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À partir d’avant-hierLe courrier des stratèges

Canada : Musk financera les frais de justice d’une soignante réfractaire aux injections COVID

Le réseau social X, anciennement connu sous le nom de Twitter, a récemment annoncé son engagement à contribuer financièrement aux frais juridiques de la Dre Kulvinder Kaur Gill. Cette pédiatre de Brampton, en Ontario, a été réprimandée par les autorités pour ses tweets anti-vaccin Covid. Un des tweets de la médecin affirmait que les vaccins COVID n’étaient pas nécessaires.

I've been overwhelmed by outpouring of kindness & generosity of Cdns & people globally. I'm reading all of your msgs/prayers. My sincerest thank you💛

We're at ~50% of fundraising goal of $300K with only 4 days left until deadline

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Comment utiliser la méthode Musk pour relever la France

On entend souvent dire qu’il faudrait, en France, un Etat stratège pour enrayer notre déclin et pour nous ouvrir une nouvelle ère de prospérité. L’idée est d’autant plus juste que tous les Etats prospères aujourd’hui disposent d’une stratégie industrielle ambitieuse : Chine, Russie, Inde, et Etats-Unis bien entendu. Mais en quoi doit consister cette stratégie industrielle ? S’agit-il de demander à l’Etat de planifier l’économie comme au bon vieux temps ? Ou bien ne faut-il pas regarder quelle méthode les USA ont utilisée avec Elon Musk pour créer des géants mondiaux ?

A la différence des fantasmes qui circulent largement sur la notion de “stratégie industrielle”, ce qu’on pourrait appeler la méthode Musk se caractérise donc par plusieurs éléments essentiels :

  • l’Etat soutient les entreprises par des contrats signés dans la durée pour assurer la viabilité de l’activité
  • l’Etat ne prend pas de participation dans les entreprises avec lesquelles il contracte
  • les entrepreneurs conservent leur liberté d’action
  • les financeurs privés participent au financement à long terme des projets

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La Commission s’apprête à interdire X en Europe

C’est une affaire qui monte, qui monte, qui monte, et que certains complotistes avaient d’ailleurs décrite comme l’une des probables issues du Great Reset : la segmentation ou régionalisation d’Internet. Depuis l’adoption du Digital Services Act, la crise couve entre le réseau d’Elon Musk et la Commission Européenne qui juge le milliardaire américain trop pernicieux et trop libéral avec ceux qui s’opposent à la mondialisation. Thierry Breton, dont l’aversion pour la liberté d’expression et l’inclination totalitaire sont désormais bien connus, prépare un coup fumant pour régler la question : l’interdiction pure et simple de X en Europe.

Le torchon brûle entre la Commission Européenne et le réseau X. Après le Digital Services Act, qui, cet été, a autorisé la Commission à imposer des sanctions aux réseaux sociaux qui refusent sa politique de censure, Thierry Breton, le Commissaire à la Propagande, hausse le ton contre Elon Musk. Ainsi, on a appris que ce lundi, il ouvrait une enquête officielle contre le réseau X pour violation du règlement DSA. Dans la pratique, la Commission veut constituer un rapport de force contre Musk pour le forcer à censurer les contenus anti-mondialistes ou libertariens présentés comme de la “désinformation”.

L’objectif de la Commission est clair : obtenir d’Elon Musk la même docilité que Mark Zuckerberg ou que Google, qui n’hésitent pas à invisibiliser voire bannir les contenus que les gouvernements européens jugent indésirables. L’affaire du COVID l’a abondamment montré. En France, le Schiappagate a permis de clarifier les conditions dans lesquelles l’argent public ou privé (en l’espèce celui de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah) servait à museler les opposants.

La Commission ira-t-elle jusqu’à interdire X en Europe ? C’est légalement et techniquement possible. Les négociations commencent dès maintenant.

Elon Musk veut créer une base lunaire et des villes sur Mars

Le PDG de Tesla et de SpaceX, Elon Musk, a fait part de sa vision de l’avenir. Le milliardaire veut mettre en place une civilisation humaine sur mars. Dans un message sur X, il souhaite créer une base lunaire et de villes sur Mars. Il a souligné l’importance historique d’Apollo 11 et regrette le manque d’initiatives lunaires depuis.  Visionnaire ? Fou ?Le chef d’entreprise veut  “faire des humains une espèce multiplanétaire”, en colonisant rapidement la Planète rouge.

Le milliardaire Elon Musk veut réaliser un de ses rêves, coloniser Mars en créant une base lunaire et des villes martiennes. S’exprimant sur X, il souligne l’absence d’explorations lunaires depuis 50 ans et évoque le besoin pressant de nouvelles conquêtes spatiales. Cette vision audacieuse rejoint les ambitions de Musk de propulser l’exploration humaine bien au-delà de la Terre.

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Les revenus publicitaires de X chutent à 2.5 milliards de dollars, selon un rapport

D’après un rapport de Bloomberg, les revenus publicitaires 2023 du réseau social X d’Elon Musk, auparavant connu sous le nom de Twitter, est sur le point de générer environ 2,5 milliards de dollars de revenus publicitaires en 2023, marquant une chute significative par rapport aux années précédentes. Les grands annonceurs comme Comcast, Walmart , Apple, Disney  ont en effet décidé de retirer leurs publicités lorsque le propriétaire a décidé d’approuver les opinions antisémites sur le site.

Les recettes publicitaires de X, l’ancien Twitter d’Elon Musk, devraient chuter à environ 2,5 milliards de dollars en 2023, manquant ainsi les objectifs internes de 3 milliards de dollars, selon des sources citées par Bloomberg. L’agence souligne que les tweets personnels de Musk suscitent toujours des inquiétudes parmi les annonceurs.

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Un juge accuse Musk de tweets frauduleux dans le cadre du rachat de Twitter

Un groupe d’investisseurs a porté plainte contre Musk pour fraude en valeurs mobilières. Les plaignants accusent le milliardaire d’avoir fait de fausses déclarations dans le but de faire chuter la valeur de Twitter. Le patron de Space X, de Tesla, de Twitter, renommé X a accompli ces manœuvres dans le cadre de l’acquisition de l’entreprise. Le milliardaire a déposé une requête pour rejeter les demandes des plaignants. Mais le juge du tribunal de district américain Charles R. Breyer a statué en faveur des plaignants, lundi.

Un juge fédéral a autorisé un recours collectif contre Elon Musk liée à l’acquisition de Twitter. Lundi, un juge fédéral a fait avancer un procès intenté par des investisseurs qui affirment avoir subi des pertes lorsqu’ils ont vendu leurs actions Twitter, aujourd’hui connu sous le nom de X, en raison de messages de M. Musk affirmant que la plateforme avait un problème majeur à cause des faux comptes et qu’il pourrait se soustraire à l’accord à cause de ce problème. Le juge de district Charles Breyer a estimé que plusieurs des déclarations de M. Musk étaient fausses ou trompeuses.

Une poursuite judiciaire contre Musk

Elon Musk avait acheté la plateforme de médias sociaux Twitter, désormais baptisée X, pour 54,20 dollars l’action. Mais avant de finaliser la transaction, le milliardaire a été poursuivi en justice par un groupe d’investisseurs.

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I.A : Musk va lever un milliard de dollars pour rivaliser avec Chat GPT

L’entrepreneur milliardaire Elon Musk ambitionne de lever 1 milliard de dollars de financement pour lancer sa start-up nommée xAI spécialisée dans l’intelligence artificielle (IA). Mardi 5 décembre, Elon Musk, le fondateur de Tesla, Space X et X (ancien Twitter), a déposé une demande auprès de la SEC (Securities and exchange commission), l’autorité américaine de régulation des marchés financiers pour lever cette somme dans le cadre d’une offre d’actions. Sur X, Elon Musk a expliqué que xAI avait l’ambition de “comprendre la véritable nature de l’univers” et concurrencer ChatGTP, qu’il considère comme trop “woke”.

Lancée cet été avec l’objectif de « comprendre la vraie nature de l’univers », xAI compte des chercheurs éminents du secteur dans ses rangs. Après seulement deux mois de développement, xAI regroupe des chercheurs éminents du domaine dans ses équipes. En seulement deux mois de développement, l’entreprise a présenté son modèle nommé Grok . Bien qu’il rivalise directement avec Bard, ChatGPT, ou Claude 2, Musk assure qu’il diffère par son sarcasme et son humour. “Grok” est une expression argotique signifiant “comprendre profondément et intuitivement”. Cette expression a fait son apparition dans le roman de science-fiction “Stranger in a Strange Land” de Robert Heinlein, publié en 1961. D’origine martienne, le terme évoque une compréhension totale résultant de la capacité à se mettre à la place de quelqu’un au point de fusionner avec son expérience.

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Après sa victoire, Javier Milei a reçu les félicitations de Trump, par KontraInfo

Le leader de La Libertad Avanza (LLA), Javier Milei, a été élu président de l’Argentine après avoir triomphé au second tour de son rival, Sergio Massa, candidat de l’Unión por la Patria (UxP), lors des élections organisées ce dimanche au Pays d’Amérique latine. Avec 99,28% des voix, Milei a obtenu 55,69% d’approbation de l’électorat contre 44,30% pour Massa. En atteignant 14.345.078 voix, Milei a dépassé le total enregistré par le président sortant, Alberto Fernández, et par les anciens présidents Mauricio Macri et Cristina Fernández de Kirchner. C’est probablement la première fois qu’un candidat qui se réclame du mouvement libertarien remporte des élections présidentielles. Reste à voir si Milei pourra concrétiser son programme. Pour cela, il faut que les États-Unis l’appuient et la possibilité d’un retour de Trump au poste de président début 2025 pourrait fortement aider Milei.


Cet article initialement publié sur le site noticiasholisticas.com.ar n’engage pas la ligne éditoriale du Courrier.

Le ministre de l’Économie du gouvernement actuel, avec une inflation de 140 % par an, n’a réussi à vaincre son adversaire que dans trois provinces : Buenos Aires, Santiago del Estero et Formosa.

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Elon Musk change les algorithmes de X pour un meilleur pluralisme

Elon Musk a fait une importante déclaration : il va modifier les algorithmes de X (ex-Twitter) pour donner plus de visibilité aux comptes à faible nombre d’abonnés et aux contenus peu mis en valeur. Cette stratégie vise à enrichir le plus possible la diversité du réseau et éviter la constitution de comptes manifestement trop “dominants”.

La nouvelle ravira les utilisateurs de X qui s’estiment injustement discriminés ou trop peu mis en lumière, notamment face aux mastodontes qui dominent l’écosystème du réseau. Désormais, la rubrique “pour vous” présentera à chaque utilisateur les contenus les mieux référencés sur un sujet donné, mais aussi les contenus produits par de plus petits “comptes”.

Les propositions mises en avant se fonderont sur des analyses syntaxiques destinées à mieux faire connaître aux membres du réseau des contenus qui correspondent à leurs centres d’intérêt, même si ces contenus sont nouveaux ou peu référencés.

Cette stratégie s’intègre dans le remodelage commercial du réseau, qui permet désormais des souscriptions payantes, grâce auxquelles il est possible de diffuser des vidéos de 2h et de publier des textes jusqu’à 25.000 signes. L’objectif d’Elon Musk semble consister à élargir les publics possibles des contenus payants.

Musk cherche des volontaires pour tester Neuralink

On connaît les idées étonnantes d’Elon Musk. Celle du Neuralink risque de faire encore grand bruit, puisque le milliardaire américain cherche des personnes quadriplégiques de moins de 40 ans pour tester son invention. Musk est convaincu qu’il est possible de capter des pensées du cerveau et de les transformer artificiellement en impulsions nerveuses. L’opération a déjà été testée douloureusement sur des singes…

Elon Musk souhaite donc passer à l’expérimentation humaine pour son dispositif Neuralink, après avoir rencontré un lourd échec sur les animaux. Dans la pratique, Musk cherche un candidat volontaire pour une opération de retrait du crâne, suivie de l’implantation d’électrodes et de câbles ultra-fins par un énorme robot dans leur cerveau afin de remplacer la partie manquante du crâne par un ordinateur de la taille d’un quart qui restera en place pendant des années, selon Bloomberg. Cet implant lit et analyse l’activité cérébrale et l’envoie sans fil à un ordinateur portable ou une tablette.

L’idée est de redonner de la mobilité à des personnes paralysées.

Testées sur des singes, la technique a posé de lourds problèmes. Les dossiers vétérinaires montraient des descriptions horribles des souffrances que jusqu’à 12 primates participants à Neuralink avaient subies, et elles ont toutes dû être interrompues. Ces documents pourraient jeter les bases d’une enquête de la SEC sur les déclarations de Musk concernant Neuralink, qui a fait l’objet de diverses enquêtes gouvernementales alors qu’il s’efforce de lancer la première interface commerciale cerveau-ordinateur destinée aux humains.

Musk propose 1 milliard$ à Zuckerberg pour rebaptiser Facebook

Dans les idées extravagantes d’Elon Musk pour bouleverser le paysage numérique, on notera la proposition à 1 milliard$ qu’il a fait à Mark Zuckerberg si celui-ci accepte de changer le nom du réseau social. Cette demande en forme de pied de nez rappelle la rivalité entre les deux hommes qui a failli se solder par un combat de MMA cet été. En passant, Elon Musk a beaucoup ironisé également sur le réseau Wikipedia, proche des services officiels, qu’il a également proposé de rebaptiser.

Selon la presse indienne, Elon Musk (que nous évoquons souvent dans nos colonnes) est l’auteur d’une nouvelle boutade qui vise cette fois Facebook et son propriétaire Mark Zuckerberg. Il y a quelques semaines, il avait visé Wikipedia, qu’il avait proposé de renommer Dickipedia. Cette fois, il propose 1 milliard à Zuckerberg s’il renomme son réseau “Faceboob” (allusion à la poitrine féminine, en anglais).

Cet épisode anecdotique s’intègre dans la rivalité entre les deux hommes, où il apparaît de plus en plus qu’Elon Musk a des ambitions “intellectuelles” pour Twitter, qu’il a rebaptisé “X”, en opposition avec Facebook qui obéit à une logique quantitative.

Les deux figures mythiques d’Internet avaient évoqué, en juin, un combat de MMA qui devait les opposer. Finalement, ce combat très attendu ne devrait pas avoir lieu. Mais, en attendant, Musk mène un combat politique contre la tyrannie (notamment en proposant Starlink aux Palestiniens), quand Zuckerberg transmet consciencieusement les données personnelles qu’il collecte aux services américains.

Deux conceptions d’Internet, donc.

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Musk a le projet de bloquer le réseau social X en Europe, par Vera Basilaya

L’homme le plus riche du monde, Elon Musk, a été qualifié de « principal ennemi de l’Union européenne dans l’espace numérique » ! Rien que cela…  La Commission européenne a utilisé la guerre au Moyen-Orient comme prétexte pour mettre sous tutelle le milliardaire. C’est Thierry Breton qui a justifié cette décision : « Suite aux attaques terroristes menées par le Hamas contre Israël, nous avons reçu des instructions selon lesquelles votre plateforme est utilisée pour diffuser des contenus illégaux et de la désinformation au sein de l’UE ». Si Musk n’élimine pas les violations, il s’exposera, par conséquent, à des procès, des amendes, des sanctions, c’est-à-dire à une véritable guerre juridique que Bruxelles est prête à déclarer. Mais l’entrepreneur américain comme Libertarien assumé ne se laisse pas impressionner. Selon Business Insider, il mènerait des consultations sur la possibilité de fermer l’accès au réseau social pour l’Union européenne.

Cet article initialement publié sur le site vz.ru n’engage pas la ligne éditoriale du Courrier.

Gazeta.Run rapporte que la publication Business Insider affirme que le milliardaire américain a discuté de la possibilité de simplement fermer la disponibilité de l’application aux utilisateurs de l’Union européenne. En effet, il serait déçu de la nécessité de se conformer à la loi européenne sur les services numériques. Rappelons que Musk avait précédemment critiqué la nouvelle loi de l’Union européenne, partageant l’opinion selon laquelle un contrôle total sur les médias serait ainsi établi dans l’UE.

En fait, c’est Politico qui avait écrit qu’après l’attaque du Hamas contre Israël, que le réseau social avait été inondé « d’images horribles, de mensonges politiquement motivés et de propagande terroriste». Ces publications violeraient donc les règles de la plateforme elle-même, ainsi que la nouvelle loi européenne sur les réseaux sociaux.

Dans sa lettre de réponse à Thierry Breton, Musk a rétorqué que le Commissaire européen devrait énumérer les violations en question et lui a suggéré de « laisser le public décider par lui-même ». Rappelons que les « fausses nouvelles » en question concernent l’attaque du Hamas contre Israël et l’opération de Tsahal dans la bande de Gaza. Il s’avère que beaucoup d’utilisateurs sont favorables au Hamas, et pas aux Israéliens. En d’autres termes, l’on reprocherait presque à Musk de faire de la propagande pour le terrorisme et l’on attend de lui qu’il fasse la même chose que Mark Zuckerberg, lequel a ordonné la suppression de tous les contenus produits par le Hamas, ainsi que ceux pouvant être considérés comme un soutien à ce mouvement.

Il faut également rappeler que Musk avait déclaré mercredi que la politique migratoire actuelle de l’Union européenne rendait  inévitable la guerre civile en Europe.

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Guerre au Moyen-Orient : conséquences et prévisions en Europe et aux USA, par Valéry Iline

Comme le montrent de nombreux reportages télévisés, des affrontements entre partisans d’Israël et de la Palestine se produisent dans le monde entier. Des marches de soutien aux Palestiniens ont eu lieu notamment en Autriche, Australie, Grande-Bretagne, États-Unis, Irak, Allemagne, Yémen, Chili, Iran, Colombie, Jordanie, Belgique… Le scénario est à peu près le même : deux foules se rencontrent, chacune soutenant son camp, puis commencent à se battre avec leurs adversaires. A tout moment, pierres, couteaux et cocktails Molotov peuvent être utilisés. 

Cet article initialement publié sur le site stoletie.ru n’engage pas la ligne éditoriale du Courrier.

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L’UE somme Elon Musk de soutenir Israël sans limite

Après l’attaque du Hamas qui, visiblement, déclenche une série de mouvements tectoniques encore difficiles à mesurer, les décideurs publics européens, largement choisis par les neo-cons américains, déchaînent, au nom de la raison et du droit international, une haine pro-israélienne d’une violence sans limite. Dernier exemple en date : le commissaire (bien nommé) Thierry Breton menace Elon Musk de sanctions s’il ne fait pas taire les comptes pro-palestiniens. Quand on connaît l’étroitesse d’esprit de nos dirigeants, il ne s’agit de rien d’autre que d’un appel à soutenir aveuglément Israël, y compris dans un pire que l’Union Européenne elle-même n’est pas parvenue à cautionner.

Elon Musk permet-il une propagande antisémite et pro-terroriste sur le réseau X, anciennement Twitter ? C’est en tout cas ce que sous-entend la Commission Européenne, qui a, de son côté, échoué à suspendre l’aide européenne à Gaza, que la présidente de la Commission von der Leyen avait pourtant annoncé sans coup férir. La Commission accuse Elon Musk de faire le jeu du Hamas en ne censurant pas les comptes favorables au Hamas. Le ministre français Jean-Noël Barrot a abondé en ce sens aujourd’hui.

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Atlanticistes contre Mondialistes, par Sviatoslav Kniazev

Dans la presse européenne, l’on a l’habitude d’opposer les mondialistes aux souverainistes, aux patriotes, aux nationalistes, mais rarement aux « atlanticistes ». Le mot « mondialiste » ne pose a priori pas de problème de définition et il est possible de voir son utilisation dès les années 60, avec, par exemple, un article du Monde d’août 1967, titré : « Le mouvement mondialiste entend lutter contre les démons du nationalisme ». La cible en matière d’antagonisme est donc bien ajustée. Il n’en est pas de même avec le terme « atlanticiste », à ne pas confondre avec « atlantiste ». L’atlantisme est le courant politique, conceptualisé au début de la guerre froide, qui prône une alliance militaire centrée sur les États adjacents à l’océan Atlantique Nord et par extension, entre l’Europe et l’Amérique du Nord. Nous en avons une parfaite illustration avec le conflit Ukro-Otan et la Russie. Mais quid des « atlanticistes » ? Il s’agit en fait d’un courant identitaire, porté par certains historiens franco-américains, et qui aborde l’espace Atlantique – réunissant les États-Unis (ou plutôt les Amériques), la Grande-Bretagne, l’Europe, voire l’Afrique en raison de l’esclavage – sous un angle civilisationnel. Ainsi, l’histoire atlantique entend dégager des caractéristiques qui privilégient l’appréhension analytique d’un espace unitaire et intégré d’où peuvent être observées et décryptées les relations entre l’Europe, l’Afrique et les Amériques. C’est donc dans ce champ qu’il faut décrypter les idées de cet article : une opposition entre les mondialistes et ceux qui défendent une conception civilisationnelle propre à l’espace atlantique, vu comme socle de l’Occident.

Cet article initialement publié sur le site stoletie.ru n’engage pas la ligne éditoriale du Courrier.

Une bataille profondément symbolique a commencé entre Elon Musk et George Soros. Le milliardaire américain, propriétaire de Tesla et SpaceX, Elon Musk, a accusé le chef de l’« Open Society Foundation[1] » le financier et spéculateur international George Soros, ni plus ni moins, de vouloir détruire la civilisation de l’Occident. « L’organisation Soros ne semble vouloir rien de moins que la destruction de la civilisation occidentale », a commenté Musk sur sa plateforme X (anciennement Twitter*) dans un message dans lequel le spéculateur était accusé d’alimenter la crise migratoire sur l’île italienne de Lampedusa.

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Elon Musk dénonce à nouveau la toxicité des injections Covid

L’homme le plus riche du monde, Elon Musk, fait à nouveau la une des journaux. Cette fois-ci, il ne fait pas parler de lui à cause d’une idée quelconque, mais à cause de son tweet concernant l’injection anti-Covid. Mardi, Elon Musk a re-partagé un message sur son compte X, expliquant une fois de plus, que l’injection du vaccin Covid-19 avait failli l’envoyer à l’hôpital.

My concern was more the outrageous demand that people *must* take the vaccine and multiple boosters to do anything at all. That was messed up.

Until the Supreme Court invalidated Biden’s exec order, SpaceX and many other companies would have been forced to fire anyone who…

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