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À partir d’avant-hierKorben

En route vers des modèles IA moins énergivores mais tout aussi efficaces

Par : Korben

Vous avez sûrement entendu parler de l’impact environnemental faramineux de l’intelligence artificielle, que ce soit pour demander à ChatGPT de nous donner un coup de main ou pondre une image de fou sous Midjourney, l’IA a un appétit gargantuesque en énergie. Il parait qu’une seule requête à ChatGPT consommerait autant d’électricité que 40 recharges de smartphone ! Un peu dingue.

Mais rassurez-vous, tout n’est pas perdu. Une équipe de chercheurs en informatique de l’Université de Copenhague a trouvé une solution pour mettre l’IA au régime, sans pour autant lui couper les vivres. Leur étude, qui sera présentée lors de la conférence internationale ICASSP-2024, montre qu’en gardant l’efficacité énergétique en tête dès la conception des modèles d’IA, on peut réduire leur empreinte carbone de 70 à 80% sans sacrifier leurs performances. C’est pas mal, hein ?

Les chercheurs ont pour cela, passé au crible plus de 400 000 modèles de réseaux de neurones convolutifs, ces IA qui servent à analyser des images médicales, à faire de la traduction ou encore à reconnaître des visages. En se basant sur ces calculs, ils ont alors concocté un genre de « livre de recettes » pour les pros de l’IA, avec des exemples de modèles moins énergivores mais tout aussi efficaces.

Alors oui, dans certains domaines comme les voitures autonomes ou la médecine, il ne faut pas rigoler avec la précision. Mais pour le reste, les chercheurs insistent : il faut adopter une approche globale qui prenne en compte non seulement les performances des modèles, mais aussi leur impact climatique.

Si le sujet vous intéresse, je vous invite à jeter un œil à l’article original ! Les chercheurs ont même mis à disposition ce fameux « livre de recettes » sur Github pour que les dev spécialisé en IA puissent s’en inspirer et réduire l’empreinte carbone de leurs modèles. C’est un vrai premier pas vers une IA plus durable et responsable, et ça c’est cool !

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Onionpipe – Créez des tunnels réseau virtuels inarrêtables

Par : Korben

Y’a un nouveau soft qui vient de sortir et qui va vous permettre de créer des tunnels réseau virtuellement inarrêtables, où que vous soyez dans le monde. Ça s’appelle onionpipe et ça utilise les adresses Onion de Tor pour faire transiter vos données de manière sécurisée et privée.

Imaginez un peu le truc : vous avez un service perso que vous voulez héberger chez vous mais votre FAI bloque les connexions entrantes ? Ou alors vous avez des clients qui sont derrière des pare-feu restrictifs type WiFi public ? Pas de souci, avec onionpipe votre service n’a pas besoin d’une IP publique pour être accessible ! Vous pouvez publier votre service avec une adresse onion unique et persistante, et donner l’accès de manière sécurisée seulement aux personnes de votre choix.

Le plus cool c’est que vous n’avez pas besoin de faire confiance et de filer vos données persos à des services payants type Tailscale ou ZeroTier. Avec onionpipe, vous gardez le contrôle total !

Concrètement, onionpipe c’est un peu comme socat mais pour les réseaux Tor. Ça met en place des tunnels de transfert de paquets pour faire des redirections de ports. Par exemple vous pouvez exposer le port local 8000 vers une adresse onion temporaire :

onionpipe 8000

Ou alors vers le port 80 d’une adresse onion temporaire en utilisant ~ comme raccourci :

onionpipe 8000~80

Vous pouvez même créer une adresse onion persistante avec un petit nom pour vous y retrouver :

onionpipe 8000~80@my-app

Et réutiliser ce nom dans plusieurs redirections pour faire référence à la même adresse onion. Tiens par exemple on pourrait monter un petit forum web pour un serveur Minecraft :

onionpipe 8000~80@minecraft 25565@minecraft

Toutes les redirections sans nom utilisent la même adresse onion temporaire :

onionpipe 192.168.1.100:8000~80,8080,9000 9090

Vous pouvez aussi exposer un socket Unix vers une adresse onion :

onionpipe /run/server.sock~80

Ou sacrifier un peu la confidentialité réseau contre une latence réduite en publiant un service onion non-anonyme :

onionpipe --anonymous=false 8000

Dans l’autre sens, vous pouvez rediriger le port 80 d’une adresse onion distante vers le port local 80 :

onionpipe xxx.onion:80

Ou vers le port 80 en écoute sur toutes les interfaces, pour exposer publiquement l’accès au service onion :

onionpipe xxx.onion:80~0.0.0.0:80

Pour aller plus loin dans la sécurisation de vos services persos, onionpipe gère aussi l’authentification client. En gros ça permet de n’autoriser l’accès qu’à une liste de clés publiques de votre choix.

Voilà comment ça marche :

Alice génère une nouvelle paire de clés d’authentification client

onionpipe client new alice

Puis Alice partage cette clé publique avec Bob, qui transmet un service en oignon qu’elle seule peut utiliser.

onionpipe --require-auth CLEPUBLIQUEALICE 8000~80@test

Alice utilise alors sa clé privée pour se connecter au service onion de Bob et le rediriger en local

onionpipe --auth alice ADRESSEONIONBOB:80~7000

Et voilà, un canal de communication privé et sécurisé entre Alice et Bob, sans passer par un serveur central 😉

Cerise sur le gâteau, ça s’intègre super facilement avec Docker ! Seule subtilité, comme c’est le conteneur qui fait la redirection, faut ajuster les adresses locales en conséquence. Pour rediriger le port 80 de l’hôte Docker :

docker run --rm ghcr.io/cmars/onionpipe:main host.docker.internal:80

Avec Podman vous pouvez carrément exposer le réseau de l’hôte local :

podman run --network=host --rm ghcr.io/cmars/onionpipe:main 8000

Et comme les adresses de redirection locales sont résolues par DNS, c’est ultra simple de publier des services onion depuis Docker Compose ou Kubernetes. Jetez un œil à cet exemple avec Nextcloud, c’est assez génial !

Merci à Lorenper

Life2vec – Une IA danoise qui prédit votre vie et… votre mort !

Par : Korben

La fin est proche mes amis !

Enfin, avec le concours de bistouquettes actuel entre Macron et Poutine, on se demande si on va pas partir tous collectivement vers le grand Au-Delà dans une grande gerbe de feu… Mais, si on met ça de côté, en tout cas la nôtre de fin, à titre individuel, arrivera forcement un jour 😬.

Mais quand ?

Life2vec, c’est un nouveau projet d’IA dingue qui nous vient tout droit du Danemark et qui va nous aider à répondre à cette question !

Il s’agit d’une intelligence artificielle capable de prédire des événements majeurs de votre vie, comme un décès prématuré, la naissance d’enfants, ou un mariage, rien qu’en analysant vos données personnelles. Ça a l’air d’un scénario de science-fiction, mais c’est malheureusement bien réel !

Alors comment ça fonctionne encore cette connerie ? Et bien les chercheurs ont entraîné leur modèle d’IA sur un jeu de données assez conséquant contenant les informations anonymisées de millions de Danois sur plusieurs décennies. En utilisant des techniques avancées d’apprentissage profond, Life2vec a appris à repérer des patterns dans les trajectoires de vie des gens.

Le modèle se base sur une architecture Transformer bidirectionnelle, un peu comme BERT en traitement du langage naturel. Mais au lieu de séquences de mots, il traite des séquences d’événements de vie. Chaque événement est ainsi représenté par un embedding, un vecteur numérique qui capture son sens. En analysant les relations entre ces embeddings, Life2vec peut alors faire des prédictions étonnamment précises !

Les chercheurs ont évalué leur modèle sur plusieurs tâches, comme la prédiction de mortalité précoce ou une expatriation. Les résultats sont bluffants : Life2vec surpasse de loin les modèles traditionnels, avec une fiabilité allant jusqu’à 76% ! Ils ont aussi montré que le modèle capturait des concepts haut niveau comme la stabilité professionnelle ou les troubles mentaux.

Mais au-delà de la prouesse technique, ce projet soulève des questions éthiques plutôt épineuses. Imaginez que des assurances ou des banques mettent la main sur ce genre d’outil pour évaluer leurs clients… Ça ouvre la porte à des dérives dangereuses ! Les chercheurs en sont bien conscients et appellent d’ailleurs à un encadrement strict de cette technologie.

Malgré ces risques, Life2vec ouvre des perspectives passionnantes comme nous permettre de mieux comprendre les différents facteurs qui influent sur nos trajectoires de vie et nous aider à identifier des leviers d’action pour les politiques publiques. On pourrait même imaginer des applications en médecine personnalisée ou en orientation professionnelle !

Bref, c’est un projet qui ne manque pas d’ambition et qui nous rappelle à quel point l’IA va bouleverser notre société dans les années à venir. Mais comme toujours avec ces technologies, il va falloir trouver le bon équilibre entre progrès et éthique. Et on va surtout pas demander à Najat ce qu’elle en pense.

En attendant, si vous voulez en savoir plus sur Life2vec, je vous invite à checker le code source sur GitHub des chercheurs ainsi que leur site officiel.

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Attention aux liens sur X !

Par : Korben

Avez-vous déjà cliqué sur un lien posté sur X (Ah, pour une fois que je dis pas « Twitter » ! Je m’améliore !) en pensant atterrir sur un article de Forbes, mais vous vous êtes retrouvés sur un compte Telegram chelou qui parle de crypto ? Ouais, c’est couillon hein… Mais en fait, c’est pas un bug, c’est une sacré faille bien vicieuse !

En gros, quand X génère un aperçu pour un lien externe dans un tweet, il essaie de deviner la destination finale de l’URL. Sauf que des petits malins ont trouvé un moyen de le duper en redirigeant les vrais internautes vers un site différent de celui montré aux robots de X. 🤖

Le truc, c’est que les escrocs utilisent un site intermédiaire qui vérifie si la requête vient d’un navigateur web (donc d’un humain) ou d’un bot. Si c’est un bot, hop, il renvoie vers un article légitime de Forbes. Mais si c’est vous ou moi… Tada ! On se tape une redirection surprise vers un compte Telegram louche !

Le pire, c’est que sur l’app X, impossible de vérifier où mène vraiment un lien avant de cliquer. Alors que sur un navigateur desktop, un ptit survol et hop, l’URL s’affiche. Mais sur mobile, pas moyen ! Tu cliques sur « forbes.com » et tu t’retrouves sur « arnaque-cryptos.ru » en moins de deux.

Bref, méfiance maximale avec les liens postés sur X, surtout depuis un smartphone. C’est la jungle et les arnaqueurs en tout genre sont à l’affût pour vous piéger avec des liens fourbes ! Vérifiez bien l’URL avant de cliquer et évitez carrément les liens sur l’app si vous avez un doute. Ou alors, vous suivez que mon compte Twitter et là, pas de souci ^^.

A bon entendeur…

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Garnet – Le nouveau cache qui remplacera un jour Redis dans votre cœur

Par : Korben

J’sais pas si vous avez vu, mais l’un des plus grands contributeur au monde au logiciel libre nous a sorti un nouvel outil open source très cool baptisé Garnet. Et ce nouveau système de cache open source développé par Microsoft (oui, c’était une blague à retardement ^^) va surement faire trembler Redis et Memcached (ou pas, c’est encore trop tôt pour le savoir).

D’après les specs, Garnet est conçu pour la scalabilité et le débit poussés à fond les ballons. En gros, on peut gérer un max de requêtes sans faire sourciller votre infra et donc au final, faire des économies ! En plus, d’après le benchmark, les perfs sont juste assez dingues et les temps de latence côté client sont réduits à leur max. Comme souvent avec Microsoft, c’est visiblement du solide.

Garnet repose sur la dernière techno .NET, c’est multi plateforme et hyper extensible. Y’a une API blindée de fonctionnalités et avec le mode cluster, on peut même faire du sharding, de la réplication et de la migration dynamique de clés. Les chercheurs de Microsoft ont mis près d’une décennie à peaufiner cette technologie et c’est maintenant en place chez eux notamment dans les plateformes Windows & Web Experiences, Azure Resource Manager et Azure Resource Graph.

Microsoft a comparé Garnet aux autres solutions du marché et les résultats sont sans appel. Que ce soit en throughput ou en latence, Garnet explose tout le monde, même dans des conditions de charge de taré. Ce qui fait la différence avec Garnet, c’est surtout sa capacité à exploiter pleinement les capacités matérielles actuelles, comme les cœurs multiples, le stockage hiérarchisé et les réseaux rapides, tout en restant simple d’utilisation pour les développeurs d’applications.

Maintenant si vous voulez tester, faire des benchmark et éventuellement un jour remplacer votre Redis, Microsoft a rendu Garnet disponible sur GitHub.

Comment récupérer des signatures sur un PDF ?

Par : Korben

Même si étant sous macOS, c’est le genre de truc que je fais nativement avec l’application « Aperçu », tout le monde ne sait pas forcément signer, annoter ou écrire sur un document PDF. Je vois d’ailleurs encore beaucoup d’âmes perdues qui téléchargent illégalement Adobe Acrobat pour justement faire tout ça.

Mais plus besoin de vous prendre la tête. Grâce au service PDF de l’éditeur de logiciel 24eme, vous allez pouvoir signer un document, écrire dessus ce dont vous avez envie et le télécharger, ce qui vous évitera de l’imprimer pour faire tout ça à la main.

Et vous pouvez même le partager à d’autres personnes pour que chacun puisse apposer sa signature. Et vous au final, vous récupérerez le document signé par tout le monde. Gain de temps assuré même si c’est moins « propre » que de passer par un service comme Docusign ou Yousign.

En plus de ça, le site propose d’autres onglets qui vous permettront de fusionner, trier, pivoter, supprimer, extraire des pages, mais également ajouter, modifier ou supprimer les métadonnées d’un PDF. Et si votre PDF est trop gros pour être envoyé par mail, vous pourrez même réduire sa taille.

Tout ça gratuitement !

Il est évidemment naturel de se soucier de la sécurité des documents lorsqu’il s’agit de les partager en ligne, surtout si ces documents contiennent des informations sensibles. 24eme stocke tous ces documents sur un serveur sécurisé et en limitant l’accès au document aux personnes disposant du lien unique. Mais si vous voulez l’autohéberger pour plus de maitrise des données, ce n’est pas un souci non plus puisque les sources se trouvent ici.

View Rendered Source – Une extension Chrome pour explorer les entrailles des pages web

Par : Korben

La curiosité est une des meilleures qualités d’un bon développeur web. Je dirais même que c’est une qualité essentielle pour quiconque veut comprendre les arcanes du web.

Aujourd’hui, je vais vous parler d’un outil qui va aiguiser cette curiosité et vous faire explorer les entrailles des sites web comme jamais auparavant. J’ai nommé: « View Rendered Source« .

« View Rendered Source », c’est une extension Chrome légère qui vous montre comment le navigateur a construit la page HTML d’origine en un Document Object Model (DOM) fonctionnel. Et non pas uniquement le code renvoyé par le serveur que vous auriez avec les outils de dev classique de Chrome.

Si, comme moi, vous aimez savoir comment les choses fonctionnent, vous allez adorer ce truc !

Pour les non-initiés, le DOM est comme la colonne vertébrale d’une page web. Il s’agit d’une représentation structurée de la page qui permet à JavaScript de la modifier à la volée. C’est comme le plan d’une maison que l’architecte utilise pour savoir où placer les murs, les fenêtres et les portes.

L’extension « View Rendered Source » vous permet de voir ce plan, mais pas seulement. Elle vous montre aussi comment il a été modifié en temps réel par JavaScript.

L’extension se divise en trois sections : le code source brut, la page rendue après interprétation en DOM, et la différence entre les deux. L’extension offre également une solution pour émuler le code source à destination des appareils mobiles.

Si ça vous dit de tester, allez sur le Chrome Web Store et installez « View Rendered Source ».

Strut – Le rédacteur IA des gens qui veulent écrire plus efficacement

Par : Korben

Vous vous sentez l’âme d’un écrivain et vous avez envie de rédiger vos mémoires par exemple… Ou une petite nouvelle sympa que vous auto-éditerez. Ou alors vous êtes grouillots dans une grosse boite et on vous demande de faire des rapports que personne ne lira. C’est un classique.

Sauf que voilà, écrire, c’est pas votre passion. Heureusement, il existe un site qui s’appelle Strut.so qui est à mi-chemin entre le Word et l’organisateur d’idées pour que votre production soit toujours au top !

L’outil utilise chatGPT 4 derrières. Sauf que c’est gratuit et ça rend l’outil suffisamment intelligent pour vous aider à organiser le bordel dans votre tête dans des espaces de travail, allant du brouillon à la note en passant par le document de recherche et pour finir enfin en version finalisée. Vous pouvez même automatiquement combiner plusieurs notes pour en faire un vrai document.

L’IA de Strut vous accompagne dans la réflexion, la mise au point d’un plan, dans la rédaction évidemment, mais également pour tout ce qui est reformulation, correction…etc. C’est comme bosser à plusieurs mains sur un document avec un collègue sauf que là, il n’est pas relou.

Si vous donnez l’URL de votre site à Strut, il saura en dégager un style d’écriture qu’il pourra alors reprendre à son compte pour vos écrits. Vous pouvez même quand vous lui demandez des trucs, faire référence à d’autres pages du projet, simplement en mentionnant le titre de la page avec un arobase devant.

Pour faire une comparaison un peu houleuse, les développeurs ont Cursor et les rédacteurs ont Strut.

L’outil est en ligne et ses créateurs assurent que les données que vous y mettez ne sont pas utilisées pour entrainer d’IA.

Pour rédiger votre premier document, cliquez ici.

Sauvez vos vieux routeurs en retrouvant leurs mots de passe par défaut !

Par : Korben

Il était une fois, au fond d’un grenier obscur et poussiéreux, un routeur que personne n’avait utilisé depuis des lustres. Oublié par tous, il était là, désespérément fidèle à son mot de passe par défaut. Si seulement quelqu’un avait eu l’outrecuidance de lui donner une seconde chance…

Et bien, aujourd’hui, c’est son grand jour grâce à cet outil de recherche de mots de passe par défaut baptisé Default Credentials Cheat Sheet.

Default Credentials Cheat Sheet est une base de référence des identifiants par défaut de tout un tas de matos principalement réseau, pour aider les pentesteurs et les bidouilleurs à se connecter en admin à du matos un peu ancien. Il s’appuie sur des projets tels que changeme, routersploit et Seclists pour offrir une base de données conséquente et est compatible avec Kali Linux, Ubuntu, Lubuntu et leurs dérivés.

Pour l’installer, tapez ceci dans votre terminal :

pip3 install defaultcreds-cheat-sheet

Les fonctionnalités de cet outil incluent la recherche de mots de passe, la mise à jour des enregistrements, l’exportation de données et un outil de recherche nommé Pass Station.

Pour utiliser creds, une fois installé, il suffit d’ouvrir un terminal et d’entrer la commande suivante en précisant le matériel qui vous intéresse.

creds search linksys  

Et ensuite, pour mettre à jour la base :

creds update

Ou encore faire un export des identifiants qui vous intéressent

creds search linksys export

De quoi accéder à vos anciens appareils et de leur redonner vie.

Découverte du AK1PLUS – Le Mini PC Intel Alder Lake-N95 de NiPoGi

Par : Korben

Si vous me lisez depuis longtemps, vous savez que je parle très peu matos sur ce site, car je suis du genre à garder mon matériel longtemps. Mais là, j’avais besoin d’un petit PC récent pour faire mes tests sous Windows et Linux.

Pas besoin d’une grosse machine de gamer, ni d’un truc cher, donc je suis parti lurker un peu du côté des Mini PC. Et je suis tombé ce MiniPC AK1PLUS de la marque NiPoGi équipé d’un processeur Alder Lake-N95 (jusqu’à 3,4 GHz), de 16 Go de DDR4 ainsi que d’un SSD M.2 NVMe de 1 TB. Il peut également accueillir 2 écrans 4K et intègre tout le confort moderne en matière de connectivité USB, Ethernet, Wifi et Bluetooth.

Alors oui, je sais que le Alder Lake-N95 c’est vu comme le fond du panier de chez Intel, mais vu que ça ne consomme pas grand-chose et que j’ai pas prévu de faire du gaming dessus (mis à part du Xbox Cloud), je n’en ai rien à faire. Moi j’ai juste besoin d’un truc qui ne prend pas de place, et sur lequel je pourrais faire un dual boot Windows / Linux pour bidouiller.

De base, je trouve que ce AK1PLUS est plutôt cher vu le peu de matos qu’il y a dedans (439 euros au catalogue).

Mais j’avais déjà pris un PC de chez eux et j’en suis content.

Mais hors de question de l’acheter à ce prix là… Toutefois, ce qui m’a vraiment décidé c’est le bon de réduction de 210 € proposé sur Amazon qui fait qu’au final, je l’ai payé 229 euros. Je trouve que c’est son juste prix, surtout qu’à config équivalente, c’est le moins cher rapport à ses concurrents.

Bref, pour une fois, je me suis dit que ce serait sympa de vous le présenter en détail sachant que ça fait bien longtemps que je n’avais pas testé un PC ici.

Dans la toute petite boite, vous trouverez un manuel d’utilisation qui ne sert à rien, un support VESA pour le fixer au mur, derrière un écran ou encore sous un bureau ainsi qu’une alimentation et un câble HDMI.

Au niveau du look de la bête, rien de spécial… C’est une petite boite noire d’environ 13 cm de côté sur 5 cm de haut avec un peu de LEDs bleues qui s’allument quand il fonctionne (ça peut se débrancher facilement si vous ne voulez pas que ça éclaire chez vous). Bref, c’est tout petit, parfait pour les amateurs de minimalisme, car ça peut même se planquer derrière un écran ou dans un tiroir.

Niveau connectivité, y’a un port USB et le bouton d’allumage sur le côté droit afin que ce soit accessible et le reste de la connectique se trouve à l’arrière. Soit au total 4 ports USB, 2 HDMI, 1 Ethernet et une prise casque.

Un truc que j’avais pas capté en achetant ce truc, c’est qu’il dispose d’un socle amovible dans lequel on peut rajouter un SSD. Donc ça fait une bonne extension en matière d’espace disque pour ceux qui ont besoin de place, par exemple si vous voulez vous en faire un média center. Pour ma part, je l’ai retiré pour le moment.

Ensuite au niveau de l’install de l’OS, rien à dire de spécial si ce n’est que c’est livré avec un Windows 11 Pro.

Je m’interrogeais quand même sur la possibilité de mettre un Linux là-dessus, et c’est passé comme une lettre à la poste en dual boot (c’est de l’UEFI). J’ai juste dû passer sur un noyau Linux 6.5.6 pour avoir un bon support du processeur graphique d’Intel qui est quand même récent et donc avoir ainsi une résolution d’écran correcte.

Par contre, attention, si vous vous lancez là-dedans, sachez que le seul port USB réellement bootable est celui qui se trouve à l’arrière. J’ai perdu pas mal de temps à essayer de comprendre pourquoi ma clé USB ne voulait pas booter alors que je l’avais branché dans les ports USB situés à droite de la machine.

Comme j’ai 1 TB sur le Nvme, j’ai divisé le disque en 2 partitions de 500 GB chacune, ce qui sera largement suffisant pour ce que je vais en faire.

Évidemment comme je suis curieux, je l’ai démonté pou voir à quoi ça ressemblait dedans. C’est assez facile, il suffit d’enlever les patins du dessous, qui cachent les vis. Puis de l’ouvrir délicatement par le haut, en prenant garde de ne pas arracher les fils pour les LEDs bleues.

Voici l’intérieur de la bête.

Comme vous le voyez, l’alimentation des LEDs peut être facilement déconnectée. Et ensuite, c’est assez basique, y’a pas grand chose. Un gros radiateur / ventilo vraiment très silencieux. Et un NVme de marque BiWIN… Aucune idée de ce que vaut ce dernier, mais comme on peut le remplacement facilement, je ne suis pas inquiet.

J’ai enlevé le radiateur quand même pour voir le processeur avec sa bonne dose de pâte thermique.

Voilà pour le petit retour côté matos. C’est donc un mini PC silencieux et discret, avec un CPU récent et performant pour peu que vous vous contentiez de faire de la bureautique / internet / mater des films avec.

Ça conviendra bien à ceux qui ont un petit budget, qui veulent un minimum d’encombrement et surtout du silence 🙂 et comme ça supporte très bien Linux, y’a de quoi faire aussi d’autres trucs cool.

Par contre, encore une fois, oubliez les usages qui demandent du GPU. C’est loin d’être un PC avec lequel on peut jouer à des jeux récents ou faire de la 3D.

Notez que d’autres modèles sont également dispo chez NiPoGi avec moins d’espace disque, moins de RAM, donc moins chers (et également de chouettes bons de réduction).

À voir maintenant ce que ça donnera sur le long terme.

Typst – La puissance de LaTeX mais en toute simplicité

Par : Korben

Si vous êtes un adepte de la rédaction de documents professionnels, avec des figures, des formules, des tableaux et des bibliographies, vous avez sûrement déjà entendu parler de LaTeX, ce système de composition de texte ultra-puissant mais aussi ultra-compliqué à prendre en main. Et bien aujourd’hui, laissez-moi vous présenter Typst, un outil qui a pour ambition de vous offrir la puissance de LaTeX avec une simplicité et une performance à la hauteur de vos attentes.

Vous êtes étudiant en mathématiques et vous devez rédiger un mémoire avec des tonnes de formules et de graphiques ou encore chercheur en biologie moléculaire et vous devez écrire un article scientifique avec des références bibliographiques très précises. Et bien dans ce cas, Typst pourrait être votre meilleur allié.

Typs c’est un système de composition de texte basé sur le balisage, qui comme LaTeX, permet de décrire la structure et la mise en forme de votre document et qui fonctionne directement dans votre navigateur. Cela signifie que vous n’avez pas besoin d’installer quoi que ce soit sur votre ordinateur. De plus, Typst est un projet open source, financé par l’Union européenne et l’État de Berlin, donc vous pouvez donc l’utiliser en toute confiance, c’est du très sérieux.

Grâce à cela, vous pourrez créer des documents professionnels sans avoir à passer des heures à apprendre comment utiliser la syntaxe de LaTeX. De plus, Typst offre un aperçu instantané de votre document, ce qui vous permet de voir immédiatement les modifications que vous apportez.

Vous pouvez ainsi créer des titres, des listes, des tableaux, des formules et bien d’autres éléments simplement en utilisant des balises spécifiques. De plus, Typst permet de travailler de manière collaborative mais également d’appliquer différents templates à votre contenu, ce qui peut quand même rendre bien service.

L’outil est utilisable en ligne et comme il est sous licence libre, vous pouvez aussi l’installer sur votre machine directement. Je vous laisser aller consulter le Github pour plus d’infos sur l’installation selon votre OS (macOS / Windows / Linux).

À découvrir ici

Skybox AI – Créez des expériences panoramiques 3D à partir d’un simple texte

Par : Korben

Il y a quelques semaines, j’ai découvert un outil vraiment fascinant qui s’appelle Skybox AI. Développé par Blockade Labs, ce dernier permet de créer des expériences en 3D à partir d’un simple texte.

C’est incroyable de voir comment l’intelligence artificielle peut façonner un univers virtuel à partir de descriptions textuelles pour en faire une expériences immersives à 360°.

Ainsi, la plateforme Skybox AI peut générer rapidement des panoramas 3D en se basant sur des indications textuelles. Elle va jusqu’à proposer des environnements inspirés de la culture pop, comme des scènes de films ou de jeux vidéo.

Sky Box a d’ailleurs proposé à Sega de créer gratuitement des lieux pour un futur jeu Sonic en 3D. Ainsi, l’équipe de développement d’un jeu pourrait travailler à partir de propositions visuelles réalistes fournies par l’outil Sky Box, ce qui ouvre un monde de possibilités pour les créateurs de jeux. Même la série à succès The Witcher a eu droit à sa part de concepts générés par l’IA, avec plusieurs lieux imaginés pour une éventuelle suite.

Mais ce n’est pas tout, car Sky Box est capable d’imaginer des collaborations créatives entre différents univers. Par exemple, elle a généré un biome cubique inspiré des îles Skellige pour une éventuelle collaboration entre CD Projekt RED et Minecraft. Vous imaginez un peu ?!

Et ce n’est pas tout. Sky Box est également capable d’utiliser des univers déjà existants. Par exemple, elle a imaginé des lieux ressemblant étrangement à des cartes existantes d’Overwatch.

Imaginez-vous en train de demander à l’IA de créer des décors pour un RPG en ligne dans l’univers LEGO ou encore pour visiter votre ville mais dans un futur post-apocalyptique… Ce serait dingue.

L’outil Skybox AI est disponible pour tout le monde et il est gratuit. Vous pouvez essayer cette technologie incroyable en vous rendant sur le site de Blockade Labs, et même demander un accès à l’API pour créer vos propres expériences 3D via votre code.

À découvrir ici

Red Canary Mac Monitor – Pour sécuriser votre macOS

Par : Korben

Ce matin, j’aimerais vous faire découvrir Red Canary Mac Monitor, un outil de surveillance avancé conçu pour la recherche de sécurité macOS, le triage des logiciels malveillants et le dépannage système.

Red Canary Mac Monitor collecte de manière autonome les événements système et les enrichit en utilisant l’Apple Endpoint Security (ES). Imaginez… C’est comme avoir un microscope pour scruter tout ce qui se passe sur votre système et détecter les menaces qui passeraient inaperçues en temps normal.

L’outil est donc conçu pour collecter et enrichir les événements du système mais est également capable de les afficher sous la forme de graphiques, ne faisant apparaître que les événements qui sont pertinents pour vous.

Cette télémétrie collecte des événements liés aux processus, inter-processus, aux fichiers, ainsi que tout un tas de métadonnées, ce qui permet aux utilisateurs de contextualiser les événements et de mieux comprendre ce qui s’est passé sur le système.

Red Canary est dispo gratuitement ici ! La seule chose que vous avez à faire, c’est de vérifier que votre Mac dispose de 4 Go de mémoire système ou plus et d’une version macOS 13.1+ (Ventura).

Pour installer l’outil, vous pouvez soit utiliser Homebrew, soit télécharger le dernier installateur depuis GitHub. Une fois l’application ouverte, autorisez l’extension système et démarrez !

brew install --cask red-canary-mac-monitor

La corrélation d’événements est un outil essentiel pour détecter les menaces. C’est comme si on pouvait visualiser les points de connexion entre différents événements, créant ainsi un puzzle pour comprendre les activités suspectes.

Red Canary Mac Monitor propose également des fonctionnalités de filtrage d’artefacts, de suppression des binaires du système et d’exportation de télémétrie au format JSON. L’outil offre aussi la possibilité de générer des sous-arbres de processus, ce qui permet d’avoir une vue d’ensemble de la lignée des processus.

Pour couronner le tout, un graphique dynamique de distribution d’événements facilite l’identification rapide des événements. C’est donc un incontournable pour tous les passionnés de sécurité sous macOS. Red Canary Mac Monitor est à découvrir ici.

L’IP Fixe débarque chez Surfshark

Par : Korben

— Article en partenariat avec Surfshark

C’est le retour des grandes chaleurs et la dernière ligne droite vers les vacances. Oui, on est tous fatigué mais les bonnes nouvelles continuent d’arriver, notamment au sujet de Surfshark, le VPN de qualité pour ceux qui veulent surfer sur un internet plus sûr et plus privé.

Je vous recommande Surfshark depuis 2020 et j’en suis toujours ravi, pour plusieurs raisons. Non seulement parce qu’il offre toutes les fonctionnalités qu’on demande à un bon VPN, mais aussi parce qu’il continue d’innover et d’améliorer constamment ses services. Sans oublier qu’avec Surfshark, le nombre d’appareils que vous pouvez connecter est illimité, ce qui est idéal pour protéger tous vos devices personnels et professionnels ainsi que ceux de toute votre famille.

Et en ce moment, Surfshark célèbre l’arrivée des grandes vacances avec cette offre : 2,49 €/mois pour un abonnement de 24 mois dont 2 mois gratuits. C’est donc le moment idéal pour enfin investir quelques deniers dans la sécurité de votre vie numérique.

Une des nouvelles fonctionnalités les plus remarquables de Surfshark est sans aucun doute son option d’IP dédiée. Pour ceux qui ne le savent pas, une IP dédiée est une adresse IP unique que vous seul utilisez, ce qui signifie que vous ne la partagez pas avec d’autres utilisateurs de Surfshark. C’est très pratique pour les personnes qui doivent parfois accéder à des services nécessitant une IP fixe ou pour celles qui en ont assez de se faire constamment harceler par des CAPTCHAs. L’option d’IP dédiée de Surfshark est un véritable game-changer pour ceux qui recherchent un niveau supérieur de confidentialité et de sécurité en ligne.

Cette option permet ainsi d’avoir une IP Fixe dans l’un de ces pays : États-Unis, Royaume-Uni, Pays-Bas et Allemagne, ce qui offre un large éventail de choix en fonction de vos besoins spécifiques. En outre, cette fonctionnalité est compatible avec tous les protocoles VPN tel que Wireguard, OpenVPN…etc et fonctionnera évidemment sur tous vos appareils.

Mais ce n’est pas tout puisque Surfshark ne se contente pas uniquement de vous proposer une IP dédiée. Il dispose également d’une pléiade de fonctionnalités pour renforcer votre sécurité en ligne :

  • Navigation chiffrée pour plus de confidentialité
  • Changement automatique d’adresse IP
  • Accès à des contenus généralement bloqués dans votre pays
  • Protection contre les fuites DNS
  • Bouton Kill switch
  • MultiHop dynamique
  • GPS-Spoofing pour Android
  • Accès aux catalogues Netflix, Spotify & co d’autres pays
  • Mode camouflage pour masquer l’utilisation d’un VPN à votre FAI
  • Possibilité de whitelister certains sites ou applications
  • Non-conservation des logs

Rappelons que leur politique de non-conservation des logs a été récemment par Deloitte, une des plus grandes entreprises d’audit du monde, garantissant ainsi leur sérieux en matière de confidentialité.

De plus, Surfshark propose une suite complète d’outils de sécurité : un antivirus (Surfshark Antivirus), un système d’alerte (Surfshark Alert), un moteur de recherche (Surfshark Search) et Incogni, qui vous permet de faire supprimer vos informations personnelles sur le web.

Bref, il est temps de vous protéger vous et votre famille avec un abonnement Surfshark VPN ! Avec les vacances qui approchent à grands pas et les wifi publics que vous allez fréquenter, c’est l’opportunité parfaite pour vous préparer à voyager en toute sécurité.

En savoir plus sur l’offre Surfshark

CropScore : le meilleur site pour recadrer vos images en un clin d’oeil !

Par : Korben

Hé salut les amis !

Si vous cherchez un moyen facile de recadrer vos images pour différentes plateformes sans avoir à télécharger de logiciel, alors ce site est fait pour vous !

Nommé CropScore, ce site web vraiment cool vous permet de télécharger des images aux formats PNG, WEBP et JPEG et de les recadrer soit au format voulu, soit grâce à toute une une gamme de tailles de recadrage prédéfinies pour les plateformes de réseaux sociaux courantes : Twitter, Facebook, Médium, Pinterest, YouTube, et j’en passe.

L’idée c’est de pouvoir recadrer une image pour en faire une cover YouTube, une bannière Twitter ou un avatar pour Facebook. À vous de voir !

CropScore vous offre aussi des outils de déplacement, de zoom et de rotation pour affiner vos recadrages, avec des données de résolution en temps réel pour vous aider à évaluer la qualité de votre recadrage. Vous pouvez même prévisualiser votre image recadrée avant de la télécharger.

Et si vous faites une erreur, pas de panique : vous pouvez réinitialiser l’image et les fenêtres de recadrage à leur état d’origine.

Bref, CropScore c’est la solution idéale pour recadrer vos images facilement et rapidement, que vous soyez un pro de la retouche photo ou simplement quelqu’un qui veut partager des photos sur les réseaux sociaux. À bookmaker d’urgence !

Le CropScore est à découvrir ici.

Comment redimensionner de très nombreuses images ?

Par : Korben

Si vous avez beaucoup d’images ou de photos que vous souhaitez recadrer pour leur donner une taille différente, pas de panique. Vous n’avez pas besoin de télécharger un outil spécialisé pour faire ça. Il vous suffit d’aller sur le site Birme qui vous permet de faire ça gratuitement.

Vous glissez-déposez toutes vos images sur Birme. Pas de stress, rien n’est uploadé chez eux, car c’est un outil qui fonctionne à 100% en JavaScript et tout se fait en local sur votre machine. Vous réglez ensuite les dimensions et le ratio.

Une excellente fonctionnalité de Birme, c’est qu’il est capable de détecter le point de focale de l’image. Si par exemple, vous avez une photo avec un visage, il recadrera l’image autour de ce visage. Génial non ?

Si vous faites partie des dernières 5 personnes au monde à mettre des watermarks sur la photo, c’est également possible. Vous pouvez aussi rajouter une bordure à toutes vos images, modifier leur format et leur qualité (jpeg, web) ou encore les renommer avec le pattern de votre choix.

Ensuite, une fois que tout est configuré, vous pouvez tout re-télécharger d’un coup, ou créer un zip que vous récupérerez. Très pratique comme site !

La revanche de Shredder !

Par : Remouk

— Article rédigé par l’ami Remouk (DansTonChat) – Merci à lui —

Les chevaliers d’écaille sont de retour ! Bon, la vérité c’est que nos mutants préférés n’ont jamais disparus, mais je dois admettre que je préfère largement le look et la personnalité que nos tortues arboraient durant les années 80-90… Et c’est cette version des Tortues Ninja que l’on retrouve dans un nouveau jeu de baston : Teenage Mutant Ninja Turtles: Shredder’s Revenge. 🐢

Tout est fait pour nous replonger dans cette époque : le design des tortues, les ennemis, les graphismes en pixel art, la musique… C’est presque du rétro-gaming mais sans les ralentissements horribles. 🙂 On se retrouve face à un beat’em all à l’ancienne : on avance dans des niveaux et on tabasse tout ce qui s’approche.

Le gameplay est vraiment bon, entre coups de base, coups spéciaux, prises, sauts, esquives… Y a de quoi varier les plaisirs. Mais surtout, il ne faut pas se contenter d’appuyer sur tous les boutons : il sera parfois indispensable de bien se positionner, d’attaquer les ennemis dans un certain ordre, d’éviter les frappes en attendant le bon moment pour contre-attaquer, etc. Un jeu moins bête qu’il n’en a l’air !

Le mode arcade nous demande d’enchaîner les différents stages, avec un nombre limité de vies et de continues. À l’ancienne ! En revanche, le mode histoire nous propose, entre chaque level, de se balader en ville (comme sur NES), de s’améliorer, de remplir des objectifs secondaires, de sauvegarder, etc. Une expérience plus accessible mais aussi plus complète. C’est cool d’avoir le choix ! Dans les deux cas, l’histoire est super sympa à suivre, avec son lot de méchants et de situations débiles. 🙂

Côté contenu, c’est assez généreux, surtout en terme de personnages : on peut jouer les 4 tortues (dont les animations et attaques reflètent bien les différentes personnalités) mais aussi April et Splinter… Sans oublier un certain justicier masqué à débloquer. 😉 Figurez vous que c’est loin d’être trop, vu qu’on peut profiter du mode multi jusqu’à 6 joueurs, en local comme en ligne ! C’est un joyeux bordel mais franchement fun.

Vous l’avez compris, j’ai adoré retrouver les tortues ninja de mon enfance, et je conseille ce jeu à tous les fans du genre ! Attention, finir le mode histoire ne vous demandera qu’une poignée d’heures, pour 25€ ça peut décevoir. Mais si vous êtes adepte de la baston, du genre à vouloir tout débloquer, à viser les hi-scores, à jouer et rejouer avec vos potes en mode arcade pour réussir à le finir d’une traite, c’est une valeur sûre.

Teenage Mutant Ninja Turtles: Shredder’s Revenge est dispo sur Steam, Nintendo Switch, Playstation et Xbox !

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