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À partir d’avant-hierCPC Hardware

Un DLC pour le Canard PC Hardware 41 : le test du Raspberry Pi 4

Par : Dandu

Dans notre dernier magazine, qui vient de sortir, nous vous proposons un comparatif d’alternatives aux Raspberry Pi. Et le jour de l’arrivée du magazine en kiosque, le Raspberry Pi 4 était lancé un peu par surprise. En effet, la fondation à l’origine de la carte parlait jusqu’à maintenant d’une sortie prévue en 2020. Nous avons donc décidé de vous proposer gratuitement un complément (nos collègues de Canard PC parlent d’un DLC gratuit) au magazine, avec le test de la carte dans sa variante dotée de 4 Go de RAM.

La page 12 bis, à imprimer et à ajouter dans votre magazine, est disponible en PDF.

Un petit bonus pour le Canard PC Hardware 40

Par : Dandu

Notre ami Neji, qui vous propose un dossier sur l’évolution des GPU ATi et AMD dans le Canard PC Hardware 40, avait vu un peu large. Et donc nous n’avons pas pu insérer toutes les images des cartes de sa collection, ainsi que les tableaux. Nous vous les proposons donc ici.

Les cartes haut de gamme


Les cartes milieu de gamme


Les cartes d’entrée de gamme

Le GPU RV770

Une superbe Radeon HD 4670


L’arrière de la Radeon HD 5870


Une Radeon HD 2600 XT


La Radeon HD 3870


Une petite radeon HD 5770


Vue plongeante sur la Radeon HD 6990

Une « foune des années 70 » débarque chez CPCH

Par : Oni

« Incroyable ! » Je retiendrai que c’est par cette seule expression qu’a réagi Couly en voyant ma tête, qu’il était chargé de dessiner (magnifiquement, d’ailleurs). « Incroyable », c’est ce que je me suis répété lorsque Dandu, répondant à ma candidature, m’a proposé de le rejoindre pour tester des cartes graphiques et des gadgets idiots dans un magazine papier, un vrai comme quand j’étais gamin et que je faisais planter mon Atari ST en faisant n’importe quoi avec.

Ma tête made in Couly (la chevelure est d’origine)

Déjà lecteur occasionnel de feu Joystick et de « l’autre Canard PC », c’est évidemment sans réfléchir que j’ai couru poser mes valises chez Canard PC Hardware, qui m’a réservé un accueil chaleureux et dont je tire déjà de bons souvenirs. Comme Monsieur Chat, avec qui nous avons longuement débattu de nos alcools préférés, un soir dans des bureaux déserts. Ou encore comme ackboo, que la rédaction entière a dû retenir pour l’empêcher de me défenestrer en apprenant que je bosse sur un Mac et que j’aime bien jouer sur consoles.

Alors effectivement, je suis amateur de Mac et de produits Apple. Certes, c’est vendu trop cher par un mégalo et on ne peut pas les améliorer soi-même, mais je trouve que ce cocktail a quelque chose de fascinant. Et même si je joue aussi sur Mac (si si, c’est possible quitte à installer Windows, rien ne m’arrête), j’ai un faible pour les consoles de salon de toutes marques. Non pas que j’apprécie particulièrement le 720p à 30 FPS, mais surtout parce que mon genre de prédilection, le jeu de combat, est quand même mieux diffusé et beaucoup plus pratiqué sur PS4 que sur Steam. Accessoirement, en bon déviant qui se respecte, je ne rechigne pas à me vider le cerveau de temps à autres sur un FPS où j’explose tout à la manette, et comme je suis myope, j’ai juste à enlever mes lunettes et je ne remarque presque plus la résolution cracra et le framerate en berne, parfait pour tout faire péter en poussant de petits rires niais.

Un Atari ST, première machine à subir mes expériences

Mais tout n’a évidemment (presque) pas commencé avec Apple ou les consoles ! Déjà enfant, mes parents m’ont mis dans les mains un superbe Atari 520 STe pour que j’arrête enfin de maltraiter le Macintosh familial. Une bécane qu’il a fallu désosser assez rapidement, non seulement pour changer le lecteur de disquettes, victime d’un malencontreux accident de type « papaaaa, j’ai coincé un truc dans l’ordinateur et maintenant il marche plus ! », mais surtout pour doubler sa mémoire et arriver à un merveilleux total de 1024 Ko, indispensable pour lancer certains jeux. Depuis, je me suis passionné pour la torture de toutes sortes de technologies et systèmes obscurs, de l’installation d’un disque dur sur une vieille PlayStation à un (trop) grand nombre de distributions Linux (Ah… passer 6 heures à regarder son Athlon XP 1800+ compiler juste pour avoir un traitement de texte qui fonctionne, c’était… spécial).

Mais qu’on ne s’y trompe pas ! Malgré une rédac tournant entièrement sur Mac (à défaut d’être entièrement belge, désormais), mon amour pour les machines et les systèmes qui n’ont aucun avenir ne nous empêchera pas de vous parler de CPU, de GPU, de bidules inutiles et bien sûr de démonter les arguments marketing les plus risibles des constructeurs. Si ça se trouve, on essaiera peut-être même de faire péter un ou deux trucs qui traînent en l’honneur de Doc TB.

En attendant, je suis arrivé juste à temps pour épauler Dandu dans le bouclage du numéro de décembre. Les premiers sujets de tests se sont vite accumulés sur mon bureau et vous aurez le plaisir, du moins je l’espère, de les lire prochainement.

Quand Amazon vend ouvertement une contrefaçon de carte Sandisk

Par : Dandu

Nous avons déjà parlé plusieurs fois des problèmes de contrefaçon dans le magazine, mais récemment, Amazon a proposé plusieurs fois en promotion une carte mémoire « COOLIFE » d’une capacité de 32 Go à 12 €. La particularité de la carte ? Le visuel utilisé montre une carte mémoire Sandisk.

La carte n’est évidemment pas vendue par Amazon et elle est toujours en vente à cette adresse (en parallèle d’une caméra de surveillance, ne cherchez pas le rapport) pour 15 €. Plus amusant, une carte Sandisk vendue par Amazon, plus rapide, vaut 11 € actuellement.

L’image d’illustration de la page

Étant donné la marque et le prix, il ne s’agit manifestement pas d’une carte Sandisk. Une fois la carte reçue (rapidement), le packaging ne laisse aucun doute : un simple morceau de carton tout à fait générique avec un texte bateau et basique. La carte, elle, reprend bien le design d’une carte Sandisk, sans erreurs flagrantes ni défauts visibles.

Le packaging spartiaite


Un scan de la carte face à une image de presse de Sandisk

Quelques tests

Le côté amusant de cette contrefaçon, c’est quelle offre des performances acceptables. En fait, sur certains points, elle va même plus vite que ce que promet Sandisk, avec ~70 Mo/s en lecture et 17 Mo/s en écriture, quand Sandisk se limite à 48 Mo/s au mieux (et moins en écriture). La carte passe parfaitement les tests d’intégrité, ce qui indique que la carte a la bonne capacité.

~70 Mo/s en lecture, pas loin de 20 écriture. Pas si mal.


La carte passe les tests d’intégrité

Je vais quand même être clair : c’est une mauvaise idée d’acheter une contrefaçon flagrante comme celle-ci, surtout quand on voit le prix d’une vraie carte Sandisk. Mais elle a au moins l’avantage de ne pas amener de grosses mauvaises surprises au déballage. Après, je ne garantis que cette carte en chinoisium tiendra dans le temps, ne cassera pas en deux ou ne perdra pas les données après quelques jours : il arrive que des cartes de ce type posent des soucis.

Maintenant, la question à 1000 € : personne chez Amazon ne vérifie que les Chinois ne vendent pas des contrefaçons flagrantes sans se cacher ?

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