Lateo.net - Flux RSS en pagaille (pour en ajouter : @ moi)

🔒
❌ À propos de FreshRSS
Il y a de nouveaux articles disponibles, cliquez pour rafraîchir la page.
À partir d’avant-hierKorben

Microsoft va inciter les utilisateurs de Windows 10 à passer sur un compte Microsoft

Par : Korben

Bad news, la firme de Redmond vient tout juste de lancer une nouvelle mise à jour pour les Insiders sous Windows 10, la build 19045.4353 qui à première vue n’a rien de bien folichon… Mais si on y regarde de plus près, y’a quand même un truc qui risque de vous faire tiquer : Une bannière dans les Paramètres pour vous pousser à abandonner votre bon vieux compte local et passer à un compte Microsoft.

On se demande bien pourquoi Microsoft tient tant à ce qu’on ait tous un compte chez eux sur nos machines. Bon ok, je suppose que c’est lié à toutes leurs fonctionnalités en ligne, genre la synchro des paramètres, les sauvegardes dans le cloud, la gestion simplifiée des abonnements, tout ça mais bon, ça devient un peu pushy je trouve. On dirait presque une incitation à passer sous Linux ^^.

Cette guéguerre de Microsoft contre les comptes locaux sous Windows, ça gave tout le monde, même Elon Musk qui a pété un câble en découvrant qu’il pouvait pas installer Windows 11 sans compte Microsoft. La chance qu’on a sous Windows 10, c’est qu’on peut encore contourner ce forcing sans trop se prendre la tête lors de l’installation initiale mais sous Windows 11 par contre, c’est une autre paire de manches… Impossible d’utiliser un profil local, sauf si vous connaissez l’astuce à base de oobe\bypassnro.

Pour l’instant, ce changement se déploie progressivement, donc vous n’aurez peut-être pas tous droit à ce joli cadeau. Mais si vous voulez voir cette bannière par vous-même, pas de souci… il vous suffit de télécharger l’outil ViVeTool, ouvrez une invite de commande en mode administrateur, et hop, un petit

vivetool /enable /id:42563876

et le tour est joué. (et c’est /disable pour le désactiver)

Par contre, une fois que ce sera en place, pour mettre hors de vue ces satanées bannières, faudra aller dans Paramètres > Confidentialité > Général et décocher l’option « Afficher le contenu suggéré dans l’application Paramètres« . Ou alors, un bon vieux clic sur la croix à côté du bouton « Se connecter maintenant« , et basta.

Alors on migre ou pas ?

D’un côté, ça facilite pas mal de trucs d’avoir un compte Microsoft, surtout avec tous leurs machins à base d’IA qui vont arriver, mais de l’autre, j’aime bien garder un minimum de contrôle sur mes données et ma vie privée. Certains d’entre vous préfèrent d’ailleurs surement garder leurs infos perso pour eux, et ne pas se créer de compte Microsoft ce qui est bien légitime comme préoccupation.

J’ai juste peur qu’à un moment, cette incitation risque à un moment de se transformer en obligation… On verra bien.

Source

Windows 11 enfin accessible aux PC Rocket Lake après deux ans d’attente

Par : Korben

Oyez, oyez, amis Windowsiens ! Réjouissez-vous, car Microsoft, dans son immense mansuétude, a enfin daigné lever le blocage qui empêchait certains d’entre vous de goûter aux joies de Windows 11. Eh oui, après deux longues années d’attente, les possesseurs de processeurs Intel Rocket Lake peuvent désormais franchir le Rubicon et passer du côté obscur de la Force.

Enfin, seulement s’ils mettent à jour leurs pilotes Intel Smart Sound Technology !

Mais qu’est-ce que c’est que cette histoire de pilotes ? Eh bien figurez-vous que certaines versions des pilotes audio Intel SST provoquaient des écrans bleus de la mort sur Windows 11, rien que ça. Les pilotes fautifs, en version 10.29.0.5152 et 10.30.0.5152, étaient plus vicieux qu’un Gremlins mouillé après minuit.

Mais tel un chevalier blanc sur son fier destrier, Intel est venu à la rescousse en sortant des versions corrigées des pilotes, estampillées 10.30.00.5714 et 10.29.00.5714 (et au-delà). Microsoft a évidemment mis un certain temps à lever son blocus, mais mieux vaut tard que jamais, n’est-ce pas ?

Car oui, Microsoft est en pleine phase « open bar » en ce moment : tout le monde est invité à rejoindre la grande famille Windows 11. Même si parfois, ça implique de bloquer certaines apps tierces un peu trop curieuses ou de laisser tomber le support de fonctionnalités exotiques comme Windows Mixed Reality. Mais c’est le prix à payer pour profiter d’un OS moderne et innovant (ou pas) comme Windows 11 ^^.

Pour mettre à jour vos pilotes et enfin accéder au Saint Graal qu’est Windows 11, rien de plus simple : passez par Windows Update ou allez directement sur le site d’Intel. Une fois vos pilotes à jour, attendez 48h (le temps que Microsoft réalise que vous existez) et voilà, vous pourrez enfin voir à quoi ressemble le menu Démarrer de Windows 11. Spoiler : c’est pareil que Windows 10.

Mais attention, cette mise à jour ne concerne que les versions Desktop de Windows, à savoir :

  • Windows 11, version 23H2
  • Windows 11, version 22H2
  • Windows 11, version 21H2
  • Windows 10, version 22H2
  • Windows 10, version 21H2
  • Windows 10 Enterprise LTSC 2019

Les versions Serveur ne sont pas impactées par ce problème. Pour les administrateurs IT qui gèrent des parcs informatiques, vous pouvez déployer les pilotes mis à jour en utilisant des outils tels que Windows Update for Business, Intune ou Autopatch.

Et si jamais après deux jours, Windows refuse toujours obstinément de vous laisser passer à la caisse pour acheter votre billet pour Windows 11, contactez le support ! A l’ancienne 🙂

Sur ce, je vous laisse, j’ai un pilote à mettre à jour.

Source

Donnez une seconde jeunesse à votre vieux Mac avec OpenCore Legacy Patcher

Par : Korben

Si vous en avez assez de voir votre vieux Mac prendre la poussière dans un coin parce qu’il ne peut plus faire tourner les dernières versions de macOS, et bien j’ai une bonne nouvelle pour vous.

Il s’agit d’un outil nommé OpenCore Legacy Patcher (OCLP) qui est là pour redonner une seconde jeunesse à nos fidèles compagnons en aluminium ! Grâce au bootloader OpenCore et tout un tas de kexts et de patchs du noyau, OCLP permet d’installer et de faire tourner macOS Big Sur, Monterey, Ventura et même la toute nouvelle version Sonoma sur des Mac qui ne sont officiellement plus supportés par Apple, et ce jusqu’aux modèles sortis en 2007 ! Rien que ça.

Mais ce n’est pas tout, en plus de permettre de profiter des dernières fonctionnalités de macOS comme Sidecar, Contrôle Universel ou AirPlay vers Mac, OpenCore restaure aussi le support de pas mal de matériel que Apple a abandonné au fil des versions comme de vieilles cartes graphiques ou d’anciens chipsets Wi-Fi.

Alors bien sûr, tout n’est pas rose non plus et selon les modèles il y a quelques limitations, notamment au niveau des performances graphiques avec l’API Metal qui n’est pas supportée partout. Mais globalement, l’expérience utilisateur reste très bonne une fois OCLP installé.

La grande force d’OpenCore Legacy Patcher, c’est que contrairement aux outils de patch précédents comme DOSDude1 ou Patched Sur, il n’a pas besoin de modifier le système installé sur le disque. Au lieu de ça, il injecte ses modifications à la volée pendant le démarrage, ce qui permet de garder un système macOS « vanilla » (d’origine quoi) et de continuer à recevoir les mises à jour d’Apple directement depuis les préférences système, comme sur un Mac officiellement supporté.

Et le tout sans bidouiller le firmware ou désactiver des protections comme SIP, ça c’est la classe ! Évidemment, un Mac récent fera toujours mieux qu’un vieux coucou, mais pour tous ceux qui n’ont pas les moyens de changer de machine tous les 4 matins, OCLP est une super solution pour continuer à profiter de son Mac le plus longtemps possible.

Bien sûr, tout ça ne serait pas possible sans la super communauté de développeurs et bidouilleurs passionnés qui gravitent autour du projet. Alors je le tire mon chapeau pour leur boulot de dingue. Et aussi à Apple pour macOS, hein, faut pas déconner non plus ^^.

Après, attention, installer un OS non supporté c’est toujours un peu casse-gueule et ça demande un minimum de connaissances techniques. Donc si vous n’êtes pas sûr de vous, renseignez-vous bien avant de vous lancer. Les documentations du projet sont très complètes, et en cas de souci la communauté sur le Discord d’OCLP saura sûrement vous dépanner.

Bon, c’est pas tout ça mais je crois que je vais ressortir mon vieux MacBook Pro de 2005 moi, j’espère juste que la batterie n’a pas trop morflé !

Un faille critique 0-day corrigée dans Microsoft Edge, tous les navigateurs Chromium vulnérables

Par : Korben

Alerte rouge dans la galaxie des navigateurs web ! Microsoft vient d’annonce qu’une faille critique 0-day a été découverte dans Edge et corrigée en urgence. Mais attention, cette vulnérabilité ne se limite pas au navigateur de Microsoft puisque c’est toute la famille Chromium qui est touchée !

Google a bien tenté de faire profil bas en publiant discrètement un correctif pour Chrome le 26 mars, sans trop s’étendre sur les détails. Mais c’était sans compter sur la perspicacité de Microsoft qui a mis les pieds dans le plat en confirmant que l’exploit était activement utilisé par des cybercriminels. Aïe !

Baptisée CVE-2024-2883, cette vilaine faille se cache dans le moteur graphique ANGLE (Almost Native Graphics Layer Engine) utilisé par les navigateurs Chromium pour faire tourner le WebGL. En gros, c’est la porte d’entrée parfaite pour exécuter du code malveillant sur votre machine.

Heureusement, Microsoft a réagi au quart de tour en sortant illico presto la version 123.0.2420.65 d’Edge qui colmate la brèche. Mais attention, si vous utilisez un autre navigateur basé sur Chromium comme Chrome, Brave, Vivaldi ou Opera, vous êtes aussi concernés. Alors, foncez vérifier que vous avez bien la dernière version à jour !

Pour ce faire, rien de plus simple : tapez « chrome://settings/help » (ou l’équivalent pour votre navigateur) dans la barre d’adresse et laissez la magie opérer. Si une mise à jour est disponible, elle sera téléchargée et installée automatiquement. Ensuite, relancez le navigateur et le tour est joué !

Ce n’est pas la première fois qu’une faille 0-day fait trembler le monde des navigateurs. En 2021, une vulnérabilité similaire avait été découverte dans Chrome et avait été activement exploitée pendant des semaines avant d’être corrigée. Un vrai cauchemar pour les utilisateurs et les éditeurs !

Source

WhatsApp améliore la confidentialité avec une maj inédite

Par : Korben

Ça y est les gars, WhatsApp continue de nous en mettre plein la vue avec une nouvelle mise à jour bien badass qui va clairement révolutionner notre façon d’utiliser cette app de messagerie qu’on adore tous secrètement (ou pas). La version bêta pour Android 2.24.3.17 vient tout juste de sortir grâce au Google Play Beta Program et croyez-moi, cette update a de la gueule !

La grosse nouveauté qui déboite, c’est que les dev de WhatsApp sont en train de bosser sur une petite phrase bien pratique qui va s’afficher dans vos conversations pour vous rappeler que vos échanges sont chiffrés de bout en bout. Ça a l’air de rien comme ça, mais c’est clairement un plus pour la confidentialité et la tranquillité d’esprit.

Pour l’instant, cette fonctionnalité est encore en développement, donc pas la peine de la chercher partout dans votre app, même si vous installez la dernière bêta. Mais les petits gars de chez WABetaInfo nous ont quand même dégoté un screenshot en avant-première pour nous mettre l’eau à la bouche.

Comme vous pouvez le voir sur cette capture d’écran, WhatsApp va rajouter une jolie petite phrase sous le nom de votre contact ou de votre groupe, avec même un petit cadenas pour faire genre c’est ultra secure. Un vrai régal pour les yeux et pour votre parano légendaire, avouez !

Alors bien sûr, techniquement vos conversations étaient déjà chiffrées de bout en bout hein, pas de panique. Mais cette phrase, c’est juste un rappel visuel, pour vous rassurer et vous montrer que WhatsApp en a clairement quelque chose à carrer de votre vie privée. C’est beau putain (oui j’en fais des caisses).

Bon après faut pas s’emballer non plus, cette indication ne va pas rester affichée en permanence. D’après les tests de WABetaInfo, le message va disparaître au bout de quelques secondes pour laisser place à votre bon vieux « last seen ». Mais c’est toujours ça de pris !

Alors quand est-ce qu’on pourra enfin profiter de cette innovation de malade sur nos smartphones Android ? Bah pour l’instant c’est un peu le mystère, vu que la fonctionnalité est encore en développement. Mais vu la vitesse à laquelle WhatsApp nous pond des updates en ce moment, ça ne devrait plus trop tarder.

En attendant, si vous voulez absolument frimer auprès de vos potes en leur montrant cette nouveauté en avant-première, vous pouvez toujours vous inscrire au programme bêta de WhatsApp sur le Play Store. Mais bon, faudra pas venir pleurer si votre app plante toutes les 5 minutes hein !

En tout cas, cette update montre bien que WhatsApp est à fond sur la sécurité en ce moment. Entre ça et l’arrivée des sauvegardes chiffrées sur Google Drive, on peut dire que la confidentialité est clairement devenue le cheval de bataille de l’app. Et franchement, c’est plutôt une bonne nouvelle vu les scandales à répétition sur les fuites de données et autres joyeusetés du genre.

Bon après, on va pas se mentir, WhatsApp appartient quand même à Facebook hein. Donc niveau respect de la vie privée, y’a encore du boulot. Mais au moins, avec des initiatives comme celle-là, on a l’impression que les choses bougent un peu dans le bon sens. C’est toujours ça de pris !

Bon allez, sur ce je vous laisse, j’ai un max de conversations WhatsApp à chiffrer moi. Prenez soin de vous les amis, et n’oubliez pas : avec WhatsApp, vos petits secrets sont (presque) bien gardés maintenant !

No Sleep – Le site qui empêche votre ordinateur ou smartphone de passer en veille

Par : Korben

Au moment où j’écris ces lignes, je ne dors pas. Alors chers amis, noctambules du web, je vais vous parler aujourd’hui du site nosleep.page.

Ce site web va vous permettre de remplacer des outils comme Caffeine ou Amphetamine qui permet de garder réveillé votre ordinateur comme une bonne tasse à café. C’est super pratique quand on a des process un peu longs à finir, genre une compilation, un backup…et j’en passe. Cela évite que l’ordinateur se mette en veille et ça évite d’aller bidouiller les paramètres de votre OS.

Nosleep a donc la particularité d’être un simple site web, qui utilise pour cela l’API Screen Wake Lock bien comprise des navigateurs récents. Et là où cette technologie n’est pas supportée, le dev a implémenté une astuce géniale pour garder quand même votre PC ou Mac actif : la lecture d’une vidéo silencieuse et invisible pour simuler ce comportement.

Mais alors qu’est-ce que l’API Screen Wake Lock ?

Et bien c’est une technologie qui permet à une application de demander au système d’exploitation de ne pas éteindre ni de verrouiller l’écran. Ça permet de lire un ebook sans secouer la souris toutes les 5 min, de suivre un trajet sur une carte sans perdre votre chemin, ou encore de mater une une recette sans mettre du beurre partout sur votre écran pour le réveiller. Pouah !

Et c’est exactement ce qu’utilise nosleep.page qui offre une solution simple et accessible à tous pour garder nos écrans bien éveillés comme un Premier ministre sous amphét.

Évidemment, si vous souhaitez intégrer ça sur votre service web, il existe une super lib JS nommée NoSleep.js qui permet d’implémenter facilement cette API Screen Wake Lock.

import NoSleep from 'nosleep.js';
var noSleep = new NoSleep();
// Activer le verrouillage du réveil.
// (doit être intégré dans un gestionnaire d'événement d'entrée utilisateur, par exemple la souris ou un touchpad)
document.addEventListener('click', function enableNoSleep() {
  document.removeEventListener('click', enableNoSleep, false);
  noSleep.enable();
}, false);

Bref, c’est pratique et comme ça, votre ordinateur ne dormira plus sans que vous l’ayez décidé.

DietPi – Une Debian ultra légère pour Raspberry Pi, Odroid, PINE64…etc optimisée et personnalisable

Par : Korben

Si vous aimez les ordinateurs un peu légers, type Raspberry Pi, Odroid et j’en passe, alors DietPi est fait pour vous. Il s’agit d’un système d’exploitation basé sur une Debian allégée dans le but de consommer le moins de CPU et de RAM possible.

Voici un tableau qui compare DietPi avec Raspberry Pi OS Lite (64 bits). On peut y voir que niveau RAM, on économise 58%, sur le CPU c’est 39% en moyenne et en matière d’espace disque, c’est plus léger de 41%. Évidemment, cela se ressent sur la rapidité du boot, puisque c’est plus rapide à démarrer de 73%.

Avec DietPi, vous bénéficiez de paramètres personnalisables pour configurer votre système selon vos besoins, et vous pouvez facilement gérer les priorités de vos logiciels. De plus, le système prend en charge les mises à jour automatiques et l’automatisation de l’installation grâce à un dietpi.txt dans lequel vous pouvez spécifier votre config (genre les accès wifi, l’activation du serveur ssh…etc).

DietPi est également livré avec un utilitaire de Backup ce qui vous permettra très facilement de sauvegarder et de restaurer votre installation.

Comme je le disais, DietPi est compatible avec une variété d’ordinateurs, notamment les modèles Raspberry Pi, Odroid, PINE A64 et bien d’autres.

Les machines virtuelles telles que Hyper-V, Virtualbox, Vmware, Parallels, UTM et Proxmox sont également prises en charge par DietPi, ce qui vous permet de l’utiliser lorsque les performances des micro-ordis sont insuffisantes. Ça peut même tourner sur un bon vieux PC x86/64.

Pour en savoir plus sur DietPi et comment l’utiliser, je vous invite à consulter le site officiel ici. Vous y trouverez des informations détaillées sur les différentes fonctionnalités offertes par DietPi, ainsi que des conseils pour bien démarrer avec ce système d’exploitation léger et optimisé.

En résumé, DietPi est un choix fantastique pour ceux qui souhaitent tirer le meilleur parti de leur matériel, tout en minimisant la consommation de ressources. Qu’il s’agisse de créer un serveur NAS, d’expérimenter avec des projets IoT ou simplement de vous familiariser avec le monde des SBC (Single Board Computer), DietPi vous permettra de vous lancer rapidement et en toute simplicité.

Gérez les mises à jour de vos logiciels Windows grâce à UpdateHub

Par : Korben

Vous le savez, une fois que votre PC Windows est rempli de tout un tas de logiciels, le suivi des mises à jour peut devenir un véritable casse-tête, notamment si vous êtes une grosse feignasse.

Ah si seulement on pouvait mettre à jour tous ses softs en un seul clic, pendant qu’on est parti prendre sa douche. Ce serait royal !

Les Linuxiens connaissent d’ailleurs très bien ce super pouvoir et vous pourrez enfin partager quelque chose avec eux !

Et cela cgrâce à UpdateHub, votre nouvel assistant de mise à jour tout-en-un ! Cette application conviviale simplifie grandement le processus de mise à jour des logiciels. Plus besoin de lancer les softs un par un ou d’aller sur les sites officiels pour vérifier les dernières mises à jour puisque UpdateHub s’occupe de tout, et ce, jusqu’aux MAJ de votre système d’exploitation en passant par les apps du Microsoft Store.

Rien ne lui échappe !

Ainsi, UpdateHub assure la sécurité de votre machine en maintenant à jour les protections et correctifs de sécurité, et dispose (ouf !) d’une fonction de retour en arrière pour les mises à jour éventuellement problématiques. Donc pas de stress ! Mieux encore, il vous fournit des informations détaillées sur chaque mise à jour, afin de vous aider à comprendre leurs impacts. Pour les amateurs de changelog comme moi, c’est le feu !

Alors vous vous demandez sûrement comment ça fonctionne ?

Le processus est simple et se fait en quelques étapes. Tout d’abord, UpdateHub analyse l’ensemble de vos disque dur et détecte tous les logiciels installés. Ensuite, il vérifie si des mises à jour sont disponibles et vous présente une liste complète. Vous pouvez alors choisir les mises à jour que vous souhaitez appliquer et UpdateHub se chargera alors de les télécharger et de les installer.

UpdateHub est sûr, gratuit et n’a besoin que de 250 Mo d’espace disque disponible pour s’installer. Et même si ça discute d’une version pour macOS et Linux, pour le moment, ce n’est que pour Windows.

Alors, qu’attendez-vous pour essayer UpdateHub ?

Explorez et optimisez vos images Docker avec Dive

Par : Korben

Quand on commence à s’intéresser un peu à Docker, tout semble simple et léger, du moins en apparence. D’ailleurs, si vous débutez avec Docker, j’ai fait une vidéo d’initiation pour débutants pour mes Patreons que je vous offre à la fin de cet article.

Mais pour qu’une image Docker soit OK, il faut qu’elle ait été un minimum optimisé. Et ce n’est pas forcement instinctif, surtout quand on débute.

C’est pourquoi , je vous présente un outil aussi magique qu’un Fabien Olicard sous Caprisun, qui va non seulement vous permettre de comprendre la structure de vos images Docker de fond en comble, mais également d’optimiser leur taille et de libérer cet espace disque précieux dont on manque tous sur nos ordis. Cet outil c’est Dive.

Imaginez que vous êtes développeur ou administrateur système, et que vous devez régulièrement manipuler et gérer des images Docker. Vous savez qu’il est crucial d’optimiser ces images pour réduire leur taille et ainsi améliorer leur efficacité, mais vous ne savez pas par où commencer. Dive est là pour vous aider ! Avec cet outil, vous pourrez analyser facilement vos images Docker, découvrir les modifications effectuées à l’intérieur chaque couche et optimiser leur taille de manière efficace.

Tout d’abord, il suffit de remplacer la commande « docker build » par « dive build » pour analyser l’efficacité et l’espace gaspillé de votre image Docker.

dive <tag/id/digest de votre image>

Dive prend en charge plusieurs sources d’image et moteurs de conteneurs (à l’heure actuelle, Docker et Podman). Pour l’installation, Dive est disponible pour Ubuntu/Debian, RHEL/Centos, Arch Linux, Mac et Windows.

Pour l’installer sous macOS :

brew install dive

Pour l’installer sous Linux (Ubuntu / Debian) :

export DIVE_VERSION=$(curl -sL "https://api.github.com/repos/wagoodman/dive/releases/latest" | grep '"tag_name":' | sed -E 's/.*"v([^"]+)".*/\1/')

curl -OL https://github.com/wagoodman/dive/releases/download/v${DIVE_VERSION}/dive_${DIVE_VERSION}_linux_amd64.deb

sudo apt install ./dive_${DIVE_VERSION}_linux_amd64.deb

Intégrer Dive dans votre processus de CI (intégration continue) est également possible en utilisant la variable d’environnement CI=true. Vous pouvez même configurer des règles dans un fichier .dive-ci pour automatiser certaines vérifications et optimisations de vos images Docker.

Naviguer dans Dive est un jeu d’enfant grâce aux raccourcis clavier. Vous pourrez explorer les couches de vos images Docker, filtrer les fichiers, gérer les paramètres spécifiques à chaque couche et personnaliser l’interface utilisateur en créant un fichier de configuration.

Pour en savoir plus sur Dive et ses fonctionnalités, je vous invite à consulter le dépôt GitHub officiel ici. Vous y trouverez toutes les informations nécessaires pour maîtriser cet outil fantastique, ainsi que des exemples et des astuces pour optimiser vos images Docker comme un pro.

Bonne optimisation à tous !

ColorWall – Trouvez le fond d’écran idéal en un clin d’œil pour votre Linux

Par : Korben

Vous habitez en ville, vous regardez par la fenêtre et ce que vous voyez est moche de ouf ! Heureusement qu’on a nos fonds d’écran ! Vous savez, ces images qui rendent nos bureaux numériques un peu plus attrayants et agréables, ce qui nous aide à tenir le choc !

Mais parfois, trouver le bon fond d’écran qui correspond à nos besoins, peut se transformer en une quête sans fin. C’est là que ColorWall entre en scène ! Il s’agit d’une application offrant une vaste sélection de fonds d’écran de haute qualité.

Imaginez que vous cherchez le fond d’écran parfait pour votre PC du boulot. Cela doit faire « professionnel », mais refléter également votre personnalité. Eh bien, ColorWall est là pour vous aider à trouver les images les plus adaptées à vos besoins en un rien de temps grâce à son moteur de recherche.

Mais attendez, il y a plus !

Vous êtes amateur d’images en haute résolution ? Pas de problème. ColorWall propose une large collection d’images en 4K, 8K et Ultra HD pour que vous puissiez profiter de la meilleure qualité possible sur votre écran. Et si vous êtes du genre à jongler entre différents systèmes d’exploitation, ColorWall vous couvre également avec sa prise en charge multiplateforme. Disponible sur Linux, il sera progressivement étendu à Windows et MacOS.

Et pour l’installer, rien de plus simple, ça se fait avec flatpak ou snap.

Vous naviguerez alors dans les vastes archives de fonds d’écran de ColorWall. Et ce sera un jeu d’enfant grâce à sa navigation par onglets qui permet de passer rapidement d’une catégorie à l’autre, tandis que le visualiseur intégré vous offrira un aperçu instantané des images avant de les télécharger.

ColorWall est équipé d’un gestionnaire de téléchargements multithread qui vous permet de télécharger plusieurs images à la fois. De plus, son mode de sélection de fonds d’écran intelligent ajuste automatiquement les images en fonction de vos préférences et de vos goûts.

ColorWall ne s’arrête pas là. L’application permet également de télécharger, personnaliser et filtrer des fonds d’écran. Elle offre une extraction de métadonnées, des options de filtrage de contenu, la personnalisation des fonds d’écran, un support de style de widget et une haute performance. Tout cela en un seul endroit !

Vous êtes convaincu et vous voulez essayer ColorWall ? Rendez-vous sur leur page GitHub pour télécharger l’application : GitHub ColorWall

Bonne déco à tous mes cyberDamidots

KeepingYouAwake – Pour éviter que votre Mac ne s’endorme

Par : Korben

Si vous êtes un(e) power user de macOS, il est fort probable que vous ayez déjà cherché une solution pour empêcher votre ordinateur de passer en mode veille pendant une durée prolongée. C’est assez pratique quand on lance un outil qui met un peu de temps et qu’on doit s’absenter.

Les outils Caffeine et Amphetamine étaient auparavant les outils les plus populaires pour répondre à ce genre de besoin. Cependant, Caffeine n’a pas été mis à jour depuis Dieu sait quand, tandis qu’Amphétamine n’a pas été mis à jour depuis 2021. Heureusement, il existe une alternative open source et à jour baptisée KeepingYouAwake.

Cette petite application se loge dans la barre de menu de macOS (version 10.13 et plus récente) et permet d’empêcher votre Mac de passer en mode veille pendant une durée que vous choisissez ou aussi longtemps que vous la laissez active. L’application est hyper simple à utiliser et dispose de plusieurs fonctionnalités intéressantes comme des durées d’activation prédéfinies, la possibilité de se couper automatiquement lorsque le niveau de batterie est faible, ainsi que la prise en charge de l’affichage Retina et du mode sombre.

De plus, l’application est disponible dans plusieurs langues. Pour fonctionner, KeepingYouAwake utilise une commande bien connue qui s’appelle « caffeinate » et qui est intégrée à tous les systèmes macOS actuels. Toutefois, il est important de noter que sur un MacBook, l’application ne fonctionnera que lorsque l’écran est ouvert.

L’application est distribuée sous licence MIT, ce qui signifie qu’elle est gratuite et open source et si vous êtes développeur, libre à vous de l’améliorer ou d’ajouter de nouvelles fonctionnalités.

Bref, super pratique pour empêcher son Mac de faire un gros dodo, pendant que nous on part se reposer 🙂

À télécharger ici.

Comment être toujours à jour sous macOS ?

Par : Korben

Les mises à jour, c’est important ! D’abord pour la sécurité, mais aussi parce que si vous êtes comme moi, vous adorez les nouvelles fonctionnalités !

Qui adore éplucher les changelogs ici ?

Mouaaaaa !

Alors pour les utilisateurs de macOS, afin d’être sûr d’avoir toujours les dernières versions stables de tous vos outils, le développeur Max Langer (qui bosse sur l’éditeur Ulysses) a mis au point Latest.

Latest est gratuit et open source et ira scanner votre ordinateur pour vérifier que toutes vos applications sont à jour ! Pour cela, l’outil se base sur les versions présentes dans le Mac App Store, mais également les applications qui utilisent le framework Sparkle pour les mises à jour. C’est d’ailleurs le cas de la plupart des applications macOS du marché.

Merci Max !

❌