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À partir d’avant-hierJean-Pierre CHEVALLIER

BNP-Paribas et Société Générale : les pires banksters européens ?

BNP-Paribas et Société Générale sont peut-être les pires parmi les grands banksters européens car leurs capitaux propres sont en réalité largement négatifs, et pas qu’un peu : – 350 milliards d’euros à la fin du 3° trimestre 2021 d’après les comptes publiés dans les rapports financiers de BNP-Paribas !!!

Et – 324 milliards d’euros pour la Générale !!!

***

Le gros problème, le très gros problème de BNP-Paribas est le hors bilan dont les engagements de financement se montaient à la fin du 2° trimestre 2021 à un total de… 355,515 milliards d’euros garantis par… 47,057 milliards, seulement !

Document 1 :

355,515 milliards d’euros d’engagements de financement sur le hors bilan garantis par… 47,057 milliards conduisent à une perte potentielle de… 308,458 milliards (à la fin du 2° trimestre 2021, derniers chiffres publiés pour le hors bilan) !

Compte tenu d’autres éléments plus techniques que j’explicite dans mon article au sujet de cette banque, le montant réel des capitaux propres tangibles de BNP-Paribas est de – 350 milliards d’euros à la fin du 3° trimestre 2021 d’après les comptes publiés dans les rapports financiers de la banque.

Pour la Générale, d’après son rapport annuel certifié de l’exercice 2020, les montants de ses engagements de financement en hors bilan se montaient à un total de… 473,984 milliards d’euros (entouré en rouge)…

Document 2 :

… garantis par… 154,373 milliards (entouré en rouge), seulement !

Document 3 :

473,984 milliards d’euros d’engagements de financement sur le hors bilan garantis par… 154,373 milliards conduisent à une perte potentielle de… 319,611 milliards !

Là aussi, compte tenu d’autres éléments plus techniques que j’explicite dans mon article au sujet de cette banque, le montant réel des capitaux propres tangibles de la Générale est de l’ordre de – 320 milliards d’euros à la fin du 3° trimestre 2021 d’après les comptes publiés dans les rapports financiers de cette banque.

BNP-Paribas et Société Générale auraient donc dû être déclarées en faillite… depuis longtemps !

Le problème, le gros problème est que personne n’en parle !

***

Pour information : les banques enregistrent en hors bilan les conséquences d’opérations qu’elles ne font pas elles-mêmes…

Ce sont leurs clients qui font des opérations (de crédit-bail en général) qui les amènent à devoir payer impérativement à une certaine date des sommes importantes rapidement sans que ces opérations soient prévisibles ni certaines a priori. Comme ils n’auront pas l’argent pour payer et qu’ils ne pourront pas conclure de tels emprunts rapidement, ils demandent à leur banque de s’engager a priori à payer à leur place… et à rembourser ultérieurement, évidemment, le tout moyennant des commissions rémunératrices pour les banques.

Comme les montants de ces engagements (à payer) pris par les banques portent sur des sommes importantes, elles sont obligées de prendre des garanties au cas où leurs clients ne pourraient pas les rembourser finalement.

Aux États-Unis, la totalité des engagements hors bilan doit impérativement être couverte par des garanties d’après les lois et les règlements en vigueur, cf. mon article à ce sujet sur JPMorgan.

En Turquie, les garanties prises par les grandes banques en hors bilan se montent à plus du double du montant de leurs engagements !

***

De petits graphiques permettent de mieux comprendre l’importance des risques que font courir les banksters européens à tout le monde…

Les capitaux propres (tangible equity) des big banks américaines sont largement positifs, évidemment !

Document 4 :

Chiffres en milliards de dollars (USD) comme pour les documents suivants.

Les bons investisseurs font les mêmes analyses que les miennes : ils ne placent pas leurs capitaux dans ces banques européennes pourries…

Document 5 :

… alors que le total des bilans (balance sheet) de ces banques européennes est du même ordre de grandeur que celui des big banks américaines,

Document 6 :

Pour rappel, d’anciens banksters de BNP-Paribas ont reconnu que, pendant plusieurs mois, en 2012, ils ne savaient pas, en quittant leurs bureaux le soir, si leur banque allait pouvoir ouvrir le lendemain…

Cliquer ici pour (re)voir le film édifiant de France 3 sur les banksters de BNP : BNP Paribas Dans Les Eaux Troubles De La Plus Grande Banque Européenne, généralement censuré après mes articles car ces banksters de BNP me surveillent toujours…

Un film à voir et à revoir, pendant qu’il n’est pas censuré.

Comme en 2012, BNP-Paribas est donc très proche du dépôt de bilan et ce n’est pas la seule banque européenne dans cette situation…

***

Tout est simple… et dramatique !

© Chevallier.biz

Création monétaire : d’Hitler à McRon…

Tout le monde devrait avoir lu le livre de Pierre Jovanovic : Adolf Hitler ou la revanche de la planche à billets car c’est le seul livre qui est consacré à ce problème majeur : une création monétaire indue conduit inéluctablement un jour à une situation pire que ce qui est imaginable !

Pierre Jovanovic explique clairement dans cet ouvrage qu’une création monétaire indue a condamné subitement les Allemands juste après la Première guerre mondiale à une pauvreté extrême alors que leur pays était auparavant l’un des plus riches et des plus puissants du monde.

Document 1 :

Cliquer ici pour accéder à la page du site de Pierre Jovanovic sur laquelle il présente ce livre.

Effectivement, une hypertrophie de la masse monétaire a toujours des conséquences économiques catastrophiques qui se manifestent généralement par une augmentation considérable du chômage ce qui conduit le plus souvent à des réactions populaires très violentes contre les pouvoirs en place.

Ces problèmes monétaristes sont particulièrement mal compris d’autant plus que les rares économistes qui les maitrisent ne publient pas les conclusions de leurs travaux car ces théories ont des conséquences tellement importantes qu’elles restent dans la sphère confidentielle des rares autorités qui les mettent en œuvre avec succès, et ce sont évidemment celles des États-Unis.

C’est ainsi que les autorités américaines ont fait éclater la bulle monétaire qui s’était développée au début des années 2000 à cause de leurs banksters qui ne respectaient plus la règle prudentielle d’endettement qui s’imposait pourtant à eux.

Cette règle prudentielle d’endettement que doivent respecter les banques est simple : le total de leurs dettes ne doit pas dépasser 10 fois le montant de leurs véritables capitaux propres.

C’est le multiple d’endettement (leverage) qui dépassait alors les 50 dans beaucoup de big banks américaines alors qu’il aurait dû être inférieur à 10 !

Exemple avec Citigroup et Société Générale,

Document 2 :

Pour faire éclater cette bulle monétaire, les autorités américaines ont flingué pour l’exemple une de ces banques : celle des frères Lehman, ce qui a fortement incité les dirigeants des autres banques à respecter cette règle prudentielle d’endettement mais une telle mesure n’a pas été prise en Europe comme le montre l’exemple de Société Générale qui a encore un leverage de… 59 au 2° trimestre 2020 !

En conséquence une énorme hypertrophie monétaire s’est développée dans la zone euro et en particulier en France à cause de ces banksters qui ne respectent pas cette règle prudentielle d’endettement et cela produit et produira les mêmes effets que la bulle monétaire qui s’est développée dans l’Allemagne de l’entre-deux guerres et qui a amené Hitler au pouvoir.

Dans les années 20-30 en Allemagne, c’est effectivement la planche à billets qui a fonctionné à plein et qui a déclenché une hyperinflation, une crise majeure et un chômage massif.

Actuellement, cette bulle monétaire se manifeste dans la zone euro surtout par une hypertrophie des dépôts sur les comptes courants des malheureux Euro-zonards (c’est une des composantes de l’agrégat monétaire M1).

Au total, la masse monétaire M3 de la zone euro se montait à 14 000 milliards d’euros (fin août, derniers chiffres publiés par la BCE) alors qu’elle ne devrait pas dépasser 8 500 milliards !

Document 3 :

En effet, la masse monétaire totale d’un pays ne doit pas dépasser 78 % (en théorie) du PIB annuel courant, ce qui correspond à 8 500 milliards d’euros.

5 500 milliards ne devraient donc pas s’y trouver et c’est ce qui correspond à cette création monétaire indue !

Cette histoire de coronavirus a encore aggravé l’hypertrophie monétaire qui s’était déjà développée précédemment.

Hitler a été un des rares Allemands à comprendre que cette création monétaire indue créée par la planche à billets allait conduire à une catastrophe économique et sociale et il en a fait son thème principal de campagne. Malheureusement il ne s’est pas trompé !

Actuellement, le Mignon poudré n’a toujours pas compris l’importance de ces problèmes monétaristes qui conduisent inéluctablement à une situation pire que ce qui est imaginable, c’est-à-dire à la fin des libertés et de tout ce qui en découle quand les décisions qui sont prises par les autorités n’ont pas fait éclater assez tôt cette bulle monétaire qui devient alors incontrôlable.

En imposant un couvre-feu en période de paix, sans aucune justification médicale, il a franchi sans qu’il s’en rende compte une étape majeure dans cette escalade vers le pire que ce qui est imaginable.

Dans son discours du 14 octobre annonçant ce couvre-feu, il termine par cette phrase lourde de sens : on s’était progressivement habitué à être une société d’individus libres !

Les Français ne sont donc plus libres, et c’est très grave.

Cette histoire de coronavirus aura précipité en France le cours inéluctable vers une situation pire que ce qui est imaginable.

© Chevallier.biz

 

Tsunami bancaire en Europe : le cas de la Générale

Une offensive majeure se déroule contre les banques européennes, surtout depuis le weekend dernier…

Pour rappel, les banques européennes ne respectent pas la règle prudentielle d’endettement qui leur impose d’avoir des dettes inférieures à 10 fois le montant de leurs véritables capitaux propres.

C’est le multiple d’endettement, le leverage en anglais qui doit donc être inférieur à 10.

Elles n’ont pas assez de capitaux propres et trop de dettes, ce qui les fragilise dangereusement alors que les big banks américaines (des États-Unis) respectent cette règle… du moins depuis 2009 après avoir failli faire faillite car elles ne respectaient pas cette règle auparavant !

Document 1 :

La situation des banques européennes s’est considérablement aggravée avec cette histoire de coronavirus au point que mêmes les autorités européennes s’en inquiètent.

Ainsi, l’Autorité bancaire européenne (EBA, European Banking Authority), l’Autorité des marchés financiers (ESMA, European Securities and Markets Authority) et l’Autorité des assurances (EIOPA, European Insurance and Occupational Pensions Authority) s’alarment (dans un communiqué commun) de la perte prévisible des actifs des banques européennes, ce qui augmentera leurs pertes.

La BCE prépare à cet effet un site de… vente de créances bancaires dites douteuses (NPL, Non Performing Loans), c’est-à-dire des actifs fortement dévalués selon des procédures moins pénalisantes que le passage par l’intermédiaire de fonds dits vautours généralement américains d’après les propos d’Edward O’Brien rapportés par Reuters le 23 septembre.

La BCE évalue le montant de ces actifs pourris aux alentours de… 500 milliards d’euros !

Les Etats membres de la zone ont été obligés d’apporter 836 milliards d’euros à la BCE (rubrique 5 du passif) pour qu’elle puisse boucler son bilan vendredi dernier car les banques dites commerciales manquent dramatiquement de liquidités (rubrique 2),

Document 2 :

La BCE sauve ses banksters en leur apportant plus de 5 000 milliards d’euros qu’elle n’a jamais eus, par pure création monétaire ex nihilo !

Ça va mal pour les banques européennes, et même très mal, et ce sera pire dans l’avenir proche, d’où le plongeon des cours de leurs actions.

Ainsi par exemple, le cours de la Générale vient de battre ce 24 septembre son plus bas record depuis le début des années… 90 à 11,18 euros !

Document 3 :

Evidemment, c’est l’omerta dans la presse française mais les bons investisseurs ont fait les mêmes analyses que les miennes et ils en ont tiré les mêmes conclusions : ils vendent ces actions, ce qui fait plonger leurs cours.

Ainsi, la capitalisation boursière de la Générale est tombée à 9,5 milliards d’euros, soit 11,072 milliards de dollars seulement alors que celle de Wells Fargo est de… 94 milliards, soit 8,5 fois plusse,

Document 4 :

Ces deux banques ont pourtant des actifs de montants proches : 1 969 milliards de dollars pour Wells Fargo et 1 694 milliards de dollars pour la Générale, soit un écart de 14 % seulement,

Document 5 :

Les jours et les semaines à venir seront critiques.

L’avenir est incertain par définition mais il est sombre.

Cliquer ici pour voir le communiqué des autorités de régulation financières européennes.

© Chevallier.biz

Apple, 2° trimestre 2020

Suite de cette folie totale sur une partie des marchés financiers et en particulier pour ce qui concerne les cours de certaines sociétés, dites techno

Ainsi en est-il par exemple d’Apple dont le cours a bondi exponentiellement…

Document 1 :

surtout en juillet-août par rapport à un plus bas en mars à cause de cette histoire de coronavirus !

Document 2 :

La capitalisation boursière d’Apple a atteint… 2 150 milliards de dollars le 21 août ce qui fait un ratio P/E de 66,8 largement supérieur aux normes.

A titre de comparaison, le PIB courant annuel de la France est de 2 043 milliards d’euros soit 2 414 milliards de dollars…

Pour rappel, normalement, la capitalisation boursière d’une entreprise devrait correspondre à 16 fois le montant de ses bénéfices passés, ce qui constitue le ratio P/E qui est le multiple de cette capitalisation boursière (Price) sur les bénéfices (Earnings).

En toute logique, avec un total des bénéfices sur les 4 derniers trimestres de 58,424 milliards de dollars, la capitalisation boursière d’Apple devrait donc être normalement de l’ordre de… 940 milliards !

1 210 milliards de dollars sont donc en trop dans la capitalisation boursière d’Apple !

Le plongeon potentiel est monumental…

Autre problème : l’endettement d’Apple est kolossal : 149,7 milliards de dollars de dettes à long terme pour 72,3 milliards de capitaux propres, ce qui fait un gearing de… 207 % !

Document 3 :

Pour rappel, le gearing est le rapport entre les dettes à long terme et les capitaux propres, en pourcentage.

Il doit fluctuer dans une bande de 30 à 50 % au maximum.

L’endettement d’Apple est très dangereux. Il a commencé à se produire après le décès de Steve Jobs en 2011 et donc depuis l’arrivée de Tim Cook à la direction de l’entreprise.  

Du temps de Steve Jobs, les fondamentaux de la société progressaient normalement : les bénéfices d’une année s’ajoutaient aux capitaux propres de l’année précédente, ce qui constituait cet effet boule de neige qui aboutit à augmenter ces capitaux propres au fil du temps et à développer des entreprises fortes, dynamiques, innovantes et pérennes.

Tout a basculé avec Tim Cook : l’effet boule de neige a disparu et les capitaux propres baissent inexorablement d’années en années malgré des bénéfices considérables !

Document 4 :

Pire : d’années en années, les dettes à long terme augmentent et les capitaux propres baissent !

Normalement, les capitaux propres sont constitués des bénéfices accumulés (Retained earnings) et le montant des apports initiaux des actionnaires (Common stock…) devient marginal au fil des années mais c’est très exactement le contraire qui se produit, surtout lors de ce 2° trimestre 2020 !

Document 5 :

La baisse des capitaux propres s’est accélérée au cours de ces derniers trimestres et les bénéfices accumulés ont brusquement plongé au 2° trimestre par rapport au précédent.

Tim Cook n’a quasiment pas lancé de nouveaux produits. La croissance d’Apple ne s’est faite que par endettement pour générer du chiffre d’affaires.

Cette situation, dont personne ne parle, est potentiellement catastrophique.

La chute de cette entreprise emblématique risque d’être particulièrement spectaculaire…

***

Mes analyses permettent de débusquer ce qui ne va pas (et plus ou moins bien occulté) dans toute entreprise mal gérée et inversement ce qui fait la réussite d’autres sociétés à fort potentiel.

Elles sont originales, parfaitement fiables, toujours justifiées, argumentées et vérifiables.

Après le début de cette histoire de coronavirus, la publication des résultats des entreprises pour le 2° trimestre permet de recommencer à analyser la réalité des entreprises pour investir à bon escient, ce qui alimente la spéculation gagnante

Ces éléments ci-dessus font partie d’une analyse complète d’Apple en attendant les suivantes.

Pour toute personne disposant d’un capital, son placement (sous certaines conditions) en valeurs mobilières est le meilleur moyen non seulement de le sauver mais encore de le valoriser, ce qui est important mais pas évident, surtout en cette période de folie tous azimuts.

Je recommencerai à partir du début du mois de septembre la publication de mes analyses pour les sociétés ayant les plus forts potentiels de hausse dans le cadre de mes offres Platinum…

***

Cliquer ici pour accéder aux résultats d’Apple.

© Chevallier.biz

 

Tesla, 2° trimestre 2020

C’est la folie totale avec cette histoire de coronavirus et c’est aussi la folie totale sur une partie des marchés financiers et en particulier pour ce qui concerne les cours de certaines sociétés…

C’est l’exubérance irrationnelle des marchés comme l’a dit jadis ce bon vieux Greenspan mais c’est maintenant bien plusse pire.

Ainsi en est-il par exemple de Tesla dont le cours a bondi dans cette folie totale surtout en juillet-août !

Document 1 :

La capitalisation boursière de Tesla a atteint plus de… 380 milliards de dollars le 21 août alors que le total des bénéfices des 4 derniers trimestres est de… 368 millions, ce qui fait un ratio P/E supérieur à… 1 000 !

Normalement, la capitalisation boursière d’une entreprise devrait correspondre à 16 fois le montant de ses bénéfices passés, ce qui constitue le ratio P/E qui est le multiple de cette capitalisation boursière (Price) sur les bénéfices (Earnings).

En toute logique, la capitalisation boursière de Tesla devrait donc être normalement de l’ordre de 6 à 7 milliards de dollars au maximum !

Avec une marge nette (enfin positive après des années de pertes) de 1,4 % sur les 4 derniers trimestres Tesla rappelle un peu Enron avant sa faillite

Document 2 :

L’endettement de Tesla est kolossal : 15,5 milliards de dollars de dettes à long terme pour 6,6 milliards de capitaux propres, ce qui fait un gearing de 235 % !

Document 3 :

Le gearing est le rapport entre les dettes à long terme et les capitaux propres, en pourcentage.

Il doit fluctuer dans une bande de 30 à 50 % au maximum.

L’endettement de Tesla est très dangereux. Ses généreux actionnaires ont déjà apporté… 12,7 milliards de dollars pour maintenir en activité leur entreprise !

Document 4 :

Les dirigeants de Tesla ont décidé d’investir massivement dans la construction d’usines a priori très performantes en Chine, en Allemagne et aux États-Unis,

Document 5 :

Il est possible que les projets des dirigeants de Tesla soient rentables dans un avenir actuellement non prévisible mais rien ne justifie présentement le cours actuel de ces actions.

***

Après le début de cette histoire de coronavirus, la publication des résultats des entreprises pour le 2° trimestre permet de recommencer à analyser la réalité des entreprises pour investir à bon escient, ce qui alimente la spéculation gagnante…

Ces éléments ci-dessus sont une partie d’une analyse complète de Tesla en attendant les suivantes.

Je recommencerai à partir du début du mois de septembre la publication de mes analyses pour les sociétés ayant les plus forts potentiels de hausse dans le cadre de mes offres Platinum…

***

Cliquer ici pour accéder aux résultats de Tesla.

© Chevallier.biz

 

Banksters, banquiers, tsunami bancaire et coronavirus

Cette histoire de coronavirus a tout bouleversé dans le monde entier en quelques semaines par la faute de dirigeants politiques criminels qui ont interdit aux gens de travailler et de se déplacer.

Ils ont manipulé leurs électeurs et ils ont été manipulés eux-mêmes finalement par ceux qui ont imaginé et mis en œuvre cette histoire de coronavirus pour que le Donald ne soit pas réélu.

La première vague, spectaculaire, a été celle des décès attribués à ce maudit coronavirus.

La deuxième vague aura été celle des suppressions d’emplois, de faillites et de pertes gigantesques pour beaucoup d’entreprises.

La troisième vague sera plus forte et plus destructrice : celle du tsunami bancaire en Europe à cause des big banks too big to fail dont les dirigeants, des banksters, ne respectent pas les règles prudentielles d’endettement.

En effet, ces banques devront supporter des pertes gigantesques (non provisionnées) sur les prêts qu’elles ont accordés et qui ne seront jamais remboursés.

Le meilleur indicateur de la bonne ou de la mauvaise santé des banques est le multiple d’endettement, le leverage en anglais qui est à la base de la règle de bonne gestion qui est très simple : le total des dettes d’une banque ne doit pas dépasser 10 fois le montant de ses (véritables) capitaux propres.

Ces capitaux propres sont pour l’essentiel les bénéfices accumulés par ces banques au fil des années.

Comme les banksters font tout ce qu’ils peuvent pour cacher leurs arnaques, il faut décrypter correctement les comptes qu’ils publient chaque trimestre.

Mes analyses des bilans de ces big banks montrent clairement que les big banks américaines respectent cette règle prudentielle d’endettement ce qui n’est pas le cas des big banks européennes,

Document 1 :

Globalement, la situation de la plupart des banques s’est détériorée. Comme les banksters arrivent souvent à cacher des cadavres dans des placards, il est possible que la situation de certains d’entre eux soit pire encore…

Document 2 :

Pour bien comprendre la signification de ces chiffres, il suffit de rappeler que le leverage de Citigroup a atteint… 65 juste avant la Grande récession de 2008-2009 !

Un leverage supérieur à 20 doit être considéré comme étant grave.

Document 3 :

Bien entendu, les banksters européens manipulent les informations à ce sujet (pour que les gens ne réagissent pas) mais les bons spéculateurs, c’est-à-dire les investisseurs qui voient juste et loin, font les mêmes analyses que moi et ils en tirent les bonnes conclusions : ils ont vendu les actions qu’ils avaient dans les banques européennes dont les capitalisations boursières sont tombées très bas par rapport à celles des banques américaines,

Document 4 :

Sommes en dollars (USD) pour les banques françaises.

Tout est simple.

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BCE et coronavirus : une bad bank en préparation et ses banksters

En ce début de XXI° siècle, beaucoup de banques ont posé et posent encore beaucoup de très gros problèmes à partir du moment où les banksters qui les dirigent ne respectent plus les règles prudentielles d’endettement dont la principale est la suivante : le total des dettes d’une banque ne doit pas dépasser 10 fois le montant de ses capitaux propres tangibles, c’est-à-dire l’argent qu’elle a en propre grâce à ses bénéfices accumulés au fil des années.

C’est le leverage, en anglais, le multiple d’endettement en français.

Pour leur imposer de respecter cette règle, les autorités américaines ont flingué pour l’exemple la banque des frères Lehman en 2008, ce qui a conduit les autres banksters à faire tomber leur leverage à 10 en moins une année seulement comme le montre l’exemple de Citigroup,

Document 1 :

Malheureusement, les banksters européens ne respectent toujours pas cette règle du multiple d’endettement (qui devrait être de l’ordre de 10) comme le montre l’exemple de Société Générale et il en est de même pour la plupart des autres banques européennes,

Document 2 :

J’étudie attentivement et précautionneusement les comptes des banques et je constate toujours que les banksters européens trichent en interprétant à leur façon les règles comptables pour essayer de cacher qu’elles sont surendettées (ou sous-capitalisées).

Pour les comptes des banques du premier trimestre 2020, le problème le plus important était d’évaluer à leur juste valeur les pertes prévisionnelles sur les prêts qu’elles ont octroyés à leurs clients qui ne les rembourseront jamais à cause de cette histoire de coronavirus.

Les dirigeants des banques américaines ont augmenté les provisions pour ces pertes pour ce premier trimestre de moitié au moins par rapport à celles du trimestre précédent, ce qui a fait chuter considérablement leurs bénéfices.

Ces pertes prévisibles sont connues sous les expressions suivantes : prêts non performants, Non Performing Loans (NPL).

J’ai appliqué cette règle pour retraiter les comptes publiés par les banksters européens, ce qui aboutit aux chiffres présentés dans le document 2 ci-dessus.

Cependant, le gros problème, le très, très gros problème qui va se poser dans la zone euro dans les semaines et les mois à venir est bien celui de ces pertes sur les prêts (octroyés par les banksters) qui ne seront jamais remboursés et qui risquent de provoquer un tsunami bancaire comme je l’ai dit et écrit précédemment à maintes reprises, car ces pertes ne sont pas provisionnées à leur juste valeur.

Pour tenter d’éviter ce tsunami, les grosses têtes de la BCE préparent la constitution d’une bad bank qui a pour vocation d’être une usine à gaz produisant un enfumage géant consistant à sortir les pertes des comptes des banques (provenant des prêts qui ne seront pas remboursés) pour les loger dans cette bad bank

D’après les sources de la BCE elle-même, c’est donc plusse pire que ce que j’en ai écrit !

C’est l’application de la formule bien connue : privatiser les bénéfices, socialiser les pertes, c’est-à-dire sortir les pertes des comptes des banques dirigées par des banksters de connivence avec les dirigeants des Etats et de la BCE pour les refiler à des entités publiques absconses de la zone (euro).

Un article du Financial Times et une dépêche de Reuters du 10 juin précisent que ces créances dites douteuses, les NPL (Non Performing Loans) qui étaient de 500 milliards d’euros à la fin de 2019 d’après les décomptes officiels de la BCE devraient doubler et atteindre les… 1 000 milliards !

Document 3 :

Or les prêts octroyés par les banques de la zone (euro) à leurs clients (entreprises non financières et particuliers) atteignaient fin avril un total de 10 632 milliards d’euros d’après les derniers chiffres publiés par la BCE.

Le taux des NPL est élevé dans la zone (euro). Il était de l’ordre de 6 % en 2015 et dans les 5 % fin 2019 dans la mesure où ces NPL se montaient à 506 milliards d’euros (pour les seules 121 plus grandes banques !) pour un total des prêts de 10 403 milliards…

Document 4 :

… alors que le taux de NPL pour les banques américaines était de l’ordre de 1 % avant cette histoire de coronavirus,

Document 5 :

Donc, en reprenant les prévisions (ou hypothèses) de la BCE, à savoir des NPL se montant globalement à 1 000 milliards d’euros pour des prêts de 10 632 milliards, le taux de ces NPL devrait être de l’ordre de 10 % (pour simplifier).

Ainsi par exemple, comme le montant des prêts octroyés par BNP-Paribas à ses clients était de 858 milliards d’euros à la fin du premier trimestre dernier, en retenant un taux de NPL de 10 %, les pertes potentielles sont de… 85,8 milliards !

Or les banksters de BNP-Paribas n’ont provisionné que… 17,3 milliards d’euros.

Ainsi, ce sont 68,5 milliards d’euros (la différence entre ces deux derniers chiffres) qui ne sont pas provisionnés par ces banksters !

Ces 68,5 milliards d’euros ne sont pas provisionnés par ces banksters parce que, en les provisionnant, ils auraient dû faire apparaitre des pertes pour quasiment ce montant astronomique !

Le gros problème, le très, très gros problème, est qu’il en est de même dans la plupart des autres banques européennes, ce qui fait un total des NPL non provisionnés de l’ordre de 1 000 milliards d’euros comme le craignent à juste titre les dirigeants de la BCE.

Pour sauver ces banksters, les dirigeants de la BCE et les hommes politiques (dont des femmes !) de la zone euro proposent donc de faire passer ces pertes dans une entité publique en utilisant des montages financiers abscons que peu de gens comprennent.

Crédit Agricole Groupe a 955,9 milliards d’euros de prêts, donc 95,6 milliards de pertes potentielles provisionnées pour 19,5 milliards seulement.

Société Générale a 529,4 milliards d’euros de prêts, donc 52,9 milliards de pertes potentielles provisionnées pour 9,2 milliards seulement.

Les pires de ces banksters sont ceux de BPCE qui n’osent même pas publier leur bilan pour ce premier trimestre 2020 parce que d’après ces calculs, les pertes sur les 703,2 milliards de prêts sont supérieures à leurs capitaux propres tangibles si bien que BPCE est d’ores et déjà en faillite en appliquant le taux de NPL adopté par la BCE !

Ainsi, mes analyses basées sur les hypothèses des gens de la BCE (donc prudentielles et modérées) confirment celles que j’ai faites précédemment, et elles montrent clairement que, réellement et objectivement, le tsunami bancaire en Europe que j’ai annoncé est sur le point de se produire.

Pour l’instant, les banksters et leurs complices ont réussi à maintenir l’illusion de banques solvables.

Ces 1 000 milliards d’euros de pertes sur les NPL devraient pouvoir être absorbés par le lancement d’un prêt géant (TLTRO) de… 1 400 milliards d’euros qui sera annoncé prochainement.

Ainsi, cette évaluation de pertes de NPL de l’ordre de 1 000 milliards d’euros est et sera confirmée indirectement.

Notre Bécassine adorée est un peu triste car elle n’y comprend rien avec tout ce qui se passe autour d’elle !

Je présente dans un article précédent toutes les justifications de ces résultats sur la base des bilans et autres éléments publiés par les banques.

© Chevallier.biz

 

Soc Gen : la descente aux enfers continue…

La descente aux enfers continue pour Société Générale avec un plus bas historique record en séance dans l’après-midi à 12,53 zeuros ce 12 mai !

Document 1 :

La pente de cette descente aux enfers (la faillite !) est forte, régulière et inexorable depuis l’été 2017,

Document 2 :

Le problème est qu’une limite à cette baisse s’imposera un jour…

Comme les banksters de BNP-Paribas, ceux de la Générale doivent ne pas être certains en quittant les locaux de la banque le soir, de pouvoir y rentrer normalement le lendemain !

Evidemment, les médias ne traitent pas ce petit problème, et surtout pas un site comme celui de Boursorama qui est une entité de la Soc Gen, un grand pourvoyeur de publicités dans les médias dits grands.

Les clients de la Soc Gen seront les premières victimes de ces banksters. Ils subiront le même sort que ceux des banques grecques et chypriotes lors de leurs grandes turbulences passées.

Le naufrage de la Générale aura des conséquences plus importantes que ses homologues grecques et chypriotes car le total de son bilan (1 508 milliards d’euros) correspond aux… deux tiers du PIB annuel de la France (2 308 milliards) !

Ce sera alors la chute des dominos bancaires français et européens, le tsunami bancaire dont j’avais parlé…

Le coronavirus n’aura fait qu’accentuer l’échéance fatale.

La faillite de la Soc Gen sera normale compte tenu de mes analyses qui en arrivent à la conclusion que c’est la pire des big banks des deux grandes zones développées, à savoir l’Amérique du Nord et l’Europe,

Document 3 :

Bravo les artistes, et sans Kerviel !

Les cours dont ceux des bancaires américaines ont baissé après la clôture des bourses européennes ce 12 mai, ce qui signifie que la séance du 13 mai pourrait être critique…

Les conséquences d’un tsunami bancaire seront terribles, horribles.

Carpe diem.

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Coronavirus : effondrement du PIB, tsunami bancaire et mort de la France 

En interdisant violemment aux gens de travailler (sous peines de sanctions graves), le Mignon poudré et sa bande ont condamné à mort la France et les Français !

En effet, les premiers indicateurs économiques ont montré que la création de richesse était déjà tombée très bas à la fin du premier trimestre comme je l’ai déjà écrit, cliquer ici pour lire mon article précédent à ce sujet,

Document 1 :

D’autres indicateurs fiables confirment ces premières données au niveau national comme par exemple l’indice de l’activité globale dans le secteur privé d’IHS Markit pour la France qui est tombé à un plus bas historique à 11,1 en avril (contre 27,4 points en mars) alors que l’indice qui lui correspond pour les États-Unis, celui de l’association professionnelle ISM des services est tombé à 41,8 % seulement (contre 52,2 % en mars).

Dans les deux cas, un indice inférieur à 50 indique que l’activité économique est en récession.

Le confinement ordonné aux États-Unis par les autorités sous la pression des Démocrates a été en fait beaucoup moins pénalisant qu’en France comme je l’avais déjà montré en prenant l’exemple de la présence des avions qui y étaient en mouvement d’après Flightradar24 le 29 avril…

Document 2 :

 

… par rapport à ce qui était observable en Europe,

Document 3 :

La situation de millions de gens en France va s’aggraver durablement et tragiquement, pas seulement pour les gilets jaunes qui étaient déjà dans une situation critique, mais aussi pour beaucoup d’entrepreneurs qui avaient plus ou moins bien réussi à développer l’entreprise de leurs rêves après des années de sacrifices et de travail.

Beaucoup d’autres gens seront touchés, des salariés, des indépendants, et tous les jeunes adultes qui viennent de terminer leur formation initiale et qui s’apprêtaient à rechercher leur premier emploi alors que la plupart des entreprises en suppriment !

Le pire ne s’est pas encore produit mais ça ne saurait tarder : le tsunami bancaire à cause des banksters qui ne respectent pas les règles prudentielles d’endettement.

En effet, le total des dettes des banques ne doit pas dépasser 10 fois le montant de leurs véritables capitaux propres dits tangibles.

Les 4 big banks américaines respectent cette règle mais les banques françaises et beaucoup de banques européennes sont très loin de les respecter,

Document 4 :

Ces grandes banques européennes ont déjà été au bord de la faillite comme le reconnaissent maintenant certains des dirigeants de BNP-Paribas dans ce film documentaire, cliquer ici pour le (re)voir absolument !

[à chaque fois que je donne le lien de ce film, BNP intervient auprès de YouTube pour le censurer !]

Actuellement, les banksters de Société Générale sont au bord de la faillite comme le montre le cours de cette banque qui est à son plus bas historique à 13 euros après avoir atteint un plus haut à plus de 140 euros en avril 2007 !

Document 5 :

Le Mignon poudré et sa bande ont déjà condamné à mort et tué 27 000 personnes avec ce coronavirus en ne prenant pas en janvier les décisions qui s’imposaient et qu’ils ont mis 5 mois pour les prendre (en partie) trop tard, à savoir le contrôle strict des entrées sur le territoire français et la détection obligatoire des porteurs du covid-19 par des tests PCR comme l’ont fait les autorités de Taïwan dès le mois de janvier.

Taïwan avec une population de 23,8 millions d’habitants, 3 fois moins qu’en France (67 millions d’habitants), n’a eu que 5 décès causés par ce covid-19.

En transposant pour la France, il n’y aurait dû y avoir que 3 fois plus de décès soit… 18 !

Le Mignon poudré et sa bande sont des criminels qui auraient dû être condamnés à mort en ce temps de guerre et la sentence aurait déjà dû être exécutée.

***

Je rappelle aux personnes qui lisent mes articles et qui ne sont pas abonnées à mes offres que je fournis des informations particulièrement pertinentes sur les marchés financiers en les justifiant toujours à partir de données objectives et vérifiables qui donnent une image fidèle de la réalité.

Toutes les personnes qui veulent conserver et valoriser leur capital peuvent en tirer des avantages et en toute sécurité.

Mes articles sont le résultat d’un travail long et minutieux qui ne peut être communiqué que contre une rémunération normale pour des investisseurs qui en tireront profit surtout lors de ces turbulences financières historiques qui ont déjà commencé.

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Coronavirus : les banksters français au fond du gouffre !

Cette histoire du coronavirus a fait plonger les cours des actions et en particulier ceux des Gos banques françaises qui sont maintenant au fond du gouffre, comme pendant le pire des crises en 2009 et en 2012…

Ainsi, le cours de Société Générale est tombé à son plus bas historique en fin de séance du vendredi 4 avril,

Document 1 :

Le cours de BNP-Paribas est au même niveau qu’en 2012 lorsque ses dirigeants ne savaient pas, pendant plusieurs mois, le soir, en quittant les bureaux de la banque, si elle allait pouvoir ouvrir le lendemain matin comme ils l’ont révélé en… 2018 dans ce documentaire remarquable : BNP Paribas Dans Les Eaux Troubles De La Plus Grande Banque Européenne, cliquer ici pour le voir ou le revoir,

Document 2 :

A chaque fois que j’ai recommandé dans mes articles à mes lecteurs de voir ce documentaire, le service de censure de BNP est intervenu pour en obtenir la suppression sur YouTube !

Ainsi par exemple France.TV affiche l’écran (noir) suivant :

Document 3 :

Il ne reste plus qu’un seul lien pour visionner ce documentaire, pour le moment !

Le cours de Natixis n’est pas au plus bas historique mais il peut s’effondrer en un jour ou deux comme en 2009,

Document 4 :

Seul le cours du Crédit Agricole (CASA) est encore loin de ses plus bas (à moins de 3 euros en 2009 !) car ses banques régionales le sauvent encore,

Document 5 :

Les investisseurs retirent leurs capitaux de ces banques car leurs chances de survie sont faibles avec l’augmentation considérable des défauts de paiements de leurs clients dont beaucoup d’entre eux sont déjà fortement à découvert, et même en quasi faillite à cause du confinement décidé par les hommes politiques incompétents et criminels.

Les capitaux propres tangibles des entreprises en difficultés sont considérés comme étant leur valeur à la casse.

Les capitalisations boursières de ces Gos banques sont maintenant largement inférieures à leurs capitaux propres tangibles, ce qui montre clairement que tout le système bancaire français peut s’écrouler à tout moment !

Document 6 :

Il ne survit que miraculeusement.

Les gens de la BCE ont fourni récemment à leurs banksters 500 milliards d’euros… qu’ils n’ont pas !

Et aussi une bonne centaine de milliards de dollars car les dirigeants des banques américaines refusent de leur en fournir !

Cliquer ici pour lire mon article à ce sujet.

Olivier Pichon a été bien inspiré de donner pour titre à l’émission Politique & Eco de TVLibertés à laquelle il m’avait invité, enregistrée le 3 mars : Vers un tsunami bancaire en Europe, cliquer ici pour la voir ou la revoir.

Pour rappel, trois vagues sont en train de déferler : la première est celle des décès prématurés attribués principalement à ce coronavirus, la deuxième est celle qui détruit les entreprises et les emplois à cause de ce confinement absurde et criminel imposé par les hommes politiques et de prétendus scientifiques, la troisième est la plus destructrice, celle du tsunami bancaire !

Et encore pour rappel, les Gos banques étaient les banques d’Etat de l’ex URSS qui a fait faillite…

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Coronavirus : couronnement de la khonnerie planétaire et spéculation gagnante !

La propagation du coronavirus est la cause principale de la chute vertigineuse et historique des cours des actions qui vient de se produire sur toutes les bourses dans le monde ainsi que sur les rendements des bons des Trésors (et en particulier des Treasurys) qui sont toujours le refuge traditionnel en cas de fortes turbulences financières.

Qu’en est-il en réalité de sa dangerosité ?

Depuis l’apparition de cette maladie en Chine en décembre 2019, le nombre de décès prématurés qui lui est attribué dans le monde à ce jour est de l’ordre de 4 000 (surtout pour ce qui concerne des personnes déjà très affaiblies), l’épidémie se résorbant déjà petit à petit en Chine depuis plusieurs semaines après un pic, comme dans toute épidémie dont le nombre de malades et de décès suit toujours une courbe gaussienne.

Ce chiffre est à mettre en comparaison avec les chiffres des décès estimés pour la grippe saisonnière qui serait de 300 à 600 000 morts prématurés par an dans le monde, et avec les morts provoqués par les accidents de la circulation en Chine qui seraient de l’ordre de 250 000 par an, soit 20 000 par mois, ce qui fait que plusieurs dizaines de milliers de Chinois ne sont pas morts en pareilles circonstances car les véhicules ne pouvaient pas circuler généralement au cours de ces dernières semaines.

En aucun cas ce coronavirus n’est un évènement majeur qui pourrait avoir des conséquences dramatiques, ce qui aurait été le cas si le nombre de morts en Chine avait été de l’ordre de… 400 à 650 millions en transposant les chiffres de mortalité de la peste noire qui aurait tué entre 30 et 50 % de la population européenne de 1347 à 1352 ou la grippe espagnole aurait tué entre 50 et 100 millions de personnes en 1918 et 1919.

L’économie mondiale sera évidemment touchée par les conséquences de la propagation de ce coronavirus mais marginalement par la baisse des chiffres d’affaires des entreprises de certains secteurs mais cette baisse n’aura rien de dramatique, ce ne sera pas une crise, juste une baisse de la croissance du PIB qui sera négative au cours de ce premier trimestre dans la plupart des pays de la vieille Europe continentale car elle était déjà à zéro voire négative comme en France au 4° trimestre 2019.

Ces réactions irrationnelles sur ce coronavirus sont comparables à la propagande concernant le prétendu réchauffement climatique et les auteurs de ces manipulations d’informations dans les grands médias sont les mêmes : une certaine gauche socialiste (au sens français) mondialiste antilibérale qui utilise une partie des principes du libéralisme (en particulier la liberté de circulation) pour imposer ses idées dans les opinions publiques et dans les réglementations.

En conclusion, les auteurs de cette dramatisation de ce coronavirus méritent la couronne de la khonnerie planétaire (en pastichant Boris Vian) pour l’année 2020, le même hommage devant être rendu aux auteurs de la théorie du réchauffement climatique pour les années précédentes, ce qui aura des conséquences encore beaucoup plus importantes que cette affaire de ce coronavirus.

Ces gens-là exercent une influence considérable. Ils sont très puissants et très dangereux.

Une consolation : ces idiots nuisibles deviennent finalement utiles car ils alimentent la spéculation gagnante !

En effet, comme je l’ai écrit à maintes reprises, les cours des banksters qui étaient au plus bas en juillet-août dernier sont anormalement remontés au fil des semaines et des mois et ils ne pouvaient que plonger magistralement en cas de panique, et c’est ce qui vient de se passer…

Ainsi par exemple, le cours de Société Générale a plongé de 31,80 euros le 17 février à 17,62 euros le 9 mars ce qui laisse une plus-value de 80 % pour tout spéculateur avisé ayant ainsi investi à découvert,

Document 1 :

Il en a été de même pour CASA (Crédit Agricole) dont le cours est tombé de 13,65 le 14 février à 7,73 euros le 9 mars, avec donc là aussi une plus-value de 76 % en moins d’un mois,

Document 2 :

Les pires des bankters français, à savoir ceux de Natixis, ont vu leur cours ne générer qu’une plus-value de 71 % car le titre a relativement peu baissé du fait qu’il avait peu… augmenté précédemment tellement il est trop pourri, en tombant donc de 4,38 le 13 février à 2,558 euros,

Document 3 :

Les cours de ces trois banksters ont terminé la séance du 9 mars nettement sous leurs plus bas atteints en août dernier lorsqu’ils étaient déjà au plus mal.

La principale conséquence de cette histoire de ce coronavirus est que ces banksters ne vont pas pouvoir supporter des taux encore plus bas, ce qui va précipiter le tsunami bancaire tant attendu.

Une fois de plus, je fais la démonstration a posteriori de la pertinence de mes analyses (macro et micro économiques) qui peuvent générer une spéculation gagnante… à condition de savoir les interpréter a priori.

Evidemment, je ne propose pas dans le cadre de mes offres de 50 à 240 euros par an des titres pour que des investisseurs puissent bénéficier de tels avantages qui ne peuvent être fournis que dans le cadre de prestations dont le prix est nettement plus élevé.

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Pour avoir de bonnes informations sur ce coronavirus, voir les publications et les vidéos du Professeur Didier Raoult qui insiste lui aussi sur le fait que le plus grand danger de ce genre de virus est la peur qu’il peut engendrer et qui est utilisée par ceux qui sont aussi les auteurs de cette théorie dite du réchauffement climatique.

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Mon offre Gold est activée…

En vous abonnant à l’offre Gold vous bénéficierez de l’offre Premium et de 2 heures de communication libre par téléphone (sur rendez-vous) ou par email pour la durée d’une année.

Cette offre Gold convient tout particulièrement pour les personnes désirant des informations complémentaires et des conseils personnalisés pour leurs investissements.

Elle est proposée pour un prix de 1 000 euros.

Elle ne comprend pas les prestations supplémentaires de l’offre Platinum, à savoir la fourniture d’une sélection de titres de sociétés (a priori cotées aux Etats-Unis) à fort potentiel (de plus-values) avec leurs analyses financières.

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Comme je l’ai écrit précédemment, l’accès à la plupart de mes articles est devenu payant depuis le début de cette année 2019 car tout lecteur avisé, et en même temps (comme dirait l’Autre) investisseur (ou tout au moins titulaire d’un certain capital qu’il veut valoriser et sauvegarder même dans les pires circonstances), a pu en profiter précédemment pour en tirer les bonnes conclusions, et donc pour en tirer profit… sans aucune contrepartie pour moi !

Ainsi par exemple, certains de mes lecteurs, m’ont rapporté qu’ils ont investi (à la baisse) sur la base de mes articles, sur un des banksters de la zone en dégageant une plus-value de… 90 % en 6 mois !

L’échange était inégal.

Je propose déjà une offre basique, dite Premium pour le prix de 240 euros par an qui permet de suivre l’actualité économique et financière tout acquérant une culture économique, et plus précisément monétariste, avec des incidences financières qui conduit à une spéculation gagnante.

Je n’ai jamais donné de conseils d’investissement explicites sur certains titres à la suite d’analyses financières stricto sensu dans le cadre de cette offre premium.

Je n’offre que des informations économiques et financières (tirées d’analyses basées sur des données fiables et certaines) que l’on ne retrouve nulle part ailleurs et qui permettent de comprendre ce qui se passe sur la planète, en particulier financière.

Ce service rendu résulte d’un certain travail qui a un coût. Il présente des avantages. Il a donc un prix, normal.

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Mon offre Premium permet donc de ne pas mourir idiot car elle permet de comprendre par exemple (à partir d’analyses fiables basées sur des données vérifiables) que l’Amérique n’est pas au bord du gouffre, que Wall Street ne va pas s’effondrer, ni le dollar, ni le système bancaire, financier et monétaire américain et même mondial.

Par contre, de très gros problèmes se posent en Europe et en particulier en France à cause de cette monnaie unique contre nature qu’est l’euro, des banksters qui ne respectent pas les règles prudentielles d’endettement et du socialisme larvé qui y règne.

Pour rappel, comme je l’ai déjà écrit maintes fois, il n’existe qu’une antériorité à cette situation caractérisée par une création monétaire indue : celle de la période de l’entre-deux guerres en Allemagne au cours de laquelle la population a énormément souffert, cf. le livre de Pierre JovanovicHitler ou la revanche de la planche à billets, qui est le seul à traiter correctement des conséquences dramatiques de l’hypertrophie monétaire qui s’y est alors développée.

Seul le monétarisme bien compris permet d’avoir des connaissances claires sur tous ces sujets.

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Je propose donc maintenant d’autres offres qui sont donc présentement opérationnelles.

L’offre Gold me permet de répondre a priori correctement aux questions posées par des lecteurs qui demandent davantage d’informations, d’avis, de conseils, sur des problèmes qu’ils comprennent mal, ce qui exige de ma part un certain temps de réflexion et de recherches, ce qui prend un certain temps, et ce qui a donc un certain prix.

Je ne présente jamais des idées a priori communes, sans justifications fiables comme le font habituellement beaucoup de bonimenteurs…

L’offre Platinum propose en outre des titres de sociétés américaines (des États-Unis !) pour lesquels, à partir de recherches et d’analyses financières, les probabilités de plus-values sont les plus fortes.

Cliquer ici pour lire mon article annonçant que mon site était devenu payant.

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