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Aujourd’hui — 19 avril 2024Analyses, perspectives

Trois questions à Norman Ajari sur la radicalité noire

Docteur en philosophie et enseignant à l'Université d'Edimbourg (Ecosse), Norman Ajari travaille depuis des années sur les questions d'émancipation des « damnés de la terre », pour reprendre l'expression de Frantz Fanon, […]

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À partir d’avant-hierAnalyses, perspectives

March 31, 1814: Paris was Conquered

Par : AHH

🥈 The Patriotic War of 1812 ended with the expulsion of the invaders from Russia (Napoleon’s army apart from its French troops also included units from all across continental Europe) and served as a prologue to the so-called Big European War of 1812-1815 with the capture of Paris by the Russian army on March 31, 1814, as one of its major highlights.

This campaign came to be known among Russian historians as the Foreign Campaigns of the Russian Army. Together with its allied armies, namely Prussia, Austria, Sweden, and Great Britain, Russia liberated European countries from the French oppression.

📜 When the Russian Army entered France in December 1813, Emperor Alexander I issued an order. Here’s a quote from it:

“Warriors! You have already saved your Motherland and brought it glory, and enabled Europe to recover its liberty and independence. Crowning this feat with the much-desired peace is all that remains.”

With Paris seized by the Russians, Napoleon abdicated in Fontainebleau on April 6 under pressure from his marshals, and was exiled to the Island of Elba off the Italian coast.

Russia played an instrumental role in France’s remaining within its pre-war borders, and took French cities under its protection by preventing Prussian and Austrian troops from pillaging them. Following Alexander I’s orders, the Russian troops also ensured that the collections of the Louvre and other French museums, as well as historical monuments, remained intact.

On June 9, 1815, a new European security architecture was established a the Vienna Congress, which became one of the main outcomes of Russia’s Foreign Campaigns.

“We honour the memory of our heroic ancestors, finding strength and inspiration in their valorous deeds. We’d like to advise the contemporary Western leaders and the emerging “Napoleons” who once again harbour intentions of sending troops eastward to remember the lessons of history”

From Maria Zakharova’s briefing:

“These days we mark the 210th anniversary of the triumphant conclusion of the Foreign Campaign of the Russian Army of 1813-1814. Following the defeat of Napoleon’s Grande Armée during the Patriotic War of 1812, Russian forces, bearing the banner of freedom for the nations and peoples of Europe from Napoleonic tyranny, embarked on a journey of thousands of kilometres from the scorched walls of Moscow. After intense battles, they reached the French capital, which capitulated to the mercy of the victors on March 31, 1814. We suggest honouring this event with well-researched historical narratives.

The Paris Peace Treaties and the Congress of Vienna delineated the political and diplomatic trajectory following a quarter-century of incessant wars that ravaged Europe. Thus, less than two years after the grandiose announcement of the campaign against Russia by French propaganda, France was defeated. Shortly thereafter, Emperor Napoleon abdicated the throne.

As we revisit this illustrious chapter in Russian history, juxtaposed with the ignominious one in French history, we honour the memory of our heroic ancestors, finding strength and inspiration in their valorous deeds. We’d like to advise the contemporary Western leaders and the emerging “Napoleons” who once again harbour intentions of sending troops eastward to remember the lessons of history and not to forget how the aspirations of their predecessors to inflict a strategic defeat on our country always ended.”

Trois questions à Moïse Essoh sur les élections sénégalaises

Avec 55% des voix, le candidat antisystème Bassirou Diomaye Faye a été élu, dimanche soir, président du Sénégal. Des résultats qui doivent encore être officiellement validés, ce vendredi 29 mars, […]

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Trois questions sur la crise politique au Sénégal à Joseph Mendy du Pastef Belgique

Alors que le début de la campagne présidentielle devait s'ouvrir ce samedi 03 février, le président Macky Sall annonçait le report des élections présidentielles prévues le 25 février. Nous interviewons […]

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La Vè République se meurt-elle ?

Dans cette série de “vacances”, le Courrier propose des contenus pour débutants visant à familiariser les lecteurs avec des concepts souvent évoqués dans la presse, sans forcément être parfaitement clairs pour le tout un chacun. Aujourd’hui, j’aborde la question souvent débattue de la Vè République. On parle souvent de son épuisement ? Pourquoi ? Et en quoi la Vè République constitue-t-elle une forme originale de régime politique ?

Plusieurs questions-clés doivent rester à l’esprit concernant la Vè République :

  • elle constitue une réaction au régime d’assemblée qui produisait de l’instabilité gouvernementale en quantité “industrielle”
  • elle visait à réparer l’impuissance présumée de l’Etat sous la IVè République, notamment face aux guerres du Viêtnam et d’Algérie
  • l’abstention grandissante affaiblit considérablement sa légitimité et son bon fonctionnement
  • globalement, c’est le principe de la participation directe du peuple au pouvoir qui est désormais posée, avec des questions autour du referendum (notamment)
  • l’introduction en 2008 de la question prioritaire de constitutionnalité fut une étape majeure dans “l’ouverture” des institutions à l’initiative populaire
  • l’existence d’une majorité simplement relative depuis 2022 pose la question de l’efficacité constitutionnelle dans la recherche d’une majorité.

Nous persistons à dire que l’issue aux questions constitutionnelles en cours tient probablement à l’émergence d’une nouvelle forme de démocratie : la démocratie liquide.

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Trois questions à Alain Adriaens sur la COP 28

La COP28 se tenait du 30 novembre au 12 décembre 2023 à Dubaï aux Émirats arabes unis, pays qui a le deuxième taux de pollution le plus élevé au monde […]

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Trois questions à Martin Willems sur le procès Deliveroo en appel

Le procès pour faire reconnaître le statut de salarié des livreurs Deliveroo s'est ouvert ce jeudi 16 novembre à la Cour du travail de Bruxelles. Il s’agit du procès en […]

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Trois questions à Olivia Zemor sur le mouvement de soutien à la Palestine

La mobilisation contre les bombardements de Gaza s'intensifie dans les villes du monde entier, dans les universités et dans les stades malgré les interdictions. En France comme en Belgique, les […]

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Détruire les mythes complotistes sur l’origine du foyer juif en Palestine (1917) , par Yves-Marie Adeline

Les débats sur la guerre perpétuelle israélo-palestinienne sont trop passionnés pour qu’il soit utile de s’en mêler ; mais du moins pouvons-nous apporter quelques précisions historiques à propos de faits déformés par chacun des deux camps. La déclaration Balfour, qui instaure, fin 1917, le foyer juif en Palestine, n’était pas le fruit d’un marchandage pour l’entrée des USA dans la guerre. Détruisons une thèse complotiste.

Nous avons déjà évoqué une légende associée à la fondation d’Israël moderne, selon laquelle les Palestiniens seraient tous des descendants des envahisseurs arabes du VIIe siècle, alors qu’ils sont pour la plupart tout simplement la population locale, passée du judaïsme au christianisme puis à l’islam. L’universitaire israélien Shlomo Sand ajoute même que les juifs fondateurs de l’État moderne d’Israël, ceux qui ont réalisé le rêve sioniste, ne seraient même pas des juifs de la diaspora bimillénaire, mais des descendants de Slaves convertis au judaïsme, notamment autour du royaume khazar en Ukraine.

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Immobilier : la délicate séquestration de la caution…

Par : h16

Un texte de Nafy-Nathalie et h16

Il y avait longtemps que l’État ne s’était pas mêlé d’immobilier. Heureusement, youpi, un nouveau projet de loi vient de voir le jour. Pas de doute : quand il s’agit d’inventer des mesures pour développer des rapports plus harmonieux entre les vilains propriétaires qui refusent de louer leurs logements et les gentils locataires ont du mal à se loger, l’État a de la ressource : la nôtre.

Selon le principe que si cela ne marche pas, c’est forcément qu’on n’a pas essayé assez fort, l’ambition de l’État reste donc de développer des rapports « équilibrés » et « conformes à l’intérêt général » du parc locatif privé : comme les lois précédentes ont déséquilibré les relations entre les locataires et les propriétaires, on va en introduire de nouvelles et ça va marcher. Forcément.

Sans surprise, l’État revient donc occuper le devant de la scène avec la loi du député Nogal, qui vient de pondre 37 propositions dans un dodu rapport. Cette loi proposée le 14 janvier dernier, qui devrait probablement être adoptée, tourne autour de trois mesures phares, dont notamment la mise sous séquestre du dépôt de garantie qui est versé par le locataire au propriétaire, au moment de la signature du bail.

Nous aurons l’occasion de revenir sur les deux autres propositions, mais cette mise sous séquestre promet déjà un fort taux de croustillance.

Un seul intermédiaire pour tous les gérer

Normalement, le dépôt de garantie doit être restitué au plus tard dans les 2 mois qui suivent le départ du locataire déduction faite des éventuels travaux de remise en état. Or, le député Nogal note :

« 65% des actions en justice engagées par les locataires portent sur la non-restitution du dépôt de garantie. Par crainte de se voir privés de cette somme à la sortie de la location, les locataires font le choix de plus en plus fréquent de ne pas payer le dernier mois de loyer, privant dans les faits les propriétaires de toute garantie. »

65% ? Diable ! Les chiffres du ministère de la justice évoquent ici 7018 affaires dans un rapport de 2017… En face des 35 millions de logements loués en France, ces 7000 affaires justifient-elles une nouvelle loi et toutes les ressources financières et intellectuelles qui y seront consacrées ?

Le député motive cependant sa production législative en arguant du bénéfice de cette loi tant pour les locataires que pour les propriétaires, celle-ci réduisant considérablement la méfiance entre les deux parties dès lors qu’on applique une méthode qu’on retrouve chez nos voisins anglais ou belges : le dépôt de garantie sera séquestré chez un professionnel agréé jusqu’à la fin de la location, et sera reversé au locataire ou au bailleur, selon le cas, après accord ou décision de justice.

En somme, pour éviter un contentieux en cas de désaccord, la nouvelle loi prévoit de trancher les désaccords par contentieux. Malin.

Malgré tout, notons qu’une récente étude de SeLoger (décembre 2019), 60 % des locataires seraient favorables à cette consignation. Le rapport répondrait donc parfaitement à leur attente.

Manque de pot, c’est plus compliqué pour les propriétaires : selon une enquête menée fin 2019 auprès des bailleurs, 95% y seraient opposés comme le rappelle l’Union nationale des propriétaires immobiliers (UNPI) qui refuse donc cette séquestration des dépôts de garantie plutôt considérée comme une confiscation.

En outre, le rapport comporte un autre écueil : définir un organisme tiers n’est pas simple.

Ainsi, la Caisse des Dépôts et Consignation (à laquelle le député pensait) a indiqué ne pas pouvoir recevoir ces fonds. Quant à l’ANIL, qui avait postulé, elle n’a pas été retenue.

Finalement, le député a revu sa copie et considéré que les administrateurs de biens, qui remplissent déjà ce rôle de manière traditionnelle, pourraient convenir : ils ont déjà les assurances financières et la responsabilité civile pour cela et sont régulièrement contrôlés par leurs caisses de garantie. Pourquoi dans ce cas déléguer cette mission à un autre organisme ? Cela n’a pas de sens et notre sémillant député a fini par le réaliser : ce que les professionnels font déjà parfaitement dans un cadre légal, ils peuvent continuer à le faire finalement puisque, malgré ses efforts, il n’a pas trouvé de solution pour le leur retirer.

De façon intéressante, on note au passage que 39% des locataires interrogés par l’étude de Seloger attendent aussi une défense juridique des professionnels de l’immobilier en cas de litige, montrant ainsi qu’ils n’ont pas compris que leurs dépôts de garantie seront en réalité consignés chez les représentants des propriétaires.

Malgré tout, pour Jean-Marc Torrollion, le président de la Fédération nationale de l’immobilier, « la séquestration des dépôts de garantie par les professionnels, pour les biens en gestion intermédiée ou de particulier à particulier, est un gage de sérieux et de garantie pour les propriétaires bailleurs ».

Cependant, pour Corinne Jolly, présidente du site de vente de Particulier à Particulier, il est nécessaire de s’opposer à ce projet de loi, puisque selon elle, deux tiers des Français ont choisi de louer de particulier à particulier, et ils ne veulent pas qu’on leur impose de passer par un intermédiaire qu’il faudra certainement rémunérer pour le service d’une manière ou d’une autre.

On le voit : ce n’est simple ni chez les particuliers, ni chez les professionnels.

Plusieurs questions se posent

Ainsi, qu’en est-il d’un éventuel conflit d’intérêt du professionnel, devenu arbitre par la force des choses (puisqu’il consigne les fonds et les restitue à la fin du bail si accord), et qui est en même temps mandataire du propriétaire et rémunéré par lui.. Comment s’assurer alors de sa neutralité ?

Avec ce nouveau rôle, les professionnels devront jouer un rôle de conseil, d’accompagnement et de conciliation dans les conflits entre propriétaires et locataires et parfois pour des mandats qu’ils ne gèrent pas forcément : ceci suppose du temps, d’engager leur responsabilité, le tout a priori sans rémunération puisque ce service est censé être gratuit…

Et à mesure que les fonds séquestrés seront plus importants, qui paiera la hausse des prix des garanties financières du professionnel ? Selon toute vraisemblance, il est probable qu’il devra – comme le font avocats et huissiers – se rémunérer sur les intérêts produits par les sommes séquestrées. Comment garantir alors des délais de restitutions aussi courts que possibles alors que l’intérêt bien compris consiste dans ce cas à allonger ces délais ?

En outre, lorsque le bail est signé entre particuliers, le locataire devra choisir le professionnel pour son séquestre de garantie. Ces administrateurs de biens devront-ils donc proposer cette prestation sans frais à des personnes extérieures à leur clientèle ? Que se passera-t-il si un locataire ne trouve pas d’administrateur pour recevoir les fonds ? L’État les forcera-t-il d’une manière ou d’une autre à les recevoir ?

Le député Nogal aurait pu mieux examiner les bonnes pratiques de nos voisins et s’inspirer un peu plus de celles de nos amis belges, par exemple : chez eux, les locataires séquestrent le dépôt de garantie auprès de leur propre banque qui le répartit à la fin du bail, sur présentation d’un papier co-signé par les deux parties. Le locataire garde les intérêts s’il y en a. La solution aurait été simple et rapide à mettre en place, les banques proposant déjà des garanties pour les loyers impayés. Mais en Socialie Triomphante, rien ne peut être simple.

En outre, quel aurait été l’intérêt de l’État dans de la simplicité ? On comprend en effet que l’accumulation de ces sommes séquestrées dans les « solutions » de notre député permettrait à l’État de mettre la main (au moins temporairement) sur des sommes potentiellement importantes, sans avoir à les collecter, et d’en imposer les intérêts, de façon totalement « transparente » pour les particuliers.

Et en cette période de disette économique, un tel gâteau est très tentant.

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Vous aussi, foutez les banquiers centraux dehors, terrorisez l’État et les banques en utilisant les cryptomonnaies, en les promouvant et pourquoi pas, en faisant un don avec !
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Agents of Empire

The corporate revolution will collapse if we refuse to buy what they are selling – their ideas, their version of history, their wars, their weapons, their notion of inevitability.

- Arundhati Roy

Last week, Hillary Clinton called Tulsi Gabbard (and Jill Stein) Russian assets on a podcast. More specifically:

“I’m not making any predictions, but I think they’ve got their eye on someone who’s currently in the Democratic primary and are grooming her to be the third-party candidate. She’s the favorite of the Russians,” said Clinton, apparently referring to Rep. Gabbard, who’s been accused of receiving support from Russian bots and the Russian news media. “They have a bunch of sites and bots and other ways of supporting her so far.” She added: “That’s assuming Jill Stein will give it up, which she might not because she’s also a Russian asset. Yeah, she’s a Russian asset—I mean, totally. They know they can’t win without a third-party candidate. So I don’t know who it’s going to be, but I will guarantee you they will have a vigorous third-party challenge in the key states that they most needed.”

Tulsi subsequently responded to this slanderous accusation with a series of devastating blows.

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The Tech Giants Are a Conduit for Fascism

A second former Amazon employee would spark more controversy. Deap Ubhi, a former AWS employee who worked for Lynch, was tasked with gathering marketing information to make the case for a single cloud inside the DOD. Around the same time that he started working on JEDI, Ubhi began talking with AWS about rejoining the company. As his work on JEDI deepened, so did his job negotiations. Six days after he received a formal offer from Amazon, Ubhi recused himself from JEDI, fabricating a story that Amazon had expressed an interest in buying a startup company he owned. A contracting officer who investigated found enough evidence that Ubhi’s conduct violated conflict of interest rules to refer the matter to the inspector general, but concluded that his conduct did not corrupt the process. (Ubhi, who now works in AWS’ commercial division, declined comment through a company spokesperson.)

Ubhi worsened the impression by making ill-advised public statements while still employed by the DOD. In a tweet, he described himself as “once an Amazonian, always an Amazonian.”

- From the must read ProPublica expose: How Amazon and Silicon Valley Seduced the Pentagon

That U.S. tech giants are willing participants in facilitating mass government surveillance has been widely known for a while, particularly since whistleblower Edward Snowden risked his life and liberty to tell us about it six years ago. We also know what happens to executives who don't play ball.

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