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À partir d’avant-hierLe courrier des stratèges

Fauci nie toute responsabilité dans le retard d’apprentissage scolaire lié aux confinements

Mardi, le Dr Anthony Fauci a participé au second et deuxième jour de l’entretien à huis clos avec le sous-comité restreint de la Chambre sur la pandémie de coronavirus. Ayant été l’un des principaux responsables de la santé publique aux Etats-Unis durant la pandémie, il a fait un « aveu stupéfiant » d’après le représentant Michael Cloud (R-Texas). Fauci a en effet déclaré « qu’il n’est toujours pas convaincu qu’il y a eu une perte d’apprentissage » après les fermetures des écoles.

La crise du Covid-19 a eu un effet dévastateur dans le secteur de l’éducation, l’administration Biden-Harris avait reconnu cela dès le début de la pandémie. En 2023, selon le secrétaire d’État américain à l’éducation, Miguel Cardona, il faudra des années d’efforts pour remédier aux dégâts et pour mettre fin à cette tendance à la baisse qui s’est installée depuis plus de 10 ans. Pourtant, lors de son récent témoignage devant le panel COVID de la Chambre, le Dr Anthony Fauci, ancien directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses et conseiller médical en chef de la Maison Blanche, a suscité la controverse en exprimant son scepticisme quant aux pertes d’apprentissage des enfants liées aux fermetures d’écoles pendant la pandémie. Cette déclaration inattendue a surpris les législateurs présents, certains remettant en question sa position. Fauci, qui a souvent plaidé en faveur de mesures strictes telles que la distanciation sociale et les confinements, a néanmoins évité de prendre la responsabilité des répercussions de ces politiques sur l’éducation des enfants.

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Enquête covid-19 : Boris Johnson vivement critiqué par ses anciens conseillers

Toujours dans le cadre de l’enquête Covid, les critiques des anciens conseillers de Boris Johnson continuent à s’abattre sur lui. Dernièrement, Edward Lister, son ancien conseiller stratégique et chef de cabinet a déclaré que ce dernier voulait se faire injecter le SRAS-CoV-2 en direct à la télé pour calmer le public. L’ancien dirigeant conservateur a toujours été opposé à la politique sanitaire de son propre gouvernement. A présent, ses anciens collaborateurs continuent à lui faire porter le chapeau sur la gestion catastrophique du Covid au Royaume-Uni.

Au cours des derniers jours, des témoignages accablants contre l’ex-Premier ministre britannique se sont multipliés. Il fait actuellement l’objet d’une enquête publique sur la gestion de la pandémie de Covid-19 par son gouvernement. Ses anciens conseillers le qualifient comme une girouette plus préoccupée par l’économie que par la santé de ses citoyens. Devant la commission d’enquête, présidée par l’ancienne magistrate Heather Hallett, Edward Lister, ancien chef de cabinet du Premier ministre, a révélé que Boris Johnson aurait envisagé de se faire injecter le virus à la télévision pour rassurer le public. Cette enquête met en évidence les difficultés rencontrées par le gouvernement britannique pour élaborer une réponse cohérente à la pandémie en 2020, et mises en lumière par les anciens membres du personnel de Downing Street.

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Boris Johnson a questionné les scientifiques sur un sèche-cheveux anti-COVID

Lors de son témoignage dans le cadre de l’enquête Covid, l’ancien chef de cabinet de Boris Johnson, Dominic Cummings a révélé des informations surprenantes quant aux méthodes étonnantes envisagées par l’ancien Premier ministre pour lutter contre le Covid. Parmi celles-ci, l’ancien Premier ministre aurait demandé aux scientifiques si l’on pouvait tuer le coronavirus avec « un sèche-cheveux » dans le nez.

Après les consultations d’experts et de juristes, la commission d’enquête publique sur la gestion de la pandémie de Covid-19 au Royaume-Uni auditionne désormais d’anciens membres du gouvernement Johnson. Parmi les premiers à témoigner figure Dominic Cummings, ex-proche conseiller politique et bras droit de Boris Johnson. Devant la commission d’enquête, présidée par l’ancienne magistrate Heather Hallett, ce dernier a évoqué un Premier ministre “confus”, “indécis”, déchiré “entre les intérêts sanitaires et politiques ».

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