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À partir d’avant-hierOpenClassrooms : le blog

UX designer, un métier de plus en plus convoité

En seulement quelques années, l’UX design est devenu crucial dans le succès des entreprises de la tech. Mais cette spécialité n’est pas que le monopole du secteur du numérique : de plus en plus d’entreprises ont compris l’importance de fournir la meilleure expérience utilisateur possible pour rester compétitives sur le marché. C’est là que l’UX designer entre en scène.

Alors que la mise à jour du parcours UX designer vient de paraître sur notre plateforme, découvrez les nouvelles caractéristiques de ce parcours et les opportunités offertes par ce métier de plus en plus convoité. 

 

 

Pour s’assurer de la bonne compréhension de la suite de cet article, il est essentiel de définir les fondamentaux. Alors avant toute chose, commençons par le commencement. 

L’UX design, qu’est ce que c’est ? 

Sous l’abréviation UX se cache le terme anglais User eXperience. En bon français, on parle d’« expérience utilisateur », mais on utilise aussi l’abréviation UX, prononcée à la française. Une fois qu’on a dit ça, on n’est pas forcément plus avancé, donc on vous apporte plus de précisions : l’expérience utilisateur désigne l’expérience vécue par l’utilisateur dans toute situation d’interaction.

Cette méthode de conception, apparue aux États-Unis il y a plusieurs années, est centrée sur l’humain et fondée sur la science. Elle  repose sur des principes clés que sont la clarté, la simplicité, la convivialité et la cohérence

Les bases sont maintenant posées, donc entrons dans le vif du sujet : quel est le rôle de l’UX designer ?

L’UX designer est un ergonome, un architecte de l’expérience utilisateur. Sa mission, lorsqu’il l’accepte, est d’identifier les besoins et les désirs des utilisateurs et de les satisfaire en concevant des produits et des services pratiques, accessibles et attrayants. 

Son travail consiste donc à comprendre les utilisateurs, à anticiper leurs besoins et à concevoir des interfaces utilisateurs innovantes pour les satisfaire. Pour ce faire, il effectue des recherches auprès des utilisateurs passés, présents et futurs, en mobilisant des connaissances très variées – de la psychologie jusqu’à la conception d’interfaces utilisateurs.

Pour Jordane Lacroix, UX designer depuis 10 ans, « l’objectif principal de l’UX Design est de rendre les systèmes, les produits et les services faciles à utiliser (ce qui implique la notion d’inclusivité), efficaces et agréables pour les utilisateurs finaux et ce à 360° ».

Mais pour y parvenir, comment l’UX designer s’y prend ? L’UX design implique un processus collaboratif de recherche, d’idéation (ou brainstorming), de prototypage, de test et d’itération. Les designers utilisent des techniques telles que la recherche utilisateur, l’analyse de tâches et les tests d’utilisabilité pour comprendre les besoins des utilisateurs et créer des produits qui répondent à leurs attentes.

« Les gens ne veulent pas d’une perceuse. Ils veulent un trou dans leur mur ! » – Theodore Levitt

Les designers travaillent également à créer une expérience utilisateur qui reflète l’image de marque de l’entreprise et crée une connexion émotionnelle avec les utilisateurs.

 

Quels enjeux ?

Dans un monde en constante évolution où la qualité de l’expérience occupe une place de plus en plus importante, l’expérience utilisateur est un élément incontournable de la conception de systèmes, de produits et de services tant numériques que physiques. 

Nous avons tous été victimes de mauvais design : l’information non trouvée sur un site Internet, une application qui ne fonctionne pas aussi simplement et rapidement qu’escompté… Toutes ces expériences génèrent de la confusion, de la frustration, et de l’incompréhension. Elles peuvent aussi être à l’origine de conséquences néfastes pour les entreprises telles que la perte de revenus. En effet, nous sommes de moins en moins tolérants à l’égard d’un produit ou d’un service procurant une mauvaise expérience utilisateur. Les entreprises l’ont bien compris en mettant le besoin des utilisateurs au cœur de la création de valeur. 

Pour preuve, d’après une étude de The Product Crew et Designers interactifs, menée auprès de 1 200 personnes, entre septembre et octobre 2022, 71 % des design managers ont recruté des profils design en 2022 et les équipes de design ont augmenté de 58 %. 

Pour Jordane Lacroix, les enjeux du marché en matière d’UX Design sont nombreux et complexes mais on peut en lister quelques uns auxquels les entreprises et les UX designers sont confrontés en 2023 : 

  • L’explosion des technologies de l’IA (intelligence artificielle) et de l’IoT (Internet des objets). Ces technologies ont le potentiel de transformer l’expérience utilisateur, mais elles peuvent également poser des défis en matière de sécurité, de vie privée et de convivialité.
  • La nécessité de concevoir des expériences utilisateur omnicanales. Les utilisateurs s’attendent à pouvoir accéder aux produits et aux services sur une variété de canaux : les applications mobiles, les sites web, les réseaux sociaux et les chatbots. Les UX designers doivent donc être capables de créer des expériences cohérentes et efficaces sur tous ces canaux.
  • L’importance de la personnalisation. Les utilisateurs s’attendent de plus en plus à ce que les produits et les services soient personnalisés en fonction de leurs besoins et de leurs préférences. Les UX designers doivent donc être en mesure de concevoir des produits qui permettent une personnalisation facile et efficace.
  • La diversité. Les entreprises doivent s’assurer que leurs produits sont accessibles et conviviaux pour un large éventail d’utilisateurs (personnes en situation de handicap, personnes âgées, utilisateurs de différents horizons culturels). Pour les designers, la prise en compte de ces enjeux de diversité et d’accessibilité, dès le début du processus de conception, est cruciale.
  • L’innovation. Les entreprises et les designers doivent être en mesure de concevoir des produits innovants en s’appuyant sur des signaux faibles et de les tester rapidement pour s’assurer qu’ils répondent aux besoins en constante évolution des utilisateurs tout en proposant une expérience exceptionnelle.
  • La sécurité. Les enjeux de sécurité sont de plus en plus importants dans le monde numérique et les entreprises doivent s’assurer que les données personnelles des utilisateurs sont protégées pendant l’utilisation de leurs produits. Les designers doivent être conscients des enjeux de sécurité et intégrer des mesures de sécurité dans leurs produits dès le début du processus de conception.

Évolution des technologies, attentes des utilisateurs de plus en plus grandes, protection des données, accessibilité… Vous l’avez compris, l’UX designer doit faire preuve d’agilité et collaborer de manière transversale pour offrir la meilleure expérience possible. Les entreprises qui réussissent à intégrer l’UX Design dans leur stratégie commerciale ont de meilleures chances de fidéliser les clients, d’augmenter les ventes et de se démarquer de la concurrence.

Envie d’en savoir plus sur le métier de UX designer ? Écoutez notre podcast dédié à cette profession.

 

Et demain ? 

L’UX design est un domaine qui exige de faire preuve d’agilité pour rester compétitif. Nous l’avons vu précédemment, les enjeux actuels sont nombreux. Ceux à venir le sont tout autant. Envie de les découvrir ? Suivez le guide et plongez dans le futur. 

Selon Jordane Lacroix, voici les tendances et les problématiques phares à venir en matière d’UX Design :

  • Inclusivité. Les designers prendront de plus en plus en compte la diversité des utilisateurs et s’efforceront de créer des expériences répondant aux besoins et préférences des personnes ayant des capacités différentes, des besoins linguistiques et culturels différents, ainsi que d’autres facteurs. Les designers chercheront à créer des expériences accessibles pour tous.
  • Intelligence artificielle et automatisation. Avec l’augmentation de l’IA et de l’automatisation, les designers devront adapter leur travail à ces technologies en constante évolution. Il s’agira d’explorer de nouvelles méthodes pour créer des expériences utilisateur fluides, naturelles et intelligentes, en utilisant l’IA pour améliorer la personnalisation et la prédiction des besoins des utilisateurs.
  • Conception de la voix. Avec la popularité croissante des assistants vocaux et de la commande vocale, la conception de la voix devient de plus en plus importante. Les designers devront créer des interactions vocales naturelles et intuitives, en utilisant des techniques visant à renforcer l’engagement des utilisateurs.
  • Éthique.  Les designers devront s’assurer de l’impact éthique et social de leur travail. Ils devront alors en évaluer les implications dans leur processus de conception, en prenant en compte les préoccupations de confidentialité, de sécurité et de responsabilité sociale. Ils devront aussi prendre en compte les biais dans les algorithmes utilisés. 
  • Éco-responsabilité. L’impact environnemental n’aura plus de secret pour les designers. Cette notion fera partie intégrante de leur travail. La création d’expériences utilisateur durables et respectueuses de l’environnement sera la nouvelle norme. Il s’agira de réduire la consommation d’énergie des sites web et des applications, d’utiliser des matériaux éco-responsables pour la fabrication de leurs produits, et de favoriser une utilisation durable de leurs produits. Certains designers parlent même d’approche « planet centric design » (conception centrée sur la planète) et non plus seulement « user centric design » (sur l’humain).
  • Nouvelles technologies. Réalité augmentée, réalité virtuelle… Rester à la pointe des dernières technologies et les intégrer dans les expériences utilisateurs sera un enjeu de taille pour les designers. 

 

 

Un parcours à la hauteur des attentes du marché

Pour répondre aux enjeux actuels et anticiper ceux de demain, chez OpenClassrooms, nous avons travaillé à une nouvelle version de notre parcours UX designer.

Publiée en janvier 2023, la nouvelle version de notre parcours répond aux dernières exigences en matière de conception d’interface utilisateur. Co-développée avec des experts du domaine, qui ont mis en commun leurs compétences et leurs expériences, cette nouvelle version a permis de renforcer les compétences liées notamment : 

  • au cadrage projet, en intégrant la prise en compte des enjeux business au même niveau que ceux des utilisateurs. Cela pousse le curseur de l’UX design plus loin en l’emmenant dans la sphère du product design là où les indicateurs de performance sont pris en considération ;
  • aux moyens de restituer les résultats de recherche ;
  • à l’itération produit basée sur des méthodes de projet (comme le Lean UX), avec une stratégie de priorisation et de planification.

Nous avons également profité de cette mise à jour pour : 

  • intégrer des notions d’accessibilité et d’éco-développement (comprenant l’éthique), notamment dans les modalités et critères d’évaluation (à la pointe, on vous a dit !) ;
  • actualiser les outils pour les aligner avec ceux principalement utilisés sur le marché (comme par exemple l’outil de co-conception Figma).

Last but not least, nous avons aussi consolidé les compétences comportementales indispensables au métier d’UX designer comme l’empathie et l’écoute active. 

Aujourd’hui, notre parcours repose sur 11 projets concrets d’entreprise, qui permettent de développer les compétences essentielles du métier, parmi lesquelles : 

  • Mener une étude utilisateur
  • Auditer l’expérience utilisateur d’un service digital
  • Élaborer un brief UX en suivant des objectifs business
  • Définir l’architecture d’information
  • Prototyper une application mobile  

Ça vous tente ? Découvrez la formation 

 

 

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Vers plus de diversité et d’inclusion dans la tech : notre enquête

Dire que la diversité et l’inclusivité c’est important, ça ne suffit pas. Chez OpenClassrooms, nous croyons que chaque individu, quels que soient son genre, son origine ou son handicap, doit avoir accès à une éducation de qualité et avoir toutes les chances de réussir dans sa carrière. Après avoir réalisé une étude auprès de nos employés pour mesurer la diversité, nous avons mené une enquête auprès de nos étudiants pour mieux comprendre leur expérience de formation et leur expérience sur le marché de la tech. 

 

Diversité et inclusion dans la Tech : on en est où ?

Institutions, entreprises et écoles, tous s’accordent à dire que ce sont des enjeux cruciaux pour l’industrie tech en France et, pourtant, les chiffres montrent que le secteur est encore loin de refléter la diversité de la population française.

Voici un bref état des lieux de l’univers tech français, selon une étude menée par Pôle emploi et Diversidays en 2022 : 

  • Bon point : un jeune de moins de 35 ans qui vit en QPV (quartier prioritaire de la politique de la ville) montre un intérêt presque aussi proche qu’un jeune en dehors de cette zone. C’est une hausse significative de 13 % en trois ans. Pas rien. 
  • De plus en plus de femmes recherchent un métier dans la tech, on constate une hausse des demandeuses d’emploi dans le secteur de 11% entre 2018 et 2021. Oui mais : 77 % des demandeurs d’emploi dans le numérique sont des hommes. Un chiffre écrasant. 
  • Seulement 7 % des demandeurs d’emploi dans le numérique sont en situation de handicap. Ces personnes sont 1,2 fois moins enclines à rechercher un métier dans la tech. Pire encore : l’écart se creuse (+ 5 %) par rapport à 2018.

Des politiques de recrutement et de promotion équitables pour toutes les personnes, la sensibilisation des employeurs et des professionnels des ressources humaines à l’importance d’adapter leurs processus de recrutement et de créer un environnement de travail inclusif : voilà des solutions concrètes pour améliorer les choses. Bien sûr, l’éducation joue là aussi un rôle majeur. Pour aller vers plus de diversité et d’inclusivité dans les entreprises tech, il faut avant tout pouvoir garantir que tous les individus ont accès à ces métiers spécialisés, quel que soit leur genre, leur milieu social ou leurs conditions de santé. C’est là tout le projet d’OpenClassrooms.

 

Et chez OpenClassrooms, comment ça se passe ?

Rendre l’éducation accessible. Partout et pour tout le monde, voilà notre priorité. Depuis 2018, les équipes d’OpenClassrooms, quel que soit leur métier, travaillent main dans la main pour faire avancer ce projet collectif. Cinq ans plus tard, il est essentiel de faire un point : quel est notre impact réel sur la vie des étudiants et quel chemin nous reste-t-il à parcourir ? 

« Connais-toi toi-même ». Pour répondre à ces questions, il faut d’abord répondre à celle-ci : qui sont nos étudiants ? 

Mieux connaître celles et ceux pour lesquels nous nous engageons est essentiel. Pendant 5 semaines, nous avons donc interrogé nos étudiants sur leur rapport à la diversité pendant leur formation et au-delà. Plus de 3 000 personnes étaient au rendez-vous pour partager leur expérience et les obstacles rencontrés dans les mondes de l’éducation et du travail. Ces informations sur leur parcours sont des données précieuses. Elles nourrissent nos ambitions et déterminent notre plan d’action pour continuer à mener à bien notre mission.

→ Pour aller plus loin : chaque année, nous publions un rapport de mission complet (édition 2022) qui évalue et mesure l’impact de notre travail.

 

 

Les chiffres clés de notre enquête diversité et inclusion

 

La formation en ligne, une (nouvelle) chance pour beaucoup

Sur plus de 3 000 étudiants qui ont répondu à nos questions, près de la moitié (41 %) s’identifient à une forme de diversité. Un chiffre dont nous sommes fiers compte tenu des freins, financiers et sociaux, qui subsistent pour ces personnes et le manque de visibilité et d’incarnation qui les empêchent de se projeter dans l’univers de la tech. 

La formation en ligne OpenClassrooms, c’est aussi une seconde chance. D’abord, pour les personnes n’ayant pas eu accès à une formation auparavant : lorsqu’ils ont débuté leur formation avec nous, 30 % de nos étudiants n’étaient titulaires d’aucun diplôme. Mais aussi pour les personnes qui n’ont pas réussi à aller au bout de leurs précédentes études et à décrocher leur diplôme : 12 % de nos étudiants ont étudié dans un établissement d’enseignement post-secondaire, sans diplôme à la clé. 

Ce diplôme, d’ailleurs, ils sont plus de la moitié (55 %) à être les premiers de leur famille à en obtenir un dans l’enseignement supérieur grâce à leur formation. Une fierté pour leur famille, pour eux (et pour nous). Un modèle pour les autres. 

 

Des inégalités qui persistent parmi les étudiants

Si les résultats de notre enquête sont très positifs en termes de diversité, des freins subsistent et empêchent certaines personnes d’aller au bout de leur projet de formation dans la tech et, au final, d’accéder à un emploi dans le secteur. 

  • Des obstacles de genre : les inégalités liées au genre sont encore très présentes et sont également visibles dans la formation. Parmi les étudiants qui ont répondu à notre enquête, la moitié des femmes (49,5 %) a un ou des enfants à charge, contre 36 % des hommes. Une situation qui demande davantage de capacité d’adaptation et de résilience. 

 

  • Des obstacles financiers : difficile de se consacrer pleinement à sa formation quand on travaille à côté. Pourtant, près d’un tiers des hommes cumulent emploi et formation, ce qui est également le cas de 24 % des femmes. 

💬 Ces inégalités et ces difficultés sont l’une des principales raisons d’être de notre modèle d’éducation : s’adapter aux besoins de chaque étudiant, lui permettre de progresser à son rythme et s’insérer dans son emploi du temps, quelles que soient ses contraintes personnelles ou professionnelles. Une fois en formation, il est capital que les outils nécessaires à l’apprentissage soient accessibles aux personnes qui en ont le plus besoin.

 

  • Des obstacles de santé : 19 % des répondants déclarent être en situation de handicap ou être dans un état de santé qui a un impact sur leurs études. C’est beaucoup plus que les 2 % d’étudiants dans l’enseignement supérieur en 2020, ce qui est très encourageant. Ce que cela signifie ? Un besoin plus fort d’accompagnement pour ces personnes, pour faire en sorte qu’elles aillent au bout de leur formation.

💬 C’est un nombre significatif et c’est pourquoi nous avons à cœur de rendre la plateforme d’OpenClassrooms conforme aux standards pour l’accessibilité des contenus Web, et formons nos équipes pour accompagner les personnes en situation de handicap.

 

  • Des freins sur le marché du travail : les difficultés ne s’arrêtent malheureusement pas aux portes de la formation. Parmi les répondants à notre enquête, un tiers des étudiants qui s’identifient à une forme de diversité (33 %) considèrent avoir déjà été victimes de discrimination à l’embauche. C’est moins que les chiffres de l’Ifop en 2021 (42 % des personnes se percevant comme non-blanches , 53 % des musulmans et 50 % des salariés d’origine étrangère disent en avoir été victimes), mais c’est toujours trop.

💬 Rendre l’éducation accessible, c’est participer à la lutte contre toutes les discriminations, y compris celle à l’embauche. Et c’est l’une des principales raisons pour lesquelles nous accompagnons nos étudiants dans leurs recherches d’emploi au-delà de leur formation avec l’aide d’équipes dédiées.

 

La diversité est une richesse et nous avons la chance de la constater quotidiennement parmi nos étudiants. Nous sommes fiers de voir que nos engagements portent leurs fruits et permettent à de plus en plus d’étudiants issus de milieux différents d’accéder à un diplôme dans l’enseignement supérieur. Souvent les premiers de leur famille à le faire, ces étudiants sont une source d’inspiration.

Mais des inégalités persistent encore. Nous sommes conscients que certaines personnes sont confrontées à des obstacles dans la formation et l’accès à l’emploi en raison de leur genre, de leur handicap ou de leur origine. Mais nous sommes convaincus que nous pouvons faire bouger les choses et, déjà, les mesures mises en place pour lutter contre ces inégalités commencent à payer.

Nous sommes déterminés à offrir à tous nos étudiants les mêmes chances de réussite. Nous savons que c’est une mission ambitieuse, mais nous sommes prêts à relever ce défi pour construire une éducation et une tech plus accessibles et plus inclusives.

 

 

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Développement web : se former dès maintenant à un métier d’avenir

Deux métiers phares se cachent derrière nos sites Internet : le développeur WordPress et l’intégrateur web. Pour former au mieux ces profils, particulièrement recherchés par les entreprises, OpenClassrooms propose deux nouvelles formations, accessibles même sans avoir codé avant.

Le métier de développeur attire les talents de tous âges. Avec la diversification des technologies de développement, le marché évolue vers une spécialisation des compétences. Les entreprises ont besoin de développeurs performants dans un langage ou un outil précis. C’est pour répondre à cette demande qu’OpenClassrooms lance deux nouveaux parcours de formation en ligne, conçus pour les développeurs débutants. La voie d’entrée vers votre future carrière ? Décryptage.

Choisir un métier d’avenir

Les caractéristiques, compétences requises et champ d’action propres à chaque métier vont vous permettre d’identifier celui qui correspond le plus à vos envies de carrière.

Le développeur WordPress va se spécialiser dans la création de sites web grâce à un CMS. Il rejoindra plutôt des agences web ou se lancera en freelance ; tandis que l’intégrateur web travaille sur la partie visible d’un site : son interface, et il sera très recherché en ESN ou startup tech. 

Une fois l’orientation choisie : comment apprendre concrètement un métier ?

Se former au mieux selon les attentes du marché

Pour permettre à chaque futur développeur d’acquérir les connaissances les plus précises, techniques et actuelles, OpenClassrooms a conçu ses formations avec des experts métiers et les met à jour très régulièrement. Les parcours Développeur WordPress et Intégrateur Web permettent d’apprendre les bases des langages et outils techniques les plus courants : PHP, HTML, CSS, Git & GitHub, JavaScript, ainsi que le SEO, la gestion de projets web et la maintenance de sites. Les acquis propres à chaque métier sont ensuite approfondis dans les formations dédiées.

Se former au développement WordPress

Cette formation s’adresse à toutes les personnes souhaitant être rapidement autonomes dans le développement de sites web performants et sur-mesure avec WordPress (le CMS le plus utilisé). Les étudiants apprendront, en plus des langages courants, les bases d’Elementor, Gutenberg, ainsi que des notions de jQuery et de Responsive design.

Se former à l’intégration Web

L’intégration web  plaira à des profils techniques qui s’intéressent au front-end et ont envie de maîtriser React : l’un des frameworks JavaScript les plus utilisés. Une fois la formation terminée, les apprenants sont capables de créer des applications & interfaces web complètes et optimisées, et de dynamiser des pages web. Ils découvrent, en plus des langages courants, Redux, SASS, les appels API, Visual Studio Code et Figma. 

Informations pratiques & débouchés 

Ces deux formations permettent, en 9 mois, de décrocher un diplôme de niveau 5 (bac +2), reconnu par l’État, et de se constituer un portfolio technique particulièrement utile pour valoriser son expertise. Le but d’OpenClassrooms : rendre tous les apprenants employables en tant que développeurs junior. Un coaching à l’emploi est même proposé en fin de cursus pour ceux qui le désirent.

Que vous soyez étudiant, demandeur d’emploi ou en reconversion, si le métier de développeur vous attire, n’attendez plus ! Les parcours sont même finançables avec vos crédits CPF, selon statut, et peuvent être effectués en alternance (18 mois). La date de démarrage ? C’est vous qui choisissez !

Alors, pourquoi pas vous ? Osez faire un travail qui vous plaît.

RDV ici et ici pour obtenir toutes les informations et décider de la suite pour votre carrière.

Vous pouvez faire confiance à OpenClassrooms pour vous donner toutes les chances de réussir.

La pédagogie innovante d’OpenClassrooms

OpenClassrooms est un acteur majeur de la formation en ligne en Europe. Plus de 10 000 personnes se sont déjà formées au développement web avec notre école, et des millions d’autres sur tous types de compétences techniques. Depuis 2013, notre mission est votre réussite, et nous avons, pour cela, mis au point une pédagogie spécifique.

L’approche unique d’OpenClassrooms pour monter en compétences rapidement :

  → FLEXIBILITÉ : des cours 100 % en ligne & un rythme adaptable à son emploi du temps

  → CONCRET : un minimum de théorie et un maximum de pratique avec la réalisation de projets issus de scénarios professionnels

  → MOTIVATION : le soutien hebdomadaire d’un mentor, lui-même développeur, et l’accès à une communauté d’entraide virtuelle avec d’autres étudiants

Prêt à vous lancer dans le développement web ?

 

INSCRIPTIONS DÉVELOPPEUR WORDPRESS


INSCRIPTION INTÉGRATEUR WEB

Intégrateur web développeur wordpress
Tableau comparatif

Devenez développeur en 5 étapes

 

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Devenez Développeur en 5 étapes

Le métier de développeur figure en tête des plus recherchés par les recruteurs, selon une analyse de l’Apec. Cette première place a d’ailleurs été renforcée par la crise sanitaire, qui a accéléré la transformation numérique de l’économie. De plus en plus, les entreprises comptent en effet sur l’expertise technique de profils spécialisés dans le code. Le défi désormais pour ces profils : acquérir les bonnes compétences. OpenClassrooms, acteur majeur de la formation en ligne, partage ses meilleurs conseils pour aider les futurs développeurs à se lancer. Alors, comment percer dans le développement informatique ?

 

Si les envies de reconversion se multiplient, le développement web attire de plus en plus. Passionnés de nouvelles technologies, candidats à l‘aventure freelance : les talents sont nombreux. Et ça tombe bien : ce métier ne connaît pas la crise. Les entreprises ont besoin de développeurs, mais pas n’importe lesquels ! Une véritable tendance se dessine sur le marché du travail et certaines compétences Tech très précises deviennent bien plus prisées que d’autres. En s’appuyant sur de solides données marché ainsi que les retours d’expérience de développeurs experts, OpenClassrooms a identifié les plus recherchées actuellement. 

Et si vous pouviez acquérir ces compétences, même sans avoir codé avant, à votre rythme, et sans retourner sur les bancs de l’école, avec un diplôme à la clé ?

Découvrez, en cinq étapes-clés, la marche à suivre pour apprendre les codes de votre future carrière.

1. Identifier le métier de développeur correspondant à son profil 

Que vous soyez étudiant, en recherche d’emploi ou déjà en poste, vous êtes en plein questionnement autour de votre carrière. Vous ne savez pas coder, ou avez quelques connaissances en développement. Mais ce secteur vous plaît et vous sentez que vous pourriez vous épanouir dans un métier technique.

Alors vous êtes au bon endroit. Pour aider un maximum de personnes à obtenir un emploi d’avenir dans la création de sites web, OpenClassrooms propose de nouvelles formations accessibles quel que soit l’âge ou le parcours. Ces formations ont été lancées pour répondre à une véritable demande, comme l’explique Nicolas Patschkowski, Learning designer en charge de ce projet : « Le marché recherche des développeurs spécialisés, car les technologies de développement, langages et outils, sont de plus en plus diversifiés. Les entreprises ont besoin de développeurs performants, spécialisés dans un langage. » 

Quel métier sera le plus adapté à vos envies de carrière ?

Le Développeur WordPress est autonome, créatif, technique et aime la diversité de projets. Il est capable de créer facilement des sites sur-mesure de A à Z sur WordPress, le CMS sur lequel sont hébergés 42,9 % des sites web aujourd’hui. Mais il dispose également de solides compétences techniques pour rendre un site performant et le personnaliser au mieux selon les besoins des clients (blogs, sites e-commerce ou vitrines).

L’intégrateur web travaille également sur des projets variés, avec une forte expertise dans le code. C’est la partie la plus visible des sites web dont il est en charge : l’interface. Il maîtrise React : l’un des frameworks JavaScript les plus utilisés. Sa mission : intégrer les éléments visuels demandés par un client dans les pages d’un site web pour créer une interface harmonieuse, dynamique et facilement navigable.  

Vous y voyez plus clair désormais ! Mais alors comment passer du choix théorique d’un métier à son apprentissage concret ? Là est toute la force de la formation. Mais attention : pas n’importe laquelle. 

2. Choisir la bonne école pour se former 

De nombreuses formations existent dans le digital. Elles promettent toutes de vous apprendre vite et bien le métier de vos rêves. Comment s’y retrouver ? Il convient d’être très vigilant quant au sérieux de l’organisme choisi. Pourquoi OpenClassrooms serait l’école la plus adaptée à votre évolution de carrière ?

Historique. Parmi toutes les écoles existantes, OpenClassrooms occupe une place de choix dans la formation aux métiers du numérique depuis 2013 (et même dès 1999 avec le Site du Zéro !). Les chiffres sont évocateurs : nous avons déjà permis à des millions de personnes d’apprendre tous types de compétences techniques, dont 10 000 ayant suivi notre parcours “Développeur web”. Nos cours en ligne sont même utilisés dans plusieurs écoles d’informatique et d’ingénieurs, et plébiscités par de nombreux développeurs désireux de mettre à jour leurs acquis. 

Contenu. Comment être sûr de bénéficier d’un enseignement de qualité ? La correspondance entre le contenu des formations OpenClassrooms et les compétences recherchées par les entreprises, est primordiale. Nous analysons en permanence l’évolution des métiers et mettons ainsi à jour un quart de l’ensemble de notre catalogue chaque année. 

Reconnaissance. C’est grâce à cette expertise que la plupart de nos formations permettent désormais d’obtenir des diplômes de niveau reconnu par l’État : un gage de confiance supplémentaire. Et pour poursuivre notre mission de rendre l’éducation accessible à tous, nos formations sont éligibles à plusieurs types de financement, selon le statut de chacun. 

Notre promesse : vous transmettre les connaissances les plus précises et actuelles possibles.

3. Se spécialiser dans un des métiers du développement informatique 

En tant que futur développeur, votre expertise fera toute la différence. Pour garantir un haut niveau technique dans ses deux nouvelles formations, OpenClassrooms a fait le choix de produire l’intégralité de ses contenus en interne, en s’entourant de profils dûment sélectionnés.

« Pour élaborer ces deux parcours, nous nous sommes appuyés sur des outils très puissants, permettant d’analyser de nombreuses données marché relatives à la recherche d’emploi, en vue de développer des référentiels de compétences. Nos ingénieurs pédagogiques travaillent également en continu avec des experts métiers, interrogés sur leur quotidien, pour identifier les méthodes, outils & acquis indispensables à leur métier. » Nicolas Patschkowski, Learning designer.

Ainsi, en 9 mois, les compétences que vous maîtriserez en tant que Développeur WordPress et Intégrateur Web sont :

Développeur WordPress :

  • Créer des sites personnalisés de manière efficace dans le cadre de développement d’activité ou de lancement de nouvelles offres de l’entreprise ou d’un client
  • Personnaliser des thèmes et des plugins WordPress afin de développer des sites aux fonctionnalités avancées et à l’interface sur-mesure.
  • Maîtriser les technologies et les langages techniques les plus demandés : WordPress, PHP, HTML, CSS, Git & Github, JavaScript, Elementor, Gutenberg, ainsi que des notions de jQuery et de Responsive design.

Intégrateur web :

  • Créer une application web complète et responsive pour permettre à l’entreprise ou au client de vendre ses produits et services en ligne, sur tous types d’appareils.
  • Dynamiser des pages web pour mieux mettre en valeur les produits / services d’une entreprise. 
  • Créer des interfaces communiquant avec le back-end du site pour créer des applications dynamiques et permettre aux clients de s’identifier sur le site.
  • Maîtriser les technologies et les langages techniques les plus demandés : HTML, CSS, SASS, JavaScript, React & Redux, les appels API, et quelques notions de Visual Studio Code, le responsive design, Figma, Git & GitHub.

Chacun de ces deux parcours permet également de maîtriser la gestion de projet web, les outils de veille technologique, et les bases du SEO.

Mais rentrons dans le vif du sujet : comment notre école va-t-elle vous former, vous, à votre futur métier ?

4. Apprendre son futur métier de manière (vraiment) efficace 

Se former demande un véritable engagement. Pourtant, même si l’envie de faire évoluer sa carrière est là, la motivation peut manquer pour mener à bien ce projet de vie. Chez OpenClassrooms, nous avons étudié tous les mécanismes de l’apprentissage et élaboré une pédagogie innovante avec un seul objectif : faciliter et optimiser la formation, pour tous. Tout a été pensé pour que vous alliez au bout de nos parcours, et viviez une belle expérience personnelle et professionnelle. Se former ne ressemble alors en rien à ce que vous avez expérimenté à l’école auparavant. Les spécificités de nos formations sont :

  • Praticité. Tous les cours se déroulent en ligne pour garantir un maximum de flexibilité physique et temporelle. Vous apprenez à tout moment, de n’importe où, et adaptez donc votre formation à votre emploi du temps.
  • Alternance. Tous les parcours peuvent être effectués en alternance avec un format hybride (en ligne / en présentiel), et l’aide d’OpenClassrooms et de son réseau pour trouver son entreprise (contrat de professionnalisation ou d’apprentissage).
  • Mode projets : Savoir c’est bien, savoir-faire c’est mieux ! Comme l’explique Nicolas Patschkowski, Learning designer : « Tout ce qui est enseigné aux étudiants est fait dans le but d’acquérir les compétences-clés du métier : pas de théorie superflue, ni d’initiation. Notre pédagogie est active et repose sur la réalisation de projets issus de scénarios professionnels. Chaque apprenant vit une expérience immersive dans son futur métier ! ». Apprendre par la pratique renforce la vitesse de mémorisation et les capacités professionnelles.`« Tout ce qui est enseigné aux étudiants est fait dans le but d’acquérir les compétences-clés du métier : pas de théorie superflue, ni d’initiation. Notre pédagogie est active et repose sur la réalisation de projets issus de scénarios professionnels. Chaque apprenant vit une expérience immersive dans son futur métier ! » Nicolas Patschkowski, Learning designer. 
  • Soft skills. Interactions professionnelles, présentation synthétique d’une solution à un client : ces compétences sont indispensables pour être un bon développeur. Plusieurs jeux de rôle sont organisés au fil du parcours, pour vous permettre d’incarner au mieux votre future posture de développeur. 
  • Suivi individuel. Tous les étudiants sont accompagnés par un mentor, expert du métier choisi, tout au long de leur formation. Des sessions individuelles d’échanges sont organisées chaque semaine en parallèle des cours en ligne : de quoi rester motivé,, dépasser les blocages, ancrer les nouvelles connaissances et permettre une véritable passation d’expérience.
  • Soutien. Les professeurs et conseillers pédagogiques OpenClassrooms sont dédiés à votre réussite et disponibles si besoin, tout comme la communauté d’étudiants sur Facebook Workplace.
  • Ressources. Des cours optionnels vous sont accessibles pour aller plus loin.

Alors, oui, certains diront que se former en ligne demande beaucoup d’autonomie. Mais Nicolas Patschkowski, Learning designer, précise : « C’est un challenge utile pour tous les futurs développeurs, car ce métier nécessite d’être autonome avec les outils digitaux, d’être capable de se former sur internet, trouver ses réponses par soi-même, demander à d’autres professionnels. »

5. Être épanoui dans le développement informatique

S’il y a bien un  métier qui ne connaît pas la crise : c’est celui de développeur ! Mais quel environnement de travail vous attire le plus ? Les développeurs WordPress sont très recherchés en agences web et sont nombreux aussi à se lancer en freelance. Les intégrateurs web se retrouvent beaucoup dans les start-ups et entreprises Tech, mais aussi en ESN.

De débutant à développeur, il n’y a qu’un pas. Alors, une fois votre formation diplômante dans le développement web terminée : que se passe-t-il ? OpenClassrooms met tout en œuvre pour favoriser votre employabilité. « Nos formations sont professionnalisantes. Elles ont pour but de rendre tous les apprenants employables en tant que développeurs junior ! », explique Nicolas Patschkowski.

« Nos formations sont professionnalisantes. Elles ont pour but de rendre tous les apprenants employables en tant que développeurs junior ! »
Nicolas Patschkowski, Learning designer.

Tout au long du parcours, vous avez réalisé une succession de projets concrets, avec l’aide de votre mentor, et les avez présentés à des experts métiers dans le cadre de sessions d’évaluation. Ces projets sont désormais rassemblés au sein d’un portfolio : véritable vitrine de vos capacités techniques ! Après avoir validé toutes les étapes requises, vous obtenez votre diplôme : une certification RNCP de niveau 5 (équivalent bac +2) reconnue par l’État. Vous avez désormais toutes les cartes en main pour commencer votre nouvelle vie professionnelle et être épanoui dans un travail qui vous plaît.

OpenClassrooms propose, à la fin de la formation, un parcours de coaching à l’emploi pour tous les étudiants qui le désirent. Des coachs spécialisés en insertion professionnelle peuvent alors les aider à préparer leurs CV, leurs lettres de motivation et leurs entretiens, en vue d’optimiser leur recherche d’emploi. De quoi mettre toutes les chances de votre côté !

Alors, pourquoi pas vous ?

Faites un bond dans votre carrière grâce au développement informatique et avec OpenClassrooms !

Postulez pour vous former à votre futur métier :

Découvrez également ici tous nos parcours de formations diplômants dans le développement informatique.

 

Intégrateur web développeur wordpress
Tableau comparatif

 

Développement web : se former dès maintenant à un métier d’avenir

 

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Sylvie, de la coiffure à l’immobilier grâce à Passeport Numérique

Par : Nora Leon

De la coiffure à l’immobilier, il n’y a qu’un pas ? C’est ce que nous apprend l’histoire de Sylvie Tello, diplômée Passeport Numérique. Après bien des années à prendre soin des coiffures de ses clients et un petit passage à vide, Sylvie a rebondi sur OpenClassrooms, l’école en ligne des métiers du numérique. L’occasion de bifurquer vers un métier qui lui plaît vraiment. Rencontre.

Bonjour Sylvie, vous êtes coiffeuse de métier, c’est cela ?

J’ai fait une longue carrière, mais je suis coiffeuse au départ et mon dernier métier était assistante maternelle. Coup dur de la vie, au décès de ma maman, j’ai perdu toute motivation. J’avais perdu mon père quelques années auparavant, donc c’était une deuxième partie de moi qui s’en allait. J’ai ressenti une profonde tristesse et pendant un an, je n’ai plus pu travailler.

Chez Pôle emploi, mon premier conseiller ne s’est pas montré très compréhensif. J’ai changé et je suis tombée sur une dame qui, elle, a voulu m’aider. 

Votre conseillère qui vous a proposé la formation « Passeport numérique » ?

Oui ! Elle a vite compris que je ne me voyais plus dans le milieu de la coiffure, à travailler le samedi et le dimanche et même les jours fériés. Je suis maman et ma petite dernière a treize ans : j’ai besoin de temps libre pour me consacrer à ma famille. 

Pour autant, j’aime le relationnel, le commerce, parler, les gens. Cela vient de mon métier de coiffeuse. J’ai pensé au dropshipping, mais cela me faisait peur de me lancer seule ; je n’ai pas pris le risque. 

Alors, nous avons exploré le métier d’agent immobilier, dont je suis passionnée. Pour l’exercer, il me fallait de bonnes bases en informatique. Ma conseillère m’a proposé la formation rapide Passeport numérique pour que je me forme. Elle m’a dit : « Lancez-vous, vous allez apprendre plein de choses ! ». Et elle avait raison !

Comment s’est passée la formation ?

J’ai été très surprise de ce format en ligne. Au départ, je pensais que mon mentor allait être avec moi du matin au soir par visio, mais en fait je devais être autonome (rires). 

Ma première mentor ne comprenait pas que j’aie besoin qu’elle me montre les choses sur l’ordinateur plusieurs fois. D’elle-même, elle m’a proposé de continuer avec une personne plus pédagogue, qui a parfaitement compris mes besoins. 

Je suis vraiment bien tombée. Mon mentor m’a poussée vers le haut, m’a aidée à avoir confiance en moi.

Il m’a donné pas mal d’autonomie, en m’accompagnant pour que je m’en sorte.

À partir de là, je me suis éclatée en formation. Dans Passeport Numérique, on apprend les bases de tout ce qui est utile sur un ordinateur. J’ai découvert PowerPoint, Google Meets, j’ai approfondi mes connaissances sur Zoom et Word. 

J’ai fait des slides toute seule. Même insérer une image, pour une débutante comme moi, ce n’était pas évident ! J’ai aussi dû organiser une réunion ou encore travailler sur un projet fictif pour le restaurant le Fouquet’s. Les projets sont intéressants, bien expliqués et si on comprend pas, on demande.

Pour les soutenances, je suis tombée les mentors validateurs m’ont mise à l’aise. Je suis allée au bout de la formation. Je suis fière de moi !

Qu’avez-vous aimé dans la pédagogie d’OpenClassrooms ? 

Tant de choses ! Les projets sont bien faits, et le rythme est flexible. On ne te met pas la pression avec les dates, on sait que tu vas rattraper. Je me suis donnée à fond. 

J’ai aussi apprécié l’aspect humain. On a notre mentor et la communauté sur l’outil interne où tous les étudiants s’entraident, se motivent. On se félicite, on se soutient, parfois on fait même connaissance en vrai. 

Qu’est-ce que cette formation vous a apporté de plus important ?

 

Au-delà d’une aisance sur un ordinateur (le but de Passeport Numérique !), c’est surtout de la confiance en moi. 

Au début, j’avais peur. Je me disais que les autres avaient tous fait plein d’études, que moi la petite coiffeuse je n’avais rien à faire là. Je me suis vite rendue compte que j’avais tout à fait ma place et que moi aussi, je pouvais énormément apprendre.

Et puis, j’ai quand même 54 ans… Chez OpenClassrooms, suite à Passeport Numérique, j’ai un coach pour chercher un emploi. Ça me rassure de ne pas être seule dans la nature !

Avez-vous été surprise de quelque chose ? 

Je ne pensais pas réussir à me débrouiller toute seule. Je croyais que j’allais être prise par la main toute la journée. Finalement, je n’en ai pas eu besoin, ça a roulé tout seul. 

J’ai aussi été surprise de la façon dont la formation était organisée. Ça va doucement, on n’a pas la pression. Et tant mieux, car quand on me met la pression, je n’y arrive pas ! (rires).

À présent que vous avez réussi Passeport Numérique, quel est votre projet ?

Je voudrais devenir agent immobilier. J’ai soif d’apprendre et ce secteur m’attire beaucoup. 

Aujourd’hui, je suis en Action de Formation Préalable au Recrutement (AFPR) en stage chez un agent immobilier. J’adore mon nouveau métier et j’espère rester dans cette agence à l’issue de mon stage.

D’ailleurs, il y a des ponts avec mon ancien métier et mon futur job ! En coiffure, on a un côté psychologue. On écoute, on conseille nos clients… Je pense retrouver cet aspect avec mes futurs clients en agence immobilière, car quand on achète un appartement ou une maison, c’est une grande décision de vie. 

Ce métier me permettra d’utiliser mes qualités d’écoute et de communication, que j’aime tant mettre en pratique.

Une chose est sûre, Passeport Numérique m’a mise sur des rails pour terminer ma carrière dans un métier qui me plaît. 

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Vous vous retrouvez dans le témoignage de Sylvie et avez envie, vous aussi, de suivre le programme Passeport Numérique ?

Il est financé par Pôle emploi et vous permettra d’être à l’aise sur les outils numériques, quel que soit votre projet professionnel. Vous aussi, lancez-vous !

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Pauline, du marketing au produit en formation développeur Web

Par : Nora Leon

« J’ai appris plusieurs langages informatiques et surtout la logique du code dans la formation Développeur Web. Ce bagage me sert aujourd’hui à communiquer avec la Tech dans mon métier de Product Marketing Manager ».

Du CRM au product marketing, il n’y a qu’un pas ? C’est en tout cas ce qu’a constaté Pauline Fumeron suite à sa formation en ligne Développeuse Web sur OpenClassrooms. Elle revient sur son expérience en formation et son impact sur sa carrière. Rencontre.

Comment avez-vous choisi ce parcours ? 

J’avais envie d’apprendre le code, et il fallait commencer quelque part. L’avantage de la formation Développeur Web était qu’elle était courte, diplômante, et basée sur des projets concrets.

J’avais déjà un petit socle de choses que j’avais apprises en autodidacte. Cependant, il me manquait le cadre pour apprendre. J’avais aussi besoin d’étoffer mes compétences avec de bonnes bases en HTML et CSS. En somme, avoir une connaissance basique du code orienté objet, pour comprendre les logiques d’une application ou d’un code donné. J’avais envie d’apprendre à modifier, tester des choses… 

Mon projet n’était pas vraiment de devenir développeuse Web à part entière. Je voulais plutôt savoir échanger avec des équipes tech. Je travaillais dans le marketing et en particulier le CRM à ce moment-là. Mon besoin était donc plus lié à la mise en place de workflows automatisés, de landing pages ou de templates marketing, dans le cadre du marketing automation.

Vous avez mené de front le parcours et un emploi. Comment cela s’est-il passé ?

Ça s’est bien passé. Mais il faut avouer que c’est tout de même une charge de travail !

Après chaque journée de boulot, j’avais une à trois heures le soir en semaine à passer sur mon parcours, plus le weekend.

Quand c’est facile, ça va. Mais quand les projets deviennent plus compliqués… Ça se corse ! Avec l’accompagnement de mes mentors, j’ai eu pas mal d’aide pour retrouver la motivation quand j’en avais besoin.

Qu’avez-vous préféré ?

Les projets de mise en situation, les cas concrets. À la fin, tu te retrouves avec un livrable viable.

J’ai développé différentes applications. Je suis surtout montée en compétences sur des langages divers, tous appris sur des applications métiers très concrètes.

Tout faire de A à Z m’a donné confiance sur ma capacité à réaliser plein de choses ! C’était le cœur de la formation et la base de ce qui suit derrière.

Aujourd’hui, quelles compétences utilisez-vous le plus en poste ? 

Ma compréhension technique au quotidien m’aide vraiment. Je ne code pas, mais ce que j’ai appris facilite les discussions avec les équipes de développeurs, Product Managers… J’ai aussi une meilleure compréhension du logiciel tech sur lequel je travaille. Je cerne plus vite les sujets ; je me sens à l’aise. C’est cela dont j’avais besoin.


Je me sers pas mal des bases pour continuer à automatiser des choses.

Quel impact a eu cette formation sur la suite de votre carrière ? 

Aujourd’hui, je suis Product Marketing Manager chez Lifen, une entreprise en forte croissance dans le domaine de la santé dont l’objectif est de simplifier et faciliter la communication médicale des professionnels de santé au quotidien.

Le parcours d’OpenClassrooms a participé à me faire gagner confiance en moi. Je me sens aujourd’hui plus légitime sur pas mal de sujets.

J’ai pu faire ce que je voulais et être sereine sur mes capacités à évoluer sur un poste en marketing produit. 

Aujourd’hui, je suis Product Marketing Manager. Je suis la voix de l’équipe produit en interne pour faire en sorte que tout le monde connaisse les fonctionnalités de notre produit, que les lancements se passent bien, que les clients utilisent le logiciel. Je suis également la voix de nos utilisateurs et clients. Ma mission est de me faire l’écho de leurs demandes pour aider à construire un produit qui réponde à leurs besoins. Je mêle ma casquette produit et marketing au quotidien. Ces compétences complémentaires posent aussi les jalons pour la suite. Je sais que je peux appendre et je le ferai encore.

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Comme Pauline, vous travaillez en Webmarketing ou CRM et vous souhaitez bifurquer vers le Product Marketing ?

La formation en ligne Développeur Web est disponible, soit en alternance, soit à plein-temps. Vous pouvez aussi éventuellement faire financer votre formation par un organisme national ou local (Pôle emploi, Cap emploi, les Missions locales) selon votre profil et le quota de places disponibles.

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Coaching : Comment Juliette a aidé Salomé à signer son contrat

Par : Nora Leon

Qu’on entre en alternance ou qu’on finisse une formation diplômante, l’école en ligne OpenClassrooms offre des sessions avec un coach pour décrocher son emploi. 

Juliette a été la coach de Salomé pour trouver son alternance dans le milieu de la pédagogie. Elles nous en disent plus sur cette expérience et cette recherche d’emploi en mode éclair.

Enchantée Juliette et Salomé. Pouvez-vous vous présenter ?

Salomé : Je m’appelle Salomé, je suis ingénieure pédagogique en alternance via OpenClassrooms au sein de la SNCF. J’ai signé ce contrat notamment grâce à l’aide de Juliette, ma coach en insertion professionnelle.

Juliette : J’ai fait partie du service client d’OpenClassrooms et je me suis reconvertie pour être professeure de yoga il y a deux ans. Mais, comme j’adore accompagner des étudiants pour leur permettre d’exploiter pleinement leur potentiel, je suis longtemps restée coach en accompagnement professionnel en parallèle de mon activité.

Tout d’abord, Juliette, peux-tu nous en dire un peu plus sur ce rôle de coach et pourquoi il t’a intéressée ?

Absolument. Le coach en insertion professionnelle apporte les bons outils, codes et la méthodologie à toute personne qui recherche un emploi via OpenClassrooms (que ce soit un contrat d’alternance ou job).

Quand on sort tout juste de ses études, c’est un défi d’apprendre à « se vendre » en entretien.

On n’a pas forcément tous les codes du marché de l’emploi et on est tout frais dans le métier, donc on a souvent besoin d’un coup de pouce. Pour les personnes qui se reconvertissent, c’est pareil : valoriser son profil et expliquer en quoi nos compétences sont transposables, ça s’apprend, d’autant plus avec son coach ! 

J’ai une bonne expérience des RH et du monde du travail. J’aime tirer parti de mon optimisme et de mes qualités interpersonnelles pour accompagner des personnes de tous horizons vers l’emploi qui leur convient.

Salomé, peux-tu aussi nous en dire plus sur toi ?

Je m’appelle Salomé et j’ai 30 ans. Je suis alternante sur la formation en ligne Ingénieur responsable pédagogique d’OpenClassrooms. Je travaille à la SNCF en parallèle de mes études théoriques. Je suis lyonnaise mais aujourd’hui, je travaille à Paris.

Pourquoi souhaitais-tu suivre cette formation ? 

J’avais déjà derrière moi 8 ans d’études (rires). Donc j’avais envie de quelque-chose de pratique, pas à nouveau d’être sur les bancs de l’université.

La pédagogie par projets m’a attirée, puisqu’on s’entraîne à ce que qu’on va faire en poste. La formation correspondait à mes attentes en termes de savoir-faire. Elle était en ligne et en alternance. Et surtout, je pouvais commencer quand je voulais, pas seulement en septembre ou janvier comme dans la plupart des écoles.

Attends : 8 ans d’études ? Pourquoi souhaitais-tu encore te former ?

Oui ! Je suis titulaire de deux licences (en psychologie et en communication) et de deux masters (en UX et psychologie et en communication Web). À la sortie de mes études, je n’étais pas sûre du domaine où je voulais travailler. Pour me laisser du temps, je suis partie en Permis Vacances Travail (PVT) un an en Corée du sud. À mon retour, j’avais trouvé mon domaine d’application. J’ai tenté de me lancer avec mon diplôme… Mais la crise sanitaire n’était pas propice aux embauches.

Alors, je me suis tournée vers une formation en alternance pour acquérir encore de l’expérience et parfaire ma formation.

Comment as-tu choisi le métier d’ingénieure pédagogique ?

C’est assez proche de l’UX et de la communication, en fait. Il y a une grande partie où on analyse les besoins pour les formations et où on conçoit des e-learnings. Cela rejoint la conception ou le design de logiciels et il faut de bonnes capacités d’analyse et rédactionnelles.

Tu as commencé à chercher ton contrat d’apprentissage pendant le 1er confinement. Tu as trouvé facilement ton employeur ?

Globalement oui, mais il y a tout de même eu un petit rebondissement.

J’ai rapidement eu une offre de la part d’Enedis. Mais avec le confinement, mon équipe a dû geler les recrutements le temps de confirmer les budgets. Pendant deux mois, j’ai été dans l’incertitude… Puis mes futurs managers m’ont confirmé que le poste n’allait pas s’ouvrir. J’ai bien compris que ce n’était pas voulu et je ne l’ai pas pris personnellement.

Heureusement, je n’avais pas complètement fermé la porte aux autres personnes qui m’avaient contactée.

En un mois, j’ai trouvé mon contrat au sein de la SNCF et cette fois, c’était pour de bon !

Tu as commencé il y a quelques mois. Comment est-ce que cela se passe ?

Très très bien ! Mon équipe est au top. C’est une des choses les plus importantes, d’être à l’aise en poste et d’avoir le feeling avec mes collègues. Je fais partie de l’équipe de l’école numérique de Paris, en Seine-Saint-Denis. Nous développons une université d’entreprise spécialisée dans les formations sur les métiers du numérique. Elle forme entre 2500 et 3000 agents environ.

Mon métier, c’est d’une part d’animer notre communauté d’apprenants, car on a des prestataires externes pour certaines formations, et de l’autre, de travailler sur nos formations internes en digital learning.

Qu’est-ce qui te plaît dans ce job ? 

J’aime avoir un impact sur l’évolution humaine des personnes. Les aider à réaliser leurs projets.

Les formations sont un incroyable outil pour évoluer tant professionnellement que personnellement. Ça m’enthousiasme beaucoup !

Juliette a été ta coach pour chercher ton contrat. Pouvez-vous nous raconter à deux voix comment vous avez fonctionné pour le coaching ?

Salomé. Le feeling est passé tout de suite avec Juliette : elle m’a mis en confiance.

Juliette. Salomé savait déjà où elle voulait aller, elle avait juste besoin d’un petit coup de pouce pour que ça fasse des étincelles. Je l’ai mise sur la piste de LinkedIn en lui expliquant comment l’utiliser. Et là, ça a fonctionné très bien !

On veut savoir ! Quelle a été ta stratégie sur LinkedIn Salomé ?

Salomé. Avant de commencer la démarche, j’ai dû faire une dizaine, quinzaine de candidatures sans réponse.  Avec ma coach Juliette, je n’ai presque pas eu à postuler, car j’ai utilisé la technique d’agrandir mon réseau sur LinkedIn. Tout d’abord, j’ai amélioré mon profil LinkedIn.

Puis, j’ai passé du temps à rechercher des professionnels dans les grands groupes que je visais. J’ai repris tous les professionnels du Fortune 500, et j’ai cherché les ingénieurs pédagogiques dans ces entreprises.

J’ajoutais ces professionnels en laissant un petit message du type : « Bonjour, bientôt alternante, j’essaie d’agrandir mon réseau avec de potentiels futurs collaborateurs« .

Les résultats ont été étonnants, car la plupart de ces personnes sont revenues vers moi pour me dire qu’elles recrutaient ou pour me recommander d’autres entreprises.

Ces contacts se sont soldés par des entretiens.

Et sinon, avez-vous travaillé certains aspects de la recherche d’emploi ensemble ?

Juliette. Nous avons fait une simulation d’entretiens, pour balayer les questions qu’on pouvait te poser.

Salomé. Nous avons aussi revu le CV et mon discours. L’oral, c’est pas trop mon truc…

Juliette. C’est le lot de tout le monde ! Il faut décider ce qu’on va dire, et surtout être capable de comprendre ce que veut l’entreprise, pour ne pas accepter un poste avec lequel on n’est pas en phase. 

Juliette, tu as vu quoi comme changements ? Quelles sont les compétences que Salomé a acquises ou améliorées ?

J’ai trouvé qu’elle avait gagné en confiance en elle. Elle ne se sentait pas à l’aise à l’oral. Son profil était super sur le papier, mais elle avait besoin de pouvoir le vendre. 

Il manquait ce petit quelque chose pour affirmer avec conviction que ce qui était écrit sur le CV était véritable, et se positionner comme la meilleure candidate, qui voulait la place. 

Salomé. C’est vrai que même si j’ai fait plein d’études, sur le marché du travail, je me suis demandée ce que je pouvais apporter… J’ai été très surprise d’avoir le choix. De grandes entreprises étaient intéressées, mon profil avait de la valeur.

Ça a vraiment reboosté ma confiance et j’y suis allée à fond.

Juliette, ça arrive que ce soit plus compliqué ? Que des étudiants ne trouvent pas de job ? 

Aucun des étudiants que j’ai accompagnés n’est resté sur le carreau, mais parfois il faut travailler sur la confiance en soi et l’envie de réussir.

Ça arrive que des étudiants aient un gros manque de confiance en eux. Quand on n’a jamais été encouragé ou soutenu, que personne ne nous a dit qu’il était fier de nous ou qu’on avait de la valeur, c’est difficile de penser qu’on va trouver un job en claquant des doigts. En se posant et en voyant ensemble que la personne a de belles qualités et plein de compétences, ça finit par fonctionner.

Pour ceux qui n’ont pas un projet assez bien défini, c’est compliqué aussi de se vendre. Ils vont en entretien un peu par défaut, et donc il faut retravailler l’objectif pour que la motivation transparaisse.

Il y a aussi des gens qui n’ont pas de sentiment d’urgence. Ils ont souvent la sécurité de l’emploi et ne sont pas sûrs de vouloir changer.

Or, même si je suis convaincue qu’il y a de la place pour tout le monde sur le marché de l’emploi, personne ne nous attend, donc il faut y aller avec conviction !

Enfin, il y a l’excuse royale : « Il n’y a pas d’emploi dans ma région ». Parfois, il faut savoir sortir de sa zone de confort… quitte à revenir dans sa région après une première expérience concluante. Salomé cherchait à Lyon, mais elle travaille finalement en Seine-Saint-Denis. 

Quels conseils donneriez-vous aux personnes qui cherchent un emploi ?

Juliette. Persévérer ! Si tu sais ce qui va te donner envie de te lever le matin, il faut foncer. On s’en fiche des craintes des autres et des obstacles supposés sur le chemin. Ça peut prendre quelques semaines, quelques mois, même deux ans. On n’est pas tous égaux. Mais il faut garder espoir et tenir bon.

Et aussi, il faut absolument personnaliser ses candidatures. La plupart des personnes qui cherchent un job se découragent très vite. Elles me disent : « Juliette, j’ai envoyé 50 candidatures sans réponse ». Je leur demande : « OK, mais étaient-elles personnalisées ? ». Non. Alors on se pose, on fait moins de candidatures mais qui sont bien adaptées à l’employeur et au poste. C’est du boulot, certes, mais ça paye ! 

Enfin, une fois la candidature envoyée ou en cours de recrutement, la relance téléphonique fonctionne du tonnerre.

Les gens ne s’attendent pas à ce qu’on les appelle : c’est différenciant. Et si c’est bien fait, cela donne une excellente impression et cela permet de rester à l’esprit du recruteur et d’avoir des réponses qu’on n’aurait pas toujours eu par écrit. 

Salomé. Oui ! J’ajouterai qu’il faut être clair sur ses objectifs. Savoir vers quoi on peut tendre et mettre en place un plan d’action avec des étapes faciles à atteindre. Ces étapes, on peut les écrire sur des posts-its et les afficher au mur pour rester motivé en voyant la prochaine étape.

Pour aller plus loin : 

https://blog.openclassrooms.com/2020/11/19/comment-trouver-un-contrat-dapprentissage-pendant-la-crise-sanitaire/

https://blog.openclassrooms.com/2020/09/04/les-meilleures-plateformes-pour-trouver-une-alternance/

https://blog.openclassrooms.com/2019/10/09/comment-utiliser-linkedin-efficacement-dans-sa-recherche-demploi/

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20 ans après, l’odyssée d’OpenClassrooms 

Par : Nora Leon

C’est l’histoire d’une soif. Soif de comprendre ; soif d’apprendre ; soif de transmettre.

L’histoire d’un bouquin de code écrit vers 1999 dans un jargon incompréhensible, réécrit par M@teo21 pour être compris par toutes et tous.

L’histoire d’une passion pour le développement Web. L’histoire d’un prof en herbe de 13 ans qui démocratisait ce qu’il apprenait en direct.

L’histoire de deux ados qui collaborent à distance pendant des années sur un site, sans encore se rencontrer. L’histoire surtout, de comment il en font quelque chose. 

L’histoire d’un élan. D’une communauté. D’un lieu d’échanges. 

L’histoire d’une petite tribu de personnes déterminées à changer le monde de l’éducation, devenue une grande équipe. 

L’histoire d’une aventure entrepreneuriale avec ses hauts et ses bas, ses changements de caps, ses menues et ses grandes victoires.

L’histoire de milliers de personnes montées en compétences sur des cours et sur des formations diplômantes en ligne. L’histoire de leurs changements de caps et de leurs victoires. L’histoire de vos victoires ?

L’histoire des milliers d’employeurs heureux de les avoir recrutés.

L’histoire ou plutôt l’odyssée, encore en marche, d’une éducation plus accessible.

Et puisque en décembre 2020 cela fait 20 ans que nous rendons l’éducation toujours plus accessible… Cette histoire commune, la voici racontée à plusieurs voix.

🇫🇷

« Y a eu tellement de visiteurs [sur le Site du Zéro] qu’il [Mathieu] a un jour eu un visiteur qui revenait plus souvent, et qui s’appelait Pierre. » 

Michel Nebra, père de Mathieu Nebra 

« Mon objectif premier, c’était le partage. J’aime voir la lueur de compréhension dans le regard des gens »

Mathieu Nebra, co-fondateur d’OpenClassrooms 

« [Mathieu et Pierre] ont une vision enracinée et venant de loin ».

Henri de Castries, Mentor de Pierre Dubuc (co-fondateur d’OpenClassrooms)

« Tu connais l’étudiant par cœur […] et c’est vrai que quand la personne obtient son diplôme, obtient un job à la fin […] cette histoire te touche plus car tu as accompagné l’étudiant ».

Pierre Dubuc, Co-fondateur d’OpenClassrooms

 

🇬🇧

Pour aller plus loin :

Evaluer l’impact d’OpenClassrooms 

 

L’accessibilité chez OpenClassrooms 

Pourquoi et comment OpenClassrooms met à jour ses formations

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Les neurosciences derrière l’éducation en ligne

Par : Nora Leon

Apprendre quelque chose de nouveau comme une langue étrangère, une compétence numérique ou un sport demande de la pratique et de la répétition. Mais pourquoi ?

Dans cet article, nous vous présentons comment les principes des neurosciences peuvent être utilisés pour optimiser l’apprentissage. Cela devrait vous aider à choisir le bon programme de formation à distance mais aussi à organiser vos séances de travail pour favoriser votre réussite.

Apprendre doit devenir une habitude

La mémoire de travail, ou mémoire active, est limitée. On ne peut traiter qu’une certaine quantité d’informations à la fois. C’est pour cela que l’on peut se sentir bloqué mentalement lorsque l’on reçoit trop d’informations d’un coup. Pensez au moment où vous avez appris vous garer en créneau, par exemple : alterner entre l’accélérateur et le frein ; surveiller l’espace par-dessus son épaule et dans les rétroviseurs ; faire attention aux autres voitures et aux obstacles ; manœuvrer le volant à l’envers… Au début, c’est beaucoup à assimiler.

Lorsqu’on apprend quelque chose de nouveau, il se crée des connexions entre nos neurones qui transmettent des idées, des modèles de pensée et des souvenirs. Ces connexions s’activent lorsque nous dormons. Plus nous réfléchissons à un sujet et plus nous répétons des actions, plus les voies neuronales sont solides. Cela permet ensuite à la mémoire à long terme d’accéder aux informations et aux connaissances requises lorsque nous en avons besoin.

Qu’est-ce que cela signifie en termes d’éducation ?

Que la répétition aide à renforcer ces connexions au fil du temps, empêchant les nouvelles idées et les nouvelles habitudes de s’effacer.

Faire du sport régulièrement permet à notre corps de rester en forme et, de la même manière, la répétition consolide les habitudes et le processus d’apprentissage. Plus nous apprenons, mieux nous apprenons.

Stimuler différents sens améliore l’apprentissage

Lorsqu’il s’agit de créer des connexions entre des idées, notre cerveau réagit différemment en fonction des sens qui sont stimulés. Toutes sortes d’apports sensoriels (images, sons, odeurs, sensations ou goûts) peuvent faire naître de nouvelles connexions. Les stimulus sensoriels renforcent la création et la conservation de souvenirs.

Lorsqu’on applique ce concept à l’éducation moderne, les outils numériques peuvent offrir une aide précieuse pour faciliter l’apprentissage, en stimulant différents sens grâce à des vidéos, des quiz, des infographies, des forums en ligne et des sessions de mentorat. Ce genre d’approche dynamique permet un taux de rétention d’information plus élevé. Lorsqu’on choisit son programme d’éducation en ligne, il est essentiel d’opter pour une plateforme qui adopte une approche multi-sensorielle.

Éviter les distractions favorise l’apprentissage

Aujourd’hui, nous sommes confrontés à de trop nombreuses distractions tout au long de la journée et cela peut rendre la concentration difficile. D’après Gallup research, le temps que nous passons à travailler sur une tâche avant d’être interrompus ou de passer à autre chose est d’environ trois minutes.

Le « multitasking » (le fait de faire plusieurs choses en même temps) peut encombrer notre mémoire de travail et entraver notre capacité à retenir de nouvelles informations.

Si quelques interruptions occasionnelles peuvent aider à stimuler la créativité (parler avec un collègue peut par exemple permettre de trouver de nouvelles idées), de trop nombreuses interruptions peuvent en revanche surcharger notre mémoire de travail et ralentir notre progrès.

Voici quelques solutions pour remédier à ce problème :

  • Établissez des espaces de travail définis
  • Planifiez de courtes pauses pour donner du rythme à votre travail
  • Essayez de minimiser les interruptions afin de maximiser votre concentration
  • Mettez votre téléphone portable en mode avion, installez des applications qui bloquent les réseaux sociaux durant votre temps de travail, etc.

Consultez notre cours « Apprendre à apprendre » qui vous aide à cultiver votre capacité d’apprentissage et celle de vos équipes.

Découvrez également nos nombreusesformations en lignede niveau licence ou master qui emploient une approche multi-sensorielle de l’apprentissage.

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En quoi la formation à distance OpenClassrooms est-elle flexible ?

Par : Nora Leon

Jiddu Krishnamurti, le penseur Indien de l’éducation alternative, était convaincu qu’apprendre “devait aider l’individu à mûrir librement”. Et justement, chez OpenClassrooms, tout a été fait pour que chaque personne puisse étudier “librement”, c’est-à-dire selon ses propres modalités d’apprentissage.

Nous aimons dire que les études sur une formation à distance OpenClassrooms sont “flexibles”. Qu’est-ce que cela signifie ? Qu’est-ce que cela change pour vous ? Explications.

Étudier à son rythme

OpenClassrooms permet d’étudier à son rythme. Si vous avez déjà fait des études auparavant, vous avez vu qu’en école et à la faculté, quand un cours est terminé, vous avez soit compris, soit pris du retard. Vous devez nécessairement digérer cette leçon pour la fois suivante.

À l’inverse, sur nos parcours diplômants, vous pouvez revoir le cours autant de fois que vous le souhaitez. Et surtout, prendre autant de temps que nécessaire sur un projet professionnalisant, ces missions pratiques que vous devez réaliser comme si vous étiez déjà en entreprise.

Chaque mission proposée aux étudiants est concrète. Elle apporte des compétences utiles en poste. Donc, nous préférons que vous preniez plus de temps sur l’un de ces exercices qui serait pour vous plus compliqué, afin de bien intégrer ces savoirs.

D’autres missions à l’inverse, seront traitées plus rapidement : en fonction de l’aisance de la personne sur le parcours, elle peut aussi terminer plus vite, et ne paie donc pas les mois restants.

Moduler son temps d’apprentissage

De plus, les études chez OpenClassrooms sont tout-à-fait conciliables avec une vie de famille ou même un emploi à plein ou mi-temps. Les vidéos, cours et projets sont accessibles 7 jours sur 7, ce qui permet à de nombreux étudiants de jongler entre les deux.

Cela signifie que :

  • Chacun peut moduler son temps d’apprentissage : de quelques heures par semaine à un temps plein. L’étudiant paye au mois et peut étirer la durée de sa formation si nécessaire.
  • Et étudier sur les plages horaires qu’on souhaite : le matin, le soir ou pendant les week-ends si besoin.

C’est pratique pour se reconvertir : malgré la contrainte financière, ces études s’adaptent à l’emploi du temps de la vie quotidienne et non l’inverse.

J’ai commencé mon parcours il y a un an et j’ai cumulé grossesse du petit deuxième puis boulot dans une agence pendant 1 mois et maintenant je suis à mon compte tout en essayant de terminer ma formation. C’est pas de la tarte en effet mais c’est possible !” Pauline, étudiante Développeuse Web

Etudier depuis n’importe où

Enfin, les cours et projets sont accessibles depuis n’importe où, avec une bonne connexion Internet.

Cela permet :

  • De se former même depuis la campagne, sans avoir besoin de prendre un second logement dans une grande ville lointaine ;

Je vis à Béziers. J’avais cherché des formations en marketing, mais elles étaient toutes éloignées et j’aurais dû payer cher pour me loger et les transports en présentiel. OpenClassrooms m’a permis de me former depuis chez moi”. Caroline, experte en stratégies marketing freelance diplômée d’OpenClassrooms.

  • D’accéder aux cours même quand on part en vacances, par exemple pendant les fêtes et pendant l’été ; 
  • De continuer ses études même si l’on est amené à déménager dans une autre région ou à l’étranger, par exemple pour suivre son conjoint ; 
  • Ou enfin, de se former depuis l’étranger si on est expatrié.

Chez OpenClassrooms, nous sommes convaincus que chacun peut être heureux au travail. En créant des formations adaptables aux emplois du temps et contraintes de tous, nous avons voulu rendre l’éducation accessible à chaque moment de la vie.

Vous voulez en savoir plus sur nos formations en ligne ? Discutez-en avec nos conseillers pédagogiques.

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Comment OpenClassrooms choisit-elle ses experts ?

Par : Nora Leon

Chez OpenClassrooms, nous mettons une énergie considérable dans le choix de nos intervenants sur les cours.

Charlène, Instructional Design Manager chez OpenClassrooms, nous en dit plus sur le processus de recrutement de ces experts qui créent chaque année plusieurs centaines de cours gratuits à distance et en ligne sur OpenClassrooms.

Une particularité de notre pédagogie

Un cours à distance et 100% en ligne requiert des intervenants encore plus clairs que dans un cours en présentiel. L’expert ne répète pas, il faut donc que tout soit limpide en visionnant la vidéo et en lisant le texte. La technicité est cruciale, car elle permet de proposer des connaissances à jour et pointues.

Nous ne prenons pas d’acteurs, au contraire d’autres écoles en ligne, car nous souhaitons que les étudiants se reconnaissent dans ces professionnels, les prennent comme modèles. Cela garantit aussi la variété dans les cours, qui sont créés par des personnalités. Alors, qui sont ces professionnels ?

Une diversité d’experts

En ce qui concerne le choix des experts qui dispensent des savoirs théoriques sur la plateforme, l’enjeu est double :

  • Proposer les cours les plus qualitatifs possibles, à la pointe techniquement et pédagogiques ;
  • Et mettre en avant des modèles professionnels dans lesquels les étudiants peuvent se projeter pour guider leur carrière.

En ce qui concerne la technicité des personnes recrutées, nous faisons attention à choisir des experts en activité. Charlène le précise :

Nos experts sont en fait des professionnels, et pas des professeurs.

Nous voulons qu’ils exercent pour être encore aux prises avec l’actualité de la profession, qu’ils connaissent parfaitement les outils et les tendances actuelles du métier… Bref, qu’ils soient imprégnés d’une réelle vision terrain. Ensuite, nous ajoutons notre pédagogie à leur expertise pour que les cours soient compréhensibles. Mais la matière première, c’est l’expérience professionnelle fraîche”.

Chaque professeur est sélectionné pour son expertise, sur un cours précis. C’est la raison pour laquelle au sein d’une formation diplômante, on trouve plusieurs experts.

S’engager à prendre la personne la plus compétente sur chaque sujet garantit la qualité des cours.

Ensuite, nous constituons l’ensemble des professionnels qui enseignent, en gardant en mémoire que les étudiants y voient des modèles. Nous diversifions les profils en termes d’âges, de genres, et d’origines géographique et ethnique.

“Nous avons pris cette décision notamment car nous nous sommes rendus compte que les formations de code où il y avait plus d’étudiantes étaient celles où des femmes enseignaient.

Donc, nous essayons de représenter la diversité des professionnels dans toutes les spécialités, en particulier celles qui sont a priori encore masculines. Par exemple, Olga et Emily enseignent le code en anglais sur de nombreux cours”, assure Charlène.

Et ces deux éléments, qualité et diversité, justifient que nous fassions venir les meilleurs professeurs de loin. Par exemple, pour un cours en anglais sur .NET, nous avons fait venir des États-Unis John Altenbernd, qui est senior software engineer et a 20 ans d’expérience. Nous avons des professeurs des quatre coins du monde, et notamment des États-Unis, du Royaume-Uni, de Belgique et de Suisse. À part pour le tournage des vidéos, ils travaillent à distance.

Des critères fermes

Trois critères d’importance égale entrent en compte pour choisir les intervenants. Pour garantir l’impartialité, ils sont validés par trois équipes différentes, affirme Charlène.

1- L’expertise technique. Elle est vérifiée par le responsable de filière au fil de discussions avec le professionnel, au travers de son CV. Nous ajoutons parfois des tests techniques à ces process.

2- La volonté de transmettre. Nos experts ne sont pas a priori des professeurs, donc nous n’exigeons pas d’eux qu’ils aient de bonnes bases en pédagogie. Par contre, nous voulons qu’ils aient envie de vulgariser leur savoir, et qu’ils sachent expliquer même les notions complexes. Pour s’en assurer, nos ingénieurs pédagogiques discutent avec eux et leurs demandent d’expliquer quelques notions complexes pour voir s’ils arrivent à les rendre accessibles pour un débutant.

3- L’aisance face à la caméra. Nous faisons enfin faire 5 vidéos de test à distance aux futurs experts, et nous les testons aussi au sein de nos studios avec nos réalisateurs. Les principaux critères sont le fait d’être passionné par sa matière et de la transmettre, de s’exprimer clairement… Bien sûr, du media training est prévu pour chaque personne qui réalise un cours, mais nous devons sentir le “potentiel face caméra”. Et malheureusement, de nombreux candidats qui ont passé les deux premiers filtres échouent à l’épreuve de la caméra.

Pour nous, trouver un expert est complexe. Ces critères sont non négociables. Nous sommes convaincus que c’est à ce prix que nos formations resteront de qualité”.

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OpenClassrooms est certifié Organisme de formation

Le monde du recrutement est en ébullition ! Tout bouge et les profils des candidats s’étoffent de nombreuses compétences particulières qui viennent compléter les diplômes plus  » classiques « .

Cependant nous tenons à préciser qu’OpenClassrooms est bien reconnu officiellement comme un organisme de formation, c’est à dire « toute personne qui réalise des prestations de formation professionnelle continue au sens de l’article L6313-1 C ».

Comme tout diplôme, au delà de sa valeur intrinsèque, la « valeur » d’une certification obtenue sur OpenClassrooms est également celle que lui attribue les recruteurs… et les certifiés ! OpenClassrooms travaille donc au quotidien pour faire connaître les MOOCs, pour créer des partenariats avec des institutions et des entreprises reconnues, et convaincre les acteurs du marché du travail que suivre un MOOC dans son intégralité et jusqu’à sa certification requiert de la discipline, de la rigueur et démontre une véritable motivation. Ce sont ces savoir-être, parfois plus que les savoir-faire, qui font pencher la balance dans les recrutements.

Plusieurs études sont conduits à ce sujet comme par exemple celle menée en début d’année 2014 par RTI international et Duke University dont vous pouvez trouver le compte rendu ici.

On en profite pour vous dire que si vous avez obtenu une certification d’un MOOC, vous pouvez désormais l’ajouter sur votre profil LinkedIn

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Pourquoi apprendre par la pratique ?

Si vous nous lisez régulièrement, ou si vous suivez un parcours de formation chez OpenClassrooms, vous l’aurez compris : chez nous, vous n’êtes plus à l’école.

Vous souhaitez apprendre un nouveau métier ? Au lieu de mémoriser des notions et viser la moyenne pour obtenir votre diplôme, nous avons décidé de changer de perspective et de vous proposer des formations réellement professionnalisantes.

Nous y croyons dur comme fer : l’apprentissage par la pratique est non seulement plus stimulant, mais aussi plus efficace. Ainsi, nous avons tout misé sur des formations exigeantes et axées sur l’action. Envie de savoir comment ça marche ? Vous saurez tout.

 

Une approche différente de l’apprentissage

 

Beaucoup de formations en ligne se présentent sous forme de cours, avec des notions et des documents à mémoriser, et des tests d’évaluation. Cette méthode, scolaire par excellence, permet d’engranger des connaissances théoriques. Mais,  nous en sommes persuadés, il faut pouvoir se frotter à l’exercice pour affronter sereinement vos premières expériences professionnelles.

« Chez OpenClassrooms, nous voulons former des étudiants pour qu’ils soient prêts à affronter le monde du travail. Alors, pour créer une expérience d’apprentissage en ligne efficace et motivante, nous sommes repartis de zéro.

Nous nous sommes mis dans la peau d’un recruteur, puis dans celle du candidat. Une entreprise recherche des professionnels avec de l’expérience et des compétences précises ; et un candidat a besoin de prouver ses capacités pour décrocher un job.

Notre conclusion : les compétences ne s’obtiennent pas seulement en regardant des vidéos (ou bien : en consommant du contenu), en apprenant par cœur ou en remplissant des tests, mais bien en appliquant immédiatement ce que l’on apprend, en se posant les bonnes questions et en échangeant avec des professionnels qui exercent déjà le métier » explique Charlène Friang, qui manage nos ingénieurs pédagogiques chargés des parcours de formation.

Les parcours d’OpenClassrooms ne ressemblent en rien à ce que vous avez connu à l’école. Oubliez les heures passées au fond de la classe à prendre des notes, les révisions compliquées, les examens. Ici, tout commence par la pratique.

 

La pratique d’abord

 

Toutes nos formations sont conçues par les ingénieurs pédagogiques d’OpenClassrooms, en collaboration avec des experts.

Elles se développent autour d’une série de projets, dont la difficulté est progressive. C’est la réalisation de ces projets qui vous permet d’acquérir les compétences nécessaires (techniques mais aussi interpersonnelles) pour exercer votre nouveau métier.

« Nos étudiants ne vont pas apprendre des notions : on leur demande d’abord et avant tout de “faire”. En se mettant en action, ils commencent à rencontrer des obstacles, à se poser des questions et à échanger avec leur mentor, qui est présent pour les guider et les conseiller.

Les projets sont des reconstitutions de scénarios professionnels, réalistes et techniques. Quelques exemples de projet selon les parcours : la réalisation d’un site internet, la conception d’une application, la préparation d’un budget prévisionnel, la création d’un plan marketing… Pour valider chaque projet, l’étudiant produit un livrable et présente son travail lors d’une soutenance » explique Charlène. « Pour aider l’étudiant, le rôle du mentor est primordial et assure le bon déroulement du parcours » poursuit-elle.

Cette pédagogie par projet est un parti pris essentiel dans la conception des formations chez OpenClassrooms. Pour réussir et apprendre, l’étudiant est amené à faire ses propres recherches, à se confronter à un client (hypothétique), et à travailler dans un contexte donné, avec des contraintes et des besoins définis.

« Nous fournissons bien sûr aux étudiants des cours théoriques, mais ils sont libres de s’en servir ou pas. L’apprentissage de ces ressources n’est pas obligatoire et encore moins noté. Nous les considérons comme un support intéressant au regard d’une mise en pratique rapide » précise Charlène.

 

Les avantages d’apprendre par la pratique

 

Apprendre par la pratique, en se confrontant rapidement à l’exercice, comporte des bénéfices certains sur le court et moyen terme. Quels sont les plus importants?

« Chez OpenClassrooms, l’apprentissage est précis et sélectionné. Vous n’apprenez rien d’inutile. Au contraire, vous gagnez du temps, puisque nos formations sont réalisables en un an (contre trois à cinq ans à l’université). Cela est possible car les projets permettent de rentrer dans le vif du sujet sans s’attarder sur la théorie » explique Charlène.

La durée de réalisation des projets est flexible, pour vous permettre d’apprendre à votre rythme. Et, plus important encore, vous avez le droit à l’erreur : en faisant l’expérience d’un métier, vous rencontrerez tout naturellement des obstacles et des difficultés. Si une soutenance n’est pas validée, pas d’inquiétude, vous pouvez recommencer.

« Nos formations sont très exigeantes. En effet, les projets vous obligent à mobiliser plein de ressources. En même temps, vous développez une forte autonomie et cultivez l’art… de la persévérance » conclut-elle.

Cerise sur la gâteau, l’expertise intégrée durant votre période de formation est facilement valorisable une fois que vous passez vos entretiens d’embauche. Les livrables produits constituent votre portfolio, et le recruteur dispose d’une preuve tangible de vos acquis. Ainsi, votre employabilité augmente considérablement.

 

Prêt à embarquer? Si notre méthode vous tente, vous savez ce qu’il vous reste à faire : choisissez le parcours qui est fait pour vous, changez de métier, changez de vie.

En savoir plus sur la pédagogie par projet

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Comment vous mettre en valeur auprès d’un recruteur suite à votre formation OpenClassrooms ?

Par : Nora Leon

« Les recruteurs préfèrent les diplômés d’écoles », « je ne sais pas comment prouver mes qualifications »,  « on ne va pas m’inviter en entretien car les recruteurs ne valorisent pas les formations en ligne »… 

Pause.

Levons cette inquiétude récurrente de se faire souffler un poste par un étudiant du circuit « traditionnel ». Ceux qui sortent d’école de commerce, d’ingénieur, ou ont fait 3 à 5 ans de Fac. Qui seraient plus qualifiés et favorisés auprès des recruteurs.

Effectivement, les formations ‘canoniques’ sont appréciées. Une belle école, une fac prestigieuse permettent souvent de faire jouer son réseau pour arriver en entretien, et peuvent faire pencher favorablement la balance.

Cela étant dit, les étudiants OpenClassrooms ont plus d’une corde à leur arc pour gagner des points en entretien. Voici les ressources que vous ignorez peut-être, qui devraient pourtant vous aider à convaincre votre futur patron.

1- Votre motivation et ténacité sont des forces

Qu’on se le dise, étudier en ligne n’est pas un jeu d’enfant. Cela requiert une volonté de fer. À l’heure des réseaux sociaux, de YouTube ou de Netflix, les tentations de procrastiner ne manquent pas.

Or, pour réussir une formation en ligne sur OpenClassrooms, vous devez rendre des livrables de qualité. Apprendre les techniques à la pointe de votre métier. Défendre votre travail face à des experts. Travailler en groupe. Tout cela demande un investissement important et de la détermination.

La bonne pratique :

Rappelez à votre recruteur qu’étudier en ligne demande de la ténacité. Par exemple en lui expliquant : “cela n’a pas été facile tous les jours, mais je me suis fixé un objectif et je m’y suis tenu”.

Cela mettra en perspective :
– À quel point votre projet est réfléchi (je sais que je veux faire cela, j’ai éprouvé la pratique)
– Et à quel point il est abouti (je me donne les moyens de mes ambitions en tenant bon).

Or, la motivation et la persévérance sont deux qualités rares et recherchées par les entreprises.

2 — Vous avez des compétences directement opérationnelles

Rien de nouveau sous le soleil, les recruteurs recherchent des personnes prêtes à assumer leurs missions vite et bien.

Comme vous avez appris votre métier sur des projets professionnalisants, vous avez fait vos armes votre prendre votre poste. Cela ne veut pas dire que vous savez déjà tout. Mais au moins, comme vous vous êtes déjà frotté à la plupart des missions, vous serez agile.

Et, cerise sur le gâteau, vous avez eu un aperçu concret du métier à travers l’expérience de votre mentor. Cela vous a montré les bonnes pratiques en entreprise, l’attitude à adopter, la ‘culture’ au sein de votre profession. Vous vous adapterez donc mieux.

La bonne pratique :

Expliquez, portfolio papier à l’appui, que vous avez appris par la pratique. Vos livrables parleront d’eux-mêmes. Ils prouveront que vous avez des compétences directement applicables.

Cet atout qui fera passer devant de nombreux autres diplômés. Lorsque le recruteur vous demandera si vous savez faire telle ou telle chose, prouvez-le par ces expériences.

3 Votre proactivité, autonomie et esprit orienté “solutions” sont des atouts

Le mentor n’est pas tenu de répondre quotidiennement parce que l’autonomie imposée aux étudiants est un outil pédagogique.

Puisque vous travaillez presque seul tout au long de votre parcours, vous apprenez à chercher. À trouver des ressources sur Internet, consulter les bonnes docs, revoir votre cours, partager de bonnes pratiques avec vos pairs.

Et justement, prouver que l’on sait résoudre des problèmes de manière autonome, c’est de l’or en barre en entretien. Le recruteur voit que vous avez l’habitude de trouver des solutions. Que vous n’allez pas solliciter ses équipes en permanence pour des broutilles. Cela vous donne un avantage sur la plupart des jeunes diplômés qu’il faut prendre par la main.

La bonne pratique :

Glissez au cours de l’entretien que vous avez surmonté telle ou telle difficulté en toute autonomie, en ayant recours à telles ressources.

Expliquez aussi que la proactivité qu’on impose chez OpenClassrooms fait partie de la méthode pédagogique visant à vous apprendre à résoudre des problèmes.

4 — Vous savez construire, organiser et défendre un projet

Voici un autre atout de taille : gérer un projet de A à Z, en autonomie et en équipe. Les étudiants d’école l’apprennent dans les associations. Et vous, en travaillant petit à petit sur vos projets. Voici quelques compétences que vous avez forcément développées chez OpenClassrooms. Elles sont très remarquées dans le cadre d’un recrutement.

  • Évaluer les enjeux d’un projet pour y répondre au mieux
  • Prendre de la hauteur pour le découper en étapes, et vous organiser
  • Vous fixer un temps pour chaque étape et le respecter
  • Travailler en équipe
  • Présenter vos résultats et gagner l’adhésion d’un professionnel à leur sujet, vous exprimer à l’oral devant un public.

La bonne pratique :

Racontez au recruteur la manière dont les projets structurent les études chez OpenClassrooms. Et surtout, pour justifier vos compétences, retracez un projet concret qui vous a permis d’en acquérir. Cela montrera que vos savoirs sont réels.

5 — Vous apprenez tous les jours

La formation OpenClassrooms vous a prouvé que vous pouvez apprendre ce que vous voulez quand vous le voulez (en particulier si vous vous êtes reconverti et/ou ne pensiez pas en être capable). C’est une force !

Vous avez mis votre cerveau dans une démarche d’apprentissage constant. Appris comment choisir les bonnes ressources, et continuer à vous former. C’est indispensable dans presque tous les métiers, et donc un avantage fort.

La bonne pratique :

Montrez à votre recruteur que vous êtes conscient de devoir vous former tout au long de la vie, et mieux encore, lui dire quelles ressources vous utilisez à l’heure actuelle pour le faire sur telle ou telle compétence.

Lui demander si l’entreprise propose des formations et du peer-learning. Lui dire que vous voulez monter en compétences sur tel savoir-faire, et lui proposer un plan d’action.

____

“Mais en fait, j’ai de nombreuses qualités recherchées et rares sur le marché de l’emploi !”

À la bonne heure, on préfère entendre cela… Effectivement, étudier en ligne vous a appris la débrouillardise, le caractère infini de l’apprentissage et comment travailler de manière autonome.

Et cela fait de vous un haut potentiel dans le monde du travail. Alors n’en doutez jamais, et haut-les-cœurs pour les entretiens.

____

Vous voulez entretenir ces qualités ? 

(Re) suivez ces trois cours, utiles à toutes les étapes de votre vie professionnelle.

Prenez la parole en public par Laurène Castor et Stéphane Bonneville.

Apprenez à apprendre de Guillaume Parrou.

– Initiez-vous à la gestion de projet agile de projet agile d’Arnaud Lissajoux.

 

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Chez OpenClassrooms, nous donnons confiance aux femmes pour travailler dans la tech

Par : Nora Leon

16%. C’est le ratio de femmes qui exercent des métiers dans la tech. Chez OpenClassrooms, nous sommes fiers d’aider des milliers de femmes à se former ou changer de carrière dans un métier du numérique. De les aider à embrasser la carrière qu’elles souhaitent, quel que soit le ratio de femmes dans leur spécialité. Elles sont nos pionnières, et elles nous aident à prouver qu’aucun métier de la tech ne restera majoritairement masculin.

À l’occasion de la journée internationale des droits des femmes, nous voulions mettre en avant les femmes extraordinaires de notre communauté. Des femmes qui étudient ou enseignent, aux multiples talents, qui sont souvent à la fois des professionnelles aguerries, des mères, et des passionnées.

 

Véronica est diplômée du parcours développement front-end



Véronica n’avait jamais écrit une ligne de code avant de commencer le programme développeur front-end. En moins d’un an, elle a obtenu son diplôme et trouvé un emploi dans une jeune entreprise prometteuse.

Ce n’est pas parce que vous n’avez jamais écrit une ligne de code que vous ne serez pas excellente dans ce domaine.

 

Anaïs étudie le développement web en alternance



Anaïs a suivi le chemin de son coinjoint, passé de l’armée à Tech Lead et formé sur OpenClassrooms. Curieuse, elle a suivi plus de 50 cours en ligne pendant sa grossesse, jusqu’à s’inscrire en alternance au parcours développement web junior.

Maman et développeuse passionnée, elle mène avec courage et ambition sa reconversion professionnelle. Quelle niaque !

On se dit qu’il faut des diplômes, qu’il faut un cerveau configuré pour apprendre… Et en fait, non. Cela vient petit à petit. Quand on fait une reconversion professionnelle, on est plutôt fiers de le mettre en avant. Fiers de dire, ‘moi j’étais peintre en bâtiment, j’étais cavalière, j’étais caissière, et aujourd’hui, je suis votre égale’.

 

Emily enseigne le développement web

 

Emily a étudié l’art et l’architecture à la faculté, mais elle s’est formée en autodidacte en développement lorsqu’elle a vu à quel point la tech et les arts étaient complémentaires. Elle adore aider chacun à faire le même changement de carrière qu’elle.

Suivez ses cours en développement sur OpenClassrooms !

Réalisez des sites modernes et beaux grâce à WordPress
Introduction à JQuery
Testez l’interface de votre site

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Oser sauter le pas 

 

Ce n’est un secret pour personne que la gent féminine est encore sous-représentée dans les métiers de la Tech. La moitié des startups en Tech n’a pas de femmes dans ses équipes dirigeantes. 60% de ces entreprises n’ont pas de femmes dans leur conseil d’administration.  Dans les dernières années, des femmes ont obtenu seulement 17% des postes chez Google, 15% chez Facebook et 10% chez Twitter au niveau international. 16% seulement des professionnels du numérique en sont des femmes. Leur absence est due à une pénurie de talents notamment féminins, dans le secteur.

Pourquoi les femmes n’osent-elles parfois pas se lancer dans des carrières tech ?

Lorsqu’elles le font, elles occupent pourtant parmi les postes les plus prestigieux.

La diversité au travail crée des organisations plus créatives et productives. Nous sommes déterminés à rendre les carrières dans les métiers du numérique attrayantes et accessibles à toutes.

Ne vous fixez pas de limite. Exercez le métier qui vous plaît. Devenez l’une des prochaines professionnelles talentueuses de la tech.

Belle journée internationale des droits des femmes !

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Développement front, back, iOS, mobile : comment choisir ?

Dans le monde mystérieux du développement web, il y a parfois certaines subtilités qu’il est difficile de comprendre, même quand on pense s’y connaître un peu. Or, les missions de développement sont de plus en plus demandées sur le marché du travail quelque soit le secteur d’activité. Faisons un tour d’horizon pour clarifier certaines choses et vous aider à choisir la bonne formation.

 

Développement Web

 

Un étudiant qui souhaite se lancer dans l’apprentissage du développement doit d’abord arbitrer entre le développement web d’une part et le développement mobile d’autre part, car ces deux options requièrent des savoirs et des langages différents.

Chez OpenClassrooms, nous proposons une formation de Développeur web junior. La formation de six mois délivre un diplôme de niveau équivalent à bac +2.

Clara Corazza est responsable des parcours Code et Design chez Openclassrooms et selon elle, cette formation est « un parcours simplifié qui permet d’être employable rapidement. Ce parcours ne permet pas de développer des applications complètes mais les étudiants sont ensuite capables de réaliser un site web et un portfolio de projets. Au cours des six mois, nous faisons un tour d’horizon des langages les plus faciles à appréhender pour des débutants ».

Aucun pré-requis autre que d’avoir un ordinateur en bon état de marche avec micro et caméra n’est exigé pour postuler à la formation. « Lors du 1er cours, on explique le web pour les personnes qui n’ont jamais utilisé de bureautique et qui débutent complètement » raconte Clara. La formation peut se suffire à elle-même et peut aussi constituer une base d’introduction pour les autres formations plus spécialisées.

Concernant le choix du langage web que l’on souhaite apprendre, Clara explique :

« Le langage que l’on choisit d’apprendre et d’utiliser dépend essentiellement de la géographie de l’employabilité. Tous les types d’entreprises n’utilisent pas le même langage. Par exemple, le langage Python s’applique beaucoup en Espagne, aux Etats-Unis ; le langage Java s’utilise quasiment exclusivement au sein de groupes industriels comme Capgemini ; PHP est un langage français donc essentiellement utilisé en France ».

 

Versus développement mobile

 

Pour le développement mobile, le choix s’opère entre le langage iOS et le langage Android. Apple & Google étant concurrents, ils utilisent deux langages très différents. Le développeur doit donc choisir en fonction de la plateforme sur lequel il préfère développer. Clara Corazza précise :

« Les développeurs sur iOS sont un peu mieux payés mais il n’y a pas forcément plus de débouchés que pour Android ».

Chez OpenClassrooms, les deux formations mobiles développeur iOS et développeur android durent un an et délivrent le même diplôme à la fin, qui est l’équivalent d’un bac +3.

Le seul prérequis pour iOS est de posséder un mac puisqu’Apple a fait en sorte que ce soit impossible de coder iOS en dehors de mac. Critère non négligeable à bien avoir en tête s’il on souhaite se lancer sur iOS.

 

Développement front-end

 

Si vos faveurs se sont portées sur le développement web, vous devrez procéder à un deuxième arbitrage : développement front ou back ?

Le développement front-end consiste à réaliser des façades de sites web, c’est-à-dire ce que l’on voit nous sur nos écrans sans forcément comprendre la logique qu’il y a derrière. Selon Clara, ce sont des compétences abordables, que l’on peut même apprendre en autodidacte, et avec lesquelles il est possible de se débrouiller rapidement.

« Le développement front est un métier gratifiant car on voit rapidement des résultats, dès le début on est capable d’accomplir de belles choses. On peut rapidement présenter ses projets au client et ce qu’on fait est compris par tout le monde car ce sont des sites avec des interfaces graphiques. Ce job est adapté aux personnes qui aiment construire quelque chose et avoir des résultats ». 

À noter aussi qu’il y a beaucoup plus d’offres d’emploi en front-end que dans le développement mobile et généralement ce sont des CDI.

 

Développement back-end

 

De l’autre côté de l’écran, il y a le développeur back-end, qui maîtrise la logique qui se cache derrière chaque site web.

Pour Clara, le développement back-end est un métier essentiel.

« En back, le développeur échafaude la structure sur laquelle tous les sites web et internet se reposent. C’est un travail de logique, de puzzle, très gratifiant pour les personnes qui aiment résoudre des problèmes mais généralement moins bien compris par le grand public car quasiment invisible. Le développeur back apporte des solutions qui sont cachées alors que c’est le travail de design du développeur front qui permettra de les faire apparaître. »

En entreprise, back et front travaillent généralement en binôme. C’est le chef de projet qui fait la liaison entre ces deux personnes et les besoins qui sont recueillis par les clients ou les équipes.

Regardez le Facebook Live où Clara répond à de nombreuses questions sur nos parcours diplômants en développement.

Pour en savoir plus, contactez aussi nos conseillers pédagogiques et parlez-leur de votre projet !

C’est gratuit, et cela vous aidera à vous décider pour la spécialité la plus adaptée pour vous.

 

À propos d’Aglaé : 

Aglaé est auteur-rédacteur. Elle a fondé Word Shaper, une agence créative qui propose des services d’écriture, de consulting et de conception.

 

 

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Chez OpenClassrooms, vous n’êtes jamais seul

Vous aimeriez compléter votre formation ou bien changer de métier grâce aux parcours diplômants d’OpenClassrooms. Seulement voilà, vous craignez vous retrouver seul face à un écran, aux prises avec un programme intense. Les études en ligne, cela vous paraît compliqué : comment faire sans les blagues entre camarades, les pots après les cours et les groupes d’études ?

Rassurez-vous, la solitude n’est pas une fatalité lorsqu’on étudie en ligne. Avec notre formule Premium Plus, vous êtes accompagné par un mentor et disposez de nombreux outils pour échanger et travailler avec les autres étudiants. Envie d’en savoir plus ? Cet article est fait pour vous.

 

De l’importance d’avoir un mentor

 

Nos étudiants sont unanimes : l’encadrement du mentor est le premier avantage d’un parcours Premium Plus. C’est avec lui que vous échangerez chaque semaine, en visioconférence.

Valentin Perello suit depuis un an une formation en gestion de projets en développement. Il nous partage son expérience :

« L’accompagnement du mentor est primordial pour moi : il est là pour nous guider et nous épauler. C’est tellement rassurant de pouvoir poser des questions et de se faire aider quand on est coincé ! Surtout si on ne connaît pas encore bien toutes les facettes d’un métier » confie-t-il.  

 

Workplace : aussi simple qu’un réseau social

 

Workplace est la plateformese retrouvent étudiants et mentors d’OpenClassrooms.

Elle s’organise autour de plusieurs blocs, comme sur Facebook : le fil d’actualité (pour suivre tous les posts partagés), les groupes (un pour chaque formation et d’autres sur des sujets généraux) et la messagerie instantanée (pour contacter quelqu’un en privé).

« Utiliser Workplace est le meilleur moyen pour intégrer la communauté d’OpenClassrooms. Quand on commence un parcours en ligne, on est souvent un peu perdu et on ressent le besoin de se connecter avec les autres étudiants. Workplace, c’est un lieu d’échange fluide et très utile, qui donne la possibilité d’échanger avec les autres, de poser des questions. C’est également l’endroit idéal pour initier les projets communs et rechercher ses futurs partenaires » explique Valentin.

 

Coworkings et parrainages : l’occasion de rencontrer vos camarades

 

Pour travailler en compagnie (et ne pas sacrifier votre vie sociale pendant vos études en ligne), plusieurs solutions s’offrent à vous :

  • Participez aux sessions de coworking organisées régulièrement par OpenClassrooms dans chaque région. Voilà une bonne occasion de rencontrer et de travailler avec les étudiants qui habitent dans la même zone géographique que vous.
  • Rejoignez les groupes de travail organisés par les étudiants eux-mêmes. N’hésitez pas à lancer l’initiative et à réunir vos camarades pour une session.
  • Utilisez le Discord pour échanger en live. Il s’agit d’une application qui regroupe des salons de chat, c’est-à-dire des groupes de discussions, un peu à la façon de Skype. Cette application est gérée par les étudiants, en toute autonomie par rapport à OpenClassrooms. C’est un peu leur jardin secret.

« J’habite dans la région Rhône-Alpes-Auvergne et j’ai participé une fois à un coworking sur Lyon : l’ambiance était très sympa. En revanche, le temps de trajet était un peu long pour moi. J’ai alors demandé à être parrainé par un étudiant plus avancé que moi et j’ai eu la chance de tomber sur quelqu’un qui habite dans ma région. On s’est rencontrés plusieurs fois et on a échangé via webcam. Cela a vraiment fait la différence pour moi, et m’a donné envie de devenir parrain à mon tour » conclue Valentin.

Son conseil pour une expérience d’apprentissage réussie?

« Sortez de votre zone de confort pour partir à la rencontre de la communauté d’étudiants d’OpenClassrooms, tisser des liens avec de futurs collaborateurs et tirer le meilleur des outils à votre disposition ! »

Pour aller plus loin, lisez :

Notre article qui vous présente Workplace
Notre article qui présente notre pédagogie
Et faites un tour sur notre page parcours.

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Maxime, community manager en devenir

Maxime a 24 ans et il vient de terminer avec succès la formation de Community Manager d’un an avec OpenClassrooms.

Ravi de s’être lancé, il est satisfait de son expérience et a le sentiment d’avoir aujourd’hui toutes les compétences pour s’intégrer en entreprise.

 

Initialement, quel a été ton parcours universitaire ?

 

J’ai suivi un cursus assez traditionnel, j’ai obtenu une BAC STG option comptabilité puis j’ai poursuivi avec un BTS Management des unités commerciales. Et ensuite j’ai décidé de faire une coupure pour me consacrer à d’autres activités.

 

As-tu eu des expériences professionnelles avant ta formation OpenClassrooms ?

 

Avant ma reconversion, j’ai travaillé comme conseiller de vente dans un Apple Store. J’ai toujours été fasciné par cette marque et je n’avais pas l’envie à ce moment-là de reprendre mes études.

 

Qu’est-ce qui t’a donné envie de te former à nouveau ?

 

J’avais fait le tour en tant que conseiller de vente chez Apple.

J’avais envie de changer de vie et de reprendre mes études car le domaine du Community Management m’a toujours intéressé. En réfléchissant à l’avenir, je me suis dit qu’avoir des compétences digitales me permettrait de trouver un emploi intéressant.

 

Comment as-tu découvert OpenClassrooms ?

 

J’ai découvert OpenClassrooms en faisant des recherches. J’étais prêt à retourner à la fac, je cherchais une école mais en me renseignant j’ai appris que la formation OpenClassrooms s’effectuait en ligne et pas dans une salle de classe traditionnelle.  

Au départ, j’étais réticent car l’offre semblait presque trop belle, je n’y croyais pas : une formation en e-learning, rapide et de qualité ? Finalement, j’ai apprécié le concept, je me suis familiarisé avec la procédure et je me suis dit que c’était un bon format pour moi. Je n’ai pas été déçu !

Ce que j’ai beaucoup aimé dans la formation, c’est le côté professionnalisant et pas si scolaire.

L’approche est totalement différente des autres formations. Openclassrooms privilégie la compréhension globale de l’étudiant pour qu’il valide de manière optimale ses projets pas à pas.

J’ai aussi beaucoup apprécié le mentorat. C’est une approche différente du professeur traditionnel, le mentor est là en tant que soutien lorsqu’on a une interrogation. C’est une  relation très amicale et enrichissante tout au long de la formation.

 

Quelles sont les compétences que tu as acquises ?

 

Durant le parcours, j’ai appris l’assiduité, l’autonomie et l’esprit d’équipe.

J’ai été formé à la gestion de projet, au marketing digital, au marketing pur, aux réseaux sociaux.

J’ai découvert avec la formation que le Community management était un domaine vaste et qu’il y avait énormément d’opportunités à l’arrivée. On peut travailler comme Community manager, social media manager, les demandes sont diverses. La formation est pluridisciplinaire, très complète, et donc on n’est pas cantonné ensuite à un seul métier.

 

Est-ce que tu as eu des projets de mise en pratique ?

 

Oui, il y a plusieurs projets concrets et donc plus pratiques à valider. Par exemple, le 5ème projet de la formation, au cours duquel nous devions venir en aide à une association grâce à nos compétences digitales.

Ça n’a pas toujours été simple, mais avec du recul, cela m’a permis d’apprendre encore d’autres choses, comme être capable de s’adapter.

J’avais réalisé une bonne partie des livrables pour une personne qui souhaitait réaliser une campagne de dons pour financer une exposition d’art, quand elle a finalement décidé de ne plus collaborer avec moi. J’ai dû rester positif et me motiver pour chercher une autre association et recommencer le projet à zéro. C’est dans ce type de contexte que l’on doit se montrer persévérant ! Au final, j’ai aidé l’association EasyRaideuses, en faisant une partie de leur community management pour promouvoir leur activité.

Il y a aussi un projet d’équipe, qui permet d’apprendre à déléguer les missions et à scinder le travail entre les collaborateurs. Là encore, au début et à la fin de chaque projet, les mentors sont bienveillants avec les étudiants. Ils nous orientent, nous encouragent et nous donnent les axes d’améliorations possibles.

 

Quels sont tes conseils aux personnes qui souhaitent se reconvertir ou se former mais n’osent pas sauter le pas ?

 

Je leur donnerais comme conseil de vraiment prendre cette opportunité comme une occasion de changer de vie.

Il ne faut pas de pré-requis ou de diplôme quelconque pour accéder à cette formation, l’apprentissage se fait pas à pas avec les cours en ligne. Il faut néanmoins être très autonome et investi pour réussir avec brio la formation, mais comme c’est une approche professionnalisante, on se prend vite au jeu.

 

Envie de suivre la formation Community Manager ? Par ici !

 

 

À lire sur le même sujet : 

 

[ Le community management par Amandine Gleyzes de Doctissimo
Les meilleurs outils de veille social media ]

 

À propos d’Aglaé : 

Aglaé est auteur-rédacteur. Elle a fondé Word Shaper, une agence créative qui propose des services d’écriture, de consulting et de conception.

 

 

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6 conseils pour réussir vos études en ligne

Par : Nora Leon

 

Réaliser des études en ligne demande beaucoup de motivation, de régularité et d’auto-discipline. Et c’est tout à fait possible !

Bien évidemment, votre motivation initiale est essentielle. Chacun en est capable avec de la volonté, mais il faut apprendre à croire en vous. Nous avons tous des hauts et des bas. Nous rencontrons tous des difficultés et nous avons parfois besoin d’aide. C’est pourquoi nous avons décidé de dresser une liste de 6 conseils utiles qui peuvent vous aider à réussir vos études en ligne.

Michael Holmes est diplômé d’un parcours en développement d’OpenClassrooms. C’est un membre très actif de notre communauté et il a aidé d’autres personnes qui avaient du mal à se motiver. Aujourd’hui, il partage ses meilleures astuces avec vous.

Alors Michael… Comment réussir ses études en ligne ?

 

1 — Fixez-vous des objectifs moins hauts

 

On ne le dira jamais assez : il faut se fixer des objectifs.

Au début de chaque semaine, je me fixe un objectif principal à accomplir d’ici la fin de la semaine. Je l’écris sur un papier que je place à un endroit où je le vois tous les jours.

 

C’est bien de se fixer un objectif hebdomadaire, mais ce n’est pas suffisant.

 

Chaque matin, je prends quelques minutes pour évaluer ma situation. Qu’est-ce que je veux accomplir aujourd’hui ? Il est important que cet objectif soit raisonnable. Ne visez pas trop haut car si vous rencontrez un problème ou que vous vous retrouvez coincé parce que vous avez été trop ambitieux, vous serez déçu et cela sera très démotivant.

Ces petits objectifs vous aident à rester sur la bonne voie et vous permettent d’évaluer rapidement votre progrès. Si vous n’avez pas de petits objectifs, seulement celui de terminer le parcours, il vous sera très difficile de mesurer votre progrès et vous ne vous rendrez pas compte de ce que vous avez accompli.

 

2 — Créez-vous un emploi du temps

 

Se créer un emploi du temps aide autant que les petits objectifs.

Quand allez-vous travailler sur vos cours ? Si vous ne le planifiez pas, vous ne le ferez pas. Je ne dis pas que vous êtes paresseux, mais je sais que certaines choses finissent toujours par nous distraire de nos études : le travail, passer du temps avec ses amis ou sa famille. Il y a même des distractions plus subtiles… notre smartphone


Ce ne sont pas de mauvaises choses, mais si vous définissez pas un moment chaque jour où vous prévoyez de travailler sur votre cours en ligne, votre progrès sera lent et vous n’en serez pas satisfait. Par exemple, si vous êtes en mesure de consacrer quatre heures par jour à vos études… planifiez-les et tenez-vous-y.

 

3 — Trouvez quelqu’un avec qui étudier

 

Étudier avec d’autres personnes est un excellent moyen de le faire, et c’est l’une des raisons pour lesquelles les formations en présentiel peuvent être efficaces. Je ne dis pas que c’est impossible dans l’enseignement en ligne, en aucun cas. Rencontrer des personnes qui font face aux mêmes problèmes que vous et d’autres qui les ont surmontés peut s’avérer très motivant.

Vous pouvez le faire de plusieurs manières, par exemple, si votre école vous propose de rejoindre sa communauté en ligne, faites-le et soyez actif. Parfois, vous serez en mesure d’aider d’autres étudiants et cela décuplera alors votre motivation.

Chez OpenClassrooms, nous utilisons Workplace pour que les étudiants puissent interagir. Voici un article qui explique comment cela peut vous aider dans vos études.

 

4 — Trouvez en mentor

 

Imaginez une équipe de football sans entraîneur. Les équipes de football ne sont-elles pas meilleures avec un coach expérimenté pour les guider ?

Si vos études en ligne ne comportent pas de programme de mentorat, je vous recommande grandement de trouver une personne qui soit prête à vous aider et à vous guider.

Votre mentor n’est pas né avec toutes ses connaissances. Il a dû apprendre et il a lui aussi connu des difficultés. Il comprend ce que vous traversez et ce que vous avez à faire, et il connaît vos capacités et sait ce que vous pouvez accomplir.

L’un des avantages d’avoir un mentor est d’avoir quelqu’un à contacter lorsque vous êtes bloqué sur un problème ou que vous rencontrez des difficultés. Il n’est pas là pour faire le travail à votre place, mais pour vous aider à déterminer ce dont vous avez besoin pour avancer.

Cherchez un mentor, trouvez un mentor, et appréciez-le.

Bon à savoir : Les étudiants des parcours diplômants d’OpenClassrooms ont accès à des sessions de mentorat d’une heure chaque semaine. Voici une interview de Bertrand Deloffre, mentor en Marketing chez Openclassrooms, qui parle du processus de mentorat et en explique le fonctionnement.

 

5 — Récompensez-vous

 

Mon premier conseil était de vous fixer de petits objectifs. Que faire lorsque vous avez accompli ces objectifs ? Que faire après une semaine d’étude qui s’est bien passée, ou après avoir terminé un projet sur lequel vous travailliez depuis des semaines ?

Il est important que vous vous récompensiez d’une manière saine et équilibrée. Sortez avec des amis, allez au cinéma ; pour ce faire, faites-vous plaisir. Pensez à ce que vous avez accompli. Vous vous sentirez bien et vous saurez que si vous continuez vos efforts, vous pourrez faire encore plus… et vous y parviendrez.

 

6 — Prenez soin de votre santé

 

Imaginez deux athlètes, l’un bien reposé, avec une alimentation équilibrée, et le second qui dort peu et qui se nourrit de caféine et de sucre. On sait bien lequel des deux aura des performances meilleures et plus régulières. Il ne s’agit pas d’un blog fitness ou santé, mais lorsque vous étudiez, vous utilisez tout de même une partie essentielle de votre corps… votre cerveau !

Dormir suffisamment la nuit, boire assez d’eau et avoir une alimentation équilibrée vous aidera à avoir les idées plus claires et à mieux vous concentrer.

De plus, si vous restez assis pendant plusieurs heures de suite, levez-vous toutes les heures et marchez quelques minutes. Vous pouvez également le faire si vous êtes bloqué sur un problème… Prenez une pause de 10 minutes et sortez prendre l’air avant de retourner étudier.

Cela ne vous transformera pas instantanément en Albert Einstein mais ça améliorera les fonctions de votre cerveau et vous aidera à concentrer vos efforts pour réussir vos études en ligne et atteindre vos objectifs.

 

Vous souhaitez avoir une carrière réussie et trouver un emploi avec un salaire attractif ? Rejoignez l’un de nos parcours !

 

OpenClassrooms est une école en ligne offrant des parcours diplômants et professionnalisants à plus de trois millions d’étudiants chaque mois à travers le monde.

Elle propose des cours gratuits ainsi que des programmes dans tous les métiers du numérique.

Renseignez-vous sur l’un de nos parcours en Développement, Design, Data science, Systèmes et réseaux, Marketing & Communication, Ressources humaines, Gestion de projet ou entrepreneuriat.

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Les bottes secrètes pour fidéliser ses équipes

Depuis plusieurs années maintenant, un sérieux mal ronge les entreprises à travers le monde : le turnover. Un phénomène bien connu de tous les secteurs, sur lequel même les géants de la tech ont, dans le passé, déjà tous trébuché. Sauf que le problème aujourd’hui, est encore loin d’être solutionné. Combien de temps avant qu’il atteigne la France ? La question se pose. Recruter et fidéliser les talents : le véritable challenge des futurs RH.

Pour comprendre un peu mieux les mécaniques en place, et anticiper tous les cas de figure, nous avons demandé l’avis de Deborah Rippol, Head of talent chez Alan, qui a pu nous répondre avec précision.

 

Les dernières cartes de la Silicon Valley

 

Aux États-Unis, surtout dans la Silicon Valley, tout est grand et surréaliste. Les bureaux comme les salaires. Mais, pour fidéliser les salariés, cela ne suffit pas. Deborah Rippol.

Avec une moyenne de 2,02 années — légèrement supérieure à tous les autres —, Facebook est celui qui s’en sort le mieux de tous les grands noms de la baie. Il semble impossible de retenir plus de deux ans leurs salariés. Le constat est le même partout, que l’on regarde chez Google (1,90), Apple (1,89), Amazon (1,84) ou Uber (1,23). Un fléau dû à la pénurie de profils tech hyper qualifiés, entraînant au passage une course aux talents et une inflation quasi immédiate des salaires. Ajoutez à cela un niveau de vie qui grimpe en flèche et l’instabilité des plans de carrière des nouvelles générations : vous obtenez LE casse-tête RH du siècle. Un casse-tête qui pousse les entreprises dans leurs derniers retranchements.

Quelle ne fut pas la surprise de Michael Sayman, 17 ans, en recevant un mail de Mark Zuckerberg en personne : le patron de Facebook souhaitait le rencontrer. Le lycéen ne le savait pas encore, mais après son stage, il deviendrait le futur plus jeune employé de la boîte.

En allant ainsi recruter directement dans les lycées, la Silicon Valley n’était-elle pas déjà en 2013 en train d’abattre ses dernières cartes ?

Michael n’est resté que 2 ans et 9 mois chez Facebook. Il est aujourd’hui chez Google.

 

La France ne doit pas tomber dans la surenchère.

 

Aujourd’hui en France, on constate facilement le nombre important d’entreprises à la recherche de profils tech, mais en réalité, la pénurie ne se limite pas à ce secteur. Un sondage OpinionWay (2018) nous dévoile que ce sont en fait 52% des petites et moyennes entreprises qui rencontrent des difficultés à recruter des profils experts. Plus de la moitié, quel que soit le domaine. Alors, comment faire ?

Parce qu’elles n’ont pas forcément les mêmes moyens, les entreprises en France se focalisent sur des choses plus subtiles que le salaire et les infrastructures. Elles vont par exemple jouer sur la transparence et la flexibilité.

Selon Déborah, pour garder ses équipes soudées, il faut agir à différents niveaux :

  • En profondeur : dans les « grands rouages » qui font tourner l’intégralité de la structure. Comme le style de management et la culture de l’entreprise.
  • En surface : dans les « petits rouages », moins imposants, mais tout aussi importants. On parle ici de petites actions venant optimiser le confort des salariés comme le matériel à disposition ou la flexibilité dans les horaires.

L’idée, c’est de créer une grande mécanique bien huilée, qui profite autant à l’entreprise qu’à ses salariés. Il faut donc jouer sur les fondations de l’entreprise et sur les finitions, afin « d’instaurer la confiance avec, mais aussi entre ses salariés », précise Déborah. Elle estime que le secret pour garder ses équipes ne se trouve pas seulement dans les avantages en nature.

 

Ils ne sont pas à bannir, loin de là, il faut juste ne pas entrer dans une dynamique de surenchère.

 


Activer les bons leviers au bon moment

 

Environ un an de salaire : c’est le coût d’un recrutement raté pour une entreprise. Un taux de turn-over élevé peut donc revenir très cher à une boîte. Pour fidéliser ses équipes, l’idée est de créer un environnement fluide et sans accroc pour chacun des employés. Mission impossible ? Loin de là. Pour Deborah, c’est une question de bon sens, de timing et de transparence. Autrement dit, activer les bons leviers au bon moment.

De manière générale, cela passe d’abord par la disponibilité du top management et la responsabilité accordée à chacun des employés.

La hiérarchie influence le taux de turnover, « moins elle est présente, plus il est bas » nous affirme-t-elle, « il faut donc commencer par se pencher sur ces questions-là ». Le style management en place est-il le bon ? Les salariés se sentent-ils suffisamment responsabilisés et écoutés dans leurs activités ? Il faut également faire un état des lieux, pour mettre à jour les différents leviers à portée de main.

Il faut régulièrement se poser des questions du type : mes salariés sont-ils heureux, oui, non, pourquoi ? Doit-on mettre en place un CE ou être plus flexible sur les congés ? Et pourquoi pas les deux ?

Il faut apporter des réponses, passer à l’action et considérer les feedbacks. La transparence ici est vitale. L’entreprise doit avancer main dans la main avec ses salariés, tout en leur offrant plus de liberté, de responsabilité et de flexibilité. Être ouvert et honnête, la seule solution face à ces obligations quelque peu contradictoires.

 

Confronter old school et new school

 

Le but n’est plus de garder les gens longtemps, mais de les garder motivés, ce qui change tout.

Pour Déborah, la rétention des employés dans une entreprise n’est plus à prendre en compte. Il faut simplement que la boîte reste à l’écoute et offre la possibilité à ses employés de s’épanouir et de rester motivés. Attention toutefois, juste écouter ses salariés ne suffit pas, il faut également leur proposer, car ils ne savent pas forcément ce que leur entreprise peut leur apporter. Sport, billets d’avion, salle de sieste ou cantine bio, il semble difficile d’évoquer une méthode miracle tant les entreprises ont leurs spécificités. Chez Alan, ils ont mis en place quelque chose d’un peu particulier : une holacratie, un système de gouvernance basé sur l’intelligence collective. Autrement dit, « il n’y a pas de manager, chacun peut prendre des décisions en demandant à ses collègues. Plus la décision est importante, plus il faut un grand nombre d’avis ».

Un procédé managérial qui se distingue nettement des procédés classiques de type top-down, dans lequel managers et employés peuvent vite se perdre de vue. Dans une holacratie, chaque employé, chaque idée compte. Quelle que soit la taille de l’entreprise.

Dans une holacratie, petite ou grande structure, il n’y a aucune différence entre les deux. C’est une question d’état d’esprit des fondateurs, une question de culture.

C’est un modèle old school  particulièrement efficace — vingt ans qu’il existe — et toujours dans l’air du temps. Comme le souligne Déborah : « Ce modèle convient parfaitement à l’arrivée des millenials. Quelqu’un travaille pour nous depuis six mois en Asie, tout se passe bien ».

D’autres modèles avec des états d’esprit totalement différents existent. Certaines entreprises ne fonctionnent qu’avec des freelances, d’autres permettent à leurs employés de fixer eux-mêmes le montant de leur salaire, ou la durée de leurs vacances. Il n’y a pas de règle à suivre, hormis celle de « repenser l’environnement de travail, en misant sur le confort et les responsabilités de chacun ».

 

Et pour travailler sur la rétention en entreprise, suivez le cours de Joëlle Salou « Intégrez vos nouveaux collaborateurs« .

 

À propos de Mathieu : 

Un pied dans la rédaction, l’autre dans les réseaux sociaux, Mathieu s’est formé auprès de médias parmi les plus actifs et novateurs de Paris. Passionné par les nouveaux modes d’écriture, il s’est lancé comme rédacteur indépendant en 2018. Son objectif : anticiper l’influence du digital sur nos vies, et explorer le futur du travail.

 

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Les secrets d’un profil parfait pour cartonner sur LinkedIn

En 2019, construire et entretenir son réseau est la clef pour exister aux yeux des recruteurs et saisir de belles opportunités. Et pour cela, pas besoin de spammer votre carte de visite à de parfaits inconnus… Essayez plutôt les réseaux sociaux professionnels.

Parmi les plus populaires, LinkedIn compte 17 millions de membres rien qu’en France. Une mine d’or pour trouver un nouveau job, élargir votre réseau ou découvrir un secteur d’activité. Mais, pour qu’il vous soit vraiment utile, il est indispensable de savoir s’y démarquer.

Pour vous aider au mieux, nous avons interrogé Marina Rogard. Elle est conceptrice-rédactrice et spécialiste en communication sur LinkedIn.
Autodidacte, elle a appris par curiosité les fondements de la communication et des réseaux sociaux et s’est concentrée sur l’écriture, par amour des mots.
Aujourd’hui, elle accompagne les personnes désireuses de faire de LinkedIn leur meilleur allié professionnel et rédige des textes pour le web et ailleurs.

Alors, prêt à personnaliser votre  profil, pour tirer profit de cette plateforme ?

 

Les secrets pour construire un profil LinkedIn de niveau Expert

 

Dès la création de votre compte LinkedIn, vous devrez remplir un certain nombre d’informations personnelles et professionnelles. Plus votre profil sera complet et détaillé, plus il sera vu et apprécié. En effet, LinkedIn classe les profils par niveau : Débutant, Intermédiaire, Avancé, Expert et Expert absolu. Ces derniers obtiennent 5 fois plus de demandes de connexion et sont 40 fois plus efficaces.

« Avant de commencer à utiliser la plateforme, il est capital de bien bâtir votre profil. Il doit être complet, soigné et convaincant. Ne le considérez pas comme un simple CV en ligne, voyez-le plutôt comme un portfolio personnel en constante évolution. Et n’oubliez pas que les profils LinkedIn sont parmi les premiers résultats de recherche sur Google : en quelques secondes, un potentiel recruteur a accès à toutes vos informations. Voilà une (première) bonne raison pour mettre toutes les chances de votre côté en travaillant autant le fond que la forme de votre présentation » explique Marina.

Son conseil ? Visez d’emblée un profil Expert en renseignant 100% des informations demandées par la plateforme. Pour cela, voyons en détail comment remplir et optimiser chaque partie de votre profil, pas à pas.

 

Photo, bannière, intitulé et résumé : l’entrée en matière

 

Un profil sans photo est un profil anonyme. Et les profils anonymes ne sont pas très rassurants, n’est-ce pas ?

« La photo ne révèle pas seulement votre identité mais donne confiance aux visiteurs : vous n’êtes pas un robot ou un « fake », mais bel et bien une personne. Et un profil avec photo reçoit 21 fois plus de vues et 9 fois plus de demandes de connexion » confie Marina.

Ses conseils pour choisir le bon cliché:

  • Exit les avatars et les photos de vacances, animaux ou paysages. Sachez que LinkedIn peut supprimer votre photo de profil si votre visage n’y apparaît pas.
  • Veillez à choisir le bon format. Une photo professionnelle, récente et au format portrait (visage et épaules) fera l’affaire.
  • Votre photo doit être engageante et donner envie de vous connaître.  Souriez et adoptez une posture ouverte : bras décroisés, en regardant la caméra, avec une attitude confiante.

Une bannière personnalisée attirera le regard. LinkedIn vous en fournit une par défaut, mais vous pouvez la modifier. N’hésitez pas à choisir un beau visuel pour habiller votre profil et donner des indices sur vos passions ou votre secteur d’activité.

« Avec votre photo, la bannière vient renforcer le potentiel de votre profil : telle la couverture d’un livre, elle doit être évocatrice et raconter votre histoire » explique Marina.

Son conseil : utilisez l’outil proposé par le site Canva pour créer votre bannière :

L’intitulé se trouve juste en dessous de votre nom. Il est indispensable de le rédiger et de le faire évoluer au fil du temps. Si vous ne modifiez pas ce champs, LinkedIn indiquera par défaut l’intitulé de votre poste actuel : ainsi, vous serez noyé dans la masse des candidats ayant des fonctions similaires à la vôtre.

« L’intitulé est la première chose que liront vos visiteurs. Sa fonction : indiquer en 120 caractères qui vous êtes, ce que vous faites et quelle est votre proposition de valeur. Pour ma part, je propose ce modèle :
l’intitulé du poste + 2 ou 3 mots-clés principaux + une accroche (une petite phrase pour vous différencier) » poursuit Marina.

Ses conseils pour un intitulé qui en jette :

  • Pensez mots-clefs. Cela facilitera votre apparition dans les résultats de recherche. Évitez les jargons, les abréviations et les majuscules.
  • Soyez créatifs. Rédigez une accroche claire mais intrigante pour vous distinguer et attirer les visites.
  • Veillez à aérer votre intitulé.  Séparez vos mots-clés par des virgules, des symboles et des émojis pour une meilleure lisibilité.

Le résumé est votre espace d’expression. C’est ici que vous vous présentez et expliquez succinctement votre mission et vos savoir-faire.

« Le résumé a le même rôle qu’une quatrième de couverture : c’est souvent elle qui déclenche un achat. Proposez une présentation différenciante tout en mettant en avant votre expertise. Qui êtes-vous, et qu’est-ce qui vous rend unique ? Votre personnalité doit en ressortir et créer de l’intérêt auprès du visiteur, pour faire en sorte qu’il reste » continue Marina.

Ses conseils pour un résumé convaincant et efficace :

  • Rédigez votre résumé à la première personne. Votre histoire et vos projets auront beaucoup plus d’impact. Cela renforce aussi l’authenticité de vos propos.
  • Sachez à qui vous vous adressez. Définissez la cible (ou « persona ») de votre profil LinkedIn et parlez son langage.
  • Aérez votre texte. La forme est aussi importante que le fond : utilisez des puces, séparez votre résumé en paragraphes, peaufinez vos phrases.
  • Mettez en avant vos réalisations. Rajoutez les liens vers votre blog, votre portfolio, un article que vous avez rédigé récemment, votre chaîne YouTube…

 

Expériences professionnelles et formations : dans le vif du sujet

 

Pour obtenir un profil exhaustif et crédible, accompagnez chacune de vos expériences professionnelles d’un petit résumé. Mentionnez vos missions, les traits saillants de chaque poste, y compris pour les stages ou les expériences bénévoles.

« Les recruteurs veulent savoir ce que vous avez fait, et comment. Détaillez au mieux sans vous épancher ;  exprimez-vous là aussi à la première personne ; gagnez en lisibilité en aérant vos paragraphes. L’important, c’est qu’on comprenne vite l’enjeu de chaque poste occupé et sa cohérence par rapport à votre parcours pro » poursuit Marina.

Certaines sections du profil, souvent négligées par les utilisateurs de LinkedIn, peuvent faire la différence :

  • Complétez la section dédiée aux langues maîtrisées et n’oubliez pas de marquer votre niveau.
  • Choisissez avec soin vos compétences. Sous forme de mots-clefs, elles peuvent être recommandées par vos contacts et ainsi renforcer la crédibilité de votre profil. Notez que les 3 premières seront les plus visibles.
  • Demandez à vos contacts de rédiger des recommandations. Elles ne sont pas limitées en nombre et seront très utiles aux recruteurs. Elles apporteront une vraie plus-value à votre profil.

Les détails qui font la différence

  • Renseignez vos coordonnées pour qu’on puisse vous contacter facilement. Adresse e-mail, numéro de téléphone, URL de votre site internet…
  • Personnalisez votre URL de profil. Il est souvent disgracieux et présente des chiffres aléatoires.
  • Rajoutez des hashtags en lien avec votre activité. A la fin de votre résumé mais également pour chaque expérience professionnelle.

Si vous êtes en recherche active d’emploi, utilisez la fonctionnalité « Open Candidate » (accessible avec un profil gratuit) : les recruteurs sauront directement quel genre de poste vous recherchez.

Avec ces astuces, vous ne tarderez pas à développer un réseau intéressant et à décrocher votre prochain job sur LinkedIn. A bon entendeur…

 

Envie d’aller plus loin ?

 

Suivez ce cours de notre expert François Decaux de LinkedIn pour améliorer votre Personal Branding sur Internet.

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Mes conseils pour vos candidatures par Rémi, diplômé d’OpenClassrooms

Le parcours de Rémi

 

Rémi a 28 ans et il est actuellement chargé de communication digitale et stratégie marketing. Il est d’abord passé par diverses formations : DUT MMI (Métiers du Multimédia et de l’Internet) et Licence UX2i (Activités et Techniques de Communication) ; puis il a travaillé quatre ans comme chargé de communication dans une agence de comm.

Jusqu’au jour où il ressent le besoin de sortir de sa zone de confort, comme il l’explique :

J’ai souhaité reprendre une formation pour me perfectionner et compléter mes expériences passées, j’avais le besoin de découvrir et apprendre des nouvelles choses.
 J’avais en tête de reprendre un cursus universitaire classique à l’université mais, près de chez moi, aucune formation ne correspondait à mes besoins.
 Je me suis donc tourné rapidement vers les formations à distance. J’ai appelé OpenClassrooms pour avoir des réponses à mes interrogations et le soir même, je souscrivais à la formation Chef de projet multimédia. J’ai été séduit par OpenClassrooms pour tellement de petits détails : un contact facile et rapide, par email ou par téléphone en cas de besoin, un tuteur chaque semaine pour être aidé à avancer, un accompagnement de 2 mois après la formation pour faciliter l’insertion professionnelle, la garantie de trouver un emploi, des cours miroirs au format vidéo et papier.

 

Ses conseils pour la recherche d’emploi

 

Selon toi, quels sont les pièges à éviter sur un CV ?

A l’ère du numérique et avec la multitude de ressources disponibles sur le net, c’est, à mon sens, impensable d’envoyer le traditionnel CV triste et obsolète. À l’inverse, c’est inconcevable d’envoyer un document illisible, surchargé et sur lequel toutes les couleurs de l’arc-en-ciel ont été utilisées. L’objectif est de trouver le juste milieu sur le plan esthétique, entre sobriété et l’exotisme.

Second piège, je dirais que beaucoup ont en tête de faire tenir absolument toutes leurs expériences (stage de 1 semaine compris), leurs diplômes et compétences sur une seule page : ERREUR ! Un CV doit être aéré, succinct et donner les informations essentielles pour le poste auquel vous candidatez. Personnellement, j’avais fait un CV différent pour chaque poste, dans lequel j’adaptais mes compétences et expériences pour coller au mieux à l’offre. À ce sujet, j’avais lu une étude où qui stipulait qu’un recruteur prenait entre 30 et 60 secondes pour lire un CV, preuve que le candidat doit à tout prix aller à l’essentiel.

Enfin, les fautes d’orthographe sont rédhibitoires. Prenez le temps de vous relire et de faire lire à votre entourage.



Quels sont tes conseils pour élaborer un portfolio convaincant ?

De mon point de vue, un portfolio convaincant est un portfolio à jour, visuellement accrocheur et succinct. 


Sur le fond, il est inutile d’avoir des quantités d’informations, simplement l’essentiel, c’est un CV amélioré :

  •    Une présentation de quelques lignes (motivations, votre parcours, ce que vous cherchez…),
  •    Un récapitulatif de vos compétences/domaines d’expertise,
  •    Un book qui regroupe tous vos travaux,
  •    Et vos coordonnées pour être recontacté.

Sur la forme, il doit avoir de l’impact : des visuels de qualité, quelques petites animations pour rendre votre site vivant et attrayant (animations CSS, effets Parallax, jQuery…). Vous n’avez aucune excuse, OpenClassrooms regorge de cours sur ces sujets pour vous aider : Lien 1, Lien 2par exemple.

 

Quelle est la meilleure façon d’organiser sa recherche d’emploi ?

Personnellement, j’avais commencé par mettre en ligne mon CV sur différentes plateformes (Monster, Indeed, Welcome to the jungle…) sur lesquelles j’avais correctement renseigné les mots clés pour orienter mes recherches et pour toutes, j’avais souscrit aux notifications afin d’être le plus réactif possible.

Ensuite, j’avais construit un tableau sur lequel je répertoriais toutes les offres auxquelles je postulais, le type de contact, l’état de l’avancement etc. afin de ne pas perdre la tête au fil de mes recherches. Et puisque je suis un mec sympa : voici mon tableau type.


Comment se mettre en avant pour un poste que l’on convoite ?
       

Être présent sur les BONS réseaux sociaux ! Je pense principalement à LinkedIn sur lequel j’avais pris plusieurs heures pour avoir un profil pleinement à jour et détaillé (photo récente, présentation, formations, expériences professionnelles, compétences…) qui est un excellent complément à un CV et, en prime, une plateforme de recherche d’emploi efficace sur lequel sont présents beaucoup de recruteurs.

Avoir un joli book à jour et complet, c’est encore un détail sur lequel on peut facilement se démarquer. Personnellement j’avais mis l’adresse URL dans un coin de mon CV, l’occasion pour les recruteurs de voir mes travaux et des informations supplémentaires.

Attention : un conseil, pensez à rendre inaccessible et privé vos réseaux sociaux personnels (Facebook, Instagram…). Je ne suis pas sûr qu’un recruteur soit emballé à l’idée de vous proposer un entretien d’embauche après avoir tapé votre nom sur Facebook et être tombé sur une vidéo de vous en soirée, nu(e) comme un ver, en train de danser sur une table à jongler avec des tronçonneuses en feu…

 

De quelle façon as-tu tiré parti de ton expérience chez OpenClassrooms ? L’as-tu mise en avant d’une manière particulière ?

Évidemment ! Pendant les différents entretiens, au moment de présenter mon parcours et mes formations, j’ai toujours insisté sur le diplôme de chef de projet que j’avais obtenu par le biais d’OpenClassrooms en formation à distance.  

Pour être franc, j’en ai même fait une force puisque ça m’a permis de prouver des qualités comme l’autonomie et la rigueur.


Contrairement aux idées reçues, les diplômes dispensés à distance sont aujourd’hui tout autant légitimes, à condition qu’ils soient reconnus par l’État, bien sûr.

 

Quelles sont les règles d’or pour réussir un entretien d’embauche ?

S’il y avait une seule règle à respecter qui les englobe toutes, ce serait celle-ci : se préparer !

Pour chaque entretien, il est indispensable de prendre le temps de se renseigner sur l’entreprise en question : ses références, ses clients, ses services/produits etc. J’ai surpris plus d’un recruteur en évoquant des projets qu’ils avaient réalisés ou des clients pour lesquels ils avaient travaillé par exemple… C’était une manière pour moi de leur prouver mon intérêt pour le poste et ma curiosité.

Ensuite, c’est bête mais : bien connaître son parcours et être en mesure de le présenter en 3 minutes. Chaque recruteur introduit toujours son entretien de la même façon : « Présentez-vous, je vous écoute ». C’est essentiel d’être fluide, ne pas se tromper pour présenter son CV de manière claire et précise.

J’avais aussi fait imprimer tous mes projets réalisés pendant ma formation OpenClassrooms (cahiers des charges, plans marketing, plans d’action etc. ce qui représentait 300 pages au total) que je ramenais à chaque entretien. Alors, même si les recruteurs n’ont jamais pris le temps de le lire en détail chaque livrable, ils ont toujours pris quelques minutes pour regarder les documents (la mise en page, la qualité, la pertinence, etc.). C’est encore un bon moyen de faire la différence je pense.



Dernier conseil, préparer l’entretien d’embauche c’est aussi prendre le temps d’anticiper les questions qui seront évoquées. Sur Internet, on peut facilement trouver les questions classiques qui reviennent régulièrement afin de réfléchir en amont aux réponses. 


Enfin, les basiques :

  •    Arriver en avance,
  •    Venir avec un CV (!),
  •    Rester souriant du début à la fin,
  •    Regarder la personne qui vous parle/à qui vous vous adressez dans les yeux.


Y a-t-il une procédure post-entretien à suivre pour mettre encore plus de chances de son côté ?

Le lendemain d’un entretien convaincant, je recommande d’envoyer un e-mail au recruteur pour le remercier de l’accueil, la qualité des échanges, et profiter pour ré-exprimer sa motivation et sa détermination à l’idée de rejoindre leur structure.

Pour ma part, c’était aussi un moment opportun pour glisser en pièce jointe les livrables que j’avais présentés pendant l’entretien afin qu’ils prennent le temps de les lire.

Encore une fois, se démarquer des autres concurrents se joue sur des petits détails.

 

Enfin, dernier conseil : malgré les hauts, les bas pendant une recherche d’emploi, le secret est de ne jamais désespérer et de ne pas lâcher !

 

À lire ensuite : 

 

[ La trajectoire de Mehedi – 5 conseils pour surmonter une pause ]
[ La trajectoire de Silvia – « Je n’aurais jamais pensé réussir à exercer le job de mes rêves » ]

 

À propos d’Aglaé : 

Aglaé est auteur-rédacteur. Elle a fondé Word Shaper, une agence créative qui propose des services d’écriture, de consulting et de conception.

 

L’article Mes conseils pour vos candidatures par Rémi, diplômé d’OpenClassrooms est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.

Mes conseils pour vos candidatures par Rémi

Par : Nora Leon

Le parcours de Rémi

 

Rémi a 28 ans et il est actuellement chargé de communication digitale et stratégie marketing. Il est d’abord passé par diverses formations : DUT MMI (Métiers du Multimédia et de l’Internet) et Licence UX2i (Activités et Techniques de Communication) ; puis il a travaillé quatre ans comme chargé de communication dans une agence de comm.

Jusqu’au jour où il ressent le besoin de sortir de sa zone de confort, comme il l’explique :

« J’ai souhaité reprendre une formation pour me perfectionner et compléter mes expériences passées, j’avais le besoin de découvrir et apprendre des nouvelles choses.
 J’avais en tête de reprendre un cursus universitaire classique dans une université mais, près de chez moi, aucune formation ne correspondait à mes besoins.
 Je me suis donc tourné rapidement vers les formations à distance.

J’ai appelé OpenClassrooms pour avoir des réponses à mes interrogations et le soir même, je souscrivais à la formation Chef de projet multimédia. J’ai été séduit par OpenClassrooms pour tellement de petits détails : un contact facile et rapide, par email ou par téléphone en cas de besoin, un tuteur chaque semaine pour être aidé à avancer, un accompagnement de 2 mois après la formation pour faciliter l’insertion professionnelle, la garantie de trouver un emploi, des cours miroirs au format vidéo et papier. »

 

Ses conseils pour la recherche d’emploi

 

Selon toi, quels sont les pièges à éviter sur un CV ?

A l’ère du numérique et avec la multitude de ressources disponibles sur le net, c’est, à mon sens, impensable d’envoyer le traditionnel CV triste et obsolète. À l’inverse, c’est inconcevable d’envoyer un document illisible, surchargé et sur lequel toutes les couleurs de l’arc-en-ciel ont été utilisées. L’objectif est de trouver le juste milieu sur le plan esthétique, entre sobriété et l’exotisme.

Second piège, je dirais que beaucoup ont en tête de faire tenir absolument toutes leurs expériences (stage de 1 semaine compris), leurs diplômes et compétences sur une seule page : ERREUR ! Un CV doit être aéré, succinct et donner les informations essentielles pour le poste auquel vous candidatez. Personnellement, j’avais fait un CV différent pour chaque poste, dans lequel j’adaptais mes compétences et expériences pour coller au mieux à l’offre. À ce sujet, j’avais lu une étude où qui stipulait qu’un recruteur prenait entre 30 et 60 secondes pour lire un CV, preuve que le candidat doit à tout prix aller à l’essentiel.

Enfin, les fautes d’orthographe sont rédhibitoires. Prenez le temps de vous relire et de faire lire à votre entourage.


 

Quels sont tes conseils pour élaborer un portfolio convaincant ?

De mon point de vue, un portfolio convaincant est un portfolio à jour, visuellement accrocheur et succinct. 


Sur le fond, il est inutile d’avoir des quantités d’informations, simplement l’essentiel, c’est un CV amélioré :

  •  Une présentation de quelques lignes (motivations, votre parcours, ce que vous cherchez…),
  •  Un récapitulatif de vos compétences/domaines d’expertise,
  •  Un book qui regroupe tous vos travaux,
  •  Et vos coordonnées pour être recontacté.

Sur la forme, il doit avoir de l’impact : des visuels de qualité, quelques petites animations pour rendre votre site vivant et attrayant (animations CSS, effets Parallax, jQuery…). Vous n’avez aucune excuse, OpenClassrooms regorge de cours sur ces sujets pour vous aider : Lien 1, Lien 2par exemple.


 

Quelle est la meilleure façon d’organiser sa recherche d’emploi ?

Personnellement, j’avais commencé par mettre en ligne mon CV sur différentes plateformes (Monster, Indeed, Welcome to the jungle…) sur lesquelles j’avais correctement renseigné les mots clés pour orienter mes recherches et pour toutes, j’avais souscrit aux notifications afin d’être le plus réactif possible.


Ensuite, j’avais construit un tableau sur lequel je répertoriais toutes les offres auxquelles je postulais, le type de contact, l’état de l’avancement etc. afin de ne pas perdre la tête au fil de mes recherches.

Et puisque je suis un mec sympa : voici mon tableau type. 


 

Comment se mettre en avant pour un poste que l’on convoite ?

Être présent sur les BONS réseaux sociaux ! Je pense principalement à LinkedIn sur lequel j’avais pris plusieurs heures pour avoir un profil pleinement à jour et détaillé (photo récente, présentation, formations, expériences professionnelles, compétences…) qui est un excellent complément à un CV et, en prime, une plateforme de recherche d’emploi efficace sur lequel sont présents beaucoup de recruteurs.

Avoir un joli book à jour et complet, c’est encore un détail sur lequel on peut facilement se démarquer. Personnellement j’avais mis l’adresse URL dans un coin de mon CV, l’occasion pour les recruteurs de voir mes travaux et des informations supplémentaires.

Attention : un conseil, pensez à rendre inaccessibles et privés vos réseaux sociaux personnels (Facebook, Instagram…). Je ne suis pas sûr qu’un recruteur soit emballé à l’idée de vous proposer un entretien d’embauche après avoir tapé votre nom sur Facebook et être tombé sur une vidéo de vous en soirée, nu(e) comme un ver, en train de danser sur une table à jongler avec des tronçonneuses en feu…

 

De quelle façon as-tu tiré parti de ton expérience chez OpenClassrooms ?
L’as-tu mise en avant d’une manière particulière ?

Évidemment ! Pendant les différents entretiens, au moment de présenter mon parcours et mes formations, j’ai toujours insisté sur le diplôme de chef de projet que j’avais obtenu par le biais d’OpenClassrooms en formation à distance.  

Pour être franc, j’en ai même fait une force puisque ça m’a permis de prouver des qualités comme l’autonomie et la rigueur. 
Contrairement aux idées reçues, les diplômes dispensés à distance sont aujourd’hui tout autant légitimes, à condition qu’ils soient reconnus par l’État, bien sûr.

 

Quelles sont les règles d’or pour réussir un entretien d’embauche ?

S’il y avait une seule règle à respecter qui les englobe toutes, ce serait celle-ci : se préparer !

Pour chaque entretien, il est indispensable de prendre le temps de se renseigner sur l’entreprise en question : ses références, ses clients, ses services/produits etc. J’ai surpris plus d’un recruteur en évoquant des projets qu’ils avaient réalisés ou des clients pour lesquels ils avaient travaillé par exemple… C’était une manière pour moi de leur prouver mon intérêt pour le poste et ma curiosité.

Ensuite, c’est bête mais : bien connaître son parcours et être en mesure de le présenter en 3 minutes. Chaque recruteur introduit toujours son entretien de la même façon : « Présentez-vous, je vous écoute ». C’est essentiel d’être fluide, ne pas se tromper pour présenter son CV de manière claire et précise.

J’avais aussi fait imprimer tous mes projets réalisés pendant ma formation OpenClassrooms (cahiers des charges, plans marketing, plans d’action etc. ce qui représentait 300 pages au total) que je ramenais à chaque entretien. Alors, même si les recruteurs n’ont jamais pris le temps de le lire en détail chaque livrable, ils ont toujours pris quelques minutes pour regarder les documents (la mise en page, la qualité, la pertinence, etc.). C’est encore un bon moyen de faire la différence je pense.



Dernier conseil, préparer l’entretien d’embauche c’est aussi prendre le temps d’anticiper les questions qui seront évoquées. Sur Internet, on peut facilement trouver les questions classiques qui reviennent régulièrement afin de réfléchir en amont aux réponses. 


Enfin, les basiques :

  • Arriver 10 minutes en avance,
  • Venir avec un CV,
  • Rester souriant du début à la fin,
  • Toujours regarder dans les yeux la personne à qui vous vous adressez.

 

Y a-t-il une procédure post-entretien à suivre pour mettre encore plus de chances de son côté ?

Le lendemain d’un entretien convaincant, je recommande d’envoyer un e-mail au recruteur pour le remercier de l’accueil, la qualité des échanges, et profiter pour ré-exprimer sa motivation et sa détermination à l’idée de rejoindre leur structure. 
Pour ma part, c’était aussi un moment opportun pour glisser en pièce jointe les livrables que j’avais présentés pendant l’entretien afin qu’ils prennent le temps de les lire. Encore une fois, se démarquer des autres concurrents se joue sur des petits détails.

Enfin, dernier conseil : malgré les hauts, les bas pendant une recherche d’emploi, le secret est de ne jamais désespérer et de ne pas lâcher !

 

 [À lire ensuite : 

– Entretien d’embauche : les meilleures et pires questions à poser
Dès que j’ai été diplômé, les appels ont plu. Le témoignage de Damien]


Suivez ces cours :

Élaborez votre stratégie de recherche d’emploi par François Decaux, notre expert de chez LinkedIn.


Obtenez l’emploi qui vous correspond de notre experte Claudine Pierron.

 

À propos d’Aglaé : 

Aglaé est auteur-rédacteur. Elle a fondé Word Shaper, une agence créative qui propose des services d’écriture, de consulting et de conception.

 

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Les meilleurs outils en développement Front-end

La meilleure – et la pire – des choses en tant que développeur Web est le fait que le Web change constamment. Cela signifie également que vous devez toujours être proactifs dans l’apprentissage de nouveaux langages de programmation, vous adapter aux changements et être prêts et désireux d’accepter de nouveaux défis.

Cela peut inclure des tâches telles que mettre à jour les infrastructures existantes pour répondre aux exigences de l’entreprise, le test d’un site Web pour identifier les problèmes techniques ou optimiser les performances de l’infrastructure développée.

C’est pourquoi nous avons décidé de vous créer une liste exhaustive d’outils en développement web par spécialité pour vous aider à être plus productifs, à vous tenir informés et mieux performer en tant que développeurs.

 

Liste d’outils 1/5 : Les meilleurs outils en développement Front-end

 

Aujourd’hui, le développement Front-end occupe une part de plus en plus importante en entreprise et ce afin d’améliorer l’interaction utilisateur, les performances, l’interactivité et l’apparence d’une application. Voici une liste de cinq outils qui vous aideront à remplir ces objectifs.

 

Sublime text

 

Commençons par les bases : un éditeur de code de premier ordre, doté d’une interface utilisateur bien conçue, ultra efficace et rapide. Vous me direz qu’il y a d’autres options, mais la meilleure (et la plus populaire) est sans doute Sublime Text.

Astucieusement géré par une équipe de développement composée d’une seule personne, le secret du succès de Sublime Text réside dans la multitude de raccourcis clavier du programme, tels que la possibilité d’effectuer des modifications simultanées (en effectuant les mêmes modifications interactives dans plusieurs zones sélectionnées), ainsi qu’une navigation rapide vers des fichiers, symboles et lignes. Et lorsque vous passez plus de huit heures par jour avec votre éditeur, ces secondes économisées deviennent précieuses.

À télécharger ici

Gratuit

 

Chrome Developer Tools

 

Ne serait-il pas formidable de pouvoir modifier votre code HTML et CSS en temps réel ou de débugger votre code JavaScript tout en affichant une analyse approfondie des performances de votre site web?

Les outils de développement Google Chrome intégrés à Google vous permettent de le faire. Intégrés et disponibles à la fois dans Chrome et Safari, ils permettent aux développeurs d’avoir accès aux éléments internes de leur application Web. De plus, une palette d’outils réseau peut vous aider à optimiser vos flux de chargement, tandis qu’un calendrier vous permet de mieux comprendre ce que le navigateur fait à un moment donné.

Google publie une mise à jour toutes les six semaines. Consultez leur site Web ainsi que leur chaîne YouTube pour actualiser vos compétences.

Gratuit

 

JQuery

 

JavaScript a longtemps été considéré par les développeurs comme un langage de base essentiel, bien qu’il ne soit pas dépourvu de problèmes : sa syntaxe un peu compliquée et inapprochable, ses incohérences avec certains navigateurs, font que les fonctionnalités développées en pâtissent souvent.

C’était sans compter, en 2006, le lancement de jQuery, une petite bibliothèque JavaScript rapide et multiplateformes visant à simplifier le développement front. En simplifiant une grande partie des fonctionnalités qu’il incombait généralement aux développeurs de produire par eux-mêmes, jQuery a permis une plus grande marge de manœuvre pour la création d’animations, l’ajout de plugins, etc.

Et c’est clairement un succès : en 2015, jQuery était par exemple la bibliothèque JavaScript la plus populaire, étant installée sur quelque 65% des 10 millions de sites Web les plus visités.

À télécharger ici

Gratuit

Suivez le cours Simplifiez vos développements JavaScript avec JQuery.

Et le cours d’Emily Reese : Introduction à JQuery

 

Github

 

Faire des erreurs embêtantes appartient désormais au passé. Bienvenue dans les systèmes de contrôle de version (le versioning) et plus précisément dans GitHub.

En déployant votre projet avec le service, vous pouvez afficher toutes les modifications que vous avez apportées ou même revenir à l’état précédent d’un commit. Le service bénéficie également d’une riche communauté et fournit plusieurs autres composants tels que le suivi des bugs, les demandes de fonctionnalités, la gestion des tâches et les wikis pour chaque projet.

De nombreux employeurs recherchent des personnes avec des compétences pointues en Git. C’est donc le moment idéal pour vous inscrire. De plus, c’est un excellent moyen de vous impliquer et d’apprendre des meilleurs avec un large éventail de projets Open Source sur lesquels travailler.

A découvrir ici

Gratuit mais payant pour plus d’options.

Suivez le cours Créez votre code avec Git et Github 

 

Twitter Bootstrap

 

Fatigué de taper le même style pour un conteneur ? Une fois que vous aurez commencé à régulièrement créer des applications front, vous constaterez des répétitions.

Les frameworks d’interface utilisateur tentent de résoudre ces problèmes en résumant les éléments communs en modules réutilisables. Les développeurs peuvent développer leurs nouvelles applications plus rapidement et simplement.

Le plus largement utilisé de ces frameworks est Bootstrap, un package d’interface utilisateur complet développé par l’équipe de Twitter. Doté outils pour normaliser les feuilles de style, créer des objets modaux, ajouter des plugins JavaScript et une multitude d’autres fonctionnalités, Bootstrap peut considérablement réduire la quantité de code (et le temps) nécessaire à la création de votre projet.

À télécharger ici

Gratuit

Suivez le cours Prenez en main Bootstrap

 

Sass

 

L’une des premières choses que vous apprendrez sur le code est qu’il doit être DRY (« Don’t Repeat Yourself »). La deuxième chose que vous apprendrez probablement est que le CSS n’est généralement pas très DRY.

Entrez dans le monde du préprocesseur CSS, un outil qui vous aidera à écrire du code maintenable et évolutif, tout en réduisant la quantité de CSS que vous devez écrire (en le gardant DRY).

Le plus populaire d’entre eux est peut-être Sass, un projet Open Source vieux de huit ans qui définissait assez bien le genre des préprocesseurs CSS modernes. Bien qu’elle soit quelque peu difficile à comprendre au début, la combinaison de variables, d’imbrication de Sass, rendra le CSS simple lors de la compilation. De quoi rendre vos feuilles de style plus lisibles et (plus important encore) DRY.

A installer en suivant le manuel en ligne

Gratuit.

 

À propos de l’auteur 

Salut 👋, je suis Joffrey, développeur web basé sur Paris. Je suis passionné par WordPress, l’e-marketing et 

l’écriture d’articles sur des sujets Tech. Freelance depuis plusieurs années, je partage avec vous des tutos, des conseils et mon expérience afin que vous puissiez mieux gérer vos projets web.

 

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La cybersécurité, nouvel eldorado des recruteurs en systèmes et réseaux

Par : Nora Leon

14 avril 2017. Le groupe de cyberpirates “The Shadow Brokers” diffuse nonchalament une liste d’outils dérobés à la… NASA. Coup de tonnerre dans le monde du web.

Entreprises, développeurs et acteurs institutionnels savent désormais qu’une cyber-attaque peut bloquer une entreprise ou institution pendant plusieurs heures voire jours. Et qu’un cyber-pirate peut s’approprier des données contre rançons ou simplement pour le sport.

En mai, le ransomware WannaCry frappe 150 pays et… les esprits. Un bilan douloureux estimé entre 1 et 1,5 millions, 300 000 machines touchées, et des usines telles que Renault et Saint Gobain fermées pendant plusieurs jours.

Devant ces menaces de plus en plus nombreuses et inventives, le métier de responsable cybersécurité a le vent en poupe — et pour longtemps. Ceux des systèmes et réseaux recrutent 4 fois plus que le reste des métiers du marché de l’emploi. Le métier de responsable cybersécurité, 8 fois plus.

Anatomie d’une fonction technique, stratégique et agréablement geek.

 

Notre expert

 

Antoine Botte est Président et Directeur Général de SAFE-Cyberdéfense.

Très tôt, Antoine s’intéresse à l’informatique. Polyvalent, il commence par de la maintenance informatique, s’intéresse ensuite aux réseaux d’entreprises ainsi qu’au développement.

En 2013, il entreprend la Licence Professionnelle en sécurité informatique de l’IUT de Valenciennes, suivi par le Master en Sécurité informatique de l’ESGI. Pendant ce master, il découvre de nombreuses solutions de sécurité très réputées.

Rapidement conscient des faiblesses des solutions vendues aux clients, il a créé sa société il y a trois ans, pour proposer une solution sur-mesure de remplacement aux anti-virus poreux du marché.

Antoine a su greffer sur son profil de développeur des compétences en cybersécurité, un développement de carrière particulièrement recherché à l’heure actuelle.

 

Des attaque protéiformes

 

Pour notre expert, les attaques de hackers peuvent prendre des formes très diverses.

Premièrement, il y a celles qui sont permises par les failles dans le développement vieillissant de certains sites. Antoine explique : “Auparavant, il y avait énormément de sites développés avec des langages anciens, dont les failles permettaient de voler des données. Aujourd’hui, les langages et frameworks récents permettent de sécuriser les sites by design, (Python, Django) et les règles de sécurité permettent d’éviter que les sites soit perméables. Tout cela est automatisé : les menaces sont donc toujours présentes sur les sites qui ne sont pas passés à ces technologies, mais ce sera de moins en moins le cas.

Ensuite, les menaces les plus courantes à l’heure actuelle sont les “ransomwares”, des logiciels malveillants développés pour infecter tous types de terminaux (les smartphones, postes de travail, iPads, ou même les objets connectés). Ces programmes prennent en otage les données de l’utilisateur contre rançon (et encore, quand on récupère les données après rançon…). Selon Antoine, en quelques lignes de code, “on peut développer un programme qui chiffre vos données personnelles pour les rendre inaccessibles, il suffit ensuite de demander une rançon à l’utilisateur au travers d’une adresse bitcoin et le tour est joué.

Les cryto-mineurs sont d’autres menaces plus insidieuses. Le bitcoin et la blockchain utilisent les ressources d’un terminal pour générer de l’argent. Or, certains hackeurs utilisent la puissance de calcul d’ordinateurs infectés pour générer des crypto-monnaies qui leurs reviennent, à l’insu du propriétaire de la machine. Cela utilise anormalement la machine, en la mobilisant en permanence, et réduit donc sa durée de vie. Antoine affirme que c’est parmi les attaques les plus courantes en ce moment.

Et dans 5 à 10 ans ? Antoine voit se dessiner des menaces liées aux GAFAM (Google, Amazon, Facebook, Apple, Microsoft). Aujourd’hui, tout est stocké dans le Cloud. Même Microsoft vient de racheter Github.

Le jour où on piratera Facebook, ou même Microsoft, cela fera du bruit, car les hackers auront dérobé les données de millions de personnes ou même celles d’entreprises.

Quoi qu’il en soit, il sera toujours nécessaire de sécuriser les terminaux des utilisateurs qui accèdent à ces données, surtout parce que les utilisateurs sont souvent responsable de l’infection de leurs machines en cliquant au mauvais endroit au mauvais moment.

D’autres attaques pourraient proliférer, notamment avec le développement de l’intelligence artificielle, qui va complexifier les cyber-attaques, et l’explosion du nombre d’objets connectés, qui présentent souvent des failles faciles à exploiter.

 

La cybersécurité, un domaine technique

 

Ce domaine est stratégique pour les entreprises comme les particuliers. Dans un contexte où la donnée est partout, la sécuriser devient primordial. Les terminaux à sécuriser sont aussi en évolution permanente : ordinateurs, smartphones, tablettes, mais aussi aujourd’hui nombre d’objets connectés. Et la tendance est à la multiplication et des terminaux à sécuriser, et des types de menaces. Les responsables et ingénieurs sécurité ont donc de beaux jours devant eux, et de beaux défis, puisque ce métier exige des compétences techniques mises à jour régulièrement pour palier aux attaques impossible donc de vous ennuyer tout au long de votre carrière.

Alors, quels sont les pré-requis techniques à l’heure actuelle ? Pour pouvoir exercer cette spécialité, il est préférable d’avoir de très bonnes bases en développement. Antoine nous confirme qu’il existe plusieurs niveaux de connaissances en développement requis pour exercer différentes spécialités en sécurité informatique.

Pour de l’audit de code on n’a pas forcément besoin de développer, il a des solutions payantes, mais souvent moins efficaces. De même, pour faire des tests d’intrusion, il existe pas mal d’outils sur Internet pour se faciliter la tâche. Python peut ensuite être un gros plus pour automatiser des choses.

Pour sécuriser une application par contre, il faut savoir développer, et notamment maîtriser les frameworks récents. Il existe bon nombre de framework orientés sécurité, basés sur du modèle de données. De même, si on fait de la sécurité applicative ou de la recherche de vulnérabilités sur des logiciels, il faut faire du C, et maîtriser l’assembleur pour comprendre ce qu’il se passe dans la mémoire et le processeur de la machine.

 

Un métier en forte demande

 

On a besoin de responsables cybersécurité dans tous les secteurs, et ce sera de plus en plus le cas, affirme Antoine. “Des robots se baladent sur Internet pour voir si votre site est vulnérable, en permanence. Si c’est le cas, votre site peut ensuite servir pour d’autres attaques en hébergeant du contenu malveillant. Donc, même le plus innocent des sites peut héberger à son insu des malwares ou être utilisé comme relais de spam. Et toute entreprise présente sur Internet doit se protéger pour ne pas être la cible des cyber-pirates”, renchérit-il.

Le marché ne fait que grossir, et pas mal de postes différents sont à pourvoir. En tant que responsable cybersécurité, vous vous situez à un niveau stratégique dans l’entreprise : vous sécurisez les données, souvent décrites comme le nouvel or noir.

Pas étonnant donc que de nombreuses configurations de postes existent pour attirer les “talents” qui possèdent ces compétences rares. Vous pouvez trouver un poste dans une PME ou dans un grand groupe en CDI. Travailler comme consultant directement chez ses propres clients est également possible. Enfin, le télétravail est également envisageable, notamment si on se spécialise dans la recherche de malwares, car cela peut être fait de manière indifférenciée à distance.

 

Est-ce pour moi ?

 

Voici les principales qualités nécessaires pour exercer ce métier :

  • Discrétion et éthique, car le responsable cybersécurité manipule des données sensibles d’une entreprise ;
  • Organisation et capacité à anticiper, tant pour colmater les failles que pour prévoir un programme sécuritaire efficace ;
  • Pédagogie, pour faire passer aux collaborateurs les règles de sécurité globales ;
  • Résistance au stress, pour gérer les crises ;
  • Curiosité et pro-activité, pour se tenir au courant des nouvelles menaces et faire sa veille technologique mais aussi pour proposer les grandes orientations de la stratégie en sécurité de l’entreprise ;
  • Capacité à manager une équipe, particulièrement en cas de crise ;
  • Esprit analytique et autonomie, capacité à chercher des solutions.

Antoine résume : 

Si on aime bidouiller son ordinateur et surtout se casser la tête pendant des heures en cherchant, sans savoir si on va y arriver, c’est fait pour nous. Il faut aussi aimer l’informatique, avoir l’esprit créatif, être très analytique et logique.

 

Antoine vous a convaincu des aspects passionnants de ce métier ?

Consultez le programme du Master de l’Université de Technologies de Troyes pour devenir Responsable en sécurité des systèmes d’information sur OpenClassrooms.

 

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Comment se passe la première session de mentorat ?

Vous venez de vous abonner à un parcours de formation sur Openclassrooms et l’équipe des conseillers pédagogiques vient de vous affecter votre mentor qui vous accompagnera chaque semaine, en visio-conférence pendant une session de 45 minutes à 1h. Ce sera l’occasion pour vous de lui poser toutes vos questions sur la formation, et pas que…

Alors, comment est-ce que votre première séance de formation va-t-elle se passer ?

Je m’appelle Vincent Verdier, et je suis mentor chez OpenClassrooms. En parallèle, je suis freelance en marketing digital, j’accompagne les entreprises à se développer sur Internet en structurant leur approche marketing au travers des réseaux sociaux, de la publicité mais également de l’expérience client lors d’un achat sur leur site internet ou dans leur boutique physique. Je travaille également beaucoup sur l’analyse des données générées pour optimiser et améliorer mes différentes actions.

Je vous aiderai à vous imaginer cette première session et vous guiderai pour qu’elle se passe au mieux.

 

Mon mentor a pris contact avec moi, comment se passera la première session ?

 

Pas de stress : bien.
Cette session sera l’occasion pour vous et votre mentor de faire connaissance. En effet, vous allez travailler sur un ou plusieurs projets de votre parcours, forcément, ça crée des liens !

Lors de cette première session, votre mentor vous expliquera son parcours et ses missions au quotidien. Eh oui, chez OpenClassrooms, tous les mentors sont des professionnels du métier et c’est leur expertise qu’ils partageront avec vous à l’occasion des sessions. Vous verrez, grâce à lui ou elle, vous apprendrez vite les ficelles du métier, vous progresserez et monterez ainsi plus rapidement en compétences.

Ce sera également l’occasion de mieux vous connaître. Pendant cette session, vous pourrez lui expliquer votre objectif, lui raconter ce que vous faisiez avant, comment vous vous projetez dans le monde professionnel. Ce sera aussi le moment de lui partager vos méthodes de travail préférées, vos doutes… Une rencontre et un grand tour d’horizon, donc.

 

J’ai peur d’avoir un bug technique pendant la session. Que faire ?

 

Je stresse. C’est grave docteur ?” Non c’est normal. Mais, rassurez-vous, cela va aller comme sur des roulettes !

Voici quelques conseils pour éviter le bug 404 :

  • Installez-vous dans un endroit calme, lumineux et dans lequel vous aurez une bonne connexion Internet afin d’éviter toute coupure lors de la session.
  • Assurez-vous également d’avoir bien configuré votre caméra et votre micro ou votre casque audio le cas échéant. Cela évitera de perdre du temps au démarrage de la session avec des soucis techniques.
  • Testez votre configuration avant la session avec un ami à vous en appelant sur Hangouts, par exemple.

 

Et après cette présentation, qu’est-ce qu’on va se dire ?

 

Une fois les connaissances faites, votre mentor entrera dans le vif du sujet et vous expliquera comment devrait se passer la formation à distance sur OpenClassrooms.

En général, votre mentor vous donnera quelques conseils pour vous aider à vous organiser au quotidien dans votre apprentissage, ainsi que dans l’atteinte des objectifs que vous vous fixerez ensemble entre chaque session. Pas d’inquiétude non plus si vous êtes en apprentissage ou que vous êtes salarié, votre mentor fixera avec vous des objectifs qui s’adapteront à votre rythme de travail.

Il vaut mieux avancer petits pas par petits pas en se donnant des objectifs réalistes et atteignables plutôt que d’être trop ambitieux et de ne pas avancer du tout.

Votre mentor en profitera pour vous expliquer également comment se passeront les étapes de validation des projets (les soutenances). Avant chaque soutenance, il vous répètera les consignes de ces dernières pour être sûr que cela se passe bien. Dans un second temps, vous verrez avec lui comment vous organiser pour partager vos documents de travail afin qu’il puisse en prendre connaissance pour préparer vos prochaines sessions.

Ensuite, dès que vous aurez bien compris le fonctionnement de la formation, vous pourrez démarrer. Votre mentor vous expliquera alors l’objectif du premier projet, les compétences à valider pour le réussir et le travail à faire. Certains d’entre vous auront déjà entamé ou terminé le premier projet. Cette session sera l’occasion pour vous de présenter votre travail à votre mentor, il vous donnera son avis et vous aidera à l’améliorer (si nécessaire) en vous donnant des éléments pour le retravailler afin d’acquérir les compétences visées par le projet.

 

Les sessions de mentorat, un moment d’échange

 

Profitez de vos sessions de mentorat pour poser vos questions à votre mentor.

Il n’y a pas de question idiote : si vous vous la posez, elle est pertinente. C’est l’occasion d’éclaircir un point mal compris dans le cours ou l’énoncé du sujet. Vous pouvez également échanger avec votre mentor sur des questions d’ordre technique ou sur des sujets d’actualité en lien avec votre parcours. Par exemple, un étudiant en community management pourrait très bien demander l’avis à son mentor sur un logiciel de gestion des réseaux sociaux qu’il aurait trouvé en lisant un article sur un blog spécialisé.

Les sessions de mentorat sont un moment d’échange très intéressant pour vous, n’hésitez pas à tirer profit de chacune d’elles pour aller plus loin dans la formation.

Ça y est, la session tire à sa fin. Votre mentor organisera avec vous le travail à faire pour la semaine suivante en vous donnant des éléments pour avancer de votre côté. N’ayez crainte si vous êtes perdu au cours de la semaine, vous pouvez solliciter la communauté Workplace pour poser des questions et nouer des liens avec d’autres étudiants. Et si vous ne trouvez pas de solution, ce sera l’occasion de la poser à votre mentor lors de votre prochaine session.

[À lire ensuite :

Être freelance, une mission importante, par Bertrand Deloffre
Comment démarrer un projet ?
Comment bien préparer ma soutenance ?
Peut-on changer de mentor ? ]


À propos de Vincent : 

Vincent est indépendant en marketing digital depuis 2015. Il est spécialisé dans l’acquisition de prospects qualifiés au travers du référencement naturel ou de la publicité en ligne (Facebook Ads et Google Adwords). En parallèle, il forme des adultes dans ce domaine et complète son bagage par une VAE de formateur qu’il réalise actuellement avec Openclassrooms.

 

 

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Le parcours de Laure : d’OpenClassrooms à Gameloft, au Canada

Par : Nora Leon

Laure, c’est l’histoire d’une reconversion improbable réussie. Notamment grâce à un passage par la formation Développeur d’applications Python d’OpenClassrooms qui lui a permis de se forger de nouvelles compétences professionnelles dans le domaine de la programmation et du développement web, une passion qu’elle ne soupçonnait pas jusqu’alors.

 

D’abord, une reconversion

 

Laure a été chimiste analytique dans l’industrie pharmaceutique pendant près de treize ans. Au cours de cette période, elle a travaillé dans quatre entreprises différentes, de Paris à Montpellier en passant par l’Alsace. Jusqu’à la dernière qui l’a emmenée à Montréal au Québec, puis qui a dû supprimer son poste pour des raisons économiques.

 Le 6 décembre 2016, j’ai appris que mon poste de chimiste serait supprimé après mon congé maternité qui courait jusqu’en avril 2017. J’ai finalement été payée à rester à la maison pendant 4 mois, en guise d’indemnités de départ. Avant d’entamer mes démarches pour me former au code, j’étais installée au Canada depuis près de de trois ans, et plus de deux ans que j’étais à la maison, depuis ma 2ème grossesse.  

Suite à la perte de son emploi, Laure a envoyé des candidatures et entamé des démarches pour retrouver un poste dans la chimie, mais sans grand succès.

 

La découverte du code

 

C’est à l’occasion d’un atelier parent-enfant dédié à la découverte de la programmation informatique que Laure découvre le code. Avant même d’y participer, au moment de son inscription, elle commence à se renseigner sur ce monde a priori à l’opposé du sien.

Après avoir visionné une vidéo très inspirante de Ludwine Probst qui racontait son parcours, je me suis demandé pourquoi je n’étais pas devenue développeuse à 20 ans… Avec le recul, j’ai trouvé 3 réponses :

 

parce que je pensais que c’était pour les gens (vraiment !) intelligents, et que je me suis longtemps dévalorisée de ce point de vue-là.

 parce que je pensais que « l’informatique n’était pas pour les filles ». Maintenant, ça me fait simplement sourire d’avoir pensé cela car ce n’est plus le cas aujourd’hui.

parce que je pensais aussi qu’il fallait être un peu asocial pour passer sa vie devant un écran d’ordinateur et ce n’était pas l’image que j’avais de moi. Aujourd’hui, je sais que j’ai un grand besoin de m’isoler pour être heureuse et je n’en tenais pas compte avant.

Ludwine Probst qui raconte son parcours sur YouTube

 

La formation

 

En parallèle, Laure découvre le site d’OpenClassrooms.

J’ai découvert des vidéos sur YouTube et j’ai commencé un premier cours gratuit. Ensuite, j’ai consacré tout mon temps libre à suivre des cours. Les semaines puis les mois ont passé, pendant que je développais un intérêt toujours grandissant pour la programmation informatique.

Dans un deuxième temps, un rendez-vous téléphonique avec la conseillère pédagogique d’OpenClassrooms m’a aidée à confirmer le choix de mon parcours. Ce serait : développeur d’application – Python.

A partir de ce moment-là, je me suis concentrée sur les cours gratuits du parcours, afin d’être opérationnelle pour démarrer le parcours mentoré. Pour lequel j’ai choisi Thierry Chapuis comme mentor, qui m’a appris que le langage Python était également utilisé en laboratoire ! Alors, reconversion ou pas finalement ?

 

Une expérience professionnelle et un contrat chez Gameloft !

 

Pendant les mois qui suivent sa découverte du code, Laure boucle 8 des 13 projets du parcours qui se rapportent à la formation Python. Forte de son nouveau savoir et de ses compétentes toutes fraîches, elle se lance à la recherche d’un stage d’application dans une entreprise.

Issue du domaine de la chimie, elle n’a pas de réseau à Montréal dans le champ du code. Néanmoins, une des ses amies proches travaille chez Gameloft et lui fait savoir qu’ils y recrutent régulièrement des développeurs. On peut même dire que les étoiles s’alignent pour Laure, puisqu’à ce moment-là, c’est précisément un stagiaire en Python qu’ils recherchent ! Elle envoie donc son CV et un peu plus d’un an seulement après avoir tapé sa première ligne de code seule chez elle, Laure est reçue chez Gameloft :

J’ai enchaîné les cours sur OpenClassrooms sans jamais avoir l’occasion d’échanger en réel avec des codeurs confirmés (sauf les mentors en visio).

Je me sentais honorée d’être ainsi reçue et écoutée par des développeurs professionnels pendant 1h. Aussi incroyable que cela puisse paraître, l’entretien s’est merveilleusement déroulé. Notez qu’avec mes presque 37 ans, j’étais de loin la personne la plus âgée de la pièce.

J’ai raconté mon parcours et comment j’en étais arrivée à reprendre des études pour changer de branche. L’équipe a été très intéressée que j’explique en détails ma formation avec OpenClassrooms, j’ai notamment raconté que j’avais été séduite par le système de mentorat que je trouvais très efficace. Mes futurs collègues se sont montrés très ouverts et curieux. Ils m’ont finalement demandé d’aller au tableau blanc pour l’exercice du FizzBuzz ! Par chance, je l’avais fait un an plus tôt dans un cours et je m’en souvenais assez clairement.

 

Suite à cet entretien, Laure a bel et bien été prise en stage chez Gameloft. Elle a donc intégré une équipe dans le studio où les jeux sont créés avant de sortir dans le monde entier. Elle gère des services assez transversaux comme l’authentification des joueurs, le stockage des données, le tableau des scores.

Ma mission est d’écrire des tests d’intégration sur le code de ces services qui est en place depuis plusieurs années et sur lequel on a besoin d’avoir davantage confiance, de façon à pouvoir envisager des modifications d’architecture conséquentes sans avoir peur de tout casser ! C’est du pur backend, 100% en Python !

En plus d’apprendre énormément de choses, je sens qu’on me fait confiance et qu’on tire partie de mon parcours atypique. Par exemple, depuis mes premières semaines à Gameloft, je participe aux entretiens de recrutement avec mes chefs à la recherche de nos futures perles rares (on a besoin de développeurs !) … c’est fou quand j’y pense. 

 

Pour Laure, tout a été question de chance, de coïncidences, de persévérance et de rencontres au bon moment, encouragée par la formation OpenClassrooms. L’histoire est d’autant plus belle que lors de son recrutement, on a sous-entendu à Laure qu’elle pourrait éventuellement prolonger son contrat à l’issue du stage, si elle le souhaite.

 

À propos d’Aglaé : 

Aglaé est auteur-rédacteur. Elle a fondé Word Shaper, une agence créative qui propose des services d’écriture, de consulting et de conception.

 

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DevOps, le rôle entre IT et Développement qui nous vient des États-Unis

Par : Nora Leon

Historiquement, les développeurs et professionnels des systèmes et réseaux (encore appelés professionnels de l’IT) travaillaient plus en parallèle que de concert. Des développeurs créent donc parfois des livrables peu adaptés aux infrastructures de l’entreprise.

À l’heure actuelle, ces situations frustrantes sont de plus en plus rares. Les équipes s’organisent en effet pour mieux travailler ensemble, et ce grâce au nouveau facilitateur fraîchement arrivé des États-Unis : le DevOps.

Nous avons rencontré Amine Benseddik, qui exerce ce rôle en start-up depuis quelques années, pour comprendre en quoi consiste ses responsabilités.

 

Notre expert

 

Amine Benseddik a un profil équilibré entre du développement et de l’administration de systèmes et réseaux. Naturellement, il prend en charge le rôle de DevOps dans plusieurs structures. Il nous explique :

Au départ, j’ai fait une formation d’administrateur systèmes, mais je n’ai pas pour autant vraiment tranché entre l’infrastructure et le développement. J’ai eu les deux casquettes à différentes reprises, et par conséquent pour moi c’était naturel de faire les deux. Hors, dans ce métier, il faut être à l’aise dans les deux.

Aujourd’hui, DevOps chez Qonto et riche de cette grande diversité de missions et des échanges avec toutes les équipes que ce rôle comprend nécessairement, Amine ne ferait marche arrière pour rien au monde.

 

Qui est le DevOps ?

 

Sa mission secrète, mettre du liant entre les développeurs et les administrateurs systèmes. Les produits sont donc facilement intégrés à au réseau de l’entreprise, là où c’était moins évident il y a quelques années.

Traditionnellement, on avait les équipes de développement, les administrateurs systèmes et au milieu… un vide. Les développeurs travaillaient, mais l’équipe système n’arrivait pas à mettre en production. Et donc certains produits n’arrivaient jamais en prod, car ce qu’on fournissait aux administrateurs ne correspondait pas à ce qui pouvait être pluggé sur leurs installations. Aujourd’hui, le devops vient fluidifier tout ça.

Ce rôle est récent. Amine insiste, au départ c’était un rôle que prenait un élément polyvalent de l’équipe au sein du projet.

Ce n’est pas un métier, c’est plus une méthodologie ou un ensemble de pratiques, aujourd’hui rassemblé au sein d’un métier. C’est partagé entre le développeur et l’administrateur systèmes. Aujourd’hui on tend à prendre des profils qui ont ces deux compétences et on appelle ça le DevOps.

Les besoins sont devenus tels que startups et grands groupes recrutent directement à ce rôle : “On a vu arriver les DevOps en force à partir de 2010. À présent, c’est tellement rentré dans les mœurs que ce rôle devient un métier à part entière. Le DevOps a la mission centrale de créer le pipeline de livraison du début à la fin”.

Très concrètement, Amine propose au quotidien aux développeurs “tous les outils qui leurs permettent d’être autonomes sur le développement, le test et la livraison de leur application en production”.

Ce métier est passionnant pour sa pluridisciplinarité. Pour Amine,

C’est grisant de pouvoir couvrir un scope technique très très large et d’être un point central de la vie de l’équipe technique.

 

Pourquoi les DevOps sont-ils recherchés ?

 

En un mot, car ils créent de l’agilité au sein des équipes développement et IT.

Le DevOps est d’abord intervenu dans les startups.

C’est quasiment intégré dans l’ADN de la startup, car le DevOps amène beaucoup d’agilité : il amène le développement en production sans freiner la vélocité de l’équipe. On le retrouve très en amont du développement de la startup, et c’est souvent un développeur qui prend ce rôle.

Mais aujourd’hui, les entreprises plus établies et notamment les grands groupes voient bien l’intérêt de ce rôle : “savoir intervenir sur une infrastructure, la mettre en place, la superviser, l’exploiter, et travailler avec des développeurs pour contribuer au développement des applications, et donc ouvrir la chaîne du développement jusqu’à la mise en production”.

Le DevOps assure donc un certain rythme de production. “C’est le nerf de la guerre, assure Amine. La question, c’est comment amener le plus rapidement possible les nouvelles fonctionnalités en production, et ce sans interruption. C’est ce qui permet aux startups d’aller très vite, de corriger des bugs très rapidement en production, et cela se répand aussi dans les autres types d’entreprises”. Pas étonnant donc que ces fonctions fleurissent au sein d’entreprises de toutes tailles et de tous secteurs. Plus de 1500 postes sur Indeed en permanence, à Paris mais aussi dans plusieurs grandes villes telles que Lyon, Bordeaux, Toulouse, Lille, Nantes, Rennes, Montepellier ou Grenoble.

 

Se lancer en tant que DevOps, mode d’emploi

 

Acquérir un cocktail de compétences

À rôle polyvalent, cursus polyvalent. Certaines formations existent déjà pour devenir DevOps, même si le plus souvent ces professionnels font encore simplement la synthèse de leurs compétences pour les utiliser dans ce rôle, comme Amine.

Dans le parcours DevOps à équivalent Bac +5 d’OpenClassrooms, il vous sera demandé un équivalent Bac +3 en IT ou en développement avec des bases en IT, ou de justifier d’une expérience en SI et développement.

Développer sa capacité à apprendre

Vous devrez développer une bonne maîtrise du code, mais surtout une curiosité par rapport aux nouvelles technologies et une bonne capacité à apprendre en continu, pour emmagasiner les nouveaux langages utiles.

Il y a tellement de nouvelles technologies et d’outils, qu’il faut expérimenter. C’est comme si j’étais toujours à l’école, j’apprends toujours de nouveaux langages car il faut être aligné avec les équipes de dev, et sur les nouvelles technos en termes d’infrastructure, comme Kubernetes, et plus on en fait, plus ça devient facile et naturel de passer de l’une à l’autre. Ce qu’il faut apprendre c’est à tester, expérimenter, se mettre à niveau pour ne pas être déphasé avec le marché.

Rester passionné

C’est un cursus à faire uniquement quand on est passionné par le développement, l’IT, la gestion de projets et le développement produit. Le métier bouge énormément et le DevOps a deux fois plus de choses à emmagasiner quand elles évoluent, puisqu’il doit rester à la pointe de deux fonctions.

Être DevOps, c’est difficile, il faut avoir les deux compétences et avoir l’envie d’apprendre. Donc, il faut se demander si on veut être le point central qui peut être aussi le point de contention. C’est un métier où l’on a beaucoup de pression, et tout le monde n’est pas fait pour la gérer. Mais si on est sûrs d’être intéressé par les deux et de pouvoir tenir les délais, c’est vraiment là qu’on s’éclate le plus.

 


Envie d’apprendre ce métier ? 

Renseignez-vous sur le parcours DevOps d’OpenClassrooms.

 

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Comment créer un portfolio convaincant ?

Au-delà du CV et de la lettre de motivation, lorsque l’on postule pour un job, le portfolio peut compléter la candidature de manière pertinente.

C’est une plateforme plus vaste pour mettre en avant vos compétences, et les projets sur lesquels vous avez déjà travaillé.

Il est particulièrement recommandé dans le cas de métiers créatifs : rédaction, graphisme, audiovisuel, mode etc.

Dans tous les secteurs, la concurrence est de plus en plus rude. Mettre en avant ses réalisations concrètes est donc un atout pour vous distinguer des autres candidats. A vous donc de mettre toutes les chances de votre côté en créant un portfolio convaincant, à la hauteur de vos qualités !

 

Que faire apparaître dans votre portfolio ?

 

Il est à ajuster selon votre domaine d’expertise et ce que vous souhaitez mettre en avant au regard du poste pour lequel vous postulez. Un seul objectif, montrer toute l’étendue de vos compétences ! Le portfolio doit donc être à votre image, il doit vous ressembler et vous représenter. Concrètement, que faire apparaître ?

Christophe Vallot est un professionnel du recrutement, formateur chez RHConcepts, mentor chez OpenClassrooms et web développeur. Voici ce qu’il conseille :

Je dirais que la question qu’il faut se poser au préalable est : « Quelle est ma cible ? ». En effet, le portfolio doit permettre de convaincre de nouveaux clients pour un freelance, des recruteurs ou des employeurs pour un poste en tant que salarié.

Le contenu du portfolio pourra alors sensiblement varier selon que l’on désire illustrer un ensemble de compétences au travers de projets déjà réalisés ou bien encore mettre l’accent sur sa personnalité et/ou son univers pour accroître son potentiel séduction.


Triez, personnalisez

Sélectionnez les échantillons des projets les plus pertinents, dont vous êtes le plus fier, dont vous avez le plus appris, grâce auxquels vous avez surmonté des difficultés particulières.

Il est indispensable de faire le tri et de ne pas tout mettre, pour ne pas écoeurer le recruteur, qui cherche spécifiquement une personne pouvant répondre spécifiquement à son besoin.

Privilégiez les travaux terminés et qualitatifs, ainsi que les expériences qui font le plus écho avec le job pour lequel vous êtes en train de postuler. L’avantage du portfolio, c’est qu’il est plus visuel que le CV ou la lettre de motivation, donc selon votre spécialité et votre cible, faites apparaître les photos, les vidéos ou les textes associés à vos projets.

Mettez en avant des cas d’étude

C’est très convaincant pour un recruteur ou un potentiel client de pouvoir comprendre vos méthodes de travail et ce qui fait de vous quelqu’un de compétent. Essayez de trouver un moyen de présenter la chronologie d’un projet dont vous êtes particulièrement satisfait par exemple.
Surtout si vous êtes développeur ou designer, montrez les sites que vous avez réalisés pour prouver vos compétences.

Faites-vous recommander

Aussi, il peut être intéressant pour convaincre le recruteur, de
faire apparaître des recommandations dans votre portfolio. Avez-vous un collègue, un ancien employeur ou un de vos clients réguliers qui pourraient apporter une opinion positive sur votre travail et vos qualités ? Mentionnez-le pour appuyer votre candidature ! Tous les moyens sont bons pour faire la différence.

 

Quelle forme adopter ?

 

Le recours au portfolio est de plus en plus courant, donc encore une fois, il est indispensable pour vous, de réussir à trouver le parfait équilibre entre faire la différence mais ne pas en faire trop non plus. En effet, sachez rester simple pour être efficace. Évitez le superflu dans la forme qui viendrait parasiter la compréhension du fond.

  • Pour simplifier la tâche à votre lecteur, organisez le portfolio de la façon la plus claire possible, en commençant par y insérer une table de matières. 
  • L’ensemble doit être visuel : organisez vos contenus sous formes de rubriques thématiques ou chronologiques, selon ce qui est le plus approprié.

Christophe Vallot recommande d’insérer un « texte de présentation incluant le poste recherché, une accroche personnalisée, quelques « soft skills » et bien sûr le domaine d’expertise.
Des « call to action » peuvent y être associés afin de faire le lien vers les projets, le formulaire de contact ou des pièces à télécharger, comme le CV par exemple
. N’oubliez pas d’ajouter un formulaire de contact pour un échange rapide et un lien vers vos réseaux sociaux ».

La question que vous devez également vous poser : est-ce que vous souhaitez créer un portfolio sous forme d’un dossier, PDF par exemple, ou sur une plateforme en ligne. En soi, peu importe à moins qu’encore une fois, ce soit l’occasion de mettre en avant certaines de vos compétences. Si vous êtes webdesigner par exemple, il est légitime de privilégier un portfolio en ligne.  Il faut veiller également à ce que le support utilisé se conforme à un certain nombre de « standards du Web ». Il serait dommage que votre support ne soit pas conforme au W3C ou ne respecte pas les normes d’accessibilité.

Tout comme le CV, il faut distinguer la forme et le fond. Pour la forme, on peut s’intéresser aux tendances design du moment et parcourir les portfolios de la  concurrence afin de trouver l’inspiration. De nombreux modèles sont à disposition mais attention à le personnaliser suffisamment pour ne pas donner l’impression d’un énième clone.

 

Les meilleurs outils pour créer un portfolio

 

Bootstrap est un site de référence pour mettre en avant vos créations, et qui propose de nombreux templates gratuits pour vous aider à démarrer.

Triangly est une plateforme gratuite ; vous pouvez y charger des créations à partir de votre DropBox.

Carbonmade est l’option du portfolio en ligne gratuit qui a en plus la particularité de pouvoir télécharger des vidéos et animations !

Behance est la plateforme des créatifs, sur laquelle vous pouvez référencer vos projets.

Cargocollective est également une plateforme qui séduit les artistes et professionnels de la création pour mettre en avant leur portfolio de façon élégante.

 

[ À lire ensuite :

Construire l’argumentaire imparable pour décrocher votre job
8 conseils pour piquer la curiosité des recruteurs 
Entretien d’embauche : les pires et meilleures questions à poser ]

 

À propos d’Aglaé : 

Aglaé est auteur-rédacteur. Elle a fondé Word Shaper, une agence créative qui propose des services d’écriture, de consulting et de conception.

 

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Anaïs et Olivier, l’amour du code, mais pas seulement !

Par : Nora Leon

Avez-vous déjà fait rimer PHP avec… Bébé ? Bien sûr que non.

Et pourtant, Lena, qui a soufflé sa première bougie le 10 février, est la princesse de ses deux parents développeurs. Anaïs, jeune codeuse en alternance avec 50 cours à son actif sur la plateforme, et Olivier, ancien militaire autodidacte en développement web, aujourd’hui Tech Lead et mentor chez OpenClassrooms. Qui ont tous deux appris le développement chez OpenClassrooms.

Pour la Saint Valentin, nous leur avons posé quelques questions de code… et de love.


LOVE – Qu’est-ce que cela fait d’être ensemble et développeurs dans la même boîte ?


Elle : C’est étrange. On se voit tout le temps : au travail et chez nous. Ce qui demande le plus d’adaptation, c’est de différencier l’Olivier du bureau, qui s’adresse à nos collègues, de mon compagnon. Mais on s’y fait petit à petit et cela se passe bien.
Lui: Au début, c’est un peu bizarre, tout se mélange. Mais cela a aussi des avantages. Au moins, contrairement à plein d’autres couples, on se comprend quand on parle travail !


CODE – Que préfères-tu dans le code ?


Lui : J’adore apprendre de nouvelles technos. Et déconstruire petit à petit le côté « magique » du code en allant toujours plus loin pour comprendre comment tout fonctionne.
Elle : Le fait d’apprendre en continu, tous les jours. C’est stimulant !

 


LOVE –
La qualité de ta moitié que tu préfères ?


Elle : Sa patience d’ange, que j’ai mise à rude épreuve ces dernières années (rires).
Lui : Le fait qu’Anaïs m’accompagne et me pousse dans tout ce que j’entreprend. C’est un moteur pour moi et elle m’a grandement aidé à devenir qui je suis aujourd’hui.


CODE – Son meilleur atout en code ?


Lui : Sa curiosité et sa ténacité.
Elle : Sa détermination.

 

LOVE – Qu’admires-tu chez Anaïs – Olivier ?


Lui : Sa détermination de fer. Souvent, elle me bluffe ! Il fallait la voir à l’hôpital, à suivre ses cours en jonglant entre code et biberons, juste après la naissance de notre fille.
Elle : Lorsque nous nous sommes rencontrés, Olivier était militaire en Lorraine. Il savait qu’il ne reconduirait pas son contrat dans l’armée de terre, mais pas encore ce qu’il allait faire. J’avais une peu peur de le voir quitter ce poste qui nous assurait un revenu. Puis, il s’est lancé dans le développement avec seulement son Bac. Il n’a jamais lâché, et cela a payé. J’admire énormément sa ténacité, sa patience et sa très grande volonté.


CODE – Ton défi professionnel ? Et dans la vie ?


Lui : Au boulot, continuer à prendre plus de responsabilités en tant que Lead Dev. Dans la vie, déménager pour habiter dans une plus grande maison.
Elle : En tant que dev, j’aimerais gagner en autonomie. Et exécuter les tâches qui me sont attribuées plus rapidement. Mais cela viendra avec la pratique. Et côté vie personnelle, j’aimerais prendre plus de temps avec Lena et Olivier, en lâchant un peu nos écrans.


CODE + LOVE : Vous voulez que votre fille soit une petite geek ?

 

À l’unisson : OUI !

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Technicien informatique & administrateur réseau vus par un pro

Il y a des jours où l’on arrive au bureau plein de motivation et de bonnes intentions. Et puis, sans aucune explication, notre ordinateur plante, ou l’imprimante de la boîte n’imprime plus, ou le mystérieux dossier sur lequel nous travaillons depuis des semaines ne s’enregistre pas. Vent de panique !

Mais avant que notre crise d’angoisse ne prenne de trop grandes proportions, nous composons le numéro du technicien informatique en charge de notre service : « Je comprends pas, ça marche plus ». Quand tout semble aller mal, les techniciens informatiques d’une entreprise, chapeautés par l’administrateur systèmes et réseaux, sont les sauveurs du quotidien.

 

Le technicien informatique, garant des systèmes et réseaux de l’entreprise….

 

A l’heure où toutes les entreprises fonctionnent au rythme des ordinateurs, téléphones, tablettes et autres appareils électroniques ou numériques, le technicien informatique fait figure de pierre angulaire. Son rôle est d’installer de la façon la plus optimale le système informatique : brancher les bons câbles aux bons endroits, assurer la mise en réseau des appareils informatiques, et assurer le bon fonctionnement de l’ensemble pour les utilisateurs.

Dans un deuxième temps, le technicien est également en charge de l’entretien et de la maintenance du parc informatique. Il doit à la fois intervenir pour des dépannages lorsqu’ils surviennent, et également les anticiper en amont pour éviter qu’ils ralentissent l’activité de l’entreprise ou du service.

Gildas Thomas a été technicien informatique avant de devenir administrateur réseau chez OpenClassrooms. Il explique :

Il n’y a pas de journée type pour un technicien informatique. Chaque jour est conditionné par les demandes des utilisateurs, les problèmes de réseau ou sur le matériel lui-même, des problèmes au niveau de l’impression…. C’est vaste. En général, plus l’entreprise est grande, plus le travail est sectorisé et donc le technicien assigné uniquement à certaines problématiques.

 

Sous la houlette de l’administrateur réseau

 

Le technicien informatique est généralement managé par un administrateur système et réseau. Ce dernier est fort d’une expertise plus poussée dans un ou plusieurs domaines et peut répondre pour des problématiques plus complexes. Il intervient lorsque les techniciens sont à cours de solutions, et c’est également la personne qui se doit de proposer et d’anticiper les changements de système, de réseau, d’outils informatiques pour le bon fonctionnement de l’entreprise. Il doit respecter des contraintes de budget d’une part et de productivité, d’ergonomie d’autre part.

Ses objectifs principaux sont d’automatiser les tâches répétitives et de simplifier l’infrastructure au maximum en choisissant les bons outils technologiques.

L’administrateur réseau est également responsable de la cybersécurité du parc informatique et donc de la protection des données des utilisateurs et de l’entreprise.

C’est finalement celui qui doit savoir prendre du recul dans la gestion d’incidents complexes, et être capable de communiquer avec tout type de profils : utilisateurs, techniciens, fournisseurs et prestataires. Là encore, Gildas témoigne :

Il faut être capable de se transposer à la place des utilisateurs, qui parfois se sentent biaisés ou empêchés de travailler lorsqu’il y a des problèmes ou des changements. Il faut pouvoir tout expliquer de façon diplomate et prendre le temps de désamorcer les situations délicates. Un bon administrateur réseau doit comprendre comment travaillent les techniciens informatiques et prendre cela en compte dans sa gestion de projet, les deux métiers fonctionnent main dans la main.

 

Deux métiers aux exigences multiples

 

        Au-delà des connaissances et compétences en informatique, ces deux métiers requièrent de nombreuses autres qualités. Comme nous le savons, le propre du bug est d’arriver au moment le plus inopportun, au moment où évidemment il y a urgence !

Lorsque l’on fait appel aux techniciens informatiques pour nous venir en aide, ils doivent être capables de bien gérer les situations de stress et s’adapter aux problèmes de l’utilisateur.

C’est un métier qui demande également beaucoup de pédagogie et donc de patience puisque la plupart de temps, les techniciens sont face à des novices en informatiques à qui il faut prendre le temps d’expliquer le nouvel outil en place par exemple. Gildas le souligne :

Il est indispensable d’avoir une bonne résistance au stress, car les problèmes sont tous urgents en général. Dans un deuxième temps, c’est aussi être capable de faire face à la résistance au changement des utilisateurs et les accompagner le mieux possible lorsque l’on implante de nouveaux outils qui chamboulent leurs habitudes. Il faut toujours réussir à expliquer pourquoi nous appliquons des changements et pourquoi ils seront bénéfiques sur le long-terme.

Le technicien informatique, comme l’administrateur réseau, est constamment au contact des autres. Ce sont des métiers de service dans lesquels il faut savoir rester jovial et disponible en toutes circonstances, sans attendre de reconnaissance en retour.

Le plus plaisant dans ce domaine est sans doute de ne jamais avoir à faire la même chose deux fois, il n’y a pas de routine puisque chaque jour apporte son lot d’imprévus et de problèmes plus ou moins importants.

Enfin, ce sont des métiers qui sont en constante évolution et pour lesquels il est indispensable d’être particulièrement curieux. Chaque nouveauté technologique peut faire l’objet d’une nouvelle formation et d’un nouvel apprentissage auxquels il faudra ensuite familiariser l’utilisateur.

 

Vous voulez apprendre l’un de ces deux métiers ? 

 

Renseignez-vous sur notre formation Technicien Informatique à équivalent Bac +2, ou Administrateur Infrastructure et Cloud, à équivalent Bac +3.

 

À propos d’Aglaé : 

Aglaé est auteur-rédacteur. Elle a fondé Word Shaper, une agence créative qui propose des services d’écriture, de consulting et de conception.

 

L’article Technicien informatique & administrateur réseau vus par un pro est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.

Qu’est-ce qu’un jury ?

Par : Nora Leon

 

Étudiants en parcours diplômants, vous allez tous devoir passer la mystérieuse et terrifiante épreuve du… Jury final ! Cet article a pour but de vous rassurer : tout devrait très bien se passer.

Vous ressortirez du grand jury aptes à conquérir le monde du travail, à l’aide d’un diplôme tout-frais-tout-neuf et de vos solides compétences.

Alors, qu’est-ce que le jury ? Qui vous évalue et comment ? Peut-on devoir le repasser ? Cet article a vocation à répondre à toutes vos interrogations sur le sujet.

 

Soutenance, jury, quelles différences ?

 


Ce sont deux formes d’évaluations différentes.

Vous passez une soutenance à la fin de chaque projet. Il s’agit de défendre les résultats de votre travail, pour vérifier que vous avez bien acquis les compétences corrélées, devant un mentor évaluateur indépendant (avec qui vous n’avez pas encore travaillé). La soutenance se fait par le biais d’une visioconférence.

À l’issue de cet exercice de 20 à 30 minutes, vos compétences sur ce projet sont soit validées, soit vous avez un retour constructif pour vous aider à acquérir la compétence pour de bon, en retravaillant le projet.

Lors du jury, ni l’apprenant ni le mentor ne sont présents. Le jury est constitué comme suit :
– Un professionnel indépendant : ce n’est ni un mentor ni un professeur chez nous, quelqu’un de totalement objectif sur les compétences à avoir dans son métier
– Un recruteur indépendant dans la spécialité
– Un responsable pédagogique de l’école partenaire si école il y a, ou un second professionnel indépendant, si le diplôme est délivré par OpenClassrooms
– Un représentant des conseillers pédagogiques
– Un responsable pédagogique d’OpenClassrooms qui a une voix consultative.

Cette équipe se réunit pour évaluer votre dossier.

 

Valider vos compétences une fois pour toutes

 

Que signifie “évaluer votre dossier” et pourquoi le jury est-il important ?

C’est avant tout une garantie supplémentaire pour vous. Le jury sert prendre de la hauteur, pour valider une fois pour toutes la cohérence de votre apprentissage et le fait que vous soyiez opérationnel pour exercer votre premier emploi dans votre spécialité.

Les membres du jury examinent tous les éléments du dossier : les projets, les commentaires de sessions de mentorat et de soutenance, les commentaires de soutenances.Il ne s’agit évidemment pas de contredire le verdict du mentor validateur des soutenances. Il s’agit plus d’apporter un regard extérieur et objectif sur la cohérence d’ensemble des rendus.

OpenClassrooms a énormément de données objectives sur le travail de ses étudiants. Donc, lorsque le jury statue en faveur d’une délivrance du titre, cette décision est garante de l’acquisition de la totalité des compétences nécessaires au métier. Une excellente nouvelle, qui devrait vous faire prendre confiance pour trouver un emploi et l’exercer sereinement.  

 

Que se passe-t-il si le jury ne décerne pas le diplôme ?

 

Une question qui revient souvent : “comment pourrais-je rater mon jury si j’ai réussi mes projets ?”. Effectivement, cela arrive que le jury demande à un apprenant de retravailler un ou plusieurs projets.

C’est le cas lorsque les commentaires des sessions de mentorat et ceux d’une soutenance mettent en lumière des difficultés de l’étudiant, et que le livrable est d’une qualité insuffisante aux yeux du jury.

Rassurez-vous : l’immense majorité des étudiants sont diplômés du premier coup. Si vous devez repasser un projet, c’est une excellente occasion de consolider des compétences sur lesquelles vos bases sont encore un peu fragiles, pour attaquer votre futur emploi serein. Et vous êtes accompagné d’une manière qui fait que vous avez peu de chances de devoir approfondir.

Le jury motive sa décision en donnant des éléments factuels et des conseils précis pour réussir le projet et le diplôme, et le prochain jury est presque toujours le bon.

 

Un retour constructif et détaillé sur vos études

 

Pour conclure, le plus difficile, c’est en effet de rester motivé tout du long et de réussir tous ses projets. À l’aube du jury, vous êtes à quelques mètres de la ligne d’arrivée, que vous franchissez le plus souvent en fanfare.

Pour vous valoriser, les membres du jury prennent le temps pour conclure votre parcours par un vrai retour sur votre travail. Et parfois, vous recevez même les félicitations.

Ce fut le cas pour Patrick, étudiant en Data Analysis qui a même été embauché par Capgemini avant la fin de son alternance :

« Patrick a validé les compétences du diplôme.

Le jury a apprécié les analyses de Patrick et ses explications des modèles utilisés. La partie exploratoire est notamment très bien réalisée.

Patrick a su employer des visualisations pertinentes. Ses présentations sont claires, didactiques et agréables à suivre.

Patrick, le jury tient à te présenter ses félicitations pour ton engagement dans ce parcours de formation en alternance. »

 

[ À lire ensuite :

 

Comment bien préparer ma soutenance ?
Comment fonctionne un jury OpenClassrooms ? ]

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Qui peut être éligible à un financement de formation ?

Par : Nora Leon

Vous souhaitez faire vos études en ligne chez OpenClassrooms, ou vous reconvertir chez nous en profitant du fait d’être Embauché ou Remboursé.

Alors, comment faire financer votre parcours ?

Le sujet des financements est complexe et varie d’un organisme, d’une institution et d’un profil à l’autre. Cela étant dit, nous tenterons dans cet article de vous renseigner sur les profils éligibles à un financement. Ainsi, vous saurez si vous pouvez nous envoyer votre dossier.

1 Les demandeurs d’emploi

Si vous êtes dans ce cas-là, plusieurs options s’offrent à vous.

Déposer une demande auprès de votre agence Pôle emploi

– Vous avez l’opportunité de faire votre demande auprès de Pôle emploi. Vous pouvez demander à votre conseiller une AIF (Aide Individuelle à la Formation), qui vous permettra d’obtenir un financement partiel ou complet de la formation, selon l’agence.

Note : chaque agence décide de son budget et des formations allouées. Certaines financent à 100%, d’autres partiellement et proposent de financer le reste. Dans le cas où Pôle emploi finance partiellement mais applique le “principe de gratuité”, l’apprenant ne peut pas entrer en formation car il n’a pas le droit de régler le reste.

Nous avons aussi des partenariats avec Pôle emploi, qui vous permettent de bénéficier de places sur des formations, tout en gardant vos allocations. Rendez-vous sur notre page programme Pôle emploi pour plus d’informations.

– Si ces demandes sont rejetées (peut-être n’êtes-vous pas éligible au programme choisi ou est-il complet ?), votre conseiller peut également vous aider à déposer une demande auprès de votre région. Allez, du nerf, obtenir un financement demande de l’énergie, mais cela vaut le coup.

Faire une demande à la mairie

– Vous pouvez aussi faire une demande à la mairie.

Comment ? En vous déplaçant simplement et en demandant le service des aides financières à la formation ou à rencontrer une assistante sociale.

Parfois, certaines associations sont en partenariat avec la mairie et peuvent aussi apporter une aide financière sur certains projets de formation. Cela vaut la peine d’essayer.

Étudier en alternance  

Vous préférez vous former sur le terrain qu’à 100% en formation ? L’alternance est dans ce cas votre meilleur choix.

Elle est ouverte :

  • En contrat d’apprentissage aux jeunes de 18 à 29 ans, aux personnes bénéficiant d’une reconnaissance RQTH, ainsi qu’à d’autres profils ciblés.
  • En contrat de professionnalisation lorsqu’on a 16 à 25 ans, ou on est demandeur d’emploi inscrit à Pôle emploi de plus de 26 ans, sans limite d’âge, et aux personnes bénéficiant d’une reconnaissance RQTH.Tous les profils éligibles sont détaillés ici.

Le principe est simple. Nous vous aidons à trouver votre entreprise gratuitement pendant deux mois, et ensuite votre entreprise prend en charge votre formation et vous verse un salaire dès le premier jour. Tout le monde est gagnant : l’entreprise a l’opportunité de vous former, et vous bénéficiez d’une première expérience qui vous sera utile que vous restiez dans cette entreprise ou que vous cherchiez un contrat ailleurs.

2 Les salariés

Faites-vous financer par l’OPCO de votre employeur

Trois options existent pour se faire financer via son employeur.

– Soit vous prévenez votre employeur et avez son accord. Vous faites une formation “sur temps de travail”, au cours de laquelle vous dégagez du temps et touchez une partie proportionnelle de votre salaire.

– Soit vous en parlez aussi à votre employeur et il vous propose de monter en compétences via le plan de formation, par exemple sur des compétences utiles à votre poste. Cela se fait donc sans passer par l’OPCO.

– Soit vous le faites de manière autonome, et étudiez en parallèle de votre emploi. Il faut que vous sachiez quel OPCO est lié à votre entreprise. Vous pouvez par exemple le demander à vos représentants du personnel, si vous ne souhaitez pas en parler à vos représentants des ressources humaines. Ou, si vous connaissez le code NAF de votre entreprise, sur ce site. Une fois que vous avez identifié votre OPCO, vous le contactez pour savoir si vous pouvez vous former, il vous guidera pour les démarches administratives.

Bon à savoir : nos devis de formation sont pensés pour du temps plein. Pour une formation hors temps de travail, il faut donc penser à doubler la durée de la formation.

Étudiez en alternance

L’alternance est une excellente option pour se former tout en étant rémunéré et sur le terrain, même lorsqu’on est déjà en entreprise.

Si vous avez un niveau inférieur à la licence, que vous souhaitez évoluer dans votre poste, vous pouvez demander un Pro A (Promotion Alternance). C’est un contrat disponible en CDD ou en CDI, qui vous permet d’être en alternance sur votre poste, et dans votre entreprise actuelle. La formation comprend une période de formation pendant la semaine.

[ À lire ensuite : 7 étapes pour booster votre recherche d’alternance
Pourquoi choisir l’apprentissage ?

Contrat pro, apprentissage, les modalités chez OpenClassrooms ]

3 Les travailleurs indépendants

Les indépendants cotisent eux aussi aux OPCOS.
Il suffit d’envoyer une demande à l’organisme qui vous concerne.
– Libéraux : au FIF PL
– Commerçants : à l’AGEFICE 
– Artisans : au FAF CEA

4 De nombreux autres profils 

Nous créons des programmes de financements avec des partenaires tout au long de l’année. Ils ciblent tous types de profils et sont regroupés sur notre page financement.

Passez aussi notre quiz en 1 minute pour savoir à quel parcours vous êtes éligible !

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Étudier en ligne : qu’est-ce que cela change ?

Par : Nora Leon

Étudier en ligne, concrètement, cela donne quoi ?

Peut-être avez-vous déjà fait des études en BEP, IUT, en école ou à la Fac. Donc, vous voyez à quoi cela ressemble : cours magistraux, TDs et exercices en groupe. Et puis, surtout, les verres avec vos camarades de promotion à la fin de la journée. Peut-être au contraire êtes-vous tout au début de vos études et que vous cherchez une école un peu différente ?

En tout cas, vous réfléchissez à étudier en ligne. À quoi devez-vous vous attendre ? Avoir conscience des avantages et inconvénients de ce mode d’étude à distance devrait vous aider ; d’autant que parfois, les faiblesses peuvent être perçues aussi comme des atouts.

1 — Vous pouvez étudier à toute heure

… Et donc combiner vos études et un emploi à mi ou plein-temps. Ou vous occuper de votre famille. Ou simplement bosser le soir car vous êtes beaucoup plus efficace à ce moment-là.

Cela permet de s’organiser en fonction de l’étape de la vie où l’on est. Pratique.

En revanche, cela demande de s’organiser. Car comme les horaires de formation sont flexibles, on peut avoir tendance à procrastiner. Heureusement, chez-nous, vous avez des rendus à produire et un mentor pour vous suivre.

2 — Vous travaillez à votre rythme

L’un des inconvénients majeurs des écoles ou de la Fac, c’est que si vous ratez le train, il passe.

Au contraire, en ligne, vous pouvez prendre le temps que vous voulez.

Cela a l’avantage qu’en fonction des cours et projets, vous avez l’occasion d’approfondir si nécessaire. Vous avez plus de mal sur un point particulier ? Prenez une semaine de plus et assimilez-le vraiment. C’est ainsi qu’on construit des bases solides.

De même, si vous allez plus vite que la moyenne et que vous vous êtes toujours ennuyé ferme pendant vos études, vous pouvez accélérer la cadence.

Et c’est variable en fonction des sujets : sur certains, vous passez plus de temps que la moyenne, et sur d’autres, vous enclenchez la 5ème.

Le revers de la médaille, c’est que si vous avez un gros coup de flemme, vous pouvez aussi vous laisser tenter par une vilaine procrastination. Mais pas de panique, quand cela arrive, vous pouvez lancer une alerte sur votre groupe étudiant ou contacter les conseillers pédagogiques. Il y a toujours quelqu’un de disponible pour vous donner un petit coup de boost.

[ À lire : les 5 conseils pour rester motivé ]

[ À lire : Tout savoir sur… Workplace ]

3 — Votre accompagnement est hyper-personnalisé

On a beau essayer de trouver un inconvénient, on n’en voit pas. À la Fac, c’est 300 personnes pour un maître de conférences qui n’a pas le temps de répondre aux questions individuelles.

En ligne, vous avez un mentor expert de votre futur métier qui lève vos doutes en direct, vous aide à vous améliorer et à garder le cap.

Mine de rien, c’est un réel coup d’accélérateur. Votre mentor vous aide à vous projeter concrètement dans le monde du travail et à devenir la meilleure version professionnelle (et souvent personnelle aussi) possible de vous-même.

4 — Vous êtes autonome

Avantage ou inconvénient selon que vous êtes capable de structurer votre semaine de travail ou que vous avez besoin de plus de contraintes, en ligne, vous fixez vos objectifs et vos sessions de travail en autonomie. Certains adorent !

5 — Vous créez d’autres types de liens

Comme sur un forum en ligne, vous discutez avec les utilisateurs via un chat ou des posts.

Sur Discord, vous pouvez aussi créer des groupes de discussion en live. Certains aiment beaucoup ce mode de fonctionnement, alors que d’autres ressentent aussi le besoin de rencontrer leurs camarades de promo en vrai.

Vu le nombre d’étudiants dans la communauté, des rencontres sont fréquentes aux quatre coins de la France entre des étudiants suivant la même formation.

6 — Vous organisez vos groupes de travail

Et justement, de nombreux étudiants en ligne créent des groupes pour étudier ensemble.

Chez OpenClassrooms, nous organisons des sessions de co-working régulièrement, qui permettent de travailler en groupe.

En plus, les apprenants planifient des journées de travail en commun avec celles et ceux qui habitent près de chez eux. Cela requiert un peu d’organisation, mais cela vaut le coup.

7 — La pédagogie est différente

S’il y a bien un avantage à être en ligne, ce sont les possibilités infinies d’innovations pédagogiques qu’offre le Web. Texte, vidéos, podcasts, visioconférences, sessions en live… Tout cela forme un cocktail pédagogique qui vous permet de mieux retenir vos cours et de mieux engranger les compétences utiles aux métiers les plus recherchés et aux postes de demain.

Chez OpenClassrooms, nous capitalisons vraiment sur cette richesse. D’ailleurs, une équipe entière est dédiée au produit (notre plateforme 100% développée en interne et nos formations), et une autre aux innovations pédagogiques que nous testons en permanence et mettons en place lorsqu’elles sont plébiscitées par notre communauté.

[ À lire : OpenClassrooms, une pédagogie par la pratique ]

Et vous, apprenants chez OpenClassrooms ou sur d’autres plateformes éducatives en ligne, qu’est-ce que cela change pour vous ?

Étudier en ligne vous intéresse ?
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Comment bien démarrer un projet ?

Par : Nora Leon

C’est en forgeant qu’on devient forgeron — chez OpenClassrooms, nous aimons bien ce dicton. C’est pourquoi nos formations diplômantes reposent sur l’apprentissage par la pratique.

À quoi ressemblent les projets ? Ce sont des cas pratiques qui vous permettent d’apprendre les compétences immédiatement applicables dans le monde du travail. Par exemple coder un site Internet dans un parcours en développement, ou créer un calendrier éditorial dans le parcours Community Manager.

Si vous venez de vous inscrire à un parcours OpenClassrooms, vous commencerez votre premier projet. Il est possible que vous le trouviez impressionnant.

Pour vous rassurer, Dominique Milliez, étudiant dans le parcours Administrateur Infrastructure et Cloud et Jessica Tessé, mentor en Marketing et en WordPress, vous expliquent comment bien débuter un projet.

 

Familiarisez-vous avec le brief et lisez le cours

 

La lecture attentive du brief et des cours  vous aidera. Surtout si vous n’avez aucune connaissance préalable dans les compétences acquises sur le projet. Suivre les cours aide à se mettre dans le bain et à acquérir des bases utiles pour passer à la pratique. Pour le premier projet, ne faites pas d’impasse sur cette ressource.

Je fais toujours lire à mes apprenants le brief du projet et le cours corrélé avant la session de mentorat. Comme cela, quand on commence à structurer leurs sessions de travail, ils sont déjà dans le bain. Jessica

 

Problématisez et contextualisez le projet

 

Si le projet vous semble difficile d’accès, c’est souvent aussi parce qu’il vous est encore inconnu.

Prenons l’exemple de la charte éditoriale dans les parcours en Marketing : en commençant leurs études, la plupart des gens n’ont pas une idée claire de ce qu’on attend d’eux.

Se demander à quoi sert exactement une charte éditoriale (à fixer les règles d’écriture du contenu d’une marque) et ce qu’elle contient (les objectifs, les sujets principaux, la personnalité de marque…), permet de mieux se projeter dans sa réalisation.

De nombreuses personnes ne savent pas tout de suite à quoi sert une charte éditoriale, et donc définir exactement ses utilisations en entreprise les aide vraiment à se projeter dans sa réalisation. Jessica

 

Pensez à la structure de travail du projet

 

Au début, pas question de se perdre dans les détails. Le but du jeu : prendre du recul pour comprendre ce qui est attendu dans le projet.

 

Je pars du cadre pour aller plus tard dans le détail. C’est nécessaire pour que l’apprenant ne prennent pas peur des livrables. Une fois qu’on a pris du recul, le reste vient tout seul. Jessica

C’est bien ce qu’explique Dominique, qui, au début de chaque projet, prend un temps pour comprendre exactement ce qui est attendu.

Au départ,  j’essaie de prendre un peu de recul de façon à pouvoir avoir une vue d’ensemble sur ce qui est demandé. J’utilise la bonne vieille méthode du papier-crayon et je liste des idées pour mettre en place une solution. Dominique

Faites la liste des livrables. Pour les projets dans lesquels c’est possible (par exemple, construire une charte éditoriale en marketing, réaliser un plan de recrutement en RH, faire un business plan dans le parcours entrepreneur…), demandez-vous combien de temps chaque tâche prendra. Faites un brouillon de plan dont vous pourrez discuter avec votre mentor pour l’ajuster.

D’une session à l’autre, mes apprenants doivent faire un plan détaillé. J’insiste pour qu’ils posent des questions, pensent à la meilleure façon de structurer leur travail. Nous validons ensemble un plan détaillé. Une fois qu’ils ont la structure en tête, le reste du projet coule tout seul, car ils savent exactement comment procéder. Jessica

Une fois que j’ai listé ce que j’estime nécessaire pour le projet, me retrouve avec pas mal d’éléments à mettre en place. Et l’étape suivante, tout aussi importante, est de réfléchir combien de temps chaque tâche pourra me prendre. Après, je fais des découpages concernant le temps imparti, pour voir si je suis dans les clous. Dominique

 

Vous avez toutes les clés en main pour bien démarrer votre projet. Rassurez-vous : il n’y a rien d’insurmontable, puisque tant d’autres avant vous ont réussi ! Votre mentor est là pour vous aider, et vous verrez, dans quelques semaines, vous serez beaucoup plus à l’aise.

N’hésitez pas à vous rendre toutes les 2 semaines dans les espaces de co-working où vous pourrez échanger avec les autres apprenants. Ils sont présents dans 8 villes de France et vous permettent de vous entraider. Enfin, n’oubliez pas la communauté en ligne qui pourra vous apporter un réel soutien.

 

Et Jessica de conclure : 

Arrivés au P4, tous mes étudiants se rendent compte qu’ils s’étaient faits une montagne de tout cela, mais qu’en définitive, ils y arrivent très bien.

 

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Peut-on changer de mentor ?

Par : Nora Leon

 

Bienvenue ! Si vous avez cliqué sur cet article, vous êtes probablement :  

  • Un apprenant qui se demande s’il va pouvoir changer de mentor
  • Un futur apprenant qui a des inquiétudes sur le sujet
  • Ou un mentor qui pense pense pouvoir mieux aider une autre personne.

Sans plus attendre, nous pouvons vous l’assurer, changer de mentor est tout à fait possible.

Faisons le tour de la question avec Pauline, conseillère pédagogique.

Tous les mentors recrutés chez OpenClassrooms sont soigneusement sélectionnés. Ce sont des experts de leur métier qui exercent en même temps l’emploi que vous apprenez. Pour qu’ils soient en mesure de vous transmettre leurs compétences, nous exigeons au minimum 2 ans d’expertise dans leur métier, mais la plupart sont plus chevronnés.

Vous l’aurez compris, on ne change généralement pas de mentor parce qu’il n’est pas capable de répondre à nos questions. Mais alors, quelles sont les raisons principales pour lesquelles on peut demander le changement ?


Le pourquoi du comment

 

Selon Pauline, “il faut différencier le changement initié par l’étudiant et celui demandé par le mentor. Parfois, le mentor prévient l’étudiant qu’il n’exerce que sur certains projets de son parcours, ou qu’il ne pourra plus assurer son mentorat après une pause de quelques mois. Dans ce cas, l’équipe Mentorat prévoit un changement d’accompagnateur”.

Côté étudiant, bien des raisons sont possibles. Il se peut que les deux personnes, apprenant et mentoré, aient des emploi du temps peu compatibles. Si l’apprenant a une famille et que le mentor travaille sur les moments où il ou elle pourrait être disponible pour une session, les choses se compliquent.

D’autre fois, les personnalités ne sont pas compatibles, comme le précise Pauline : “Certains types de managers qui conviennent très bien à certains salariés, ou l’inverse. C’est le cas également avec les binômes de mentors et mentorés. L’apprenant a beau être très motivé et le mentor très professionnel, certaines fois la pédagogie ou la personnalité du mentor ne trouvent pas d’écho en son apprenant, et inversement.

Et ce n’est pas grave, ce sont des choses qui arrivent. Cela ne veut en aucun cas dire que l’un des deux soit en cause, ni que le mentor soit incompétent”.  

 

Je veux changer de binôme : comment procéder ?


Lorsque l’une de ces situations se produit, mentor comme étudiant peuvent demander un changement.

Nous voulons absolument éviter que l’étudiant ou le mentor n’ose pas demander ce changement, car rien ne nuit à l’apprentissage comme un binôme qui ne fonctionne pas. Il y a tant de mentors que trouver un meilleur duo est vraiment possible.

Donc, pour éviter que les personnes se censurent, nous ne demandons aucune raison pour motiver le changement. Si la personne veut en discuter, nous sommes bien sûr ouverts. Mais nous sommes avant tout là pour garantir que les sessions se passent bien et apportent beaucoup à l’étudiant comme au mentor”, assure Pauline.

Donc, si vous pensez que vous pourriez mieux apprendre avec un autre mentor, ou mieux accompagner un autre étudiant, n’hésitez plus, écrivez-nous.

Je contacte un conseiller pédagogique

 

🙋🏻

 

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5 outils indispensables pour les développeurs web débutants

Par : Nora Leon

 

Saviez-vous que, grâce à une croissance inédite dans le secteur des technologies, une estimation de 700 000 emplois en programmation devraient être créés d’ici 2020 en Europe et un million aux États-Unis ?

Qu’est-ce que cela signifie pour le secteur ?

Vous avez vu juste :  il est en pleine expansion !

Le développement web gagne rapidement en popularité et de nouvelles façons de l’apprendre voient le jour presque quotidiennement. Cette croissance est accompagnée de tout un arsenal d’outils créés dans le but d’assister les développeurs non seulement dans leur apprentissage, mais aussi dans leur productivité au travail.

Maîtriser les compétences clés est une chose, mais essayer de rester au fait de plusieurs outils en est une autre. Il est donc essentiel d’être sélectif. Pour vous mettre sur la bonne voie, nous avons sélectionné les cinq (oui, seulement cinq) outils que vous serez amené à utiliser le plus une fois que vous serez devenu un développeur web accompli.

  1. Chrome DevTools

Faites place aux outils de développement ! Ils sont accessibles dans Google Chrome, Mozilla Firefox ou tout autre navigateur de votre choix et vous permettent de jeter un œil sur le fonctionnement interne d’un site Web et de ses applications. Ce sont des ressources très utiles, car elles vous permettent :

  • D’examiner et de modifier les éléments HTML ;
  • D’ajouter et de tester des règles de style CSS ;
  • De consulter les fonctions JavaScript de la page ;
  • D’identifier quels sont les éléments qui se chargent vite ou lentement.
  1. Visual Studio Code

En tant que développeur Web, vous aurez BEAUCOUP de code à écrire. Il est donc tout à fait normal que nous vous assistions dans votre recherche du meilleur éditeur sur le marché. Il existe pas mal de bons éditeurs (Sublime Text est l’un de nos favoris), mais Visual Studio Code est l’éditeur NUMÉRO UN.

Selon les développeurs web expérimentés, ses points forts sont l’intégration de GitHub et la saisie semi-automatique IntelliSense. Visual Studio Code propose également une interface ergonomique, prend en charge plusieurs langages et met en évidence votre syntaxe (parce que la syntaxe c’est humain, hein.)

Ah, et autre chose : il est totalement GRATUIT. Pourquoi vous priver ?

  1. FileOptimizer (PC) / ImageOptim (Mac)

Ces deux outils vous permettent d’optimiser vos images.

ImageOptim est rapide, simple et ergonomique et si ce ne sont pas des mots que vous recherchez dans l’avis d’un nouvel outil, je ne sais plus quoi faire pour vous. C’est un excellent outil de compression d’images vous permettant d’économiser de l’espace de stockage sur votre ordinateur.

FileOptimizer fait la même chose, mais au lieu de ranger les fichiers dans un dossier compressé, il compresse le fichier d’origine.

  1. Bootstrap

Vous n’avez pas envie de passer trop de temps sur le CSS de vos sites Web ? Alors Bootstrap est l’outil qu’il vous faut. C’est un kit CSS créé par des développeurs de Twitter, qui est vite devenu l’infrastructure CSS de référence. Deux de ses fonctionnalités les plus appréciées sont :

  • Une façon facile et rapide de concevoir des sites Web attrayants et dynamiques.
  • Une énoooorme communauté. Comme c’est un outil largement utilisé, il existe de nombreux modèles de sites et beaucoup de tutoriels utiles. La page GitHub officielle de Bootstrap est très active pour que l’outil soit amélioré continuellement !

Il y a de plus en plus de nouvelles infrastructures comme Materialize et Mui. Si vous souhaitez étendre encore plus l’éventail de vos outils, ceux-ci pourraient constituer un bon départ.

Vous souhaitez vous lancer avec Bootstrap ? Alors pourquoi ne pas commencer sur OpenClassrooms avec ce cours ?

  1. GitHub

Si nous avons déjà mentionné GitHub plusieurs fois, c’est qu’il doit y avoir une bonne raison, non ?

Avez-vous l’habitude d’écrire du code et de collaborer avec d’autres développeurs ? Aimeriez-vous pouvoir suivre les modifications de votre code en toute sécurité/sans perdre toutes vos données en cas de panne de votre ordinateur ou serveur principal ?

De nos jours, la gestion des versions est essentielle. Git, un outil créé par Linus Torvald, est parfait pour cela. Nous vous recommandons de l’utiliser et de le maîtriser pour vous éviter tout regret ultérieur.

Besoin d’aide ? Nous avons un cours sur OpenClassrooms portant spécifiquement sur ce sujet.

Et voilà cinq outils que vous allez maîtriser en tant que développeur Web.  Mais avant cela, il y a du chemin à parcourir.

Avec OpenClassrooms, vous pouvez devenir développeur Web frontend et valider un diplôme de niveau Bac +3/4 en seulement un an. Si vous voulez faire un mélange de front et back, nous vous conseillons le parcours en 6 mois développeur web junior. En plus de ça, nous vous fournissons également une garantie d’emploi : si vous ne trouvez pas d’emploi six mois après l’obtention de votre diplôme, nous vous remboursons.

 

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5 étapes pour choisir votre nouvelle carrière

Par : Nora Leon

Alors voilà, vous savez que vous souhaitez changer de carrière, mais vous ne savez pas quoi choisir. Vous vous sentez peut-être frustré et perdu, car les options semblent rares ou au contraire trop nombreuses.

Ne baissez pas les bras, nous sommes là pour vous aider grâce à notre stratégie en cinq étapes. Pour trouver un nouveau parcours professionnel en accord avec votre style de vie, vous devrez travailler sur vous-même et développer votre réseau.

Soyez patient et persévérant, vous n’imaginez même pas la quantité d’opportunités et de choix qui s’offrent à vous.

 

Étape n° 1 : définissez vos valeurs

 

Prenez une feuille et un stylo et remuez-vous les méninges. Notez librement ce qui est important pour vous dans votre carrière et faites une liste des choses qui vous motivent et vous donnent envie d’aller de l’avant autant dans votre vie professionnelle que personnelle.

Vous aimez peut-être travailler en équipe ou en autonomie ? Peut-être avez-vous l’âme d’un écrivain et prenez plaisir à faire preuve de créativité au travail ? Aimez-vous gérer une équipe, mettre des personnes en relation, développer un réseau, enseigner ou vous exprimer sur les réseaux sociaux ? Envisager de travailler dans une start-up vous exciterait-il ou vous inquiéterait-il ? Peut-être êtes-vous plus attiré par les grandes entreprises aux noms prestigieux ? La perspective de travailler pour l’intérêt général vous motive-t-elle ?

Votre liste ne doit pas obligatoirement être longue, retournez-y quotidiennement jusqu’à avoir le sentiment d’avoir pensé à tout.

Divisez ensuite votre liste en deux colonnes : la première contiendra vos cinq « incontournables » et l’autre vos « souhaits ».  

 

Étape n° 2 : imaginez le style de vie idéal

 

Réfléchissez à la vie que vous souhaitez avoir.

Préféreriez-vous avoir un métier dans le cadre duquel vous voyageriez tous les mois ? Ou privilégieriez-vous la routine et la proximité ? Aimeriez-vous travailler depuis chez vous ? Avez-vous considéré travailler en indépendant, créer votre propre entreprise, ou travailler en interne ? Quelles sont vos ambitions salariales dans l’immédiat et pour dans cinq ans ? Accepteriez-vous d’adopter une vie professionnelle sédentaire ou préféreriez-vous qu’elle soit plus dynamique ?

Intégrez ces critères de style de vie dans les deux listes que vous avez compilées lors de la première étape en n’ajoutant que 3 à 5 points à la colonne des « incontournables » et en ajoutant le reste à la colonne des « souhaits ».

 

Étape n° 3 : mettez vos points forts en avant

 

Nous voilà arrivés à l’étape finale du travail introspectif.

Dressez la liste des aspects de votre poste actuel que vous appréciez le plus. Notez ce que vous préférez dans vos passe-temps et vos études, ainsi que toute autre expérience positive. Pensez à vos réussites, aux tâches et aux rôles qui vous ont passionné.

Ne vous arrêtez pas aux réponses que vous avez trouvées, sollicitez l’opinion de vos proches et envoyez un e-mail à 3 à 5 personnes qui, selon vous, répondront objectivement à coup sûr. Il pourrait s’agir de votre partenaire, d’un ami ou d’un collègue. Demandez-leur quels sont vos points forts selon eux et de vous donner un exemple d’une chose qui les a impressionnés chez vous.

Cela peut paraître difficile, mais c’est une étape importante du programme. Qui sait, vous pourriez être surpris et flatté par leurs commentaires ! Prenez le temps de considérer leurs réponses et intégrez-les à votre liste.

À présent, vous avez un aperçu compréhensif de vos savoir-faire et de vos préférences. Tentez de les classer par ordre de priorité pour pouvoir facilement y faire référence. Ensuite, analysez quelles compétences peuvent s’appliquer à plusieurs métiers et secteurs.

Les listes que vous venez d’établir vous guideront dans votre recherche d’emploi. Elles mettront peut-être en avant des parcours professionnels que vous pourrez passer au peigne fin à l’étape n° 5. Dans tous les cas, elles vous seront utiles d’une manière ou d’une autre.

[ À lire ensuite : Comment réaliser un bilan de compétences ?

 

Étape n° 4 : développez votre réseau

 

Développer votre réseau professionnel, tisser des relations, découvrir des opportunités… Tout cela est essentiel à votre apprentissage et votre épanouissement personnels. Si vous vous y prenez bien, cela peut même être amusant !

Il y a tellement d’entreprises et de métiers différents que vous ne pouvez pas tous les connaître : discuter avec des professionnels de ce qu’ils font dans leur vie contribuera à élargir votre champ de connaissances.

Alors, faites-vous connaître !

Organisez des rencontres autour d’un café, des conversations téléphoniques ou des appels vidéo avec des personnes travaillant dans les domaines qui vous intéressent.

Il existe plusieurs façons de le faire :

  • Contactez les personnes que vous connaissez déjà dans vos vies personnelle et professionnelle et discutez avec elles de leur carrière. Allez sur LinkedIn (nous vous le recommandons fortement, c’est une très bonne ressource) et contactez les personnes dont le métier pourrait vous intéresser.
  • Assistez à des conférences, c’est l’occasion idéale d’échanger quelques mots en personne. Enfin, mettez à profit les réseaux sociaux : en effet, les relations et les opportunités professionnelles peuvent parfois naître des situations les plus improbables, il est donc très important de soigner sa présence en ligne. Soyez vous-même, mais faites attention à l’image que vous projetez.  

Trouvez des points communs avec la personne que vous contactez pour qu’elle ressente une affinité, surtout lorsque vous établissez de nouvelles relations sur LinkedIn. Cela augmentera vos chances d’obtenir une réponse.

Voici un exemple :

Bonjour Gregory,

Comme vous, j’ai étudié à [nom de l’université/école]. Ces sept dernières années, j’ai travaillé dans la comptabilité et je souhaite à présent prendre un tournant dans ma carrière. Je m’intéresse au développement Web, mais je ne sais pas par où commencer. Votre carrière dans ce domaine a l’air très intéressante ! Seriez-vous partant pour discuter au téléphone ou se rencontrer autour d’un café ? J’adorerais connaître votre histoire.

Bien à vous,

Catherine

N’oubliez pas que vous ne déposez pas une candidature, mais contactez simplement des personnes pour découvrir leur métier et déterminer si leur catégorie professionnelle vous correspond. Sachez aussi que la plupart des gens adorent parler d’eux, ceux qui accepteront votre invitation le feront donc avec beaucoup d’enthousiasme.

 

Étape n° 5 : posez les bonnes questions

 

Bon. Vous êtes au téléphone ou rencontrez une nouvelle relation pour la première fois. De quoi discutez-vous ?

La bonne nouvelle, c’est que vous savez déjà ce que vous voulez grâce aux listes de priorités sur lesquelles vous avez travaillé. Ce que vous recherchez maintenant, ce sont des informations qui vous aideront à savoir si une carrière en particulier est faite pour vous.

N’oubliez pas de prendre des notes !

Questions de base :

  • Comment êtes-vous arrivé à votre position actuelle ?
  • Pouvez-vous me décrire à quoi ressemble une journée de travail typique pour vous ?
  • Qu’est-ce que vous aimez le plus dans votre travail ?
  • Quel est l’aspect le plus frustrant de votre métier ?
  • Comment séparez-vous votre vie privée de votre vie professionnelle ?
  • Quelles sont les compétences et caractéristiques les plus utiles à votre métier ?

Posez également des questions pour déterminer si leur métier inclut tous vos « incontournables ».

Pour ne pas paraître trop indiscret, nous vous conseillons de ne pas parler de salaire. Vous trouverez ce type d’information sur des sites Internet comme « Glassdoor ».

Stratégies :

  • Gardez à l’esprit que votre nouvelle relation est susceptible d’avoir une vision différente de la vôtre sur le marché du travail. Informez-la rapidement de ce que vous recherchez et demandez-lui si elle a des suggestions à vous faire. Pour lui donner du contexte, dites-lui ce que vous aimez et quels sont vos points forts.
  • Enfin, demandez-lui si elle peut vous recommander des personnes à contacter. Cette question vaut de l’or, car elle l’incite à vous présenter des connaissances et donc vous donne l’opportunité d’établir d’autres relations professionnelles.
  • Après votre conversation, assurez-vous d’y faire suite avec un message de remerciement (par e-mail) contenant des informations pertinentes comme votre CV. Contactez cette personne régulièrement pour entretenir votre relation professionnelle. Le plus important est de rester honnête.

 

Conclusion

 

Plus vous avez de relations, plus vous saurez quelles carrières vous conviennent le mieux. À un moment ou un autre, la marche à suivre deviendra claire et vous aurez les relations adéquates pour vous guider.

Répétez les étapes n° 4 et 5 jusqu’à ce que vous trouviez la bonne carrière. Le développement de votre réseau ne contribuera pas seulement à l’identification de votre nouvelle carrière cible, mais vous aidera également à déterminer quels sont les études, compétences et autres éléments préparatoires nécessaires à l’obtention du poste idéal. On ne sait jamais, on vous fera peut-être tout de suite une offre d’emploi !

 

À lire ensuite : 

 

Pourquoi changer de métier ? ]
Quel est le bon moment pour changer de métier ?  ]
Quels sont les métiers les plus recherchés dans le numérique ?  ]
Effectuer son bilan de compétences  ]
[ Les 10 métiers les plus recherchés du numérique ]

L’article 5 étapes pour choisir votre nouvelle carrière est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.

La reconversion de Silvia, de Barcelone à Paris

 

Silvia est espagnole et travaille à Paris depuis 2010. Après huit ans à travailler dans le commercial, elle décide de se reconvertir et s’inscrit au programme « Ingénieur responsable pédagogique » chez OpenClassrooms.

Et son projet fonctionne. En octobre 2018, Silvia quitte son ancienne entreprise et décroche un poste de chef de projet e-learning dans un centre de formation. Nous sommes allés à sa rencontre pour en savoir plus sur son parcours.


Quel métier exerçais-tu à Barcelone et pourquoi es-tu venue en France ?

 

En Espagne, j’étais enseignante vacataire et j’animais des formations pour enfants et adultes. Mon métier était très exécutif et consistait à transmettre un contenu aux élèves de la manière la plus efficace possible.

Je suis arrivée à Paris en fuyant la crise, et je ne parlais pas bien le Français. J’ai eu de la chance malgré tout, car j’ai décroché un job en service client, puis j’ai évolué en tant que commerciale. J’ai travaillé dans plusieurs entreprises pendant huit ans.

J’ai toujours su ce que je voulais faire, mais ce n’était jamais le bon moment pour prendre les choses en main et quitter le confort de mon CDI. Je pensais ne jamais pouvoir accéder au job de mes rêves et j’étais presque sûre que je n’aurais pas le niveau de langue requis.


Quand as-tu décidé de te reconvertir et de suivre une formation ?

 

Pendant mon congé maternité, j’ai eu un déclic.

J’ai compris que ma carrière de commerciale ne me satisfaisait plus. Changer d’entreprise ne servait à rien : je me lassais vite car ce n’était pas le métier que je voulais exercer. Alors, je me suis posée les bonnes questions et pris la décision de changer de voie.

J’ai commencé mon parcours de formation chez OpenClassrooms au mois de juin, une fois en congé maternité. Aujourd’hui, j’en suis au 6e projet du parcours, il ne m’en reste plus que deux pour terminer la formation.

 

Quelle formation as-tu choisie et pourquoi ?

 

L’ingénierie pédagogique est ce qui m’intéresse le plus : concevoir des formations, réfléchir à un contenu intéressant et utile. Et depuis quelques années, les formations professionnalisantes ont le vent en poupe en entreprise.

 

Qu’est-ce qui t’a poussée à t’inscrire chez OpenClassrooms?

 

J’ai choisi OpenClassrooms car je voulais suivre une formation à mon rythme, depuis chez moi. Étant enceinte, c’était important de pouvoir adapter mon travail à mes journées.

Pour pouvoir me reconvertir, je devais acquérir de nouvelles compétences, mais surtout me confronter à un nouveau métier. Chez OpenClassrooms, on met en pratique ce qu’on apprend à travers des projets. Chaque projet de la formation donne lieu à une soutenance : il faut faire preuve de débrouillardise, se creuser la tête, chercher des informations.

Le suivi avec le mentor, pour moi, c’est la clef de la réussite. Faire un point hebdomadaire, ça re-motive ; au moindre souci, on peut en discuter.

Je me suis sentie accompagnée, soutenue.

C’est ce qui fait toute la différence chez OpenClassrooms par rapport à d’autres organismes de formation.

 

Comment t’organises-tu au quotidien ?

 

Quand j’étais enceinte, je me calais des séances de travail régulièrement. J’étais souvent fatiguée, donc ça n’a pas été facile tout le temps. Aujourd’hui, mon bébé est né, je m’isole donc le soir entre 19h et 21h pour travailler.

L’organisation est indispensable, car le quotidien peut vite vous rattraper !

 

Comment as-tu vécu ta recherche d’emploi ?

 

J’ai commencé à postuler après la naissance de ma fille. J’ai passé mes entretiens pendant le congé parental de mon mari. Pour mes candidatures, je me suis servie de tout le vocabulaire engrangé pendant la formation, et ça a payé !

J’ai trouvé un nouveau travail en tant que chef de projet e-learning, à partir de février. Même si c’est dur de se sentir légitime lorsqu’on change de métier, je suis confiante.

 

Quels conseils donnerais-tu aux élèves d’OpenClassrooms ?

 

Pour mettre toutes les chances de votre côté, réfléchissez en amont à votre projet professionnel. Gardez-le en tête, tout le temps.

Au moment de vous lancer, vous serez débordants de motivation : pour ne pas la perdre, pensez à bien organiser vos temps de travail. Et surtout, échangez le plus possible avec votre mentor, il est là pour vous aider.

 

Envie de suivre le même chemin professionnel que Silvia ? 

 

Jetez un œil à notre parcours Ingénieur responsable pédagogique !

 

À lire ensuite : 

 

La trajectoire de Damien – À peine diplômé, les appels ont plu ]
La trajectoire de Mehedi – Un parcours réussi malgré plusieurs pauses ]

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Tout savoir sur… Workplace !

Par : Nora Leon

 

Étudier en ligne, c’est étudier seul ”. Moui… Sauf si vous étudiez chez… OpenClassrooms !

Pour vous éviter de bloquer sur un sujet ou de vous démotiver par manque de contact avec des étudiants, nous avons pris le problème à bras-le-corps. La solution ? Deux éléments clés pour que vous ne soyez jamais livré à vous même  :

  • Un suivi hebdomadaire avec un expert de votre futur métier, le fameux mentor

[ À lire : Les retours d’étudiants sur le mentorat ]

  • Un Facebook géant (Workplace) où les étudiants, mentors et l’équipe discutent de tous les sujets de formation et bien d’autres choses, en temps réel.

Pour que vous y voyez plus clair, faisons le tour du propriétaire.

 

À quoi ressemble Workplace ?

À Facebook (d’ailleurs, c’est un produit d’entreprise de Facebook).

Ce grand forum s’organise autour de plusieurs blocs.

  • Le fil d’actualité, comme sur Facebook. En arrivant sur votre Workplace, vous voyez en effet tous les posts en vrac. Ceux spécifiques à un parcours, sur un sujet extérieur à votre apprentissage chez nous et même les offres d’emplois.
  • Les groupes :
    👉🏽 Un par formation, par exemple Développeur Web Junior ou UX designer. Ils sont faits pour échanger sur les projets, les cours, les soutenances : bref, la vie sur un parcours chez nous.
    👉🏽 Des groupes généraux (annonces OpenClassrooms, le Campus, Offres d’emplois, j’ai trouvé un job) pour s’informer sur l’actualité des sujets utiles à tous les parcours.
    👉🏽 Des groupes de “détente” (Jamais sans musique, Le bistrot…) où les étudiants postent sur des sujets divers et variés, comme sur un forum.
  • Les sujets populaires, sur la droite. C’est là que vous voyez les sujets qui provoquent le plus de commentaires, pour ne pas rater une discussion importante. C’est là aussi que vous trouvez les sujets brûlots, jeunes trolls, au cas où l’envie vous prendrait de jeter un pavé dans la mare On vous connaît, les amis.

    Exemples de sujets populaires. Le premier message est pour dire… Qu’elle a trouvé un job ! 🚀

  • La messagerie instantanée (sur la droite) ou en grand format (sur la gauche), comme sur Facebook, pour pouvoir contacter les étudiants en privé.

 

À quoi sert-il ?

 

  • À poser ses questions en direct à la communauté. Sur un projet, sur un cours, pour ne pas être bloqué entre deux séances de mentorat. Les apprenants plus avancés sur les projets, diplômés et mentors y répondent rapidement.

 

  • À partager de bonnes pratiques : veille, outils qui permettent d’aller plus vite dans son job… Tout partage est bon pour tirer le plus possible des échanges.  

 

  • À se retrouver en vrai. Nous organisons dans toutes les grandes villes de France des sessions de co-working qui sont programmées sur Workplace.
    De plus, les étudiants organisent aussi leurs propres sessions. Ils créent des groupes de travail dans leur ville, dans le même parcours ou dans plusieurs spécialités. Travailler à plusieurs se révèle très motivant.

 

  • À booster la recherche d’emploi : les mentors et diplômés postent régulièrement des offres d’emploi sur un groupe dédié, et chacun peut partager son CV pour avoir des avis et l’améliorer.

 

  • À se détendre et créer des liens avec la communauté, tout comme sur un forum d’entraide classique.

 

En pratique : comment l’utiliser ?

 

En rejoignant le groupe de son métier.
Sur le groupe “Présentations”, vous trouverez le post qui vous aide à le trouver. Voici la liste pour 2 spécialités :

Exemple de groupes qu’on peut rejoindre en développement et IT

Vous pouvez aussi rejoindre les autres groupes qui vous intéressent et y poster.


Commen
t poster ?

 

Exactement comme sur Facebook. Vous choisissez le groupe où vous voulez écrire, et vous rédigez votre post. Simple comme bonjour.



En un mot

 

Workplace est donc l’espace d’échange par excellence entre les apprenants, diplômés et les mentors.

Vous pouvez l’utiliser comme espace d’échange sur des questions techniques, de partage d’emploi, ou encore pour constituer un réseau solide de professionnels qui ont une expérience similaire à la vôtre et sont passés par les mêmes études.

C’est l’assurance de ne pas être seul pendant son parcours, et un vrai accélérateur.

 

Le petit bonus

 


Si vous avez envie de poser vos questions à la communauté et de visiter le Workplace avant de souscrire votre formation Premium Plus, envoyez un e-mail à hello@openclassrooms.com en demandant à entrer dans le groupe “Portes ouvertes”.

Vous serez alors invité dans le Workplace et pourrez vous faire votre opinion vous-même.

C’est parti !

J’écris aux conseillers pédagogiques

 

🙋🏻

 

À lire ensuite : 

 

[ Les retours d’étudiants sur le mentorat ]
[ Peut-on changer de mentor ? ]

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Quelle est la meilleure option : devenir développeur full-stack ou développeur spécialisé ?

Par : Nora Leon

 

Si tu veux être dév’loppeur web, frappe dans tes mains !
Si tu veux être dév’loppeur web, frappe dans tes mains !

* PAUSE *

Bien. Mais quel type de développeur Web souhaitez-vous devenir ?

Une carrière dans le développement web est gratifiante et intéressante, car le marché du travail recherche des développeurs en permanence et de nouveaux langages apparaissent régulièrement. Si vous avez déjà fait toutes ces recherches, vous savez probablement déjà que vous pouvez choisir parmi une multitude de disciplines et vous ne savez sûrement pas où donner de la tête.

Pour faire simple, votre choix réside dans votre désir de spécialisation ou non. Toutes les spécialités en développement ont de l’avenir, et par ailleurs, il y a des emplois pour tous les développeurs, à Paris et en province.

À titre d’information, plusieurs spécialités sont disponibles sur OpenClassrooms : nous formons des développeurs spécialisés en Frontend, en Backend en PHP/Symfony ou en full-stack (c’est-à-dire en Front et Back à la fois) en Développement web junior ou Python ou  Java. Vous avez donc le choix.

Reste maintenant à vous décider !

 

Quelle est la différence entre un développeur full-stack et un développeur spécialisé ?

 

Un développeur spécialisé travaille généralement soit en Frontend soit en Backend. Là où un développeur Frontend va travailler du côté des utilisateurs en créant les interfaces visibles sur les navigateurs à l’aide des langages HTML, CSS et JavaScript, le développeur Backend sera en charge du fonctionnement interne. Il s’assurera que les utilisateurs peuvent accéder aux données appropriées et que les bonnes données sont stockées au bon moment.

Un développeur full-stack est un mélange des deux. Ses connaissances des différents langages de programmation sont plus limitées, mais il est capable de travailler en frontend et en backend et peut donc suivre un projet de sa conception à sa création.


À quoi ma journée de travail ressemblera-t-elle ?

 

En tant que développeur spécialisé, vous passerez beaucoup de temps à développer et améliorer les projets sur lesquels vous travaillerez. Vous serez un expert dans votre domaine et devrez continuer de vous former pendant toute votre carrière pour être à jour sur les dernières innovations.

En tant que développeur full-stack, vous travaillerez souvent sur une grande variété de tâches, car vous serez un véritable touche-à-tout. Vous passerez moins de temps à travailler en collaboration avec plusieurs personnes, car vous serez plus autonome et dépendrez moins de vos collègues pour mener à bien des tâches connexes.

 

Quel diplôme garantit l’embauche ?

 

Les deux profils sont très recherchés, vous pourrez le constater en survolant les sites d’offres d’emploi. En termes de rémunération, le salaire de départ est similaire. La vraie question est donc la suivante : quel type de métier souhaitez-vous exercer ?

Les grandes entreprises savent quels sont leurs besoins et ont donc tendance à embaucher des développeurs spécialisés. Les start-ups favorisent au contraire les développeurs full-stack, car ils peuvent prendre en charge l’ensemble de leurs besoins technologiques dès le début. Si l’évolution professionnelle est importante pour vous, les développeurs full-stack sont souvent ceux qui possèdent un point de vue plus global sur les projets et donc ceux qui sont le mieux placés pour diriger une équipe.

Si vous pensez à vous établir en indépendant, vous pourrez plus facilement concevoir vos propres produits en étudiant le développement web full-stack.


Je suis perdu : comment me décider ? 

 

Pas de panique. Le mieux est d’essayer les différents langages, qui vous permettront de savoir lequel vous botte. Le mieux, c’est de commencer avec celui qui vous plaît le plus, sachant que vous pourrez toujours en apprendre d’autres par la suite.

Une carrière en développement web implique de toujours se remettre à jour et d’apprendre de nouvelles technos et des Frameworks récents.

Commencez par les cours débutants :

Frontend
Concevez votre site avec HTML5 et CSS3
PHP
Concevez votre site web avec PHP et MySQL
Python
Démarrez votre projet avec Python
Java
Démarrez votre projet avec Java


En résumé :

 

Si vous souhaitez obtenir un diplôme en Frontend, en Backend en PHP/Symfony ou en full-stack (Développement web junior ou Python ou  Java),  nous avons ce qu’il vous faut.

Nous offrons également une garantie à l’emploi de six mois, car nous sommes convaincus que vous serez rapidement embauché après vos études.

 

Parlez-en à un conseiller pédagogique !

 

🙋🏻

 

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7 conseils pour éviter la pause quand on étudie en ligne… Ou la surmonter !

Par : Nora Leon

 

Vous pensez à faire une pause dans vos études pendant votre parcours OpenClassrooms ?

Lisez d’abord cet article sur le parcours de Mehedi Hasan.

Mehedi est un ancien étudiant international en développement d’applications Front-end. Il a été forcé de mettre ses études en pause non pas une, mais deux fois. Et malgré ces pauses dues à des circonstances exceptionnelles, il a obtenu son diplôme en douze mois. Il a donc acquis en cours de route des techniques pratiques pour garder un rythme d’apprentissage régulier, qu’il partage.

Voici mon premier conseil : si possible, ne faites pas de pauses dans vos études ! Vous atteindrez vos objectifs plus lentement, serez frustré et risquerez de ne pas valider votre parcours. Cependant, si vous devez en prendre une, j’ai quelques conseils à vous donner. Voici mon histoire.

Avant OpenClassrooms

Je me suis toujours senti l’âme d’un entrepreneur. Il y a cinq ans, je suis parti du Bangladesh pour m’installer en Allemagne, où je souhaitais obtenir une licence et un master. J’avais beaucoup de chemin à faire avant d’y arriver.

Pour remplir les conditions préalables à l’entrée dans le programme universitaire de ma licence, je devais suivre des cours d’allemand et d’enseignement général. J’ai également dû faire un stage préalable. Tout cela m’a pris presque deux ans. Ensuite, après avoir validé deux semestres dans mon université allemande, j’ai créé mon entreprise pour fournir des services Web aux petites et grandes entreprises. C’était très difficile de jongler entre mon travail et mes études à cette époque.

Il est vite devenu clair que j’avais besoin d’approfondir mes connaissances en développement Web pour fournir des services de meilleure qualité à mes clients. C’est à ce moment-là que j’ai découvert OpenClassrooms et leur parcours de développeur d’application frontend.

En examinant l’accréditation internationale des diplômes délivrés par OpenClassrooms, équivalents à un diplôme européen de licence, qui pouvaient être validés en un an environ, cette option semblait être plus en accord avec mes besoins professionnels que mon programme universitaire. J’ai donc décidé de quitter l’université et de commencer à étudier avec OpenClassrooms sans attendre en septembre dernier.

Début de son parcours sur OpenClassrooms

Pendant mes deux premiers mois d’études de développement d’application frontend avec OpenClassrooms, je gagnais chaque jour en assurance : j’apprenais beaucoup en peu de temps.

Puis, j’ai reçu un appel de ma famille : mon père avait été hospitalisé. J’ai tout de suite pris un avion pour être à ses côtés et j’ai suspendu mes études en mettant mon compte Premium Plus en pause sur OpenClassrooms. Je ne savais pas comment la santé de mon père allait évoluer et si je pourrais reprendre mes études.

Heureusement, mon père a retrouvé la santé. J’ai donc pu retourner en Allemagne après un mois passé à son chevet. Je me suis tout de suite réinscrit sur OC, j’ai recontacté mon mentor et j’ai repris mon parcours là où je m’étais arrêté.

Se remettre dans le bain

C’est là que je me suis retrouvé dans une impasse. J’avais l’impression de tout avoir oublié et que c’était vraiment trop difficile. J’ai dit à mon mentor que je n’y arrivais pas et que je voulais abandonner.

Il m’a répondu que c’était normal d’oublier quand on fait une pause et que la meilleure façon d’avancer était tout simplement de s’entraîner. Il m’a demandé de prendre 45 minutes ou moins par jour pour manipuler le contenu, essayer de concevoir des choses, revoir d’anciens projets, et même regarder à nouveau quelques courtes vidéos des cours précédents. Il m’a assuré que tout me reviendrait assez vite.

Mon mentor est l’une des raisons principales pour lesquelles j’ai pu continuer à suivre le parcours. Il m’a dit que je pouvais y arriver. Il a cru en moi. Il connaissait mes points forts et savait que même si je réduisais mon temps de travail à 7-10 heures par semaine, je pouvais quand même réussir. Je pouvais ralentir, tout en avançant dans le parcours.

Donc c’est ce que j’ai fait.

Le fait de travailler plus lentement chaque jour ne m’a pas seulement aidé à revenir dans un état d’esprit adapté aux études, cela m’a également appris que des études ou un entraînement quotidiens peuvent être plus efficaces qu’étudier pendant de plus longues périodes seulement une ou deux fois par semaine. Avoir dû me remettre dans le bain après ma pause m’a appris qu’étudier lentement en grattant quelques minutes chaque jour pouvait être une façon d’apprendre encore plus efficace.

Pause inattendue n° 2

Après ça, mon assurance est remontée en flèche et j’étais sur la bonne voie pour terminer le programme quand j’ai appris que mon père avait été hospitalisé une nouvelle fois. Je suis rentré dans mon pays sans hésitation. En dépit du chagrin et de l’inquiétude, tout s’est arrangé pour mon père.

Mais cette seconde pause était très différente de la première. J’avais remis mon abonnement Premium Plus en pause, mais avais continué à m’entraîner. Cela a fait toute la différence. Après une pause de 20 jours, j’ai réussi à reprendre le parcours beaucoup plus facilement. Je l’ai enfin fini et j’ai obtenu un diplôme de licence en 12 mois malgré presque deux mois de pause.

Je suis tellement heureux d’avoir continué mes études.

Aujourd’hui, je constitue le dossier pour ma candidature en école supérieure et obtenir mon master en avance. Je me rapproche chaque jour de mes rêves d’entrepreneuriat

 

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Changement de voie, changement de poste : et si je réalisais un bilan de compétences ?

 

9 Français sur 10 rêveraient d’une reconversion professionnelle. Désormais, la quête du travail qui fait sens pousse de plus en plus d’actifs à se jeter à l’eau. Leur objectif, embrasser des changements de métier parfois radicaux, au nom d’un plus fort épanouissement personnel.

Mais si aujourd’hui, changer d’emploi n’a plus rien d’étonnant, cela ne se fait pas en un claquement de doigts. Un parcours professionnel en constante évolution est une richesse qui peut vous faire décrocher un job de rêve, à condition de connaître vos forces et vos marges d’amélioration et de savoir valoriser les liens entre différents postes occupés.

Pour réussir cet exercice délicat, faites un bilan de compétences.

À quoi peut-il vous servir ? Comment l’utiliser au mieux ? Cet article devrait vous aider à voir plus clair.


Pourquoi faire ce bilan ?

 

C’est un accompagnement sur-mesure qui vous permet de faire le point sur votre situation professionnelle.

Plusieurs motivations peuvent appeler à réaliser ce bilan.

  • En début de carrière, il vous permet de prendre confiance et de vous conforter dans le choix d’un métier ;
  • Au milieu de votre vie professionnelle, il peut être utile si vous aspirez à une promotion ou à un changement de secteur ;
  • En période de formation ou de recherche d’emploi, il vous aide à mettre au clair vos envies.

A travers d’entretiens individuels, de tests et d’une analyse de vos expériences professionnelles, ce bilan permet de dégager les fils rouges de votre parcours. Dans le même temps, il prend en considération vos aspirations, vos passions et votre personnalité. Une fois le bilan réalisé, vous repartez avec des perspectives concrètes.

En bref, le bilan de compétences est un peu l’état des lieux de votre vie professionnelle.  Il constitue une base solide de connaissance de vous même et vous  permet d’affronter avec plus de sérénité une période de changement. Ainsi, vous ne repartez pas de zéro si vous souhaitez changer de métier ou évoluer. Vous capitalisez sur vos compétences et vous dynamisez votre recherche d’emploi.


Comment se déroule-t-il ?

 

Vous êtes accompagné par un coach ou un expert, le plus souvent dans un cabinet. La durée est variable selon votre situation : généralement, une vingtaine d’heures réparties sur plusieurs semaines.

Votre accompagnateur décrypte votre profil professionnel et votre personnalité: compétences techniques, qualités relationnelles, aptitudes intellectuelles… Rien n’est laissé de côté.

Son rôle : vous faire prendre conscience de vos forces et vos compétences transposables.

 


Les principales compétences transposables

 

De nombreuses aptitudes (savoir-faire ou savoir-être) se retrouvent d’un métier à l’autre, parfois même lorsqu’ils paraissent diamétralement opposés. On parle de vos compétences techniques (savoir utiliser un logiciel, rédiger certains types de documents, tenir une comptabilité…) mais également de vos compétences transversales qui touchent à l’organisation, à l’adaptation, au relationnel.

Voici quelques exemples de compétences centrales dans plusieurs emplois :


En pratique, comment réaliser ce bilan ?

 

Pour qui ?
Pour tout le monde. Que vous soyez salarié dans le secteur public ou privé, en CDI, CDD, indépendant ou en intérim, vous pouvez réaliser un bilan de compétences.

Quand ?
Dès que vous avez envie d’évaluer vos compétences, dans le but d’une promotion, d’un changement de poste ou même de métier.

À quel prix ?
Le tarif moyen d’un bilan de compétence est de 1 800 euros, toutefois le prix est variable selon les prestataires. Le bilan est très souvent pris en charge par votre entreprise sous réserve de remplir certains critères d’éligibilité. Si vous êtes  au chômage, vous bénéficiez d’un bilan gratuit dans le cadre de vos recherches d’emploi.

A qui s’adresser ?
– Si vous êtes demandeur d’emploi, faites une demande à Pôle emploi.
– Si vous êtes salarié, rapprochez-vous du réseau Fongecif de votre région pour déposer une demande de prise en charge. Le bilan peut s’effectuer pendant ou en dehors de vos horaires de travail.
– Si vous êtes travailleur indépendant, vous avez accès depuis le 1 er janvier 2018 à un compte personnel de formation pour financer votre bilan de compétences. Un micro-entrepreneurs peut déposer une demande auprès du FIFPL.


Vos premiers pas

 

En attendant de réaliser un bilan complet avec un professionnel, commencez à travailler sur vos atouts personnels en passant des tests accessibles en ligne : MBTI Test (gratuit) et le Gallup Test (payant).

Certaines entreprises proposent également des bilans de compétences axés sur la reconversion, comme Switch Collective.


Pour aller plus loin :

 

Une fois que vous aurez fait ce bilan de compétences, vous pourrez confronter vos savoir-faire et savoir-être aux possibilités d’emploi chez OpenClassrooms au travers du cours : « Quel parcours est fait pour moi ? »

Vous pourrez également lire cet article qui liste les métiers les plus demandés dans le numérique.

Bonne chance !

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Comment quitter mon emploi en bons termes ?

Par : Nora Leon

 

L’histoire en bref. Vous avez grandi professionnellement, vous êtes épanoui dans votre équipe. Puis, peu à peu, vous avez fait le tour de votre métier. D’abord, vous avez eu moins d’élan à piloter des projets. Et, la routine aidant, votre motivation s’est étiolée. À présent, vous avez envie d’apporter un regard frais ailleurs. Et vous cherchez la manière de l’annoncer.

La version cruelle du conte. Divergences de points de vue stratégiques, manager toxique, manque de reconnaissance, déménagement, envie de reconversion… Vous envoyez tout valdinguer pour trop-plein. Et vous voudriez claquer la porte comme au cinéma Minute papillon.

Quelle est la meilleure façon d’annoncer votre départ à vos collaborateurs ? Comment démissionner avec élégance et laisser une image professionnelle ?


De l’importance de rester loyal

Oh oui, nous vous conseillons vivement de traiter votre entreprise avec des égards.

  • Soyez franc et respectueux avec vos collaborateurs, comme vous aimeriez qu’ils vous traitent ;
  • Plus vous anticiperez votre départ, plus votre impact sur l’entreprise sera large (notamment si vous faites une passation) ;
  • Vous conserverez des liens professionnels de qualité ;
  • Vos anciens collaborateurs seront plus enclins à vous recommander ;
  • Le monde du travail est petit, et vous risquez fort de recroiser des collaborateurs tôt ou tard, là où vous ne les auriez pas (du tout) attendus. Surprise !


Concrètement : comment faire ?

1 — Annoncez la nouvelle…  dans le bon ordre

Ne parlons plus du processus pour savoir si vous devez partir, car vous avez déjà pris cette décision.

Pas encore ?  À lire :
Changer de carrière, mais pourquoi ?
Quand changer de métier ?

Une fois la décision claire dans votre esprit, allez l’annoncer.

Mais tut tuuuut, il y a quelques règles à respecter :

  • Comment – Faites vos commissions en personne.

    Pas de lettre recommandée qui rendrait cela beaucoup plus agressif et procédurier que cela ne doit l’être. D’ailleurs, saviez-vous qu’une démission n’est pas légalement tenue d’être annoncée par écrit ? Une fois que c’est dit à l’oral, on vous conseille tout de même aimable une lettre recommandée aux RH, juste au cas où.
  • Qui – Managers first.

    Choisissez le bon moment : pas juste avant une réunion importante d’équipe au risque que le point passe à la trappe, pas non plus le vendredi à 19h. Pas par caméra ou téléphone interposé. Calmement, dans une salle, avec du café.
    Une fois qu’il aura digéré la nouvelle et que vous vous serez accordés sur la version de l’histoire à raconter aux collaborateurs proches et à l’ensemble des collègues, vous pourrez prévenir le reste de l’équipe.
  • Quoi Quels sont les mots justes ?

    Cela dépend des raisons qui vous poussent à partir et de votre relation avec le manager en question.

Si vous partez pour changer de secteur ou de poste, soyez franc. Dites pourquoi vous avez besoin de renouveau et parlez de votre projet sans dénigrer votre ancien poste. D’ailleurs, si les relations sont bonnes, votre manager vous souhaitera bonne chance et pourra même vous aider.

Si vous partez sur un désaccord (management, stratégie, salaire, évolution…), c’est le moment, avec tact, de faire un retour constructif mais pas édulcoré.

Nouveau tut tuuuuut, utilisez la communication non violente : parlez de vos sentiments et de ce que cela déclenche chez vous quand il se passe quelque chose (fait irréfutable) et dites en quoi cela ne vous convient pas, sans mettre en cause la personne directement.

Enfin, en fonction des circonstances (apaisées ou non), cet entretien est aussi un bon moment pour remercier pour l’opportunité que vous avez eue. Rappelez ce que vous a apporté le poste et que vous avez apprécié de travailler là.

2 — Soyez assertif et évitez de vous justifier

Que vous l’annonciez à votre manager, patron ou à l’équipe, cela peut être difficile de trouver l’équilibre. Vous perdre dans des explications bredouillées et infinies ou alors vous refermer comme une huître avec un air buté, ni l’un ni l’autre n’est idéal.

Voici quelques conseils pour être à la fois décidé et empathique :

  • Vous n’êtes pas tenu d’expliquer quoi que ce soit. Une formule neutre de type : “après (X temps) parmi vous, j’ai décidé de me lancer dans une nouvelle aventure professionnelle. Je partirai dans 3 mois”. Vous pouvez donner des détails sur votre futur poste… Ou pas. Vos collègues voudront probablement en savoir plus : à vous de trouver l’équilibre entre en dire trop et ne pas en dire assez, pour rassasier les ragots.
  • Si vous partez sur un désaccord : pas la peine d’expliquer que machine vous a harcelée moralement ou que la reconnaissance n’était pas au rendez-vous. Éviter de laver votre linge sale en public est un investissement pour votre avenir professionnel. Trouvez une formule neutre pour annoncer votre départ, assez diplomate pour ne vexer personne.
  • Si vous changez de métier, de secteur, ou avez un projet, partagez votre enthousiasme. L’équipe comprendra d’autant mieux votre départ et saura qu’elle n’est pas en cause.

3 — Lavez votre linge sale en petit comité

Un mot d’ordre : la cordialité. Vous partez en claquant la porte ? Parler tout de même à votre employeur (manager ou RH) des raisons de votre départ de manière constructive fera grandir l’entreprise et vous déchargera d’un poids.

Cependant, n’impliquez que les interlocuteurs concernés.

  • Votre manager si vous pouvez lui faire un retour qualitatif sur ses méthodes ou celles d’un collègue ;
  • S’il s’en moque, aux ressources humaines. Car si vous partez à cause de lui, il va probablement reproduire ses comportements toxiques aux dépens de votre successeur.

Par contre, évitez à tout prix les commérages malveillants sur votre boss, collègue, client. Ils se répandent comme une traînée de poudre et laissent un goût désagréable. Lorsque votre futur employeur cherchera des recommandations, vous pourriez vous retrouver dans une situation délicate.

4 — Faites une passation de champion

C’est le moment rêvé pour agir avec classe et professionnalisme. Vous laisserez une image irréprochable de vous et vous permettrez à vos collaborateurs ou votre successeur de capitaliser sur votre travail pour continuer à faire grandir le service.

Un mot d’ordre : pro-a-cti-vi-té. N’attendez pas qu’on vous extorque chaque info, préparez un dossier complet de passation, et demandez à vos collaborateurs s’ils veulent faire une ou plusieurs réunions pour comprendre votre organisation, vos enjeux, faire le tour de votre héritage. Vous, comme eux, avez intérêt à ce que ces semaines se passent bien.

À faire : prévenir ses clients de son départ, présenter son successeur, mettre les dossiers importants dans le drive ou dropbox de l’équipe… Toute l’équipe appréciera votre capacité à collaborer.

5 — Dites au-revoir à votre manière 

Pot de départ ou juste quelques mots dans un déj d’équipe, profitez-en pour glisser un mot sur votre temps dans l’entreprise ainsi que sur l’après.

C’est le moment de remercier les personnes qui ont été à vos côtés, de leur faire des retours constructifs sur ce que vous avez apprécié. Et cela vous permet aussi de préparer l’après : échanger les coordonnées ou encore solliciter une recommandation.

Et tout comme vos collègues vous auront sûrement acheté un cadeau très personnel, vous pouvez avoir préparé un cadeau à laisser à votre service : cela s’est vu d’acheter du thé ou du chocolat ou toute autre forme de clin d’œil qui vous rappellera à eux.


Last but not least, déculpabilisez-vous !

On vous souhaite que ce processus se passe au mieux. C’est d’ailleurs souvent le cas après une collaboration sereine. Mais si votre équipe met de l’affect dans cette histoire, faites tout pour prendre du recul. Voici quelques pensées positives pour vous aider :

  • Vous avez le droit de quitter l’entreprise où vous êtes, quelle que soit la raison de votre départ : vos collègues se doivent de respecter votre décision.
  • Vous avez beaucoup donné à votre employeur. Jetez un coup d’œil en arrière, prenez la mesure de l’héritage que vous laissez et concentrez-vous là-dessus.
  • La lecture de cet article en témoigne : vous êtes dans une démarche de respect et de dialogue. Le fait que vous ayez pris une décision ne doit pas vous faire culpabiliser, tant que vous l’annoncez en douceur.

Deux mots petits mots qui disent beaucoup : bonne chance !

 

À lire ensuite :

Pourquoi changer de métier ?
Quel est le bon moment pour changer de métier ?
Quels sont les métiers les plus recherchés dans le numérique ?
Effectuer son bilan de compétences
5 conseils pour choisir son futur métier
OpenClassrooms, un modèle pédagogique par la pratique 

 

 

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OpenClassrooms et Google.org aident les indépendants à s’épanouir professionnellement

Par : Nora Leon

 

L’équipe d’OpenClassrooms est fière d’annoncer le lancement de LevelUp, son école en ligne dédiée aux travailleurs indépendants, grâce au soutien de Google.org.

OpenClassrooms s’est donné une mission : rendre l’éducation accessible à toutes et tous, partout dans le monde. Et derrière cette mission, un objectif professionnel : permettre à ses apprenants de s’épanouir dans leur carrière tout au long de la vie – y compris les travailleurs indépendants, pour qui l’accès à la formation n’est pas toujours aisé.  Nous avons donc souhaité proposer des formations sur-mesure pour répondre aux besoins de ces derniers.

Notre ambition : accompagner l’ascension des indépendants

Aujourd’hui, les nouvelles formes de travail se développent massivement – en particulier les indépendants, de plus en plus nombreux. . Choisir le travail indépendant, c’est plus d’autonomie, pas de patron, un accès direct aux clients… mais aussi plus de risques, un encadrement pas toujours complet. Si les opportunités pour les indépendants, quels que soient la structure et le secteur, ne cessent de fleurir, les modalités pour créer et développer son activité à son propre compte évoluent aussi de manière radicale.

Dans ce contexte, OpenClassrooms et Google.org ont joint leurs efforts pour proposer aux indépendants des formations qui répondent à leurs besoins, en France, au Royaume-Uni et en Belgique.

La première étape : comprendre les besoins de formation des indépendants, en particulier de ceux qui collaborent avec des plateformes numériques. Pour ce faire, nous avons noué des partenariats avec Uber, Deliveroo et Stuart, et sondé leurs audiences pour préparer ce programme.

Près de 2500 personnes en France, au Royaume-Uni et en Belgique ont participé à cette enquête. Les résultats ont mis en lumière que 90% de ces indépendants comptent évoluer professionnellement en changeant d’emploi. Ils voient en effet leur activité  actuelle comme une activité de transition, un tremplin pour évoluer.  Certains d’entre-eux n’envisagent pas forcément de changer d’activité ; d’autres par contre connaissent mal les solutions de formation à leur disposition pour évoluer vers autre chose tout en sécurisant leurs revenus.

Construire sa carrière en maîtrisant les risques

Le programme LevelUp d’OpenClassrooms est né pour permettre aux indépendants  d’acquérir les compétences nécessaires pour leur permettre de faire un bond dans leur carrière, tout en maîtrisant leurs revenus.

 


Vous êtes indépendant et cela vous intéresse ? Demandez le programme !


Le programme de formation est composé de 12 cours créés spécifiquement pour vous. En les suivant, vous vous familiariserez avec les bonnes pratiques numériques du marché de l’emploi et apprendrez les compétences du 21ème siècle.

Vous apprendrez notamment à créer et gérer votre activité, à construire un plan de carrière ambitieux, et à chercher efficacement un emploi. Vous développerez aussi des compétences fondamentales à toute création d’entreprise, telles que rédiger des écrits professionnels, parler en public, collaborer avec une équipe et organiser votre travail de manière autonome.

N’importe quel indépendant peut suivre ces cours, ou l’un des 300 autres déjà accessibles sur OpenClassrooms. Si vous collaborez avec Uber, Deliveroo, Stuart ou Malt, vous pouvez dès maintenant accéder à toutes ces ressources gratuitement, suite à une inscription en quelques clics.

Je m’inscris gratuitement

 


Des bourses d’études pour donner vie à 100 projets

Pour aller encore plus loin, LevelUp d’OpenClassrooms offre 100 bourses d’études à des indépendants aux projets ambitieux. Ces bourses permettront d’étudier pendant un an chez OpenClassrooms : le temps moyen pour obtenir un diplôme de niveau reconnu par l’État à équivalent Bac +3. Ces personnes choisiront entre trois spécialités celle qui sera la plus adéquate pour mener à bien leur projet.

Cela vous intéresse ? Vous avez un super projet et voulez postuler ?

 

À quoi ressembleront vos études si vous obtenez la bourse ?

Vous bénéficierez, comme les autres 99 indépendants, d’un compte Premium Plus d’OpenClassrooms. C’est-à-dire que vous étudierez sur l’un de nos parcours diplômants, qui comprend des projets professionnalisants, des cours et l’aide d’un mentor par visioconférence chaque semaine. Vous aurez également le droit, dès le parcours terminé, à un accompagnement à l’emploi avec un coach RH qui vous aidera à décrocher leur premier poste.

Et si vous vous lanciez ?

Je postule

 

Le programme LevelUp d’OpenClassrooms est une opportunité en or pour les indépendants de se former en parallèle de leur activité. C’est l’occasion pour eux de la faire passer au niveau supérieur, ainsi que leurs compétences professionnelles. Et surtout, petit à petit et sans prendre de risques inconsidérés, de s’acheminer vers la carrière dont ils rêvent.

 

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Quel est le bon moment pour changer de métier ?

Par : Nora Leon

 

Dans 20 ans, vous serez plus déçu par les choses que vous n’avez pas faites que par celles que vous aurez faites. Alors sortez des sentiers battus. Explorez. Rêvez. Découvrez.
Mark Twain

Vous songez à changer de métier. Comme 64% des Français. Pour beaucoup, cela restera un doux fantasme. Mais peut-être faites-vous partie de ceux qui prennent chaque jour leur vie à bras-le-corps et se taillent un destin sur-mesure qui les enthousiasme plus.

Une foule de questions se pose alors : Quand changer de métier ? Y a-t-il un âge limite pour le faire ? Et un moment opportun pour quitter son emploi ?

 

Le meilleur moment pour vous

Quand changer de métier ? Vous pouvez être en poste depuis un mois ou 10 ans. Quitter votre emploi est pertinent si vous vous retrouvez dans l’une de ces situations :

1- Vous avez fait le tour de votre poste
2- Vous n’avez pas de perspective d’évolution
3- Vous n’aimez plus ou n’avez jamais aimé vos missions
4- Vous avez un problème éthique avec votre emploi
5- Vous voulez explorer un nouveau métier
6- Vous avez un rêve professionnel inassouvi
7- Vous souhaitez gagner mieux votre vie
8- Vous voulez être indépendant

À lire : Pourquoi changer de carrière ?

En ce qui concerne votre temps en poste, les recruteurs vous diront que rester dans un poste 1 an et demi à deux ans est nécessaire pour l’avoir pris en main. Cependant, ce n’est pas une règle stricte, car on voit régulièrement de belles reconversions après moins de temps passé en poste : tout repose sur votre argumentation durant l’entretien d’embauche.

En ce qui concerne le moment dans l’année, septembre et janvier sont en général les pics de reprise d’études, mais vous ne devez pas forcément commencer par là. Chez OpenClassrooms, vous pouvez vous inscrire toute l’année et commencer de suite.

Côté vie personnelle, tout est possible. Chez OpenClassrooms, on voit régulièrement des parents avec des enfants en bas-âge et un emploi à côté, réussir des parcours diplômants.  C’est en vous que vous puiserez la motivation pour y arriver.

Enfin, vous pouvez changer de métier quel que soit votre âge. Surtout pour les métiers du numérique qui sont très en demande, vos compétences vous garantiront un emploi.

 

Le bon moment pour respecter votre employeur

Votre patron et votre équipe ne s’attendent pas forcément à ce que vous partiez. Cela peut leur faire un choc d’apprendre cette (mauvaise) nouvelle.

Pour autant, cela ne veut pas dire que vous deviez vous censurer. Il y a un équilibre à trouver entre ne jamais partir par peur de vexer son employeur ou de ralentir son équipe, et partir au pire moment.


Les bonnes pratiques :

  • Partez bien avant ou après la période la plus stratégique de l’année où vous remplacer serait impossible, pour ne pas mettre votre équipe dans une situation délicate.
  • Vous pouvez aider à recruter votre successeur dès que vous avez posé votre démission pour que la transition soit plus facile pour l’équipe.
  • Il est également possible de partir à la faveur de recrutements dans l’équipe pour laisser l’opportunité aux collaborateurs d’unir leurs forces en mode « Lean » (en se répartissant le travail en équipe pour ne pas stopper l’activité)
  • Respectez la période convenue avec votre employeur pour le préavis et soignez votre passation à votre successeur : si vous l’aidez, vous pourrez choisir librement votre date de départ car la relève sera assurée.


En un mot

Rassurez-vous : vous allez trouver le bon moment. Le plus dur est de se lancer.

À lire ensuite :
Pourquoi changer de métier ?
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5 conseils pour choisir son futur métier
OpenClassrooms, un modèle pédagogique par la pratique 

 

 

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OpenClassrooms, un modèle pédagogique par la pratique

Apprendre un métier en ligne ? Pourquoi pas, mais à quoi dois-je m’attendre ?

Une formation orientée compétences

Si vous avez déjà fait des études dans une école, une université ou un centre de formation traditionnel, vous êtes certainement habitué à la logique pédagogique suivante : suivre des modules – cours, TP, séminaires – pour passer des examens. Passer des examens pour avoir des notes. Avoir des notes pour valider des semestres. Valider des semestres pour valider des années. Valider des années pour valider un diplôme. Valider un diplôme pour continuer ses études ou trouver un emploi.

Cette logique est très répandue, mais si vous vous attendez à la retrouver dans nos parcours, vous risquez d’être surpris ! En fait, pour créer une bonne expérience d’apprentissage en ligne, nous avons dû repartir d’une page blanche et nous poser les bonnes questions.

Que cherchent vraiment les recruteurs ? Des bonnes notes aux examens ? Non, plutôt des professionnels qui peuvent prouver leurs compétences.

Comment acquérir ces compétences en ligne ? En regardant des vidéos ? Pas seulement, non ! Avant tout par la pratique, et par le contact régulier avec des professionnels du domaine.

Une pédagogie par projets


Chez OpenClassrooms, pour acquérir ces compétences, vous devez réaliser une suite de projets. En d’autres termes, des reconstitutions de scénarios professionnels aussi réalistes que possible. Vous devez donc vous glisser dans la peau d’un professionnel et fournir à un client, des collègues ou un manager des livrables, avec des contraintes données, dans un environnement particulier, etc.

Afin de vous accompagner, vous êtes suivi une heure par semaine par un mentor durant une session en visioconférence. Le mentor n’est pas un professeur mais un professionnel du métier, qui pourra vous aiguiller avec son expérience du terrain.

Et les cours dans tout cela ? On y arrive ! Les cours sont conçus comme des ressources pour vous aider à réaliser ces fameux projets. Ils ne sont donc pas strictement obligatoires : vous pouvez tout à fait valider le projet en vous aidant de ressources différentes ou par votre propre expérience. Cela dit, si vous êtes débutant, ils vous seront quand même vivement recommandés.

Pourquoi ce choix de pédagogie ?

La pédagogie par projet n’est pas nouvelle dans le paysage éducatif. Elle s’est même imposée comme l’une des méthodes efficaces pour accroître la motivation des étudiants.

Chez OpenClassrooms, nous concevons des projets professionnels d’envergure, évalués par des soutenances, qui vous permettent de bâtir votre portfolio… et accessoirement de valider le diplôme.

Quelle est l’idée derrière ?

  • Que votre apprentissage soit plus précis : vous apprendrez uniquement ce dont vous avez besoin dans le monde professionnel, mais également tout ce dont vous avez besoin. Les projets nous permettent de calibrer plus finement les compétences acquises.
  • Que votre apprentissage soit évalué au mieux : la durée de réalisation des projets est flexible. Vous apprenez à votre rythme. Ainsi, lorsque vous validez le diplôme, cela signifie que vous avez vraiment acquis toutes les compétences requises, , à un niveau qui plus que pour passer l’examen, vous permettra réellement de les mettre en pratique dans le monde professionnel.
  • Que votre apprentissage soit valorisable facilement dans le monde du travail : même si vous ne passez pas par l’apprentissage ou le stage (ce qui est possible chez OpenClassrooms pour certains parcours), à la fin de votre formation, vous aurez réalisé une série de livrables que vous pourrez présenter en entretien par un portfolio. Vous serez directement opérationnel.

Vous pouvez ainsi faire l’expérience du métier, mais avec plus de place pour des erreurs que si vous étiez directement plongé en entreprise, et avec un mentor qui vous suit toutes les semaines.

OpenClassrooms permet donc de faire converger les sections éducation et expérience du CV… C’est ça, pour nous, une formation professionnalisante.

Vous êtes étudiant ? Dites-nous ce que vous en pensez.

Vous voulez faire décoller votre carrière ?

Rendez-vous sur notre page Parcours !

 

Les auteurs de ce post :

Charlène et Guillaume.

Passionnés d’éducation, tous deux font partie de l’équipe pédagogique.


Charlène est ingénieure pédagogique. Elle cherche au quotidien à améliorer l’expérience d’apprentissage des étudiants au travers de cours et de parcours toujours plus professionnalisants et pédagogues.
Guillaume est Learning Expérience Designer : il réfléchit aux innovations éducatives à mettre en place dès et dans les prochaines années, pour une meilleure expérience d’apprentissage.

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Anatomie d’un parcours OpenClassrooms

Par : Nora Leon

Comment se passent concrètement vos études quand vous étudiez chez OpenClassrooms ?

 

Ça y est, vous vous jetez à l’eau. Vous allez apprendre un nouveau métier, en ligne. Est-ce que vous le ferez chez OpenClassrooms ? Voici comment se dérouleront vos études chez nous. On espère que ça vous permettra de vous projeter.

 

Qu’allez-vous apprendre ?


OpenClassrooms est l’école du concret. Vous apprendrez un métier de A à Z, en pratique.

Vos passerez environ 80% de temps de travail sur des projets avec l’aide de votre mentor et 20% sur les cours.

Les cours ne sont pas obligatoires, il vous aident à réussir les projets.

 


Qu’est-ce qu’un projet professionnalisant ?

 

Ce sont des travaux pratiques, comme si vous étiez déjà en entreprise. Par exemple établir une fiche de paie dans le parcours comptabilité, créer un site Internet en développement, réaliser un plan de communication dans le parcours Responsable Marketing…

“C’est en forgeant qu’on devient forgeron.” Et justement, ces projets vous permettent d’apprendre en faisant. Vous développez des compétences immédiatement applicables en entreprise.

 

Comment OpenClassrooms vous accompagne

 

Votre mentor

C’est un expert qui exerce votre futur métier, sélectionné par OpenClassrooms pour vous motiver et vous accompagner pas à pas vers la réussite. Avec lui, vous vous fixez des objectifs et approfondissez les sujets.


Dès que j’ai un souci technique, ma mentor Marion est là. Et cela va plus loin : elle me rassure quand j’hésite. Souvent, après coup, elle me dit : “Tu vois que tu as réussi !” Le contact humain est super aussi. On parle d’un nombre incalculable de choses.

 

Clémence, diplômée dans le parcours développement front-end, développeuse en CDI dans le milieu du transport

On n’a pas de vision globale du parcours : il nous faut un cadrage, pour savoir combien de temps on va mettre sur un projet. Se fixer des objectifs chaque semaine est aussi très important. On les définit ensemble, et donc, c’est réalisable.

Sylvie, 59 ans, diplômée de la formation Chef de projet multimédia Développement, développeuse indépendante

 

En ligne mais pas tout seul : la communauté Workplace

Le Workplace est réservé à la communauté Premium Plus d’OpenClassrooms. Son interface ressemble à celle de Facebook. Les étudiants, les diplômés, les mentors et l’équipe OpenClassrooms y discutent librement des études, des emplois et d’autres sujets, comme sur n’importe quel campus.

Cette communauté vous permet d’obtenir de l’aide sur une question technique entre deux rendez-vous avec votre mentor. Vous pouvez y obtenir un conseil sur un projet, ou discuter avec les autres étudiants de tout et de rien. Vous échangerez au quotidien avec les autres étudiants et pourrez organiser des sessions de travail en groupe près de chez vous.

 

Les conseillers pédagogiques

C’est l’équipe d’OpenClassrooms qui vous accompagne au quotidien, de votre demande de financement jusqu’à l’obtention de votre diplôme et votre prise de poste.

Concrètement, ils vous aident à choisir le métier qui vous convient. Une fois décidé, c’est à eux que vous demandez un changement de mentor, un coach pour accélérer votre recherche d’emploi, une attestation de présence, une copie de votre diplôme… Leur mission : vous faciliter la vie.

 

Les coachs pour décrocher un emploi

Enfin, dès votre diplôme obtenu, vous pourrez demander l’aide d’un coach, gratuitement, pendant 2 mois.

L’objectif : vous aider à trouver un job qui vous plaise, le plus vite possible.

Comment ? En vous conseillant dans vos candidatures, en vous aidant à trouver les bons arguments, en vous préparant aux entretiens, et en vous ouvrant si nécessaire son réseau pour créer des opportunités.

La recherche du contrat est un moment difficile, où l’on peut sentir sa motivation vaciller. Mais même là, je n’ai pas été tout seul. Openclassrooms m’a attribué un coach, qui m’a aidé dans les différentes étapes de ma recherche. Et aujourd’hui, j’ai décroché mon contrat pro et je vais pouvoir continuer mon parcours jusqu’à l’obtention du diplôme.

 

Aurélien, étudiant en développement web

 

La journée d’un étudiant


Comment m’organiser durant cette période d’apprentissage en ligne ?

Les horaires

Cela dépend de vous : les horaires sont flexibles, les projets et les cours sont accessibles à toute heure, et les mentors proposent plusieurs créneaux. Donc, chaque personne a un emploi du temps différent.

  • Si vous étudiez à plein-temps, vous aurez sûrement une routine de travail : 3h30 le matin, votre déjeuner, 4h00 l’après-midi les jours de la semaine (on recommande 35h de travail hebdomadaire). D’ailleurs, vous préférez peut-être travailler tard, ou répartir vos heures l’après-midi et le soir.
  • Si vous avez un emploi, vous travaillerez probablement le soir (2h chaque soir par exemple) et le week-end (par exemple 6h par jour le weekend) ; vous mettrez sans doute un peu plus de temps à terminer votre parcours.
  • Si vous avez des enfants, vous pourrez ménager du temps pour vous en occuper (en concentrant vos études sur leurs horaires à la crèche ou à l’école).

 

La structure de travail

Chaque semaine, vous définirez avec votre mentor les tâches de votre projet à mener à bien pour la semaine suivante. Vous saurez donc quoi faire. Vous passerez sûrement un peu de temps chaque jour à vérifier des éléments dans les cours, mais la plupart du temps sera consacré à du travail pratique.

Une fois toutes les deux semaines, vous viendrez peut-être au coworking organisé par OpenClassrooms dans l’une des grandes villes de province ou à Paris. Ou vous travaillerez en groupe avec des étudiants qui habitent près de chez vous.

 

Le mot de la fin


Chez OpenClassrooms, c’est zéro blabla, 100% concret. Si vous avez envie de sauter à pieds joints dans un nouveau métier, lancez-vous avec nous.

Ma reconversion est en passe d’être une réussite et s’il y a bien un truc à retenir pour toutes les personnes qui auraient tendance à vouloir abandonner : NE LE FAITES PAS !!!! Ne lâchez rien, JAMAIS ! Tous les efforts finissent par payer, certes plus ou moins vite mais ça finit toujours par être positif.

Nicolas, jeune développeur web en CDD évolutif en CDI.

 

À consulter ensuite : 

La page Parcours d’OpenClassrooms 
Le mentorat, l’atout humain des formations
Retours d’étudiants sur le mentorat
Changer de métier, mais pourquoi ? 

 

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OpenClassrooms se réinvente

Par : Nora Leon

 

 

Plus moderne, plus accessible, nous sommes heureux de vous présenter la nouvelle marque OpenClassrooms. Après des mois de travail en collaboration avec une grande agence de design parisienne, c’est avec beaucoup de fierté que nous dévoilons aujourd’hui nos nouvelles couleurs.

 

Depuis 2013 et la création d’OpenClassrooms, de l’eau a coulé sous les ponts : avec plus de 40 parcours diplômants, des partenariats avec les plus importantes institutions académiques en France et bientôt dans le monde, plus de trois millions de membres chaque mois aussi, nous sommes devenus une vraie locomotive pour l’éducation en ligne.

 

Aujourd’hui, nous dévoilons une marque à la hauteur de ce que notre communauté est devenue : un nouveau logo, une nouvelle couleur, et aussi de nouvelles images pour mieux exprimer l’ouverture et l’exigence de qualité qui sont à la racine de tout ce que nous faisons chez OpenClassrooms.

 

Vous pouvez découvrir ci-dessous ce qui a guidé notre réflexion, étape par étape ; et sinon, nous espérons simplement que vous apprécierez d’utiliser la plateforme sous ses nouvelles couleurs.

 

Mathieu Nebra et Pierre Dubuc.

 

 

Première étape : logo et éléments graphiques récurrents

 

Le logo d’OpenClassrooms suggérait déjà la classe “ouverte”. Nous avons voulu le simplifier et le moderniser, pour qu’il représente de manière concrète et immédiate notre mission : rendre l’éducation accessible.

Notre ambition, c’est de donner sa chance à chacun, sans considération pour le niveau d’instruction ou le passé. Nous n’exigeons pas le Bac, avons des étudiants de tous âges et de toutes les nationalités. Entrez chez OpenClassrooms, la porte est ouverte.

Et pour aller plus loin, nous avons aussi “ouvert” d’autres voyelles. Ainsi, le a et le c rendront aussi la mission d’OpenClassrooms tangible au travers de son design.


Réinventer notre palette graphique

 

Adieu l’orange, vive le violet !

Premier impératif derrière ce changement de couleur : renforcer l’accessibilité de notre plateforme. La majorité d’entre vous ne le voit sans doute pas, mais faire en sorte que tous les contenus proposés par OpenClassrooms puissent être vus dans de bonnes conditions par tous est une priorité pour nous ; or l’orange est difficile à déchiffrer, au contraire du violet qui offre un contraste suffisant pour être lu sans difficultés. En la matière nous nous soumettons aux normes les plus drastiques – pour le confort de tous.

Deuxième impératif ? Donner du tonus à la marque, créer une image moderne et gaie. Oui, l’éducation est une affaire sérieuse, un effort ; mais c’est aussi un processus joyeux, une satisfaction et un chatoiement – il était temps de le faire voir.



Adopter une police d’écriture cohérente avec notre mission

 

Autre chantier : la police d’écriture. Nous avons choisi Monserrat, non seulement parce qu’il s’agit d’une police moderne et claire, mais aussi parce qu’elle est installée par défaut ou téléchargeable gratuitement – ça aussi, c’est promouvoir l’accessibilité !

Au-delà de cette police, nous avons effectué un travail sur les mots. Become, evolve et dare sont récurrents dans notre communication, car ils touchent à la transformation de l’être. Ils racontent la trajectoire de chacun vers un savoir, un emploi, une nouvelle vie et expriment une vision résolument optimiste de l’avenir.

 

Créer les images qui expriment OpenClassrooms

 

L’un des aspects majeurs de ce changement passe aussi par de nouvelles images. L’éducation est un sujet qui change la vie. Elle offre la joie d’apprendre, se réaliser et grandir.

Les nouvelles images de OpenClassrooms, c’est ça : des hommes et des femmes de tous les âges, tous réunis dans la joie de l’apprentissage et la fierté d’avoir accompli quelque chose – une iconographie vibrante pour traduire l’épanouissement.

Et des mains, aussi, pour représenter les parcours. Parce que les métiers auxquels forme OpenClassrooms sont tous à portée de main pour qui veut apprendre – mais jamais seul. Des professeurs, des mentors, la communauté OpenClassrooms toute entière entoure les étudiants et les amène au succès.

 

En un mot 

 

Nous sommes fiers et heureux de renouveler cette identité visuelle et de vous la présenter. Nous espérons qu’elle vous plaira autant qu’à nous et que vous aurez plaisir à utiliser la plateforme avec ces nouvelles couleurs.

Et que diriez-vous d’aller voir par vous-même à quoi tout cela ressemble ?

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