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À partir d’avant-hierOpenClassrooms : le blog

« Accompagner des étudiants est une expérience très enrichissante », Loïse, mentor

Bonjour Loïse ! Peux-tu te présenter en quelques mots ?

Je suis originaire de Nice et j’y habite encore. Je suis mentor développeur web et front end react. Après avoir eu mon master 2 mobiquité base de données et système d’intégration en apprentissage au W3C, j’ai travaillé pendant cinq ans en tant qu’ingénieur web et Scrum Master, puis tech lead node JS/React. J’ai finalement créé ma propre SAS Super Responsable, dont je suis co-dirigeante et associée. Je donne également des cours dans des écoles d’enseignement supérieur.

Quelle est la réalisation professionnelle dont tu es la plus fière ?

La création de ma propre entreprise !

Quelles sont tes passions ?

J’adore le dessin, les mangas et mes tortues ! Je fais de la peinture sur verre, sur des coques de téléphone, des bureaux, des tables…

Comment es-tu devenu mentor ?

J’avais besoin d’un job qui soit modulable pour continuer à gérer mon entreprise, celle-ci n’étant pas mûre financièrement pour subvenir à mes besoins, donc après plusieurs années à être scrum master/chef d’équipe, et avoir eu plusieurs positifs retours sur ma pédagogie, j’ai eu envie de me jeter à l’eau !

Qu’est-ce que t’apporte le mentorat ?

C’est une expérience très enrichissante, je suis particulièrement fière de pouvoir accompagner tous mes étudiants en reconversion, j’adore pouvoir leur apprendre mon métier qui me passionne.

Qu’est-ce que tu conseillerais aux nouveaux mentors ?

D’être à l’écoute des besoins de l’étudiant qui peut parfois manquer de confiance, et a besoin d’être validé dans leurs démarches.

Une anecdote te concernant ?

Mes étudiants peuvent avoir la surprise chaque jour de me voir avec une nouvelle couleur de cheveux ! Rose, vert, bleu, orange, j’adore m’amuser avec mon style haut en couleur.

 

Vous aimeriez apprendre le développement avec Loïse ou d’autres mentors développeurs ? Rendez-vous sur les formations diplômantes en développement informatique pour faire votre choix. Ou suivez les cours en libre accès en développement pour décider quel métier vous intéresse.

Si vous aussi vous travaillez dans le milieu du développement, devenez mentor !

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« Une de mes étudiantes a créé son agence de comm », Julien, mentor

Par : Nora Leon

Consultant senior et expert en stratégie de communication, Julien Hervy accompagne également les étudiants des parcours OpenClassrooms en marketing et communication et community management en tant que mentor. Portait.

Comment et pourquoi êtes-vous devenu mentor ? 

Ma spécialité, c’est l’expérience client. J’ai été diplômé en 2014, puis j’ai travaillé dans une grande entreprise. Ensuite, j’ai été dans une start-up spécialisée dans les avis clients où je suis devenu directeur marketing.

J’ai aussi contribué à pas mal de médias, et un jour j’ai voulu devenir indépendant. 

Je suis devenu mentor chez OpenClassrooms après avoir écouté le podcast Nouvelle école avec Mathieu Nebra. J’ai toujours aspiré à enseigner et ce rôle m’a permis de le faire, d’une certaine façon.

OpenClassrooms m’a également apporté un revenu stable dans le cadre du lancement de mon activité de freelance, ce qui a été très précieux. Les équipes m’ont fait confiance au fur et à mesure en me donnant progressivement de plus en plus d’étudiants. Je suis parti à Vancouver, aux États-Unis, au Canada, au Japon, en Allemagne et j’ai mentoré depuis l’étranger.  

Que vous a apporté le mentorat ?

Le mentorat, cela renforce le leadership ! Et c’est très gratifiant de voir tes étudiants évoluer.

L’accompagnement est complexe, nous tissons des liens parfois assez forts avec les étudiants mais il faut garder la posture de mentor. Une forme de leadership dont ils peuvent s’inspirer pour leur future activité. C’est sensible car il faut à la fois être un atout pour l’étudiant mais ne pas passer la ligne. Il y a une partie soft skills qui est ultra importante.

Je ne suis pas là pour faire le projet à leur place mais pour leur apporter de bons conseils, c’est passionnant de m’entraîner à leur expliquer tout cela.

Quelle relation avez-vous avec vos étudiants, justement ?

J’aime beaucoup la session de découverte, où on apprend à faire connaissance. Je leur demande s’ils aiment lire et écrire : c’est très important dans la communication d’aujourd’hui. C’est un peu la revanche des littéraires (rires !). D’ailleurs, j’ai même participé à un concours de nouvelles avec une étudiante !

Honnêtement, mes étudiants sont très impressionnants. Je mentore sur les parcours Expert en stratégies marketing et communication et Responsable Marketing Opérationnel et Marketing. Les profils sont assez experts, justement. 

Je retrouve le fait de faire des retours constructifs, qui me plaît particulièrement, dans mon expérience en tant que mentor.  Tout au long de la relation, il faut aussi lutter contre le syndrome de l’imposteur des étudiants, insuffler la motivation et l’envie de terminer le parcours. Une fois qu’ils ont réussi, c’est également formidable de rencontrer les étudiants en vrai.

Enfin, les relations vont au-delà des échanges de bonnes pratiques sur le métier et les soft-kills. On s’échange aussi des conseils de lecture : c’est très riche. C’est l’occasion de faire ressortir ce que l’étudiant a de particulier, et comment on peut l’utiliser pour sa carrière.

L’aboutissement de la formation et de notre accompagnement, c’est qu’ils trouvent un métier qui leur plaise. 

Outre les compétences techniques, que transmettez-vous aux étudiants ?

Je cherche à les rassurer, à leur montrer qu’ils comprennent le sujet. Je les aide à monter en compétences, à trouver les bonnes informations. Il faut aussi les rassurer sur leur choix de formation : le métier est passionnant !

J’aime aussi les amener à mettre en avant leur plus-value, quelle qu’elle soit : visuelle, éditoriale ou même, de réflexion sur la société. Cette dernière est très différente d’un étudiant à un autre, sur un même parcours.   

Qu’est-ce que vous trouvez particulièrement grisant dans ce rôle ?

Il y a un côté inspirant dans le fait d’être mentor. Suite à la formation, on est appelé pour recueillir quelques conseils. C’est une relation toute particulière, qui nourrit aussi mon activité de consultant en stratégie.

Mes étudiants ne sont ni des collègues, ni des amis. Je leur mets la pression, je suis très exigeant, peut-être un peu dur, mais aussi bienveillant. Je fais aussi un peu de maïeutique : je leur dis « tu peux avoir confiance en toi ». Le plus grisant, au final, c’est lorsque mes étudiants trouvent des débouchés qui correspondent à leurs projets, valeurs et personnalités. Cela rend immensément fier !

Racontez-nous une histoire d’étudiant dont vous êtes fier, justement.

J’ai tellement de belles histoires en tête… Une de mes étudiantes a lancé sa propre agence de communication juste après son parcours, qui a d’ailleurs créé la charte graphique (cf. logo, etc.) de sa ville. Une autre étudiante est passée CXO chez la Redoute pendant sa formation. 

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Si vous rejoignez l’une des formations en ligne en marketing, vous pourrez être accompagné par Julien.

Comme lui, vous aimeriez devenir mentor OpenClassrooms dans votre expertise métier ? Rejoignez cette aventure humaine pour compléter vos revenus en nous soumettant votre CV.

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« En alternance, je suis responsabilisée », Victoire, communicante

Par : Nora Leon

Victoire se forme en alternance sur le parcours expert en stratégies marketing chez OpenClassrooms. Portrait.

Que faisais-tu avant OpenClassrooms ?

Après le Bac, j’ai fait une licence en sciences du langage & sciences sociales. C’était à Descartes mais cela ne me convenait pas vraiment,  j’étais entourée dans la promo par des gens qui voulaient devenir professeurs, pas forcément ma vocation même si c’est un beau métier.

J’ai eu ma licence, et je suis rentrée en école de communication.
Dans ma classe, plein de gens n’ont pas trouvé d’alternance et ont dû enchaîner deux stages. On ne te prend pas forcément, car même pour être alternant ou stagiaire on te demande de l’expérience. 

Comment as-tu choisi OpenClassrooms ?

J’en avais déjà pas mal entendu parler. En pleine période Covid, j’ai fait l’entretien chez OpenClassrooms, j’ai trouvé que le poste de cheffe de projet digital était intéressant, j’aime bien faire ça. J’ai été prise et ça s’est enchaîné.

Le descriptif du poste me plaisait, il y avait des missions que je ne connaissais pas encore, et des missions d’engagement d’étudiants. Je suis curieuse, j’aime bien découvrir des nouveaux milieux pour voir ce que j’aime ou pas. Venant du luxe, l’éducation, c’était le grand écart.

Ce que je retrouve entre OpenClassrooms et mon ancienne expérience, c’est le côté porté par leur histoire, et ça m’a séduite dès les entretiens, le fait qu’on ait une histoire à raconter. C’est cool de se dire que le Site du Zéro a fait ce chemin en  20 ans, ou qu’une petite petite dame a un jour ouvert une petite boutique qui a laissé place à une marque emblématique française une centaine d’année plus tard.  il y a plus de 100 ans. J’adore ce côté historique, il donne envie de parler de son travail !

Chez OpenClassrooms, je suis encore plus indépendante que dans mes précédentes expériences. J’avais déjà pas mal de responsabilités, mais là, je me sens plus en « CDI ». Je ne sais pas si c’est le fait que je sois en 2ème année de master, ou si j’ai accumulé assez de compétences, mais je suis garante de A à Z d’un projet. On m’a fait complètement confiance dès le départ, j’ai trouvé cela gratifiant. 

Qu’est-ce que tu aimes dans ta formation ?

Je suis en formation experte marketing. On a beaucoup de créa au final, en parallèle de la stratégie. En agence, il y a des personnes pour gérer cela. Mais là on doit penser au projet de manière 360°. Cela me met vraiment dans la peau de plusieurs personnes d’un projet de communication, et c’est très professionnalisant.

Et le mentorat ?


Ça se passe super bien avec mon mentor. Il est très sympa. Il a une expérience de fou. Il a réponse à toutes mes questions, il sait me rassurer. Il me met la pression comme il faut, sans que je me sente mal, sans m’engueuler. Il est compréhensif et il m’encourage. C’est vraiment un soutien. Après ma formation, il gardera cette place de mentor. Il m’accompagne dans la fin de mes études. 

Que préfères-tu chez OpenClassrooms ?

La force des formations OpenClassrooms, c’est l’autonomie. Cela pourrait aussi être un défaut pour certaines personnes qui aiment être plus accompagnées. Mais moi à qui ce format convient très bien, je vois cela comme quelque chose qui te prépare vraiment au monde du travail ! Tu es seule devant ton projet, OK, tu as ton mentor pour t’aider, mais tu le fais quand même toi. Il faut savoir se documenter, aussi bien en interne qu’en externe dans la vie professionnelle, et les parcours préparent énormément à cela ! 

Et dans le marketing et la communication ?

Ce qui m’intéresse dans le marketing et la comm, c’est qu’on doit convaincre. Pour le faire, il faut se mettre à leur place. On a des étapes d’introspection, il faut être empathique… Et dans la gestion de projet, c’est la polyvalence. Tu te retrouves à faire une tâche digitale, puis un message de comm, envoyer une campagne mailing, animer des réseaux sociaux. C’est d’avoir tellement de tâches différentes dans un même métier que je trouve intéressant.

Comment organises-tu ton rythme en alternance ?

Pour l’alternance, j’essaie de bosser régulièrement, un peu tous les jours mais je ne peux pas forcément le faire. Je consacre en tout cas toutes mes journées de formation au parcours OpenClassrooms, et quand j’ai du temps libre je ne l’utilise pas que pour voir mes copines. Je prépare bien ma session de mentorat, car je n’ai pas envie que mon mentor perdre son temps.

Le conseil pour ceux qui galèrent à trouver son alternance ?

Pour trouver son alternance, il ne faut pas se décourager. C’est un peu bête, mais si on ne te prend pas, ce n’est pas forcément de ta faute. Il y a tellement de personnes, de profils sur le marché du travail… Parfois, j’arrivais au dernier stade du recrutement, et ça se jouait à rien du tout. J’ai fait  tellement d’entretiens , et tel produit ou parce que je ne connaissais pas tel logiciel. Cela veut pas dire que je n’étais pas le bon profil, que je n’avais pas les compétences…  Je pense qu’à ce stade, plein de gens se démotivent. Mais il faut tenir le coup et garder espoir !

Quelle est la suite pour toi ? 

À court terme, j’aimerais terminer ma formation, et continuer chez OpenClassrooms. Cette boîte m’apporte énormément et pourrait m’apporter encore plus. à moyen terme, j’aimerais me lancer dans l’événementiel, des événements à thèmes, avec des artistes. J’aimerais le faire en Afrique de l’ouest, Côte d’Ivoire, Sénégal, Mali, Cameroun… Je pense qu’il y a une grosse communauté d’artistes qui vaut le coup. Et quelque chose à jouer dans tout ce qui est diaspora… Moi en tant qu’Ivoirienne en France, je connais peu la Côte d’Ivoire. Ce serait beau de créer des événements récurrents pour découvrir les différents pays. En France, cela pourrait être une réunion de plein d’artistes qui viennent… Un festival culturel ou quelque chose comme ça !

 

Podcast Joboscope épisode #16 : Expert en stratégie marketing

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« Le métier de CM, une superbe découverte », Raphaëlle, diplômée

Par : Nora Leon

Raphaëlle Fasquelle, passionnée d’art, s’est cherchée après une licence de généalogie. Suite à un bilan de compétences, elle a trouvé sa voie, CM. Et qui sait, peut-être deviendra-t-elle Community Manager d’un musée ou d’une fondation artistique ? Portrait.

Que faisais-tu avant OpenClassrooms ? Tu as un diplôme de généalogie, n’est-ce pas ?

Après mon Bac (en 2010) j’ai eu une licence en Histoire de l’art et un BTS notariat avec le CNED. Puis j’ai fait une formation de généalogie à distance. 

Donc je suis une habituée des formations à distance. M’inscrire à OpenClassrooms était dans la continuité, car je sais travailler seule. Je suis passionnée d’histoire. J’avais choisi un métier dont on entend pas parler, généalogiste. Cela n’a pas fonctionné, mais tant mieux pour moi car aujourd’hui j’exerce un métier qui est plus ouvert et qui recrute plus. 

Généalogiste, on en entend beaucoup parler à la télé, on appelle ça des ‘chasseurs d’héritiers’. Tu peux soit rechercher les ancêtres d’une personne ou chercher les héritiers dans le monde entier, et tu peux apporter une nouvelle très bonne à quelqu’un qui n’avait pas connaissance d’une famille.

Mais c’est rare que les personnes aient une vocation, cherchent activement à devenir généalogistes. Cela va être d’anciens juristes, notaires, historiens. Il n’y a aucun diplôme d’État pour cela. C’est un métier de personnes qui ont déjà pas mal d’années d’expérience : on m’a reproché d’être trop jeune.

Personne ne comprenait ma passion pour les archives… Fouiller dans les vieux documents n’intéresse pas tout le monde. 

Bref, je n’ai pas trouvé d’emploi. À partir du moment où je me suis dit que je n’allais pas réussir, ça a été assez dur d’être face à un mur. Je me suis laissée le temps de réfléchir, de trouver ce qui pouvait correspondre à ma personnalité. Ma vie ne peut pas s’arrêter à mon travail ! Je fais du piano, beaucoup de sport. Je voulais avoir le temps nécessaire pour consacrer du temps à ça.

J’ai une personnalité plutôt créative, avenante, et je voulais un métier qui me permettait de temps en temps d’avoir accès à un milieu sportif, artistique. Je ne savais pas trop où me diriger.

Comment as-tu fait pour trouver ta voie ?

Le temps de trouver, j’ai travaillé dan une galerie d’art, dans l’habillement pour bébé, j’ai été auto-entrepreneure en immobilier… Au bout d’un moment, j’étais perdue. J’ai rencontré une coach en développement personnel. À ses côtés, j’ai compris ce dont j’avais besoin et que le métier de CM était tout à fait moi.

On a conclu que ça me correspondait bien car une facette de ma personnalité c’est que je suis assez dynamique. Je n’aime pas trop faire traîner les choses. Il y a pas mal de choses dans mon comportement, ma personnalité, comme le fait que je sois autonome, indépendante, j’adore rencontrer des gens, j’aime pas rester sur un seul projet, qui collait.

Ma coach m’a fait rencontrer le CM avec lequel elle travaillait. Finalement, ça allait de soi.

C’était une évidence car je me suis dit : « si je trouve une marque qui me correspond, je saurai véhiculer les bonnes valeurs, faire ressortir le cœur de l’entreprise ».

C’était aussi, parce que vivant à Nantes, les postes y en a beaucoup. Pas comme généalogiste. 

Comment as-tu connu OpenClassrooms ?

 

J’ai choisi OpenClassrooms parce que mon conjoint a suivi la formation « développeur Web » et a trouvé du travail avant d’avoir fini sa formation. Je le voyais avec son mentor, à fond dans ses projets. Il m’a dit « rappelle-toi, j’ai fait cette formation », regarde pour toi. J’ai jeté un coup d’œil et la formation CM convenait.

L’avantage, c’est qu’on peut s’inscrire à n’importe quel moment de l’année. Je me suis inscrite en avril 2020, à savoir que j’ai mis 2 mois à décider quelle école prendre, ce qui est très court.

En plus, c’était en plein confinement. Je voyais plein de personnes qui étaient perdues, et je ne voulais pas attendre que les choses arrivent, je voulais être actrice de mon orientation et aller de l’avant.

Je n’avais pas le niveau pour la formation CM, j’ai dû faire une vidéo de motivation, j’ai dû demander des lettres de référence. 

Comment s’est passée la formation ? Le mentor ? Les soutenances ? Comment jonglais-tu ?

J’ai l’une de mes dernières soutenances vendredi. 

J’arrive à la fin, je pense que d’ici un mois et demi, c’est fini !

La semaine dernière, je disais à mon mentor que j’étais triste… C’est le problème des gens qui aiment apprendre. C’est la fin, tu as hâte, mais dans cet environnement, tu apprends, tu évolues…

Se voir évoluer, grandir, c’est super ! 

Le fait de savoir qu’après je vais être sur le marché du travail, ça fait un peu peur. Mais c’est l’avantage, car le côté théorique est là, mais ce n’est pas le plus important. Être au cœur du boulot de ton futur métier t’oblige à te dépasser. 

Malgré toutes les formations que j’avais faites, j’ai moins peu moins peur grâce à celle-ci d’aller sur le marché du travail. Après un BTS ou une licence, t’as un stage de deux mois si t’as de la chance… Là j’ai déjà pratiqué, je sais ce qu’on attend de moi, ce qu’on va me demander, et même si c’est pas évident de s’imaginer devant un vrai patron, j’ai quand même moins peur.

Et le coaching, c’est nickel. J’ai trop hâte ! C’est le truc qui me manque parce que ce n’est pas évident de passer des entretiens.

Avec mon mentor, ça s’est super bien passé. J’ai fait une pause dans la formation pour travailler l’été, et le mentor est top. Ce n’est pas une relation de mentor à élève, c’est plutôt de collègue à collègue. Plus expérimenté, qui apporte des réponses à un collègue moins expérimenté.

C‘est une relation très solide, qui ne met pas trop la pression. Il est détente, il y a aussi ce côté motivant, on a envie de faire plaisir à son mentor, on a envie de travailler. Et d’avoir son expérience, c’est énorme ! Car avoir son expérience de spécialiste, c’est incroyable car il me fait comprendre, il me dit que j’ai ma place dans ce milieu. Il me fait des retours constructifs, quand je fais quelque chose de bien, de mal et il n’y a pas de faux semblants. Ce n’est pas formel, on parle pas que boulot ! 

Que t’apporte le mentorat ? 

J’ai beaucoup plus confiance en moi, en mes capacités à apprendre et à apprendre vite.

Ça m’a aussi appris à être autonome. 

Et j’ai aussi appris à mieux m’exprimer à l’oral car on fait quand même pas mal de soutenances avec des mentors évaluateurs. Le fait de jouer ce rôle de CM, cette mise en situation, ça m’a permis d’apprendre à communiquer de manière plus professionnelle. Et aussi à être beaucoup moins stressée parce que c’est pas la même chose d’être derrière un écran, rencontrer une personne différente. Ça m’a permis de dédramatiser les présentations professionnelles.

Mon mentor me dit souvent qu’il faut apprendre à être convaincante. CM, on entend souvent que c’est juste « publier sur les réseaux sociaux ». En fait, il faut convaincre quand on présente ton projet. Et rebondir sur des questions déstabilisantes des personnes qui  ne pensent pas que c’est un enjeu important. 

Ce que tu préfères chez OpenClassrooms ? 

L’autonomie. La possibilité de travailler à mon rythme. C’est indispensable à ma façon de vivre. Et la deuxième chose, le mentorat.

Et la suite ?

Je suis déjà en recherche d’emploi ! Normalement, fin août-début septembre j’espère avoir du travail dans l’ouest de la France. Je préférerais travailler en agence, mais si une petite entreprise me plaît, je n’hésiterai pas à postuler, un petit CDI ce serait pas mal ! Tout ce qui est musées, j’aimerais beaucoup. Mais j’aimerais m’exercer en agence pour bien me faire la main, quitte à attendre un peu pour aller dans le milieu de l’art. 

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 « Chaque étudiant a ses forces et ses faiblesses », Jérémy, mentor 

Développeur FullStack chez Advize Groupe, Jérémy transmet sa passion du code en étant mentor sur OpenClassrooms. Il a découvert cette opportunité à travers Mobiskill, notre partenaire expert du recrutement sur les postes Tech.

Comment et pourquoi êtes-vous devenu mentor pour OpenClassrooms ?

J’ai toujours aimé enseigner, transmettre mes connaissances, et aider les autres.

Dès le début de mes études supérieures, j’ai commencé à donner des cours bénévolement à mes camarades en nous regroupant toutes les semaines dans une salle prêtée par l’établissement.

Cela me plaisait tellement que les cours particuliers sont devenus un emploi étudiant grâce à un statut d’auto-entrepreneur, pour venir en aide à des étudiants de niveau collège et lycée dans les matières scientifiques.

Alors que je cherchais un nouvel emploi dans le développement Web, on m’a proposé de devenir mentor chez OpenClassrooms. Une occasion de combiner amour des cours et du partage et passion du développement.

En quoi le mentorat consiste-t’il et qu’est-ce qu’il vous apporte ?

J’ai actuellement trois étudiants avec qui nous réalisons une heure de mentorat individuel chaque semaine.

Chaque étudiant est différent : il a sa façon de penser, ses points forts, ses faiblesses et ses expériences passées. C’est d’autant plus riche lorsqu’il s’agit d’une reconversion professionnelle. Cette composante humaine et cette diversité de profils  rendent chaque séance différente par rapport aux précédentes.

Cela m’apporte à la fois des aspects passionnants au niveau professionnels, mais surtout de nouvelles connaissances.

Et bien sûr, en tant que mentor, on se nourrit des échanges avec nos étudiants. 

Quelle est votre activité professionnelle en dehors du mentorat ?

Je suis développeur Web FullStack. J’ai 5 ans d’expérience professionnelle, sans compter les nombreuses d’années d’entraînement qui les ont précédées.

Le développement est un secteur de passion, c’est rare qu’on commence seulement après ses études. Souvent, on a déjà pas mal codé et mené des projets pendant ses études.

Qu’est-ce qui vous plaît dans ces métiers ?

Le développement est une aventure.

Chaque jour, les demandes, les problèmes, les idées et les façons de faire sont différents. En effet, chaque client va avoir des demandes qui lui sont propres. Les bugs remontés ne sont jamais les mêmes. Et le domaine progresse très rapidement, ce qui oblige à se mettre à jour, mais permet de découvrir de nouvelles façons de faire.

Y a-t-il des sujets sur lesquels vous aussi vous aimeriez vous former ?

La gestion de projet. J’adore m’organiser, le contact humain et aider les autres de manière pratique ou en leur partageant mes connaissances. Les métiers de la Tech sont poreux. On peut passer d’une spécialité à une autre de manière assez agile… Alors, pourquoi pas devenir chef de projet plus tard ? Affaire à suivre !

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L’apprentissage du développement vous intéresse ? Rendez-vous sur les formations diplômantes en développement informatique pour choisir votre domaine de prédilection et vous faire accompagner par un mentor.

Si comme Jérémy, vous aimez transmettre vos connaissances, devenez mentor !

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« J’ai découvert ma vocation : accompagner les talents ! », Claire

La carrière de Claire peut être résumée en un mot : l’humain. Un virage s’est toutefois opéré lors de son congé maternité, où elle a fait le point. « Comment me sentir encore plus à ma place dans mon métier ? ».  Elle a alors décidé de suivre le parcours “Conseillère en Évolution Professionnelle” (CEP) pour se spécialiser dans l’insertion des adultes. Maintenant qu’elle a trouvé sa voie, elle souhaite désormais aider les autres à trouver la leur ! Portrait.

Pouvez-vous nous en dire un peu plus sur vous ?

J’ai 35 ans et habite en région parisienne avec mes 2 filles et mon compagnon.

Après l’obtention d’un master marketing et vente des PME/PMI, j’ai travaillé 10 ans, en changeant régulièrement de poste et de structure. Jamais plus de trois ans dans la même entreprise : je suis un vrai électron libre ! 

C’est dans une association que j’ai commencé, dans l’accompagnement en création d’entreprise. J’ai ensuite rejoint un groupe d’école privé, au sein duquel je m’occupais de l’alternance (développement, placement et suivi des étudiants). Puis, j’ai travaillé dans une collectivité territoriale en tant que développeur économique local (chez Est Ensemble) où j’ai contribué à l’animation d’un club d’entreprises. Enfin j’ai touché au mécénat pour développer des programmes entrepreneuriaux dans le secteur de l’ESS (Economie sociale et solidaire).

Votre travail avait l’air de beaucoup vous plaire ! Pourquoi avoir voulu reprendre une formation ?

Oui, j’aimais mon travail car je suis d’un tempérament dynamique et j’aime apprendre. Mais je sentais que quelque chose ne me convenait pas.

Puis, je suis tombée enceinte. Je me suis donc dit que c’était le moment de faire une pause professionnelle et de faire un bilan de compétences.

Ce dernier, pendant mon congé maternité m’a permis de faire le point, prendre du recul, me reconnecter à mes envies en vue de me sentir plus à ma place dans mes futures activités professionnelles. 

J’ai alors décidé, le 7 janvier 2021, de démarrer la formation “Conseillère en Evolution Professionnelle” (CEP) chez OpenClassrooms, pour me spécialiser dans l’accompagnement de talents dans leur carrière. 

Qu’est-ce qui vous attire dans ce métier ?

Finalement, l’Humain a toujours été le leitmotiv de mon parcours professionnel. Écouter, aider : ce sont des compétences naturelles chez moi, que je mobilise déjà spontanément avec mon entourage à titre personnel. J’adore, cela nourrit ma curiosité et ma soif d’apprendre.

Via cette formation chez OpenClassrooms, j’ai deux projets d’accompagnement pour aider des personnes à trouver leur voie. Et effectivement, l’écoute représente 80% du travail. D’ailleurs, les retours positifs de ces deux personnes sur notre accompagnement m’ont beaucoup encouragée à continuer dans cette voie.

Justement, votre expérience sur cette formation a-t-elle été concluante ?

Au premier abord, j’avoue avoir été un peu angoissée par le webinaire d’intégration, qui était assez formel. Mais le discours était clair sur le déroulé du parcours. Je me suis rapidement détendue en pratiquant et en prenant le rythme. Le défi devient alors stimulant. 

Plusieurs aspect de la formation m’ont plu :

  • Le format en distanciel : car il permet une flexibilité et une autonomie dans la façon de s’organiser. Dans mon cas, je dois en parallèle garder ma fille qui n’a pas eu de place en crèche, mais c’est tout à fait conciliable. Je me tiens à mon calendrier pour la formation et j’avance vite. Je vais même terminer plus tôt que prévu !
  • Le côté pratique de l’apprentissage : qui permet de mettre en application nos compétences. Je ne me voyais vraiment pas retourner sur les bancs de l’école, au sens classique du terme.
  • La taille des leçons : c’est court, synthétique et facile à intégrer avec le mélange textes + vidéo.

Et comment s’est passée la relation avec votre mentor ?

Le contact a tout de suite été très positif. J’étais la première apprenante qu’il mentorait. Nous avons commencé par nous présenter de manière détendue et simple. Pour moi, cette étape est essentielle quand on est à distance. 

Mon mentor est flexible, il s’est adapté à ma situation personnelle et familiale, j’ai beaucoup apprécié. Et à côté de cela, il est exigeant et me motive de façon bienveillante. C’est un parfait équilibre.

La seule limite du mentorat, selon moi, est de n’être suivi que par un seul mentor, qui a sa vision et sa spécialité.

Quelles sont vos envies professionnelles désormais ?

J’aimerais retrouver un emploi dans le domaine de l’accompagnement, de préférence dans une structure qui reçoit des profils adultes, comme un cabinet en évolution professionnelle. En parallèle, j’aimerais réaliser des bilans de compétences. Le mentorat m’attire également pour être à mon tour “de l’autre côté” ! Je compte rester ouverte aux opportunités du marché.

Un petit plus que vous avez particulièrement apprécié chez OpenClassrooms ?

L’application de messagerie instantanée Workplace proposée à tous les élèves est géniale. Je vais sur chaque groupe pour avancer, c’est une vraie plus-value. Cela permet d’échanger, de créer du lien. Et cela, c’est très important en période d’apprentissage !

Avec une autre étudiante, Marie-Pierre, nous avons créé le parrainage ou marrainage pour aider les nouveaux. Je suis moi-même marraine. On prévoit d’ailleurs de se rencontrer, en vrai !

Et la suite ? 

À présent, je vole de mes propres ailes et j’ai donc créé mon entreprise pour effectuer des bilans de compétences. Si des personnes se reconnaissent dans le besoin de faire le point professionnellement, qu’elles n’hésitent pas à me contacter.

Vous projetez aussi de devenir Conseillère en Évolution Professionnelle ? Étudiez à votre rythme et bénéficiez d’un accompagnement personnalisé grâce au parcours CEP d’OpenClassrooms. Ce parcours est finançable par Pôle emploi

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D’Interpol aux systèmes et réseaux, le parcours de Jean-Marie

Par : Nora Leon

Jean-Marie Koka a un parcours pour le moins atypique. Arrivé en France en 2012 après une carrière dans la police congolaise, au service d’Interpol, il a été frappé par une maladie grave. Dans le cadre de sa rémission, il a décidé d’entreprendre une reconversion en informatique. Son choix s’est porté sur la formation en ligne Administrateur systèmes et réseaux d’OpenClassrooms. Nous sommes revenus ensemble sur son parcours détonnant.

Bonjour Jean-Marie ! Pouvez-vous s’il-vous-plaît nous raconter des bribes de votre histoire ?

Je m’appelle Jean-Marie Koka, je suis juriste de formation et je vis en France depuis 2012. Initialement, je ne voulais pas rester. J’ai travaillé pour le compte d’Interpol, la police internationale. Lors d’une mission de service, alors que je voyageais avec le chef de la police de mon pays, le Congo, je suis tombé gravement malade. 

En France, nous devions acquérir du matériel pour la police congolaise. Nous sommes donc allés voir la police fluviale pour le Ministère de l’Intérieur. À l’époque, on nous avait logés vers la tour Eiffel, dans un hôtel. Et subitement, un jour, je ne me suis pas senti bien. Mon chef est parti en Belgique pour faire son check-up et moi, je suis resté dans cet hôtel à Paris. 

J’ai appelé un ami qui est venu me chercher à l’hôtel pour m’emmener en urgence à l’hôpital. J’ai passé de nombreux examens et j’ai découvert que j’avais un cancer : il n’était plus question de rentrer avec mon chef au Congo. Finalement, j’ai été hospitalisé pendant 3 mois en France, et les médecins m’ont prescrit un suivi médical. Je suis resté en France, et ma femme, qui est médecin, m’a rejoint. 

J’ai commencé à suivre des soins ambulatoires, de la chimiothérapie, etc. Je me suis dit qu’il fallait que je fasse quelque chose, que je redevienne actif.

Au Congo, j’ai un diplôme niveau bac +5,  j’ai cherché à trouver une formation ici en France qui me confère un niveau similaire. 

Quelle histoire ! Et comment avez-vous mené cette recherche de formation ?

Je suis allé à la Sorbonne : il y avait un master professionnel sur les contentieux d’affaires. Mais le problème, c’est que je n’avais pas d’emploi pour payer les frais de scolarité. Et comme je ne vivais pas à Paris même, Pôle emploi ne pouvait pas prendre en charge ma formation.

J’étais sans argent, je me suis demandé comment j’allais faire ! Mais lorsque j’étais à l’hôpital, il y avait une assistante sociale. Je suis allé la voir, lui disant que je n’avais pas les moyens de me former. Or, le cancer est considéré comme une maladie handicapante. L’assistante m’a donc recommandé de chercher une formation au niveau de la MDPH (la Maison Départementale des Personnes Handicapées, une entité finançant le droit à la reconversion pour les adultes en situation de handicap). Avec leur aide, je me suis lancé dans le projet d’une reconversion professionnelle.

Quel cursus avez-vous choisi pour votre reconversion ?

Parmi les formations disponibles, j’ai trouvé que l’informatique en valait la peine. Lorsque je travaillais au Congo, j’ai dû travailler dans le cadre de la réforme de la police du Congo. Et à cette époque, nous avions suivi une formation pour connaître les bases de l’informatique, notamment Excel. 

Dans le travail que je faisais pour Interpol, l’information circulait sur des canaux informatiques. Il y avait par exemple des notices de recherche, etc…

Je me suis donc dit que j’allais me lancer en informatique. Je suis allé à Groslay pour faire une pré-orientation de 3 mois. 

Après la pré-orientation, j’ai fait une remise à niveau suivie d’une formation d’assistance informatique de 18 mois. De temps en temps, comme je lisais les cours sur OpenClassrooms, j’ai remarqué qu’il y avait sur le site une offre de formations financées au niveau de la région.

La formation de technicien que je suivais alors avait un équivalent bac. Moi, j’avais quand même fait 5 ans à l’université et je devais me retrouver à un niveau de bac – j’ai eu envie d’aller plus loin. Donc j’ai postulé et j’ai été admis dans mon parcours OpenClassrooms Administrateur systèmes et réseaux.

Je commence à découvrir beaucoup de choses. Certains cours m’ont déjà aidé à réfléchir à ce que je peux faire à l’avenir ! Par exemple, devenir hébergeur ou bien créer un data center. Au Congo, et plus généralement en Afrique, il y a des problèmes d’électricité. J’aimerais créer un data center là-bas pour héberger les données des clients. En tout cas, c’est ma vision actuelle ! 

Génial ! Et comment se passe la formation ?

Elle se passe bien ! J’essaye d’apprendre, de comprendre, je ne veux pas aller vite en besogne, mais je cherche à aller vraiment en profondeur dans mes sujets d’études.

Est-ce que vous pouvez nous parler de vos projets ?

En ce moment, je finis mon quatrième projet sur le parcours d’administrateur systèmes et réseaux, qui consiste à apprendre à perfectionner les réseaux informatiques d’une grande entreprise. J’ai découvert comment créer un compte et loger un fichier sur Amazon. 

Comment cela se passe-t-il avec votre mentor ? 

Dans la formation, c’est vous qui lisez les cours et si vous êtes bloqué, le mentor peut vous donner des pistes. Parfois, on entre un peu en contradiction. Dernièrement, j’ai utilisé Cisco, et mon mentor avait voulu que j’utilise le fichier dans Ubuntu. Moi, j’ai préféré faire du VLAN sur les Switch Cisco. Lorsqu’il a vu mon travail, il était surpris mais il m’a félicité ! Il y a un bon dialogue entre nous. 

Qu’est ce que vous aimez le plus dans Ia formation OpenClassrooms ?

Les cours me plaisent beaucoup ! Ils me permettent de faire des recherches par moi-même et de me former. À l’école, quelquefois, on se limite seulement aux notes du formateur.

Mais là, ça vous pousse à aller un peu plus loin, parce que OpenClassrooms encourage à effectuer d’autres recherches.

Vous avez un parcours atypique ! Vous êtes passé par plusieurs étapes compliquées.

Tout à fait ! Juriste de formation, puis dans la police. Je me retrouve maintenant dans l’informatique, c’est vraiment une reconversion pour moi… Que OpenClassrooms me donne les moyens de faire.

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Malgré une vie pleine d’imprévus, Jean-Marie a su tirer parti de sa situation pour avancer et se transformer professionnellement. Le choix du secteur informatique et plus particulièrement des systèmes et réseaux lui permet de se positionner sur un marché de l’emploi porteur et en forte demande… Outre le développement de nouvelles compétences, sa formation OpenClassrooms et les cours dispensés lui ont aussi permis de réfléchir à l’avenir, et de peut-être préparer la voie d’un projet entrepreneurial…

Vous aussi, vous vous intéressez au métier d’Administrateur systèmes et réseaux ? Rendez-vous sur la page parcours de la formation pour découvrir son contenu. Vous pouvez aussi suivre les cours dispensés sur le parcours gratuitement ; cela vous donnera un bon aperçu pour vous lancer sur cette formation professionnalisante. 

L’article D’Interpol aux systèmes et réseaux, le parcours de Jean-Marie est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.

« Les sessions de mentorat sont une joie », Fayçal, mentor 

Développeur iOS en freelance chez Parrot le jour et mentor sur le parcours développeur d’application – iOS chez OpenClassrooms la nuit, Fayçal est pour le moins dynamique ! Passionné par la transmission de connaissances, il revient avec nous sur l’impact du mentorat sur sa carrière… et son développement personnel. Témoignage.      

Bonjour Fayçal ! Comment êtes-vous devenu mentor chez OpenClassrooms ?

J’ai toujours aimé transmettre et partager mes connaissances. Je trouve qu’on apprend beaucoup plus lorsque l’on transmet aux autres, et cela permet aussi d’apprendre plus facilement les connaissances.

Lorsque j’ai passé mon bac, je donnais déjà des cours de mathématiques aux troisièmes. Au fil de mes études, j’ai continué et l’envie d’accompagner est restée.

Lorsque j’ai commencé à travailler dans le secteur de l’informatique, c’était logique pour moi de continuer sur ma lancée. Et d’ailleurs, je ne compte pas m’arrêter là. 

Qu’est-ce qui vous a amené à travailler chez Parrot ?

Je travaillais pour Solocal (une société spécialisée dans le marketing digital), puis j’ai décidé de rejoindre Parrot (le leader européen des drones professionnels et civils). 

Via mon expérience chez Solocal, j’avais acquis une expérience des médias et du marketing digital. J’ai eu envie de découvrir le monde des systèmes embarqués, ces systèmes électroniques et informatiques autonomes. C’est pourquoi mon choix s’est porté sur Parrot, qui produit des drones.

Quel lien faites-vous entre votre métier de développeur et le mentorat ?

Exercer mon métier me permet d’être en permanence à jour par rapport à la réalité de l’entreprise et de partager aux élèves des retours d’expérience concrets.

Par exemple, j’aide beaucoup mes mentorés à se préparer aux tests techniques de recrutement auxquels ils risquent d’être soumis, comme j’en fais souvent passer à des candidats.

Je trouve cela légitime de leur partager ce à quoi ils peuvent s’attendre lors de leur recherche d’emploi !

Envie de devenir mentor ? Lancez-vous !

Et vous, que vous apporte le mentorat ? 

Énormément d’échanges. J’ai hâte que l’heure de mentorat arrive avec mes étudiants.
Je sais qu’ils ont beaucoup de questions, qu’ils sont parfois bloqués. C’est toujours un plaisir de les aider à avancer et d’observer leurs progrès. En ce moment, je suis trois étudiants et j’ai fait la demande d’en accompagner plus !

J’ai toujours voulu transmettre, alors quand l’opportunité de devenir mentor chez OpenClassrooms s’est présentée, cela m’a semblé naturel.

J’ai passé un entretien et j’ai intégré la communauté des mentors OpenClassrooms. Pour l’instant, ce n’est que du plaisir ! 

Pouvez-vous nous parler un peu des projets ? 

Les projets des étudiants montent en difficulté au long de la formation. Les débuts sont importants, parce que l’étudiant prend connaissance de ce qui l’attend, et il lui faut se donner un objectif qu’il puisse se tenir et atteindre à l’aide d’un plan théorique.

Ces projets sont variés, mais impliquent beaucoup de code et de développement. Pour certains exercices, je sais que les étudiants peuvent rapidement monter en compétences sur des notions particulières . Pour d’autres, il faut les accompagner, attendre le bon moment ou le bon exercice pour les aider à intégrer efficacement un nouveau savoir – ça demande de bien comprendre les capacités de chaque étudiant et de bien réguler le mentorat !

À la fin de la formation sur laquelle je suis mentor, les étudiants ont un projet libre : la construction d’une application de leur choix, de A à Z.

S’ils réussissent, leurs projets sont validés et ils reçoivent leur diplôme.  

Quelle est la valeur ajoutée du mentorat pour les étudiants ?

Parfois, les étudiants ont peur du jugement des autres, ou tout simplement d’échouer. Mon rôle de mentor, c’est de leur rappeler qu’ils sont en formation, et qu’ils sont là pour tester le plus de choses possible. Plus ils essaient, plus ils vont avoir des retours sur leur travail. Cette approche permet de nourrir leur curiosité et de les aider à aller plus vite !

En tant que mentor OpenClassrooms, j’essaie toujours d’aider les étudiants à donner le meilleur d’eux-mêmes, à se dépasser.

S’ils trouvent un projet trop facile, j’y ajoute des contraintes. Dans la programmation Web, il y a toujours des choses à faire, il n’existe pas d’état parfait. Je suis là pour les aider à s’approprier cette réalité. Parfois, je leur partage des applications que j’ai conçues pour qu’ils voient un code concret.

Ce que j’apprécie chez OpenClassrooms, c’est tout est fait pour qu’il n’y ait pas de déphasage entre la formation et la réalité des métiers auxquels se préparent les étudiants.

Les projets très concrets et le mentorat y contribuent grandement. 

Qu’avez-vous prévu pour la suite ?

Je suis récemment devenu papa, ce qui chamboule un peu ma vie ! Il va falloir que je m’organise au maximum pour concilier vie pro et vie perso – la venue de mon enfant va me demander beaucoup plus d’attention.

Par ailleurs, mon cours sortira bientôt sur Udemy, et c’est pour moi une grande fierté ! S’il fonctionne bien, et qu’il enregistre de bons retours, j’espère en sortir d’autres. Je l’ai produit en anglais, qui est le langage “universel” de la communauté dev. J’ai hâte de voir ce que donnera ce projet.

Dans les années à venir, j’aimerais aussi beaucoup intervenir en conférence, parler en public lors d’un Meetup sur des sujets techniques. Mais avant ça, il faut que je me prépare. J’ai encore de nombreux défis à relever ! 

Fayçal illustre parfaitement le rôle des mentors OpenClassrooms : des experts métier en lien avec la réalité des entreprises, qui apportent une expérience très concrète aux étudiants en formation.

Sa curiosité sans limites et son intérêt pour la transmission font de lui un soutien apprécié par les développeurs en herbe. 

Vous aimeriez apprendre le développement avec Fayçal ou d’autres mentors développeurs ? Rendez-vous sur les formations diplômantes en développement informatique pour faire votre choix. Ou suivez les cours en libre accès en développement pour décider quel métier vous intéresse.

Si vous aussi vous travaillez dans le milieu du développement, devenez mentor !

« J’aime accompagner les étudiants jusqu’à la réussite », Danyl, mentor

 

L’article « Les sessions de mentorat sont une joie », Fayçal, mentor  est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.

« J’aime voir mes étudiants surmonter les difficultés », Ranga, mentor

Développeur d’applications chez Nokia, Ranga est aussi passionné par la formation et la transmission des connaissances. C’est cette envie de partager son expérience qui l’a poussé à devenir mentor chez OpenClassrooms, sur la formation en ligne Développeur d’applications python. Rencontre.

Pourquoi et comment êtes-vous devenu mentor OpenClassrooms ?

Grâce à un collègue qui est mentor depuis plus de 4 ans, et que je connais depuis longtemps ! Il m’a fait découvrir OpenClassrooms et j’ai sauté le pas. C’était un grand défi pour moi, dont je suis content aujourd’hui.

Qu’est-ce qui vous a donné envie de sauter le pas ?

Je donne des cours de soutien scolaire en mathématiques depuis l’époque de mes classes préparatoires. Comme j’avais un bon niveau en mathématiques, j’ai été en mesure d’aider pas mal d’étudiants. Le mentorat avec OpenClassrooms, c’est un moyen de maintenir une continuité avec tout ça. 

Je souhaite continuer dans la formation. Un jour peut-être, j’aimerais travailler exclusivement dans ce domaine. OpenClassrooms, c’est à la fois un beau défi et une porte pour aller dans cette direction.

Pourquoi cet attrait pour la formation ? 

Parce que j’aime être en contact avec des personnes et les aider. En parallèle des mathématiques, j’ai aussi donné des cours de musique. La formation, pour moi, c’est allier l’utile à l’agréable par la transmission de connaissances tout en faisant quelque chose qu’on aime. Il n’y a pas mieux ! 

Comme je suis aussi développeur logiciel, j’ai eu envie de transmettre mes connaissances dans ce domaine-ci également.

En quoi consiste le mentorat ?

Le mentorat consiste à suivre les étudiants tout au long de leur parcours, d’être leur allié, de les aiguiller.

Pour moi, c’est avant tout un échange qui va dans les deux sens. D’une part, j’apporte à l’étudiant des connaissances qui vont lui permettre de réaliser son parcours dans les meilleures conditions. D’autre part, le mentorat me permet de constamment monter en compétences, car les étudiants m’apprennent énormément. Je suis en effet dans l’IT (informatique) et ce secteur bouge sans arrêt !

J’apprécie aussi que l’on soit dans un cadre un peu moins “sérieux”. On est un peu plus proches avec les étudiants, une relation de confiance se met en place.

Qui sont vos étudiants, comment décririez-vous votre relation avec eux ?

Ce qui est génial, c’est la diversité des profils. Il y a des étudiants qui ont mon âge, certains sont plus jeunes, d’autres beaucoup plus vieux que moi. Je trouve ça chouette, parce que de mon côté, j’ai fini mes études il y a 6 ans et je comprends encore plutôt bien ce qu’attendent les étudiants, comment ils réfléchissent, les choses sur lesquelles ils bloquent, parce que j’ai eu les mêmes problèmes. 

Quoi qu’il en soit, j’essaie d’instaurer un climat de confiance dans ma relation avec les étudiants, pour les mettre à l’aise.

Quel est le lien entre votre métier et le mentorat ?

Quand je suis rentré chez Nokia, j’ai été développeur logiciel, et au bout de deux ans environ, mon manager m’a donné des responsabilités. Il m’a demandé de former les nouveaux arrivants, les jeunes, les alternants et les stagiaires. 

Ça a été un déclic. J’ai fini par former quasiment toute l’équipe et mon chef m’a donné plus de responsabilités.

Je me suis retrouvé à faire des formations pour l’ensemble des développeurs et testeurs français. J’avais des audiences de 1000, 2000 personnes, c’était vraiment sympa ! 

C’est aussi formidable de constater que mes formations sont bien reçues. Parfois, un collègue vient me voir pour me dire qu’il a apprécié ma formation. D’autres me demandent de leur envoyer des vidéos, et mon manager me relaie parfois leurs éloges ! Ces retours positifs me confortent sur le chemin de la formation professionnelle.

Finalement, aujourd’hui, la formation, c’est ce qui vous plaît le plus dans votre métier ?

Oui ! Aujourd’hui, presque tous les mois, mon manager me demande d’animer une formation pour les nouveaux arrivants, ou sur d’autres sujets. On réserve 20 à 30% de mon temps sur le sujet.

Ça m’apporte une casquette de formateur chez Nokia, alors que je n’étais pas du tout venu pour ça ! (rires) Mais c’est formidable, parce que ça va exactement dans le sens de ce que je veux faire.

Il faudrait quand même que vous continuiez à exercer ?

C’est vrai ! L’IT, ça avance très, très vite. Donc il faut en effet absolument que j’exerce le métier dans un milieu professionnel. `

C’est pourquoi, je continue à travailler dans mon entreprise, notamment pour garder les bonnes pratiques de développement et pour continuer à perfectionner mes compétences auprès d’autres collègues.

Est-ce qu’il y a un projet de la formation Développeur Python que vous avez trouvé particulièrement intéressant ?

De manière générale, les projets les plus intéressants à mentorer pour moi sont les premiers. Tout simplement parce que c’est là que les étudiants ont le plus de mal. Ils découvrent le monde du développement et c’est génial de les voir progresser, se dépasser et surmonter leurs difficultés.

Puis, au bout d’un certain moment, ils ont l’expérience nécessaire pour commencer à apprendre tout seuls, bien qu’ils aient encore besoin de moi parfois. J’interviens alors plutôt pour du suivi, voire du déblocage. 

Une anecdote à nous partager ?

Je me souviens d’une étudiante qui n’y connaissait rien en informatique. Elle a passé son cap du projet numéro 4 et elle était tellement fière, c’était un plaisir ! C’est son acharnement au travail qui a permis sa réussite.

J’adore voir mes étudiants terminer leur parcours, être fiers d’eux-mêmes.

Qu’est-ce qui se passe lorsqu’ils finissent leur parcours ? 

J’arrête de les mentorer, mais je reste en contact avec tous mes étudiants, que ce soit sur LinkedIn ou sur Workplace. J’ai encore des étudiants d’il y a six mois qui me contactent pour me dire qu’ils ont trouvé du boulot, je trouve ça génial. 

Le défi, c’est vraiment les étudiants qui n’ont jamais eu d’expérience en informatique. Dans ces cas-là, il faut sans cesse adapter sa manière d’enseigner à la personne.. 

Vous avez l’air d’adorer la mission de mentor…

Absolument ! J’aimerais beaucoup, si possible, pouvoir travailler très rapidement  dans le domaine de la formation. Et justement, avec le collègue qui m’a présenté OpenClassrooms, nous avons un projet de collaboration. 

J’adore aussi la relation humaine qu’on a avec nos étudiants, c’est vraiment génial. J’ai pu donner des missions à certains étudiants aussi ! Je connais leur niveau parce que je les ai formés, ça me permet de leur donner des missions les yeux fermés. 

Dès que je vois une opportunité, je la partage aussi à mes anciens étudiants. Ça permet de les mettre très vite dans le bain. J’essaie de rester en contact avec eux et de les aider un maximum. 

Le mot de la fin ? 

OpenClassrooms, c’est une superbe opportunité, que ce soit pour les étudiants ou les mentors. Un grand merci, parce que je m’éclate dans ce que je fais !

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Vous vous intéressez aux formations en ligne en développement sur lesquelles Ranga est mentor ? Lancez-vous !

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Devenir mentor chez OpenClassrooms, c’est une aventure humaine qui semble avoir réussi à Ranga. Son rôle lui permet de tisser des liens avec les étudiants qu’il accompagne, mais aussi d’enrichir ses propres compétences de formateur. Une opportunité pour Ranga d’ajouter de nouvelles cordes à son arc, et de préparer la suite de sa carrière tout en s’épanouissant.

Envie vous aussi de sauter le pas et de devenir mentor ? Rendez-vous sur la page Carrières Mentors

« Je rencontre une richesse de profils », Danyl, mentor

 

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« Les étudiants font des réflexions pointues », Sara, mentor

Sara aime les défis et s’est lancée en tant que consultante social média en freelance il y a peu. Pour transmettre ses compétences, elle a décidé de devenir mentor OpenClassrooms sur trois parcours francophones et anglophones, dans le domaine du marketing. De quoi constamment remettre en question ses connaissances ! Rencontre. 

Pourquoi êtes-vous devenue mentor ? 

J’ai un parcours plutôt classique en entreprise, dont dix années au sein du service marketing d’une très grosse entreprise. À la suite de cette expérience, j’ai voulu changer. Je suis passée dans une petite agence de publicité digitale. Depuis l’année dernière, j’ai enfin décidé de prendre mon envol en exerçant en tant qu’indépendante.  

Pour moi, il était important d’avoir une dimension de transmission et de formation pour aider les étudiants à devenir autonomes et développer leurs compétences.

Quand j’ai vu que OpenClassrooms cherchait des mentors dans mon domaine de compétence, j’ai sauté sur l’occasion. Je suis désormais mentor sur les parcours Community Manager, responsable marketing et communication et Digital Marketer (parcours en anglais).

Je suis contente parce que j’aime vraiment la relation que j’ai avec mes étudiants. Ça me permet moi aussi de grandir et d’apprendre des choses au quotidien, de remettre en question mon propre savoir et de continuer à devenir meilleure, même dans ce que je savais déjà faire. 

Que fait exactement une mentor ? 

Prenons l’exemple du rendez-vous hebdomadaire avec mes étudiants. Comme je leur dis toujours, il faut que chaque session soit un moment de plaisir. C’est un rendez-vous qui permet d’inscrire leur formation dans une certaine routine, durant lequel je vais entre autres les éclairer sur certaines notions, remettre en perspective les choses ou encore expliquer avec des cas concrets l’importance des compétences à acquérir.  

Je peux aussi les débloquer sur des connaissances qui sont parfois floues. Je leur apprends à chercher par eux-mêmes, je partage des pistes de réflexion. Je leur montre comment monter en compétences et je les accompagne tout du long.

Quel est le lien entre le mentorat et votre métier ? 

Comme j’ai longtemps travaillé dans une grande entreprise ainsi qu’au sein d’une agence, j’ai conscience de la manière dont les choses se passent dans le milieu du marketing et de la communication. Mon activité d’indépendante m’aide aussi à comprendre les problématiques actuelles des clients. 

J’explique à mes étudiants qu’ils pourront être confrontés à ces différentes questions. Ils seront amenés à travailler avec des personnes qui ne pensent pas de la même façon. Il est donc nécessaire qu’ils apprennent à cadrer le travail d’une agence ou encore qu’ils prennent le temps de bien comprendre les demandes d’un client. 

Comment se passe le travail de mentor avec les étudiants, de manière pratique ? 

On se retrouve toutes les semaines par visio. On commence par échanger, pour savoir si la semaine s’est bien passée. Cela permet de faire du lien et de cadrer la discussion. 

Ils me présentent ce qu’ils ont fait, comment ils ont avancé, et s’ils ont réussi à remplir les objectifs fixés. Si quelque chose les a bloqués, on regarde cela ensemble et je leur donne des conseils. Parfois, je leur lance un défi, en leur soumettant des questions qu’ils pourraient avoir lors de la soutenance. Je ne suis pas là pour juger leur stratégie, mais pour comprendre le cheminement de leur pensée. Ensuite, on échange et on avance ensemble sur les prochaines étapes et on fixe les objectifs pour la session suivante. 

S’ils ont des questions entre nos rendez-nous, il faut qu’ils puissent être autonomes dans leurs recherches, ou sinon demander sur Workplace. Je suis bien sûr disponible, l’essentiel étant qu’ils ne restent pas bloqués. Je réponds toujours par email afin qu’ils puissent avancer jusqu’à la prochaine session. 

C’est quoi le Workplace ? 

C’est le réseau social interne d’OpenClassrooms. On y retrouve les étudiants, les mentors et surtout beaucoup d’entraide. J’y partage notamment des liens pour aider mes étudiants. 

Qu’est-ce que vous apporte le fait d’être mentor ? 

Cela m’apporte de la fierté, surtout quand j’ai des étudiants qui m’envoient un message m’annonçant leur réussite. 

Cela demande aussi de l’humilité. Ils ont en effet souvent des questions très pointues pour lesquelles je préfère me renseigner et leur apporter du contenu de qualité. C’est enrichissant parce que cela m’apprend beaucoup sur les parcours individuels des étudiants et leurs cultures. J’ai par exemple un étudiant qui habite au Canada, mais qui vient du Botswana.  Il avait des questions sur le marketing digital, des choses qui me paraissent évidentes. 

La dimension culturelle est aussi passionnante. J’aime beaucoup apprendre des gens et de leurs parcours. De manière générale, les voir progresser, partir de rien et faire ensuite des projets en trois semaines, ça me rend super fière. 

Est-ce que vous pouvez nous partager l’histoire d’une réussite qui vous rend fière, justement ? 

Je n’ai pas encore eu d’étudiant diplômé, mais j’en ai un qui en est au stade du dernier projet. C’est un étudiant de Singapour. Il a commencé avec un petit boulot à côté et n’avait pas de connaissances sur le marketing. Pourtant, il a su prendre en main sa formation, acquérir les compétences clés et les savoir-faire professionnels. J’en suis fière. 

Le projet de vos étudiants que vous trouvez intéressant ou qui vous met au défi ? 

Il y a ce projet, sur la manière d‘apprendre à gérer une équipe créative et faire un brief. C’est étonnant parce que les étudiants font des supers briefs, mais ils oublient tous de mentionner les livrables attendus. Et puis c’est un projet très concret, qui leur apprend à rédiger un e-mail et à formuler clairement des demandes.

J’aime beaucoup ce projet, parce qu’il met l’accent sur la dimension humaine d’une mission, qui est pour moi fondamentale. Les étudiants doivent ainsi apprendre à cadrer les choses, à être précis et détailler leurs demandes.

Vous accompagnez combien d’étudiants ? 

13 à peu près. 

Y a-t-il un ouvrage dont vous recommandez la lecture parce qu’il vous a inspiré personnellement ou professionnellement ?

Système 1 / Système 2 de Daniel Kahneman, prix Nobel d’économie. Il a décrit le phénomène des biais cognitifs qui affectent toutes nos décisions, que l’on croit souvent rationnelles sans l’être. Ça m’aide à prendre du recul, à rester humble dans mes certitudes, à convaincre aussi. 

Je trouve fascinant qu’on soit incapable de s’émanciper totalement de nos biais, malgré tous les efforts. Un peu comme si on essayait de voir le monde autrement que par nos yeux.

Et la suite ? 

J’ai vraiment envie de poursuivre sur ces notions de formation et de transmission, en gardant cela au cœur de mon activité. 

Je souhaite également développer mon activité de conseil, trouver des sessions de formation en école. Je poursuis en parallèle mon activité de photographe, je cherche à faire produire une série que j’ai écrite et je lance mon blog sur les biais cognitifs. J’aime beaucoup l’idée d’avoir plusieurs activités, et j’adore le mentorat, mais cette activité ne peut pas être réalisée à plein temps.

Il faut veiller à garder un pied dans la réalité du métier. 

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Si vous rejoignez l’une des formations en ligne en marketing, vous pourrez être accompagné par Sara.

Comme Sara, vous aimeriez devenir mentor OpenClassrooms dans votre expertise métier ? Rejoignez cette aventure humaine pour compléter vos revenus en nous soumettant votre CV.

L’article « Les étudiants font des réflexions pointues », Sara, mentor est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.

« J’aime accompagner les étudiants jusqu’à la réussite », Danyl, mentor

Par : Nora Leon

Danyl Semmache est ingénieur informatique chez Nokia mais aussi mentor sur les formations en ligne développeur iOS, développeur Web et Product Manager d’OpenClassrooms.

En parallèle, il donne également des cours à l’ECE Paris sur le développement d’applications mobiles. Il nous parle de sa mission de transmission et de son quotidien de développeur. Rencontre.

Bonjour Danyl, comment êtes-vous devenu mentor sur OpenClassrooms, et pourquoi ? 

Je suis mentor OpenClassrooms depuis 4 ans, j’accompagne une trentaine d’étudiants en ce moment.

Lors de mes études supérieures, je faisais du bénévolat au sein d’une association en tant que tuteur dans laquelle j’aidais des collégiens en difficulté scolaire en ZEP. 

J’ai poursuivi l’aventure à la sortie de l’école, en devenant mentor. J’avais envie de partager mes connaissances, en parallèle de mon CDI. 

J’ai créé mon statut d’auto-entrepreneur pour postuler chez OpenClassrooms. Et c’est là que j’ai pu devenir mentor sur le parcours iOS pour commencer. 

Être mentor est une aventure humainement très riche. Je rencontre des profils différents, mais qui ont tous le même but : changer de vie professionnelle pour s’épanouir davantage. 

C’est génial de voir qu’une fois la formation passée, mes étudiants sont heureux dans leur travail. J’ai été témoin de nombreuses réussites : je suis content d’y avoir participé. 

En fait, c’est plus que du code, c’est une aventure humaine, et c’est ce que j’adore. 

Et comment avez-vous connu OpenClassrooms ? 

J’étais inscrit sur OpenClassrooms, anciennement le Site du Zéro, depuis 2011. J’ai commencé à coder à l’âge de 16 ans en suivant les cours de Mathieu Nebra, en HTML – CSS. Cela m’a très vite donné envie de poursuivre l’aventure. 

Le code m’a beaucoup plu et j’ai intégré une école informatique. 

J’ai eu la chance de suivre un beau parcours dans le Programme Grande Ecole de l’EPITECH, à l’UNISTRA et à HEC Paris. J’ai donc naturellement eu envie de rendre la pareille en transmettant mon savoir.

Dans les faits, en quoi cela consiste-t-il d’être mentor ? 

Être mentor, c’est avant tout suivre et accompagner les étudiants au fil de leur parcours, s’assurer qu’ils montent en compétences et répondre à toutes leurs questions. 

Je fixe également avec eux leurs objectifs. Ils doivent être cohérents avec leur personnalité et leur environnement personnel.

Je dois m’assurer que les étudiants sont sur les bons rails et qu’ils avancent à leur rythme.

Et vous parvenez à concilier votre métier et votre activité de mentor ? Y a-t-il un lien entre les deux ?

Absolument. J’arrive à concilier les deux en bonne partie grâce au sport, qui m’a appris à avoir de la discipline et être organisé. 

J’ai commencé ma carrière chez Orange. Je faisais du développement d’applications mobiles grand public au même moment où je suis devenu mentor iOS. Petit à petit, j’ai élargi mes compétences pour être aujourd’hui mentor sur quatre parcours. 

Ensuite, lors de mon passage chez Nokia, j’ai acquis deux autres certifications : PSM1, pour le parcours de Scrum Master, et plus récemment, la PSPO1, pour accéder au parcours de manager de projet. 

L’opportunité de devenir enseignant en école d’ingénieurs à l’ECE a été rendue possible parce que j’avais cette expérience de mentor chez OpenClassrooms. J’ai pu y apprendre le code quand j’étais plus jeune, devenir développeur ensuite, puis ingénieur, et aujourd’hui transmettre mes connaissances. Cela m’a alors ouvert des portes à de nouvelles opportunités professionnelles. 

Mon activité de mentor m’a permis de grandir dans mon approche, dans ma manière d’expliquer les choses.

Je retravaille certaines notions pour ensuite mieux les transmettre à mes étudiants. Je peaufine régulièrement ma méthode pour qu’elle soit pédagogique et ludique à la fois.

Aujourd’hui, une chose est sûre : je souhaite conserver un pied dans la formation, en parallèle de mon activité professionnelle d’ingénieur.

Qu’est-ce que vous préférez dans votre activité professionnelle ? 

Dans mon école, on m’a appris à « apprendre à apprendre”. Au quotidien, cela se traduit ainsi : toujours avoir un pied dans les dernières actualités tech et me tenir informé des nouveautés. 

Mais ce que j’aime par-dessus tout, c’est transmettre mes connaissances et accompagner des étudiants jusqu’à la réussite. C’est pour moi la plus belle des victoires.

D’ailleurs, il m’arrive souvent de recommander des anciens étudiants pour devenir mentors à leur tour. En quatre ans, j’ai recommandé une dizaine de personnes qui ont intégré OpenClassrooms. 

Voulez-vous partager une histoire qui vous rend particulièrement fier ? 

J’en ai plusieurs, mais une m’a particulièrement touché.

La personne n’avait pas pu finir le parcours développement Web, pour des raisons personnelles. Père de famille, trentenaire, il m’avait dit qu’il reprendrait un jour le parcours. Lorsque j’ai repris de ses nouvelles, il était devenu webmaster en CDI. Il m’écrivait qu’il avait enfin trouvé un travail qui lui plaisait, qu’il ne comptait pas ses heures, qu’il apprenait énormément et qu’il était très heureux. 

Il y bien sûr d’autres belles réussites, avec des personnes qui ont terminé leur parcours. J’accompagnais un étudiant sur le parcours Développeur d’applications iOS qui avait arrêté ses études en 3e année de fac.

Sa formation s’est très bien passée et je l’avais d’ailleurs recommandé chez Orange pour son premier stage. Il travaille aujourd’hui chez BforBank avec un salaire de bac +5. C’est une belle victoire. 

En fait, j’ai beaucoup de jolies histoires à partager. En ce moment, j’accompagne une personne réfugiée politique, qui était professeur d’économie dans son pays et qui possède quelques bases en programmation acquises en France. Il s’apprête à se professionnaliser avec OpenClassrooms et postule pour le parcours de data analyst. Je l’accompagne pour trouver son alternance. 

Mais vous êtes aussi coach ? 

Oui, tout à fait, je suis mentor et coach. En tant que coach, la mission est un peu différente, car il s’agit de mettre le pied à l’étrier à des personnes pour qu’elles trouvent un emploi ou une alternance.

Et qu’est-ce que vous préférez entre les deux ? À moins que ce soit complémentaire ? 

J’ai fait du mentorat pendant 4 ans, et j’en fais toujours. 

Il m’arrivait très souvent, en fin de parcours, de donner quelques derniers conseils : compléter son profil LinkedIn, créer un compte sur GitHub, Stack et Overflow ou encore peaufiner son CV. 

J’ai donc postulé pour être coach en insertion professionnelle chez OpenClassrooms, et j’y prends désormais beaucoup de plaisir. 

Je suis également mentor évaluateur. Je fais passer des soutenances aux étudiants, dont certains qui sont aux quatre coins du monde. Cela me fait d’ailleurs penser à d’autres anecdotes.

J’accompagnais un étudiant congolais, qui vivait en Russie, sur un parcours en développement Web. Ce qu’il étudiait à la fac ne lui plaisait pas, il souhaitait quelque chose de plus axé sur la pratique. Il codait depuis ses 15 ans, et ses parents lui donnaient une somme tous les mois, dont une partie finançait son parcours OpenClassrooms. Ses parents n’étaient d’ailleurs pas au courant qu’il passait un double diplôme. Il a obtenu son diplôme et il a postulé pour continuer ses études au Canada. En attendant, il travaille à distance pour The Good Seat, une entreprise française où je l’ai recommandé en tant que freelance.

J’ai aussi coaché un autre étudiant qui a suivi le parcours développement d’application iOS. Ce dernier m’ayant pris pour exemple, une fois son diplôme en poche, il avait pour ambition de poursuivre sa scolarité en intégrant Epitech avec l’admission parallèle. Il est travailleur et pourvu d’une très grande maturité, nous avons tous mis en œuvre afin de lui permettre d’atteindre ses objectifs.

Pour ma part, je suis arrivé chez OpenClassrooms de manière assez indirecte. Lorsque j’étais en 3e année à Epitech, j’ai été professeur assistant lors du “Coding Club Summer Camp”, événement durant lequel on animait des ateliers en initiation au développement Web pour les futurs étudiants de l’école. J’y ai rencontré Brian T., qui avait alors 17 ans. Il est désormais mentor chez OpenClassrooms et c’est grâce à lui que j’ai aussi intégré le site.

Lorsqu’on s’est rencontrés, il voulait intégrer Epitech. Cela ne s’est pas fait et il est parti en année sabbatique. Il a rejoint OpenClassrooms dès son lancement, parce que le site proposait des parcours diplômants. En un an, il a obtenu un équivalent bac +3 de chef de projet multimédia. François Hollande lui a remis son diplôme. Cet étudiant a finalement étudié au sein d’une école multimédia et a été diplômé d’un master à 21 ans. Il est désormais data product manager chez France TV et mentor.

Y a-t-il un ouvrage dont vous recommandez la lecture parce qu’il vous a inspiré personnellement ou professionnellement ?

Absolument ! J’en ai plusieurs mais celui que je recommande reste “The 4-Hour Workweek” de Tim Ferriss. C’est un livre de développement personnel qui m’a grandement inspiré.

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L’article « J’aime accompagner les étudiants jusqu’à la réussite », Danyl, mentor est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.

« Je dis aux étudiants de foncer », Jérôme, coach emploi et mentor

Jérôme Beaufils, fort de bien des années dans la communication, est coach depuis deux ans et demi et mentor sur le parcours Conseiller en évolution professionnelle chez OpenClassrooms. 

Spécialisé dans la recherche d’alternance avec ses bénéficiaires, Jérôme nous explique ce qui l’anime dans cette activité. Rencontre.

Bonjour Jérôme, comment et pourquoi êtes-vous devenu coach ? 

À l’origine, j’ai une formation de journaliste. J’ai ensuite travaillé 15 ans en agence de communication spécialisée dans les ressources humaines.

J’ai été journaliste, responsable éditorial et responsable de clientèle. Je dirigeais la création et la production de magazines d’entreprises, par exemple celui de Nestlé France ou encore celui de Leroy Merlin. 

À un moment donné, j’ai eu envie de changer. J’ai fait un bilan de compétences. Je me suis alors tourné vers l’accompagnement humain et l’aide à la recherche d’emploi. 

J’ai travaillé durant 6 ans au sein de différentes structures qui m’ont mis le pied à l’étrier. Cela a confirmé mon envie de poursuivre dans cette voie. Fin 2018, je me suis lancé en tant qu’indépendant. 

OpenClassrooms m’avait en parallèle contacté via LinkedIn. D’ailleurs, je conseille toujours aux personnes que j’accompagne d’être présentes sur ce réseau. OpenClassrooms m’a fait signe et m’a demandé si cela m’intéressait de poursuivre ma route avec eux. Cela s’est fait très rapidement, c’est ce que je voulais faire à ce moment-là : proposer de l’accompagnement de proximité. 

OpenClassrooms m’offre un cadre. Le site me propose d’accompagner des étudiants, en m’appuyant sur leurs contenus pour professionnaliser mes sessions d’échange. 

Aujourd’hui, je travaille beaucoup avec OpenClassrooms, mais aussi avec d’autres personnes, qui me contactent directement via LinkedIn. 

Mais vous êtes aussi mentor, un autre rôle important chez OpenClassrooms. Quelle est la différence ?

Oui, je suis coach et mentor. Il s’agit là de deux rôles différents. 

Coach, c’est accompagner les étudiants qui cherchent une alternance pour intégrer un parcours. 

Le rôle de mentor consiste à suivre des étudiants qui sont en formation tout au long de leur parcours. Cette formation est en l’occurrence en lien avec mon métier. J’accompagne donc des étudiants sur le parcours de formation Conseiller en évolution professionnelle

Pour la partie coaching, j’accompagne les étudiants sur six sessions, qui peuvent s’étaler sur 1 à 2 mois. Pour le mentorat, j’accompagne deux étudiants depuis décembre dernier, et je ferai cela jusqu’au mois d’août (selon le moment de publication de cet article, mentionner décembre et août sera obsolète). Le mentorat est quelque chose de plus long. Nous allons nous voir toutes les semaines, durant 8 à 9 mois. 

Pour ces deux types de suivi, les relations sont très différentes. Pour les uns, je les aide à trouver une alternance pour qu’ils puissent intégrer la formation de leur choix. Pour les autres, c’est faire en sorte que leur formation se déroule au mieux.  Tout ne dépend pas de moi bien sûr. Ils disposent d’outils numériques sur lesquels s’appuyer, mais j’ai aussi ma responsabilité dans leur réussite. 

C’est la même fréquence entre le coaching et le mentorat ? 

Presque. Avec le mentorat, les rendez-vous sont hebdomadaires. C’est obligatoire pour trouver un rythme de suivi régulier. 

Pour le coaching, les six sessions peuvent s’étaler sur 3 à 8 semaines maximum. C’est extrêmement variable en fonction des situations. Je peux proposer deux sessions par semaine par exemple, si des situations professionnelles le nécessitent, ou dans d’autres cas laisser passer 2 semaines. 

L’étudiant a ainsi la possibilité de mettre en place tout ce que l’on a travaillé ensemble et d’appliquer, par exemple, les conseils que je lui ai donnés pour son CV et sa lettre de motivation. On fait toujours un mini bilan de ce qui a fonctionné ou non. 

Que retrouvez-vous de vos anciennes expériences qui vous est utile en tant que mentor ? Et en tant que coach ?

Ma formation de journaliste et les interviews que j’ai menées lorsque je travaillais en agence de communication m’ont amené à développer un sens de l’écoute indispensable pour accompagner au quotidien des étudiants et des personnes en recherche d’emploi.

Travailler en agence pour des clients extrêmement divers, puis accompagner des bénéficiaires du RSA après ma reconversion, m’a appris à être très adaptable, à m’intéresser à des gens très différents, et c’est ce qui est passionnant.

Qu’est-ce que ces deux rôles vous apportent ? 

Pour commencer, cela m’apporte beaucoup de joie ! D’ailleurs, le fait d’être en visio ne représente pas un frein. Les étudiants sont de l’autre côté de l’écran, dans toute la France, y compris à La Réunion ou en Martinique par exemple, mais je ressens une réelle connexion avec eux.

De ce point de vue là, il y a un rapport de proximité. Je ne vais pas dire que cela fonctionne avec tous les étudiants. Chacun a sa personnalité, mais globalement, je dirais que cela prend plutôt bien. 

Je prends beaucoup de plaisir à me sentir utile. Soit parce qu’ils vont signer une alternance pendant le coaching ou bien parce qu’ils montrent déjà de la reconnaissance à se sentir accompagnés. Je reçois d’ailleurs souvent des remerciements. Tout ne dépend pas de moi, il y a aussi les cours et les projets bien sûr. 

En bref, je travaille en indépendant tout en profitant du cadre OpenClassrooms, avec des parcours sur lesquels je peux m’appuyer. J’assiste également à des webinars entre coachs, animés par des personnes d’OpenClassrooms. Travailler seul était une de mes craintes en me lançant en tant qu’indépendant. Il y avait aussi le risque de ne pas savoir se renouveler et d’être dépassé dans son approche. Je me suis très vite rendu compte que j’appartenais à un collectif. C’est enrichissant. 

J’apprends des choses et cela me permet de revoir certains points dans mon approche, pour le premier entretien par exemple ou pour l’e-mail de premier contact.

Les étudiants m’apportent aussi beaucoup. Les moments d’interactions avec les étudiants, en visio, m’aident à retrouver mon énergie. Les échanges sont stimulants !

C’est aussi ce que j’aime dans le métier, c’est à la fois individuel et collectif. J’ai animé en 2019 plusieurs ateliers en présentiel, sur la recherche d’emploi ou sur le réseau LinkedIn. J’en garde de super souvenirs aussi, je serais ravi de le refaire. 

On touche du bois. 

Effectivement. 

Quels sont les principaux freins que vous constatez pour trouver un emploi ? Et quels conseils donnez-vous pour les contourner ? 

Tout le monde est amené à chercher un emploi mais bien peu d’entre nous ont appris à le faire. Il y a donc de vrais connaissances techniques à avoir pour savoir faire un bon CV, un profil LinkedIn efficace, être performant en entretien. 

Mais au-delà de ces éléments, deux choses me semblent essentielles. 

D’abord, savoir valoriser ses atouts auprès de l’entreprise de manière concrète et personnalisée. Il faut absolument éviter d’être un clone. Chacun a un talent, une personnalité, il est essentiel de savoir les mettre en avant. 

Ensuite, la confiance en soi. Bien armé, il est possible de soulever des montagnes, d’aller de l’avant et de convaincre les recruteurs. Ce qui me paraît primordial, c’est d’être accompagné dans sa recherche d’emploi. Au-delà des conseils d’un coach, cela offre aussi une prise de recul difficile à avoir soi-même. Je conseille toujours à mes étudiants d’être en relation avec d’autres, de faire partie d’un collectif pour échanger des informations, des conseils, des bonnes pratiques, et aussi de l’énergie positive. Je propose parfois des ateliers collectifs et c’est en général un vrai plaisir pour les étudiants et pour moi.

Si vous aviez un seul conseil à donner en tant que coach pour trouver une alternance ou un job, ce serait quoi ? 

Pour moi, le conseil phare serait de ne pas tout miser sur la technique.  J’apprends aux étudiants à rédiger leur CV, à peaufiner leur profil Linkedin ou à structurer une lettre de motivation. Ils vont ensuite s’approprier tout cela. 

Le principal est l’état d’esprit ou plus exactement l’engagement que l’étudiant va mettre dans sa recherche et dans son offre de services. 

Cela me fait penser à une anecdote : une étudiante recherchait une alternance de développeur web.  Cela faisait un petit moment que je l’accompagnais et elle m’annonce qu’elle a trouvé. On organise une visio pour qu’elle me raconte et on sabre le champagne à distance. Elle était en concurrence avec un autre candidat. Pourtant, les recruteurs lui ont dit qu’ils l’avaient choisie à l’unanimité. Son concurrent était meilleur qu’elle d’un point de vue technique, il avait plus de compétences, mais c’est elle qu’ils ont recrutée, pour sa personnalité et son état d’esprit. Elle leur a de suite montré son envie d’apprendre. 

C’est ce qui a fait la différence en fait. Il ne faut pas se brider, bien au contraire, il faut oser. J’ai des étudiants qui, parfois, n’osent pas faire de relance ; ils pensent ne pas être légitimes. Je leur dis de foncer.

J’aime bien faire référence à l’ancien slogan de la Française des jeux « 100% des gagnants ont tenté leur chance ». 

C’est pas mal comme devise.

Je n’ai pas le copyright mais, dans l’idée, c’est le message que je souhaite leur faire passer. 

Y a-t-il un ouvrage dont vous recommandez la lecture parce qu’il vous a inspiré personnellement ou professionnellement ?

J’aime beaucoup l’Histoire et les biographies de personnages historiques. J’ai été fasciné par la biographie de Winston Churchill. C’est un véritable personnage de roman autant qu’un grand homme politique qui a très largement contribué à sauver l’Europe et le monde de l’emprise du nazisme. Il a aussi reçu le prix Nobel de littérature, excusez du peu.

Il craignait de mourir jeune, comme son père, ce qui l’a amené à être dans l’action. Il a connu des échecs cinglants et a su se relever. Il est un exemple de ce que la volonté de chacun peut faire d’extraordinaire.

Vous souhaitez bénéficier du coaching pour trouver une alternance ou un emploi ? Rejoignez l’école en ligne OpenClassrooms.

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Quelques questions à…Nathalie Jaouën, mentor OpenClassrooms et coach de vie

Nathalie est mentor sur les parcours OpenClassrooms responsable learning & development, chargé de gestion des ressources humaines, ingénieur responsable pédagogique, conseiller en évolution professionnel et enseignant/formateur . Motivations, approche pédagogique, conseils… Nathalie nous livre sa vision du mentorat.

Comment et pourquoi es-tu devenue mentor pour OpenClassrooms ?

Je suis mentor depuis bientôt trois ans. C’est une amie qui m’avait envoyé l’offre de mentorat OpenClassrooms. J’ai longtemps travaillé en ressources humaines avant de devenir coach de vie.

Cette mission de mentorat me permet de garder un pied dans un domaine qui m’intéresse toujours. Cela a du sens pour moi de transmettre, tout en étant libre de pouvoir faire d’autres activités complémentaires.

En quoi cela consiste et qu’est-ce que cela t’apporte ?

Tout dépend des profils. Mais cela consiste surtout à rassurer,  booster, accompagner les étudiants sur leurs projets lorsqu’ils ont des doutes. C’est intéressant aussi de leur expliquer les choses de façon pragmatique en se basant sur notre propre expérience.

Certains étudiants sont en reconversion complète et n’ont jamais mis en pratique ce qu’ils apprennent. Nous leur faisons profiter de notre retour d’expérience.

De mon côté, cela me permet d’apprendre continuellement aussi et de rester à jour, notamment dans le domaine du learning & development qui est en pleine mutation en ce moment par exemple.

Un petit mot sur ton historique professionnel ?

Pour des raisons familiales, je ne souhaitais plus travailler en entreprise. Je me suis mise à mon compte. Aujourd’hui je suis coach en développement personnel et professionnel, formatrice et facilitatrice en intelligence collective.

J’apprécie avoir plusieurs activités différentes pour ne pas tomber dans la routine. Je rencontre beaucoup de personnes qui sont en pleine transition, souvent en reconversion professionnelle. Les consultations se font aussi bien dans mon cabinet que des interventions en entreprise ou même des animations d’ateliers.

Je donne également des cours à l’université. J’interviens autour des thématiques du bien-être, du sens au travail, de l’employabilité.

Qu’est-ce qui te plaît dans le mentorat OpenClassrooms ?

J’échange en permanence avec des profils très différents et j’aime beaucoup cette diversité. Je ne m’ennuie jamais, il y a toujours de la nouveauté et du changement. J’apprécie aussi la liberté que j’ai de pouvoir organiser mon temps comme je veux.

Sur quels sujets aimerais-tu te former ?

Je pense qu’on n’arrête jamais vraiment d’apprendre. À la base, j’ai une formation de psychologue donc je suis assez attirée par tout ce qui touche à la pensée, aux émotions, aux sentiments. Les neurosciences cognitives ont fait de grandes avancées ces dernières années. Je m’”autoforme” aussi sur la qualité de vie au travail et globalement, j’essaye de toujours me tenir informée.

Y a-t-il un ouvrage dont tu recommandes la lecture parce qu’il t’a inspiré personnellement ou professionnellement ?

J’aime beaucoup l’ouvrage de Tony Robbins, Pouvoir illimité. Il nous explique que quand on croit que quelque chose est possible, alors c’est possible. Je suis convaincue que souvent, on se limite dans nos objectifs parce qu’on anticipe que l’on n’y arrivera pas. Pourtant, si on se projette dans le futur de façon positive, on est capable de tout !

Le pouvoir du moment présent d’Eckart Tolle est aussi un ouvrage que j’adore et dans lequel je me replonge régulièrement.

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« J’apprends de mes étudiants », Marion, mentor

Marion Ruzicka est mentor pour le parcours Responsable marketing opérationnel et communication au sein de l’école en ligne OpenClassrooms. Nous sommes allés à sa rencontre pour en savoir plus sur ses motivations et son approche de cet accompagnement sur-mesure.

Comment et pourquoi es-tu devenue mentor pour OpenClassrooms ?

J’ai une amie qui a suivi le parcours UX designer au sein d’OpenClassrooms et que j’accompagnais de manière non formelle.

Elle m’a conseillé de me renseigner sur les missions de mentorat à proprement parler car j’avais le bon profil selon elle. 

En quoi cela consiste-t-il et qu’est-ce que cela t’apporte ?

Je le vois comme un transfert de compétences qui se fait de manière guidée et constructive.

Le but est que l’étudiant acquière un maximum de connaissances. Je travaille beaucoup sur la façon dont on peut apprendre de ses erreurs et sur la démystification du numérique qui serait un milieu difficile, et peu accessible.

J’aime vraiment transmettre mes compétences ! Le mentorat me transmet de l’énergie positive. Je considère qu’il n’y a pas un seul savoir, donc j’apprends aussi beaucoup de mes étudiants en retour. 

Quelle est ton activité professionnelle en dehors du mentorat ?

Après avoir été consultante en stratégies de communication et marketing digital en freelance auprès de start-ups et de plus petites entreprises, mon activité a un peu évolué. Je suis toujours intervenante au sein de plusieurs écoles sur du marketing digital. En revanche, j’exerce également à présent l’activité de Coach de vie et Coach professionnelle afin d’accompagner chacun à trouver son équilibre et une vie épanouissante.

Qu’est-ce qui te plaît dans ce métier ?

Pour le mentorat et la formation, c’est la transmission de mes compétences.

Concernant le coaching, c’est de révéler le potentiel de chacun et d’amener la personne a un meilleur épanouissement, personnel ou professionnel.

J’intègre la nature dans mes coachings pour une re-connexion à soi et à son environnement. La composante principale de toutes ces missions est la dimension coaching, formation. C’est ce qui m’intéresse le plus.

Une partie de mon activité concerne aussi le développement durable. Dans ma façon d’aborder les sujets, je fais en sorte qu’on utilise le numérique de manière responsable. 

Y a-t-il des sujets sur lesquels toi aussi tu aimerais te former ?

J’ai été mentor pour des start-up qui utilisaient la technologie pour aider les handicapés. J’ai donc travaillé avec des personnes handicapées, autour de la problématique de l’accessibilité, à laquelle je m’intéresse particulièrement en ce moment.

Pour le métier de coach, je me forme à l’écopsychologie. 

Y a-t-il un ouvrage dont tu recommandes la lecture parce qu’il t’a inspiré personnellement ou professionnellement ?

Mindset de Carol Dweck, qui est une docteure en psychologie américaine, résume bien ma philosophie au quotidien.

En tant que mentor, je ne pense pas que nous soyons des produits finis. Au contraire, nous sommes toujours en construction et il est toujours possible d’apprendre et de se développer. 

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« Être mentor me permet de travailler ma pédagogie », Gaëtan, mentor

Gaëtan de Jacquelot est mentor pour la formation Product Manager  au sein de l’école en ligne OpenClassrooms. Nous sommes allés à sa rencontre pour en savoir plus sur ses motivations et son approche de cet accompagnement sur mesure. 

Comment et pourquoi es-tu devenu mentor pour OpenClassrooms ?

J’ai vu Mathieu Nebra expliquer l’histoire et la mission d’OpenClassrooms lors de la Product Conférence 2019 devant plus de 800 personnes.

Grâce au mentorat, j’ai l’impression de pouvoir participer à quelque chose qui me dépasse un peu et qui pourrait bien rendre l’apprentissage accessible à énormément de monde.

En quoi cela consiste et qu’est-ce que cela t’apporte ?

Au travers de mon rôle de mentor, j’aide les personnes qui ont choisi un parcours à aller au bout sans lâcher. Je les guide pour qu’ils se donnent des objectifs atteignables. Grâce à mon expérience terrain, je leur partage aussi des exemples concrets pour les aider à lier théorie et pratique. Ma plus grande satisfaction est l’accomplissement de leurs objectifs.

Tout cela, en plus d’aller dans le sens de mes convictions, me permet de travailler ma pédagogie et cela me sert au quotidien chez mon employeur principal.

Quelle est ton activité professionnelle en dehors du mentorat ?

Je suis coach agile à l’échelle dans une grande entreprise d’assurance. Mon rôle est d’accompagner la transformation du groupe vers plus d’efficience et de capacité d’adaptation.

Les compétences  d’un coach agile sont un doux mélange de coach individuel et collectif, d’expert en méthodes agiles, de formateur, de mentor sur les rôles clés que sont le Product Owner et le Scrum Master, …

Qu’est-ce qui te plaît dans ce métier ?

La transformation des organisations, c’est beaucoup d’Humain.

Accompagner les équipes vers plus d’épanouissement et de performance, c’est ça qui fait sens pour moi. 

Y a-t-il des sujets sur lesquels toi aussi tu aimerais te former ?

La communication, le marketing, le commerce, la systémie, l’UX design… La liste est longue et non exhaustive. C’est le meilleur moyen d’apporter de la créativité et de l’innovation à mes clients et partenaires.

Y a-t-il un ouvrage dont tu recommandes la lecture parce qu’il t’a inspiré personnellement ou professionnellement ?

  • « The Lean startup » d’Éric Ries
  • « Solution Focus » de Gery Derbier

Ce sont deux bonnes références pour devenir un bon Product Manager et un bon Manager coach.

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Mentor en développement informatique, Thomas Boileau répond à nos questions

Thomas est mentor sur plusieurs formations, dont Développeur d’applications PHP/Symfony et Développeur web au sein de l’école en ligne OpenClassrooms. Nous sommes allés à sa rencontre pour en savoir plus sur ses motivations et son approche de cet accompagnement sur-mesure.

Comment et pourquoi es-tu devenu mentor en développement informatique pour OpenClassrooms ?

OpenClassrooms m’avait contacté aux balbutiements du mentorat, mais pour une raison que j’ignore, j’avais refusé…Cependant, j’avais beaucoup aimé le concept, et puis l’histoire était belle quand on a connu le Site du Zéro [l’ancêtre d’OpenClassrooms]. C’est bien plus tard, en décembre 2016, que j’ai effectué ma première session en tant que mentor en développement web. Tout cela s’est fait très rapidement car j’avais besoin d’un nouveau défi. La routine du travail ne me satisfaisait plus, et lorsque j’ai vu passer une annonce, j’ai cette fois sauté sur l’occasion. C’était un bond dans l’inconnu. J’avais ce besoin de partager, de rencontrer des gens motivés à l’idée de devenir développeurs.

En quoi cela consiste et qu’est-ce que cela t’apporte ?

Pour moi, c’est avant tout un échange, un partage. Je n’ai pas eu la chance, à mes débuts, d’être accompagné. Donc je fais en sorte que les apprenants aient toutes les cartes en main pour poursuivre leur carrière dans les meilleures conditions.

Bien que ce soit des formations très techniques, il me semble important de préparer chaque étudiant pour son insertion dans le monde du travail. C’est un milieu très concurrentiel où il faut savoir jouer des coudes pour sortir du lot. La majorité des étudiants est empreinte de doutes, et c’est mon rôle de rassurer chacun. Il me semble que le plus important est de pouvoir s’adapter à toute situation à l’issue de la formation. C’est toujours une grande satisfaction quand un étudiant m’annonce qu’il a trouvé un emploi, c’est que j’ai bien fait mon travail !

Quelles sont tes autres activités professionnelles ?

Après plusieurs années en tant que développeur au sein d’une agence de marketing opérationnel, j’ai décidé de m’installer en freelance. Je peux donc organiser mon emploi du temps comme je l’entends. Depuis 3 ans, je navigue entre les projets clients, mon activité de mentor en développement web et un peu de formation/coaching. Tout est question d’équilibre, j’aime beaucoup la production, mais force est de constater qu’après 11 ans de carrière, la balance commence à pencher plus d’un côté que d’un autre. Wait’n see !

Qu’est-ce qui te plaît dans ce métier ?

J’aime les défis. C’est un facteur de motivation très puissant. Quand une start-up me fait confiance pour développer un produit, je trouve cela gratifiant. L’enjeu me pousse dans mes retranchements, et permet de m’améliorer quotidiennement.

Quant aux formations et sessions de coaching que je dispense, c’est la transmission de ma passion pour le code. Quand des apprenants sortent de la formation avec le sourire, l’envie de faire bouger les choses dans leur entreprise, et celle d’en apprendre plus encore, c’est tout simplement réjouissant.

Y a-t-il des sujets sur lesquels tu aimerais te former ?

J’aimerais bien continuer mon apprentissage du métier de Product Owner. Je trouve que le plus important quand on travaille sur un nouveau projet est de pouvoir facilement transformer un besoin en une solution technique. Cependant, même après 11 ans, j’ai encore quelques lacunes sur ces sujets-là, et je pense que j’ai encore un peu de chemin à faire pour proposer une meilleure collaboration professionnelle avec mes actuels et futurs clients.

Un ouvrage ou un cours dont tu recommandes la lecture parce qu’il t’a inspiré personnellement ou professionnellement ?

Pour les développeurs déjà bien avancés dans leur parcours, et même pour les plus aguerris, j’invite à lire l’ouvrage “Clean Code” de Robert C.Martin. Cet ouvrage ne fera pas de vous un véritable artisan du code, mais il vous poussera à faire un travail de qualité.

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« J’apprends en même temps que les étudiants » | Eloïse, mentor

Éloïse Gomez est mentor sur la formation Data analyst, la formation Data scientist et la formation Data architect au sein de l’école en ligne OpenClassrooms. Nous sommes allés à sa rencontre pour en savoir plus sur ses motivations et son approche de cet accompagnement sur-mesure.

Comment et pourquoi es-tu devenue mentor pour OpenClassrooms ?

Depuis quelques temps, j’envisageais de donner des cours. Le binôme avec qui je travaille dans mon entreprise intervient à l’Université mais je ne m’en sentais pas forcément capable parce qu’inexpérimentée.

Je connaissais bien le Site du Zéro [ancêtre communautaire d’OpenClassrooms] et quand OpenClassrooms a cherché des mentors, j’ai sauté sur l’occasion. Je me dis que c’est une bonne première étape avant de pouvoir éventuellement donner des cours à proprement parler.

En quoi cela consiste et qu’est-ce que cela t’apporte ?

Il y a deux missions pour un mentor. Il y a d’abord beaucoup de coaching car en informatique, quand on débute, c’est parfois difficile.

Il faut soutenir les étudiants moralement, les rassurer, les maintenir motivés.

Puis, il faut rendre les problèmes compréhensibles, c’est-à-dire que généralement cela consiste à diviser un gros projet en plusieurs petites étapes pour avancer progressivement sans se décourager. De mon côté, j’apprécie le fait que cela apporte une dimension humaine à mon travail.

C’est très satisfaisant d’aider quelqu’un à monter en compétences ou de l’accompagner dans une reconversion professionnelle.

Quelle est ton activité professionnelle en dehors du mentorat ?

Je suis Data Observer Architect. Je travaille pour une plateforme de data science et je m’occupe de l’installation des produits chez les clients. Ensuite, je leur expliquer comment on a procédé et comment la plateforme fonctionne pour qu’ils soient autonomes. 

Qu’est-ce qui te plaît dans ce métier ?

C’est un peu similaire au mentorat, j’aime beaucoup transmettre et aider les personnes à monter en compétences. Après l’installation, il y a un suivi client pendant quelques mois car ils ont forcément des questions donc il y a une dimension aussi didactique qui me plaît. 

Y a-t-il des sujets sur lesquels toi aussi tu aimerais te former ?

Ironiquement, je bosse comme Data architect depuis cinq ans mais dans le parcours OpenClassrooms, je me rends compte qu’il y a encore des sujets que je ne maîtrise pas. Par exemple, je n’ai jamais monté un job spark de A à Z. Mais c’est une question de pratique.

Finalement, je suis contente d’apprendre en même temps que les étudiants.

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« Je pousse les étudiants à s’interroger sur leur code » | Johnny, mentor

Johnny Behague est mentor pour la formation Développeur web au sein de l’école en ligne OpenClassrooms. Nous sommes allés à sa rencontre pour en savoir plus sur ses motivations et son approche de cet accompagnement sur-mesure.

Comment et pourquoi es-tu devenu mentor pour OpenClassrooms ?

Je me suis initié à la programmation grâce au Site du Zéro (la toute première version d’OpenClassrooms), quand j’avais 15-16 ans.

Puis, c’est un collègue, déjà mentor pour OpenClassrooms, qui m’a parlé de sa mission. Il était vraiment très positif sur ce rôle de mentor et ce que cela lui apportait dans son propre métier.

Comme j’aime beaucoup partager mes connaissances, j’ai eu envie de me lancer aussi. 

En quoi cela consiste et qu’est-ce que cela t’apporte ?

J’aide les étudiants qui préparent leur projet. Dans le cas du parcours en développement web, il s’agit de créer un site Internet de A à Z à partir d’une maquette. Je les accompagne sur la partie code, je leur donne des pistes sans faire le travail à leur place et on échange à chaque session sur ce qui va et ce qui ne va pas.

C’est important pour moi de pousser les étudiants à s’interroger sur ce qu’ils font pour qu’ils soient capables de justifier leurs choix. L’objectif est d’être prêt à défendre son code et son projet au moment de la soutenance. 

De mon côté, c’est très enrichissant d’avoir entrepris cette démarche pédagogique.

On m’a beaucoup reproché par le passé de ne pas être suffisamment didactique dans mes propos. Or, pour OpenClassrooms, je suis obligé d’adapter mon discours à des personnes qui ne sont pas toujours issues du monde informatique, à l’inverse des gens que je côtoie au quotidien dans mon travail. C’est donc un très bon exercice. 

Quelle est ton activité professionnelle en dehors du mentorat ?

Je suis consultant informatique pour la société de services Umanis. En ce moment et pour les six prochains mois, je développe par exemple un espace internet pour une mutuelle. 

Qu’est-ce qui te plaît dans ce métier ?

Je travaille sur un projet pendant plusieurs mois, puis je passe à autre chose. J’aime beaucoup cette diversité. J’ai eu l’occasion de travailler dans le secteur de la banque, de l’assurance, pour des industries. Ce qui m’a permis de rencontrer beaucoup de personnes d’horizons différents et d’apprendre beaucoup.

Y a-t-il des sujets sur lesquels toi aussi tu aimerais te former ?

J’aimerais être capable à terme d’animer des réunions, de prendre la parole en public pour des conférences en informatique et autres. Le mentorat chez OpenClassrooms représente déjà une première étape pour moi qui suis à la base plutôt réservé. Devoir mettre les étudiants en confiance m’a apporté une plus grande confiance en moi aussi et j’aimerais continuer à évoluer dans ce sens-là. 

Y a-t-il un ouvrage dont tu recommandes la lecture parce qu’il t’a inspiré personnellement ou professionnellement ?

Le tout premier livre que j’ai acheté, c’est Design Patterns pour C# de Laurent Debrauwer, car c’est le premier langage informatique que j’ai appris. Cet ouvrage aide à comprendre la conception de projet dans son ensemble. Au-delà du code, c’est la dimension architecture de la programmation qui m’intéresse. Comment on appréhende un projet, comment on le développe ensuite, je trouve que c’est passionnant.

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« Recadrer avec bienveillance, c’est tout un art ! » | Magalie, Mentor

Magalie Damel est mentor sur la formation en ligne Community Manager au sein de l’école en ligne OpenClassrooms. Nous sommes allés à sa rencontre pour en savoir plus sur ses motivations et son approche de cet accompagnement sur-mesure.

Comment et pourquoi es-tu devenue mentor pour OpenClassrooms ?

Lorsque j’ai décidé de m’installer en freelance et de devenir digital nomad, j’ai cherché des missions de mentorat. 

Dans ma vie, j’ai eu la chance d’être suivie et encouragée par des mentors. Une personne m’a appris à évoluer dans le monde journalistique au début de ma carrière, et plus tard une autre m’a coachée en tant que cheffe d’entreprise.

Ces mentors m’ont guidée, m’ont conseillée, sans jamais me donner d’ordres. À mon tour, j’avais envie d’épauler une personne grâce à mon expérience.

En quoi cela consiste et qu’est-ce que cela t’apporte ?

J’accompagne les étudiants sur les projets qu’ils ont à rendre. J’ai un regard sur les livrables qu’ils soumettent pour les évaluations. Mon rôle est de faire progresser leur état d’esprit et de les accompagner jusqu’à ces évaluations finales. 

Nous avons un lien privilégié qui évolue au fur et à mesure du parcours, c’est enrichissant.

Pour moi, c’est à la fois gratifiant, agréable et en même temps exigeant. Il faut être concentrée, recadrer le travail avec bienveillance (ce qui n’est pas toujours facile).

Une partie de la mission consiste aussi à motiver et soutenir le mentoré. Le mentorat m’a fait prendre conscience que j’avais ces qualités-là !

Quelle est ton activité professionnelle en dehors du mentorat ?

J’ai été journaliste-reporter radio et je travaille aujourd’hui dans la gestion de projets éditoriaux numériques. J’effectue des missions de consultante éditoriale – cheffe de projet communication digitale, principalement dans le secteur du tourisme et du développement durable. Parallèlement, j’écris des livres professionnels, des polars pour ados et des biographies. J’interviens en école de journalisme, et en école de communication et marketing digital depuis 2013.

Qu’est-ce qui te plaît dans ces métiers ?

La variété et le fait de raconter des histoires. Je suis curieuse. Je m’ennuie vite mais j’ai de l’imagination…

Y a-t-il des sujets sur lesquels toi aussi tu aimerais te former ?

J’aime beaucoup la philosophie et la psychologie,  ce sont des domaines captivants au sein desquels il reste toujours des notions à apprendre et à comprendre.  

D’ailleurs, cela m’aide dans mon rôle de mentor de jeunes pousses numériques. En termes de logiciels, ce qui me plairait beaucoup si j’avais le temps serait de me former au Motion Design. C’est une compétence vidéo intéressante, dans la continuité du storytelling et de la rédaction. 

Y a-t-il un ouvrage dont tu recommandes la lecture parce qu’il t’a inspiré personnellement ou professionnellement ?

Psychanalyse des contes de fées de Bruno Bettelheim et Le héros aux mille et un visages de Joseph Campbell sont mes livres de chevet en terme de storytelling. L’ouvrage de Campbell donne des clés sur les schémas narratifs qui font écho aux séries que le public  regarde beaucoup en ce moment, par exemple. Pour moi, ce sont les fondamentaux qui aident à être créatif, quel que soit le projet numérique. 

Pour aller plus loin

Le mentorat, l’atout humain des formations

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Philip, de tourneur-fraiseur à administrateur réseau

« Pas si simple à 18 ans de choisir sa voie, une carrière, un métier ».

Philip Dumet s’est lancé dans la vie active un peu précipitamment après avoir raté son bac une première fois. Il a ensuite exercé un métier contraignant pendant plusieurs années, dans lequel il savait qu’il ne pourrait pas évoluer.

Il décide alors de prendre un autre chemin. Aujourd’hui, il termine la formation administrateur infrastructure et cloud de l’école en ligne OpenClassrooms et s’apprête à ouvrir un nouveau chapitre de sa vie professionnelle, dans un secteur qui lui correspond parfaitement.

Un début de carrière comme tourneur-fraiseur

Indécis au lycée, Philip fait le choix de commencer à travailler très tôt. “J’ai passé un bac STG mécanique que j’ai raté la première fois puis obtenu l’année suivante en candidat libre. À ce moment-là, je ne savais pas vraiment quelle direction prendre professionnellement, c’était encore un peu tôt”, explique t-il.

Après son premier échec au bac, il est embauché dans une entreprise comme opérateur sur commande numérique : “J’étais tourneur-fraiseur, c’est-à-dire que je réalisais des pièces en série sur des machines. Ensuite, je contrôlais les pièces, je réalisais des programmes informatiques également ».

« C’était un métier très répétitif, avec des horaires contraignants, que j’ai fait malgré tout pendant 5 ans en intérim ».

Philip est conscient que sans autre diplôme que son bac, il aura peu de perspectives d’évolution dans cette entreprise. Même chose s’il veut se reconvertir dans un domaine qui lui plaît davantage.

Des formations manquées puis la bonne formule

Au bout de ces cinq ans comme tourneur-fraiseur, j’ai décidé de me lancer et j’ai essayé de faire plein de petites formations. À ce moment-là, mon idée était de devenir automaticien ».

« Seulement, à chaque fois que j’envisageais une formation, il y avait toujours un pépin au dernier moment et la formation n’avait finalement pas lieu. J’ai perdu quasiment deux ans de cette façon ».

Débrouillard en informatique, Philip a quelques compétences dont il se sert sur son temps libre. C’est de cette façon qu’il découvre les formations diplômantes en ligne proposées par OpenClassrooms : “Depuis toujours, je bidouillais en informatique et j’avais pris l’habitude d’aller sur le site d’OpenClassrooms lorsque j’avais un problème que je n’arrivais pas à résoudre. Je suivais les cours gratuits. Alors, quand j’ai vu les formations diplômantes qu’ils proposaient, à distance et avec un mentor, j’ai réalisé que c’était la formule qui me correspondait tout à fait pour me former.

Selon lui, ce sont les conditions d’apprentissage idéales et le parfait compromis compte tenu du secteur d’activité dans lequel il souhaite désormais évoluer.

Avec juste le bac en poche, il m’aurait fallu au moins deux ans pour commencer de zéro dans n’importe quel autre cursus. Or, financièrement, ce n’était pas forcément envisageable.

Philip se lance donc avec OpenClassrooms et choisit la formation Administrateur infrastructure & cloud. “J’ai pu me permettre de faire les six premiers mois du parcours à plein temps, j’ai donc avancé rapidement au début. Puis, j’ai eu besoin de retravailler, ce qui a un peu ralenti la formation mais c’était malgré tout faisable. Je pense qu’en faisant quelques sacrifices et avec la motivation, c’est une formation vraiment accessible en un an. Il y a des moments plus compliqués que d’autres mais c’est très épanouissant.

Administrateur réseau : un métier d’avenir

La formation est complète et permet à Philip d’acquérir de nombreuses compétences indispensables pour être crédible sur le marché du travail :

« Je suis capable de blacklister un serveur, j’ai tout appris à propos des réseaux, des adresses IP, de la virtualisation, je peux réaliser de la documentation technique et des procédures. J’ai également été initié à la gestion de projets et sensibilisé à la sécurité informatique ».

À l’issue de la formation, Philip a le choix entre réaliser un projet ou un stage. “J’ai choisi de réaliser un stage de deux mois. J’ai senti que c’était nécessaire pour que je gagne en confiance”.

L’histoire est belle puisqu’il fait ce stage au sein de l’entreprise pour laquelle il travaillait auparavant comme tourneur-fraiseur. Au département informatique cette fois.

« Ils ont été ravis de m’accueillir comme administrateur réseau, étant donné que je connaissais déjà l’entreprise ».

« Et pour moi, c’était aussi l’occasion de découvrir une autre facette de cette boîte pour laquelle j’avais travaillé pendant plusieurs années.”

Fraîchement diplômé, Philip est désormais à la recherche d’un emploi. “Idéalement, j’aimerais travailler dans un environnement de type data center, car cela m’intéresse beaucoup. Je pense que la sécurité informatique est aussi une problématique en plein boom actuellement : l’administrateur système peut couvrir cette dimension également.

Fort de nouvelles connaissances, Philip voit l’administration de réseau comme un métier d’avenir : “L’administrateur est garant du système d’informations de l’entreprise. Il doit s’assurer que le réseau est fonctionnel pour l’ensemble des employés, il forme les utilisateurs au matériel informatique, s’occupe des sauvegardes, de l’installation et de la maintenance des machines ».

« Ce sont des missions très variées au quotidien, qui sont devenues des piliers indispensables dans quasiment toutes les entreprises aujourd’hui ».

Philip est ainsi la preuve qu’avec une bonne dose de motivation et la formation adéquate, de tourneur-fraiseur à administrateur réseau, il n’y a finalement qu’un pas.

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Les plus impressionnantes attaques en cybersécurité

Par : Nora Leon

Au rythme où vont les hackers, le responsable cybersécurité sera bientôt indispensable au sein de toute entreprise. Pourtant, ces profils sont encore rares sur le marché : ce qui explique qu’ils soient aussi très bien payés et rarement en recherche d’emploi.

Par ailleurs, pour toute personne qui possède un ordinateur personnel, connaître les pare-feux les plus récents permet également de protéger ses données intimes.

Et justement, Mathieu Nebra, développeur et fondateur de l’école en ligne OpenClassrooms, a récemment proposé un cours pour découvrir l’univers en plein essor de la cybersécurité. Un cours utile pour celles et ceux qui veulent y travailler, ou juste se tenir informés des bonnes pratiques en matière de sécurité informatique. En somme, à l’heure du tout-numérique, il s’agit même de culture générale !

Cet article a pour but d’introduire la cybersécurité en partageant les formes d’attaques les plus courantes et leurs parades actuelles.

Les attaques fréquentes en cybersécurité 

Les failles logicielles

Les failles logicielles sont des défauts liés à des bugs des logiciels. Il y en a dans quasiment tous les logiciels, des systèmes d’exploitation Windows, macOS, Linux… aux logiciels comme Skype, Google Chrome, Firefox, Word. 

En revanche, dès qu’une faille est repérée, elle doit être corrigée. C’est pour cela que les logiciels doivent être mis à jour régulièrement. 

Pour se protéger, il est conseillé dinstaller les mises à jour des logiciels le plus régulièrement possible.

Les failles réseau

Les failles peuvent aussi avoir lieu à un autre niveau : celui du réseau.

Prenons un exemple : si les données de l’entreprise sont échangées entre postes en wifi, et que ce wifi n’est pas chiffré, il est facile pour quelqu’un dans la rue d’aspirer tous les échanges qui ont lieu. Dans ces échanges, il y a notamment les cookies dans lesquels on peut parfois trouver des données d’authentification !

Ajoutez à cela les serveurs auxquels on peut se connecter avec un mot de passe simple, voire sans mot de passe. Il y a aussi des routeurs qui restent configurés avec le mot de passe par défaut (admin/password). Et ne rigolez pas ! Cela arrive très fréquemment.

De simples négligences comme celles-ci sont à l’origine de nombreuses cyberattaques.

Les droits d’accès 

Que se passe-t-il quand on ne veut pas se prendre la tête avec les droits d’accès ? On donne des accès de niveau administrateur à tout le monde ! On partage ses codes d’accès aux collègues, on les écrit sur des post-it au bureau…

C’est évidemment la source de nombreux problèmes de sécurité. Une entreprise où tout le monde est administrateur est une entreprise où chaque personne risque d’effectuer une action qui peut avoir des conséquences désastreuses.

A l’inverse, concentrer tous les droits d’administration sur une personne est aussi risqué. Et si cette personne quittait l’entreprise sans donner les mots de passe ? Si elle était frappée d’amnésie ? Tant de situations où le responsable IT peut se retrouver dans de beaux draps…

Envie d’en savoir plus sur les grands hacks du monde du web ?

Retrouvez l’historique dans le “cours “Découvrez l’univers de la cybersécurité”.

À propos d’OpenClassrooms

OpenClassrooms est un institut de formation à distance, 100% en ligne, pour apprendre les compétences les plus recherchées par les recruteurs et les plus prometteuses. Le but : décrocher un emploi très recherché et qui ait de l’avenir !

Nous formons à tous les métiers du numérique, notamment le développement web et mobile, le design, les systèmes et réseaux, la data science, la gestion de projet, le marketing, les ressources humaines et l’entrepreneuriat.

Tous les cours des programmes de formation à distance sont accessibles gratuitement en ligne.

Nos cursus à équivalent Bac +2, +3 et +5 se réalisent en ligne. Ils sont composés d’un mélange de vidéos, de cours écrits, de projets professionnalisants réalisés par l’étudiant pour apprendre par la pratique, et de sessions de mentorat hebdomadaires avec un expert du métier. Les formations durent entre 6 et 18 mois en fonction des sujets et du temps alloué par l’étudiant. 

À l’issue du programme, les étudiants sont coachés par des experts pour faciliter leur recherche d’emploi. Ce dernier est d’ailleurs garanti.  

Cela vous intéresse ? 

J’en discute avec mon conseiller pédagogique

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Comment grandir en tant que mentor ?

Depuis quelques années, le mentorat prend une place de plus en plus prégnante dans la vie de l’entreprise : accompagnement, mutualisation des compétences, hyperconnectivité, partage de savoir-faire, les bénéfices sont nombreux.

Chez OpenClassrooms, chaque étudiant est suivi par un mentor tout au long de son parcours et jusque dans sa recherche d’emploi. Les fonctions du mentor sont multiples et l’échange se fait dans les deux sens, comme la trajectoire de Jordane Lacroix en témoigne.

[Vous aussi, postulez en tant que mentor]

Venu au mentorat de façon naturelle

Jordane, mentor depuis 3 ans au sein de l’école en ligne OpenClassrooms, est spécialisé dans le design UX/UI et le front-end : “J’ai une formation de communication visuelle. Aujourd’hui le design est une spécialité qui s’étend dans beaucoup de domaines, on est amené à toucher au code si on fait du design d’interface par exemple. J’interviens sur la formation développeur web car les premiers projets sont consacrés à la partie front-end, et sur la formation UX design qui est sorti récemment.”

Jordane se dit touché par les valeurs de pédagogie et de transmission, il donne le sentiment d’avoir toujours accompagné son entourage quand il le pouvait. Il raconte : “Le mentorat, c’est une longue histoire pour moi car en soi, j’ai le sentiment d’en faire depuis toujours. À l’adolescence, au début de l’informatique, j’ai été amené à dépanner des proches puis par bouche-à-oreille, on m’a recommandé dans des cercles de plus en plus élargis pour donner des cours sur Photoshop et en html/css ».

J’ai vite constaté que la pédagogie était un domaine qui me plaisait, l’idée de transmettre, d’aider… Je trouve cela important.

Une mission bien précise…

Chez OpenClassrooms, le mentor joue un rôle central dans le parcours des étudiants qui effectuent leur apprentissage à distance et donc en autonomie.

Ma mission est de donner des pistes et de répondre à des problématiques que les apprenants rencontrent pendant la semaine. Ils sont souvent seuls face à leur projet donc j’interviens parfois pour les recadrer quand ils s’écartent un peu trop du sujet.

Il prend aussi pour mission de préparer les étudiants à leur insertion sur le marché du travail à l’issue de leur formation : “J’essaie aussi toujours d’anticiper l’après OpenClassrooms et donc d’imaginer les attentes d’un recruteur ou d’un potentiel client. À partir du brief initial, il m’arrive d’apporter des éléments nouveaux pour permettre à l’étudiant d’aller plus loin s’il le souhaite. À court terme, c’est la réussite au jury qui importe mais ensuite je sais qu’on va les attendre au tournant, donc il m’importe de les préparer à rencontrer des personnes qui seront peut-être beaucoup plus exigeantes ou sévères”.

Les étudiants se posent beaucoup de questions quant à leur insertion sur le marché du travail : est-ce que je vais devenir freelance, est-ce que je vais intégrer une agence ? On discute, j’essaye de les aiguiller là-dessus.

Et des qualités particulières à avoir

Lorsque l’on demande à Jordane quelle est la qualité indispensable à acquérir pour être un bon mentor, il répond immédiatement l’empathie. « Je pense que l’empathie est indispensable pour se mettre à la portée de chacun ».

En même temps, il faut trouver le bon curseur entre l’empathie et la nécessité de recadrer et tirer vers le haut. Tout doit être dit mais avec bienveillance, pour ne pas braquer l’apprenant.

« La pédagogie évidemment est le cœur de la mission, c’est important pour faire passer des notions compliquées. Par exemple, j’utilise souvent des analogies ou des images dans d’autres domaines que l’informatique pour expliquer quelque chose d’abstrait.” 

Le mentor est aussi là pour motiver les étudiants, les rassurer et leur donner confiance : “Certains étudiants partent de loin donc il ne faut pas oublier de les encourager régulièrement. Parfois, on va avoir tendance à comparer le rendu de projet d’un apprenant par rapport à un autre alors que ce qui est intéressant et ce qu’il faut regarder ce sont les trajectoires et progrès individuels.”

Un échange à double sens

Comme l’explique Jordane, le mentor n’est pas un professeur donc il n’y a pas de rapport de hiérarchie et finalement l’échange se fait dans les deux sens.

Le mentorat est tout aussi bénéfique pour le mentor lui-même :

Pour moi, c’est un peu un laboratoire, cette expérience de mentorat.

« Il y a des risques que je ne peux pas forcément prendre sur des projets clients, par manque de temps ou d’opportunité ».

Le fait de tester des choses avec les étudiants me permet de continuer à apprendre, à expérimenter.

« J’ai aussi des élèves qui me présentent parfois des outils que je ne connais pas, même si j’essaye de faire de la veille régulièrement donc c’est très enrichissant car je les intègre ensuite dans mon travail au quotidien.” 

En tant que mentor, il est en effet indispensable de rester à jour dans son domaine d’expertise, ce qui permet de se lancer des défis : “On n’a pas toujours la réponse immédiatement aux questions des étudiants mais ce qui me plaît c’est de rester toujours proactif, d’aller chercher des données sur le terrain. Par exemple, aux États-Unis, ils sont en avance sur certains sujets. Donc, je regarde souvent des vidéos, des articles en anglais pour rester à jour et apporter aux étudiants les dernières technologies ou méthodes qui arrivent sur le marché pour qu’ils soient le plus compétitifs possibles face aux recruteurs ensuite. Cela permet de rester à l’écoute aussi de mon côté et de me former constamment aux nouveautés.”

Dans une autre mesure, l’expérience de mentorat de Jordane a eu des répercussions très positives pour lui dans la gestion de son activité. Il explique : “Je bénéficie aussi de la bonne image d’OpenClassrooms parce que cela parle à beaucoup de personnes ».

Dans ma profession, ce rôle de mentor m’a ouvert énormément de portes, des nouveaux contrats, un réseau. J’ai eu le sentiment d’être plus légitime dans mon domaine et donc d’avoir plus confiance en moi ensuite.

« Le fait de devoir communiquer très souvent avec les apprenants, on acquiert cette soft skill qui est très importante. Cela permet d’être ensuite moins réservé dans d’autres cercles professionnels. J’ai la certitude qu’aujourd’hui je communique globalement mieux et cela m’a beaucoup aidé. Le mentorat m’a donné un nouvel élan, c’est très positif.”

La mentorat relaté par Jordane s’apparente finalement à une expérience positive et enrichissante à bien des égards, basée sur des valeurs de respect et de bienveillance. Et vous, seriez-vous prêt à mettre votre expertise au service des étudiants OpenClassrooms ?

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Interview : que recherchent les recruteurs chez les candidats Tech ?

Nicolas Macherey a fondé WakeOnWeb en 2015. Implantée sur trois sites à Paris, Lyon et Aix-en-Provence, cette entreprise de près de 40 salariés conçoit des solutions numériques et technologiques sur-mesure pour les entreprises.

Pour conserver leur expertise face aux changements permanents du monde du numérique, les professionnels de la Tech doivent rester en veille permanente et être curieux des dernières innovations. C’est ce que nous explique Nicolas au travers de sa propre expérience.

Un processus de recrutement ouvert

WakeOnWeb est une société encore jeune, qui a connu des hauts et des bas. S’il y a eu un peu plus de turn-over lors des périodes de creux, aujourd’hui les équipes sont bien en place, soudées et compétentes.

La stratégie de recrutement de Nicolas ? Miser sur la diversité : “J’ai fait un pari en fondant WakeOnWeb, car c’est difficile d’être bien formé sur toutes les technologies. »

Alors, j’ai employé des gens qui étaient soit des développeurs expérimentés, soit des passionnés autodidactes. Certains n’avaient même pas le bac ou étaient de jeunes diplômés tout juste sortis  d’école. Ils avaient l’avantage d’être encore modelables.

« Personnellement, je connais les formations en ligne OpenClassrooms depuis le début, mais je laisse les gens choisir leur formation lorsqu’ils font leur contrat de professionnalisation ou leur formation continue. J’ai eu beaucoup d’alternants qui venaient de formations différentes : SupInfo, écoles d’ingé, OpenClassrooms…

Bien que les compétences techniques soient indispensables pour proposer la meilleure expertise aux entreprises, Nicolas valorise d’autres éléments aussi  : “Nous sommes une société de service donc nous devons nous adapter aux circonstances du client et dans ce contexte, être capables de monter en compétences rapidement, de s’adapter, de rebondir. C’est très important quelles que soient les bases techniques que l’on a eues au départ. C’est pour cette raison que je valorise les profils variés. »

Je n’ai pas d’a priori, je ne regarde jamais les CV avant de faire entrer les candidats en entretien, que je juge d’abord sur leurs valeurs humaines.

« Puis dans un deuxième temps, ils passent un test de personnalité et un test technique qui est adapté en fonction du profil. On ne donnera pas le même test à un architecte développeur qu’à un junior en reconversion par exemple. »

Un apprentissage permanent

Les technologies du numérique sont en constante évolution et de plus en plus nombreuses.

Pour rester compétitifs, les professionnels de la tech n’ont d’autre choix que de continuer à apprendre et à se former tout au long de leur carrière.

Nicolas croit aux vertus de la formation interne et externe :

Notre métier est d’apporter l’innovation technologique dans les entreprises donc si on n’encourage pas la formation continue auprès de nos collaborateurs, on se laisse dépasser très rapidement.

« Au sein de WakeOnWeb, on a un programme de formation interne qui est encadré par nos architectes. Le marché évolue constamment, donc on sélectionne avec nos collaborateurs les technologies qu’on trouve   intéressantes à connaître et maîtriser. Le but n’est pas de devenir spécialiste de tout non plus, on évalue de façon concrète l’expertise qui est la plus pertinente pour nous.”

Incorporer la formation au sein de l’entreprise demande une organisation du travail adaptée, qui peut sembler complexe à mettre en place à première vue.

Cependant, elle représente indéniablement un investissement sur le long terme.

Lorsqu’on sélectionne une nouvelle technologie, on laisse les employés se dégager du temps pour se former à partir des ressources ou des outils qu’ils choisissent, en échange de quoi ils rédigent une présentation ou un article qui peut être profitable à tous sur la techno en question.

« Cela représente un coût mais c’est indispensable dans notre domaine. Par conséquent, nous avons mis en place ce système en début d’année et nous verrons si cela perdure”, explique Nicolas.

Quel que soit le langage informatique que l’on maîtrise le mieux, ce qui est inhérent à tous les métiers du numérique est la curiosité d’apprendre perpétuellement pour rester innovant. Finalement, c’est sans doute la qualité première recherchée par les recruteurs dans le domaine, à l’image de Nicolas.

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Qu’est-ce que Salesforce ? Pourquoi devenir développeur Salesforce ?

Par : Nora Leon

Dans cet article, nous vous présentons les services proposés par Salesforce et nous vous expliquons pourquoi faire une formation Salesforce developer est un choix de carrière stratégique. Salesforce est une entreprise mondiale à la pointe de la technologie des logiciels cloud CRM, qui fournit des solutions pour des entreprises de premier plan dans le monde entier.

Qu’est-ce que cela signifie ? Toute entreprise a besoin d’interagir avec ses clients. Et pour prospérer, elle doit le faire efficacement. Ces interactions couvrent notamment le marketing, la vente, le commerce, le support client. Pour que tout soit simple, les entreprises ont besoin d’un logiciel intelligent conçu et utilisé par des professionnels qualifiés.

C’est précisément ce service que Salesforce fournit. Salesforce « booste » chaque interaction entreprise-client pour ses clients, qui comptent plus de 150 000 entreprises de secteurs variés dans le monde. Parmi elles, Amazon Web Services, Virgin Media, Coca-Cola, Kuoni, Eurostar, Ocado et Aston Martin.

Le portefeuille de clients de Salesforce grandit chaque jour, ainsi que sa demande en matière de développeurs Salesforce qualifiés pour maintenir et personnaliser le logiciel pour chacun des clients.

Pour répondre à cette demande, OpenClassrooms et Salesforce ont collaboré afin de créer un parcours développeur Salesforce sur-mesure qui permettra d’acquérir les compétences nécessaires à une carrière en tant que développeur Salesforce – et qui vous préparera pour l’examen Salesforce Certified Platform Developer I.

Être développeur Salesforce certifié vous garantit d’être très demandé et vous assure une carrière stimulante dans le domaine de la technologie cloud CRM.

Alors, quels sont les détails de cette opportunité ?

La gestion de la Relation Client

Salesforce est une plateforme de gestion de la relation client (CRM). Chaque entreprise a besoin d’un CRM.

La gestion de la relation client est un mélange des stratégies utilisées par une entreprise pour gérer les interactions avec ses clients, afin de rester en contact avec eux et cultiver leur relation et leur loyauté de manière intelligente et professionnelle. Elle est également utilisée pour attirer de nouveaux clients potentiels vers l’entreprise.

Une plateforme CRM est utilisée pour faire correspondre le marketing aux objectifs de chiffre d’affaires et simplifier les processus. C’est un moyen de rassembler, d’analyser et d’utiliser des données commerciales à jour – y compris les données des ventes, du marketing, du service client et des réseaux sociaux – et de tout visualiser au même endroit.

C’est un outil commercial efficace, qui assure aux entreprises de ne jamais rater une information, une tendance ou une communication importante. Toute entreprise moderne qui n’utilise pas de plateforme CRM est largement désavantagée.

Cependant, il faut des compétences et une certification pour développer ces plateformes CRM. La formation développeur Salesforce d’OpenClassrooms vous permet d’acquérir ces compétences et de vous préparer à l’examen nécessaire pour obtenir la certification.

Un outil construit sur le cloud

Salesforce est basé sur le cloud, ce qui signifie que le logiciel est hébergé sur le cloud et qu’on y accède par internet.

Une plateforme cloud CRM permet un développement plus rapide, un accès fluide, une utilisation facile et des mises à jour automatiques. C’est un outil rentable et évolutif, fiable, avec des hauts niveaux de sécurité, de flexibilité et une compatibilité accrue.

L’International Data Corporation (IDC) a rapporté que les dépenses des entreprises en matière de services et d’infrastructures cloud continueront d’augmenter en 2019 et prédit une croissance de 23 % par rapport à 2018. Sur la période 2017-2022, elle prévoit une augmentation du marché chaque année, pour atteindre une dépense pour les services cloud publics de 370 milliards de dollars en 2022.

Cela signifie que la demande en matière d’emplois pour maintenir et développer ces services est également en augmentation.

Le modèle commercial de Salesforce est construit de telle manière que des personnes peuvent être embauchées via Salesforce pour travailler pour les entreprises qui utilisent sa plateforme. Vous pouvez également travailler pour les entreprises qui utilisent Salesforce directement, ou bien en tant que développeur Salesforce freelance. Afin d’être compétitif et de réussir sur la plateforme Salesforce, vous aurez besoin des certifications appropriées. Le parcours développeur Salesforce d’OpenClassrooms vous donnera accès à cette opportunité.

En savoir plus sur Salesforce

Le CRM et l’informatique cloud font partie de la révolution technologique qui a un eu un impact considérable sur les entreprises. Salesforce conserve sa réputation impressionnante de leader du marché des plateformes CRM.

L’entreprise apporte 5 éléments essentiels aux entreprises :

  1. L’innovation – Salesforce se place loin devant les autres fournisseurs de CRM ce qui donne à ses utilisateurs un avantage notable par rapport à leurs concurrents pour évoluer et conserver leur avance. Avec Salesforce, la technologie de l’information devient la technologie de l’innovation.
  2. Une plateforme – Tout est rassemblé au même endroit et la plateforme intègre de nombreuses applications différentes grâce à AppExchange. Cela permet une expérience utilisateur simple, intuitive et pratique et rend possible l’innovation.
  3. De la productivité – Salesforce propose sa plateforme Lightning, entièrement personnalisable, qui a fait ses preuves en tant que moteur d’efficacité et de croissance.
  4. De la mobilité – La plateforme fonctionne sur mobile et possède une application sophistiquée, ce qui signifie que les employés de l’entreprise peuvent l’utiliser partout, à tout moment, créant des possibilités illimitées en matière d’efficacité.
  5. Une communauté – Salesforce compte plus de 2,3 millions de membres qui forment une communauté solide appelée « Trailblazer », composée d’individus, de partenaires et de développeurs qui utilisent tous la plateforme et partagent leur expertise et leurs expériences. Cet accès à la communauté est un avantage immense pour votre carrière.

 

Inscrivez-vous à la formation développeur Salesforce d’OpenClassrooms dès aujourd’hui !

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De militaire à scrum master, la reconversion de Cédric

Cédric a passé 5 ans en tant que Sergent dans l’Armée de Terre, principalement en tant qu’instructeur pour les jeunes recrues. La voie militaire était logique dans son parcours car son père était légionnaire. Depuis sa reconversion, il a pu évoluer sur des missions de product management. Il est aujourd’hui comme Scrum Master au sein de la Banque Internationale de Luxembourg.

Depuis, Cédric est également devenu mentor chez OpenClassrooms pour accompagner des étudiants et renforcer ses compétences transverses.

Comment est-il passé de militaire à Scrum Master et mentor ? Portrait.

Comment as-tu réalisé ta reconversion ?

J’ai loupé le coche de reconversion avec l’armée : je n’avais pas réalisé les démarches à temps pour la préparer. Ainsi, j’ai pris les devants avec Pôle Emploi pour ouvrir les droits. J’ai pu bénéficier d’une subvention de la région pour la formation développeur web sur OpenClassrooms.

Souvent, on est redirigé vers des organismes de formation traditionnels, délocalisés par rapport aux zones d’habitation et des zones d’affectation du régiment. En termes de transport, c’est loin d’être l’idéal et les conditions ne sont pas optimales.

C’est là qu’OpenClassrooms, solution 100% en ligne, s’avère intéressante, quel que soit notre lieu de résidence.

Je connaissais déjà OpenClassrooms avant cette reconversion : lorsqu’on n’est pas en opération avec l’armée, il y a beaucoup de temps d’attente en métropole. Je suivais des cours chez OpenClassrooms pendant ces moments au régiment. Pour toute personne qui se pose la question de se reconvertir, c’est une façon de découvrir le site.

Quels défis as-tu relevés en formation ?

L’autonomie, c’est une autodiscipline qu’on a déjà en étant militaire et le développement de nos compétences est aussi inscrit dans le code du soldat. Cela ne nous change pas du quotidien.

En temps que militaire, on passe beaucoup de temps à faire des formations tout au long de notre carrière. Dans le cadre de ma reconversion, c’était plaisant car la formation OpenClassrooms est en adéquation avec les besoins du métier : c’est adapté à ce que les recruteurs recherchent.  

J’ai particulièrement apprécié l’aspect pratique, concret, et opérationnel des projets.

 

Comment OpenClassrooms t’a-t-elle accompagné ?

OpenClassrooms m’a vraiment accompagné de manière personnalisée. Des gens sont là pour vous, il y a un vrai suivi.

Petite anecdote : mon mentor était aussi un ancien militaire. Cela m’a encore plus stimulé : je me suis dis que s’il avait réussi, je pouvais aussi y arriver.

C’est une grande famille, même si on ne porte plus l’uniforme. Savoir que des mentors sont des anciens militaires nous rassure vraiment.

Quels conseils donnerais-tu à un militaire qui souhaite se reconvertir ?

L’armée est une belle expérience de vie et apporte de vraies valeurs. En revanche, il est difficile de transposer les compétences techniques militaires dans le domaine civil ; même si mon rêve d’enfant était de devenir mercenaire, j’ai vite compris que cela n’était pas possible.

Beaucoup de militaires ne vont pas vers les métiers du numérique car ils ne les connaissent pas ou peu et peuvent avoir peur de l’inconnu.

Mais au contraire, est intéressant et possible de les exercer.  Les reconversions traditionnelles sont chauffeur de poids lourd ou agent de sécurité. Si on veut être ambitieux, et évoluer de manière professionnelle, il faut choisir les métiers qui ont le vent en poupe et de l’avenir. De plus, on peut acquérir des compétences et des connaissances tout en étant soldat.

Pour réaliser et réussir une reconversion, on peut appliquer certaines règles présentes dans le code du soldat : autodiscipline, introspection, rigueur. Les “soft skills” qu’on obtient à l’armée permettent aussi de réussir une formation. Il faut s’appuyer dessus et oser s’ouvrir à des perspectives nouvelles.  

À propos des auteurs de cet article

Aurélie est Mentorship Manager chez OpenClassrooms. Elle fait partie de l’équipe qui sélectionne les meilleurs profils de professionnels et accompagne les mentors tout au long de leur expérience chez OpenClassrooms, leur garantissant une bonne collaboration.

 

 

Antoine est responsable partenariats chez OpenClassrooms. Il fait partie de l’équipe qui permet aux publics éloignés de l’emploi (notamment les jeunes décrocheurs, vétérans de l’armée ou encore réfugiés) d’accéder à une formation pour faire avancer leur carrière.

L’article De militaire à scrum master, la reconversion de Cédric est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.

Julien, à la conquête d’un métier qui lui correspond

Après avoir mis de côté ses prédispositions pour le graphisme au profit d’un emploi stable et sécuritaire dans l’industrie pharmaceutique, Julien Butty a repris sa carrière en main. Il se dans la formation Développeur PHP/Spmfony pendant près de deux ans chez OpenClassrooms et trouve un emploi dans une agence qui lui plaît avant même la fin de sa formation. Récit d’un parcours atypique mais tout en contrôle.

Stabilité versus passion

À la fin du lycée, Julien pense mettre à profit ses compétences créatives pour travailler dans le graphisme, mais tout ne se passe pas comme prévu : “Au départ, j’ai suivi un parcours assez classique, j’ai eu un bac ES puis je suis parti en BTS communication visuelle. J’avais une prédisposition pour le dessin mais suite à de mauvais choix, j’ai malheureusement raté ces études. Après un job d’été, j’ai eu l’opportunité d’obtenir un poste dans le domaine pharmaceutique : j’élaborais des solutions antibiotiques en suivant des étapes de préparation ».

Même si ce n’était pas ce que je souhaitais faire à la base et que j’avais l’impression d’avoir régressé en terme de compétences, le salaire était confortable et je suis resté près de quinze ans dans l’entreprise.

Julien se sent piégé dans son emploi sécuritaire qui ne correspond pas à ses envies et ressent le besoin d’évoluer. Il prend d’abord un congé sabbatique pour s’essayer à la vente immobilière mais cela ne lui convient pas davantage : “J’ai tenté ma chance mais ça ne correspondait pas du tout à mon caractère, je suis donc retourné auprès de mon employeur ».

J’avais en tête de revenir à mes premiers amours, mais mon diplôme était obsolète et le milieu du graphisme semblait saturé à ce moment-là.

« Au cours d’une discussion, une web designer m’a conseillé de me renseigner sur les formations de développement proposées par OpenClassrooms. Je souhaitais vraiment obtenir un diplôme reconnu par l’État donc la plateforme m’a séduit. Je viens de terminer la formation développeur d’applications PHP/Symfony. “

Une reconversion au timing impeccable

Julien conserve son emploi dans l’entreprise pharmaceutique en parallèle de sa formation. Malgré quelques périodes de pause, il a bouclé son parcours récemment et a opéré avec succès sa transition dans le domaine du développement digital et informatique.

Avant la fin de la formation, je ne me sentais pas forcément prêt à intégrer une agence mais j’avais mis à jour mon profil sur LinkedIn malgré tout. De nombreux recruteurs sont venus à moi, à qui je n’ai pas donné de réponse favorable jusqu’à ce que je tombe sur une agence qui semblait me convenir. Les entretiens se sont très bien passés, c’était bienveillant et ils m’ont fait passer un test technique ».

Mon manque d’expérience pouvait inquiéter un peu mais le fait de montrer que ma reconversion était une décision réfléchie a plu.

« J’ai donc intégré l’agence 4 mois avant la fin de ma formation chez OpenClassrooms, et pour l’instant je travaille sur deux projets qui m’ont été assignés : l’élaboration d’un CRM pour créer des contrats et l’accompagnement d’un bailleur social dans la résolution de problèmes et la création de nouvelles fonctionnalités. J’évolue tranquillement grâce au soutien de l’équipe et je suis vraiment satisfait.”

Aujourd’hui, Julien est donc développeur back-end Symfony PHP alors qu’il n’avait pas de connaissances particulières en informatique initialement. Il a commencé son nouveau travail deux jours après la fin de son contrat avec son ancien employeur pharmaceutique. “Au départ, on a le syndrome de l’imposteur car on doit réaliser des choses que l’on ne sait pas faire. Mais dans le développement, l’assimilation de certains concepts prend du temps et ce sont des étapes normales à franchir ».

Il ne faut pas avoir peur, ni se décourager mais plutôt appréhender la résolution de problèmes de code comme un jeu.

Pour aller plus loin :

L’interview de Julien sur le blog de l’agence Novaway pour laquelle il travaille.

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Du musée à la gestion de projet digital, le rebondissement de Noémie

Comme bon nombre de diplômés, Noémie peine à à trouver un poste qui lui convient à la sortie de ses masters dans le domaine de l’art. Contrainte d’envisager une reconversion professionnelle, elle décide de compléter son profil créatif par des compétences plus techniques en développement web. Histoire d’un rebondissement à plusieurs casquettes !

Initialement, quel a été ton parcours universitaire ?

J’ai une licence d’histoire de l’art et archéologie, un master en gestion du patrimoine et un autre master en régie d’exposition, montage des œuvres.

Quelles ont été tes expériences professionnelles avant la formation OpenClassrooms ?

Après mes diplômes, je cherchais un poste de régisseuse d’œuvres d’art dans les musées. Le régisseur, c’est le chef de projet des musées. C’est un poste qui requiert notamment des savoirs techniques concernant la conservation des œuvres : leur transport, la gestion des emprunts des œuvres par un musée ou un autre, la gestion des assurances, la logistique et les équipes. Malheureusement, le secteur de la culture étant relativement bouché, je n’ai jamais trouvé d’opportunités qui me correspondaient.

J’avais réalisé des stages mais à l’embauche on me reprochait mon manque d’expérience.

Qu’est-ce qui t’a donné envie de vous former à nouveau ?

J’ai enchaîné les petits boulots et en parallèle j’ai participé à plusieurs ateliers sur la reconversion professionnelle, comme je voyais que c’était très compliqué de trouver un poste dans l’art. Au cours de ces ateliers, j’ai découvert l’infographie qui m’a beaucoup plu, comme j’ai un profil créatif. Puis petit à petit, je me suis orientée vers le web design, j’ai obtenu un poste en CDI dans un lycée agricole où on m’a demandé d’administrer le site internet et là j’ai eu envie d’acquérir de vraies compétences dans le domaine.

Comment as-tu découvert OpenClassrooms ?

Un proche m’a parlé d’OpenClassrooms et j’ai commencé à suivre les cours en ligne gratuits en développement web par curiosité.

J’ai trouvé ça passionnant.

Quelle formation as-tu suivie ?

J’ai tout de suite été intéressée par le développement, qui selon moi est très créatif aussi. J’ai pensé que le parcours chef de projet multimédia spécialisé développement serait encore plus professionnalisant qu’une formation en web design, et donc c’est ce que j’ai choisi. Mon parcours a été financé par Pôle Emploi à partir de février 2018. 

Quelles sont les compétences que tu as acquises ?

J’ai appris à réaliser des livrables en respectant un cahier des charges, mais aussi une note de cadrage. J’ai découvert la méthodologie de la gestion de projet, pour établir un rétroplanning, travailler en cascade. Du point de vue développement, ce sont des compétences en back-end que j’ai acquises pour l’instant, ce qui m’a donné envie à l’avenir de me former également pour le front-end.

Quels ont été tes projets de mise en pratique ?

Au cours de la formation, j’ai fait un stage de plus de deux mois dans une agence digitale spécialisée dans le print. C’était une petite boîte, donc j’ai touché à tout, c’était génial, très pratique : gestion de projet, développement CMS, travail de logo, maîtrise de la suite Adobe.

Suite à la formation OC, comment s’est déroulée ta recherche d’emploi ?

J’ai envoyé une candidature à une agence que je connaissais et j’ai présenté les projets que j’avais réalisés au cours de la formation et qui étaient en ligne. Au cours de l’entretien, j’ai dû expliquer comment j’avais gérer ces projets d’un point de vue technique.

C’est la dimension autodidacte de la formation OpenClassrooms que j’ai pu mettre en avant : le fait que je puisse montrer que je savais travailler en autonomie a plu.

J’ai aussi pu valoriser mon expérience de stage polyvalent. Finalement, c’est aussi mon profil très complet grâce à ma reconversion qui a séduit : je fais du graphisme, du développement, de la gestion de projet, j’ai un esprit créatif et curieux.

Quels sont tes conseils aux personnes qui souhaitent se reconvertir ou se former mais n’osent pas vraiment sauter le pas ?

Il faut être confiant, écouter ses désirs et sa volonté d’avancer.

Néanmoins, le pré-requis pour ce type de formation est d’avoir déjà un projet professionnel défini en tête, de savoir travailler en autonomie et de gérer son propre emploi du temps, ce qui n’est pas forcément évident pour tout le monde. Ce sont des domaines dans lesquels on ne trouve pas toujours les solutions immédiatement donc il faut rester motivé malgré tout. OpenClassrooms est justement fait de telle sorte qu’on ne vous donne pas les solutions bêtement, les mentors vous guident, expliquent et vous amènent à comprendre vos erreurs pour les résoudre par vous-même. C’est très formateur quand on a vraiment  envie d’apprendre.

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Thomas, le développeur globe-trotteur

Thomas Proust a étudié les langues étrangères appliquées en anglais et japonais, mais c’est en Allemagne qu’il démarre sa vie professionnelle en tant que commercial. Sans transition ou presque, c’est au Japon qu’il part ensuite s’installer et travailler en freelance. C’est là-bas aussi qu’il entreprend une reconversion grâce à OpenClassrooms et s’initie à la programmation et au développement informatique.

De la vente à la programmation

Rien ne semblait prédestiner Thomas à se lancer dans le développement puisqu’il s’est initialement formé aux langues étrangères.

« J’ai fait un master en langues étrangères appliquées à Lyon, puis comme je n’arrivais pas à trouver de stage au Japon mais que je souhaitais avoir une expérience à l’étranger, je suis parti en Allemagne. J’étais product manager dans la pharmaceutique, je vendais des tests de dépistage rapide. J’ai ensuite déménagé au Japon où je me suis installé comme auto-entrepreneur dans le trading international. J’achetais des conteneurs d’emballages alimentaires en Asie que je revendais en France. »

Paradoxalement, Thomas confie ne pas être particulièrement à l’aise dans le domaine de la vente et avoir voulu s’engager dans une voie plus pratique :

« J’ai toujours voulu créer des choses, mais je n’ai pas une fibre très artistique. Quand j’ai découvert la programmation, cela m’a plu de voir que je pouvais créer des choses de cette façon-là, sans forcément avoir de talents artistiques. C’était une complète reconversion.

J’avais déjà suivi plusieurs tutoriels sur OpenClassrooms et cela m’avait intéressé. C’est quelque chose qui m’a toujours attiré et donc j’ai décidé de me lancer dans le parcours développement. Mon idée était vraiment de réussir à travailler à temps plein dans ce domaine par la suite. »

Recherches d’emploi entre le Japon…

À l’issue de sa formation chez OpenClassrooms, Thomas laisse définitivement tomber la vente au profit du développement informatique.

« Au début de la formation, je continuais à travailler en freelance en parallèle.

Puis à la fin du parcours, ça n’a pas été simple pour moi de trouver un emploi ici sur place car je ne suis pas tout à fait bilingue en japonais. En France, les postes de développeur en remote ne sont pas encore très nombreux, et encore moins lorsqu’il y a 8h de décalage horaire. J’ai poursuivi mes recherches pendant quelques mois tout en continuant à me former et me spécialiser sur des technologies comme le blockchain. »

Thomas trouve finalement un poste de développeur full stack au sein de l’entreprise dans laquelle sa femme travaille et dont le domaine d’expertise est justement le blockchain.

« Ce qui les a intéressés lors de l’entretien, c’est de voir ce que j’avais déjà réalisé.

Je me suis vraiment fait la main avec les 5 projets du parcours OpenClassrooms et j’ai pu mettre cela en avant. Notamment le dernier projet qui m’a amené à élaborer un livre jeu, avec des choix à faire à chaque page et qui représentait un gros travail en développement back end. »

… Et la France

Thomas a plus d’un tour dans son sac puisqu’après plusieurs années passées au Japon avec sa famille, il souhaite revenir s’installer en France. Il se remet donc rapidement à la recherche d’un poste ici : « J’ai postulé à une annonce sur LinkedIn, il y avait 2-3 autres candidats en lice et malgré la distance, cette fois-ci, c’est moi qu’ils ont sélectionné. C’est une start-up spécialisée dans la technologie blockchain également. Je travaille pour l’instant en freelance pour eux et ils attendent mon retour en France pour me prendre en CDI. » Thomas jongle donc en ce moment avec deux emplois différents, entre les deux pays.

À la suite de son expérience, il conseille vivement à ceux que le domaine attire de tenter leur chance : « Le développement informatique peut être très frustrant mais si on aime, il faut persévérer car il y énormément d’offres d’emploi en ce moment. Même lorsqu’on est en poste, les recruteurs nous abordent régulièrement.

Toutes les semaines, je reçois 4-5 demandes d’entreprises alors que je ne suis pas en recherche d’emploi. »

Effectivement, Thomas n’est plus en recherche et semble avoir son compte pour le moment : reconversion réussie.

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Quelles sont les différentes spécificités du métier de développeur en 2017 ?

Depuis 2011 Stack Overflow interroge les développeurs sur leurs technologies préférées, leurs habitudes de codage et leurs préférences de travail. Cette année, 64 000 développeurs ont répondu à l’appel pour vous révéler les outils et les tendances de leur métier pour cette année 2017.

Profil du développeur 2017 :

Près des trois quarts des répondants s’identifient comme développeurs web, bien que beaucoup aient également déclaré qu’ils travaillent à créer des applications de bureau et des applications mobiles.

Types de développeurs spécifiques:

La grande majorité des développeurs web sont des développeurs web complet, à savoir à la fois de back-end et front-end.

Du côté des développeurs mobiles, il y a une forte préférence pour le développement sur Android, comme en témoigne ce graphique :

Les langages de programmation :

1/ Top 10 des langages de programmation en forte croissance :

Pour la cinquième année consécutive, JavaScript est le langage de programmation le plus couramment utilisé. Et encore une fois, SQL prend la deuxième place, et Java troisième. La grande nouvelle cette année, est que, pour la première fois en cinq ans l’utilisation de Python a dépassé PHP !

2/ Le top 10 des langages les plus demandés par les employeurs :

JavaScript et SQL sont les langues les plus populaires sur les développeurs web et les développeurs d’applications bureautiques.

Côté outil d’environnement, Visual Studio reste l’outil développeur le plus populaire pour les développeurs web et les développeurs d’applications bureautiques.

Les statuts d’emploi des développeurs :

En france, plus de 80% des développeurs sont employés à temps complet. Seuls 10% travaillent en indépendants.

Où travaillent-ils ?

Plus de développeurs travaillent pour les logiciels et les entreprises Internet / Web que n’importe quelle autre industrie, mais on retrouve également des développeurs dans diverses industries à travers l’économie.

Par ailleurs, nous imaginons souvent des développeurs travaillant dans des start-up, mais dans le monde entier, environ 9% seulement des développeurs travaillent dans les start-up. La majorité des développeurs travaillent dans des sociétés cotées en bourse ou des sociétés privées !

Méthodologie et contrôle de version

Les méthodologies les plus populaires pour les développeurs sont la méthode Agile et la méthode Scrum, utilisées par plus de 60% d’entre eux, pour maintenir leurs projets sur la bonne voie !

Du côté du contrôle de version, Git est unanimement plébiscité !

La Formation avec OpenClassrooms

Plus d’une dizaine de parcours diplômants vous attendent sur notre site pour vous former au développement https://openclassrooms.com/paths?q=&hPP=12&idx=prod_PATHS_fr&p=0&hFR%5Btags.id%5D%5B0%5D=1457&is_v=1

Inscrivez-vous dès maintenant et commencez votre formation dès aujourd’hui !

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L’histoire de Kévin : de gendarme à développeur

À 25 ans, Kévin a déjà plusieurs carrières et reconversions à son actif. La dernière en date ? Il s’est formé au développement chez OpenClassrooms alors qu’il était encore en poste dans la gendarmerie. Aujourd’hui, il travaille dans une agence de communication à Bordeaux. Récit d’un parcours atypique et réussi.

Initialement, quel a été ton parcours universitaire et professionnel ?

Après le bac, je suis parti en fac de droit. J’ai arrêté au bout d’un an car je n’aimais pas l’ambiance de travail et le droit ne me convenait pas non plus. J’ai donc passé un concours pour devenir sous-officier de gendarmerie. Je l’ai eu, mais il y avait un an d’attente pour entrer dans l’école donc en attendant j’ai officié chez les pompiers. À ma sortie de l’école, je suis resté dans la gendarmerie quasiment quatre ans.

Qu’est-ce qui t’a donné envie de te former à nouveau ?

Je me suis rendu compte que ce n’était pas la vie dont je rêvais. Il fallait donc que je trouve une porte de sortie puisque je n’avais pas de diplôme.

Depuis tout jeune, je connaissais OpenClassrooms (ndlr via le Site Zéro), j’avais fait les tutos pour apprendre à coder. Le web a toujours été un milieu qui m’intéressait mais jusqu’à présent je ne pensais pas forcément que je pouvais en faire un métier. En découvrant les formations proposées, je me suis dit que ça me correspondait et que j’allais pouvoir faire un métier qui me plaisait. J’ai donc choisi un parcours spécialisé en développement ».

Comment s’est passée ta formation ?

La formation a duré un peu plus d’un an, je l’ai entamée alors que j’étais encore en poste à la gendarmerie. C’était un peu compliqué de tout gérer en même temps mais j’ai réussi à m’organiser malgré tout, jusqu’au moment où j’ai décidé de démissionner.

Pendant la formation, on est suivi par un mentor avec qui on communique toutes les semaines, qui nous guide et qui valide la soutenance finale.

Quelles compétences as-tu acquises ?

D’un point de vue du code, j’ai appris énormément de choses. La formation est complète car on apprend des notions assez générales de développement front, de développement back. J’ai eu aussi des cours de gestion de projet, c’est quelque chose avec lequel je n’étais pas familier et aujourd’hui, je me rends compte que c’est vraiment utile au quotidien dans mon travail. Je suis capable de lire un cahier des charges, une note de cadrage, etc.

Selon ce qui nous convient mieux, on peut ensuite se spécialiser. Comme je préférais coder, je me suis davantage investi dans le développement.

Après la formation, comment s’est déroulée ta recherche d’emploi ?

En fait après ma démission de la gendarmerie, j’ai commencé à chercher un emploi, même si je n’avais pas encore complètement terminé la formation. Au bout d’un mois, j’ai eu deux entretiens dont un concluant et j’ai obtenu un CDI dans une agence de communication.

Comment as-tu valorisé ta reconversion et mis en avant ton passage chez OpenClassrooms ?

Mon parcours atypique a plu et comme pendant la formation, on a six projets à rendre sur des thèmes différents, on se constitue un portfolio et donc on a déjà des choses à montrer lors des entretiens d’embauche. J’avais déjà dû créer des sites web, donc c’est comme si j’avais déjà eu une expérience.

Les recruteurs ont apprécié la dimension autodidacte d’OpenClassrooms. Ça démontre une certaine discipline et une rigueur d’être capable de se former de chez soi à distance.

Aujourd’hui, quelles sont tes missions au quotidien ?

Je suis développeur dans une petite agence de communication, Weglio, depuis 10 mois. Jusqu’à présent, ils externalisaient les missions et aujourd’hui c’est moi qui m’en charge à plein temps. On élabore des sites, on fait du community management, du référencement, du web marketing. Moi, je fais surtout du code, de façon assez variée puisque ça peut être de la mise en page, de l’amélioration de rendu, de l’intégration de maquette. Je fais aussi souvent de la création de back office, de système de paiement. Comme je suis le seul développeur, je jongle entre le développement front end et la grosse partie back end.

Est-ce qu’à l’issue de la formation, tu avais le sentiment d’avoir les compétences nécessaires pour t’intégrer en entreprise ?

Au début, j’avais peur de me retrouver devant des projets que je ne pourrais pas gérer mais la formation m’avait vraiment bien préparé.

L’avantage chez OpenClassrooms, c’est aussi qu’il y a une grosse communauté de mentors et d’étudiants qui est très active donc je savais que je pouvais demander de l’aide en cas de besoin.

Ça m’a rassuré et pour le moment, il n’y a pas eu de problèmes que je ne savais pas résoudre.

Je me suis rendu compte que j’avais acquis de véritables compétences en développement.

Une de mes premières missions quand je suis arrivé dans l’agence par exemple, a été de devoir reprendre un site qui avait déjà été codé. Or, reprendre le code de quelqu’un d’autre, c’est assez compliqué et encore une fois, tout s’est bien passé finalement.

Quels sont tes conseils aux personnes qui souhaitent se reconvertir ou se former mais n’osent pas sauter le pas ?

Au départ, je pensais vraiment que la promesse OpenClassrooms était trop belle pour être vraie. Mais quand on n’est pas bien dans son travail, s’il y a une petite porte vers une amélioration, il faut tenter sa chance.

La formation est tout à fait accessible, même en étant encore en poste à côté. On est tellement bien accompagnés que ça se passe sans difficulté. Chaque projet est bien pensé et même à distance, on est finalement mieux suivis qu’à l’école ou à la fac grâce à l’investissement des mentors.

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Comment devenir développeur ?

Le métier de développeur est de plus en plus demandé par les entreprises et pour lequel de plus en plus de personnes se forment. Mais comment devient-on un bon développeur et quelle est la meilleure façon d’apprendre ?

Adrien Guéret est développeur front-end chez OpenClassrooms. Il nous a partagé sa vision du métier et quelques conseils pour les développeurs en devenir.

 

L’envie d’avoir envie

 

De nombreuses formations existent pour se familiariser avec le développement web et elles n’exigent généralement pas d’autres pré-requis que d’avoir un ordinateur qui fonctionne.

Cependant, pour Adrien, ce qui fait la différence et permet de se distinguer des autres, est d’être passionné par le sujet : “Je trouve magique de pouvoir construire quelque chose, de coder puis de voir des choses apparaître et de pouvoir interagir avec. On ne peut pas tous être passionnés mais si on ne l’est pas, ce n’est pas la bonne démarche selon moi. Il faut être prêt à investir du temps, à passer sa journée devant l’ordinateur, à éventuellement avoir des projets persos en dehors du travail.

Au-delà d’une bonne formation ou d’un diplôme, ce qui fait la différence sur le marché, c’est de pouvoir présenter un book de projets déjà réalisés pour montrer sa motivation.”

S’il y a des bases théoriques à connaître, pour le métier de développeur, rien de plus efficace que la pratique. Le premier site qu’a créé Adrien était un fansite autour du jeu vidéo Super Mario : “Sur mon ordinateur, j’avais une page de tutoriel, une page de code et la page du site, et j’avançais comme cela pas à pas. Le site était horrible mais il fonctionnait et c’est comme ça que j’ai appris beaucoup plus qu’au cours de ma formation à SUPINFO. Se lancer dans son propre projet permet de faire face à ses propres limites, ses propres problématiques, ça motive.”

 

Le goût des problèmes & le mythe du canard

 

Selon Adrien, il y a deux qualités essentielles à avoir ou à acquérir pour être un bon développeur : être patient et curieux.

Ça arrive très souvent qu’on bute sur des problèmes, qu’on ne comprenne pas, qu’on doive se remettre en question et il faut aimer ça. Hier par exemple, j’ai passé la journée sur un bug que je ne comprenais pas et donc que je n’arrivais pas à résoudre.

Mes collègues n’ont pas réussi à m’aider, en faisant des recherches sur Internet, je n’ai pas trouvé la solution non plus car le problème était trop spécifique. Donc, c’était vraiment à moi d’analyser la situation, d’avancer pas à pas pour comprendre ce qui n’allait pas et trouver mon erreur avec du recul.

La clé pour devenir développeur, c’est persévérer, ne pas se décourager même comme les résultats ne sont pas immédiats, avoir confiance en sa capacité à trouver des solutions et ne pas douter de ses compétences au premier obstacle rencontré.

Dans le milieu, le mythe du canard illustre justement à quel point le métier de développeur repose sur la résolution de problèmes avant tout : “Souvent, quand on est bloqué seul devant un problème, on a la tête dans le guidon et on tourne en rond sans réussir à comprendre. Du coup, on recommande d’avoir un canard en plastique, ou une peluche, ou simplement un objet intermédiaire à qui on va parler et exposer le problème. Généralement, le simple fait d’énoncer le problème à voix haute permet de percuter et de cibler là où cela bloque. Cela paraît simpliste mais c’est très efficace et nous permet de ne pas déranger ses collègues à chaque fois que l’on rencontre une difficulté.”

 

Veille et formation en continue

 

Le domaine du développement web est en plein essor en ce moment et c’est un milieu qui évolue très rapidement. Il est donc essentiel pour un développeur de rester en veille permanente et de toujours chercher à actualiser ses compétences.

Adrien le constate et l’explique bien :

Même si le poste est similaire, le métier que je fais aujourd’hui n’a rien à voir avec le métier que je faisais il y a encore trois ans. Ce n’est pas la même technologie, pas la même philosophie, donc c’est important de se remettre sans cesse en question et de rester à la page. On peut être bon dans un domaine mais toujours avoir l’humilité de se dire qu’on a encore des choses à apprendre avant d’être un expert. Aujourd’hui, je vois des seniors en recrutement, ils n’ont pas su évoluer et ils sont bloqués dans ce qu’ils savent faire sans pouvoir s’adapter au marché actuel. “

Indispensable donc pour un développeur de ne pas se reposer sur ses lauriers et d’être suffisamment passionné et curieux là encore, pour ajuster ses compétences continuellement.

 

Pour aller plus loin :

 

  • Adrien recommande la newsletter de React : http://reactjsnewsletter.com/.
  • À suivre aussi, les comptes Twitter : @JavaScriptDaily ; @css ; @the_jsf ; @LeaVerou.

 

À propos d’Aglaé : 

Aglaé est auteur-rédacteur. Elle a fondé Word Shaper, une agence créative qui propose des services d’écriture, de consulting et de conception.

 

 

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8 raisons de devenir développeur mobile

Faire un choix de carrière n’est jamais facile, où que vous en soyez dans la vie. Que vous démarriez votre vie professionnelle ou que vous souhaitiez faire un changement de carrière, le nombre d’options qui s’offrent à vous peut être impressionnant.

Mais avez-vous envisagé le métier de développeur mobile ? Si ce n’est pas le cas, sachez qu’il existe d’excellentes raisons d’étudier le développement mobile. En voici huit.

 

1 — Les développeurs mobiles gagnent plus d’argent

Le salaire annuel d’un développeur mobile débutant est compris entre 43 000 et 51 000 €, alors que celui d’un développeur web débutant est compris entre 29 000 € et 34 000 €. Cette différence de revenus est largement due à la faible quantité de développeurs mobiles disponibles et à la forte demande.

2 — L’utilisation de smartphones ne cesse d’augmenter

En 2017, plus de la moitié de la population mondiale possédait un smartphone, ce qui représente une augmentation de 30 % par rapport à 2016. Le taux de pénétration du marché augmente à une vitesse sans précédent, ce qui se traduit par une hausse du nombre d’emplois dans le développement mobile.

3 — La demande en développeurs mobiles est forte

D’après des données recueillies par StackOverflow, le développement iOS et le développement Android sont deux des trois domaines principaux souffrant d’une offre de main d’œuvre faible pour une demande importante.

 

Quels sont les domaines où la demande est forte ?

 

Il y a une importante demande en développeurs back-end web/cloud, iOS, Android, et DBA SQL.

4 — Vous pouvez gagner de l’argent en vendant votre application

Si vous êtes capable de développer votre propre application mobile, vous serez peut-être également en mesure de de générer une source de revenu en la rendant disponible à l’achat dans l’App Store ou sur Google Play. Avec des compétences en développement mobile, il vous suffit d’une bonne idée et le monde s’offre à vous.

5 —  Vous pouvez apprendre en ligne sans quitter votre emploi actuel

Avec un accès à l’éducation en ligne toujours plus facile, vous pouvez conserver votre emploi actuel pendant que vous étudiez le développement mobile. Vous pouvez étudier le développement iOS ou Android sur OpenClassrooms et faire les choses à votre rythme, en fonction de vos disponibilités.

6 — Le développement d’applications mobiles a un impact plus direct sur l’utilisateur final

Contrairement au développement web front-end et back-end, le développement d’une application mobile a un impact plus immédiat et direct sur l’utilisateur final. La capacité d’une application mobile à accéder à la localisation, aux contacts et à l’agenda de l’utilisateur rend l’expérience utilisateur plus personnalisée, et si vous souhaitez travailler sur des projets à fort impact, le développement mobile pourrait vous correspondre.

7 —  Vous rejoindrez une communauté

Il y a de très nombreux développeurs mobiles et un grand nombre d’entre eux peuvent être trouvés sur internet. Si vous rencontrez des problèmes sur un projet ou si vous souhaitez simplement échanger avec des personnes partageant votre métier, vous aurez toute une communauté à portée de clic.

8 — Vous serez en apprentissage permanent

Le développement mobile est non seulement un domaine relativement nouveau, mais il est également en constante évolution. Il est idéal pour tous ceux qui ont peur de s’ennuyer dans leur métier ou qui souhaitent apprendre tout au long de leur vie, car vous aurez toujours des choses nouvelles sur lesquelles travailler.

 

Vous êtes prêt à sauter le pas ?

 

Si vous envisagez sérieusement de vous lancer dans le développement mobile, OpenClassrooms peut vous aider à atteindre vos objectifs.

Nos parcours diplômants en ligne sont centrés sur des projets professionnalisants que vous pouvez suivre à votre rythme. Ils vous donnent également accès à des sessions de mentorat hebdomadaires avec des experts du milieu qui visent à s’assurer que vous allez dans la bonne direction.

Et comme nous sommes sûrs que vous trouverez un travail après l’obtention de votre diplôme, nous vous proposons notre dispositif Emploi Garanti, qui vous assure un remboursement de votre parcours si vous ne trouvez pas d’emploi dans les six mois suivant l’obtention de votre diplôme.

 

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Petit guide de survie pour comprendre le développement… En partant de zéro !

Qui maîtrise Internet, maîtrise le monde”. Cette citation de Christophe Bonnefont annonce bien la couleur : pour ne pas être largué dans un monde du travail toujours plus 2.0, il est bien de se renseigner plus avant sur les nouveautés numériques.

En effet, Internet est passé d’une base modeste de moins de 500 millions d’utilisateurs en 2000 à plus de 3 milliards d’utilisateurs en 2015. On prévoit d’ailleurs 1.1 milliard d’utilisateurs supplémentaires dans les 5 prochaines années. Son taux de croissance exponentiel rime aussi avec création d’emplois. Pourquoi pas le vôtre ?

Je m’appelle Joffrey, et je suis développeur web. Je serai heureux de vous guider pour apprendre les fondamentaux de mon métier. Qu’est-ce qu’un développeur ? Comment apprend-t-on ce métier ? Qui est-il dans l’écosystème de la tech ? Suivez le guide.

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Qu’est-ce qu’un développeur Web ?

 

C’est la personne qui réalise un site Web à partir du design transmis par les équipes UI. Elle le fait en codant, à l’aide d’une variété de langages informatiques. Les développeurs Web utilisent l’anglais, et le traduisent en une langue comprise par un ordinateur, telle que le HTML ou le CSS.

Comme vous pouvez l’imaginer, cela prend beaucoup de temps et demande des efforts, et nécessite une compréhension des différents langages de programmation et de la façon dont ils sont utilisés. Bien sûr, rien d’insurmontable, surtout si vous suivez nos cours gratuits sur OpenClassrooms.

Différents types de développeurs se spécialisent dans différents domaines, ce qui signifie que les grands projets Web constituent généralement une collaboration entre plusieurs développeurs.

Envie de vous mettre au HTML et au CSS ? Par ici pour suivre gratuitement le cours de Mathieu Nebra.

 

Que fait un développeur Web ?

 

Un développeur Web crée et gère des sites Web en tenant compte du client et du consommateur. En d’autres termes, il met en place sur le site Internet les produits et services offerts par le client, et indique comment les utilisateurs peuvent y accéder. Par exemple, un client peut vouloir un formulaire pour capturer l’email d’un utilisateur final afin de demander des informations supplémentaires, envoyer une newsletter ou remercier un client pour son activité.

Le développeur Back-end se concentre sur la configuration de l’arrière-plan d’un site, tandis que le développeur Front-end autre élabore le côté utilisateur, ce qu’on voit directement sur le site, pour créer le style et les fonctionnalités du site Web lui-même.

Voici concrètement la différence entre ces deux spécialités.

 

Développeur Front-end

 

Le Front-end, c’est partie d’un site Web que la plupart des gens connaissent. C’est ce que vous voyez lorsque vous visitez un site Web. Tout, des images aux vidéos, en passant par les formulaires et les menus déroulants, tout ce que vous pouvez voir, entendre ou cliquer, fait partie du Front. Si vous êtes plus créatif, c’est probablement la spécialité qui vous intéressera le plus.

 

Développeur Back-end

 

Le développeur Back-end travaille généralement avec 3 éléments : le serveur, une application et une base de données.

Si vous réservez un vol ou achetez des billets de concert, vous ouvrez généralement un site Web et interagissez avec le Front-end du site web. Une fois que vous avez entré ces informations, l’application les stocke dans une base de données créée sur un serveur. Par souci de facilité, imaginez une base de données comme une feuille de calcul Excel géante sur votre ordinateur, mais qui dont le serveur est stocké quelque part en Arizona.

Toutes ces informations restent sur le serveur. Ainsi, lorsque vous vous reconnectez à l’application pour imprimer vos billets, elles sont toujours présentes dans votre compte.

Cette personne qui construit les coulisses du site est un développeur Back-end.

 

Développeur Full-stack

 

Les développeurs Full-stack connaissent le côté serveur ainsi que l’expérience utilisateur côté front. Ils savent donc comment chaque étape du processus de développement Web se déroule et peuvent guider la stratégie et les meilleures pratiques.

Ces développeurs joueront un rôle de plus en plus important dans le développement Web et seront en mesure d’envisager la situation dans son ensemble.

Souvent, on devient développeur Full-stack en acquérant de l’expérience, au fil de sa carrière.

 

Développeur Mobile

 

Un développeur mobile est un professionnel spécialisé dans le développement de logiciels ou de systèmes pour appareils mobiles. Ce rôle est devenu populaire car de plus en plus de e-boutique et/ou d’autres interactions numériques ont lieu via les smartphones et moins par le biais des ordinateurs.

À mesure que les smartphones évoluent, le responsive design et d’autres facteurs ont facilité la migration des consommateurs vers les plates-formes mobiles, ce qui rend le développeur mobile très demandé.

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Pour conclure, il existe actuellement une demande croissante de développeurs Web et peu de personnes possédant les compétences et les qualifications nécessaires pour pourvoir les postes. Il s’agit d’un marché en croissance constante et il n’y a aucun signe de ralentissement immédiat. 

Si vous souhaitez devenir un développeur Web, vous devrez d’abord choisir entre le développement front-end, back-end, full-stack ou mobile. Vous aurez besoin d’apprendre les langages pertinents et de vous exercer à construire des sites Web et les applications qui les exploitent.

Bonne chance, amusez-vous et commencez à apprendre.

Et pour bien vous mettre dans le bain du développement, suivez le cours : « Comprendre le web » de Mathieu Nebra.

À propos de Joffrey : 

Salut 👋, je suis Joffrey, développeur web basé sur Paris. Je suis passionné par WordPress, l’e-marketing et 

l’écriture d’articles sur des sujets Tech. Freelance depuis plusieurs années, je partage avec vous des tutos, des conseils et mon expérience afin que vous puissiez mieux gérer vos projets web.

 

 

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Le mythe de l’étudiant paresseux

Dans cet article, nous abordons ce que signifie être paresseux et ce que peuvent faire les éducateurs, les mentors et même les managers s’ils soupçonnent un étudiant ou un employé de l’être.

Nous connaissons ce type de personnes : l’étudiant paresseux qui refuse de travailler sur son projet ou encore un collègue talentueux qui semble ne pas faire beaucoup d’efforts. Nous avons tous accusé quelqu’un ou bien nous-même d’être « paresseux », mais qu’est-ce que cela signifie vraiment ?

 

Définir la paresse

 

D’après le dictionnaire, une personne paresseuse est « peu disposée à travailler ou à dépenser de l’énergie ». Qu’y a-t-il de mal à cela, au fond ?

La paresse est sans doute l’un de nos instincts les plus naturels. Du point de vue de l’évolution, si nous remontons suffisamment loin, il n’y avait aucune raison de faire un effort sans récompense immédiate. Nous conservions notre énergie et l’utilisions seulement comme mécanisme de survie afin de nous protéger des prédateurs.

Mais même aujourd’hui, qui fait un effort physique ou mental sans obtenir une quelconque forme de récompense ? L’étudiant motivé et déterminé veut obtenir son diplôme pour construire une carrière. Le travailleur acharné veut faire la différence, obtenir une augmentation et peut-être même une promotion. L’amateur de fitness veut améliorer ses performances physiques.

 

Le demandeur d’emploi paresseux

 

Et qu’en est-il du demandeur d’emploi soi-disant paresseux qui ne semble faire aucun effort pour trouver un emploi ? En septembre 2018, on comptait environ 16,4 millions de chômeurs dans l’Union Européenne (avec un taux de chômage moyen de 6,7 %) pour trois millions de postes à pourvoir. Les sans-emploi européens se font concurrence le plus souvent dans des domaines dont ils ne connaissent rien, avec un emploi pour 5,5 demandeurs. Les chiffres sont en apparence meilleurs aux États-Unis avec 6,9 millions d’offres d’emplois pour 6,02 millions de demandeurs d’emploi en novembre 2018, mais l’inéquation entre les compétences demandées et les compétences disponibles atteint un point critique.

Que peut alors faire un demandeur d’emploi ? Pas grand-chose, à part avoir foi en sa capacité à se former avec peu d’aide et réussir à obtenir l’un de ces emplois si convoités ou même créer son propre emploi.

 

Être tourné vers l’avenir

 

Il ne suffit pas d’être optimiste. Parfois, lorsque la récompense future est ou paraît impossible à atteindre, il semble peut-être logique de ne pas essayer. Par exemple, prenons un étudiant paresseux et perdu.

Peut-être que personne dans son entourage ne possède un diplôme ou une carrière de haut vol. Il n’a jamais vu personne travailler sur un projet à long terme. Est-il complètement irrationnel de sa part de douter qu’il pourra lui-même connaître ce genre de succès ? Est-il surprenant qu’il ne sache pas comment s’organiser pour aborder un projet à long terme ?

 

Comportement = f (personnalité, environnement)

 

Kurt Lewin, l’un des fondateurs de la psychologie sociale, définit le comportement (B) comme une fonction de la personnalité (P) et de l’environnement (E). Depuis les années 1930, l’équation de Lewin B = f (P, E) est au cœur d’un débat sur l’importance relative de la personnalité et de l’environnement.

On pense de plus en plus que la situation est un meilleur indicateur pour prévoir le comportement que les traits de caractère et la personnalité. Pourtant, les comportements paresseux sont typiquement associés à l’identité d’une personne. Les facteurs environnementaux sont considérés comme inexistants.

 

Qu’en est-il des éducateurs, des mentors et des managers ?

 

On a tendance à juger les personnes que l’on pense paresseuses ; elles inspirent la colère ou le rejet. Mais qu’en serait-il si les éducateurs, les mentors et les managers pouvaient :

  1. Réagir à la paresse avec compassion et curiosité ?
  2. Aider à convaincre que l’effort que l’on fait aujourd’hui va porter ses fruits et qu’il n’est pas vain ?
  3. Contribuer à la réussite de quelqu’un en ne s’arrêtant pas aux compétences qu’il lui manque mais en l’aidant à faire tomber les barrières qui l’empêchent d’avancer ?

Tout ceci vaut bien un petit effort, non ? Vous ne faites pas partie de ces gens « paresseux » qui rechignent à travailler ou à utiliser leur énergie, n’est-ce pas ?

Chez OpenClassrooms, nous recherchons et nous formons des mentors et des coaches professionnels qui sont en mesure de relever ce défi et de guider les étudiants vers leur objectif, non seulement en les épaulant dans les projets qui font partie de leur formation mais également en les aidant à rester motivés.

Si vous pensez être capable d’encourager un « étudiant paresseux » mais aussi de lui fournir un soutien pratique et des conseils, nous avons besoin de vous. Devenez mentor pour les étudiants d’OpenClassrooms dès aujourd’hui.

 

À propos de l’auteure

 

Ibis Lilley

Ibis est Mentorship manager chez OpenClassrooms. Elle s’intéresse à l’Edtech, aux idées en open-source, à la technologie et l’éthique… C’est une migrante décomplexée qui a vécu au Nigeria, au Royaume-Uni, au Japon et est aujourd’hui en France. 


Sources

 

  1. Situation vs personnalité : ici et ici   
  2. Chômage en UE
  3. Postes à pourvoir en UE
  4. Chômage aux États-Unis
  5. Postes à pourvoir aux États-Unis
  6. Pénurie de compétences aux États-Unis

 

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Chez OpenClassrooms, nous donnons confiance aux femmes pour travailler dans la tech

Par : Nora Leon

16%. C’est le ratio de femmes qui exercent des métiers dans la tech. Chez OpenClassrooms, nous sommes fiers d’aider des milliers de femmes à se former ou changer de carrière dans un métier du numérique. De les aider à embrasser la carrière qu’elles souhaitent, quel que soit le ratio de femmes dans leur spécialité. Elles sont nos pionnières, et elles nous aident à prouver qu’aucun métier de la tech ne restera majoritairement masculin.

À l’occasion de la journée internationale des droits des femmes, nous voulions mettre en avant les femmes extraordinaires de notre communauté. Des femmes qui étudient ou enseignent, aux multiples talents, qui sont souvent à la fois des professionnelles aguerries, des mères, et des passionnées.

 

Véronica est diplômée du parcours développement front-end



Véronica n’avait jamais écrit une ligne de code avant de commencer le programme développeur front-end. En moins d’un an, elle a obtenu son diplôme et trouvé un emploi dans une jeune entreprise prometteuse.

Ce n’est pas parce que vous n’avez jamais écrit une ligne de code que vous ne serez pas excellente dans ce domaine.

 

Anaïs étudie le développement web en alternance



Anaïs a suivi le chemin de son coinjoint, passé de l’armée à Tech Lead et formé sur OpenClassrooms. Curieuse, elle a suivi plus de 50 cours en ligne pendant sa grossesse, jusqu’à s’inscrire en alternance au parcours développement web junior.

Maman et développeuse passionnée, elle mène avec courage et ambition sa reconversion professionnelle. Quelle niaque !

On se dit qu’il faut des diplômes, qu’il faut un cerveau configuré pour apprendre… Et en fait, non. Cela vient petit à petit. Quand on fait une reconversion professionnelle, on est plutôt fiers de le mettre en avant. Fiers de dire, ‘moi j’étais peintre en bâtiment, j’étais cavalière, j’étais caissière, et aujourd’hui, je suis votre égale’.

 

Emily enseigne le développement web

 

Emily a étudié l’art et l’architecture à la faculté, mais elle s’est formée en autodidacte en développement lorsqu’elle a vu à quel point la tech et les arts étaient complémentaires. Elle adore aider chacun à faire le même changement de carrière qu’elle.

Suivez ses cours en développement sur OpenClassrooms !

Réalisez des sites modernes et beaux grâce à WordPress
Introduction à JQuery
Testez l’interface de votre site

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Oser sauter le pas 

 

Ce n’est un secret pour personne que la gent féminine est encore sous-représentée dans les métiers de la Tech. La moitié des startups en Tech n’a pas de femmes dans ses équipes dirigeantes. 60% de ces entreprises n’ont pas de femmes dans leur conseil d’administration.  Dans les dernières années, des femmes ont obtenu seulement 17% des postes chez Google, 15% chez Facebook et 10% chez Twitter au niveau international. 16% seulement des professionnels du numérique en sont des femmes. Leur absence est due à une pénurie de talents notamment féminins, dans le secteur.

Pourquoi les femmes n’osent-elles parfois pas se lancer dans des carrières tech ?

Lorsqu’elles le font, elles occupent pourtant parmi les postes les plus prestigieux.

La diversité au travail crée des organisations plus créatives et productives. Nous sommes déterminés à rendre les carrières dans les métiers du numérique attrayantes et accessibles à toutes.

Ne vous fixez pas de limite. Exercez le métier qui vous plaît. Devenez l’une des prochaines professionnelles talentueuses de la tech.

Belle journée internationale des droits des femmes !

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Développement front, back, iOS, mobile : comment choisir ?

Dans le monde mystérieux du développement web, il y a parfois certaines subtilités qu’il est difficile de comprendre, même quand on pense s’y connaître un peu. Or, les missions de développement sont de plus en plus demandées sur le marché du travail quelque soit le secteur d’activité. Faisons un tour d’horizon pour clarifier certaines choses et vous aider à choisir la bonne formation.

 

Développement Web

 

Un étudiant qui souhaite se lancer dans l’apprentissage du développement doit d’abord arbitrer entre le développement web d’une part et le développement mobile d’autre part, car ces deux options requièrent des savoirs et des langages différents.

Chez OpenClassrooms, nous proposons une formation de Développeur web junior. La formation de six mois délivre un diplôme de niveau équivalent à bac +2.

Clara Corazza est responsable des parcours Code et Design chez Openclassrooms et selon elle, cette formation est « un parcours simplifié qui permet d’être employable rapidement. Ce parcours ne permet pas de développer des applications complètes mais les étudiants sont ensuite capables de réaliser un site web et un portfolio de projets. Au cours des six mois, nous faisons un tour d’horizon des langages les plus faciles à appréhender pour des débutants ».

Aucun pré-requis autre que d’avoir un ordinateur en bon état de marche avec micro et caméra n’est exigé pour postuler à la formation. « Lors du 1er cours, on explique le web pour les personnes qui n’ont jamais utilisé de bureautique et qui débutent complètement » raconte Clara. La formation peut se suffire à elle-même et peut aussi constituer une base d’introduction pour les autres formations plus spécialisées.

Concernant le choix du langage web que l’on souhaite apprendre, Clara explique :

« Le langage que l’on choisit d’apprendre et d’utiliser dépend essentiellement de la géographie de l’employabilité. Tous les types d’entreprises n’utilisent pas le même langage. Par exemple, le langage Python s’applique beaucoup en Espagne, aux Etats-Unis ; le langage Java s’utilise quasiment exclusivement au sein de groupes industriels comme Capgemini ; PHP est un langage français donc essentiellement utilisé en France ».

 

Versus développement mobile

 

Pour le développement mobile, le choix s’opère entre le langage iOS et le langage Android. Apple & Google étant concurrents, ils utilisent deux langages très différents. Le développeur doit donc choisir en fonction de la plateforme sur lequel il préfère développer. Clara Corazza précise :

« Les développeurs sur iOS sont un peu mieux payés mais il n’y a pas forcément plus de débouchés que pour Android ».

Chez OpenClassrooms, les deux formations mobiles développeur iOS et développeur android durent un an et délivrent le même diplôme à la fin, qui est l’équivalent d’un bac +3.

Le seul prérequis pour iOS est de posséder un mac puisqu’Apple a fait en sorte que ce soit impossible de coder iOS en dehors de mac. Critère non négligeable à bien avoir en tête s’il on souhaite se lancer sur iOS.

 

Développement front-end

 

Si vos faveurs se sont portées sur le développement web, vous devrez procéder à un deuxième arbitrage : développement front ou back ?

Le développement front-end consiste à réaliser des façades de sites web, c’est-à-dire ce que l’on voit nous sur nos écrans sans forcément comprendre la logique qu’il y a derrière. Selon Clara, ce sont des compétences abordables, que l’on peut même apprendre en autodidacte, et avec lesquelles il est possible de se débrouiller rapidement.

« Le développement front est un métier gratifiant car on voit rapidement des résultats, dès le début on est capable d’accomplir de belles choses. On peut rapidement présenter ses projets au client et ce qu’on fait est compris par tout le monde car ce sont des sites avec des interfaces graphiques. Ce job est adapté aux personnes qui aiment construire quelque chose et avoir des résultats ». 

À noter aussi qu’il y a beaucoup plus d’offres d’emploi en front-end que dans le développement mobile et généralement ce sont des CDI.

 

Développement back-end

 

De l’autre côté de l’écran, il y a le développeur back-end, qui maîtrise la logique qui se cache derrière chaque site web.

Pour Clara, le développement back-end est un métier essentiel.

« En back, le développeur échafaude la structure sur laquelle tous les sites web et internet se reposent. C’est un travail de logique, de puzzle, très gratifiant pour les personnes qui aiment résoudre des problèmes mais généralement moins bien compris par le grand public car quasiment invisible. Le développeur back apporte des solutions qui sont cachées alors que c’est le travail de design du développeur front qui permettra de les faire apparaître. »

En entreprise, back et front travaillent généralement en binôme. C’est le chef de projet qui fait la liaison entre ces deux personnes et les besoins qui sont recueillis par les clients ou les équipes.

Regardez le Facebook Live où Clara répond à de nombreuses questions sur nos parcours diplômants en développement.

Pour en savoir plus, contactez aussi nos conseillers pédagogiques et parlez-leur de votre projet !

C’est gratuit, et cela vous aidera à vous décider pour la spécialité la plus adaptée pour vous.

 

À propos d’Aglaé : 

Aglaé est auteur-rédacteur. Elle a fondé Word Shaper, une agence créative qui propose des services d’écriture, de consulting et de conception.

 

 

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Les meilleurs outils en développement Front-end

La meilleure – et la pire – des choses en tant que développeur Web est le fait que le Web change constamment. Cela signifie également que vous devez toujours être proactifs dans l’apprentissage de nouveaux langages de programmation, vous adapter aux changements et être prêts et désireux d’accepter de nouveaux défis.

Cela peut inclure des tâches telles que mettre à jour les infrastructures existantes pour répondre aux exigences de l’entreprise, le test d’un site Web pour identifier les problèmes techniques ou optimiser les performances de l’infrastructure développée.

C’est pourquoi nous avons décidé de vous créer une liste exhaustive d’outils en développement web par spécialité pour vous aider à être plus productifs, à vous tenir informés et mieux performer en tant que développeurs.

 

Liste d’outils 1/5 : Les meilleurs outils en développement Front-end

 

Aujourd’hui, le développement Front-end occupe une part de plus en plus importante en entreprise et ce afin d’améliorer l’interaction utilisateur, les performances, l’interactivité et l’apparence d’une application. Voici une liste de cinq outils qui vous aideront à remplir ces objectifs.

 

Sublime text

 

Commençons par les bases : un éditeur de code de premier ordre, doté d’une interface utilisateur bien conçue, ultra efficace et rapide. Vous me direz qu’il y a d’autres options, mais la meilleure (et la plus populaire) est sans doute Sublime Text.

Astucieusement géré par une équipe de développement composée d’une seule personne, le secret du succès de Sublime Text réside dans la multitude de raccourcis clavier du programme, tels que la possibilité d’effectuer des modifications simultanées (en effectuant les mêmes modifications interactives dans plusieurs zones sélectionnées), ainsi qu’une navigation rapide vers des fichiers, symboles et lignes. Et lorsque vous passez plus de huit heures par jour avec votre éditeur, ces secondes économisées deviennent précieuses.

À télécharger ici

Gratuit

 

Chrome Developer Tools

 

Ne serait-il pas formidable de pouvoir modifier votre code HTML et CSS en temps réel ou de débugger votre code JavaScript tout en affichant une analyse approfondie des performances de votre site web?

Les outils de développement Google Chrome intégrés à Google vous permettent de le faire. Intégrés et disponibles à la fois dans Chrome et Safari, ils permettent aux développeurs d’avoir accès aux éléments internes de leur application Web. De plus, une palette d’outils réseau peut vous aider à optimiser vos flux de chargement, tandis qu’un calendrier vous permet de mieux comprendre ce que le navigateur fait à un moment donné.

Google publie une mise à jour toutes les six semaines. Consultez leur site Web ainsi que leur chaîne YouTube pour actualiser vos compétences.

Gratuit

 

JQuery

 

JavaScript a longtemps été considéré par les développeurs comme un langage de base essentiel, bien qu’il ne soit pas dépourvu de problèmes : sa syntaxe un peu compliquée et inapprochable, ses incohérences avec certains navigateurs, font que les fonctionnalités développées en pâtissent souvent.

C’était sans compter, en 2006, le lancement de jQuery, une petite bibliothèque JavaScript rapide et multiplateformes visant à simplifier le développement front. En simplifiant une grande partie des fonctionnalités qu’il incombait généralement aux développeurs de produire par eux-mêmes, jQuery a permis une plus grande marge de manœuvre pour la création d’animations, l’ajout de plugins, etc.

Et c’est clairement un succès : en 2015, jQuery était par exemple la bibliothèque JavaScript la plus populaire, étant installée sur quelque 65% des 10 millions de sites Web les plus visités.

À télécharger ici

Gratuit

Suivez le cours Simplifiez vos développements JavaScript avec JQuery.

Et le cours d’Emily Reese : Introduction à JQuery

 

Github

 

Faire des erreurs embêtantes appartient désormais au passé. Bienvenue dans les systèmes de contrôle de version (le versioning) et plus précisément dans GitHub.

En déployant votre projet avec le service, vous pouvez afficher toutes les modifications que vous avez apportées ou même revenir à l’état précédent d’un commit. Le service bénéficie également d’une riche communauté et fournit plusieurs autres composants tels que le suivi des bugs, les demandes de fonctionnalités, la gestion des tâches et les wikis pour chaque projet.

De nombreux employeurs recherchent des personnes avec des compétences pointues en Git. C’est donc le moment idéal pour vous inscrire. De plus, c’est un excellent moyen de vous impliquer et d’apprendre des meilleurs avec un large éventail de projets Open Source sur lesquels travailler.

A découvrir ici

Gratuit mais payant pour plus d’options.

Suivez le cours Créez votre code avec Git et Github 

 

Twitter Bootstrap

 

Fatigué de taper le même style pour un conteneur ? Une fois que vous aurez commencé à régulièrement créer des applications front, vous constaterez des répétitions.

Les frameworks d’interface utilisateur tentent de résoudre ces problèmes en résumant les éléments communs en modules réutilisables. Les développeurs peuvent développer leurs nouvelles applications plus rapidement et simplement.

Le plus largement utilisé de ces frameworks est Bootstrap, un package d’interface utilisateur complet développé par l’équipe de Twitter. Doté outils pour normaliser les feuilles de style, créer des objets modaux, ajouter des plugins JavaScript et une multitude d’autres fonctionnalités, Bootstrap peut considérablement réduire la quantité de code (et le temps) nécessaire à la création de votre projet.

À télécharger ici

Gratuit

Suivez le cours Prenez en main Bootstrap

 

Sass

 

L’une des premières choses que vous apprendrez sur le code est qu’il doit être DRY (« Don’t Repeat Yourself »). La deuxième chose que vous apprendrez probablement est que le CSS n’est généralement pas très DRY.

Entrez dans le monde du préprocesseur CSS, un outil qui vous aidera à écrire du code maintenable et évolutif, tout en réduisant la quantité de CSS que vous devez écrire (en le gardant DRY).

Le plus populaire d’entre eux est peut-être Sass, un projet Open Source vieux de huit ans qui définissait assez bien le genre des préprocesseurs CSS modernes. Bien qu’elle soit quelque peu difficile à comprendre au début, la combinaison de variables, d’imbrication de Sass, rendra le CSS simple lors de la compilation. De quoi rendre vos feuilles de style plus lisibles et (plus important encore) DRY.

A installer en suivant le manuel en ligne

Gratuit.

 

À propos de l’auteur 

Salut 👋, je suis Joffrey, développeur web basé sur Paris. Je suis passionné par WordPress, l’e-marketing et 

l’écriture d’articles sur des sujets Tech. Freelance depuis plusieurs années, je partage avec vous des tutos, des conseils et mon expérience afin que vous puissiez mieux gérer vos projets web.

 

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La cybersécurité, nouvel eldorado des recruteurs en systèmes et réseaux

Par : Nora Leon

14 avril 2017. Le groupe de cyberpirates “The Shadow Brokers” diffuse nonchalament une liste d’outils dérobés à la… NASA. Coup de tonnerre dans le monde du web.

Entreprises, développeurs et acteurs institutionnels savent désormais qu’une cyber-attaque peut bloquer une entreprise ou institution pendant plusieurs heures voire jours. Et qu’un cyber-pirate peut s’approprier des données contre rançons ou simplement pour le sport.

En mai, le ransomware WannaCry frappe 150 pays et… les esprits. Un bilan douloureux estimé entre 1 et 1,5 millions, 300 000 machines touchées, et des usines telles que Renault et Saint Gobain fermées pendant plusieurs jours.

Devant ces menaces de plus en plus nombreuses et inventives, le métier de responsable cybersécurité a le vent en poupe — et pour longtemps. Ceux des systèmes et réseaux recrutent 4 fois plus que le reste des métiers du marché de l’emploi. Le métier de responsable cybersécurité, 8 fois plus.

Anatomie d’une fonction technique, stratégique et agréablement geek.

 

Notre expert

 

Antoine Botte est Président et Directeur Général de SAFE-Cyberdéfense.

Très tôt, Antoine s’intéresse à l’informatique. Polyvalent, il commence par de la maintenance informatique, s’intéresse ensuite aux réseaux d’entreprises ainsi qu’au développement.

En 2013, il entreprend la Licence Professionnelle en sécurité informatique de l’IUT de Valenciennes, suivi par le Master en Sécurité informatique de l’ESGI. Pendant ce master, il découvre de nombreuses solutions de sécurité très réputées.

Rapidement conscient des faiblesses des solutions vendues aux clients, il a créé sa société il y a trois ans, pour proposer une solution sur-mesure de remplacement aux anti-virus poreux du marché.

Antoine a su greffer sur son profil de développeur des compétences en cybersécurité, un développement de carrière particulièrement recherché à l’heure actuelle.

 

Des attaque protéiformes

 

Pour notre expert, les attaques de hackers peuvent prendre des formes très diverses.

Premièrement, il y a celles qui sont permises par les failles dans le développement vieillissant de certains sites. Antoine explique : “Auparavant, il y avait énormément de sites développés avec des langages anciens, dont les failles permettaient de voler des données. Aujourd’hui, les langages et frameworks récents permettent de sécuriser les sites by design, (Python, Django) et les règles de sécurité permettent d’éviter que les sites soit perméables. Tout cela est automatisé : les menaces sont donc toujours présentes sur les sites qui ne sont pas passés à ces technologies, mais ce sera de moins en moins le cas.

Ensuite, les menaces les plus courantes à l’heure actuelle sont les “ransomwares”, des logiciels malveillants développés pour infecter tous types de terminaux (les smartphones, postes de travail, iPads, ou même les objets connectés). Ces programmes prennent en otage les données de l’utilisateur contre rançon (et encore, quand on récupère les données après rançon…). Selon Antoine, en quelques lignes de code, “on peut développer un programme qui chiffre vos données personnelles pour les rendre inaccessibles, il suffit ensuite de demander une rançon à l’utilisateur au travers d’une adresse bitcoin et le tour est joué.

Les cryto-mineurs sont d’autres menaces plus insidieuses. Le bitcoin et la blockchain utilisent les ressources d’un terminal pour générer de l’argent. Or, certains hackeurs utilisent la puissance de calcul d’ordinateurs infectés pour générer des crypto-monnaies qui leurs reviennent, à l’insu du propriétaire de la machine. Cela utilise anormalement la machine, en la mobilisant en permanence, et réduit donc sa durée de vie. Antoine affirme que c’est parmi les attaques les plus courantes en ce moment.

Et dans 5 à 10 ans ? Antoine voit se dessiner des menaces liées aux GAFAM (Google, Amazon, Facebook, Apple, Microsoft). Aujourd’hui, tout est stocké dans le Cloud. Même Microsoft vient de racheter Github.

Le jour où on piratera Facebook, ou même Microsoft, cela fera du bruit, car les hackers auront dérobé les données de millions de personnes ou même celles d’entreprises.

Quoi qu’il en soit, il sera toujours nécessaire de sécuriser les terminaux des utilisateurs qui accèdent à ces données, surtout parce que les utilisateurs sont souvent responsable de l’infection de leurs machines en cliquant au mauvais endroit au mauvais moment.

D’autres attaques pourraient proliférer, notamment avec le développement de l’intelligence artificielle, qui va complexifier les cyber-attaques, et l’explosion du nombre d’objets connectés, qui présentent souvent des failles faciles à exploiter.

 

La cybersécurité, un domaine technique

 

Ce domaine est stratégique pour les entreprises comme les particuliers. Dans un contexte où la donnée est partout, la sécuriser devient primordial. Les terminaux à sécuriser sont aussi en évolution permanente : ordinateurs, smartphones, tablettes, mais aussi aujourd’hui nombre d’objets connectés. Et la tendance est à la multiplication et des terminaux à sécuriser, et des types de menaces. Les responsables et ingénieurs sécurité ont donc de beaux jours devant eux, et de beaux défis, puisque ce métier exige des compétences techniques mises à jour régulièrement pour palier aux attaques impossible donc de vous ennuyer tout au long de votre carrière.

Alors, quels sont les pré-requis techniques à l’heure actuelle ? Pour pouvoir exercer cette spécialité, il est préférable d’avoir de très bonnes bases en développement. Antoine nous confirme qu’il existe plusieurs niveaux de connaissances en développement requis pour exercer différentes spécialités en sécurité informatique.

Pour de l’audit de code on n’a pas forcément besoin de développer, il a des solutions payantes, mais souvent moins efficaces. De même, pour faire des tests d’intrusion, il existe pas mal d’outils sur Internet pour se faciliter la tâche. Python peut ensuite être un gros plus pour automatiser des choses.

Pour sécuriser une application par contre, il faut savoir développer, et notamment maîtriser les frameworks récents. Il existe bon nombre de framework orientés sécurité, basés sur du modèle de données. De même, si on fait de la sécurité applicative ou de la recherche de vulnérabilités sur des logiciels, il faut faire du C, et maîtriser l’assembleur pour comprendre ce qu’il se passe dans la mémoire et le processeur de la machine.

 

Un métier en forte demande

 

On a besoin de responsables cybersécurité dans tous les secteurs, et ce sera de plus en plus le cas, affirme Antoine. “Des robots se baladent sur Internet pour voir si votre site est vulnérable, en permanence. Si c’est le cas, votre site peut ensuite servir pour d’autres attaques en hébergeant du contenu malveillant. Donc, même le plus innocent des sites peut héberger à son insu des malwares ou être utilisé comme relais de spam. Et toute entreprise présente sur Internet doit se protéger pour ne pas être la cible des cyber-pirates”, renchérit-il.

Le marché ne fait que grossir, et pas mal de postes différents sont à pourvoir. En tant que responsable cybersécurité, vous vous situez à un niveau stratégique dans l’entreprise : vous sécurisez les données, souvent décrites comme le nouvel or noir.

Pas étonnant donc que de nombreuses configurations de postes existent pour attirer les “talents” qui possèdent ces compétences rares. Vous pouvez trouver un poste dans une PME ou dans un grand groupe en CDI. Travailler comme consultant directement chez ses propres clients est également possible. Enfin, le télétravail est également envisageable, notamment si on se spécialise dans la recherche de malwares, car cela peut être fait de manière indifférenciée à distance.

 

Est-ce pour moi ?

 

Voici les principales qualités nécessaires pour exercer ce métier :

  • Discrétion et éthique, car le responsable cybersécurité manipule des données sensibles d’une entreprise ;
  • Organisation et capacité à anticiper, tant pour colmater les failles que pour prévoir un programme sécuritaire efficace ;
  • Pédagogie, pour faire passer aux collaborateurs les règles de sécurité globales ;
  • Résistance au stress, pour gérer les crises ;
  • Curiosité et pro-activité, pour se tenir au courant des nouvelles menaces et faire sa veille technologique mais aussi pour proposer les grandes orientations de la stratégie en sécurité de l’entreprise ;
  • Capacité à manager une équipe, particulièrement en cas de crise ;
  • Esprit analytique et autonomie, capacité à chercher des solutions.

Antoine résume : 

Si on aime bidouiller son ordinateur et surtout se casser la tête pendant des heures en cherchant, sans savoir si on va y arriver, c’est fait pour nous. Il faut aussi aimer l’informatique, avoir l’esprit créatif, être très analytique et logique.

 

Antoine vous a convaincu des aspects passionnants de ce métier ?

Consultez le programme du Master de l’Université de Technologies de Troyes pour devenir Responsable en sécurité des systèmes d’information sur OpenClassrooms.

 

L’article La cybersécurité, nouvel eldorado des recruteurs en systèmes et réseaux est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.

Comment se passe la première session de mentorat ?

Vous venez de vous abonner à un parcours de formation sur Openclassrooms et l’équipe des conseillers pédagogiques vient de vous affecter votre mentor qui vous accompagnera chaque semaine, en visio-conférence pendant une session de 45 minutes à 1h. Ce sera l’occasion pour vous de lui poser toutes vos questions sur la formation, et pas que…

Alors, comment est-ce que votre première séance de formation va-t-elle se passer ?

Je m’appelle Vincent Verdier, et je suis mentor chez OpenClassrooms. En parallèle, je suis freelance en marketing digital, j’accompagne les entreprises à se développer sur Internet en structurant leur approche marketing au travers des réseaux sociaux, de la publicité mais également de l’expérience client lors d’un achat sur leur site internet ou dans leur boutique physique. Je travaille également beaucoup sur l’analyse des données générées pour optimiser et améliorer mes différentes actions.

Je vous aiderai à vous imaginer cette première session et vous guiderai pour qu’elle se passe au mieux.

 

Mon mentor a pris contact avec moi, comment se passera la première session ?

 

Pas de stress : bien.
Cette session sera l’occasion pour vous et votre mentor de faire connaissance. En effet, vous allez travailler sur un ou plusieurs projets de votre parcours, forcément, ça crée des liens !

Lors de cette première session, votre mentor vous expliquera son parcours et ses missions au quotidien. Eh oui, chez OpenClassrooms, tous les mentors sont des professionnels du métier et c’est leur expertise qu’ils partageront avec vous à l’occasion des sessions. Vous verrez, grâce à lui ou elle, vous apprendrez vite les ficelles du métier, vous progresserez et monterez ainsi plus rapidement en compétences.

Ce sera également l’occasion de mieux vous connaître. Pendant cette session, vous pourrez lui expliquer votre objectif, lui raconter ce que vous faisiez avant, comment vous vous projetez dans le monde professionnel. Ce sera aussi le moment de lui partager vos méthodes de travail préférées, vos doutes… Une rencontre et un grand tour d’horizon, donc.

 

J’ai peur d’avoir un bug technique pendant la session. Que faire ?

 

Je stresse. C’est grave docteur ?” Non c’est normal. Mais, rassurez-vous, cela va aller comme sur des roulettes !

Voici quelques conseils pour éviter le bug 404 :

  • Installez-vous dans un endroit calme, lumineux et dans lequel vous aurez une bonne connexion Internet afin d’éviter toute coupure lors de la session.
  • Assurez-vous également d’avoir bien configuré votre caméra et votre micro ou votre casque audio le cas échéant. Cela évitera de perdre du temps au démarrage de la session avec des soucis techniques.
  • Testez votre configuration avant la session avec un ami à vous en appelant sur Hangouts, par exemple.

 

Et après cette présentation, qu’est-ce qu’on va se dire ?

 

Une fois les connaissances faites, votre mentor entrera dans le vif du sujet et vous expliquera comment devrait se passer la formation à distance sur OpenClassrooms.

En général, votre mentor vous donnera quelques conseils pour vous aider à vous organiser au quotidien dans votre apprentissage, ainsi que dans l’atteinte des objectifs que vous vous fixerez ensemble entre chaque session. Pas d’inquiétude non plus si vous êtes en apprentissage ou que vous êtes salarié, votre mentor fixera avec vous des objectifs qui s’adapteront à votre rythme de travail.

Il vaut mieux avancer petits pas par petits pas en se donnant des objectifs réalistes et atteignables plutôt que d’être trop ambitieux et de ne pas avancer du tout.

Votre mentor en profitera pour vous expliquer également comment se passeront les étapes de validation des projets (les soutenances). Avant chaque soutenance, il vous répètera les consignes de ces dernières pour être sûr que cela se passe bien. Dans un second temps, vous verrez avec lui comment vous organiser pour partager vos documents de travail afin qu’il puisse en prendre connaissance pour préparer vos prochaines sessions.

Ensuite, dès que vous aurez bien compris le fonctionnement de la formation, vous pourrez démarrer. Votre mentor vous expliquera alors l’objectif du premier projet, les compétences à valider pour le réussir et le travail à faire. Certains d’entre vous auront déjà entamé ou terminé le premier projet. Cette session sera l’occasion pour vous de présenter votre travail à votre mentor, il vous donnera son avis et vous aidera à l’améliorer (si nécessaire) en vous donnant des éléments pour le retravailler afin d’acquérir les compétences visées par le projet.

 

Les sessions de mentorat, un moment d’échange

 

Profitez de vos sessions de mentorat pour poser vos questions à votre mentor.

Il n’y a pas de question idiote : si vous vous la posez, elle est pertinente. C’est l’occasion d’éclaircir un point mal compris dans le cours ou l’énoncé du sujet. Vous pouvez également échanger avec votre mentor sur des questions d’ordre technique ou sur des sujets d’actualité en lien avec votre parcours. Par exemple, un étudiant en community management pourrait très bien demander l’avis à son mentor sur un logiciel de gestion des réseaux sociaux qu’il aurait trouvé en lisant un article sur un blog spécialisé.

Les sessions de mentorat sont un moment d’échange très intéressant pour vous, n’hésitez pas à tirer profit de chacune d’elles pour aller plus loin dans la formation.

Ça y est, la session tire à sa fin. Votre mentor organisera avec vous le travail à faire pour la semaine suivante en vous donnant des éléments pour avancer de votre côté. N’ayez crainte si vous êtes perdu au cours de la semaine, vous pouvez solliciter la communauté Workplace pour poser des questions et nouer des liens avec d’autres étudiants. Et si vous ne trouvez pas de solution, ce sera l’occasion de la poser à votre mentor lors de votre prochaine session.

[À lire ensuite :

Être freelance, une mission importante, par Bertrand Deloffre
Comment démarrer un projet ?
Comment bien préparer ma soutenance ?
Peut-on changer de mentor ? ]


À propos de Vincent : 

Vincent est indépendant en marketing digital depuis 2015. Il est spécialisé dans l’acquisition de prospects qualifiés au travers du référencement naturel ou de la publicité en ligne (Facebook Ads et Google Adwords). En parallèle, il forme des adultes dans ce domaine et complète son bagage par une VAE de formateur qu’il réalise actuellement avec Openclassrooms.

 

 

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DevOps, le rôle entre IT et Développement qui nous vient des États-Unis

Par : Nora Leon

Historiquement, les développeurs et professionnels des systèmes et réseaux (encore appelés professionnels de l’IT) travaillaient plus en parallèle que de concert. Des développeurs créent donc parfois des livrables peu adaptés aux infrastructures de l’entreprise.

À l’heure actuelle, ces situations frustrantes sont de plus en plus rares. Les équipes s’organisent en effet pour mieux travailler ensemble, et ce grâce au nouveau facilitateur fraîchement arrivé des États-Unis : le DevOps.

Nous avons rencontré Amine Benseddik, qui exerce ce rôle en start-up depuis quelques années, pour comprendre en quoi consiste ses responsabilités.

 

Notre expert

 

Amine Benseddik a un profil équilibré entre du développement et de l’administration de systèmes et réseaux. Naturellement, il prend en charge le rôle de DevOps dans plusieurs structures. Il nous explique :

Au départ, j’ai fait une formation d’administrateur systèmes, mais je n’ai pas pour autant vraiment tranché entre l’infrastructure et le développement. J’ai eu les deux casquettes à différentes reprises, et par conséquent pour moi c’était naturel de faire les deux. Hors, dans ce métier, il faut être à l’aise dans les deux.

Aujourd’hui, DevOps chez Qonto et riche de cette grande diversité de missions et des échanges avec toutes les équipes que ce rôle comprend nécessairement, Amine ne ferait marche arrière pour rien au monde.

 

Qui est le DevOps ?

 

Sa mission secrète, mettre du liant entre les développeurs et les administrateurs systèmes. Les produits sont donc facilement intégrés à au réseau de l’entreprise, là où c’était moins évident il y a quelques années.

Traditionnellement, on avait les équipes de développement, les administrateurs systèmes et au milieu… un vide. Les développeurs travaillaient, mais l’équipe système n’arrivait pas à mettre en production. Et donc certains produits n’arrivaient jamais en prod, car ce qu’on fournissait aux administrateurs ne correspondait pas à ce qui pouvait être pluggé sur leurs installations. Aujourd’hui, le devops vient fluidifier tout ça.

Ce rôle est récent. Amine insiste, au départ c’était un rôle que prenait un élément polyvalent de l’équipe au sein du projet.

Ce n’est pas un métier, c’est plus une méthodologie ou un ensemble de pratiques, aujourd’hui rassemblé au sein d’un métier. C’est partagé entre le développeur et l’administrateur systèmes. Aujourd’hui on tend à prendre des profils qui ont ces deux compétences et on appelle ça le DevOps.

Les besoins sont devenus tels que startups et grands groupes recrutent directement à ce rôle : “On a vu arriver les DevOps en force à partir de 2010. À présent, c’est tellement rentré dans les mœurs que ce rôle devient un métier à part entière. Le DevOps a la mission centrale de créer le pipeline de livraison du début à la fin”.

Très concrètement, Amine propose au quotidien aux développeurs “tous les outils qui leurs permettent d’être autonomes sur le développement, le test et la livraison de leur application en production”.

Ce métier est passionnant pour sa pluridisciplinarité. Pour Amine,

C’est grisant de pouvoir couvrir un scope technique très très large et d’être un point central de la vie de l’équipe technique.

 

Pourquoi les DevOps sont-ils recherchés ?

 

En un mot, car ils créent de l’agilité au sein des équipes développement et IT.

Le DevOps est d’abord intervenu dans les startups.

C’est quasiment intégré dans l’ADN de la startup, car le DevOps amène beaucoup d’agilité : il amène le développement en production sans freiner la vélocité de l’équipe. On le retrouve très en amont du développement de la startup, et c’est souvent un développeur qui prend ce rôle.

Mais aujourd’hui, les entreprises plus établies et notamment les grands groupes voient bien l’intérêt de ce rôle : “savoir intervenir sur une infrastructure, la mettre en place, la superviser, l’exploiter, et travailler avec des développeurs pour contribuer au développement des applications, et donc ouvrir la chaîne du développement jusqu’à la mise en production”.

Le DevOps assure donc un certain rythme de production. “C’est le nerf de la guerre, assure Amine. La question, c’est comment amener le plus rapidement possible les nouvelles fonctionnalités en production, et ce sans interruption. C’est ce qui permet aux startups d’aller très vite, de corriger des bugs très rapidement en production, et cela se répand aussi dans les autres types d’entreprises”. Pas étonnant donc que ces fonctions fleurissent au sein d’entreprises de toutes tailles et de tous secteurs. Plus de 1500 postes sur Indeed en permanence, à Paris mais aussi dans plusieurs grandes villes telles que Lyon, Bordeaux, Toulouse, Lille, Nantes, Rennes, Montepellier ou Grenoble.

 

Se lancer en tant que DevOps, mode d’emploi

 

Acquérir un cocktail de compétences

À rôle polyvalent, cursus polyvalent. Certaines formations existent déjà pour devenir DevOps, même si le plus souvent ces professionnels font encore simplement la synthèse de leurs compétences pour les utiliser dans ce rôle, comme Amine.

Dans le parcours DevOps à équivalent Bac +5 d’OpenClassrooms, il vous sera demandé un équivalent Bac +3 en IT ou en développement avec des bases en IT, ou de justifier d’une expérience en SI et développement.

Développer sa capacité à apprendre

Vous devrez développer une bonne maîtrise du code, mais surtout une curiosité par rapport aux nouvelles technologies et une bonne capacité à apprendre en continu, pour emmagasiner les nouveaux langages utiles.

Il y a tellement de nouvelles technologies et d’outils, qu’il faut expérimenter. C’est comme si j’étais toujours à l’école, j’apprends toujours de nouveaux langages car il faut être aligné avec les équipes de dev, et sur les nouvelles technos en termes d’infrastructure, comme Kubernetes, et plus on en fait, plus ça devient facile et naturel de passer de l’une à l’autre. Ce qu’il faut apprendre c’est à tester, expérimenter, se mettre à niveau pour ne pas être déphasé avec le marché.

Rester passionné

C’est un cursus à faire uniquement quand on est passionné par le développement, l’IT, la gestion de projets et le développement produit. Le métier bouge énormément et le DevOps a deux fois plus de choses à emmagasiner quand elles évoluent, puisqu’il doit rester à la pointe de deux fonctions.

Être DevOps, c’est difficile, il faut avoir les deux compétences et avoir l’envie d’apprendre. Donc, il faut se demander si on veut être le point central qui peut être aussi le point de contention. C’est un métier où l’on a beaucoup de pression, et tout le monde n’est pas fait pour la gérer. Mais si on est sûrs d’être intéressé par les deux et de pouvoir tenir les délais, c’est vraiment là qu’on s’éclate le plus.

 


Envie d’apprendre ce métier ? 

Renseignez-vous sur le parcours DevOps d’OpenClassrooms.

 

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Anaïs et Olivier, l’amour du code, mais pas seulement !

Par : Nora Leon

Avez-vous déjà fait rimer PHP avec… Bébé ? Bien sûr que non.

Et pourtant, Lena, qui a soufflé sa première bougie le 10 février, est la princesse de ses deux parents développeurs. Anaïs, jeune codeuse en alternance avec 50 cours à son actif sur la plateforme, et Olivier, ancien militaire autodidacte en développement web, aujourd’hui Tech Lead et mentor chez OpenClassrooms. Qui ont tous deux appris le développement chez OpenClassrooms.

Pour la Saint Valentin, nous leur avons posé quelques questions de code… et de love.


LOVE – Qu’est-ce que cela fait d’être ensemble et développeurs dans la même boîte ?


Elle : C’est étrange. On se voit tout le temps : au travail et chez nous. Ce qui demande le plus d’adaptation, c’est de différencier l’Olivier du bureau, qui s’adresse à nos collègues, de mon compagnon. Mais on s’y fait petit à petit et cela se passe bien.
Lui: Au début, c’est un peu bizarre, tout se mélange. Mais cela a aussi des avantages. Au moins, contrairement à plein d’autres couples, on se comprend quand on parle travail !


CODE – Que préfères-tu dans le code ?


Lui : J’adore apprendre de nouvelles technos. Et déconstruire petit à petit le côté « magique » du code en allant toujours plus loin pour comprendre comment tout fonctionne.
Elle : Le fait d’apprendre en continu, tous les jours. C’est stimulant !

 


LOVE –
La qualité de ta moitié que tu préfères ?


Elle : Sa patience d’ange, que j’ai mise à rude épreuve ces dernières années (rires).
Lui : Le fait qu’Anaïs m’accompagne et me pousse dans tout ce que j’entreprend. C’est un moteur pour moi et elle m’a grandement aidé à devenir qui je suis aujourd’hui.


CODE – Son meilleur atout en code ?


Lui : Sa curiosité et sa ténacité.
Elle : Sa détermination.

 

LOVE – Qu’admires-tu chez Anaïs – Olivier ?


Lui : Sa détermination de fer. Souvent, elle me bluffe ! Il fallait la voir à l’hôpital, à suivre ses cours en jonglant entre code et biberons, juste après la naissance de notre fille.
Elle : Lorsque nous nous sommes rencontrés, Olivier était militaire en Lorraine. Il savait qu’il ne reconduirait pas son contrat dans l’armée de terre, mais pas encore ce qu’il allait faire. J’avais une peu peur de le voir quitter ce poste qui nous assurait un revenu. Puis, il s’est lancé dans le développement avec seulement son Bac. Il n’a jamais lâché, et cela a payé. J’admire énormément sa ténacité, sa patience et sa très grande volonté.


CODE – Ton défi professionnel ? Et dans la vie ?


Lui : Au boulot, continuer à prendre plus de responsabilités en tant que Lead Dev. Dans la vie, déménager pour habiter dans une plus grande maison.
Elle : En tant que dev, j’aimerais gagner en autonomie. Et exécuter les tâches qui me sont attribuées plus rapidement. Mais cela viendra avec la pratique. Et côté vie personnelle, j’aimerais prendre plus de temps avec Lena et Olivier, en lâchant un peu nos écrans.


CODE + LOVE : Vous voulez que votre fille soit une petite geek ?

 

À l’unisson : OUI !

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Technicien informatique & administrateur réseau vus par un pro

Il y a des jours où l’on arrive au bureau plein de motivation et de bonnes intentions. Et puis, sans aucune explication, notre ordinateur plante, ou l’imprimante de la boîte n’imprime plus, ou le mystérieux dossier sur lequel nous travaillons depuis des semaines ne s’enregistre pas. Vent de panique !

Mais avant que notre crise d’angoisse ne prenne de trop grandes proportions, nous composons le numéro du technicien informatique en charge de notre service : « Je comprends pas, ça marche plus ». Quand tout semble aller mal, les techniciens informatiques d’une entreprise, chapeautés par l’administrateur systèmes et réseaux, sont les sauveurs du quotidien.

 

Le technicien informatique, garant des systèmes et réseaux de l’entreprise….

 

A l’heure où toutes les entreprises fonctionnent au rythme des ordinateurs, téléphones, tablettes et autres appareils électroniques ou numériques, le technicien informatique fait figure de pierre angulaire. Son rôle est d’installer de la façon la plus optimale le système informatique : brancher les bons câbles aux bons endroits, assurer la mise en réseau des appareils informatiques, et assurer le bon fonctionnement de l’ensemble pour les utilisateurs.

Dans un deuxième temps, le technicien est également en charge de l’entretien et de la maintenance du parc informatique. Il doit à la fois intervenir pour des dépannages lorsqu’ils surviennent, et également les anticiper en amont pour éviter qu’ils ralentissent l’activité de l’entreprise ou du service.

Gildas Thomas a été technicien informatique avant de devenir administrateur réseau chez OpenClassrooms. Il explique :

Il n’y a pas de journée type pour un technicien informatique. Chaque jour est conditionné par les demandes des utilisateurs, les problèmes de réseau ou sur le matériel lui-même, des problèmes au niveau de l’impression…. C’est vaste. En général, plus l’entreprise est grande, plus le travail est sectorisé et donc le technicien assigné uniquement à certaines problématiques.

 

Sous la houlette de l’administrateur réseau

 

Le technicien informatique est généralement managé par un administrateur système et réseau. Ce dernier est fort d’une expertise plus poussée dans un ou plusieurs domaines et peut répondre pour des problématiques plus complexes. Il intervient lorsque les techniciens sont à cours de solutions, et c’est également la personne qui se doit de proposer et d’anticiper les changements de système, de réseau, d’outils informatiques pour le bon fonctionnement de l’entreprise. Il doit respecter des contraintes de budget d’une part et de productivité, d’ergonomie d’autre part.

Ses objectifs principaux sont d’automatiser les tâches répétitives et de simplifier l’infrastructure au maximum en choisissant les bons outils technologiques.

L’administrateur réseau est également responsable de la cybersécurité du parc informatique et donc de la protection des données des utilisateurs et de l’entreprise.

C’est finalement celui qui doit savoir prendre du recul dans la gestion d’incidents complexes, et être capable de communiquer avec tout type de profils : utilisateurs, techniciens, fournisseurs et prestataires. Là encore, Gildas témoigne :

Il faut être capable de se transposer à la place des utilisateurs, qui parfois se sentent biaisés ou empêchés de travailler lorsqu’il y a des problèmes ou des changements. Il faut pouvoir tout expliquer de façon diplomate et prendre le temps de désamorcer les situations délicates. Un bon administrateur réseau doit comprendre comment travaillent les techniciens informatiques et prendre cela en compte dans sa gestion de projet, les deux métiers fonctionnent main dans la main.

 

Deux métiers aux exigences multiples

 

        Au-delà des connaissances et compétences en informatique, ces deux métiers requièrent de nombreuses autres qualités. Comme nous le savons, le propre du bug est d’arriver au moment le plus inopportun, au moment où évidemment il y a urgence !

Lorsque l’on fait appel aux techniciens informatiques pour nous venir en aide, ils doivent être capables de bien gérer les situations de stress et s’adapter aux problèmes de l’utilisateur.

C’est un métier qui demande également beaucoup de pédagogie et donc de patience puisque la plupart de temps, les techniciens sont face à des novices en informatiques à qui il faut prendre le temps d’expliquer le nouvel outil en place par exemple. Gildas le souligne :

Il est indispensable d’avoir une bonne résistance au stress, car les problèmes sont tous urgents en général. Dans un deuxième temps, c’est aussi être capable de faire face à la résistance au changement des utilisateurs et les accompagner le mieux possible lorsque l’on implante de nouveaux outils qui chamboulent leurs habitudes. Il faut toujours réussir à expliquer pourquoi nous appliquons des changements et pourquoi ils seront bénéfiques sur le long-terme.

Le technicien informatique, comme l’administrateur réseau, est constamment au contact des autres. Ce sont des métiers de service dans lesquels il faut savoir rester jovial et disponible en toutes circonstances, sans attendre de reconnaissance en retour.

Le plus plaisant dans ce domaine est sans doute de ne jamais avoir à faire la même chose deux fois, il n’y a pas de routine puisque chaque jour apporte son lot d’imprévus et de problèmes plus ou moins importants.

Enfin, ce sont des métiers qui sont en constante évolution et pour lesquels il est indispensable d’être particulièrement curieux. Chaque nouveauté technologique peut faire l’objet d’une nouvelle formation et d’un nouvel apprentissage auxquels il faudra ensuite familiariser l’utilisateur.

 

Vous voulez apprendre l’un de ces deux métiers ? 

 

Renseignez-vous sur notre formation Technicien Informatique à équivalent Bac +2, ou Administrateur Infrastructure et Cloud, à équivalent Bac +3.

 

À propos d’Aglaé : 

Aglaé est auteur-rédacteur. Elle a fondé Word Shaper, une agence créative qui propose des services d’écriture, de consulting et de conception.

 

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Pourquoi devenir développeur iOS ?

Par : Nora Leon

 

Nous avons déjà parlé des raisons de devenir développeur mobile et comparé les avantages et les inconvénients de se spécialiser plutôt que de devenir développeur full-stack. Vous disposez maintenant d’un certain nombre d’éléments pour décider de votre future formation.

Imaginons que vous ayez décidé que le développement mobile c’est le futur (ce qui est plutôt vrai) et que vous pensiez vous orienter vers iOS plutôt qu’Android, mais qu’il vous manque encore quelques informations pour prendre votre décision. Cet article devrait vous aider.

Voici 5 raisons de commencer votre formation dans le monde d’iOS :

  1.   Vous travaillerez sur une technologie que vous aimez

Les fans d’Apple comptent parmi les plus extrêmes (vous avez déjà vu les files d’attentes à la sortie d’un nouveau produit ?) alors si vous avez choisi vous orienter vers iOS, c’est sûrement que vous avez un penchant pour la plateforme. On nous répète de faire carrière dans un domaine qui nous passionne, et si vous êtes un grand amateur des produits Apple, vous serez (probablement) heureux de vous lever pour coder chaque matin.

  1.   Vous avez de grandes chances de gagner plus avec iOS

Android a un taux de pénétration du marché plus élevé qu’iOS, mais si ce qui vous intéresse c’est gagner de l’argent en vendant votre application ou par les achats intégrés à votre application, iOS est la meilleure solution. Android est très populaire sur les marchés émergents où le revenu disponible est bas, mais les propriétaires d’appareils iOS ont en moyenne des revenus plus élevés et sont plus susceptibles de dépenser pour des applications.

  1.   Les outils de développement iOS sont plus sophistiqués

Comme on peut s’y attendre, les outils de développement iOS sont à l’image des produits Apple : d’apparence soignée et faciles à utiliser, ce qui rend votre travail nettement plus agréable. Xcode, l’outil principal des développeurs iOS, existe depuis plus longtemps que son équivalent Android, et son niveau de maturité est donc bien plus élevé.

  1.   iOS est considéré comme plus facile pour les débutants

Il y a de nombreuses règles à respecter si vous voulez que votre application soit publiée sur l’App Store, connu pour ses limitations et sa structuration. Mais ce n’est pas un problème, au contraire ! Grâce à toutes ces restrictions, vous risquez moins de vous éloigner des standards de développement d’applications, ce qui rend le développement iOS plus facile pour les débutants.

  1.   Vous aurez moins de mises à jour à faire

Le taux d’adoption du système d’exploitation (OS) est plus élevé sur l’écosystème Apple, vous passerez donc moins de temps à mettre à jour votre application, ce qui vous laissera plus de temps pour l’améliorer. Alors que si vous développez pour Android, ce système d’exploitation étant ouvert et donc embarqué dans une multitude d’appareils, vous devrez mettre à jour votre application pour ses très nombreuses versions d’OS, ce qui vous donnera non seulement plus de travail, mais le rendra également  répétitif.

Voilà, vous savez tout. Si cet article vous a aidé à y voir plus clair et que vous êtes maintenant convaincu que vous voulez devenir développeur iOS, il ne vous reste qu’une seule chose à faire : commencer votre formation.

En seulement 12 mois, avec notre formation centrée sur les projets professionnalisants et notre système de mentorat, vous êtes assuré de trouver un travail en tant que développeur iOS. Vous pourrez également bénéficier de notre dispositif Emploi Garanti, disponible pour tous les étudiants au sein des parcours diplômants, qui vous assure un remboursement de votre parcours si vous ne trouvez pas d’emploi dans les six mois suivant l’obtention de votre diplôme.

 

À lire ensuite : 

 

Focus sur le métier de développeur iOS ]
[ Ma vie de développeur Android ]
[ Focus sur le métier de développeur android ]
Les métiers les plus recherchés du numérique ]

 

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Comment bien démarrer un projet ?

Par : Nora Leon

C’est en forgeant qu’on devient forgeron — chez OpenClassrooms, nous aimons bien ce dicton. C’est pourquoi nos formations diplômantes reposent sur l’apprentissage par la pratique.

À quoi ressemblent les projets ? Ce sont des cas pratiques qui vous permettent d’apprendre les compétences immédiatement applicables dans le monde du travail. Par exemple coder un site Internet dans un parcours en développement, ou créer un calendrier éditorial dans le parcours Community Manager.

Si vous venez de vous inscrire à un parcours OpenClassrooms, vous commencerez votre premier projet. Il est possible que vous le trouviez impressionnant.

Pour vous rassurer, Dominique Milliez, étudiant dans le parcours Administrateur Infrastructure et Cloud et Jessica Tessé, mentor en Marketing et en WordPress, vous expliquent comment bien débuter un projet.

 

Familiarisez-vous avec le brief et lisez le cours

 

La lecture attentive du brief et des cours  vous aidera. Surtout si vous n’avez aucune connaissance préalable dans les compétences acquises sur le projet. Suivre les cours aide à se mettre dans le bain et à acquérir des bases utiles pour passer à la pratique. Pour le premier projet, ne faites pas d’impasse sur cette ressource.

Je fais toujours lire à mes apprenants le brief du projet et le cours corrélé avant la session de mentorat. Comme cela, quand on commence à structurer leurs sessions de travail, ils sont déjà dans le bain. Jessica

 

Problématisez et contextualisez le projet

 

Si le projet vous semble difficile d’accès, c’est souvent aussi parce qu’il vous est encore inconnu.

Prenons l’exemple de la charte éditoriale dans les parcours en Marketing : en commençant leurs études, la plupart des gens n’ont pas une idée claire de ce qu’on attend d’eux.

Se demander à quoi sert exactement une charte éditoriale (à fixer les règles d’écriture du contenu d’une marque) et ce qu’elle contient (les objectifs, les sujets principaux, la personnalité de marque…), permet de mieux se projeter dans sa réalisation.

De nombreuses personnes ne savent pas tout de suite à quoi sert une charte éditoriale, et donc définir exactement ses utilisations en entreprise les aide vraiment à se projeter dans sa réalisation. Jessica

 

Pensez à la structure de travail du projet

 

Au début, pas question de se perdre dans les détails. Le but du jeu : prendre du recul pour comprendre ce qui est attendu dans le projet.

 

Je pars du cadre pour aller plus tard dans le détail. C’est nécessaire pour que l’apprenant ne prennent pas peur des livrables. Une fois qu’on a pris du recul, le reste vient tout seul. Jessica

C’est bien ce qu’explique Dominique, qui, au début de chaque projet, prend un temps pour comprendre exactement ce qui est attendu.

Au départ,  j’essaie de prendre un peu de recul de façon à pouvoir avoir une vue d’ensemble sur ce qui est demandé. J’utilise la bonne vieille méthode du papier-crayon et je liste des idées pour mettre en place une solution. Dominique

Faites la liste des livrables. Pour les projets dans lesquels c’est possible (par exemple, construire une charte éditoriale en marketing, réaliser un plan de recrutement en RH, faire un business plan dans le parcours entrepreneur…), demandez-vous combien de temps chaque tâche prendra. Faites un brouillon de plan dont vous pourrez discuter avec votre mentor pour l’ajuster.

D’une session à l’autre, mes apprenants doivent faire un plan détaillé. J’insiste pour qu’ils posent des questions, pensent à la meilleure façon de structurer leur travail. Nous validons ensemble un plan détaillé. Une fois qu’ils ont la structure en tête, le reste du projet coule tout seul, car ils savent exactement comment procéder. Jessica

Une fois que j’ai listé ce que j’estime nécessaire pour le projet, me retrouve avec pas mal d’éléments à mettre en place. Et l’étape suivante, tout aussi importante, est de réfléchir combien de temps chaque tâche pourra me prendre. Après, je fais des découpages concernant le temps imparti, pour voir si je suis dans les clous. Dominique

 

Vous avez toutes les clés en main pour bien démarrer votre projet. Rassurez-vous : il n’y a rien d’insurmontable, puisque tant d’autres avant vous ont réussi ! Votre mentor est là pour vous aider, et vous verrez, dans quelques semaines, vous serez beaucoup plus à l’aise.

N’hésitez pas à vous rendre toutes les 2 semaines dans les espaces de co-working où vous pourrez échanger avec les autres apprenants. Ils sont présents dans 8 villes de France et vous permettent de vous entraider. Enfin, n’oubliez pas la communauté en ligne qui pourra vous apporter un réel soutien.

 

Et Jessica de conclure : 

Arrivés au P4, tous mes étudiants se rendent compte qu’ils s’étaient faits une montagne de tout cela, mais qu’en définitive, ils y arrivent très bien.

 

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Peut-on changer de mentor ?

Par : Nora Leon

 

Bienvenue ! Si vous avez cliqué sur cet article, vous êtes probablement :  

  • Un apprenant qui se demande s’il va pouvoir changer de mentor
  • Un futur apprenant qui a des inquiétudes sur le sujet
  • Ou un mentor qui pense pense pouvoir mieux aider une autre personne.

Sans plus attendre, nous pouvons vous l’assurer, changer de mentor est tout à fait possible.

Faisons le tour de la question avec Pauline, conseillère pédagogique.

Tous les mentors recrutés chez OpenClassrooms sont soigneusement sélectionnés. Ce sont des experts de leur métier qui exercent en même temps l’emploi que vous apprenez. Pour qu’ils soient en mesure de vous transmettre leurs compétences, nous exigeons au minimum 2 ans d’expertise dans leur métier, mais la plupart sont plus chevronnés.

Vous l’aurez compris, on ne change généralement pas de mentor parce qu’il n’est pas capable de répondre à nos questions. Mais alors, quelles sont les raisons principales pour lesquelles on peut demander le changement ?


Le pourquoi du comment

 

Selon Pauline, “il faut différencier le changement initié par l’étudiant et celui demandé par le mentor. Parfois, le mentor prévient l’étudiant qu’il n’exerce que sur certains projets de son parcours, ou qu’il ne pourra plus assurer son mentorat après une pause de quelques mois. Dans ce cas, l’équipe Mentorat prévoit un changement d’accompagnateur”.

Côté étudiant, bien des raisons sont possibles. Il se peut que les deux personnes, apprenant et mentoré, aient des emploi du temps peu compatibles. Si l’apprenant a une famille et que le mentor travaille sur les moments où il ou elle pourrait être disponible pour une session, les choses se compliquent.

D’autre fois, les personnalités ne sont pas compatibles, comme le précise Pauline : “Certains types de managers qui conviennent très bien à certains salariés, ou l’inverse. C’est le cas également avec les binômes de mentors et mentorés. L’apprenant a beau être très motivé et le mentor très professionnel, certaines fois la pédagogie ou la personnalité du mentor ne trouvent pas d’écho en son apprenant, et inversement.

Et ce n’est pas grave, ce sont des choses qui arrivent. Cela ne veut en aucun cas dire que l’un des deux soit en cause, ni que le mentor soit incompétent”.  

 

Je veux changer de binôme : comment procéder ?


Lorsque l’une de ces situations se produit, mentor comme étudiant peuvent demander un changement.

Nous voulons absolument éviter que l’étudiant ou le mentor n’ose pas demander ce changement, car rien ne nuit à l’apprentissage comme un binôme qui ne fonctionne pas. Il y a tant de mentors que trouver un meilleur duo est vraiment possible.

Donc, pour éviter que les personnes se censurent, nous ne demandons aucune raison pour motiver le changement. Si la personne veut en discuter, nous sommes bien sûr ouverts. Mais nous sommes avant tout là pour garantir que les sessions se passent bien et apportent beaucoup à l’étudiant comme au mentor”, assure Pauline.

Donc, si vous pensez que vous pourriez mieux apprendre avec un autre mentor, ou mieux accompagner un autre étudiant, n’hésitez plus, écrivez-nous.

Je contacte un conseiller pédagogique

 

🙋🏻

 

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Quels sont les métiers de l’informatique qui recrutent ?

Par : Christophe

Le métiers de l’informatique recrutent. Cela ne vous aura pas échapper au vu du nombre d’offres d’emploi présentes sur les sites de recrutement. Près de 9 français sur 10 ayant accès à internet, les entreprises en profitent logiquement pour poursuivre leur fort développement en ligne. En découlent des besoins de plus en plus importants en compétences informatiques mais aussi des salaires qui s’envolent pour les métiers du secteur informatique.

Toutes les professions dans ce secteur ne sont pas logées à la même enseigne en matière de besoins en recrutement. Toutes les régions de France non plus. C’est notamment ce que nous apprend le classement 2018 des métiers du digital les plus demandés par les recruteurs

Cet article revient donc sur ces métiers qui recrutent vraiment. Nous ferons ensuite un focus sur les deux métiers concentrant le plus d’offres d’emploi informatiques : l’ingénieur réseaux et le développeur full-stack.

Sommaire de l’article :

Formations diplomantes

Les métiers de l’informatique les plus demandés par les recruteurs

Transformation digitale des grandes entreprises, explosion du nombre de startups, volonté étatique de développer le secteur du numérique … Tous les signaux sont au vert pour les professionnels de l’informatique qui font face à une demande croissante des recruteurs.

Les besoins en recrutement ne sont en revanche pas répartis équitablement sur le territoire. Selon cette même étude d’Adzuna, moteur de recherche d’offres d’emploi, l’Ile-de-France rassemble plus d’un tiers des offres d’emploi dans le secteur du digital plus largement, loin devant la région Auvergne-Rhône-Alpes (11,3%). Il sera donc compréhensible que votre regard se tourne vers la région francilienne lorsque vous rechercherez un emploi dans le secteur informatique mais tout en sachant que la concurrence y est aussi plus rude en raison du nombre de professionnels de l’informatique sur ce marché.

Revenons-en aux métiers informatiques qui recrutent. Selon l’étude, réalisée sur la base de 850 000 offres d’emploi en février 2018, les recruteurs recherchent prioritairement des ingénieur réseaux. Plus de 1 000 offres d’emploi étaient ainsi disponibles en février 2018 pour ces spécialistes de la transmission d’informations (voix, données, images). C’est près du double du nombre d’opportunités ouvertes pour les suivants au classement, les développeurs full-stack (628 offres d’emploi). Arrivent ensuite les développeurs mobiles avec un peu plus de 400 offres. Faisons un focus sur les deux premiers métiers informatiques.

Focus sur l’ingénieur réseaux – missions & salaire

Les missions de l’ingénieur réseaux sont très riches et sont plus ou moins étendues dépendant de son entreprise. Il sera chargé de l’organisation de l’administration des réseaux mis en place. Plus concrètement, cela comprendra la gestion des droits d’accès des collaborateurs de l’entreprise aux différents réseaux ou encore le respect des normes de sécurité. Ses fonctions comprendront aussi la connexion entre les différents réseaux de son entreprise. Finalement la fonction de support aux utilisateurs du réseau est souvent central. L’objectif sera là d’intervenir en cas de panne ou de dysfonctionnement du réseau.

Focus sur l’ingénieur réseaux - missions & salaire

En tant qu’ingénieur réseaux, vous serez donc responsable du bon fonctionnement et de la qualité du réseau. Ce réseau devra permettre une communication sécurisée au sein de votre entreprise ou pour les clients de votre société. Parmi les défis majeurs auxquels vous serez confrontés se trouve le fait de vous adapter à la fois au système d’information de votre entreprise et aux besoins spécifiques de ses collaborateurs en termes de puissance, rapidité et stabilité du réseau. 

Niveau rémunération, avec un salaire moyen de 44 572 €, l’ingénieur réseaux profite d’une rémunération 25% supérieure au salaire national moyen du secteur du digital (36 072€). Accéder à cette profession nécessitera une formation de niveau bac +4/5 (Master) spécialisée en informatique, réseaux et télécommunications.

ingénieur réseaux

Focus sur le développeur informatique – missions & salaire

Les termes de développeurs informatiques cachent plusieurs réalités et plusieurs métiers. Nous nous intéresserons au métier le plus demandé par les recruteurs : le développeur full-stackVoici un métier pour le moins polyvalent. Le développeur full-stack cumule à la fois les fonctions de développeur front-end et de développeur back-end.

Sur les fonctions de développeur front-end, le développeur full-stack construira la partie “visible” de l’application (site e-commerce, blog, réseau social, …). Ce sera pour ainsi dire la carrosserie et autres éléments visibles de la voiture (levier de vitesse, pédale de frein, …). Il s’agira de l’interface de l’application qui s’affichera sur votre écran.

Focus sur le développeur informatique - missions & salaire

Ses missions de développeur back-end seront elles tournées vers la création du moteur de la voiture. Ce sera la partie “invisible” et indispensable de l’application. A partir des besoins des utilisateurs de l’application en création, il proposera des fonctionnalités du site répondant à ces besoins.

En tant que développeur full-stack, vos tâches iront au-delà du développement de l’application et s’étendra au support technique auprès des utilisateurs et à l’évolution des fonctionnalités afin de toujours répondre aux besoins des utilisateurs.

Le développeur full-stack est incontestablement l’un des métiers informatiques les plus recherchés sur le marché. Plus de 600 postes étaient ainsi ouverts en février 2018 selon l’étude citée plus haut. Cette profession est en effet indispensable au fonctionnement d’un grand nombre d’entreprises.

Ce couteau suisse du développement informatique n’a en revanche pas le salaire le plus élevé du digital. Le salaire moyen d’un développeur full-stack s’établit à 27 792 €. Comme toute moyenne, ce chiffre est à relativiser, la rémunération dépendant à la fois de l’expérience du développeur et de la localisation géographique de son entreprise.

Développeur informatique

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5 outils indispensables pour les développeurs web débutants

Par : Nora Leon

 

Saviez-vous que, grâce à une croissance inédite dans le secteur des technologies, une estimation de 700 000 emplois en programmation devraient être créés d’ici 2020 en Europe et un million aux États-Unis ?

Qu’est-ce que cela signifie pour le secteur ?

Vous avez vu juste :  il est en pleine expansion !

Le développement web gagne rapidement en popularité et de nouvelles façons de l’apprendre voient le jour presque quotidiennement. Cette croissance est accompagnée de tout un arsenal d’outils créés dans le but d’assister les développeurs non seulement dans leur apprentissage, mais aussi dans leur productivité au travail.

Maîtriser les compétences clés est une chose, mais essayer de rester au fait de plusieurs outils en est une autre. Il est donc essentiel d’être sélectif. Pour vous mettre sur la bonne voie, nous avons sélectionné les cinq (oui, seulement cinq) outils que vous serez amené à utiliser le plus une fois que vous serez devenu un développeur web accompli.

  1. Chrome DevTools

Faites place aux outils de développement ! Ils sont accessibles dans Google Chrome, Mozilla Firefox ou tout autre navigateur de votre choix et vous permettent de jeter un œil sur le fonctionnement interne d’un site Web et de ses applications. Ce sont des ressources très utiles, car elles vous permettent :

  • D’examiner et de modifier les éléments HTML ;
  • D’ajouter et de tester des règles de style CSS ;
  • De consulter les fonctions JavaScript de la page ;
  • D’identifier quels sont les éléments qui se chargent vite ou lentement.
  1. Visual Studio Code

En tant que développeur Web, vous aurez BEAUCOUP de code à écrire. Il est donc tout à fait normal que nous vous assistions dans votre recherche du meilleur éditeur sur le marché. Il existe pas mal de bons éditeurs (Sublime Text est l’un de nos favoris), mais Visual Studio Code est l’éditeur NUMÉRO UN.

Selon les développeurs web expérimentés, ses points forts sont l’intégration de GitHub et la saisie semi-automatique IntelliSense. Visual Studio Code propose également une interface ergonomique, prend en charge plusieurs langages et met en évidence votre syntaxe (parce que la syntaxe c’est humain, hein.)

Ah, et autre chose : il est totalement GRATUIT. Pourquoi vous priver ?

  1. FileOptimizer (PC) / ImageOptim (Mac)

Ces deux outils vous permettent d’optimiser vos images.

ImageOptim est rapide, simple et ergonomique et si ce ne sont pas des mots que vous recherchez dans l’avis d’un nouvel outil, je ne sais plus quoi faire pour vous. C’est un excellent outil de compression d’images vous permettant d’économiser de l’espace de stockage sur votre ordinateur.

FileOptimizer fait la même chose, mais au lieu de ranger les fichiers dans un dossier compressé, il compresse le fichier d’origine.

  1. Bootstrap

Vous n’avez pas envie de passer trop de temps sur le CSS de vos sites Web ? Alors Bootstrap est l’outil qu’il vous faut. C’est un kit CSS créé par des développeurs de Twitter, qui est vite devenu l’infrastructure CSS de référence. Deux de ses fonctionnalités les plus appréciées sont :

  • Une façon facile et rapide de concevoir des sites Web attrayants et dynamiques.
  • Une énoooorme communauté. Comme c’est un outil largement utilisé, il existe de nombreux modèles de sites et beaucoup de tutoriels utiles. La page GitHub officielle de Bootstrap est très active pour que l’outil soit amélioré continuellement !

Il y a de plus en plus de nouvelles infrastructures comme Materialize et Mui. Si vous souhaitez étendre encore plus l’éventail de vos outils, ceux-ci pourraient constituer un bon départ.

Vous souhaitez vous lancer avec Bootstrap ? Alors pourquoi ne pas commencer sur OpenClassrooms avec ce cours ?

  1. GitHub

Si nous avons déjà mentionné GitHub plusieurs fois, c’est qu’il doit y avoir une bonne raison, non ?

Avez-vous l’habitude d’écrire du code et de collaborer avec d’autres développeurs ? Aimeriez-vous pouvoir suivre les modifications de votre code en toute sécurité/sans perdre toutes vos données en cas de panne de votre ordinateur ou serveur principal ?

De nos jours, la gestion des versions est essentielle. Git, un outil créé par Linus Torvald, est parfait pour cela. Nous vous recommandons de l’utiliser et de le maîtriser pour vous éviter tout regret ultérieur.

Besoin d’aide ? Nous avons un cours sur OpenClassrooms portant spécifiquement sur ce sujet.

Et voilà cinq outils que vous allez maîtriser en tant que développeur Web.  Mais avant cela, il y a du chemin à parcourir.

Avec OpenClassrooms, vous pouvez devenir développeur Web frontend et valider un diplôme de niveau Bac +3/4 en seulement un an. Si vous voulez faire un mélange de front et back, nous vous conseillons le parcours en 6 mois développeur web junior. En plus de ça, nous vous fournissons également une garantie d’emploi : si vous ne trouvez pas d’emploi six mois après l’obtention de votre diplôme, nous vous remboursons.

 

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La reconversion de Silvia, de Barcelone à Paris

 

Silvia est espagnole et travaille à Paris depuis 2010. Après huit ans à travailler dans le commercial, elle décide de se reconvertir et s’inscrit au programme « Ingénieur responsable pédagogique » chez OpenClassrooms.

Et son projet fonctionne. En octobre 2018, Silvia quitte son ancienne entreprise et décroche un poste de chef de projet e-learning dans un centre de formation. Nous sommes allés à sa rencontre pour en savoir plus sur son parcours.


Quel métier exerçais-tu à Barcelone et pourquoi es-tu venue en France ?

 

En Espagne, j’étais enseignante vacataire et j’animais des formations pour enfants et adultes. Mon métier était très exécutif et consistait à transmettre un contenu aux élèves de la manière la plus efficace possible.

Je suis arrivée à Paris en fuyant la crise, et je ne parlais pas bien le Français. J’ai eu de la chance malgré tout, car j’ai décroché un job en service client, puis j’ai évolué en tant que commerciale. J’ai travaillé dans plusieurs entreprises pendant huit ans.

J’ai toujours su ce que je voulais faire, mais ce n’était jamais le bon moment pour prendre les choses en main et quitter le confort de mon CDI. Je pensais ne jamais pouvoir accéder au job de mes rêves et j’étais presque sûre que je n’aurais pas le niveau de langue requis.


Quand as-tu décidé de te reconvertir et de suivre une formation ?

 

Pendant mon congé maternité, j’ai eu un déclic.

J’ai compris que ma carrière de commerciale ne me satisfaisait plus. Changer d’entreprise ne servait à rien : je me lassais vite car ce n’était pas le métier que je voulais exercer. Alors, je me suis posée les bonnes questions et pris la décision de changer de voie.

J’ai commencé mon parcours de formation chez OpenClassrooms au mois de juin, une fois en congé maternité. Aujourd’hui, j’en suis au 6e projet du parcours, il ne m’en reste plus que deux pour terminer la formation.

 

Quelle formation as-tu choisie et pourquoi ?

 

L’ingénierie pédagogique est ce qui m’intéresse le plus : concevoir des formations, réfléchir à un contenu intéressant et utile. Et depuis quelques années, les formations professionnalisantes ont le vent en poupe en entreprise.

 

Qu’est-ce qui t’a poussée à t’inscrire chez OpenClassrooms?

 

J’ai choisi OpenClassrooms car je voulais suivre une formation à mon rythme, depuis chez moi. Étant enceinte, c’était important de pouvoir adapter mon travail à mes journées.

Pour pouvoir me reconvertir, je devais acquérir de nouvelles compétences, mais surtout me confronter à un nouveau métier. Chez OpenClassrooms, on met en pratique ce qu’on apprend à travers des projets. Chaque projet de la formation donne lieu à une soutenance : il faut faire preuve de débrouillardise, se creuser la tête, chercher des informations.

Le suivi avec le mentor, pour moi, c’est la clef de la réussite. Faire un point hebdomadaire, ça re-motive ; au moindre souci, on peut en discuter.

Je me suis sentie accompagnée, soutenue.

C’est ce qui fait toute la différence chez OpenClassrooms par rapport à d’autres organismes de formation.

 

Comment t’organises-tu au quotidien ?

 

Quand j’étais enceinte, je me calais des séances de travail régulièrement. J’étais souvent fatiguée, donc ça n’a pas été facile tout le temps. Aujourd’hui, mon bébé est né, je m’isole donc le soir entre 19h et 21h pour travailler.

L’organisation est indispensable, car le quotidien peut vite vous rattraper !

 

Comment as-tu vécu ta recherche d’emploi ?

 

J’ai commencé à postuler après la naissance de ma fille. J’ai passé mes entretiens pendant le congé parental de mon mari. Pour mes candidatures, je me suis servie de tout le vocabulaire engrangé pendant la formation, et ça a payé !

J’ai trouvé un nouveau travail en tant que chef de projet e-learning, à partir de février. Même si c’est dur de se sentir légitime lorsqu’on change de métier, je suis confiante.

 

Quels conseils donnerais-tu aux élèves d’OpenClassrooms ?

 

Pour mettre toutes les chances de votre côté, réfléchissez en amont à votre projet professionnel. Gardez-le en tête, tout le temps.

Au moment de vous lancer, vous serez débordants de motivation : pour ne pas la perdre, pensez à bien organiser vos temps de travail. Et surtout, échangez le plus possible avec votre mentor, il est là pour vous aider.

 

Envie de suivre le même chemin professionnel que Silvia ? 

 

Jetez un œil à notre parcours Ingénieur responsable pédagogique !

 

À lire ensuite : 

 

La trajectoire de Damien – À peine diplômé, les appels ont plu ]
La trajectoire de Mehedi – Un parcours réussi malgré plusieurs pauses ]

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Quelle est la meilleure option : devenir développeur full-stack ou développeur spécialisé ?

Par : Nora Leon

 

Si tu veux être dév’loppeur web, frappe dans tes mains !
Si tu veux être dév’loppeur web, frappe dans tes mains !

* PAUSE *

Bien. Mais quel type de développeur Web souhaitez-vous devenir ?

Une carrière dans le développement web est gratifiante et intéressante, car le marché du travail recherche des développeurs en permanence et de nouveaux langages apparaissent régulièrement. Si vous avez déjà fait toutes ces recherches, vous savez probablement déjà que vous pouvez choisir parmi une multitude de disciplines et vous ne savez sûrement pas où donner de la tête.

Pour faire simple, votre choix réside dans votre désir de spécialisation ou non. Toutes les spécialités en développement ont de l’avenir, et par ailleurs, il y a des emplois pour tous les développeurs, à Paris et en province.

À titre d’information, plusieurs spécialités sont disponibles sur OpenClassrooms : nous formons des développeurs spécialisés en Frontend, en Backend en PHP/Symfony ou en full-stack (c’est-à-dire en Front et Back à la fois) en Développement web junior ou Python ou  Java. Vous avez donc le choix.

Reste maintenant à vous décider !

 

Quelle est la différence entre un développeur full-stack et un développeur spécialisé ?

 

Un développeur spécialisé travaille généralement soit en Frontend soit en Backend. Là où un développeur Frontend va travailler du côté des utilisateurs en créant les interfaces visibles sur les navigateurs à l’aide des langages HTML, CSS et JavaScript, le développeur Backend sera en charge du fonctionnement interne. Il s’assurera que les utilisateurs peuvent accéder aux données appropriées et que les bonnes données sont stockées au bon moment.

Un développeur full-stack est un mélange des deux. Ses connaissances des différents langages de programmation sont plus limitées, mais il est capable de travailler en frontend et en backend et peut donc suivre un projet de sa conception à sa création.


À quoi ma journée de travail ressemblera-t-elle ?

 

En tant que développeur spécialisé, vous passerez beaucoup de temps à développer et améliorer les projets sur lesquels vous travaillerez. Vous serez un expert dans votre domaine et devrez continuer de vous former pendant toute votre carrière pour être à jour sur les dernières innovations.

En tant que développeur full-stack, vous travaillerez souvent sur une grande variété de tâches, car vous serez un véritable touche-à-tout. Vous passerez moins de temps à travailler en collaboration avec plusieurs personnes, car vous serez plus autonome et dépendrez moins de vos collègues pour mener à bien des tâches connexes.

 

Quel diplôme garantit l’embauche ?

 

Les deux profils sont très recherchés, vous pourrez le constater en survolant les sites d’offres d’emploi. En termes de rémunération, le salaire de départ est similaire. La vraie question est donc la suivante : quel type de métier souhaitez-vous exercer ?

Les grandes entreprises savent quels sont leurs besoins et ont donc tendance à embaucher des développeurs spécialisés. Les start-ups favorisent au contraire les développeurs full-stack, car ils peuvent prendre en charge l’ensemble de leurs besoins technologiques dès le début. Si l’évolution professionnelle est importante pour vous, les développeurs full-stack sont souvent ceux qui possèdent un point de vue plus global sur les projets et donc ceux qui sont le mieux placés pour diriger une équipe.

Si vous pensez à vous établir en indépendant, vous pourrez plus facilement concevoir vos propres produits en étudiant le développement web full-stack.


Je suis perdu : comment me décider ? 

 

Pas de panique. Le mieux est d’essayer les différents langages, qui vous permettront de savoir lequel vous botte. Le mieux, c’est de commencer avec celui qui vous plaît le plus, sachant que vous pourrez toujours en apprendre d’autres par la suite.

Une carrière en développement web implique de toujours se remettre à jour et d’apprendre de nouvelles technos et des Frameworks récents.

Commencez par les cours débutants :

Frontend
Concevez votre site avec HTML5 et CSS3
PHP
Concevez votre site web avec PHP et MySQL
Python
Démarrez votre projet avec Python
Java
Démarrez votre projet avec Java


En résumé :

 

Si vous souhaitez obtenir un diplôme en Frontend, en Backend en PHP/Symfony ou en full-stack (Développement web junior ou Python ou  Java),  nous avons ce qu’il vous faut.

Nous offrons également une garantie à l’emploi de six mois, car nous sommes convaincus que vous serez rapidement embauché après vos études.

 

Parlez-en à un conseiller pédagogique !

 

🙋🏻

 

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7 conseils pour éviter la pause quand on étudie en ligne… Ou la surmonter !

Par : Nora Leon

 

Vous pensez à faire une pause dans vos études pendant votre parcours OpenClassrooms ?

Lisez d’abord cet article sur le parcours de Mehedi Hasan.

Mehedi est un ancien étudiant international en développement d’applications Front-end. Il a été forcé de mettre ses études en pause non pas une, mais deux fois. Et malgré ces pauses dues à des circonstances exceptionnelles, il a obtenu son diplôme en douze mois. Il a donc acquis en cours de route des techniques pratiques pour garder un rythme d’apprentissage régulier, qu’il partage.

Voici mon premier conseil : si possible, ne faites pas de pauses dans vos études ! Vous atteindrez vos objectifs plus lentement, serez frustré et risquerez de ne pas valider votre parcours. Cependant, si vous devez en prendre une, j’ai quelques conseils à vous donner. Voici mon histoire.

Avant OpenClassrooms

Je me suis toujours senti l’âme d’un entrepreneur. Il y a cinq ans, je suis parti du Bangladesh pour m’installer en Allemagne, où je souhaitais obtenir une licence et un master. J’avais beaucoup de chemin à faire avant d’y arriver.

Pour remplir les conditions préalables à l’entrée dans le programme universitaire de ma licence, je devais suivre des cours d’allemand et d’enseignement général. J’ai également dû faire un stage préalable. Tout cela m’a pris presque deux ans. Ensuite, après avoir validé deux semestres dans mon université allemande, j’ai créé mon entreprise pour fournir des services Web aux petites et grandes entreprises. C’était très difficile de jongler entre mon travail et mes études à cette époque.

Il est vite devenu clair que j’avais besoin d’approfondir mes connaissances en développement Web pour fournir des services de meilleure qualité à mes clients. C’est à ce moment-là que j’ai découvert OpenClassrooms et leur parcours de développeur d’application frontend.

En examinant l’accréditation internationale des diplômes délivrés par OpenClassrooms, équivalents à un diplôme européen de licence, qui pouvaient être validés en un an environ, cette option semblait être plus en accord avec mes besoins professionnels que mon programme universitaire. J’ai donc décidé de quitter l’université et de commencer à étudier avec OpenClassrooms sans attendre en septembre dernier.

Début de son parcours sur OpenClassrooms

Pendant mes deux premiers mois d’études de développement d’application frontend avec OpenClassrooms, je gagnais chaque jour en assurance : j’apprenais beaucoup en peu de temps.

Puis, j’ai reçu un appel de ma famille : mon père avait été hospitalisé. J’ai tout de suite pris un avion pour être à ses côtés et j’ai suspendu mes études en mettant mon compte Premium Plus en pause sur OpenClassrooms. Je ne savais pas comment la santé de mon père allait évoluer et si je pourrais reprendre mes études.

Heureusement, mon père a retrouvé la santé. J’ai donc pu retourner en Allemagne après un mois passé à son chevet. Je me suis tout de suite réinscrit sur OC, j’ai recontacté mon mentor et j’ai repris mon parcours là où je m’étais arrêté.

Se remettre dans le bain

C’est là que je me suis retrouvé dans une impasse. J’avais l’impression de tout avoir oublié et que c’était vraiment trop difficile. J’ai dit à mon mentor que je n’y arrivais pas et que je voulais abandonner.

Il m’a répondu que c’était normal d’oublier quand on fait une pause et que la meilleure façon d’avancer était tout simplement de s’entraîner. Il m’a demandé de prendre 45 minutes ou moins par jour pour manipuler le contenu, essayer de concevoir des choses, revoir d’anciens projets, et même regarder à nouveau quelques courtes vidéos des cours précédents. Il m’a assuré que tout me reviendrait assez vite.

Mon mentor est l’une des raisons principales pour lesquelles j’ai pu continuer à suivre le parcours. Il m’a dit que je pouvais y arriver. Il a cru en moi. Il connaissait mes points forts et savait que même si je réduisais mon temps de travail à 7-10 heures par semaine, je pouvais quand même réussir. Je pouvais ralentir, tout en avançant dans le parcours.

Donc c’est ce que j’ai fait.

Le fait de travailler plus lentement chaque jour ne m’a pas seulement aidé à revenir dans un état d’esprit adapté aux études, cela m’a également appris que des études ou un entraînement quotidiens peuvent être plus efficaces qu’étudier pendant de plus longues périodes seulement une ou deux fois par semaine. Avoir dû me remettre dans le bain après ma pause m’a appris qu’étudier lentement en grattant quelques minutes chaque jour pouvait être une façon d’apprendre encore plus efficace.

Pause inattendue n° 2

Après ça, mon assurance est remontée en flèche et j’étais sur la bonne voie pour terminer le programme quand j’ai appris que mon père avait été hospitalisé une nouvelle fois. Je suis rentré dans mon pays sans hésitation. En dépit du chagrin et de l’inquiétude, tout s’est arrangé pour mon père.

Mais cette seconde pause était très différente de la première. J’avais remis mon abonnement Premium Plus en pause, mais avais continué à m’entraîner. Cela a fait toute la différence. Après une pause de 20 jours, j’ai réussi à reprendre le parcours beaucoup plus facilement. Je l’ai enfin fini et j’ai obtenu un diplôme de licence en 12 mois malgré presque deux mois de pause.

Je suis tellement heureux d’avoir continué mes études.

Aujourd’hui, je constitue le dossier pour ma candidature en école supérieure et obtenir mon master en avance. Je me rapproche chaque jour de mes rêves d’entrepreneuriat

 

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