonté d’attirer
l’attention, ou pire, de déstabiliser vos interlocuteurs.

Minute papillon, ne prenez pas votre air renfrogné. Si votre job vous le permet, il est tout à fait possible d’assagir votre style auprès du client, sans vous travestir pour autant. Claire, responsable RSE chez LSDH (grande entreprise du secteur agro-alimentaire) à Orléans nous le confirme :

Notre proximité avec le client nous oblige à garder un style « habillé » – client oblige – mais pas trop guindé car on veut montrer notre proximité avec le terrain. Un vrai casse-tête ! Chez moi, c’est pantalon foncé, top de type blouse fluide ou chemise et chaussures à petits talons (6 ou 7 cm maximum), du coup c’est très confort. J’ai aussi une veste tailleur grise que je réserve uniquement aux clients car je préfère un look plus décontracté en interne. Mais pour garder notre touche « perso » on se lâche bien plus volontiers sur les manteaux et les sacs, de couleur rouge, jaune vert ou rose.

Un entretien ? Voici comment choisir votre look.

Analysez ce que vous savez de l’entreprise.

Est-ce une entreprise jeune ? Une start-up ?  Un grand groupe ? Une banque ?
– Combien y a-t-il de collègues et quel est l’âge moyen ? 
– À quoi ressemble le site Internet ? Est-il design, dynamique ? Ou plutôt conservateur ? 

Si vous postulez dans un cabinet de conseil, en banque, dans les assurances, dans une entreprise bien installée, avec beaucoup de collaborateurs, ou dans une PME gérée par des personnes d’un certain âge, préférez un costume ou un tailleur classique, quitte à ajouter un accessoire qui égaie la tenue.

Si vous postulez en agence de communication ou de design, sur un poste qui nécessite de la représentation chez le client, ou dans une entreprise de taille moyenne ou un grand groupe qui affiche sa volonté d’être « casual chic », suivez le mode d’emploi ci-dessus pour s’habiller comme tel.

Si enfin vous êtes dans une profession où pouvez adopter un style plus décontracté, comme le développement informatique, le design, ou encore les emplois en start-ups, sortez les stan-smith et votre T-shirt préféré, cela ne devrait pas poser de problème.

Alors, le dress code est-il ou non un impératif au travail ?

Quelle que soit notre manière de nous habiller au bureau, elle reflète notre métier et position dans l’entreprise. Start-uppeur décontracté, businessman tiré à quatre épingles : chaque attirail traduit l’image que renvoie votre secteur professionnel.

Alors, on fait quoi ? On choisit avant tout le milieu qui nous correspond, et les us et coutumes dont il s’accompagne. 

Pour aller plus loin :

Les bons réflexes pour répondre à une fiche de poste

Les 10 erreurs fatales sur un CV

https://blog.openclassrooms.com/2019/10/15/comment-creer-un-portfolio-convaincant/

 

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Comment maîtriser votre langage corporel en entretien ?

Si vous lisez régulièrement nos conseils pour décrocher le job de vos rêves, vous l’aurez compris : un entretien d’embauche, ça se prépare. Pour ne pas vous retrouver démunis face à cette épreuve, souvent source de stress, il est indispensable de vous y entraîner.

Mais attention : le jour J, votre posture, votre gestuelle et le ton de votre voix seront tout aussi importants que votre discours. Christine Farenc, coach spécialiste en prise de parole, enseignante au sein de l’école en ligne OpenClassrooms et comédienne, vous livre ses conseils pratiques pour apprendre à maîtriser votre langage corporel.

La communication non verbale, qu’est-ce que c’est?

« La communication non verbale est l’ensemble des gestes, postures du corps, expressions faciales, regards, rythme et timbre vocal. Mais sachiez que les vêtements, la coiffure et la poignée de main font déjà partie de la communication non verbale dans un entretien de recrutement », explique Christine.

Les premières études au sujet de la communication non verbale sont attribuées au psychologue Albert Mehrabian, dans les années 1970. Au-delà des résultats de ses expériences, largement discutables, il est aujourd’hui admis de tous que le langage corporel est un langage universel très… “parlant”.

Avant même de discuter de vos motivations, un recruteur essayera de décrypter votre personnalité en observant votre langage corporel. Pourquoi? Parce que votre communication non verbale peut transmettre beaucoup d’informations malgré vous, notamment lorsque vous êtes sous pression.

Les gestes qui vous trahissent

Dans ce sondage réalisé par CareerBuilder France, les recruteurs mettent en garde sur les manifestations corporelles qui traduisent de l’inconfort. Parmi les erreurs les plus communes, ils notent le manque de contact visuel, l’absence de sourire, une mauvaise posture ou encore la poignée de main faible. Les “gestes de repli”, comme les bras et jambes croisés, sont également à bannir.

Pourquoi est-il si difficile de maîtriser son langage corporel durant un entretien? Christine nous explique que sous l’effet du stress, trois phénomènes peuvent se produire:

  • Le langage corporel et la respiration se bloquent : en quasi apnée, vous devenez inexpressif et donnez une impression de passivité, de rigidité, de malaise ou d’inconsistance.
  • Le langage corporel trahit une grande nervosité : votre débit de parole s’accélère, votre gestuelle devient frénétique.
  • La communication perd sa congruence : votre communication non verbale contredit ce que vous dites. Par exemple, la communication est non congruente lorsque vous déclarez être à l’aise dans les relations humaines, sans pour autant regarder votre interlocuteur dans les yeux.

Quel langage corporel adopter en entretien ?

“Dans votre vie personnelle et professionnelle, une bonne communication non verbale conditionne la capacité à intéresser et à convaincreexplique Christine. D’où l’importance d’en prendre conscience afin de réduire les impacts négatifs du stress sur le déroulement de l’entretien.

Avant toute chose, rappelez-vous que rien ne résiste à l’entraînement. Anticipez les questions que le recruteur pourrait vous poser et mettez-vous en situation, avec un ami, un proche. Faites des exercices de respiration profonde les jours qui précèdent l’entrevue ; le sport peut aussi aider à canaliser l’énergie et à calmer vos nerfs ; reposez-vous suffisamment et nourrissez-vous sainement.

Quelques conseils pratiques à garder en tête :

  • Regardez dans les yeux votre interlocuteur régulièrement (sans toutefois le fixer)
  • Souriez (répétez « C’est super » ou « Samba » 10 fois le matin de l’entretien)
  • Demandez un verre d’eau plutôt que du café
  • Asseyez-vous bien droit sur votre chaise et décroisez vos jambes, pieds bien à plat, mains visibles et bras non croisés. Une ouverture se dégage ainsi de votre posture
  • Etayez vos propos avec des mouvements des mains, sans excès
  • Pratiquez une écoute attentive, cela vous évitera de répondre à côté de la plaque et contribuera à créer de la connivence avec votre interlocuteur
  • Soyez authentique et ne censurez pas vos gestes. Savoir rester naturel est une force !

Pour réussir tous vos entretiens et mieux appréhender une situation de stress, testez ces techniques, vous serez surpris des résultats.

Pour aller plus loin :

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De conducteur de trains à chef de projet digital, la trajectoire de Jérôme

 

Jérôme a un parcours atypique qui atteste d’une grande volonté et de beaucoup de détermination. Malgré les obstacles, ces qualités lui ont permis de créer sa propre entreprise de design digital, après une formation très riche chez OpenClassrooms. Une belle histoire et un message profondément positif !

De militaire à conducteur de trains

 

Jérôme est entré à l’armée à l’âge de 16 ans car ses parents ne pouvaient pas financer ses études. Il arrête donc l’école jeune et à 18 ans, et obtient son baccalauréat en candidat libre.

Après 7 ans dans l’armée de l’air, il devient conducteur de trains pendant un temps :

« À un moment, j’ai eu un souci avec mon employeur, j’ai dû démissionner.

Pendant la période qui a suivi, j’ai fait une bêtise, je suis allé acheter du cannabis en banlieue parisienne et je me suis fait prendre par la police.

J’ai obtenu du sursis et entre temps, pendant ma mise à l’épreuve, j’ai retrouvé un poste de conducteur de trains à l’essai chez Alstom. Je conduisais des prototypes et je testais les nouveaux modèles. Malheureusement, au bout d’un moment, j’ai arrêté d’aller aux convocations du juge et donc mon sursis a été transformé en quatre mois fermes. »

Avec un casier judiciaire, Jérôme ne peut plus conduire de trains, il sait donc qu’il doit envisager une reconversion pour se réinsérer.

« L’incarcération a été le point de départ d’une nouvelle vie. Je me suis dit que je ne pouvais pas tomber plus bas, que j’allais devoir rebondir. »

Depuis tout petit, j’ai une appétence pour le dessin et le design. Et même lorsque j’étais à l’armée, j’ai continué à suivre des cours d’arts plastiques et d’Histoire de l’art. J’ai réfléchi au métier qui pourrait être viable dans ce domaine et designer digital m’a semblé correspondre en tous points à mes compétences : à mi-chemin entre le créatif et la technique acquise dans l’armée de l’air et lors des essais chez Alstom.

« En prison, nous n’avions pas d’ordinateur, mais j’ai commencé à faire des maquettes de sites Internet sur papier, et j’ai développé des idées pour mon futur site. »

 

Reprendre confiance grâce à la formation OpenClassrooms

 

En 2015, François Hollande annonce un accès illimité aux formations d’OpenClassrooms pour les demandeurs d’emploi.

C’est à cette occasion que Jérôme découvre la plateforme : « J’avais entendu qu’OpenClassrooms était présenté comme l’école du futur et c’est même ce discours de François Hollande qui m’a aidé à convaincre ma conseillère Pôle emploi de me financer la formation.

À ce moment-là, OpenClassrooms organisait un partenariat avec la région Grand Est et j’ai été sélectionné pour intégrer le formation de chef de projet digital. Je suis tombé sur une mentore géniale, qui m’a aidé à remettre le pied à l’étrier. Elle m’a accompagné moralement et m’a encouragé au-delà des simples compétences techniques. J’ai appris le langage JavaScript, la gestion de projet. »

Jérôme suit donc une formation d’un an, qu’il boucle en effectuant un stage de trois mois dans une société de production audiovisuelle : «  J’y ai créé des hologrammes, des vidéos, j’ai obtenu un contrat pour créer un motion design pour Accor Invest, c’était vraiment une bonne expérience. La formation OpenClassrooms est vraiment moderne, actuelle, c’est un format idéal pour les gens qui ont un minimum d’envie et c’est d’une rapidité incomparable. »

 

Une création d’entreprise réussie

 

Jérôme termine sa formation chez OpenClassrooms en mars 2018, puis décide de créer sa propre entreprise grâce à un financement de l’Adie. 

« Je propose un multiservice design. Je suis installé en pleine zone rurale et mon objectif est de devenir la référence dans le domaine pour les trois villes moyennes aux alentours : Bar-le-Duc, Saint-Dizier et Vitry-le-François. Je veux être viable tout en restant local. »

Grâce à la formation et l’apprentissage du langage propre à la gestion de projet design et digital, Jérôme se sent tout à fait crédible auprès de ses clients. « La formation m’a donné les bases, et dans le design il faut connaître les règles pour pouvoir s’en écarter.

Ma cible est intéressante, ce sont de petits clients qui ont besoin de création de contenus et d’une stratégie digitale régulièrement, plutôt que de maintenance, et qui ont aussi parfois besoin de formation : donc, je les accompagne.

Par exemple, mon premier client était un restaurant, l’Ancre d’Or. Je lui ai créé un logo, un site internet, j’ai mis en place des comptes sur les réseaux sociaux, et j’ai réalisé le site. J’ai également accompagné le restaurant lors du changement de propriétaire, et les nouveaux propriétaires ont souhaité continuer avec moi aussi.»

Jérôme répond à de vrais besoins et il a même été remarqué par la mairie de son village, Pargny-sur-Saulx, qui lui a proposé un accord pour obtenir un bureau dans la mairie à prix réduit en échange de ses services pour le compte de l’administration.

« Il s’est écoulé quatre ans depuis mon incarcération, ça a été un long combat mais je suis très heureux de voir qu’aujourd’hui tout se met en place.

J’ai appris qu’il ne fallait jamais rien lâcher. Car même si on vous dit non, vous savez qu’il y a une petite porte accessible malgré tout, et qu’il faut donc vous y engouffrer. »

 

Pour aller plus loin, renseignez-vous sur le parcours diplômant UX designer. 

 

 

 

À propos d’Aglaé : 

Aglaé est auteur-rédacteur. Elle a fondé Word Shaper, une agence créative qui propose des services d’écriture, de consulting et de conception.

 

 

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Comment vous mettre en valeur auprès d’un recruteur suite à votre formation OpenClassrooms ?

Par : Nora Leon

« Les recruteurs préfèrent les diplômés d’écoles », « je ne sais pas comment prouver mes qualifications »,  « on ne va pas m’inviter en entretien car les recruteurs ne valorisent pas les formations en ligne »… 

Pause.

Levons cette inquiétude récurrente de se faire souffler un poste par un étudiant du circuit « traditionnel ». Ceux qui sortent d’école de commerce, d’ingénieur, ou ont fait 3 à 5 ans de Fac. Qui seraient plus qualifiés et favorisés auprès des recruteurs.

Effectivement, les formations ‘canoniques’ sont appréciées. Une belle école, une fac prestigieuse permettent souvent de faire jouer son réseau pour arriver en entretien, et peuvent faire pencher favorablement la balance.

Cela étant dit, les étudiants OpenClassrooms ont plus d’une corde à leur arc pour gagner des points en entretien. Voici les ressources que vous ignorez peut-être, qui devraient pourtant vous aider à convaincre votre futur patron.

1- Votre motivation et ténacité sont des forces

Qu’on se le dise, étudier en ligne n’est pas un jeu d’enfant. Cela requiert une volonté de fer. À l’heure des réseaux sociaux, de YouTube ou de Netflix, les tentations de procrastiner ne manquent pas.

Or, pour réussir une formation en ligne sur OpenClassrooms, vous devez rendre des livrables de qualité. Apprendre les techniques à la pointe de votre métier. Défendre votre travail face à des experts. Travailler en groupe. Tout cela demande un investissement important et de la détermination.

La bonne pratique :

Rappelez à votre recruteur qu’étudier en ligne demande de la ténacité. Par exemple en lui expliquant : “cela n’a pas été facile tous les jours, mais je me suis fixé un objectif et je m’y suis tenu”.

Cela mettra en perspective :
– À quel point votre projet est réfléchi (je sais que je veux faire cela, j’ai éprouvé la pratique)
– Et à quel point il est abouti (je me donne les moyens de mes ambitions en tenant bon).

Or, la motivation et la persévérance sont deux qualités rares et recherchées par les entreprises.

2 — Vous avez des compétences directement opérationnelles

Rien de nouveau sous le soleil, les recruteurs recherchent des personnes prêtes à assumer leurs missions vite et bien.

Comme vous avez appris votre métier sur des projets professionnalisants, vous avez fait vos armes votre prendre votre poste. Cela ne veut pas dire que vous savez déjà tout. Mais au moins, comme vous vous êtes déjà frotté à la plupart des missions, vous serez agile.

Et, cerise sur le gâteau, vous avez eu un aperçu concret du métier à travers l’expérience de votre mentor. Cela vous a montré les bonnes pratiques en entreprise, l’attitude à adopter, la ‘culture’ au sein de votre profession. Vous vous adapterez donc mieux.

La bonne pratique :

Expliquez, portfolio papier à l’appui, que vous avez appris par la pratique. Vos livrables parleront d’eux-mêmes. Ils prouveront que vous avez des compétences directement applicables.

Cet atout qui fera passer devant de nombreux autres diplômés. Lorsque le recruteur vous demandera si vous savez faire telle ou telle chose, prouvez-le par ces expériences.

3 Votre proactivité, autonomie et esprit orienté “solutions” sont des atouts

Le mentor n’est pas tenu de répondre quotidiennement parce que l’autonomie imposée aux étudiants est un outil pédagogique.

Puisque vous travaillez presque seul tout au long de votre parcours, vous apprenez à chercher. À trouver des ressources sur Internet, consulter les bonnes docs, revoir votre cours, partager de bonnes pratiques avec vos pairs.

Et justement, prouver que l’on sait résoudre des problèmes de manière autonome, c’est de l’or en barre en entretien. Le recruteur voit que vous avez l’habitude de trouver des solutions. Que vous n’allez pas solliciter ses équipes en permanence pour des broutilles. Cela vous donne un avantage sur la plupart des jeunes diplômés qu’il faut prendre par la main.

La bonne pratique :

Glissez au cours de l’entretien que vous avez surmonté telle ou telle difficulté en toute autonomie, en ayant recours à telles ressources.

Expliquez aussi que la proactivité qu’on impose chez OpenClassrooms fait partie de la méthode pédagogique visant à vous apprendre à résoudre des problèmes.

4 — Vous savez construire, organiser et défendre un projet

Voici un autre atout de taille : gérer un projet de A à Z, en autonomie et en équipe. Les étudiants d’école l’apprennent dans les associations. Et vous, en travaillant petit à petit sur vos projets. Voici quelques compétences que vous avez forcément développées chez OpenClassrooms. Elles sont très remarquées dans le cadre d’un recrutement.

  • Évaluer les enjeux d’un projet pour y répondre au mieux
  • Prendre de la hauteur pour le découper en étapes, et vous organiser
  • Vous fixer un temps pour chaque étape et le respecter
  • Travailler en équipe
  • Présenter vos résultats et gagner l’adhésion d’un professionnel à leur sujet, vous exprimer à l’oral devant un public.

La bonne pratique :

Racontez au recruteur la manière dont les projets structurent les études chez OpenClassrooms. Et surtout, pour justifier vos compétences, retracez un projet concret qui vous a permis d’en acquérir. Cela montrera que vos savoirs sont réels.

5 — Vous apprenez tous les jours

La formation OpenClassrooms vous a prouvé que vous pouvez apprendre ce que vous voulez quand vous le voulez (en particulier si vous vous êtes reconverti et/ou ne pensiez pas en être capable). C’est une force !

Vous avez mis votre cerveau dans une démarche d’apprentissage constant. Appris comment choisir les bonnes ressources, et continuer à vous former. C’est indispensable dans presque tous les métiers, et donc un avantage fort.

La bonne pratique :

Montrez à votre recruteur que vous êtes conscient de devoir vous former tout au long de la vie, et mieux encore, lui dire quelles ressources vous utilisez à l’heure actuelle pour le faire sur telle ou telle compétence.

Lui demander si l’entreprise propose des formations et du peer-learning. Lui dire que vous voulez monter en compétences sur tel savoir-faire, et lui proposer un plan d’action.

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“Mais en fait, j’ai de nombreuses qualités recherchées et rares sur le marché de l’emploi !”

À la bonne heure, on préfère entendre cela… Effectivement, étudier en ligne vous a appris la débrouillardise, le caractère infini de l’apprentissage et comment travailler de manière autonome.

Et cela fait de vous un haut potentiel dans le monde du travail. Alors n’en doutez jamais, et haut-les-cœurs pour les entretiens.

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Vous voulez entretenir ces qualités ? 

(Re) suivez ces trois cours, utiles à toutes les étapes de votre vie professionnelle.

Prenez la parole en public par Laurène Castor et Stéphane Bonneville.

Apprenez à apprendre de Guillaume Parrou.

– Initiez-vous à la gestion de projet agile de projet agile d’Arnaud Lissajoux.

 

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Chez OpenClassrooms, vous n’êtes jamais seul

Vous aimeriez compléter votre formation ou bien changer de métier grâce aux parcours diplômants d’OpenClassrooms. Seulement voilà, vous craignez vous retrouver seul face à un écran, aux prises avec un programme intense. Les études en ligne, cela vous paraît compliqué : comment faire sans les blagues entre camarades, les pots après les cours et les groupes d’études ?

Rassurez-vous, la solitude n’est pas une fatalité lorsqu’on étudie en ligne. Avec notre formule Premium Plus, vous êtes accompagné par un mentor et disposez de nombreux outils pour échanger et travailler avec les autres étudiants. Envie d’en savoir plus ? Cet article est fait pour vous.

 

De l’importance d’avoir un mentor

 

Nos étudiants sont unanimes : l’encadrement du mentor est le premier avantage d’un parcours Premium Plus. C’est avec lui que vous échangerez chaque semaine, en visioconférence.

Valentin Perello suit depuis un an une formation en gestion de projets en développement. Il nous partage son expérience :

« L’accompagnement du mentor est primordial pour moi : il est là pour nous guider et nous épauler. C’est tellement rassurant de pouvoir poser des questions et de se faire aider quand on est coincé ! Surtout si on ne connaît pas encore bien toutes les facettes d’un métier » confie-t-il.  

 

Workplace : aussi simple qu’un réseau social

 

Workplace est la plateformese retrouvent étudiants et mentors d’OpenClassrooms.

Elle s’organise autour de plusieurs blocs, comme sur Facebook : le fil d’actualité (pour suivre tous les posts partagés), les groupes (un pour chaque formation et d’autres sur des sujets généraux) et la messagerie instantanée (pour contacter quelqu’un en privé).

« Utiliser Workplace est le meilleur moyen pour intégrer la communauté d’OpenClassrooms. Quand on commence un parcours en ligne, on est souvent un peu perdu et on ressent le besoin de se connecter avec les autres étudiants. Workplace, c’est un lieu d’échange fluide et très utile, qui donne la possibilité d’échanger avec les autres, de poser des questions. C’est également l’endroit idéal pour initier les projets communs et rechercher ses futurs partenaires » explique Valentin.

 

Coworkings et parrainages : l’occasion de rencontrer vos camarades

 

Pour travailler en compagnie (et ne pas sacrifier votre vie sociale pendant vos études en ligne), plusieurs solutions s’offrent à vous :

  • Participez aux sessions de coworking organisées régulièrement par OpenClassrooms dans chaque région. Voilà une bonne occasion de rencontrer et de travailler avec les étudiants qui habitent dans la même zone géographique que vous.
  • Rejoignez les groupes de travail organisés par les étudiants eux-mêmes. N’hésitez pas à lancer l’initiative et à réunir vos camarades pour une session.
  • Utilisez le Discord pour échanger en live. Il s’agit d’une application qui regroupe des salons de chat, c’est-à-dire des groupes de discussions, un peu à la façon de Skype. Cette application est gérée par les étudiants, en toute autonomie par rapport à OpenClassrooms. C’est un peu leur jardin secret.

« J’habite dans la région Rhône-Alpes-Auvergne et j’ai participé une fois à un coworking sur Lyon : l’ambiance était très sympa. En revanche, le temps de trajet était un peu long pour moi. J’ai alors demandé à être parrainé par un étudiant plus avancé que moi et j’ai eu la chance de tomber sur quelqu’un qui habite dans ma région. On s’est rencontrés plusieurs fois et on a échangé via webcam. Cela a vraiment fait la différence pour moi, et m’a donné envie de devenir parrain à mon tour » conclue Valentin.

Son conseil pour une expérience d’apprentissage réussie?

« Sortez de votre zone de confort pour partir à la rencontre de la communauté d’étudiants d’OpenClassrooms, tisser des liens avec de futurs collaborateurs et tirer le meilleur des outils à votre disposition ! »

Pour aller plus loin, lisez :

Notre article qui vous présente Workplace
Notre article qui présente notre pédagogie
Et faites un tour sur notre page parcours.

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Les bottes secrètes pour fidéliser ses équipes

Depuis plusieurs années maintenant, un sérieux mal ronge les entreprises à travers le monde : le turnover. Un phénomène bien connu de tous les secteurs, sur lequel même les géants de la tech ont, dans le passé, déjà tous trébuché. Sauf que le problème aujourd’hui, est encore loin d’être solutionné. Combien de temps avant qu’il atteigne la France ? La question se pose. Recruter et fidéliser les talents : le véritable challenge des futurs RH.

Pour comprendre un peu mieux les mécaniques en place, et anticiper tous les cas de figure, nous avons demandé l’avis de Deborah Rippol, Head of talent chez Alan, qui a pu nous répondre avec précision.

 

Les dernières cartes de la Silicon Valley

 

Aux États-Unis, surtout dans la Silicon Valley, tout est grand et surréaliste. Les bureaux comme les salaires. Mais, pour fidéliser les salariés, cela ne suffit pas. Deborah Rippol.

Avec une moyenne de 2,02 années — légèrement supérieure à tous les autres —, Facebook est celui qui s’en sort le mieux de tous les grands noms de la baie. Il semble impossible de retenir plus de deux ans leurs salariés. Le constat est le même partout, que l’on regarde chez Google (1,90), Apple (1,89), Amazon (1,84) ou Uber (1,23). Un fléau dû à la pénurie de profils tech hyper qualifiés, entraînant au passage une course aux talents et une inflation quasi immédiate des salaires. Ajoutez à cela un niveau de vie qui grimpe en flèche et l’instabilité des plans de carrière des nouvelles générations : vous obtenez LE casse-tête RH du siècle. Un casse-tête qui pousse les entreprises dans leurs derniers retranchements.

Quelle ne fut pas la surprise de Michael Sayman, 17 ans, en recevant un mail de Mark Zuckerberg en personne : le patron de Facebook souhaitait le rencontrer. Le lycéen ne le savait pas encore, mais après son stage, il deviendrait le futur plus jeune employé de la boîte.

En allant ainsi recruter directement dans les lycées, la Silicon Valley n’était-elle pas déjà en 2013 en train d’abattre ses dernières cartes ?

Michael n’est resté que 2 ans et 9 mois chez Facebook. Il est aujourd’hui chez Google.

 

La France ne doit pas tomber dans la surenchère.

 

Aujourd’hui en France, on constate facilement le nombre important d’entreprises à la recherche de profils tech, mais en réalité, la pénurie ne se limite pas à ce secteur. Un sondage OpinionWay (2018) nous dévoile que ce sont en fait 52% des petites et moyennes entreprises qui rencontrent des difficultés à recruter des profils experts. Plus de la moitié, quel que soit le domaine. Alors, comment faire ?

Parce qu’elles n’ont pas forcément les mêmes moyens, les entreprises en France se focalisent sur des choses plus subtiles que le salaire et les infrastructures. Elles vont par exemple jouer sur la transparence et la flexibilité.

Selon Déborah, pour garder ses équipes soudées, il faut agir à différents niveaux :

  • En profondeur : dans les « grands rouages » qui font tourner l’intégralité de la structure. Comme le style de management et la culture de l’entreprise.
  • En surface : dans les « petits rouages », moins imposants, mais tout aussi importants. On parle ici de petites actions venant optimiser le confort des salariés comme le matériel à disposition ou la flexibilité dans les horaires.

L’idée, c’est de créer une grande mécanique bien huilée, qui profite autant à l’entreprise qu’à ses salariés. Il faut donc jouer sur les fondations de l’entreprise et sur les finitions, afin « d’instaurer la confiance avec, mais aussi entre ses salariés », précise Déborah. Elle estime que le secret pour garder ses équipes ne se trouve pas seulement dans les avantages en nature.

 

Ils ne sont pas à bannir, loin de là, il faut juste ne pas entrer dans une dynamique de surenchère.

 


Activer les bons leviers au bon moment

 

Environ un an de salaire : c’est le coût d’un recrutement raté pour une entreprise. Un taux de turn-over élevé peut donc revenir très cher à une boîte. Pour fidéliser ses équipes, l’idée est de créer un environnement fluide et sans accroc pour chacun des employés. Mission impossible ? Loin de là. Pour Deborah, c’est une question de bon sens, de timing et de transparence. Autrement dit, activer les bons leviers au bon moment.

De manière générale, cela passe d’abord par la disponibilité du top management et la responsabilité accordée à chacun des employés.

La hiérarchie influence le taux de turnover, « moins elle est présente, plus il est bas » nous affirme-t-elle, « il faut donc commencer par se pencher sur ces questions-là ». Le style management en place est-il le bon ? Les salariés se sentent-ils suffisamment responsabilisés et écoutés dans leurs activités ? Il faut également faire un état des lieux, pour mettre à jour les différents leviers à portée de main.

Il faut régulièrement se poser des questions du type : mes salariés sont-ils heureux, oui, non, pourquoi ? Doit-on mettre en place un CE ou être plus flexible sur les congés ? Et pourquoi pas les deux ?

Il faut apporter des réponses, passer à l’action et considérer les feedbacks. La transparence ici est vitale. L’entreprise doit avancer main dans la main avec ses salariés, tout en leur offrant plus de liberté, de responsabilité et de flexibilité. Être ouvert et honnête, la seule solution face à ces obligations quelque peu contradictoires.

 

Confronter old school et new school

 

Le but n’est plus de garder les gens longtemps, mais de les garder motivés, ce qui change tout.

Pour Déborah, la rétention des employés dans une entreprise n’est plus à prendre en compte. Il faut simplement que la boîte reste à l’écoute et offre la possibilité à ses employés de s’épanouir et de rester motivés. Attention toutefois, juste écouter ses salariés ne suffit pas, il faut également leur proposer, car ils ne savent pas forcément ce que leur entreprise peut leur apporter. Sport, billets d’avion, salle de sieste ou cantine bio, il semble difficile d’évoquer une méthode miracle tant les entreprises ont leurs spécificités. Chez Alan, ils ont mis en place quelque chose d’un peu particulier : une holacratie, un système de gouvernance basé sur l’intelligence collective. Autrement dit, « il n’y a pas de manager, chacun peut prendre des décisions en demandant à ses collègues. Plus la décision est importante, plus il faut un grand nombre d’avis ».

Un procédé managérial qui se distingue nettement des procédés classiques de type top-down, dans lequel managers et employés peuvent vite se perdre de vue. Dans une holacratie, chaque employé, chaque idée compte. Quelle que soit la taille de l’entreprise.

Dans une holacratie, petite ou grande structure, il n’y a aucune différence entre les deux. C’est une question d’état d’esprit des fondateurs, une question de culture.

C’est un modèle old school  particulièrement efficace — vingt ans qu’il existe — et toujours dans l’air du temps. Comme le souligne Déborah : « Ce modèle convient parfaitement à l’arrivée des millenials. Quelqu’un travaille pour nous depuis six mois en Asie, tout se passe bien ».

D’autres modèles avec des états d’esprit totalement différents existent. Certaines entreprises ne fonctionnent qu’avec des freelances, d’autres permettent à leurs employés de fixer eux-mêmes le montant de leur salaire, ou la durée de leurs vacances. Il n’y a pas de règle à suivre, hormis celle de « repenser l’environnement de travail, en misant sur le confort et les responsabilités de chacun ».

 

Et pour travailler sur la rétention en entreprise, suivez le cours de Joëlle Salou « Intégrez vos nouveaux collaborateurs« .

 

À propos de Mathieu : 

Un pied dans la rédaction, l’autre dans les réseaux sociaux, Mathieu s’est formé auprès de médias parmi les plus actifs et novateurs de Paris. Passionné par les nouveaux modes d’écriture, il s’est lancé comme rédacteur indépendant en 2018. Son objectif : anticiper l’influence du digital sur nos vies, et explorer le futur du travail.

 

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Les secrets d’un profil parfait pour cartonner sur LinkedIn

En 2019, construire et entretenir son réseau est la clef pour exister aux yeux des recruteurs et saisir de belles opportunités. Et pour cela, pas besoin de spammer votre carte de visite à de parfaits inconnus… Essayez plutôt les réseaux sociaux professionnels.

Parmi les plus populaires, LinkedIn compte 17 millions de membres rien qu’en France. Une mine d’or pour trouver un nouveau job, élargir votre réseau ou découvrir un secteur d’activité. Mais, pour qu’il vous soit vraiment utile, il est indispensable de savoir s’y démarquer.

Pour vous aider au mieux, nous avons interrogé Marina Rogard. Elle est conceptrice-rédactrice et spécialiste en communication sur LinkedIn.
Autodidacte, elle a appris par curiosité les fondements de la communication et des réseaux sociaux et s’est concentrée sur l’écriture, par amour des mots.
Aujourd’hui, elle accompagne les personnes désireuses de faire de LinkedIn leur meilleur allié professionnel et rédige des textes pour le web et ailleurs.

Alors, prêt à personnaliser votre  profil, pour tirer profit de cette plateforme ?

 

Les secrets pour construire un profil LinkedIn de niveau Expert

 

Dès la création de votre compte LinkedIn, vous devrez remplir un certain nombre d’informations personnelles et professionnelles. Plus votre profil sera complet et détaillé, plus il sera vu et apprécié. En effet, LinkedIn classe les profils par niveau : Débutant, Intermédiaire, Avancé, Expert et Expert absolu. Ces derniers obtiennent 5 fois plus de demandes de connexion et sont 40 fois plus efficaces.

« Avant de commencer à utiliser la plateforme, il est capital de bien bâtir votre profil. Il doit être complet, soigné et convaincant. Ne le considérez pas comme un simple CV en ligne, voyez-le plutôt comme un portfolio personnel en constante évolution. Et n’oubliez pas que les profils LinkedIn sont parmi les premiers résultats de recherche sur Google : en quelques secondes, un potentiel recruteur a accès à toutes vos informations. Voilà une (première) bonne raison pour mettre toutes les chances de votre côté en travaillant autant le fond que la forme de votre présentation » explique Marina.

Son conseil ? Visez d’emblée un profil Expert en renseignant 100% des informations demandées par la plateforme. Pour cela, voyons en détail comment remplir et optimiser chaque partie de votre profil, pas à pas.

 

Photo, bannière, intitulé et résumé : l’entrée en matière

 

Un profil sans photo est un profil anonyme. Et les profils anonymes ne sont pas très rassurants, n’est-ce pas ?

« La photo ne révèle pas seulement votre identité mais donne confiance aux visiteurs : vous n’êtes pas un robot ou un « fake », mais bel et bien une personne. Et un profil avec photo reçoit 21 fois plus de vues et 9 fois plus de demandes de connexion » confie Marina.

Ses conseils pour choisir le bon cliché:

  • Exit les avatars et les photos de vacances, animaux ou paysages. Sachez que LinkedIn peut supprimer votre photo de profil si votre visage n’y apparaît pas.
  • Veillez à choisir le bon format. Une photo professionnelle, récente et au format portrait (visage et épaules) fera l’affaire.
  • Votre photo doit être engageante et donner envie de vous connaître.  Souriez et adoptez une posture ouverte : bras décroisés, en regardant la caméra, avec une attitude confiante.

Une bannière personnalisée attirera le regard. LinkedIn vous en fournit une par défaut, mais vous pouvez la modifier. N’hésitez pas à choisir un beau visuel pour habiller votre profil et donner des indices sur vos passions ou votre secteur d’activité.

« Avec votre photo, la bannière vient renforcer le potentiel de votre profil : telle la couverture d’un livre, elle doit être évocatrice et raconter votre histoire » explique Marina.

Son conseil : utilisez l’outil proposé par le site Canva pour créer votre bannière :

L’intitulé se trouve juste en dessous de votre nom. Il est indispensable de le rédiger et de le faire évoluer au fil du temps. Si vous ne modifiez pas ce champs, LinkedIn indiquera par défaut l’intitulé de votre poste actuel : ainsi, vous serez noyé dans la masse des candidats ayant des fonctions similaires à la vôtre.

« L’intitulé est la première chose que liront vos visiteurs. Sa fonction : indiquer en 120 caractères qui vous êtes, ce que vous faites et quelle est votre proposition de valeur. Pour ma part, je propose ce modèle :
l’intitulé du poste + 2 ou 3 mots-clés principaux + une accroche (une petite phrase pour vous différencier) » poursuit Marina.

Ses conseils pour un intitulé qui en jette :

  • Pensez mots-clefs. Cela facilitera votre apparition dans les résultats de recherche. Évitez les jargons, les abréviations et les majuscules.
  • Soyez créatifs. Rédigez une accroche claire mais intrigante pour vous distinguer et attirer les visites.
  • Veillez à aérer votre intitulé.  Séparez vos mots-clés par des virgules, des symboles et des émojis pour une meilleure lisibilité.

Le résumé est votre espace d’expression. C’est ici que vous vous présentez et expliquez succinctement votre mission et vos savoir-faire.

« Le résumé a le même rôle qu’une quatrième de couverture : c’est souvent elle qui déclenche un achat. Proposez une présentation différenciante tout en mettant en avant votre expertise. Qui êtes-vous, et qu’est-ce qui vous rend unique ? Votre personnalité doit en ressortir et créer de l’intérêt auprès du visiteur, pour faire en sorte qu’il reste » continue Marina.

Ses conseils pour un résumé convaincant et efficace :

  • Rédigez votre résumé à la première personne. Votre histoire et vos projets auront beaucoup plus d’impact. Cela renforce aussi l’authenticité de vos propos.
  • Sachez à qui vous vous adressez. Définissez la cible (ou « persona ») de votre profil LinkedIn et parlez son langage.
  • Aérez votre texte. La forme est aussi importante que le fond : utilisez des puces, séparez votre résumé en paragraphes, peaufinez vos phrases.
  • Mettez en avant vos réalisations. Rajoutez les liens vers votre blog, votre portfolio, un article que vous avez rédigé récemment, votre chaîne YouTube…

 

Expériences professionnelles et formations : dans le vif du sujet

 

Pour obtenir un profil exhaustif et crédible, accompagnez chacune de vos expériences professionnelles d’un petit résumé. Mentionnez vos missions, les traits saillants de chaque poste, y compris pour les stages ou les expériences bénévoles.

« Les recruteurs veulent savoir ce que vous avez fait, et comment. Détaillez au mieux sans vous épancher ;  exprimez-vous là aussi à la première personne ; gagnez en lisibilité en aérant vos paragraphes. L’important, c’est qu’on comprenne vite l’enjeu de chaque poste occupé et sa cohérence par rapport à votre parcours pro » poursuit Marina.

Certaines sections du profil, souvent négligées par les utilisateurs de LinkedIn, peuvent faire la différence :

  • Complétez la section dédiée aux langues maîtrisées et n’oubliez pas de marquer votre niveau.
  • Choisissez avec soin vos compétences. Sous forme de mots-clefs, elles peuvent être recommandées par vos contacts et ainsi renforcer la crédibilité de votre profil. Notez que les 3 premières seront les plus visibles.
  • Demandez à vos contacts de rédiger des recommandations. Elles ne sont pas limitées en nombre et seront très utiles aux recruteurs. Elles apporteront une vraie plus-value à votre profil.

Les détails qui font la différence

  • Renseignez vos coordonnées pour qu’on puisse vous contacter facilement. Adresse e-mail, numéro de téléphone, URL de votre site internet…
  • Personnalisez votre URL de profil. Il est souvent disgracieux et présente des chiffres aléatoires.
  • Rajoutez des hashtags en lien avec votre activité. A la fin de votre résumé mais également pour chaque expérience professionnelle.

Si vous êtes en recherche active d’emploi, utilisez la fonctionnalité « Open Candidate » (accessible avec un profil gratuit) : les recruteurs sauront directement quel genre de poste vous recherchez.

Avec ces astuces, vous ne tarderez pas à développer un réseau intéressant et à décrocher votre prochain job sur LinkedIn. A bon entendeur…

 

Envie d’aller plus loin ?

 

Suivez ce cours de notre expert François Decaux de LinkedIn pour améliorer votre Personal Branding sur Internet.

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Mes conseils pour vos candidatures par Rémi, diplômé d’OpenClassrooms

Le parcours de Rémi

 

Rémi a 28 ans et il est actuellement chargé de communication digitale et stratégie marketing. Il est d’abord passé par diverses formations : DUT MMI (Métiers du Multimédia et de l’Internet) et Licence UX2i (Activités et Techniques de Communication) ; puis il a travaillé quatre ans comme chargé de communication dans une agence de comm.

Jusqu’au jour où il ressent le besoin de sortir de sa zone de confort, comme il l’explique :

J’ai souhaité reprendre une formation pour me perfectionner et compléter mes expériences passées, j’avais le besoin de découvrir et apprendre des nouvelles choses.
 J’avais en tête de reprendre un cursus universitaire classique à l’université mais, près de chez moi, aucune formation ne correspondait à mes besoins.
 Je me suis donc tourné rapidement vers les formations à distance. J’ai appelé OpenClassrooms pour avoir des réponses à mes interrogations et le soir même, je souscrivais à la formation Chef de projet multimédia. J’ai été séduit par OpenClassrooms pour tellement de petits détails : un contact facile et rapide, par email ou par téléphone en cas de besoin, un tuteur chaque semaine pour être aidé à avancer, un accompagnement de 2 mois après la formation pour faciliter l’insertion professionnelle, la garantie de trouver un emploi, des cours miroirs au format vidéo et papier.

 

Ses conseils pour la recherche d’emploi

 

Selon toi, quels sont les pièges à éviter sur un CV ?

A l’ère du numérique et avec la multitude de ressources disponibles sur le net, c’est, à mon sens, impensable d’envoyer le traditionnel CV triste et obsolète. À l’inverse, c’est inconcevable d’envoyer un document illisible, surchargé et sur lequel toutes les couleurs de l’arc-en-ciel ont été utilisées. L’objectif est de trouver le juste milieu sur le plan esthétique, entre sobriété et l’exotisme.

Second piège, je dirais que beaucoup ont en tête de faire tenir absolument toutes leurs expériences (stage de 1 semaine compris), leurs diplômes et compétences sur une seule page : ERREUR ! Un CV doit être aéré, succinct et donner les informations essentielles pour le poste auquel vous candidatez. Personnellement, j’avais fait un CV différent pour chaque poste, dans lequel j’adaptais mes compétences et expériences pour coller au mieux à l’offre. À ce sujet, j’avais lu une étude où qui stipulait qu’un recruteur prenait entre 30 et 60 secondes pour lire un CV, preuve que le candidat doit à tout prix aller à l’essentiel.

Enfin, les fautes d’orthographe sont rédhibitoires. Prenez le temps de vous relire et de faire lire à votre entourage.



Quels sont tes conseils pour élaborer un portfolio convaincant ?

De mon point de vue, un portfolio convaincant est un portfolio à jour, visuellement accrocheur et succinct. 


Sur le fond, il est inutile d’avoir des quantités d’informations, simplement l’essentiel, c’est un CV amélioré :

  •    Une présentation de quelques lignes (motivations, votre parcours, ce que vous cherchez…),
  •    Un récapitulatif de vos compétences/domaines d’expertise,
  •    Un book qui regroupe tous vos travaux,
  •    Et vos coordonnées pour être recontacté.

Sur la forme, il doit avoir de l’impact : des visuels de qualité, quelques petites animations pour rendre votre site vivant et attrayant (animations CSS, effets Parallax, jQuery…). Vous n’avez aucune excuse, OpenClassrooms regorge de cours sur ces sujets pour vous aider : Lien 1, Lien 2par exemple.

 

Quelle est la meilleure façon d’organiser sa recherche d’emploi ?

Personnellement, j’avais commencé par mettre en ligne mon CV sur différentes plateformes (Monster, Indeed, Welcome to the jungle…) sur lesquelles j’avais correctement renseigné les mots clés pour orienter mes recherches et pour toutes, j’avais souscrit aux notifications afin d’être le plus réactif possible.

Ensuite, j’avais construit un tableau sur lequel je répertoriais toutes les offres auxquelles je postulais, le type de contact, l’état de l’avancement etc. afin de ne pas perdre la tête au fil de mes recherches. Et puisque je suis un mec sympa : voici mon tableau type.


Comment se mettre en avant pour un poste que l’on convoite ?
       

Être présent sur les BONS réseaux sociaux ! Je pense principalement à LinkedIn sur lequel j’avais pris plusieurs heures pour avoir un profil pleinement à jour et détaillé (photo récente, présentation, formations, expériences professionnelles, compétences…) qui est un excellent complément à un CV et, en prime, une plateforme de recherche d’emploi efficace sur lequel sont présents beaucoup de recruteurs.

Avoir un joli book à jour et complet, c’est encore un détail sur lequel on peut facilement se démarquer. Personnellement j’avais mis l’adresse URL dans un coin de mon CV, l’occasion pour les recruteurs de voir mes travaux et des informations supplémentaires.

Attention : un conseil, pensez à rendre inaccessible et privé vos réseaux sociaux personnels (Facebook, Instagram…). Je ne suis pas sûr qu’un recruteur soit emballé à l’idée de vous proposer un entretien d’embauche après avoir tapé votre nom sur Facebook et être tombé sur une vidéo de vous en soirée, nu(e) comme un ver, en train de danser sur une table à jongler avec des tronçonneuses en feu…

 

De quelle façon as-tu tiré parti de ton expérience chez OpenClassrooms ? L’as-tu mise en avant d’une manière particulière ?

Évidemment ! Pendant les différents entretiens, au moment de présenter mon parcours et mes formations, j’ai toujours insisté sur le diplôme de chef de projet que j’avais obtenu par le biais d’OpenClassrooms en formation à distance.  

Pour être franc, j’en ai même fait une force puisque ça m’a permis de prouver des qualités comme l’autonomie et la rigueur.


Contrairement aux idées reçues, les diplômes dispensés à distance sont aujourd’hui tout autant légitimes, à condition qu’ils soient reconnus par l’État, bien sûr.

 

Quelles sont les règles d’or pour réussir un entretien d’embauche ?

S’il y avait une seule règle à respecter qui les englobe toutes, ce serait celle-ci : se préparer !

Pour chaque entretien, il est indispensable de prendre le temps de se renseigner sur l’entreprise en question : ses références, ses clients, ses services/produits etc. J’ai surpris plus d’un recruteur en évoquant des projets qu’ils avaient réalisés ou des clients pour lesquels ils avaient travaillé par exemple… C’était une manière pour moi de leur prouver mon intérêt pour le poste et ma curiosité.

Ensuite, c’est bête mais : bien connaître son parcours et être en mesure de le présenter en 3 minutes. Chaque recruteur introduit toujours son entretien de la même façon : « Présentez-vous, je vous écoute ». C’est essentiel d’être fluide, ne pas se tromper pour présenter son CV de manière claire et précise.

J’avais aussi fait imprimer tous mes projets réalisés pendant ma formation OpenClassrooms (cahiers des charges, plans marketing, plans d’action etc. ce qui représentait 300 pages au total) que je ramenais à chaque entretien. Alors, même si les recruteurs n’ont jamais pris le temps de le lire en détail chaque livrable, ils ont toujours pris quelques minutes pour regarder les documents (la mise en page, la qualité, la pertinence, etc.). C’est encore un bon moyen de faire la différence je pense.



Dernier conseil, préparer l’entretien d’embauche c’est aussi prendre le temps d’anticiper les questions qui seront évoquées. Sur Internet, on peut facilement trouver les questions classiques qui reviennent régulièrement afin de réfléchir en amont aux réponses. 


Enfin, les basiques :

  •    Arriver en avance,
  •    Venir avec un CV (!),
  •    Rester souriant du début à la fin,
  •    Regarder la personne qui vous parle/à qui vous vous adressez dans les yeux.


Y a-t-il une procédure post-entretien à suivre pour mettre encore plus de chances de son côté ?

Le lendemain d’un entretien convaincant, je recommande d’envoyer un e-mail au recruteur pour le remercier de l’accueil, la qualité des échanges, et profiter pour ré-exprimer sa motivation et sa détermination à l’idée de rejoindre leur structure.

Pour ma part, c’était aussi un moment opportun pour glisser en pièce jointe les livrables que j’avais présentés pendant l’entretien afin qu’ils prennent le temps de les lire.

Encore une fois, se démarquer des autres concurrents se joue sur des petits détails.

 

Enfin, dernier conseil : malgré les hauts, les bas pendant une recherche d’emploi, le secret est de ne jamais désespérer et de ne pas lâcher !

 

À lire ensuite : 

 

[ La trajectoire de Mehedi – 5 conseils pour surmonter une pause ]
[ La trajectoire de Silvia – « Je n’aurais jamais pensé réussir à exercer le job de mes rêves » ]

 

À propos d’Aglaé : 

Aglaé est auteur-rédacteur. Elle a fondé Word Shaper, une agence créative qui propose des services d’écriture, de consulting et de conception.

 

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Les meilleurs outils en développement Front-end

La meilleure – et la pire – des choses en tant que développeur Web est le fait que le Web change constamment. Cela signifie également que vous devez toujours être proactifs dans l’apprentissage de nouveaux langages de programmation, vous adapter aux changements et être prêts et désireux d’accepter de nouveaux défis.

Cela peut inclure des tâches telles que mettre à jour les infrastructures existantes pour répondre aux exigences de l’entreprise, le test d’un site Web pour identifier les problèmes techniques ou optimiser les performances de l’infrastructure développée.

C’est pourquoi nous avons décidé de vous créer une liste exhaustive d’outils en développement web par spécialité pour vous aider à être plus productifs, à vous tenir informés et mieux performer en tant que développeurs.

 

Liste d’outils 1/5 : Les meilleurs outils en développement Front-end

 

Aujourd’hui, le développement Front-end occupe une part de plus en plus importante en entreprise et ce afin d’améliorer l’interaction utilisateur, les performances, l’interactivité et l’apparence d’une application. Voici une liste de cinq outils qui vous aideront à remplir ces objectifs.

 

Sublime text

 

Commençons par les bases : un éditeur de code de premier ordre, doté d’une interface utilisateur bien conçue, ultra efficace et rapide. Vous me direz qu’il y a d’autres options, mais la meilleure (et la plus populaire) est sans doute Sublime Text.

Astucieusement géré par une équipe de développement composée d’une seule personne, le secret du succès de Sublime Text réside dans la multitude de raccourcis clavier du programme, tels que la possibilité d’effectuer des modifications simultanées (en effectuant les mêmes modifications interactives dans plusieurs zones sélectionnées), ainsi qu’une navigation rapide vers des fichiers, symboles et lignes. Et lorsque vous passez plus de huit heures par jour avec votre éditeur, ces secondes économisées deviennent précieuses.

À télécharger ici

Gratuit

 

Chrome Developer Tools

 

Ne serait-il pas formidable de pouvoir modifier votre code HTML et CSS en temps réel ou de débugger votre code JavaScript tout en affichant une analyse approfondie des performances de votre site web?

Les outils de développement Google Chrome intégrés à Google vous permettent de le faire. Intégrés et disponibles à la fois dans Chrome et Safari, ils permettent aux développeurs d’avoir accès aux éléments internes de leur application Web. De plus, une palette d’outils réseau peut vous aider à optimiser vos flux de chargement, tandis qu’un calendrier vous permet de mieux comprendre ce que le navigateur fait à un moment donné.

Google publie une mise à jour toutes les six semaines. Consultez leur site Web ainsi que leur chaîne YouTube pour actualiser vos compétences.

Gratuit

 

JQuery

 

JavaScript a longtemps été considéré par les développeurs comme un langage de base essentiel, bien qu’il ne soit pas dépourvu de problèmes : sa syntaxe un peu compliquée et inapprochable, ses incohérences avec certains navigateurs, font que les fonctionnalités développées en pâtissent souvent.

C’était sans compter, en 2006, le lancement de jQuery, une petite bibliothèque JavaScript rapide et multiplateformes visant à simplifier le développement front. En simplifiant une grande partie des fonctionnalités qu’il incombait généralement aux développeurs de produire par eux-mêmes, jQuery a permis une plus grande marge de manœuvre pour la création d’animations, l’ajout de plugins, etc.

Et c’est clairement un succès : en 2015, jQuery était par exemple la bibliothèque JavaScript la plus populaire, étant installée sur quelque 65% des 10 millions de sites Web les plus visités.

À télécharger ici

Gratuit

Suivez le cours Simplifiez vos développements JavaScript avec JQuery.

Et le cours d’Emily Reese : Introduction à JQuery

 

Github

 

Faire des erreurs embêtantes appartient désormais au passé. Bienvenue dans les systèmes de contrôle de version (le versioning) et plus précisément dans GitHub.

En déployant votre projet avec le service, vous pouvez afficher toutes les modifications que vous avez apportées ou même revenir à l’état précédent d’un commit. Le service bénéficie également d’une riche communauté et fournit plusieurs autres composants tels que le suivi des bugs, les demandes de fonctionnalités, la gestion des tâches et les wikis pour chaque projet.

De nombreux employeurs recherchent des personnes avec des compétences pointues en Git. C’est donc le moment idéal pour vous inscrire. De plus, c’est un excellent moyen de vous impliquer et d’apprendre des meilleurs avec un large éventail de projets Open Source sur lesquels travailler.

A découvrir ici

Gratuit mais payant pour plus d’options.

Suivez le cours Créez votre code avec Git et Github 

 

Twitter Bootstrap

 

Fatigué de taper le même style pour un conteneur ? Une fois que vous aurez commencé à régulièrement créer des applications front, vous constaterez des répétitions.

Les frameworks d’interface utilisateur tentent de résoudre ces problèmes en résumant les éléments communs en modules réutilisables. Les développeurs peuvent développer leurs nouvelles applications plus rapidement et simplement.

Le plus largement utilisé de ces frameworks est Bootstrap, un package d’interface utilisateur complet développé par l’équipe de Twitter. Doté outils pour normaliser les feuilles de style, créer des objets modaux, ajouter des plugins JavaScript et une multitude d’autres fonctionnalités, Bootstrap peut considérablement réduire la quantité de code (et le temps) nécessaire à la création de votre projet.

À télécharger ici

Gratuit

Suivez le cours Prenez en main Bootstrap

 

Sass

 

L’une des premières choses que vous apprendrez sur le code est qu’il doit être DRY (« Don’t Repeat Yourself »). La deuxième chose que vous apprendrez probablement est que le CSS n’est généralement pas très DRY.

Entrez dans le monde du préprocesseur CSS, un outil qui vous aidera à écrire du code maintenable et évolutif, tout en réduisant la quantité de CSS que vous devez écrire (en le gardant DRY).

Le plus populaire d’entre eux est peut-être Sass, un projet Open Source vieux de huit ans qui définissait assez bien le genre des préprocesseurs CSS modernes. Bien qu’elle soit quelque peu difficile à comprendre au début, la combinaison de variables, d’imbrication de Sass, rendra le CSS simple lors de la compilation. De quoi rendre vos feuilles de style plus lisibles et (plus important encore) DRY.

A installer en suivant le manuel en ligne

Gratuit.

 

À propos de l’auteur 

Salut 👋, je suis Joffrey, développeur web basé sur Paris. Je suis passionné par WordPress, l’e-marketing et 

l’écriture d’articles sur des sujets Tech. Freelance depuis plusieurs années, je partage avec vous des tutos, des conseils et mon expérience afin que vous puissiez mieux gérer vos projets web.

 

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L’emploi garanti chez OpenClassrooms

Par : Nora Leon

Une formation diplômante d’OpenClassrooms, ce n’est pas seulement un diplôme ; c’est l’assurance de trouver un emploi qui nous plaît. Notre école en ligne forme aux métiers les plus demandés actuellement ; et l’accompagnement vers l’emploi individuel et offert multiplie les chances de trouver rapidement.

Pour renforcer cette promesse, nous avons donc lancé le dispositif Emploi garanti. L’idée est simple : vous trouvez un emploi dans les 6 mois suivant l’obtention de votre diplôme, ou nous vous remboursons votre formation.

L’emploi garanti : est-ce que cela fonctionne ?

Aucune école ne propose encore cette garantie. Chez-nous, elle est contractuelle.

La question – légitime – qu’on nous pose le plus est :

Comment pouvez-vous garantir qu’on trouve un emploi ? Et qui plus est, quel que soit le pays où réside l’étudiant ?

La réponse est simple : les formations diplômantes d’OpenClassrooms sont construites pour mener vers l’emploi.

Avant de concevoir les programmes de nos parcours diplômants, notre équipe d’ingénieurs pédagogiques effectue une étude de marché.

Cette étude consiste à évaluer le marché de l’emploi pour identifier l’offre et la demande actuelle. Nous créons des programmes uniquement lorsque l’offre est plus importante que la demande. En d’autres termes, nous créons des programmes lorsque nous savons qu’il y a plus de postes à pourvoir que de candidats pour les occuper.

Par exemple, les gestionnaires de paie sont en manque chronique depuis des années dans toute la France. Les commerciaux ont été le profil le plus recruté après le confinement de 2020. Les professionnels du développement, de l’IT et de la Data Science, des RH et du Marketing sont recherchés dans tous types d’entreprises, en France et à l’international.

Une fois que l’on sait cela, la logique de l’Emploi Garanti est facile à comprendre : si nos étudiants acquièrent les compétences nécessaire pour exercer ces métiers et que nous les accompagnons individuellement dans leur recherche grâce à un coach en insertion professionnelle, ils trouveront un emploi.

Combien y a-t-il d’emplois disponibles ?

On estime que près de 200 000 emplois devraient être créés en France d’ici à 2022.

Si vous voulez en savoir plus sur l’industrie de la technologie, nous vous invitons à lire les résultats de la dernière étude menée par Stack Overflow.

Dans la section « work », ils fournissent des chiffres détaillés sur l’emploi, le type d’entreprises qui recrutent, les priorités des demandeurs d’emploi et même les salaires. C’est idéal pour se faire une idée de l’état du marché de l’emploi.

Si vous souhaitez rechercher un travail dans votre pays d’origine, vous pouvez consulter LinkedIn Jobs, Indeed, ou encore Monster. Vous vous ferez une idée de la quantité de postes à pourvoir et vous verrez qu’il n’y a pas à s’inquiéter.

Sachez cependant que les salaires peuvent varier en fonction des pays. Un développeur Web n’aura pas le même salaire en Europe, aux États-Unis ou en Asie. Si c’est la rémunération qui vous intéresse (qui pourrait vous en vouloir ?), vous pouvez envisager de vous installer à un endroit où les salaires dans le domaine de la technologie sont élevés. Vous pouvez également envisager de devenir indépendant, ce qui peut s’avérer plus rentable dans certains domaines et pour des projets importants. Enfin, si vous ne souhaitez pas déménager, vous pouvez décider d’opter pour le télétravail.

Comment OpenClassrooms vous aide-t-elle à trouver un emploi ?

OpenClassrooms vous aide à trouver un emploi et à réussir votre carrière de deux manières : via le mentorat et le coaching professionnel.

Qu’est-ce que le mentorat ?

Chacun de nos étudiants a un mentor pour l’aider sur ses projets.  Bien plus que des « évaluateurs », les mentors ont pour rôle d’accompagner techniquement, de guider et d’encourager les apprenants.

Ils sont également des experts dans leur domaine, dotés d’une grande expérience professionnelle. À leur contact, les étudiants se préparent donc à la réalité du marché de l’emploi et du poste visé. Grâce à des programmes centrés sur des projets, l’étudiant et le mentor construisent ensemble un portfolio dont l’étudiant pourra se servir lors des entretiens d’embauche. Ce portfolio est la preuve que l’étudiant possède de l’expérience… et nous le savons tous, c’est souvent le manque de pratique qui coûte les postes aux jeunes diplômés.

Vous voulez savoir qui sont nos mentors ? Regardez la vidéo de Judith, mentor en Data Science.

Vous voulez savoir ce que nos apprenants pensent du mentorat ? Découvrez les retours d’étudiants sur le mentorat. 

Qu’est-ce que le coaching professionnel ?

En plus du mentor, chaque diplômé échange pendant quelques semaines avec un coach en insertion professionnelle suite à sa formation. Ce coach connaît parfaitement le marché du travail et les processus de recrutement en particulier. Il a aussi développé un réseau important, afin de recommander ses étudiants et de leur ouvrir la voie du marché caché de l’emploi. 

Avec le coach, chaque diplômé travaille :

Ainsi, le diplômé dispose de toutes les clés pour décrocher l’emploi qui lui correspond, et est dans les meilleures conditions pour y parvenir rapidement.

Et maintenant ?

L’emploi garanti semble trop beau pour être vrai ?

Pas d’entourloupe. La mission d’OpenClassrooms est au cœur de toutes ses actions et notre équipe se consacre pleinement à votre réussite. 

Et si vous jetiez un coup d’œil à notre catalogue de formations ou notre cours pour trouver le parcours qui vous correspond ? Bonne recherche !

Et pour aller (encore) plus loin : 

Deux cours gratuits peuvent vous intéresser si vous recherchez un emploi.

Élaborez votre stratégie de recherche d’emploi

Obtenez l’emploi qui vous correspond.

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Le parcours de Laure : d’OpenClassrooms à Gameloft, au Canada

Par : Nora Leon

Laure, c’est l’histoire d’une reconversion improbable réussie. Notamment grâce à un passage par la formation Développeur d’applications Python d’OpenClassrooms qui lui a permis de se forger de nouvelles compétences professionnelles dans le domaine de la programmation et du développement web, une passion qu’elle ne soupçonnait pas jusqu’alors.

 

D’abord, une reconversion

 

Laure a été chimiste analytique dans l’industrie pharmaceutique pendant près de treize ans. Au cours de cette période, elle a travaillé dans quatre entreprises différentes, de Paris à Montpellier en passant par l’Alsace. Jusqu’à la dernière qui l’a emmenée à Montréal au Québec, puis qui a dû supprimer son poste pour des raisons économiques.

 Le 6 décembre 2016, j’ai appris que mon poste de chimiste serait supprimé après mon congé maternité qui courait jusqu’en avril 2017. J’ai finalement été payée à rester à la maison pendant 4 mois, en guise d’indemnités de départ. Avant d’entamer mes démarches pour me former au code, j’étais installée au Canada depuis près de de trois ans, et plus de deux ans que j’étais à la maison, depuis ma 2ème grossesse.  

Suite à la perte de son emploi, Laure a envoyé des candidatures et entamé des démarches pour retrouver un poste dans la chimie, mais sans grand succès.

 

La découverte du code

 

C’est à l’occasion d’un atelier parent-enfant dédié à la découverte de la programmation informatique que Laure découvre le code. Avant même d’y participer, au moment de son inscription, elle commence à se renseigner sur ce monde a priori à l’opposé du sien.

Après avoir visionné une vidéo très inspirante de Ludwine Probst qui racontait son parcours, je me suis demandé pourquoi je n’étais pas devenue développeuse à 20 ans… Avec le recul, j’ai trouvé 3 réponses :

 

parce que je pensais que c’était pour les gens (vraiment !) intelligents, et que je me suis longtemps dévalorisée de ce point de vue-là.

 parce que je pensais que « l’informatique n’était pas pour les filles ». Maintenant, ça me fait simplement sourire d’avoir pensé cela car ce n’est plus le cas aujourd’hui.

parce que je pensais aussi qu’il fallait être un peu asocial pour passer sa vie devant un écran d’ordinateur et ce n’était pas l’image que j’avais de moi. Aujourd’hui, je sais que j’ai un grand besoin de m’isoler pour être heureuse et je n’en tenais pas compte avant.

Ludwine Probst qui raconte son parcours sur YouTube

 

La formation

 

En parallèle, Laure découvre le site d’OpenClassrooms.

J’ai découvert des vidéos sur YouTube et j’ai commencé un premier cours gratuit. Ensuite, j’ai consacré tout mon temps libre à suivre des cours. Les semaines puis les mois ont passé, pendant que je développais un intérêt toujours grandissant pour la programmation informatique.

Dans un deuxième temps, un rendez-vous téléphonique avec la conseillère pédagogique d’OpenClassrooms m’a aidée à confirmer le choix de mon parcours. Ce serait : développeur d’application – Python.

A partir de ce moment-là, je me suis concentrée sur les cours gratuits du parcours, afin d’être opérationnelle pour démarrer le parcours mentoré. Pour lequel j’ai choisi Thierry Chapuis comme mentor, qui m’a appris que le langage Python était également utilisé en laboratoire ! Alors, reconversion ou pas finalement ?

 

Une expérience professionnelle et un contrat chez Gameloft !

 

Pendant les mois qui suivent sa découverte du code, Laure boucle 8 des 13 projets du parcours qui se rapportent à la formation Python. Forte de son nouveau savoir et de ses compétentes toutes fraîches, elle se lance à la recherche d’un stage d’application dans une entreprise.

Issue du domaine de la chimie, elle n’a pas de réseau à Montréal dans le champ du code. Néanmoins, une des ses amies proches travaille chez Gameloft et lui fait savoir qu’ils y recrutent régulièrement des développeurs. On peut même dire que les étoiles s’alignent pour Laure, puisqu’à ce moment-là, c’est précisément un stagiaire en Python qu’ils recherchent ! Elle envoie donc son CV et un peu plus d’un an seulement après avoir tapé sa première ligne de code seule chez elle, Laure est reçue chez Gameloft :

J’ai enchaîné les cours sur OpenClassrooms sans jamais avoir l’occasion d’échanger en réel avec des codeurs confirmés (sauf les mentors en visio).

Je me sentais honorée d’être ainsi reçue et écoutée par des développeurs professionnels pendant 1h. Aussi incroyable que cela puisse paraître, l’entretien s’est merveilleusement déroulé. Notez qu’avec mes presque 37 ans, j’étais de loin la personne la plus âgée de la pièce.

J’ai raconté mon parcours et comment j’en étais arrivée à reprendre des études pour changer de branche. L’équipe a été très intéressée que j’explique en détails ma formation avec OpenClassrooms, j’ai notamment raconté que j’avais été séduite par le système de mentorat que je trouvais très efficace. Mes futurs collègues se sont montrés très ouverts et curieux. Ils m’ont finalement demandé d’aller au tableau blanc pour l’exercice du FizzBuzz ! Par chance, je l’avais fait un an plus tôt dans un cours et je m’en souvenais assez clairement.

 

Suite à cet entretien, Laure a bel et bien été prise en stage chez Gameloft. Elle a donc intégré une équipe dans le studio où les jeux sont créés avant de sortir dans le monde entier. Elle gère des services assez transversaux comme l’authentification des joueurs, le stockage des données, le tableau des scores.

Ma mission est d’écrire des tests d’intégration sur le code de ces services qui est en place depuis plusieurs années et sur lequel on a besoin d’avoir davantage confiance, de façon à pouvoir envisager des modifications d’architecture conséquentes sans avoir peur de tout casser ! C’est du pur backend, 100% en Python !

En plus d’apprendre énormément de choses, je sens qu’on me fait confiance et qu’on tire partie de mon parcours atypique. Par exemple, depuis mes premières semaines à Gameloft, je participe aux entretiens de recrutement avec mes chefs à la recherche de nos futures perles rares (on a besoin de développeurs !) … c’est fou quand j’y pense. 

 

Pour Laure, tout a été question de chance, de coïncidences, de persévérance et de rencontres au bon moment, encouragée par la formation OpenClassrooms. L’histoire est d’autant plus belle que lors de son recrutement, on a sous-entendu à Laure qu’elle pourrait éventuellement prolonger son contrat à l’issue du stage, si elle le souhaite.

 

À propos d’Aglaé : 

Aglaé est auteur-rédacteur. Elle a fondé Word Shaper, une agence créative qui propose des services d’écriture, de consulting et de conception.

 

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Suis-je fait pour travailler en freelance ?

Par : Nora Leon

Devenir freelance est une opportunité de travailler pour soi-même, en faisant quelque chose qu’on aime et en gérant notre temps comme il nous convient.

Depuis la crise financière de 2008, on observe un recul des emplois traditionnels. Le travail en freelance est de plus en plus populaire. Il transforme le marché du travail et le monde des affaires de manière significative. D’ici 5 à 10 ans, on estime que 50 % de la population active sera travailleur indépendant. D’ailleurs, plusieurs millions de Français ont déjà sauté le pas. Cela donne matière à réflexion.

 

Quelles sont les compétences nécessaires à un travailleur indépendant ?

 

Pour être professionnel indépendant, vous devez être polyvalent. Non seulement vous vendez des services dans un domaine que vous aimez et où vous êtes bon, mais vous êtes également votre propre patron et vous gérez votre propre entreprise.

Pour réussir, vous devrez :

Avoir le sens des affaires

Premièrement, vous devez définir les compétences que vous pouvez mettre en avant et le secteur concerné. Vous devez vous perfectionner dans ces domaines, définir les tarifs que vous appliquerez en fonction du marché, de vos compétences et de votre expérience, et établir le rythme de travail qu’il vous faudra respecter pour parvenir à un revenu correct.

Deuxièmement, vous devez travailler sur votre argument clé de vente. Voici quelques exemples d’arguments clé de vente pour professionnels indépendants :

  • Votre réputation et votre personnalité : un client est susceptible de choisir un prestataire agréable plutôt qu’un autre plus expérimenté, mais avec qui il est difficile de travailler.
  • Une niche : rendez-vous unique et faites-vous connaître comme la personne à contacter pour un certain type de problèmes.
  • Les partenariats : vous pouvez travailler avec des graphistes et des rédacteurs de talent ou d’autres professionnels qui complètent votre service. Cela vous rendra attractif.
  • Vos tarifs : faites en sorte d’être compétitif tout en ayant une activité rentable. Vous pouvez proposer des remises et vous rapprocher de clients de premier plan.

Avoir le sens du détail

Vous devez connaître et respecter les lois concernant votre statut d’indépendant et votre entreprise. Vous n’avez évidemment pas besoin d’être avocat, mais vous devez vous montrer attentif aux détails et faire des recherches pour trouver les informations dont vous avez besoin.

Demandez l’aide d’un professionnel si vous avez un doute – cela vaut parfois la peine d’investir. Si vous le souhaitez, vous pouvez également embaucher un comptable professionnel, mais vous devez de toutes façons garder vos factures en ordre et vos comptes à jour.

Avoir le sens de la vente

Vous devez être capable de vous mettre en avant et de vendre votre travail. Que vous recherchiez des clients en ligne ou en personne, avoir une présence sur le web vous apporte de la crédibilité, en particulier avec un portfolio ou des témoignages. Assurez-vous également de préparer des modèles de contrats afin d’être prêt lorsque vous trouverez un client.

Être proactif

Lorsque vous êtes freelance, vous devez constamment vous vendre, assister à des événements et réseauter. Assurez-vous que votre argument clé de vente reste pertinent. Mettez à jour votre portfolio et n’hésitez pas à vous repositionner pour rester compétitif.

Être débrouillard

Gérer son temps et choisir son lieu de travail, ses clients et ses projets comptent parmi les nombreux avantages du travail en freelance. Vous pouvez évidemment travailler en pyjama si c’est  ce que vous souhaitez. Mais n’oubliez pas que vous avez un travail à effectuer dans un délai donné et que vous devez être efficace.

La motivation et la gestion du temps sont essentielles. Vous pouvez organiser votre journée de travail comme vous le souhaitez mais vous devez l’optimiser pour atteindre votre potentiel. Répondez à ce questionnaire Morningness-Eveningness pour découvrir à quel moment de la journée votre cerveau est le plus efficace.

 

C’est le moment d’agir !

Si vous avez obtenu un diplôme OpenClassrooms à niveau équivalent à bac+2 ou bac+3, vous êtes bien placé pour réussir en tant que freelance. Si vous n’avez pas commencé votre parcours diplômant chez OpenClassrooms, venez découvrir nos parcours.

 

 

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Comment créer un portfolio convaincant ?

Au-delà du CV et de la lettre de motivation, lorsque l’on postule pour un job, le portfolio peut compléter la candidature de manière pertinente.

C’est une plateforme plus vaste pour mettre en avant vos compétences, et les projets sur lesquels vous avez déjà travaillé.

Il est particulièrement recommandé dans le cas de métiers créatifs : rédaction, graphisme, audiovisuel, mode etc.

Dans tous les secteurs, la concurrence est de plus en plus rude. Mettre en avant ses réalisations concrètes est donc un atout pour vous distinguer des autres candidats. A vous donc de mettre toutes les chances de votre côté en créant un portfolio convaincant, à la hauteur de vos qualités !

 

Que faire apparaître dans votre portfolio ?

 

Il est à ajuster selon votre domaine d’expertise et ce que vous souhaitez mettre en avant au regard du poste pour lequel vous postulez. Un seul objectif, montrer toute l’étendue de vos compétences ! Le portfolio doit donc être à votre image, il doit vous ressembler et vous représenter. Concrètement, que faire apparaître ?

Christophe Vallot est un professionnel du recrutement, formateur chez RHConcepts, mentor chez OpenClassrooms et web développeur. Voici ce qu’il conseille :

Je dirais que la question qu’il faut se poser au préalable est : « Quelle est ma cible ? ». En effet, le portfolio doit permettre de convaincre de nouveaux clients pour un freelance, des recruteurs ou des employeurs pour un poste en tant que salarié.

Le contenu du portfolio pourra alors sensiblement varier selon que l’on désire illustrer un ensemble de compétences au travers de projets déjà réalisés ou bien encore mettre l’accent sur sa personnalité et/ou son univers pour accroître son potentiel séduction.


Triez, personnalisez

Sélectionnez les échantillons des projets les plus pertinents, dont vous êtes le plus fier, dont vous avez le plus appris, grâce auxquels vous avez surmonté des difficultés particulières.

Il est indispensable de faire le tri et de ne pas tout mettre, pour ne pas écoeurer le recruteur, qui cherche spécifiquement une personne pouvant répondre spécifiquement à son besoin.

Privilégiez les travaux terminés et qualitatifs, ainsi que les expériences qui font le plus écho avec le job pour lequel vous êtes en train de postuler. L’avantage du portfolio, c’est qu’il est plus visuel que le CV ou la lettre de motivation, donc selon votre spécialité et votre cible, faites apparaître les photos, les vidéos ou les textes associés à vos projets.

Mettez en avant des cas d’étude

C’est très convaincant pour un recruteur ou un potentiel client de pouvoir comprendre vos méthodes de travail et ce qui fait de vous quelqu’un de compétent. Essayez de trouver un moyen de présenter la chronologie d’un projet dont vous êtes particulièrement satisfait par exemple.
Surtout si vous êtes développeur ou designer, montrez les sites que vous avez réalisés pour prouver vos compétences.

Faites-vous recommander

Aussi, il peut être intéressant pour convaincre le recruteur, de
faire apparaître des recommandations dans votre portfolio. Avez-vous un collègue, un ancien employeur ou un de vos clients réguliers qui pourraient apporter une opinion positive sur votre travail et vos qualités ? Mentionnez-le pour appuyer votre candidature ! Tous les moyens sont bons pour faire la différence.

 

Quelle forme adopter ?

 

Le recours au portfolio est de plus en plus courant, donc encore une fois, il est indispensable pour vous, de réussir à trouver le parfait équilibre entre faire la différence mais ne pas en faire trop non plus. En effet, sachez rester simple pour être efficace. Évitez le superflu dans la forme qui viendrait parasiter la compréhension du fond.

  • Pour simplifier la tâche à votre lecteur, organisez le portfolio de la façon la plus claire possible, en commençant par y insérer une table de matières. 
  • L’ensemble doit être visuel : organisez vos contenus sous formes de rubriques thématiques ou chronologiques, selon ce qui est le plus approprié.

Christophe Vallot recommande d’insérer un « texte de présentation incluant le poste recherché, une accroche personnalisée, quelques « soft skills » et bien sûr le domaine d’expertise.
Des « call to action » peuvent y être associés afin de faire le lien vers les projets, le formulaire de contact ou des pièces à télécharger, comme le CV par exemple
. N’oubliez pas d’ajouter un formulaire de contact pour un échange rapide et un lien vers vos réseaux sociaux ».

La question que vous devez également vous poser : est-ce que vous souhaitez créer un portfolio sous forme d’un dossier, PDF par exemple, ou sur une plateforme en ligne. En soi, peu importe à moins qu’encore une fois, ce soit l’occasion de mettre en avant certaines de vos compétences. Si vous êtes webdesigner par exemple, il est légitime de privilégier un portfolio en ligne.  Il faut veiller également à ce que le support utilisé se conforme à un certain nombre de « standards du Web ». Il serait dommage que votre support ne soit pas conforme au W3C ou ne respecte pas les normes d’accessibilité.

Tout comme le CV, il faut distinguer la forme et le fond. Pour la forme, on peut s’intéresser aux tendances design du moment et parcourir les portfolios de la  concurrence afin de trouver l’inspiration. De nombreux modèles sont à disposition mais attention à le personnaliser suffisamment pour ne pas donner l’impression d’un énième clone.

 

Les meilleurs outils pour créer un portfolio

 

Bootstrap est un site de référence pour mettre en avant vos créations, et qui propose de nombreux templates gratuits pour vous aider à démarrer.

Triangly est une plateforme gratuite ; vous pouvez y charger des créations à partir de votre DropBox.

Carbonmade est l’option du portfolio en ligne gratuit qui a en plus la particularité de pouvoir télécharger des vidéos et animations !

Behance est la plateforme des créatifs, sur laquelle vous pouvez référencer vos projets.

Cargocollective est également une plateforme qui séduit les artistes et professionnels de la création pour mettre en avant leur portfolio de façon élégante.

 

[ À lire ensuite :

Construire l’argumentaire imparable pour décrocher votre job
8 conseils pour piquer la curiosité des recruteurs 
Entretien d’embauche : les pires et meilleures questions à poser ]

 

À propos d’Aglaé : 

Aglaé est auteur-rédacteur. Elle a fondé Word Shaper, une agence créative qui propose des services d’écriture, de consulting et de conception.

 

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Construire l’argumentaire imparable pour décrocher votre job

Par : Lou Dumas

 

Hourra ! Il semblerait que votre CV et votre lettre de motivation aient fait mouche. Vous êtes convoqué à un entretien d’embauche. Reste à convaincre le recruteur que vous êtes fait pour ce poste, et vite… Vous disposerez seulement de quelques dizaines de minutes pour vous vendre.

Pas de quoi se faire des nœuds au cerveau, une préparation méthodique en quelques actes peut vous permettre de faire la différence. Vous allez pouvoir orienter au maximum le déroulé de l’entretien afin de mettre en lumière les points forts de votre candidature. A vos marques, prêts, partez !

 

J-5, une préparation béton

 

A une petite semaine du rendez-vous, il est temps de s’attaquer aux étapes préliminaires.

La première consiste à rassembler un maximum d’informations sur l’entreprise. C’est la moindre des choses non ?

Quelques questions basiques :

  • Que fait-elle ?
  • Qui la dirige ?
  • Où est-elle située ?
  • Depuis quand existe-t-elle ?
  • Pourquoi cherche-t-elle à embaucher un nouveau collaborateur ?
  • Mais aussi : ses valeurs, sa culture, son logo, sa cotation en bourse s’il y a lieu, l’histoire de ses fondateurs, la diversification de ses activités…

Le site internet de l’établissement est votre mine d’or, sachez le défricher efficacement  : répertoriez les infos-clé sur une fiche synthétique sans toutefois vous égarer pendant des heures. Vous avez encore du pain sur la planche !

La deuxième est centrée sur la fiche de poste : nature de l’emploi et missions ne doivent pas avoir de secret pour vous. Tentez de visualiser votre future journée-type à partir de la fiche de poste. Essayez de lister les qualités correspondantes, elles découlent assez naturellement des tâches qui vous seront assignées, sous la forme de quelques adjectifs simples.

Exemple : réalisation d’analyses mensuelles chiffrées = candidat rigoureux, organisé.

Dans le but de construire un argumentaire efficace, demandez-vous d’ores et déjà comment vous allez pouvoir prouver que vous possédez chacune des compétences requises sur la fiche de poste. La constitution d’un catalogue d’exemples personnalisé est l’une de vos prochaines étapes.

La troisième concerne votre interlocuteur, si vous en connaissez l’identité. Qui est-il ? Quelles sont ses attentes ? C’est le moment de jouer (subtilement) aux détectives sur LinkedIn, sans virer au stalker non plus ! Vous pouvez également contacter des employés de l’entreprise pour échanger avec eux sur poste et jury, dans la mesure où cela reste subtil et ne les importune pas. Nourri d’informations recueillies en interne, votre argumentaire sera encore plus pertinent et circonstancié.

Enfin, il vous faudra articuler les qualités recherchées pour le poste avec vos expériences diverses (professionnelles mais aussi sportives, associatives, de voyage). Allez à l’essentiel : concentrez-vous sur 3 à 4 expériences maximum, variez les plaisirs et demandez vous en les sélectionnant quelles sont les plus différenciantes. Il est important de souligner, dans le récit des expériences que vous aurez choisies, ce que vous avez apporté; dans l’autre sens ce que l’expérience vous a appris et, bien sûr, le lien avec ce pour quoi vous êtes là le jour J.

Exemple : job étudiant = j’ai travaillé au guichet d’une banque.

  1. J’ai renforcé les effectifs de l’agence bancaire en période estivale pour lui permettre de fonctionner sans ralentissement et d’avancer sur des projets transverses.
  2. Cela m’a forcé à être ultra précis(e) et à manier les chiffres pour fermer le guichet sans erreur, jour après jour.
  3. Je suis un candidat organisé et rigoureux qui n’a pas peur de se frotter aux analyses requises.

Il vous manque des compétences-clé ? Vous avez beau chercher mais ne pouvez pas les illustrer à travers votre parcours ? 

Quelques pistes pour compléter votre argumentaire :

  • Faire preuve de proactivité : vous pourriez très bien suivre des cours ou faire une formation pour vous améliorer…
  • Démontrer  votre capacité d’apprentissage rapide par le passé : cette compétence n’est pas acquise mais pourrait l’être très bientôt
  • Réitérer (encore et toujours) votre motivation à vous dépasser pour correspondre au poste.

 

Jour J, dans les starting blocks, mais flexible

 

Soignez votre introduction. Vos premières paroles vont orienter le démarrage de l’entretien et tendre des perches au jury. Elle doit donc être à la fois courte et exhaustive. Si vous avez suivi les étapes de la préparation béton, elle devrait être relativement facile à dérouler. Si cela vous rassure, vous pouvez toujours l’avoir écrite et / ou répétée en amont.

  • Commencez par vous présenter, chronologiquement, en déroulant le plus clairement possible trajectoires académique et professionnelle.
  • Afin d’installer un sentiment de cohérence, citez une à une mais brièvement dans un premier temps les expériences marquantes que vous aurez choisi de développer par la suite.
  • Ne manquez pas d’exposer leur lien logique, qui fait que vous êtes là aujourd’hui. Enchaînez naturellement avec ce pourquoi vous voulez rejoindre l’entreprise et en quoi ses valeurs, sa vision résonnent particulièrement avec votre parcours.
  • Enfin, faites le lien entre ces deux premières étapes en montrant en quoi le recruteur et vous pourriez matcher à la perfection : faites-lui entrevoir votre valeur ajoutée et pensez à ce que ce job va pouvoir vous apporter.

Trouvez le bon ton. Valable tout au long de l’entretien et ajustable en fonction des réactions de votre interlocuteur : le bon équilibre consiste à se mettre en avant sans trop en rajouter, humble et conquérant à la fois !

Maîtrisez le jeu des questions-réponses. Votre introduction devrait avoir balisé le terrain : vous avez affiché un listing d’expériences intéressantes sur lequel le jury est susceptible de vous interroger. A priori vous visualisez bien les chemins sur lesquels il peut donc vous conduire et que vous pourriez aisément développer.

A quelques exceptions près, bien que rarement méchantes :

  • Attendez-vous à être interrogés sur d’autres points de votre CV, non abordés. Voilà pourquoi il peut être nécessaire de l’avoir légèrement adapté au moment de l’envoi de votre candidature. Mais a priori si vous avez jugé de bon de retenir telle ou telle information sur cette simple feuille A4, vous savez pertinemment pourquoi, n’est-ce pas ?
  • Soyez préparés à adresser la fameuse question des principales qualités et des vilains défauts à laquelle il vous faudra répondre sincèrement mais avec tact et self-marketing. Elle pourrait faire l’objet d’un article en soi…  Au-delà de la réponse, c’est souvent votre attitude qui est testée par ce biais : restez zen et soyez concret.
  • Ayez anticipé vos prétentions salariales.

Quittez la pièce en ayant demandé des précisions sur les prochaines étapes. Comme après une réunion de travail, essayez d’obtenir une suite, tout en remerciant votre interlocuteur de vous avoir reçu : sous quelle forme et sous quels délais reviendra-t-on vers vous ?

Cela peut enfin vous donner une occasion précieuse de réajuster votre argumentaire : “J’ai apprécié cet échange, je suis très intéressé(e) par le poste,  je ne voudrais pas partir sans vous avoir demandé si vous avez des doutes par rapport à mon profil :  y-a-t-il un élément qui ne vous a pas convaincu ? Votre dernière botte secrète pour un argumentaire plus que puissant.

À lire ensuite : 

[ CV : 8 conseils pour piquer la curiosité des recruteurs ]
[ Entretiens d’embauche : les pires et meilleures questions ]
[ Entretiens d’embauche : les secrets des meilleurs candidats ]
[ Comment préparer un entretien d’embauche ? Interview d’Honorine Jollans ]

À propos de Lou : 

Lou est diplômée de HEC Paris en 2012. Elle a sept ans d’expérience en marketing dans le secteur du luxe (parfums et cosmétiques) et a récemment pris son indépendance comme consultante dans ce domaine.
Elle complètera son cursus avec une formation en naturopathie en 2019.

 

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5 étapes pour choisir votre nouvelle carrière

Par : Nora Leon

Alors voilà, vous savez que vous souhaitez changer de carrière, mais vous ne savez pas quoi choisir. Vous vous sentez peut-être frustré et perdu, car les options semblent rares ou au contraire trop nombreuses.

Ne baissez pas les bras, nous sommes là pour vous aider grâce à notre stratégie en cinq étapes. Pour trouver un nouveau parcours professionnel en accord avec votre style de vie, vous devrez travailler sur vous-même et développer votre réseau.

Soyez patient et persévérant, vous n’imaginez même pas la quantité d’opportunités et de choix qui s’offrent à vous.

 

Étape n° 1 : définissez vos valeurs

 

Prenez une feuille et un stylo et remuez-vous les méninges. Notez librement ce qui est important pour vous dans votre carrière et faites une liste des choses qui vous motivent et vous donnent envie d’aller de l’avant autant dans votre vie professionnelle que personnelle.

Vous aimez peut-être travailler en équipe ou en autonomie ? Peut-être avez-vous l’âme d’un écrivain et prenez plaisir à faire preuve de créativité au travail ? Aimez-vous gérer une équipe, mettre des personnes en relation, développer un réseau, enseigner ou vous exprimer sur les réseaux sociaux ? Envisager de travailler dans une start-up vous exciterait-il ou vous inquiéterait-il ? Peut-être êtes-vous plus attiré par les grandes entreprises aux noms prestigieux ? La perspective de travailler pour l’intérêt général vous motive-t-elle ?

Votre liste ne doit pas obligatoirement être longue, retournez-y quotidiennement jusqu’à avoir le sentiment d’avoir pensé à tout.

Divisez ensuite votre liste en deux colonnes : la première contiendra vos cinq « incontournables » et l’autre vos « souhaits ».  

 

Étape n° 2 : imaginez le style de vie idéal

 

Réfléchissez à la vie que vous souhaitez avoir.

Préféreriez-vous avoir un métier dans le cadre duquel vous voyageriez tous les mois ? Ou privilégieriez-vous la routine et la proximité ? Aimeriez-vous travailler depuis chez vous ? Avez-vous considéré travailler en indépendant, créer votre propre entreprise, ou travailler en interne ? Quelles sont vos ambitions salariales dans l’immédiat et pour dans cinq ans ? Accepteriez-vous d’adopter une vie professionnelle sédentaire ou préféreriez-vous qu’elle soit plus dynamique ?

Intégrez ces critères de style de vie dans les deux listes que vous avez compilées lors de la première étape en n’ajoutant que 3 à 5 points à la colonne des « incontournables » et en ajoutant le reste à la colonne des « souhaits ».

 

Étape n° 3 : mettez vos points forts en avant

 

Nous voilà arrivés à l’étape finale du travail introspectif.

Dressez la liste des aspects de votre poste actuel que vous appréciez le plus. Notez ce que vous préférez dans vos passe-temps et vos études, ainsi que toute autre expérience positive. Pensez à vos réussites, aux tâches et aux rôles qui vous ont passionné.

Ne vous arrêtez pas aux réponses que vous avez trouvées, sollicitez l’opinion de vos proches et envoyez un e-mail à 3 à 5 personnes qui, selon vous, répondront objectivement à coup sûr. Il pourrait s’agir de votre partenaire, d’un ami ou d’un collègue. Demandez-leur quels sont vos points forts selon eux et de vous donner un exemple d’une chose qui les a impressionnés chez vous.

Cela peut paraître difficile, mais c’est une étape importante du programme. Qui sait, vous pourriez être surpris et flatté par leurs commentaires ! Prenez le temps de considérer leurs réponses et intégrez-les à votre liste.

À présent, vous avez un aperçu compréhensif de vos savoir-faire et de vos préférences. Tentez de les classer par ordre de priorité pour pouvoir facilement y faire référence. Ensuite, analysez quelles compétences peuvent s’appliquer à plusieurs métiers et secteurs.

Les listes que vous venez d’établir vous guideront dans votre recherche d’emploi. Elles mettront peut-être en avant des parcours professionnels que vous pourrez passer au peigne fin à l’étape n° 5. Dans tous les cas, elles vous seront utiles d’une manière ou d’une autre.

[ À lire ensuite : Comment réaliser un bilan de compétences ?

 

Étape n° 4 : développez votre réseau

 

Développer votre réseau professionnel, tisser des relations, découvrir des opportunités… Tout cela est essentiel à votre apprentissage et votre épanouissement personnels. Si vous vous y prenez bien, cela peut même être amusant !

Il y a tellement d’entreprises et de métiers différents que vous ne pouvez pas tous les connaître : discuter avec des professionnels de ce qu’ils font dans leur vie contribuera à élargir votre champ de connaissances.

Alors, faites-vous connaître !

Organisez des rencontres autour d’un café, des conversations téléphoniques ou des appels vidéo avec des personnes travaillant dans les domaines qui vous intéressent.

Il existe plusieurs façons de le faire :

  • Contactez les personnes que vous connaissez déjà dans vos vies personnelle et professionnelle et discutez avec elles de leur carrière. Allez sur LinkedIn (nous vous le recommandons fortement, c’est une très bonne ressource) et contactez les personnes dont le métier pourrait vous intéresser.
  • Assistez à des conférences, c’est l’occasion idéale d’échanger quelques mots en personne. Enfin, mettez à profit les réseaux sociaux : en effet, les relations et les opportunités professionnelles peuvent parfois naître des situations les plus improbables, il est donc très important de soigner sa présence en ligne. Soyez vous-même, mais faites attention à l’image que vous projetez.  

Trouvez des points communs avec la personne que vous contactez pour qu’elle ressente une affinité, surtout lorsque vous établissez de nouvelles relations sur LinkedIn. Cela augmentera vos chances d’obtenir une réponse.

Voici un exemple :

Bonjour Gregory,

Comme vous, j’ai étudié à [nom de l’université/école]. Ces sept dernières années, j’ai travaillé dans la comptabilité et je souhaite à présent prendre un tournant dans ma carrière. Je m’intéresse au développement Web, mais je ne sais pas par où commencer. Votre carrière dans ce domaine a l’air très intéressante ! Seriez-vous partant pour discuter au téléphone ou se rencontrer autour d’un café ? J’adorerais connaître votre histoire.

Bien à vous,

Catherine

N’oubliez pas que vous ne déposez pas une candidature, mais contactez simplement des personnes pour découvrir leur métier et déterminer si leur catégorie professionnelle vous correspond. Sachez aussi que la plupart des gens adorent parler d’eux, ceux qui accepteront votre invitation le feront donc avec beaucoup d’enthousiasme.

 

Étape n° 5 : posez les bonnes questions

 

Bon. Vous êtes au téléphone ou rencontrez une nouvelle relation pour la première fois. De quoi discutez-vous ?

La bonne nouvelle, c’est que vous savez déjà ce que vous voulez grâce aux listes de priorités sur lesquelles vous avez travaillé. Ce que vous recherchez maintenant, ce sont des informations qui vous aideront à savoir si une carrière en particulier est faite pour vous.

N’oubliez pas de prendre des notes !

Questions de base :

  • Comment êtes-vous arrivé à votre position actuelle ?
  • Pouvez-vous me décrire à quoi ressemble une journée de travail typique pour vous ?
  • Qu’est-ce que vous aimez le plus dans votre travail ?
  • Quel est l’aspect le plus frustrant de votre métier ?
  • Comment séparez-vous votre vie privée de votre vie professionnelle ?
  • Quelles sont les compétences et caractéristiques les plus utiles à votre métier ?

Posez également des questions pour déterminer si leur métier inclut tous vos « incontournables ».

Pour ne pas paraître trop indiscret, nous vous conseillons de ne pas parler de salaire. Vous trouverez ce type d’information sur des sites Internet comme « Glassdoor ».

Stratégies :

  • Gardez à l’esprit que votre nouvelle relation est susceptible d’avoir une vision différente de la vôtre sur le marché du travail. Informez-la rapidement de ce que vous recherchez et demandez-lui si elle a des suggestions à vous faire. Pour lui donner du contexte, dites-lui ce que vous aimez et quels sont vos points forts.
  • Enfin, demandez-lui si elle peut vous recommander des personnes à contacter. Cette question vaut de l’or, car elle l’incite à vous présenter des connaissances et donc vous donne l’opportunité d’établir d’autres relations professionnelles.
  • Après votre conversation, assurez-vous d’y faire suite avec un message de remerciement (par e-mail) contenant des informations pertinentes comme votre CV. Contactez cette personne régulièrement pour entretenir votre relation professionnelle. Le plus important est de rester honnête.

 

Conclusion

 

Plus vous avez de relations, plus vous saurez quelles carrières vous conviennent le mieux. À un moment ou un autre, la marche à suivre deviendra claire et vous aurez les relations adéquates pour vous guider.

Répétez les étapes n° 4 et 5 jusqu’à ce que vous trouviez la bonne carrière. Le développement de votre réseau ne contribuera pas seulement à l’identification de votre nouvelle carrière cible, mais vous aidera également à déterminer quels sont les études, compétences et autres éléments préparatoires nécessaires à l’obtention du poste idéal. On ne sait jamais, on vous fera peut-être tout de suite une offre d’emploi !

 

À lire ensuite : 

 

Pourquoi changer de métier ? ]
Quel est le bon moment pour changer de métier ?  ]
Quels sont les métiers les plus recherchés dans le numérique ?  ]
Effectuer son bilan de compétences  ]
[ Les 10 métiers les plus recherchés du numérique ]

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La reconversion de Silvia, de Barcelone à Paris

 

Silvia est espagnole et travaille à Paris depuis 2010. Après huit ans à travailler dans le commercial, elle décide de se reconvertir et s’inscrit au programme « Ingénieur responsable pédagogique » chez OpenClassrooms.

Et son projet fonctionne. En octobre 2018, Silvia quitte son ancienne entreprise et décroche un poste de chef de projet e-learning dans un centre de formation. Nous sommes allés à sa rencontre pour en savoir plus sur son parcours.


Quel métier exerçais-tu à Barcelone et pourquoi es-tu venue en France ?

 

En Espagne, j’étais enseignante vacataire et j’animais des formations pour enfants et adultes. Mon métier était très exécutif et consistait à transmettre un contenu aux élèves de la manière la plus efficace possible.

Je suis arrivée à Paris en fuyant la crise, et je ne parlais pas bien le Français. J’ai eu de la chance malgré tout, car j’ai décroché un job en service client, puis j’ai évolué en tant que commerciale. J’ai travaillé dans plusieurs entreprises pendant huit ans.

J’ai toujours su ce que je voulais faire, mais ce n’était jamais le bon moment pour prendre les choses en main et quitter le confort de mon CDI. Je pensais ne jamais pouvoir accéder au job de mes rêves et j’étais presque sûre que je n’aurais pas le niveau de langue requis.


Quand as-tu décidé de te reconvertir et de suivre une formation ?

 

Pendant mon congé maternité, j’ai eu un déclic.

J’ai compris que ma carrière de commerciale ne me satisfaisait plus. Changer d’entreprise ne servait à rien : je me lassais vite car ce n’était pas le métier que je voulais exercer. Alors, je me suis posée les bonnes questions et pris la décision de changer de voie.

J’ai commencé mon parcours de formation chez OpenClassrooms au mois de juin, une fois en congé maternité. Aujourd’hui, j’en suis au 6e projet du parcours, il ne m’en reste plus que deux pour terminer la formation.

 

Quelle formation as-tu choisie et pourquoi ?

 

L’ingénierie pédagogique est ce qui m’intéresse le plus : concevoir des formations, réfléchir à un contenu intéressant et utile. Et depuis quelques années, les formations professionnalisantes ont le vent en poupe en entreprise.

 

Qu’est-ce qui t’a poussée à t’inscrire chez OpenClassrooms?

 

J’ai choisi OpenClassrooms car je voulais suivre une formation à mon rythme, depuis chez moi. Étant enceinte, c’était important de pouvoir adapter mon travail à mes journées.

Pour pouvoir me reconvertir, je devais acquérir de nouvelles compétences, mais surtout me confronter à un nouveau métier. Chez OpenClassrooms, on met en pratique ce qu’on apprend à travers des projets. Chaque projet de la formation donne lieu à une soutenance : il faut faire preuve de débrouillardise, se creuser la tête, chercher des informations.

Le suivi avec le mentor, pour moi, c’est la clef de la réussite. Faire un point hebdomadaire, ça re-motive ; au moindre souci, on peut en discuter.

Je me suis sentie accompagnée, soutenue.

C’est ce qui fait toute la différence chez OpenClassrooms par rapport à d’autres organismes de formation.

 

Comment t’organises-tu au quotidien ?

 

Quand j’étais enceinte, je me calais des séances de travail régulièrement. J’étais souvent fatiguée, donc ça n’a pas été facile tout le temps. Aujourd’hui, mon bébé est né, je m’isole donc le soir entre 19h et 21h pour travailler.

L’organisation est indispensable, car le quotidien peut vite vous rattraper !

 

Comment as-tu vécu ta recherche d’emploi ?

 

J’ai commencé à postuler après la naissance de ma fille. J’ai passé mes entretiens pendant le congé parental de mon mari. Pour mes candidatures, je me suis servie de tout le vocabulaire engrangé pendant la formation, et ça a payé !

J’ai trouvé un nouveau travail en tant que chef de projet e-learning, à partir de février. Même si c’est dur de se sentir légitime lorsqu’on change de métier, je suis confiante.

 

Quels conseils donnerais-tu aux élèves d’OpenClassrooms ?

 

Pour mettre toutes les chances de votre côté, réfléchissez en amont à votre projet professionnel. Gardez-le en tête, tout le temps.

Au moment de vous lancer, vous serez débordants de motivation : pour ne pas la perdre, pensez à bien organiser vos temps de travail. Et surtout, échangez le plus possible avec votre mentor, il est là pour vous aider.

 

Envie de suivre le même chemin professionnel que Silvia ? 

 

Jetez un œil à notre parcours Ingénieur responsable pédagogique !

 

À lire ensuite : 

 

La trajectoire de Damien – À peine diplômé, les appels ont plu ]
La trajectoire de Mehedi – Un parcours réussi malgré plusieurs pauses ]

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Changement de voie, changement de poste : et si je réalisais un bilan de compétences ?

 

9 Français sur 10 rêveraient d’une reconversion professionnelle. Désormais, la quête du travail qui fait sens pousse de plus en plus d’actifs à se jeter à l’eau. Leur objectif, embrasser des changements de métier parfois radicaux, au nom d’un plus fort épanouissement personnel.

Mais si aujourd’hui, changer d’emploi n’a plus rien d’étonnant, cela ne se fait pas en un claquement de doigts. Un parcours professionnel en constante évolution est une richesse qui peut vous faire décrocher un job de rêve, à condition de connaître vos forces et vos marges d’amélioration et de savoir valoriser les liens entre différents postes occupés.

Pour réussir cet exercice délicat, faites un bilan de compétences.

À quoi peut-il vous servir ? Comment l’utiliser au mieux ? Cet article devrait vous aider à voir plus clair.


Pourquoi faire ce bilan ?

 

C’est un accompagnement sur-mesure qui vous permet de faire le point sur votre situation professionnelle.

Plusieurs motivations peuvent appeler à réaliser ce bilan.

  • En début de carrière, il vous permet de prendre confiance et de vous conforter dans le choix d’un métier ;
  • Au milieu de votre vie professionnelle, il peut être utile si vous aspirez à une promotion ou à un changement de secteur ;
  • En période de formation ou de recherche d’emploi, il vous aide à mettre au clair vos envies.

A travers d’entretiens individuels, de tests et d’une analyse de vos expériences professionnelles, ce bilan permet de dégager les fils rouges de votre parcours. Dans le même temps, il prend en considération vos aspirations, vos passions et votre personnalité. Une fois le bilan réalisé, vous repartez avec des perspectives concrètes.

En bref, le bilan de compétences est un peu l’état des lieux de votre vie professionnelle.  Il constitue une base solide de connaissance de vous même et vous  permet d’affronter avec plus de sérénité une période de changement. Ainsi, vous ne repartez pas de zéro si vous souhaitez changer de métier ou évoluer. Vous capitalisez sur vos compétences et vous dynamisez votre recherche d’emploi.


Comment se déroule-t-il ?

 

Vous êtes accompagné par un coach ou un expert, le plus souvent dans un cabinet. La durée est variable selon votre situation : généralement, une vingtaine d’heures réparties sur plusieurs semaines.

Votre accompagnateur décrypte votre profil professionnel et votre personnalité: compétences techniques, qualités relationnelles, aptitudes intellectuelles… Rien n’est laissé de côté.

Son rôle : vous faire prendre conscience de vos forces et vos compétences transposables.

 


Les principales compétences transposables

 

De nombreuses aptitudes (savoir-faire ou savoir-être) se retrouvent d’un métier à l’autre, parfois même lorsqu’ils paraissent diamétralement opposés. On parle de vos compétences techniques (savoir utiliser un logiciel, rédiger certains types de documents, tenir une comptabilité…) mais également de vos compétences transversales qui touchent à l’organisation, à l’adaptation, au relationnel.

Voici quelques exemples de compétences centrales dans plusieurs emplois :


En pratique, comment réaliser ce bilan ?

 

Pour qui ?
Pour tout le monde. Que vous soyez salarié dans le secteur public ou privé, en CDI, CDD, indépendant ou en intérim, vous pouvez réaliser un bilan de compétences.

Quand ?
Dès que vous avez envie d’évaluer vos compétences, dans le but d’une promotion, d’un changement de poste ou même de métier.

À quel prix ?
Le tarif moyen d’un bilan de compétence est de 1 800 euros, toutefois le prix est variable selon les prestataires. Le bilan est très souvent pris en charge par votre entreprise sous réserve de remplir certains critères d’éligibilité. Si vous êtes  au chômage, vous bénéficiez d’un bilan gratuit dans le cadre de vos recherches d’emploi.

A qui s’adresser ?
– Si vous êtes demandeur d’emploi, faites une demande à Pôle emploi.
– Si vous êtes salarié, rapprochez-vous du réseau Fongecif de votre région pour déposer une demande de prise en charge. Le bilan peut s’effectuer pendant ou en dehors de vos horaires de travail.
– Si vous êtes travailleur indépendant, vous avez accès depuis le 1 er janvier 2018 à un compte personnel de formation pour financer votre bilan de compétences. Un micro-entrepreneurs peut déposer une demande auprès du FIFPL.


Vos premiers pas

 

En attendant de réaliser un bilan complet avec un professionnel, commencez à travailler sur vos atouts personnels en passant des tests accessibles en ligne : MBTI Test (gratuit) et le Gallup Test (payant).

Certaines entreprises proposent également des bilans de compétences axés sur la reconversion, comme Switch Collective.


Pour aller plus loin :

 

Une fois que vous aurez fait ce bilan de compétences, vous pourrez confronter vos savoir-faire et savoir-être aux possibilités d’emploi chez OpenClassrooms au travers du cours : « Quel parcours est fait pour moi ? »

Vous pourrez également lire cet article qui liste les métiers les plus demandés dans le numérique.

Bonne chance !

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Pourquoi travailler dans le numérique ?

Par : Christophe

Choisir de travailler dans le numérique aujourd’hui revient à opter pour un secteur très porteur. En recherche constante de nouveaux talents, les métiers du numérique connaissent une véritable pénurie qui ira en s’accentuant. Pas moins de 900 000 emplois dans le secteur du numérique pourraient être vacants en France d’ici 2020.

Voilà qui donne déjà de bonnes raisons de faire le choix d’une profession dans ce secteur. Ceci est d’autant plus vrai que les grilles salariales sont élevées. Pour vous aider à mieux saisir les opportunités du secteur du numérique, abordons la question de la reconversion professionnelle et des formations numériques avant de faire un focus trois des métiers les plus prisés en 2019.

Sommaire de l’article :

Pourquoi se reconvertir dans les métiers du numérique ?

Les raisons pour envisager une reconversion professionnelle peuvent être nombreuses. Peut être ne vous sentez-vous plus en accord avec les tâches que vous réalisez quotidiennement. Ou encore, peut être avez-vous fait le tour de vos missions actuelles. Si vous souhaitez vous orienter vers un métier qui vous demandera de vous réinventer constamment, marqué par l’innovation et dans un domaine porteur, vous êtes peut-être fait ou faite pour travailler dans le numérique.

Formations digitales

La transformation numérique est sur les lèvres de toutes les grandes entreprises. Le nombre de créations de startups quant à lui ne cesse de croître. Plusieurs d’entre elles parviennent même à lever des fonds pour passer à la vitesse supérieure. Toutes ces mutations expliquent le nombre très élevé de postes vacants prévus dans les années à venir. Ces 900 000 postes regroupent une large variété de fonctions, demandant plus ou moins de compétences techniques mais vous offrant autant de chance de trouver votre bonheur dans le cadre de votre reconversion professionnelle.

Comment se former pour travailler dans le digital ?

Comment se former pour travailler dans le numérique ?

Les métiers du numérique sont loin d’être réservés aux digital natives. Ce sont ces personnes nées entre la fin des années 1980 et le début des années 1990 et ayant grandi en même temps qu’internet. Vous disposez probablement déjà de plusieurs compétences qui vous permettraient de réussir à un poste digital. Ce secteur recrute des profils pouvant faire preuve de curiosité et de polyvalence.

Composé de métiers créés récemment voire encore à créer, le numérique vous demandera d’aller au-delà de votre formation pour résoudre les défis métier que vous rencontrerez nécessairement. Il vous faudra utiliser toutes les sources d’information à votre disposition (web, livre, échanges avec vos pairs) et quelques fois sortir de votre domaine d’activité pour trouver des solutions.

Quoi de mieux que des solutions numérique pour vous former ? Les écoles et les cursus traditionnels offrent un cadre propice aux étudiants sortants de lycée ou en cours de cursus universitaire. En revanche, ils n’offrent que peu de flexibilité aux professionnels en poste cherchant à se réorienter ou encore aux demandeurs d’emploi à la recherche de nouvelles compétences. Plusieurs options s’offrent alors à vous pour vous former au numérique.

formations digitales gratuites

L’option des formations numériques gratuites et en ligne

Internet est souvent perçu comme le royaume du gratuit. Il existe en effet beaucoup de ressources gratuites qui vous permettront d’acquérir vos premières connaissances numériques. Youtube est à ce titre un formidable vivier de connaissances numériques. La limite des formations présentent sur cette plateforme se trouve en revanche dans sa principale force : son ouverture. Youtube permet à n’importe quelle personne de créer et de mettre à disposition des formations. Ce mode d’apprentissage ne vous garantira donc pas la qualité de la vidéo que vous visionnerez.

Vous disposez également de l’option des formations gratuites délivrées par des acteurs reconnus de la formation numérique. Regroupant un grand nombre de cours numériques, du développement web à l’analyse des données marketing, les cours gratuits d’OpenClassrooms peuvent être votre premier pas pour lancer votre formation au numérique.

Décrocher un diplôme : l’étape suivante

Vous pouvez donc amorcer votre réorientation en vous formant gratuitement en ligne. Il n’empêche que pour décrocher l’emploi numérique de vos rêves, les employeurs vous demanderont probablement une certification ou un diplôme dans votre domaine de formation numérique. La bonne nouvelle est qu’il vous est aujourd’hui possible à la fois d’être diplômé(e) d’une formation numérique et de bénéficier de toute la flexibilité qu’offrent les cours en ligne.

Critère essentiel lorsque vous choisirez votre formation diplômante en ligne: le diplôme délivré doit être reconnu par l’État. Le niveau du diplôme doit aussi compter dans votre choix puisqu’il comptera dans votre salaire une fois embauché(e). Une personne diplômée d’un bac+5 aura souvent une rémunération supérieure à celle d’un diplômé bac+2 par exemple. Cette différence peut aller jusqu’à 57% en faveur du diplômé bac+5.

Quels sont les métiers du numérique en 2019 ?

Votre choix d’une formation pour travailler dans le digital sera probablement guidé aussi par le métier que vous souhaitez exercer. La particularité de ces professions numériques est que beaucoup d’entre elles restent encore à être inventées. Il existe malgré tout un éventail suffisamment large pour que vous y trouviez votre bonheur. Faisons un point sur ces métiers du digital particulièrement recherchés en 2019 : le product manager, le data scientist et le traffic manager.

Le métier de Product Manager

Un bon produit est celui qui résout le problème de ses utilisateurs. Le rôle du Product manager est de s’assurer que le produit dont il est responsable délivre une réelle valeur à ses utilisateurs. Il veille aussi à ce que le produit maximise le ROI (retour sur investissement) pour l’entreprise. Le Product manager est donc garant de la conception du produit ainsi que de l’aboutissement du projet.
Ses missions, bien que centrées autour du produit, demeurent larges. Le Product manager sera ainsi amené à définir la stratégie produit et à gérer l’équipe en charge de la création du produit. S’il s’agit d’un produit numérique, cette équipe comprendra souvent des designers et des développeurs informatiques. Il priorisera les tâches qu’exécutera cette équipe et préparera un plan de lancement pour le produit.

Product Manager

Le métier de Data scientist

Du service commercial en passant par le département financier, l’entreprise génère une quantité toujours plus importante d’informations (informations clients, prestataires, collaborateurs, …). Le data scientist est donc plus que jamais actuel. Il sera responsable de collecter ces données, de les analyser et de les convertir en recommandations.

Ces recommandations auront pour objectif d’aider les dirigeants et collaborateurs de l’entreprise à prendre de meilleures décisions. Exercer ce métier exige des pré-requis techniques. D’abord en mathématiques, notamment en statistiques et en probabilités. Des connaissances en développement informatique seront aussi nécessaires. Maîtriser le langage Python serait un atout.

Data scientist

Le métier de Traffic Manager

Si vous avez des facilités à manier et à analyser les chiffres et que vous vous êtes toujours demandé comment les sites internet font pour gagner des clients, vous devriez vous pencher sur le métier de traffic manager. Comme son nom l’indique, en tant que traffic manager, vous serez en charge de gérer le trafic en ligne de votre site ou plateforme. Mais pour gérer, encore faut-il acquérir.

Traffic Manager

La mission première du trafic manager sera donc d’attirer des visiteurs. Ces visiteurs n’auront de valeur que s’ils sont qualifiés. Dans le cas d’un site e-commerce, un visiteur qualifié sera un internaute ayant un intérêt pour le produit mis en vente. Pour résumer, le traffic manager conçoit, met en place, suit et améliore les résultats des campagnes dont le but est d’attirer du trafic. Les compétences qui vous seront demandées pour exercer ce métier du digital mêleront aptitudes techniques comprenant le SEO, le SEA et compréhension psychologique car derrière chaque visite se trouve une personne recherchant une réponse.

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Comment quitter mon emploi en bons termes ?

Par : Nora Leon

 

L’histoire en bref. Vous avez grandi professionnellement, vous êtes épanoui dans votre équipe. Puis, peu à peu, vous avez fait le tour de votre métier. D’abord, vous avez eu moins d’élan à piloter des projets. Et, la routine aidant, votre motivation s’est étiolée. À présent, vous avez envie d’apporter un regard frais ailleurs. Et vous cherchez la manière de l’annoncer.

La version cruelle du conte. Divergences de points de vue stratégiques, manager toxique, manque de reconnaissance, déménagement, envie de reconversion… Vous envoyez tout valdinguer pour trop-plein. Et vous voudriez claquer la porte comme au cinéma Minute papillon.

Quelle est la meilleure façon d’annoncer votre départ à vos collaborateurs ? Comment démissionner avec élégance et laisser une image professionnelle ?


De l’importance de rester loyal

Oh oui, nous vous conseillons vivement de traiter votre entreprise avec des égards.

  • Soyez franc et respectueux avec vos collaborateurs, comme vous aimeriez qu’ils vous traitent ;
  • Plus vous anticiperez votre départ, plus votre impact sur l’entreprise sera large (notamment si vous faites une passation) ;
  • Vous conserverez des liens professionnels de qualité ;
  • Vos anciens collaborateurs seront plus enclins à vous recommander ;
  • Le monde du travail est petit, et vous risquez fort de recroiser des collaborateurs tôt ou tard, là où vous ne les auriez pas (du tout) attendus. Surprise !


Concrètement : comment faire ?

1 — Annoncez la nouvelle…  dans le bon ordre

Ne parlons plus du processus pour savoir si vous devez partir, car vous avez déjà pris cette décision.

Pas encore ?  À lire :
Changer de carrière, mais pourquoi ?
Quand changer de métier ?

Une fois la décision claire dans votre esprit, allez l’annoncer.

Mais tut tuuuut, il y a quelques règles à respecter :

  • Comment – Faites vos commissions en personne.

    Pas de lettre recommandée qui rendrait cela beaucoup plus agressif et procédurier que cela ne doit l’être. D’ailleurs, saviez-vous qu’une démission n’est pas légalement tenue d’être annoncée par écrit ? Une fois que c’est dit à l’oral, on vous conseille tout de même aimable une lettre recommandée aux RH, juste au cas où.
  • Qui – Managers first.

    Choisissez le bon moment : pas juste avant une réunion importante d’équipe au risque que le point passe à la trappe, pas non plus le vendredi à 19h. Pas par caméra ou téléphone interposé. Calmement, dans une salle, avec du café.
    Une fois qu’il aura digéré la nouvelle et que vous vous serez accordés sur la version de l’histoire à raconter aux collaborateurs proches et à l’ensemble des collègues, vous pourrez prévenir le reste de l’équipe.
  • Quoi Quels sont les mots justes ?

    Cela dépend des raisons qui vous poussent à partir et de votre relation avec le manager en question.

Si vous partez pour changer de secteur ou de poste, soyez franc. Dites pourquoi vous avez besoin de renouveau et parlez de votre projet sans dénigrer votre ancien poste. D’ailleurs, si les relations sont bonnes, votre manager vous souhaitera bonne chance et pourra même vous aider.

Si vous partez sur un désaccord (management, stratégie, salaire, évolution…), c’est le moment, avec tact, de faire un retour constructif mais pas édulcoré.

Nouveau tut tuuuuut, utilisez la communication non violente : parlez de vos sentiments et de ce que cela déclenche chez vous quand il se passe quelque chose (fait irréfutable) et dites en quoi cela ne vous convient pas, sans mettre en cause la personne directement.

Enfin, en fonction des circonstances (apaisées ou non), cet entretien est aussi un bon moment pour remercier pour l’opportunité que vous avez eue. Rappelez ce que vous a apporté le poste et que vous avez apprécié de travailler là.

2 — Soyez assertif et évitez de vous justifier

Que vous l’annonciez à votre manager, patron ou à l’équipe, cela peut être difficile de trouver l’équilibre. Vous perdre dans des explications bredouillées et infinies ou alors vous refermer comme une huître avec un air buté, ni l’un ni l’autre n’est idéal.

Voici quelques conseils pour être à la fois décidé et empathique :

  • Vous n’êtes pas tenu d’expliquer quoi que ce soit. Une formule neutre de type : “après (X temps) parmi vous, j’ai décidé de me lancer dans une nouvelle aventure professionnelle. Je partirai dans 3 mois”. Vous pouvez donner des détails sur votre futur poste… Ou pas. Vos collègues voudront probablement en savoir plus : à vous de trouver l’équilibre entre en dire trop et ne pas en dire assez, pour rassasier les ragots.
  • Si vous partez sur un désaccord : pas la peine d’expliquer que machine vous a harcelée moralement ou que la reconnaissance n’était pas au rendez-vous. Éviter de laver votre linge sale en public est un investissement pour votre avenir professionnel. Trouvez une formule neutre pour annoncer votre départ, assez diplomate pour ne vexer personne.
  • Si vous changez de métier, de secteur, ou avez un projet, partagez votre enthousiasme. L’équipe comprendra d’autant mieux votre départ et saura qu’elle n’est pas en cause.

3 — Lavez votre linge sale en petit comité

Un mot d’ordre : la cordialité. Vous partez en claquant la porte ? Parler tout de même à votre employeur (manager ou RH) des raisons de votre départ de manière constructive fera grandir l’entreprise et vous déchargera d’un poids.

Cependant, n’impliquez que les interlocuteurs concernés.

  • Votre manager si vous pouvez lui faire un retour qualitatif sur ses méthodes ou celles d’un collègue ;
  • S’il s’en moque, aux ressources humaines. Car si vous partez à cause de lui, il va probablement reproduire ses comportements toxiques aux dépens de votre successeur.

Par contre, évitez à tout prix les commérages malveillants sur votre boss, collègue, client. Ils se répandent comme une traînée de poudre et laissent un goût désagréable. Lorsque votre futur employeur cherchera des recommandations, vous pourriez vous retrouver dans une situation délicate.

4 — Faites une passation de champion

C’est le moment rêvé pour agir avec classe et professionnalisme. Vous laisserez une image irréprochable de vous et vous permettrez à vos collaborateurs ou votre successeur de capitaliser sur votre travail pour continuer à faire grandir le service.

Un mot d’ordre : pro-a-cti-vi-té. N’attendez pas qu’on vous extorque chaque info, préparez un dossier complet de passation, et demandez à vos collaborateurs s’ils veulent faire une ou plusieurs réunions pour comprendre votre organisation, vos enjeux, faire le tour de votre héritage. Vous, comme eux, avez intérêt à ce que ces semaines se passent bien.

À faire : prévenir ses clients de son départ, présenter son successeur, mettre les dossiers importants dans le drive ou dropbox de l’équipe… Toute l’équipe appréciera votre capacité à collaborer.

5 — Dites au-revoir à votre manière 

Pot de départ ou juste quelques mots dans un déj d’équipe, profitez-en pour glisser un mot sur votre temps dans l’entreprise ainsi que sur l’après.

C’est le moment de remercier les personnes qui ont été à vos côtés, de leur faire des retours constructifs sur ce que vous avez apprécié. Et cela vous permet aussi de préparer l’après : échanger les coordonnées ou encore solliciter une recommandation.

Et tout comme vos collègues vous auront sûrement acheté un cadeau très personnel, vous pouvez avoir préparé un cadeau à laisser à votre service : cela s’est vu d’acheter du thé ou du chocolat ou toute autre forme de clin d’œil qui vous rappellera à eux.


Last but not least, déculpabilisez-vous !

On vous souhaite que ce processus se passe au mieux. C’est d’ailleurs souvent le cas après une collaboration sereine. Mais si votre équipe met de l’affect dans cette histoire, faites tout pour prendre du recul. Voici quelques pensées positives pour vous aider :

  • Vous avez le droit de quitter l’entreprise où vous êtes, quelle que soit la raison de votre départ : vos collègues se doivent de respecter votre décision.
  • Vous avez beaucoup donné à votre employeur. Jetez un coup d’œil en arrière, prenez la mesure de l’héritage que vous laissez et concentrez-vous là-dessus.
  • La lecture de cet article en témoigne : vous êtes dans une démarche de respect et de dialogue. Le fait que vous ayez pris une décision ne doit pas vous faire culpabiliser, tant que vous l’annoncez en douceur.

Deux mots petits mots qui disent beaucoup : bonne chance !

 

À lire ensuite :

Pourquoi changer de métier ?
Quel est le bon moment pour changer de métier ?
Quels sont les métiers les plus recherchés dans le numérique ?
Effectuer son bilan de compétences
5 conseils pour choisir son futur métier
OpenClassrooms, un modèle pédagogique par la pratique 

 

 

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OpenClassrooms et Google.org aident les indépendants à s’épanouir professionnellement

Par : Nora Leon

 

L’équipe d’OpenClassrooms est fière d’annoncer le lancement de LevelUp, son école en ligne dédiée aux travailleurs indépendants, grâce au soutien de Google.org.

OpenClassrooms s’est donné une mission : rendre l’éducation accessible à toutes et tous, partout dans le monde. Et derrière cette mission, un objectif professionnel : permettre à ses apprenants de s’épanouir dans leur carrière tout au long de la vie – y compris les travailleurs indépendants, pour qui l’accès à la formation n’est pas toujours aisé.  Nous avons donc souhaité proposer des formations sur-mesure pour répondre aux besoins de ces derniers.

Notre ambition : accompagner l’ascension des indépendants

Aujourd’hui, les nouvelles formes de travail se développent massivement – en particulier les indépendants, de plus en plus nombreux. . Choisir le travail indépendant, c’est plus d’autonomie, pas de patron, un accès direct aux clients… mais aussi plus de risques, un encadrement pas toujours complet. Si les opportunités pour les indépendants, quels que soient la structure et le secteur, ne cessent de fleurir, les modalités pour créer et développer son activité à son propre compte évoluent aussi de manière radicale.

Dans ce contexte, OpenClassrooms et Google.org ont joint leurs efforts pour proposer aux indépendants des formations qui répondent à leurs besoins, en France, au Royaume-Uni et en Belgique.

La première étape : comprendre les besoins de formation des indépendants, en particulier de ceux qui collaborent avec des plateformes numériques. Pour ce faire, nous avons noué des partenariats avec Uber, Deliveroo et Stuart, et sondé leurs audiences pour préparer ce programme.

Près de 2500 personnes en France, au Royaume-Uni et en Belgique ont participé à cette enquête. Les résultats ont mis en lumière que 90% de ces indépendants comptent évoluer professionnellement en changeant d’emploi. Ils voient en effet leur activité  actuelle comme une activité de transition, un tremplin pour évoluer.  Certains d’entre-eux n’envisagent pas forcément de changer d’activité ; d’autres par contre connaissent mal les solutions de formation à leur disposition pour évoluer vers autre chose tout en sécurisant leurs revenus.

Construire sa carrière en maîtrisant les risques

Le programme LevelUp d’OpenClassrooms est né pour permettre aux indépendants  d’acquérir les compétences nécessaires pour leur permettre de faire un bond dans leur carrière, tout en maîtrisant leurs revenus.

 


Vous êtes indépendant et cela vous intéresse ? Demandez le programme !


Le programme de formation est composé de 12 cours créés spécifiquement pour vous. En les suivant, vous vous familiariserez avec les bonnes pratiques numériques du marché de l’emploi et apprendrez les compétences du 21ème siècle.

Vous apprendrez notamment à créer et gérer votre activité, à construire un plan de carrière ambitieux, et à chercher efficacement un emploi. Vous développerez aussi des compétences fondamentales à toute création d’entreprise, telles que rédiger des écrits professionnels, parler en public, collaborer avec une équipe et organiser votre travail de manière autonome.

N’importe quel indépendant peut suivre ces cours, ou l’un des 300 autres déjà accessibles sur OpenClassrooms. Si vous collaborez avec Uber, Deliveroo, Stuart ou Malt, vous pouvez dès maintenant accéder à toutes ces ressources gratuitement, suite à une inscription en quelques clics.

Je m’inscris gratuitement

 


Des bourses d’études pour donner vie à 100 projets

Pour aller encore plus loin, LevelUp d’OpenClassrooms offre 100 bourses d’études à des indépendants aux projets ambitieux. Ces bourses permettront d’étudier pendant un an chez OpenClassrooms : le temps moyen pour obtenir un diplôme de niveau reconnu par l’État à équivalent Bac +3. Ces personnes choisiront entre trois spécialités celle qui sera la plus adéquate pour mener à bien leur projet.

Cela vous intéresse ? Vous avez un super projet et voulez postuler ?

 

À quoi ressembleront vos études si vous obtenez la bourse ?

Vous bénéficierez, comme les autres 99 indépendants, d’un compte Premium Plus d’OpenClassrooms. C’est-à-dire que vous étudierez sur l’un de nos parcours diplômants, qui comprend des projets professionnalisants, des cours et l’aide d’un mentor par visioconférence chaque semaine. Vous aurez également le droit, dès le parcours terminé, à un accompagnement à l’emploi avec un coach RH qui vous aidera à décrocher leur premier poste.

Et si vous vous lanciez ?

Je postule

 

Le programme LevelUp d’OpenClassrooms est une opportunité en or pour les indépendants de se former en parallèle de leur activité. C’est l’occasion pour eux de la faire passer au niveau supérieur, ainsi que leurs compétences professionnelles. Et surtout, petit à petit et sans prendre de risques inconsidérés, de s’acheminer vers la carrière dont ils rêvent.

 

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Quel est le bon moment pour changer de métier ?

Par : Nora Leon

 

Dans 20 ans, vous serez plus déçu par les choses que vous n’avez pas faites que par celles que vous aurez faites. Alors sortez des sentiers battus. Explorez. Rêvez. Découvrez.
Mark Twain

Vous songez à changer de métier. Comme 64% des Français. Pour beaucoup, cela restera un doux fantasme. Mais peut-être faites-vous partie de ceux qui prennent chaque jour leur vie à bras-le-corps et se taillent un destin sur-mesure qui les enthousiasme plus.

Une foule de questions se pose alors : Quand changer de métier ? Y a-t-il un âge limite pour le faire ? Et un moment opportun pour quitter son emploi ?

 

Le meilleur moment pour vous

Quand changer de métier ? Vous pouvez être en poste depuis un mois ou 10 ans. Quitter votre emploi est pertinent si vous vous retrouvez dans l’une de ces situations :

1- Vous avez fait le tour de votre poste
2- Vous n’avez pas de perspective d’évolution
3- Vous n’aimez plus ou n’avez jamais aimé vos missions
4- Vous avez un problème éthique avec votre emploi
5- Vous voulez explorer un nouveau métier
6- Vous avez un rêve professionnel inassouvi
7- Vous souhaitez gagner mieux votre vie
8- Vous voulez être indépendant

À lire : Pourquoi changer de carrière ?

En ce qui concerne votre temps en poste, les recruteurs vous diront que rester dans un poste 1 an et demi à deux ans est nécessaire pour l’avoir pris en main. Cependant, ce n’est pas une règle stricte, car on voit régulièrement de belles reconversions après moins de temps passé en poste : tout repose sur votre argumentation durant l’entretien d’embauche.

En ce qui concerne le moment dans l’année, septembre et janvier sont en général les pics de reprise d’études, mais vous ne devez pas forcément commencer par là. Chez OpenClassrooms, vous pouvez vous inscrire toute l’année et commencer de suite.

Côté vie personnelle, tout est possible. Chez OpenClassrooms, on voit régulièrement des parents avec des enfants en bas-âge et un emploi à côté, réussir des parcours diplômants.  C’est en vous que vous puiserez la motivation pour y arriver.

Enfin, vous pouvez changer de métier quel que soit votre âge. Surtout pour les métiers du numérique qui sont très en demande, vos compétences vous garantiront un emploi.

 

Le bon moment pour respecter votre employeur

Votre patron et votre équipe ne s’attendent pas forcément à ce que vous partiez. Cela peut leur faire un choc d’apprendre cette (mauvaise) nouvelle.

Pour autant, cela ne veut pas dire que vous deviez vous censurer. Il y a un équilibre à trouver entre ne jamais partir par peur de vexer son employeur ou de ralentir son équipe, et partir au pire moment.


Les bonnes pratiques :

  • Partez bien avant ou après la période la plus stratégique de l’année où vous remplacer serait impossible, pour ne pas mettre votre équipe dans une situation délicate.
  • Vous pouvez aider à recruter votre successeur dès que vous avez posé votre démission pour que la transition soit plus facile pour l’équipe.
  • Il est également possible de partir à la faveur de recrutements dans l’équipe pour laisser l’opportunité aux collaborateurs d’unir leurs forces en mode « Lean » (en se répartissant le travail en équipe pour ne pas stopper l’activité)
  • Respectez la période convenue avec votre employeur pour le préavis et soignez votre passation à votre successeur : si vous l’aidez, vous pourrez choisir librement votre date de départ car la relève sera assurée.


En un mot

Rassurez-vous : vous allez trouver le bon moment. Le plus dur est de se lancer.

À lire ensuite :
Pourquoi changer de métier ?
Quel est le bon moment pour changer de métier ?
Quels sont les métiers les plus recherchés dans le numérique ?
Effectuer son bilan de compétences
5 conseils pour choisir son futur métier
OpenClassrooms, un modèle pédagogique par la pratique 

 

 

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OpenClassrooms, un modèle pédagogique par la pratique

Apprendre un métier en ligne ? Pourquoi pas, mais à quoi dois-je m’attendre ?

Une formation orientée compétences

Si vous avez déjà fait des études dans une école, une université ou un centre de formation traditionnel, vous êtes certainement habitué à la logique pédagogique suivante : suivre des modules – cours, TP, séminaires – pour passer des examens. Passer des examens pour avoir des notes. Avoir des notes pour valider des semestres. Valider des semestres pour valider des années. Valider des années pour valider un diplôme. Valider un diplôme pour continuer ses études ou trouver un emploi.

Cette logique est très répandue, mais si vous vous attendez à la retrouver dans nos parcours, vous risquez d’être surpris ! En fait, pour créer une bonne expérience d’apprentissage en ligne, nous avons dû repartir d’une page blanche et nous poser les bonnes questions.

Que cherchent vraiment les recruteurs ? Des bonnes notes aux examens ? Non, plutôt des professionnels qui peuvent prouver leurs compétences.

Comment acquérir ces compétences en ligne ? En regardant des vidéos ? Pas seulement, non ! Avant tout par la pratique, et par le contact régulier avec des professionnels du domaine.

Une pédagogie par projets


Chez OpenClassrooms, pour acquérir ces compétences, vous devez réaliser une suite de projets. En d’autres termes, des reconstitutions de scénarios professionnels aussi réalistes que possible. Vous devez donc vous glisser dans la peau d’un professionnel et fournir à un client, des collègues ou un manager des livrables, avec des contraintes données, dans un environnement particulier, etc.

Afin de vous accompagner, vous êtes suivi une heure par semaine par un mentor durant une session en visioconférence. Le mentor n’est pas un professeur mais un professionnel du métier, qui pourra vous aiguiller avec son expérience du terrain.

Et les cours dans tout cela ? On y arrive ! Les cours sont conçus comme des ressources pour vous aider à réaliser ces fameux projets. Ils ne sont donc pas strictement obligatoires : vous pouvez tout à fait valider le projet en vous aidant de ressources différentes ou par votre propre expérience. Cela dit, si vous êtes débutant, ils vous seront quand même vivement recommandés.

Pourquoi ce choix de pédagogie ?

La pédagogie par projet n’est pas nouvelle dans le paysage éducatif. Elle s’est même imposée comme l’une des méthodes efficaces pour accroître la motivation des étudiants.

Chez OpenClassrooms, nous concevons des projets professionnels d’envergure, évalués par des soutenances, qui vous permettent de bâtir votre portfolio… et accessoirement de valider le diplôme.

Quelle est l’idée derrière ?

  • Que votre apprentissage soit plus précis : vous apprendrez uniquement ce dont vous avez besoin dans le monde professionnel, mais également tout ce dont vous avez besoin. Les projets nous permettent de calibrer plus finement les compétences acquises.
  • Que votre apprentissage soit évalué au mieux : la durée de réalisation des projets est flexible. Vous apprenez à votre rythme. Ainsi, lorsque vous validez le diplôme, cela signifie que vous avez vraiment acquis toutes les compétences requises, , à un niveau qui plus que pour passer l’examen, vous permettra réellement de les mettre en pratique dans le monde professionnel.
  • Que votre apprentissage soit valorisable facilement dans le monde du travail : même si vous ne passez pas par l’apprentissage ou le stage (ce qui est possible chez OpenClassrooms pour certains parcours), à la fin de votre formation, vous aurez réalisé une série de livrables que vous pourrez présenter en entretien par un portfolio. Vous serez directement opérationnel.

Vous pouvez ainsi faire l’expérience du métier, mais avec plus de place pour des erreurs que si vous étiez directement plongé en entreprise, et avec un mentor qui vous suit toutes les semaines.

OpenClassrooms permet donc de faire converger les sections éducation et expérience du CV… C’est ça, pour nous, une formation professionnalisante.

Vous êtes étudiant ? Dites-nous ce que vous en pensez.

Vous voulez faire décoller votre carrière ?

Rendez-vous sur notre page Parcours !

 

Les auteurs de ce post :

Charlène et Guillaume.

Passionnés d’éducation, tous deux font partie de l’équipe pédagogique.


Charlène est ingénieure pédagogique. Elle cherche au quotidien à améliorer l’expérience d’apprentissage des étudiants au travers de cours et de parcours toujours plus professionnalisants et pédagogues.
Guillaume est Learning Expérience Designer : il réfléchit aux innovations éducatives à mettre en place dès et dans les prochaines années, pour une meilleure expérience d’apprentissage.

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Comment Apprendre la Programmation Informatique ?

Par : Christophe

Toutes les étoiles sont aujourd’hui alignées pour vous permettre d’apprendre la programmation informatique. Les nouvelles technologies ont réduit les contraintes de temps, de localisation géographique et considérablement réduit les coûts associés à une telle formation. Il vous est même possible d’être diplômé(e) et de décrocher un job en vous formant exclusivement en ligne de chez vous.

Mais apprendre la programmation informatique ne diffère pas de l’apprentissage de n’importe quelle autre discipline. Cela vous demandera de la persévérance et de la curiosité pour trouver les solutions aux problèmes que vous rencontrerez. Cela nécessitera aussi une bonne dose d’autonomie. Cette qualité vous sera demandée chaque jour durant votre apprentissage, l’informaticien devant suivre de lui-même les évolutions technologiques de son métier.

Cet article revient sur ce qu’est la programmation informatique avant d’aborder la question centrale du choix du langage pour débuter et le meilleur moyen de lancer votre apprentissage de la programmation informatique.

Sommaire de l’article :

Formation développeur web pour demandeur d'emploi

Programmation informatique : définition et langages

La programmation informatique peut se résumer à l’écriture de code informatique appelé code source. Ce code source a un seul et unique objectif: vous permettre de communiquer avec la machine qui doit l’exécuter. Cette machine peut être votre ordinateur ou encore votre smartphone. Cet ensemble de code informatique constitue donc un programme informatique.

Comprendre ce qu’est la programmation informatique, c’est bien. Savoir pourquoi on fait de la programmation informatique, c’est mieux. L’utilité première de votre programme informatique sera de résoudre un problème. Vous pouvez chercher par exemple à identifier sur une carte tous les restaurants de votre ville ou encore à créer un agenda en ligne.

Cela nous amène au point qu’avant d’écrire votre programme informatique, votre mission en tant que développeur informatique sera de décomposer ce problème en plusieurs étapes. Ce sont ces étapes que votre machine devra exécuter.

Dans le cas d’une carte affichant les restaurants, votre programme informatique devra ainsi récupérer la carte à afficher, l’afficher sur l’écran de votre ordinateur et récupérer les adresses des restaurants pour les situer sur votre carte. Vous y mettrez aussi des conditions disant par exemple que si le restaurant est à plus de 5km de votre ville, de l’exclure de votre carte etc. Ces actions et conditions constituent un algorithme. La création de cet algorithme sera donc la première étape avant de vous jeter à corps perdu dans l’écriture de votre programme informatique.

Il existe des milliers de manières de communiquer avec votre machine. Ces modes de communication sont les langages informatiques . C’est donc en utilisant ces langages que vous écrirez votre programme informatique. Apprendre la programmation informatique passe donc aussi par l’apprentissage d’un ou plusieurs langages de programmation informatique.

Comment choisir votre langage de programmation ?

Comment choisir votre langage de programmation ?

Votre choix de langage informatique dépendra de votre maîtrise de la programmation informatique. Certains langages ont une syntaxe et une logique qui peuvent paraître complexes lorsque l’on débute. Sur les forums dédiés à la programmation, chacun y va de son avis sur le sujet. Les cours proposés aux réels débutants sur les sites de cours en ligne tel que le nôtre peuvent aussi vous donner une bonne indication du ou des langages de programmation considérés comme étant accessibles. Il ne vous restera plus qu’à essayer et c’est bien entendu là le gros du travail.

Après la simplicité du langage informatique vient l’utilité de ce dernier. Si vous souhaitez créer un site internet, vous n’opterez pas pour le même langage de programmation que la personne souhaitant développer un jeu vidéo.

Prenons le cas où vous souhaitez lancer un site web. Votre point de départ sera probablement l’apprentissage du HTML5 et du CSS3. Ces 2 langages sont à la base de tout site web et disposent d’une syntaxe simple. Le premier vous permettra de créer la structure de votre page web, d’insérer et d’afficher vos contenus textes et multimédia. Le CSS mettra tout votre contenu en forme (couleur de texte, bordures, ombres, …).

Pour aller plus loin et rendre votre site web dynamique et interactive, apprendre le Javascript peut être une bonne suite à la découverte du HTML et du CSS. Apprendre ce langage de programmation dès le début présente plusieurs avantages. Le Javascript est un langage mobile. Cela signifie qu’il vous permettra autant de développer un site web que de réaliser une application mobile. La communauté de développeurs informatiques utilisant ce langage est très importante. Cela vous permettra de trouver plus rapidement des réponses aux questions que vous vous poserez nécessairement durant votre apprentissage.

Peut-on gratuitement apprendre la programmation informatique ?

Maintenant que vous avez décortiqué le problème que vous souhaitez résoudre et identifié le ou les langages de programmation qu’il vous faut, il est temps de passer à l’apprentissage. Apprendre la programmation informatique a nécessairement un coût. Ce coût ne se mesure pas uniquement en argent mais aussi en temps. Si votre planning est déjà chargé ou que vos contraintes personnelles ne vous permettent pas de suivre des cours du lundi au vendredi, de 9h à 18h, alors les formations en ligne telles que celles délivrées par notre site sont une très bonne option. 

Il vous faudra nécessairement investir un nombre d’heures minimum pour commencer à voir le fruit de votre apprentissage. Prenons l’exemple de notre cours pour apprendre à créer votre site web avec le HTML5 et le CSS3 mentionné plus haut. Maîtriser suffisamment ces 2 langages et créer vos pages web vous demandera d’y passer une vingtaine d’heures. Ne sous-estimez donc pas le temps nécessaire.

Quel est le coût d'une Formation à la Programmation ?

Venons-en maintenant à la question du coût d’une formation à la programmation informatique. Mettons d’emblée de côté l’apprentissage de la programmation dans le cadre d’une formation classique en école d’ingénieur, pouvant être longue et coûteuse. De nouveau, apprendre la programmation informatique grâce aux cours en ligne demeure une bonne façon de vous former à moindre coût voire gratuitement.

Dans le cas des formations d’OpenClassrooms, de nombreux moyens existent pour financer votre apprentissage de la programmation. Si vous êtes en poste, vous pourrais mobiliser votre Compte Personnel de Formation (CPF) afin de faire financer votre formation. Si au contraire vous êtes demandeur d’emploi, Pôle Emploi pourrait intervenir pour assurer le financement de votre formation.

Voilà qui, nous l’espérons, vous donnera toutes les raisons de vous lancer dans l’apprentissage de la programmation informatique dès aujourd’hui!

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Quelle Formation en Informatique Sans le Bac ?

Par : Christophe

Suivre et réussir une formation en informatique ne demande plus d’avoir le bac. Pour cause, décrocher ce diplôme ne vous est plus indispensable pour réussir votre vie professionnelle. Quel que soit votre profil (un parcours scolaire non-terminé, des ambitions incompatibles avec le système universitaire ou tout simplement des envies de reconversion), vous pouvez embrasser la carrière qui vous fait rêver.

Nombreuses sont les personnalités ayant réussi sans le bac (Pierre Bérégovoy, ancien ministre, Xavier Niel, PDG de Free, Alain Ducasse, chef cuisinier aux 6 étoiles ou encore Jean Paul Gaultier, célèbre couturier), alors pourquoi pas vous ? D’autant plus si vous souhaitez vous former à l’informatique. L’émergence des formations en ligne, ou MOOCs, vous permet désormais de suivre une formation en informatique sans avoir le bac depuis chez vous, à n’importe quel moment et quel que soit votre parcours. Il n’y a donc pas de doute, vous pouvez réussir votre formation en informatique sans le bac.

Sommaire de l’article :

Formations diplomantes

Comment vous former en informatique sans le bac ?

Les ordinateurs sont votre passion et vous vous demandez comment vous former en informatique sans le bac. Plusieurs options s’offrent à vous.

Les écoles informatiques

Il existe des écoles informatiques accessibles sans le bac. L’École 42 est probablement la plus connue en raison de son fondateur, Xavier Niel. Excellente opportunité de formation, l’école présente en revanche un taux de sélection très élevé. Seulement 4% des inscrits finiront par intégrer l’école. Seconde contrainte, si vous recherchez une formation informatique vous donnant accès rapidement à une nouvelle profession, ce ne sera pas votre meilleure option. Le cursus de 42 est calibré pour durer 3 ans même si l’école encourage les étudiants à avancer à leur propre rythme.
Formations informatiques accélérées, Bootcamps

Les Formations Informatiques accélérées

Vous pouvez aussi vous former à l’informatique sans le bac grâce aux bootcamps. Ces sessions de formations accélérées et intenses sont plutôt dédiées aux métiers du développement informatique. D’une durée n’excédant pas une vingtaine de semaines, ces formations informatiques offrent l’indéniable avantage d’un cursus court et donc a priori d’une acquisition de connaissance rapide. En revanche, le coût de ses formations, de plusieurs milliers d’euros, peut être un vrai frein lorsqu’on est demandeur d’emploi ou étudiant. Leur faculté à vous permettre de décrocher un emploi dans l’informatique reste aussi à être démontrée.

Les Formations Informatiques en ligne

Suivre une formation informatique sur internet est une réelle possibilité. Cette option se révèlera particulièrement utile pour les personnes souhaitant organiser elles-mêmes leurs journées de travail. L’investissement financier nécessaire pour ce type de formation demeure par ailleurs limité. Le plus dur ne sera donc pas de trouver une formation informatique en ligne mais bien de trouver la bonne formation. Cette formation devra idéalement être d’excellente qualité, accessible à votre niveau de connaissance et vous délivrer un diplôme reconnu par l’État. Car, qu’on se le dise, vous pouvez vous former en informatique sans le bac mais les recruteurs eux rechercheront dans leur majorité une certification validant votre formation informatique avant de vous offrir une collaboration.

Financer sa formation en informatique quand on est jeune sans diplôme

La question du financement de la formation informatique est l’une des principales préoccupations des apprenants. Encore plus lorsqu’ils sont jeunes et sans diplôme. Là encore, des solutions existent.

Le dispositif OpenAlternance d’OpenClassrooms

Et si vous commenciez votre formation au développement web avec un emploi et ce dès le 1er jour ? C’est ce que vous permet de faire l’alternance OpenClassrooms. Notre équipe vous accompagne individuellement et gratuitement pour vous aider à trouver votre entreprise en alternance. Cette formation en alternance est ouverte à 100 personnes. Elle se déroule exclusivement en ligne avec un suivi personnel par un mentor et donne lieu à un diplôme reconnu par l’État. 

openalternance, Formation en Alternance par OpenClassrooms

Le CIF CDD

Le CIF CDD permet de régler tout ou partie des frais associés à une formation, voire éventuellement de vous rémunérer à titre de stagiaire de la formation professionnelle. Pour en bénéficier, vous devrez avoir travaillé en tant que salarié (contrat d’apprentissage ou de professionnalisation inclus) au moins 12 mois au cours des 5 dernières années et être âgé de moins de 26 ans. Vous pouvez vous renseigner auprès de votre employeur, de Pôle Emploi ou bien d’un organisme Opacif ou Fongecif.

Le Compte Personnel de Formation

Le Compte Personnel de Formation, quant à lui, est un compte sur lequel 150 heures de formations sont déposées chaque année quand vous travaillez. Il peut être utilisé que vous soyez employé(e) ou au chômage. Il vous permet de suivre la formation qualifiante de votre choix. Cela peut être un excellent moyen de suivre une formation informatique donnant accès à un diplôme. L’Organisme Paritaire Collecteur Agréé dont vous dépendez est alors chargé de vous reverser cette aide financière.

L’Aide Individuelle à la Formation

Enfin, si vous êtes demandeur d’emploi, il existe un autre type d’aide spécifique, l’AIF (Aide Individuelle à la Formation). Pour obtenir l’Aide Individuelle à la Formation, vous devez être inscrit(e) à Pôle Emploi. En fonction du coût de la formation, ce dernier versera le montant des frais pédagogiques directement à OpenClassrooms, si vous décidez de suivre l’une de nos formations informatiques.

Recherche d'un emploi dans l'informatique

La recherche d’un emploi en informatique : À quoi vous attendre ?

Les chefs d’entreprise peinent à recruter des collaborateurs spécialisés dans les métiers informatiques. Selon un rapport du Conseil d’Orientation pour l’Emploi dédié à l’automatisation, à la numérisation et à l’emploi, 900 000 postes seraient même vacants d’ici 2020 dans les domaines du numérique et de l’électronique. Pourtant un grand nombre de demandeurs d’emploi sont aujourd’hui inscrits à Pôle Emploi à la recherche d’une nouvelle aventure professionnelle. Ce ne sont en réalité pas les personnes formées aux métiers informatiques qui manquent mais bien les personnes qualifiées. Cela explique l’importance du choix de la formation et du diplôme délivré.

Les demandeurs d’emploi disposant des connaissances et compétences informatiques pertinentes se retrouvent aujourd’hui en position de force leur permettant de négocier des salaires avantageux et/ou des conditions de travail particulièrement intéressantes. Près de 9 postes sur 10 sont proposés en CDI et 7 sur 10 sont des postes de cadres.

Si vous souhaitez vous orienter vers les métiers du développement informatique, sachez que certains langages informatiques ont plus la côte auprès des recruteurs que d’autres. Java comme le Javascript sont ainsi particulièrement recherchés. Sur le plan de la rémunération, tous les métiers informatiques ne sont pas non plus logés à la même enseigne. Le responsable CRM est aujourd’hui le professionnel de l’informatique le mieux payé avec un salaire moyen de 67 500 euros mais l’ensemble des professions informatiques proposent des grilles salariales en hausse.

Accéder à un métier informatique vous est donc possible grâce à des formations de qualité ne nécessitant pas que vous ayez le bac mais une bonne dose de motivation.

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Anatomie d’un parcours OpenClassrooms

Par : Nora Leon

Comment se passent concrètement vos études quand vous étudiez chez OpenClassrooms ?

 

Ça y est, vous vous jetez à l’eau. Vous allez apprendre un nouveau métier, en ligne. Est-ce que vous le ferez chez OpenClassrooms ? Voici comment se dérouleront vos études chez nous. On espère que ça vous permettra de vous projeter.

 

Qu’allez-vous apprendre ?


OpenClassrooms est l’école du concret. Vous apprendrez un métier de A à Z, en pratique.

Vos passerez environ 80% de temps de travail sur des projets avec l’aide de votre mentor et 20% sur les cours.

Les cours ne sont pas obligatoires, il vous aident à réussir les projets.

 


Qu’est-ce qu’un projet professionnalisant ?

 

Ce sont des travaux pratiques, comme si vous étiez déjà en entreprise. Par exemple établir une fiche de paie dans le parcours comptabilité, créer un site Internet en développement, réaliser un plan de communication dans le parcours Responsable Marketing…

“C’est en forgeant qu’on devient forgeron.” Et justement, ces projets vous permettent d’apprendre en faisant. Vous développez des compétences immédiatement applicables en entreprise.

 

Comment OpenClassrooms vous accompagne

 

Votre mentor

C’est un expert qui exerce votre futur métier, sélectionné par OpenClassrooms pour vous motiver et vous accompagner pas à pas vers la réussite. Avec lui, vous vous fixez des objectifs et approfondissez les sujets.


Dès que j’ai un souci technique, ma mentor Marion est là. Et cela va plus loin : elle me rassure quand j’hésite. Souvent, après coup, elle me dit : “Tu vois que tu as réussi !” Le contact humain est super aussi. On parle d’un nombre incalculable de choses.

 

Clémence, diplômée dans le parcours développement front-end, développeuse en CDI dans le milieu du transport

On n’a pas de vision globale du parcours : il nous faut un cadrage, pour savoir combien de temps on va mettre sur un projet. Se fixer des objectifs chaque semaine est aussi très important. On les définit ensemble, et donc, c’est réalisable.

Sylvie, 59 ans, diplômée de la formation Chef de projet multimédia Développement, développeuse indépendante

 

En ligne mais pas tout seul : la communauté Workplace

Le Workplace est réservé à la communauté Premium Plus d’OpenClassrooms. Son interface ressemble à celle de Facebook. Les étudiants, les diplômés, les mentors et l’équipe OpenClassrooms y discutent librement des études, des emplois et d’autres sujets, comme sur n’importe quel campus.

Cette communauté vous permet d’obtenir de l’aide sur une question technique entre deux rendez-vous avec votre mentor. Vous pouvez y obtenir un conseil sur un projet, ou discuter avec les autres étudiants de tout et de rien. Vous échangerez au quotidien avec les autres étudiants et pourrez organiser des sessions de travail en groupe près de chez vous.

 

Les conseillers pédagogiques

C’est l’équipe d’OpenClassrooms qui vous accompagne au quotidien, de votre demande de financement jusqu’à l’obtention de votre diplôme et votre prise de poste.

Concrètement, ils vous aident à choisir le métier qui vous convient. Une fois décidé, c’est à eux que vous demandez un changement de mentor, un coach pour accélérer votre recherche d’emploi, une attestation de présence, une copie de votre diplôme… Leur mission : vous faciliter la vie.

 

Les coachs pour décrocher un emploi

Enfin, dès votre diplôme obtenu, vous pourrez demander l’aide d’un coach, gratuitement, pendant 2 mois.

L’objectif : vous aider à trouver un job qui vous plaise, le plus vite possible.

Comment ? En vous conseillant dans vos candidatures, en vous aidant à trouver les bons arguments, en vous préparant aux entretiens, et en vous ouvrant si nécessaire son réseau pour créer des opportunités.

La recherche du contrat est un moment difficile, où l’on peut sentir sa motivation vaciller. Mais même là, je n’ai pas été tout seul. Openclassrooms m’a attribué un coach, qui m’a aidé dans les différentes étapes de ma recherche. Et aujourd’hui, j’ai décroché mon contrat pro et je vais pouvoir continuer mon parcours jusqu’à l’obtention du diplôme.

 

Aurélien, étudiant en développement web

 

La journée d’un étudiant


Comment m’organiser durant cette période d’apprentissage en ligne ?

Les horaires

Cela dépend de vous : les horaires sont flexibles, les projets et les cours sont accessibles à toute heure, et les mentors proposent plusieurs créneaux. Donc, chaque personne a un emploi du temps différent.

  • Si vous étudiez à plein-temps, vous aurez sûrement une routine de travail : 3h30 le matin, votre déjeuner, 4h00 l’après-midi les jours de la semaine (on recommande 35h de travail hebdomadaire). D’ailleurs, vous préférez peut-être travailler tard, ou répartir vos heures l’après-midi et le soir.
  • Si vous avez un emploi, vous travaillerez probablement le soir (2h chaque soir par exemple) et le week-end (par exemple 6h par jour le weekend) ; vous mettrez sans doute un peu plus de temps à terminer votre parcours.
  • Si vous avez des enfants, vous pourrez ménager du temps pour vous en occuper (en concentrant vos études sur leurs horaires à la crèche ou à l’école).

 

La structure de travail

Chaque semaine, vous définirez avec votre mentor les tâches de votre projet à mener à bien pour la semaine suivante. Vous saurez donc quoi faire. Vous passerez sûrement un peu de temps chaque jour à vérifier des éléments dans les cours, mais la plupart du temps sera consacré à du travail pratique.

Une fois toutes les deux semaines, vous viendrez peut-être au coworking organisé par OpenClassrooms dans l’une des grandes villes de province ou à Paris. Ou vous travaillerez en groupe avec des étudiants qui habitent près de chez vous.

 

Le mot de la fin


Chez OpenClassrooms, c’est zéro blabla, 100% concret. Si vous avez envie de sauter à pieds joints dans un nouveau métier, lancez-vous avec nous.

Ma reconversion est en passe d’être une réussite et s’il y a bien un truc à retenir pour toutes les personnes qui auraient tendance à vouloir abandonner : NE LE FAITES PAS !!!! Ne lâchez rien, JAMAIS ! Tous les efforts finissent par payer, certes plus ou moins vite mais ça finit toujours par être positif.

Nicolas, jeune développeur web en CDD évolutif en CDI.

 

À consulter ensuite : 

La page Parcours d’OpenClassrooms 
Le mentorat, l’atout humain des formations
Retours d’étudiants sur le mentorat
Changer de métier, mais pourquoi ? 

 

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Quelle Formation Suivre pour Devenir Informaticien ?

Par : Christophe

“Quelle formation suivre pour devenir informaticien?” est la question qui revient systématiquement de la part de nombre de demandeurs d’emploi, d’étudiants ou de salariés en reconversion. Derrière le terme générique d’informaticien se cache une multitude de métiers techniques. Les formations y menant sont tout aussi diverses.

Il y a en réalité une variété de voies d’accès. Ces formations peuvent être payantes ou gratuites, accessibles avec ou sans bac, ou encore dispensées en présentiel ou en ligne.

Puisqu’à l’origine de votre souhait de formation se trouve votre désir d’exercer telle ou telle fonction, nous commencerons par vous présenter 3 métiers auxquels peuvent mener des formations en informatique. Ces professions ont en plus le vent en poupe. Il sera temps ensuite de parler de la flexibilité offerte aujourd’hui pour suivre ces formations grâce aux formations à distance et en ligne. Nous terminerons par la question centrale du financement.

Sommaire de l’article :

Focus sur trois métiers informatiques

Le chef de projet informatique

Pleinement intégré à une équipe informatique composée notamment de développeurs, le chef de projet informatique a plusieurs missions. En premier lieu, il conçoit et présente les exigences du client à son équipe. S’il supervise un projet informatique interne, le client sera l’un des départements de son entreprise. Le chef de projet définit ensuite le planning d’exécution des tâches afin de respecter à la fois le rendu attendu et la date de livraison prévue.

Le tout constitue le cahier des charges. Enfin, il doit s’assurer du respect des coûts et des délais. La gestion de projet ne s’arrête toutefois pas à la fin de la réalisation du projet informatique. Garant du bon fonctionnement de ce dernier, le chef de projet informatique peut être amené à superviser la bonne installation de la solution informatique.

Le Chef de Projet Informatique

Comment devient-on chef de projet informatique ? La voie incontournable est l’obtention d’un diplôme de niveau bac +5 en informatique. Les différentes spécialisations du métier de gestion de projet, du chef de projet multimédia au scrum master, nécessitent des formations spécifiques. Mais au-delà des formations, certaines qualités fondamentales se retrouvent chez le chef de projet informatique performant à commencer par un réel sens de l’organisation et des qualités relationnelles.

Gestion de projet

L’architecte réseau

L’architecte réseau a la charge de concevoir et de surveiller tout le système de télécommunication d’une entreprise. Que ce soit pour un client interne ou externe, il a pour mission de créer une architecture des réseaux de télécommunication qui facilite la circulation de l’information au sein de l’entreprise et à moindre coût.

Pour ce faire, il identifie les problèmes causés par l’échange d’informations au sein de l’entreprise, comment les résoudre grâce au système informatique et avec quel équipement. Arrive ensuite l’étape de la définition du système de réseaux aux côtés de la direction technique. Il lui sera alors nécessaire de respecter les contraintes budgétaires mais aussi les règles de sécurité de l’entreprise. L’architecte réseau peut aussi réaliser le suivi et la gestion quotidienne du réseau.

Le métier d’architecte réseau est accessible via une formation d’informaticien de niveau bac+5.

Systèmes et réseaux

Le développeur informatique

Professionnel des langages informatiques, le développeur informatique traduit la demande de son client, interne ou externe à l’entreprise, en programme informatique. Travaillant à partir d’un cahier des charges, son intervention se décompose en plusieurs phases. Le développeur identifie et analyse d’abord les besoins de son client afin de concevoir le programme informatique à développer. Ensuite vient la phase de développement informatique en lui-même qui déroulera dans le ou les langages informatiques maîtrisés par le développeur et pertinent pour le projet.

Suite à cette phase, le développeur informatique réalise une série de tests dans le but de s’assurer du bon fonctionnement du logiciel. Enfin, il présente un support d’aide technique pour faciliter la compréhension du programme. Il est fréquent que le développeur informatique doive également dispenser une formation à l’utilisation du programme.

Le métier de développeur informatique est accessible à partir d’un diplôme de niveau bac +2. En revanche, certaines entreprises demandent une formation plus poussée en développement informatique. Cette dernière exige un diplôme de niveau bac+5.

Développeur informatique
L’avènement des formations informatiques à distance

Les formations informatiques dispensées à distance représentent un nouveau mode d’apprentissage qui écarte plusieurs contraintes, la plus importante étant la localisation géographique. Plus besoin d’être présent devant le formateur pour apprendre le développement informatique ou l’administration de réseau par exemple.

La flexibilité horaire est aussi un atout non-négligeable, les cours étant disponibles à tout moment en ligne et notamment les soirs et week-ends propices pour les étudiants et les salariés.

Depuis son apparition, la formation en e-learning est en perpétuelle évolution. De nombreuses startups travaillent à l’amélioration de ces formations dans le but de les rendre plus personnalisées pour chaque apprenant. OpenClassrooms en fait partie.

Formation programmation en e-learning

Bien qu’elle soit conçue pour faciliter l’apprentissage pour les étudiants, se former grâce à l’e-learning implique de la préparation, de l’organisation et de la gestion de la part du participant. Entre les cours, les exercices pratiques, les échanges avec le(s) tuteur(s) et les examens, les apprenants doivent d’une certaine façon, faire preuve d’assiduité.

Se former à distance en informatique est ainsi devenu aujourd’hui une réelle voie d’accès à un bac +2 au bac +5 en informatique. En revanche, pour être diplômantes, ces formations doivent se dérouler entre octobre et juin et être sanctionnées par un examen final ou des partiels.

Comment financer sa formation d’informaticien ?

Les formations payantes peuvent être prises en charge par divers organismes. Ce sont entre autres : le Compte Personnel de Formation(CPF), les aides régionales ainsi que les aides des Organismes Paritaires Collecteurs Agréés(OCPA).

Pôle Emploi propose gratuitement des formations et selon les cas, des aides financières, des dispositifs de la Préparation Opérationnelle à l’Emploi Individuel (POEI) et de l’Aide Individuelle à la Formation (AIF).

OpenClassrooms étant à titre d’exemple un organisme de formation professionnel, nos formations sont éligibles au financement par plusieurs dispositifs à commencer par votre employeur (formation professionnelle), votre OPCA, le CPF, le Droit Individuel à la Formation (DIF) ou encore par les régions. OpenClassrooms aide également les apprenants à orienter leur demande de prise en charge pour la formation informatique Pôle Emploi.

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Comment se reconvertir dans le digital ?

Par : Christophe

Pour comprendre pourquoi un si grand nombre de salariés souhaitent se reconvertir dans le digital, il suffit de regarder les chiffres des recrutements prévus dans ce secteur. Près de 9 entreprises consultées sur 10 prévoient de recruter sur les métiers du numérique qui sont en tension. C’est ce qui est ressorti de notre étude Numériques, Les Métiers en Tension menée en collaboration avec France digitale, Cap digital et CPME.

Les métiers du développement web et de la data emportent les faveurs des recruteurs. Alors qu’il naît chaque année de nouveaux métiers digitaux, les raisons de se reconvertir dans le digital sont nombreuses. Reste à savoir comment.

Sommaire de l’article :

Les étapes de votre reconversion digitale

Se reconvertir avec succès dans le digital demande de suivre et de valider des étapes clés. Cela commence par prendre le temps qu’il faudra pour bien réfléchir aux raisons vous poussant vers une reconversion. Ces motivations peuvent découler d’une insatisfaction professionnelle (manque de défi, univers trop ou pas assez pressurisant, volonté de découvrir un autre domaine, …). En quoi le digital vous permettrait-il de répondre à ces insatisfactions ?

Votre réflexion sera probablement alimentée aussi par l’avis de votre entourage. Bien que ces remarques extérieures comptent, encore plus lorsqu’il s’agit de vos proches, s’écouter soi-même est encore plus important.

Il vous serait aussi intéressant de rencontrer des personnes qui ont réussi leur reconversion professionnelle dans le digital. Rien de mieux pour vous donner un élan positif et vous mettre dans le bon état d’esprit pour vous reconvertir dans le digital. Vous pouvez aussi échanger avec des personnes qui exercent le métier que vous avez en tête. L’objectif sera de confronter votre vision de cette nouvelle vie à venir à la réalité du terrain pour confirmer que cela correspond à ce que vous recherchez.

Discutez de votre reconversion professionnelle

Tous ces éléments vous aideront à valider vos atouts, vos envies en, in fine, votre projet de reconversion. Chez OpenClassrooms, nous sommes à une position privilégiée sur le sujet de la reconversion professionnelle. Un grand nombre de personnes souhaitant se reconvertir dans le digital suivent aujourd’hui nos parcours. Cela a été le cas de Sylvain qui, après 25 ans dans l’industrie des ascenseurs, a choisi de se reconvertir dans le développement web. Comme Sylvain, cette reconversion ne vous sera possible que grâce à une solide formation dans le métier digital que vous ciblez.

Formations diplomantes

Le digital, un ensemble de compétences à acquérir

Le digital est un domaine vaste dont les contours restent encore à définir. La palette de compétences nécessaires pour réussir dans ce domaine est tout aussi large. Cette palette comprend en revanche les compétences suivantes.  

Maîtrise des outils informatiques

Les métiers du digital demandent tous, dans une certaine mesure, la maîtrise d’outils informatiques. La personne responsable du marketing digital devra par exemple pouvoir utiliser des outils pour analyser l’audience de son site internet. Le business developer digital s’armera de son CRM quand le chef de projet digital utilisera un logiciel de gestion de projet. Il ne vous sera pas demandé de maîtriser ces outils métier avant votre reconversion dans le digital. En revanche, avoir une appétence pour des outils techniques ou en faire déjà usage faciliterait votre reconversion digitale.

Autonomie et curiosité

Ces deux qualités se traduiront par votre capacité à rechercher et à récolter des informations afin de réaliser vos différentes missions. Le secteur du digital étant jeune, vous pouvez vous voir confier des tâches sans documentation sur la manière de les exécuter. Lorsque vous vous heurterez à des difficultés dans votre nouvelle profession digitale, vous aurez probablement à sortir des sentiers battus pour trouver la solution. La bonne nouvelle est que ce secteur comprend de nombreuses communautés constituées autour de métiers. L’un de leurs objectifs est d’apporter des réponses aux difficultés rencontrées par leurs pairs.

Compétences pour réussir dans le digital

Capacité à apprendre rapidement

S’il est un secteur qui change très rapidement, c’est bien celui du digital. A tel point qu’entre le début de votre formation et votre prise de fonction au sein de votre nouvelle entreprise, votre métier aura probablement connu des évolutions, même minimes. Il vous sera donc demandé de pouvoir assimiler rapidement les nouvelles techniques et outils. Ainsi, si vous recherchez un domaine d’activité vous demandant sans cesse de mettre à jour vos connaissances, le digital est fait pour vous.

Quels sont les financements possibles pour votre formation dans le digital ?

La reconversion professionnelle ouvre droit à plusieurs types de financement. Ils permettront une prise en charge totale ou partielle du coût de votre formation. Si cela fait quelques temps que vous êtes en poste et que vous n’avez jamais utilisé vos droits à la formation, vous devriez vous pencher sur votre Compte Personnel de Formation. Ce compte permet aux salariés de se former durant leur vie professionnelle quelle que soit leur situation ou leur contrat de travail. Ainsi, 150 heures de formations sont déposées chaque année travaillée. Ces heures peuvent être mises à contribution pour financer votre formation de reconversion. Elles sont utilisables que vous soyez en poste ou demandeur d’emploi. Pour avoir plus d’informations, rendez-vous sur le site Mon Compte Activité.

Si votre formation s’annonce plus longue que le nombre d’heures dont vous disposez sur votre compte CPF, alors le congé individuel de formation (CIF) peut être la solution pour financer votre reconversion professionnelle. Il s’agit d’un congé permettant au salarié de s’absenter de son poste afin de suivre une formation. L’objectif de la formation peut être un souhait de monter en compétences dans votre métier ou de vous reconvertir. La formation peut se dérouler à temps plein ou à temps partiel. Ce sont les organismes OPACIF qui assurent dans ce cas tout ou partie du coût de la formation.

OpenClassrooms étant un organisme de formation professionnelle délivrant une formation reconnue, les formations Premium peuvent être également être financées. Pour cela, rapprochez-vous de votre employeur, de votre OPCA (Organisme Paritaire Collecteur Agréé) ou de votre conseiller Pôle Emploi.

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