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À partir d’avant-hierLe courrier des stratèges

Novavax accepte le remboursement de 475 millions de dollars à Gavi

L’Alliance du Vaccin, Gavi, et Novavax a eu un différend concernant un contrat d’achat anticipé de vaccins contre le Covid-19 signé au mois de mai 2021. Pour régler ce problème, la société de biotechnologie basée à Gaithersburg a accepté de rembourser jusqu’à 475 millions de dollars. Gavi avait payé 700 millions de dollars à Novavax en 2021 et 2022 pour un maximum de 350 millions de doses de son vaccin COVID

La société de biotechnologie Novavax fait face à une situation délicate depuis un an. Sa capitalisation boursière a connu une forte baisse : elle a chuté de environ 3 milliards de dollars en 2022, et à environ 700 millions de dollars depuis 2023. La grande partie du chiffre d’affaires de Novavax provient de la vente de son vaccin Covid à base de protéines. Lors de la publication de ses résultats financiers, l’action NVAX a chuté de 53,3 % au cours de l’année écoulée et elle a annoncé une campagne de réduction des coûts. En janvier, Novavax a annoncé qu’elle licencierait 12 % de ses travailleurs. La technologie du vaccin Novavax est fondée sur une technologie utilisée depuis des décennies. Contrairement à la technologie ARN, elle est à base de protéines et a été utilisée  dans la production des vaccins contre la grippe et le zona.

Un différend avec Gavi

En mai 2021, Gavi et Novavax ont signé un  un accord d’achat anticipé de vaccins contre le Covid-19. La société biotechnologie devait donc fournir des injections à Gavi dès le troisième trimestre de l’année 2021. Mais elle n’a obtenu l’autorisation des autorités sanitaires américaines qu’en juillet 2022.

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Alerte. Pourquoi l’or baisse-t-il depuis quelques jours ? par Florent Machabert

Par : Rédaction

Dans ce flash info, Machabert décrypte pour vous la baisse de 2% du cours de l’or en dollar ce mardi 13/02 et pourquoi il faut en profiter pour renforcer vos positions sur cette valeur refuge. Il vous explique notamment pourquoi les marchés ont brutalement arrêté d’anticiper une baisse des taux pour début 2024 et les effets de cette nouvelle anticipation des investisseurs sur le cours des métaux précieux.

Aujourd’hui, le cours de l’or en dollar a chuté de 2%. Dans cette capsule, Machabert vous explique pourquoi cette baisse représente une opportunité à ne pas manquer pour renforcer vos positions sur cette valeur refuge.

Trois dossiers pour aller plus loin :

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Décentralisation du SMI contre centralisation de Bitcoin ? par Florent Machabert

L’info de la semaineUn pirate ridiculise la SEC. Nous vous parlons souvent de cryptos dans Finance & Tic, le mensuel sur abonnement de Samarie & Cie, partenaire du Courrier des Stratèges : eh bien c’est la plus célèbre des cryptos qui fait parler d’elle cette semaine !

La SEC (Securities and Exchange Commission), l’organisme en charge de la surveillance financière américaine, a – non s’en s’être préalablement fait hacker son compte X – approuvé les « ETF Bitcoin Spot » (fonds indiciels Bitcoin au comptant), marquant un tournant historique pour la cryptomonnaie dans le monde de la finance. Ces fonds, négociés à Wall Street, répliqueront les performances de Bitcoin, tout en permettant aux institutions et aux particuliers d’investir sur cet actif sans en détenir directement. Jusqu’à présent, la SEC avait toujours rejeté ces produits d’investissement, craignant les risques de manipulation de marché.

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Un crédit-relais est-il toujours toxique ?

Par : Rédaction

Dans la conjoncture actuelle, faut-il recourir à un crédit-relais pour financer votre nouvel achat ? Dans cette capsule, Machabert vous dit tout sur le crédit-relais, ce complément au crédit immobilier classique qui peut vous permettre, parfois à des conditions avantageuses, de boucler votre plan de financement si vous êtes secundo-accédant et pris, à ce titre, dans les affres de “l’achat-revente”.

Des précautions doivent en effet être prises et des conditions quant aux opérations immobilières en jeu vérifiées.

Pour aller plus loin : le dossier N°34, un dossier indispensable sur comment décrocher un prêt en 2024.

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L’or vole de record en record !

Par : Rédaction

Dans cette capsule, Machabert revient sur l’évolution récente du cours de l’or : pourquoi un nouveau record a-t-il été atteint le 04 décembre 2023 tant en euro qu’en dollar ? Quels en sont les moteurs ? Cela va-t-il durer ? Est-il encore temps d’acheter de l’or et si oui comment ?

Cette semaine Florent Machabert nous donne toutes les astuces pour acheter de l’or, placement incontournable pour réussir sa sécession patrimoniale.

Procurez-vous pour aller plus loin les 3 dossiers de référence du Courrier des Stratèges sur l’or :

N°2 : Achat d’or & guerre mondiale
N°12  : Placement sécessionniste : l’entreposage de l’or
N°23 : Comment acheter de l’or pour éviter le pire

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L’inflation tombe à 3,4%, mais les prix alimentaires restent à 7,6%

L’INSEE vient de publier les derniers chiffres de l’inflation. S’ils sont en apparence encourageants pour le gouvernement, ils sont en revanche en trompe l’oeil. La hausse des prix alimentaires demeure élevée, ce qui devrait maintenir une grogne sourde dans les villes et les campagnes. Les temps restent durs pour le panier de la ménagère.

Comme on le voit, les statistiques officielles sont encourageantes pour tous les milieux financiers qui espèrent une prochaine baisse de taux et un retour à l’ère de l’argent pas cher. Avec une inflation à 3,4% en France, il semble que la surchauffe de 2022 soit plutôt en phase de décrue. Nous n’en sommes pas encore à l’objectif de 2% fixé par les traités, mais l’affaire prend bonne tournure.

Derrière ces apparences de plus en plus sages, en revanche, la situation reste tendue pour les consommateurs. Si les produits manufacturés sont en meilleure posture, d’une manière générale les prix alimentaires continuent à flamber, même si cette flambée est plus modérée qu’il y a quelques mois. L’inflation sous-jacente demeure.

Selon toute vraisemblance, la BCE devrait donc se montrer très réticente à baisser les taux à court terme, comme Christine Lagarde le précisait encore récemment.

Chine : de plus en plus d’emplois menacés par l’intelligence artificielle

En Chine, de nombreuses marques commerciales font appel aux influenceurs pour promouvoir leurs produits. Dotés d’une plateforme de streaming comme Taobao, elles proposent des « live shopping » – des émissions en ligne de téléachat en direct. Depuis peu, ces plateformes telles que Taobao ont confié la présentation de leur «live shopping » à des avatars générés par Intelligence artificielle (IA). Selon MIT Technology Review, ces avatars numériques animés par des IA encore en perfectionnement offrent aux marques, à la recherche d’efficacité et d’économies, un « contenu nouveau et innovant ». Mais selon la banque Goldman Sachs, désormais plus de 300 millions d’emplois dans le monde seront susceptibles d’être remplacés par l’intelligence artificielle, plus à même d’accomplir des tâches analytiques et cognitives.

En Chine, le téléachat est devenu une activité en plein essor. De nombreux streamers ou influenceurs proposent du live shopping de jour comme de nuit. En seulement quelques heures, ils arrivent à liquider de nombreux produits et les ventes génèrent des milliards d’euros de revenus. La montée en puissance des deepfakes, des vidéos truquées mettant en scène des personnes existantes, s’aligne avec l’émergence des avatars numériques alimentés par l’IA. Initiés dans les années 2010, les deepfakes avaient trouvé peu d’applications, principalement associées à la désinformation et aux arnaques. Cependant, les téléachats offrent une nouvelle opportunité à cette technologie en Chine. Sur les plates-formes chinoises de commerce en ligne, les marques ont désormais recours à l’intelligence artificielle qui remplace les présentateurs de téléachat.

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Tickets-restaurants : le peuple a faim, et vous ne voulez pas l’entendre

Le phénomène de tiers-mondisation, de paupérisation des Français est le problème le plus étrange qui se conçoive : il n’est nulle part dans les statistiques, mais il est partout dans les rues, dans les magasins, dans les conversations, dans les esprits. L’inflation est tenace, la désindustrialisation grandit, dans les caddies, la junk-food pas chère remplace les produits de qualité, mais le cartel des médias subventionnés s’occupe de défendre les bombardements incessants d’hôpitaux palestiniens par les Israéliens, et s’emploient à nous expliquer que nous sommes d’horribles antisémites.

Il faut lire l’éditorial de Philippe Escande dans l’ImMonde pour mesurer le mépris social dont la France de tous les jours fait l’objet de la part du microcosme parisien, ces donneurs de leçon qui vivent à l’abri des privilèges de la caste. Car l’affaire des tickets-restaurants est emblématique d’un décrochage français, calamiteux, entre le bloc bourgeois et le reste du pays.

Donc, l’an dernier, le gouvernement avait autorisé pour un an à déroger aux règles habituelles d’utilisation des chèques-restaurants (co-financés par les employeurs et les salariés) pour permettre à leurs détenteurs d’acquérir des aliments non-consommables immédiatement, comme des pâtes alimentaires ou du riz. Quelques semaines avant l’expiration de cette dérogation, la polémique a fait long feu, et le gouvernement a dû proroger d’un an ses effets.

Comme le dit l’Immonde subventionné par vos impôts : “Haro sur l’Etat-nounou qui se mêle de la qualité de nos dessous. Mardi 14 novembre, c’est le titre-restaurant qui a fait l’actualité.”

L’éditorialiste Escande n’aime pas l’Etat-nounou, sauf lorsqu’il subventionne son propre employeur bien entendu.

La réalité est bien plus terrible : accablés d’impôts et de cotisations sociales, les Français n’ont plus les moyens de se nourrir, et attachent entre eux le maximum de bouts de ficelles pour remplir la marmite. Mais de cette misère au quotidien, qu’est-ce qu’un éditorialiste du Monde, niché dans ses beaux quartiers où l’on manifeste contre l’antisémitisme, peut bien savoir ?

Guerre Israël-Hamas: pourquoi l’Inde a soutenu l’Etat hébreu, par Leonid Savin

Autant le conflit entre l’Ukraine et la Russie a structuré deux pôles qui s’opposent – l’Occident d’une part, et les pays du Sud d’autre part, dont les BRICS – autant la guerre menée par Israël contre le Hamas bouscule, pour ne pas dire fragmente cette situation finalement assez bipolaire. En réalité, les intérêts des uns et des autres semblent s’agréger de façon complexe, façon « rubik’s cube », en fonction des opportunités politiques, des réalités économiques, et des vues à court et long terme. Les positions divergentes à l’égard d’Israël entre pays arabes, Turquie et Iran, en témoignent. La position d’un autre pays mérite d’être examinée : l’Inde. Alors que Jérusalem a toujours été intéressé à entretenir de bonnes relations avec ce pays, Delhi a longtemps hésité à nouer des relations diplomatiques complètes avec l’Etat hébreu. A l’origine, les dirigeants indiens avaient une perspective antisioniste. Nehru, qui avait pour axe directeur de jouer un rôle de chef de file dans le tiers monde, identifiait l’État hébreu comme faisant partie du bloc occidental. Puis les choses ont changé. Et depuis la dernière attaque du Hamas, les contenus antipalestiniens pullulent sur les réseaux sociaux indiens. Une stratégie orchestrée par les nationalistes hindous au pouvoir, qui considèrent la minorité musulmane comme un ennemi de l’intérieur.

Cet article initialement publié sur le site geopolitika.ru n’engage pas la ligne éditoriale du Courrier.

Le 26 octobre, les autorités qataries ont condamné à mort huit citoyens indiens accusés d’espionnage au profit d’Israël. Selon les médias, les accusés étaient d’anciens cadres indiens et travaillaient pour une société privée, Al Dahra Global Technologies and Consultancy Services. Ils ont été arrêtés par les services de sécurité qataris en août 2022, mais la publication du verdict a coïncidé avec l’escalade dans la bande de Gaza. Cela a donné lieu à des spéculations selon lesquelles le verdict a été rendu en raison de la position pro-israélienne de l’Inde.

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Acheter de l’or : tout sur la bonne stratégie fiscale

Comme nous l’indiquions par ailleurs, c’est le moment d’acheter de l’or, car tous les ingrédients sont réunis pour que les cours s’envolent dans les prochaines semaines, voire les prochains mois. D’un côté, l’instabilité internationale grandit comme jamais. D’un autre côté, la crise obligataire sévit discrètement, et pousse à des arbitrages plus stables. Mais une question essentielle doit être abordée quand on achète de l’or : la question fiscale. Antoine Tahar répond à la question pour la chaîne “patrimoine” des Stratèges TV.

Il faut donc bien retenir un point : plus longtemps vous détenez votre or, plus la fiscalité est intéressante. Pour pouvoir bénéficier de ces dispositions, il faut que vous présentiez la facture d’achat de votre or. Ne la perdez pas !

Pour le reste, si vous souhaitez vous remettre en mémoire les explications d’Antoine Tahar sur le processus d’achat d’or, elles sont ici :

Si vous souhaitez rejoindre la chaîne Patrimoine de la Stratèges TV, il faut cliquer sur le bouton “rejoindre” de la chaîne, qui est présenté ici :

Après les vaccins ARN expérimentaux, voilà que Pfizer investit dans le cancer  

Jeudi, la Commission européenne a approuvé le rachat de la biotech Seagen par Pfizer. Selon la société américaine, son but avec cette acquisition est de diversifier ses offres. Seagen est une biotech spécialiste des thérapies anticancéreuses utilisant des « anticorps conjugués ».

Grâce à la crise sanitaire, l’industrie des vaccins et des biotechnologies a réalisé en moins de 2 ans un chiffre d’affaires qu’elle n’aurait pu espérer obtenir en 15 ans. Pfizer détient toujours la grosse part du marché en matière de produits contre le Covid avec son vaccin et sa pilule Paxlovid. Mais avec la fin du covid, en raison d’une diminution des revenus attendus du Paxlovid et du vaccin Comirnaty, Pfizer a décidé de revoir ses prévisions à la baisse avec une chute de 9 milliards de dollars de ventes pour l’ensemble de l’année. La Commission européenne a autorisé l’acquisition de Seagen par Pfizer, évaluée à 43 milliards de dollars. Seagen, spécialisée dans les thérapies ciblées contre le cancer, a déjà obtenu l’approbation pour quatre de ses traitements aux États-Unis. On se demande pourquoi Pfizer, une société qui a eu le champ libre sur les vaccins aux nombreux effets indésirables, et qui n’arrive plus à les vendre, rachète une société spécialisée dans le traitement des cancers ?

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