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L’assurance emprunteur est une assurance-vie que vous êtes obligé de souscrire lorsque vous contractez un emprunt.
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Ces points nous donnent l’occasion de déplorer l’extinction progressive de la culture religieuse, qui est une partie intégrante de la culture française.
Le Courrier est heureux de contribuer à combler une partie de ces lacunes…
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Donc, selon Bruno Le Maire, il faut immédiatement 10 milliards d’économies (un décret d’annulation de crédits serait en préparation, ce qui, pour un mois de février, est si précoce que cela relève de l’amateurisme) pour éviter la déroute. Nos lecteurs ne sont pas surpris, puisque nous annonçons les difficultés économiques de l’année 2024 depuis plusieurs mois (je republie ci-dessus une capsule du 15 octobre qui évoquait la question).
Ce qui amuse plutôt, c’est l’incapacité de Bruno Le Maire à gérer les finances de l’Etat, dans la plus parfaite satisfaction des salons parisiens.
Ainsi, en juin, Bruno Le Maire avait annoncé une baisse de 5% des budgets des administrations… qui n’est jamais intervenue. Nous avions annoncé, à l’époque, que la survenue de ce problème affaiblirait Macron.
Finalement Bruno Le Maire avait décidé de simplement supprimer le bouclier tarifaire à hauteur de 12 milliards. Au lieu d’attaquer les fonctionnaires, on attaque les contribuables.
En novembre et décembre, Elisabeth Borne avait lancé des discussions pour mener une nouvelle “revue des politiques publiques” destinée à diminuer les dépenses et à éviter une dégradation de la note de la France. Cette gesticulation avait permis d’écarter provisoirement le danger. Puis, plus rien.
Entretemps, le Premier Ministre a changé et la méthode est plus frustre désormais : on prend des décrets pour taper dans les dépenses.
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Le désespoir des classes moyennes en France s’explique-t-il rationnellement ? La réponse est oui, bien sûr, et pour le comprendre, il faut procéder à l’anatomie de la redistribution en France :
Dans cet ensemble, les statistiques montrent qu’il existe une grande constante dans la répartition des richesses depuis une vingtaine d’années : les inégalités n’ont ni augmenté, ni diminué…
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Enfin, la perspective de l’élection présidentielle en novembre prochain ajoute une dimension politique à ces préoccupations, alors que les candidats, y compris l’ancien président Donald Trump, s’inquiètent de la santé économique de leur pays. Pas Joe Biden, certes, qui se demande où est bien passé François Mitterrand.
129,5 Mds €, le total des crédits immobiliers octroyés en France en 2023
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Quelques souvenirs personnels, pour commencer!
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Pfizer a mis en place un programme de réduction des coûts en raison de la baisse de la demande de son vaccin contre le COVID-19 et de son traitement antiviral, Paxlovid. En 2023, selon Bloomberg, la société aurait enregistré une perte d’environ 40 milliards de dollars de valeur boursière. En réponse à cette situation, le géant américain a mis en place un programme de réduction des coûts.
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Cette interview mérite qu’on s’y arrête pour deux raisons :
1- le constat que Gabriel Attal est un produit conforme de la macronie, sans véritable perspective de changement
2- l’inquiétant oubli des Français vis-à-vis des manoeuvres répétées par le narratif officiel, qui se solde systématiquement par les mêmes résultats
Ce n’est pas l’avis de tout le monde et il convient de produire une lettre datée de 1943 écrite par Norman A Thomson et adressée au Délégué Apostolique en Grande Bretagne ainsi qu’un certain nombre d’autres dignitaires ecclésiastiques. Elle est publiée dans un essai écrit par le RP Denis Fahey intitulé « Manipulations monétaires et ordre social » (éditions Saint Rémy)
Le contenu de cette lettre figure dans les 3 pages suivantes (5, 6 et 7) de l’ouvrage ci-contre.
Concernant la dette ainsi créée, l’important est là :
Tout est résumé dans ce paragraphe.
Vous remarquerez que personne n’en parle, ce qui donne raison à Nathan Rothschild cité par Stephen Midford Goodson dans son livre « Histoire des banques centrales » (eds Omnia Veritas) :
« Donnez-moi le contrôle de la monnaie et je me moque de qui fait les lois.La minorité qui comprend le système sera soit si intéressée par ses profits ou si dépendante de ses faveurs , qu’il n’y aura jamais d’opposition de la part des membres de cette classe sociale »
Concluez par vous-même…
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Des précautions doivent en effet être prises et des conditions quant aux opérations immobilières en jeu vérifiées.
Pour aller plus loin : le dossier N°34, un dossier indispensable sur comment décrocher un prêt en 2024.
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Du fait de la remontée des taux décidée par la BCE depuis juillet 2022, nous sommes au cœur de l’un des plus gros krachs obligataires depuis les années 80. Alors qu’un crédit sur 20 ans se négociait en moyenne 1,1% en février 2022, il vous en coûtera désormais environ 4,5%, lequel taux effondre ainsi votre capacité d’emprunt de 20% en moins de 18 mois ! Nul besoin donc de faire de longs discours pour comprendre le lent dégonflement de la bulle immobilière, en tout cas un retour progressif à la normale du prix des logements qui ne fait pas les affaires des vendeurs mais qui offre aux acheteurs de nouvelles – et réelles – opportunités. A condition de ne pas trébucher sur l’un des nombreux obstacles du véritable parcours du combattant que représente souvent la négociation d’un prêt en 2023-2024 en France et que nous vous aidons à dépasser dans le présent opus.
Nous vous présentons donc dans ce 34ème dossier :
– Nos recommandations en matière de prêt si vous êtes primo-accédant ;
– Nos recommandations en matière de prêt si vous êtes secundo-accédant ;
– Nos recommandations en matière de prêt si vous êtes investisseur ;
– Nos ultimes astuces si vous envisagez de négocier un crédit en 2024.
Inclut aussi la mise à jour mensuelle du baromètre Machabert.
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Dans une interview hallucinante donnée au Parisien ce week-end, où le journal de Bernard Arnault a joué au marchepied pour complaire au gouvernement, notre ministre favori de l’Economie a proposé une nouvelle idée pour résoudre la crise du logement :
Une nouvelle réunion du Haut conseil de stabilité financière est prévue ce lundi. Nous étudierons des nouvelles mesures pour assouplir davantage les conditions d’octroi des crédits. Je souhaite aussi que nous mettions en place une procédure à l’amiable, entre l’emprunteur et le banquier, lorsque ce dernier refuse un prêt immobilier. Cette procédure doit permettre d’aider à comprendre pourquoi le prêt a été refusé et éventuellement, si la situation de l’emprunteur le permet, conduire à une révision de la décision.
Bruno Le Maire
D’ores et déjà, le taux d’endettement maximum qu’un banquier doit accepter est de 35%. Concrètement, le Ministre de l’Economie milite donc pour que les banques acceptent des taux d’endettement supérieurs à ces 35%. Voilà une excellente idée, qui favorisera les défauts de paiement et nourrira les “créances toxiques” des banques, à l’origine de la crise de 2008.
Ajoutons que, dans la même interview, Bruno Le Maire propose de diminuer la bureaucratie applicable aux entreprises. Une mesure qui ne profitera pas aux banques, en tout cas, si on l’en croit.
Dans tous les cas, résoudre la question des taux d’intérêt élevés par le surendettement des accédants à la propriété, c’est bien de la dilatation en beauté.
Bruno Le Maire terrassera-t-il le dragon allemand, son homologue Christian Lindner, bien décidé à imposer des critères quantitatifs dans le futur pacte de stabilité et de croissance que l’Union européenne renégocie depuis plusieurs mois, et dont la négociation arrive dans la phase terminale ? On se souvient que, depuis la crise du COVID et l’explosion des dettes publiques, certains pays comme la France critiquent vertement le Pacte tel qu’il existe, et considèrent que les règles doivent être aménagées pour mieux tenir compte des situations nationales.
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Selon toute vraisemblance, donc, la négociation devrait abandonner ses critères automatiques antérieurs, comme les 3% de déficit public et les 60% de dette publique. Mais les pays dits radins devraient pouvoir compter sur l’Allemagne pour introduire des mécanismes de réduction minimum du déficit en cas de relâchement (comme c’est le cas en France).
On attend avec impatience le résultat de cette négociation qui donnera une bonne représentation du poids réel de la France dans l’ensemble européen. Une chose est sûre : la France se bat becs et ongles pour ne pas se réformer et pour continuer à vivre au-dessus de ses moyens.
Cet article initialement publié sur le site vz.ru n’engage pas la ligne éditoriale du Courrier.
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Une équipe de chercheurs de l’Université de Cologne et de l’Icahn School of Medicine du Mont Sinaï a élaboré un modèle prédictif de l’évolution des variants du virus SARS-CoV-2. Publiée dans Cell, l’étude intitulée “L’immunité de la population prédit les trajectoires évolutives du SRAS-CoV-2” utilise des données mondiales pour évaluer les variants. L’équipe souhaite identifier l’évolution du coronavirus Sars-Cov-2, anticiper l’apparition des foyers épidémiques, déterminer à l’avance leur localisation.
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Je place ici cette expression entre guillemets, tant il est évident que les idéologies convoquées à l’appui de cette mobilisation n’ont, en réalité, rien à voir avec l’égoïsme collectif d’un peuple palestinien défendant son autochtonie : qu’il s’agisse de l’Islam (ledit mouvement étant aussi surnommé « journée Jihad ») ou du tiers-mondisme (crédo politique commun à Davos et à l’Occident pigmenté), ces idéologies universalistes ne se prononcent de toute évidence pour l’indépendance palestinienne que pour militer contre l’existence d’Israël, à qui elles reprochent d’être le dernier Etat colonial du monde.
Or ce qu’était la nation au nationalisme, c’est ce qu’était la classe (ouvrière) au socialisme – laquelle (en Occident historique du moins : dans le monde blanc) a perdu toute actualité du fait de la tertiarisation, autre face de l’émergence d’une société de castes dont Davos est le symptôme politique le plus voyant.
Du coup, l’intersyndicale dilue ses revendications salariales (d’ailleurs peu crédibles en période de décroissance) dans une soupe humanitaire incluant le pouvoir d’achat des improductifs (retraites), « l’égalité femmes-hommes » (la détention d’ovaires : nouvelle appartenance de classe ?) etc..
Bref : en Occident historique, le socialisme est effectivement aussi mort que le nationalisme. On s’attend d’ailleurs à relativement peu de perturbations dans les transports et les services, les appareils répressifs scrutant avec plus d’angoisse les rassemblements de la journée Al-Aqsa Flood – manifestations du dernier type de nationalisme (ou du moins : de revendication non-universaliste) que l’Occident historique, en proie à sa haine de soi, tolère (en dépit des froncements de sourcils du sycophante Darmanin) : la détestation des Blancs, assimilés à un Occident qui (sous sa forme terminale : Davos) a pourtant complètement cessé de prendre leur défense.
Le vendredi 13 octobre 2023 passera donc peut-être à la postérité comme l’un des derniers grands rendez-vous que se soient donné les idéologies mourantes de l’Occident des Etats-nations – en attendant (espérons-le) notre retour au réel sous la forme d’une renaissance de l’égoïsme collectif des hommes européens.
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