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À partir d’avant-hierLe courrier des stratèges

USA : BioNTech reçoit une mise en demeure pour défaut de paiement des redevances de son vaccin

L’Institut national américain de la santé (NIH) a récemment adressé une mise en demeure à BioNTech, renommée pour son partenariat avec Pfizer dans le développement du vaccin anti-COVID Comirnaty. Cette notification concerne une présumée défaillance de paiement des redevances et d’autres montants liés à son vaccin COVID-19. La biotech allemande a déclaré qu’elle avait l’intention de se défendre contre toutes les allégations de manquement.

Comirnaty est le fruit de la technologie d’ARNm exclusive de Biopharmaceutical New Technologies (BioNTech), mis au point par BioNTech et Pfizer. Si les activités de Pfizer / BioNTech ont connu un développement remarquable pendant la crise covid, la fin de l’urgence sanitaire liée au Covid-19 a entraîné une diminution significative de leurs revenus. Selon Reuters, lundi 25 mars, la biotech allemande BioNTech a déclaré avoir reçu un avis concernant le défaut de paiement des redevances liées à son vaccin contre le Covid-19 de la part de l’Institut national américain de la santé aux Etats-Unis.

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Le droit constitutionnel à l’avortement: la démocratie réalisée? par Yves-Marie Adeline

Par : Rédaction

Souvenons-nous : lorsque Simone Veil défendait au parlement le fameux projet de loi inspiré par le président Giscard d’Estaing et mis en œuvre par son Premier ministre Jacques Chirac, elle déclarait que « le recours à l’avortement devait rester l’exception, car ce serait toujours un drame ». En réalité, l’enjeu était d’une telle, importance démocratique que, d’emblée, ce qui était présenté comme une simple dépénalisation d’un acte jusqu’alors réprouvé depuis l’aube des temps, tel qu’il apparaissait par exemple dans le Serment d’Hippocrate, a été comprise comme l’apparition d’un nouveau droit civique fondamental, et pour tout dire refondateur. Mitterrand, arrivé au pouvoir six ans plus tard, rompit avec l’injustice qu’il y avait à réserver l’exercice ce droit aux seuls bourgeois, et ordonna que sa pratique fût remboursée par la Sécurité sociale comme un acte médical.

Depuis quasiment le début de cette histoire, il existait en vérité un consensus favorable à l’avortement ; seul Le Pen, ayant réussi sa percée au milieu des années 80, y trouva encore à redire, puis son parti et surtout sa fille se rangèrent à l’opinion générale. Le clergé lui-même, bien qu’officiellement l’Église continuât de condamner l’acte au point de menacer d’excommunication tous ceux qui d’une manière ou d’une autre y participent, avait gardé le silence au moment des débats de 1975, et l’a conservé depuis : il n’est pas certain, d’ailleurs, qu’il soit habité par un sentiment unanime sur la question.

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