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À partir d’avant-hierOpenClassrooms : le blog

Les avantages de la formation en ligne pour l’alternance

Peu d’étudiants le savent, mais il est parfaitement possible de faire sa formation d’alternance en ligne.
Comme n’importe quel cursus ou établissement, l’alternance et les centres de formation qui la dispensent sont accessibles à distance ! Une accélération que l’on doit à la réforme de la formation de septembre 2018, autorisant la formation en alternance à se dérouler entièrement en ligne. En 2020, la pandémie est venue accentuer la tendance, et désormais, l’alternance a le vent en poupe… 

La formation en alternance et en ligne séduit autant les étudiants que les entreprises d’accueil, qui y voient tous les deux une opportunité pour les jeunes talents de se former de manière plus autonome et flexible. Mais cette option est-elle vraiment la mieux adaptée à vos besoins ? Et surtout, est-elle disponible dans votre filière ? 

Nous vous proposons de vous apporter des éléments de réponse dans cet article. 

Quels sont les avantages de la formation en ligne pour les alternants ?

Les étudiants sont de plus en plus nombreux à opter pour la formation en ligne dans le cadre de leur alternance. Cette option leur permet en effet de se former de manière concrète à un métier, le tout en gardant une flexibilité sur leur agenda et en avançant à leur rythme. 

Si vous considérez l’apprentissage numérique pour valider votre alternance, voici les principaux avantages dont vous pourrez bénéficier. 

Plus d’autonomie et de liberté

La formation en ligne, qu’elle se fasse en alternance ou non, est le meilleur moyen d’étudier en gardant le contrôle sur votre emploi du temps ainsi que votre organisation. Vous pourrez en effet décider par vous-même comment vous souhaitez organiser votre travail, sans vous faire imposer des horaires par votre centre de formation. Si vous recherchez plus d’autonomie, ou que vous devez tenir compte de contraintes horaires spécifiques, c’est certainement la meilleure option qui s’offre à vous. 

Réaliser votre alternance sur une plateforme de formation en ligne vous permettra également d’être plus productif et efficace, aussi bien dans le volet scolaire que professionnel. Par ailleurs, cette dernière offre une certaine souplesse en comparaison avec la formation en présentiel, car lors de la mise en place de votre contrat en alternance, vous pouvez décider avec votre employeur, des journées qui seront consacrées à la formation et de celles passées en entreprise chaque semaine.

Une formation 100 % financée et en ligne pour s’affranchir des contraintes financières

Vous n’êtes pas sans savoir que la formation en alternance est non seulement financée, mais qu’elle vous permet également de percevoir un salaire. Elle est ainsi réputée pour être accessible à tous, quelle que soit la situation économique de l’alternant. 

En optant pour la formation en ligne, vous pourrez également vous affranchir des autres contraintes matérielles qui entourent votre scolarité. Vous n’aurez par exemple plus besoin de vous déplacer au sein de l’établissement pour suivre vos cours. Cela représente un gain financier, mais aussi un gain de temps que vous pourrez utiliser à meilleur escient. 

En s’affranchissant des contraintes géographiques, les alternants n’ont également plus l’obligation de déménager dans la ville de leur centre de formation. Vous pourrez ainsi continuer de travailler au calme chez vous ou chez vos proches. 

Se former et progresser à son rythme

En optant pour la formation en ligne, l’alternant peut également suivre ses cours à son propre rythme. Vous ne vous verrez donc plus imposer celui de vos camarades de classe et pourrez progresser en fonction de votre disponibilité, mais aussi de vos appétences et de vos capacités. 

La formation en ligne est ainsi un excellent moyen de s’émanciper du groupe, et de reprendre le contrôle sur son apprentissage. Si vous êtes plus à l’aise sur une matière, vous pourrez avancer bien plus rapidement que dans un environnement d’enseignement classique. À l’inverse, les points que vous avez plus de mal à maîtriser pourront recevoir une attention plus particulière, dans le respect de la temporalité de votre formation. 

Avec l’apprentissage en ligne, vous aurez aussi accès via votre plateforme d’apprentissage (comme OpenClassrooms) à des outils d’auto-évaluation qui facilitent cette progression sur mesure. Vous pourrez par exemple répondre à des quizz pour évaluer vos connaissances, et déterminer si vous pouvez sereinement ou non passer au module suivant. 

Par ailleurs, l’entraide entre camarades de promotion ne disparaît pas complètement avec le format en ligne. De nombreux établissements proposent à leurs élèves de se rencontrer (et d’échanger avec leurs professeurs) de manière hebdomadaire ou mensuelle. Des forums en ligne sont également disponibles pour poser ses questions, ou demander un coup de main aux autres alternants. Par exemple, chez OpenClassrooms, la plateforme WorkPlace fait office d’espace de discussion et d’échanges, ouvert à tous les étudiants et les mentors. Un excellent moyen de maintenir sa motivation et de se faire épauler en cas de blocage ! 

Une formation en ligne et ouverte à tous… sans sacrifier la qualité de l’enseignement 

Comme nous l’avons déjà mentionné, la formation en alternance (qu’elle soit en ligne ou en présentielle) est 100 % financée. Vos frais de scolarité seront en effet pris en charge par l’État ainsi que par votre entreprise d’accueil. 

Par ailleurs, les alternants touchent un salaire et peuvent donc bénéficier d’une indépendance financière (en plus d’une plus grande indépendance dans la gestion de leurs études). 

Mais formation en ligne ne veut pas pour autant dire formation au rabais. Les cursus disponibles bénéficient d’une qualité d’enseignement équivalente à celle dispensée dans les centres de formation en présentiel. Les cours sont en effet conçus par des experts dans leur métier, et doivent respecter les référentiels de l’éducation nationale et du marché du travail. Le diplôme délivré est lui aussi équivalent à celui obtenu en suivant une formation en présentiel. 

Un suivi personnalisé

L’une des principales appréhensions que l’on peut avoir concernant la formation en ligne est qu’elle soit anonyme et donc générique. Contrairement à ce que les étudiants pourraient penser, elle leur permet en réalité de bénéficier d’un suivi tout aussi qualitatif, avec parfois un accompagnement personnalisé et des sessions de formation en individuel. 

En parallèle des référents, certains organismes de formation comme OpenClassrooms s’appuient sur un autre outil choc : le mentorat. Cette pratique permet de renforcer de manière significative l’engagement des étudiants et de les soutenir dans leur formation, par le biais de plusieurs leviers efficaces : 

  • des rendez-vous hebdomadaires entre l’étudiant et le mentor ;
  • des objectifs personnels fixés d’une session à l’autre ;
  • un compte-rendu de chaque session rédigé par le mentor, qui permet à l’étudiant de suivre son évolution.

Le mentorat est également une excellente manière pour les étudiants de se confronter aux réalités de leur futur métier, en discutant et en apprenant d’un profil ayant une vaste expérience du terrain.

Le mentor, qui est un professionnel du métier sur lequel l’étudiant se forme, fait donc un travail de suivi régulier, via des séances d’accompagnement individuel chaque semaine. Son expérience  professionnelle lui permet d’offrir une perspective concrète sur les réalités de son métier et de son industrie, afin d’ aider l’étudiant à se projeter au-delà de la théorie des cours. 

Le mentor joue aussi un rôle de coach, accompagnant l’étudiant dans la préparation de ses soutenances ou dans la fixation d’objectifs d’apprentissage réalistes d’une semaine sur l’autre. Son rôle est également clé pour le maintien de la motivation des étudiants dans le cadre d’un apprentissage autonome.

Enfin, grâce à son expertise technique et son sens pédagogique, le mentor est en mesure de reformuler les concepts techniques les plus complexes afin de faciliter leur acquisition par ses étudiants

Des facilités pour décrocher son contrat d’alternance en entreprise 

En réalité, la formation en ligne n’est pas seulement avantageuse pour l’alternant. Elle présente aussi de nombreux bénéfices concrets pour les entreprises qui les emploient ! En effet, l’alternance au format numérique permet aux organisations d’accéder à des groupes plus larges et diversifiés de candidats. 

D’autre part, elles valorisent de plus en plus les profils autonomes, qui ont naturellement tendance à se tourner vers la formation à distance. L’apprentissage en ligne incite fortement l’alternant à développer son autonomie, et donc à la mettre à profit dans le cadre de ses missions professionnelles. Ce choix prouvera également aux recruteurs que vous savez faire preuve de détermination et de maturité. Cela rendra votre CV plus attrayant et vous permettra de sortir du lot dans un contexte où les contrats en alternance sont de plus en plus demandés !

La flexibilité que vous allez acquérir grâce à la formation en ligne vous sera ensuite très utile en entreprise. Vous pourrez mieux vous adapter aux exigences et échéances, parfois très serrées, de votre employeur, de ses partenaires et clients. Si vous êtes amené à vous déplacer régulièrement pour des raisons professionnelles, le numérique sera là encore un atout qui peut faire la différence en faveur de votre candidature. 

Pour finir, vous pourrez plus aisément adapter votre programme de formation aux défis que vous rencontrerez en entreprise. Il vous sera ainsi très facile de prioriser les sujets qui sont directement en lien avec vos missions. Et ainsi, d’être plus efficace et réactif que si vous deviez suivre les modules et le rythme imposé par votre professeur !

Suivre une alternance chez OpenClassrooms : un format flexible et d’excellence !

L’option de la formation en ligne est disponible dans pratiquement toutes les filières d’alternance classique. Les modalités d’inscription et de validation des acquis pour décrocher votre diplôme dépendent de l’organisme que vous sélectionnez.

Et si vous vous formiez avec OpenClassrooms à un métier du numérique qui a de l’avenir ? Découvrez à quoi ressemble le quotidien de nos apprenants, et quelles filières s’ouvrent à vous…

À quoi ressemble une formation en alternance en ligne chez OpenClassrooms ?

Vos cours vous sont délivrés via une plateforme de formation en ligne mise à disposition par l’école OpenClassrooms. Avec vos identifiants, vous pouvez y accéder quand vous voulez, où vous voulez, depuis tous vos supports numériques !

Par ailleurs, même en étant étudiant en ligne, vous pouvez également vous intégrer pleinement à votre école et à votre vie étudiante. Chaque mois, ce sont 300,000 étudiants connectés à travers le monde qui apprennent avec notre école en ligne. 

Par ailleurs, une formation en alternance avec OpenClassrooms, c’est : 

  • une formation tournée vers l’emploi, qui vous apprend les connaissances et les compétences essentielles pour vous épanouir dans votre futur métier ;
  • un mentor dédié qui vous épaule chaque semaine, pas à pas dans votre formation. Chaque semaine, cet expert dans votre futur métier vous accompagnera pour assurer une progression constante et une bonne compréhension des enjeux liés au secteur auquel vous vous réservez ;
  • un diplôme reconnu par l’État, allant du niveau bac + 2 à bac + 5, pour renforcer l’attractivité de votre profil ;
  • un choix des jours de formation flexible. Dès le début, vous définissez avec votre futur maître d’apprentissage ou tuteur, les jours dédiés à votre présence au sein des équipes. Ainsi vous pouvez vous adapter aux besoins de votre entreprise d’accueil. C’est un véritable atout de la formation en ligne.
  • une communauté d’étudiants disponible en permanence sur la plateforme Workplace. Entre camarade de classe, vous pouvez demander de l’aide, échanger sur les projets, vous motiver. 

Quels sont les programmes en alternance disponibles ?

Nos formations en alternance se concentrent sur les métiers du numérique, qui offrent de belles perspectives professionnelles à nos étudiants. Les domaines d’études sont variés : développement, data, RH et gestion, systèmes et réseaux, marketing et communication, pédagogie, gestion de projet, business ainsi que design – à vous de choisir l’activité qui correspond le plus à vos compétences et à vos envies professionnelles ! Nous nous occupons ensuite du reste… 

Par ailleurs, vous bénéficiez d’une rémunération salariale dès le 1er jour de votre contrat d’alternance. Cette dernière peut varier en fonction de la nature de votre contrat :

  • Si vous avez un contrat d’apprentissage, votre rémunération variera en fonction de votre âge et de l’année d’étude que vous réalisez. Le salaire minimum perçu est un pourcentage du Smic ou du SMC (salaire minimum conventionnel de l’emploi occupé) pour les plus de 21 ans. Par ailleurs, chaque nouvelle année d’exécution de votre contrat, votre rémunération augmente ;
  • Si vous bénéficiez d’un contrat de professionnalisation, votre rémunération dépendra du niveau de votre formation initiale et de votre âge.

Comment postuler à une formation en alternance OpenClassrooms ?

Pour devenir alternant chez OpenClassrooms, rien de plus simple ! Il vous suffit de commencer par postuler au programme que vous souhaitez suivre. Dans un délai de 7 jours maximum, nos conseillers vous contactent pour discuter et valider votre admission. 

Ensuite, nous mettons à votre disposition un coach d’insertion professionnelle OpenClassrooms, pour vous aider à trouver votre entreprise d’accueil. Par ailleurs, notre équipe d’experts recherche activement des offres d’emploi en alternance, qui vous seront proposées en fonction de vos préférences et de votre profil. Ainsi, vous bénéficiez du soutien de la communauté OpenClassrooms tout au long de vos démarches, pour garantir votre succès ! 

Et bien sûr, votre parcours apprenant ne s’arrête pas là : même après votre formation, qui dure entre 12 et 36 mois en fonction du diplôme choisi, vous rejoignez la communauté de nos alumni, mentors, experts et étudiants, qui vous accompagnera dans votre démarche d’employabilité tout au long de votre parcours professionnel !

Pour en savoir plus et postuler, rendez-vous sur la pages alternance d’OpenClassrooms !

 

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Comment nous mesurons l’impact des formations OpenClassrooms

En tant que co-fondateur d’OpenClassrooms, j’ai voulu créer un type d’entreprise différent qui a un impact réel et concret sur la vie des gens. C’est pour cela qu’OpenClassrooms est une entreprise avec une mission claire : rendre l’éducation accessible. C’est ce qui nous motive et nous pousse au quotidien à aller plus loin.

Mais comment savoir si on réussit à rendre l’éducation accessible ? Quel est l’objectif concret que l’on doit suivre et mesurer ?

Nous avons donc fait un choix clair chez OpenClassrooms : nous voulons que nos étudiants voient un impact positif sur leur vie professionnelle. Nous voulons les rendre employables ou qu’ils créent eux-mêmes leur emploi.

Nous voulons le vérifier, nous voulons le mesurer, nous voulons le prouver. Et quand cet impact n’est pas suffisant (spoiler alert : on peut toujours faire mieux ! 😅), alors nous travaillerons sans relâche à l’améliorer.


Nos mesures d’impact

Nous avons choisi 2 mesures pour guider notre impact chez OpenClassrooms :

  • Le taux de diplomation (ex : « 72% des étudiants décrochent leur diplôme »)
  • Le taux d’insertion dans l’emploi (ex : « 79% des diplômés trouvent un emploi »)

Note : ces mesures d’impact concernent les étudiants sur les parcours d’OpenClassrooms qui visent un diplôme.

Ces 2 mesures sont liées : les étudiants se forment dans le but d’avoir un diplôme, puis ensuite cherchent à trouver un emploi grâce à ce diplôme.

⚠ Le problème est qu’il y a 1 million de façons différentes de calculer ces taux. Bien souvent, cette méthode de calcul n’est pas explicitée, elle n’est pas vérifiée par un organisme indépendant. Selon la méthode utilisée, je peux vous présenter un taux d’insertion dans l’emploi de 90% comme un taux de 55%. Il est donc impossible de comparer les chiffres d’une école à une autre car la formule n’est jamais vraiment la même… et il est tentant pour chacun de montrer les meilleurs chiffres.

Chez OpenClassrooms, nous nous sommes interrogés sur la bonne formule longuement, en analysant les bonnes pratiques des standards émergents comme CIRR et EQOS.
Avec beaucoup de travail et de rigueur, voici comment nous calculons nos chiffres.

Taux de diplomation

Le taux de diplomation nous permet de savoir si nos formations sont vraiment accessibles, c’est-à-dire qu’un taux acceptable d’étudiants arrivent à obtenir leur diplôme.

La formule est la suivante :

Nombre d'étudiants ayant obtenu leur diplôme dans les délais annoncés
---- divisé par ----
Nombre d'étudiants ayant démarré la formation

Exemple : 100 étudiants démarrent une formation de 1 an. 60 d’entre eux la finissent en 1 an ou moins. 10 la finissent en plus d’1 an. Les 30 autres ne vont pas jusqu’au bout. Dans ce cas, le taux de diplomation est de 60% (60% de l’ensemble des étudiants a fini la formation dans les temps).

👆 Il est important de noter que tous les étudiants qui démarrent la formation sont pris en compte, même s’ils ne participent qu’un seul jour avant de changer de formation.

Cela veut dire qu’il est quasi-impossible qu’une formation puisse atteindre les 100% de diplomation (cela voudrait d’ailleurs dire que le diplôme est donné à tout le monde, ce qui serait un très mauvais signal !).

Taux d’insertion dans l’emploi

Le taux d’insertion dans l’emploi nous permet de vérifier qu’en ayant rendu l’éducation accessible, nous avons bien un impact positif sur la vie des étudiants.

La formule est la suivante :

Nombre de diplômés ayant trouvé un travail dans les 6 mois
---- divisé par ----
Nombre de diplômés

Exemple : sur 100 diplômés, 70 trouvent un travail dans les 6 mois, 10 trouvent un travail après 6 mois et le reste ne trouve pas de travail. Le taux d’insertion dans l’emploi est de 70%.

« Trouver un travail » signifie soit :

  • Obtenir un contrat de travail salarié
  • Monter son entreprise
  • Obtenir une évolution de poste dans l’entreprise.

Il doit donc y avoir un changement clair dans la vie de l’étudiant.

Dans tous les cas, « avoir trouvé un travail » signifie avoir un travail dans le métier que l’on a appris. Si vous vous formez au digital marketing et que vous prenez un poste de vendeur, soyons clairs : cela ne comptera pas.

Certains diplômés sont exclus du calcul. Nous pensons qu’il est normal de ne pas prendre en compte tous les diplômés et nous sommes basés sur les standards CIRR et EQOS pour cela. Voici donc en toute transparence les diplômés non pris en compte :

  • Ceux qui ne répondent pas à nos sondages
    (nous essayons de les joindre mais nous n’avons pas de réponse)
  • Ceux qui continuent leurs études
    (ils ont fait la formation pour que ça soit un tremplin pour une autre formation)
  • Ceux qui n’ont pas le droit de travailler
    (pour des raisons de visa, d’âge)
  • Ceux qui avaient indiqué au début de la formation qu’ils ne comptaient pas chercher de travail
    (ils font la formation pour le plaisir par exemple).

Nos chiffres

Dès aujourd’hui, nous sommes heureux de publier l’impact des formations OpenClassrooms suivantes :

Impact de la formation Conseiller en évolution professionnelle (diplômés de 2021)

Pourquoi ces formations ? Parce que nous avons travaillé récemment pour nous assurer de la rigueur des chiffres de ces 2 formations (et je peux vous dire que cela a demandé du travail !).

Notre objectif sera d’étendre ces informations pour l’ensemble de nos formations par la suite. Nous sommes preneurs d’ores et déjà de tous vos retours, questions et réactions !

Nous faisons déjà un constat clair : bien souvent, les étudiants en alternance ont les meilleurs taux de réussite et les meilleurs taux de placement dans l’emploi.

Vous le verrez, ces chiffres ne sont pas parfaits et ils n’ont pas vocation a l’être : nous souhaitons nous améliorer en continu et pensons qu’engager la conversation avec vous est le meilleur moyen de faire progresser les formations ! 


Nous espérons que vous apprécierez ces détails et cette rigueur. Nous en avons besoin pour améliorer en continu l’efficacité de nos formations.

Plus important encore : nous pensons que nous vous devons ces informations. Il est normal que vous y ayez accès pour choisir votre formation !

 

 

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Comment trouver une formation en alternance ?

La formation en alternance est de plus en plus populaire auprès des étudiants. En effet, elle valorise l’expérience professionnelle et permet à ces derniers de découvrir le monde de l’entreprise. Bénéficiant du statut de salarié, les étudiants peuvent ainsi se former de manière concrète à leur futur métier. Un bon moyen de s’insérer plus facilement sur le marché du travail, notamment en étoffant son réseau et ses compétences ! Mais déterminer comment trouver une formation et son alternance n’est pas aussi simple qu’il n’y paraît…

Il existe en effet différents types d’établissements, de cursus et même de formules. Et une fois le choix porté sur une option, il reste encore à bien préparer son CV et trouver son entreprise d’accueil en alternance !

Si vous aussi vous envisagez de suivre une formation en alternance, ce guide complet répondra à toutes vos questions. Il vous permettra surtout d’optimiser vos recherches, et de vous lancer sereinement dans votre alternance.  

 

Comment trouver une formation en alternance

  1. Définir son projet professionnel et ses objectifs
  2. Identifier le secteur dans lequel on souhaite faire son alternance ;  
  3. Choisir la bonne formation en fonction de ses objectifs et aspirations professionnelles, puis définir comment trouver une formation en alternance ; 
  4. Sélectionner une école, 
  5. Préparer un CV qui cartonne pour décrocher un contrat d’alternance, 
  6. Définir les entreprises qui vous intéressent.

 

Qu’est-ce qu’une formation en alternance ?

Avant de vous demander comment trouver une alternance, il est important de comprendre la formation en elle-même.

La formation par alternance associe l’expérience professionnelle au sein d’une entreprise à un cursus au sein d’un établissement d’enseignement. L’alternant partage donc son temps entre ses études et l’entreprise dans laquelle il exercera son futur métier en tant que salarié ou stagiaire.

Selon les conventions entre l’employeur, l’alternant et le centre de formation, le rythme d’une formation d’alternance est très différent. Il peut être long, allant jusqu’à 2 mois en entreprise et 2 passées en formation. Certaines alternances fonctionnent sur des rythmes beaucoup plus courts (allant de quelques jours à une semaine en entreprise).

Quel que soit son rythme, le système de l’alternance permet d’obtenir rapidement des qualifications et une expérience professionnelle. Ces dernières sont deux atouts de taille face aux recruteurs ! Par ailleurs, les frais de formation sont également pris en charge par l’entreprise et son OPCO, ce qui rend la formation en alternance beaucoup plus accessible.  

L’alternance peut s’effectuer sous l’égide de deux contrats, en fonction du statut et de la situation de l’alternant : 

  • le contrat de professionnalisation ;
  • et le contrat d’apprentissage. 

Différences entre le contrat d’apprentissage et de professionnalisation

L’alternance peut également s’effectuer dans le cadre d’un large éventail de formations (du CAP au master spécialisé), et dans quasiment toutes les filières (comptabilité, communication, science humaine en passant par les sciences). 

 

Comment savoir si on a le profil pour trouver une formation en alternance ?

Il n’y a pas de portrait type de l’alternant. Néanmoins, les étudiants qui peuvent être les plus attirés par ce type de formation sont ceux à la recherche d’une expérience professionnalisante, ou les profils en cours de reconversion.

Quoi qu’il en soit, de par son attractivité d’un point de vue de l’insertion rapide dans le monde du travail, mais aussi de ses conditions avantageuses en termes de salaires et d’encadrement, la formation par alternance s’est largement imposée comme un choix mûrement réfléchi pour de nombreux étudiants et profils en reconversion ces dernières années. 

 

Les avantages et les inconvénients de la formation en alternance 

Parmi les nombreux avantages de l’alternance, on peut citer : 

  • La prise en charge par l’entreprise et son OPCO, ce qui fait de l’alternance une formation 100 % financée pour les étudiants ;
  • Un choix toujours plus large : de nombreuses formations se sont ouvertes à l’alternance et donnent accès à des métiers très divers ; 
  • La possibilité de confronter la théorie à la pratique. Beaucoup d’élèves apprécient de pouvoir mettre en pratique leurs cours, et affirment même mieux les comprendre en situation. 
  • Une insertion plus facile vers le monde du travail. Et ce, notamment en décrochant un emploi dans l’entreprise dans laquelle on a effectué son alternance. 
  • La rémunération versée par son entreprise, qui peut aider à financer sa vie étudiante ou sa reconversion professionnelle.

 

Avant de réfléchir à comment trouver une alternance, prenez néanmoins le temps de considérer les contraintes de cette formation. 

L’alternance exige un fort investissement et une organisation rigoureuse de la part des élèves. Il faudra en effet assurer vos cours, le travail en entreprise, et le passage de vos examens. Votre statut de salarié aura également pour conséquence de réduire vos vacances (plus que 5 semaines de congés payés par an). Pour les jeunes étudiants, il faut également prendre en compte leur capacité d’adaptation dans le monde de l’entreprise et avec des collègues souvent plus âgés. 

Si la formation en alternance ne vous semble pas adaptée à votre profil et vos objectifs, pas de panique ! Il est en effet toujours possible de bifurquer vers une formation classique en cours de route (et inversement). Et pour commencer, il est nécessaire de formuler un projet concret d’alternance… Dans la prochaine partie, nous vous expliquons comment faire !

 

Formuler son projet d’alternance 

Avant de vous lancer dans la recherche d’une formation en alternance, il vous faut commencer par identifier votre projet de métier. En effet, c’est en ayant une idée claire de votre projet professionnel que vous pourrez choisir le bon établissement et la bonne entreprise dans lesquels effectuer votre alternance !

Premier conseil : choisissez de préférence une filière qui soit alignée avec vos appétences, vos valeurs, et vos aptitudes. Renseignez-vous sur le métier que vous souhaitez occuper, et tenez compte de tous ses aspects, aussi bien positifs que négatifs. 

Pour bien construire votre métier, pensez donc à :

  • Définir vos centres d’intérêt, votre personnalité, vos capacités et vos envies ;
  • Vous informer sur les métiers et les secteurs qui vous intéressent ; 
  • Rencontrer des professionnels pour confronter vos préconceptions et la réalité du métier. 

 

Comment choisir votre établissement d’alternance ?

La seconde étape pour trouver une alternance consiste à trouver l’établissement dans lequel vous allez vous former. 

Vous aurez notamment le choix entre : 

  • Les CFA : (Centres de Formation d’Apprentis). Ces établissements peuvent être publics ou privés. La formation dispensée y est à la fois générale, pratique et technologique. Elle sera complétée par celle reçue en entreprise. 
  • Les unités de formation. Il peut s’agir d’une unité dédiée au sein d’un lycée ou d’une université. Elles sont le plus souvent publiques ; 
  • Les sections d’apprentissage. Si vous choisissez cette option pour suivre votre alternance, vos cours auront lieu dans un établissement d’enseignement public (ou privé sous contrat avec l’État). Il peut également s’agir d’une section spéciale d’un établissement de recherche relevant d’un ministère autre que celui de l’Éducation Nationale ;
  • Les organismes de formation interne à l’entreprise. L’entreprise avec laquelle vous avez signé votre contrat en alternance peut également disposer de son service de formation interne. Elle y dispensera une formation générale, professionnelle et technologique. 

 

Trouver son établissement de formation en alternance 

Plusieurs sites existent pour vous aider à accéder facilement à la liste des établissements qui proposent votre formation en alternance. 

Vous pouvez par exemple trouver une alternance sur : 

  • Le site de l’ONISEP (Office National d’Information Sur les Enseignements et les Professions) ; 
  • L’Étudiant
  • Le CIDJ (Centre d’Information et de Documentation Jeunesse) ; 
  • Auprès des CIO (Centres d’Informations et d’Orientation) ; 
  • A l’occasion des nombreux salons qui sont organisés chaque année sur la formation en alternance. 
  • Sur OpenClassrooms : l’école numérique qui forme aux métiers de demain propose de nombreuses formations en alternance. 

Les meilleures plateformes pour trouver une alternance

 

Quels sont les critères pour bien sélectionner son établissement ?

Avant de choisir l’établissement dans lequel vous allez suivre votre formation en alternance, prenez le temps d’effectuer vos recherches. 

Les règles de création des CFA ont été simplifiées, et certaines formations sont très récentes. Vérifiez par exemple que votre diplôme soit reconnu par une branche professionnelle ou par l’État. Mais aussi – et surtout – qu’il soit homologué ! Intéressez-vous également au taux de réussite et d’emploi des diplômés. Cette information devrait être disponible sur le site de l’établissement, ou vous être communiquée après l’avoir contacté. 

Renseignez-vous aussi sur la réputation de la formation auprès des employeurs ou d’une éventuelle association d’anciens élèves. Enfin, n’oubliez pas de vous pencher sur les indicateurs de poursuite d’études et d’insertion ! 

Vous pouvez par ailleurs tenir également compte des éléments suivants, en fonction de vos appétences et de vos objectifs : 

  • le programme de formation ;
  • la durée et le rythme de l’alternance ;
  • le suivi personnalisé offert aux élèves ; 
  • l’alignement entre la formation délivrée et votre projet professionnel :
  • la possibilité de suivre votre alternance en ligne. En 2020, elle représente plus de 16 % de nouveaux contrats d’apprentissage signés en France. Le digital learning sera en effet la meilleure option pour les alternants qui valorisent leur autonomie et leur liberté !

 

Comment préparer son CV pour trouver une entreprise et décrocher un job en alternance ?

Une fois que vous aurez choisi votre centre de formation, il ne vous reste plus qu’à réfléchir à comment trouver une entreprise en alternance. 

Et pour convaincre votre futur employeur, vous devez préparer un CV qui valorise votre profil et vos compétences. La concurrence est rude pour décrocher son contrat d’alternance, et les recruteurs ont peu de temps à consacrer à la lecture de votre CV. L’idée est donc de leur présenter de manière succincte toutes les informations dont ils ont besoin pour arriver à la conclusion que votre profil est idéal ! 

 

Voici quelques conseils pour vous aider à sortir du lot

Donnez un titre à votre CV

C’est le meilleur moyen d’attirer l’attention du recruteur, et de lui présenter clairement vos intentions. Ce titre sera souvent l’intitulé du poste que vous convoitez, pour que le recruteur sache d’emblée que vous recherchez un contrat d’alternance. 

 

Ajoutez un encadré descriptif

Cet encadré vous permettra de présenter votre situation, et notamment de résumer votre parcours et vos aspirations professionnelles. Vous pouvez par exemple revenir sur vos diplômes, préciser le rythme d’alternance qui vous convient le mieux, ou encore les compétences que vous souhaitez renforcer. 

 

Mettez en avant vos précédentes expériences professionnelles

N’hésitez pas à indiquer les stages que vous avez déjà réalisés, à quel poste et dans quelle organisation. Si possible, ajoutez les projets sur lesquels vous avez travaillé ou vos réalisations les plus notables, pour plus de concret. Vous pouvez aussi valoriser vos autres expériences professionnelles, comme vos jobs étudiants ou vos missions en intérim. 

 

Valorisez vos compétences

C’est la clé pour étoffer votre CV, en particulier si vous n’avez pas beaucoup d’expérience professionnelle. Misez sur vos savoir-faire, mais aussi sur votre savoir-être (vos soft skills, qualités personnelles, etc.) et les situations dans lesquelles vous les avez acquises.  

 

Ajoutez vos références 

Si vous avez eu de bonnes expériences lors de vos précédents stages ou expériences professionnelles quelconques, n’hésitez pas à ajouter les coordonnées de vos anciens maîtres de stage, collègues, etc. Attention cependant, ne le faites évidemment pas sans leur accord ! L’entreprise dans laquelle vous envisagez de faire votre alternance pourra les contacter pour vérifier vos compétences. 

 

Soignez la forme 

La forme de votre CV compte également pour trouver une entreprise en alternance. Soignez la mise en page, afin que la lecture soit la plus agréable et la plus fluide possible pour le recruteur. Cela vous permettra aussi de mettre en valeur les éléments les plus importants, et ainsi de refléter au mieux votre personnalité. 

 

Comment trouver un contrat en alternance

La dernière étape consiste à décrocher votre travail en alternance. Il existe aujourd’hui une multitude de plateformes qui peuvent vous faciliter vos recherches et vous aider à trouver votre futur employeur. 

Vous aurez notamment la possibilité de trouver un contrat en alternance sur des sites nationaux comme 1 jeune 1 solution ou encore Alternance.emploi.gouv.fr. Ce dernier recense plus de 12,000 offres en apprentissage et en professionnalisation, aussi bien dans le privé que le public. L’Apec et Pôle Emploi (via la Bonne Alternance) proposent eux aussi des offres en contrat d’apprentissage et contrat de professionnalisation, à partir de Bac + 2. 

Des plateformes privées comme Walt existent également pour vous aider dans vos recherches d’une formation et d’un travail en alternance. N’hésitez pas également à être actif sur LinkedIn et à contacter directement les entreprises qui vous intéressent sur le réseau social. 

Dernière option : les sites dédiés à l’alternance dans votre région (comme la Bretagne ou le PACA). Mais aussi ceux spécialisés dans votre filière professionnelle (par exemple l’hôtellerie-restauration, ou encore l’artisanat

 

Combien de temps pour trouver un contrat en alternance ?

Le temps moyen de recherche d’un contrat d’alternance est d’environ 3 mois. Cette durée moyenne peut néanmoins énormément varier d’un étudiant à l’autre. 

Retenez cependant que ce dernier devra être signé au plus tard trois mois après le début de votre formation. Essayez donc de commencer vos recherches le plus tôt possible (en mars ou avril pour une rentrée en septembre). Même si les recrutements ne s’arrêtent pas pendant l’été et que parfois, les recruteurs sont plus disponibles à cette période, une bonne partie des postes est déjà pourvue avant le début des vacances de juillet-août ! Prenez donc de l’avance, mais ne baissez pas les bras pour autant si vous ne trouvez pas le contrat idéal tout de suite…

Vous souhaitez bénéficier d’un accompagnement dans la recherche de votre alternance et tout au long de votre formation ? Avec OpenClassrooms, vous pouvez vous lancer dans un programme d’alternance 100% en ligne, profiter d’un coaching dédié, mais aussi trouver votre future entreprise parmi notre réseau de partenaires et obtenir un diplôme de niveau 5, 6, 7 (équivalent bac +2 à bac +5) reconnu par l’État. Pour en savoir plus, rendez vous sur notre page alternance !

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Développement web : se former dès maintenant à un métier d’avenir

Deux métiers phares se cachent derrière nos sites Internet : le développeur WordPress et l’intégrateur web. Pour former au mieux ces profils, particulièrement recherchés par les entreprises, OpenClassrooms propose deux nouvelles formations, accessibles même sans avoir codé avant.

Le métier de développeur attire les talents de tous âges. Avec la diversification des technologies de développement, le marché évolue vers une spécialisation des compétences. Les entreprises ont besoin de développeurs performants dans un langage ou un outil précis. C’est pour répondre à cette demande qu’OpenClassrooms lance deux nouveaux parcours de formation en ligne, conçus pour les développeurs débutants. La voie d’entrée vers votre future carrière ? Décryptage.

Choisir un métier d’avenir

Les caractéristiques, compétences requises et champ d’action propres à chaque métier vont vous permettre d’identifier celui qui correspond le plus à vos envies de carrière.

Le développeur WordPress va se spécialiser dans la création de sites web grâce à un CMS. Il rejoindra plutôt des agences web ou se lancera en freelance ; tandis que l’intégrateur web travaille sur la partie visible d’un site : son interface, et il sera très recherché en ESN ou startup tech. 

Une fois l’orientation choisie : comment apprendre concrètement un métier ?

Se former au mieux selon les attentes du marché

Pour permettre à chaque futur développeur d’acquérir les connaissances les plus précises, techniques et actuelles, OpenClassrooms a conçu ses formations avec des experts métiers et les met à jour très régulièrement. Les parcours Développeur WordPress et Intégrateur Web permettent d’apprendre les bases des langages et outils techniques les plus courants : PHP, HTML, CSS, Git & GitHub, JavaScript, ainsi que le SEO, la gestion de projets web et la maintenance de sites. Les acquis propres à chaque métier sont ensuite approfondis dans les formations dédiées.

Se former au développement WordPress

Cette formation s’adresse à toutes les personnes souhaitant être rapidement autonomes dans le développement de sites web performants et sur-mesure avec WordPress (le CMS le plus utilisé). Les étudiants apprendront, en plus des langages courants, les bases d’Elementor, Gutenberg, ainsi que des notions de jQuery et de Responsive design.

Se former à l’intégration Web

L’intégration web  plaira à des profils techniques qui s’intéressent au front-end et ont envie de maîtriser React : l’un des frameworks JavaScript les plus utilisés. Une fois la formation terminée, les apprenants sont capables de créer des applications & interfaces web complètes et optimisées, et de dynamiser des pages web. Ils découvrent, en plus des langages courants, Redux, SASS, les appels API, Visual Studio Code et Figma. 

Informations pratiques & débouchés 

Ces deux formations permettent, en 9 mois, de décrocher un diplôme de niveau 5 (bac +2), reconnu par l’État, et de se constituer un portfolio technique particulièrement utile pour valoriser son expertise. Le but d’OpenClassrooms : rendre tous les apprenants employables en tant que développeurs junior. Un coaching à l’emploi est même proposé en fin de cursus pour ceux qui le désirent.

Que vous soyez étudiant, demandeur d’emploi ou en reconversion, si le métier de développeur vous attire, n’attendez plus ! Les parcours sont même finançables avec vos crédits CPF, selon statut, et peuvent être effectués en alternance (18 mois). La date de démarrage ? C’est vous qui choisissez !

Alors, pourquoi pas vous ? Osez faire un travail qui vous plaît.

RDV ici et ici pour obtenir toutes les informations et décider de la suite pour votre carrière.

Vous pouvez faire confiance à OpenClassrooms pour vous donner toutes les chances de réussir.

La pédagogie innovante d’OpenClassrooms

OpenClassrooms est un acteur majeur de la formation en ligne en Europe. Plus de 10 000 personnes se sont déjà formées au développement web avec notre école, et des millions d’autres sur tous types de compétences techniques. Depuis 2013, notre mission est votre réussite, et nous avons, pour cela, mis au point une pédagogie spécifique.

L’approche unique d’OpenClassrooms pour monter en compétences rapidement :

  → FLEXIBILITÉ : des cours 100 % en ligne & un rythme adaptable à son emploi du temps

  → CONCRET : un minimum de théorie et un maximum de pratique avec la réalisation de projets issus de scénarios professionnels

  → MOTIVATION : le soutien hebdomadaire d’un mentor, lui-même développeur, et l’accès à une communauté d’entraide virtuelle avec d’autres étudiants

Prêt à vous lancer dans le développement web ?

 

INSCRIPTIONS DÉVELOPPEUR WORDPRESS


INSCRIPTION INTÉGRATEUR WEB

Intégrateur web développeur wordpress
Tableau comparatif

Devenez développeur en 5 étapes

 

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Devenez Développeur en 5 étapes

Le métier de développeur figure en tête des plus recherchés par les recruteurs, selon une analyse de l’Apec. Cette première place a d’ailleurs été renforcée par la crise sanitaire, qui a accéléré la transformation numérique de l’économie. De plus en plus, les entreprises comptent en effet sur l’expertise technique de profils spécialisés dans le code. Le défi désormais pour ces profils : acquérir les bonnes compétences. OpenClassrooms, acteur majeur de la formation en ligne, partage ses meilleurs conseils pour aider les futurs développeurs à se lancer. Alors, comment percer dans le développement informatique ?

 

Si les envies de reconversion se multiplient, le développement web attire de plus en plus. Passionnés de nouvelles technologies, candidats à l‘aventure freelance : les talents sont nombreux. Et ça tombe bien : ce métier ne connaît pas la crise. Les entreprises ont besoin de développeurs, mais pas n’importe lesquels ! Une véritable tendance se dessine sur le marché du travail et certaines compétences Tech très précises deviennent bien plus prisées que d’autres. En s’appuyant sur de solides données marché ainsi que les retours d’expérience de développeurs experts, OpenClassrooms a identifié les plus recherchées actuellement. 

Et si vous pouviez acquérir ces compétences, même sans avoir codé avant, à votre rythme, et sans retourner sur les bancs de l’école, avec un diplôme à la clé ?

Découvrez, en cinq étapes-clés, la marche à suivre pour apprendre les codes de votre future carrière.

1. Identifier le métier de développeur correspondant à son profil 

Que vous soyez étudiant, en recherche d’emploi ou déjà en poste, vous êtes en plein questionnement autour de votre carrière. Vous ne savez pas coder, ou avez quelques connaissances en développement. Mais ce secteur vous plaît et vous sentez que vous pourriez vous épanouir dans un métier technique.

Alors vous êtes au bon endroit. Pour aider un maximum de personnes à obtenir un emploi d’avenir dans la création de sites web, OpenClassrooms propose de nouvelles formations accessibles quel que soit l’âge ou le parcours. Ces formations ont été lancées pour répondre à une véritable demande, comme l’explique Nicolas Patschkowski, Learning designer en charge de ce projet : « Le marché recherche des développeurs spécialisés, car les technologies de développement, langages et outils, sont de plus en plus diversifiés. Les entreprises ont besoin de développeurs performants, spécialisés dans un langage. » 

Quel métier sera le plus adapté à vos envies de carrière ?

Le Développeur WordPress est autonome, créatif, technique et aime la diversité de projets. Il est capable de créer facilement des sites sur-mesure de A à Z sur WordPress, le CMS sur lequel sont hébergés 42,9 % des sites web aujourd’hui. Mais il dispose également de solides compétences techniques pour rendre un site performant et le personnaliser au mieux selon les besoins des clients (blogs, sites e-commerce ou vitrines).

L’intégrateur web travaille également sur des projets variés, avec une forte expertise dans le code. C’est la partie la plus visible des sites web dont il est en charge : l’interface. Il maîtrise React : l’un des frameworks JavaScript les plus utilisés. Sa mission : intégrer les éléments visuels demandés par un client dans les pages d’un site web pour créer une interface harmonieuse, dynamique et facilement navigable.  

Vous y voyez plus clair désormais ! Mais alors comment passer du choix théorique d’un métier à son apprentissage concret ? Là est toute la force de la formation. Mais attention : pas n’importe laquelle. 

2. Choisir la bonne école pour se former 

De nombreuses formations existent dans le digital. Elles promettent toutes de vous apprendre vite et bien le métier de vos rêves. Comment s’y retrouver ? Il convient d’être très vigilant quant au sérieux de l’organisme choisi. Pourquoi OpenClassrooms serait l’école la plus adaptée à votre évolution de carrière ?

Historique. Parmi toutes les écoles existantes, OpenClassrooms occupe une place de choix dans la formation aux métiers du numérique depuis 2013 (et même dès 1999 avec le Site du Zéro !). Les chiffres sont évocateurs : nous avons déjà permis à des millions de personnes d’apprendre tous types de compétences techniques, dont 10 000 ayant suivi notre parcours “Développeur web”. Nos cours en ligne sont même utilisés dans plusieurs écoles d’informatique et d’ingénieurs, et plébiscités par de nombreux développeurs désireux de mettre à jour leurs acquis. 

Contenu. Comment être sûr de bénéficier d’un enseignement de qualité ? La correspondance entre le contenu des formations OpenClassrooms et les compétences recherchées par les entreprises, est primordiale. Nous analysons en permanence l’évolution des métiers et mettons ainsi à jour un quart de l’ensemble de notre catalogue chaque année. 

Reconnaissance. C’est grâce à cette expertise que la plupart de nos formations permettent désormais d’obtenir des diplômes de niveau reconnu par l’État : un gage de confiance supplémentaire. Et pour poursuivre notre mission de rendre l’éducation accessible à tous, nos formations sont éligibles à plusieurs types de financement, selon le statut de chacun. 

Notre promesse : vous transmettre les connaissances les plus précises et actuelles possibles.

3. Se spécialiser dans un des métiers du développement informatique 

En tant que futur développeur, votre expertise fera toute la différence. Pour garantir un haut niveau technique dans ses deux nouvelles formations, OpenClassrooms a fait le choix de produire l’intégralité de ses contenus en interne, en s’entourant de profils dûment sélectionnés.

« Pour élaborer ces deux parcours, nous nous sommes appuyés sur des outils très puissants, permettant d’analyser de nombreuses données marché relatives à la recherche d’emploi, en vue de développer des référentiels de compétences. Nos ingénieurs pédagogiques travaillent également en continu avec des experts métiers, interrogés sur leur quotidien, pour identifier les méthodes, outils & acquis indispensables à leur métier. » Nicolas Patschkowski, Learning designer.

Ainsi, en 9 mois, les compétences que vous maîtriserez en tant que Développeur WordPress et Intégrateur Web sont :

Développeur WordPress :

  • Créer des sites personnalisés de manière efficace dans le cadre de développement d’activité ou de lancement de nouvelles offres de l’entreprise ou d’un client
  • Personnaliser des thèmes et des plugins WordPress afin de développer des sites aux fonctionnalités avancées et à l’interface sur-mesure.
  • Maîtriser les technologies et les langages techniques les plus demandés : WordPress, PHP, HTML, CSS, Git & Github, JavaScript, Elementor, Gutenberg, ainsi que des notions de jQuery et de Responsive design.

Intégrateur web :

  • Créer une application web complète et responsive pour permettre à l’entreprise ou au client de vendre ses produits et services en ligne, sur tous types d’appareils.
  • Dynamiser des pages web pour mieux mettre en valeur les produits / services d’une entreprise. 
  • Créer des interfaces communiquant avec le back-end du site pour créer des applications dynamiques et permettre aux clients de s’identifier sur le site.
  • Maîtriser les technologies et les langages techniques les plus demandés : HTML, CSS, SASS, JavaScript, React & Redux, les appels API, et quelques notions de Visual Studio Code, le responsive design, Figma, Git & GitHub.

Chacun de ces deux parcours permet également de maîtriser la gestion de projet web, les outils de veille technologique, et les bases du SEO.

Mais rentrons dans le vif du sujet : comment notre école va-t-elle vous former, vous, à votre futur métier ?

4. Apprendre son futur métier de manière (vraiment) efficace 

Se former demande un véritable engagement. Pourtant, même si l’envie de faire évoluer sa carrière est là, la motivation peut manquer pour mener à bien ce projet de vie. Chez OpenClassrooms, nous avons étudié tous les mécanismes de l’apprentissage et élaboré une pédagogie innovante avec un seul objectif : faciliter et optimiser la formation, pour tous. Tout a été pensé pour que vous alliez au bout de nos parcours, et viviez une belle expérience personnelle et professionnelle. Se former ne ressemble alors en rien à ce que vous avez expérimenté à l’école auparavant. Les spécificités de nos formations sont :

  • Praticité. Tous les cours se déroulent en ligne pour garantir un maximum de flexibilité physique et temporelle. Vous apprenez à tout moment, de n’importe où, et adaptez donc votre formation à votre emploi du temps.
  • Alternance. Tous les parcours peuvent être effectués en alternance avec un format hybride (en ligne / en présentiel), et l’aide d’OpenClassrooms et de son réseau pour trouver son entreprise (contrat de professionnalisation ou d’apprentissage).
  • Mode projets : Savoir c’est bien, savoir-faire c’est mieux ! Comme l’explique Nicolas Patschkowski, Learning designer : « Tout ce qui est enseigné aux étudiants est fait dans le but d’acquérir les compétences-clés du métier : pas de théorie superflue, ni d’initiation. Notre pédagogie est active et repose sur la réalisation de projets issus de scénarios professionnels. Chaque apprenant vit une expérience immersive dans son futur métier ! ». Apprendre par la pratique renforce la vitesse de mémorisation et les capacités professionnelles.`« Tout ce qui est enseigné aux étudiants est fait dans le but d’acquérir les compétences-clés du métier : pas de théorie superflue, ni d’initiation. Notre pédagogie est active et repose sur la réalisation de projets issus de scénarios professionnels. Chaque apprenant vit une expérience immersive dans son futur métier ! » Nicolas Patschkowski, Learning designer. 
  • Soft skills. Interactions professionnelles, présentation synthétique d’une solution à un client : ces compétences sont indispensables pour être un bon développeur. Plusieurs jeux de rôle sont organisés au fil du parcours, pour vous permettre d’incarner au mieux votre future posture de développeur. 
  • Suivi individuel. Tous les étudiants sont accompagnés par un mentor, expert du métier choisi, tout au long de leur formation. Des sessions individuelles d’échanges sont organisées chaque semaine en parallèle des cours en ligne : de quoi rester motivé,, dépasser les blocages, ancrer les nouvelles connaissances et permettre une véritable passation d’expérience.
  • Soutien. Les professeurs et conseillers pédagogiques OpenClassrooms sont dédiés à votre réussite et disponibles si besoin, tout comme la communauté d’étudiants sur Facebook Workplace.
  • Ressources. Des cours optionnels vous sont accessibles pour aller plus loin.

Alors, oui, certains diront que se former en ligne demande beaucoup d’autonomie. Mais Nicolas Patschkowski, Learning designer, précise : « C’est un challenge utile pour tous les futurs développeurs, car ce métier nécessite d’être autonome avec les outils digitaux, d’être capable de se former sur internet, trouver ses réponses par soi-même, demander à d’autres professionnels. »

5. Être épanoui dans le développement informatique

S’il y a bien un  métier qui ne connaît pas la crise : c’est celui de développeur ! Mais quel environnement de travail vous attire le plus ? Les développeurs WordPress sont très recherchés en agences web et sont nombreux aussi à se lancer en freelance. Les intégrateurs web se retrouvent beaucoup dans les start-ups et entreprises Tech, mais aussi en ESN.

De débutant à développeur, il n’y a qu’un pas. Alors, une fois votre formation diplômante dans le développement web terminée : que se passe-t-il ? OpenClassrooms met tout en œuvre pour favoriser votre employabilité. « Nos formations sont professionnalisantes. Elles ont pour but de rendre tous les apprenants employables en tant que développeurs junior ! », explique Nicolas Patschkowski.

« Nos formations sont professionnalisantes. Elles ont pour but de rendre tous les apprenants employables en tant que développeurs junior ! »
Nicolas Patschkowski, Learning designer.

Tout au long du parcours, vous avez réalisé une succession de projets concrets, avec l’aide de votre mentor, et les avez présentés à des experts métiers dans le cadre de sessions d’évaluation. Ces projets sont désormais rassemblés au sein d’un portfolio : véritable vitrine de vos capacités techniques ! Après avoir validé toutes les étapes requises, vous obtenez votre diplôme : une certification RNCP de niveau 5 (équivalent bac +2) reconnue par l’État. Vous avez désormais toutes les cartes en main pour commencer votre nouvelle vie professionnelle et être épanoui dans un travail qui vous plaît.

OpenClassrooms propose, à la fin de la formation, un parcours de coaching à l’emploi pour tous les étudiants qui le désirent. Des coachs spécialisés en insertion professionnelle peuvent alors les aider à préparer leurs CV, leurs lettres de motivation et leurs entretiens, en vue d’optimiser leur recherche d’emploi. De quoi mettre toutes les chances de votre côté !

Alors, pourquoi pas vous ?

Faites un bond dans votre carrière grâce au développement informatique et avec OpenClassrooms !

Postulez pour vous former à votre futur métier :

Découvrez également ici tous nos parcours de formations diplômants dans le développement informatique.

 

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Développement web : se former dès maintenant à un métier d’avenir

 

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Et si c’était le moment parfait pour créer une entreprise ? 

Par : Nora Leon

Créer une entreprise en 2021, en pleine crise du Coronavirus, une folie ? Pas forcément. Si certains pans de l’économie sont en berne, d’autres sont en plein essor et le freelancing n’a jamais été aussi florissant qu’aujourd’hui.

Évidemment, l’idée n’est pas d’aller au casse-pipe en devenant créateur d’entreprise. En regardant de plus près les chiffres pour repérer les opportunités business, nous espérons vous conforter dans l’initiative de créer votre entreprise. 

[ À découvrir : notre formation en ligne Créateur d’entreprise ]. 

Plus de faillites, moins de création d’entreprises ? 

La création d’entreprise a-t-elle baissé ou augmenté en 2020 ? Les deux, mon Capitaine. En écrivant cet article, je suis tombée de ma chaise… Je pensais le contexte catastrophique, alors qu’il est globalement favorable.

Appuyons-nous sur quelques chiffres : 

  • Grâce aux aides de l’État, les faillites ont diminué de 40% par rapport à 2019 (Source : Le Figaro). 
  • 850 000 entreprises ont été créées en France en 2020, soit 35 000 de plus qu’en 2019, soit une augmentation de 4,29%  (Source: Les Echos). 
  • Septembre 2020 a connu un boom de création d’entreprise : 27,4% supplémentaires par rapport à septembre 2019 (Source : BPI France).
  • +34% d’entreprises à visée commerciale par rapport à 2019 (Source : BPI France).
  • +27% d’entreprises de services par rapport à 2019 (Source : BPI France).

Au vu de ces chiffres, il apparaît que créer son entreprise en 2021 est possible, tant qu’on choisit un secteur porteur.

Secteurs gelés ; secteurs en croissance

Alors, dans quels secteurs semble-t-il judicieux de créer une entreprise en 2021 ? 

Voici ceux qui ont eu la plus grande croissance en septembre 2020, selon BPI France.

  • Services de poste 
  • Conseil en affaires ou en gestion
  • Services à la personne 
  • Restauration rapide 
  • Enseignement 
  • Agences immobilières
  • Nettoyage des bâtiments 
  • Vente à distance 
  • Activités récréatives et de loisirs 
  • Programmation informatique 
  • Activités liées à la santé 
  • Activités de design
  • Installations électriques 
  • Vente automobile 
  • Maçonnerie et gros œuvre en bâtiment 
  • Professionnels de la rééducation
  • Beauté et soins… 

Et ceux qui ont été les plus porteurs au global en 2020 : 

  • Les services : à la personne, transport, immobilier, santé, assurances, enseignement, restauration. 
  • Les commerces : de bouche, de détail, en ligne, automobile, hébergement. 

Où se lancer en France ? 

Si l’île-de-France a concentré plus de 30% des projets de création d’entreprise en 2020, les autres régions ne sont pas en reste.

Cette crise, où de nombreux résidents des grandes métropoles en ont profité pour se délocaliser en province, a aussi été l’occasion de revitaliser certaines régions. Voici le Top 5 des régions où des entreprises ont été créées en Zones de Revitalisation Rurales : 

  1. la Corse (47,2%)
  2. la Bourgogne-France Comté (24,7%)
  3. la Nouvelle-Aquitaine (23,8%)
  4. l’Occitanie (20,3%)
  5. le Centre Val-de-Loire (19%)

Preuve qu’où que vous décidiez de lancer votre entreprise, elle viendra dynamiser la région.

Être accompagné(e) : une bonne idée ?

Une fois le secteur, l’idée et la région cadrés, le projet entrepreneurial prend forme. À ce stade, de nombreux entrepreneurs décident d’entrer dans des incubateurs pour être accompagnés. La formation est une bonne option également.

Chez OpenClassrooms, nous proposons une formation de création d’entreprise, qui dure 4 mois. Nous sommes une école en ligne : elle se fait donc 100% à distance.

Chaque apprenant est accompagné de manière individuelle par un mentor qui a lui aussi créé son activité. L’occasion d’avancer rapidement grâce aux conseils sur mesure d’entrepreneurs expérimentés. 

Ses heures sur le parcours sont flexibles, afin que concilier la création d’entreprise et la formation en ligne soit naturel.

En savoir +

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[Podcast Joboscope] Épisode #1 : Commercial 

Par : Nora Leon

« J’avais un directeur commercial qui disait toujours que dans ce métier, il faut être l’inverse d’un crocodile, c’est-à-dire avoir une très petite gueule et de très grandes oreilles ». Edouard Ramspacher

Un bon vendeur serait donc quasi-muet ? Cela ne correspond pas forcément à l’image qu’on se fait du commercial insistant, mais en fait, ce sont la capacité d’écoute et d’adaptation qui font l’étoffe d’un excellent commercial… Et si vous en appreniez plus sur ce métier aux nombreuses facettes ?

* *

On passe ⅓ de notre vie au travail. Autant faire un job qu’on aime ! OpenClassrooms veut vous aider à trouver un métier qui vous donne envie de vous lever le matin. En écoutant le podcast le Joboscope, vous vous ferez une idée du quotidien d’un commercial : 

  • Quelles sont ses missions au sein de structures de toutes tailles et tous secteurs 
  • Quels sont les avantages et inconvénients du métier, sans tabou 
  • Comment on y arrive et quelle évolution est possible 
  • Qu’est-ce qu’on gagne dans le métier, toujours sans tabou. 

* * *

Dans l’édition Commercial – Chargé(e) d’affaires, trois professionnels discutent de leur métier avec Marion Armengod, journaliste et modératrice. À la date d’enregistrement, Camille Lebœuf est Business Developer chez JobTeaser, une start-up du milieu RH, Edouard Ramspacher travaille chez High Flyers Agency, un cabinet de recrutement, et Jules Guiton fait partie du groupe Orange. Si leurs postes auront peut-être évolué lors de votre écoute, leurs témoignages n’en restent pas moins actuels !

En écoutant l’épisode, vous apprendrez que vendre n’exige pas d’insister. Pour Jules, « Quand le besoin existe et qu’on vend un produit dont l’intérêt est réel, il n’y a pas besoin de forcer la vente !« . Pour lui, « Être commercial(e), c’est l’école de la vie professionnelle« . Envie de savoir pourquoi ? 

En écoutant l’épisode, vous démêlerez aussi le quotidien des différentes spécialités de la vente : Inside Sales, Key Account Manager, Business Developer… 

« Plus on arrive sur de l’account management, et moins on va avoir le droit de chasser à tout prix pour augmenter le chiffre d’affaires ». Jules Guitton

* * *

Vous entrerez dans les coulisses d’une journée en tant que commercial. Vous saurez dans le détail le temps que l’on passe rendez-vous client, à prospecter, à établir des propositions, à faire du suivi avec les clients du portefeuille. Et ce, dans différentes entreprises, qui évoluent dans des secteurs très divers.

Vous entendrez les confidences des trois professionnels sur leur métier et leur manière de l’exercer. C’est sans tabous, promis !

« J’ai appris beaucoup sur comment pensent les gens, comment ils fonctionnent ».
Edouard

« Tu peux faire les choses parfaitement et avoir de très mauvais résultats ». Jules

« Je n’étais pas du tout formée à ce métier au départ. J’ai tout appris sur le terrain ».
Camille

« Parfois on peut avoir des clients qui dépassent des limites. Qui nous appellent par exemple à 20h30 trois ou quatre fois à la limite de l’insulte parce qu’ils considèrent qu’on est à leur service. C’est délicat ».  Jules 

« Ce que j’adore dans mon métier c’est le niveau d’autonomie et de liberté qu’on a ». Edouard

J’écoute le podcast !

Le Joboscope Commercial sur Ausha
Le Joboscope Commercial sur Apple Podcasts

Le Joboscope Commercial sur Spotify
Le Joboscope Commercial sur Deezer 
Le podcast est également disponible sur les autres plateformes d’écoute.

Envie d’apprendre ce métier chez OpenClassrooms ?

OpenClassrooms est une école en ligne qui propose des formations en ligne certifiantes ou diplômantes pour apprendre les métiers du numérique. La formation « Attaché Commercial », d’une durée de 6 mois (1 an en alternance) débouche sur un niveau bac +2 au RNCP (Répertoire National des Certifications Professionnelles). 

À lire ensuite

10 bonnes raisons de devenir commercial

Commercial, un métier polyvalent

 

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Vendre à distance : les clés pour réussir 

Par : Nora Leon

Mon a priori sur mon métier était qu’il fallait créer une relation en physique avec le client… Pendant le confinement, j’ai remarqué qu’on pouvait axer ce lien sur des points qui n’auraient pas été approfondis en physique, pour vendre à distance.

Vincent Hammoudi, Account executive chez OpenClassrooms

Si personne ne s’attendait au confinement, une chose est sûre : il aura profondément modifié le monde du travail. Selon une étude de Malakoff Humanis, 84% des professionnels souhaiteraient continuer le télétravail après la crise du Coronavirus. Parmi leurs arguments, la souplesse et la flexibilité (80%), l’autonomie accrue (44%) et la conciliation vie pro-vie perso (42%) qu’apporte cette modalité.

Si la tendance est unanime — le télétravail gagne du terrain —, est-il adapté à tous les métiers et contextes ? 

En tant que commercial, il est communément admis que la présence physique peut faire basculer une vente. On construit une relation, et les différents canaux à distance (mail, téléphone, messages…) sont couronnés par les sacro-saints rendez-vous physiques. Dans un métier où le langage corporel, l’intonation de la voix, l’adaptation de argumentaire aux réactions de l’interlocuteur font beaucoup, se voir semble clé. Pourtant, du 17 mars au 11 mai 2020, tous les business developers de France ne se sont pas arrêtés de travailler. Pour ceux encore en activité, la vente à distance contrainte et forcée a souvent eu des résultats probants ! 

Vincent est Senior Strategic Account Executive au sein de l’école en ligne OpenClassrooms. Il a été agréablement surpris par sa capacité à vendre 100% à distance. Dans cet article, vous découvrirez au travers son l’expérience :

  • quelle organisation, matériel et outils privilégier à distance
  • comment créer le lien de confiance et relancer
  • les éléments très positifs qu’amène cette façon de vendre. 

Vente à distance = matériel et organisation au top 

Il va sans dire qu’à distance, un ordinateur qui rame ou une caméra qui saute envoient des signaux négatifs à un client potentiel. Avant toute chose, Vincent conseille de faire des tests techniques entre collègues. Pour garantir le succès du cycle de vente, il faut idéalement : 

  • une bonne connexion Internet
  • un ordinateur avec de la mémoire vive, un micro et une caméra fonctionnel
  • les accès à tous les outils utilisés pendant le cycle, prêts à l’emploi
  • le téléphone professionnel chargé et prêt à l’emploi, s’il fait partie de vos outils.

Quoi qu’il arrive, soignez le cadre. Assurez-vous que l’image soit nette, que la connexion Internet soit bonne et que votre fond soit professionnel. Dans le cas contraire, cela aura un mauvais impact sur le rendez-vous.

Quelques outils qui peuvent s’avérer utiles : 

  • La suite Google, notamment Google Doc et Google Slides
  • Google Hangouts, Zoom ou Skype pour les rendez-vous vidéo
  • Concord, Universign, YouSign, Docusign… pour signer un devis ou un contrat en ligne.

De même, il faut encore plus s’organiser qu’en présentiel.

  • Structurer les réunions, avec un objet, l’envoi de l’agenda point par point, le temps de réunion toujours respecté. Laisser la parole au client et prendre des notes, prendre la peine de reformuler les points saillants pour créer le dialogue.
  • Organiser le cycle de vente pour créer une relation client. Se mettre un agenda précis de quand rappeler, quoi envoyer, et s’y tenir, est important.

Comment établir le lien de confiance en rendez-vous en ligne ? 

Une fois les questions technique et organisationnelle réglées, une vente reste un processus relationnel, où l’un des enjeux est d’établir une relation de confiance avec le futur client. Oui, il a besoin de ce que vous proposez. Oui, vous vous adaptez à sa demande. Oui, vous êtes disponible, à l’écoute, réactif

Au niveau du cycle de vente, l’étape de la prospection est inchangée. Selon Vincent, « l’immense majorité du démarchage se fait dans tous les cas par email ou téléphone »

Pour l’étape de présentation du produit ou service ainsi que les relances et le closing, certaines bonnes pratiques sont à mettre en place : 

 

  • Surjouez un peu vos émotions pour qu’elles soient entendues même sur caméra.  « Je ne suis pas quelqu’un qui sourit beaucoup, mais j’essaie de sourire plus en visioconférence qu’en vrai. Cela permet de tirer parti du langage du visage », explique Vincent

 

  • Écoutez et relancez. Sur ordinateur, garder l’attention de son interlocuteur est un défi. Lui offrir une qualité d’écoute irréprochable et mobiliser son attention en le faisant parler est donc clé. Selon Vincent, « l’un des défauts des commerciaux est de faire de grands monologues. Au contraire, à distance, je marque mes temps de pause pour montrer ce que mon corps dit et laisser s’exprimer le prospect. Je rebondis sur son besoin plutôt que de dérouler un discours préparé. Je suis encore plus dans l’échange« . 

 

  • Observez et adaptez-vous. « Il faut redoubler de vigilance pour voir si l’on perd son interlocuteur. Il faut repérer si son regard se perd, par exemple, pour moduler son discours ou relancer. Il y a une pression sociale à mettre sa caméra si l’autre la met, donc toujours commencer par mettre la sienne montre l’exemple. Si la personne ne la met vraiment pas, ce n’est pas grave, elle verra tout de même nos expressions« , assure Vincent. 

 

  • Trouvez-vous des points communs. Que ce soit pour briser la glace ou pour créer une relation de confiance, connaître les caractéristiques de son prospect est important. Internet et LinkedIn sont des outils, tout comme Whatsapp. « Avant un rendez-vous, je regarde si mon interlocuteur a une photo sur Internet, ou même une vidéo. Cela m’aide de voir ses expressions, de comprendre son rythme de parole (pour savoir où je pourrai le couper), de voir comment la personne réagit si elle est contredite, etc. Outre cela, se renseigner sur sa personnalité et ses centres d’intérêts est précieux. On peut enregistrer le numéro d’un prospect et consulter sa photo Whatsapp. On a parfois des surprises ! Une photo professionnelle ou au contraire une en train de faire du parapente apportent des infos. Si on arrive habilement à amener le sujet des parapentes, il y a des chances que ce prospect se souvienne de moi comme quelqu’un avec qui il a parlé de sa passion…« . 

 

  • Redoublez de réactivité. Par rapport à un rendez-vous physique, il faut donner d’autant plus d’éléments à quoi se raccrocher. « Le client n’a pas eu de carte de visite ni de documentation en main propre… Il faut donc lui envoyer des éléments matériels concrets dans la journée. Si j’ai tous les éléments, j’envoie même directement le devis !« . Selon Vincent, si on est le plus serviable, on peut même déclencher le biais de réciprocité, qui pousse une personne avec laquelle on a été généreux à nous répondre et à nous être favorable. À bon entendeur…

Il y a une sorte d’impatience en ligne, qui fait que le commercial le plus réactif deviendra celui dont le futur client se souvient

Comment bien relancer à distance ? 

Le rendez-vous s’est bien passé… Mais tout reste souvent à faire ! Vendre est, d’autant plus à distance, un processus continu

Le closing n’existe pas forcément à un moment T. Je pense vraiment qu’il faut apporter de l’expertise et du conseil tout du long. Et donc ça, ça peut se faire en ligne ou pas. Le sujet du relationnel peut être un obstacle, mais seulement si on n’arrive pas à rester dans la tête du client.

Tout cela suppose : 

  • d’être réactif par email, mais ça, c’est le B.A-ba.
  • de décrocher son téléphone. « Cette présence doit être accrue, mais pas intrusive », précise Vincent.
  • de mettre les SMS ou Whatsapp à profit : moins intrusif que le téléphone, mais pratique pour les petites piqûres de rappel.
  • de proposer un rendez-vous informel : « on peut proposer de déjeuner en dehors du cadre de travail, en respectant les gestes barrière« .
  • de se projeter dans le relationnel, en proposant de fêter cela quand ce sera possible en physique.

J’ai récemment signé un contrat. Assez naturellement, ma cliente m’a dit qu’on fêterait ça ensemble à l’occasion. Mine de rien, c’est aussi le fait de l’avoir eue 3 ou 4 fois par semaine au téléphone ou via texto avant qui a rendu cette relation informelle naturelle.

Vendre à distance, quels avantages ? 

Outre les freins qu’il a pu contourner, Vincent a trouvé pas mal d’aspects positifs au fait de vendre à distance :

  • le fait de multiplier les points avec son interlocuteur nous permet de creuser son besoin encore plus que ce qu’on ferait physiquement. 
  • le lieu de rendez-vous est neutre, on n’est pas chez le client où il aurait l’avantage.
  • on peut plus rapidement définir si on perd son temps (si le client ne pose aucune question, est distrait, ne relance pas…) et plus vite passer à autre chose puisqu’on n’a pas pris du temps à le voir en physique. C’est plus efficace.

Conclusion : une méthode applicable à tous les secteurs et produits ? 

Vincent ne l’aurait jamais cru avant le confinement… Mais il a visité une maison par vidéo interposée, et certains de ses amis ont réussi à vendre des Tesla à distance. Même dans le cadre d’un produit de luxe, onéreux et très personnalisé, la vente à distance semble donc possible

Si les ventes en cycles court, avec un choix de produit restreint ou la vente de logiciels restent les plus propices à la vente à distance, il est donc néanmoins possible d’avoir des résultats aussi avec d’autres produits. Ces découvertes ouvrent des voies nouvelles à la fonction commerciale, dans un contexte où le télétravail semble devenir non plus l’exception… mais la norme.

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Projetez-vous de manière positive pour réussir

Par : Nora Leon

Vous avez probablement déjà entendu parler de sportifs qui réalisent des prouesses dont personne ne les croit capables, et notamment d’Axel Alletru, ex-champion au niveau olympique de moto-cross, qui a réussi à remarcher après un accident qui devait le laisser paralysé, selon les dires de tous les spécialistes.

Dans le sport, il paraîtrait que les exploits résideraient à 90% dans le mental et à 10% dans le physique.

Mais alors, comment font ces sportifs pour augmenter leurs chances de réussite via leur mental ? Existe-t-il une méthode pour multiplier ses chances de succès ?

Oui. Cela s’appelle la projection positive ou encore la préparation mentale. Et pour bien commencer 2018 et vous aider à atteindre vos objectifs pour cette année qu’on vous souhaite fabuleuse, nous avons voulu vous partager cette méthode souvent utilisée par les plus grands champions et certains professionnels qui ont du succès.

D’accord, mais en quoi cela consiste-t-il ?

La projection mentale positive (utilisée notamment par Zinedine Zidane) est le fait de se projeter dans un futur positif, toujours en situation de réussite.

Le principe est simple : au niveau neurologique, notre cerveau a le pouvoir de conditionner notre corps. Pour s’en convaincre, pensons par exemple à la douleur que peut supporter une femme lors d’un accouchement : son organisme libère certaines hormones telles que l’endorphine, un opiacé qui permet de maintenir la douleur à un niveau supportable. Axel précise :

Il faut que les objectifs soient réalisables. Lors de ma rééducation, j’ai d’abord eu une infime récupération musculaire dans les quadriceps. Je m’y suis raccroché et c’est dans un deuxième temps, que la visualisation m’a permis de récupérer encore davantage.

On peut aussi penser à l’effet anti-stress des endorphines, qui fait des grands sportifs des gens moins stressés que la moyenne.

Eh bien, aussi fou que cela puisse paraître, notre cerveau peut de la même façon conditionner notre corps pour réaliser des objectifs que l’on s’est fixés, si on les visualise assez précisément et assez régulièrement.

Alors, comment se projeter positivement ?

La première étape consiste à vous fixer un objectif clair, réalisable, avec une date butoir. Par exemple : “Je souhaite réussir à courir un semi-marathon dans 6 mois”. Pour Axel, l’important a été de fonctionner par paliers.

Lors de ma première séance de rééducation, j’ai compris que mon objectif de remarcher était trop énorme, que cela demanderait beaucoup de temps. Pour ne pas perdre ma motivation, j’ai donc découpé ce challenge en plusieurs petits objectifs, ainsi chaque palier atteint représentait une petite victoire qui m’encourageait à progresser encore.

L’étape suivante vous fait entrer dans le vif du sujet : prenez l’habitude d’imaginer votre objectif (ou le palier vers votre plus grand objectif) atteint. Et quand je vous dis “imaginer”, cela signifie visualiser de façon précise, concrète, détaillée. Comme si vous y étiez ! C’est en effet en vous forçant à le voir que votre cerveau vous donnera les moyens de le réaliser.

En pratique, cela donne quoi ? Vous imaginez avec le plus de détails possibles votre environnement. N’hésitez pas à imaginer le circuit du semi-marathon, les coureurs autour de vous, votre tenue, vos proches derrière les barrières en train de vous encourager, la cadence de votre souffle, l’intensité de l’effort…

Vous pouvez le faire de deux manières :

  • Soit vous le faites en perspective interne : vous imaginez que vous contemplez la scène à travers de vos yeux, comme si vous y étiez.
  • Soit vous le faites en perspective externe : vous voyez la scène, mais vous vous regardez aussi en train de courir, etc.

Il n’y a pas de règle, prenez la perspective qui vous vient en tête le plus spontanément, c’est sûrement celle qui vous paraîtra la plus confortable et réelle.

Les meilleurs arrivent à se transposer 20 minutes dans une situation projetée. Certains sportifs assurent même qu’ils transpirent et ressentent des crampes ou des courbatures après leur séance d’entraînement mental, alors même qu’ils sont tranquillement assis sur leur canapé ! C’est donc que le corps arrive à se déconnecter du réel pour aller vers la situation imaginée.

Pour Axel, la visualisation était quelque chose de familier puisqu’on lui en avait enseigné les bienfaits pour la préparation de grandes compétitions :

J’ai mis à profit pendant ma rééducation ce que j’avais appris dans le monde du sport. Je faisais plusieurs séances de 10 minutes environ chaque jour. Cela devait être des temps calme, de relaxation voire de somnolence au cours desquels j’ancrais dans mon subconscient les images de moi debout ou en train de courir. Je sentais mon cerveau être de plus en plus réceptif au point de ressentir l’émotion provoquée par la marche ou la course dans mon corps.

En effet, c’est un exercice qui demande de la concentration : pratiquez cela chez vous, au calme, sur un lit ou un canapé confortable. Et s’il ne se passe rien la première fois, c’est normal ! Plus vous pratiquerez, plus vous aurez de résultats. Vous devrez donc faire preuve de patience et de persévérance.  

Mais en tout cas, à en croire les sportifs et d’autres champions, si vous pratiquez cela  quelques minutes tous les jours, vous parviendrez à changer votre mode de pensée et à conditionner votre organisme pour qu’il vous donne les moyens de réussir ce qui vous semble a priori irréalisable.

Et rendre atteignable l’impossible, c’est ce qu’on vous souhaite pour votre carrière et vos projets personnels.

Pour aller plus loin 

Les 5 secrets pour rester motivé pendant ses études

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Études ou recherche d’emploi : 5 astuces pour rester motivé

“ Il n’y a qu’une façon d’échouer : abandonner avant d’avoir réussi ”.  Georges Clémenceau.

Vous avez bien l’intention de réussir vos études ou à trouver un emploi si vous êtes déjà diplômé. Pour vous aider à garder le cap, nous avons mis en place, entre autres :

  • Des sessions de mentorat ou de coaching pour les diplômés, où vous pouvez poser toutes vos questions

En plus de cela, nous voulions vous partager cinq conseils pour vous motiver au quotidien, et être dans les meilleures dispositions pour réussir. Suivez le guide !

1 – Fixez-vous des objectifs

Ne perdez pas de vue votre objectif final, c’est le plus important !

La clé, c’est pourquoi vous travaillez.

Vous voulez acquérir de nouvelles compétences ? Vous voulez vous reconvertir ? Vous êtes passionné par votre futur métier ?

Vous avez fini vos études et cherchez l’emploi qui vous rendra épanoui ?

Votre formation vous permettra d’être épanoui au quotidien dans votre emploi. Et suite à une recherche d’emploi organisée, vous trouverez  votre futur patron.

Si vous visualisez votre objectif, vous allez donner à votre cerveau l’impression que vous avez déjà réussi. Si vous regardez mentalement votre réussite comme si vous étiez au cinéma, votre cerveau va se conditionner pour mettre en place toutes les conditions de votre réussite : il créera les ressources (le courage, la patience, la motivation) pour vous aider.

Découpez la formation ou la recherche d’emploi en quelques grands objectifs

Vous fixer des objectifs à long terme est important. Mais ayez aussi des objectifs intermédiaires, plus facilement accessibles. Quelles sont les 3 à 5 grandes compétences que cette formation vous permettra d’acquérir ? Y a-t-il des grandes étapes à passer ?

Dans les cours, vous avez des chapitres et une barre de progression pour voir où vous en êtes. Dans les parcours, nous avons découpé les projets pour créer des étapes qui vous motiveront.

Si vous en êtes à la recherche d’emploi, quelles sont les grandes étapes à passer pour réussir ? Par exemple :

  • Améliorer votre identité en ligne
  • Créer un CV et un portfolio convaincants
  • Postuler à plusieurs entreprises
  • Être invité aux premiers entretiens…

Chaque fois que vous aurez atteint l’une de ces étapes, ce sera l’occasion de fêter vos progrès et de vous réjouir.

2 – Trouvez le lieu de travail adéquat

Pas de secret, pour bien travailler, il faut vous créer un espace où vous vous sentirez bien et pourrez vous concentrer. Certains étudiants ou diplômés travaillent uniquement de chez eux, d’autres préfèrent l’effervescence d’un café ou d’un espace de coworking. À vous de voir !

Si vous travaillez de chez vous, ayez un espace bien délimité de travail, par exemple votre bureau ou une table, pour pouvoir “couper” avec la formation ou la recherche d’emploi lorsque vous arrêtez de bosser.

Une autre solution est d’aller dans un espace de coworking, pour pouvoir travailler en émulation avec d’autres personnes qui sont à leur compte, sont consultants ou suivent une formation en ligne tout comme vous. Choisissez un endroit où vous vous sentirez bien (c’est très personnel). Si vous habitez à Paris, vous pouvez consulter cet article pour avoir des idées de coworkings à tester.

3 – Installez-vous dans une routine productive

Quand on travaille seul ou qu’on cherche un job, il est facile de procrastiner ou d’arrêter un moment sa formation ou recherche, et de prendre du retard.

Pour éviter cela, nous vous conseillons de vous fixer un objectif quotidien, et de vous y tenir.

  • Trouvez le moment de la journée où vous êtes productif : le matin ? l’après-midi, le soir ? Et optimisez cette plage horaire pour travailler efficacement.
  • Prenez le temps de déjeuner, si possible avec quelqu’un, pour vous changer les idées et repartir de plus belle l’après-midi. Ne négligez pas ce que vous mangez, “un esprit sain dans un corps sain” vous permettront de mieux réussir !
  • Ne vous laissez pas distraire. Lorsque vous êtes sur un projet ou une candidature, coupez les réseaux et mettez votre téléphone sur silencieux. Vous pouvez utiliser RescueTime pour limiter l’accès aux réseaux pendant votre temps de travail.
  • Continuez vos activités en parallèle. Un sport ou des activités culturelles vous permettront de garder un rythme de vie dynamique et de structurer encore mieux vos journées.

4 – Faites régulièrement l’inventaire de vos réussites et progrès

L’une des façons les plus efficaces de rester motivé est de prendre du recul régulièrement pour voir tout votre avancement.

Votre mentor ou coach peut vous aider à faire l’inventaire des compétences acquises et du chemin parcouru pour trouver votre emploi. Prenez le réflexe de vous réjouir !

  • L’atteinte de chacun de vos objectifs vous montre un nouveau jalon de réussite.
  • La barre d’avancement vous permet de suivre où vous en êtes.
  • Vous donnerez probablement des conseils aux autres étudiants : il est encourageant d’aider quelqu’un et de cette façon vous serez sûr d’avoir compris.
  • Au fur et à mesure, vous vous verrez progresser.

5 – Ne négligez pas le contact humain

Vous allez commencer ou avez entrepris cette formation seul, mais vous ne l’êtes plus.

  • Vous pouvez vous appuyer sur la communauté, puisque nos formations se réalisent dans un climat d’entraide.
  • Étudier ou chercher un emploi avec l’un de vos amis peut être motivant.
  • Travailler dans un coworking peut vous permettre d’être moins isolé.
  • Et l’appui de votre famille et de vos proches est précieux.

Si vous étudiez dans un parcours ou cherchez un emploi :

  • Votre mentor ou coach est là pour vous guider pendant votre session hebdomadaire.
  • L’équipe des conseillers pédagogiques est également présente.

Et voilà, vous connaissez maintenant les 5 secrets pour maintenir votre motivation au top, que vous soyez encore étudiant ou déjà en recherche d’emploi.

Et vous, quels sont vos meilleurs conseils pour rester motivé ?

On attend des nouvelles de vos belles réussites très bientôt !

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Un stage décisif pour faire évoluer la carrière de Carole

Carole Dacquay s’est spécialisée dans le droit public pendant 5 ans avant de découvrir à 33 ans toute l’ampleur de ses compétences en gestion de projet multimédia. Aujourd’hui, elle est designer et cheffe de projet à Nice. Portrait.

[À découvrir : notre formation chef de projet digital en ligne].

Des affinités avec l’informatique

C’est hors caméra que Carole nous détaille une carrière déjà solide comme juriste experte dans les marchés publics. Impossible alors de ne pas s’interroger : d’où venait ce soudain besoin de reconversion professionnelle avec OpenClassrooms ? Carole nous raconte comment elle a pris goût à la gestion de contenus numériques au sein de son ancienne entreprise : “Je préférais booster les supports digitaux, réaliser des films promotionnels et imaginer des stratégies innovantes plutôt que de manier le code de la commande publique.” 

Forte d’une passion pour les gadgets informatiques, elle s’était d’ailleurs déjà formée à distance pour obtenir un permis dédié au pilotage de drones.

Carole se lance donc dans une formation en ligne en gestion de projet. La qualité de ses livrables sur des exercices pratiques laisse pantois tous ses mentors. Après 8 mois de formation (et donc en avance de 4 mois sur la durée moyenne de cette formation), cette diplômée en master Immobilier & Urbanisme (bac +5) maîtrise désormais sur le bout des doigts l’ergonomie web et la suite Adobe. 

De juriste à designer

“Je me suis d’abord inscrite sur OpenClassrooms pour valoriser mes compétences transverses : rédaction et animation, notamment. C’est ensuite la lecture d’un article en ligne sur les parcours diplômants qui m’a motivé à consulter différentes offres d’emploi, puis à suivre le cours d’initiation à la gestion de projet agile”.

Carole décide tout d’abord de s’inscrire sur OpenClassrooms pour valoriser ses compétences transverses (rédaction et animation, notamment). C’est la lecture d’un article en ligne sur les parcours diplômants qui la motive à consulter différentes offres d’emploi, puis à se renseigner sur la gestion de projet agile avec le cours initiez-vous à la gestion de projet agile. “Dès lors, je ne me voyais plus faire marche arrière !” Carole profite d’une suppression de poste dans son entreprise pour négocier une rupture de contrat à l’amiable. Elle tente enfin une dernière expérience dans le secteur juridique pour se résoudre une bonne fois pour toute à changer d’environnement professionnel.

Difficile pourtant de s’asseoir à nouveau sur les bancs de l’université pendant 3 ans. Alors que son agence Pôle emploi ne finance pas les cursus distanciels, Carole trouve tout de même le moyen de conserver ses indemnités en actualisant chaque mois un statut de demandeuse en formation. Son instinct l’oriente vers le parcours Expert en stratégie marketing et communication d’OpenClassrooms… Elle se décide néanmoins pour une formation en design, car “seul un parcours en design pouvait satisfaire [sa] fibre créative et [sa] curiosité pour les langages du web (HTML/CSS) !” 

Lors de sa première visioconférence, Carole rencontre son mentor Cédric Law-Dune. Il lui propose de modifier l’ordre des projets afin de bien personnaliser son accompagnement. Ils vont aussi faire preuve de patience afin de profiter de la convention de stage proposée par OpenClassrooms à partir de la validation de son troisième projet. Finalement, les mentors validateurs confirment à l’unanimité les 6 étapes de son parcours.

Une expérience professionnelle décisive

Le stage réalisé par Carole la conforte vite dans son choix. Suite à un premier entretien pour un poste de designer, elle relance le Centre d’Innovation et d’Usages en Santé (CIUS) cofondé par le CHU et l’Université de Nice. En tant que chargée de communication, elle utilise les acquis de ses cours et de ses projets afin de piloter la refonte intégrale d’un site Internet. C’est cette nouvelle expérience qui lui donne l’occasion d’asseoir la qualité de ses recommandations et de ses infographies (Adobe Capture & Illustrator). Sa présentation des différents livrables au comité de direction du CIUS est couronnée de succès. Carole signe sans hésiter un CDD d’un an renouvelable aux missions ambitieuses débloqué grâce au financement d’une nouvelle campagne anti-tabac. 

Des parcours comme celui de Carole, il y en a probablement des milliers chaque jour dans le monde. En tant que mentor OpenClassrooms, je dois dire que c’est ce genre de réussite qui me pousse à être moi aussi au top, à chaque entretien. Car si la motivation des élèves est le premier facteur de réussite, je crois (et j’espère) que les échanges professionnels y participent beaucoup. “Il n’y a pas de hasard, il n’y a que des rendez-vous” (Paul Eluard). À mon échelle, je tente d’y contribuer. Et cela m’enrichit indéniablement jour après jour.

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Rétrospective : la Pitch Battle commerciale

Par : Nora Leon

Le Ventil’hacheur va-t-il provoquer la faillite de Cooking Chef ? Grave question… Sur laquelle les spectateurs en délire de la Pitch Battle d’OpenClassrooms le 7 novembre dernier ont à présent un avis… Plutôt tranché. 

À l’occasion de la sortie de la formation Commercial – Chargé d’affaires, quatre commerciaux chevronnés se sont affrontés avec fougue sur deux exercices ardus voire impossibles : 

  • la transformation d’un objet du quotidien pour le vendre
  • et des argumentaires délicats à soutenir, sauf pour l’avocat du diable. 

Convaincre un lion de devenir vegan, mission impossible ? Pas pour Elliot Nakache, Business Developer chez LemonTri, qui a bravement relevé ce défi. De même, Adrien Gaucher de chez Spendesk nous a convaincus que le dernier métier d’un monde post-apocalyptique serait celui de commercial ; Camille Sampoux de Toucan Toco qu’il valait mieux se carapater sur Mars, et Samia Arfaoui d’OpenClassrooms est parvenue à nous faire avaler qu’un régime riche en burgers était excellent pour la santé. 

Leurs performances ont été évaluées par un jury attentif et impartial : Sarah Azan de Babbler, Pierre-Michel Couturier de Dreamcatcher Sales, et Jenny Tordjman de Goodeed. Ces professionnels nous ont fait l’honneur et le plaisir de rendre cette compétition… Encore plus féroce.

Vous brûlez de voir ou revoir les moments forts de cette soirée haute en couleur (du violet, évidemment) ? Et de découvrir QUI remporté le Prix du Public et le Grand Prix ? Suivez le guide !

Leurs performances vous ont convaincu et vous souhaitez aussi apprendre le métier de chargé d’affaires ? Rendez-vous sur la page de la formation commercial pour vous inscrire.

Encore des questions sur nos formations diplômantes avec l’emploi garanti ? Les conseillers pédagogiques seront ravis de vous répondre.

Envie d’en lire plus sur ce métier ? Par ici :

10 bonnes raisons de devenir commercial

Commercial, un métier polyvalent

Coup d’œil par-dessus l’épaule d’une chargée d’affaires B2B

 

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Commercial, un métier polyvalent

À la recherche d’un métier très recherché par les recruteurs ? Le deuxième le plus recherché juste après les artisans qualifiés selon LinkedIn, est celui de Commercial, encore appelé Attaché Commercial, Chargé d’Affaires ou Business Developer en anglais. C’est aussi le premier emploi à avoir été le plus recherché mi-2020 après le premier confinement en France.

Qu’est-ce qu’un commercial ?

Son visage a énormément évolué avec l’avènement du numérique. Aujourd’hui, tous les commerciaux font l’usage quotidien des outils tels que les réseaux sociaux ou encore les CRM (les logiciels faits pour suivre la relation avec un client). D’où un métier proche de l’innovation et du numérique.

Malgré cela, cette fonction reste fondamentalement humaine : le nerf de la guerre lorsqu’on vend reste d’écouter son client pour résoudre ses problématiques au mieux. C’est de cette manière que les meilleures relations commerciales se tissent et que les clients deviennent fidèles et ambassadeurs d’une marque.

Attaché commercial

[À lire : 10 bonnes raisons de devenir commercial]

Comment exercer ce métier ?

Envie d’en savoir plus sur ce métier ? L’école en ligne OpenClassrooms propose la formation Attaché commercial en 6 mois. 

Elle est disponible 100% en ligne, et elle s’effectue sur des projets concrets pour apprendre le métier par la pratique.

Chaque étudiant est suivi individuellement par un mentor qui exerce déjà un métier commercial depuis plusieurs années, qui l’aide à mener à bien ses projet pratiques.

Vous trouvez un emploi, garanti ou remboursé ! Vous pouvez même trouver un emploi dès le premier jour en choisissant la formation en alternance.

Si vous souhaitez en discuter avec un conseiller pédagogique, écrivez-nous.

Podcast Joboscope, attaché commercial

Envie d’en écouter plus sur ce métier ?

Écoutez le podcast « Le Joboscope » qui passe la fonction commerciale au microscope, sur Ausha, Apple Podcasts, Spotify, Deezer, Podcast français et les autres plateformes d’écoute.

Vous y entendrez trois professionnels vous raconter leur métier, depuis des entreprises très différentes.

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Coup d’œil par-dessus l’épaule d’une chargée d’affaires B2B

Par : Nora Leon

Vendre un produit en soi ne m’intéresse pas. Ce que j’aime, c’est l’aspect psychologique et la connexion aux autres. Cela me fascine de voir comment l’écoute active et la recherche de solutions pour un client peut transformer un non en franc oui.

Commercial. Les clichés sont nombreux et tenaces au sujet de ce métier. On  s’imagine un VRP engoncé dans son costume, avec une petite mallette et des chaussures usées à force d’arpenter les couloirs de ses clients. Vous le voyez ? Julien appelons-le ainsi est itinérant. Son job, c’est l’enfer : vendre  son produit à des gens qui n’en ont pas besoin. Et il rame, il rame… Effectivement, vu comme cela, être commercial c’est pas funky.

Mais non ! La réalité de ce métier est tout autre. Ces clichés appartiennent à un autre temps, et aujourd’hui, les commerciaux sont le plus souvent amenés à vendre un produit passionnant. Ils exercent un métier polyvalent (il est difficile de s’y ennuyer), au contact avec l’humain (qui enrichit beaucoup), avec des surprises liées aux particularités de chaque client. Samia, qui suite à des études littéraires et plusieurs formations commerciales, évolue dans la vente depuis près de vingt ans, nous invite à faire un scan de son poste.

Une semaine type avec Samia

Samia est Senior enterprise sales au sein de l’école en ligne OpenClassrooms, soit commerciale B2B expérimentée. Lorsqu’on lui demande à quoi elle occupe son quotidien, elle nous dépeint un emploi multi facettes, dans lequel il paraît difficile de s’ennuyer.

Ma mission consiste à faire de la prospection auprès de grands comptes. Une fois les contrats signés, je fidélise nos clients et m’occupe de ce qu’on appelle l’upselling, c’est-à-dire leur proposer des services complémentaires”.

Pour Samia, pas de journée type. Sur une semaine, elle est environ 50 à 60% à l’extérieur, en rendez-vous client. Dans un monde idéal, elle a un rendez-vous par jour. Ce mois-ci, elle en a décroché 22. Sur son temps au bureau, elle se réunit avec les équipes pour s’assurer de la correspondance entre les besoins clients et l’offre.

Et elle prospecte aussi et répond à des appels d’offres. “La prospection prend pas mal de temps : c’est un travail d’investigation comme le ferait un enquêteur. Il faut se concentrer pour parvenir à un tir chirurgical, c’est-à-dire cibler le bon interlocuteur au bon moment. Mieux on le définit, plus on gagne de temps pour la suite du processus”, assure Samia.

Enfin, elle alloue toujours un temps pour répertorier ses prises de contact dans le CRM (Customer Relationship Manager, le logiciel pour suivre la relation avec les prospects). Grâce à cela, elle conserve l’historique des échanges. “Nous devons garder l’historique pour élaborer des propositions pertinentes. Ces notes sont précieuses car elles permettent de faire un suivi des opportunités”.

Passons la porte d’un rendez-vous  

Que se passe-t-il en rendez-vous d’affaires ? Samia nous y invite. 

Plusieurs types de rendez-vous existent. Il s’agit soit d’un rendez-vous de découverte des besoins, soit d’un rendez-vous de suivi pour rendre la proposition ou pour l’affiner. Je propose systématiquement un ordre du jour au prospect. Cela permet de cadrer le rendez-vous et de gagner en efficacité. Lorsqu’il s’agit d’un premier rendez vous, la personne parle d’abord de son entreprise, de son rôle et de ses besoins. Plus j’en sais, mieux je peux adapter ma présentation de l’offre. Cela requiert d’être vif et de s’adapter en temps réel. À la fin du rendez-vous, je récapitule les points sur lesquels je dois revenir vers lui, et nous convenons des prochaines étapes”. 

En ce moment, Samia travaille sur un contrat pour un grand  groupe du luxe. Elle nous explique le processus. “Nous avons des entrées dans différents départements. Cela implique à chaque fois de ressortir son bâton de pèlerin pour convaincre de nouveaux interlocuteurs… mais cela rend le dossier intéressant et dynamique…”

Je sais que si une porte se ferme, je vais pouvoir rentrer par la fenêtre.

Cette expression allume peut-être une loupiote dans votre tête, cher lecteur. Les commerciaux sont-ils des harceleurs ? Ce n’est pas le tableau que nous dépeint Samia.

Pour moi, il faut vraiment en finir avec l’image des commerciaux hargneux et bourrins. Au contraire, si les compétences techniques sont faciles à acquérir, les qualités humaines qui font de vous un bon vendeur sont subtiles.

« Il faut faire preuve d’empathie, avoir une grande capacité d’écoute et d’adaptation, et savoir gérer les silences. Un bon commercial qui se perd dans un long monologue sans écouter son client n’a aucune chance de signer. En revanche, celui avec une intelligence émotionnelle forte et qui instaure une discussion franche et pérenne transformera des “non” en “oui”. Enfin, l’intuition est une précieuse alliée. Cela m’arrive souvent de sentir que mon client n’est pas allé au bout de son idée, de creuser avec une question et de me retrouver devant un océan de possibles liés à son besoin, où je peux proposer des solutions adaptées.

C’est ça qui est grisant dans ce métier : c’est en étant vraiment tourné vers l’autre qu’on signe.

Au cœur des montagnes russes

De fil en aiguille, Samia nous décrit un métier fait de contrastes. Bureau ou extérieur, des clients aux personnalités et aux enjeux divers, des comptes sur des secteurs opposés, des périodes d’échecs répétés et des succès éclatants.

La posture du chargé d’affaires doit être celle d’un consultant, explique-t-elle. Au-delà d’apporter du revenu, on accompagne des clients dans leurs défis, leurs enjeux. On leur apporte de véritables solutions.  II faut savoir être créatif et force de proposition : c’est passionnant”. 

L’envers de la médaille, c’est que ces métiers de vente exigent d’être persévérant. Samia nous mentionne trois freins et les solutions pour réussir : 

  • Maintenir le mental.Prospecter suppose de se confronter à beaucoup plus de refus que de signatures. Pour autant, il faut garder sa force psychologique pour aller de l’avant. On peut s’impliquer des mois sur un dossier avant de le voir capoter. Il  faut se relever, car l’état d’esprit positif fait partie des qualités d’un bon commercial. Je crois au principe de la loi de l’attraction. Quand on visualise le succès, il finit par se présenter.
  • Accepter de n’avoir aucune prise sur les processus de décision des entreprises. “Parfois, une signature prend tant de temps que toute l’équipe a changé et qu’il faut repartir de zéro. Là, l’important est de ne pas se décourager et de continuer à construire pour signer sur le moyen voire le long-terme”.
  • Ne pas se laisser déstabiliser ni manquer de respect. “Parfois les prospects utilisent des techniques afin de mettre les commerciaux mal à l’aise. Une fois, un directeur des achats a dit d’un ton condescendant alors que j’étais juste à côté : “alors elle, elle va sortir d’ici…”. J’ai répondu avec un grand sourire que j’étais ravie de son accueil chaleureux.  Il ne s’attendait pas à ma réaction et est redescendu tout seul. En tant que chargé d’affaires, il faut garder son calme, avoir du leadership afin de recadrer son interlocuteur. Il est capital d’asseoir sa légitimité de manière assertive. Plus on maîtrise son discours, plus on peut s’appuyer sur son expertise métier”.

Pour Samia, ces défis font l’intérêt de son métier. C’est justement parce que réaliser une vente est un processus complet qu’elle l’aime. “J’adore vendre. Il faut être un stratège, un fin communicant, méthodologique et être capable de s’adapter aux individus. Je vois la phase de négociation comme un jeu et le closing comme celle où je gagne la partie. Le moment où je signe un énorme deal après des mois de négo vaut bien tous mes efforts”. 

J’aime le commerce car il s’agit aussi et souvent de victoires collectives. Lorsque j’étais manager d’une équipe hyper efficace de 10 personnes, nous avons signé 42 millions d’euros et avons ainsi doublé le chiffre d’affaires en un an. Un résultat tangible… ces fiertés-là n’ont pas de prix.

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10 bonnes raisons de devenir commercial

Par : Nora Leon

Vendez-moi ce stylo” : tout le monde a déjà été confronté à cette question en entretien d’embauche ; même le grand Leonardo DiCaprio dans le film le Loup de Wall Street. Et ce, pour un poste de commercial ou non. Et pour cause, savoir vendre requiert des qualités utiles dans bien des professions : une écoute hors norme, une bonne expression orale, une force d’argumentation, de la passion et une grande adaptabilité à son auditoire. 

Ces compétences sont recherchées par les recruteurs, mais ne vont pas de soi. D’ailleurs, peu de profils sont formés et disponibles pour prendre les postes commerciaux. C’est la raison pour laquelle devenir attaché commercial est une opportunité. Voici pourquoi.

1- Les recruteurs se les arrachent

Plus de 200 000. C’est le nombre de commerciaux qui manqueraient aujourd’hui en France. Selon une étude Manpower, la pénurie de profils qualifiés dans le métier n’aurait jamais été aussi criante depuis 12 ans. Les commerciaux étaient les profils les plus recherchés entre les deux confinements de 2020.

Quelle que soit la région ou même l’envie d’international du futur diplômé, pas de risque donc de peiner à trouver un emploi en tant que chargé de clientèle ou commercial.

2- Pas besoin de longues études

Contrairement à des emplois tout aussi techniques et bien payés (dans la data ou la cybersécurité par exemple), pas besoin de faire de longues études pour devenir commercial. 

À titre d’exemple, la formation attaché commercial d’OpenClassrooms dure en moyenne six mois. Pour la suivre, aucune formation préalable n’est demandée, pas même le Bac. Suite à cette formation, les étudiants sont titulaires d’un diplôme reconnu par l’État et ont acquis les compétences adéquates pour trouver un poste en tant que chargé de clientèle, d’affaires ou encore chef de ventes.

3- Des salaires attractifs, qu’importe l’expérience

Puisque le métier est en tension, les profils commerciaux sont aujourd’hui recherchés par les employeurs. Ces derniers les contactent régulièrement, pour leur proposer des postes polyvalents et au salaire avantageux, comprenant à la fois un variable souvent intéressant et des avantages en nature (mutuelle, CE, etc). 

À titre d’exemple, l’étude UpToo réalisée en 2019 sur plus de 50 000 commerciaux confirme que le salaire moyen d’un jeune diplômé est en France de plus de 34 600€, et que le salaire moyen des commerciaux en France est de 49 700€ comprenant 11 000€ de variable. 

En outre, les salaires de base des commerciaux sont assortis de rémunérations variables d’équipe ou individuelles qui permettent souvent d’accéder à des rémunérations importantes en cas de réussite des objectifs.

4- Une fonction très polyvalente 

Le métier de commercial est passionnant car aucune journée ne ressemble à une autre. 

Parmi les missions des professionnels du milieu, on retrouve de la stratégie (définir les messages clés pour vendre un produit ou un service, choisir les marques à démarcher…), de la prospection, la conduite de rendez-vous clients, de la négociation, de la fidélisation client et d’autres missions diverses.

5- Ne pas être assis sur une chaise toute la journée

Être en charge d’un portefeuille client signifie dans la plupart que le commercial lui rende visite. Le métier de chargé de clientèle comporte donc des déplacements, et le métier de chargé de secteur d’autant plus. Si une personne souhaite donc être souvent hors des bureaux, elle peut donc choisir un poste avec une composante forte de rendez-vous, voire même des déplacements professionnels fréquents.

6- Développer des qualités humaines précieuses

Pour exceller en tant que chargé d’affaires, certaines compétences comportementales sont utiles : 

  • La capacité à parler en public pour présenter une offre ou un service ; 
  • L’empathie et l’analyse psychologique fine de son interlocuteur ; 
  • La faculté de s’adapter à l’autre dans une discussion ; 
  • Savoir travailler en équipe 
  • La persévérance et la patience… 

Ces qualités sont nécessaires dans le domaine de la vente et également dans d’autres spécialités : le service client, la communication ou encore le marketing.

7- … Ainsi que des compétences recherchés 

Un bon commercial sait démarcher des clients, prendre contact, argumenter, négocier, établir et signer un contrat de vente, fidéliser une clientèle, a un excellent relationnel et la faculté à gérer plusieurs dossiers en même temps tout en sachant les prioriser.  

Là aussi, ces compétences peuvent être mises en avant auprès des recruteurs.

8- Voir directement l’impact de son travail

Selon Region Jobs, 90% des patrons estiment que la fonction commerciale est au cœur de l’entreprise. Car quoi de plus précieux pour elles que de démarcher, convaincre et fidéliser leurs clients ? 

Le résultat des commerciaux se répercute directement sur la santé de l’entreprise, ce qui peut être très motivant si l’on aime savoir comment on contribue à la bonne santé de l’entreprise au quotidien.

9- Avoir des perspectives d’évolution riches 

Après quelques années d’expérience, le nombre de clients s’élargit, tout comme les responsabilités. 

L’attaché commercial peut évoluer vers un poste de :

  • Business developer / Responsable de développement commercial 
  • Account Manager / Responsable Grands Comptes 
  • Spécialiste d’un secteur d’activité ou de l’international 
  • Et par la suite gérer une équipe de commerciaux en devenant Manager / Directeur commercial.

Les évolutions transversales sont aussi possibles. Ainsi, les postes en marketing, achats, service clients en France et à l’international sont des options après un début de carrière comme chargé d’affaires.

10 – Une école entrepreneuriale 

Tout projet entrepreneurial nécessite de définir un argumentaire de vente, de prospecter pour trouver des clients, de les convaincre et de les fidéliser. 

Avoir expérimenté le cycle de ventes dans une ou plusieurs structures est donc un fabuleux exercice pour celles et ceux qui rêvent de monter leur propre entreprise. À bon entendeur !

Envie de devenir commercial ? Découvrez notre formation diplômante attaché commercial avec l’emploi garanti.

Ce parcours est disponible aussi en alternance !

Attaché commercial

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Commercial, un métier polyvalent

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Maman, salariée et étudiante : la reconversion de Sandrine

Étudier, travailler et s’occuper de sa jolie marmaille…
Est-ce possible ?

La réponse est OUI ! Avoir des enfants et un job à temps plein n’empêchent pas de réussir une formation OpenClassrooms. 

Pa contre, une bonne organisation est essentielle pour tenir sur le long terme.

Mais il n’y a pas de “bon moment” pour entamer une reconversion professionnelle, et à trop vouloir attendre, parfois on ne se lance jamais. 

[À lire : Reconversion professionnelle, les étapes clés]

L’histoire de Sandrine Linise montre bien qu’il est possible de se former tout en continuant à s’occuper de ses enfants et en travaillant à côté. Ses conseils pourraient bien vous inspirer pour franchir le cap.

Un parcours atypique 

Sandrine a 43 ans, est salariée à temps plein de nuit, freelance en développement web et inscrite à la formation développeur web dans l’école en ligne OpenClassrooms.

Elle a trois enfants, dont une petite fille de 5 ans. Son parcours est atypique : depuis longtemps, elle rêvait de se reconvertir et d’apprendre à coder.

J’ai commencé à m’intéresser au développement web il y a douze ans. A l’époque je n’y connaissais rien, mais j’ai quand même aidé mon mari à lancer son site Internet et j’ai adoré l En cherchant des solutions, j’ai donc fait mon premier site sans avoir aucune notion de code.

Intriguée, Sandrine commence à se former seule en ligne et se lance en freelance en 2011. Elle décroche quelques missions mais est contrainte d’arrêter la formation lors de la naissance de sa fille. En parallèle, elle travaille de nuit en tant qu’aide soignante dans un centre d’autistes. Pas facile de concilier tant de casquettes !

Une organisation bien ficelée

En 2015, Sandrine décide de reprendre une formation en développement web. Après un congé parental d’un an, elle monte un dossier pour obtenir un financement. Qui n’arrivera que trois ans après… En 2018, elle débute sa formation à distance chez OpenClassrooms, alors qu’elle est désormais maman de trois enfants. Elle continue de travailler de temps en temps à la création de sites internet pour ses clients.

Aujourd’hui, mes journées sont réglées comme du papier à musique : je m’occupe de ma fille entre 16h30 et 19h, puis je pars travailler jusqu’à 7h du matin. La nuit est parfois agitée. A mon retour, j’accompagne ma petite à l’école, puis je travaille à ma formation toute la matinée. Je prends une vraie pause en début d’après-midi. 

« Je travaille au centre d’autistes alternant une semaine de trois jours de travail et une semaine de quatre jours de travail. Mais même si je peux dormir la nuit, il m’arrive de faire des nuits blanches pour mes missions freelance.”

Concilier vie pro et perso : on y arrive

Comment mener de front tant de projets sans négliger sa vie personnelle ? Sandrine respecte son planning bien rempli, s’octroie des moments de repos et profite de sa fille dans l’après-midi. 

Je prépare mon calendrier minutieusement. C’est difficile de s’y tenir, mais on y arrive ! Parfois, il y a des contretemps, cela ne se passe pas comme prévu. Alors, on se retrousse les manches et on trouve une solution. 

« Le fait d’étudier en ligne permet une grande flexibilité. On peut adapter ses horaires, travailler à son rythme et, à terme, se reconvertir pour profiter davantage de la vie. Même s’il y a des sacrifices à faire aujourd’hui, je sais pourquoi je les fais.”

[À lire : En quoi la formation OpenClassrooms est-elle flexible ?]

Les conseils de Sandrine

  • Parlez de votre projet à votre partenaire et trouvez des solutions ensemble au quotidien.
  • Continuez de vivre une vie « normale » : le repos, les amis, les loisirs vous permettent de continuer sans vous épuiser.
  • Ne loupez pas le coche ! Il n’y a pas d’âge pour se reconvertir et se former à un nouveau métier.
  • Pensez “long terme » : le fait de se projeter permet de ne pas baisser les bras et de rester motivé. 

Les histoires de parents heureux et reconvertis sont nombreuses. Une bonne organisation et beaucoup de motivation sont les atouts de ceux qui réussissent à concilier leur vie familiale et leur projet de reconversion. À vous de jouer ! 

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En quoi la formation à distance OpenClassrooms est-elle flexible ?

Par : Nora Leon

Jiddu Krishnamurti, le penseur Indien de l’éducation alternative, était convaincu qu’apprendre “devait aider l’individu à mûrir librement”. Et justement, chez OpenClassrooms, tout a été fait pour que chaque personne puisse étudier “librement”, c’est-à-dire selon ses propres modalités d’apprentissage.

Nous aimons dire que les études sur une formation à distance OpenClassrooms sont “flexibles”. Qu’est-ce que cela signifie ? Qu’est-ce que cela change pour vous ? Explications.

Étudier à son rythme

OpenClassrooms permet d’étudier à son rythme. Si vous avez déjà fait des études auparavant, vous avez vu qu’en école et à la faculté, quand un cours est terminé, vous avez soit compris, soit pris du retard. Vous devez nécessairement digérer cette leçon pour la fois suivante.

À l’inverse, sur nos parcours diplômants, vous pouvez revoir le cours autant de fois que vous le souhaitez. Et surtout, prendre autant de temps que nécessaire sur un projet professionnalisant, ces missions pratiques que vous devez réaliser comme si vous étiez déjà en entreprise.

Chaque mission proposée aux étudiants est concrète. Elle apporte des compétences utiles en poste. Donc, nous préférons que vous preniez plus de temps sur l’un de ces exercices qui serait pour vous plus compliqué, afin de bien intégrer ces savoirs.

D’autres missions à l’inverse, seront traitées plus rapidement : en fonction de l’aisance de la personne sur le parcours, elle peut aussi terminer plus vite, et ne paie donc pas les mois restants.

Moduler son temps d’apprentissage

De plus, les études chez OpenClassrooms sont tout-à-fait conciliables avec une vie de famille ou même un emploi à plein ou mi-temps. Les vidéos, cours et projets sont accessibles 7 jours sur 7, ce qui permet à de nombreux étudiants de jongler entre les deux.

Cela signifie que :

  • Chacun peut moduler son temps d’apprentissage : de quelques heures par semaine à un temps plein. L’étudiant paye au mois et peut étirer la durée de sa formation si nécessaire.
  • Et étudier sur les plages horaires qu’on souhaite : le matin, le soir ou pendant les week-ends si besoin.

C’est pratique pour se reconvertir : malgré la contrainte financière, ces études s’adaptent à l’emploi du temps de la vie quotidienne et non l’inverse.

J’ai commencé mon parcours il y a un an et j’ai cumulé grossesse du petit deuxième puis boulot dans une agence pendant 1 mois et maintenant je suis à mon compte tout en essayant de terminer ma formation. C’est pas de la tarte en effet mais c’est possible !” Pauline, étudiante Développeuse Web

Etudier depuis n’importe où

Enfin, les cours et projets sont accessibles depuis n’importe où, avec une bonne connexion Internet.

Cela permet :

  • De se former même depuis la campagne, sans avoir besoin de prendre un second logement dans une grande ville lointaine ;

Je vis à Béziers. J’avais cherché des formations en marketing, mais elles étaient toutes éloignées et j’aurais dû payer cher pour me loger et les transports en présentiel. OpenClassrooms m’a permis de me former depuis chez moi”. Caroline, experte en stratégies marketing freelance diplômée d’OpenClassrooms.

  • D’accéder aux cours même quand on part en vacances, par exemple pendant les fêtes et pendant l’été ; 
  • De continuer ses études même si l’on est amené à déménager dans une autre région ou à l’étranger, par exemple pour suivre son conjoint ; 
  • Ou enfin, de se former depuis l’étranger si on est expatrié.

Chez OpenClassrooms, nous sommes convaincus que chacun peut être heureux au travail. En créant des formations adaptables aux emplois du temps et contraintes de tous, nous avons voulu rendre l’éducation accessible à chaque moment de la vie.

Vous voulez en savoir plus sur nos formations en ligne ? Discutez-en avec nos conseillers pédagogiques.

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