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À partir d’avant-hierOpenClassrooms : le blog

Les avantages de la formation en ligne pour l’alternance

Peu d’étudiants le savent, mais il est parfaitement possible de faire sa formation d’alternance en ligne.
Comme n’importe quel cursus ou établissement, l’alternance et les centres de formation qui la dispensent sont accessibles à distance ! Une accélération que l’on doit à la réforme de la formation de septembre 2018, autorisant la formation en alternance à se dérouler entièrement en ligne. En 2020, la pandémie est venue accentuer la tendance, et désormais, l’alternance a le vent en poupe… 

La formation en alternance et en ligne séduit autant les étudiants que les entreprises d’accueil, qui y voient tous les deux une opportunité pour les jeunes talents de se former de manière plus autonome et flexible. Mais cette option est-elle vraiment la mieux adaptée à vos besoins ? Et surtout, est-elle disponible dans votre filière ? 

Nous vous proposons de vous apporter des éléments de réponse dans cet article. 

Quels sont les avantages de la formation en ligne pour les alternants ?

Les étudiants sont de plus en plus nombreux à opter pour la formation en ligne dans le cadre de leur alternance. Cette option leur permet en effet de se former de manière concrète à un métier, le tout en gardant une flexibilité sur leur agenda et en avançant à leur rythme. 

Si vous considérez l’apprentissage numérique pour valider votre alternance, voici les principaux avantages dont vous pourrez bénéficier. 

Plus d’autonomie et de liberté

La formation en ligne, qu’elle se fasse en alternance ou non, est le meilleur moyen d’étudier en gardant le contrôle sur votre emploi du temps ainsi que votre organisation. Vous pourrez en effet décider par vous-même comment vous souhaitez organiser votre travail, sans vous faire imposer des horaires par votre centre de formation. Si vous recherchez plus d’autonomie, ou que vous devez tenir compte de contraintes horaires spécifiques, c’est certainement la meilleure option qui s’offre à vous. 

Réaliser votre alternance sur une plateforme de formation en ligne vous permettra également d’être plus productif et efficace, aussi bien dans le volet scolaire que professionnel. Par ailleurs, cette dernière offre une certaine souplesse en comparaison avec la formation en présentiel, car lors de la mise en place de votre contrat en alternance, vous pouvez décider avec votre employeur, des journées qui seront consacrées à la formation et de celles passées en entreprise chaque semaine.

Une formation 100 % financée et en ligne pour s’affranchir des contraintes financières

Vous n’êtes pas sans savoir que la formation en alternance est non seulement financée, mais qu’elle vous permet également de percevoir un salaire. Elle est ainsi réputée pour être accessible à tous, quelle que soit la situation économique de l’alternant. 

En optant pour la formation en ligne, vous pourrez également vous affranchir des autres contraintes matérielles qui entourent votre scolarité. Vous n’aurez par exemple plus besoin de vous déplacer au sein de l’établissement pour suivre vos cours. Cela représente un gain financier, mais aussi un gain de temps que vous pourrez utiliser à meilleur escient. 

En s’affranchissant des contraintes géographiques, les alternants n’ont également plus l’obligation de déménager dans la ville de leur centre de formation. Vous pourrez ainsi continuer de travailler au calme chez vous ou chez vos proches. 

Se former et progresser à son rythme

En optant pour la formation en ligne, l’alternant peut également suivre ses cours à son propre rythme. Vous ne vous verrez donc plus imposer celui de vos camarades de classe et pourrez progresser en fonction de votre disponibilité, mais aussi de vos appétences et de vos capacités. 

La formation en ligne est ainsi un excellent moyen de s’émanciper du groupe, et de reprendre le contrôle sur son apprentissage. Si vous êtes plus à l’aise sur une matière, vous pourrez avancer bien plus rapidement que dans un environnement d’enseignement classique. À l’inverse, les points que vous avez plus de mal à maîtriser pourront recevoir une attention plus particulière, dans le respect de la temporalité de votre formation. 

Avec l’apprentissage en ligne, vous aurez aussi accès via votre plateforme d’apprentissage (comme OpenClassrooms) à des outils d’auto-évaluation qui facilitent cette progression sur mesure. Vous pourrez par exemple répondre à des quizz pour évaluer vos connaissances, et déterminer si vous pouvez sereinement ou non passer au module suivant. 

Par ailleurs, l’entraide entre camarades de promotion ne disparaît pas complètement avec le format en ligne. De nombreux établissements proposent à leurs élèves de se rencontrer (et d’échanger avec leurs professeurs) de manière hebdomadaire ou mensuelle. Des forums en ligne sont également disponibles pour poser ses questions, ou demander un coup de main aux autres alternants. Par exemple, chez OpenClassrooms, la plateforme WorkPlace fait office d’espace de discussion et d’échanges, ouvert à tous les étudiants et les mentors. Un excellent moyen de maintenir sa motivation et de se faire épauler en cas de blocage ! 

Une formation en ligne et ouverte à tous… sans sacrifier la qualité de l’enseignement 

Comme nous l’avons déjà mentionné, la formation en alternance (qu’elle soit en ligne ou en présentielle) est 100 % financée. Vos frais de scolarité seront en effet pris en charge par l’État ainsi que par votre entreprise d’accueil. 

Par ailleurs, les alternants touchent un salaire et peuvent donc bénéficier d’une indépendance financière (en plus d’une plus grande indépendance dans la gestion de leurs études). 

Mais formation en ligne ne veut pas pour autant dire formation au rabais. Les cursus disponibles bénéficient d’une qualité d’enseignement équivalente à celle dispensée dans les centres de formation en présentiel. Les cours sont en effet conçus par des experts dans leur métier, et doivent respecter les référentiels de l’éducation nationale et du marché du travail. Le diplôme délivré est lui aussi équivalent à celui obtenu en suivant une formation en présentiel. 

Un suivi personnalisé

L’une des principales appréhensions que l’on peut avoir concernant la formation en ligne est qu’elle soit anonyme et donc générique. Contrairement à ce que les étudiants pourraient penser, elle leur permet en réalité de bénéficier d’un suivi tout aussi qualitatif, avec parfois un accompagnement personnalisé et des sessions de formation en individuel. 

En parallèle des référents, certains organismes de formation comme OpenClassrooms s’appuient sur un autre outil choc : le mentorat. Cette pratique permet de renforcer de manière significative l’engagement des étudiants et de les soutenir dans leur formation, par le biais de plusieurs leviers efficaces : 

  • des rendez-vous hebdomadaires entre l’étudiant et le mentor ;
  • des objectifs personnels fixés d’une session à l’autre ;
  • un compte-rendu de chaque session rédigé par le mentor, qui permet à l’étudiant de suivre son évolution.

Le mentorat est également une excellente manière pour les étudiants de se confronter aux réalités de leur futur métier, en discutant et en apprenant d’un profil ayant une vaste expérience du terrain.

Le mentor, qui est un professionnel du métier sur lequel l’étudiant se forme, fait donc un travail de suivi régulier, via des séances d’accompagnement individuel chaque semaine. Son expérience  professionnelle lui permet d’offrir une perspective concrète sur les réalités de son métier et de son industrie, afin d’ aider l’étudiant à se projeter au-delà de la théorie des cours. 

Le mentor joue aussi un rôle de coach, accompagnant l’étudiant dans la préparation de ses soutenances ou dans la fixation d’objectifs d’apprentissage réalistes d’une semaine sur l’autre. Son rôle est également clé pour le maintien de la motivation des étudiants dans le cadre d’un apprentissage autonome.

Enfin, grâce à son expertise technique et son sens pédagogique, le mentor est en mesure de reformuler les concepts techniques les plus complexes afin de faciliter leur acquisition par ses étudiants

Des facilités pour décrocher son contrat d’alternance en entreprise 

En réalité, la formation en ligne n’est pas seulement avantageuse pour l’alternant. Elle présente aussi de nombreux bénéfices concrets pour les entreprises qui les emploient ! En effet, l’alternance au format numérique permet aux organisations d’accéder à des groupes plus larges et diversifiés de candidats. 

D’autre part, elles valorisent de plus en plus les profils autonomes, qui ont naturellement tendance à se tourner vers la formation à distance. L’apprentissage en ligne incite fortement l’alternant à développer son autonomie, et donc à la mettre à profit dans le cadre de ses missions professionnelles. Ce choix prouvera également aux recruteurs que vous savez faire preuve de détermination et de maturité. Cela rendra votre CV plus attrayant et vous permettra de sortir du lot dans un contexte où les contrats en alternance sont de plus en plus demandés !

La flexibilité que vous allez acquérir grâce à la formation en ligne vous sera ensuite très utile en entreprise. Vous pourrez mieux vous adapter aux exigences et échéances, parfois très serrées, de votre employeur, de ses partenaires et clients. Si vous êtes amené à vous déplacer régulièrement pour des raisons professionnelles, le numérique sera là encore un atout qui peut faire la différence en faveur de votre candidature. 

Pour finir, vous pourrez plus aisément adapter votre programme de formation aux défis que vous rencontrerez en entreprise. Il vous sera ainsi très facile de prioriser les sujets qui sont directement en lien avec vos missions. Et ainsi, d’être plus efficace et réactif que si vous deviez suivre les modules et le rythme imposé par votre professeur !

Suivre une alternance chez OpenClassrooms : un format flexible et d’excellence !

L’option de la formation en ligne est disponible dans pratiquement toutes les filières d’alternance classique. Les modalités d’inscription et de validation des acquis pour décrocher votre diplôme dépendent de l’organisme que vous sélectionnez.

Et si vous vous formiez avec OpenClassrooms à un métier du numérique qui a de l’avenir ? Découvrez à quoi ressemble le quotidien de nos apprenants, et quelles filières s’ouvrent à vous…

À quoi ressemble une formation en alternance en ligne chez OpenClassrooms ?

Vos cours vous sont délivrés via une plateforme de formation en ligne mise à disposition par l’école OpenClassrooms. Avec vos identifiants, vous pouvez y accéder quand vous voulez, où vous voulez, depuis tous vos supports numériques !

Par ailleurs, même en étant étudiant en ligne, vous pouvez également vous intégrer pleinement à votre école et à votre vie étudiante. Chaque mois, ce sont 300,000 étudiants connectés à travers le monde qui apprennent avec notre école en ligne. 

Par ailleurs, une formation en alternance avec OpenClassrooms, c’est : 

  • une formation tournée vers l’emploi, qui vous apprend les connaissances et les compétences essentielles pour vous épanouir dans votre futur métier ;
  • un mentor dédié qui vous épaule chaque semaine, pas à pas dans votre formation. Chaque semaine, cet expert dans votre futur métier vous accompagnera pour assurer une progression constante et une bonne compréhension des enjeux liés au secteur auquel vous vous réservez ;
  • un diplôme reconnu par l’État, allant du niveau bac + 2 à bac + 5, pour renforcer l’attractivité de votre profil ;
  • un choix des jours de formation flexible. Dès le début, vous définissez avec votre futur maître d’apprentissage ou tuteur, les jours dédiés à votre présence au sein des équipes. Ainsi vous pouvez vous adapter aux besoins de votre entreprise d’accueil. C’est un véritable atout de la formation en ligne.
  • une communauté d’étudiants disponible en permanence sur la plateforme Workplace. Entre camarade de classe, vous pouvez demander de l’aide, échanger sur les projets, vous motiver. 

Quels sont les programmes en alternance disponibles ?

Nos formations en alternance se concentrent sur les métiers du numérique, qui offrent de belles perspectives professionnelles à nos étudiants. Les domaines d’études sont variés : développement, data, RH et gestion, systèmes et réseaux, marketing et communication, pédagogie, gestion de projet, business ainsi que design – à vous de choisir l’activité qui correspond le plus à vos compétences et à vos envies professionnelles ! Nous nous occupons ensuite du reste… 

Par ailleurs, vous bénéficiez d’une rémunération salariale dès le 1er jour de votre contrat d’alternance. Cette dernière peut varier en fonction de la nature de votre contrat :

  • Si vous avez un contrat d’apprentissage, votre rémunération variera en fonction de votre âge et de l’année d’étude que vous réalisez. Le salaire minimum perçu est un pourcentage du Smic ou du SMC (salaire minimum conventionnel de l’emploi occupé) pour les plus de 21 ans. Par ailleurs, chaque nouvelle année d’exécution de votre contrat, votre rémunération augmente ;
  • Si vous bénéficiez d’un contrat de professionnalisation, votre rémunération dépendra du niveau de votre formation initiale et de votre âge.

Comment postuler à une formation en alternance OpenClassrooms ?

Pour devenir alternant chez OpenClassrooms, rien de plus simple ! Il vous suffit de commencer par postuler au programme que vous souhaitez suivre. Dans un délai de 7 jours maximum, nos conseillers vous contactent pour discuter et valider votre admission. 

Ensuite, nous mettons à votre disposition un coach d’insertion professionnelle OpenClassrooms, pour vous aider à trouver votre entreprise d’accueil. Par ailleurs, notre équipe d’experts recherche activement des offres d’emploi en alternance, qui vous seront proposées en fonction de vos préférences et de votre profil. Ainsi, vous bénéficiez du soutien de la communauté OpenClassrooms tout au long de vos démarches, pour garantir votre succès ! 

Et bien sûr, votre parcours apprenant ne s’arrête pas là : même après votre formation, qui dure entre 12 et 36 mois en fonction du diplôme choisi, vous rejoignez la communauté de nos alumni, mentors, experts et étudiants, qui vous accompagnera dans votre démarche d’employabilité tout au long de votre parcours professionnel !

Pour en savoir plus et postuler, rendez-vous sur la pages alternance d’OpenClassrooms !

 

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Comment nous mesurons l’impact des formations OpenClassrooms

En tant que co-fondateur d’OpenClassrooms, j’ai voulu créer un type d’entreprise différent qui a un impact réel et concret sur la vie des gens. C’est pour cela qu’OpenClassrooms est une entreprise avec une mission claire : rendre l’éducation accessible. C’est ce qui nous motive et nous pousse au quotidien à aller plus loin.

Mais comment savoir si on réussit à rendre l’éducation accessible ? Quel est l’objectif concret que l’on doit suivre et mesurer ?

Nous avons donc fait un choix clair chez OpenClassrooms : nous voulons que nos étudiants voient un impact positif sur leur vie professionnelle. Nous voulons les rendre employables ou qu’ils créent eux-mêmes leur emploi.

Nous voulons le vérifier, nous voulons le mesurer, nous voulons le prouver. Et quand cet impact n’est pas suffisant (spoiler alert : on peut toujours faire mieux ! 😅), alors nous travaillerons sans relâche à l’améliorer.


Nos mesures d’impact

Nous avons choisi 2 mesures pour guider notre impact chez OpenClassrooms :

  • Le taux de diplomation (ex : « 72% des étudiants décrochent leur diplôme »)
  • Le taux d’insertion dans l’emploi (ex : « 79% des diplômés trouvent un emploi »)

Note : ces mesures d’impact concernent les étudiants sur les parcours d’OpenClassrooms qui visent un diplôme.

Ces 2 mesures sont liées : les étudiants se forment dans le but d’avoir un diplôme, puis ensuite cherchent à trouver un emploi grâce à ce diplôme.

⚠ Le problème est qu’il y a 1 million de façons différentes de calculer ces taux. Bien souvent, cette méthode de calcul n’est pas explicitée, elle n’est pas vérifiée par un organisme indépendant. Selon la méthode utilisée, je peux vous présenter un taux d’insertion dans l’emploi de 90% comme un taux de 55%. Il est donc impossible de comparer les chiffres d’une école à une autre car la formule n’est jamais vraiment la même… et il est tentant pour chacun de montrer les meilleurs chiffres.

Chez OpenClassrooms, nous nous sommes interrogés sur la bonne formule longuement, en analysant les bonnes pratiques des standards émergents comme CIRR et EQOS.
Avec beaucoup de travail et de rigueur, voici comment nous calculons nos chiffres.

Taux de diplomation

Le taux de diplomation nous permet de savoir si nos formations sont vraiment accessibles, c’est-à-dire qu’un taux acceptable d’étudiants arrivent à obtenir leur diplôme.

La formule est la suivante :

Nombre d'étudiants ayant obtenu leur diplôme dans les délais annoncés
---- divisé par ----
Nombre d'étudiants ayant démarré la formation

Exemple : 100 étudiants démarrent une formation de 1 an. 60 d’entre eux la finissent en 1 an ou moins. 10 la finissent en plus d’1 an. Les 30 autres ne vont pas jusqu’au bout. Dans ce cas, le taux de diplomation est de 60% (60% de l’ensemble des étudiants a fini la formation dans les temps).

👆 Il est important de noter que tous les étudiants qui démarrent la formation sont pris en compte, même s’ils ne participent qu’un seul jour avant de changer de formation.

Cela veut dire qu’il est quasi-impossible qu’une formation puisse atteindre les 100% de diplomation (cela voudrait d’ailleurs dire que le diplôme est donné à tout le monde, ce qui serait un très mauvais signal !).

Taux d’insertion dans l’emploi

Le taux d’insertion dans l’emploi nous permet de vérifier qu’en ayant rendu l’éducation accessible, nous avons bien un impact positif sur la vie des étudiants.

La formule est la suivante :

Nombre de diplômés ayant trouvé un travail dans les 6 mois
---- divisé par ----
Nombre de diplômés

Exemple : sur 100 diplômés, 70 trouvent un travail dans les 6 mois, 10 trouvent un travail après 6 mois et le reste ne trouve pas de travail. Le taux d’insertion dans l’emploi est de 70%.

« Trouver un travail » signifie soit :

  • Obtenir un contrat de travail salarié
  • Monter son entreprise
  • Obtenir une évolution de poste dans l’entreprise.

Il doit donc y avoir un changement clair dans la vie de l’étudiant.

Dans tous les cas, « avoir trouvé un travail » signifie avoir un travail dans le métier que l’on a appris. Si vous vous formez au digital marketing et que vous prenez un poste de vendeur, soyons clairs : cela ne comptera pas.

Certains diplômés sont exclus du calcul. Nous pensons qu’il est normal de ne pas prendre en compte tous les diplômés et nous sommes basés sur les standards CIRR et EQOS pour cela. Voici donc en toute transparence les diplômés non pris en compte :

  • Ceux qui ne répondent pas à nos sondages
    (nous essayons de les joindre mais nous n’avons pas de réponse)
  • Ceux qui continuent leurs études
    (ils ont fait la formation pour que ça soit un tremplin pour une autre formation)
  • Ceux qui n’ont pas le droit de travailler
    (pour des raisons de visa, d’âge)
  • Ceux qui avaient indiqué au début de la formation qu’ils ne comptaient pas chercher de travail
    (ils font la formation pour le plaisir par exemple).

Nos chiffres

Dès aujourd’hui, nous sommes heureux de publier l’impact des formations OpenClassrooms suivantes :

Impact de la formation Conseiller en évolution professionnelle (diplômés de 2021)

Pourquoi ces formations ? Parce que nous avons travaillé récemment pour nous assurer de la rigueur des chiffres de ces 2 formations (et je peux vous dire que cela a demandé du travail !).

Notre objectif sera d’étendre ces informations pour l’ensemble de nos formations par la suite. Nous sommes preneurs d’ores et déjà de tous vos retours, questions et réactions !

Nous faisons déjà un constat clair : bien souvent, les étudiants en alternance ont les meilleurs taux de réussite et les meilleurs taux de placement dans l’emploi.

Vous le verrez, ces chiffres ne sont pas parfaits et ils n’ont pas vocation a l’être : nous souhaitons nous améliorer en continu et pensons qu’engager la conversation avec vous est le meilleur moyen de faire progresser les formations ! 


Nous espérons que vous apprécierez ces détails et cette rigueur. Nous en avons besoin pour améliorer en continu l’efficacité de nos formations.

Plus important encore : nous pensons que nous vous devons ces informations. Il est normal que vous y ayez accès pour choisir votre formation !

 

 

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Comment trouver une formation en alternance ?

La formation en alternance est de plus en plus populaire auprès des étudiants. En effet, elle valorise l’expérience professionnelle et permet à ces derniers de découvrir le monde de l’entreprise. Bénéficiant du statut de salarié, les étudiants peuvent ainsi se former de manière concrète à leur futur métier. Un bon moyen de s’insérer plus facilement sur le marché du travail, notamment en étoffant son réseau et ses compétences ! Mais déterminer comment trouver une formation et son alternance n’est pas aussi simple qu’il n’y paraît…

Il existe en effet différents types d’établissements, de cursus et même de formules. Et une fois le choix porté sur une option, il reste encore à bien préparer son CV et trouver son entreprise d’accueil en alternance !

Si vous aussi vous envisagez de suivre une formation en alternance, ce guide complet répondra à toutes vos questions. Il vous permettra surtout d’optimiser vos recherches, et de vous lancer sereinement dans votre alternance.  

 

Comment trouver une formation en alternance

  1. Définir son projet professionnel et ses objectifs
  2. Identifier le secteur dans lequel on souhaite faire son alternance ;  
  3. Choisir la bonne formation en fonction de ses objectifs et aspirations professionnelles, puis définir comment trouver une formation en alternance ; 
  4. Sélectionner une école, 
  5. Préparer un CV qui cartonne pour décrocher un contrat d’alternance, 
  6. Définir les entreprises qui vous intéressent.

 

Qu’est-ce qu’une formation en alternance ?

Avant de vous demander comment trouver une alternance, il est important de comprendre la formation en elle-même.

La formation par alternance associe l’expérience professionnelle au sein d’une entreprise à un cursus au sein d’un établissement d’enseignement. L’alternant partage donc son temps entre ses études et l’entreprise dans laquelle il exercera son futur métier en tant que salarié ou stagiaire.

Selon les conventions entre l’employeur, l’alternant et le centre de formation, le rythme d’une formation d’alternance est très différent. Il peut être long, allant jusqu’à 2 mois en entreprise et 2 passées en formation. Certaines alternances fonctionnent sur des rythmes beaucoup plus courts (allant de quelques jours à une semaine en entreprise).

Quel que soit son rythme, le système de l’alternance permet d’obtenir rapidement des qualifications et une expérience professionnelle. Ces dernières sont deux atouts de taille face aux recruteurs ! Par ailleurs, les frais de formation sont également pris en charge par l’entreprise et son OPCO, ce qui rend la formation en alternance beaucoup plus accessible.  

L’alternance peut s’effectuer sous l’égide de deux contrats, en fonction du statut et de la situation de l’alternant : 

  • le contrat de professionnalisation ;
  • et le contrat d’apprentissage. 

Différences entre le contrat d’apprentissage et de professionnalisation

L’alternance peut également s’effectuer dans le cadre d’un large éventail de formations (du CAP au master spécialisé), et dans quasiment toutes les filières (comptabilité, communication, science humaine en passant par les sciences). 

 

Comment savoir si on a le profil pour trouver une formation en alternance ?

Il n’y a pas de portrait type de l’alternant. Néanmoins, les étudiants qui peuvent être les plus attirés par ce type de formation sont ceux à la recherche d’une expérience professionnalisante, ou les profils en cours de reconversion.

Quoi qu’il en soit, de par son attractivité d’un point de vue de l’insertion rapide dans le monde du travail, mais aussi de ses conditions avantageuses en termes de salaires et d’encadrement, la formation par alternance s’est largement imposée comme un choix mûrement réfléchi pour de nombreux étudiants et profils en reconversion ces dernières années. 

 

Les avantages et les inconvénients de la formation en alternance 

Parmi les nombreux avantages de l’alternance, on peut citer : 

  • La prise en charge par l’entreprise et son OPCO, ce qui fait de l’alternance une formation 100 % financée pour les étudiants ;
  • Un choix toujours plus large : de nombreuses formations se sont ouvertes à l’alternance et donnent accès à des métiers très divers ; 
  • La possibilité de confronter la théorie à la pratique. Beaucoup d’élèves apprécient de pouvoir mettre en pratique leurs cours, et affirment même mieux les comprendre en situation. 
  • Une insertion plus facile vers le monde du travail. Et ce, notamment en décrochant un emploi dans l’entreprise dans laquelle on a effectué son alternance. 
  • La rémunération versée par son entreprise, qui peut aider à financer sa vie étudiante ou sa reconversion professionnelle.

 

Avant de réfléchir à comment trouver une alternance, prenez néanmoins le temps de considérer les contraintes de cette formation. 

L’alternance exige un fort investissement et une organisation rigoureuse de la part des élèves. Il faudra en effet assurer vos cours, le travail en entreprise, et le passage de vos examens. Votre statut de salarié aura également pour conséquence de réduire vos vacances (plus que 5 semaines de congés payés par an). Pour les jeunes étudiants, il faut également prendre en compte leur capacité d’adaptation dans le monde de l’entreprise et avec des collègues souvent plus âgés. 

Si la formation en alternance ne vous semble pas adaptée à votre profil et vos objectifs, pas de panique ! Il est en effet toujours possible de bifurquer vers une formation classique en cours de route (et inversement). Et pour commencer, il est nécessaire de formuler un projet concret d’alternance… Dans la prochaine partie, nous vous expliquons comment faire !

 

Formuler son projet d’alternance 

Avant de vous lancer dans la recherche d’une formation en alternance, il vous faut commencer par identifier votre projet de métier. En effet, c’est en ayant une idée claire de votre projet professionnel que vous pourrez choisir le bon établissement et la bonne entreprise dans lesquels effectuer votre alternance !

Premier conseil : choisissez de préférence une filière qui soit alignée avec vos appétences, vos valeurs, et vos aptitudes. Renseignez-vous sur le métier que vous souhaitez occuper, et tenez compte de tous ses aspects, aussi bien positifs que négatifs. 

Pour bien construire votre métier, pensez donc à :

  • Définir vos centres d’intérêt, votre personnalité, vos capacités et vos envies ;
  • Vous informer sur les métiers et les secteurs qui vous intéressent ; 
  • Rencontrer des professionnels pour confronter vos préconceptions et la réalité du métier. 

 

Comment choisir votre établissement d’alternance ?

La seconde étape pour trouver une alternance consiste à trouver l’établissement dans lequel vous allez vous former. 

Vous aurez notamment le choix entre : 

  • Les CFA : (Centres de Formation d’Apprentis). Ces établissements peuvent être publics ou privés. La formation dispensée y est à la fois générale, pratique et technologique. Elle sera complétée par celle reçue en entreprise. 
  • Les unités de formation. Il peut s’agir d’une unité dédiée au sein d’un lycée ou d’une université. Elles sont le plus souvent publiques ; 
  • Les sections d’apprentissage. Si vous choisissez cette option pour suivre votre alternance, vos cours auront lieu dans un établissement d’enseignement public (ou privé sous contrat avec l’État). Il peut également s’agir d’une section spéciale d’un établissement de recherche relevant d’un ministère autre que celui de l’Éducation Nationale ;
  • Les organismes de formation interne à l’entreprise. L’entreprise avec laquelle vous avez signé votre contrat en alternance peut également disposer de son service de formation interne. Elle y dispensera une formation générale, professionnelle et technologique. 

 

Trouver son établissement de formation en alternance 

Plusieurs sites existent pour vous aider à accéder facilement à la liste des établissements qui proposent votre formation en alternance. 

Vous pouvez par exemple trouver une alternance sur : 

  • Le site de l’ONISEP (Office National d’Information Sur les Enseignements et les Professions) ; 
  • L’Étudiant
  • Le CIDJ (Centre d’Information et de Documentation Jeunesse) ; 
  • Auprès des CIO (Centres d’Informations et d’Orientation) ; 
  • A l’occasion des nombreux salons qui sont organisés chaque année sur la formation en alternance. 
  • Sur OpenClassrooms : l’école numérique qui forme aux métiers de demain propose de nombreuses formations en alternance. 

Les meilleures plateformes pour trouver une alternance

 

Quels sont les critères pour bien sélectionner son établissement ?

Avant de choisir l’établissement dans lequel vous allez suivre votre formation en alternance, prenez le temps d’effectuer vos recherches. 

Les règles de création des CFA ont été simplifiées, et certaines formations sont très récentes. Vérifiez par exemple que votre diplôme soit reconnu par une branche professionnelle ou par l’État. Mais aussi – et surtout – qu’il soit homologué ! Intéressez-vous également au taux de réussite et d’emploi des diplômés. Cette information devrait être disponible sur le site de l’établissement, ou vous être communiquée après l’avoir contacté. 

Renseignez-vous aussi sur la réputation de la formation auprès des employeurs ou d’une éventuelle association d’anciens élèves. Enfin, n’oubliez pas de vous pencher sur les indicateurs de poursuite d’études et d’insertion ! 

Vous pouvez par ailleurs tenir également compte des éléments suivants, en fonction de vos appétences et de vos objectifs : 

  • le programme de formation ;
  • la durée et le rythme de l’alternance ;
  • le suivi personnalisé offert aux élèves ; 
  • l’alignement entre la formation délivrée et votre projet professionnel :
  • la possibilité de suivre votre alternance en ligne. En 2020, elle représente plus de 16 % de nouveaux contrats d’apprentissage signés en France. Le digital learning sera en effet la meilleure option pour les alternants qui valorisent leur autonomie et leur liberté !

 

Comment préparer son CV pour trouver une entreprise et décrocher un job en alternance ?

Une fois que vous aurez choisi votre centre de formation, il ne vous reste plus qu’à réfléchir à comment trouver une entreprise en alternance. 

Et pour convaincre votre futur employeur, vous devez préparer un CV qui valorise votre profil et vos compétences. La concurrence est rude pour décrocher son contrat d’alternance, et les recruteurs ont peu de temps à consacrer à la lecture de votre CV. L’idée est donc de leur présenter de manière succincte toutes les informations dont ils ont besoin pour arriver à la conclusion que votre profil est idéal ! 

 

Voici quelques conseils pour vous aider à sortir du lot

Donnez un titre à votre CV

C’est le meilleur moyen d’attirer l’attention du recruteur, et de lui présenter clairement vos intentions. Ce titre sera souvent l’intitulé du poste que vous convoitez, pour que le recruteur sache d’emblée que vous recherchez un contrat d’alternance. 

 

Ajoutez un encadré descriptif

Cet encadré vous permettra de présenter votre situation, et notamment de résumer votre parcours et vos aspirations professionnelles. Vous pouvez par exemple revenir sur vos diplômes, préciser le rythme d’alternance qui vous convient le mieux, ou encore les compétences que vous souhaitez renforcer. 

 

Mettez en avant vos précédentes expériences professionnelles

N’hésitez pas à indiquer les stages que vous avez déjà réalisés, à quel poste et dans quelle organisation. Si possible, ajoutez les projets sur lesquels vous avez travaillé ou vos réalisations les plus notables, pour plus de concret. Vous pouvez aussi valoriser vos autres expériences professionnelles, comme vos jobs étudiants ou vos missions en intérim. 

 

Valorisez vos compétences

C’est la clé pour étoffer votre CV, en particulier si vous n’avez pas beaucoup d’expérience professionnelle. Misez sur vos savoir-faire, mais aussi sur votre savoir-être (vos soft skills, qualités personnelles, etc.) et les situations dans lesquelles vous les avez acquises.  

 

Ajoutez vos références 

Si vous avez eu de bonnes expériences lors de vos précédents stages ou expériences professionnelles quelconques, n’hésitez pas à ajouter les coordonnées de vos anciens maîtres de stage, collègues, etc. Attention cependant, ne le faites évidemment pas sans leur accord ! L’entreprise dans laquelle vous envisagez de faire votre alternance pourra les contacter pour vérifier vos compétences. 

 

Soignez la forme 

La forme de votre CV compte également pour trouver une entreprise en alternance. Soignez la mise en page, afin que la lecture soit la plus agréable et la plus fluide possible pour le recruteur. Cela vous permettra aussi de mettre en valeur les éléments les plus importants, et ainsi de refléter au mieux votre personnalité. 

 

Comment trouver un contrat en alternance

La dernière étape consiste à décrocher votre travail en alternance. Il existe aujourd’hui une multitude de plateformes qui peuvent vous faciliter vos recherches et vous aider à trouver votre futur employeur. 

Vous aurez notamment la possibilité de trouver un contrat en alternance sur des sites nationaux comme 1 jeune 1 solution ou encore Alternance.emploi.gouv.fr. Ce dernier recense plus de 12,000 offres en apprentissage et en professionnalisation, aussi bien dans le privé que le public. L’Apec et Pôle Emploi (via la Bonne Alternance) proposent eux aussi des offres en contrat d’apprentissage et contrat de professionnalisation, à partir de Bac + 2. 

Des plateformes privées comme Walt existent également pour vous aider dans vos recherches d’une formation et d’un travail en alternance. N’hésitez pas également à être actif sur LinkedIn et à contacter directement les entreprises qui vous intéressent sur le réseau social. 

Dernière option : les sites dédiés à l’alternance dans votre région (comme la Bretagne ou le PACA). Mais aussi ceux spécialisés dans votre filière professionnelle (par exemple l’hôtellerie-restauration, ou encore l’artisanat

 

Combien de temps pour trouver un contrat en alternance ?

Le temps moyen de recherche d’un contrat d’alternance est d’environ 3 mois. Cette durée moyenne peut néanmoins énormément varier d’un étudiant à l’autre. 

Retenez cependant que ce dernier devra être signé au plus tard trois mois après le début de votre formation. Essayez donc de commencer vos recherches le plus tôt possible (en mars ou avril pour une rentrée en septembre). Même si les recrutements ne s’arrêtent pas pendant l’été et que parfois, les recruteurs sont plus disponibles à cette période, une bonne partie des postes est déjà pourvue avant le début des vacances de juillet-août ! Prenez donc de l’avance, mais ne baissez pas les bras pour autant si vous ne trouvez pas le contrat idéal tout de suite…

Vous souhaitez bénéficier d’un accompagnement dans la recherche de votre alternance et tout au long de votre formation ? Avec OpenClassrooms, vous pouvez vous lancer dans un programme d’alternance 100% en ligne, profiter d’un coaching dédié, mais aussi trouver votre future entreprise parmi notre réseau de partenaires et obtenir un diplôme de niveau 5, 6, 7 (équivalent bac +2 à bac +5) reconnu par l’État. Pour en savoir plus, rendez vous sur notre page alternance !

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Développement web : se former dès maintenant à un métier d’avenir

Deux métiers phares se cachent derrière nos sites Internet : le développeur WordPress et l’intégrateur web. Pour former au mieux ces profils, particulièrement recherchés par les entreprises, OpenClassrooms propose deux nouvelles formations, accessibles même sans avoir codé avant.

Le métier de développeur attire les talents de tous âges. Avec la diversification des technologies de développement, le marché évolue vers une spécialisation des compétences. Les entreprises ont besoin de développeurs performants dans un langage ou un outil précis. C’est pour répondre à cette demande qu’OpenClassrooms lance deux nouveaux parcours de formation en ligne, conçus pour les développeurs débutants. La voie d’entrée vers votre future carrière ? Décryptage.

Choisir un métier d’avenir

Les caractéristiques, compétences requises et champ d’action propres à chaque métier vont vous permettre d’identifier celui qui correspond le plus à vos envies de carrière.

Le développeur WordPress va se spécialiser dans la création de sites web grâce à un CMS. Il rejoindra plutôt des agences web ou se lancera en freelance ; tandis que l’intégrateur web travaille sur la partie visible d’un site : son interface, et il sera très recherché en ESN ou startup tech. 

Une fois l’orientation choisie : comment apprendre concrètement un métier ?

Se former au mieux selon les attentes du marché

Pour permettre à chaque futur développeur d’acquérir les connaissances les plus précises, techniques et actuelles, OpenClassrooms a conçu ses formations avec des experts métiers et les met à jour très régulièrement. Les parcours Développeur WordPress et Intégrateur Web permettent d’apprendre les bases des langages et outils techniques les plus courants : PHP, HTML, CSS, Git & GitHub, JavaScript, ainsi que le SEO, la gestion de projets web et la maintenance de sites. Les acquis propres à chaque métier sont ensuite approfondis dans les formations dédiées.

Se former au développement WordPress

Cette formation s’adresse à toutes les personnes souhaitant être rapidement autonomes dans le développement de sites web performants et sur-mesure avec WordPress (le CMS le plus utilisé). Les étudiants apprendront, en plus des langages courants, les bases d’Elementor, Gutenberg, ainsi que des notions de jQuery et de Responsive design.

Se former à l’intégration Web

L’intégration web  plaira à des profils techniques qui s’intéressent au front-end et ont envie de maîtriser React : l’un des frameworks JavaScript les plus utilisés. Une fois la formation terminée, les apprenants sont capables de créer des applications & interfaces web complètes et optimisées, et de dynamiser des pages web. Ils découvrent, en plus des langages courants, Redux, SASS, les appels API, Visual Studio Code et Figma. 

Informations pratiques & débouchés 

Ces deux formations permettent, en 9 mois, de décrocher un diplôme de niveau 5 (bac +2), reconnu par l’État, et de se constituer un portfolio technique particulièrement utile pour valoriser son expertise. Le but d’OpenClassrooms : rendre tous les apprenants employables en tant que développeurs junior. Un coaching à l’emploi est même proposé en fin de cursus pour ceux qui le désirent.

Que vous soyez étudiant, demandeur d’emploi ou en reconversion, si le métier de développeur vous attire, n’attendez plus ! Les parcours sont même finançables avec vos crédits CPF, selon statut, et peuvent être effectués en alternance (18 mois). La date de démarrage ? C’est vous qui choisissez !

Alors, pourquoi pas vous ? Osez faire un travail qui vous plaît.

RDV ici et ici pour obtenir toutes les informations et décider de la suite pour votre carrière.

Vous pouvez faire confiance à OpenClassrooms pour vous donner toutes les chances de réussir.

La pédagogie innovante d’OpenClassrooms

OpenClassrooms est un acteur majeur de la formation en ligne en Europe. Plus de 10 000 personnes se sont déjà formées au développement web avec notre école, et des millions d’autres sur tous types de compétences techniques. Depuis 2013, notre mission est votre réussite, et nous avons, pour cela, mis au point une pédagogie spécifique.

L’approche unique d’OpenClassrooms pour monter en compétences rapidement :

  → FLEXIBILITÉ : des cours 100 % en ligne & un rythme adaptable à son emploi du temps

  → CONCRET : un minimum de théorie et un maximum de pratique avec la réalisation de projets issus de scénarios professionnels

  → MOTIVATION : le soutien hebdomadaire d’un mentor, lui-même développeur, et l’accès à une communauté d’entraide virtuelle avec d’autres étudiants

Prêt à vous lancer dans le développement web ?

 

INSCRIPTIONS DÉVELOPPEUR WORDPRESS


INSCRIPTION INTÉGRATEUR WEB

Intégrateur web développeur wordpress
Tableau comparatif

Devenez développeur en 5 étapes

 

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Devenez Développeur en 5 étapes

Le métier de développeur figure en tête des plus recherchés par les recruteurs, selon une analyse de l’Apec. Cette première place a d’ailleurs été renforcée par la crise sanitaire, qui a accéléré la transformation numérique de l’économie. De plus en plus, les entreprises comptent en effet sur l’expertise technique de profils spécialisés dans le code. Le défi désormais pour ces profils : acquérir les bonnes compétences. OpenClassrooms, acteur majeur de la formation en ligne, partage ses meilleurs conseils pour aider les futurs développeurs à se lancer. Alors, comment percer dans le développement informatique ?

 

Si les envies de reconversion se multiplient, le développement web attire de plus en plus. Passionnés de nouvelles technologies, candidats à l‘aventure freelance : les talents sont nombreux. Et ça tombe bien : ce métier ne connaît pas la crise. Les entreprises ont besoin de développeurs, mais pas n’importe lesquels ! Une véritable tendance se dessine sur le marché du travail et certaines compétences Tech très précises deviennent bien plus prisées que d’autres. En s’appuyant sur de solides données marché ainsi que les retours d’expérience de développeurs experts, OpenClassrooms a identifié les plus recherchées actuellement. 

Et si vous pouviez acquérir ces compétences, même sans avoir codé avant, à votre rythme, et sans retourner sur les bancs de l’école, avec un diplôme à la clé ?

Découvrez, en cinq étapes-clés, la marche à suivre pour apprendre les codes de votre future carrière.

1. Identifier le métier de développeur correspondant à son profil 

Que vous soyez étudiant, en recherche d’emploi ou déjà en poste, vous êtes en plein questionnement autour de votre carrière. Vous ne savez pas coder, ou avez quelques connaissances en développement. Mais ce secteur vous plaît et vous sentez que vous pourriez vous épanouir dans un métier technique.

Alors vous êtes au bon endroit. Pour aider un maximum de personnes à obtenir un emploi d’avenir dans la création de sites web, OpenClassrooms propose de nouvelles formations accessibles quel que soit l’âge ou le parcours. Ces formations ont été lancées pour répondre à une véritable demande, comme l’explique Nicolas Patschkowski, Learning designer en charge de ce projet : « Le marché recherche des développeurs spécialisés, car les technologies de développement, langages et outils, sont de plus en plus diversifiés. Les entreprises ont besoin de développeurs performants, spécialisés dans un langage. » 

Quel métier sera le plus adapté à vos envies de carrière ?

Le Développeur WordPress est autonome, créatif, technique et aime la diversité de projets. Il est capable de créer facilement des sites sur-mesure de A à Z sur WordPress, le CMS sur lequel sont hébergés 42,9 % des sites web aujourd’hui. Mais il dispose également de solides compétences techniques pour rendre un site performant et le personnaliser au mieux selon les besoins des clients (blogs, sites e-commerce ou vitrines).

L’intégrateur web travaille également sur des projets variés, avec une forte expertise dans le code. C’est la partie la plus visible des sites web dont il est en charge : l’interface. Il maîtrise React : l’un des frameworks JavaScript les plus utilisés. Sa mission : intégrer les éléments visuels demandés par un client dans les pages d’un site web pour créer une interface harmonieuse, dynamique et facilement navigable.  

Vous y voyez plus clair désormais ! Mais alors comment passer du choix théorique d’un métier à son apprentissage concret ? Là est toute la force de la formation. Mais attention : pas n’importe laquelle. 

2. Choisir la bonne école pour se former 

De nombreuses formations existent dans le digital. Elles promettent toutes de vous apprendre vite et bien le métier de vos rêves. Comment s’y retrouver ? Il convient d’être très vigilant quant au sérieux de l’organisme choisi. Pourquoi OpenClassrooms serait l’école la plus adaptée à votre évolution de carrière ?

Historique. Parmi toutes les écoles existantes, OpenClassrooms occupe une place de choix dans la formation aux métiers du numérique depuis 2013 (et même dès 1999 avec le Site du Zéro !). Les chiffres sont évocateurs : nous avons déjà permis à des millions de personnes d’apprendre tous types de compétences techniques, dont 10 000 ayant suivi notre parcours “Développeur web”. Nos cours en ligne sont même utilisés dans plusieurs écoles d’informatique et d’ingénieurs, et plébiscités par de nombreux développeurs désireux de mettre à jour leurs acquis. 

Contenu. Comment être sûr de bénéficier d’un enseignement de qualité ? La correspondance entre le contenu des formations OpenClassrooms et les compétences recherchées par les entreprises, est primordiale. Nous analysons en permanence l’évolution des métiers et mettons ainsi à jour un quart de l’ensemble de notre catalogue chaque année. 

Reconnaissance. C’est grâce à cette expertise que la plupart de nos formations permettent désormais d’obtenir des diplômes de niveau reconnu par l’État : un gage de confiance supplémentaire. Et pour poursuivre notre mission de rendre l’éducation accessible à tous, nos formations sont éligibles à plusieurs types de financement, selon le statut de chacun. 

Notre promesse : vous transmettre les connaissances les plus précises et actuelles possibles.

3. Se spécialiser dans un des métiers du développement informatique 

En tant que futur développeur, votre expertise fera toute la différence. Pour garantir un haut niveau technique dans ses deux nouvelles formations, OpenClassrooms a fait le choix de produire l’intégralité de ses contenus en interne, en s’entourant de profils dûment sélectionnés.

« Pour élaborer ces deux parcours, nous nous sommes appuyés sur des outils très puissants, permettant d’analyser de nombreuses données marché relatives à la recherche d’emploi, en vue de développer des référentiels de compétences. Nos ingénieurs pédagogiques travaillent également en continu avec des experts métiers, interrogés sur leur quotidien, pour identifier les méthodes, outils & acquis indispensables à leur métier. » Nicolas Patschkowski, Learning designer.

Ainsi, en 9 mois, les compétences que vous maîtriserez en tant que Développeur WordPress et Intégrateur Web sont :

Développeur WordPress :

  • Créer des sites personnalisés de manière efficace dans le cadre de développement d’activité ou de lancement de nouvelles offres de l’entreprise ou d’un client
  • Personnaliser des thèmes et des plugins WordPress afin de développer des sites aux fonctionnalités avancées et à l’interface sur-mesure.
  • Maîtriser les technologies et les langages techniques les plus demandés : WordPress, PHP, HTML, CSS, Git & Github, JavaScript, Elementor, Gutenberg, ainsi que des notions de jQuery et de Responsive design.

Intégrateur web :

  • Créer une application web complète et responsive pour permettre à l’entreprise ou au client de vendre ses produits et services en ligne, sur tous types d’appareils.
  • Dynamiser des pages web pour mieux mettre en valeur les produits / services d’une entreprise. 
  • Créer des interfaces communiquant avec le back-end du site pour créer des applications dynamiques et permettre aux clients de s’identifier sur le site.
  • Maîtriser les technologies et les langages techniques les plus demandés : HTML, CSS, SASS, JavaScript, React & Redux, les appels API, et quelques notions de Visual Studio Code, le responsive design, Figma, Git & GitHub.

Chacun de ces deux parcours permet également de maîtriser la gestion de projet web, les outils de veille technologique, et les bases du SEO.

Mais rentrons dans le vif du sujet : comment notre école va-t-elle vous former, vous, à votre futur métier ?

4. Apprendre son futur métier de manière (vraiment) efficace 

Se former demande un véritable engagement. Pourtant, même si l’envie de faire évoluer sa carrière est là, la motivation peut manquer pour mener à bien ce projet de vie. Chez OpenClassrooms, nous avons étudié tous les mécanismes de l’apprentissage et élaboré une pédagogie innovante avec un seul objectif : faciliter et optimiser la formation, pour tous. Tout a été pensé pour que vous alliez au bout de nos parcours, et viviez une belle expérience personnelle et professionnelle. Se former ne ressemble alors en rien à ce que vous avez expérimenté à l’école auparavant. Les spécificités de nos formations sont :

  • Praticité. Tous les cours se déroulent en ligne pour garantir un maximum de flexibilité physique et temporelle. Vous apprenez à tout moment, de n’importe où, et adaptez donc votre formation à votre emploi du temps.
  • Alternance. Tous les parcours peuvent être effectués en alternance avec un format hybride (en ligne / en présentiel), et l’aide d’OpenClassrooms et de son réseau pour trouver son entreprise (contrat de professionnalisation ou d’apprentissage).
  • Mode projets : Savoir c’est bien, savoir-faire c’est mieux ! Comme l’explique Nicolas Patschkowski, Learning designer : « Tout ce qui est enseigné aux étudiants est fait dans le but d’acquérir les compétences-clés du métier : pas de théorie superflue, ni d’initiation. Notre pédagogie est active et repose sur la réalisation de projets issus de scénarios professionnels. Chaque apprenant vit une expérience immersive dans son futur métier ! ». Apprendre par la pratique renforce la vitesse de mémorisation et les capacités professionnelles.`« Tout ce qui est enseigné aux étudiants est fait dans le but d’acquérir les compétences-clés du métier : pas de théorie superflue, ni d’initiation. Notre pédagogie est active et repose sur la réalisation de projets issus de scénarios professionnels. Chaque apprenant vit une expérience immersive dans son futur métier ! » Nicolas Patschkowski, Learning designer. 
  • Soft skills. Interactions professionnelles, présentation synthétique d’une solution à un client : ces compétences sont indispensables pour être un bon développeur. Plusieurs jeux de rôle sont organisés au fil du parcours, pour vous permettre d’incarner au mieux votre future posture de développeur. 
  • Suivi individuel. Tous les étudiants sont accompagnés par un mentor, expert du métier choisi, tout au long de leur formation. Des sessions individuelles d’échanges sont organisées chaque semaine en parallèle des cours en ligne : de quoi rester motivé,, dépasser les blocages, ancrer les nouvelles connaissances et permettre une véritable passation d’expérience.
  • Soutien. Les professeurs et conseillers pédagogiques OpenClassrooms sont dédiés à votre réussite et disponibles si besoin, tout comme la communauté d’étudiants sur Facebook Workplace.
  • Ressources. Des cours optionnels vous sont accessibles pour aller plus loin.

Alors, oui, certains diront que se former en ligne demande beaucoup d’autonomie. Mais Nicolas Patschkowski, Learning designer, précise : « C’est un challenge utile pour tous les futurs développeurs, car ce métier nécessite d’être autonome avec les outils digitaux, d’être capable de se former sur internet, trouver ses réponses par soi-même, demander à d’autres professionnels. »

5. Être épanoui dans le développement informatique

S’il y a bien un  métier qui ne connaît pas la crise : c’est celui de développeur ! Mais quel environnement de travail vous attire le plus ? Les développeurs WordPress sont très recherchés en agences web et sont nombreux aussi à se lancer en freelance. Les intégrateurs web se retrouvent beaucoup dans les start-ups et entreprises Tech, mais aussi en ESN.

De débutant à développeur, il n’y a qu’un pas. Alors, une fois votre formation diplômante dans le développement web terminée : que se passe-t-il ? OpenClassrooms met tout en œuvre pour favoriser votre employabilité. « Nos formations sont professionnalisantes. Elles ont pour but de rendre tous les apprenants employables en tant que développeurs junior ! », explique Nicolas Patschkowski.

« Nos formations sont professionnalisantes. Elles ont pour but de rendre tous les apprenants employables en tant que développeurs junior ! »
Nicolas Patschkowski, Learning designer.

Tout au long du parcours, vous avez réalisé une succession de projets concrets, avec l’aide de votre mentor, et les avez présentés à des experts métiers dans le cadre de sessions d’évaluation. Ces projets sont désormais rassemblés au sein d’un portfolio : véritable vitrine de vos capacités techniques ! Après avoir validé toutes les étapes requises, vous obtenez votre diplôme : une certification RNCP de niveau 5 (équivalent bac +2) reconnue par l’État. Vous avez désormais toutes les cartes en main pour commencer votre nouvelle vie professionnelle et être épanoui dans un travail qui vous plaît.

OpenClassrooms propose, à la fin de la formation, un parcours de coaching à l’emploi pour tous les étudiants qui le désirent. Des coachs spécialisés en insertion professionnelle peuvent alors les aider à préparer leurs CV, leurs lettres de motivation et leurs entretiens, en vue d’optimiser leur recherche d’emploi. De quoi mettre toutes les chances de votre côté !

Alors, pourquoi pas vous ?

Faites un bond dans votre carrière grâce au développement informatique et avec OpenClassrooms !

Postulez pour vous former à votre futur métier :

Découvrez également ici tous nos parcours de formations diplômants dans le développement informatique.

 

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Développement web : se former dès maintenant à un métier d’avenir

 

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« Une de mes étudiantes a créé son agence de comm », Julien, mentor

Par : Nora Leon

Consultant senior et expert en stratégie de communication, Julien Hervy accompagne également les étudiants des parcours OpenClassrooms en marketing et communication et community management en tant que mentor. Portait.

Comment et pourquoi êtes-vous devenu mentor ? 

Ma spécialité, c’est l’expérience client. J’ai été diplômé en 2014, puis j’ai travaillé dans une grande entreprise. Ensuite, j’ai été dans une start-up spécialisée dans les avis clients où je suis devenu directeur marketing.

J’ai aussi contribué à pas mal de médias, et un jour j’ai voulu devenir indépendant. 

Je suis devenu mentor chez OpenClassrooms après avoir écouté le podcast Nouvelle école avec Mathieu Nebra. J’ai toujours aspiré à enseigner et ce rôle m’a permis de le faire, d’une certaine façon.

OpenClassrooms m’a également apporté un revenu stable dans le cadre du lancement de mon activité de freelance, ce qui a été très précieux. Les équipes m’ont fait confiance au fur et à mesure en me donnant progressivement de plus en plus d’étudiants. Je suis parti à Vancouver, aux États-Unis, au Canada, au Japon, en Allemagne et j’ai mentoré depuis l’étranger.  

Que vous a apporté le mentorat ?

Le mentorat, cela renforce le leadership ! Et c’est très gratifiant de voir tes étudiants évoluer.

L’accompagnement est complexe, nous tissons des liens parfois assez forts avec les étudiants mais il faut garder la posture de mentor. Une forme de leadership dont ils peuvent s’inspirer pour leur future activité. C’est sensible car il faut à la fois être un atout pour l’étudiant mais ne pas passer la ligne. Il y a une partie soft skills qui est ultra importante.

Je ne suis pas là pour faire le projet à leur place mais pour leur apporter de bons conseils, c’est passionnant de m’entraîner à leur expliquer tout cela.

Quelle relation avez-vous avec vos étudiants, justement ?

J’aime beaucoup la session de découverte, où on apprend à faire connaissance. Je leur demande s’ils aiment lire et écrire : c’est très important dans la communication d’aujourd’hui. C’est un peu la revanche des littéraires (rires !). D’ailleurs, j’ai même participé à un concours de nouvelles avec une étudiante !

Honnêtement, mes étudiants sont très impressionnants. Je mentore sur les parcours Expert en stratégies marketing et communication et Responsable Marketing Opérationnel et Marketing. Les profils sont assez experts, justement. 

Je retrouve le fait de faire des retours constructifs, qui me plaît particulièrement, dans mon expérience en tant que mentor.  Tout au long de la relation, il faut aussi lutter contre le syndrome de l’imposteur des étudiants, insuffler la motivation et l’envie de terminer le parcours. Une fois qu’ils ont réussi, c’est également formidable de rencontrer les étudiants en vrai.

Enfin, les relations vont au-delà des échanges de bonnes pratiques sur le métier et les soft-kills. On s’échange aussi des conseils de lecture : c’est très riche. C’est l’occasion de faire ressortir ce que l’étudiant a de particulier, et comment on peut l’utiliser pour sa carrière.

L’aboutissement de la formation et de notre accompagnement, c’est qu’ils trouvent un métier qui leur plaise. 

Outre les compétences techniques, que transmettez-vous aux étudiants ?

Je cherche à les rassurer, à leur montrer qu’ils comprennent le sujet. Je les aide à monter en compétences, à trouver les bonnes informations. Il faut aussi les rassurer sur leur choix de formation : le métier est passionnant !

J’aime aussi les amener à mettre en avant leur plus-value, quelle qu’elle soit : visuelle, éditoriale ou même, de réflexion sur la société. Cette dernière est très différente d’un étudiant à un autre, sur un même parcours.   

Qu’est-ce que vous trouvez particulièrement grisant dans ce rôle ?

Il y a un côté inspirant dans le fait d’être mentor. Suite à la formation, on est appelé pour recueillir quelques conseils. C’est une relation toute particulière, qui nourrit aussi mon activité de consultant en stratégie.

Mes étudiants ne sont ni des collègues, ni des amis. Je leur mets la pression, je suis très exigeant, peut-être un peu dur, mais aussi bienveillant. Je fais aussi un peu de maïeutique : je leur dis « tu peux avoir confiance en toi ». Le plus grisant, au final, c’est lorsque mes étudiants trouvent des débouchés qui correspondent à leurs projets, valeurs et personnalités. Cela rend immensément fier !

Racontez-nous une histoire d’étudiant dont vous êtes fier, justement.

J’ai tellement de belles histoires en tête… Une de mes étudiantes a lancé sa propre agence de communication juste après son parcours, qui a d’ailleurs créé la charte graphique (cf. logo, etc.) de sa ville. Une autre étudiante est passée CXO chez la Redoute pendant sa formation. 

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Si vous rejoignez l’une des formations en ligne en marketing, vous pourrez être accompagné par Julien.

Comme lui, vous aimeriez devenir mentor OpenClassrooms dans votre expertise métier ? Rejoignez cette aventure humaine pour compléter vos revenus en nous soumettant votre CV.

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« En alternance, je suis responsabilisée », Victoire, communicante

Par : Nora Leon

Victoire se forme en alternance sur le parcours expert en stratégies marketing chez OpenClassrooms. Portrait.

Que faisais-tu avant OpenClassrooms ?

Après le Bac, j’ai fait une licence en sciences du langage & sciences sociales. C’était à Descartes mais cela ne me convenait pas vraiment,  j’étais entourée dans la promo par des gens qui voulaient devenir professeurs, pas forcément ma vocation même si c’est un beau métier.

J’ai eu ma licence, et je suis rentrée en école de communication.
Dans ma classe, plein de gens n’ont pas trouvé d’alternance et ont dû enchaîner deux stages. On ne te prend pas forcément, car même pour être alternant ou stagiaire on te demande de l’expérience. 

Comment as-tu choisi OpenClassrooms ?

J’en avais déjà pas mal entendu parler. En pleine période Covid, j’ai fait l’entretien chez OpenClassrooms, j’ai trouvé que le poste de cheffe de projet digital était intéressant, j’aime bien faire ça. J’ai été prise et ça s’est enchaîné.

Le descriptif du poste me plaisait, il y avait des missions que je ne connaissais pas encore, et des missions d’engagement d’étudiants. Je suis curieuse, j’aime bien découvrir des nouveaux milieux pour voir ce que j’aime ou pas. Venant du luxe, l’éducation, c’était le grand écart.

Ce que je retrouve entre OpenClassrooms et mon ancienne expérience, c’est le côté porté par leur histoire, et ça m’a séduite dès les entretiens, le fait qu’on ait une histoire à raconter. C’est cool de se dire que le Site du Zéro a fait ce chemin en  20 ans, ou qu’une petite petite dame a un jour ouvert une petite boutique qui a laissé place à une marque emblématique française une centaine d’année plus tard.  il y a plus de 100 ans. J’adore ce côté historique, il donne envie de parler de son travail !

Chez OpenClassrooms, je suis encore plus indépendante que dans mes précédentes expériences. J’avais déjà pas mal de responsabilités, mais là, je me sens plus en « CDI ». Je ne sais pas si c’est le fait que je sois en 2ème année de master, ou si j’ai accumulé assez de compétences, mais je suis garante de A à Z d’un projet. On m’a fait complètement confiance dès le départ, j’ai trouvé cela gratifiant. 

Qu’est-ce que tu aimes dans ta formation ?

Je suis en formation experte marketing. On a beaucoup de créa au final, en parallèle de la stratégie. En agence, il y a des personnes pour gérer cela. Mais là on doit penser au projet de manière 360°. Cela me met vraiment dans la peau de plusieurs personnes d’un projet de communication, et c’est très professionnalisant.

Et le mentorat ?


Ça se passe super bien avec mon mentor. Il est très sympa. Il a une expérience de fou. Il a réponse à toutes mes questions, il sait me rassurer. Il me met la pression comme il faut, sans que je me sente mal, sans m’engueuler. Il est compréhensif et il m’encourage. C’est vraiment un soutien. Après ma formation, il gardera cette place de mentor. Il m’accompagne dans la fin de mes études. 

Que préfères-tu chez OpenClassrooms ?

La force des formations OpenClassrooms, c’est l’autonomie. Cela pourrait aussi être un défaut pour certaines personnes qui aiment être plus accompagnées. Mais moi à qui ce format convient très bien, je vois cela comme quelque chose qui te prépare vraiment au monde du travail ! Tu es seule devant ton projet, OK, tu as ton mentor pour t’aider, mais tu le fais quand même toi. Il faut savoir se documenter, aussi bien en interne qu’en externe dans la vie professionnelle, et les parcours préparent énormément à cela ! 

Et dans le marketing et la communication ?

Ce qui m’intéresse dans le marketing et la comm, c’est qu’on doit convaincre. Pour le faire, il faut se mettre à leur place. On a des étapes d’introspection, il faut être empathique… Et dans la gestion de projet, c’est la polyvalence. Tu te retrouves à faire une tâche digitale, puis un message de comm, envoyer une campagne mailing, animer des réseaux sociaux. C’est d’avoir tellement de tâches différentes dans un même métier que je trouve intéressant.

Comment organises-tu ton rythme en alternance ?

Pour l’alternance, j’essaie de bosser régulièrement, un peu tous les jours mais je ne peux pas forcément le faire. Je consacre en tout cas toutes mes journées de formation au parcours OpenClassrooms, et quand j’ai du temps libre je ne l’utilise pas que pour voir mes copines. Je prépare bien ma session de mentorat, car je n’ai pas envie que mon mentor perdre son temps.

Le conseil pour ceux qui galèrent à trouver son alternance ?

Pour trouver son alternance, il ne faut pas se décourager. C’est un peu bête, mais si on ne te prend pas, ce n’est pas forcément de ta faute. Il y a tellement de personnes, de profils sur le marché du travail… Parfois, j’arrivais au dernier stade du recrutement, et ça se jouait à rien du tout. J’ai fait  tellement d’entretiens , et tel produit ou parce que je ne connaissais pas tel logiciel. Cela veut pas dire que je n’étais pas le bon profil, que je n’avais pas les compétences…  Je pense qu’à ce stade, plein de gens se démotivent. Mais il faut tenir le coup et garder espoir !

Quelle est la suite pour toi ? 

À court terme, j’aimerais terminer ma formation, et continuer chez OpenClassrooms. Cette boîte m’apporte énormément et pourrait m’apporter encore plus. à moyen terme, j’aimerais me lancer dans l’événementiel, des événements à thèmes, avec des artistes. J’aimerais le faire en Afrique de l’ouest, Côte d’Ivoire, Sénégal, Mali, Cameroun… Je pense qu’il y a une grosse communauté d’artistes qui vaut le coup. Et quelque chose à jouer dans tout ce qui est diaspora… Moi en tant qu’Ivoirienne en France, je connais peu la Côte d’Ivoire. Ce serait beau de créer des événements récurrents pour découvrir les différents pays. En France, cela pourrait être une réunion de plein d’artistes qui viennent… Un festival culturel ou quelque chose comme ça !

 

Podcast Joboscope épisode #16 : Expert en stratégie marketing

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« Le métier de CM, une superbe découverte », Raphaëlle, diplômée

Par : Nora Leon

Raphaëlle Fasquelle, passionnée d’art, s’est cherchée après une licence de généalogie. Suite à un bilan de compétences, elle a trouvé sa voie, CM. Et qui sait, peut-être deviendra-t-elle Community Manager d’un musée ou d’une fondation artistique ? Portrait.

Que faisais-tu avant OpenClassrooms ? Tu as un diplôme de généalogie, n’est-ce pas ?

Après mon Bac (en 2010) j’ai eu une licence en Histoire de l’art et un BTS notariat avec le CNED. Puis j’ai fait une formation de généalogie à distance. 

Donc je suis une habituée des formations à distance. M’inscrire à OpenClassrooms était dans la continuité, car je sais travailler seule. Je suis passionnée d’histoire. J’avais choisi un métier dont on entend pas parler, généalogiste. Cela n’a pas fonctionné, mais tant mieux pour moi car aujourd’hui j’exerce un métier qui est plus ouvert et qui recrute plus. 

Généalogiste, on en entend beaucoup parler à la télé, on appelle ça des ‘chasseurs d’héritiers’. Tu peux soit rechercher les ancêtres d’une personne ou chercher les héritiers dans le monde entier, et tu peux apporter une nouvelle très bonne à quelqu’un qui n’avait pas connaissance d’une famille.

Mais c’est rare que les personnes aient une vocation, cherchent activement à devenir généalogistes. Cela va être d’anciens juristes, notaires, historiens. Il n’y a aucun diplôme d’État pour cela. C’est un métier de personnes qui ont déjà pas mal d’années d’expérience : on m’a reproché d’être trop jeune.

Personne ne comprenait ma passion pour les archives… Fouiller dans les vieux documents n’intéresse pas tout le monde. 

Bref, je n’ai pas trouvé d’emploi. À partir du moment où je me suis dit que je n’allais pas réussir, ça a été assez dur d’être face à un mur. Je me suis laissée le temps de réfléchir, de trouver ce qui pouvait correspondre à ma personnalité. Ma vie ne peut pas s’arrêter à mon travail ! Je fais du piano, beaucoup de sport. Je voulais avoir le temps nécessaire pour consacrer du temps à ça.

J’ai une personnalité plutôt créative, avenante, et je voulais un métier qui me permettait de temps en temps d’avoir accès à un milieu sportif, artistique. Je ne savais pas trop où me diriger.

Comment as-tu fait pour trouver ta voie ?

Le temps de trouver, j’ai travaillé dan une galerie d’art, dans l’habillement pour bébé, j’ai été auto-entrepreneure en immobilier… Au bout d’un moment, j’étais perdue. J’ai rencontré une coach en développement personnel. À ses côtés, j’ai compris ce dont j’avais besoin et que le métier de CM était tout à fait moi.

On a conclu que ça me correspondait bien car une facette de ma personnalité c’est que je suis assez dynamique. Je n’aime pas trop faire traîner les choses. Il y a pas mal de choses dans mon comportement, ma personnalité, comme le fait que je sois autonome, indépendante, j’adore rencontrer des gens, j’aime pas rester sur un seul projet, qui collait.

Ma coach m’a fait rencontrer le CM avec lequel elle travaillait. Finalement, ça allait de soi.

C’était une évidence car je me suis dit : « si je trouve une marque qui me correspond, je saurai véhiculer les bonnes valeurs, faire ressortir le cœur de l’entreprise ».

C’était aussi, parce que vivant à Nantes, les postes y en a beaucoup. Pas comme généalogiste. 

Comment as-tu connu OpenClassrooms ?

 

J’ai choisi OpenClassrooms parce que mon conjoint a suivi la formation « développeur Web » et a trouvé du travail avant d’avoir fini sa formation. Je le voyais avec son mentor, à fond dans ses projets. Il m’a dit « rappelle-toi, j’ai fait cette formation », regarde pour toi. J’ai jeté un coup d’œil et la formation CM convenait.

L’avantage, c’est qu’on peut s’inscrire à n’importe quel moment de l’année. Je me suis inscrite en avril 2020, à savoir que j’ai mis 2 mois à décider quelle école prendre, ce qui est très court.

En plus, c’était en plein confinement. Je voyais plein de personnes qui étaient perdues, et je ne voulais pas attendre que les choses arrivent, je voulais être actrice de mon orientation et aller de l’avant.

Je n’avais pas le niveau pour la formation CM, j’ai dû faire une vidéo de motivation, j’ai dû demander des lettres de référence. 

Comment s’est passée la formation ? Le mentor ? Les soutenances ? Comment jonglais-tu ?

J’ai l’une de mes dernières soutenances vendredi. 

J’arrive à la fin, je pense que d’ici un mois et demi, c’est fini !

La semaine dernière, je disais à mon mentor que j’étais triste… C’est le problème des gens qui aiment apprendre. C’est la fin, tu as hâte, mais dans cet environnement, tu apprends, tu évolues…

Se voir évoluer, grandir, c’est super ! 

Le fait de savoir qu’après je vais être sur le marché du travail, ça fait un peu peur. Mais c’est l’avantage, car le côté théorique est là, mais ce n’est pas le plus important. Être au cœur du boulot de ton futur métier t’oblige à te dépasser. 

Malgré toutes les formations que j’avais faites, j’ai moins peu moins peur grâce à celle-ci d’aller sur le marché du travail. Après un BTS ou une licence, t’as un stage de deux mois si t’as de la chance… Là j’ai déjà pratiqué, je sais ce qu’on attend de moi, ce qu’on va me demander, et même si c’est pas évident de s’imaginer devant un vrai patron, j’ai quand même moins peur.

Et le coaching, c’est nickel. J’ai trop hâte ! C’est le truc qui me manque parce que ce n’est pas évident de passer des entretiens.

Avec mon mentor, ça s’est super bien passé. J’ai fait une pause dans la formation pour travailler l’été, et le mentor est top. Ce n’est pas une relation de mentor à élève, c’est plutôt de collègue à collègue. Plus expérimenté, qui apporte des réponses à un collègue moins expérimenté.

C‘est une relation très solide, qui ne met pas trop la pression. Il est détente, il y a aussi ce côté motivant, on a envie de faire plaisir à son mentor, on a envie de travailler. Et d’avoir son expérience, c’est énorme ! Car avoir son expérience de spécialiste, c’est incroyable car il me fait comprendre, il me dit que j’ai ma place dans ce milieu. Il me fait des retours constructifs, quand je fais quelque chose de bien, de mal et il n’y a pas de faux semblants. Ce n’est pas formel, on parle pas que boulot ! 

Que t’apporte le mentorat ? 

J’ai beaucoup plus confiance en moi, en mes capacités à apprendre et à apprendre vite.

Ça m’a aussi appris à être autonome. 

Et j’ai aussi appris à mieux m’exprimer à l’oral car on fait quand même pas mal de soutenances avec des mentors évaluateurs. Le fait de jouer ce rôle de CM, cette mise en situation, ça m’a permis d’apprendre à communiquer de manière plus professionnelle. Et aussi à être beaucoup moins stressée parce que c’est pas la même chose d’être derrière un écran, rencontrer une personne différente. Ça m’a permis de dédramatiser les présentations professionnelles.

Mon mentor me dit souvent qu’il faut apprendre à être convaincante. CM, on entend souvent que c’est juste « publier sur les réseaux sociaux ». En fait, il faut convaincre quand on présente ton projet. Et rebondir sur des questions déstabilisantes des personnes qui  ne pensent pas que c’est un enjeu important. 

Ce que tu préfères chez OpenClassrooms ? 

L’autonomie. La possibilité de travailler à mon rythme. C’est indispensable à ma façon de vivre. Et la deuxième chose, le mentorat.

Et la suite ?

Je suis déjà en recherche d’emploi ! Normalement, fin août-début septembre j’espère avoir du travail dans l’ouest de la France. Je préférerais travailler en agence, mais si une petite entreprise me plaît, je n’hésiterai pas à postuler, un petit CDI ce serait pas mal ! Tout ce qui est musées, j’aimerais beaucoup. Mais j’aimerais m’exercer en agence pour bien me faire la main, quitte à attendre un peu pour aller dans le milieu de l’art. 

L’article « Le métier de CM, une superbe découverte », Raphaëlle, diplômée est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.

 « Chaque étudiant a ses forces et ses faiblesses », Jérémy, mentor 

Développeur FullStack chez Advize Groupe, Jérémy transmet sa passion du code en étant mentor sur OpenClassrooms. Il a découvert cette opportunité à travers Mobiskill, notre partenaire expert du recrutement sur les postes Tech.

Comment et pourquoi êtes-vous devenu mentor pour OpenClassrooms ?

J’ai toujours aimé enseigner, transmettre mes connaissances, et aider les autres.

Dès le début de mes études supérieures, j’ai commencé à donner des cours bénévolement à mes camarades en nous regroupant toutes les semaines dans une salle prêtée par l’établissement.

Cela me plaisait tellement que les cours particuliers sont devenus un emploi étudiant grâce à un statut d’auto-entrepreneur, pour venir en aide à des étudiants de niveau collège et lycée dans les matières scientifiques.

Alors que je cherchais un nouvel emploi dans le développement Web, on m’a proposé de devenir mentor chez OpenClassrooms. Une occasion de combiner amour des cours et du partage et passion du développement.

En quoi le mentorat consiste-t’il et qu’est-ce qu’il vous apporte ?

J’ai actuellement trois étudiants avec qui nous réalisons une heure de mentorat individuel chaque semaine.

Chaque étudiant est différent : il a sa façon de penser, ses points forts, ses faiblesses et ses expériences passées. C’est d’autant plus riche lorsqu’il s’agit d’une reconversion professionnelle. Cette composante humaine et cette diversité de profils  rendent chaque séance différente par rapport aux précédentes.

Cela m’apporte à la fois des aspects passionnants au niveau professionnels, mais surtout de nouvelles connaissances.

Et bien sûr, en tant que mentor, on se nourrit des échanges avec nos étudiants. 

Quelle est votre activité professionnelle en dehors du mentorat ?

Je suis développeur Web FullStack. J’ai 5 ans d’expérience professionnelle, sans compter les nombreuses d’années d’entraînement qui les ont précédées.

Le développement est un secteur de passion, c’est rare qu’on commence seulement après ses études. Souvent, on a déjà pas mal codé et mené des projets pendant ses études.

Qu’est-ce qui vous plaît dans ces métiers ?

Le développement est une aventure.

Chaque jour, les demandes, les problèmes, les idées et les façons de faire sont différents. En effet, chaque client va avoir des demandes qui lui sont propres. Les bugs remontés ne sont jamais les mêmes. Et le domaine progresse très rapidement, ce qui oblige à se mettre à jour, mais permet de découvrir de nouvelles façons de faire.

Y a-t-il des sujets sur lesquels vous aussi vous aimeriez vous former ?

La gestion de projet. J’adore m’organiser, le contact humain et aider les autres de manière pratique ou en leur partageant mes connaissances. Les métiers de la Tech sont poreux. On peut passer d’une spécialité à une autre de manière assez agile… Alors, pourquoi pas devenir chef de projet plus tard ? Affaire à suivre !

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L’apprentissage du développement vous intéresse ? Rendez-vous sur les formations diplômantes en développement informatique pour choisir votre domaine de prédilection et vous faire accompagner par un mentor.

Si comme Jérémy, vous aimez transmettre vos connaissances, devenez mentor !

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Podcast Joboscope épisode #18 : Développeur Front-End

« L’un des aspects qui m’a donné envie de devenir développeuse, c’est que c’est un monde infini de connaissances, il y a toujours des nouvelles choses à découvrir ».  Valentine Langer 

Pilier fondamental de la conception d’applications et de produits digitaux, le métier de développeur Front-End reste encore mystérieux pour beaucoup. Pire, nombreux sont ceux qui font l’amalgame avec le métier de développeur / développeuse Back End, son antonyme. Pourtant, le métier de développeur / développeuse Front End est unique en son genre, et propose à ses pratiquants une riche palette d’expériences… Et si vous en appreniez plus sur cette fonction très demandée ? Et sur ce métier que vous pouvez apprendre au sein de l’école en ligne OpenClassrooms…

On passe ⅓ de notre vie au travail. Autant exercer un job qu’on aime ! OpenClassrooms veut vous aider à trouver un métier qui vous donne envie de vous lever le matin. En écoutant le podcast le Joboscope, vous vous ferez une idée du quotidien d’un Développeur Font-End :

  • À quoi ressemble chaque journée quand on est dans le développement Front-End
  • Les technologies utilisées dans l’univers du développement Front
  • La nature des missions abordées au quotidien et les compétences à développer pour s’épanouir dans ce métier
  • Les avantages et les inconvénients de ce rôle créatif et technique à la fois
  • Les perspectives d’évolution de carrière et les salaires moyens dans l’univers du développement — à son compte ou sous contrat !

J’écoute l’épisode sur Apple Podcasts

Dans l’édition Développeur / développeuse Front-End, trois professionnels discutent de leur métier avec Marion Armengod, journaliste et modératrice. À la date d’enregistrement, Julie Berteaux est développeuse Front freelance,  Valentine Langer occupe ce rôle chez Lifen, tandis que Benjamin Mornat travaille chez Webnet. Si leurs postes ont peut-être évolué lors de votre écoute, leurs témoignages n’en restent pas moins actuels !

En écoutant l’épisode, vous découvrirez les coulisses de l’univers du développement Front-End, et ce qui le rend si attractif aux yeux de nos trois invités… À savoir, la richesse des expériences à portée de main, et la diversité des connaissances engrangées !

« Le plus important, c’est vraiment d’être à l’écoute, d’avoir toujours envie d’évoluer. Parce que stagner n’est pas une option : la technologie avance tellement vite, qu’elle avance plus vite que nous. Il faut toujours être à la page, toujours avoir envie d’apprendre de nouvelles choses » . Benjamin

Vous apprendrez aussi à faire la différence entre les métiers souvent confondus du développement Front-End et du développement Back-End, deux pratiques très complémentaires, mais également très différentes. 

«Le développeur Front est plus proche des utilisateurs, il va aborder les choses en frontal puisqu’il va voir les problèmes qui sont remontés directement. Mais il va aussi devoir travailler avec le Back-End pour avoir le bon modèle de données, ou pour avoir la bonne information au bon moment » . Valentine                                       

Vous découvrirez également quelles sont les synergies entre ces deux métiers. 

Envie d’en savoir plus ? 

J’écoute l’épisode sur Spotify

Vous plongerez en écoutant cet épisode dans le quotidien de nos intervenants, qui vous partageront sans langue de bois les aspects positifs de leur métier, tout comme ses inconvénients !

« Je pense que pour n’importe quel métier technique comme le nôtre, il faut vraiment être très persévérant si l’on choisit cette voie, puisque cela implique de beaucoup se former, beaucoup lire, de toujours continuer à accepter d’apprendre ». Valentine

Nous vous dévoilerons aussi les évolutions de carrière envisageables, ainsi que les évolutions de salaire sur ce métier très demandé.

Vous entendrez les confidences des trois professionnels sur leur métier et leur manière de l’exercer. C’est sans tabous, promis !

« Quand on est confronté à des frameworks de code qui ne marchent pas, que l’on butte dessus et que l’on ne trouve pas la solution, ça peut très, très vite devenir frustrant ! ». Benjamin

« La grande différence avec le Back-End, c’est qu’en Front-End, il faut quand même avoir une sensibilité assez visuelle. Il faut être doté d’un certain sens de l’esthétique pour mettre en œuvre une page, synchroniser des éléments entre eux… ». Julie 

« Vous êtes proche de l’expérience utilisateur, c’est vraiment très agréable de comprendre et de voir ce que vous faites avoir un impact au quotidien ». Valentine

« En premier lieu, ce qu’il faut savoir, c’est que le partage, c’est le plus important. Notre métier, on ne peut pas réussir tout seul ». Benjamin

 « C’est un monde dans lequel il y a beaucoup de choses qui encouragent le travail en équipe, de manière humble, avec une communauté qui fait preuve de beaucoup d’honnêteté intellectuelle ». Valentine

 « Un autre aspect très important, de ce métier, et d’autres métiers de la tech, c’est l’indépendance. Une fois qu’on a son ordinateur et un bon wifi, on peut travailler d’où on veut ». Julie 

Liens utiles :

Le Joboscope Développeur / développeuse Front-End sur Ausha
Le Joboscope Développeur / développeuse Front-End sur Apple Podcasts
Le Joboscope Développeur / développeuse Front-End sur Spotify
Le Joboscope Développeur / développeuse Front-End sur Deezer 

Envie de découvrir d’autres aspects du métier de développeur / développeuse ?

Allez découvrir les épisodes dédiés aux autres rôles du développement :

Développeur / développeuse Web

Développeur / développeuse Back-End

Développeur / développeuse iOS

Développeur / développeuse Android

Envie d’apprendre ce métier chez OpenClassrooms ?

OpenClassrooms est une école en ligne qui propose des formations en ligne certifiantes ou diplômantes pour apprendre les métiers du numérique.

Notre formation « Développeur d’application – JavaScript React », d’une durée de 12 mois (à partir de 18 mois en alternance), débouche sur un niveau bac +3/4 au RNCP (Répertoire National des Certifications Professionnelles).

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Ousmane, alternant développeur Web sur Prép’Apprentissage

Dans un monde où tout change très vite et où les besoins en termes de métiers évoluent à toute vitesse, Ousmane Yattara a fait le pari de développer ses compétences numériques. Il s’est positionné sur le développement Web, secteur en forte demande, et suit actuellement une formation en alternance chez OpenClassrooms pour devenir développeur, suite au programme financé Prép’Apprentissage. Retour sur un virage numérique réussi ! 

Bonjour Ousmane, pourquoi as-tu choisi le développement Web sur Prép’Apprentissage ?

Après un bac pro en gestion-administration, j’ai eu une expérience de management en rayon chez Monoprix. 

Très rapidement, je me suis rendu compte qu’aujourd’hui tout est numérisé, d’où la nécessité d’apprendre à s’adapter.

J’ai déjà de belles cordes à mon arc : je parle anglais couramment, je maîtrise plutôt bien les outils informatiques, mais je trouvais qu’il manquait le petit plus qui rendrait mon profil plus attractif.

Et à mon sens, ce petit plus, c’était de comprendre ce qui se passe derrière un ordinateur : autrement dit, de faire fleurir mes aptitudes en informatique.

C’est ce qui m’a poussé à suivre cette formation en développement Web proposée par OpenClassrooms. Aujourd’hui, je peux réaliser des choses passionnantes :  créer une page Internet, mettre en place des outils numériques et les utiliser sans problèmes… Je commence même à maîtriser des langages informatiques. Je suis ravi de ma progression.

Qu’est-ce que tu as pensé de ta formation OpenClassrooms ?

C’est vraiment merveilleux de nous accorder cette opportunité, qui n’est pas forcément évidente à décrocher ! OpenClassrooms m’a aidé à transformer mon projet en réalité.

As-tu bénéficié d’un accompagnement ?

On m’a proposé d’intégrer le programme Prép’Apprentissage, qui dure 4 mois et prépare à la recherche d’alternance. J’ai été suivi par plusieurs coachs tout au long de cette préparation.

Dans la première partie de ce programme, on explore 4 métiers très recherchés, dont celui de développeur Web. Pendant cette phase, ma première coach en orientation professionnelle m’a aidé à m’organiser et à trouver mon rythme, et surtout à confirmer que c’était le bon métier pour moi. 

Sur la deuxième partie de la formation, l’idée était de développer des bases sur le métier de développeur. J’ai eu un mentor qui a été extraordinaire, qui m’a accompagné jusqu’au bout. On a travaillé main dans la main pour réaliser les premiers projets de la formation développeur Web. Cela m’a aidé à progresser, c’était une super expérience. 

Enfin, sur la troisième partie, l’idée était pendant un mois de créer les bons outils pour décrocher une alternance : la lettre de motivation, le CV… J’ai été suivi par un autre coach aguerri, qui m’a poussé à me remettre en question et clarifier mes objectifs de carrière. Il m’a fait prendre conscience que même si j’avais déjà des savoir-faire, développés dans mes premières expériences professionnelles et des aptitudes administratives, je devais persévérer et développer de nouvelles compétences. Il m’a aidé à définir un plan d’action que j’ai réussi à accomplir avec lui. 

Aujourd’hui, grâce à OpenClassrooms, je me sens bien dans ma peau ! J’ai la sensation d’avoir fait les choses correctement et d’en avoir retiré beaucoup de valeur : je n’ai loupé aucune étape, j’ai suivi les cours de manière très investie, et le résultat est extraordinaire. Je cherche maintenant une entreprise pour terminer la formation développeur Web en alternance, et me lancer sur le marché de l’emploi.

À lire : l’histoire d’Alicia, aussi reconvertie sur Prép’Apprentissage

C’est un magnifique témoignage ! Et justement, demain, c’est ton alternance qui commence ?

Je suis encore en recherche. Le souci, c’est que les entreprises recherchent plutôt des compétences en PHP, JavaScript… Dans notre formation, malheureusement, nous n’avons pas encore entamé l’étape de ces langages.

Mais je profite du temps libre qu’il me reste avant l’alternance pour suivre les cours en PHP de Mathieu Nebra. Je n’en suis qu’à la moitié et je suis déjà capable d’analyser et comprendre ce qu’est le PHP. J’ai aussi appris à faire la différence entre les langages de programmation pour des sites dynamiques et ceux des sites statiques. 

J’ai la sensation d’avoir bien avancé. Je sais désormais parler de variables, des fonctions, c’est une merveille pour moi, tout ça. Et puis sur WordPress, je commence à créer des sites Internet tout seul : la difficulté et le défi ne me font plus peur.

Pourquoi souhaites-tu continuer en alternance ? 

Ousmane répond du tac au tac avec un petit sourire : « Elle va faire de moi quelqu’un de nouveau ! (rires). L’alternance, c’est le meilleur moyen aujourd’hui d’apprendre facilement et d’une manière adaptée tout ce que l’on veut. 

On a beau acquérir du savoir par l’écrit, la vidéo ou l’oral, la pratique reste toujours plus efficace. », explique le jeune homme.

Un dernier mot à partager avec nous ? Est-ce que tu recommanderais OpenClassrooms aux personnes qui souhaitent se former aux développement Web ? 

OpenClassrooms, c’est merveilleux ! Sincèrement, je trouve que l’approche et le suivi sont très humains. Personne ne m’a lâché, je n’avais jamais ressenti ça dans aucune formation auparavant. Je suis accompagné par mon coach, par le student success manager — c’est très précieux.

Toute l’équipe s’inquiète de savoir comment les choses se passent pour moi, je reçois souvent des textos me demandant comment j’évolue. Une fois la formation terminée, je pensais que le suivi s’arrêterait peut-être. Mais il n’en est rien ! J’échange toujours autant avec mes interlocuteurs, on m’envoie des offres d’emploi… L’aventure continue, et j’en suis très heureux.

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Le métier de développeur Web est en plein essor. Quel que soit le secteur dans lequel vous souhaitez évoluer, des compétences en développement peuvent être un bel atout à présenter à un recruteur. 

Vous aussi, vous vous intéressez au développement Web ? Rendez-vous sur la page parcours de la formation pour découvrir son contenu. Vous pouvez aussi suivre les cours dispensés sur le parcours gratuitement ; cela vous donnera un bon aperçu pour vous lancer sur cette formation professionnalisante. 

Vous voulez encore explorer les métiers possibles ? Vous avez maximum le niveau bac et au maximum 20 ans ? Rendez-vous sur la page du programme Prép’Apprentissage pour en savoir plus.

 

[Podcast] Trouver une alternance en temps de crise

[Podcast] S’intégrer en télétravail en alternance

[Podcast] Prép’Apprentissage : choisir un métier et trouver une alternance sans galérer

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« J’aime voir mes étudiants surmonter les difficultés », Ranga, mentor

Développeur d’applications chez Nokia, Ranga est aussi passionné par la formation et la transmission des connaissances. C’est cette envie de partager son expérience qui l’a poussé à devenir mentor chez OpenClassrooms, sur la formation en ligne Développeur d’applications python. Rencontre.

Pourquoi et comment êtes-vous devenu mentor OpenClassrooms ?

Grâce à un collègue qui est mentor depuis plus de 4 ans, et que je connais depuis longtemps ! Il m’a fait découvrir OpenClassrooms et j’ai sauté le pas. C’était un grand défi pour moi, dont je suis content aujourd’hui.

Qu’est-ce qui vous a donné envie de sauter le pas ?

Je donne des cours de soutien scolaire en mathématiques depuis l’époque de mes classes préparatoires. Comme j’avais un bon niveau en mathématiques, j’ai été en mesure d’aider pas mal d’étudiants. Le mentorat avec OpenClassrooms, c’est un moyen de maintenir une continuité avec tout ça. 

Je souhaite continuer dans la formation. Un jour peut-être, j’aimerais travailler exclusivement dans ce domaine. OpenClassrooms, c’est à la fois un beau défi et une porte pour aller dans cette direction.

Pourquoi cet attrait pour la formation ? 

Parce que j’aime être en contact avec des personnes et les aider. En parallèle des mathématiques, j’ai aussi donné des cours de musique. La formation, pour moi, c’est allier l’utile à l’agréable par la transmission de connaissances tout en faisant quelque chose qu’on aime. Il n’y a pas mieux ! 

Comme je suis aussi développeur logiciel, j’ai eu envie de transmettre mes connaissances dans ce domaine-ci également.

En quoi consiste le mentorat ?

Le mentorat consiste à suivre les étudiants tout au long de leur parcours, d’être leur allié, de les aiguiller.

Pour moi, c’est avant tout un échange qui va dans les deux sens. D’une part, j’apporte à l’étudiant des connaissances qui vont lui permettre de réaliser son parcours dans les meilleures conditions. D’autre part, le mentorat me permet de constamment monter en compétences, car les étudiants m’apprennent énormément. Je suis en effet dans l’IT (informatique) et ce secteur bouge sans arrêt !

J’apprécie aussi que l’on soit dans un cadre un peu moins “sérieux”. On est un peu plus proches avec les étudiants, une relation de confiance se met en place.

Qui sont vos étudiants, comment décririez-vous votre relation avec eux ?

Ce qui est génial, c’est la diversité des profils. Il y a des étudiants qui ont mon âge, certains sont plus jeunes, d’autres beaucoup plus vieux que moi. Je trouve ça chouette, parce que de mon côté, j’ai fini mes études il y a 6 ans et je comprends encore plutôt bien ce qu’attendent les étudiants, comment ils réfléchissent, les choses sur lesquelles ils bloquent, parce que j’ai eu les mêmes problèmes. 

Quoi qu’il en soit, j’essaie d’instaurer un climat de confiance dans ma relation avec les étudiants, pour les mettre à l’aise.

Quel est le lien entre votre métier et le mentorat ?

Quand je suis rentré chez Nokia, j’ai été développeur logiciel, et au bout de deux ans environ, mon manager m’a donné des responsabilités. Il m’a demandé de former les nouveaux arrivants, les jeunes, les alternants et les stagiaires. 

Ça a été un déclic. J’ai fini par former quasiment toute l’équipe et mon chef m’a donné plus de responsabilités.

Je me suis retrouvé à faire des formations pour l’ensemble des développeurs et testeurs français. J’avais des audiences de 1000, 2000 personnes, c’était vraiment sympa ! 

C’est aussi formidable de constater que mes formations sont bien reçues. Parfois, un collègue vient me voir pour me dire qu’il a apprécié ma formation. D’autres me demandent de leur envoyer des vidéos, et mon manager me relaie parfois leurs éloges ! Ces retours positifs me confortent sur le chemin de la formation professionnelle.

Finalement, aujourd’hui, la formation, c’est ce qui vous plaît le plus dans votre métier ?

Oui ! Aujourd’hui, presque tous les mois, mon manager me demande d’animer une formation pour les nouveaux arrivants, ou sur d’autres sujets. On réserve 20 à 30% de mon temps sur le sujet.

Ça m’apporte une casquette de formateur chez Nokia, alors que je n’étais pas du tout venu pour ça ! (rires) Mais c’est formidable, parce que ça va exactement dans le sens de ce que je veux faire.

Il faudrait quand même que vous continuiez à exercer ?

C’est vrai ! L’IT, ça avance très, très vite. Donc il faut en effet absolument que j’exerce le métier dans un milieu professionnel. `

C’est pourquoi, je continue à travailler dans mon entreprise, notamment pour garder les bonnes pratiques de développement et pour continuer à perfectionner mes compétences auprès d’autres collègues.

Est-ce qu’il y a un projet de la formation Développeur Python que vous avez trouvé particulièrement intéressant ?

De manière générale, les projets les plus intéressants à mentorer pour moi sont les premiers. Tout simplement parce que c’est là que les étudiants ont le plus de mal. Ils découvrent le monde du développement et c’est génial de les voir progresser, se dépasser et surmonter leurs difficultés.

Puis, au bout d’un certain moment, ils ont l’expérience nécessaire pour commencer à apprendre tout seuls, bien qu’ils aient encore besoin de moi parfois. J’interviens alors plutôt pour du suivi, voire du déblocage. 

Une anecdote à nous partager ?

Je me souviens d’une étudiante qui n’y connaissait rien en informatique. Elle a passé son cap du projet numéro 4 et elle était tellement fière, c’était un plaisir ! C’est son acharnement au travail qui a permis sa réussite.

J’adore voir mes étudiants terminer leur parcours, être fiers d’eux-mêmes.

Qu’est-ce qui se passe lorsqu’ils finissent leur parcours ? 

J’arrête de les mentorer, mais je reste en contact avec tous mes étudiants, que ce soit sur LinkedIn ou sur Workplace. J’ai encore des étudiants d’il y a six mois qui me contactent pour me dire qu’ils ont trouvé du boulot, je trouve ça génial. 

Le défi, c’est vraiment les étudiants qui n’ont jamais eu d’expérience en informatique. Dans ces cas-là, il faut sans cesse adapter sa manière d’enseigner à la personne.. 

Vous avez l’air d’adorer la mission de mentor…

Absolument ! J’aimerais beaucoup, si possible, pouvoir travailler très rapidement  dans le domaine de la formation. Et justement, avec le collègue qui m’a présenté OpenClassrooms, nous avons un projet de collaboration. 

J’adore aussi la relation humaine qu’on a avec nos étudiants, c’est vraiment génial. J’ai pu donner des missions à certains étudiants aussi ! Je connais leur niveau parce que je les ai formés, ça me permet de leur donner des missions les yeux fermés. 

Dès que je vois une opportunité, je la partage aussi à mes anciens étudiants. Ça permet de les mettre très vite dans le bain. J’essaie de rester en contact avec eux et de les aider un maximum. 

Le mot de la fin ? 

OpenClassrooms, c’est une superbe opportunité, que ce soit pour les étudiants ou les mentors. Un grand merci, parce que je m’éclate dans ce que je fais !

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Vous vous intéressez aux formations en ligne en développement sur lesquelles Ranga est mentor ? Lancez-vous !

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Devenir mentor chez OpenClassrooms, c’est une aventure humaine qui semble avoir réussi à Ranga. Son rôle lui permet de tisser des liens avec les étudiants qu’il accompagne, mais aussi d’enrichir ses propres compétences de formateur. Une opportunité pour Ranga d’ajouter de nouvelles cordes à son arc, et de préparer la suite de sa carrière tout en s’épanouissant.

Envie vous aussi de sauter le pas et de devenir mentor ? Rendez-vous sur la page Carrières Mentors

« Je rencontre une richesse de profils », Danyl, mentor

 

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« Les étudiants font des réflexions pointues », Sara, mentor

Sara aime les défis et s’est lancée en tant que consultante social média en freelance il y a peu. Pour transmettre ses compétences, elle a décidé de devenir mentor OpenClassrooms sur trois parcours francophones et anglophones, dans le domaine du marketing. De quoi constamment remettre en question ses connaissances ! Rencontre. 

Pourquoi êtes-vous devenue mentor ? 

J’ai un parcours plutôt classique en entreprise, dont dix années au sein du service marketing d’une très grosse entreprise. À la suite de cette expérience, j’ai voulu changer. Je suis passée dans une petite agence de publicité digitale. Depuis l’année dernière, j’ai enfin décidé de prendre mon envol en exerçant en tant qu’indépendante.  

Pour moi, il était important d’avoir une dimension de transmission et de formation pour aider les étudiants à devenir autonomes et développer leurs compétences.

Quand j’ai vu que OpenClassrooms cherchait des mentors dans mon domaine de compétence, j’ai sauté sur l’occasion. Je suis désormais mentor sur les parcours Community Manager, responsable marketing et communication et Digital Marketer (parcours en anglais).

Je suis contente parce que j’aime vraiment la relation que j’ai avec mes étudiants. Ça me permet moi aussi de grandir et d’apprendre des choses au quotidien, de remettre en question mon propre savoir et de continuer à devenir meilleure, même dans ce que je savais déjà faire. 

Que fait exactement une mentor ? 

Prenons l’exemple du rendez-vous hebdomadaire avec mes étudiants. Comme je leur dis toujours, il faut que chaque session soit un moment de plaisir. C’est un rendez-vous qui permet d’inscrire leur formation dans une certaine routine, durant lequel je vais entre autres les éclairer sur certaines notions, remettre en perspective les choses ou encore expliquer avec des cas concrets l’importance des compétences à acquérir.  

Je peux aussi les débloquer sur des connaissances qui sont parfois floues. Je leur apprends à chercher par eux-mêmes, je partage des pistes de réflexion. Je leur montre comment monter en compétences et je les accompagne tout du long.

Quel est le lien entre le mentorat et votre métier ? 

Comme j’ai longtemps travaillé dans une grande entreprise ainsi qu’au sein d’une agence, j’ai conscience de la manière dont les choses se passent dans le milieu du marketing et de la communication. Mon activité d’indépendante m’aide aussi à comprendre les problématiques actuelles des clients. 

J’explique à mes étudiants qu’ils pourront être confrontés à ces différentes questions. Ils seront amenés à travailler avec des personnes qui ne pensent pas de la même façon. Il est donc nécessaire qu’ils apprennent à cadrer le travail d’une agence ou encore qu’ils prennent le temps de bien comprendre les demandes d’un client. 

Comment se passe le travail de mentor avec les étudiants, de manière pratique ? 

On se retrouve toutes les semaines par visio. On commence par échanger, pour savoir si la semaine s’est bien passée. Cela permet de faire du lien et de cadrer la discussion. 

Ils me présentent ce qu’ils ont fait, comment ils ont avancé, et s’ils ont réussi à remplir les objectifs fixés. Si quelque chose les a bloqués, on regarde cela ensemble et je leur donne des conseils. Parfois, je leur lance un défi, en leur soumettant des questions qu’ils pourraient avoir lors de la soutenance. Je ne suis pas là pour juger leur stratégie, mais pour comprendre le cheminement de leur pensée. Ensuite, on échange et on avance ensemble sur les prochaines étapes et on fixe les objectifs pour la session suivante. 

S’ils ont des questions entre nos rendez-nous, il faut qu’ils puissent être autonomes dans leurs recherches, ou sinon demander sur Workplace. Je suis bien sûr disponible, l’essentiel étant qu’ils ne restent pas bloqués. Je réponds toujours par email afin qu’ils puissent avancer jusqu’à la prochaine session. 

C’est quoi le Workplace ? 

C’est le réseau social interne d’OpenClassrooms. On y retrouve les étudiants, les mentors et surtout beaucoup d’entraide. J’y partage notamment des liens pour aider mes étudiants. 

Qu’est-ce que vous apporte le fait d’être mentor ? 

Cela m’apporte de la fierté, surtout quand j’ai des étudiants qui m’envoient un message m’annonçant leur réussite. 

Cela demande aussi de l’humilité. Ils ont en effet souvent des questions très pointues pour lesquelles je préfère me renseigner et leur apporter du contenu de qualité. C’est enrichissant parce que cela m’apprend beaucoup sur les parcours individuels des étudiants et leurs cultures. J’ai par exemple un étudiant qui habite au Canada, mais qui vient du Botswana.  Il avait des questions sur le marketing digital, des choses qui me paraissent évidentes. 

La dimension culturelle est aussi passionnante. J’aime beaucoup apprendre des gens et de leurs parcours. De manière générale, les voir progresser, partir de rien et faire ensuite des projets en trois semaines, ça me rend super fière. 

Est-ce que vous pouvez nous partager l’histoire d’une réussite qui vous rend fière, justement ? 

Je n’ai pas encore eu d’étudiant diplômé, mais j’en ai un qui en est au stade du dernier projet. C’est un étudiant de Singapour. Il a commencé avec un petit boulot à côté et n’avait pas de connaissances sur le marketing. Pourtant, il a su prendre en main sa formation, acquérir les compétences clés et les savoir-faire professionnels. J’en suis fière. 

Le projet de vos étudiants que vous trouvez intéressant ou qui vous met au défi ? 

Il y a ce projet, sur la manière d‘apprendre à gérer une équipe créative et faire un brief. C’est étonnant parce que les étudiants font des supers briefs, mais ils oublient tous de mentionner les livrables attendus. Et puis c’est un projet très concret, qui leur apprend à rédiger un e-mail et à formuler clairement des demandes.

J’aime beaucoup ce projet, parce qu’il met l’accent sur la dimension humaine d’une mission, qui est pour moi fondamentale. Les étudiants doivent ainsi apprendre à cadrer les choses, à être précis et détailler leurs demandes.

Vous accompagnez combien d’étudiants ? 

13 à peu près. 

Y a-t-il un ouvrage dont vous recommandez la lecture parce qu’il vous a inspiré personnellement ou professionnellement ?

Système 1 / Système 2 de Daniel Kahneman, prix Nobel d’économie. Il a décrit le phénomène des biais cognitifs qui affectent toutes nos décisions, que l’on croit souvent rationnelles sans l’être. Ça m’aide à prendre du recul, à rester humble dans mes certitudes, à convaincre aussi. 

Je trouve fascinant qu’on soit incapable de s’émanciper totalement de nos biais, malgré tous les efforts. Un peu comme si on essayait de voir le monde autrement que par nos yeux.

Et la suite ? 

J’ai vraiment envie de poursuivre sur ces notions de formation et de transmission, en gardant cela au cœur de mon activité. 

Je souhaite également développer mon activité de conseil, trouver des sessions de formation en école. Je poursuis en parallèle mon activité de photographe, je cherche à faire produire une série que j’ai écrite et je lance mon blog sur les biais cognitifs. J’aime beaucoup l’idée d’avoir plusieurs activités, et j’adore le mentorat, mais cette activité ne peut pas être réalisée à plein temps.

Il faut veiller à garder un pied dans la réalité du métier. 

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Si vous rejoignez l’une des formations en ligne en marketing, vous pourrez être accompagné par Sara.

Comme Sara, vous aimeriez devenir mentor OpenClassrooms dans votre expertise métier ? Rejoignez cette aventure humaine pour compléter vos revenus en nous soumettant votre CV.

L’article « Les étudiants font des réflexions pointues », Sara, mentor est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.

« J’aime accompagner les étudiants jusqu’à la réussite », Danyl, mentor

Par : Nora Leon

Danyl Semmache est ingénieur informatique chez Nokia mais aussi mentor sur les formations en ligne développeur iOS, développeur Web et Product Manager d’OpenClassrooms.

En parallèle, il donne également des cours à l’ECE Paris sur le développement d’applications mobiles. Il nous parle de sa mission de transmission et de son quotidien de développeur. Rencontre.

Bonjour Danyl, comment êtes-vous devenu mentor sur OpenClassrooms, et pourquoi ? 

Je suis mentor OpenClassrooms depuis 4 ans, j’accompagne une trentaine d’étudiants en ce moment.

Lors de mes études supérieures, je faisais du bénévolat au sein d’une association en tant que tuteur dans laquelle j’aidais des collégiens en difficulté scolaire en ZEP. 

J’ai poursuivi l’aventure à la sortie de l’école, en devenant mentor. J’avais envie de partager mes connaissances, en parallèle de mon CDI. 

J’ai créé mon statut d’auto-entrepreneur pour postuler chez OpenClassrooms. Et c’est là que j’ai pu devenir mentor sur le parcours iOS pour commencer. 

Être mentor est une aventure humainement très riche. Je rencontre des profils différents, mais qui ont tous le même but : changer de vie professionnelle pour s’épanouir davantage. 

C’est génial de voir qu’une fois la formation passée, mes étudiants sont heureux dans leur travail. J’ai été témoin de nombreuses réussites : je suis content d’y avoir participé. 

En fait, c’est plus que du code, c’est une aventure humaine, et c’est ce que j’adore. 

Et comment avez-vous connu OpenClassrooms ? 

J’étais inscrit sur OpenClassrooms, anciennement le Site du Zéro, depuis 2011. J’ai commencé à coder à l’âge de 16 ans en suivant les cours de Mathieu Nebra, en HTML – CSS. Cela m’a très vite donné envie de poursuivre l’aventure. 

Le code m’a beaucoup plu et j’ai intégré une école informatique. 

J’ai eu la chance de suivre un beau parcours dans le Programme Grande Ecole de l’EPITECH, à l’UNISTRA et à HEC Paris. J’ai donc naturellement eu envie de rendre la pareille en transmettant mon savoir.

Dans les faits, en quoi cela consiste-t-il d’être mentor ? 

Être mentor, c’est avant tout suivre et accompagner les étudiants au fil de leur parcours, s’assurer qu’ils montent en compétences et répondre à toutes leurs questions. 

Je fixe également avec eux leurs objectifs. Ils doivent être cohérents avec leur personnalité et leur environnement personnel.

Je dois m’assurer que les étudiants sont sur les bons rails et qu’ils avancent à leur rythme.

Et vous parvenez à concilier votre métier et votre activité de mentor ? Y a-t-il un lien entre les deux ?

Absolument. J’arrive à concilier les deux en bonne partie grâce au sport, qui m’a appris à avoir de la discipline et être organisé. 

J’ai commencé ma carrière chez Orange. Je faisais du développement d’applications mobiles grand public au même moment où je suis devenu mentor iOS. Petit à petit, j’ai élargi mes compétences pour être aujourd’hui mentor sur quatre parcours. 

Ensuite, lors de mon passage chez Nokia, j’ai acquis deux autres certifications : PSM1, pour le parcours de Scrum Master, et plus récemment, la PSPO1, pour accéder au parcours de manager de projet. 

L’opportunité de devenir enseignant en école d’ingénieurs à l’ECE a été rendue possible parce que j’avais cette expérience de mentor chez OpenClassrooms. J’ai pu y apprendre le code quand j’étais plus jeune, devenir développeur ensuite, puis ingénieur, et aujourd’hui transmettre mes connaissances. Cela m’a alors ouvert des portes à de nouvelles opportunités professionnelles. 

Mon activité de mentor m’a permis de grandir dans mon approche, dans ma manière d’expliquer les choses.

Je retravaille certaines notions pour ensuite mieux les transmettre à mes étudiants. Je peaufine régulièrement ma méthode pour qu’elle soit pédagogique et ludique à la fois.

Aujourd’hui, une chose est sûre : je souhaite conserver un pied dans la formation, en parallèle de mon activité professionnelle d’ingénieur.

Qu’est-ce que vous préférez dans votre activité professionnelle ? 

Dans mon école, on m’a appris à « apprendre à apprendre”. Au quotidien, cela se traduit ainsi : toujours avoir un pied dans les dernières actualités tech et me tenir informé des nouveautés. 

Mais ce que j’aime par-dessus tout, c’est transmettre mes connaissances et accompagner des étudiants jusqu’à la réussite. C’est pour moi la plus belle des victoires.

D’ailleurs, il m’arrive souvent de recommander des anciens étudiants pour devenir mentors à leur tour. En quatre ans, j’ai recommandé une dizaine de personnes qui ont intégré OpenClassrooms. 

Voulez-vous partager une histoire qui vous rend particulièrement fier ? 

J’en ai plusieurs, mais une m’a particulièrement touché.

La personne n’avait pas pu finir le parcours développement Web, pour des raisons personnelles. Père de famille, trentenaire, il m’avait dit qu’il reprendrait un jour le parcours. Lorsque j’ai repris de ses nouvelles, il était devenu webmaster en CDI. Il m’écrivait qu’il avait enfin trouvé un travail qui lui plaisait, qu’il ne comptait pas ses heures, qu’il apprenait énormément et qu’il était très heureux. 

Il y bien sûr d’autres belles réussites, avec des personnes qui ont terminé leur parcours. J’accompagnais un étudiant sur le parcours Développeur d’applications iOS qui avait arrêté ses études en 3e année de fac.

Sa formation s’est très bien passée et je l’avais d’ailleurs recommandé chez Orange pour son premier stage. Il travaille aujourd’hui chez BforBank avec un salaire de bac +5. C’est une belle victoire. 

En fait, j’ai beaucoup de jolies histoires à partager. En ce moment, j’accompagne une personne réfugiée politique, qui était professeur d’économie dans son pays et qui possède quelques bases en programmation acquises en France. Il s’apprête à se professionnaliser avec OpenClassrooms et postule pour le parcours de data analyst. Je l’accompagne pour trouver son alternance. 

Mais vous êtes aussi coach ? 

Oui, tout à fait, je suis mentor et coach. En tant que coach, la mission est un peu différente, car il s’agit de mettre le pied à l’étrier à des personnes pour qu’elles trouvent un emploi ou une alternance.

Et qu’est-ce que vous préférez entre les deux ? À moins que ce soit complémentaire ? 

J’ai fait du mentorat pendant 4 ans, et j’en fais toujours. 

Il m’arrivait très souvent, en fin de parcours, de donner quelques derniers conseils : compléter son profil LinkedIn, créer un compte sur GitHub, Stack et Overflow ou encore peaufiner son CV. 

J’ai donc postulé pour être coach en insertion professionnelle chez OpenClassrooms, et j’y prends désormais beaucoup de plaisir. 

Je suis également mentor évaluateur. Je fais passer des soutenances aux étudiants, dont certains qui sont aux quatre coins du monde. Cela me fait d’ailleurs penser à d’autres anecdotes.

J’accompagnais un étudiant congolais, qui vivait en Russie, sur un parcours en développement Web. Ce qu’il étudiait à la fac ne lui plaisait pas, il souhaitait quelque chose de plus axé sur la pratique. Il codait depuis ses 15 ans, et ses parents lui donnaient une somme tous les mois, dont une partie finançait son parcours OpenClassrooms. Ses parents n’étaient d’ailleurs pas au courant qu’il passait un double diplôme. Il a obtenu son diplôme et il a postulé pour continuer ses études au Canada. En attendant, il travaille à distance pour The Good Seat, une entreprise française où je l’ai recommandé en tant que freelance.

J’ai aussi coaché un autre étudiant qui a suivi le parcours développement d’application iOS. Ce dernier m’ayant pris pour exemple, une fois son diplôme en poche, il avait pour ambition de poursuivre sa scolarité en intégrant Epitech avec l’admission parallèle. Il est travailleur et pourvu d’une très grande maturité, nous avons tous mis en œuvre afin de lui permettre d’atteindre ses objectifs.

Pour ma part, je suis arrivé chez OpenClassrooms de manière assez indirecte. Lorsque j’étais en 3e année à Epitech, j’ai été professeur assistant lors du “Coding Club Summer Camp”, événement durant lequel on animait des ateliers en initiation au développement Web pour les futurs étudiants de l’école. J’y ai rencontré Brian T., qui avait alors 17 ans. Il est désormais mentor chez OpenClassrooms et c’est grâce à lui que j’ai aussi intégré le site.

Lorsqu’on s’est rencontrés, il voulait intégrer Epitech. Cela ne s’est pas fait et il est parti en année sabbatique. Il a rejoint OpenClassrooms dès son lancement, parce que le site proposait des parcours diplômants. En un an, il a obtenu un équivalent bac +3 de chef de projet multimédia. François Hollande lui a remis son diplôme. Cet étudiant a finalement étudié au sein d’une école multimédia et a été diplômé d’un master à 21 ans. Il est désormais data product manager chez France TV et mentor.

Y a-t-il un ouvrage dont vous recommandez la lecture parce qu’il vous a inspiré personnellement ou professionnellement ?

Absolument ! J’en ai plusieurs mais celui que je recommande reste “The 4-Hour Workweek” de Tim Ferriss. C’est un livre de développement personnel qui m’a grandement inspiré.

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Vous vous intéressez aux formations en ligne en développement sur lesquelles Danyl est mentor ? Lancez-vous !

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Entre pédagogie et numérique, la reconversion de Hakim

Par : Nora Leon

Passionné par le numérique et ayant déjà quelques connaissances en informatique, Hakim a souhaité consolider cette base dans le cadre de sa recherche d’emploi. Il découvre le parcours Passeport Numérique d’OpenClassrooms via Pôle emploi, et décide de se lancer.

Aujourd’hui, confiant pour son avenir professionnel, il s’apprête à postuler dans le domaine de l’animation numérique, fort de ses nouvelles compétences !

D’un métier à une passion : une curiosité grandissante envers le numérique

Hakim est fort de 15 ans de carrière dans la satisfaction clientèle. En tant que téléconseiller, la base même de son rôle a toujours été d’accompagner ses clients par le biais d’outils numériques. Mais plus qu’un métier, progressivement, le numérique est devenu une vraie passion pour lui

J’avais une bonne compréhension des ordinateurs, je savais ce qu’était un disque dur, une unité centrale. Et quand j’étais curieux d’un sujet, j’allais chercher des réponses sur Google”, témoigne-t-il. “Mais j’ai rapidement eu envie d’acquérir des bases complémentaires.

Hakim découvre alors, via l’application Ma Formation sur son smartphone, les opportunités de formations au numérique qui s’offrent à lui : « J’ai tapé des mots clés comme ‘conseiller numérique’, ‘animateur numérique’… J’avais envie d’apprendre à transmettre mes connaissances, par exemple en travaillant pour une association, un organisme, ou même pour l’État. »

Je suis persuadé que c’est l’avenir, d’expliquer aux gens novices qui n’y connaissent rien comment utiliser le numérique.

C’est au cours de ses recherches qu’Hakim trouve la formation Passeport Numérique d’OpenClassrooms. « Avec le confinement, le COVID, c’était dur de trouver des formations en présentiel. La formation Passeport Numérique avait été bien notée par d’autres demandeurs d’emploi, ce qui m’a motivé à y postuler »

Mais avant cela, Hakim a tout de même contacté sa conseillère Cap emploi, faire le point et valider son projet de formation. Il est en effet reconnu travailleur handicapé et bénéficie à ce titre d’un suivi par cet organisme. Très vite, il est reçu par sa référente à Marseille, qui l’encourage. « J’ai présenté le projet à ma référente Cap emploi, et elle m’a dit « si c’est réellement votre passion d’animer des ateliers multimédia, je vous vois bien dans le domaine ». Elle m’a encouragé à me lancer ».

Mise à niveau accélérée et nouveau départ avec le Passeport Numérique

Pour Hakim, le parcours Passeport Numérique, bien que rapide et intense, s’est très bien passé. Comme il en témoigne : « J’ai apprécié l’expérience ! J’ai été suivi du début à la fin chaque semaine, et dès qu’il y avait un problème, qu’il soit technique ou administratif, les conseillers pédagogiques étaient disponibles et très réactifs ».

Par ailleurs, Hakim bénéficie aussi de l’accompagnement personnalisé d’un mentor, qui l’aide notamment dans la réalisation de ses projets ainsi que dans ses soutenances. Et de ce côté-là aussi, la satisfaction est au rendez-vous. Comme le résume Hakim , « je suis très satisfait de mon mentor, mais aussi des évaluateurs que j’ai rencontrés. Je dois passer mon dernier projet lundi prochain. Je suis confiant, mon mentor a validé mon travail et m’a encouragé. Je me sens en totale confiance avec OpenClassrooms, et je conseille ce parcours ! ».

Et pour la suite, Hakim ne manque pas d’idées : « j’ai assisté à un webinaire sur les possibilités après la fin de mon financement. Je vais avoir le droit à 6 sessions de coaching, pour m’aider à trouver un emploi. J’en profiterai pour consolider mon CV et envoyer des candidatures. »

Mon but, c’est de trouver un emploi dans le domaine de l’animation numérique.

Une détermination alimentée par une conviction que le numérique s’immisce de plus en plus dans nos vies. Hakim le résume très bien : « Factures, impôts, … Aujourd’hui, on fait tout via Internet ! Mais il y a encore de nombreuses personnes qui ont des difficultés, par exemple les personnes âgées. Comme j’ai le contact humain facile, je pense sincèrement pouvoir aider ces gens, les accompagner ».

Mais ses ambitions et ses idées ne s’arrêtent pas là, et Hakim a aussi identifié d’autres opportunités : « dans les écoles, il y a aussi de plus en plus d’animations d’ateliers de sensibilisation numériques. J’aimerais beaucoup expliquer aux enfants comment fonctionne Internet, quels sont ses dangers, quels outils utiliser… Et je pourrais aussi envisager d’aider des personnes en situation de handicap à se familiariser avec le numérique. Quoi qu’il en soit, je suis confiant pour l’avenir ».

Quelle que soit la piste de carrière qui se concrétise pour Hakim, sa priorité est de mettre le pied à l’étrier et de commencer à travailler : “je suis même prêt à postuler à un CDD qui se transformerait en CDI. L’essentiel pour moi, c’est de commencer à exercer ma passion. C’est en forgeant que l’on devient forgeron”.

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Comme Hakim l’a compris, la maîtrise des outils informatiques et numériques est un enjeu de plus en plus fort sur le marché du travail. Grâce à la formation Passeport Numérique, il a réussi à transformer une passion en opportunité de carrière, et se dirige désormais vers une filière porteuse : celle de l’animation numérique. Le tout, en valorisant la compétence qui l’a accompagné tout au long de ses 15 ans de carrière : un excellent sens du relationnel et une envie de transmettre ses connaissances !

Vous aussi, vous souhaitez monter en compétences au sein du parcours Passeport Numérique ? Rendez-vous sur la page parcours de la formation pour découvrir son contenu. Vous pouvez aussi suivre les cours dispensés sur OpenClassrooms gratuitement ; cela vous donnera un bon aperçu pour vous lancer sur cette formation professionnalisante. 

Ludivine, en route vers la comptabilité avec Passeport Numérique

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Pauline, du marketing au produit en formation développeur Web

Par : Nora Leon

« J’ai appris plusieurs langages informatiques et surtout la logique du code dans la formation Développeur Web. Ce bagage me sert aujourd’hui à communiquer avec la Tech dans mon métier de Product Marketing Manager ».

Du CRM au product marketing, il n’y a qu’un pas ? C’est en tout cas ce qu’a constaté Pauline Fumeron suite à sa formation en ligne Développeuse Web sur OpenClassrooms. Elle revient sur son expérience en formation et son impact sur sa carrière. Rencontre.

Comment avez-vous choisi ce parcours ? 

J’avais envie d’apprendre le code, et il fallait commencer quelque part. L’avantage de la formation Développeur Web était qu’elle était courte, diplômante, et basée sur des projets concrets.

J’avais déjà un petit socle de choses que j’avais apprises en autodidacte. Cependant, il me manquait le cadre pour apprendre. J’avais aussi besoin d’étoffer mes compétences avec de bonnes bases en HTML et CSS. En somme, avoir une connaissance basique du code orienté objet, pour comprendre les logiques d’une application ou d’un code donné. J’avais envie d’apprendre à modifier, tester des choses… 

Mon projet n’était pas vraiment de devenir développeuse Web à part entière. Je voulais plutôt savoir échanger avec des équipes tech. Je travaillais dans le marketing et en particulier le CRM à ce moment-là. Mon besoin était donc plus lié à la mise en place de workflows automatisés, de landing pages ou de templates marketing, dans le cadre du marketing automation.

Vous avez mené de front le parcours et un emploi. Comment cela s’est-il passé ?

Ça s’est bien passé. Mais il faut avouer que c’est tout de même une charge de travail !

Après chaque journée de boulot, j’avais une à trois heures le soir en semaine à passer sur mon parcours, plus le weekend.

Quand c’est facile, ça va. Mais quand les projets deviennent plus compliqués… Ça se corse ! Avec l’accompagnement de mes mentors, j’ai eu pas mal d’aide pour retrouver la motivation quand j’en avais besoin.

Qu’avez-vous préféré ?

Les projets de mise en situation, les cas concrets. À la fin, tu te retrouves avec un livrable viable.

J’ai développé différentes applications. Je suis surtout montée en compétences sur des langages divers, tous appris sur des applications métiers très concrètes.

Tout faire de A à Z m’a donné confiance sur ma capacité à réaliser plein de choses ! C’était le cœur de la formation et la base de ce qui suit derrière.

Aujourd’hui, quelles compétences utilisez-vous le plus en poste ? 

Ma compréhension technique au quotidien m’aide vraiment. Je ne code pas, mais ce que j’ai appris facilite les discussions avec les équipes de développeurs, Product Managers… J’ai aussi une meilleure compréhension du logiciel tech sur lequel je travaille. Je cerne plus vite les sujets ; je me sens à l’aise. C’est cela dont j’avais besoin.


Je me sers pas mal des bases pour continuer à automatiser des choses.

Quel impact a eu cette formation sur la suite de votre carrière ? 

Aujourd’hui, je suis Product Marketing Manager chez Lifen, une entreprise en forte croissance dans le domaine de la santé dont l’objectif est de simplifier et faciliter la communication médicale des professionnels de santé au quotidien.

Le parcours d’OpenClassrooms a participé à me faire gagner confiance en moi. Je me sens aujourd’hui plus légitime sur pas mal de sujets.

J’ai pu faire ce que je voulais et être sereine sur mes capacités à évoluer sur un poste en marketing produit. 

Aujourd’hui, je suis Product Marketing Manager. Je suis la voix de l’équipe produit en interne pour faire en sorte que tout le monde connaisse les fonctionnalités de notre produit, que les lancements se passent bien, que les clients utilisent le logiciel. Je suis également la voix de nos utilisateurs et clients. Ma mission est de me faire l’écho de leurs demandes pour aider à construire un produit qui réponde à leurs besoins. Je mêle ma casquette produit et marketing au quotidien. Ces compétences complémentaires posent aussi les jalons pour la suite. Je sais que je peux appendre et je le ferai encore.

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Comme Pauline, vous travaillez en Webmarketing ou CRM et vous souhaitez bifurquer vers le Product Marketing ?

La formation en ligne Développeur Web est disponible, soit en alternance, soit à plein-temps. Vous pouvez aussi éventuellement faire financer votre formation par un organisme national ou local (Pôle emploi, Cap emploi, les Missions locales) selon votre profil et le quota de places disponibles.

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Hassan, de la qualité ISO à la qualité informatique 

Par : Nora Leon

Hassan Doumali, diplômé de la formation en ligne PHP/Symfony en 2018, a trouvé sa place dans le monde professionnel de la Tech. Reconverti, il a su réconcilier son parcours en qualité dans le ferroviaire avec son poste de Testeur Q&A dev en ESN. Alumni enthousiaste et comblé en poste, il souhaitait partager son histoire.

Partie 1 – L’avant OpenClassrooms

La reconversion de Hassan remonte à loin : avant même de devenir développeur, cette idée lui trottait dans la tête.

Formé dans l’ingénierie, Hassan s’oriente vers le métier de responsable qualité dans le domaine des normes ISO. Il travaille pendant plusieurs années comme prestataire dans le domaine ferroviaire pour la SNCF. Un métier certes technique, mais pas dans le domaine informatique.

En parallèle, Hassan mûrit son changement de cap.

Je m’intéressais à la programmation. Mon projet n’a pas pris forme du jour au lendemain.

Dans un premier temps, Hassan suit les cours en ligne gratuits de la plateforme. [mettre exemples cours]. « Le but, c’était de voir si ça m’intéressait. J’avais aussi mon beau-frère qui était chef de projet informatique. On discutait pas mal de son métier, pour savoir si ça pouvait me plaire. Je voyais au jour le jour les projets sur lesquels il bossait, et ça m’intéressait beaucoup ! », se souvient Hassan.

À un moment, Hassan a le déclic. « Je me suis intéressé sérieusement au fait de changer de voie. Je voulais me former. Comme je travaillais en parallèle, j’ai pensé aux parcours diplômants d’OpenClassrooms. Quand on suit une formation en parallèle de son travail, on n’apprend pas forcément de manière très linéaire. J’avais besoin de flexibilité. Le format en ligne permet cela », explique-t-il.

Partie 2 – La formation OpenClassrooms

Au gré des cours suivis en parallèle de son job, Hassan choisit le langage PHP. « J’ai suivi des cours en ligne sur Java, PHP, Python. J’ai accroché sur PHP qui me semblait plus accessible. D’autres gens accrochent sur d’autres langages, mais moi c’est celui où j’ai eu le plus de facilités. Sa structure me semblait plus compréhensible »

Inscrit sur la formation Développeur PHP-Symfony d’un an, Hassan obtient son diplôme au bout de 10 mois, en décembre 2018. Pendant sa formation, il s’active.

Je me fixais des journées de travail pleines. C’était comme si j’étais au boulot : je travaillais 6 ou 7 heures.

« Je commençais vers 9h du matin, je  faisais une pause pour reprendre vers 13h30… Puis je travaillais jusqu’à 17h30, 18h. Ce rythme m’a permis d’acquérir les bonnes pratiques »

La formation se passe bien car Hassan est satisfait du contenu et de la structure des enseignements. Le fait d’apprendre sur des projets professionnalisants, en faisant, s’avère un vrai plus pour lui. Il apprécie aussi les cours, qui comportent du texte et des vidéos. Pour lui, « le mélange des deux facilite l’assimilation ». Enfin, sa bonne entente avec son mentor, le professionnel qui l’accompagne en visioconférence chaque semaine, lui offre un suivi personnalisé. « Grâce à mon mentor, j’ai avancé sereinement à partir de HTML et CSS. C’était top », conclut-il.

Partie 3 – L’après OpenClassrooms 

À la sortie de sa formation, Hassan trouve rapidement un emploi en ESN, et commence à travailler en qualité informatique pour Capgemini. Il intègre une équipe Tech agile, où les équipes Projets expriment le besoin client, les développeurs créent les features et son équipe Qualité teste les applications pour s’assurer de leur bon fonctionnement. 

« Je suis Testeur QA, précise Hassan. Je teste les applications, pour valider ou non leur mise en prod. Je ne suis pas dev, mais j’utilise le développement au quotidien. Je suis en relation avec les développeurs, et j’utilise le Python. J’ai pu me familiariser rapidement avec ce langage comme je connaissais le PHP. Le fait d’être développeur me met très à l’aise en QA. Je comprends tout de suite ce que m’explique un développeur, là où mes deux collègues non-devs mettent plus de temps. On gère tous les tests unitaires côté dev. Comme j’ai vu l’autre côté du miroir, j’anticipe et on gagne au moins 4 ou 5 jours sur chaque projet. C’est énorme », explique Hassan.

Le jeune homme est ravi de sa nouvelle orientation. « Mon métier de testeur QA regroupe mon ancien métier de responsable qualité et tout ce que j’ai appris en développement. J’adore ma mission pour le client, et le fait d’être en contact avec les développeurs, c’est top ! »

Les plus du métier sont selon Hassan le fait d’apprendre au quotidien et l’autonomie laissée. « Avant, je connaissais la partie organisationnelle, les procédures, le respect du cahier des charges, l’agile… À cela, j’ai ajouté l’esprit du développeur : savoir fouiller, trouver des solutions, être créatif, apprendre la logique des langages ».

Ce sont des métiers dans lesquels, justement, il faut savoir chercher, s’organiser, se débrouiller. On ne nous amène pas l’info sur un plateau. C’est stimulant de chercher et gratifiant de trouver !

Outre les connaissances techniques, Hassan découvre de nouveaux secteurs en ESN. « Là, chez mon client, on travaille pour plusieurs mutuelles. On s’occupe de la création et de la modification de contrats d’assurés. Je n’avais aucune connaissance dans le secteur de la santé, ni sur les outils de tests du client. 6 mois plus tard, j’ai énormément appris et on a mis en prod 3 projets. On est super fiers ! Voir les clients satisfaits, c’est très valorisant ! ».

Le mot de la fin 

Si Hassan n’avait qu’un mot à transmettre à ses futurs collègues qui veulent devenir développeurs, ce serait « foncez ».

Son parcours le montre, les formations en développement d’OpenClassrooms permettent de s’orienter vers les métiers du développement ou de la gestion de projet informatique, mais aussi du testing. « C’est un domaine en forte tension où la demande est importante et les salaires très intéressants », témoigne Hassan. Le diplômé n’a eu aucun mal à trouver un emploi.

Les employeurs connaissent OpenClassrooms, ce qui fait aussi la différence.

Une fois en poste, « les équipes sont reconnaissantes pour le travail effectué, raconte Hassan. Les RH savent que d’autres entreprises peuvent nous chasser car nos profils sont encore trop rares, donc ils font en sorte de nous garder. Au bout de six mois, j’étais promu testeur confirmé, avec le salaire qui va avec ». Preuve qu’en développement informatique comme en testing, de très belles places sont à prendre.

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« J’apprends de mes étudiants », Marion, mentor

Marion Ruzicka est mentor pour le parcours Responsable marketing opérationnel et communication au sein de l’école en ligne OpenClassrooms. Nous sommes allés à sa rencontre pour en savoir plus sur ses motivations et son approche de cet accompagnement sur-mesure.

Comment et pourquoi es-tu devenue mentor pour OpenClassrooms ?

J’ai une amie qui a suivi le parcours UX designer au sein d’OpenClassrooms et que j’accompagnais de manière non formelle.

Elle m’a conseillé de me renseigner sur les missions de mentorat à proprement parler car j’avais le bon profil selon elle. 

En quoi cela consiste-t-il et qu’est-ce que cela t’apporte ?

Je le vois comme un transfert de compétences qui se fait de manière guidée et constructive.

Le but est que l’étudiant acquière un maximum de connaissances. Je travaille beaucoup sur la façon dont on peut apprendre de ses erreurs et sur la démystification du numérique qui serait un milieu difficile, et peu accessible.

J’aime vraiment transmettre mes compétences ! Le mentorat me transmet de l’énergie positive. Je considère qu’il n’y a pas un seul savoir, donc j’apprends aussi beaucoup de mes étudiants en retour. 

Quelle est ton activité professionnelle en dehors du mentorat ?

Après avoir été consultante en stratégies de communication et marketing digital en freelance auprès de start-ups et de plus petites entreprises, mon activité a un peu évolué. Je suis toujours intervenante au sein de plusieurs écoles sur du marketing digital. En revanche, j’exerce également à présent l’activité de Coach de vie et Coach professionnelle afin d’accompagner chacun à trouver son équilibre et une vie épanouissante.

Qu’est-ce qui te plaît dans ce métier ?

Pour le mentorat et la formation, c’est la transmission de mes compétences.

Concernant le coaching, c’est de révéler le potentiel de chacun et d’amener la personne a un meilleur épanouissement, personnel ou professionnel.

J’intègre la nature dans mes coachings pour une re-connexion à soi et à son environnement. La composante principale de toutes ces missions est la dimension coaching, formation. C’est ce qui m’intéresse le plus.

Une partie de mon activité concerne aussi le développement durable. Dans ma façon d’aborder les sujets, je fais en sorte qu’on utilise le numérique de manière responsable. 

Y a-t-il des sujets sur lesquels toi aussi tu aimerais te former ?

J’ai été mentor pour des start-up qui utilisaient la technologie pour aider les handicapés. J’ai donc travaillé avec des personnes handicapées, autour de la problématique de l’accessibilité, à laquelle je m’intéresse particulièrement en ce moment.

Pour le métier de coach, je me forme à l’écopsychologie. 

Y a-t-il un ouvrage dont tu recommandes la lecture parce qu’il t’a inspiré personnellement ou professionnellement ?

Mindset de Carol Dweck, qui est une docteure en psychologie américaine, résume bien ma philosophie au quotidien.

En tant que mentor, je ne pense pas que nous soyons des produits finis. Au contraire, nous sommes toujours en construction et il est toujours possible d’apprendre et de se développer. 

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Entre communication, culture et développement Front-End, le parcours de Flore

Par : Nora Leon

Certains postes requièrent énormément de débrouillardise. Flore Malonda, chargée de communication dans la culture, a dû devenir un vrai couteau suisse pour aller plus loin dans son job. De la comm au graphisme, du graphisme à l’intégration de maquettes, la jeune femme va toujours plus loin, « vers l’infini et au-delà »… Flore a d’ailleurs décidé en 2021 d’aller un cran plus loin en devenant aussi développeuse Front-end. Portrait. 

Tu ne viens pas du tout de l’informatique. Au contraire, tu as étudié le design et les sciences humaines à la Fac, c’est bien cela ?

Oui, tout à fait ! J’ai commencé par une licence d’arts plastiques spécialisée en « Design graphique ». J’ai continué en master en gestion des arts et de la culture, que j’ai terminé en 2019. Mais même pendant ma formation, j’avais commencé à toucher à des maquettes. Nous avions des TD pour lesquels il fallait réaliser certains sites, pour imaginer le rendu du produit développé. Donc finalement, mon intérêt pour l’intégration web remonte à assez loin.

Et donc, tout naturellement, tu as utilisé ces compétences en poste ? 

Je suis passionnée par la musique classique et spécialisée dans cette branche de la culture. Or, on l’a vu pendant la crise, ce sont des milieux où on peut vite avoir des coupes dans les budgets… Il faut donc savoir faire beaucoup avec peu. 

Dans la culture, j’ai eu plusieurs rôles. J’étais chargée de communication, un poste relativement touche-à-tout dans ce milieu. Je m’occupais de la communication sur les réseaux sociaux, du site Internet… Pour mener à bien mes missions, j’ai commencé à faire de simples wireframes, des croquis rapides sur des bouts de papier que je transposais sur Indesign. Ce n’était pas idéal, mais je n’avais pas accès aux logiciels de mise en page Web ou de design comme Sketch, Figma, Adobe XD. Nous n’avions pas la possibilité de développer dans le dur, donc je gérais des CMS. Ça m’a donné envie d’apprendre à développer. Donc, j’ai commencé à apprendre à coder en Front-End dans mon coin.

D’où ton envie de passer à la vitesse supérieure avec un parcours en alternance ?

Oui ! J’ai choisi la formation en ligne Développeuse d’applications Front-end. Je la fais en 2 ans en alternance. C’est vrai qu’apprendre en ligne en autodidacte est possible, mais que c’est plus confortable et efficace de le faire dans une formation cadrée, en étant accompagnée… 

J’ai choisi le Front-End car le côté design d’interfaces m’intéresse beaucoup.

J’ai besoin de savoir maquetter mes interfaces pour les développer ensuite. Comme je touche déjà au graphisme, le développement est très complémentaire ! Par contre, pour l’instant, le côté Backend ne m’intéresse pas trop. Il ne répond pas vraiment à mon besoin pour le secteur culturel. 

Donc, tu envisages de retourner dans le milieu de la culture après ton alternance ? 

C’est possible ! Tout dépend de comment cela se passera avec mon employeur actuel, de ce que je vais apprendre, des projets sur lesquels je travaillerai… 

Mon constat de départ était que je voulais enrichir mes compétences pour apporter un bagage en développement au milieu culturel.

Peu de responsables communication sont capables de donner vie à un site, alors que c’est tellement utile à tant d’institutions culturelles ! 

La culture a un besoin criant de se réinventer, et je pense que cela passera notamment par la digitalisation. Il faut que des salariés proposent d’installer des outils plus puissants que ceux qu’on a actuellement dans de nombreux musées, opéras, dans des associations artistiques. Pendant la crise du coronavirus, la culture s’est retrouvée en rade car elle ne pouvait pas passer en ligne facilement. Je trouve ça tellement triste ! La société a besoin d’art et de beauté. La culture est un milieu crucial qu’il faut protéger et mettre en valeur. 

Une fois que je serai développeuse front, je ne serai plus jamais dépendante d’un CMS pour lequel mon organisation culturelle n’aura pas le budget !

Cela étant dit, aujourd’hui, je travaille au sein d’une entreprise du CAC 40, et qui sait où cette expérience me mènera.

Justement, comment s’est passée la recherche d’alternance ? Tu as rapidement signé ton contrat ? 

J’ai bénéficié du dispositif de l’État qui permettait de commencer sa formation en même temps qu’on recherche un employeur.

Je me suis donc inscrite sur mon parcours diplômant d’OpenClassrooms en novembre et j’ai trouvé mon employeur actuel en janvier.

J’ai commencé les 5 premiers projets pendant ma recherche d’emploi, ce qui me donne une belle avance pour ma formation. En parallèle, j’ai bénéficié du coaching pour trouver un employeur. Ce coaching était gratuit et m’a aidée à bien postuler. J’ai fait les six séances d’accompagnement avec ma coach Maïwenn et quelques workshops pour échanger des conseils avec d’autres étudiants, tous les 2 mois. C’était motivant ! Je me suis aussi entraînée sur CodinGame pour passer les tests techniques en entretien. Ça m’a aidée à intégrer la syntaxe JavaScript, les notions d’algorithmie notamment.

Tu as commencé à travailler chez Free en février. Tu nous racontes ?

Cela fait trois semaines que j’ai commencé. Je suis dans la partie distribution : nous créons des outils pour les boutiques de Free. Nous sommes 4. Je m’occupe de la partie Web Design. Je pense que mes connaissances préalables en design et graphisme m’ont valu la place. C’est certain, car pour l’instant je travaille sur des technos que je ne connais pas encore ! Il faut que j’apprenne rapidement React, Redux et les Hook (une manière de coder en React).

Mon employeur a en revanche apprécié que je sache déjà réaliser des wireframes, que j’ai des connaissances en ergonomie, en affichage sur différents écrans…

Cela se passe très bien car mon tuteur joue le jeu et m’aide à monter en compétences. J’alterne entre la tête dans le code et mes projets OpenClassrooms. J’apprends toute seule pendant un moment, puis on fait un point avec mon chef pour que je m’améliore en continu. 

La formation en alternance est concrète car je mets tout de suite en pratique ce que j’apprends en réalisant les TD et en suivant les cours. Et justement, j’ai demandé à mon mentor de passer directement au 11ème projet qui est sur du React. Normalement, le parcours de formation est linéaire, mais j’ai besoin de monter en compétences sur ce langage assez vite pour mon boulot chez Free. C’est chouette cette flexibilité : ça va me permettre d’être bientôt au niveau pour occuper mes fonctions chez Free. Et pour le reste, affaire à suivre… 

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CodinGame, l’entraînement de code aux tests techniques

Par : Nora Leon

Grâce au partenariat d’OpenClassrooms avec CodinGame, ses diplômés s’entraînent gratuitement aux tests techniques en développement informatique pendant leurs séances de coaching en insertion professionnelle

Pourquoi est-ce important dans le cadre d’un recrutement et comment fonctionne CodinGame, cet outil ludique et innovant ? Explications. 

Les tests techniques, une étape clé du recrutement 

En fonction du poste et du niveau attendu, de nombreux recruteurs Tech font passer des tests techniques. C’est l’occasion pour eux : 

  • D’évaluer le niveau sur un langage ou framework
  • De voir la façon dont le ou la candidat(e) réfléchit 
  • De tester des compétences particulières (algorithmie…)
  • Et enfin de voir comment la personne se débrouille en situation de stress. 

Pour préparer ces tests techniques, rien de mieux que la pratique. C’est la raison pour laquelle nous sommes ravis d’être partenaires avec CodinGame, un acteur qui aide énormément à roder sa pratique du code.

[À lire : Comment préparer un test technique ?

[À suivre : Notre cours pour se préparer aux tests techniques]

Comment s’entraîne-t-on sur CodinGame ? 

Sur CodinGame, plusieurs modalités sont disponibles pour coder. 

  • On peut s’entraîner sur des énoncés ludiques en prenant son temps ou avec un chronomètre pour se tester. 
  • On peut aussi participer à des compétitions, afin de monter en compétences encore plus rapidement grâce à l’enjeu. 

Dans tous les cas, on peut discuter avec la communauté très active de développeurs. 

Avec toujours en tête qu’on apprend mieux… en s’amusant ! Quand on se prépare sur la plateforme, on a donc autant l’impression de jouer que de bosser. Pratique… 

Nos étudiants témoignent 

« Je m’appelle Flore et je suis alternante en développement Front-end chez Free. Pendant mon coaching de six séances pour trouver mon contrat, je me suis entraînée sur CodinGame pour passer les entretiens techniques.

C’était super pour roder mes connaissances en algorithmique et m’entraîner à intégrer la syntaxe du JavaScript. Ça m’a vraiment permis de voir que si j’enlevais un point virgule mon code ne fonctionnait plus, et de trouver facilement le bug pour m’améliorer.

J’ai aussi apprécié de réfléchir sous forme de problèmes. Je me posais le problème en « pseudo code écrit », en me disant : « mon code doit faire telle chose ».  Je créais la boucle de condition en mots. Une fois que j’avais fait ça, je rédigeais le code proprement dit.

Un petit truc : au début, je trouvais cela stressant d’avoir un timer. Je recopiais l’énoncé pour pouvoir le résoudre tranquillement de mon côté… Mais c’est tout de même un bon exercice de bosser sous temps contraint quand on a plus d’expérience ».

[À lire : Comment Juliette, coach, a aidé Salomé à trouver un emploi]

Envie d’améliorer votre code sur CodinGame ? 

Direction les formations diplômantes en ligne d’OpenClassrooms pour bénéficier du coaching de 6 séances en insertion professionnelle.


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Les tendances du Marketing Digital pour 2021

Par : Nora Leon

2020 aura ébranlé le monde de l’entreprise, du travail, de la formation… Séisme qui se répercute sur les tendances du marketing digital pour 2021. 

Social Selling, branding engagé, snack content vs. formats longs ou encore IA appliquée au content marketing… Panorama des tendances à suivre absolument en digital marketing cette année.

Le Social Media au cœur du marketing digital

Si les réseaux sociaux étaient déjà plébiscités, la crise sanitaire a fait exploser leur temps quotidien d’utilisation. Les conversations se sont déplacées sur le Web. Naturellement, les réseaux se sont d’autant plus confondus avec les médias plus institutionnels. 

Trois grandes tendances qui se dessinent côté Social Media : 

  • Pour les e-commerce, l’explosion du Social Selling

Facebook Pay et Instagram devraient monter en flèche en 2021 tandis qu’Amazon, qui a sorti de la tourmente des milliers de PME, devrait se maintenir. Avec l’annonce fin 2020 du partenariat entre TikTok et Shopify, le réseau social des millenials devrait également offrir aux marques l’opportunité de développer leur Social Selling. On devrait assister à l’essor des chatbots pour appuyer ces ventes et de l’IA pour tester en ligne avant d’acheter.

  • Une importance croissante de TikTok pour les marques 

Ce réseau dont l’ascension est fulgurante (27% d’utilisation supplémentaire par rapport à 2019) montre aussi une rétention satisfaisante (environ 9 ouvertures quotidiennes pour 48 minutes d’utilisation par usager et 90% des utilisateurs qui l’utilisent tous les jours). Avec ses 11 millions d’utilisateurs en France (soit près d’un français sur six) et ses près de 700 millions d’utilisateurs dans le monde, ce réseau ne sera pas à négliger dans votre stratégie de marketing digital en 2021.

  • Une hausse du marketing conversationnel, notamment sur Instagram 

Là où auparavant, les discussions profondes se retrouvaient plutôt sur LinkedIn et Twitter, certains cas d’usage de 2020 tels que #BlackLivesMatter ou #BalanceTonAgency ont prouvé qu’Instagram se saisissait de plus en plus de sujets de société. 

À suivre : nos cours en ligne gratuits sur le Social Media Analytics et comment construire une Stratégie Social Media.

Le Branding plus que jamais lié aux sujets de société

Côté image de marque, la crise sanitaire a éveillé les consciences. En 2021, les marques seront engagées et éthiques ou seront boudées. 

  • L’exemplarité sociale et environnementale

Pendant la crise sanitaire, des centaines de marques ont proposé leur produit ou service gratuitement à tous ou certains publics. Apple a produit 20 millions de masques, Dyson a conçu des respirateurs, Pernod Ricard a mis à disposition 70 000 litres d’alcool pour faire du gel alcoolique,Colgate-Palmolive a distribué 500 000 produits d’hygiène aux personnes défavorisées, Intermarché a mis en place une campagne marketing de soutien aux horticulteurs, la MAIF a créé un système pour venir en aide aux personnes âgées isolées, la SNCF a rendu gratuits les trajets des membres du personnel soignant, Aubade a réconforté les couples dont le mariage était en attente en leur offrant des sous-vêtements (!), etc.

Opportunisme, effort de guerre ou changement de cap profond ? Comme le souligne le magazine Influencia, l’engagement des marques doit être jugé sur le long-terme et non sur une opération de communication isolée. Il n’en reste pas moins que, selon une étude datée de septembre 2020, 90% des professionnels du marketing digital sont convaincus qu’une marque doit s’engager environnementalement et socialement. Ils sont aussi 84% à penser que l’engagement d’une marque contribue à sa performance. Et pour cause, la marque gagnerait en popularité auprès de ses salariés, ses premiers ambassadeurs, à 67%, de ses clients à 55%, des influenceurs à 44% et des journalistes à 38%. Des chiffres en effet loin d’être négligeables.

  • Les réseaux sociaux, puissantes menaces pour les marques non vertueuses
Post LinkedIn sur les marques engagées
Post LinkedIn sur les marques engagées

L’éthique sera également un point capital pour les consommateurs. À n’en pas douter après la série de scandales sur Instagram sur le compte #BalanceTonAgency, la voix des consommateurs contre les abus des marques est de plus en plus distincte et puissante. #BalanceTonAgency, créé à l’automne 2020, compte aujourd’hui 60k d’abonnés. Ce compte a ébranlé les milieux de la communication et de la publicité et fait sauter des têtes pourtant auparavant couronnées. Preuve que le bien être au travail prend son essor et que la peur est en train de changer de camp.

Toujours sur Instagram, une marque de bijoux est dans la tourmente suite aux récits anonymes mais concordants de ses salarié(e)s sur le compte #BalanceTonAgency. Ses posts Instagram subissent un lynchage sans précédent et on y lit des commentaires tels que : « Propulsée par Instagram, détruite par Instagram ». Commentaires qui prouvent bien l’influence potentielle des réseaux sociaux sur la réputation d’une entreprise.

Ce phénomène, sur le devant de la scène fin 2020 sur Instagram, devrait se généraliser sur tous les réseaux. Sur ceux où la prise de position est historique (Twitter et LinkedIn notamment), mais également sur de nouveaux arrivants comme SnapChat et TikTok. À titre d’exemple, sur TikTok, 3.5 millions de vidéos ont été publiées avec le hashtag #BlackLivesMatter en 2020, sont ont été d’autant plus virales que le format du snack-content permet un visionnage et partage exponentiel.

#BlackLivesMatter chez Kickstarter
#BlackLivesMatter chez Kickstarter

Il ne fait donc plus aucun doute que les marques non exemplaires au niveau RH et RSE perdront globalement des points auprès de leurs consommateurs et seront partiellement délaissées pour des marques réellement engagées.

À suivre : notre cours sur comment construire une marque dans le temps et améliorer la marque-employeur de votre organisation.

Le Content Marketing change de cap 

De son côté, le marketing de contenu reste très en vogue. « Content stays king », mais en 2021, les formats seront de plus en plus variés et l’Intelligence Artificielle viendra améliorer l’expérience utilisateurs globale sur ces contenus.

  • L’alternance entre snack content et vidéos longues en Live

Si en 2020 les vidéos courtes ont fait un carton, elles resteront probablement importantes en 2021. C’est en tout cas ce que présagent l’avènement de TikTok, la fonction Spotlight de Snapchat, Reels d’Instagram ou Shorts de YouTube.

Pour autant, une autre tendance de fond se dessine, puisqu’en 2020, l’éducation en ligne, encore appelée online learning, a explosé. Pour surfer sur la vague éducative numérique, il faudra à la fois proposer des webinaires sans rediffusion, du contenu éducatif plus poussé et donc plus long, mais aussi proposer du contenu sous forme de séries pour stimuler le FOMO (Fear Of Missing Out), puissant facteur de rétention des audiences.  

  • Le retour en grande pompe des contenus longs 

Pour la même raison, à l’inverse de 2019 et 2020 où le snack-content était très répandu car adapté au format social media, les articles et études de fond vont refaire surface en 2021. Fatigués par les fake news et le greenwashing, les consommateurs veulent à présent accéder à du contenu de qualité, issu de sources fiables. Une étude de Buzzmo a d’ailleurs mis en lumière que les articles longs étaient plus relayés sur les réseaux sociaux. 

  • L’explosion du format « Podcast »

Cette tendance à la recherche de contenu de fond et au recentrage sur l’apprentissage (la lame de fond du online learning…) explique aussi le bond faramineux du podcast, qui devrait se retrouver en tête des contenus les plus plébiscités dans les stratégies marketing digital de 2021.

  • L’éditorialisation et la personnalisation via l’IA 

En 2021, l’Intelligence Artificielle devrait aussi être prise en compte pour définir les calendriers éditoriaux. Les algorithmes devenant de plus en plus pertinents, ils permettront, au moyen d’une analyse sémantique perspicace et de contenus de qualité, d’introduire plus de personnalisation. Ainsi, l’expérience utilisateur au contact de l’outbound marketing n’en sera que meilleure.

À suivre : notre cours sur le marketing de contenus.

Quoi de neuf côté SEO ?

Voici les tendances en ce qui concerne le référencement : 

  • Il faudra chiader le contenu sémantique

Bien que le contenu reste, sans surprise, prédominant dans les stratégies webmarketing, il faudra à présent créer tout un nuage sémantique autour d’un mot clé pour enrichir la réponse. Google portera toujours attention à la pertinence et la qualité du contenu, avec une attention portée sur la précision et la concision des informations. 

Afin d’arrive en tête de liste dans le SERP, une intro sous forme de liste pourra être très bénéfique et donner envie de cliquer.

Exemple de SEO

  • Le Linking interne sera de plus en plus important 

Pour un maillage interne correct, il faudra que les liens tournent autour du sujet ou thème principal recherché par l’internaute. 

  • Le référencement sera de plus en plus local

Environ 65% des recherches Google sont sur des réponses locales. En effet, la crise sanitaire a recentré les citoyens sur les commerces locaux, qu’ils ont globalement décidé de plus soutenir. À bon entendeur !

À suivre : notre cours pour améliorer les performances techniques de son SEO.

Pour aller plus loin :

Quels métiers exercer après des études  en communication et marketing ?

Les ingrédients d’une plateforme de marque réussie

Formation en marketing et communication en alternance chez OpenClassrooms, mode d’emploi

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Özlem et Rana, professionnelles turque et syrienne, codent aujourd’hui en France

Par : Nora Leon

Özlem est physicienne de formation en Turquie ; Rana est une ingénieure informatique syrienne, qui exerçait jusqu’en 2015 en tant que maître de conférences en informatique à l’université d’Alep. Özlem a dû quitter son pays à cause du contexte politique, Rana pour rejoindre son mari. En France, elles se forment au sein de la formation développeuse Web en alternance chez OpenClassrooms, et réinventent leur vie professionnelle avec brio. Portraits croisés. 

D’où viens-tu et comment es-tu arrivée en France ?

Özlem : Je viens de Turquie. J’y ai grandi pendant les 29 premières années de ma vie. Je suis arrivée en France le 2 juillet 2017. J’ai dû quitter la Turquie car je suis socialiste et militante. Être opposée au régime, c’est un dur et long combat. Mais j’étais déterminée… j’ai été arrêtée et jugée par le régime en place. Après mon jugement, j’ai dû partir, car rester en Turquie était dangereux pour moi.

Rana : Je suis arrivée en 2015 en France, pour rejoindre mon époux. Je l’avais rencontré en 2011 alors qu’il faisait ses études d’architecture à Alep et que j’étais comme lui maître de conférence à l’université. Comme il avait fait son master et son doctorat en France, en 2012, quand la guerre a commencé, l’ambassade française de Syrie l’a rappelé en France. Nous nous sommes mariés et j’ai pu le rejoindre. 

Veux-tu nous raconter la transition ?

Rana : Au début, ça a été pas mal de découvertes et de déménagements pour trouver notre équilibre. Nous avons habité à Angers, où nous avons de la famille. J’ai découvert la vie là-bas. Au bout de quelques mois, nous avons attendu un heureux événement.

Ma fille est née en août, et après m’être occupée d’elle pendant deux ans et demie, dès qu’elle a été à la crèche, j’ai pu reprendre ma vie professionnelle. 

Comment as-tu trouvé ton alternance ? 

Rana : Quand on arrive dans un nouveau pays, on cherche à valoriser son cursus professionnel. Au cours de mes recherches pour trouver un emploi, j’ai découvert Techfugees. C’est une organisation internationale qui accélère l’inclusion sociale des personnes déplacées à travers une utilisation responsable des nouvelles technologies. Le programme que j’ai intégré, T4WOMEN, vise l’orientation des femmes réfugiées dans les métiers du numérique.

Pendant six mois, on suit des cours et on visite des entreprises de la Tech pour choisir un métier et trouver son nouvel employeur. L’équipe de Techfugees m’a bien aidée. Comme j’habitais à Angers, ils ont pris en charge mes aller-retours. Le programme d’accompagnement que j’ai suivi dure six mois. Au début, je ne pensais pas me déplacer autant… Mais l’équipe m’a encouragée.

À la fin du programme, j’ai eu trois propositions d’embauche. J’avais une offre de CDI à Paris chez Octo Technology, mais trouver un logement et une école pour ma fille aurait été difficile. On me proposait aussi deux alternances en développement, chez RTE et Cstar Industries.

J’ai choisi de continuer à me former via l’alternance, et de le faire en télétravail chez Cstar depuis Angers. 

Özlem : Moi aussi, j’ai participé au programme T4WOMEN de Techfugees. C’est vrai qu’il permet à la fois d’améliorer son français, de suivre des cours intéressants et de rencontrer de nombreuses entreprises pour choisir son métier. Pour moi, c’était utile, car je suis physicienne de formation, et que j’avais choisi de me reconvertir. J’ai rencontré RTE, l’entreprise où je fais mon alternance en développement informatique, à un job dating organisé par OpenClassrooms.

Maintenant, je me reconvertis de la physique à l’informatique ! 

Et la suite ? Comment l’envisages-tu ?

Özlem : Je suis contente de ma formation en informatique avec OpenClassrooms et de mon alternance. RTE, l’entreprise où je travaille, est dans le secteur de l’énergie. Cela m’intéresse beaucoup de travailler dans cette branche, j’espère donc y avoir un contrat en CDI à la fin de mon alternance en tant que future  développeuse Web

Rana : J’ai commencé mon alternance chez Cstar Industries en janvier. C’est un défi d’arriver sur des projets déjà commencés, de comprendre le contexte… Maintenant que je suis mieux intégrée, je suis épanouie en poste. Si j’ai la chance de continuer comme développeuse web avec mon entreprise actuelle, je le ferai avec plaisir. 

Côté études, j’ai obtenu mon Master I en Génie Informatique en Syrie en 2016 et j’ai toujours l’espoir de terminer mon master II un jour !

Au côtés de Techfugees et d’entreprises engagées pour le bien commun telles que notre partenaire RTE ou Cstar Industries, OpenClassrooms espère que ce genre de programmes de formation solidaires ouvrira la voie à une éducation plus inclusive, juste et accessible.

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Formation en marketing et communication en alternance chez OpenClassrooms, mode d’emploi

Par : Nora Leon

Les métiers du marketing sont en plein essor. En effet, les marques ne peuvent plus se passer de professionnels qui peaufinent leur image, formulent leurs messages et gèrent leurs communautés. Selon Regions Jobs, plus de 100 000 postes auraient été pourvus en 2019, soit 1/8ème des postes dans le secteur du numérique

Une formation en communication en alternance est une excellente porte d’entrée pour obtenir un CDI en marketing ou en communication. Non seulement, on est payé pendant ses études, mais on acquiert de l’expérience en poste en parallèle de sa formation. Les alternants qui se rendent indispensables ont toutes leurs chances de transformer l’essai et de rester en CDI.

Alors, quelle alternance en marketing ou alternance en communication puis-je suivre ? Comment choisir ? Comment postuler en alternance au sein de l’école à distance OpenClassrooms ? Et comment se passe l’alternance une fois accepté(e) ? 

Quelle formation choisir en marketing et communication ?

Le secteur offre de nombreux choix d’évolution et de spécialisation. Deux possibilités s’offrent à toi au sein d’OpenClassrooms : 

✔ Suivre une formation équilibrée et généraliste
✔ Te spécialiser directement en community management

1- Rester « généraliste »

La formation responsable marketing et communication en alternance te permettra d’avoir des connaissances étendues et transverses en marketing et communication. Des stratégies (rédaction d’un livre de marque, d’une charte éditoriale, réflexion sur les contenus à produire) à l’opérationnel (mise en place d’une recommandation de communication, relations presse, social media…), tes connaissances te permettront de piloter de nombreux projets. Tu pourras accéder à un poste généraliste pour ensuite te spécialiser dans ce qui te plaît le plus. 

Nous te conseillons cette option si : 

  • Tu veux te laisser un peu de temps pour choisir ta spécialité
  • Tu aimes être polyvalent(e) et tu es curieux(se) de tout apprendre 
  • Tu projettes de rester généraliste (responsable marketing et/ou communication)

« Suite à ma formation chez OpenClassrooms, je fais du conseil en marketing et communication. Je propose toute une gamme de services à mes clients, c’est très varié. Cela va des recommandations sur un site Internet à la marque, ou encore les réseaux sociaux ».

Caroline, diplômée en marketing et
communication et cheffe d’entreprise à Béziers

2- Te spécialiser directement

Pour celles et ceux qui savent déjà qu’ils veulent se spécialiser en Social Media et gérer des communautés en devenant la voix des marques, la formation Community Manager en alternance est la plus indiquée. 

Les réseaux sociaux sont devenus très rapidement un passage obligé pour les marques. La façon dont elles s’expriment dessus et dont elles gèrent le rapport à leurs communautés est déterminante ! Les spécialistes manquent à l’appel : il y a donc de très belles places à prendre. 

Nous te conseillons cette option si : 

  • Tu connais par cœur les réseaux sociaux et tu es curieux de leur évolution
  • Tu aimes discuter, échanger, argumenter, tu veux une grande composante sociale dans ton métier
  • Tu veux devenir expert(e) dans un domaine stratégique en manque de talents.

« Je suis Community Manager dans l’industrie automobile. Je suis le seul CM et mon métier est assez nouveau, donc je suis vraiment libre et force de proposition. J’ai tout à construire : c’est très intéressant et gratifiant. » 

Kévin, Community Manager chez
Skoda, Seat, Audi et Volkswagen à Nantes

Notre conseil pour trancher :

✔ Tu es un peu perdu(e) ? Honnêtement, ces deux cursus sont passionnants, mais si tu veux te laisser plus de choix, choisis celui en marketing opérationnel, qui comprend aussi un volet en Social Media.

✔ Si au contraire, les réseaux  sociaux c’est toute ta vie, c’est un choix judicieux : FONCE !

3- Et pour les plus expérimentés ?

Si tu as suivi une formation en marketing ou que tu as déjà travaillé dans le secteur, la formation expert en stratégies marketing et communication en alternance te conviendra parfaitement. Tu y approfondiras les recommandations stratégiques de manière pratique pour pouvoir conseiller à peu près n’importe quelle marque. Une compétence rare et qui se vend cher sur le marché de l’emploi ! 

Comment postuler en alternance ?

L’alternance,  c’est un emploi, dès le premier jour. L’entreprise te paie un salaire ainsi que ta formation… Elle doit donc se dire qu’elle fait un bon investissement ! 

Pour qu’elle s’intéresse à ton profil, il faut donc lui prouver que tu es très intéressé(e) par ton futur métier, très motivé(e) et proactif(ve).  Il faut que tu aies déjà de bonnes connaissances et peut-être même que tu aies fait quelques cours en autodidacte, un petit projet (un blog, la gestion des réseaux d’une association…, etc.), et que ton projet professionnel tienne bien la route.  Sinon, tu auras du mal à décrocher un contrat !

C’est la raison pour laquelle nous sélectionnons les candidats les plus motivés et dont le projet est le mieux construit

Pour postuler, il te faudra : 

– Choisir le parcours de formation que tu veux suivre et expliquer pourquoi
– Nous parler de ton projet professionnel qui doit être construit
– Envoyer ton CV
– Fournir la copie de ton diplôme le plus élevé
– Démontrer que tu as les pré-requis pour ce parcours (s’il y en a)
– Confirmer que tu as bien le matériel pour étudier avec nous (ordinateur avec micro, caméra et connexion Internet fiable)
– Si tu es demandeur d’emploi : fournir ton numéro Pôle emploi.

Tu peux postuler tout au long de l’année. Si tu es admis(e), c’est gagné ! On t’aidera à trouver ton employeur, gratuitement

 

Mon projet est cohérent, je postule !

 

Tes avantages en alternance chez OpenClassrooms 

Nous sommes une école en ligne,  ce qui a plein d’avantages pour toi et ton employeur : 

  • On t’aide à trouver ton entreprise, gratuitement 
  • Tu peux commencer toute l’année ! 
  • Tu peux faire l’alternance où tu veux en France
  • Les jours où tu es en formation, tu t’organises comme tu veux
  • Tu es bien accompagné(e) : par un coach RH pendant deux mois pour trouver ton entreprise, puis par un mentor expert métier chaque semaine et par ton maître d’alternance. 

Intéressé(e) ?

Tu as déjà un projet en béton ? Tu es motivé(e), tu as déjà de bonnes bases autodidactes (ou acquises en formation ou sur le marché de l’emploi) dans ton futur métier pour convaincre un recruteur de t’embaucher ? Tu es disponible pour mettre le paquet en recherchant une alternance à raison de 25 heures par semaine ? 25 heures, cela peut te paraître beaucoup, mais cela te permettra de décrocher ton alternance rapidement – et cela te préparera au temps complet de 35 heures une fois en poste chez l’employeur. 

Tant que tu remplis les pré-requis de la formation choisie (si elle en a, tu n’auras besoin que d’un ordinateur doté d’une caméra, d’un micro et d’une connexion Internet fiable. N’hésite plus, postule en nous expliquant bien ton projet. Nous avons hâte d’avoir de tes nouvelles.

 

<<   Je postule   >>

À lire ensuite :

https://blog.openclassrooms.com/blog/2020/07/16/lalternance-en-ligne-chez-openclassrooms/

L’alternance en ligne chez OpenClassrooms, pas à pas

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Techfugees, RTE et OpenClassrooms s’associent pour accélerer l’accès des femmes réfugiées à la formation et l’emploi dans la Tech

Par : Nora Leon

Dans nos sociétés à l’évolution rapide, l’accès à l’éducation et aux compétences du numérique seront déterminants pour façonner un monde plus inclusif et durable.

« De nombreux acteurs s’engagent déjà pour faire rimer numérique et inclusion. Parmi eux, l’école en ligne OpenClassrooms travaille notamment avec plusieurs acteurs pour accompagner des personnes réfugiées dans leur intégration professionnelle en leur permettant de se former à des métiers en tension. Un dispositif qui révèle le potentiel des personnes réfugiés en même temps qu’il traduit l’ambition de l’entreprise : rendre l’éducation accessible ».

Maureen Sigliano, Présidente du Comité d’Impact d’OpenClassrooms

Depuis quelques années déjà, des associations et des entreprises prennent à bras-le-corps la problématique de l’accompagnement des personnes réfugiées. Et pour cause : dans un monde jalonné par les guerres et où les dérèglements climatiques exponentiels pourraient amener 140 millions de personnes à devoir se déplacer d’ici à 2050*, cette problématique déjà prégnante risque de devenir centrale pour bon nombre d’États.

Loin d’adopter une vision misérabiliste de la situation, Techfugees est une organisation internationale qui œuvre à accélerer l’inclusion sociale des personnes déplacées à travers une utilisation responsable des nouvelles technologies. OpenClassrooms et des employeurs gagnés à la cause des personnes réfugiées ont à cœur de faire leur part en permettant l’accès à des formations certifiantes ou diplômantes à distance et en embauchant ces talents.

Former pour élargir les horizons

L’un des programmes phares de Techfugees s’intitule T​F4WOMEN​ (Tech For Women). Il vise l’orientation et l’insertion professionnelle de femmes au statut de réfugiées dans les métiers du numérique. Pour Marine Plossu, Responsable Programmes & Partenariats chez OpenClassrooms, les synergies avec OpenClassrooms sont naturelles : « ​Techfugees fait partie des associations qui agissent pour l’insertion professionnelle des réfugiés politiques ou environnementaux. Nous travaillons aussi avec Wintegreat, Singa et des CPH pour ne citer que ces structures. Elles sont nombreuses à épauler les réfugiés. Chez OpenClassrooms, nous rendons l’éducation accessible via des formations diplômantes, professionnalisantes et accessibles à distance. En outre, nous attachons une importance particulière au fait de favoriser l’insertion des femmes dans les métiers du numérique, avec le concours d’employeurs engagés comme RTE ou Cstar. Nous sommes fiers d’avoir mis sur pied cette collaboration vertueuse avec Techfugees et RTE. Nous espérons la voir se démultiplier dans les mois à venir !​ ».

Justement, depuis 2019, les participantes au programme d’insertion de Techfugees, désignées par le termes de “f​ellows​”, suivent les cours d’OpenClassrooms sur les métiers de la Tech afin d’obtenir des certificats reconnus par les employeurs français. Ces cours sont assortis de sessions de mentorat assurées par des employés issus des rangs des partenaires du programme TF4Women comme RTE, BNP Paribas, Leetchi-MangoPay ou encore Cisco France.

Pour Joséphine Goube, CEO de Techfugees,

C​’est une formidable opportunité pour nos fellows qui sont en majorité qualifiées à hauteur d’un BAC +3, de voir leurs compétences enfin validées et reconnues par des employeurs français.

« Quant à l’embauche, elle est simplifiée par la relation de confiance qui s’installe au travers des sessions de mentorat et de la progression constatée sur la plateforme d’OpenClassrooms« . ​Mieux encore, plusieurs fellows​ ont su trouver un emploi en alternance à l’issu du programme et dans le cadre d’une formation diplômante chez OpenClassrooms.

C’est le cas d’Ozlem et Mojan, toutes deux en alternance au sein de RTE, une entreprise du secteur de l’énergie.

Ozlem, jeune militante turque de 29 ans et réfugiée politique en France, y est arrivée en juillet 2017. Elle suit le parcours développeuse web en alternance chez RTE.

Mojan, elle, est iranienne. Également arrivée en France en 2012, elle fait alors de l’apprentissage du français une priorité. Volontaire, elle réussit à convaincre un agent de la Mairie de Paris de l’embaucher comme assistante en maternelle. Elle y reste quatre ans, avant d’essayer de trouver un emploi dans la chimie, sa formation en Iran. Malgré un stage chez l’Oréal, elle ne parvient pas à décrocher de poste : « b​ien que ma licence en Chimie ait une équivalence en France, c’était difficile de retrouver un emploi dans cette branche. Aucun poste n’était ouvert chez l’Oréal à l’issue de mon stage… ».

Je pense que j’avais surtout besoin de me remettre sur des rails, de retrouver confiance en moi et de me rediriger vers un secteur plus porteur​ .

Coup du destin, Mojan entend parler de Techfugees, qui propose un programme d’insertion des réfugiés dans la Tech. Tout se dénoue pour elle : « L​e programme Fellowship était très complet. Au fil des visites chez les entreprises de la Tech et des cours sur OpenClassrooms, en 6 mois, j’avais confirmé mon intérêt pour la gestion de projet. J’avais déjà travaillé avec les méthodes en cascade en Iran, et donc je voulais creuser. À un job dating organisé par Techfugees, j’ai rencontré le directeur recherche et développement de RTE, qui a été intéressé par mon profil. Aujourd’hui, je me forme au métier de Product Manager au sein de cette entreprise du secteur de l’énergie. C’est passionnant ».

Pour les deux jeunes femmes, le soutien de Tech fugees et d’OpenClassrooms ainsi que la confiance des équipes de RTE leur a permis de se forger des perspectives d’avenir à la hauteur de leurs ambitions et compétences, en France.

Un vivier de talents pour les employeurs 

L’équipe de Techfugees en est convaincue : les personnes déplacées représentent un potentiel humain et professionnel invisible. Ce sont des femmes le plus souvent éduquées qui parviennent à se réfugier en Europe. Elles sont donc frustrées de ne pas pouvoir reprendre leur carrière dans leur pays d’accueil. Pour Joséphine,

c​’est grâce à la collaboration constructive entre des employeurs engagés comme chez RTE, l’équipe professionnelle et bénévole de Techfugees qui identification et accompagne ces personnes réfugiées et à la mise à disposition efficace de contenus pédagogiques dispensés par OpenClassrooms, que nous avons pu offrir aux fellows les opportunités qu’elles méritent.

En effet, 80% des fellows ont reçu des offres d’emplois à la sortie. « C’est une première étape, importante, vers une éducation plus inclusive, conduisant à l’embauche et à la reconnaissance des compétences de femmes réfugiées en France dans les secteurs du numérique », conclut la cheffe d’entreprise.

L’enthousiasme de Isabelle Tanguy, P​ilote de projets en Ressources Humaines c​hez RTE, est représentatif des retours que font les entreprises face à la qualité des candidats issus des programmes de Techfugees. Pour elle, embaucher une réfugiée est à la fois gage du sens éthique de l’entreprise, mais aussi une réelle opportunité de recrutement. « ​Nous sommes ravis de nous associer à OpenClassrooms pour permettre aux femmes réfugiées de s’insérer sur le marché de l’emploi. Grâce à ce type d’alliance, nous générons des opportunités pour des futurs talents numériques. Ce partenariat entre les deux entreprises et l’association Techfugees résulte d’une collaboration naturelle qui traduit une vision commune ; créer un impact positif fort et pérenne chez les femmes réfugiées en formant les talents de demain. »

Ce partenariat entre les deux entreprises résulte d’une collaboration naturelle qui traduit une vision commune ; créer un impact positif fort et pérenne chez les femmes réfugiées en formant les talents de demain.

Au côtés de Techfugees et d’entreprises engagées pour le bien commun telles que notre partenaire RTE, OpenClassrooms espère que ce genre de programmes de formation solidaires ouvrira la voie à une éducation plus inclusive, juste et accessible.

* Source 

[Saviez-vous que c’était le bon moment pour démarrer une alternance ? Jusqu’au 31 décembre 2020, le gouvernement propose une aide à l’embauche. Les entreprises peuvent toucher entre 5 et 8000€ de prime d’alternance supplémentaire. Le temps de recherche a aussi été étendu de 3 à 6 mois après le début d’une formation. Vous commencez sereinement votre parcours diplômant chez nous, et nous vous aidons à trouver votre employeur dans les mois qui suivent. Rendez-vous sur notre page Alternance]

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De comptable en polynésie à développeur en Auvergne, le portrait d’Augustin

Par : Nora Leon

Du haut de ses 29 ans, Augustin Kavera a déjà eu plusieurs vies. Tour à tour comptable et militaire en Outre-mer et en France métropolitaine, il se reconvertit en 2017 en reprenant sa formation en ligne sur OpenClassrooms. Aujourd’hui, suite à une formation diplômante, Augustin est développeur web en Auvergne. Portrait. 

De la Polynésie Française à l’hexagone 

Augustin est originaire de Polynésie. Il y grandit et y étudie la comptabilité. Puis, lui vient l’envie d’explorer les autres aspects de son pays en travaillant dans l’hexagone. Il s’engage donc dans l’armée. “J’habitais depuis toujours en Polynésie. C’est juste à côté des Amériques. Donc, pour mes vacances, j’allais de temps à autre avec des copains du lycée aux “States” (San Francisco, Vegas, NY), en Nouvelle Zélande, à Hawaii. On s’organisait de petits voyages et on économisait pour se payer le billet, l’hébergement et les loisirs. À un moment, je me suis rendu compte que je ne connaissais pas la France métropolitaine. C’est pour cela que je me suis engagé dans l’Armée de terre. J’avais envie d’explorer de nouveaux horizons”. 


En France, Augustin fait partie tour à tour de deux régiments : un régiment de transmissions [pour établir un maillage de communication avec de la CHF (Chaîne des forces Hertzienne), de la HDTAC (Haut-Débit Tactique) et Syracuse 3 (cf. Wikipédia)] et un régiment d’artillerie. Là-bas, il tombe amoureux. Sa compagne est elle aussi militaire, au sein d’un régiment différent. Comme souvent dans la vie, Augustin fait un compromis.Avec ma compagne, nous appartenions à deux régiments différents. C’est difficile, dans ces cas-là, de créer une vie de famille, surtout que nous venions d’avoir notre premier enfant. J’ai donc quitté l’armée. C’était la bonne décision, car j’avais fait le tour de mon boulot en tant que militaire. Je ne regrette rien car il m’a fait grandir : la cohésion d’équipe m’a aguerri humainement. Mais c’était le moment de repartir à l’aventure autrement”. 

C’est alors qu’Augustin se tourne vers l’un de ses premiers amours, l’informatique.

Une reconversion à base de persévérance

Augustin était, comme beaucoup d’ados, mordu de jeux vidéos. “Plus jeune, j’étais un geek ! Avec mes amis, on aimait les jeux vidéos, on organisait des LAN entre amis, on se partageait quelques ‘astuces’ pour craquer un logiciel payant par exemple. On bidouillait aussi quelques hacks pour pouvoir jouer à certains jeux. En souvenir de cela, j’ai décidé de commencer une carrière dans l’informatique”. 

Pour se former, il a le réflexe “Internet”. En faisant quelques recherches, il trouve OpenClassrooms. Réticent au début, il se concentre sur les avantages de l’éducation en ligne : “j’étais un peu mi-figue, mi-raisin. Mais ça me plaisait d’être autonome et d’apprendre à mon rythme. Et comme je m’étais ennuyé dans des études trop théoriques à mon goût, je ne voulais plus me retrouver assis sur une chaise, devant un professeur« .

La promesse d’avoir un mentor m’a aussi convaincu. Et maintenant que je suis diplômé, je peux l’assurer : c’est le pilier de la formation, qui nous aide vraiment à réussir.

Avec l’aide de ses mentors, Augustin prend à bras-le corps les projets de sa formation en développement et gestion de projet. Des exercices pratiques non sans défis. Il raconte : “Le premier projet nous mettait dans le bain de WordPress, c’était facile et motivant. C’est au deuxième que ça a commencé à se corser. C’était le module “gestion de projet” de la formation. Il y avait de l’administratif, par exemple des notes de cadrage à rédiger. Je me suis demandé, comme d’autres, si j’avais choisi la bonne formation. Mais j’ai tenu bon et à partir du projet 3, c’est redevenu du code”. 

Et c’est justement ce projet de code qui donne le plus de fil à retordre à Augustin. “C’était du PHP orienté objet. Pour un débutant, c’était costaud ! Le cours sur la POO était trop avancé, avec des termes techniques qui font mal à la tête. Ça a été bien galère. Sur ce projet, j’ai effectué un changement de mentor car je n’avançais pas. Heureusement, OpenClassrooms m’a attribué une mentor qui m’a apporté des explications et beaucoup aidé. C’est aussi la force de la formation, le changement de mentor. Beaucoup n’ont pas assez de cran pour le demander de peur de blesser la personne mais quand il faut, on ne se pose pas la question, on fonce et on avance : sinon on stagne. J’ai vu cette lumière blanche qui m’attendait à la sortie du tunnel”. 

Une fois cet obstacle passé, Augustin monte en puissance dans son apprentissage.

Suite au projet 3, j’ai eu un déclic. Les projets suivants sont devenus plus faciles. Je captais vite et ma formation s’est accélérée

Fort de cette expérience, Augustin a pris du recul sur ses études. Pour lui, la clé est de continuer coûte que coûte. “Dans ce genre de formations, il y a toujours des coups de blues. Mais il ne faut pas baisser les bras. Il faut s’accorder une pause, puis revenir. En 2018, j’ai parrainé des étudiants moins avancés que moi dans la formation. L’un d’eux a lâché sur le projet 3. C’était dommage : il avait beaucoup bossé et s’était autofinancé. Mes autres filleuls, eux, ont tenu bon et obtenu leur diplôme. Il faut se donner les moyens de réussir. On termine ce que l’on a commencé, peu importe si on fait une pause”.

Un nouvel emploi au poil 

Une fois diplômé, Augustin cherche un emploi en Auvergne. Il raconte :

C’était un peu dur de trouver un job. On demandait de l’expérience et il fallait se vendre. Mais j’ai été coaché par un mentor en insertion professionnelle et cela m’a beaucoup aidé.

Aujourd’hui, Augustin est développeur d’applications au sein du Conseil départemental du Puy de Dôme. Un poste polyvalent et dense qui mêle de la création d’application intranet pour tous les services du conseil en fonction des demandes, de l’intégration de formulaire sur un CMS, des créations de structure de sites satellites et même du référencement. 

En ce moment, l’un des projets sur lesquels il travaille est la réalisation d’un site pour promouvoir au niveau local des actions vers la transition écologique. Le conseil régional propose des événements autour des initiatives “vertes” auxquelles les résidents peuvent participer, et Augustin gère le site dédié, code le formulaire d’inscription pour participer à l’événement et le back-office utilisé par les employés du conseil pour gérer l’organisation. Il gère aussi la maintenance de tous les sites institutionnels propres au Conseil.

Au-delà de cela, il se concentre sur le fait de s’adapter à son poste actuel, d’acquérir de l’expérience et à moyen-terme de proposer des améliorations au niveau technologique. “Je suis sur les traces de celui que je remplace. Je code en utilisant  JavaScript (AJAX, JSON, JSONP, JQuery) avec du PHP et de la programmation orientée objet. Lors de ma formation, j’ai été formé aux nouvelles technologies tel que Symfony 3+. Dans mon job, je dois au contraire revenir à d’anciennes technologies. Notamment du PHP 5.3.13 avec le framework Laravel 4.2 alors qu’aujourd’hui on est sur des versions 7 de PHP et avec la version 6 de Laravel. Il y a un très gros écart entre les versions que j’utilise au travail et ce qui existe aujourd’hui. Sur 10 lignes de code, je pourrais économiser 9 lignes par exemple. Il faut s’adapter constamment et toujours rester en veille. Mais je pourrai proposer des bonnes pratiques pour migrer nos apps quand j’aurai un peu plus d’expérience”.

Maintenant qu’il code, la vision d’Augustin sur le monde de l’informatique a évolué. « C’est tellement technique et passionnant, entre les algorithmes, la logique mathématique et le foisonnement des langages et frameworks. J’ai tout à explorer« , s’enthousiasme-t-il.

Et lui de conclure avec une fierté toute légitime :

Je suis parti de rien et aujourd’hui je suis développeur

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Projetez-vous de manière positive pour réussir

Par : Nora Leon

Vous avez probablement déjà entendu parler de sportifs qui réalisent des prouesses dont personne ne les croit capables, et notamment d’Axel Alletru, ex-champion au niveau olympique de moto-cross, qui a réussi à remarcher après un accident qui devait le laisser paralysé, selon les dires de tous les spécialistes.

Dans le sport, il paraîtrait que les exploits résideraient à 90% dans le mental et à 10% dans le physique.

Mais alors, comment font ces sportifs pour augmenter leurs chances de réussite via leur mental ? Existe-t-il une méthode pour multiplier ses chances de succès ?

Oui. Cela s’appelle la projection positive ou encore la préparation mentale. Et pour bien commencer 2018 et vous aider à atteindre vos objectifs pour cette année qu’on vous souhaite fabuleuse, nous avons voulu vous partager cette méthode souvent utilisée par les plus grands champions et certains professionnels qui ont du succès.

D’accord, mais en quoi cela consiste-t-il ?

La projection mentale positive (utilisée notamment par Zinedine Zidane) est le fait de se projeter dans un futur positif, toujours en situation de réussite.

Le principe est simple : au niveau neurologique, notre cerveau a le pouvoir de conditionner notre corps. Pour s’en convaincre, pensons par exemple à la douleur que peut supporter une femme lors d’un accouchement : son organisme libère certaines hormones telles que l’endorphine, un opiacé qui permet de maintenir la douleur à un niveau supportable. Axel précise :

Il faut que les objectifs soient réalisables. Lors de ma rééducation, j’ai d’abord eu une infime récupération musculaire dans les quadriceps. Je m’y suis raccroché et c’est dans un deuxième temps, que la visualisation m’a permis de récupérer encore davantage.

On peut aussi penser à l’effet anti-stress des endorphines, qui fait des grands sportifs des gens moins stressés que la moyenne.

Eh bien, aussi fou que cela puisse paraître, notre cerveau peut de la même façon conditionner notre corps pour réaliser des objectifs que l’on s’est fixés, si on les visualise assez précisément et assez régulièrement.

Alors, comment se projeter positivement ?

La première étape consiste à vous fixer un objectif clair, réalisable, avec une date butoir. Par exemple : “Je souhaite réussir à courir un semi-marathon dans 6 mois”. Pour Axel, l’important a été de fonctionner par paliers.

Lors de ma première séance de rééducation, j’ai compris que mon objectif de remarcher était trop énorme, que cela demanderait beaucoup de temps. Pour ne pas perdre ma motivation, j’ai donc découpé ce challenge en plusieurs petits objectifs, ainsi chaque palier atteint représentait une petite victoire qui m’encourageait à progresser encore.

L’étape suivante vous fait entrer dans le vif du sujet : prenez l’habitude d’imaginer votre objectif (ou le palier vers votre plus grand objectif) atteint. Et quand je vous dis “imaginer”, cela signifie visualiser de façon précise, concrète, détaillée. Comme si vous y étiez ! C’est en effet en vous forçant à le voir que votre cerveau vous donnera les moyens de le réaliser.

En pratique, cela donne quoi ? Vous imaginez avec le plus de détails possibles votre environnement. N’hésitez pas à imaginer le circuit du semi-marathon, les coureurs autour de vous, votre tenue, vos proches derrière les barrières en train de vous encourager, la cadence de votre souffle, l’intensité de l’effort…

Vous pouvez le faire de deux manières :

  • Soit vous le faites en perspective interne : vous imaginez que vous contemplez la scène à travers de vos yeux, comme si vous y étiez.
  • Soit vous le faites en perspective externe : vous voyez la scène, mais vous vous regardez aussi en train de courir, etc.

Il n’y a pas de règle, prenez la perspective qui vous vient en tête le plus spontanément, c’est sûrement celle qui vous paraîtra la plus confortable et réelle.

Les meilleurs arrivent à se transposer 20 minutes dans une situation projetée. Certains sportifs assurent même qu’ils transpirent et ressentent des crampes ou des courbatures après leur séance d’entraînement mental, alors même qu’ils sont tranquillement assis sur leur canapé ! C’est donc que le corps arrive à se déconnecter du réel pour aller vers la situation imaginée.

Pour Axel, la visualisation était quelque chose de familier puisqu’on lui en avait enseigné les bienfaits pour la préparation de grandes compétitions :

J’ai mis à profit pendant ma rééducation ce que j’avais appris dans le monde du sport. Je faisais plusieurs séances de 10 minutes environ chaque jour. Cela devait être des temps calme, de relaxation voire de somnolence au cours desquels j’ancrais dans mon subconscient les images de moi debout ou en train de courir. Je sentais mon cerveau être de plus en plus réceptif au point de ressentir l’émotion provoquée par la marche ou la course dans mon corps.

En effet, c’est un exercice qui demande de la concentration : pratiquez cela chez vous, au calme, sur un lit ou un canapé confortable. Et s’il ne se passe rien la première fois, c’est normal ! Plus vous pratiquerez, plus vous aurez de résultats. Vous devrez donc faire preuve de patience et de persévérance.  

Mais en tout cas, à en croire les sportifs et d’autres champions, si vous pratiquez cela  quelques minutes tous les jours, vous parviendrez à changer votre mode de pensée et à conditionner votre organisme pour qu’il vous donne les moyens de réussir ce qui vous semble a priori irréalisable.

Et rendre atteignable l’impossible, c’est ce qu’on vous souhaite pour votre carrière et vos projets personnels.

Pour aller plus loin 

Les 5 secrets pour rester motivé pendant ses études

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Études ou recherche d’emploi : 5 astuces pour rester motivé

“ Il n’y a qu’une façon d’échouer : abandonner avant d’avoir réussi ”.  Georges Clémenceau.

Vous avez bien l’intention de réussir vos études ou à trouver un emploi si vous êtes déjà diplômé. Pour vous aider à garder le cap, nous avons mis en place, entre autres :

  • Des sessions de mentorat ou de coaching pour les diplômés, où vous pouvez poser toutes vos questions

En plus de cela, nous voulions vous partager cinq conseils pour vous motiver au quotidien, et être dans les meilleures dispositions pour réussir. Suivez le guide !

1 – Fixez-vous des objectifs

Ne perdez pas de vue votre objectif final, c’est le plus important !

La clé, c’est pourquoi vous travaillez.

Vous voulez acquérir de nouvelles compétences ? Vous voulez vous reconvertir ? Vous êtes passionné par votre futur métier ?

Vous avez fini vos études et cherchez l’emploi qui vous rendra épanoui ?

Votre formation vous permettra d’être épanoui au quotidien dans votre emploi. Et suite à une recherche d’emploi organisée, vous trouverez  votre futur patron.

Si vous visualisez votre objectif, vous allez donner à votre cerveau l’impression que vous avez déjà réussi. Si vous regardez mentalement votre réussite comme si vous étiez au cinéma, votre cerveau va se conditionner pour mettre en place toutes les conditions de votre réussite : il créera les ressources (le courage, la patience, la motivation) pour vous aider.

Découpez la formation ou la recherche d’emploi en quelques grands objectifs

Vous fixer des objectifs à long terme est important. Mais ayez aussi des objectifs intermédiaires, plus facilement accessibles. Quelles sont les 3 à 5 grandes compétences que cette formation vous permettra d’acquérir ? Y a-t-il des grandes étapes à passer ?

Dans les cours, vous avez des chapitres et une barre de progression pour voir où vous en êtes. Dans les parcours, nous avons découpé les projets pour créer des étapes qui vous motiveront.

Si vous en êtes à la recherche d’emploi, quelles sont les grandes étapes à passer pour réussir ? Par exemple :

  • Améliorer votre identité en ligne
  • Créer un CV et un portfolio convaincants
  • Postuler à plusieurs entreprises
  • Être invité aux premiers entretiens…

Chaque fois que vous aurez atteint l’une de ces étapes, ce sera l’occasion de fêter vos progrès et de vous réjouir.

2 – Trouvez le lieu de travail adéquat

Pas de secret, pour bien travailler, il faut vous créer un espace où vous vous sentirez bien et pourrez vous concentrer. Certains étudiants ou diplômés travaillent uniquement de chez eux, d’autres préfèrent l’effervescence d’un café ou d’un espace de coworking. À vous de voir !

Si vous travaillez de chez vous, ayez un espace bien délimité de travail, par exemple votre bureau ou une table, pour pouvoir “couper” avec la formation ou la recherche d’emploi lorsque vous arrêtez de bosser.

Une autre solution est d’aller dans un espace de coworking, pour pouvoir travailler en émulation avec d’autres personnes qui sont à leur compte, sont consultants ou suivent une formation en ligne tout comme vous. Choisissez un endroit où vous vous sentirez bien (c’est très personnel). Si vous habitez à Paris, vous pouvez consulter cet article pour avoir des idées de coworkings à tester.

3 – Installez-vous dans une routine productive

Quand on travaille seul ou qu’on cherche un job, il est facile de procrastiner ou d’arrêter un moment sa formation ou recherche, et de prendre du retard.

Pour éviter cela, nous vous conseillons de vous fixer un objectif quotidien, et de vous y tenir.

  • Trouvez le moment de la journée où vous êtes productif : le matin ? l’après-midi, le soir ? Et optimisez cette plage horaire pour travailler efficacement.
  • Prenez le temps de déjeuner, si possible avec quelqu’un, pour vous changer les idées et repartir de plus belle l’après-midi. Ne négligez pas ce que vous mangez, “un esprit sain dans un corps sain” vous permettront de mieux réussir !
  • Ne vous laissez pas distraire. Lorsque vous êtes sur un projet ou une candidature, coupez les réseaux et mettez votre téléphone sur silencieux. Vous pouvez utiliser RescueTime pour limiter l’accès aux réseaux pendant votre temps de travail.
  • Continuez vos activités en parallèle. Un sport ou des activités culturelles vous permettront de garder un rythme de vie dynamique et de structurer encore mieux vos journées.

4 – Faites régulièrement l’inventaire de vos réussites et progrès

L’une des façons les plus efficaces de rester motivé est de prendre du recul régulièrement pour voir tout votre avancement.

Votre mentor ou coach peut vous aider à faire l’inventaire des compétences acquises et du chemin parcouru pour trouver votre emploi. Prenez le réflexe de vous réjouir !

  • L’atteinte de chacun de vos objectifs vous montre un nouveau jalon de réussite.
  • La barre d’avancement vous permet de suivre où vous en êtes.
  • Vous donnerez probablement des conseils aux autres étudiants : il est encourageant d’aider quelqu’un et de cette façon vous serez sûr d’avoir compris.
  • Au fur et à mesure, vous vous verrez progresser.

5 – Ne négligez pas le contact humain

Vous allez commencer ou avez entrepris cette formation seul, mais vous ne l’êtes plus.

  • Vous pouvez vous appuyer sur la communauté, puisque nos formations se réalisent dans un climat d’entraide.
  • Étudier ou chercher un emploi avec l’un de vos amis peut être motivant.
  • Travailler dans un coworking peut vous permettre d’être moins isolé.
  • Et l’appui de votre famille et de vos proches est précieux.

Si vous étudiez dans un parcours ou cherchez un emploi :

  • Votre mentor ou coach est là pour vous guider pendant votre session hebdomadaire.
  • L’équipe des conseillers pédagogiques est également présente.

Et voilà, vous connaissez maintenant les 5 secrets pour maintenir votre motivation au top, que vous soyez encore étudiant ou déjà en recherche d’emploi.

Et vous, quels sont vos meilleurs conseils pour rester motivé ?

On attend des nouvelles de vos belles réussites très bientôt !

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Quels métiers exercer après des études  en communication et marketing ?

Par : Nora Leon

Content, SEO, CRM, trafic, social media manager, growth hacker, responsable relations presse et communication, CMO… Les jobs en marketing et communication ont tellement d’appellations et de colorations différentes qu’il est difficile de s’y retrouver. 

Les puristes vous diront que les deux domaines n’amènent PAS aux mêmes métiers. Et ils auront raison dans un sens, car plus l’on se spécialise dans ces fonctions, plus l’on traite de problématiques distinctes. À haut niveau, la communication gère la construction d’une marque, son influence, sa notoriété et sa réputation. Le marketing est plus orienté data, conversion et de fidélisation client. 

Pourtant, notre école en ligne forme aux deux disciplines dans une même formation en ligne. Et pour cause : comprendre leurs enjeux est un atout. Car en entreprise, les actions marketing et communication sont liées. D’ailleurs, dans les petites structures (PME ou startups), il n’est pas rare que la même personne soit responsable de ce large périmètre. 

Structure de ce guide métiers : 

1- Savoir sonder ce qu’on attend d’un poste

2- Les postes de couteaux suisses 

  • Responsable marketing
  • Growth hacker  
  • Responsable communication 
  • Responsable contenus 

3- Les postes spécialisés 

  • Responsable marque 
  • Community manager 
  • Responsable événementiel 
  • Responsable presse 
  • Responsable mécénat 
  • Responsable communication interne 
  • Planneur stratégique
  • Responsable CRM
  • Responsable SEO
  • Chargé d’études marketing 
  • Chef de produit marketing 

Sonder ce qu’on attend d’un poste

Alors, au sortir de ses études en marketing et communication, comment choisir le job qui : 

  • Ait de l’avenir et soit recherché par les recruteurs ; 
  • Et convienne le mieux à sa personnalité et les missions qu’on veut assumer ?

Les métiers listés ci-dessous sont amenés à s’enrichir avec les évolutions digitales et sont recherchés par les recruteurs. Ils sont représentés pour les plus généraux dans toutes les entreprises et pour les plus spécialisés, généralement dans des entreprises plus installées. 

Pour trancher, voici quelques questions utiles : 

 

  • Est-ce que je veux travailler en agence, en cabinet d’études, ou chez l’annonceur ? Dans ce 3e cas, est-ce que je préfèrerais une PME, une startup, un grand groupe ?
  • Ai-je besoin d’être au contact de clients ? De travailler en équipe ?
  • Est-ce que je veux un emploi très stratégique et cérébral ? 
  • Est-ce que je veux être dans l’action ? Dans l’opérationnel ? 
  • Est-ce que je veux un job très technique ? 
  • Est-ce que je veux une diversité de missions ou me spécialiser ?

 

Pour aller plus loin, voici les informations sur les métiers. 

Les postes de couteaux suisses 

Responsable marketing

Quoi ? Sa mission : améliorer le chiffre d’affaires de l’entreprise par l’acquisition et la fidélisation clients. Cette mission se cristallise à travers la création d’un mix marketing pertinent (prix, distribution, promotion, produit). Pour ce faire, il élabore la stratégie publicitaire, coordonne les actions nécessaires pour faire connaître ses gammes, les vendre et prendre soin des clients (par exemple le CRM, les campagnes social media et adwords, le SEO, les opérations promotionnelles et partenariats, etc). Pour la diffusion, il crée et déploie le planning opérationnel. Il mesure ses résultats et reste en veille des innovations du marché et de la concurrence. En début de carrière, c’est un job souvent très opérationnel, surtout dans une équipe large. 

[À lire : Le marketing opérationnel selon Amandine Richardot]

Où ? Dans toutes les entreprises, quelle que soit leur taille.
Salaire : Jeune cadre : 35 à 45K (source : Apec, 2017). 

Pour qui ? Pour ceux que le produit intéresse, avec une appétence pour tous les outils du numérique, qui veulent échanger avec des clients et des partenaires et qui n’ont pas froid aux yeux en termes de data et d’analyse de résultats. 

Perspectives de carrière : à terme, CMO (Chief Marketing Officer). 

Synonymes : Marketing manager, marketing officer, chargé de marketing, responsable digital, responsable marketing opérationnel.

Growth hacker 

Quoi ? Sa mission : faire croître rapidement la base clients d’une startup, à l’aide d’un mix de compétences, allant du marketing d’acquisition au code, en passant par le CRM, le social media, le content marketing et la data science. 

Où ? Presque exclusivement en start-up, c’est-à-dire les entreprises faites pour croître de manière exponentielle et à la recherche de la rentabilité. Pour autant, certains grands groupes se dotent de ces profils hybrides pour dynamiser leurs départements marketing.
Salaire : Jeune cadre : 35 à 45K (source : Urban Linker, 2018).

Pour qui ? Pour les couteaux suisses intéressés par la tech, l’acquisition, le marketing digital et la fidélisation client.

Perspectives de carrière : directeur du CRM, CMO. 

Synonymes : Traffic manager, responsable acquisition. 

Responsable communication 

Quoi ? Sa mission : mettre en œuvre la communication externe et interne de l’entreprise. Gérer les relations presse et influenceurs. Améliorer la notoriété de l’entreprise par des événements, des campagnes de marque ou du contenu viral. Imaginer et créer ce contenu. Être le garde-fou de la réputation de l’entreprise.

Où ? Dans toutes les entreprises, quelle que soit leur taille.
Salaire : Jeune cadre : 35 à 45K (source : Apec, 2017). 

Pour qui ? Pour ceux qui échangent et se lient facilement avec les autres. Qui aiment discuter, argumenter, et rédiger. Qui sont à la fois créatifs et stratégiques. 

Perspectives de carrière : manager une équipe puis accéder aux fonctions de directeur de la communication.

Synonymes : Chargé de communication, communications officer / manager.

Responsable contenus 

Quoi ? Sa mission : dans un contexte où le marketing de contenus est roi, ce stratège décide du sujet, des formats et de la fréquence des contenus partagés aux consommateurs et prospects. Parmi eux, les articles, livres blancs, guides pratiques, vidéos, podcasts… Son métier est à mi-chemin entre la stratégie (que partager à qui et quand) et l’opérationnel (créer lui-même ou à l’aide de prestataires les contenus nécessaires). C’est en quelque sorte un journaliste qui a refusé de se spécialiser sur un média

Où ? Plutôt dans les entreprises de taille moyenne (où il y a déjà plusieurs personnes au pôle communication), au sein des grands groupes ou en agence.
Salaire : Jeune cadre : 40 à 45K (source : Apec, 2017). 

Pour qui ? Pour ceux qui aiment écrire et communiquer et qui veulent un emploi créatif, à la fois stratégique et opérationnel. 

Perspectives de carrière : rédacteur-en-chef, directeur de la communication. 

Synonymes : Responsable contenus numérique, concepteur-rédacteur, marketing content strategist,  rédacteur en chef.

Les très spécialisés 

Responsable marque

Quoi ? Sa mission : imaginer et développer les caractéristiques et messages de la marque en ligne avec les objectifs de l’entreprise. Puis garantir leur cohérence sur tous les supports et marchés (cela va de la marque employeur en lien avec les RH, aux événements de l’entreprise, aux partenariats…). Il définit la mission, vision, les valeurs et messages clés de la marque au sein du livre de marque. Pour son développement, il sonde les marchés et les opportunités pour repérer les tendances et se positionner en fonction.  Il co-crée des stratégies d’influence et d’e-réputation et des campagnes de communication pour améliorer la notoriété.

Où ? Plutôt dans les entreprises de taille moyenne (où il y a déjà plusieurs personnes au pôle communication) et les grands groupes, ou en cabinet de conseil en communication.
Salaire : Jeune cadre : 35 à 45K (source : Apec, 2017). 

Pour qui ? Pour ceux qui sont passionnés par les marques et leurs écosystèmes, sont créatifs et aiment être la plaque tournante entre plusieurs équipes.

Perspectives de carrière : manager d’une équipe, directeur de la communication.

Synonymes : Brand manager, head of brand, directeur de la marque.

Community manager 

Quoi ? Sa mission : être la voix d’une entreprise sur les réseaux sociaux externes ou internes. C’est lui qui crée (ou met en place, en fonction de la structure) la stratégie de communication sur les réseaux et les contenus dédiés (posts, vidéos et articles). 

[À lire : le métier de community manager par Amandine Gleyzes]

Où ? Dans tous types d’entreprises. Dans les plus petites, cet emploi est souvent fusionné avec le poste de responsable contenus (social content manager).
Salaire : Jeune cadre : 30 à 40K (source : Robert Half, 2017). 

Pour qui ? Pour ceux qui aiment représenter leur entreprise, discuter avec les clients, gérer des communautés, écrire, créer des contenus et ont du sang-froid pour gérer les crises et les cas clients épineux. Ceux aussi qui sont passionnés de digital et en veille constante.

Perspectives de carrière : dans cet ordre, social media manager, content manager, responsable communication, directeur de la communication.

Synonymes : Responsable social media, responsable médias sociaux, responsable communauté, head of community. Abrégé en CM. 

Responsable événementiel 

Quoi ? Sa mission : il préconise, imagine et pilote des événements, dans un but d’acquisition ou de fidélisation client ou en ligne avec le produit. Tout d’abord, il problématise l’événement : dans quel but, quoi, pour qui, quand, pour quel budget et avec quels KPI. Il établit le rétro-planning et conçoit l’événement. Cela inclut le choix du lieu, des prestataires, la conception et la mise en forme du contenu (musique, conférences…) et la supervision des aspects logistiques (accueil, sécurité, personnel, matériel technique). Il gère aussi les intervenants externes et internes en mode projet et établit le cahier des charges des intervenants. Il gère aussi la relation avec le public cible : choix des invités, invitations, actions de communication… Et enfin, il mesure les retombées pour mesurer le succès.

Où ? Dans les grands groupes ou les entreprises de conseil événementiel. Dans les PME et startups, ces missions sont souvent sous la responsabilité du responsable communication.
Salaire : Jeune cadre : 26 à 40K (source : Glassdoor, 2019). 

Pour qui ? Pour ceux qui aiment l’action, le contact humain et l’organisation au millimètre. Qui n’ont pas peur de gérer l’imprévu et aiment être dans l’anticipation. Pour ceux aussi qui sont créatifs et veulent gérer des projets de A à Z, dans toutes leurs dimension (de la stratégie aux actions opérationnelles les moins épanouissantes). 

Perspectives de carrière : responsable communication, head of community… 

Synonymes : Dans la jungle des jobs, celui-ci est aussi appelé events manager, responsablement événements, et parfois happiness manager quand il s’agit d’événements internes à de grands groupes.

Responsable presse

Quoi ? Sa mission : améliorer la notoriété et la réputation de l’entreprise au travers des relations presse. En clair : avoir d’excellentes relations avec les journalistes et organiser les actualités de l’entreprise autour d’infos chaudes ou froides pour faire le buzz. 

[À lire : RP : comment monter sa stratégie et mobiliser les journalistes ?]

Où ? Dans toutes les entreprises, même si dans les plus petites, cette responsabilité incombe au responsable communication. Plus l’entreprise est développée, et plus ce poste aura des enjeux critiques et spécialisés. Par exemple, une entreprise comme Uber ou Facebook a tout un pôle relations presse, et ce dans plusieurs pays.
Salaire : Jeune cadre : 38 à 45K (source : Glassdoor, 2019). 

Pour qui ? Pour ceux dotés d’une aisance relationnelle et d’un sens de l’écoute hors norme. Qui ont aussi l’âme commerciale et n’ont pas peur de décrocher leur téléphone ou de réseauter. Aussi pour les diplomates et les fin psychologues, qui manient les relations avec doigté. Et ceux qui ont le sens de l’organisation, sont inventifs et persévérants. 

Perspectives de carrière : directeur de la communication ou parfois responsable mécénat ou partenariats stratégiques, si l’on se dirige plus vers des fonctions commerciales. 

Synonymes : Dans la jungle des jobs, celui-ci est aussi appelé responsable RP, chargé de relations publiques, public relations officer, press relations manager… 

Responsable mécénat 

Quoi ? Sa mission : souvent au sein d’ONG ou d’institutions culturelles, il signe des partenariats stratégiques nécessaires à la santé financière de l’organisation. C’est un job au croisement entre plusieurs fonctions : responsable RP, communication, événementiel. Il a une composante commerciale et de communication. 

Où ? Au sein d’institutions culturelles, d’ONG ou de fondations d’entreprises, mais aussi dans le monde du sport.
Salaire : Cadre confirmé : 35 à 65K (source : Apec, 2017). 

Pour qui ? Pour ceux qui veulent un emploi au croisement de missions commerciales, de communication, d’événementiel et de service client.

Perspectives de carrière : Directeur grands donateurs, directeur du développement des ressources, responsable grands comptes, directeur des partenariats stratégiques… 

Synonymes : Dans la jungle des jobs, celui-ci est aussi appelé responsable partenariats stratégiques.

Chargé de communication interne 

Quoi ? Sa mission : établir la transparence et faire circuler les principales informations au sein de l’entreprise. Selon les entreprises, cette communication inclura aussi la communication marque-employeur. 

Où ? Plutôt au sein de grands groupes.
Salaire : Jeune cadre : 27 à 35K (source : Apec, 2017). 

Pour qui ? Pour ceux qui ont veulent être au cœur de la vie de l’entreprise, pour y établir un dialogue fluide et transparent entre la direction et entre les services. Et qui ont un excellent relationnel et une organisation au poil, ce sont les deux indispensables à ce métier.

Perspectives de carrière : responsable communication, responsable ressources humaines. 

Synonymes : Dans la jungle des jobs, celui-ci est aussi appelé chargé de communication interne et intranet, chargé de communication ressources humaines, internal communications officer… 

Planneur stratégique 

Quoi ? Sa mission : flairer les tendances pour apporter à ses clients les coups d’avance qui vaudront le buzz à leurs campagnes de communication. Un job au croisement entre la communication, la veille stratégique, le conseil et la pub.

Où ? En agence de communication.
Salaire : Jeune cadre : 19 à 30K (source : Cidj, 2019). 

Pour qui ? Pour ceux qui veulent un job polyvalent, au cœur des tendances, pour plusieurs clients très différents. Et qui peuvent résister à un environnement stressant et une charge de travail dense et exigeante (clients oblige !). 

Perspectives de carrière : planneur stratégique senior, directeur de la communication chez l’annonceur.

Synonymes : Aucun ! C’est une chasse gardée très spécifique des agences de comm. 

Responsable CRM

Quoi ? Sa mission : à la fois d’acquérir de nouveaux clients, et d’assurer la satisfaction et fidélisation des plus anciens. Il gère la relation clientèle via des outils tels que les e-mails, SMS ou appels et crée des scenarii en fonction des personas ou des parcours clients afin de générer des ventes.

Où ? Plutôt dans les entreprises où le département marketing est déjà formé, a fortiori dans les grands groupes.
Salaire : Jeune cadre : 35 à 45K (source : Apec, 2017). 

Pour qui ? Pour ceux qui veulent avoir un impact direct sur la fidélisation client et être au contact avec eux. Et qui ont un appétit indiscutable pour l’écriture, le numérique et la tech, car le job évolue de plus en plus vers du développement. 

Perspectives de carrière : directeur marketing, directeur du service client, directeur CRM et fidélisation.

Synonymes : responsable marketing relationnel, responsable campagnes CRM, responsable fidélisation, customer relationship manager, marketing automation officer… 

Responsable SEO

Quoi ? Sa mission : mettre en place des visites qualifiées (des potentiels clients) afin d’augmenter le taux de conversion d’un site (soit le nombre de prospects transformés). 

Où ? Plutôt dans les entreprises de taille moyenne ou les grands groupes ou en agence marketing.
Salaire : Jeune cadre : 35 à 45K (source : Orientation.com, 2019). 

Pour qui ? Pour ceux qui aiment la tech, la data et l’analyse. 

Perspectives de carrière : transversales (responsable acquisition, growth hacker) ou verticales vers le poste de CMO. 

Chargé d’études marketing

Quoi ? Sa mission : réaliser des études marketing qualitatives et quantitatives pour faire des recommandations marketing à ses clients. Pour ce faire, il a recours aux focus groupes (quali) et aux études via formulaires (quanti). 

Où ? Au sein de cabinets d’études marketing ou attaché à la direction marketing d’un grand groupe, notamment dans la grande distribution.
Salaire : Jeune cadre : 30 à 38K 

Pour qui ? Pour ceux qui ont des qualités relationnelles, de synthèse, en pédagogie ; sont analytiques, rigoureux, curieux intellectuellement, et à l’aise avec les chiffres ainsi qu’avec le fonctionnement en mode projet (qui peuvent parfois tirer en longueur : la résilience est de mise !). Et qui veulent travailler pour des clients différents sur un bon nombre de problématiques.

Perspectives de carrière : chef de produit marketing, directeur clientèle. 

Chef de produit marketing

Quoi ? Sa mission : penser, développer et diffuser un produit. En amont, veiller les tendances pour recueillir les désirs des consommateurs. En phase de développement, être en contact avec les équipes R&D, merchandising et communication pour piloter la communication et le lancement produit. En aval, mettre en place les évolutions produit. 

Où ? Plutôt dans les grands groupes, notamment dans les secteurs des cosmétiques et de la mode.
Salaire : Jeune cadre : 35 à 45K (source : Glassdoor, 2019). 

Pour qui ? Pour ceux qui veulent être au cœur de la stratégie et du développement produit de l’entreprise et la plaque tournante entre de nombreuses équipes.

Perspectives de carrière : directeur marketing. 

L’article Quels métiers exercer après des études  en communication et marketing ? est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.

Témoignage : Mes débuts en tant que CM, par Kévin

Hello les futurs CM !

Sur la demande de ma mentor Jessica, je vous fais un retour d’expérience (pas de raison qu’il n’y ait que les étudiants de Jess qui en profitent).

J’ai commencé la formation Community manager chez OpenClassrooms en mars 2018, tout timide. Et puis la confiance est venue.

Mes études chez OpenClassrooms

J’ai eu des moments de panique, notamment lors de la veille de la première soutenance. J’avais peur d’oublier plein de choses. J’ai appelé Jessica pour qu’elle m’aide à 22h à finir ma présentation du lendemain. Finalement, tout s’est bien passé.

J’ai enchaîné les projets les uns après les autres avec fierté et envie. Le point culminant était la réalisation sur place de la campagne de crowdfunding. J’ai eu la chance de pouvoir vivre ce sur quoi j’ai bossé. Ce projet consistait en financer le déplacement de 2 enfants malades nantais pour aller voir un entraînement de l’équipe de France de foot en octobre 2018 avec l’association 1 maillot pour la vie. J’ai eu la chance d’accompagner les enfants sur place et de moi aussi rencontrer l’équipe de France. Un rêve accompli pour les enfants et pour moi aussi qui suis fan de foot.

J’ai pu prendre une photo avec Grizou et les enfants avec les joueurs. Ils avaient des étoiles dans les yeux. C’était une sacrément belle récompense ! Peu d’étudiants ont cette chance, je pense.

Pour le dernier projet, j’avais envie de me lancer un défi, de bosser sur une marque que peu d’étudiants choisissent. J’ai donc voulu une marque originale. Le Slip Français est devenu un peu mon porte étendard. C’est une marque que j’affectionne beaucoup. Non, j’ai toujours pas d’actions chez eux – haha.

Le raté de mon premier boulot

Me voilà donc diplômé en Janvier dernier. S’est ensuivie une période de recherche d’emploi. Ça a été une grosse période de doute. Aucune de mes candidatures n’était retenue. En revanche, grâce au bouche à oreille, j’ai pu avoir un premier job dans une agence de com’ à Nantes. 1er contrat. Première période d’essai. Et là, une catastrophe !

Bon, j’ai eu aussi des soucis personnels qui ont beaucoup joué sur la qualité de mon travail. Mais j’allais au bureau la boule au ventre. Pourquoi ?

Pression, rapidité, stress, plus mon état personnel du moment. Ce qu’il faut savoir, c’est qu’en agence, vous n’avez pas le temps de réfléchir, il faut agir de suite. On voulait que je sois autonome en 2 mois. En effet, les agences, ce n’est pas fait pour tout le monde. C’est un travail dans la rapidité, une organisation extrême car nous avons plusieurs clients exigeants. Il faut que ça envoie sans pause, et j’ai trouvé ça épuisant et stressant. Ce n’était pas pour moi. 

Le dernier matin avant qu’on m’annonce que je ne serais pas gardé, je me sentais tellement mal que j’ai été obligé de sortir du bâtiment pour fondre en larmes. Trop de pression, trop d’anxiété, plus mes problèmes personnels à gérer.

C’était trop pour moi, j’ai explosé. Et le soir, on m’annonce que je ne suis pas gardé. Un mal pour un bien…  mais sur le coup, ça m’a fait comme un coup de massue derrière la tête. Un coup de plus. Celui qui me fait flancher. Au sortir de cet entretien, mon corps accusait le coup : j’ai été obligé de m’allonger en pleine rue car mes jambes ne me portaient plus.

Enfin, ça a été un soulagement, car je n’aurai pas tenu longtemps. À ce moment-là, je me suis dit que j’étais nul, incompétent, pas fait pour ce métier. Mais finalement, ce n’était juste pas le bon endroit pour moi. Avec une bonne nuit de sommeil, que j’ai vu que c’était une bonne chose.

Comment j’ai rebondi

Avec le recul, j’ai compris que je n’avais jamais subi autant de stress et d’anxiété d’un coup. Mes problèmes personnels et professionnels s’étaient mélangés et c’est pour cela que ça a été dur. Après un mois de repos forcé, quoique peu reposant à cause de l’anxiété qui ne m’avait toujours pas lâché, j’ai retrouvé un emploi.

Pour me remettre d’aplomb, j’ai parlé à mes amis, ma famille, j’ai même été voir une psychologue parce que je n’étais pas bien du tout. Le stress et l’anxiété ont diminué. Parler et me sentir soutenu m’a fait beaucoup de bien. Ne restez pas seul et parlez si vous vous retrouver dans une situation pareille. 

Cette fois ci, chez l’annonceur. Le patron du garage où je travaille voulait m’embaucher car c’est une connaissance. Donc cela a été rapide de retrouver un emploi. J’ai juste eu à lui envoyer un texto. Le réseau est très important, à ne jamais négliger ! 

Je suis donc CM pour les garages Skoda, Seat, Audi et Volkswagen à Nantes depuis mercredi 15 mai. Le patron que je ne connaissais me voulait pour être son CM. C’était gratifiant d’entendre de la bouche de sa fille qu’il était déçu que j’aie trouvé un emploi avant. 

Je pars au boulot avec plaisir malgré 1h de bouchon le matin et le soir. Je ne ressens aucune pression, aucun stress. On prend le temps de réfléchir et de faire les choses. C’est fortement appréciable !

L’ambiance au travail est détendue. On rigole, on ne stresse pas. Ça le change la vie : j’y vais avec le sourire ! Je suis le seul CM, donc je suis libre de mes actions. J’ai dû mettre en place tous les documents utiles au CM car tout était encore à faire, ce qui est très intéressant et gratifiant.

Voilà mon retour sur expérience, si vous avez des questions à me poser, n’hésitez pas à laisser des commentaires !

Allez, courage les futurs CM 😘

Kévin Féviteau, dilplômé de la formation Community manager.

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Les ingrédients d’une plateforme de marque réussie

La plateforme de marque est un ensemble d’outils à la fois stratégiques et opérationnels qui assurent la cohérence de l’image et du discours d’une marque, d’un produit, ou d’une entreprise.

En interne, elle permet d’obtenir l’adhésion des collaborateurs et de créer une culture d’entreprise autour de valeurs communes. Auprès des consommateurs, elle est responsable de leur perception du ou des produits. Généralement, la plateforme de marque repose sur 4 éléments : 

  • L’identité : qui sommes-nous ? 
  • La mission : qu’est-ce-qui nous anime ? 
  • Les valeurs : qu’est-ce-que nous défendons ? 
  • La promesse : quelle est notre valeur ajoutée ? 

En définissant ses caractéristiques, sa personnalité et son positionnement, la marque devient alors plus attractive pour répondre aux besoins de sa cible. Tour d’horizon et conseils avisés. 

[À découvrir : la formation expert en stratégies marketing et communication de notre école en ligne].

La cohérence, pierre angulaire d’une bonne plateforme de marque 

Pour Kenza Keller, directrice communication et marketing de la maison de luxe suédoise Byredo, le point de départ de toute bonne plateforme de marque passe par des entretiens qualitatifs avec l’ensemble des décideurs de l’entreprise.

“Au-delà de la méthodologie qui est très importante, il faut absolument analyser l’univers de marque à travers l’humain”.

Une façon de s’assurer que tous les collaborateurs qui agissent de près ou de loin sur le développement de la marque sont sur la même longueur d’onde. La cohérence de marque intervient donc bien avant d’envisager toute action marketing. 

Une fois la plateforme de marque définie, elle sert de point de référence permanent lorsqu’il s’agit de communiquer sur la marque. Elle est partout : dans l’identité visuelle, le site web, le ton et le vocabulaire de la communication, les activations commerciales voire même les actions de RSE.

Pour formaliser toute la réflexion, on crée des documents de référence, à commencer par le livre de marque.

Puis on développe la charte éditoriale qui détaille les éléments de langage, et enfin la charte graphique qui précise les règles d’utilisation du logo, ses déclinaisons, mais aussi les codes couleurs, typographies et autres éléments visuels de la marque. 

« C’est un véritable fil rouge qui permet également à une marque de grandir, de se développer et d’étendre son champ d’activité tout en restant fidèle à sa mission première ».

Auprès des consommateurs, une marque ayant une plateforme cohérente est perçue comme forte, originale et digne de confiance. Elle peut même devenir “top of mind”, soit la première référence à laquelle on pense pour un produit donné, comme lorsqu’on parle de Kleenex pour désigner des mouchoirs en papier. 

Mais attention, notre experte affirme qu’il faut être vigilant à “ne pas s’enfermer dans une plateforme de marque rigide, au risque de finir par limiter la vision initiale”. Comprendre que ce sont les outils marketing qui doivent servir la vision et la mission de la marque, et pas l’inverse.

L’enjeu de la différenciation sur un marché de plus en plus saturé 

Dans un monde de plus en plus globalisé, où la concurrence selon les secteurs est souvent féroce, la plateforme de marque permet également de se différencier et d’adapter son discours en fonction de ses différentes cibles. En procurant des émotions aux consommateurs, ainsi qu’un sentiment d’appartenance à travers des expériences sensorielles, elle est le prolongement de la marque.

La fonctionnalité du produit ne suffit plus à faire vendre. En effet, aujourd’hui, les marques vendent à la fois un produit ou service et le style de vie qui va avec. Ce dernier est d’autant plus important pour les consommateurs qu’il leur offre un certain positionnement social. D’ailleurs dès le départ en 2006, Byredo s’est positionné en vendant des histoires olfactives, et non pas de simples parfums.  

L’une des premières entreprises globales à avoir adopté cette approche est sûrement Apple. Avec son sens de l’esthétique et du design très prononcé, ses marqueurs reconnaissables iconiques (couleur blanche, la pomme, le “i”), son vocabulaire dédié, et des codes repris par sa communauté d’“Apple maniacs”, Apple est la première entreprise de hardware à avoir mis sur pied un “univers de marque” cohérent, jusqu’à faire passer au second plan l’aspect technique et fonctionnel de ses produits. C’est sans conteste sa stratégie de marque qui lui a permis d’assurer sa place de leader sur le marché, et ce, sur la durée. 

Dans ce contexte, certaines entreprises choisissent l’ultra-spécialisation en proposant un mono-produit ou des produits dits de “niche”.

D’autres à l’inverse, cherchent à se diversifier. C’est justement le cas de Byredo qui à l’origine maison de parfums , aujourd’hui propose non seulement des produits dérivés (bougies parfumées, parfums d’intérieur, lotions corporelles), mais aussi des accessoires mode ou design . L’été dernier, l’enseigne est même allée jusqu’à collaborer avec Wild & The Moon, une chaîne de restauration santé et branchée parisienne, pour créer une boisson en série limitée.

L’objectif ? “Permettre à la marque d’aller plus loin que son territoire de marque auparavant défini” explique Kenza Keller.

Pour elle, Byredo a aujourd’hui “un champ d’action infini.” Et d’ajouter : “avec l’avènement de directeurs artistiques hyper polyvalents et innovants comme Virgil Abloh, qui est à la fois architecte de formation, artiste, dj, fondateur de la marque Off-White et directeur artistique de Louis Vuitton Homme, nous sommes est en train de repousser les limites de ce qu’une marque peut faire.” C’est-à-dire que les secteurs et les genres ne sont plus cloisonnés : on peut aujourd’hui aisément mélanger mode et design par exemple, ou encore intégrer de l’art urbain dans des collection de luxe à l’instar de la collaboration de Louis Vuitton et du graffeur tunisien El Seed. 

Pour autant, en associant son image de marque à celle d’une autre entreprise, il ne s’agit pas non plus d’être opportuniste. “Chez Byredo, la collaboration est inscrite dans l’ADN de la marque” développe Kenza Keller. En effet, depuis ses débuts, Ben Gorham, fondateur de la marque, s’est toujours entouré d’amis artistes, designers, photographes, pour jouer la carte de la synergie créative.

« Se diversifier en ligne avec sa mission et ses valeurs, c’est le secret d’une augmentation réussie du spectre d’une marque ».

L’authencité, clé de la longévité 

L’écueil principal à éviter ? Appliquer des recettes toutes faites, utiliser des leviers galvaudés ou trop impersonnels pour créer une image dans l’air du temps à tout prix. “Nos choix de sont pas des choix marketing mais des choix du cœur”, insiste Kenza Keller. Le storytelling de Byredo repose sur ces rencontres artistiques et sur les choix très personnels de Ben Gorham. En terme de communication, c’est une fenêtre ouverte sur les coulisses de la maison, qui créé auprès des clients ce sentiment précieux d’appartenance. 

Un dernier conseil de l’experte : “mettre le client au cœur du business model comme le font les marques nées sur internet comme Glossier en cosmétique, ou Sézane en mode, et qui cassent les codes de leur marché”.

Leur puissance repose sur la force de leur communautés numériques où chaque client acquis devient un ambassadeur car il adhère à leurs valeurs.

Pour Kenza, la personnalisation de la relation client, renforcée par une utilisation intelligente de la data est un élément central du développement marketing. Et puis, il reste tout ce qui n’est pas destiné à la vente : contenus additionnels gratuits, goodies, ou dans le cas de Byredo, le “Gallery space” de leur nouvelle boutique londonienne. Cet espace expose des œuvres d’artistes contemporains et les collaborations de la marque. De quoi offrir une expérience client inédite en matérialisant l’univers de marque de la maison. Tout cela participe de la création du lien émotionnel avec les consommateurs et de la constitution d’une communauté fidèle et engagée. 

Pour aller plus loin…

Cours gratuit construisez et pilotez une marque dans le temps

Charte éditoriale : comment la réussir ?

Dans la bibliothèque d’un responsable communication : 12 livres incontournables

 

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Du web design au développement, la reconversion d’Émilie

Maman célibataire d’un petit garçon de 6 ans, Emilie Sabathier vient tout juste de valider sa formation développeur web. Après 13 ans de webdesign dans une agence, elle nous raconte sa reconversion professionnelle, de la prise de risque, à la découverte d’une communauté virtuelle, au-delà même de sa formation.

Parle-nous un peu de ton parcours…

J’ai été webdesigner pendant 13 ans dans une agence digitale. On réalisait des campagnes mobiles, des bannières, des landing pages. Au début, mon travail consistait essentiellement à faire de l’intégration, mais j’ai évolué et commencé à toucher à la partie graphique également. Puis, j’ai commencé à gérer le planning créa, qui supposait notamment d’être en charge de la répartition des tâches,  du respect des délais, et du suivi hebdomadaire des statistiques.

À la fin, j’étais très polyvalente. Cependant, je stagnais et, je ne m’y retrouvais plus trop en terme d’objectifs. Alors, j’ai fini par quitter ce poste d’un commun accord avec mon employeur.

Après quelques mois à chercher du travail dans le webdesign, j’ai eu un petit souci de santé. J’ai profité de cette période pour me faire opérer et j’ai été arrêtée. J’ai mis à profit ce moment pour me poser et commencer à faire naître l’idée d’une reconversion.

De retour sur le marché de l’emploi en septembre dernier, je me suis vraiment posé la question de ce que je voulais faire, et de quel tournant je voulais donner à ma carrière.

Qu’est-ce qui t’a décidée à suivre cette formation chez OpenClassrooms ?

J’avais entendu parler de l’école en ligne OpenClassrooms et je voulais me défier, tenter quelque chose de nouveau. C’est là que je me suis dit que le développement web pouvait être assez complémentaire avec mon parcours précédent, étant donné que je faisais déjà de l’intégration CSS. Le côté plus technique du front et du back-end m’intéressait, mais j’avais toujours eu peur de me lancer là-dedans. 

J’avais sollicité des formations dans mon ancienne entreprise et tenté d’apprendre par moi-même, mais ce n’était pas évident.

Prendre la décision de me lancer n’était pas facile, d’autant que je suis maman et qu’il fallait que je trouve un organisme à distance qui me permette de m’occuper de mon fils, tout en travaillant à fond sur une formation.

C’est pour cela que mon choix s’est orienté vers OpenClassrooms, sur lequel j’avais aussi eu de bons échos avant.

Comment as-tu vécu l’expérience de la formation ?

La formation a duré 8 mois. J’ai pris mon temps pour acquérir de bonnes bases et pratiques, notamment sur la partie programmation. Je travaillais environ 7/8h par jour sur les cours, projets et présentations pour les soutenances. Je voulais faire plus que ce qui était demandé sur les projets. 

Workplace [le forum communautaire privé d’OpenClassrooms] m’a beaucoup aidée au début. J’aimais particulièrement les topics et les groupes variés, et j’étais assez étonnée de voir le niveau de réactivité de la communauté. Entre les groupes spécifiques et la conversation messenger en direct, il y a un vrai soutien qui permet de tenir le coup. Ce n’est pas toujours facile de gérer une formation à distance, en totale autonomie, et ce malgré la présence des mentors. Donc la communauté est un vrai plus quand on a des questions au quotidien, ou simplement besoin de soutien.

Cette formation apprend vraiment l’autonomie, et à aller chercher ses propres réponses sur divers supports.

J’ai eu deux mentors au cours de ma formation. Sur les deux premiers projets, j’avais déjà des connaissances sur WordPress et pour monter des maquettes en responsive. Ce que j’ai particulièrement apprécié, c’est que mon premier mentor a réussi à me lancer des défis  et à me tirer vers le haut, pour monter en compétences dès le début et apprendre des choses en plus de ce que je maîtrisais déjà. On est donc allés plus loin que ce que demande la formation. Sur les trois derniers projets, mon deuxième mentor m’a accompagnée sur la compréhension de la programmation.

Etant donné que je viens du design, j’avais besoin qu’on m’explique les choses de manière concrète et imagée et elle a vraiment su s’adapter à ces contraintes. Notre travail commun a été vraiment bénéfique.

Comment s’est passé l’après-formation ?

Mon objectif était de trouver un CDI dans l’Essonne ou à Paris. La logique aurait voulu que je continue dans le front mais je ne me refusais aucune opportunité, même en back, car les deux approches sont complémentaires et intéressantes à apprendre. Dans l’absolu pour moi, tout dépend de l’offre, de la structure, des objectifs, et du discours du recruteur.

J’ai d’abord été suivie par une coach d’OpenClassrooms et elle était vraiment extra ! Hyper positive, elle me rassurait beaucoup dans mes démarches parce que malgré mes 13 ans d’expérience, je me retrouvais junior en développement, et le soutien moral est l’un des aspects les plus importants.

D’ailleurs je suis épatée qu’OpenClassrooms propose ces services. Même si ce n’est que pour deux mois, c’est génial car cela te donne les clés pour pouvoir te débrouiller tout seul par la suite. D’autant que c’est un univers qui évolue tellement qu’il faut absolument rester à la page et continuer d’apprendre.

J’avais prévu de réaliser quelques projets en parallèle de ma recherche d’emploi, pour étoffer mon portfolio et rester active. Mais tout s’est passé assez vite. Après l’obtention de mon diplôme mi-juillet, j’ai fait un post sur LinkedIn et j’ai tout de suite été contactée par de nombreuses ESN (entreprises de services numériques). J’ai rencontré différents recruteurs mais je suis allée vers la société qui n’avait pas peur de miser sur mon potentiel et de poursuivre ma formation en interne.

Le 9 septembre dernier, j’ai donc pris mes nouvelles fonctions de développeuse junior. Aujourd’hui, je travaille en front et en back pour réaliser des sites vitrines sur Symfony 4 et l’objectif est de pouvoir monter en compétences pour aller sur du full stack, faire du e-commerce, gérer des clients. Depuis une semaine, je pilote un projet en totale autonomie et j’ai à la fois le sentiment d’apprendre beaucoup de choses mais aussi de mettre à profit les acquis de ma formation. 

Tes conseils pour ceux qui hésitent encore à se lancer ?

Mon but avec cette formation était vraiment de sortir de ma zone de confort et de montrer à mon fils que j’étais une battante. Je voulais aussi me prouver que je pouvais dépasser mes limites et apprendre des choses plus techniques.

On pense parfois que le développement, c’est inaccessible. Alors oui, c’est difficile, mais la progression vient quand on n’abandonne pas. Il faut continuer de travailler, demander des conseils aux mentors, aller sur Workplace, demander de l’aide, et ne pas rester seul. 

Et puis, il ne faut pas trop se stresser avec le temps. Il faut au contraire prendre le temps nécessaire pour acquérir de bonnes bases, c’est très important. Sans s’en rendre compte, on avance tous les jours, et quand on prend un peu de recul, on ressent  une immense satisfaction et beaucoup de fierté.

Et aujourd’hui que je suis en poste, je peux assurer que la formation prépare vraiment au métier. Mes connaissances ont rassuré mon recruteur et mes acquis m’ont donné le sentiment d’être prête, et ça, c’est capital ! 

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Le parcours de Julie : d’autodidacte à développeuse web en alternance

C’est après plusieurs expériences professionnelles variées qu’à 25 ans, Julie Pilarski décide de suivre enfin le chemin de sa passion : l’informatique et plus précisément le développement web. Elle démarre une formation au sein de l’école en ligne OpenClassrooms, qu’elle poursuit actuellement en alternance grâce à un contrat professionnel. Entre théorie, mise en pratique et apprentissage, voici le parcours riche de Julie.

Quand la passion ressurgit

Julie est passionnée d’informatique depuis très jeune. “Dès que j’ai eu mon premier ordinateur”, précise t-elle. “J’ai toujours appris en autodidacte les rudiments de l’informatique. J’ai pris l’habitude de rendre service autour de moi, dans ma famille, auprès de mes amis qui avaient besoin de résoudre un problème.” Après l’obtention de son bac, Julie démarre donc naturellement un BTS en informatique : “J’ai appris quelques bases pour la création de sites internet, j’ai été initiée à certains langages informatiques. Cela m’a vraiment plu. Malheureusement, les circonstances ont fait que je n’ai pas pu terminer cette formation.” Poussée par les événements de la vie comme elle le dit, Julie obtient son BAFA et devient finalement animatrice périscolaire et en centres de loisirs. Cette expérience dure quatre ans.

Pour autant, Julie ne perd pas de vue le domaine dans lequel elle souhaiterait toujours réellement évoluer : “C’est au cours d’un rendez-vous avec ma conseillère de la mission locale, que j’ai évoqué à nouveau la volonté de revenir à ma passion. Étant à l’aise dans le domaine, j’envisageais de me lancer en maintenance informatique. C’est à ce moment-là que l’on m’a parlé d’OpenClassrooms et la possibilité de se faire financer une formation par la région. Deux jours après, j’avais une réponse positive pour commencer un parcours diplômant. Comme j’attendais cela depuis longtemps, j’étais confiante de démarrer une formation où il fallait être relativement autonome et motivée.” Malgré tout, la formation nécessite de l’organisation : “Au-delà des langages informatiques, la formation m’a aussi permis de développer mon organisation. J’ai dû trouver mon rythme, apprendre à m’auto-gérer, me motiver sans m’écoeurer. C’est vraiment un équilibre à trouver.

Une vidéo originale pour trouver une alternance

Julie a donc démarré la formation de développeur web en octobre 2018. “J’ai commencé par un programme de trois mois intitulé OpenDeclic, puis je suis passée en contrat professionnel. Il a donc fallu trouver une entreprise pour poursuivre le financement de la formation un an de plus.” 

Depuis plusieurs années, Julie anime la chaîne Youtube Ysoh autour de sa passion pour l’high tech, la 3D et les jeux vidéo. Elle poste régulièrement des vidéos à ses 1500 abonnées autour de ces thèmes. “Ma coach OpenClassrooms a vu que j’étais à l’aise devant la caméra et qu’il y avait un potentiel à exploiter. Elle m’a donc proposé de faire une vidéo de présentation pour trouver mon alternance. L’objectif était vraiment de rester moi-même et de faire ressortir ma personnalité. J’ai utilisé un fond vert pour recréer un style un peu futuriste. La vidéo a suscité beaucoup de partages sur LinkedIn avant même qu’elle ne soit publiée officiellement sur Youtube et c’est de cette façon que mon employeur actuel m’a contactée”, raconte Julie.

Une développeuse web en devenir

Depuis mai, Julie est en entreprise 4 jours par semaine et en formation le reste du temps. “J’ai été recrutée par le réseau d’entreprises Lab’Science. Ils sont spécialisés dans la réalisation de mobilier clés en main pour les laboratoires, les chambres froides, etc. Ils étaient à la recherche d’un community manager, qui aurait aussi des compétences en développement pour la création de sites Internet. Ils m’ont proposé le poste, en précisant que j’aurais donc également à gérer les réseaux sociaux de l’entreprise.” 

Julie fait figure d’experte et travaille donc en totale autonomie au sein de l’entreprise puisqu’elle est la seule à avoir des compétences poussées en informatique. “Mon responsable donne son avis en terme de communication et je me charge de la partie technique et de la création des outils. La partie réseaux sociaux est en plus, j’apprends sur le tas et c’est une dimension intéressante aussi, même si à terme c’est vraiment le développement web pur sur lequel je souhaite me concentrer.” L’entreprise pour laquelle Julie travaille envisage de la garder à l’issue de son diplôme. Même si elle ne fait pas que du développement, Julie apprécie son cadre de travail : “L’avantage, c’est qu’on ne m’impose pas de contrainte de temps, je peux donc travailler à mon rythme. C’est souple, je peux même être en télétravail. Et comme il y a plusieurs sièges partout en France, je pourrais aussi décider de changer de locaux, par exemple. Nous verrons donc où j’en serai dans un an.

**

À terme, Julie aimerait faire ses armes dans des agences web, où elle pourrait trouver une émulation au sein d’une équipe de passionnés comme elle. Avant pourquoi pas de s’installer en freelance, une fois qu’elle aura un portfolio rempli de projets convaincants. Quoi qu’il arrive, elle est définitivement sur sa lancée.

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Un jour dans la peau d’un Community Manager

Modération de commentaires, animation de pages Facebook, rédaction de tweets, création des contenus pour un fil Instagram, pilotage d’une chaîne Twitter ou de listes Pinterest… A quoi ressemble la journée d’un Community manager ? 

Claire Abrieux Georges, 33 ans, community manager & Webmaster à la Bibliothèque nationale de France, nous plante le décor d’une journée typique dans son boulot.

9h – 10h

Dès mon arrivée au bureau, je commence par faire le tour des comptes dont je m’occupe : la page Facebook, le compte Twitter, le compte Instagram et la chaîne YouTube.

A la Bnf, la plupart de nos publications ont une longue traîne : elles enregistrent encore des visualisations et des réactions jusqu’à quinze jours après avoir été publiées. C’est assez rare, sachant que sur Facebook un post lambda a une durée de vie d’un jour ! Sur nos pages, les gens remontent le fil d’actualités.

Je réponds au fur et à mesure aux nouveaux commentaires. En plus de proposer du contenu, nos réseaux sociaux servent de relais au public de la bibliothèque : les internautes nous écrivent via Messenger et posent des questions d’ordre pratique sur les fiches Google. Leur répondre est une priorité et rentre dans ma routine quotidienne.

Après ce petit tour des réseaux, je vérifie et je mets à jour le calendrier éditorial.

Celui-ci est très mouvant, et des nouvelles publications peuvent s’y greffer au dernier moment. Je commence ensuite à préparer les tweets de la journée et je poste ce qui doit doit l’être.

Chaque réseau a son propre rythme de publication, avec des horaires et des fils conducteurs différents.

Nous publions sur Instagram tous les jours, selon un programme préparé le lundi pour toute la semaine. Je travaille avec une photographe professionnelle de la BnF pour les visuels, car nous essayons d’avoir une vision esthétique de nos collections.

Sur Facebook, nous publions une à deux fois par jour et nous faisons souvent des Lives. J’ai un stock de sujets préparés à l’avance et un fil conducteur, mais j’adapte aussi beaucoup en fonction de l’actualité. Sur Twitter, c’est plutôt en illimité et au jour le jour. Je prépare parfois des “threads”, soit des séries de tweets publiés à la suite pour développer une histoire. Sur notre chaîne YouTube, les publications sont plus espacées car elles dépendent de la production vidéo de la Bnf.

Ce qui compte aujourd’hui, c’est surtout la diffusion de l’information : pour qu’elle soit visible, il faut qu’elle soit reprise, relayée et commentée.

10h – 12h

Pendant le reste de ma matinée, je rédige ou réécris du contenu pour les réseaux.

C’est le moment idéal pour préparer les publications un peu plus compliquées, qui demandent de la recherche d’informations en interne notamment.

Il n’est pas rare que j’adapte des contenus fournis par nos experts. A la BnF, il existe de nombreuses collections d’ouvrages, auxquelles sont rattachés des services dédiés. Dans chaque service, un contributeur nous relaie des contenus à adapter pour les réseaux. Cela demande non seulement un travail de coordination mais aussi de “vulgarisation” de concepts parfois techniques.

Chaque communauté est différente. La nôtre est curieuse et pose souvent des questions pointues, qui concernent la conservation des ouvrages, par exemple.

Pour y répondre, je me mets en contact avec les spécialistes de la BnF. Notre public est passionné d’art et intrigué par la variété de ressources que nous mettons à disposition ; c’est pour cela que nous recevons très peu de commentaires violents ou haineux.

14h – 16h

Après le déjeuner, c’est le moment des réunions. Avec les membres de mon équipe, nous échangeons et nous répartissons les sujets à rédiger. Nous parlons aussi planning, débroussaillons les calendriers éditoriaux et proposons de nouveaux sujets susceptibles d’intéresser notre communauté.

Je travaille en équipe avec une autre Community Manager, un Webmaster, une photographe, et j’échange régulièrement avec les CM d’autres services de la BnF qui s’occupent des comptes Gallica (la bibliothèque numérique) et RetroNews (les archives presse).

Les réunions sont aussi l‘occasion de faire remonter certaines décisions à ma hiérarchie.

En tant que CM, je suis en lien direct avec le public et chaque réponse que je fournis sur les réseaux sociaux engage la responsabilité de l’établissement tout entier. La réputation de la BnF passe largement par le Community Management !

16h – 18h

En fin d’après-midi, je poursuis mes recherches d’informations et je fais de la veille pour relever les sujets d’actualité. Je programme également les posts qui seront publiés en dehors de mes horaires de bureau, le matin très tôt par exemple. En même temps, j’ai des tâches d’intégration à assurer sur le site Internet.

L’animation de nos comptes s’enrichit également de nombreuses collaborations, toutes passionnantes : nous préparons par exemple des posts croisés avec le Musée du Louvre, la British Library… Le foisonnement de sujets est tel qu’aucune de mes journées ne se ressemble.

Cela demande beaucoup de flexibilité : je jongle entre les échanges de contenus en interne, les partenariats et les réponses au public, sans compter les imprévus et les posts de dernière minute.

Mon travail est tout sauf monotone et j’adore ça.

Week-end et soirées

En général, je ne travaille pas en dehors de mes horaires de bureau. C’est une situation assez rare dans le monde du Community Management.

Si vous êtes freelance ou travaillez en entreprise, vous n’échapperez pas au travail en soirée et le week-end ! Mais je pense qu’il faut savoir “débrancher” de temps en temps pour prendre du recul sur ce qu’on fait.

Il m’arrive tout de même de couvrir un bon nombre d’événements organisés par la Bnf. En soirée, nous relatons sur les réseaux les séances des Trésors de Richelieu, pendant lesquelles un conservateur montre et explique au public un ouvrage exceptionnel. Lors des Journées du Patrimoine, je suis mobilisée tout le week-end : j’assure des visites guidées en direct avec une caméra, je fais des stories sur Instagram en direct de la bibliothèque…

Dans ces moments-là, on est 100% concentré à la fois sur ce qui se passe sur place et sur les retours de la communauté en ligne. J’essaie d’enrichir le débat, tout en relayant les questions posées par les internautes aux experts sur place. Un exercice incontournable pour un CM.

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Par quel langage informatique dois-je commencer ?

Par : Nora Leon

Vous avez décidé d’apprendre à développer un site ? Une application ? Le tout premier pas pour y parvenir est d’apprendre un premier langage informatique. 

HTML et CSS sont un point d’entrée que choisissent la plupart des débutants. Ils sont utiles pour structurer du texte et des images, entre autres super-pouvoirs. 

Sans avoir jamais appris à développer, chacun peut facilement acquérir les bases de ces deux langages en suivant gratuitement le cours “Apprenez à créer votre site Internet avec HTML5 et CSS3”. Ce cours fait d’ailleurs partie des formations à distance “Développeur web” et “Développeur d’applications FrontEnd”. 

Cet article est une introduction à ces deux langages. Suite à cette lecture, chacun sera armé pour commencer le cours. 

Que sont HTML et CSS ?

HTML (Hypertext Markeup Langage) est un outil pour construire des pages web. 

CSS (Cascading Style Sheets) est ce qu’on utilise pour créer leur aspect visuel. 

Ces deux aspects sont parfaits et complémentaires pour commencer à apprendre le code informatique. Voici comment cela fonctionne exactement. 

Imaginez une page web. Elle est composée de contenus (les titres, le texte et les images) qui ont une certaine apparence (une police d’écriture, une palette de couleurs, un style). 

HTML est le langage pour créer du contenu structuré pour raconter une histoire. CSS s’occupe de l’apparence : la mettre en place et mettre en mouvement ce qui doit l’être. 

Pourquoi utiliser deux langages, s’ils sont tellement liés ? Cela facilite la vie des développeurs. Ils se concentrent sur le contenu et ensuite sur l’apparence, sans avoir besoin de se charger des deux en même temps. 

Par exemple, si OpenClassrooms voulait modifier complètement ses couleurs de marque pour les améliorer, ainsi que son design, nous pourrions utiliser le CSS. Nous pourrions en effet modifier l’aspect du site sans toucher au contenu (les vidéos, le texte des cours…). Par contre, si nous voulions modifier le contenu, nous devrions avoir recours au HTML

Ça y est, la distinction est claire ? Bravo, c’est l’information à retenir pour commencer sereinement le cours sur ces deux langages. Pas encore besoin de comprendre la syntaxe, car cela, c’est l’objet du cours !

Et justement, à la fin du premier chapitre du cours, chacun peut déjà écrire ses premières lignes de code. 

Prêt(e) à écrire vos premières lignes de code ?

Voici l’introduction gratuite à HTML et CSS, le cours “cours “Apprenez à créer votre site Internet avec HTML5 et CSS3”.

 

Je commence le cours 

À propos d’OpenClassrooms 

OpenClassrooms est un institut de formation à distance, 100% en ligne, pour apprendre les compétences les plus recherchées par les recruteurs et les plus prometteuses. Le but : décrocher un emploi très recherché et qui ait de l’avenir !

Nous formons à tous les métiers du numérique, notamment le développement web et mobile, le design, les systèmes et réseaux, la data science, la gestion de projet, le marketing, les ressources humaines et l’entrepreneuriat.

Tous les cours des programmes de formation à distance sont accessibles gratuitement en ligne.

Nos cursus à équivalent Bac +2, +3 et +5 se réalisent en ligne. Ils sont composés d’un mélange de vidéos, de cours écrits, de projets professionnalisants réalisés par l’étudiant pour apprendre par la pratique, et de sessions de mentorat hebdomadaires avec un expert du métier. Les formations durent entre 6 et 18 mois en fonction des sujets et du temps alloué par l’étudiant. 

À l’issue du programme, les étudiants sont coachés par des experts pour faciliter leur recherche d’emploi. Ce dernier est d’ailleurs garanti.  

Cela vous intéresse ? 

J’en discute avec mon conseiller pédagogique

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Maman, salariée et étudiante : la reconversion de Sandrine

Étudier, travailler et s’occuper de sa jolie marmaille…
Est-ce possible ?

La réponse est OUI ! Avoir des enfants et un job à temps plein n’empêchent pas de réussir une formation OpenClassrooms. 

Pa contre, une bonne organisation est essentielle pour tenir sur le long terme.

Mais il n’y a pas de “bon moment” pour entamer une reconversion professionnelle, et à trop vouloir attendre, parfois on ne se lance jamais. 

[À lire : Reconversion professionnelle, les étapes clés]

L’histoire de Sandrine Linise montre bien qu’il est possible de se former tout en continuant à s’occuper de ses enfants et en travaillant à côté. Ses conseils pourraient bien vous inspirer pour franchir le cap.

Un parcours atypique 

Sandrine a 43 ans, est salariée à temps plein de nuit, freelance en développement web et inscrite à la formation développeur web dans l’école en ligne OpenClassrooms.

Elle a trois enfants, dont une petite fille de 5 ans. Son parcours est atypique : depuis longtemps, elle rêvait de se reconvertir et d’apprendre à coder.

J’ai commencé à m’intéresser au développement web il y a douze ans. A l’époque je n’y connaissais rien, mais j’ai quand même aidé mon mari à lancer son site Internet et j’ai adoré l En cherchant des solutions, j’ai donc fait mon premier site sans avoir aucune notion de code.

Intriguée, Sandrine commence à se former seule en ligne et se lance en freelance en 2011. Elle décroche quelques missions mais est contrainte d’arrêter la formation lors de la naissance de sa fille. En parallèle, elle travaille de nuit en tant qu’aide soignante dans un centre d’autistes. Pas facile de concilier tant de casquettes !

Une organisation bien ficelée

En 2015, Sandrine décide de reprendre une formation en développement web. Après un congé parental d’un an, elle monte un dossier pour obtenir un financement. Qui n’arrivera que trois ans après… En 2018, elle débute sa formation à distance chez OpenClassrooms, alors qu’elle est désormais maman de trois enfants. Elle continue de travailler de temps en temps à la création de sites internet pour ses clients.

Aujourd’hui, mes journées sont réglées comme du papier à musique : je m’occupe de ma fille entre 16h30 et 19h, puis je pars travailler jusqu’à 7h du matin. La nuit est parfois agitée. A mon retour, j’accompagne ma petite à l’école, puis je travaille à ma formation toute la matinée. Je prends une vraie pause en début d’après-midi. 

« Je travaille au centre d’autistes alternant une semaine de trois jours de travail et une semaine de quatre jours de travail. Mais même si je peux dormir la nuit, il m’arrive de faire des nuits blanches pour mes missions freelance.”

Concilier vie pro et perso : on y arrive

Comment mener de front tant de projets sans négliger sa vie personnelle ? Sandrine respecte son planning bien rempli, s’octroie des moments de repos et profite de sa fille dans l’après-midi. 

Je prépare mon calendrier minutieusement. C’est difficile de s’y tenir, mais on y arrive ! Parfois, il y a des contretemps, cela ne se passe pas comme prévu. Alors, on se retrousse les manches et on trouve une solution. 

« Le fait d’étudier en ligne permet une grande flexibilité. On peut adapter ses horaires, travailler à son rythme et, à terme, se reconvertir pour profiter davantage de la vie. Même s’il y a des sacrifices à faire aujourd’hui, je sais pourquoi je les fais.”

[À lire : En quoi la formation OpenClassrooms est-elle flexible ?]

Les conseils de Sandrine

  • Parlez de votre projet à votre partenaire et trouvez des solutions ensemble au quotidien.
  • Continuez de vivre une vie « normale » : le repos, les amis, les loisirs vous permettent de continuer sans vous épuiser.
  • Ne loupez pas le coche ! Il n’y a pas d’âge pour se reconvertir et se former à un nouveau métier.
  • Pensez “long terme » : le fait de se projeter permet de ne pas baisser les bras et de rester motivé. 

Les histoires de parents heureux et reconvertis sont nombreuses. Une bonne organisation et beaucoup de motivation sont les atouts de ceux qui réussissent à concilier leur vie familiale et leur projet de reconversion. À vous de jouer ! 

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Aude, des “études plaisir” au développement web à Édimbourg

Aude Leissen est bien en accord avec son époque et considère qu’aujourd’hui on ne fait plus une seule et même carrière au cours de sa vie.

Après des études dans le domaine de l’histoire, elle trouve normal de se former à nouveau, dans un domaine plus professionnalisant cette fois. Elle choisit la formation développeur web de l’école en ligne OpenClassrooms.

Autonome et motivée, elle a obtenu un poste de développeur web junior dans une agence marketing à Édimbourg en Écosse il y a quelques mois. 

Un cursus atypique mais logique

Aude est incertaine à la fin du lycée mais elle appréhende cela de façon très positive et enrichissante :

Je n’avais pas forcément de projet professionnel après mon bac donc j’ai choisi des études plaisir. J’ai fait une licence et un master en histoire, en recherche précisément. J’ai beaucoup appris et en effet, je me suis éclatée.

À l’issue de son enseignement supérieur, Aude réfléchit et mûrit la suite : « Je savais à l’avance qu’à l’issue de mon master, il faudrait que je trouve une autre formation professionnalisante cette fois. J’ai fait un point sur mes compétences auprès de Pôle Emploi. Comme job étudiant, j’avais de l’expérience en tant que serveuse mais je ne voulais pas en faire une carrière. »

Un jour, j’ai vu une offre d’emploi pour être testeuse informatique qui demandait des prérequis en histoire pour tester leur produit. J’ai postulé sans être sélectionnée à l’arrivée mais cela m’a fait prendre conscience que les deux univers n’était pas incompatibles. Il se trouve que j’avais toujours été attirée par l’informatique sans prendre vraiment le temps de m’y consacrer.

Aude valide certains cours proposés par OpenClassrooms avant de se renseigner sur les parcours certifiants. « La validité des diplômes, c’était important pour moi. Assez rapidement, je me suis lancée pour le parcours Développeur web. Mon parcours universitaire m’a beaucoup aidée car cela m’a permis d’acquérir une grande autonomie. Or, pour suivre une formation à distance, il faut vraiment être motivé et disposé à travailler seul. C’est important, parce qu’il y a forcément des hauts et des bas. Le fait d’être déjà passée par là à la fac m’a permis de reconnaître les différentes étapes que j’allais traverser. J’avais davantage de recul alors j’étais capable de me dire à certains moments “ok, j’en ai marre, j’arrête, je ne suis plus efficace, je reprendrai ce problème demain ou dans quelques jours le temps que cela repose”, alors qu’à l’inverse il m’est arrivé de passer parfois 3-4 jours sur le même problème de code pour essayer de le résoudre. »

Une recherche pour un emploi Outre-Manche

Ayant déjà voyagé à plusieurs occasions, Aude a l’envie de s’expatrier à nouveau et se lance dans une recherche d’emploi à l’étranger. « Un poste junior, c’est toujours assez compliqué à trouver. On ne peut pas tout apprendre en cours, donc j’ai un peu souffert du syndrome de l’imposteur au moment de ma recherche d’emploi. Pourtant, la formation m’a aussi donnée une base et une super boîte à outils de sites, de plateformes sur lesquels je sais que je peux trouver des réponses. »

Dans le doute, après l’obtention de son diplôme, Aude suit le parcours OpenClassrooms d’accompagnement personnalisé à la recherche d’un emploi.

Ma mentor m’a permis de tout remettre à plat : CV, réseaux sociaux, lettre de motivation. Il s’agissait de trouver mon vrai premier boulot donc je ne voulais pas prendre le risque de me fermer certaines portes.

« Les offres d’emploi ne correspondaient pas toujours exactement à mon profil, mais les recruteurs cherchaient généralement quelqu’un à qui ils allaient pouvoir apprendre quelque chose de nouveau donc j’ai pu mettre en avant la logique de mon parcours et le fait que je m’étais formée de façon autonome, que j’étais avide d’apprendre, curieuse, que je savais chercher pour trouver des solutions mais que je savais aussi me tourner vers les bonnes personnes lorsque j’avais besoin d’aide. J’avais également plusieurs projets à montrer, ce qui était très positif. »

Après quelques mois de recherche et de prises de contact, Aude obtient une lettre d’embauche pour une entreprise anglaise d’optimisation informatique. Elle a aussi un bon contact avec une agence marketing écossaise qu’elle décide finalement de rejoindre. « Je travaille pour la branche digitale comme développeur web junior, au sein d’une petite équipe de six personnes. Pour l’instant, je fais de la maintenance sur les différents projets en cours avant de reprendre des projets tout neufs très prochainement. Il y a des outils et des langages que je connais, ce qui les surprend dans l’entreprise, et d’autres que je ne maîtrisent pas encore mais pour lesquels je vais apprendre. »

Finalement, le parcours d’Aude montre que les compétences acquises en formation OpenClassrooms s’exportent aussi très bien à l’étranger. 

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Des cours OpenClassrooms à Tech Lead, l’histoire d’Olivier

Olivier Maréchal, la trentaine, a déjà eu plusieurs vies.

Après s’être reconverti à différentes occasions puis s’être formé sur des cours en ligne via OpenClassrooms, il est aujourd’hui Tech Lead chez WakeOnWeb à Aix-en-Provence.

Spécialisé dans la conception et le développement d’applications web, il gère la partie technique des projets. Son poste va du chiffrage à la livraison du produit en passant par le choix des technologies et la supervision des équipes de développeurs. Incursion dans son parcours.

Une auto-formation pour se reconvertir

J’ai arrêté l’école après avoir obtenu mon bac ES. Pendant deux ans, j’ai réalisé des petites missions d’intérim : cela n’a pas été une expérience extraordinaire.

J’ai ensuite pris la décision de m’engager dans l’armée où j’étais sous-officier. Au bout de six ans, j’étais arrivé au bout, j’avais la certitude de vouloir faire autre chose. Donc, j’ai cherché une porte de sortie pour me reconvertir. 

Je me suis renseigné sur les métiers du développement car j’aimais déjà beaucoup l’informatique. L’armée me proposait de financer une formation ou un stage en entreprise. J’ai réalisé un stage de six mois dans une agence de communication, ce qui m’a mis le pied à l’étrier pour le développement. En parallèle de ce stage, j’ai commencé à suivre les cours en ligne proposés par OpenClassrooms

À l’issue du stage, en cherchant un CDI, j’ai constaté qu’il y avait beaucoup d’offres d’emploi pour du développement PhP/Symfony. J’ai rapidement décroché un entretien d’embauche dans une société spécialisée dans le développement d’applications Symfony pour le compte d’entreprises tiers. Les recruteurs m’ont challengé : ils m’ont donné trois semaines pour me familiariser avec le langage Symfony. Suite à cela, j’ai dû faire mes preuves au cours d’un test technique.

Ils ont constaté que j’avais potassé tous les cours disponibles sur OpenClassrooms. J’ai été embauché comme développeur chez eux. 

De Développeur web à Tech Lead

Après cette première expérience de deux ans, j’ai changé d’entreprise et je suis arrivé chez WakeOnWeb en tant que développeur. Au sein de la boîte, j’ai pu évoluer.

Soutenu par mon patron, je suis passé Tech Lead il y a un peu plus de six mois. 

Mon travail aujourd’hui, c’est d’analyser les besoins du client, d’évaluer le coût de la prestation et les délais puis de gérer l’organisation technique. Je choisis les technologies les plus adaptées, je répartis les tâches et j’encadre les développeurs. Dans notre gestion de projet, chaque tâche est divisée en sous-tâche et soumise à ma validation par les développeurs.

Je ne me sens pas vraiment manager ou chef d’équipe, je suis là comme soutien technique lorsque les développeurs ont besoin d’aide. 

Je fais encore moi-même un peu de code. Parfois, il faut intervenir sur la partie infrastructure, pour ce qui est déploiement automatique, intégration continue ou lorsque l’on développe des composants que l’on aimerait réutiliser par la suite. Dans ce cas, je m’en occupe et j’élabore la documentation pour ensuite la fournir aux développeurs.

La principale qualité d’un Tech Lead est l’adaptabilité. Il faut être patient. C’est primordial pour se mettre au niveau de chacun et transmettre correctement les briefs et les informations. Parfois, certaines choses me semblent évidentes. Elles ne le sont pas forcément pour le développeur que j’ai en face de moi.

Il faut aussi rester curieux. Par ailleurs, l’assurance est importante pour assumer les décisions que l’on prend au quotidien. Et à l’inverse, il faut être capable de se remettre en question pour faire machine arrière lorsque l’on a fait le mauvais choix de technologie, par exemple. Il est indispensable enfin d’être très organisé, car toute la journée, on jongle avec différentes missions. En somme, il faut savoir prioriser. 

Un rôle de mentor

Tout au long de ma reconversion, je me suis formé seul. Je n’ai pas bénéficié du soutien d’un mentor ou d’un coach, puisque les formations en ligne OpenClassrooms n’étaient pas encore ouvertes. Or, je pense que parfois on est un peu perdus et que c’est très bénéfique d’avoir quelqu’un avec qui partager ses doutes et ses questions pour continuer à avancer. C’est pour cela que je me suis engagé en tant que mentor pour suivre les étudiants OpenClassrooms des formations développement web et développeur PhP/Symfony. 

Se former seul est possible si l’on accepte d’investir beaucoup de temps et de curiosité. Le code informatique est un monde déroutant à première vue, mais il ne faut pas baisser les bras même quand on a l’impression de stagner.

Il existe un très grand nombre de technologies. Je suis convaincu qu’il est indispensable de se fixer un objectif et de s’y tenir.

Les recruteurs cherchent tous les types de profils : personnellement, je ne me suis jamais senti défavorisé parce que je n’avais pas de diplôme. Au contraire, je pense que ma reconversion a été un atout à mettre en avant dans mon parcours.

Mon expérience dans l’armée, avec des personnes sous mes ordres m’a permis d’acquérir une forme de maturité appréciée des recruteurs, et qui explique sans doute que je sois parvenu à rebondir ensuite dans un tout autre domaine.

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RP : comment construire sa stratégie et mobiliser les journalistes ?

Par : Nora Leon

Lancement produit, rebranding, levée de fonds… Les occasions de travailler avec des journalistes sont nombreuses pour les responsables marketing et communication. Une campagne de relations presse (RP) a pour enjeu d’augmenter la visibilité d’une marque. Et ce auprès de futurs clients, du grand public ou d’acteurs institutionnels. Si les retombées presse sont au rendez-vous, c’est un succès pour l’image et la notoriété.

Le métier a un aspect relationnel décisif. En effet, les meilleurs professionnels du milieu disposent d’un réseau actionnable de journalistes et d’influenceurs, dont connaissent les sujets de prédilection. Ils ont noué avec eux une relation au fil des années.

À cela s’ajoute toute une composante numérique, depuis l’avènement d’Internet. À présent, les échanges se font en majorité via le web. Twitter et LinkedIn sont devenus des outils de contacts presse. Les e-RP sur Twitter intègrent aussi de plus en plus les influenceurs : ce sont les personnalités compétentes sur un sujet. À cela s’ajoutent des outils en ligne. Ceux axés sur la veille augmentent la réactivité des responsables presse, pour rebondir sur les actualités chaudes. D’autres sont également intéressants pour relancer les journalistes ou mesurer l’efficacité d’une campagne.

Dans ce contexte 2.0, les journalistes sont très sollicités. Difficile de tirer son épingle du jeu.

Alors, comment affiner sa stratégie presse ? Cibler le bon média ? Intéresser un journaliste et nouer une relation de confiance sur le long-terme ?

1- Affiner son positionnement

Le fondement d’une campagne presse réussie est un positionnement clair. Il s’appuie sur deux éléments.

  • Le premier, les sujets qui “ont bonne presse”, qui intéressent globalement les journalistes.
  • Le second, les problématiques stratégiques pour la marque.

Nous avons contacté une experte qui nous a expliqué comment réussir l’exercice de la stratégie presse.

[À suivre : notre cours gratuit construisez et pilotez une marque dans le temps. D’autres cours gratuits sur le marketing sont aussi disponibles sur notre école en ligne.]

Repérer les problématiques “press-friendly”

Les relations presse fonctionnent, tout comme le social media management, sur une alternance entre les prises de paroles “chaudes” et “froides”. C’est-à-dire les sujets d’actualité inédits et ceux qui pourraient être traités toute l’année.

Dans l’idéal, une information “chaude”, fait l’objet d’une exclusivité dans un journal adapté à la cible que la marque veut toucher. Par exemple, Les Echos pour une annonce de levée de fonds en France.

Cependant, pour maintenir sa présence dans la presse toute l’année, le responsable RP peut aussi transformer du froid en chaud en rebondissant sur l’actualité ou en s’inscrivant dans le débat public. Pour cela, notre experte conseille de partir d’une veille attentive

Il faut réussir à capter les messages qui intéressent tel ou tel journaliste. En veillant au quotidien les sujets larges liés aux enjeux de son entreprise, on écoute le “bruit” presse autour de ces problématiques.

« C’est bien, dans l’idéal, de partir d’une veille large, puis affiner en repérant les thèmes précis qui reviennent. Par exemple, dans le cas des sujets “éducation” et “emploi”, on voit vite que le retour à l’emploi ou la reconversion professionnelle intéressent la presse. Partant de là, on peut créer des contenus ou prendre position sur ces sujets auprès de journalistes qui ont l’habitude de les traiter”. 

Choisir les médias les plus pertinents

En fonction des sujets intéressants et des journalistes qui les traitent, on repère les médias dans lesquels on veut apparaître.

On peut aussi faire le chemin inverse, en repérant un média où on voudrait être mentionné. Pour y arriver, il faut observer les problématiques traitées par les journalistes de son secteur”.

Le mieux est aussi de panacher ses prises de contacts à l’échelle des différents médias : 

  • Le tiers 1 : les médias grand public 
  • Le tiers 2 : la presse spécialisée, qui ne touche pas le grand public ;
  • Le tiers 3 : Contribuer aux média via des tribunes 

L’objectif est ici d’avoir un panel large de prises de paroles dans la presse généraliste et spécialisée. 

Définir les messages-clés de la marque

Ensuite, le responsable RP forge les messages sur lesquels la marque se positionnera. C’est-à-dire les leitmotiv de la marque. Ils peuvent être définis sous formes de problématiques principales (exemple : le futur de l’éducation, l’accessibilité dans l’éducation, l’insertion professionnelle…), ou de phrases clés (exemples : La mission d’OpenClassrooms est de rendre l’éducation accessible). 

Plus ces éléments seront ancrés dans la communication globale d’une marque, plus elle aura de chances d’être considérée experte sur ses sujets principaux.

Donc, des journalistes pourront contacter ses fondateurs pour prendre la parole sur les sujets qui les concernent. 

2- Amener son message à bon port

Les journalistes sont sursollicités. Donc, leur envoyer le mauvais message au mauvais moment nuit à la réputation d’un responsable RP. Pour éviter cet écueil et augmenter ses chances d’être publié, notre experte a quelques astuces.

Cibler le bon journaliste

L’un des risques principaux est de ne pas envoyer son communiqué à la bonne personne. Il faut donc être rigoureux.

Il est indispensable de faire de la curation pour savoir qui écrit précisément sur quel sujet. Des outils comme Mention, Kantar Media ou MeltWater permettent d’entrer dans ce genre de détails et d’agréger ses données. Dès qu’on repère qu’un journaliste écrit sur une problématique qui nous intéresse, on l’ajoute à son fichier presse ».

Mieux vaut être qualitatif que quantitatif. Ces listes presse doivent être segmentées et précises. Dans le cas contraire, il ne faut pas s’attendre à avoir de réponse.

Trouver les contacts directs

Notre experte l’assure, il est essentiel d’avoir un accès direct au journaliste. Avec une base de données, c’est plus facile. Hors Antenne ou Babbler par exemple contiennent les coordonnées des journalistes. Babbler propose même de voir ceux qui s’intéressent au contenu de la marque, pour pouvoir rebondir un signe d’intérêt.

Je me sers des tags pour trouver les journalistes que je souhaite contacter, assure la responsable presse. 

Sans fichier presse, la plupart des journalistes sont sur Twitter. Et le nerf de la guerre reste de retrousser ses manches pour appeler les rédactions.

Choisir son moment

Cela compte. Imaginez être en bas d’une liste de 400 e-mails, à 19h. Aucune chance d’être lu.

Les journalistes ont souvent leurs conférences de rédaction entre 9 et 10 heures. Donc, pour qu’ils lisent un e-mail juste avant, il faut l’envoyer à 8h30. Pour tout ce qui est conférences de presse, cela doit se passer entre 10h et 15 heures, car c’est à ce moment qu’ils bouclent. Les quotidiens quant à eux bouclent à partir de 15h.

L’enjeu : arriver exactement au moment où le journaliste recevra l’information.

Soigner sa relance

Il n’y a pas de RP sans relance.

Cependant, recontacter un journaliste est tout un art. La responsable presse que nous avons interrogée a mis en place une méthode qui a fait ses preuves.

« J’envoie d’abord un mail avec le communiqué de presse et un texte simple présentant les grandes lignes. J’attends le lendemain pour rappeler la personne. Je pitche la nouvelle pendant deux minutes, et il peut regarder l’information en parallèle. C’est là que j’ai les meilleures chances d’avoir gain de cause ».

Pour un événement, on relance une semaine avant. Pour une info chaude, deux heures de courtoisie sont de rigueur après l’envoi du mail, avant de passer son coup de fil. 

3- Établir une relation de confiance

Installer une relation de confiance avec un journaliste se fait sur le long-terme.

Ce sont des années de pratique avec les mêmes journalistes. Ils font tout pour préserver leur éthique, et sont donc à raison difficiles d’approche.

Cela étant dit, il y a des fondamentaux pour commencer à construire cette relation gagnant-gagnant : du bon contenu contre une vitrine médiatique.

Ecrire aux spécialistes

La règle numéro une des RP, est de proposer uniquement des sujets dont on est sûr qu’ils intéressent le journaliste

Cela veut dire concrètement qu’on ne peut pas envoyer une information à n’importe qui et que la qualité prime sur la quantité.

Je fais de la pédagogie en interne. Je n’envoie pas une information qui ne prendra pas. Il faut être empathique et savoir sur quoi chacun écrit, si on ne souhaite pas se griller définitivement.

Proposer des exclusivités et des embargos

Utilisez l’embargo et l’exclusivité pour pour aider les journalistes à gagner du temps.

« Je propose une exclusivité à un journaliste sélectionné pour son média et sa coloration, quand j’ai de vraies bonnes infos ».

Personnaliser

Tout comme en marketing automation, il est indispensable d’être dans l’hyper personnalisation

On s’adresse directement à la personne. On lui montre qu’on connaît les sujets qui l’intéressent. On lui explique brièvement pourquoi on a pensé à elle pour ce sujet. Plus la personnalisation est naturelle et pertinente, plus on a de chances de recevoir une réponse. 

Remercier avec finesse

“Remercier un journaliste est un jeu d’équilibriste. Il ne faut pas en faire trop, pour ne pas lui donner l’impression qu’on cherche à le soudoyer. En même temps, c’est important d’envoyer un e-mail simple pour dire qu’on est contents”. 

  • À éviter : envoyer de cadeaux (a fortiori une bouteille de champagne) ; trop insister sur les remerciements.
  • À faire : proposer des avantages immatériels, par exemple un déjeuner avec un co-fondateur ou le président de l’entreprise.

En un mot 

Trouver l’équilibre n’est pas simple en RP. Dans ce métier essentiellement relationnel, de nombreux codes existent pour réussir. Pour autant, nous espérons que ces quelques pistes vous aiguillent dans la bonne direction… pour avoir bonne presse.

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Combiner maths et développement informatique, le projet de Fayçal 

Par : Nora Leon

Une grande détermination. C’est ce qui ressort de notre échange avec Fayçal, l’un des étudiants boursiers de la formation LevelUp, en partenariat avec Google.org. 

Après avoir cherché sa voie en fac de maths, Fayçal s’est décidé pour la formation développeur iOS. Bien décidé à coder et soutenu par sa copine, il met en œuvre l’énergie nécessaire pour faire aboutir ses rêves. Rencontre. 

Qu’est-ce qui t’a mené à LevelUp ?

Je suis un matheux. J’ai fait une licence de maths info à Paris Descartes… Que j’ai arrêtée. Ce n’était pas assez concret. Je n’étais pas fixé sur ce que je voulais, mais je savais bien ce que je ne voulais pas. Notamment, faire de recherche en master, devenir prof ou data scientist comme mon frère. Cela m’intéresse peu, même si c’est très demandé. Donc, comme je ne savais pas encore quoi faire, je me suis inscrit sur Deliveroo et Uber en attendant.

Mon frère m’a proposé de devenir développeur iOS, car c’est un métier très demandé. Je me suis auto-formé sur les cours OpenClassrooms dès mars 2018 en suivant des cours, tout en cherchant un moyen de me faire financer une formation diplômante d’un an. Début 2019, j’ai reçu le mail d’Uber et Deliveroo annonçant une bourse d’études OpenClassrooms en partenariat avec Google.org.

J’avais très peu de chances de l’obtenir. Donc, imaginez mon soulagement quand on me l’a accordée !

Pourquoi la formation développeur d’applications iOS ?

Pour la Tech, d’abord. Apple code en C, option que j’avais choisie en maths info.

Ce métier était donc dans la suite logique de ce que je savais déjà. Et au niveau technique, c’est passionnant car le code en iOS a un lien avec tout : le design, l’écriture, le respect des normes. C’est très complet et cela donne plusieurs dimensions au job.

Mais aussi par rapport à Apple. J’aime son image épurée et le fait que les composants interagissent ensemble. C’est aussi une marque sécurisée et confidentielle, deux points que je considère très positifs.

Apple est enfin très rigoureux dans ses standards qualité. Cela me plaît, car je me mets au défi d’arriver à ce niveau

Comment vois-tu l’avenir ? 

J’ai momentanément arrêté les maths, mais j’ai quand même les chiffres dans la peau ! Donc, j’aimerais bien concilier code informatique et arithmétique dans mon futur emploi

Pour cela, il me suffirait de travailler dans les algorithmes. Je trouverais intéressant de proposer des améliorations dans le code des ingénieurs, tout comme les mathématiciens qui peaufinent l’algorithmie.

Pour y parvenir, je compte reprendre mes études en maths en alternance avec mon emploi, pour développer mes compétences. 

Et je voudrais aussi développer des outils open source qui aideraient à participer aux génomes. C’est important pour moi de résoudre des problèmes concrets. Je suis convaincu qu’il faut partager ses connaissances : je cherche donc à être dans une dynamique d’échange

Le mot de la fin ? 

Aujourd’hui, ma charge de travail est conséquente, même si je prends plaisir à étudier et pratiquer le développement. J’avance vite, car mon mentor m’épaule, alors qu’avant j’étais seul

Je mets beaucoup d’énergie dans la formation et suis prêt à faire les sacrifices nécessaires pour réussir

Je me projette aussi sur le moyen-terme. Après quelques années en poste, j’aimerais devenir mentor. Je me sens déjà redevable de ce qu’on m’a donné. Plus tard, j’accompagnerai des étudiants qui seront au stade où j’en suis à présent.

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Cumuler un boulot à temps plein et une formation en ligne : mission impossible ?

Est-ce possible de réussir une formation en ligne en même tant qu’on travaille ?  Vous êtes nombreux à vous poser cette question. Et pour cause :  vous aimeriez vous reconvertir, mais vous avez des contraintes financières.  Pour avoir l’avis de quelqu’un qui conjugue formation et emploi à plein temps, nous sommes allés à la rencontre de Cécile Desray, étudiante sur notre formation Community manager, mais aussi assistante RH à temps plein et bénévole dans une association. 

Comment organise-t-elle ses semaines ? Comment trouve-t-elle son équilibre ? Voici son témoignage. 

D’un métier alimentaire à une passion

Cela fait six ans que je suis à mon poste d’assistante RH, c’est une bonne entreprise, mais mon travail n’est pas un métier-passion. Je suis très créative, mes compétences ne sont que peu exploitées dans ce milieu.

Un constat sur lequel s’accordent la plupart des profils créatifs évoluant dans des postes exempts de toute dimension artistique. Pour exprimer sa créativité au travail, Cécile doit donc compter sur sa vie extra-professionnelle. Elle est passionnée par le sport et fait notamment du roller-derby. Bénévole au sein du conseil d’administration de son club, elle y endosse la responsabilité de coordinatrice communication, qui implique notamment le pilotage des réseaux sociaux. 

« En temps qu’assistante RH, je travaille du lundi au vendredi, j’arrive le matin vers 8h45 et repars le soir vers 17h30. Il y a pire » nous explique-t-elle, « mais l’association me prend 5 à 6 heures chaque semaine, sans compter ce qui relève de ma vie privée ». Lorsqu’elle décide de se lancer dans sa formation Cécile le sait : « ce sont des conditions qui demandent une véritable organisation ».

[À lire : Pour réussir ses études en ligne, l’organisation, c’est la clé]

Comment se former en parallèle d’un emploi ?

Profiter de la flexibilité matérielle

Le mot d’ordre lorsque l’on veut se lancer dans une formation avec un emploi du temps serré : fle-xi-bi-li-té

Il y a un côté pratique dans les formations OpenClassrooms, car on a juste besoin d’un peu de temps, d’un ordinateur portable et d’une connexion Internet.

Un point de départ intéressant pour Cécile, car si ces simples conditions sont réunies, elle peut profiter de n’importe quel créneau de temps libre pour se former. Qu’elle soit chez elle ou en déplacement.

Allonger la durée de formation

Prolongée, une formation se retrouve découpée en séances de travail plus courtes, et donc, plus faciles à caser dans un emploi du temps chargé.

Comment ? Il suffit de nous demander, et si besoin, demander aux organismes financeurs.

Je suis financée par mon OPCO et j’avais des heures CPF à disposition. Normalement la formation de Community Manager dure un an, mais j’ai pu étendre la limite. J’ai choisi de faire la formation sur deux ans.

Tirer parti de la flexibilité du mentor

Comme les étudiants, les mentors n’ont qu’un objectif en tête : votre réussite. « Je suis suivie par une mentor bienveillante et compréhensive qui sait toujours s’adapter en cas de retard ou imprévu » nous explique Cécile, « C’est d’ailleurs le cas avec un projet que je mène en ce moment, j’ai dépassé ma date de rendu prévisionnelle que je m’étais fixée, mais nous avons trouvé une solution ». Quel que soit la formation, vous trouverez toujours en cas de pépin une oreille attentive et un mentor compréhensif.  

Des conseils pour celles et ceux qui hésitent ?

J’ai toujours été passionnée par les réseaux sociaux et le web . J’ai découvert le community management à travers mes activités de bénévole. Je ne pensais pas que ça pourrait devenir mon métier, mais dans le numérique tout évolue très vite.

Cécile a bien conscience des nombreuses portes qui s’offrent à elle. « Dans les formations OpenClassrooms, on commence tous par apprendre à apprendre, à se remettre dans une posture d’apprentissage », poursuit-elle, « c’est une notion que l’on perd effectivement avec le temps, mais qui est pourtant essentielle en phase de reconversion. Un bon point de départ, car aujourd’hui j’aime apprendre, et je me dis que si je devais me lancer dans une nouvelle formation, je le ferais sans problème ». Elle en profite au passage pour adresser trois conseils aux étudiants dans la même situation qu’elle :

  • Donnez-vous du temps : « c’est important pour réussir. Dans mon cas je sentais bien qu’il serait compliqué de m’en tenir à une année, deux c’est parfait. Si je termine avant, ce sera tant mieux ».
  • Préparez bien votre planning : « le genre d’outil indispensable pour trouver son équilibre entre la quantité de travail à faire et les deadlines à respecter ».
  • Prenez de l’avance dès que possible : « cela permet d’anticiper les difficultés, mieux gérer les retards et surtout de terminer plus vite ».

Pour répondre à la question : non, étudier et travailler à plein-temps est loin d’être impossible. Les formations en ligne sont d’une flexibilité telle qu’elles peuvent s’adapter à la plupart des agendas, même les plus chargés. 

Une heure par-ci, une heure par-là, plus deux-trois chaque week-end. Voire plus quand il ne fait pas beau.

À l’arrivée, cela permet à Cécile de se dégager plus d’une dizaine d’heures de formation par semaine. Ajoutez à cela un mentor, des organismes financeurs compréhensifs et vous avez toutes les clés en main pour mener votre nouvelle double (ou triple) vie.

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Interview : que recherchent les recruteurs chez les candidats Tech ?

Nicolas Macherey a fondé WakeOnWeb en 2015. Implantée sur trois sites à Paris, Lyon et Aix-en-Provence, cette entreprise de près de 40 salariés conçoit des solutions numériques et technologiques sur-mesure pour les entreprises.

Pour conserver leur expertise face aux changements permanents du monde du numérique, les professionnels de la Tech doivent rester en veille permanente et être curieux des dernières innovations. C’est ce que nous explique Nicolas au travers de sa propre expérience.

Un processus de recrutement ouvert

WakeOnWeb est une société encore jeune, qui a connu des hauts et des bas. S’il y a eu un peu plus de turn-over lors des périodes de creux, aujourd’hui les équipes sont bien en place, soudées et compétentes.

La stratégie de recrutement de Nicolas ? Miser sur la diversité : “J’ai fait un pari en fondant WakeOnWeb, car c’est difficile d’être bien formé sur toutes les technologies. »

Alors, j’ai employé des gens qui étaient soit des développeurs expérimentés, soit des passionnés autodidactes. Certains n’avaient même pas le bac ou étaient de jeunes diplômés tout juste sortis  d’école. Ils avaient l’avantage d’être encore modelables.

« Personnellement, je connais les formations en ligne OpenClassrooms depuis le début, mais je laisse les gens choisir leur formation lorsqu’ils font leur contrat de professionnalisation ou leur formation continue. J’ai eu beaucoup d’alternants qui venaient de formations différentes : SupInfo, écoles d’ingé, OpenClassrooms…

Bien que les compétences techniques soient indispensables pour proposer la meilleure expertise aux entreprises, Nicolas valorise d’autres éléments aussi  : “Nous sommes une société de service donc nous devons nous adapter aux circonstances du client et dans ce contexte, être capables de monter en compétences rapidement, de s’adapter, de rebondir. C’est très important quelles que soient les bases techniques que l’on a eues au départ. C’est pour cette raison que je valorise les profils variés. »

Je n’ai pas d’a priori, je ne regarde jamais les CV avant de faire entrer les candidats en entretien, que je juge d’abord sur leurs valeurs humaines.

« Puis dans un deuxième temps, ils passent un test de personnalité et un test technique qui est adapté en fonction du profil. On ne donnera pas le même test à un architecte développeur qu’à un junior en reconversion par exemple. »

Un apprentissage permanent

Les technologies du numérique sont en constante évolution et de plus en plus nombreuses.

Pour rester compétitifs, les professionnels de la tech n’ont d’autre choix que de continuer à apprendre et à se former tout au long de leur carrière.

Nicolas croit aux vertus de la formation interne et externe :

Notre métier est d’apporter l’innovation technologique dans les entreprises donc si on n’encourage pas la formation continue auprès de nos collaborateurs, on se laisse dépasser très rapidement.

« Au sein de WakeOnWeb, on a un programme de formation interne qui est encadré par nos architectes. Le marché évolue constamment, donc on sélectionne avec nos collaborateurs les technologies qu’on trouve   intéressantes à connaître et maîtriser. Le but n’est pas de devenir spécialiste de tout non plus, on évalue de façon concrète l’expertise qui est la plus pertinente pour nous.”

Incorporer la formation au sein de l’entreprise demande une organisation du travail adaptée, qui peut sembler complexe à mettre en place à première vue.

Cependant, elle représente indéniablement un investissement sur le long terme.

Lorsqu’on sélectionne une nouvelle technologie, on laisse les employés se dégager du temps pour se former à partir des ressources ou des outils qu’ils choisissent, en échange de quoi ils rédigent une présentation ou un article qui peut être profitable à tous sur la techno en question.

« Cela représente un coût mais c’est indispensable dans notre domaine. Par conséquent, nous avons mis en place ce système en début d’année et nous verrons si cela perdure”, explique Nicolas.

Quel que soit le langage informatique que l’on maîtrise le mieux, ce qui est inhérent à tous les métiers du numérique est la curiosité d’apprendre perpétuellement pour rester innovant. Finalement, c’est sans doute la qualité première recherchée par les recruteurs dans le domaine, à l’image de Nicolas.

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Dans la bibliothèque d’un développeur : les livres incontournables

Beaucoup d’entreprises cherchent à recruter de bons développeurs, c’est la profession du moment. Quelque soit sa spécialité, un développeur se doit d’être souple, curieux, créatif et avide de résoudre des problèmes parfois complexes. Si une grande partie de cette profession s’apprend par la pratique, certains ouvrages sont de vraies mines d’or pour se perfectionner d’un point de vue plus théorique. Beaucoup de ces ouvrages sont régulièrement réédités et remis à jour étant donné que c’est un domaine dans lequel les choses changent très rapidement.

Extreme programming Explained de Kent Beck

C’est la deuxième édition de l’ouvrage, initialement paru en 1999 et considéré comme une bible pour les développeurs. L’objectif de l’auteur, spécialiste en XP, est de donner des clés pour améliorer le développement de logiciels. On trouve des clés pour impliquer l’ensemble de son équipe, quelque soit sa taille, en élaborant un espace de travail partagé et sur mesure, pour réduire le taux d’erreur, ou encore pour planifier les décisions économiques et les décisions technologiques de l’entreprise.

Refactoring : Improving the design of existing code de Martin Fowler

Dans ce livre, vous trouverez de nombreuses idées et techniques pour améliorer vos bases de code. Le refactoring, appelé réingénierie logicielle en français est un principe qui vise à transformer un logiciel à partir d’un modèle déjà existant. La méthode de l’auteur consiste à suivre une étape à la fois de ce processus pour limiter le risque d’erreur. La dernière édition de l’ouvrage date de décembre 2018.

Clean Code de Robert Martin

En apparence, un mauvais codage peut avoir l’air de fonctionner très bien. Seulement, si ce code n’est pas propre, cela peut avoir des conséquences désastreuses pour un développeur et son entreprise. L’objectif de Robert Martin est d’aiguiser l’oeil des développeurs pour qu’ils soient capables de distinguer une bonne ligne de code d’une mauvaise et pour qu’ils puissent transformer un mauvais codage en un codage de bonne qualité.

The Clean Coder : a code of conduct for professional programmers de Robert Martin

Dans cet ouvrage plus récent que le précédent, l’expert en programmation donne des outils très concrets pour se perfectionner dans ce qu’il appelle l’artisanat de logiciel. Présenté comme un véritable code de conduite du développeur, l’auteur voit au-delà de l’aspect technique et explique comment gérer la pression, le stress, comment communiquer convenablement sur son travail, comment gérer son temps et apprendre à dire non quand c’est nécessaire.

Design Patterns en Java de Laurent Debrauwer

Ce livre présente 23 modèles de conception en langage UML et Java en explicitant chaque fois le problème associé et la solution apportée. L’ouvrage s’organise autour de trois grands axes de conception : les patterns de construction, les patterns de structuration et les patterns de comportement. L’auteur s’adresse essentiellement à des développeurs et concepteurs spécialisés en programmation orientée objet.

La programmation orientée objet de Hugues Bersini

La dernière édition de ce manuel indispensable est parue en 2017 et on y trouve tous les mécanismes de la programmation orientée objet, accompagnés d’illustrations pratiques. Didactique, chaque partie se termine par de nombreux exercices dans les langages les plus populaires : Java, Android, Python, UML 2, PHP ou encore C++.

UX Design et économie des interfaces de Jean-François Nogier et Jules Leclerc

L’UX Design est l’étape clé pour rendre un produit numérique agréable d’utilisation. Cet ouvrage s’adresse aux concepteurs d’applications, et grâce à de nombreux exemples, les auteurs tentent d’apporter des solutions à n’importe quel projet. De nombreux sujets sont passés au crible comme le ciblage des utilisateurs, les choix graphiques, le système de navigation, ou encore la conception dite mobile first.

Kotlin – Les fondamentaux du développement d’application AndroidAndroïd de Anthony Cosson

Destiné aux développeurs de tout niveau, ce livre donne les bases du langage Kotlin permettant de développer des applications mobiles au format AndroidAndroïd. Des pré-requis en programmation objet orientée sont nécessaires mais les fondamentaux sont repris en début d’ouvrage. Les concepts sont expliqués simplement et il est possible de télécharger le code associé à chacune des démonstrations de l’auteur pour que le lecteur puisse s’entraîner.

JavaScript : The Good Parts de Douglas Crockford

JavaScript, devenu langage du web par défaut, est parfois sous-estimé comme langage de programmation. Expert en la matière, Douglas Crockford redonne à JavaScript tous ses titres de noblesse, en détaillant le spectre des possibles avec cet outil. Vous aurez peut-être à désapprendre quelques unes de vos mauvaises habitudes, mais si vous souhaitez développer des sites ou applications web, ce livre est un indispensable.

Responsive Web Design de Ethan Marcotte

Dans ce livre, on comprend l’importance de mettre au point des interfaces qui soient agiles et adaptables. Parce qu’aujourd’hui les sites et applications doivent s’adapter à tous les types de supports et que les développeurs doivent intégrer dans leur travail une certaine flexibilité de l’expérience utilisateur. Le responsive web design, c’est finalement concevoir une programmation intelligente pour satisfaire le plus grand nombre d’utilisateurs.

Pour aller plus loin et rester à jour :

-La plateforme Egghead rassemble des développeurs web professionnels et des contributeurs qui mettent en ligne des tutoriels et des cours en accès libre sur les derniers outils en date.

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Social Media Management : comment gérer les crises ?

Feed est une start-up spécialisée dans les repas en poudre à diluer. La marque a été critiquée sur Twitter après avoir répondu à un internaute qui ne recommandait pas les produits. Capture d’écran – Twitter

Les réseaux sociaux sont aujourd’hui les canaux de communication privilégiés des entreprises pour communiquer. Lancement d’un nouveau produit ou d’une offre spéciale, changement de branding, réponse à un internaute ou encore actualité récente : les entreprises ont de nombreuses occasions d’interagir avec leur public.

Cette proximité accrue peut parfois leur coûter très cher. Un faux pas qui met le feu au poudre, des commentaires négatifs qui affluent de toute part, et c’est le bad buzz. Preuve en est avec la polémique sur le “hijab de sport” annoncé sur le site Decathlon en début d’année : celui-ci a suscité un véritable tollé sur Twitter.

Alors comment gérer une image de marque et animer une communauté sur les réseaux sociaux, y-compris en cas de crise ?

[À suivre : notre formation community manager]

Pour répondre à cet enjeu, nous avons rencontré Florentin Gonon, Social Media Manager chez Digitick, société française spécialisée dans la vente de billets électroniques et de billets mobiles.

La polémique débute par la réaction d’une femme politique sur la commercialisation de ce produit. Rapidement divers politiques prennent la parole et la polémique monte obligeant la marque à s’exprimer par la voix de son community manager. Capture d’écran – Twitter

Quel est le rôle d’un Social Media Manager ?

Le Social Media Manager est le garant de la stratégie à adopter en termes de communication sur les réseaux sociaux.

S’il est difficile de parler de journée-type, deux grandes tâches se distinguent : interactions utilisateurs et veille. Répondre aux tweets et autres publications sur les réseaux fait partie intégrante d’une expérience client de qualité. De même, il est devenu indispensable de surveiller, mesurer et analyser les mentions de son entreprise pour déterminer sa compétitivité.

Pour Florentin, une veille efficace est essentielle car elle permet d’agir de manière proactive et en amont : “C’est un avantage concurrentiel important et cela montre qu’on est présent.”. Une crise ou un bad buzz peuvent avoir une multitude de points de départ et il est important de faire une veille active pour anticiper les problématiques qui pourraient surgir.

Quelles sont les crises qu’un social media manager peut rencontrer ?

Il existe différentes typologies de crises liées à son business, qui évoluent avec la vie du produit :

Les crises liées au produit

Dans l’univers du e-commerce il est fréquent que les plaintes soient directement liées au processus d’achat et de réception du produit. Un défaut, une mauvaise gestion des matières premières (Une marque de biscuit qui utilise de l’huile de palme), une crise liée à sa fabrication etc.

Les crises liées au service

Retard de livraison, remboursement compliqué, service client absent, solutions apportées insatisfaisantes…

Les crises liées à la marque

Campagne de pub qui fait scandale (H&M en 2018 avec son sweat-shirt estampillé “coolest monkey in the jungle” accusé de racisme), pratiques scandaleuses (Célio qui lacérait ses vêtements invendus), ou merchandising raté (Auchan et son sac de course “Hourra ! J’ai la carte de crédit de mon mec !” retiré des rayons).

Les crises liée à une à une prise de parole

Lorsqu’un porte parole d’une marque dérape sur les réseaux comme ce directeur régional d’Abercrombie & Fitch justifiant le refus de donner les invendus aux œuvres de charité par un :

Abercrombie ne veut pas donner l’image qu’une personne pauvre peut porter ses affaires. Seules les personnes d’une certaine stature peuvent acquérir et porter les vêtements de la marque.

Florentin nous partage son expérience de gestion de crise :

La crise la plus importante, c’est lors des grosses mises en vente pour des concerts qui se retrouvent complets en quelques minutes. Cela génère de la frustration : certains ont acheté leur billets trop vite et se sont trompés dans les données saisies ou l’emplacement, d’autres peuvent accuser la billetterie d’avoir profité de la situation et d’avoir fait des quotas.

Les réseaux sociaux peuvent heureusement être utilisés comme de véritables leviers d’éducation. Grâce au travail de Florentin, les clients Digitick ont par exemple une meilleure connaissance du système d’allocation de places, des quotas existants entre les différentes billetteries, ou encore des initiatives mises en place pour la revente de billets.

Les autres crises les plus courantes sont inhérentes à tout acteur du e-commerce : billet non reçu, e-mail de confirmation non reçu etc.

Un travail de longue haleine qui finit par porter ses fruits lorsque d’anciens détracteurs finissent par prendre la parole en faveur de l’entreprise. Florentin raconte :

Les clients mécontents auxquels on apporte une réponse et qui après répondent à une personne qui a le même problème en disant : “Allez voir Digitick, ils répondent et ils vont pouvoir t’aider”. Là, je sais que mon travail est réussi.

En résumé, le travail du Social Media Manager est aussi de réfléchir aux scénarios possibles de bad buzz et à une communication de crise adaptée en amont.

À quels types de détracteurs peuvent être confrontés les Social Media Managers ?

Il est possible de regrouper des catégories types de détracteurs rencontrés sur les réseaux :

  • Le troll n’est pas forcément client de l’entreprise et cherche juste à semer la discorde en lançant des débats tantôt absurdes tantôt haineux.
  • Le client mécontent qui critique la marque ou fait une réclamation.
  • Le “hater” pur et dur, celui qui dénigre la marque sur tous les réseaux possibles.
  • Le “hater” ponctuel qui exprime parfois violemment sa déception.

Les profils de détracteurs changent aussi en fonction des réseaux.

Logique quand on sait que Facebook n’est plus utilisé par les mêmes catégorie d’âge qu’Instagram. Florentin le confirme :

Sur Facebook, les demandes sont plus complexes. Sur Twitter et Instagram la population est plus jeune : les polémiques peuvent aller plus vites, les réponses sont plus libres.

Quels que soient les interlocuteurs, il faut se mettre à leur place et essayer de comprendre leurs attentes afin de mieux répondre à leurs plaintes.

L’essentiel pour gérer les crises

Le Social Media Manager peut être parfois confronté à des commentaires déplaisants ou agressifs. Quoi qu’il arrive, il est essentiel de ne pas en faire une affaire personnelle.

Au début, cela peut être difficile parce qu’on défend sa marque, on peut se sentir touché dans son travail. il ne faut pas oublier que l’insulte permet d’attirer l’attention. Lorsque l’on répond aux personnes, celles-ci se calment rapidement. – Florentin

Le deuxième conseil est de connaître son audience et de choisir le ton employé. L’empathie et l’humour rapprochent la marque de son audience. Un bon Social Media Manager peut générer un véritable capital sympathie grâce à ses réponses.

Dans le cas du Troll, il est conseillé de ne pas se lancer dans un échange sans fin car l’internaute ne cherche pas de l’aide mais à semer la discorde. Le Social Media Manager peut décider de systématiquement bloquer ou supprimer les commentaires.

Dans le cas du hater ponctuel, il convient en revanche de comprendre son opinion et de tenter de trouver une réponse. Il est possible de transformer positivement un hater ponctuel lorsque la réponse apportée est satisfaisante.

Dans le cas de l’insulte, certains répondent avec humour tout en restant professionnels. Ce type de réponse peut avoir comme effet de conquérir l’audience.

Source @CMHallofFame

Enfin le Social Media Manager doit savoir récupérer l’information en interne, la vulgariser et la restituer dans la mesure du possible. Il doit toujours savoir apporter une réponse à celui qui en a besoin. Il doit avoir en sa possession le bon contenu à délivrer.

Pour ceux qui voudraient découvrir des Social Media Manager et Community Manager inspirants, Florentin nous a confié quelques noms des comptes Twitter qu’il affectionne pour leur fluidité, leur phrasé ou encore leur humour :

Winamax, Netflix, Decathlon, Innocent ou encore Mon Petit Gazon.

En conclusion : le Social Media Manager est la voix de l’entreprise sur internet. Créer une relation avec sa communauté implique de l’empathie mais également du sang froid et du recul pour savoir gérer au quotidien les crises qui peuvent surgir.

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Comment ma reconversion a attiré les recruteurs : l’histoire de Stéphanie

Stéphanie Houssin est développeuse web chez de Particulier à Particulier depuis septembre. Son parcours est atypique depuis la fin de son parcours universitaire et sa première expérience professionnelle.

À partir du moment où elle a décidé de se former au sein de l’école en ligne OpenClassrooms à nouveau pour exercer un métier qui lui correspond vraiment, les étoiles se sont parfaitement alignées pour elle, jusqu’à son embauche avant même la fin de sa formation OpenClassrooms.

De la psychologie et des inventaires

Au départ, Stéphanie n’a pas forcément le profil web : “J’ai fait un bac littéraire puis j’ai fait des études de psycho et j’ai obtenu une maîtrise en psychologie cognitive. Finalement, je n’ai pas poursuivi dans ce domaine car je voulais commencer à travailler et donc j’ai été embauchée dans une boîte d’inventaires.”

Elle reste en poste plusieurs années puis l’entreprise est rachetée par un géant américain. Stéphanie a un déclic :

Même si j’ai fait parti des employés qu’ils ont gardés, cela a été un déclencheur pour moi. Je commençais à être lassée de ce que je faisais. J’étais sur les routes tous les jours. J’ai donc obtenu une rupture conventionnelle.

Stéphanie entame son processus de reconversion à l’étranger : “C’est arrivé complètement par hasard. J’ai pu partir à l’étranger et j’ai passé deux ans en Israël. Tout s’est joué à ce moment-là ».

J’étais à l’aube de mes 40 ans et je me suis dit qu’il était temps que je fasse quelque chose qui me plaisait.

« J’hésitais beaucoup entre le développement web et la cuisine. Là-bas, j’ai eu la chance d’avoir des expérience en cuisine, notamment dans une ambassade. C’était très intéressant mais j’en ai assez rapidement vu les limites.

Une formation financée par Pôle Emploi

L’idée du développement web et du code commence à faire son chemin dans l’esprit de Stéphanie : “C’est étrange, j’étais attirée par le développement mais mes connaissances en la matière étaient nulles. Je savais à peine ce que c’était le code. Dans ma tête, j’avais simplement envie de créer des sites Internet et très vite, je me suis rendue compte que c’était bien plus complexe que cela. Par ailleurs, j’ai toujours aimé les chiffres et j’ai imaginé qu’il y avait une logique commune avec le code. »

À son retour d’Israël, Stéphanie entame les démarches : J’ai retrouvé des droits Pôle emploi que j’avais réussi à geler avant de partir. Je suis donc allée demander le financement d’une formation en développement ».

On m’a d’abord dit que ma candidature pour OpenClassrooms avait peu de chance d’aboutir, mais je n’en ai pas démordu et j’ai obtenu une réponse positive le lendemain.

« J’ai donc suivi une formation en développement avec un diplôme à la clé. C’était vraiment très formateur et je suis contente d’avoir complété les connaissances en code avec une casquette de gestion de projet.”

Un recrutement simple et efficace

Incroyable parcours puisque Stéphanie n’a même pas le temps de terminer son parcours OpenClassrooms que son profil intéresse déjà les recruteurs : “Je suis même pas encore allée complètement au bout de la formation puisque j’ai trouvé du boulot quelques mois avant le dernier projet ».

Je n’ai même pas vraiment eu le temps de chercher. Un jour, je me suis simplement dit que j’allais actualiser mon compte LinkedIn, y ajouter mon CV et voir comment mon profil serait reçu. Je n’attendais rien. Pourtant, un recruteur m’a appelée pour me rencontrer car il avait deux postes à me proposer. Je suis allée aux entretiens extrêmement détendue puisque je pensais que ce serait un test et que je ne serais jamais prise. Le jour-même, j’ai eu une réponse positive.

Se reconvertir est un défi parfois long et fastidieux, mais Stéphanie est convaincue que c’est aussi ce qui intéresse les employeurs : “Les recruteurs ont beaucoup aimé le fait que j’étais en reconversion, c’est ce qu’ils recherchent pour ce type de poste ».

Le fait de se reconvertir après 40 ans, je pense que c’est montrer que l’on sait exactement ce qu’on veut, qu’on a bossé, galéré et qu’on a une grande volonté.

« Mon parcours universitaire a aussi intéressé. C’est vrai que dans mes études en psychologie, j’avais été confrontée à de la résolution de problèmes. Quand on y réfléchit, il y a énormément de similitudes avec le développement. J’ai retrouvé pas mal de mécanismes.”

Un parcours OpenClassrooms réussi qui prouve que tout est accessible, quels que soient l’âge ou les expériences passées.

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Claire ou le goût des casse-têtes informatiques

Claire Serra a 27 ans, un profil très scientifique et un diplôme d’ingénieur spécialisé dans l’aménagement du territoire en poche quand elle bifurque vers le développement informatique.

Diplômée de l’école en ligne OpenClassrooms et passée par tous les échelons, elle est aujourd’hui en CDI comme développeuse web dans une agence à Lausanne.

Initialement, quel a été ton parcours universitaire ?

Mon parcours est assez hétéroclite. Après mon bac S, j’ai intégré une prépa MPSI/MP (maths & physiques). Suite à l’obtention du concours, je suis entrée dans l’école d’ingénieur de l’université de Tours, avec comme spécialité l’aménagement du territoire. J’ai été diplômée en 2014. Ma recherche d’emploi a été difficile, le secteur n’étant pas porteur.

À ce moment-là, j’envisage de me rediriger vers un métier qui me parle davantage, qui corresponde à mes aspirations et à mes envies.

Je fais un bref passage dans le professorat. Le métier de professeur des écoles m’avait toujours attirée, mais j’ai vite réalisé que cela ne me correspondait pas tout à fait non plus.

J’ai un profil cartésien, j’aime ce qui est logique et technique, alors je décide finalement de me lancer dans l’informatique et le développement web.

Quel a été le déclencheur pour te former à nouveau ?

Je suis de nature curieuse et entreprenante. J’aime découvrir de nouvelles choses : alors l’idée même d’apprendre et de m’engager dans une voie professionnalisante était stimulante pour moi. Je n’étais pas en poste à ce moment-là donc je ne pouvais que chercher un nouvel horizon.

Comment as-tu découvert OpenClassrooms ?

Après avoir longtemps hésité, je voulais trouver une école informatique qui me permettrait d’obtenir une certification rapidement, et si possible qu’elle soit peu coûteuse.

J’avais trouvé une école à Lyon qui m’a fait passer des tests et réaliser des exercices depuis le site d’OpenClassrooms. En navigant sur la plateforme, j’ai donc découvert les parcours proposés et la formation Développeur web, nouvelle à ce moment-là.

Cela durait 6 mois, se faisait en télétravail… C’était parfait pour moi.

Avais-tu une appétence pour le développement informatique ?

Plus jeune, j’avais déjà créé un site web personnel. Je ne l’avais pas codé mais j’avais appris à insérer du contenu et à le mettre en ligne.

J’avais bien aimé l’idée de concevoir quelque chose de visible par le monde entier, et aujourd’hui encore, c’est ce qui m’enthousiasme.

Plus tard, j’ai suivi quelques cours d’informatique pendant lesquels j’ai pu me familiariser avec le code et les bases de données. Ces cours me plaisaient.

Réfléchir sur la logique d’exécution du programme, analyser le problème et le résoudre, c’est comme un casse-tête pour moi. Et j’adore ça.

Quelles sont les compétences que tu as acquises durant la formation ?

J’ai appris le HTML, CSS, Javascript, jQuery, PHP. Au cours de mon dernier projet, j’ai également choisi d’apprendre le framework Symfony (3) qui n’était pas inclus dans la formation. J’ai bien fait car je crois que c’est un gros avantage pour se présenter sur le marché du travail.

Quels ont été tes projets de mise en pratique ?

J’ai réalisé les projets du parcours. Le dernier projet était particulièrement intéressant car je devais réaliser un site web de A à Z. C’est-à-dire que j’ai dû décider quel genre de site ou d’application j’allais mettre en place, quel serait son but, sa cible. Il fallait qu’il puisse allier toutes les compétences que j’avais acquises.

J’ai choisi de réaliser un jeu, une application ludique pour des enfants à l’école primaire. J’ai fait un travail de conception, sur le scénario du jeu, j’ai dû anticiper l’expérience utilisateur. Après avoir réalisé le cahier des charges, j’ai commencé à développer l’application.

Ce projet était parfait pour cimenter tout ce que j’avais appris depuis le début. Je suis fière du résultat, et j’ai ensuite pu utiliser ce projet pour convaincre en entretien.

Suite à la formation OpenClassrooms, comment s’est déroulée ta recherche d’emploi ?

J’ai reçu beaucoup d’appels de recruteurs et je suis allée à plusieurs entretiens, qui ont été infructueux au départ. Je souffrais de mon manque d’expérience dans le domaine alors j’ai choisi de faire mes premiers pas dans une association en tant que bénévole. Un mois après l’avoir intégrée, j’ai également rejoint une startup à mi-temps, comme bénévole aussi.

En parallèle, je continuais mes recherches d’emploi. Je n’étais pas à l’aise en entretien d’embauche, je n’arrivais pas à me valoriser et donc à concrétiser pour obtenir le poste.

Petit à petit, je me suis fait aider pour cibler mes faiblesses, et j’ai compris comment inverser la tendance.

Ce travail sur moi m’a permis de trouver un stage dans une entreprise à Genève puis d’être embauchée en tant que freelance pendant 3 mois. Cette expérience a été intéressante et valorisante, et m’a aidée à vendre mes compétences plus facilement ensuite. Un mois après, j’ai enfin décroché mon CDI à Lausanne.

Au cours de ce processus de recherche, j’ai pu m’apercevoir que certains recruteurs avaient eux-mêmes suivi une formation OpenClassrooms et la grande majorité connaissait la plateforme. Donc, ils n’étaient pas frileux sur le sujet.

Quel est ton poste aujourd’hui et quelles sont tes missions au quotidien ?

Je suis développeuse web et je travaille avec le langage PHP et le framework associé Symfony au sein d’une petite entreprise (< 10 employés).

Je travaille donc essentiellement sur des sites web : je corrige des bugs, je développe de nouvelles fonctionnalités. Je touche aussi au design, je participe à la réalisation de nouveaux sites ou de nouvelles applications.

Il y a des projets anciens qui sont basés sur du Symfony 1, et des plus récents basés sur Symfony 2 et 3, voire 4.

Je n’utilise pas WordPress, mais j’ai appris le CMS « Craft CMS » que je trouve très intuitif. Je suis même devenue la référente dans le domaine au sein de l’entreprise.

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Dans la bibliothèque d’un Chief Marketing Officer : 10 livres incontournables

La mission du Chief Marketing Officer est très globale à première vue : ce dernier doit mettre en place des stratégies pertinentes pour attirer des prospects, les transformer en clients puis les fidéliser. Au cours des deux dernières décennies, les codes du marketing ont changé et ils continuent d’évoluer rapidement à mesure que les plateformes et les outils digitaux se transforment aussi. Ces différents ouvrages ont le mérite d’être didactiques en proposant une vision nouvelle et pratique pour mettre en place des plans d’action efficaces et faire grandir une entreprise.

Brandscaping de Andrew Davis

Andrew Davis est un visionnaire du marketing qui propose dans son ouvrage une nouvelle méthodologie, le brandscaping. Cela consiste en s’associer avec les partenaires et influencers adéquats pour élaborer du contenu unique pour votre marque. C’est ce contenu de qualité et à fort impact qui créera naturellement la demande pour le produit ou le service que vous vendez. Dans cette optique, le marketing revient à rassembler une audience autour d’un ou plusieurs médias plutôt que de se concentrer directement sur la vente de son produit.

Content Inc. de Joe Pulizzi

Ce livre est un ouvrage très pratique, basé sur une quinzaine d’exemples pour démontrer comment il est possible de devenir une entreprise fructueuse avec comme point de départ, un blog. Joe Pulizzi sait de quoi il parle puisqu’il a lui même fondé le Content Marketing Institute après avoir mis en place le blog “Content Inc”. Partant de son propre modèle, il donne les clés pour appliquer pas à pas cette méthode à tout type d’entreprises.

Permission marketing de Seth Godin

Seth Godin est un entrepreneur, un auteur et conférencier américain. Précurseur, il fonde une société de marketing digital en 1995, avant de devenir le directeur marketing de Yahoo dès 1998. Dans ce livre, Seth Godin développe une théorie intéressante, celle du marketing de permission. En constatant que nous sommes aujourd’hui abreuvés de contenus à longueur de journée, il prend le pari d’instaurer une stratégie marketing basée sur la permission du client. Ainsi, la publicité ne se fait plus intrusive mais elle devient attractive et utile.

The Content Formula de Michel Brenner

Avec l’avènement du marketing digital, de nouvelles problématiques sont apparues et notamment celle d’évaluer l’impact des actions mises en œuvre. Or, comme le démontre Michel Brenner dans cet ouvrage, il est indispensable de pouvoir mesurer et quantifier les résultats de ses actions pour pouvoir les améliorer et combler les lacunes. Cette lecture vous permettra d’établir votre RSI (retour sur investissement) de vos contenus éditoriaux.

Optimize de Lee Odden

Le bouquin de Lee Odden est une précieuse source d’informations pour mettre en place une stratégie marketing digitale globale. L’auteur, spécialiste en content marketing et marketing d’influence, a travaillé au sein du département marketing de LinkedIn aux États-Unis puis a fondé sa propre agence Top Rank. De façon très pratique, il explique comment combiner SEO, réseaux sociaux et contenus pertinents pour créer de l’engagement auprès des clients.

The Conversion Code de Chris Smith

Chris Smith est le fondateur de Curaytor, une agence américaine de marketing digital et c’est aussi un coach qui aide les entrepreneurs à faire grandir leur business plus rapidement. Il est spécialisé dans les leads et son ouvrage se concentre surtout sur l’analyse des data pour parvenir à trois grands objectifs : attirer plus de leads, obtenir plus de rendez-vous pertinents et augmenter le nombre de ventes donc son chiffre d’affaires.

Le Growth Hacking : 8 semaines pour doubler le nombre de vos prospects de Frédéric Canevet

Le growth hacking, c’est mettre en place des outils pour accélérer sa croissance. Si vous cherchez à structurer votre croissance, à générer du trafic sur vos différentes plateformes digitales, et globalement à faire décoller votre business, ce livre vous intéressera forcément. Frédéric Canevet donne de nombreuses astuces et plans d’action applicables même avec peu de moyens. Le programme progressif et accessible promet des résultats dans les 8 semaines.

Buyology de Martin Lindstrom

Ce livre a permis à l’auteur d’être classé parmi les 100 personnes les plus influentes du monde par le Time. Consultant danois en marketing, Martin Lindstorm explique dans cet ouvrage pourquoi les consommateurs achètent un produit. Pourquoi sommes-nous touchés par certains messages publicitaires et insensibles à d’autres ? En faisant appel au neuromarketing, cet expert nous dévoile les stratégies marketing des publicitaires pour faire réagir notre cerveau de telle ou telle façon.

Growth Hacker Marketing de Ryan Holiday

Ryan Holiday a été le directeur marketing de la marque American Apparel. Fort de son expérience, il explique dans cet ouvrage la nécessité de penser le marketing différemment : le growth hacker doit être ingénieux, maximiser l’efficacité de ses actions et donc pour cela mettre en place du tracking, pour mesurer l’impact de chacune de ses actions sur les différents supports de communication. L’ouvrage est riche d’exemples et d’études de cas qui éclairent réellement la notion de growth hacking.

L’Inbound Marketing : Attirer, Conquérir et Enchanter le client à l’ère du digital de Stéphane Truphème

L’inbound marketing est de plus en plus en vogue. Il consiste à attirer le client à soi via les outils digitaux, plutôt que d’utiliser les techniques de marketing traditionnelles. La stratégie de l’inbound repose sur l’idée de devenir son propre média pour convertir son audience en client dans un deuxième temps. À l’heure des interactions à 360°, comment être attractif pour les visiteurs et les amener à devenir consommateur ? Le livre de Stéphane Truphème répond à ces problématiques de façon claire, en se basant sur de nombreux exemples illustrés ainsi que des interviews d’experts du marketing.

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De cavalière et caissière à développeuse web, l’histoire d’Anaïs

Par : Nora Leon

Anaïs est une force de la nature. Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elle a une volonté de fer !

Elle a suivi la formation développeur web. Ce programme l’ai aidée à transformer sa vie professionnelle. Anaïs était cavalière puis caissière ; elle est devenue développeuse web à plein temps. Aujourd’hui, elle apprend son nouveau métier en alternance à Aix-en-Provence.

Avant de prendre son courage à deux mains pour s’inscrire dans l’un de nos parcours diplômants, Anaïs avait déjà suivi 50 cours sur OpenClassrooms. 50 ! Et ce, alors qu’elle était enceinte de sa fille. Et d’autres encore même à l’hôpital.

À présent qu’elle est inscrite à la formation développeur web, elle est sur la voie d’une nouvelle carrière et d’un brillant avenir. Car Anaïs ne compte pas s’arrêter là : elle souhaite avec l’expérience devenir Tech lead. Voici son histoire.

Raconte-nous comment tu as commencé avec OpenClassrooms.

A : Je m’appelle Anaïs. J’ai 27 ans et je suis développeuse web après avoir étudié avec OpenClassrooms. Au début de ma vie professionnelle, j’ai travaillé dans le milieu équestre. Mais c’était plus une passion qu’une vocation. Plus tard, j’ai pris des emplois saisonniers en tant que barmaid et d’hôtesse dans la restauration… Puis, comme je voulais me poser après la rencontre avec mon conjoint, je suis devenue caissière.

J’avais envie de plus. Et comme mon conjoint avait changé de carrière et était devenu développeur web après avoir suivi un parcours diplômant d’OpenClassrooms, je me suis dit : « Pourquoi ne pas essayer ? Pourquoi pas moi ? »

Comment vis-tu ton parcours avec OpenClassrooms ?

A : J’ai commencé le premier cours de mon programme 15 jours avant de découvrir que j’étais enceinte. J’ai continué le programme pendant ma grossesse. Je l’ai même continué à l’hôpital où j’ai dû passer un mois avec ma fille après sa naissance.

J’ai jonglé entre les biberons, les couches et mes cours sur OpenClassrooms.

Comment gères-tu le travail et les études ?

A : J’ai pu trouver un travail qui financerait mon parcours diplômant OpenClassrooms [pendant ma première année]. J’ai 5 projets à créer en 12 mois. J’organise mon temps de formation comme je le souhaite. En accord avec mon employeur, j’ai choisi de consacrer mes vendredis à mes études (je travaille du lundi au jeudi).

En fonction de la difficulté de chaque projet, je dois parfois également étudier certains soirs de semaine et le week-end.

Que préfères-tu chez OpenClassrooms ?

La liberté. Je ne suis pas à l’école. Je ne suis pas derrière un bureau ou sous le contrôle d’un professeur. Je progresse à mon rythme. Je sais ce pour quoi je travaille. J’ai un but final.

Lorsque l’on opère un changement de carrière, on est fier de parler de son progrès, de pouvoir dire quelque chose comme : « J’ai été peintre dans le bâtiment, cavalière, caissière et aujourd’hui je suis votre égale. »

Des conseils pour ceux qui voudraient se lancer ?

A : À un moment, j’avais l’habitude d’étudier la programmation et de m’entraîner à coder pendant 10 à 15 jours puis de faire une pause de 10 à 15 jours. C’était une grossière erreur que j’ai faite au début de mon parcours.

Lorsque l’on commence à apprendre le code, on n’est pas encore assez autonome pour faire une pause longue sans pratiquer.

D’autres mots d’encouragement ?

A : Aujourd’hui, j’ai suivi plus de 50 cours avec OpenClassrooms – je les ai entièrement terminés – en plus de ceux compris dans mon parcours diplômant. Je les ai dévorés ! Je voudrais en suivre encore plus, apprendre plus et je ne suis pas près d’avoir terminé.

On dit souvent qu’il faut avoir le bac ou bien une licence, qu’il faut avoir le cerveau spécialement programmé pour apprendre mais en fait, c’est faux. Cela vient petit à petit.

Si vous souhaitez en savoir plus sur le parcours Développeur web ou sur nos autres parcours diplômants de niveau licence ou master, faites un tour sur le site de l’école en ligne OpenClassrooms.

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Dans la bibliothèque d’un responsable communication : 12 livres incontournables

Communiquer, rassembler une audience autour de valeurs communes, faire le buzz, ou encore créer un storytelling convaincant pour sous-tendre une identité de marque, sont autant de missions qui incombent au responsable de la communication d’une entreprise.

Dans ces 10 livres, des experts en communication partagent leurs conseils pour mettre au point la stratégie la plus adaptée à son produit ou son service.

Guide de l’e-réputation de Guillaume de Lacoste Lareymondie

Un profil LinkedIn, une page Facebook, un compte Twitter, un site web, un blog, les entreprises sont présentes sur de plus en plus de plateformes et il est important d’y soigner sa réputation. L’auteur de l’image donne les clés pour gérer son image en ligne, grâce à une stratégie de communication harmonieuse optimisée pour chacun des réseaux.  

Storybranding 2.0 de Jim Signorelli

Raconter une histoire convaincante pour véhiculer son image de marque est le défi de toute entreprise aujourd’hui. Dans son livre, Jim Signorelli explique comment utiliser les outils de planification pour établir un lien émotionnel entre la marque et l’audience cible. L’auteur donne des pistes pour considérer les clients avec empathie en instaurant une forme de communication et de dialogue authentique. Une vraie aide à la réflexion pour mettre en place l’identité de son entreprise.

Storybrand de Donald Miller

Pas toujours simple de pitcher efficacement son entreprise, son produit ou sa marque. C’est pourtant indispensable de maîtriser cette communication aussi bien en interne qu’en externe, selon Donald Miller. Dans ce livre, l’auteur expose en sept étapes la méthode pour scénariser un discours qui séduira vos prospects tout en fidélisant vos clients. Au travers de cette lecture, on redécouvre véritablement l’importance du storytelling pour faire croître et prospérer son entreprise.

The New Influencers de Paul Gillin

Dans la blogosphère, on remarque un investissement plus important des membres que sur les autres plateformes digitales. Cet espace d’expression et d’échange représente un potentiel à exploiter pour les entreprises. Dans ce livre, vous apprendrez à investir la blogosphère de façon à profiter de l’influence de ses acteurs, mais aussi pour créer votre propre communauté. En maîtrisant les codes du blogging, une entreprise augmente sa visibilité et engage une relation de proximité avec sa cible.

L’Art de l’enchantement de Guy Kawasaki

Guy Kawasaki est expert en nouvelles technologies, en entrepreneuriat et en web social. Dans son ouvrage, il prône une forme de retour à l’enchantement, notamment pour une vie dans l’entreprise plus joyeuse et une communication plus authentique. L’enchantement, c’est finalement exploiter le plein potentiel de son entreprise tout en révolutionnant l’expérience client. Vous aider à être apprécié, à instaurer la confiance, à utiliser correctement les outils de partage comme les réseaux sociaux ou encore développer des idées uniques pour le consommateur sont les objectifs de ce livre.

Contagious de Jonah Berger

Ce livre donne de nombreux conseils pour établir une stratégie de communication virale basée sur le bouche-à-oreille. Comment créer un buzz autour d’un produit ou d’un service ? L’auteur livre les 6 principes fondamentaux à appliquer pour mettre en place un bouche-à-oreille qui transformera n’importe quel produit en succès.

La communication digitale expliquée à mon boss de Hervé Kabla et Yann Gourvennec

Aujourd’hui, la communication d’une entreprise repose sur de nombreux éléments, de la création de contenus à la mise en place d’un bouche-à-oreille efficace. En cinq axes de réflexion, les auteurs donnent des pistes pour mettre en place une communication digitale pertinente, tout en se familiarisant avec le langage et les stratégies que cela implique. L’ouvrage s’accompagne de 28 schémas didactiques pour comprendre les grands principes de la communication, et éventuellement les expliquer à votre boss s’il n’est pas encore à la page.

De la publicité à la communication responsable de Yonnel Poivre-Le Lohé

Les métiers de la communication ont parfois mauvais presse, il est coutume d’y voir une forme de manipulation. Dans cet ouvrage, l’auteur fait un point sur la communication dite responsable. Cela consiste en la prise de conscience de certains effets négatifs de la communication, comme son impact sociétal et environnemental. Yonnel Poivre-Le Lohé veut croire en une forme de communication qui engage l’éthique des entreprises et qui établit un dialogue sain avec les consommateurs. Un son de cloche original et très contemporain.

Branding de K.L Hammond

C’est bien connu, le succès d’une marque nécessite une réflexion en profondeur, notamment autour de trois axes : l’identité de marque, la stratégie de marque et le développement de marque. Comment devient-on une référence, connue et reconnue dans son domaine ? Dans ce guide pratique, K.L Hammond aborde ces différents thèmes et donne de nombreux conseils pour établir une marque florissante, pas-à-pas. Le credo de l’auteur : on ne réussit pas sans une marque forte.

Tous les marketeurs sont des menteurs de Seth Godin

Le storytelling est devenu la méthode incontournable pour faire adhérer les clients à votre identité d’entreprise. Si les histoires sont partout, le responsable communication se doit de trouver l’histoire la plus adaptée à une audience et le support le plus adéquat pour la véhiculer. Seth Godin présente dans cet ouvrage 9 conseils pour réussir son storytelling qu’il accompagne de nombreux exemples précieux.

L’Art des relations presse de Jeanne Bordeau

Grâce à cet ouvrage, nous sommes plongés dans le monde de la communication et des médias. L’auteur dresse un panorama méthodique et complet des relations presse et donne de nombreuses clés pour établir une stratégie cohérente. Comment véhiculer un message qui a du sens ? Les études de cas et exemples concrets de la professionnelle éclairent parfaitement sur le sujet.

Les relations presse à l’heure du digital de Marie-Laure Laville

Aujourd’hui, la communication doit être instantanée et interactive. Marie-Laure Laville revient dans son livre sur les nouveaux relais d’informations amenés par les plateformes digitales. Le chargé de relations presse doit être capable de cibler les personnes les plus pertinentes pour la marque sur le net et ne peut plus se contenter de se mettre en relation avec les journalistes. Blogueurs, influenceurs, ambassadeurs, ils font désormais partie intégrante des stratégies de communication.

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Charte éditoriale : comment la réussir ?

C’est le grand jour : vous venez d’être recruté après votre formation responsable marketing et communication, dans l’entreprise de vos rêves. Elle ne possède pas encore de document de référence et l’une de vos premières missions sera de le créer.

Minute. Voici quelques conseils pour rédiger efficacement votre première charte éditoriale.

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À quoi sert une charte éditoriale ?

Elle devra guider les personnes en charge de la rédaction de contenu sur votre site, vos réseaux sociaux et vos supports papiers.

Elle assurera la cohérence des propos et de la structure des articles, le respect des bonnes pratiques et, surtout, permettra de bien définir la personnalité de votre marque.

En clair, c’est l’équivalent du style guide en design.

Vous l’aurez compris, c’est un document essentiel pour garantir l’application de votre stratégie de communication.

Que doit contenir ma charte éditoriale ?

Tous les éléments techniques et utiles pour comprendre la marque, le message, et les règles éditoriales que vous allez définir :

  • Indiquez votre cible et vos objectifs pour garantir la pertinence des éléments qui suivront (utilisez des personas pour plus de précision).

 

  • Élaborez votre ligne éditoriale. Elle sera la ligne directrice de votre rédaction et combinera stratégie et bonnes pratiques des réseaux sociaux concernés. Si l’entreprise utilise plusieurs réseaux, mieux vaut rédiger une ligne éditoriale propre à chacun en y ajoutant des spécificités.
    On y précisera par exemple le style et le ton à adopter, les thématiques et les rubriques, le degré de technicité du vocabulaire utilisé, un lexique de termes autorisés ou interdits, la fréquence de publications, les supports visuels ou encore les hashtags utilisés.

 

  • Illustrez vos propos avec des exemples concrets et utilisez des « do and don’t » pour faciliter la compréhension. Vous pouvez même y ajouter des captures de publications.

 

  • Rappelez les règles de référencement (SEO) pour vos articles (longueur des phrases, mots clefs, structure…).

 

  • Ajoutez un un calendrier de semaine type qui permettra de mieux visualiser la répartition des publications.

 

  • Préparez un tableau de suivi de vos indicateurs de performances (KPI) pour mesurer l’impact de votre communication. C’est important de l’inclure pour savoir exactement quelles seront vos conditions de réussite des campagnes éditoriales. Ces KPIs seront sur une feuille Excel détachée ou l’outil utilisé dans l’entreprise en question, et son mentionnées ici.

 

  • Vous pouvez également ajouter en annexe des liens vers des outils importants (correcteur orthographique, outils de publications), liens vers des anciens articles, ou tout autre ressource complémentaire qui aiderait le rédacteur.

Bien structurer son document

Comme tout document « officiel » en entreprise, il doit respecter des bonnes pratiques générales :

  • Un document clair et pratique avant tout.

 

  • Un sommaire et une pagination seront de rigueur.

Ce document sera consulté et pourra être édité par plusieurs personnes dans votre entreprise. Donc, afin d’éviter toute confusion, il est judicieux d’ajouter un encart de version à votre document comportant le numéro de version, son auteur et le type de modifications effectuées. Mieux vaut prévenir…

On évite les phrases longues qui auront tendance à noyer l’information : usez et abusez des listes à puces, utilisez des phrases courtes et percutantes : tout le monde n’a pas votre niveau de connaissance sur votre stratégie de communication.

L’aspect visuel de votre document est aussi très important. Il doit être clair et agréable si vous avez envie qu’il soit lu (et c’est exactement ce que vous voulez) : ajoutez des visuels et travaillez la mise en page.

Vos collaborateurs n’auront plus aucune excuse pour ne pas suivre vos recommandations.

Avant de vous lancer…

Faites un plan détaillé pour garantir la cohérence globale. Partez des grands axes de votre communication puis entrez dans le détail.

Inspirez-vous du contenu existant, et, le cas échéant, renseignez-vous au maximum sur la vision de votre entreprise.  

Et surtout… soyez précis. Vous éviterez ainsi les bonnes surprises du lundi matin en tombant sur la dernière publication du community manager sur votre page Facebook.

Posez-vous les bonnes questions : mettez-vous à la place du nouvel arrivant dans l’entreprise  (ça tombe bien, vous y êtes), et imaginez-vous commencer la rédaction d’un article ou d’une publication.

« Quel est le style que je dois adopter ? La longueur de mes phrases ? Combien de hashtags utiliser ? Ai-je le droit d’aborder tel ou tel sujet »…

Si, en relisant votre charte, vous avez bien cerné l’esprit et le message de votre marque, et si vous avez répondu à toutes vos interrogations, vous êtes sur la bonne voie.

Pour vous aider, n’hésitez pas à décortiquer une publication existante et essayez de justifier tous les éléments sur papier.

En conclusion

Votre charte mérite que vous lui accordiez du temps et toute votre attention pour limiter au maximum le risque de coquilles.

Votre stratégie et vos supports évolueront très probablement : pensez à la mettre à jour régulièrement.

Une charte éditoriale complète et détaillée est l’une des clefs pour une stratégie de communication réussie.

Pour aller plus loin…

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Salesforce et OpenClassrooms annoncent un programme de formation mondial

Un marché du travail en évolution et axé sur la technologie nécessite des modèles de formation et de recrutement également en évolution et axés sur la technologie.

Et pourtant, alors que le nombre d’emplois dans les domaines liés à la technologie a explosé, il existe un manque inquiétant de travailleurs qualifiés disponibles pour les pourvoir.

Un étude récente s’est intéressée à 600 entreprises mondiales avec plus d’un milliard de revenus chaque année et a montré que 93 % d’entre elles estiment que le manque de compétences en informatique les freine dans leur croissance et leur transformation.

Les anciens modèles de formation, de recrutement et d’embauche des travailleurs qualifiés doivent être profondément transformés. Un plus grand nombre de diplômés en informatique ne suffira pas à combler ce fossé de compétences. Il faut penser différemment.

Les entreprises doivent participer à la création d’un vivier de talents ouvert à des candidats de tous horizons. De nouveaux modèles de coopération entre les entreprises et les plateformes d’éducation en ligne peuvent émerger afin d’améliorer l’éducation et l’accès à l’emploi dans le domaine de la technologie.

Aujourd’hui, je suis heureux d’annoncer qu’OpenClassrooms noue un tel partenariat avec Salesforce.

Nous allions nos forces pour vous présenter un nouveau modèle d’éducation, dans lequel les employeurs et les professeurs travaillent ensemble en continu pour façonner les expériences des étudiants et leur fournir un chemin vers l’emploi.

Dans ce nouveau programme Salesforce developer, nous visons à recruter et former 1000 personnes pour ce type d’emploi d’ici 2021. Pendant 9 mois, elles suivront des cours qui les prépareront à occuper des postes hautement qualifiés dans le domaine de l’informatique cloud.

L’ensemble de la formation est façonné à partir des problèmes sur lesquels travaillent les équipes d’ingénieurs de Salesforce afin de confronter les étudiants à une série de scénarios tirés de la réalité leur permettant de mettre en pratique leurs nouvelles compétences. Les étudiants passionnés seront recrutés dans le monde entier à travers les réseaux et les plateformes d’OpenClassrooms.

À la fin du parcours, les étudiants obtiendront un diplôme reconnu par l’État et certifié par Salesforce.

OpenClassrooms mettra à leur disposition des sessions de coaching professionnel pour les aider à trouver des postes recherchés dans le domaine de la technologie, dans le réseau des clients et partenaires de Salesforce, dont font partie Capgemini et Accenture. Si au bout de six mois ils n’ont pas trouvé d’emploi, nous leur rembourserons leur parcours.

Des partenariats tels que celui-ci – qui sont réellement mondiaux et sortent des modes de recrutement classiques – pourraient bien être la solution pour que les talents d’aujourd’hui s’adaptent rapidement aux changements que la technologie apporte à l’économie. J’ai bon espoir qu’OpenClassrooms devienne un leader de ces solutions.

Pierre Dubuc, Président d’OpenClassrooms

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