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Hier — 19 avril 2024Le courrier des stratèges

En direct de Lampedusa : mais où sont passés les migrants ?

Le Courrier des Stratèges est en reportage à Lampedusa, pour examiner de près l’image désormais mythique de cette île battue par les vents… et submergée par les migrants. Si la préoccupation migratoire est bien partout sur ce bout du monde, les migrants sont en revanche… invisibles ! et l’île n’est certainement pas submergée en personne par des arrivées de survivants. Pour le coup, une certaine propagande joue habilement des peurs et des fantasmes.

Le narratif a très bien fonctionné dans l’esprit collectif… Demandez à n’importe quel Français à quoi Lampedusa lui fait penser. Très peu vous parleront du pourtant célèbre roman le Guépard. Beaucoup vous diront que cette île de 5.000 habitants et de 20 km² au large de la Tunisie est devenue le principal point de passage des migrants africains vers l’Europe. Et, dans la croyance générale, ce lieu ressemblerait à une fuite dans un tuyau : une source d’écoulement permanent, un flux ininterrompu.

La réalité est bien différente quand on arrive sur place : pas un migrant n’est visible sur ce petit bout de Sicile où la vie s’écoule à l’italienne, avec ses petites rues chargées de voitures et ses restaurants qui s’animent le soir venu. Et pas une embarcation de fortune n’est visible dans le port, où les bateaux des garde-côtes sont sagement alignés.

Pourtant, quand on embarque à Palerme dans l’ATR 72 qui relie Lampedusa, on sent bien une atmosphère particulière. Une escouade de policiers mobiles occupe une partie du petit avion, avec des employés de la Croix-Rouge, des fonctionnaires munis de badges… Un tiers, la moitié de l’avion peut-être, transporte ces personnels dépêchés en mission, et les touristes ou les insulaires sont plus rares. Dans Lampedusa, on croise un nombre anormalement élevé de fourgons de police munis de grilles de protection. Il doit bien se passer quelque chose ici.

Mais… les rues sont vides et tranquilles. Jusqu’à vingt heures, les gens travaillent. Les magasins ouvrent tard. Les terrasses sont encore peu fréquentées. Et nulle part on ne voit les migrants. Le port semble somnoler. La vie est calme. Rien ne se passe.

Le voyageur scrute l’horizon en attendant ces barques chargées de hères dépenaillés qui viennent se jeter sur le sol européen pour fuir leur pays après une arrivée périlleuse. Mais la mer est vide, et ici personne ne semble sur le qui-vive.

Les habitants vous le disent simplement : rares sont les migrants qui arrivent “seuls”, c’est-à-dire à bord de leur embarcation. Les trafiquants à qui ils paient le passage ne leur laissent pas assez de carburant pour faire une traversée complète. Donc, oublions ce mythe terrifié d’une submersion migratoire qui déferlerait sur les plages de l’île (au demeurant peu nombreuses). Les choses se passent autrement.

Là aussi, les habitants vous l’expliquent. Les migrants arrivent grâce à des missions de “récupération” menées par les garde-côtes. Ceux-ci sont rapidement prévenus lorsque des bateaux passent. D’ordinaire, les traversées se font lorsqu’il fait beau. Lorsque la mer est agitée ou impraticable, les embarcations ne partent pas.

Le phénomène migratoire semble donc relativement organisé. Les passeurs préviennent les garde-côtes qui partent à la recherche des migrants. Ils les ramènent ensuite au port, où des formalités d’accueil, comme une identification photographique, est réalisée. Il est donc évident qu’il existe une économie spontanément organisée de la migration : depuis le départ au pays jusqu’à l’arrivée en Europe, des intermédiaires sont à la manoeuvre pour gagner de l’argent, dans une relative confiance avec les autorités locales.

Le jour où j’étais à Lampedusa, la presse italienne s’est fait l’écho de six arrestations de migrants qui n’avaient pas respecté leur arrêté d’expulsion. Ils ont été reconnus grâce à l’identification faciale… Personnellement, je n’ai pas été témoin de cette semaine, et on peut se demander dans quelle mesure ces informations ne sont pas diffusées à destination des complices des passeurs installés en Sicile. Rien dans la petite ville de Lampedusa ne laissait en tout cas transparaître la moindre agitation à ce sujet. Et tout laisse à penser qu’en Italie même, des réseaux s’agitent pour faire venir les migrants.

Et c’est un peu le point essentiel qu’il faut retirer d’un passage à Lampedusa.

Oui, il y a un phénomène migratoire. Comme le disent les habitants, c’est un flot continu, c’est-à-dire que chaque jour où la mer est praticable, des migrants arrivent.

Non, ce n’est pas le chaos migratoire à Lampedusa. Des centaines de migrants ne débarquent pas chaque jour. L’île n’est pas submergée par le phénomène. Les autorités italiennes tiennent la situation en main. Les rues sont calmes et sûres. Les touristes viennent. L’atmosphère est paisible.

Non, Lampedusa n’est pas en proie à l’anarchie. Les Européens ne s’y font ni agresser, ni insulter, ni voler, ni poignarder. Des bandes errantes ne mettent pas le village à feu et à sang. Les habitants ne vivent pas dans la peur. Ils sortent normalement, font la fête, se montrent aux terrasses et sur la via Roma.

Je reviendrai ce week-end dans le Courrier sur cette peur agitée dans les masses, qui ne correspond nullement à la réalité.

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Quand les royalistes ont refusé de rétablir la monarchie en France…

Une légende tenace dans certains milieux veut que la République ait mené un combat de tous les instants (aidée par la franc-maçonnerie et la finance cosmopolite, bien entendu) contre la monarchie et l’Ancien Régime, soudain victimisés. Mais ce “narratif” fait l’impasse le refus des Bourbons et des légitimistes de saisir la perche qui leur était tendue, en 1873, de rétablir la Couronne… “contraignant” ainsi la France à devenir une République. Yves-Marie Adeline, dans sa chronique hebdomadaire de la royauté, nous en rappelle les grandes lignes.

Cet épisode d’Yves-Marie Adeline est important dans la mesure où il rappelle pour quoi la monarchie ne fut pas rétablie en France au sortir du Second Empire, au tournant des années cruciales 1870-1873 :

  • les Français avaient élu une chambre majoritairement royaliste
  • les familles royales avaient conclu un accord dynastique prévoyant l’accession au trône d’Henri, comte de Chambord
  • celui-ci refusa toutefois le drapeau bleu-blanc-rouge et revendiqua le retour au drapeau de la monarchie d’Ancien Régime
  • la Chambre vota un amendement reconnaissant l’existence d’une République en France
  • aux élections suivantes, les Républicains gagnèrent largement
  • c’en était fini du rêve d’un retour à la monarchie

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À partir d’avant-hierLe courrier des stratèges

L’euro numérique : pourquoi notre argent liquide est sous pression, par Ulrike Reisner

Par : Rédaction

Le monde entier observe une véritable course à l’introduction de monnaies numériques de banque centrale. L’idée de remplacer l’argent liquide par des jetons numériques est plus que séduisante. Mais que se passe-t-il en cas de panne d’électricité ? C’est pour cette raison que la banque centrale suédoise vient de demander au Parlement de créer le cadre juridique d’un mélange de moyens de paiement analogiques et numériques. Mais notre argent liquide n’est pas seulement menacé par l’euro numérique. Les institutions bruxelloises et les banques travaillent d’arrache-pied, de différents côtés, pour restreindre considérablement la disponibilité et les possibilités d’utilisation de l’argent liquide.

Lorsqu’il est question d’argent numérique, une question préoccupe les gens : l’argent liquide va-t-il disparaître ? La BCE souligne que ce ne sera pas le cas et renvoie à la proposition législative ainsi qu’au rapport actuel sur la phase exploratoire. Cela ne permet toutefois pas de dissiper les inquiétudes des entrepreneurs et des citoyens, car l’argent liquide perd son utilité lorsqu’on ne peut plus l’utiliser. Rappelons-le : le plafond unique de 10.000 euros pour les paiements en espèces dans l’Union européenne verra le jour. La raison officielle est de lutter contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme.

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France : les cas de diabète de type 2 ont progressé durant le COVID

Les indicateurs épidémiologiques ont révélé que les cas de diabète de type 2 (DT2) ont diminué depuis 2010. Cependant, la crise sanitaire de 2020 a stoppé net cette tendance, avec des conséquences potentiellement durables sur l’incidence, la mortalité et la prévalence du DT2. Le constat est là, les systèmes de santé ont été universellement touchés et mis en péril par la pandémie et les politiques enfermistes.

Depuis 2010, les indicateurs épidémiologiques du diabète de type 2 (DT2) étaient en baisse, grâce aux efforts de prévention en matière d’alimentation et d’activité physique. Mais cette tendance favorable a été stoppée par la pandémie du Covid-19.En 2020, on a constaté une hausse des cas de DT2 et de décès liés à cette maladie. La question qui se pose est : y a-t-il un lien entre la crise sanitaire du Covid-19 et ce grand changement du bilan concernant le diabète de type 2 ?

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De moins en moins de Français paient l’impôt sur le revenu, mais ils paient de plus en plus…

C’est bien connu : l’impôt direct en France (à commencer par l’impôt sur le revenu, mais pas que) est extrêmement injuste : il repose sur des taux d’imposition élevés, mais concernent toujours peu de gens. Les chiffres qui viennent d’être publiés par Bercy le rappellent : moins d’un ménage sur deux, désormais, est assujetti à l’impôt sur le revenu… mais les montants payés sont de plus en plus élevés. Curieusement, alors que les finances publiques vacillent, personne ne se sent obligé de rappeler que les contributeurs aux dépenses publiques se font de plus en plus rares.

Nous l’avions rappelé il y a peu : les prélèvements obligatoires directs sur les ménages ne cessent d’augmenter depuis qu’ Emmanuel Macron est arrivé au pouvoir. Ce qu’on ne savait pas encore, c’est que, si l’impôt sur le venu rapportait 73 milliards en 2017, et s’il en a rapporté près de 89 Milliards en 2023, de moins de moins de ménages y participent

En conséquence, le nombre de foyers redevables de l’impôt sur le revenu a diminué de 0,4 % l’an dernier, à 18,2 millions de foyers fiscaux sur un total de 40,7 millions de foyers. Ils ont payé en moyenne 4.663 euros d’impôt sur le revenu. A l’inverse le nombre de foyers non-redevables de l’impôt sur le revenu a progressé de 2,6 %, s’établissant à 22,5 millions l’an dernier. « Parmi eux, 3,5 millions ont perçu grâce aux crédits d’impôt un montant moyen de 861 euros », souligne la DGFIP.

Les Echos

Bref, de moins en moins de gens paient de plus en plus d’impôts. Au nom de la “protection” sans doute…

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Pourquoi la présence de troupes françaises en Ukraine est peu probable

Hier, nous avons incité à la prudence concernant les informations sur la présence – et l’élimination – d’une centaine de soldats français en Ukraine – à Slaviansk. Il nous semblait, en effet, que cette information relevait plus de la guerre psychologique menée par la Russie que de la réalité. Après vérification, il est peu probable que l’unité de la Légion Etrangère mentionnée dans les articles russes soit impliquée.

Rappelons d’abord de quoi il s’agit. Selon certains médias russes!

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USA : forte hausse des hospitalisations liées à l’alcool chez les femmes durant le COVID

Aux USA, les complications de santé associées à la consommation d’alcool ont connu une hausse significative chez les femmes d’âge moyen pendant les premières années de la pandémie de COVID-19, selon une étude récente publiée dans la revue JAMA Health Forum. Les femmes âgées de 40 à 64 ans, ont connu les plus fortes augmentations mensuelles pour toutes les affections, ainsi que pour les maladies hépatiques liées à l’alcool (ALD) . si le Covid-19 a affecté physiquement les individus, il a également mis en exergue la hausse des syndromes d’addiction et de dépression. La «politique enfermiste » prônée par l’administration Biden a largement favorisé les risques liés aux addictions, à savoir la consommation d’alcool.

Selon une nouvelle étude publiée dans la revue JAMA Health Forum vendredi, le nombre de visites à l’hôpital suite à des affections liées à l’alcool chez les femmes d’âge moyen a augmenté au cours des premières années de la pandémie, c’est-à-dire entre avril 2020 et septembre 2021. La plupart des patientes étaient atteintes de maladies hépatiques liées à l’alcool (ALD). Selon les auteurs de l’étude, les causes sont tout simplement inconnues.  Pour autant, les  Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) ont récemment publié des données alarmantes révélant une augmentation significative des décès liés à la consommation d’alcool , en raison du stress et de l’isolement liés à la pandémie de COVID-19.

Une autre recherche sur la consommation et les méfaits de l’alcool

D’avril 2020 à septembre 2021, les visites à l’hôpital pour des affections liées à l’alcool ont explosé, avec une augmentation notable chez les femmes âgées de 40 à 64 ans. Les maladies hépatiques liées à l’alcool ont été particulièrement préoccupantes dans ce groupe démographique.

Selon le professeur adjoint à la division de médecine interne générale de la faculté de médecine de l’Université de Pittsburgh et auteur principal de l’étude, le Dr Bryant Shuey, auteur principal de l’étude, souligne que ces résultats mettent en lumière les défis persistants en matière de prévention et de traitement des troubles liés à l’alcool.

À travers cette étude, le Dr Shuey et son équipe ont voulu comprendre les éventuels liens entre la hausse de la consommation d’alcool et la pandémie. Ils ont donc décidé de mener une nouvelle étude sur le sujet. Les résultats ont été publiés dans la revue JAMA Health Forum. Pour mener cette étude, les chercheurs ont utilisé la base de données Clinformatics Data Mart d’Optum.

L’étude, basée sur l’analyse de la base de données Clinformatics Data Mart d’Optum d’assurance de 14,6 millions de personnes âgées de 15 ans et plus entre mars 2017 à septembre 202, révèle une augmentation régulière des affections liées à l’alcool, en particulier chez les femmes d’âge moyen.

A partir d’avril 2020, les visites à l’hôpital pour troubles liés à la consommation d’alcool ont augmenté. En effet, les diagnostics des patients des services d’urgence, des unités d’hospitalisation et des unités d’observation ont révélé que 57 à 66% d’entre eux souffraient d’ALD, 29 à 37% étaient en sevrage alcoolique ou présentaient un trouble de l’humeur lié à l’alcool, 3 à 4% souffraient de cardiomyopathie liée à l’alcool et 1 à 2% atteints de gastrite liée à l’alcool avec saignement.

Cette tendance, bien que complexe, soulève des questions sur les facteurs sous-jacents à cette augmentation, notamment la consommation d’alcool pendant la pandémie et les obstacles aux soins.

Les taux de ces affections ont fortement augmenté au cours des premiers mois de la pandémie. Une hausse de 8 à 19% a été constatée durant quatre mois. La plupart des patientes concernées étaient des femmes âgées de 40 à 64 ans et le nombre de victimes d’ALD était particulièrement élevé. Notons que cette maladie du foie est très grave selon le Dr Shuey et elle peut apparaître des années plus tard.

Les causes de la hausse des troubles liés à la consommation d’alcool chez les femmes

Selon l’auteur de l’étude, la hausse de la consommation d’alcool durant la pandémie a peut-être accentué les symptômes d’ALD chez les femmes qui en souffraient déjà. Mais il est tout aussi probable que ce soit de nouveaux cas diagnostiqués.

Le Dr Shuey souligne que la stigmatisation entourant les troubles liés à la consommation d’alcool peut conduire à une sous-déclaration des habitudes de consommation d’alcool chez les patients hospitalisés. De plus, les limitations de la base de données utilisée dans l’étude pourraient sous-estimer l’ampleur réelle du problème, en excluant les personnes non assurées ou sous-assurées.

En d’autres termes, les chercheurs ne connaissent pas vraiment la cause de cette montée en flèche des méfaits de l’alcool chez les femmes.

Toutefois, ils espèrent que cette étude sera prise au sérieux par les professionnels de la santé publique. L’écart entre les hommes et les femmes qui subissent les méfaits de la consommation d’alcool est de plus en plus réduit. Selon Shuey, certaines personnes pensent que cela pourrait avoir un lien avec la normalisation de la consommation d’alcool. De plus en plus de campagnes publicitaires sur les boissons alcoolisées ciblent les femmes actuellement. Mais tout cela n’est que spéculation, a-t-il ajouté. L’équipe prévoit de mener une nouvelle étude sur l’effet de la pandémie sur l’accès au traitement de l’ de troubles liés à la consommation d’alcool (AUD).

Par ailleurs, selon les CDC US, entre 2016-2017 et 2020-2021, l’abus d’alcool était l’une des principales causes de décès aux Etats-Unis. Selon les données des CDC, le nombre moyen de décès liés à l’alcool est passé de 138 000 à 178 000 par an entre 2016-2017 et 2020-2021. Au pic de la pandémie, cela représentait environ 488 décès par jour, mettant en évidence l’ampleur de la crise.

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Le Mali veut quitter le franc CFA : chiche ? par Yves-Marie Adeline

Le Mali vient de déclarer qu’il souhaitait quitter le franc CFA, ce qui est pour nous l’occasion de clarifier les choses, par-delà les fantasmes qui s’échappent de cette monnaie qualifiée de post-coloniale, ce qui n’est d’ailleurs pas faux. Mais ce post-colonialisme est-il toujours à l’avantage de la France ? Pour éclairer la question, il convient d’en rappeler l’histoire, puis de l’évaluer dans le présent.

Cette monnaie a été créée en 1945, on parlait alors du franc des Colonies Françaises d’Afrique, CFA. En 1958, le concept de colonialisme étant attaqué de toutes parts, il est devenu le franc de la Communauté Française d’Afrique. Puis il s’est lui-même scindé en deux, gardant ses initiales mais avec deux noms différents : le franc de la Communauté Financière d’Afrique (CFA donc) pour l’ancienne Afrique occidentale française, l’AOF, devenue Union Economique et Monétaire Ouest-Africaine, et le franc de la Coopération Financière en Afrique (CFA, toujours) pour l’ancienne Afrique équatoriale française, l’AEF, devenue Communauté Economique et Monétaire de l’Afrique Centrale. Mais dans les deux cas, bien sûr, c’est la France qui maîtrise la création monétaire, et l’on sait que qui tient la monnaie tient la politique.

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Affaire Dreyfus : de l’antijudaïsme à l’antisémitisme nationaliste

Dans ce nouvel épisode de la chronique de la royauté, Yves-Marie Adeline nous rappelle les grandes lignes de l’affaire Dreyfus et de son impact sur la pensée à la fois nationaliste et royaliste en France. Durablement, l’affaire Dreyfus marque la mutation d’un antijudaïsme pour ainsi dire traditionnel en France, vers un antisémitisme moderne, caractéristique d’une certaine droite française.

En soi, l’anti-dreyfusisme n’a pas de signification politique particulière :

  • il se trouve qu’il s’est “chargé” d’une signification politique lorsqu’Emile Zola a lancé sa campagne contre l’accusation abusive contre Dreyfus
  • l’affaire Dreyfus a alors cristallisé un rejet de la République et de ses valeurs par la droite légitimiste
  • durablement, l’affaire Dreyfus clive l’opinion publique en France et rejette les partisans de l’ordre dans un antisémitisme moderne, qui marque la vie politique jusqu’à la chute de Vichy
  • l’affaire donne le signal d’une épuration dans l’armée, et d’une utilisation de la franc-maçonnerie comme auxiliaire de la doctrine républicaine qui laissera de longues traces dans la pensée française
  • inversement, de nombreux légitimistes associeront le judaïsme et la franc-maçonnerie à la lutte de la République “contre” la France et en tireront de longues conséquences
  • la séparation de l’Eglise et de l’Etat et la laïcité furent des conséquences directes de cette affaire

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Monnaie numérique : l’aumône programmable pour les pauvres, par Ulrike Reisner

Par : Rédaction

L’un des plus grands dangers des monnaies numériques réside dans la possibilité technique de les programmer et de les lier ainsi exclusivement à certains achats. De toutes nouvelles possibilités s’offrent au monde de la finance et à ses complices politiques dociles dans les États-nations : d’une part, le comportement des consommateurs peut être contrôlé. D’autre part, de toutes nouvelles opportunités s’offrent pour promouvoir des effets économiques souhaités en appuyant sur un bouton.

Ce n’est qu’une petite information qu’il faut lire deux fois pour en percevoir son caractère explosif : le gouvernement thaïlandais a annoncé un plan de soutien à l’économie. Quelque 50 millions de Thaïlandais devraient recevoir chacun environ 250 euros sous forme de crédit numérique à dépenser dans leurs commerces locaux.

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Patrick Pelloux accusé d’harcèlement sexuel par une consœur de la technostructure sanitaire

Cheffe des maladies infectieuses de l’hôpital Saint-Antoine, Karine Lacombe, accuse Patrick Pelloux d’agression sexuelle et morale. L’accusation a été confirmée par Agnès Buzyn et Roselyne Bachelot. Pendant la crise du Covid, tout comme sa consœur Karine Lacombe, Patrick Pelloux a été régulièrement invité sur les plateaux de télévision, faisant partie de cette « garde rapprochée » de médecins de la technostructure sanitaire connus pour leurs discours covidistes, enfermistes et anxiogènes. Si l’infectiologue Karine Lacombe s’était illustrée comme pro-confinement, l’urgentiste Patrick Pelloux, s’était prononcé en faveur de la vaccination obligatoire des enfants contre le Covid-19. Désormais, elle accuse l’urgentiste d’être un « prédateur  sexuel».

Dans un récent entretien accordé à Paris Match, Karine Lacombe a levé le voile sur les comportements inappropriés qu’elle aurait subis de la part de Patrick Pelloux. Karine Lacombe, médecin star de la technostructure sanitaire, accuse ouvertement Patrick Pelloux, une figure respectée dans le domaine médical, de comportements déplacés et d’agressions sexuelles. Après l’industrie cinématographique et le secteur militaire, c’est maintenant le domaine hospitalier qui est touché par le mouvement #MeToo.

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Effondrement militaire ukrainien? Quand l’Occident prend peur!

Le front ukrainien va-t-il s’effondrer? C’est comme un célèbre sketch des “Inconnus”: Politico témoigne de la peur qui s’installe dans le monde occidental. Les experts de plateau télévisé de ces deux dernières années sombrent dans le ridicule. Le problème, c’est la réalité: à force de ne pas écouter les vrais experts, les gouvernements occidentaux ont envoyé à la mort pour rien des centaines de milliers d’Ukrainiens.

C’est un article de Politico dont tout le monde parle depuis sa publication il y a deux jours: le risque est grand que les lignes de ffront ukrainiennes s’effondrent, nous explique sentencieusement le magazine en ligne qui semble désormais jouer le rôle, pour internet, que jouait jadis The Economist pour les médias imprimés.

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USA : les soins de santé mentale pédiatriques submergés durant le COVID, selon une étude

En raison de la crise covid, à travers le monde, nombreuses personnes ont été confrontées au stress, la solitude, la peur de la maladie, l’anxiété …Le COVID a affecté profondément la santé mentale des enfants, comme le révèle une étude récente en médecine d’urgence universitaire. Selon l’étude, aux Etats-Unis, les visites aux services d’urgences pour des crises de santé mentale ont explosé durant la pandémie, posant des défis supplémentaires aux systèmes de santé déjà sous pression. Outre le fait que le COVID a affecté physiquement les individus, on note également ses conséquences désastreuses au niveau de la santé mentale.

La crise du Covid a entraîné une détérioration alarmante de la santé mentale des plus jeunes. Les mesures mises en place par les gouvernements, basées sur les recommandations du Great Reset, ont semé la peur et l’agitation, ce qui a eu des conséquences néfastes sur leur bien-être psychique. Une nouvelle étude vient de révéler que durant la pandémie, les enfants qui fréquentaient le service des urgences (ED) pour crises de santé mentale présentaient des diagnostics sévères, nécessitant un séjour plus long à l’hôpital.

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Guerre entre Israël et le Hamas : un génocide annoncé, par Michel Goldstein

Par : Rédaction

« Une offensive à Rafah provoquerait une catastrophe humanitaire sans précédent ». Il y a quelques jours, alors qu’il se trouvait à proximité de la frontière avec la bande de Gaza afin de renouveler les appels à un cessez-le-feu, le secrétaire général des Nations Unies Antonio Guterres a crié son indignation « Le monde en a assez de ce cauchemar sans fin », alors qu’Israël menace de lancer une opération militaire d’envergure dans la ville de Rafah avant la fin de ramadan.

Nous sommes dans une guerre des nerfs, soutenue par une forme de fatalité insupportable, illustrées par ces résolutions au conseil de sécurité qui n’aboutissent jamais. On a des condamnations, des espoirs de trêves, des négociations. Mais aucun cessez-le-feu.

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Macron n’enquêtera pas sur les crimes de guerre commis par des Franco-Israéliens

Thierry Meyssan nous a délivré son interview hebdomadaire où il traite largement de l’actualité à Gaza, et tout particulièrement de la stratégie israélienne confrontée à la stratégie américaine, et plus largement occidentale. Il est désormais acté que ni Israël ni les Etats-Unis ne se préoccupent d’appliquer le droit international, qu’il s’agisse de la résolution contraignante du Conseil de Sécurité de l’ONU sur un cessez-le-feu immédiat, ou des injonctions de la Cour Internationale de Justice. Et la France dans tout ça ? Emmanuel Macron a d’ores et déjà annoncé qu’il n’enquêterait pas sur les criminels de guerre franco-israéliens…

De la longue interview de Thierry Meyssan, on retiendra plusieurs points, dont l’un des plus importants nous semble concerner la question des possibles crimes de guerre commis par des bi-nationaux franco-israéliens. La France de Macron a d’ores et déjà exclu d’enquêter sur ces sujets, avalisant un principe d’impunité pour la communauté juive de France, et une sorte d’exemption en matière de respect du droit international pour Israël.

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USA: les États républicains signalent davantage d’effets secondaires des injections COVID, révèle une étude

Si l’Agence américaine de médicaments ou Food and Drug Administration (FDA) a déclaré « environ 3,2 millions » de vies américaines ont été sauvées grâce aux vaccins Covid. Une nouvelle étude publiée dans la revue médicale JAMA a révélé que dans les Etats avec un pourcentage élevé d’électeurs républicains, les cas d’effets secondaires des vaccins contre le Covid-19 signalés sont plus nombreux. Cette étude a suscité des questions sur les différences observées dans les rapports d’effets secondaires du vaccin COVID-19 entre les États américains.

Depuis le lancement des vaccins contre le Covid-19, en 2021, le plus grand flou règne sur l’ampleur des effets secondaires de ces injections. Chaque jour, l’administration Biden semble démunie face à cette résurgence du scepticisme des Américains à l’égard des vaccins, avec l’absence d’un plan global pour contrer ce mouvement qui prend de l’ampleur. Une récente étude publiée dans la revue médicale JAMA a examiné les données du système fédéral de notification des événements indésirables des vaccins (VAERS), et a révélé une corrélation entre l’orientation politique d’un État et le nombre de rapports d’effets secondaires du vaccin.

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Faillite de l’Etat : Macron et la macronie donnent l’exemple de l’avachissement

Mais pourquoi les Français donnent-ils si souvent le triste spectacle de l’avachissement, prompts à écumer de colère contre la caste, mais incapables de structurer une alternative politique crédible ? Bruno Le Maire vient de nous donner une réponse : parce que la caste elle-même est avachie, préoccupée par ses intérêts immédiats et incapables de fournir l’effort, d’obéir à la discipline d’une pensée à long terme. Ses mensonges sur la question du dérapage budgétaire en donnent une illustration parfaite : pourquoi se compliquer la vie à dire la vérité aux Français, quand on peut l’adoucir en leur mentant ?

Les événements de ces derniers jours montrent que Bruno Le Maire a ouvertement menti aux Français sur la situation des comptes publics. Les services de son ministère l’ont alerté à plusieurs reprises :

  • et sur l’état réel des comtptes publics
  • et sur l’effort à fournir pour les rétablir

Malgré ces alertes désormais documentées grâce au sénateur Husson, Bruno Le Maire a minimisé la gravité de la situation, et il a lourdement menti (en divisant par deux…) l’ampleur de l’effort à fournir pour rétablir les comptes.

Tout ceci pose la question de l’insincérité de la loi de finances, mais aussi des raisons pour lesquelles la macronie ment aussi éhontément au peuple.

Dans cette capsule, je reprends les raisons potentielles de ces mensonges.

La plus flagrante est celle de l’avachissement de la caste, qui donne un terrible exemple au peuple :

  • mieux vaut vivre dans le mensonge que dans la réalité
  • mieux vaut profiter en trichant que faire des efforts en disant la vérité
  • mieux vaut jouir à crédit que souffrir sans contracter de dettes
  • mieux vaut être populaire en caressant le peuple dans le sens du poil que de dire la vérité

Au fond, comme disait un proverbe : le poisson pourrit toujours par la tête.

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Les labels “ESG”, par Florent Machabert

Par : Rédaction

Vous entendez parler matin, midi et soir de « développement durable », de « changement climatique » ou encore d’« effondrement de la biodiversité » : c’est qu’un peuple qui est en permanence maintenu dans la peur, celle – selon les experts – du réchauffement ou de la glaciation, est beaucoup plus docile, qui plus est dans un contexte incertain, où les menaces viennent de partout en même temps : dégradation des comptes publics de la France, défaite militaire de l’Ukraine en vue, le tout succédant à plus de deux ans d’« états d’urgence sanitaire » successifs. Ce qui nous motive toutefois à traiter la thématique de la « RSE », c’est-à-dire de la Responsabilité Sociétale des Entreprises, c’est que les institutions qui nous gouvernent, de la Commission européenne à la société de gestion d’actifs BlackRock (qui détiendrait quelque 2% de notre dette publique), en font un de leurs chevaux de bataille.

Si nous aborderons la question de la sincérité de leur combat, le fait est qu’investir sans se préoccuper du tout des fameux labels (ou critères) « ESG » (pour « Environnement Société Gouvernance »), fût-ce pour les écarter, est devenu une posture compliquée. Nous attaquons donc de front ce sujet.
Aussi, vous présenterons-nous dans ce 42ème dossier :

  • Ce qu’il faut entendre par « RSE » et « ESG » en 2024 ;
  • Le durcissement continu de l’encadrement réglementaire des entreprises ;
  • Un bilan des labels qui existent pour y voir clair ;
  • Quelques pistes d’investissement et opportunités.

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Etats-Unis : des cas de grippe aviaire découverts chez les vaches laitières

Aux États-Unis, les autorités agricoles du Texas ont récemment annoncé la découverte de cas inédits de grippe aviaire chez des vaches laitières, une situation qui suscite des préoccupations dans le secteur agricole et alimentaire. Pour le moment, selon les autorités sanitaires américaines, il n’y a aucun risque de transmission à l’homme, néanmoins les enquêtes épidémiologiques continuent.

Selon les autorités agricoles du Texas, des cas de grippe aviaires ont été détectés chez des vaches dans deux exploitations laitières. Ces cas, jugés sans précédent dans le pays, ont été détectés à la suite de tests effectués sur du lait non pasteurisé collecté dans des exploitations laitières du Texas et du Kansas.

L’influenza aviaire hautement pathogène (IAHP) détectée chez les vaches

Le mercredi 27 mars, les autorités agricoles texanes ont annoncé la détection de cas de la grippe aviaire, influenza aviaire hautement pathogène (IAHP), chez quelques vaches dans deux exploitations laitières du Kansas et du Texas.

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Seules les élites sont-elles pédosatanistes ? Le débat avec San Giorgio

Piero San Giorgio publie, aux éditions Culture & Racines, un ouvrage intitulé : Survivre à la peur. L’entretien autour de son livre a donné l’occasion d’un débat un peu inattendu sur le pédosatanisme et les élites. Nous vous le restituons aujourd’hui.

Je conseille évidemment à tous nos lecteurs d’acheter et de lire le livre de Piero San Giorgio consacré à la peur, et au dépassement de la peur. Il peut être acheté ici… C’est un ouvrage important car il ne propose pas seulement des analyses… il vous propose des “exercices” pour surmonter vos peurs.

Dans le courant de la discussion, le débat a glissé sur la question des élites pédosatanistes, sujet auquel nous avons déjà consacré une émission sur notre chaîne Youtube. De mon point de vue, la pédophilie n’est pas l’apanage d’une classe en particulier, et l’expression “élites pédostatanistes” fait diversion sur un sujet grave.

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Chronique de la royauté : peut-on être nationaliste et royaliste en même temps ?

Dans ce nouveau numéro de la chronique de la royauté avec Yves-Marie Adeline, nous évoquons la figure de Charles Maurras, qui fut plus nationaliste que royaliste. Adeline en profite pour souligner la distance entre le royalisme et le nationalisme, qui font référence à des conceptions très différentes du corps social.

Plusieurs points méritent ici d’être notés :

  • Charles Maurras était un penseur et un intellectuel nationaliste, qui s’est au fond accoutumé à la République
  • Maurras était un rationaliste qui n’était pas chrétien
  • il fut condamné par l’Eglise
  • ses relations avec les prétendants au trône furent à géométrie variable
  • la conception du corps social selon Maurras ne peut se confondre avec la conception de la France dans la sphère légitimiste

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CoViNet : l’OMS avance peu à peu sur ses projets de gouvernance sanitaire mondiale

Si l’OMS (Organisation mondiale de la santé) avait déclaré la fin de l’urgence de santé publique de portée internationale liée à la Covid-19 le 5 mai 2023, elle a récemment lancé CoViNet, un nouveau réseau dédié à la surveillance et à l’évaluation des coronavirus, y compris le SRAS-CoV-2, le MERS-CoV et d’autres nouveaux coronavirus potentiellement dangereux. Selon l’OMS, cette initiative vise à renforcer la coordination mondiale pour détecter, surveiller et évaluer précocement ces agents pathogènes. Tout est dit, peu à peu, l’OMS continue à négocier le futur traité sur les pandémies qui lui permettra d’élargir au plus vite ses prérogatives à « l’échelle mondiale » avec « une seule santé », une ébauche de traité sur les pandémies, et la réforme du Règlement sanitaire international (RSI). Le traité pose la gouvernance mondiale de la santé, comme solution pour régler les questions de pandémie.

L’OMS (Organisation mondiale de la santé) poursuit son agenda sous l’influence de ses financeurs. L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a lancé, mercredi, un nouveau réseau pour les coronavirus, CoViNet, afin de faciliter et de coordonner l’expertise et les capacités mondiales pour la détection. Le réseau comprend actuellement 36 laboratoires de 21 pays des six Régions de l’OMS. Alors que la situation sanitaire s’est améliorée en raison de l’immunité accrue de la population. Comme à son habitude, l’OMS continue à réinsuffler la peur du covid dans la population.

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De l’opium pour le peuple ? L’Allemagne interdit le charbon et autorise le cannabis ! par Ulrike Reisner

A Pâques, les choses changent à Berlin : alors que le gouvernement fédéral fait fermer 15 centrales à charbon, la légalisation du cannabis entre en vigueur. On pourrait alors affirmer par dérision que le « changement d’époque » d’Olaf Scholz a définitivement commencé. Il l’avait annoncé lors de sa déclaration gouvernementale en février 2022, au début de la guerre en Ukraine. Mais en réalité, ces deux actions sont une preuve négative de l’échec total de l’élite dirigeante allemande. Celle-ci s’exerce à la politique des symboles sans évaluer le moins du monde les conséquences de ses actes pour l’Etat et la société.


Rappelons tout d’abord les faits : En 2024, le groupe énergétique RWE AG mettra à lui seul hors service des centrales au lignite d’une capacité de 2,5 gigawatts. Début avril, les trois unités de lignite du « bassin rhénan », qui avaient été activées par le gouvernement fédéral dans le cadre de la crise énergétique, seront définitivement fermées. En outre, les deux tranches de charbon de 600 mégawatts de Neurath, dont l’exploitation avait également été prolongée par la loi, seront arrêtées. Le lundi de Pâques dans toute l’Allemagne 15 centrales et unités de production d’électricité au charbon, représentant une puissance installée de 4,4 gigawatts, seront déconnectées du réseau.

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Certains policiers sont-ils des flemmards qui viennent juste chercher un salaire ?

Certains milieux identitaires transforment les policiers en héros des temps modernes et soutiennent que toute critique contre les dysfonctionnements de la police au jour le jour relèveraient de la trahison nationale. Pourtant… gavés de primes en tout genre et soigneusement protégés par le ministère de l’Intérieur, certains policiers ne donnent pas le sentiment d’avoir l’intérêt général chevillé au corps et, disons-le, font honte au jour le jour au service public et à sa noblesse. On en veut pour preuve le récit d’un médecin, menacé dans l’exercice de ses fonctions… et mal traité par le policier auprès de qui il voulait porter plainte.

Kevin Arnold est interne en troisième année de médecine générale. Son histoire est racontée par le très sérieux et très macroniste Quotidien du médecin :

Mi-décembre, un patient d’une quarantaine d’années consulte pour « un problème de dos ». Il refuse l’examen clinique et réclame d’emblée une prescription de médicament. Le généraliste en formation le recadre et lui explique calmement qu’il ne délivre pas de prescriptions sans examen préalable.

Le patient se montre de plus en plus agressif et menaçant, et exige le nom et le matricule du jeune interne pour se plaindre… à la Sécu. (…)

« Mais j’étais quand même un peu perturbé », poursuit l’interne, qui, sur les conseils de l’Ordre et de son maître de stage, décide de porter plainte au commissariat. Coup de chance, il est reçu tout de suite. Mais à partir de ce moment, Kévin va enchaîner les déconvenues. « Quand je leur ai parlé du protocole établi entre l’Ordre, la police et le préfet pour les dépôts de plainte des médecins, ils m’ont regardé l’air de dire : “Il est bien gentil celui-là, de quoi nous parle-t-il” ». L’agent censé prendre sa déposition fait tout pour le décourager, arguant qu’il a besoin d’éléments supplémentaires pour qualifier l’infraction. « Le patient n’avait pas menacé de me péter les dents ou de me tuer », grince la victime. « Ne pas vouloir écouter mon histoire, montrer des signes d’impatience et attendre d’une certaine façon que je renonce à déposer plainte, bref, l’attitude des policiers m’a presque plus choqué que mon agression elle-même », se désole le jeune interne. « On ne s’attend pas à être reçu de cette manière et à se retrouver soi-même à la place du suspect », ajoute-t-il.

Le Quotidien du médecin

Un jeune interne agressé dans un cabinet médical qui se retrouve dans la position de l’accusé lorsqu’il tente de porter plainte au commissariat ? Un policier qui a manifestement autre chose à faire que de servir le public ?

Mais non, il faut être gauchiste pour imaginer une affaire aussi rocambolesque concernant Saint-Poulet.

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Obligation vaccinale : les aumôniers militaires US suspendus saisissent la Cour Suprême

Fin 2021, tous les membres devaient compléter leur parcours vaccinal avant le 28 décembre 2021 sous peine de renvoi. Théoriquement, les membres de l’armée de l’air pouvaient demander une exemption pour des raisons religieuses ou médicales. Malheureusement, cette clause n’a pas respecté. Actuellement, un groupe d’aumôniers militaires a saisi la Cour suprême pour contester les politiques du ministère de la Défense liées à la COVID-19, alléguant qu’elles ont contraint les objecteurs religieux à quitter les forces armées.

Le 10 janvier 2023, le Pentagone avait abrogé l’obligation vaccinale anti- Covid-19 pour les militaires américains, imposée précédemment par le Congrès dans la loi sur la défense nommée National Defense Authorization, qui obligeait le Pentagone à mettre fin au mandat de vaccination contre le Covid-19 des marines et soldats américains. Récemment, les aumôniers militaires ont saisi la Cour suprême, ces derniers affirment que les politiques du ministère de la Défense punissent injustement ceux qui ont soumis des objections religieuses à l’obligation vaccinale COVID-19, entraînant des conséquences professionnelles négatives.

Appel des aumôniers militaires devant la Cour Suprême

Les aumôniers militaires ont déposé un appel devant la Cour suprême après que le quatrième circuit ait rejeté leur affaire. Ils demandent des mesures provisoires pour protéger leur carrière et contester les politiques du ministère de la Défense, qu’ils estiment discriminatoires envers ceux qui ont déposé des objections religieuses à la vaccination obligatoire contre la COVID-19.

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L’armée française, un escargot vide – par Yves-Marie Adeline

La dernière sortie du président Macron sur l’envoi possible de troupes françaises en Ukraine a bénéficié de la complaisance de nos médias de connivence, mais à l’étranger a suscité des réactions moqueuses, comme cette Une de la presse allemande : « Ach, Macron », qui correspondrait à l’anglais « So-so… » ou au français « Ah-la-la, sacré Macron, va ! ». En politique, tout peut changer très vite, et il reste encore trois ans de présidence, mais si plus rien ne se passait durant ces trois années à venir – ce qui est hautement improbable – gageons que l’image que le monde retiendrait de l’actuel président de la République française serait celle-là : l’homme qui a parlé d’envoyer des troupes au sol, avant que l’OTAN ne le désavoue, et à son sommet, les États-Unis.

Mais pour nous, tâchons de nous élever au-dessus de ces péripéties – que, il est vrai, nos descendants auront du mal à croire, celle-ci et bien d’autres d’ailleurs – et livrons-nous à une évaluation de la chose militaire en Europe, en dehors, bien sûr, de la puissance russe.

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Un avertissement venu du “Old Deep State”: Macron conduit à une guerre nucléaire

Ce sont des anciens des services secrets. Ils ont participé à la politique d’hégémonie américaine mais ils détestent l’idéologie des néoconservateurs. C’est pourquoi je les appelle, ironiquement, le ‘Vieil Etat Profond”. Ils sont réunis dans le groupe Veteran Intelligence Professionals for Sanity. (Ancien du Renseignement Chevronnés pour le Bon Sens). Il faut les écouter attentivement! Ils ont écrit à Biden pour l’avertir: Emmanuel Macron ne prend pas les Russes au sérieux. Il ne croit pas que les Russes frapperont des troupes françaises au sol. Par inconscience, il pourrait entraîner, au bout d’une chaîne de réactions, les Etats-Unis dans un affrontement nucléaire avec la Russie. Retenons en particulier cette phrase: “Un (…) facteur inquiétant est que les Russes sont susceptibles de croire que la folie de Macron a l’approbation tacite de certains responsables américains et occidentaux, qui semblent désespérés de trouver un moyen de modifier la trajectoire de la guerre en Ukraine – d’autant plus que les élections approchent”.

Ce texte est paru sur InformationClearingHouse.blog. C’est la rédaction du Courrier des Stratèges qui est responsable des intertitres et des passages soulignés.

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Quand les Français se tournaient vers Marie reine de la Paix

Continuons, dans ces jours qui précèdent Pâques, notre exploration de la place très spécifique de Notre Dame dans le catholicisme et, plus particulièrement dans la piété française des siècles passés. Aujourd’hui, je pars de la piété mariale de certains des rois de France, pour constater, non seulement, qu’elle conservait au souverain le sens de la mesure, mais aussi qu’elle créait un très fort lien avec l’ensemble des Français. La France était alors vécue par toutes les classes sociales comme “le Royaume de Marie”. Et Marie était celle qui donnait la paix au royaume de France, au-delà des faiblesses des hommes. Aujourd’hui, l’ordre des Annonciades, créé par la fille de Louis XI, sainte Jeanne de France, perpétue la tradition d’invocation à Marie pour la paix.

C’est l’une des plus belles pages de la poésie française. Charles d’Orléans (1394-1465), neveu du roi Charles VI (1368-1422) et père du futur Louis XII (1462-1515)avait été fait prisonnier à la bataille d’Azincourt, en 1415, l’une des désastreuses défaites françaises durant la Guerre de Cent Ans. Il y resta vingt-cinq ans prisonnier. Sa captivité révéla l’un des plus grands poètes de la langue française.

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Santé mentale: les garçons plus affectés que les filles durant le COVID, selon une étude

A cause de la crise COVID, nombreux jeunes ont été confrontées au stress, à la solitude, à la peur de la maladie, à l’anxiété … une nouvelle étude menée par des chercheurs de plusieurs universités britanniques révèle des différences importantes entre les garçons et les filles quant à l’impact de la pandémie sur leur santé mentale. Nombreux sont les jeunes garçons qui ont développé des sentiments dépressifs. En 2022, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, patron de l’OMS, avait déclaré que « les informations dont nous disposons actuellement sur l’impact de la COVID-19 sur la santé mentale dans le monde ne sont que la partie émergée de l’iceberg ». Pourtant c’est l’OMS qui a davantage encouragé ces politiques « enfermistes », comme toujours, l’OMS est dans son rôle favori celui du pyromane qui se fait pompier.

La crise du COVID a entraîné des conséquences considérables sur la santé mentale des adolescents à travers le monde. Selon une étude menée par les scientifiques de l’Université de Liverpool, de l’Université métropolitaine de Manchester, de l’Université de Reading et du King’s College de Londres, la pandémie de Covid-19, l’effet négatif de la pandémie du Covid-19 sur la santé mentale a été plus important chez les garçons que chez les filles. Les résultats ont été publiés dans le Journal européen de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent. En effet, si le Covid-19 a affecté physiquement les individus, il a également mis en exergue la hausse des syndromes dépressifs, notamment chez les jeunes.

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Nicolas Dupont-Aignan renonce à aller aux européennes, faute d’argent

Ce matin, Nicolas Dupont-Aignan a annoncé qu’il renonçait à présenter une liste aux européennes. Il explique ce choix par le souci de ne pas éparpiller le vote souverainiste, et par la volonté de préserver ses moyens financiers en vue de la présidentielle. Florian Philippot et François Asselineau restent donc “seuls” en lice pour réclamer tous deux le Frexit.

Nicolas Dupont-Aignan jette donc l’éponge pour les européennes : trop d’argent, trop de temps, trop de dispersion. Si les sondages lui prédisaient un meilleur sort que Philippot ou Asselineau, le président de Debout la France risquait d’engloutir dans cette opération une importante somme sans espérance de décrocher un élu au Parlement européen.

Désormais, deux listes souverainistes devraient donc se “partager le gâteau” :

  • les Patriotes de Philippot devraient pouvoir déposer une liste et imprimer leur propagande électorale grâce au “trésor de guerre” accumulé par Florian Philippot durant le COVID et l’épisode du passe sanitaire. Nul ne sait toutefois si Philippot fera directement campagne pour le Frexit, ou s’il demandera un referendum en ce sens. Cette idée semble poussée par Jean-Frédéric Poisson, qui a quitté le mouvement zemmouriste
  • L’UPR de François Asselineau devrait également présenter une liste favorable au Frexit. Asselineau déclare avoir levé plus de 600.000€ à ce stade

Pour l’instant, chacun de ces listes est créditée de 0,5% dans les sondages… mais rien n’exclut qu’une surprise intervienne.

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Malika Sorel fait une entrée remarquée dans la campagne électorale, par Jean Goychman 

A peine désignée comme le numéro deux de la liste du Rassemblement National pour les élections européennes, Malika Sorel, lors d’une interview donnée sur Europe1 et Cnews, n’hésite pas à mettre « les pieds dans le plat » du fédéralisme européen.

Alors que la menace se précise de plus en plus depuis l’adoption du rapport Verofstadt, certes à une courte majorité, mais majorité quand-même, par le parlement européen, peu, voire très peu de gens ont osé en parler de vive voix. C’est pourtant un moment essentiel de l’histoire de la construction de l’Europe qui, depuis Jean Monnet, s’est toujours faite par « petits pas » afin que les peuples attachés à leur nation et leur souveraineté, ne voit pas arriver le danger du supranationalisme à un moment où ils pourraient encore s’y opposer. Ce « mensonge par omission » devait bien finir, tôt ou tard, par être dévoilé mais, jusqu ‘à présent, c’était plutôt du style « secret bien gardé » par les élites euro-mondialistes qui pensent encore pouvoir infléchir en faveur de leur projet fédéraliste le cours naturel des aspirations populaires (qu’ils appellent « populistes ») dont la montée les inquiète.

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USA : BioNTech reçoit une mise en demeure pour défaut de paiement des redevances de son vaccin

L’Institut national américain de la santé (NIH) a récemment adressé une mise en demeure à BioNTech, renommée pour son partenariat avec Pfizer dans le développement du vaccin anti-COVID Comirnaty. Cette notification concerne une présumée défaillance de paiement des redevances et d’autres montants liés à son vaccin COVID-19. La biotech allemande a déclaré qu’elle avait l’intention de se défendre contre toutes les allégations de manquement.

Comirnaty est le fruit de la technologie d’ARNm exclusive de Biopharmaceutical New Technologies (BioNTech), mis au point par BioNTech et Pfizer. Si les activités de Pfizer / BioNTech ont connu un développement remarquable pendant la crise covid, la fin de l’urgence sanitaire liée au Covid-19 a entraîné une diminution significative de leurs revenus. Selon Reuters, lundi 25 mars, la biotech allemande BioNTech a déclaré avoir reçu un avis concernant le défaut de paiement des redevances liées à son vaccin contre le Covid-19 de la part de l’Institut national américain de la santé aux Etats-Unis.

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15 avril 2019: pourquoi l’incendie de Notre-Dame a-t-il tant ému ?

Le 15 avril 2019 était le lundi de la Semaine Sainte cette année-là: Pâques est une fête mobile. Pourtant ce lundi-là est entré dans l’histoire du fait du terrible incendie de Notre-Dame-de-Paris. Au grand étonnement de sociologues blasés, ayant conclu à la fin du christianisme, l’incendie de la cathédrale de Paris suscita une immense émotion, en France et dans le monde. Au coeur de la capitale française devenue largement incroyante, on vit des gens de tout âge se mettre à genoux pour soutenir par la prière l’engagement des pompiers. Il s’en fallut de peu que la tour Nord ne s’écroulât, ce qui aurait vraisemblablement ruiné le reste de l’édifice; mais le fait est que la cathédrale a tenu bon et beaucoup y ont puisé un nouvel espoir pour le “vieux pays”, capable de surmonter les pires des épreuves. Car il existe depuis des siècles un lien intime entre la France et la Mère du Christ. Nos ancêtres disaient volontiers “Regnum Galliae. Regnum Mariae”: “le royaume de France est le royaume de Marie”. C’est cette relation très spéciale entre notre pays et Notre Dame que je vais explorer, humblement, comme un fils de France évoquant sa mère, durant la Semaine Sainte et l’Octave de Pâques.

Le témoignage du Père Jean-Marc Fournier, aumônier des pompiers, qui a sauvé la Couronne d’Epines et le Saint-Sacrement des flammes lors de l’incendie de Notre-Dame-de-Paris.

J’ai regardé de nombreuses fois la vidéo ci-dessus où le Père Jean-Marc Fournier, aumônier des pompiers de Paris, raconte tranquillement comment il a sauvé la Couronne d’Epines, relique de la Passion du Christ, ramenée à Notre-Dame de Paris par Saint Louis, au XIIIè siècle; ainsi que le Saint-Sacrement, c’est-à-dire le ciboire où se trouvaient les hosties consacrées qui sont, pour la foi catholique, réellement le Christ.

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Le Chatbot de Google prend l’eau, par Yves-Marie Adeline

Gemini, l’outil d’intelligence artificielle de Google, a fait perdre 90 milliards de valeur boursière à son entreprise-mère pour avoir exagérément appliqué la politique de cancel culture – la culture de l’effacement, historique aussi bien que sociétal – et plus généralement le wokisme en vogue aux Etats-Unis, qui d’ailleurs a gagné l’Europe, puisque l’Europe est depuis longtemps réduite à un rôle de marche de l’Empire.

Comment cette perte a-t-elle été rendue possible ? Gemini fonctionne sur un principe proche du chat GPT. Dans un premier temps, la première version avait fait rire tout le monde. Avec des amis, nous nous étions amusés à lancer le logiciel sur une question en principe connue de tous les érudits : les origines de la guerre de Cent Ans. Le chat GPT fonctionne comme un mouvement brownien, une réponse en appelant une autre, dans un déroulement A-B-C etc., mais sans qu’il y ait de cohérence entre A et C, seulement entre A et B, puis B et C. Ainsi, rapidement, la dissertation automatique s’est égarée dans les guerres de religion, sautant donc de la période 1337-1453 au XVIe siècle, sans s’en rendre compte. Oui, mais ça, c’était la première version, et il semble que les suivantes se soient améliorées. Pourtant, dès l’arrivée de cet outil, on pouvait s’inquiéter de ce que les entreprises du chat GPT, dans le contexte tendu de pré-guerre civile américaine, permettent à l’idéologie de s’en emparer, ce qui réduirait à rien l’intérêt présenté par le progrès technique. Eh bien, c’est exactement ce qui est arrivé, de sorte que ce progrès tourne au cauchemar intellectuel, où l’on voit nos jeunes gens infectés par le virus, se transformant les uns après les autres en rhinocéros comme dans le théâtre de Ionesco.

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Breton demande accès à toutes les données numériques privées des souverainistes

Thierry Breton est décidément le meilleur ami de la dictature par Bruxelles, et le meilleur idéologue de l’Europe de la surveillance. Cette semaine, il devrait publier des directives à destination des plateformes pour réquisitionner l’accès aux données de connexion des opposants au régime, regroupés sous l’étiquette des ingérences étrangères. Au passage, personne ne juge utile de signaler que ces données permettent de connaître les intentions de vote… et de procéder à des opérations ciblées de contre-influence. Ou comment truquer les élections sans l’avouer.

Soumettre les grandes plateformes numériques (le réseau X compris) à des exigences dignes d’une dictature communiste en matière de violation de la vie privée et de liberté d’expression, tel est l’exercice commencé par le Digital Services Act, la directive totalitaire de l’Union, l’été dernier, et que Thierry Breton poursuit sans discontinuer et sans rien lâcher. Alors que les élections européennes approchent, et s’annoncent comme une victoire populiste, la Commission veut optimiser ses chances d’entraver la parole souverainiste, sous le prétexte fallacieux bien connu de lutter contre les “inégrences étrangères” et, au besoin, de changer l’issue finale du vote.

Donc, cette semaine, pour parvenir à ces objectifs “libéraux”, la commission devrait publier des directives complémentaires à destination des huit grandes plateformes numériques (Telegram n’en fait pas partie) pour qu’elles prennent des mesures pour que les réseaux sociaux “ne soient pas utilisées à mauvais escient pour manipuler nos scrutins”… Superbe inversion accusatoire.

Dans le panel de mesures, la Commission demande pudiquement d'”accorder au régulateur un accès à leurs algorithmes”. Cette expression savante dissimule derrière des concepts mathématiques ce qu’on appelle couramment la surveillance par l’algorithme, parallèlement demandée à titre permanent en France par le président de la commission des Lois à l’Assemblée, le macroniste de gauche Sacha Houlié. Cette surveillance consiste à fournir aux services de renseignement tout le contenu des comptes sociaux des internautes.

Cette transmission est importante, parce qu’elle permet, à grande échelle, de prédire assez précisément les intentions de vote des opposants (et de leurs amis), et, éventuellement de cibler des messages destinés à modifier leur comportement ou leur opinion.

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Canada : Musk financera les frais de justice d’une soignante réfractaire aux injections COVID

Le réseau social X, anciennement connu sous le nom de Twitter, a récemment annoncé son engagement à contribuer financièrement aux frais juridiques de la Dre Kulvinder Kaur Gill. Cette pédiatre de Brampton, en Ontario, a été réprimandée par les autorités pour ses tweets anti-vaccin Covid. Un des tweets de la médecin affirmait que les vaccins COVID n’étaient pas nécessaires.

I've been overwhelmed by outpouring of kindness & generosity of Cdns & people globally. I'm reading all of your msgs/prayers. My sincerest thank you💛

We're at ~50% of fundraising goal of $300K with only 4 days left until deadline

Pls donate what you canhttps://t.co/b0cc5pZIBk https://t.co/AnV2vkG7G3

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Ah, si seulement Bruno Le Maire était ministre de l’Economie ! par Florent Machabert

L’info de la semaineL’inflation fait préférer le cash aux Français -Mauvaise nouvelle pour l’euro numérique ! Depuis l’automne 2021, comme expliqué dans Finance & Tic, les Français ont montré un regain d’intérêt pour les espèces, qui s’est accentué en 2023 : une tendance attribuée à l’inflation galopante et que la désinflation actuelle n’est pas venue démentir. Le baromètre annuel Ifop révèle ainsi que 83% des Français se déclarent attachés au cash, avec une utilisation quotidienne en hausse, puisqu’elle concerne désormais près de 3 Français sur 4. Cette « préférence pour la liquidité », comme eût dit Keynes, s’explique selon les intéressés eux-mêmes par « sa gestion budgétaire plus aisée », notamment en période d’inflation, où le paiement en espèces permettrait de mieux contrôler ses dépenses.

Même si l’argent liquide conserve une forte dimension symbolique dans les périodes d’incertitude, le fait d’épargner en cash, pour se rassurer, traduit surtout une certaine méfiance envers l’avenir. Espérons que le déclin économique dans lequel la France s’enfonce ne se transforme pas en récession inflationniste à la faveur du début de flambée des cours du pétrole (voir notre dernière rubrique ci-dessous). Vous pourriez alors devoir ressortir votre brouette, comme pendant la République de Weimar…

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12 morts et 130 blessés au “Crocus City Hall” à Moscou! Les USA savaient-ils?

Un attentat a eu lieu ce soir à Moscou, dans un bâtiment abritant une salle de concert et des magasins. Les USA savaient-ils que quelque chose se tramait? Au moment où nous publions, on fait état d’au moins 12 morts et 130 blessés. Mais, outre une fusillade, les terroristes ont déclenché un incendie et il est difficile de savoir combien de personnes sont prisonnières des flammes. Les réseaux sociaux se sont enflammés suite à la diffusion d’une capture d’écran: une alerte de sécurité diffusée par l’ambassade américaine en Russie il y a deux semaines, qui annonçait un potentiel attentat dans une salle de concert. Le lien sur le site de l’ambassade est toujours actif….

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Comment le Crédit Agricole fait des bénéfices colossaux sur votre dos…

Dans le capitalisme de connivence qui nous domine, les banques tiennent un rôle de choix : puissantes, elles ont la faculté d’obtenir des réglementations favorables et protectionnistes pour leurs intérêts, comme elles ont la faculté de bloquer des réformes qui pourraient leur nuire. L’affaire de l’assurance emprunteur illustre parfaitement ce type d’arrangements loin des regards. Une banque comme le Crédit Agricole a pu dégager des dizaines de milliards de bénéfices depuis des années grâce à ce dispositif pas complètement d’équerre avec les règles de la concurrence. Mais elle n’est pas la seule : quelques banques en ont bien profité.

L’assurance emprunteur est une assurance-vie que vous êtes obligé de souscrire lorsque vous contractez un emprunt.

  • très longtemps, les banques ont pu obliger les clients à souscrire au contrat d’assurance emprunteur qu’elles proposaient en même temps que le crédit
  • les politiques de défiscalisation dans l’immobilier ont permis aux banques de “caser” de nombreux contrats d’assurance emprunteur dans des conditions non-concurrentielles, et parfois opaques (sur ce point, voire notre article “patrimoine” du jour, sur l’intérêt ou non d’acheter de l’immobilier défiscalisé pour préparer sa retraite et la vidéo ci-dessous)
  • ce marché est très cartellisé
  • encore aujourd’hui, faute d’une concurrence suffisante, les banques peuvent placer ces contrats qui sont surfacturés
  • un rapport de l’IGF de 2013 affirme que la surfacturation des contrats était d’environ 50%
  • des évolutions législatives ont permis une mise en concurrence, mais leur effet reste encore limité

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Emmanuel Macron : seule menace existentielle pesant sur la France ! par Jean-François TACHEAU

Emmanuel MACRON est un acteur de génie. La réalité, c’est qu’il aurait pu rivaliser avec Heath Ledger qui fit une remarquable interprétation du Joker dans The Dark Knight (2008) et avec Robin Lord Taylor, qui fit un excellent pingouin dans la série Gotham.Il est manifestement imbattable dans les rôles de bad guys. Et la petite rétrospective des rôles qu’il a endossés dans la vraie vie est tout simplement stupéfiante.

Le 14 mars dernier, Emmanuel Macron s’est efforcé de préparer les Français à entrer dans une économie de guerre en interprétant à la perfection un nouveau rôle, celui de BIG BROTHER en attribuant toute la responsabilité de la situation dans laquelle nous nous trouvons aux Russes et au régime de Vladimir Poutine.   L’interview de Gilles Bouleau et d’Anne-Sophie Lapix avait pour objectif d’éclairer les Français suite à l’annonce sidérante du 26 février d’un possible envoi de troupes au sol sur le territoire ukrainien, suite au -très anticonstitutionnel- accord de défense signé avec l’Ukraine le 16 février, visant la réintégration de tous les territoires annexés par la Russie, Crimée comprise, et son intégration dans l’Union Européenne et l’OTAN, (une alliance militaire constituée contre la Russie permettant surtout aux Américains de vendre leurs matériels).

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Semaine Sainte : ces 8 jours où Jésus a percuté le judaïsme

La Semaine Sainte commence dimanche. Pour cette occasion, Edouard Husson nous propose un urbi et orbi qui revient sur les circonstances historiques de cette semaine qui a changé le judaïsme, et qui a façonné le monde chrétien pour les 2.000 ans qui ont suivi. Quelle est la part de récit historique dans les Evangiles ? Quelle est la part de foi religieuse ? Nous y revenons pied à pied, point par point.

Une semaine avant sa crucifixion, Jésus de Nazareth arrive à Jérusalem. Pendant les sept jours qui s’ouvrent, des événements qui vont changer la face du monde surviennent.

  • Jésus est accueilli triomphalement par les “petites gens” de la capitale juive
  • quelques jours plus tard, il est arrêté
  • sa “passion” est à l’origine d’un monde nouveau qui mettra plusieurs siècles à émerger
  • aujourd’hui, il existe une concurrence mémorielle et archéologique à Jérusalem, qui complique l’histoire du christianisme

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Tuberculose : hausse alarmante des décès en Europe, selon l’OMS

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a annoncé que la Région européenne a enregistré plus de 7.000 décès supplémentaires dus à la tuberculose pendant les trois années de la pandémie de Covid-19. Selon un rapport de l’OMS, le COVID a entraîné des perturbations dans le dépistage, le diagnostic et le traitement de la tuberculose. Pour  l’OMS , la lutte mondiale contre la tuberculose doit de nouveau être renforcée, car la crise Covid a perturbé les services de santé du monde. Si l’agence onusienne appelle à une action urgente pour rétablir la situation, on se demande pourquoi l’OMS a-t-elle autant encouragé ses politiques enfermistes?

L’une des conséquences tragiques de ces perturbations des systèmes de santé à travers le monde, est l’impact sur la lutte contre la tuberculose, comme le souligne un récent rapport de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Selon le rapport de l’OMS, la région européenne se remet progressivement de la pandémie de COVID-19, mais elle continue de subir les effets néfastes de celle-ci sur la gestion de la tuberculose. Les données les plus récentes révèlent une augmentation des notifications de tuberculose dans 38 États membres européens de l’OMS.

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Une étude révèle les risques de la ventilation mécanique chez les patients COVID en soins intensifs

Durant la crise Covid-19, l’utilisation d’une assistance ventilatoire mécanique faisait partie des soins attribués aux patients atteints du Covid-19 souffrant d’hypoxie. Une nouvelle étude, publiée dans JAMA, suggère que viser des niveaux d’oxygène plus bas pourrait être plus bénéfique pour les patients souffrant d’un faible taux d’oxygène ou d’hypoxie. Cette recherche remet en question l’idée selon laquelle des niveaux d’oxygène plus élevés sont toujours préférables et souligne l’importance de réévaluer les pratiques de gestion de l’oxygène dans les unités de soins intensifs pour améliorer les résultats cliniques des patients.

La gestion des niveaux d’oxygène chez les patients atteints de COVID-19 en unité de soins intensifs (USI) a été un défi majeur pour les professionnels de la santé depuis le début de la pandémie. Une nouvelle étude vient de révéler que le niveau d’oxygénation supplémentaire devrait être plus faible.

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Comment l’IA pourrait aider à détecter le COVID ?

L’utilisation de l’intelligence artificielle dans la médecine ouvre de nouvelles possibilités d’accélération de la mise au point de traitements. Une récente recherche menée par des chercheurs de l’Université Johns Hopkins a abouti au développement d’un outil de détection automatisé utilisant l’IA pour repérer le COVID-19 dans les images échographiques pulmonaires. Cette avancée pourrait révolutionner la manière dont les médecins urgentistes diagnostiquent les patients, en particulier dans des situations d’urgence où le temps est crucial.

Les chercheurs du Whiting School of Engineering de l’Université Johns Hopkins ont lancé une recherche pour développer un outil permettant de détecter rapidement le Covid-19. Les résultats ont été publiés dans Communications Medicine. Ils ont réussi à mettre au point un outil de détection automatique utilisant l’Intelligence artificielle (AI). Il permet de détecter le Covid-19 dans les images échographiques pulmonaires.

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Meyssan : “Un tiers des amputations sans anesthésie à Gaza se fait sur des enfants”

Dans cette interview (quinzomadaire) de Thierry Meyssan, nous dressons un point de la situation humanitaire dramatique dans laquelle se trouve les habitants de Gaza, et la stratégie d’éviction délibérée menée par les Israéliens pour expulser les Palestiniens et pratiquer un nettoyage ethnique. Au-delà des considérations de géopolitique, il n’est pas inutile de rappeler les souffrances inhumaines que l’Occident inflige à des civils au nom de ses narratifs néo-conservateurs.

Dans cette interview quinzomadaire, Thierry Meyssan nous dresse le panorama de la situation à Gaza, qui est tragique :

  • le blocus israélien crée une crise humanitaire qui, dans le mois qui vient, va se révéler abominable : la mort de dizaines de milliers de civils est programmée
  • l’armée israélienne se livre sans vergogne à des crimes de guerre inexcusables
  • l’objectif est de pratiquer un nettoyage ethnique en Palestine

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Y a-t-il une taupe russe à l’Elysée?

Dans les messages qu’il a fait passer par agence TASS interposée, le directeur du renseignement extérieur russe fait état sans vergogne de conversations tenues à l’Elysée. Ecoutes? Renseignement humain? Visiblement le palais de la présidence est mal protégé de la pénétration du renseignement étranger. On soulignera le décalage entre des gouvernants qui traquent de prétendus “relais d’influence” de la Russie en France (pour faire taire toute voix qui n’est pas alignée sur le récit pro-ukrainien) mais qui sont apparemment incapables de se protéger d’une ingérence russe réelle. Il serait temps de sortir de l’univers d’OSS 117 pour enfin protéger le pays.

Georges Pâques (1914-1993), haut fonctionnaire français arrêté par la DST en 1963 pour espionnage au profit de l’URSS

J’ai sursauté en lisant l’une des deux dépêches de l’Agence TASS, qui rapporte les propos du directeur du service de renseignement extérieur russe:

Tôt ou tard, Macron devra révéler l’horrible vérité, mais il essaiera de retarder les “aveux” le plus longtemps possible. Comme on le dit à l’Élysée, le nombre de Français tués ‘a déjà franchi un seuil psychologiquement significatif’. La divulgation de données aussi sensibles pourrait inciter les citoyens à protester, surtout dans le contexte des campagnes antigouvernementales massives menées par les agriculteurs dans tout le pays”, a noté M. Narychkine.

Selon le chef des services de renseignement, l’armée française est “visiblement préoccupée” par le nombre croissant de citoyens français tués en Ukraine.

Agence TASS, 19 mars 2024

Quel est le degré de pénétration du renseignement russe dans les services de l’Etat?

Quand on prend le temps de peser tous les mots, cette dépêche est très inquiétante pour les intérêts français. Le chef du service de renseignement extérieur russe ne se cache même pas: il avoue qu’il a connaissance de conversations tenues dans l’entourage du Président de la République ou à l’Etat-Major et au Ministère de la Défense?

Alors écoutes? Renseignement humain? On a le droit de poser la question sans détour: y a-t-il une taupe russe à l’Elysée?

On aimerait bien que des parlementaires posent la question au ministre de l’Intérieur et au ministre de la Défense.

Ils traquent la liberté d’expression mais ne savent pas se protéger du renseignement étranger

Nos gouvernants sont très forts pour vouloir censurer toute personne qui n’adhère pas au récit officiel sur la guerre d’Ukraine. En revanche, ils ne semblent pas se préoccuper de l’éventuelle pénétration des services étrangers jusqu’au cœur de l’appareil d’Etat.

Et ne nous faisons pas d’illusions: si le directeur du renseignement extérieur russe affiche un peu de ce qu’il sait de conversations tenues à l’Elysée, il est légitime de se demander si notre pays est défendu contre la pénétration des services de différents pays, à commencer par la Chine, les Etats-Unis et l’Allemagne.

Nous avons le droit d’être sceptiques.

L’Europe de la guerre, l’Europe de la peur – par Michel Goldstein

LES BILLETS D’HUMEUR DE LA LISTE “NON! PRENONS-NOUS EN MAINS!”Toutes les positions prises par le gouvernement Français et Européen nous mènent directement vers les conflits.

Aucune recherche de diplomatie, aucune position pour éviter l’escalade. La France et l’Europe jouent sur la peur.

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Les agriculteurs de nouveau en colère, par Michel Goldstein

LES BILLETS D’HUMEUR DE LA LISTE “NON! PRENONS-NOUS EN MAINS”! Le premier ministre Gabriel Attal a reçu ce matin les syndicats agricoles dans une ambiance électrique, alors que les tracteurs bloquent des ronds-points dans plusieurs villes de France. Ils reprochent au gouvernement de ne pas tenir ses promesses. Une fois de plus.

Ils réclament les aides qu’ils n’ont toujours pas été payées, celles de la PAC (la politique agricole commun). Le gouvernement avait promis de les verser au plus tard il y a 4 jours le 15 mars.

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Le CETA au Sénat : guerre de lobbies derrière la farce du protectionnisme

Le Sénat pourrait, à l’occasion d’une “niche parlementaire”, rejeter la ratification du traité de libre-échange avec le Canada. Le motif est simple : vive le protectionnisme qui (paraît-il) protège notre agriculture. La réalité est un peu différente : c’est une guerre des lobbies qui commence. Si la filière bovine s’estime menacée par l’accord, d’autres filières, y compris dans l’agriculture, tire largement profit de ce texte appliqué de manière provisoire. Reste la difficulté d’appliquer des accords qui ne sont pas ratifiés : une manie qui devient dangereuse.

Le CETA (traité de libre-échange avec le Canada) pourrait bien subir un coup dur du Sénat aujourd’hui. Nous vous aidons à remonter le fil de cette affaire, en complément de la capsule ci-dessus qui vous dit tout sur le fond de l’accord.

  • le CETA (traité de libre-échange avec le Canada) a été signé en 2017 et ratifié par l’Assemblée Nationale en 2019
  • le gouvernement ne l’a jamais soumis au vote du Sénat
  • l’accord prévoyait son application provisoire dans l’attente de la ratification complète
  • des sénateurs ont décidé de proposer son rejet dans une proposition de loi examinée à l’occasion d’une niche parlementaire
  • l’initiative est prise par le groupe communiste, assez naturellement opposé au libre-échange
  • des sénateurs républicains soutiennent ce rejet
  • un sénateur républicain a rendu un avis soulignant l’absence de “clause-miroir” sur l’élevage de bovins au Canada : le risque de l’accord consiste donc à permettre une concurrence du boeuf français avec le boeuf canadien, protégé par moins de normes sanitaires
  • un autre sénateur républicain a rendu un avis dans le même sens. Il est lui-même éleveur de boeufs, dans le village de Sébastien Béraud, bien connu de nos lecteurs
  • le lobby des spiritueux se mobilise fortement pour le maintien de l’accord qui, globalement, profite à l’agro-alimentaire français
  • il n’en reste pas moins que Macron a manifestement un problème récurrent avec la ratification des traités. Nous évoquions déjà la semaine dernière le caractère très irrégulier du traité bilatéral avec l’Ukraine (voir l’interview ci-dessous). La ratification du CETA illustre l’absence de consultation du Parlement par Macron, en matière de traités internationaux… en violation de la Constitution

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Royaume -Uni : le cancer de la prostate, l’oublié du confinement

Depuis le début de la pandémie de Covid-19, les confinements ont été largement utilisés par les gouvernements du monde entier pour contenir le virus. Malheureusement, cette crise a rapidement mis sous tension l’ensemble des systèmes de santé mondiaux. Parmi ces conséquences, les retards dans le diagnostic et les soins de santé ont été particulièrement préoccupants. Une récente étude publiée dans BJU International estime que plus de 20 000 diagnostics de cancer de la prostate ont été manqués en Angleterre en raison de la pandémie. Les restrictions et les bouleversements causés par la pandémie ont entravé l’accès aux services de santé, entraînant des retards dans les diagnostics et les traitements.

Des chercheurs de l’Université de Surrey et de l’Université d’Oxford ont mené une étude sur les taux mensuels d’incidence, de prévalence et de mortalité du cancer de la prostate en Angleterre. Ils ont constaté que près de 20.000 cancers de la prostate en Angleterre n’ont pas été diagnostiqués à temps à cause de la pandémie. Cela indique la nécessité de renforcer le système de santé. Selon une enquête menée par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), la pandémie de Covid-19 a perturbé les services de santé de base dans 92% des 192 pays du monde. L’agence onusienne appelait à une action urgente pour rétablir la situation. Les systèmes de santé étaient universellement touchés et mis en péril par la pandémie. Mais alors pourquoi l’OMS a-t-elle autant encouragé les politiques enfermistes? Le directeur général de l’OMS est dans son rôle favori ces derniers temps: celui du pyromane qui se fait pompier.

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