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A la différence des fantasmes qui circulent largement sur la notion de “stratégie industrielle”, ce qu’on pourrait appeler la méthode Musk se caractérise donc par plusieurs éléments essentiels :
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Le torchon brûle entre la Commission Européenne et le réseau X. Après le Digital Services Act, qui, cet été, a autorisé la Commission à imposer des sanctions aux réseaux sociaux qui refusent sa politique de censure, Thierry Breton, le Commissaire à la Propagande, hausse le ton contre Elon Musk. Ainsi, on a appris que ce lundi, il ouvrait une enquête officielle contre le réseau X pour violation du règlement DSA. Dans la pratique, la Commission veut constituer un rapport de force contre Musk pour le forcer à censurer les contenus anti-mondialistes ou libertariens présentés comme de la “désinformation”.
L’objectif de la Commission est clair : obtenir d’Elon Musk la même docilité que Mark Zuckerberg ou que Google, qui n’hésitent pas à invisibiliser voire bannir les contenus que les gouvernements européens jugent indésirables. L’affaire du COVID l’a abondamment montré. En France, le Schiappagate a permis de clarifier les conditions dans lesquelles l’argent public ou privé (en l’espèce celui de la Fondation pour la Mémoire de la Shoah) servait à museler les opposants.
La Commission ira-t-elle jusqu’à interdire X en Europe ? C’est légalement et techniquement possible. Les négociations commencent dès maintenant.
Le milliardaire Elon Musk veut réaliser un de ses rêves, coloniser Mars en créant une base lunaire et des villes martiennes. S’exprimant sur X, il souligne l’absence d’explorations lunaires depuis 50 ans et évoque le besoin pressant de nouvelles conquêtes spatiales. Cette vision audacieuse rejoint les ambitions de Musk de propulser l’exploration humaine bien au-delà de la Terre.
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Les recettes publicitaires de X, l’ancien Twitter d’Elon Musk, devraient chuter à environ 2,5 milliards de dollars en 2023, manquant ainsi les objectifs internes de 3 milliards de dollars, selon des sources citées par Bloomberg. L’agence souligne que les tweets personnels de Musk suscitent toujours des inquiétudes parmi les annonceurs.
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Un juge fédéral a autorisé un recours collectif contre Elon Musk liée à l’acquisition de Twitter. Lundi, un juge fédéral a fait avancer un procès intenté par des investisseurs qui affirment avoir subi des pertes lorsqu’ils ont vendu leurs actions Twitter, aujourd’hui connu sous le nom de X, en raison de messages de M. Musk affirmant que la plateforme avait un problème majeur à cause des faux comptes et qu’il pourrait se soustraire à l’accord à cause de ce problème. Le juge de district Charles Breyer a estimé que plusieurs des déclarations de M. Musk étaient fausses ou trompeuses.
Elon Musk avait acheté la plateforme de médias sociaux Twitter, désormais baptisée X, pour 54,20 dollars l’action. Mais avant de finaliser la transaction, le milliardaire a été poursuivi en justice par un groupe d’investisseurs.
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Lancée cet été avec l’objectif de « comprendre la vraie nature de l’univers », xAI compte des chercheurs éminents du secteur dans ses rangs. Après seulement deux mois de développement, xAI regroupe des chercheurs éminents du domaine dans ses équipes. En seulement deux mois de développement, l’entreprise a présenté son modèle nommé Grok . Bien qu’il rivalise directement avec Bard, ChatGPT, ou Claude 2, Musk assure qu’il diffère par son sarcasme et son humour. “Grok” est une expression argotique signifiant “comprendre profondément et intuitivement”. Cette expression a fait son apparition dans le roman de science-fiction “Stranger in a Strange Land” de Robert Heinlein, publié en 1961. D’origine martienne, le terme évoque une compréhension totale résultant de la capacité à se mettre à la place de quelqu’un au point de fusionner avec son expérience.
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Le ministre de l’Économie du gouvernement actuel, avec une inflation de 140 % par an, n’a réussi à vaincre son adversaire que dans trois provinces : Buenos Aires, Santiago del Estero et Formosa.
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La nouvelle ravira les utilisateurs de X qui s’estiment injustement discriminés ou trop peu mis en lumière, notamment face aux mastodontes qui dominent l’écosystème du réseau. Désormais, la rubrique “pour vous” présentera à chaque utilisateur les contenus les mieux référencés sur un sujet donné, mais aussi les contenus produits par de plus petits “comptes”.
Les propositions mises en avant se fonderont sur des analyses syntaxiques destinées à mieux faire connaître aux membres du réseau des contenus qui correspondent à leurs centres d’intérêt, même si ces contenus sont nouveaux ou peu référencés.
Cette stratégie s’intègre dans le remodelage commercial du réseau, qui permet désormais des souscriptions payantes, grâce auxquelles il est possible de diffuser des vidéos de 2h et de publier des textes jusqu’à 25.000 signes. L’objectif d’Elon Musk semble consister à élargir les publics possibles des contenus payants.
Elon Musk souhaite donc passer à l’expérimentation humaine pour son dispositif Neuralink, après avoir rencontré un lourd échec sur les animaux. Dans la pratique, Musk cherche un candidat volontaire pour une opération de retrait du crâne, suivie de l’implantation d’électrodes et de câbles ultra-fins par un énorme robot dans leur cerveau afin de remplacer la partie manquante du crâne par un ordinateur de la taille d’un quart qui restera en place pendant des années, selon Bloomberg. Cet implant lit et analyse l’activité cérébrale et l’envoie sans fil à un ordinateur portable ou une tablette.
L’idée est de redonner de la mobilité à des personnes paralysées.
Testées sur des singes, la technique a posé de lourds problèmes. Les dossiers vétérinaires montraient des descriptions horribles des souffrances que jusqu’à 12 primates participants à Neuralink avaient subies, et elles ont toutes dû être interrompues. Ces documents pourraient jeter les bases d’une enquête de la SEC sur les déclarations de Musk concernant Neuralink, qui a fait l’objet de diverses enquêtes gouvernementales alors qu’il s’efforce de lancer la première interface commerciale cerveau-ordinateur destinée aux humains.
Selon la presse indienne, Elon Musk (que nous évoquons souvent dans nos colonnes) est l’auteur d’une nouvelle boutade qui vise cette fois Facebook et son propriétaire Mark Zuckerberg. Il y a quelques semaines, il avait visé Wikipedia, qu’il avait proposé de renommer Dickipedia. Cette fois, il propose 1 milliard à Zuckerberg s’il renomme son réseau “Faceboob” (allusion à la poitrine féminine, en anglais).
Cet épisode anecdotique s’intègre dans la rivalité entre les deux hommes, où il apparaît de plus en plus qu’Elon Musk a des ambitions “intellectuelles” pour Twitter, qu’il a rebaptisé “X”, en opposition avec Facebook qui obéit à une logique quantitative.
Les deux figures mythiques d’Internet avaient évoqué, en juin, un combat de MMA qui devait les opposer. Finalement, ce combat très attendu ne devrait pas avoir lieu. Mais, en attendant, Musk mène un combat politique contre la tyrannie (notamment en proposant Starlink aux Palestiniens), quand Zuckerberg transmet consciencieusement les données personnelles qu’il collecte aux services américains.
Deux conceptions d’Internet, donc.
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Cet article initialement publié sur le site vz.ru n’engage pas la ligne éditoriale du Courrier.
Gazeta.Run rapporte que la publication Business Insider affirme que le milliardaire américain a discuté de la possibilité de simplement fermer la disponibilité de l’application aux utilisateurs de l’Union européenne. En effet, il serait déçu de la nécessité de se conformer à la loi européenne sur les services numériques. Rappelons que Musk avait précédemment critiqué la nouvelle loi de l’Union européenne, partageant l’opinion selon laquelle un contrôle total sur les médias serait ainsi établi dans l’UE.
En fait, c’est Politico qui avait écrit qu’après l’attaque du Hamas contre Israël, que le réseau social avait été inondé « d’images horribles, de mensonges politiquement motivés et de propagande terroriste». Ces publications violeraient donc les règles de la plateforme elle-même, ainsi que la nouvelle loi européenne sur les réseaux sociaux.
Dans sa lettre de réponse à Thierry Breton, Musk a rétorqué que le Commissaire européen devrait énumérer les violations en question et lui a suggéré de « laisser le public décider par lui-même ». Rappelons que les « fausses nouvelles » en question concernent l’attaque du Hamas contre Israël et l’opération de Tsahal dans la bande de Gaza. Il s’avère que beaucoup d’utilisateurs sont favorables au Hamas, et pas aux Israéliens. En d’autres termes, l’on reprocherait presque à Musk de faire de la propagande pour le terrorisme et l’on attend de lui qu’il fasse la même chose que Mark Zuckerberg, lequel a ordonné la suppression de tous les contenus produits par le Hamas, ainsi que ceux pouvant être considérés comme un soutien à ce mouvement.
Il faut également rappeler que Musk avait déclaré mercredi que la politique migratoire actuelle de l’Union européenne rendait inévitable la guerre civile en Europe.
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Cet article initialement publié sur le site stoletie.ru n’engage pas la ligne éditoriale du Courrier.
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Elon Musk permet-il une propagande antisémite et pro-terroriste sur le réseau X, anciennement Twitter ? C’est en tout cas ce que sous-entend la Commission Européenne, qui a, de son côté, échoué à suspendre l’aide européenne à Gaza, que la présidente de la Commission von der Leyen avait pourtant annoncé sans coup férir. La Commission accuse Elon Musk de faire le jeu du Hamas en ne censurant pas les comptes favorables au Hamas. Le ministre français Jean-Noël Barrot a abondé en ce sens aujourd’hui.
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Une bataille profondément symbolique a commencé entre Elon Musk et George Soros. Le milliardaire américain, propriétaire de Tesla et SpaceX, Elon Musk, a accusé le chef de l’« Open Society Foundation[1] » le financier et spéculateur international George Soros, ni plus ni moins, de vouloir détruire la civilisation de l’Occident. « L’organisation Soros ne semble vouloir rien de moins que la destruction de la civilisation occidentale », a commenté Musk sur sa plateforme X (anciennement Twitter*) dans un message dans lequel le spéculateur était accusé d’alimenter la crise migratoire sur l’île italienne de Lampedusa.
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My concern was more the outrageous demand that people *must* take the vaccine and multiple boosters to do anything at all. That was messed up.
Until the Supreme Court invalidated Biden’s exec order, SpaceX and many other companies would have been forced to fire anyone who…
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