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À partir d’avant-hierOpenClassrooms : le blog

Petit guide de survie pour comprendre le développement… En partant de zéro !

Qui maîtrise Internet, maîtrise le monde”. Cette citation de Christophe Bonnefont annonce bien la couleur : pour ne pas être largué dans un monde du travail toujours plus 2.0, il est bien de se renseigner plus avant sur les nouveautés numériques.

En effet, Internet est passé d’une base modeste de moins de 500 millions d’utilisateurs en 2000 à plus de 3 milliards d’utilisateurs en 2015. On prévoit d’ailleurs 1.1 milliard d’utilisateurs supplémentaires dans les 5 prochaines années. Son taux de croissance exponentiel rime aussi avec création d’emplois. Pourquoi pas le vôtre ?

Je m’appelle Joffrey, et je suis développeur web. Je serai heureux de vous guider pour apprendre les fondamentaux de mon métier. Qu’est-ce qu’un développeur ? Comment apprend-t-on ce métier ? Qui est-il dans l’écosystème de la tech ? Suivez le guide.

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Qu’est-ce qu’un développeur Web ?

 

C’est la personne qui réalise un site Web à partir du design transmis par les équipes UI. Elle le fait en codant, à l’aide d’une variété de langages informatiques. Les développeurs Web utilisent l’anglais, et le traduisent en une langue comprise par un ordinateur, telle que le HTML ou le CSS.

Comme vous pouvez l’imaginer, cela prend beaucoup de temps et demande des efforts, et nécessite une compréhension des différents langages de programmation et de la façon dont ils sont utilisés. Bien sûr, rien d’insurmontable, surtout si vous suivez nos cours gratuits sur OpenClassrooms.

Différents types de développeurs se spécialisent dans différents domaines, ce qui signifie que les grands projets Web constituent généralement une collaboration entre plusieurs développeurs.

Envie de vous mettre au HTML et au CSS ? Par ici pour suivre gratuitement le cours de Mathieu Nebra.

 

Que fait un développeur Web ?

 

Un développeur Web crée et gère des sites Web en tenant compte du client et du consommateur. En d’autres termes, il met en place sur le site Internet les produits et services offerts par le client, et indique comment les utilisateurs peuvent y accéder. Par exemple, un client peut vouloir un formulaire pour capturer l’email d’un utilisateur final afin de demander des informations supplémentaires, envoyer une newsletter ou remercier un client pour son activité.

Le développeur Back-end se concentre sur la configuration de l’arrière-plan d’un site, tandis que le développeur Front-end autre élabore le côté utilisateur, ce qu’on voit directement sur le site, pour créer le style et les fonctionnalités du site Web lui-même.

Voici concrètement la différence entre ces deux spécialités.

 

Développeur Front-end

 

Le Front-end, c’est partie d’un site Web que la plupart des gens connaissent. C’est ce que vous voyez lorsque vous visitez un site Web. Tout, des images aux vidéos, en passant par les formulaires et les menus déroulants, tout ce que vous pouvez voir, entendre ou cliquer, fait partie du Front. Si vous êtes plus créatif, c’est probablement la spécialité qui vous intéressera le plus.

 

Développeur Back-end

 

Le développeur Back-end travaille généralement avec 3 éléments : le serveur, une application et une base de données.

Si vous réservez un vol ou achetez des billets de concert, vous ouvrez généralement un site Web et interagissez avec le Front-end du site web. Une fois que vous avez entré ces informations, l’application les stocke dans une base de données créée sur un serveur. Par souci de facilité, imaginez une base de données comme une feuille de calcul Excel géante sur votre ordinateur, mais qui dont le serveur est stocké quelque part en Arizona.

Toutes ces informations restent sur le serveur. Ainsi, lorsque vous vous reconnectez à l’application pour imprimer vos billets, elles sont toujours présentes dans votre compte.

Cette personne qui construit les coulisses du site est un développeur Back-end.

 

Développeur Full-stack

 

Les développeurs Full-stack connaissent le côté serveur ainsi que l’expérience utilisateur côté front. Ils savent donc comment chaque étape du processus de développement Web se déroule et peuvent guider la stratégie et les meilleures pratiques.

Ces développeurs joueront un rôle de plus en plus important dans le développement Web et seront en mesure d’envisager la situation dans son ensemble.

Souvent, on devient développeur Full-stack en acquérant de l’expérience, au fil de sa carrière.

 

Développeur Mobile

 

Un développeur mobile est un professionnel spécialisé dans le développement de logiciels ou de systèmes pour appareils mobiles. Ce rôle est devenu populaire car de plus en plus de e-boutique et/ou d’autres interactions numériques ont lieu via les smartphones et moins par le biais des ordinateurs.

À mesure que les smartphones évoluent, le responsive design et d’autres facteurs ont facilité la migration des consommateurs vers les plates-formes mobiles, ce qui rend le développeur mobile très demandé.

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Pour conclure, il existe actuellement une demande croissante de développeurs Web et peu de personnes possédant les compétences et les qualifications nécessaires pour pourvoir les postes. Il s’agit d’un marché en croissance constante et il n’y a aucun signe de ralentissement immédiat. 

Si vous souhaitez devenir un développeur Web, vous devrez d’abord choisir entre le développement front-end, back-end, full-stack ou mobile. Vous aurez besoin d’apprendre les langages pertinents et de vous exercer à construire des sites Web et les applications qui les exploitent.

Bonne chance, amusez-vous et commencez à apprendre.

Et pour bien vous mettre dans le bain du développement, suivez le cours : « Comprendre le web » de Mathieu Nebra.

À propos de Joffrey : 

Salut 👋, je suis Joffrey, développeur web basé sur Paris. Je suis passionné par WordPress, l’e-marketing et 

l’écriture d’articles sur des sujets Tech. Freelance depuis plusieurs années, je partage avec vous des tutos, des conseils et mon expérience afin que vous puissiez mieux gérer vos projets web.

 

 

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De conducteur de trains à chef de projet digital, la trajectoire de Jérôme

 

Jérôme a un parcours atypique qui atteste d’une grande volonté et de beaucoup de détermination. Malgré les obstacles, ces qualités lui ont permis de créer sa propre entreprise de design digital, après une formation très riche chez OpenClassrooms. Une belle histoire et un message profondément positif !

De militaire à conducteur de trains

 

Jérôme est entré à l’armée à l’âge de 16 ans car ses parents ne pouvaient pas financer ses études. Il arrête donc l’école jeune et à 18 ans, et obtient son baccalauréat en candidat libre.

Après 7 ans dans l’armée de l’air, il devient conducteur de trains pendant un temps :

« À un moment, j’ai eu un souci avec mon employeur, j’ai dû démissionner.

Pendant la période qui a suivi, j’ai fait une bêtise, je suis allé acheter du cannabis en banlieue parisienne et je me suis fait prendre par la police.

J’ai obtenu du sursis et entre temps, pendant ma mise à l’épreuve, j’ai retrouvé un poste de conducteur de trains à l’essai chez Alstom. Je conduisais des prototypes et je testais les nouveaux modèles. Malheureusement, au bout d’un moment, j’ai arrêté d’aller aux convocations du juge et donc mon sursis a été transformé en quatre mois fermes. »

Avec un casier judiciaire, Jérôme ne peut plus conduire de trains, il sait donc qu’il doit envisager une reconversion pour se réinsérer.

« L’incarcération a été le point de départ d’une nouvelle vie. Je me suis dit que je ne pouvais pas tomber plus bas, que j’allais devoir rebondir. »

Depuis tout petit, j’ai une appétence pour le dessin et le design. Et même lorsque j’étais à l’armée, j’ai continué à suivre des cours d’arts plastiques et d’Histoire de l’art. J’ai réfléchi au métier qui pourrait être viable dans ce domaine et designer digital m’a semblé correspondre en tous points à mes compétences : à mi-chemin entre le créatif et la technique acquise dans l’armée de l’air et lors des essais chez Alstom.

« En prison, nous n’avions pas d’ordinateur, mais j’ai commencé à faire des maquettes de sites Internet sur papier, et j’ai développé des idées pour mon futur site. »

 

Reprendre confiance grâce à la formation OpenClassrooms

 

En 2015, François Hollande annonce un accès illimité aux formations d’OpenClassrooms pour les demandeurs d’emploi.

C’est à cette occasion que Jérôme découvre la plateforme : « J’avais entendu qu’OpenClassrooms était présenté comme l’école du futur et c’est même ce discours de François Hollande qui m’a aidé à convaincre ma conseillère Pôle emploi de me financer la formation.

À ce moment-là, OpenClassrooms organisait un partenariat avec la région Grand Est et j’ai été sélectionné pour intégrer le formation de chef de projet digital. Je suis tombé sur une mentore géniale, qui m’a aidé à remettre le pied à l’étrier. Elle m’a accompagné moralement et m’a encouragé au-delà des simples compétences techniques. J’ai appris le langage JavaScript, la gestion de projet. »

Jérôme suit donc une formation d’un an, qu’il boucle en effectuant un stage de trois mois dans une société de production audiovisuelle : «  J’y ai créé des hologrammes, des vidéos, j’ai obtenu un contrat pour créer un motion design pour Accor Invest, c’était vraiment une bonne expérience. La formation OpenClassrooms est vraiment moderne, actuelle, c’est un format idéal pour les gens qui ont un minimum d’envie et c’est d’une rapidité incomparable. »

 

Une création d’entreprise réussie

 

Jérôme termine sa formation chez OpenClassrooms en mars 2018, puis décide de créer sa propre entreprise grâce à un financement de l’Adie. 

« Je propose un multiservice design. Je suis installé en pleine zone rurale et mon objectif est de devenir la référence dans le domaine pour les trois villes moyennes aux alentours : Bar-le-Duc, Saint-Dizier et Vitry-le-François. Je veux être viable tout en restant local. »

Grâce à la formation et l’apprentissage du langage propre à la gestion de projet design et digital, Jérôme se sent tout à fait crédible auprès de ses clients. « La formation m’a donné les bases, et dans le design il faut connaître les règles pour pouvoir s’en écarter.

Ma cible est intéressante, ce sont de petits clients qui ont besoin de création de contenus et d’une stratégie digitale régulièrement, plutôt que de maintenance, et qui ont aussi parfois besoin de formation : donc, je les accompagne.

Par exemple, mon premier client était un restaurant, l’Ancre d’Or. Je lui ai créé un logo, un site internet, j’ai mis en place des comptes sur les réseaux sociaux, et j’ai réalisé le site. J’ai également accompagné le restaurant lors du changement de propriétaire, et les nouveaux propriétaires ont souhaité continuer avec moi aussi.»

Jérôme répond à de vrais besoins et il a même été remarqué par la mairie de son village, Pargny-sur-Saulx, qui lui a proposé un accord pour obtenir un bureau dans la mairie à prix réduit en échange de ses services pour le compte de l’administration.

« Il s’est écoulé quatre ans depuis mon incarcération, ça a été un long combat mais je suis très heureux de voir qu’aujourd’hui tout se met en place.

J’ai appris qu’il ne fallait jamais rien lâcher. Car même si on vous dit non, vous savez qu’il y a une petite porte accessible malgré tout, et qu’il faut donc vous y engouffrer. »

 

Pour aller plus loin, renseignez-vous sur le parcours diplômant UX designer. 

 

 

 

À propos d’Aglaé : 

Aglaé est auteur-rédacteur. Elle a fondé Word Shaper, une agence créative qui propose des services d’écriture, de consulting et de conception.

 

 

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Le mythe de l’étudiant paresseux

Dans cet article, nous abordons ce que signifie être paresseux et ce que peuvent faire les éducateurs, les mentors et même les managers s’ils soupçonnent un étudiant ou un employé de l’être.

Nous connaissons ce type de personnes : l’étudiant paresseux qui refuse de travailler sur son projet ou encore un collègue talentueux qui semble ne pas faire beaucoup d’efforts. Nous avons tous accusé quelqu’un ou bien nous-même d’être « paresseux », mais qu’est-ce que cela signifie vraiment ?

 

Définir la paresse

 

D’après le dictionnaire, une personne paresseuse est « peu disposée à travailler ou à dépenser de l’énergie ». Qu’y a-t-il de mal à cela, au fond ?

La paresse est sans doute l’un de nos instincts les plus naturels. Du point de vue de l’évolution, si nous remontons suffisamment loin, il n’y avait aucune raison de faire un effort sans récompense immédiate. Nous conservions notre énergie et l’utilisions seulement comme mécanisme de survie afin de nous protéger des prédateurs.

Mais même aujourd’hui, qui fait un effort physique ou mental sans obtenir une quelconque forme de récompense ? L’étudiant motivé et déterminé veut obtenir son diplôme pour construire une carrière. Le travailleur acharné veut faire la différence, obtenir une augmentation et peut-être même une promotion. L’amateur de fitness veut améliorer ses performances physiques.

 

Le demandeur d’emploi paresseux

 

Et qu’en est-il du demandeur d’emploi soi-disant paresseux qui ne semble faire aucun effort pour trouver un emploi ? En septembre 2018, on comptait environ 16,4 millions de chômeurs dans l’Union Européenne (avec un taux de chômage moyen de 6,7 %) pour trois millions de postes à pourvoir. Les sans-emploi européens se font concurrence le plus souvent dans des domaines dont ils ne connaissent rien, avec un emploi pour 5,5 demandeurs. Les chiffres sont en apparence meilleurs aux États-Unis avec 6,9 millions d’offres d’emplois pour 6,02 millions de demandeurs d’emploi en novembre 2018, mais l’inéquation entre les compétences demandées et les compétences disponibles atteint un point critique.

Que peut alors faire un demandeur d’emploi ? Pas grand-chose, à part avoir foi en sa capacité à se former avec peu d’aide et réussir à obtenir l’un de ces emplois si convoités ou même créer son propre emploi.

 

Être tourné vers l’avenir

 

Il ne suffit pas d’être optimiste. Parfois, lorsque la récompense future est ou paraît impossible à atteindre, il semble peut-être logique de ne pas essayer. Par exemple, prenons un étudiant paresseux et perdu.

Peut-être que personne dans son entourage ne possède un diplôme ou une carrière de haut vol. Il n’a jamais vu personne travailler sur un projet à long terme. Est-il complètement irrationnel de sa part de douter qu’il pourra lui-même connaître ce genre de succès ? Est-il surprenant qu’il ne sache pas comment s’organiser pour aborder un projet à long terme ?

 

Comportement = f (personnalité, environnement)

 

Kurt Lewin, l’un des fondateurs de la psychologie sociale, définit le comportement (B) comme une fonction de la personnalité (P) et de l’environnement (E). Depuis les années 1930, l’équation de Lewin B = f (P, E) est au cœur d’un débat sur l’importance relative de la personnalité et de l’environnement.

On pense de plus en plus que la situation est un meilleur indicateur pour prévoir le comportement que les traits de caractère et la personnalité. Pourtant, les comportements paresseux sont typiquement associés à l’identité d’une personne. Les facteurs environnementaux sont considérés comme inexistants.

 

Qu’en est-il des éducateurs, des mentors et des managers ?

 

On a tendance à juger les personnes que l’on pense paresseuses ; elles inspirent la colère ou le rejet. Mais qu’en serait-il si les éducateurs, les mentors et les managers pouvaient :

  1. Réagir à la paresse avec compassion et curiosité ?
  2. Aider à convaincre que l’effort que l’on fait aujourd’hui va porter ses fruits et qu’il n’est pas vain ?
  3. Contribuer à la réussite de quelqu’un en ne s’arrêtant pas aux compétences qu’il lui manque mais en l’aidant à faire tomber les barrières qui l’empêchent d’avancer ?

Tout ceci vaut bien un petit effort, non ? Vous ne faites pas partie de ces gens « paresseux » qui rechignent à travailler ou à utiliser leur énergie, n’est-ce pas ?

Chez OpenClassrooms, nous recherchons et nous formons des mentors et des coaches professionnels qui sont en mesure de relever ce défi et de guider les étudiants vers leur objectif, non seulement en les épaulant dans les projets qui font partie de leur formation mais également en les aidant à rester motivés.

Si vous pensez être capable d’encourager un « étudiant paresseux » mais aussi de lui fournir un soutien pratique et des conseils, nous avons besoin de vous. Devenez mentor pour les étudiants d’OpenClassrooms dès aujourd’hui.

 

À propos de l’auteure

 

Ibis Lilley

Ibis est Mentorship manager chez OpenClassrooms. Elle s’intéresse à l’Edtech, aux idées en open-source, à la technologie et l’éthique… C’est une migrante décomplexée qui a vécu au Nigeria, au Royaume-Uni, au Japon et est aujourd’hui en France. 


Sources

 

  1. Situation vs personnalité : ici et ici   
  2. Chômage en UE
  3. Postes à pourvoir en UE
  4. Chômage aux États-Unis
  5. Postes à pourvoir aux États-Unis
  6. Pénurie de compétences aux États-Unis

 

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Développement front, back, iOS, mobile : comment choisir ?

Dans le monde mystérieux du développement web, il y a parfois certaines subtilités qu’il est difficile de comprendre, même quand on pense s’y connaître un peu. Or, les missions de développement sont de plus en plus demandées sur le marché du travail quelque soit le secteur d’activité. Faisons un tour d’horizon pour clarifier certaines choses et vous aider à choisir la bonne formation.

 

Développement Web

 

Un étudiant qui souhaite se lancer dans l’apprentissage du développement doit d’abord arbitrer entre le développement web d’une part et le développement mobile d’autre part, car ces deux options requièrent des savoirs et des langages différents.

Chez OpenClassrooms, nous proposons une formation de Développeur web junior. La formation de six mois délivre un diplôme de niveau équivalent à bac +2.

Clara Corazza est responsable des parcours Code et Design chez Openclassrooms et selon elle, cette formation est « un parcours simplifié qui permet d’être employable rapidement. Ce parcours ne permet pas de développer des applications complètes mais les étudiants sont ensuite capables de réaliser un site web et un portfolio de projets. Au cours des six mois, nous faisons un tour d’horizon des langages les plus faciles à appréhender pour des débutants ».

Aucun pré-requis autre que d’avoir un ordinateur en bon état de marche avec micro et caméra n’est exigé pour postuler à la formation. « Lors du 1er cours, on explique le web pour les personnes qui n’ont jamais utilisé de bureautique et qui débutent complètement » raconte Clara. La formation peut se suffire à elle-même et peut aussi constituer une base d’introduction pour les autres formations plus spécialisées.

Concernant le choix du langage web que l’on souhaite apprendre, Clara explique :

« Le langage que l’on choisit d’apprendre et d’utiliser dépend essentiellement de la géographie de l’employabilité. Tous les types d’entreprises n’utilisent pas le même langage. Par exemple, le langage Python s’applique beaucoup en Espagne, aux Etats-Unis ; le langage Java s’utilise quasiment exclusivement au sein de groupes industriels comme Capgemini ; PHP est un langage français donc essentiellement utilisé en France ».

 

Versus développement mobile

 

Pour le développement mobile, le choix s’opère entre le langage iOS et le langage Android. Apple & Google étant concurrents, ils utilisent deux langages très différents. Le développeur doit donc choisir en fonction de la plateforme sur lequel il préfère développer. Clara Corazza précise :

« Les développeurs sur iOS sont un peu mieux payés mais il n’y a pas forcément plus de débouchés que pour Android ».

Chez OpenClassrooms, les deux formations mobiles développeur iOS et développeur android durent un an et délivrent le même diplôme à la fin, qui est l’équivalent d’un bac +3.

Le seul prérequis pour iOS est de posséder un mac puisqu’Apple a fait en sorte que ce soit impossible de coder iOS en dehors de mac. Critère non négligeable à bien avoir en tête s’il on souhaite se lancer sur iOS.

 

Développement front-end

 

Si vos faveurs se sont portées sur le développement web, vous devrez procéder à un deuxième arbitrage : développement front ou back ?

Le développement front-end consiste à réaliser des façades de sites web, c’est-à-dire ce que l’on voit nous sur nos écrans sans forcément comprendre la logique qu’il y a derrière. Selon Clara, ce sont des compétences abordables, que l’on peut même apprendre en autodidacte, et avec lesquelles il est possible de se débrouiller rapidement.

« Le développement front est un métier gratifiant car on voit rapidement des résultats, dès le début on est capable d’accomplir de belles choses. On peut rapidement présenter ses projets au client et ce qu’on fait est compris par tout le monde car ce sont des sites avec des interfaces graphiques. Ce job est adapté aux personnes qui aiment construire quelque chose et avoir des résultats ». 

À noter aussi qu’il y a beaucoup plus d’offres d’emploi en front-end que dans le développement mobile et généralement ce sont des CDI.

 

Développement back-end

 

De l’autre côté de l’écran, il y a le développeur back-end, qui maîtrise la logique qui se cache derrière chaque site web.

Pour Clara, le développement back-end est un métier essentiel.

« En back, le développeur échafaude la structure sur laquelle tous les sites web et internet se reposent. C’est un travail de logique, de puzzle, très gratifiant pour les personnes qui aiment résoudre des problèmes mais généralement moins bien compris par le grand public car quasiment invisible. Le développeur back apporte des solutions qui sont cachées alors que c’est le travail de design du développeur front qui permettra de les faire apparaître. »

En entreprise, back et front travaillent généralement en binôme. C’est le chef de projet qui fait la liaison entre ces deux personnes et les besoins qui sont recueillis par les clients ou les équipes.

Regardez le Facebook Live où Clara répond à de nombreuses questions sur nos parcours diplômants en développement.

Pour en savoir plus, contactez aussi nos conseillers pédagogiques et parlez-leur de votre projet !

C’est gratuit, et cela vous aidera à vous décider pour la spécialité la plus adaptée pour vous.

 

À propos d’Aglaé : 

Aglaé est auteur-rédacteur. Elle a fondé Word Shaper, une agence créative qui propose des services d’écriture, de consulting et de conception.

 

 

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Chez OpenClassrooms, vous n’êtes jamais seul

Vous aimeriez compléter votre formation ou bien changer de métier grâce aux parcours diplômants d’OpenClassrooms. Seulement voilà, vous craignez vous retrouver seul face à un écran, aux prises avec un programme intense. Les études en ligne, cela vous paraît compliqué : comment faire sans les blagues entre camarades, les pots après les cours et les groupes d’études ?

Rassurez-vous, la solitude n’est pas une fatalité lorsqu’on étudie en ligne. Avec notre formule Premium Plus, vous êtes accompagné par un mentor et disposez de nombreux outils pour échanger et travailler avec les autres étudiants. Envie d’en savoir plus ? Cet article est fait pour vous.

 

De l’importance d’avoir un mentor

 

Nos étudiants sont unanimes : l’encadrement du mentor est le premier avantage d’un parcours Premium Plus. C’est avec lui que vous échangerez chaque semaine, en visioconférence.

Valentin Perello suit depuis un an une formation en gestion de projets en développement. Il nous partage son expérience :

« L’accompagnement du mentor est primordial pour moi : il est là pour nous guider et nous épauler. C’est tellement rassurant de pouvoir poser des questions et de se faire aider quand on est coincé ! Surtout si on ne connaît pas encore bien toutes les facettes d’un métier » confie-t-il.  

 

Workplace : aussi simple qu’un réseau social

 

Workplace est la plateformese retrouvent étudiants et mentors d’OpenClassrooms.

Elle s’organise autour de plusieurs blocs, comme sur Facebook : le fil d’actualité (pour suivre tous les posts partagés), les groupes (un pour chaque formation et d’autres sur des sujets généraux) et la messagerie instantanée (pour contacter quelqu’un en privé).

« Utiliser Workplace est le meilleur moyen pour intégrer la communauté d’OpenClassrooms. Quand on commence un parcours en ligne, on est souvent un peu perdu et on ressent le besoin de se connecter avec les autres étudiants. Workplace, c’est un lieu d’échange fluide et très utile, qui donne la possibilité d’échanger avec les autres, de poser des questions. C’est également l’endroit idéal pour initier les projets communs et rechercher ses futurs partenaires » explique Valentin.

 

Coworkings et parrainages : l’occasion de rencontrer vos camarades

 

Pour travailler en compagnie (et ne pas sacrifier votre vie sociale pendant vos études en ligne), plusieurs solutions s’offrent à vous :

  • Participez aux sessions de coworking organisées régulièrement par OpenClassrooms dans chaque région. Voilà une bonne occasion de rencontrer et de travailler avec les étudiants qui habitent dans la même zone géographique que vous.
  • Rejoignez les groupes de travail organisés par les étudiants eux-mêmes. N’hésitez pas à lancer l’initiative et à réunir vos camarades pour une session.
  • Utilisez le Discord pour échanger en live. Il s’agit d’une application qui regroupe des salons de chat, c’est-à-dire des groupes de discussions, un peu à la façon de Skype. Cette application est gérée par les étudiants, en toute autonomie par rapport à OpenClassrooms. C’est un peu leur jardin secret.

« J’habite dans la région Rhône-Alpes-Auvergne et j’ai participé une fois à un coworking sur Lyon : l’ambiance était très sympa. En revanche, le temps de trajet était un peu long pour moi. J’ai alors demandé à être parrainé par un étudiant plus avancé que moi et j’ai eu la chance de tomber sur quelqu’un qui habite dans ma région. On s’est rencontrés plusieurs fois et on a échangé via webcam. Cela a vraiment fait la différence pour moi, et m’a donné envie de devenir parrain à mon tour » conclue Valentin.

Son conseil pour une expérience d’apprentissage réussie?

« Sortez de votre zone de confort pour partir à la rencontre de la communauté d’étudiants d’OpenClassrooms, tisser des liens avec de futurs collaborateurs et tirer le meilleur des outils à votre disposition ! »

Pour aller plus loin, lisez :

Notre article qui vous présente Workplace
Notre article qui présente notre pédagogie
Et faites un tour sur notre page parcours.

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Maxime, community manager en devenir

Maxime a 24 ans et il vient de terminer avec succès la formation de Community Manager d’un an avec OpenClassrooms.

Ravi de s’être lancé, il est satisfait de son expérience et a le sentiment d’avoir aujourd’hui toutes les compétences pour s’intégrer en entreprise.

 

Initialement, quel a été ton parcours universitaire ?

 

J’ai suivi un cursus assez traditionnel, j’ai obtenu une BAC STG option comptabilité puis j’ai poursuivi avec un BTS Management des unités commerciales. Et ensuite j’ai décidé de faire une coupure pour me consacrer à d’autres activités.

 

As-tu eu des expériences professionnelles avant ta formation OpenClassrooms ?

 

Avant ma reconversion, j’ai travaillé comme conseiller de vente dans un Apple Store. J’ai toujours été fasciné par cette marque et je n’avais pas l’envie à ce moment-là de reprendre mes études.

 

Qu’est-ce qui t’a donné envie de te former à nouveau ?

 

J’avais fait le tour en tant que conseiller de vente chez Apple.

J’avais envie de changer de vie et de reprendre mes études car le domaine du Community Management m’a toujours intéressé. En réfléchissant à l’avenir, je me suis dit qu’avoir des compétences digitales me permettrait de trouver un emploi intéressant.

 

Comment as-tu découvert OpenClassrooms ?

 

J’ai découvert OpenClassrooms en faisant des recherches. J’étais prêt à retourner à la fac, je cherchais une école mais en me renseignant j’ai appris que la formation OpenClassrooms s’effectuait en ligne et pas dans une salle de classe traditionnelle.  

Au départ, j’étais réticent car l’offre semblait presque trop belle, je n’y croyais pas : une formation en e-learning, rapide et de qualité ? Finalement, j’ai apprécié le concept, je me suis familiarisé avec la procédure et je me suis dit que c’était un bon format pour moi. Je n’ai pas été déçu !

Ce que j’ai beaucoup aimé dans la formation, c’est le côté professionnalisant et pas si scolaire.

L’approche est totalement différente des autres formations. Openclassrooms privilégie la compréhension globale de l’étudiant pour qu’il valide de manière optimale ses projets pas à pas.

J’ai aussi beaucoup apprécié le mentorat. C’est une approche différente du professeur traditionnel, le mentor est là en tant que soutien lorsqu’on a une interrogation. C’est une  relation très amicale et enrichissante tout au long de la formation.

 

Quelles sont les compétences que tu as acquises ?

 

Durant le parcours, j’ai appris l’assiduité, l’autonomie et l’esprit d’équipe.

J’ai été formé à la gestion de projet, au marketing digital, au marketing pur, aux réseaux sociaux.

J’ai découvert avec la formation que le Community management était un domaine vaste et qu’il y avait énormément d’opportunités à l’arrivée. On peut travailler comme Community manager, social media manager, les demandes sont diverses. La formation est pluridisciplinaire, très complète, et donc on n’est pas cantonné ensuite à un seul métier.

 

Est-ce que tu as eu des projets de mise en pratique ?

 

Oui, il y a plusieurs projets concrets et donc plus pratiques à valider. Par exemple, le 5ème projet de la formation, au cours duquel nous devions venir en aide à une association grâce à nos compétences digitales.

Ça n’a pas toujours été simple, mais avec du recul, cela m’a permis d’apprendre encore d’autres choses, comme être capable de s’adapter.

J’avais réalisé une bonne partie des livrables pour une personne qui souhaitait réaliser une campagne de dons pour financer une exposition d’art, quand elle a finalement décidé de ne plus collaborer avec moi. J’ai dû rester positif et me motiver pour chercher une autre association et recommencer le projet à zéro. C’est dans ce type de contexte que l’on doit se montrer persévérant ! Au final, j’ai aidé l’association EasyRaideuses, en faisant une partie de leur community management pour promouvoir leur activité.

Il y a aussi un projet d’équipe, qui permet d’apprendre à déléguer les missions et à scinder le travail entre les collaborateurs. Là encore, au début et à la fin de chaque projet, les mentors sont bienveillants avec les étudiants. Ils nous orientent, nous encouragent et nous donnent les axes d’améliorations possibles.

 

Quels sont tes conseils aux personnes qui souhaitent se reconvertir ou se former mais n’osent pas sauter le pas ?

 

Je leur donnerais comme conseil de vraiment prendre cette opportunité comme une occasion de changer de vie.

Il ne faut pas de pré-requis ou de diplôme quelconque pour accéder à cette formation, l’apprentissage se fait pas à pas avec les cours en ligne. Il faut néanmoins être très autonome et investi pour réussir avec brio la formation, mais comme c’est une approche professionnalisante, on se prend vite au jeu.

 

Envie de suivre la formation Community Manager ? Par ici !

 

 

À lire sur le même sujet : 

 

[ Le community management par Amandine Gleyzes de Doctissimo
Les meilleurs outils de veille social media ]

 

À propos d’Aglaé : 

Aglaé est auteur-rédacteur. Elle a fondé Word Shaper, une agence créative qui propose des services d’écriture, de consulting et de conception.

 

 

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6 conseils pour réussir vos études en ligne

Par : Nora Leon

 

Réaliser des études en ligne demande beaucoup de motivation, de régularité et d’auto-discipline. Et c’est tout à fait possible !

Bien évidemment, votre motivation initiale est essentielle. Chacun en est capable avec de la volonté, mais il faut apprendre à croire en vous. Nous avons tous des hauts et des bas. Nous rencontrons tous des difficultés et nous avons parfois besoin d’aide. C’est pourquoi nous avons décidé de dresser une liste de 6 conseils utiles qui peuvent vous aider à réussir vos études en ligne.

Michael Holmes est diplômé d’un parcours en développement d’OpenClassrooms. C’est un membre très actif de notre communauté et il a aidé d’autres personnes qui avaient du mal à se motiver. Aujourd’hui, il partage ses meilleures astuces avec vous.

Alors Michael… Comment réussir ses études en ligne ?

 

1 — Fixez-vous des objectifs moins hauts

 

On ne le dira jamais assez : il faut se fixer des objectifs.

Au début de chaque semaine, je me fixe un objectif principal à accomplir d’ici la fin de la semaine. Je l’écris sur un papier que je place à un endroit où je le vois tous les jours.

 

C’est bien de se fixer un objectif hebdomadaire, mais ce n’est pas suffisant.

 

Chaque matin, je prends quelques minutes pour évaluer ma situation. Qu’est-ce que je veux accomplir aujourd’hui ? Il est important que cet objectif soit raisonnable. Ne visez pas trop haut car si vous rencontrez un problème ou que vous vous retrouvez coincé parce que vous avez été trop ambitieux, vous serez déçu et cela sera très démotivant.

Ces petits objectifs vous aident à rester sur la bonne voie et vous permettent d’évaluer rapidement votre progrès. Si vous n’avez pas de petits objectifs, seulement celui de terminer le parcours, il vous sera très difficile de mesurer votre progrès et vous ne vous rendrez pas compte de ce que vous avez accompli.

 

2 — Créez-vous un emploi du temps

 

Se créer un emploi du temps aide autant que les petits objectifs.

Quand allez-vous travailler sur vos cours ? Si vous ne le planifiez pas, vous ne le ferez pas. Je ne dis pas que vous êtes paresseux, mais je sais que certaines choses finissent toujours par nous distraire de nos études : le travail, passer du temps avec ses amis ou sa famille. Il y a même des distractions plus subtiles… notre smartphone


Ce ne sont pas de mauvaises choses, mais si vous définissez pas un moment chaque jour où vous prévoyez de travailler sur votre cours en ligne, votre progrès sera lent et vous n’en serez pas satisfait. Par exemple, si vous êtes en mesure de consacrer quatre heures par jour à vos études… planifiez-les et tenez-vous-y.

 

3 — Trouvez quelqu’un avec qui étudier

 

Étudier avec d’autres personnes est un excellent moyen de le faire, et c’est l’une des raisons pour lesquelles les formations en présentiel peuvent être efficaces. Je ne dis pas que c’est impossible dans l’enseignement en ligne, en aucun cas. Rencontrer des personnes qui font face aux mêmes problèmes que vous et d’autres qui les ont surmontés peut s’avérer très motivant.

Vous pouvez le faire de plusieurs manières, par exemple, si votre école vous propose de rejoindre sa communauté en ligne, faites-le et soyez actif. Parfois, vous serez en mesure d’aider d’autres étudiants et cela décuplera alors votre motivation.

Chez OpenClassrooms, nous utilisons Workplace pour que les étudiants puissent interagir. Voici un article qui explique comment cela peut vous aider dans vos études.

 

4 — Trouvez en mentor

 

Imaginez une équipe de football sans entraîneur. Les équipes de football ne sont-elles pas meilleures avec un coach expérimenté pour les guider ?

Si vos études en ligne ne comportent pas de programme de mentorat, je vous recommande grandement de trouver une personne qui soit prête à vous aider et à vous guider.

Votre mentor n’est pas né avec toutes ses connaissances. Il a dû apprendre et il a lui aussi connu des difficultés. Il comprend ce que vous traversez et ce que vous avez à faire, et il connaît vos capacités et sait ce que vous pouvez accomplir.

L’un des avantages d’avoir un mentor est d’avoir quelqu’un à contacter lorsque vous êtes bloqué sur un problème ou que vous rencontrez des difficultés. Il n’est pas là pour faire le travail à votre place, mais pour vous aider à déterminer ce dont vous avez besoin pour avancer.

Cherchez un mentor, trouvez un mentor, et appréciez-le.

Bon à savoir : Les étudiants des parcours diplômants d’OpenClassrooms ont accès à des sessions de mentorat d’une heure chaque semaine. Voici une interview de Bertrand Deloffre, mentor en Marketing chez Openclassrooms, qui parle du processus de mentorat et en explique le fonctionnement.

 

5 — Récompensez-vous

 

Mon premier conseil était de vous fixer de petits objectifs. Que faire lorsque vous avez accompli ces objectifs ? Que faire après une semaine d’étude qui s’est bien passée, ou après avoir terminé un projet sur lequel vous travailliez depuis des semaines ?

Il est important que vous vous récompensiez d’une manière saine et équilibrée. Sortez avec des amis, allez au cinéma ; pour ce faire, faites-vous plaisir. Pensez à ce que vous avez accompli. Vous vous sentirez bien et vous saurez que si vous continuez vos efforts, vous pourrez faire encore plus… et vous y parviendrez.

 

6 — Prenez soin de votre santé

 

Imaginez deux athlètes, l’un bien reposé, avec une alimentation équilibrée, et le second qui dort peu et qui se nourrit de caféine et de sucre. On sait bien lequel des deux aura des performances meilleures et plus régulières. Il ne s’agit pas d’un blog fitness ou santé, mais lorsque vous étudiez, vous utilisez tout de même une partie essentielle de votre corps… votre cerveau !

Dormir suffisamment la nuit, boire assez d’eau et avoir une alimentation équilibrée vous aidera à avoir les idées plus claires et à mieux vous concentrer.

De plus, si vous restez assis pendant plusieurs heures de suite, levez-vous toutes les heures et marchez quelques minutes. Vous pouvez également le faire si vous êtes bloqué sur un problème… Prenez une pause de 10 minutes et sortez prendre l’air avant de retourner étudier.

Cela ne vous transformera pas instantanément en Albert Einstein mais ça améliorera les fonctions de votre cerveau et vous aidera à concentrer vos efforts pour réussir vos études en ligne et atteindre vos objectifs.

 

Vous souhaitez avoir une carrière réussie et trouver un emploi avec un salaire attractif ? Rejoignez l’un de nos parcours !

 

OpenClassrooms est une école en ligne offrant des parcours diplômants et professionnalisants à plus de trois millions d’étudiants chaque mois à travers le monde.

Elle propose des cours gratuits ainsi que des programmes dans tous les métiers du numérique.

Renseignez-vous sur l’un de nos parcours en Développement, Design, Data science, Systèmes et réseaux, Marketing & Communication, Ressources humaines, Gestion de projet ou entrepreneuriat.

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Mes conseils pour vos candidatures par Rémi, diplômé d’OpenClassrooms

Le parcours de Rémi

 

Rémi a 28 ans et il est actuellement chargé de communication digitale et stratégie marketing. Il est d’abord passé par diverses formations : DUT MMI (Métiers du Multimédia et de l’Internet) et Licence UX2i (Activités et Techniques de Communication) ; puis il a travaillé quatre ans comme chargé de communication dans une agence de comm.

Jusqu’au jour où il ressent le besoin de sortir de sa zone de confort, comme il l’explique :

J’ai souhaité reprendre une formation pour me perfectionner et compléter mes expériences passées, j’avais le besoin de découvrir et apprendre des nouvelles choses.
 J’avais en tête de reprendre un cursus universitaire classique à l’université mais, près de chez moi, aucune formation ne correspondait à mes besoins.
 Je me suis donc tourné rapidement vers les formations à distance. J’ai appelé OpenClassrooms pour avoir des réponses à mes interrogations et le soir même, je souscrivais à la formation Chef de projet multimédia. J’ai été séduit par OpenClassrooms pour tellement de petits détails : un contact facile et rapide, par email ou par téléphone en cas de besoin, un tuteur chaque semaine pour être aidé à avancer, un accompagnement de 2 mois après la formation pour faciliter l’insertion professionnelle, la garantie de trouver un emploi, des cours miroirs au format vidéo et papier.

 

Ses conseils pour la recherche d’emploi

 

Selon toi, quels sont les pièges à éviter sur un CV ?

A l’ère du numérique et avec la multitude de ressources disponibles sur le net, c’est, à mon sens, impensable d’envoyer le traditionnel CV triste et obsolète. À l’inverse, c’est inconcevable d’envoyer un document illisible, surchargé et sur lequel toutes les couleurs de l’arc-en-ciel ont été utilisées. L’objectif est de trouver le juste milieu sur le plan esthétique, entre sobriété et l’exotisme.

Second piège, je dirais que beaucoup ont en tête de faire tenir absolument toutes leurs expériences (stage de 1 semaine compris), leurs diplômes et compétences sur une seule page : ERREUR ! Un CV doit être aéré, succinct et donner les informations essentielles pour le poste auquel vous candidatez. Personnellement, j’avais fait un CV différent pour chaque poste, dans lequel j’adaptais mes compétences et expériences pour coller au mieux à l’offre. À ce sujet, j’avais lu une étude où qui stipulait qu’un recruteur prenait entre 30 et 60 secondes pour lire un CV, preuve que le candidat doit à tout prix aller à l’essentiel.

Enfin, les fautes d’orthographe sont rédhibitoires. Prenez le temps de vous relire et de faire lire à votre entourage.



Quels sont tes conseils pour élaborer un portfolio convaincant ?

De mon point de vue, un portfolio convaincant est un portfolio à jour, visuellement accrocheur et succinct. 


Sur le fond, il est inutile d’avoir des quantités d’informations, simplement l’essentiel, c’est un CV amélioré :

  •    Une présentation de quelques lignes (motivations, votre parcours, ce que vous cherchez…),
  •    Un récapitulatif de vos compétences/domaines d’expertise,
  •    Un book qui regroupe tous vos travaux,
  •    Et vos coordonnées pour être recontacté.

Sur la forme, il doit avoir de l’impact : des visuels de qualité, quelques petites animations pour rendre votre site vivant et attrayant (animations CSS, effets Parallax, jQuery…). Vous n’avez aucune excuse, OpenClassrooms regorge de cours sur ces sujets pour vous aider : Lien 1, Lien 2par exemple.

 

Quelle est la meilleure façon d’organiser sa recherche d’emploi ?

Personnellement, j’avais commencé par mettre en ligne mon CV sur différentes plateformes (Monster, Indeed, Welcome to the jungle…) sur lesquelles j’avais correctement renseigné les mots clés pour orienter mes recherches et pour toutes, j’avais souscrit aux notifications afin d’être le plus réactif possible.

Ensuite, j’avais construit un tableau sur lequel je répertoriais toutes les offres auxquelles je postulais, le type de contact, l’état de l’avancement etc. afin de ne pas perdre la tête au fil de mes recherches. Et puisque je suis un mec sympa : voici mon tableau type.


Comment se mettre en avant pour un poste que l’on convoite ?
       

Être présent sur les BONS réseaux sociaux ! Je pense principalement à LinkedIn sur lequel j’avais pris plusieurs heures pour avoir un profil pleinement à jour et détaillé (photo récente, présentation, formations, expériences professionnelles, compétences…) qui est un excellent complément à un CV et, en prime, une plateforme de recherche d’emploi efficace sur lequel sont présents beaucoup de recruteurs.

Avoir un joli book à jour et complet, c’est encore un détail sur lequel on peut facilement se démarquer. Personnellement j’avais mis l’adresse URL dans un coin de mon CV, l’occasion pour les recruteurs de voir mes travaux et des informations supplémentaires.

Attention : un conseil, pensez à rendre inaccessible et privé vos réseaux sociaux personnels (Facebook, Instagram…). Je ne suis pas sûr qu’un recruteur soit emballé à l’idée de vous proposer un entretien d’embauche après avoir tapé votre nom sur Facebook et être tombé sur une vidéo de vous en soirée, nu(e) comme un ver, en train de danser sur une table à jongler avec des tronçonneuses en feu…

 

De quelle façon as-tu tiré parti de ton expérience chez OpenClassrooms ? L’as-tu mise en avant d’une manière particulière ?

Évidemment ! Pendant les différents entretiens, au moment de présenter mon parcours et mes formations, j’ai toujours insisté sur le diplôme de chef de projet que j’avais obtenu par le biais d’OpenClassrooms en formation à distance.  

Pour être franc, j’en ai même fait une force puisque ça m’a permis de prouver des qualités comme l’autonomie et la rigueur.


Contrairement aux idées reçues, les diplômes dispensés à distance sont aujourd’hui tout autant légitimes, à condition qu’ils soient reconnus par l’État, bien sûr.

 

Quelles sont les règles d’or pour réussir un entretien d’embauche ?

S’il y avait une seule règle à respecter qui les englobe toutes, ce serait celle-ci : se préparer !

Pour chaque entretien, il est indispensable de prendre le temps de se renseigner sur l’entreprise en question : ses références, ses clients, ses services/produits etc. J’ai surpris plus d’un recruteur en évoquant des projets qu’ils avaient réalisés ou des clients pour lesquels ils avaient travaillé par exemple… C’était une manière pour moi de leur prouver mon intérêt pour le poste et ma curiosité.

Ensuite, c’est bête mais : bien connaître son parcours et être en mesure de le présenter en 3 minutes. Chaque recruteur introduit toujours son entretien de la même façon : « Présentez-vous, je vous écoute ». C’est essentiel d’être fluide, ne pas se tromper pour présenter son CV de manière claire et précise.

J’avais aussi fait imprimer tous mes projets réalisés pendant ma formation OpenClassrooms (cahiers des charges, plans marketing, plans d’action etc. ce qui représentait 300 pages au total) que je ramenais à chaque entretien. Alors, même si les recruteurs n’ont jamais pris le temps de le lire en détail chaque livrable, ils ont toujours pris quelques minutes pour regarder les documents (la mise en page, la qualité, la pertinence, etc.). C’est encore un bon moyen de faire la différence je pense.



Dernier conseil, préparer l’entretien d’embauche c’est aussi prendre le temps d’anticiper les questions qui seront évoquées. Sur Internet, on peut facilement trouver les questions classiques qui reviennent régulièrement afin de réfléchir en amont aux réponses. 


Enfin, les basiques :

  •    Arriver en avance,
  •    Venir avec un CV (!),
  •    Rester souriant du début à la fin,
  •    Regarder la personne qui vous parle/à qui vous vous adressez dans les yeux.


Y a-t-il une procédure post-entretien à suivre pour mettre encore plus de chances de son côté ?

Le lendemain d’un entretien convaincant, je recommande d’envoyer un e-mail au recruteur pour le remercier de l’accueil, la qualité des échanges, et profiter pour ré-exprimer sa motivation et sa détermination à l’idée de rejoindre leur structure.

Pour ma part, c’était aussi un moment opportun pour glisser en pièce jointe les livrables que j’avais présentés pendant l’entretien afin qu’ils prennent le temps de les lire.

Encore une fois, se démarquer des autres concurrents se joue sur des petits détails.

 

Enfin, dernier conseil : malgré les hauts, les bas pendant une recherche d’emploi, le secret est de ne jamais désespérer et de ne pas lâcher !

 

À lire ensuite : 

 

[ La trajectoire de Mehedi – 5 conseils pour surmonter une pause ]
[ La trajectoire de Silvia – « Je n’aurais jamais pensé réussir à exercer le job de mes rêves » ]

 

À propos d’Aglaé : 

Aglaé est auteur-rédacteur. Elle a fondé Word Shaper, une agence créative qui propose des services d’écriture, de consulting et de conception.

 

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La cybersécurité, nouvel eldorado des recruteurs en systèmes et réseaux

Par : Nora Leon

14 avril 2017. Le groupe de cyberpirates “The Shadow Brokers” diffuse nonchalament une liste d’outils dérobés à la… NASA. Coup de tonnerre dans le monde du web.

Entreprises, développeurs et acteurs institutionnels savent désormais qu’une cyber-attaque peut bloquer une entreprise ou institution pendant plusieurs heures voire jours. Et qu’un cyber-pirate peut s’approprier des données contre rançons ou simplement pour le sport.

En mai, le ransomware WannaCry frappe 150 pays et… les esprits. Un bilan douloureux estimé entre 1 et 1,5 millions, 300 000 machines touchées, et des usines telles que Renault et Saint Gobain fermées pendant plusieurs jours.

Devant ces menaces de plus en plus nombreuses et inventives, le métier de responsable cybersécurité a le vent en poupe — et pour longtemps. Ceux des systèmes et réseaux recrutent 4 fois plus que le reste des métiers du marché de l’emploi. Le métier de responsable cybersécurité, 8 fois plus.

Anatomie d’une fonction technique, stratégique et agréablement geek.

 

Notre expert

 

Antoine Botte est Président et Directeur Général de SAFE-Cyberdéfense.

Très tôt, Antoine s’intéresse à l’informatique. Polyvalent, il commence par de la maintenance informatique, s’intéresse ensuite aux réseaux d’entreprises ainsi qu’au développement.

En 2013, il entreprend la Licence Professionnelle en sécurité informatique de l’IUT de Valenciennes, suivi par le Master en Sécurité informatique de l’ESGI. Pendant ce master, il découvre de nombreuses solutions de sécurité très réputées.

Rapidement conscient des faiblesses des solutions vendues aux clients, il a créé sa société il y a trois ans, pour proposer une solution sur-mesure de remplacement aux anti-virus poreux du marché.

Antoine a su greffer sur son profil de développeur des compétences en cybersécurité, un développement de carrière particulièrement recherché à l’heure actuelle.

 

Des attaque protéiformes

 

Pour notre expert, les attaques de hackers peuvent prendre des formes très diverses.

Premièrement, il y a celles qui sont permises par les failles dans le développement vieillissant de certains sites. Antoine explique : “Auparavant, il y avait énormément de sites développés avec des langages anciens, dont les failles permettaient de voler des données. Aujourd’hui, les langages et frameworks récents permettent de sécuriser les sites by design, (Python, Django) et les règles de sécurité permettent d’éviter que les sites soit perméables. Tout cela est automatisé : les menaces sont donc toujours présentes sur les sites qui ne sont pas passés à ces technologies, mais ce sera de moins en moins le cas.

Ensuite, les menaces les plus courantes à l’heure actuelle sont les “ransomwares”, des logiciels malveillants développés pour infecter tous types de terminaux (les smartphones, postes de travail, iPads, ou même les objets connectés). Ces programmes prennent en otage les données de l’utilisateur contre rançon (et encore, quand on récupère les données après rançon…). Selon Antoine, en quelques lignes de code, “on peut développer un programme qui chiffre vos données personnelles pour les rendre inaccessibles, il suffit ensuite de demander une rançon à l’utilisateur au travers d’une adresse bitcoin et le tour est joué.

Les cryto-mineurs sont d’autres menaces plus insidieuses. Le bitcoin et la blockchain utilisent les ressources d’un terminal pour générer de l’argent. Or, certains hackeurs utilisent la puissance de calcul d’ordinateurs infectés pour générer des crypto-monnaies qui leurs reviennent, à l’insu du propriétaire de la machine. Cela utilise anormalement la machine, en la mobilisant en permanence, et réduit donc sa durée de vie. Antoine affirme que c’est parmi les attaques les plus courantes en ce moment.

Et dans 5 à 10 ans ? Antoine voit se dessiner des menaces liées aux GAFAM (Google, Amazon, Facebook, Apple, Microsoft). Aujourd’hui, tout est stocké dans le Cloud. Même Microsoft vient de racheter Github.

Le jour où on piratera Facebook, ou même Microsoft, cela fera du bruit, car les hackers auront dérobé les données de millions de personnes ou même celles d’entreprises.

Quoi qu’il en soit, il sera toujours nécessaire de sécuriser les terminaux des utilisateurs qui accèdent à ces données, surtout parce que les utilisateurs sont souvent responsable de l’infection de leurs machines en cliquant au mauvais endroit au mauvais moment.

D’autres attaques pourraient proliférer, notamment avec le développement de l’intelligence artificielle, qui va complexifier les cyber-attaques, et l’explosion du nombre d’objets connectés, qui présentent souvent des failles faciles à exploiter.

 

La cybersécurité, un domaine technique

 

Ce domaine est stratégique pour les entreprises comme les particuliers. Dans un contexte où la donnée est partout, la sécuriser devient primordial. Les terminaux à sécuriser sont aussi en évolution permanente : ordinateurs, smartphones, tablettes, mais aussi aujourd’hui nombre d’objets connectés. Et la tendance est à la multiplication et des terminaux à sécuriser, et des types de menaces. Les responsables et ingénieurs sécurité ont donc de beaux jours devant eux, et de beaux défis, puisque ce métier exige des compétences techniques mises à jour régulièrement pour palier aux attaques impossible donc de vous ennuyer tout au long de votre carrière.

Alors, quels sont les pré-requis techniques à l’heure actuelle ? Pour pouvoir exercer cette spécialité, il est préférable d’avoir de très bonnes bases en développement. Antoine nous confirme qu’il existe plusieurs niveaux de connaissances en développement requis pour exercer différentes spécialités en sécurité informatique.

Pour de l’audit de code on n’a pas forcément besoin de développer, il a des solutions payantes, mais souvent moins efficaces. De même, pour faire des tests d’intrusion, il existe pas mal d’outils sur Internet pour se faciliter la tâche. Python peut ensuite être un gros plus pour automatiser des choses.

Pour sécuriser une application par contre, il faut savoir développer, et notamment maîtriser les frameworks récents. Il existe bon nombre de framework orientés sécurité, basés sur du modèle de données. De même, si on fait de la sécurité applicative ou de la recherche de vulnérabilités sur des logiciels, il faut faire du C, et maîtriser l’assembleur pour comprendre ce qu’il se passe dans la mémoire et le processeur de la machine.

 

Un métier en forte demande

 

On a besoin de responsables cybersécurité dans tous les secteurs, et ce sera de plus en plus le cas, affirme Antoine. “Des robots se baladent sur Internet pour voir si votre site est vulnérable, en permanence. Si c’est le cas, votre site peut ensuite servir pour d’autres attaques en hébergeant du contenu malveillant. Donc, même le plus innocent des sites peut héberger à son insu des malwares ou être utilisé comme relais de spam. Et toute entreprise présente sur Internet doit se protéger pour ne pas être la cible des cyber-pirates”, renchérit-il.

Le marché ne fait que grossir, et pas mal de postes différents sont à pourvoir. En tant que responsable cybersécurité, vous vous situez à un niveau stratégique dans l’entreprise : vous sécurisez les données, souvent décrites comme le nouvel or noir.

Pas étonnant donc que de nombreuses configurations de postes existent pour attirer les “talents” qui possèdent ces compétences rares. Vous pouvez trouver un poste dans une PME ou dans un grand groupe en CDI. Travailler comme consultant directement chez ses propres clients est également possible. Enfin, le télétravail est également envisageable, notamment si on se spécialise dans la recherche de malwares, car cela peut être fait de manière indifférenciée à distance.

 

Est-ce pour moi ?

 

Voici les principales qualités nécessaires pour exercer ce métier :

  • Discrétion et éthique, car le responsable cybersécurité manipule des données sensibles d’une entreprise ;
  • Organisation et capacité à anticiper, tant pour colmater les failles que pour prévoir un programme sécuritaire efficace ;
  • Pédagogie, pour faire passer aux collaborateurs les règles de sécurité globales ;
  • Résistance au stress, pour gérer les crises ;
  • Curiosité et pro-activité, pour se tenir au courant des nouvelles menaces et faire sa veille technologique mais aussi pour proposer les grandes orientations de la stratégie en sécurité de l’entreprise ;
  • Capacité à manager une équipe, particulièrement en cas de crise ;
  • Esprit analytique et autonomie, capacité à chercher des solutions.

Antoine résume : 

Si on aime bidouiller son ordinateur et surtout se casser la tête pendant des heures en cherchant, sans savoir si on va y arriver, c’est fait pour nous. Il faut aussi aimer l’informatique, avoir l’esprit créatif, être très analytique et logique.

 

Antoine vous a convaincu des aspects passionnants de ce métier ?

Consultez le programme du Master de l’Université de Technologies de Troyes pour devenir Responsable en sécurité des systèmes d’information sur OpenClassrooms.

 

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Comment se passe la première session de mentorat ?

Vous venez de vous abonner à un parcours de formation sur Openclassrooms et l’équipe des conseillers pédagogiques vient de vous affecter votre mentor qui vous accompagnera chaque semaine, en visio-conférence pendant une session de 45 minutes à 1h. Ce sera l’occasion pour vous de lui poser toutes vos questions sur la formation, et pas que…

Alors, comment est-ce que votre première séance de formation va-t-elle se passer ?

Je m’appelle Vincent Verdier, et je suis mentor chez OpenClassrooms. En parallèle, je suis freelance en marketing digital, j’accompagne les entreprises à se développer sur Internet en structurant leur approche marketing au travers des réseaux sociaux, de la publicité mais également de l’expérience client lors d’un achat sur leur site internet ou dans leur boutique physique. Je travaille également beaucoup sur l’analyse des données générées pour optimiser et améliorer mes différentes actions.

Je vous aiderai à vous imaginer cette première session et vous guiderai pour qu’elle se passe au mieux.

 

Mon mentor a pris contact avec moi, comment se passera la première session ?

 

Pas de stress : bien.
Cette session sera l’occasion pour vous et votre mentor de faire connaissance. En effet, vous allez travailler sur un ou plusieurs projets de votre parcours, forcément, ça crée des liens !

Lors de cette première session, votre mentor vous expliquera son parcours et ses missions au quotidien. Eh oui, chez OpenClassrooms, tous les mentors sont des professionnels du métier et c’est leur expertise qu’ils partageront avec vous à l’occasion des sessions. Vous verrez, grâce à lui ou elle, vous apprendrez vite les ficelles du métier, vous progresserez et monterez ainsi plus rapidement en compétences.

Ce sera également l’occasion de mieux vous connaître. Pendant cette session, vous pourrez lui expliquer votre objectif, lui raconter ce que vous faisiez avant, comment vous vous projetez dans le monde professionnel. Ce sera aussi le moment de lui partager vos méthodes de travail préférées, vos doutes… Une rencontre et un grand tour d’horizon, donc.

 

J’ai peur d’avoir un bug technique pendant la session. Que faire ?

 

Je stresse. C’est grave docteur ?” Non c’est normal. Mais, rassurez-vous, cela va aller comme sur des roulettes !

Voici quelques conseils pour éviter le bug 404 :

  • Installez-vous dans un endroit calme, lumineux et dans lequel vous aurez une bonne connexion Internet afin d’éviter toute coupure lors de la session.
  • Assurez-vous également d’avoir bien configuré votre caméra et votre micro ou votre casque audio le cas échéant. Cela évitera de perdre du temps au démarrage de la session avec des soucis techniques.
  • Testez votre configuration avant la session avec un ami à vous en appelant sur Hangouts, par exemple.

 

Et après cette présentation, qu’est-ce qu’on va se dire ?

 

Une fois les connaissances faites, votre mentor entrera dans le vif du sujet et vous expliquera comment devrait se passer la formation à distance sur OpenClassrooms.

En général, votre mentor vous donnera quelques conseils pour vous aider à vous organiser au quotidien dans votre apprentissage, ainsi que dans l’atteinte des objectifs que vous vous fixerez ensemble entre chaque session. Pas d’inquiétude non plus si vous êtes en apprentissage ou que vous êtes salarié, votre mentor fixera avec vous des objectifs qui s’adapteront à votre rythme de travail.

Il vaut mieux avancer petits pas par petits pas en se donnant des objectifs réalistes et atteignables plutôt que d’être trop ambitieux et de ne pas avancer du tout.

Votre mentor en profitera pour vous expliquer également comment se passeront les étapes de validation des projets (les soutenances). Avant chaque soutenance, il vous répètera les consignes de ces dernières pour être sûr que cela se passe bien. Dans un second temps, vous verrez avec lui comment vous organiser pour partager vos documents de travail afin qu’il puisse en prendre connaissance pour préparer vos prochaines sessions.

Ensuite, dès que vous aurez bien compris le fonctionnement de la formation, vous pourrez démarrer. Votre mentor vous expliquera alors l’objectif du premier projet, les compétences à valider pour le réussir et le travail à faire. Certains d’entre vous auront déjà entamé ou terminé le premier projet. Cette session sera l’occasion pour vous de présenter votre travail à votre mentor, il vous donnera son avis et vous aidera à l’améliorer (si nécessaire) en vous donnant des éléments pour le retravailler afin d’acquérir les compétences visées par le projet.

 

Les sessions de mentorat, un moment d’échange

 

Profitez de vos sessions de mentorat pour poser vos questions à votre mentor.

Il n’y a pas de question idiote : si vous vous la posez, elle est pertinente. C’est l’occasion d’éclaircir un point mal compris dans le cours ou l’énoncé du sujet. Vous pouvez également échanger avec votre mentor sur des questions d’ordre technique ou sur des sujets d’actualité en lien avec votre parcours. Par exemple, un étudiant en community management pourrait très bien demander l’avis à son mentor sur un logiciel de gestion des réseaux sociaux qu’il aurait trouvé en lisant un article sur un blog spécialisé.

Les sessions de mentorat sont un moment d’échange très intéressant pour vous, n’hésitez pas à tirer profit de chacune d’elles pour aller plus loin dans la formation.

Ça y est, la session tire à sa fin. Votre mentor organisera avec vous le travail à faire pour la semaine suivante en vous donnant des éléments pour avancer de votre côté. N’ayez crainte si vous êtes perdu au cours de la semaine, vous pouvez solliciter la communauté Workplace pour poser des questions et nouer des liens avec d’autres étudiants. Et si vous ne trouvez pas de solution, ce sera l’occasion de la poser à votre mentor lors de votre prochaine session.

[À lire ensuite :

Être freelance, une mission importante, par Bertrand Deloffre
Comment démarrer un projet ?
Comment bien préparer ma soutenance ?
Peut-on changer de mentor ? ]


À propos de Vincent : 

Vincent est indépendant en marketing digital depuis 2015. Il est spécialisé dans l’acquisition de prospects qualifiés au travers du référencement naturel ou de la publicité en ligne (Facebook Ads et Google Adwords). En parallèle, il forme des adultes dans ce domaine et complète son bagage par une VAE de formateur qu’il réalise actuellement avec Openclassrooms.

 

 

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Le parcours de Laure : d’OpenClassrooms à Gameloft, au Canada

Par : Nora Leon

Laure, c’est l’histoire d’une reconversion improbable réussie. Notamment grâce à un passage par la formation Développeur d’applications Python d’OpenClassrooms qui lui a permis de se forger de nouvelles compétences professionnelles dans le domaine de la programmation et du développement web, une passion qu’elle ne soupçonnait pas jusqu’alors.

 

D’abord, une reconversion

 

Laure a été chimiste analytique dans l’industrie pharmaceutique pendant près de treize ans. Au cours de cette période, elle a travaillé dans quatre entreprises différentes, de Paris à Montpellier en passant par l’Alsace. Jusqu’à la dernière qui l’a emmenée à Montréal au Québec, puis qui a dû supprimer son poste pour des raisons économiques.

 Le 6 décembre 2016, j’ai appris que mon poste de chimiste serait supprimé après mon congé maternité qui courait jusqu’en avril 2017. J’ai finalement été payée à rester à la maison pendant 4 mois, en guise d’indemnités de départ. Avant d’entamer mes démarches pour me former au code, j’étais installée au Canada depuis près de de trois ans, et plus de deux ans que j’étais à la maison, depuis ma 2ème grossesse.  

Suite à la perte de son emploi, Laure a envoyé des candidatures et entamé des démarches pour retrouver un poste dans la chimie, mais sans grand succès.

 

La découverte du code

 

C’est à l’occasion d’un atelier parent-enfant dédié à la découverte de la programmation informatique que Laure découvre le code. Avant même d’y participer, au moment de son inscription, elle commence à se renseigner sur ce monde a priori à l’opposé du sien.

Après avoir visionné une vidéo très inspirante de Ludwine Probst qui racontait son parcours, je me suis demandé pourquoi je n’étais pas devenue développeuse à 20 ans… Avec le recul, j’ai trouvé 3 réponses :

 

parce que je pensais que c’était pour les gens (vraiment !) intelligents, et que je me suis longtemps dévalorisée de ce point de vue-là.

 parce que je pensais que « l’informatique n’était pas pour les filles ». Maintenant, ça me fait simplement sourire d’avoir pensé cela car ce n’est plus le cas aujourd’hui.

parce que je pensais aussi qu’il fallait être un peu asocial pour passer sa vie devant un écran d’ordinateur et ce n’était pas l’image que j’avais de moi. Aujourd’hui, je sais que j’ai un grand besoin de m’isoler pour être heureuse et je n’en tenais pas compte avant.

Ludwine Probst qui raconte son parcours sur YouTube

 

La formation

 

En parallèle, Laure découvre le site d’OpenClassrooms.

J’ai découvert des vidéos sur YouTube et j’ai commencé un premier cours gratuit. Ensuite, j’ai consacré tout mon temps libre à suivre des cours. Les semaines puis les mois ont passé, pendant que je développais un intérêt toujours grandissant pour la programmation informatique.

Dans un deuxième temps, un rendez-vous téléphonique avec la conseillère pédagogique d’OpenClassrooms m’a aidée à confirmer le choix de mon parcours. Ce serait : développeur d’application – Python.

A partir de ce moment-là, je me suis concentrée sur les cours gratuits du parcours, afin d’être opérationnelle pour démarrer le parcours mentoré. Pour lequel j’ai choisi Thierry Chapuis comme mentor, qui m’a appris que le langage Python était également utilisé en laboratoire ! Alors, reconversion ou pas finalement ?

 

Une expérience professionnelle et un contrat chez Gameloft !

 

Pendant les mois qui suivent sa découverte du code, Laure boucle 8 des 13 projets du parcours qui se rapportent à la formation Python. Forte de son nouveau savoir et de ses compétentes toutes fraîches, elle se lance à la recherche d’un stage d’application dans une entreprise.

Issue du domaine de la chimie, elle n’a pas de réseau à Montréal dans le champ du code. Néanmoins, une des ses amies proches travaille chez Gameloft et lui fait savoir qu’ils y recrutent régulièrement des développeurs. On peut même dire que les étoiles s’alignent pour Laure, puisqu’à ce moment-là, c’est précisément un stagiaire en Python qu’ils recherchent ! Elle envoie donc son CV et un peu plus d’un an seulement après avoir tapé sa première ligne de code seule chez elle, Laure est reçue chez Gameloft :

J’ai enchaîné les cours sur OpenClassrooms sans jamais avoir l’occasion d’échanger en réel avec des codeurs confirmés (sauf les mentors en visio).

Je me sentais honorée d’être ainsi reçue et écoutée par des développeurs professionnels pendant 1h. Aussi incroyable que cela puisse paraître, l’entretien s’est merveilleusement déroulé. Notez qu’avec mes presque 37 ans, j’étais de loin la personne la plus âgée de la pièce.

J’ai raconté mon parcours et comment j’en étais arrivée à reprendre des études pour changer de branche. L’équipe a été très intéressée que j’explique en détails ma formation avec OpenClassrooms, j’ai notamment raconté que j’avais été séduite par le système de mentorat que je trouvais très efficace. Mes futurs collègues se sont montrés très ouverts et curieux. Ils m’ont finalement demandé d’aller au tableau blanc pour l’exercice du FizzBuzz ! Par chance, je l’avais fait un an plus tôt dans un cours et je m’en souvenais assez clairement.

 

Suite à cet entretien, Laure a bel et bien été prise en stage chez Gameloft. Elle a donc intégré une équipe dans le studio où les jeux sont créés avant de sortir dans le monde entier. Elle gère des services assez transversaux comme l’authentification des joueurs, le stockage des données, le tableau des scores.

Ma mission est d’écrire des tests d’intégration sur le code de ces services qui est en place depuis plusieurs années et sur lequel on a besoin d’avoir davantage confiance, de façon à pouvoir envisager des modifications d’architecture conséquentes sans avoir peur de tout casser ! C’est du pur backend, 100% en Python !

En plus d’apprendre énormément de choses, je sens qu’on me fait confiance et qu’on tire partie de mon parcours atypique. Par exemple, depuis mes premières semaines à Gameloft, je participe aux entretiens de recrutement avec mes chefs à la recherche de nos futures perles rares (on a besoin de développeurs !) … c’est fou quand j’y pense. 

 

Pour Laure, tout a été question de chance, de coïncidences, de persévérance et de rencontres au bon moment, encouragée par la formation OpenClassrooms. L’histoire est d’autant plus belle que lors de son recrutement, on a sous-entendu à Laure qu’elle pourrait éventuellement prolonger son contrat à l’issue du stage, si elle le souhaite.

 

À propos d’Aglaé : 

Aglaé est auteur-rédacteur. Elle a fondé Word Shaper, une agence créative qui propose des services d’écriture, de consulting et de conception.

 

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DevOps, le rôle entre IT et Développement qui nous vient des États-Unis

Par : Nora Leon

Historiquement, les développeurs et professionnels des systèmes et réseaux (encore appelés professionnels de l’IT) travaillaient plus en parallèle que de concert. Des développeurs créent donc parfois des livrables peu adaptés aux infrastructures de l’entreprise.

À l’heure actuelle, ces situations frustrantes sont de plus en plus rares. Les équipes s’organisent en effet pour mieux travailler ensemble, et ce grâce au nouveau facilitateur fraîchement arrivé des États-Unis : le DevOps.

Nous avons rencontré Amine Benseddik, qui exerce ce rôle en start-up depuis quelques années, pour comprendre en quoi consiste ses responsabilités.

 

Notre expert

 

Amine Benseddik a un profil équilibré entre du développement et de l’administration de systèmes et réseaux. Naturellement, il prend en charge le rôle de DevOps dans plusieurs structures. Il nous explique :

Au départ, j’ai fait une formation d’administrateur systèmes, mais je n’ai pas pour autant vraiment tranché entre l’infrastructure et le développement. J’ai eu les deux casquettes à différentes reprises, et par conséquent pour moi c’était naturel de faire les deux. Hors, dans ce métier, il faut être à l’aise dans les deux.

Aujourd’hui, DevOps chez Qonto et riche de cette grande diversité de missions et des échanges avec toutes les équipes que ce rôle comprend nécessairement, Amine ne ferait marche arrière pour rien au monde.

 

Qui est le DevOps ?

 

Sa mission secrète, mettre du liant entre les développeurs et les administrateurs systèmes. Les produits sont donc facilement intégrés à au réseau de l’entreprise, là où c’était moins évident il y a quelques années.

Traditionnellement, on avait les équipes de développement, les administrateurs systèmes et au milieu… un vide. Les développeurs travaillaient, mais l’équipe système n’arrivait pas à mettre en production. Et donc certains produits n’arrivaient jamais en prod, car ce qu’on fournissait aux administrateurs ne correspondait pas à ce qui pouvait être pluggé sur leurs installations. Aujourd’hui, le devops vient fluidifier tout ça.

Ce rôle est récent. Amine insiste, au départ c’était un rôle que prenait un élément polyvalent de l’équipe au sein du projet.

Ce n’est pas un métier, c’est plus une méthodologie ou un ensemble de pratiques, aujourd’hui rassemblé au sein d’un métier. C’est partagé entre le développeur et l’administrateur systèmes. Aujourd’hui on tend à prendre des profils qui ont ces deux compétences et on appelle ça le DevOps.

Les besoins sont devenus tels que startups et grands groupes recrutent directement à ce rôle : “On a vu arriver les DevOps en force à partir de 2010. À présent, c’est tellement rentré dans les mœurs que ce rôle devient un métier à part entière. Le DevOps a la mission centrale de créer le pipeline de livraison du début à la fin”.

Très concrètement, Amine propose au quotidien aux développeurs “tous les outils qui leurs permettent d’être autonomes sur le développement, le test et la livraison de leur application en production”.

Ce métier est passionnant pour sa pluridisciplinarité. Pour Amine,

C’est grisant de pouvoir couvrir un scope technique très très large et d’être un point central de la vie de l’équipe technique.

 

Pourquoi les DevOps sont-ils recherchés ?

 

En un mot, car ils créent de l’agilité au sein des équipes développement et IT.

Le DevOps est d’abord intervenu dans les startups.

C’est quasiment intégré dans l’ADN de la startup, car le DevOps amène beaucoup d’agilité : il amène le développement en production sans freiner la vélocité de l’équipe. On le retrouve très en amont du développement de la startup, et c’est souvent un développeur qui prend ce rôle.

Mais aujourd’hui, les entreprises plus établies et notamment les grands groupes voient bien l’intérêt de ce rôle : “savoir intervenir sur une infrastructure, la mettre en place, la superviser, l’exploiter, et travailler avec des développeurs pour contribuer au développement des applications, et donc ouvrir la chaîne du développement jusqu’à la mise en production”.

Le DevOps assure donc un certain rythme de production. “C’est le nerf de la guerre, assure Amine. La question, c’est comment amener le plus rapidement possible les nouvelles fonctionnalités en production, et ce sans interruption. C’est ce qui permet aux startups d’aller très vite, de corriger des bugs très rapidement en production, et cela se répand aussi dans les autres types d’entreprises”. Pas étonnant donc que ces fonctions fleurissent au sein d’entreprises de toutes tailles et de tous secteurs. Plus de 1500 postes sur Indeed en permanence, à Paris mais aussi dans plusieurs grandes villes telles que Lyon, Bordeaux, Toulouse, Lille, Nantes, Rennes, Montepellier ou Grenoble.

 

Se lancer en tant que DevOps, mode d’emploi

 

Acquérir un cocktail de compétences

À rôle polyvalent, cursus polyvalent. Certaines formations existent déjà pour devenir DevOps, même si le plus souvent ces professionnels font encore simplement la synthèse de leurs compétences pour les utiliser dans ce rôle, comme Amine.

Dans le parcours DevOps à équivalent Bac +5 d’OpenClassrooms, il vous sera demandé un équivalent Bac +3 en IT ou en développement avec des bases en IT, ou de justifier d’une expérience en SI et développement.

Développer sa capacité à apprendre

Vous devrez développer une bonne maîtrise du code, mais surtout une curiosité par rapport aux nouvelles technologies et une bonne capacité à apprendre en continu, pour emmagasiner les nouveaux langages utiles.

Il y a tellement de nouvelles technologies et d’outils, qu’il faut expérimenter. C’est comme si j’étais toujours à l’école, j’apprends toujours de nouveaux langages car il faut être aligné avec les équipes de dev, et sur les nouvelles technos en termes d’infrastructure, comme Kubernetes, et plus on en fait, plus ça devient facile et naturel de passer de l’une à l’autre. Ce qu’il faut apprendre c’est à tester, expérimenter, se mettre à niveau pour ne pas être déphasé avec le marché.

Rester passionné

C’est un cursus à faire uniquement quand on est passionné par le développement, l’IT, la gestion de projets et le développement produit. Le métier bouge énormément et le DevOps a deux fois plus de choses à emmagasiner quand elles évoluent, puisqu’il doit rester à la pointe de deux fonctions.

Être DevOps, c’est difficile, il faut avoir les deux compétences et avoir l’envie d’apprendre. Donc, il faut se demander si on veut être le point central qui peut être aussi le point de contention. C’est un métier où l’on a beaucoup de pression, et tout le monde n’est pas fait pour la gérer. Mais si on est sûrs d’être intéressé par les deux et de pouvoir tenir les délais, c’est vraiment là qu’on s’éclate le plus.

 


Envie d’apprendre ce métier ? 

Renseignez-vous sur le parcours DevOps d’OpenClassrooms.

 

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Suis-je fait pour travailler en freelance ?

Par : Nora Leon

Devenir freelance est une opportunité de travailler pour soi-même, en faisant quelque chose qu’on aime et en gérant notre temps comme il nous convient.

Depuis la crise financière de 2008, on observe un recul des emplois traditionnels. Le travail en freelance est de plus en plus populaire. Il transforme le marché du travail et le monde des affaires de manière significative. D’ici 5 à 10 ans, on estime que 50 % de la population active sera travailleur indépendant. D’ailleurs, plusieurs millions de Français ont déjà sauté le pas. Cela donne matière à réflexion.

 

Quelles sont les compétences nécessaires à un travailleur indépendant ?

 

Pour être professionnel indépendant, vous devez être polyvalent. Non seulement vous vendez des services dans un domaine que vous aimez et où vous êtes bon, mais vous êtes également votre propre patron et vous gérez votre propre entreprise.

Pour réussir, vous devrez :

Avoir le sens des affaires

Premièrement, vous devez définir les compétences que vous pouvez mettre en avant et le secteur concerné. Vous devez vous perfectionner dans ces domaines, définir les tarifs que vous appliquerez en fonction du marché, de vos compétences et de votre expérience, et établir le rythme de travail qu’il vous faudra respecter pour parvenir à un revenu correct.

Deuxièmement, vous devez travailler sur votre argument clé de vente. Voici quelques exemples d’arguments clé de vente pour professionnels indépendants :

  • Votre réputation et votre personnalité : un client est susceptible de choisir un prestataire agréable plutôt qu’un autre plus expérimenté, mais avec qui il est difficile de travailler.
  • Une niche : rendez-vous unique et faites-vous connaître comme la personne à contacter pour un certain type de problèmes.
  • Les partenariats : vous pouvez travailler avec des graphistes et des rédacteurs de talent ou d’autres professionnels qui complètent votre service. Cela vous rendra attractif.
  • Vos tarifs : faites en sorte d’être compétitif tout en ayant une activité rentable. Vous pouvez proposer des remises et vous rapprocher de clients de premier plan.

Avoir le sens du détail

Vous devez connaître et respecter les lois concernant votre statut d’indépendant et votre entreprise. Vous n’avez évidemment pas besoin d’être avocat, mais vous devez vous montrer attentif aux détails et faire des recherches pour trouver les informations dont vous avez besoin.

Demandez l’aide d’un professionnel si vous avez un doute – cela vaut parfois la peine d’investir. Si vous le souhaitez, vous pouvez également embaucher un comptable professionnel, mais vous devez de toutes façons garder vos factures en ordre et vos comptes à jour.

Avoir le sens de la vente

Vous devez être capable de vous mettre en avant et de vendre votre travail. Que vous recherchiez des clients en ligne ou en personne, avoir une présence sur le web vous apporte de la crédibilité, en particulier avec un portfolio ou des témoignages. Assurez-vous également de préparer des modèles de contrats afin d’être prêt lorsque vous trouverez un client.

Être proactif

Lorsque vous êtes freelance, vous devez constamment vous vendre, assister à des événements et réseauter. Assurez-vous que votre argument clé de vente reste pertinent. Mettez à jour votre portfolio et n’hésitez pas à vous repositionner pour rester compétitif.

Être débrouillard

Gérer son temps et choisir son lieu de travail, ses clients et ses projets comptent parmi les nombreux avantages du travail en freelance. Vous pouvez évidemment travailler en pyjama si c’est  ce que vous souhaitez. Mais n’oubliez pas que vous avez un travail à effectuer dans un délai donné et que vous devez être efficace.

La motivation et la gestion du temps sont essentielles. Vous pouvez organiser votre journée de travail comme vous le souhaitez mais vous devez l’optimiser pour atteindre votre potentiel. Répondez à ce questionnaire Morningness-Eveningness pour découvrir à quel moment de la journée votre cerveau est le plus efficace.

 

C’est le moment d’agir !

Si vous avez obtenu un diplôme OpenClassrooms à niveau équivalent à bac+2 ou bac+3, vous êtes bien placé pour réussir en tant que freelance. Si vous n’avez pas commencé votre parcours diplômant chez OpenClassrooms, venez découvrir nos parcours.

 

 

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Comment créer un portfolio convaincant ?

Au-delà du CV et de la lettre de motivation, lorsque l’on postule pour un job, le portfolio peut compléter la candidature de manière pertinente.

C’est une plateforme plus vaste pour mettre en avant vos compétences, et les projets sur lesquels vous avez déjà travaillé.

Il est particulièrement recommandé dans le cas de métiers créatifs : rédaction, graphisme, audiovisuel, mode etc.

Dans tous les secteurs, la concurrence est de plus en plus rude. Mettre en avant ses réalisations concrètes est donc un atout pour vous distinguer des autres candidats. A vous donc de mettre toutes les chances de votre côté en créant un portfolio convaincant, à la hauteur de vos qualités !

 

Que faire apparaître dans votre portfolio ?

 

Il est à ajuster selon votre domaine d’expertise et ce que vous souhaitez mettre en avant au regard du poste pour lequel vous postulez. Un seul objectif, montrer toute l’étendue de vos compétences ! Le portfolio doit donc être à votre image, il doit vous ressembler et vous représenter. Concrètement, que faire apparaître ?

Christophe Vallot est un professionnel du recrutement, formateur chez RHConcepts, mentor chez OpenClassrooms et web développeur. Voici ce qu’il conseille :

Je dirais que la question qu’il faut se poser au préalable est : « Quelle est ma cible ? ». En effet, le portfolio doit permettre de convaincre de nouveaux clients pour un freelance, des recruteurs ou des employeurs pour un poste en tant que salarié.

Le contenu du portfolio pourra alors sensiblement varier selon que l’on désire illustrer un ensemble de compétences au travers de projets déjà réalisés ou bien encore mettre l’accent sur sa personnalité et/ou son univers pour accroître son potentiel séduction.


Triez, personnalisez

Sélectionnez les échantillons des projets les plus pertinents, dont vous êtes le plus fier, dont vous avez le plus appris, grâce auxquels vous avez surmonté des difficultés particulières.

Il est indispensable de faire le tri et de ne pas tout mettre, pour ne pas écoeurer le recruteur, qui cherche spécifiquement une personne pouvant répondre spécifiquement à son besoin.

Privilégiez les travaux terminés et qualitatifs, ainsi que les expériences qui font le plus écho avec le job pour lequel vous êtes en train de postuler. L’avantage du portfolio, c’est qu’il est plus visuel que le CV ou la lettre de motivation, donc selon votre spécialité et votre cible, faites apparaître les photos, les vidéos ou les textes associés à vos projets.

Mettez en avant des cas d’étude

C’est très convaincant pour un recruteur ou un potentiel client de pouvoir comprendre vos méthodes de travail et ce qui fait de vous quelqu’un de compétent. Essayez de trouver un moyen de présenter la chronologie d’un projet dont vous êtes particulièrement satisfait par exemple.
Surtout si vous êtes développeur ou designer, montrez les sites que vous avez réalisés pour prouver vos compétences.

Faites-vous recommander

Aussi, il peut être intéressant pour convaincre le recruteur, de
faire apparaître des recommandations dans votre portfolio. Avez-vous un collègue, un ancien employeur ou un de vos clients réguliers qui pourraient apporter une opinion positive sur votre travail et vos qualités ? Mentionnez-le pour appuyer votre candidature ! Tous les moyens sont bons pour faire la différence.

 

Quelle forme adopter ?

 

Le recours au portfolio est de plus en plus courant, donc encore une fois, il est indispensable pour vous, de réussir à trouver le parfait équilibre entre faire la différence mais ne pas en faire trop non plus. En effet, sachez rester simple pour être efficace. Évitez le superflu dans la forme qui viendrait parasiter la compréhension du fond.

  • Pour simplifier la tâche à votre lecteur, organisez le portfolio de la façon la plus claire possible, en commençant par y insérer une table de matières. 
  • L’ensemble doit être visuel : organisez vos contenus sous formes de rubriques thématiques ou chronologiques, selon ce qui est le plus approprié.

Christophe Vallot recommande d’insérer un « texte de présentation incluant le poste recherché, une accroche personnalisée, quelques « soft skills » et bien sûr le domaine d’expertise.
Des « call to action » peuvent y être associés afin de faire le lien vers les projets, le formulaire de contact ou des pièces à télécharger, comme le CV par exemple
. N’oubliez pas d’ajouter un formulaire de contact pour un échange rapide et un lien vers vos réseaux sociaux ».

La question que vous devez également vous poser : est-ce que vous souhaitez créer un portfolio sous forme d’un dossier, PDF par exemple, ou sur une plateforme en ligne. En soi, peu importe à moins qu’encore une fois, ce soit l’occasion de mettre en avant certaines de vos compétences. Si vous êtes webdesigner par exemple, il est légitime de privilégier un portfolio en ligne.  Il faut veiller également à ce que le support utilisé se conforme à un certain nombre de « standards du Web ». Il serait dommage que votre support ne soit pas conforme au W3C ou ne respecte pas les normes d’accessibilité.

Tout comme le CV, il faut distinguer la forme et le fond. Pour la forme, on peut s’intéresser aux tendances design du moment et parcourir les portfolios de la  concurrence afin de trouver l’inspiration. De nombreux modèles sont à disposition mais attention à le personnaliser suffisamment pour ne pas donner l’impression d’un énième clone.

 

Les meilleurs outils pour créer un portfolio

 

Bootstrap est un site de référence pour mettre en avant vos créations, et qui propose de nombreux templates gratuits pour vous aider à démarrer.

Triangly est une plateforme gratuite ; vous pouvez y charger des créations à partir de votre DropBox.

Carbonmade est l’option du portfolio en ligne gratuit qui a en plus la particularité de pouvoir télécharger des vidéos et animations !

Behance est la plateforme des créatifs, sur laquelle vous pouvez référencer vos projets.

Cargocollective est également une plateforme qui séduit les artistes et professionnels de la création pour mettre en avant leur portfolio de façon élégante.

 

[ À lire ensuite :

Construire l’argumentaire imparable pour décrocher votre job
8 conseils pour piquer la curiosité des recruteurs 
Entretien d’embauche : les pires et meilleures questions à poser ]

 

À propos d’Aglaé : 

Aglaé est auteur-rédacteur. Elle a fondé Word Shaper, une agence créative qui propose des services d’écriture, de consulting et de conception.

 

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Anaïs et Olivier, l’amour du code, mais pas seulement !

Par : Nora Leon

Avez-vous déjà fait rimer PHP avec… Bébé ? Bien sûr que non.

Et pourtant, Lena, qui a soufflé sa première bougie le 10 février, est la princesse de ses deux parents développeurs. Anaïs, jeune codeuse en alternance avec 50 cours à son actif sur la plateforme, et Olivier, ancien militaire autodidacte en développement web, aujourd’hui Tech Lead et mentor chez OpenClassrooms. Qui ont tous deux appris le développement chez OpenClassrooms.

Pour la Saint Valentin, nous leur avons posé quelques questions de code… et de love.


LOVE – Qu’est-ce que cela fait d’être ensemble et développeurs dans la même boîte ?


Elle : C’est étrange. On se voit tout le temps : au travail et chez nous. Ce qui demande le plus d’adaptation, c’est de différencier l’Olivier du bureau, qui s’adresse à nos collègues, de mon compagnon. Mais on s’y fait petit à petit et cela se passe bien.
Lui: Au début, c’est un peu bizarre, tout se mélange. Mais cela a aussi des avantages. Au moins, contrairement à plein d’autres couples, on se comprend quand on parle travail !


CODE – Que préfères-tu dans le code ?


Lui : J’adore apprendre de nouvelles technos. Et déconstruire petit à petit le côté « magique » du code en allant toujours plus loin pour comprendre comment tout fonctionne.
Elle : Le fait d’apprendre en continu, tous les jours. C’est stimulant !

 


LOVE –
La qualité de ta moitié que tu préfères ?


Elle : Sa patience d’ange, que j’ai mise à rude épreuve ces dernières années (rires).
Lui : Le fait qu’Anaïs m’accompagne et me pousse dans tout ce que j’entreprend. C’est un moteur pour moi et elle m’a grandement aidé à devenir qui je suis aujourd’hui.


CODE – Son meilleur atout en code ?


Lui : Sa curiosité et sa ténacité.
Elle : Sa détermination.

 

LOVE – Qu’admires-tu chez Anaïs – Olivier ?


Lui : Sa détermination de fer. Souvent, elle me bluffe ! Il fallait la voir à l’hôpital, à suivre ses cours en jonglant entre code et biberons, juste après la naissance de notre fille.
Elle : Lorsque nous nous sommes rencontrés, Olivier était militaire en Lorraine. Il savait qu’il ne reconduirait pas son contrat dans l’armée de terre, mais pas encore ce qu’il allait faire. J’avais une peu peur de le voir quitter ce poste qui nous assurait un revenu. Puis, il s’est lancé dans le développement avec seulement son Bac. Il n’a jamais lâché, et cela a payé. J’admire énormément sa ténacité, sa patience et sa très grande volonté.


CODE – Ton défi professionnel ? Et dans la vie ?


Lui : Au boulot, continuer à prendre plus de responsabilités en tant que Lead Dev. Dans la vie, déménager pour habiter dans une plus grande maison.
Elle : En tant que dev, j’aimerais gagner en autonomie. Et exécuter les tâches qui me sont attribuées plus rapidement. Mais cela viendra avec la pratique. Et côté vie personnelle, j’aimerais prendre plus de temps avec Lena et Olivier, en lâchant un peu nos écrans.


CODE + LOVE : Vous voulez que votre fille soit une petite geek ?

 

À l’unisson : OUI !

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Technicien informatique & administrateur réseau vus par un pro

Il y a des jours où l’on arrive au bureau plein de motivation et de bonnes intentions. Et puis, sans aucune explication, notre ordinateur plante, ou l’imprimante de la boîte n’imprime plus, ou le mystérieux dossier sur lequel nous travaillons depuis des semaines ne s’enregistre pas. Vent de panique !

Mais avant que notre crise d’angoisse ne prenne de trop grandes proportions, nous composons le numéro du technicien informatique en charge de notre service : « Je comprends pas, ça marche plus ». Quand tout semble aller mal, les techniciens informatiques d’une entreprise, chapeautés par l’administrateur systèmes et réseaux, sont les sauveurs du quotidien.

 

Le technicien informatique, garant des systèmes et réseaux de l’entreprise….

 

A l’heure où toutes les entreprises fonctionnent au rythme des ordinateurs, téléphones, tablettes et autres appareils électroniques ou numériques, le technicien informatique fait figure de pierre angulaire. Son rôle est d’installer de la façon la plus optimale le système informatique : brancher les bons câbles aux bons endroits, assurer la mise en réseau des appareils informatiques, et assurer le bon fonctionnement de l’ensemble pour les utilisateurs.

Dans un deuxième temps, le technicien est également en charge de l’entretien et de la maintenance du parc informatique. Il doit à la fois intervenir pour des dépannages lorsqu’ils surviennent, et également les anticiper en amont pour éviter qu’ils ralentissent l’activité de l’entreprise ou du service.

Gildas Thomas a été technicien informatique avant de devenir administrateur réseau chez OpenClassrooms. Il explique :

Il n’y a pas de journée type pour un technicien informatique. Chaque jour est conditionné par les demandes des utilisateurs, les problèmes de réseau ou sur le matériel lui-même, des problèmes au niveau de l’impression…. C’est vaste. En général, plus l’entreprise est grande, plus le travail est sectorisé et donc le technicien assigné uniquement à certaines problématiques.

 

Sous la houlette de l’administrateur réseau

 

Le technicien informatique est généralement managé par un administrateur système et réseau. Ce dernier est fort d’une expertise plus poussée dans un ou plusieurs domaines et peut répondre pour des problématiques plus complexes. Il intervient lorsque les techniciens sont à cours de solutions, et c’est également la personne qui se doit de proposer et d’anticiper les changements de système, de réseau, d’outils informatiques pour le bon fonctionnement de l’entreprise. Il doit respecter des contraintes de budget d’une part et de productivité, d’ergonomie d’autre part.

Ses objectifs principaux sont d’automatiser les tâches répétitives et de simplifier l’infrastructure au maximum en choisissant les bons outils technologiques.

L’administrateur réseau est également responsable de la cybersécurité du parc informatique et donc de la protection des données des utilisateurs et de l’entreprise.

C’est finalement celui qui doit savoir prendre du recul dans la gestion d’incidents complexes, et être capable de communiquer avec tout type de profils : utilisateurs, techniciens, fournisseurs et prestataires. Là encore, Gildas témoigne :

Il faut être capable de se transposer à la place des utilisateurs, qui parfois se sentent biaisés ou empêchés de travailler lorsqu’il y a des problèmes ou des changements. Il faut pouvoir tout expliquer de façon diplomate et prendre le temps de désamorcer les situations délicates. Un bon administrateur réseau doit comprendre comment travaillent les techniciens informatiques et prendre cela en compte dans sa gestion de projet, les deux métiers fonctionnent main dans la main.

 

Deux métiers aux exigences multiples

 

        Au-delà des connaissances et compétences en informatique, ces deux métiers requièrent de nombreuses autres qualités. Comme nous le savons, le propre du bug est d’arriver au moment le plus inopportun, au moment où évidemment il y a urgence !

Lorsque l’on fait appel aux techniciens informatiques pour nous venir en aide, ils doivent être capables de bien gérer les situations de stress et s’adapter aux problèmes de l’utilisateur.

C’est un métier qui demande également beaucoup de pédagogie et donc de patience puisque la plupart de temps, les techniciens sont face à des novices en informatiques à qui il faut prendre le temps d’expliquer le nouvel outil en place par exemple. Gildas le souligne :

Il est indispensable d’avoir une bonne résistance au stress, car les problèmes sont tous urgents en général. Dans un deuxième temps, c’est aussi être capable de faire face à la résistance au changement des utilisateurs et les accompagner le mieux possible lorsque l’on implante de nouveaux outils qui chamboulent leurs habitudes. Il faut toujours réussir à expliquer pourquoi nous appliquons des changements et pourquoi ils seront bénéfiques sur le long-terme.

Le technicien informatique, comme l’administrateur réseau, est constamment au contact des autres. Ce sont des métiers de service dans lesquels il faut savoir rester jovial et disponible en toutes circonstances, sans attendre de reconnaissance en retour.

Le plus plaisant dans ce domaine est sans doute de ne jamais avoir à faire la même chose deux fois, il n’y a pas de routine puisque chaque jour apporte son lot d’imprévus et de problèmes plus ou moins importants.

Enfin, ce sont des métiers qui sont en constante évolution et pour lesquels il est indispensable d’être particulièrement curieux. Chaque nouveauté technologique peut faire l’objet d’une nouvelle formation et d’un nouvel apprentissage auxquels il faudra ensuite familiariser l’utilisateur.

 

Vous voulez apprendre l’un de ces deux métiers ? 

 

Renseignez-vous sur notre formation Technicien Informatique à équivalent Bac +2, ou Administrateur Infrastructure et Cloud, à équivalent Bac +3.

 

À propos d’Aglaé : 

Aglaé est auteur-rédacteur. Elle a fondé Word Shaper, une agence créative qui propose des services d’écriture, de consulting et de conception.

 

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Qu’est-ce qu’un jury ?

Par : Nora Leon

 

Étudiants en parcours diplômants, vous allez tous devoir passer la mystérieuse et terrifiante épreuve du… Jury final ! Cet article a pour but de vous rassurer : tout devrait très bien se passer.

Vous ressortirez du grand jury aptes à conquérir le monde du travail, à l’aide d’un diplôme tout-frais-tout-neuf et de vos solides compétences.

Alors, qu’est-ce que le jury ? Qui vous évalue et comment ? Peut-on devoir le repasser ? Cet article a vocation à répondre à toutes vos interrogations sur le sujet.

 

Soutenance, jury, quelles différences ?

 


Ce sont deux formes d’évaluations différentes.

Vous passez une soutenance à la fin de chaque projet. Il s’agit de défendre les résultats de votre travail, pour vérifier que vous avez bien acquis les compétences corrélées, devant un mentor évaluateur indépendant (avec qui vous n’avez pas encore travaillé). La soutenance se fait par le biais d’une visioconférence.

À l’issue de cet exercice de 20 à 30 minutes, vos compétences sur ce projet sont soit validées, soit vous avez un retour constructif pour vous aider à acquérir la compétence pour de bon, en retravaillant le projet.

Lors du jury, ni l’apprenant ni le mentor ne sont présents. Le jury est constitué comme suit :
– Un professionnel indépendant : ce n’est ni un mentor ni un professeur chez nous, quelqu’un de totalement objectif sur les compétences à avoir dans son métier
– Un recruteur indépendant dans la spécialité
– Un responsable pédagogique de l’école partenaire si école il y a, ou un second professionnel indépendant, si le diplôme est délivré par OpenClassrooms
– Un représentant des conseillers pédagogiques
– Un responsable pédagogique d’OpenClassrooms qui a une voix consultative.

Cette équipe se réunit pour évaluer votre dossier.

 

Valider vos compétences une fois pour toutes

 

Que signifie “évaluer votre dossier” et pourquoi le jury est-il important ?

C’est avant tout une garantie supplémentaire pour vous. Le jury sert prendre de la hauteur, pour valider une fois pour toutes la cohérence de votre apprentissage et le fait que vous soyiez opérationnel pour exercer votre premier emploi dans votre spécialité.

Les membres du jury examinent tous les éléments du dossier : les projets, les commentaires de sessions de mentorat et de soutenance, les commentaires de soutenances.Il ne s’agit évidemment pas de contredire le verdict du mentor validateur des soutenances. Il s’agit plus d’apporter un regard extérieur et objectif sur la cohérence d’ensemble des rendus.

OpenClassrooms a énormément de données objectives sur le travail de ses étudiants. Donc, lorsque le jury statue en faveur d’une délivrance du titre, cette décision est garante de l’acquisition de la totalité des compétences nécessaires au métier. Une excellente nouvelle, qui devrait vous faire prendre confiance pour trouver un emploi et l’exercer sereinement.  

 

Que se passe-t-il si le jury ne décerne pas le diplôme ?

 

Une question qui revient souvent : “comment pourrais-je rater mon jury si j’ai réussi mes projets ?”. Effectivement, cela arrive que le jury demande à un apprenant de retravailler un ou plusieurs projets.

C’est le cas lorsque les commentaires des sessions de mentorat et ceux d’une soutenance mettent en lumière des difficultés de l’étudiant, et que le livrable est d’une qualité insuffisante aux yeux du jury.

Rassurez-vous : l’immense majorité des étudiants sont diplômés du premier coup. Si vous devez repasser un projet, c’est une excellente occasion de consolider des compétences sur lesquelles vos bases sont encore un peu fragiles, pour attaquer votre futur emploi serein. Et vous êtes accompagné d’une manière qui fait que vous avez peu de chances de devoir approfondir.

Le jury motive sa décision en donnant des éléments factuels et des conseils précis pour réussir le projet et le diplôme, et le prochain jury est presque toujours le bon.

 

Un retour constructif et détaillé sur vos études

 

Pour conclure, le plus difficile, c’est en effet de rester motivé tout du long et de réussir tous ses projets. À l’aube du jury, vous êtes à quelques mètres de la ligne d’arrivée, que vous franchissez le plus souvent en fanfare.

Pour vous valoriser, les membres du jury prennent le temps pour conclure votre parcours par un vrai retour sur votre travail. Et parfois, vous recevez même les félicitations.

Ce fut le cas pour Patrick, étudiant en Data Analysis qui a même été embauché par Capgemini avant la fin de son alternance :

« Patrick a validé les compétences du diplôme.

Le jury a apprécié les analyses de Patrick et ses explications des modèles utilisés. La partie exploratoire est notamment très bien réalisée.

Patrick a su employer des visualisations pertinentes. Ses présentations sont claires, didactiques et agréables à suivre.

Patrick, le jury tient à te présenter ses félicitations pour ton engagement dans ce parcours de formation en alternance. »

 

[ À lire ensuite :

 

Comment bien préparer ma soutenance ?
Comment fonctionne un jury OpenClassrooms ? ]

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Les meilleurs outils de veille social media

 

Aujourd’hui, les professionnels du web ont besoin d’être au courant de ce qui se passe sur le web, et en particulier les community managers. Les informations fusent, sont partagées, interprétées et tout cela de plus en plus rapidement.

L’enjeu est de rester dans le circuit, d’en extraire efficacement ce qui vous intéresse et de relayer des contenus les plus innovants et pertinents.

La veille sur les réseaux sociaux consiste justement à utiliser un outil ou une plateforme pour analyser les mouvements sur le net : sur les sujets qui vous intéressent mais aussi sur les contenus que vous publiez vous-mêmes.

Ces plateformes sondent les réseaux mais aussi les sites d’actualité, les blogs, les forums, à une fréquence plus ou moins élevée. Chaque outil correspond à un besoin et c’est pour cela qu’il est indispensable de bien le choisir.

Tour d’horizon des outils les plus plébiscités et de leurs spécificités. 

 

Hootsuite

 

Un outil créé en 2008 qui se présente comme un tableau de bord permettant de gérer plusieurs comptes à la fois. C’est le bon outil pour gérer sa marque en ligne sur Facebook, Twitter, LinkedIn, Google +, WordPress, etc. Vous pouvez faire des recherches, planifier des posts de façon automatique et en mesurer leur impact.

L’offre : il y a un service de base qui est gratuit, puis des offres qui s’étalent de 25€/mois à 599€/mois, selon le nombre de comptes et le nombre d’utilisateurs dont vous avez besoin. En savoir plus

 

Buffer

 

Sur le même principe, Buffer est un outil qui vous permet de gagner du temps quant à la gestion de vos réseaux sociaux. Publier du contenu, répondre et réagir à vos clients et analyser vos statistiques sont les trois axes de cette plateforme. Buffer permet d’automatiser vos publications et les fait apparaître au moment le plus opportun, sans que vous ayez à rester à l’affût.

L’offre : le coût du service dépend du nombre de comptes que vous avez à gérer. 5 offres : de la gratuite jusqu’à 399$ par mois pour 150 comptes. En savoir plus

 

SocialShare

 

C’est un outil indispensable pour la veille de media. Tout d’abord, vous pouvez rassembler les articles qui vous intéressent par thématique et ainsi vous constituer une revue de presse. SocialShare propose également de nombreux indicateurs qui vous permettent d’analyser la popularité de vos contenus sur chaque réseau. Enfin, si vous en êtes en mal d’inspiration, cet outil vous indique quelles sont les tendances du moment. A vous de les suivre, ou au contraire de vous démarquer. 

L’offre : vous avez le choix entre le plan gratuit, le pack « revue de    presse » à 19€/mois et le pack « veille & influence à 79€/mois. En savoir plus

 

BuzzSumo

 

C’est l’outil qui met en avant les contenus qui ont le plus de succès sur le net, sur une thématique ou un sujet précis. Il vous permet également d’identifier quel est le meilleur influenceur pour partager votre contenu à vous, selon sa nature. C’est un bon moyen de développer des stratégies marketing efficaces.

L’offre : les prix pour cet outil varient selon le nombre d’alertes que vous   avez besoin d’installer. De 79$/mois pour 5 alertes, jusqu’à 499$/mois pour plus de 50 alertes. En savoir plus

 

Quora

 

C’ est l’outil qui permet d’être au bon moment, au moment endroit, pour échanger avec la bonne personne ! Grâce à Quora, vous pouvez être présent sur des plateformes de discussion et des forums afin d’améliorer votre référencement. Vous pouvez organiser des questions-réponses, qui seront triés par sujet et qui donnent la possibilité de faire collaborer les utilisateurs de votre produit ou service.

L’offre : la plateforme est accessible par simple inscription. En savoir plus

 

Mention

 

C’est une interface complète pour analyser en temps réel ce qui se dit sur votre marque et sur vos concurrents. Cet outil vous fournit des informations détaillées qui vous permettent de simplifier les rapports avec vos clients et donc vous concentrer uniquement sur votre stratégie de community management.

L’offre : une offre solo à 29€/mois, une offre débutant à 99€/mois et une offre professionnelle sur mesure, selon le nombre d’alertes, de mentions   et d’utilisateurs dont vous avez besoin. En savoir plus

 

Spotter

 

Proche de Mention, Spotter analyse un très grand nombre de sources pour vous fournir des indications sur la e-réputation de votre marque : que dit-on sur vous, quels sont vos meilleurs influenceurs, et quel est l’impact de vos campagnes digitales ? L’outil est facile à prendre en main, ergonomique et dans le cloud.

L’offre : tarifs sur demande. En savoir plus

 

Trends24

 

C’est un petit outil, simple d’utilisation qui permet d’évaluer les tendances sur Twitter, en temps réel ou en retournant en arrière dans la journée. L’interface propose une carte des tendances : quels sont les hashtags les plus populaires localement et dans le monde ?

L’offre : la plateforme est gratuite et ne requiert pas d’inscription. En savoir plus

 

Digimind

 

C’est un logiciel supplémentaire pour créer et évaluer l’e-réputation de votre entreprise. Mesurez le retour sur investissement de vos actions digitales, et anticipez les tendances pour de futurs business models.

L’offre : obtenez le pricing de votre projet sur demande. En savoir plus

 

SocialBakers

 

C’est la plateforme pour comprendre les besoins de vos cibles, leur proposer du contenu approprié exactement au bon moment. Le service permet d’anticiper ce que votre audience a envie de voir ou lire, et de participer aux conversations qui concernent votre marque ou produit.

L’offre : une dizaine d’outils sont proposés gratuitement, l’offre de base est à 17€/mois, puis deux formules plus complètes sont proposées sur devis. En savoir plus

  • Les outils Twitter (gratuits) / voir aussi “Pour aller plus loin” :
  • Tweetdeck : c’est l’outil Twitter qui permet vous permet d’installer des notifications pour les mots-clés qui vous intéressent.
  • Tweriod : analyse l’ensemble de vos followers pour vous indiquer le meilleur moment pour tweeter !

 

N’oubliez pas non plus les outils plus traditionnels comme Google Trends ou LinkedIn qui sont complémentaires pour générer du trafic, des contacts et se faire connaître de ces cibles. En plus d’offrir la possibilité de veiller l’actualité de la concurrence et les tendances du moment.

 

Pour aller plus loin :

 

Les meilleurs outils pour Twitter
65 outils indispensables à Facebook que vous ne connaissez pas 

[ À lire ensuite :

Le community management par Amandine Gleyzes de Doctissimo ]

Et sur un sujet connexe, suivez le cours de Gwen Rivet sur le Social Media Analytics :

 

À propos d’Aglaé : 

Aglaé est auteur-rédacteur. Elle a fondé Word Shaper, une agence créative qui propose des services d’écriture, de consulting et de conception.

 

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Pourquoi devenir développeur iOS ?

Par : Nora Leon

 

Nous avons déjà parlé des raisons de devenir développeur mobile et comparé les avantages et les inconvénients de se spécialiser plutôt que de devenir développeur full-stack. Vous disposez maintenant d’un certain nombre d’éléments pour décider de votre future formation.

Imaginons que vous ayez décidé que le développement mobile c’est le futur (ce qui est plutôt vrai) et que vous pensiez vous orienter vers iOS plutôt qu’Android, mais qu’il vous manque encore quelques informations pour prendre votre décision. Cet article devrait vous aider.

Voici 5 raisons de commencer votre formation dans le monde d’iOS :

  1.   Vous travaillerez sur une technologie que vous aimez

Les fans d’Apple comptent parmi les plus extrêmes (vous avez déjà vu les files d’attentes à la sortie d’un nouveau produit ?) alors si vous avez choisi vous orienter vers iOS, c’est sûrement que vous avez un penchant pour la plateforme. On nous répète de faire carrière dans un domaine qui nous passionne, et si vous êtes un grand amateur des produits Apple, vous serez (probablement) heureux de vous lever pour coder chaque matin.

  1.   Vous avez de grandes chances de gagner plus avec iOS

Android a un taux de pénétration du marché plus élevé qu’iOS, mais si ce qui vous intéresse c’est gagner de l’argent en vendant votre application ou par les achats intégrés à votre application, iOS est la meilleure solution. Android est très populaire sur les marchés émergents où le revenu disponible est bas, mais les propriétaires d’appareils iOS ont en moyenne des revenus plus élevés et sont plus susceptibles de dépenser pour des applications.

  1.   Les outils de développement iOS sont plus sophistiqués

Comme on peut s’y attendre, les outils de développement iOS sont à l’image des produits Apple : d’apparence soignée et faciles à utiliser, ce qui rend votre travail nettement plus agréable. Xcode, l’outil principal des développeurs iOS, existe depuis plus longtemps que son équivalent Android, et son niveau de maturité est donc bien plus élevé.

  1.   iOS est considéré comme plus facile pour les débutants

Il y a de nombreuses règles à respecter si vous voulez que votre application soit publiée sur l’App Store, connu pour ses limitations et sa structuration. Mais ce n’est pas un problème, au contraire ! Grâce à toutes ces restrictions, vous risquez moins de vous éloigner des standards de développement d’applications, ce qui rend le développement iOS plus facile pour les débutants.

  1.   Vous aurez moins de mises à jour à faire

Le taux d’adoption du système d’exploitation (OS) est plus élevé sur l’écosystème Apple, vous passerez donc moins de temps à mettre à jour votre application, ce qui vous laissera plus de temps pour l’améliorer. Alors que si vous développez pour Android, ce système d’exploitation étant ouvert et donc embarqué dans une multitude d’appareils, vous devrez mettre à jour votre application pour ses très nombreuses versions d’OS, ce qui vous donnera non seulement plus de travail, mais le rendra également  répétitif.

Voilà, vous savez tout. Si cet article vous a aidé à y voir plus clair et que vous êtes maintenant convaincu que vous voulez devenir développeur iOS, il ne vous reste qu’une seule chose à faire : commencer votre formation.

En seulement 12 mois, avec notre formation centrée sur les projets professionnalisants et notre système de mentorat, vous êtes assuré de trouver un travail en tant que développeur iOS. Vous pourrez également bénéficier de notre dispositif Emploi Garanti, disponible pour tous les étudiants au sein des parcours diplômants, qui vous assure un remboursement de votre parcours si vous ne trouvez pas d’emploi dans les six mois suivant l’obtention de votre diplôme.

 

À lire ensuite : 

 

Focus sur le métier de développeur iOS ]
[ Ma vie de développeur Android ]
[ Focus sur le métier de développeur android ]
Les métiers les plus recherchés du numérique ]

 

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Comment bien démarrer un projet ?

Par : Nora Leon

C’est en forgeant qu’on devient forgeron — chez OpenClassrooms, nous aimons bien ce dicton. C’est pourquoi nos formations diplômantes reposent sur l’apprentissage par la pratique.

À quoi ressemblent les projets ? Ce sont des cas pratiques qui vous permettent d’apprendre les compétences immédiatement applicables dans le monde du travail. Par exemple coder un site Internet dans un parcours en développement, ou créer un calendrier éditorial dans le parcours Community Manager.

Si vous venez de vous inscrire à un parcours OpenClassrooms, vous commencerez votre premier projet. Il est possible que vous le trouviez impressionnant.

Pour vous rassurer, Dominique Milliez, étudiant dans le parcours Administrateur Infrastructure et Cloud et Jessica Tessé, mentor en Marketing et en WordPress, vous expliquent comment bien débuter un projet.

 

Familiarisez-vous avec le brief et lisez le cours

 

La lecture attentive du brief et des cours  vous aidera. Surtout si vous n’avez aucune connaissance préalable dans les compétences acquises sur le projet. Suivre les cours aide à se mettre dans le bain et à acquérir des bases utiles pour passer à la pratique. Pour le premier projet, ne faites pas d’impasse sur cette ressource.

Je fais toujours lire à mes apprenants le brief du projet et le cours corrélé avant la session de mentorat. Comme cela, quand on commence à structurer leurs sessions de travail, ils sont déjà dans le bain. Jessica

 

Problématisez et contextualisez le projet

 

Si le projet vous semble difficile d’accès, c’est souvent aussi parce qu’il vous est encore inconnu.

Prenons l’exemple de la charte éditoriale dans les parcours en Marketing : en commençant leurs études, la plupart des gens n’ont pas une idée claire de ce qu’on attend d’eux.

Se demander à quoi sert exactement une charte éditoriale (à fixer les règles d’écriture du contenu d’une marque) et ce qu’elle contient (les objectifs, les sujets principaux, la personnalité de marque…), permet de mieux se projeter dans sa réalisation.

De nombreuses personnes ne savent pas tout de suite à quoi sert une charte éditoriale, et donc définir exactement ses utilisations en entreprise les aide vraiment à se projeter dans sa réalisation. Jessica

 

Pensez à la structure de travail du projet

 

Au début, pas question de se perdre dans les détails. Le but du jeu : prendre du recul pour comprendre ce qui est attendu dans le projet.

 

Je pars du cadre pour aller plus tard dans le détail. C’est nécessaire pour que l’apprenant ne prennent pas peur des livrables. Une fois qu’on a pris du recul, le reste vient tout seul. Jessica

C’est bien ce qu’explique Dominique, qui, au début de chaque projet, prend un temps pour comprendre exactement ce qui est attendu.

Au départ,  j’essaie de prendre un peu de recul de façon à pouvoir avoir une vue d’ensemble sur ce qui est demandé. J’utilise la bonne vieille méthode du papier-crayon et je liste des idées pour mettre en place une solution. Dominique

Faites la liste des livrables. Pour les projets dans lesquels c’est possible (par exemple, construire une charte éditoriale en marketing, réaliser un plan de recrutement en RH, faire un business plan dans le parcours entrepreneur…), demandez-vous combien de temps chaque tâche prendra. Faites un brouillon de plan dont vous pourrez discuter avec votre mentor pour l’ajuster.

D’une session à l’autre, mes apprenants doivent faire un plan détaillé. J’insiste pour qu’ils posent des questions, pensent à la meilleure façon de structurer leur travail. Nous validons ensemble un plan détaillé. Une fois qu’ils ont la structure en tête, le reste du projet coule tout seul, car ils savent exactement comment procéder. Jessica

Une fois que j’ai listé ce que j’estime nécessaire pour le projet, me retrouve avec pas mal d’éléments à mettre en place. Et l’étape suivante, tout aussi importante, est de réfléchir combien de temps chaque tâche pourra me prendre. Après, je fais des découpages concernant le temps imparti, pour voir si je suis dans les clous. Dominique

 

Vous avez toutes les clés en main pour bien démarrer votre projet. Rassurez-vous : il n’y a rien d’insurmontable, puisque tant d’autres avant vous ont réussi ! Votre mentor est là pour vous aider, et vous verrez, dans quelques semaines, vous serez beaucoup plus à l’aise.

N’hésitez pas à vous rendre toutes les 2 semaines dans les espaces de co-working où vous pourrez échanger avec les autres apprenants. Ils sont présents dans 8 villes de France et vous permettent de vous entraider. Enfin, n’oubliez pas la communauté en ligne qui pourra vous apporter un réel soutien.

 

Et Jessica de conclure : 

Arrivés au P4, tous mes étudiants se rendent compte qu’ils s’étaient faits une montagne de tout cela, mais qu’en définitive, ils y arrivent très bien.

 

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Peut-on changer de mentor ?

Par : Nora Leon

 

Bienvenue ! Si vous avez cliqué sur cet article, vous êtes probablement :  

  • Un apprenant qui se demande s’il va pouvoir changer de mentor
  • Un futur apprenant qui a des inquiétudes sur le sujet
  • Ou un mentor qui pense pense pouvoir mieux aider une autre personne.

Sans plus attendre, nous pouvons vous l’assurer, changer de mentor est tout à fait possible.

Faisons le tour de la question avec Pauline, conseillère pédagogique.

Tous les mentors recrutés chez OpenClassrooms sont soigneusement sélectionnés. Ce sont des experts de leur métier qui exercent en même temps l’emploi que vous apprenez. Pour qu’ils soient en mesure de vous transmettre leurs compétences, nous exigeons au minimum 2 ans d’expertise dans leur métier, mais la plupart sont plus chevronnés.

Vous l’aurez compris, on ne change généralement pas de mentor parce qu’il n’est pas capable de répondre à nos questions. Mais alors, quelles sont les raisons principales pour lesquelles on peut demander le changement ?


Le pourquoi du comment

 

Selon Pauline, “il faut différencier le changement initié par l’étudiant et celui demandé par le mentor. Parfois, le mentor prévient l’étudiant qu’il n’exerce que sur certains projets de son parcours, ou qu’il ne pourra plus assurer son mentorat après une pause de quelques mois. Dans ce cas, l’équipe Mentorat prévoit un changement d’accompagnateur”.

Côté étudiant, bien des raisons sont possibles. Il se peut que les deux personnes, apprenant et mentoré, aient des emploi du temps peu compatibles. Si l’apprenant a une famille et que le mentor travaille sur les moments où il ou elle pourrait être disponible pour une session, les choses se compliquent.

D’autre fois, les personnalités ne sont pas compatibles, comme le précise Pauline : “Certains types de managers qui conviennent très bien à certains salariés, ou l’inverse. C’est le cas également avec les binômes de mentors et mentorés. L’apprenant a beau être très motivé et le mentor très professionnel, certaines fois la pédagogie ou la personnalité du mentor ne trouvent pas d’écho en son apprenant, et inversement.

Et ce n’est pas grave, ce sont des choses qui arrivent. Cela ne veut en aucun cas dire que l’un des deux soit en cause, ni que le mentor soit incompétent”.  

 

Je veux changer de binôme : comment procéder ?


Lorsque l’une de ces situations se produit, mentor comme étudiant peuvent demander un changement.

Nous voulons absolument éviter que l’étudiant ou le mentor n’ose pas demander ce changement, car rien ne nuit à l’apprentissage comme un binôme qui ne fonctionne pas. Il y a tant de mentors que trouver un meilleur duo est vraiment possible.

Donc, pour éviter que les personnes se censurent, nous ne demandons aucune raison pour motiver le changement. Si la personne veut en discuter, nous sommes bien sûr ouverts. Mais nous sommes avant tout là pour garantir que les sessions se passent bien et apportent beaucoup à l’étudiant comme au mentor”, assure Pauline.

Donc, si vous pensez que vous pourriez mieux apprendre avec un autre mentor, ou mieux accompagner un autre étudiant, n’hésitez plus, écrivez-nous.

Je contacte un conseiller pédagogique

 

🙋🏻

 

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5 outils indispensables pour les développeurs web débutants

Par : Nora Leon

 

Saviez-vous que, grâce à une croissance inédite dans le secteur des technologies, une estimation de 700 000 emplois en programmation devraient être créés d’ici 2020 en Europe et un million aux États-Unis ?

Qu’est-ce que cela signifie pour le secteur ?

Vous avez vu juste :  il est en pleine expansion !

Le développement web gagne rapidement en popularité et de nouvelles façons de l’apprendre voient le jour presque quotidiennement. Cette croissance est accompagnée de tout un arsenal d’outils créés dans le but d’assister les développeurs non seulement dans leur apprentissage, mais aussi dans leur productivité au travail.

Maîtriser les compétences clés est une chose, mais essayer de rester au fait de plusieurs outils en est une autre. Il est donc essentiel d’être sélectif. Pour vous mettre sur la bonne voie, nous avons sélectionné les cinq (oui, seulement cinq) outils que vous serez amené à utiliser le plus une fois que vous serez devenu un développeur web accompli.

  1. Chrome DevTools

Faites place aux outils de développement ! Ils sont accessibles dans Google Chrome, Mozilla Firefox ou tout autre navigateur de votre choix et vous permettent de jeter un œil sur le fonctionnement interne d’un site Web et de ses applications. Ce sont des ressources très utiles, car elles vous permettent :

  • D’examiner et de modifier les éléments HTML ;
  • D’ajouter et de tester des règles de style CSS ;
  • De consulter les fonctions JavaScript de la page ;
  • D’identifier quels sont les éléments qui se chargent vite ou lentement.
  1. Visual Studio Code

En tant que développeur Web, vous aurez BEAUCOUP de code à écrire. Il est donc tout à fait normal que nous vous assistions dans votre recherche du meilleur éditeur sur le marché. Il existe pas mal de bons éditeurs (Sublime Text est l’un de nos favoris), mais Visual Studio Code est l’éditeur NUMÉRO UN.

Selon les développeurs web expérimentés, ses points forts sont l’intégration de GitHub et la saisie semi-automatique IntelliSense. Visual Studio Code propose également une interface ergonomique, prend en charge plusieurs langages et met en évidence votre syntaxe (parce que la syntaxe c’est humain, hein.)

Ah, et autre chose : il est totalement GRATUIT. Pourquoi vous priver ?

  1. FileOptimizer (PC) / ImageOptim (Mac)

Ces deux outils vous permettent d’optimiser vos images.

ImageOptim est rapide, simple et ergonomique et si ce ne sont pas des mots que vous recherchez dans l’avis d’un nouvel outil, je ne sais plus quoi faire pour vous. C’est un excellent outil de compression d’images vous permettant d’économiser de l’espace de stockage sur votre ordinateur.

FileOptimizer fait la même chose, mais au lieu de ranger les fichiers dans un dossier compressé, il compresse le fichier d’origine.

  1. Bootstrap

Vous n’avez pas envie de passer trop de temps sur le CSS de vos sites Web ? Alors Bootstrap est l’outil qu’il vous faut. C’est un kit CSS créé par des développeurs de Twitter, qui est vite devenu l’infrastructure CSS de référence. Deux de ses fonctionnalités les plus appréciées sont :

  • Une façon facile et rapide de concevoir des sites Web attrayants et dynamiques.
  • Une énoooorme communauté. Comme c’est un outil largement utilisé, il existe de nombreux modèles de sites et beaucoup de tutoriels utiles. La page GitHub officielle de Bootstrap est très active pour que l’outil soit amélioré continuellement !

Il y a de plus en plus de nouvelles infrastructures comme Materialize et Mui. Si vous souhaitez étendre encore plus l’éventail de vos outils, ceux-ci pourraient constituer un bon départ.

Vous souhaitez vous lancer avec Bootstrap ? Alors pourquoi ne pas commencer sur OpenClassrooms avec ce cours ?

  1. GitHub

Si nous avons déjà mentionné GitHub plusieurs fois, c’est qu’il doit y avoir une bonne raison, non ?

Avez-vous l’habitude d’écrire du code et de collaborer avec d’autres développeurs ? Aimeriez-vous pouvoir suivre les modifications de votre code en toute sécurité/sans perdre toutes vos données en cas de panne de votre ordinateur ou serveur principal ?

De nos jours, la gestion des versions est essentielle. Git, un outil créé par Linus Torvald, est parfait pour cela. Nous vous recommandons de l’utiliser et de le maîtriser pour vous éviter tout regret ultérieur.

Besoin d’aide ? Nous avons un cours sur OpenClassrooms portant spécifiquement sur ce sujet.

Et voilà cinq outils que vous allez maîtriser en tant que développeur Web.  Mais avant cela, il y a du chemin à parcourir.

Avec OpenClassrooms, vous pouvez devenir développeur Web frontend et valider un diplôme de niveau Bac +3/4 en seulement un an. Si vous voulez faire un mélange de front et back, nous vous conseillons le parcours en 6 mois développeur web junior. En plus de ça, nous vous fournissons également une garantie d’emploi : si vous ne trouvez pas d’emploi six mois après l’obtention de votre diplôme, nous vous remboursons.

 

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5 étapes pour choisir votre nouvelle carrière

Par : Nora Leon

Alors voilà, vous savez que vous souhaitez changer de carrière, mais vous ne savez pas quoi choisir. Vous vous sentez peut-être frustré et perdu, car les options semblent rares ou au contraire trop nombreuses.

Ne baissez pas les bras, nous sommes là pour vous aider grâce à notre stratégie en cinq étapes. Pour trouver un nouveau parcours professionnel en accord avec votre style de vie, vous devrez travailler sur vous-même et développer votre réseau.

Soyez patient et persévérant, vous n’imaginez même pas la quantité d’opportunités et de choix qui s’offrent à vous.

 

Étape n° 1 : définissez vos valeurs

 

Prenez une feuille et un stylo et remuez-vous les méninges. Notez librement ce qui est important pour vous dans votre carrière et faites une liste des choses qui vous motivent et vous donnent envie d’aller de l’avant autant dans votre vie professionnelle que personnelle.

Vous aimez peut-être travailler en équipe ou en autonomie ? Peut-être avez-vous l’âme d’un écrivain et prenez plaisir à faire preuve de créativité au travail ? Aimez-vous gérer une équipe, mettre des personnes en relation, développer un réseau, enseigner ou vous exprimer sur les réseaux sociaux ? Envisager de travailler dans une start-up vous exciterait-il ou vous inquiéterait-il ? Peut-être êtes-vous plus attiré par les grandes entreprises aux noms prestigieux ? La perspective de travailler pour l’intérêt général vous motive-t-elle ?

Votre liste ne doit pas obligatoirement être longue, retournez-y quotidiennement jusqu’à avoir le sentiment d’avoir pensé à tout.

Divisez ensuite votre liste en deux colonnes : la première contiendra vos cinq « incontournables » et l’autre vos « souhaits ».  

 

Étape n° 2 : imaginez le style de vie idéal

 

Réfléchissez à la vie que vous souhaitez avoir.

Préféreriez-vous avoir un métier dans le cadre duquel vous voyageriez tous les mois ? Ou privilégieriez-vous la routine et la proximité ? Aimeriez-vous travailler depuis chez vous ? Avez-vous considéré travailler en indépendant, créer votre propre entreprise, ou travailler en interne ? Quelles sont vos ambitions salariales dans l’immédiat et pour dans cinq ans ? Accepteriez-vous d’adopter une vie professionnelle sédentaire ou préféreriez-vous qu’elle soit plus dynamique ?

Intégrez ces critères de style de vie dans les deux listes que vous avez compilées lors de la première étape en n’ajoutant que 3 à 5 points à la colonne des « incontournables » et en ajoutant le reste à la colonne des « souhaits ».

 

Étape n° 3 : mettez vos points forts en avant

 

Nous voilà arrivés à l’étape finale du travail introspectif.

Dressez la liste des aspects de votre poste actuel que vous appréciez le plus. Notez ce que vous préférez dans vos passe-temps et vos études, ainsi que toute autre expérience positive. Pensez à vos réussites, aux tâches et aux rôles qui vous ont passionné.

Ne vous arrêtez pas aux réponses que vous avez trouvées, sollicitez l’opinion de vos proches et envoyez un e-mail à 3 à 5 personnes qui, selon vous, répondront objectivement à coup sûr. Il pourrait s’agir de votre partenaire, d’un ami ou d’un collègue. Demandez-leur quels sont vos points forts selon eux et de vous donner un exemple d’une chose qui les a impressionnés chez vous.

Cela peut paraître difficile, mais c’est une étape importante du programme. Qui sait, vous pourriez être surpris et flatté par leurs commentaires ! Prenez le temps de considérer leurs réponses et intégrez-les à votre liste.

À présent, vous avez un aperçu compréhensif de vos savoir-faire et de vos préférences. Tentez de les classer par ordre de priorité pour pouvoir facilement y faire référence. Ensuite, analysez quelles compétences peuvent s’appliquer à plusieurs métiers et secteurs.

Les listes que vous venez d’établir vous guideront dans votre recherche d’emploi. Elles mettront peut-être en avant des parcours professionnels que vous pourrez passer au peigne fin à l’étape n° 5. Dans tous les cas, elles vous seront utiles d’une manière ou d’une autre.

[ À lire ensuite : Comment réaliser un bilan de compétences ?

 

Étape n° 4 : développez votre réseau

 

Développer votre réseau professionnel, tisser des relations, découvrir des opportunités… Tout cela est essentiel à votre apprentissage et votre épanouissement personnels. Si vous vous y prenez bien, cela peut même être amusant !

Il y a tellement d’entreprises et de métiers différents que vous ne pouvez pas tous les connaître : discuter avec des professionnels de ce qu’ils font dans leur vie contribuera à élargir votre champ de connaissances.

Alors, faites-vous connaître !

Organisez des rencontres autour d’un café, des conversations téléphoniques ou des appels vidéo avec des personnes travaillant dans les domaines qui vous intéressent.

Il existe plusieurs façons de le faire :

  • Contactez les personnes que vous connaissez déjà dans vos vies personnelle et professionnelle et discutez avec elles de leur carrière. Allez sur LinkedIn (nous vous le recommandons fortement, c’est une très bonne ressource) et contactez les personnes dont le métier pourrait vous intéresser.
  • Assistez à des conférences, c’est l’occasion idéale d’échanger quelques mots en personne. Enfin, mettez à profit les réseaux sociaux : en effet, les relations et les opportunités professionnelles peuvent parfois naître des situations les plus improbables, il est donc très important de soigner sa présence en ligne. Soyez vous-même, mais faites attention à l’image que vous projetez.  

Trouvez des points communs avec la personne que vous contactez pour qu’elle ressente une affinité, surtout lorsque vous établissez de nouvelles relations sur LinkedIn. Cela augmentera vos chances d’obtenir une réponse.

Voici un exemple :

Bonjour Gregory,

Comme vous, j’ai étudié à [nom de l’université/école]. Ces sept dernières années, j’ai travaillé dans la comptabilité et je souhaite à présent prendre un tournant dans ma carrière. Je m’intéresse au développement Web, mais je ne sais pas par où commencer. Votre carrière dans ce domaine a l’air très intéressante ! Seriez-vous partant pour discuter au téléphone ou se rencontrer autour d’un café ? J’adorerais connaître votre histoire.

Bien à vous,

Catherine

N’oubliez pas que vous ne déposez pas une candidature, mais contactez simplement des personnes pour découvrir leur métier et déterminer si leur catégorie professionnelle vous correspond. Sachez aussi que la plupart des gens adorent parler d’eux, ceux qui accepteront votre invitation le feront donc avec beaucoup d’enthousiasme.

 

Étape n° 5 : posez les bonnes questions

 

Bon. Vous êtes au téléphone ou rencontrez une nouvelle relation pour la première fois. De quoi discutez-vous ?

La bonne nouvelle, c’est que vous savez déjà ce que vous voulez grâce aux listes de priorités sur lesquelles vous avez travaillé. Ce que vous recherchez maintenant, ce sont des informations qui vous aideront à savoir si une carrière en particulier est faite pour vous.

N’oubliez pas de prendre des notes !

Questions de base :

  • Comment êtes-vous arrivé à votre position actuelle ?
  • Pouvez-vous me décrire à quoi ressemble une journée de travail typique pour vous ?
  • Qu’est-ce que vous aimez le plus dans votre travail ?
  • Quel est l’aspect le plus frustrant de votre métier ?
  • Comment séparez-vous votre vie privée de votre vie professionnelle ?
  • Quelles sont les compétences et caractéristiques les plus utiles à votre métier ?

Posez également des questions pour déterminer si leur métier inclut tous vos « incontournables ».

Pour ne pas paraître trop indiscret, nous vous conseillons de ne pas parler de salaire. Vous trouverez ce type d’information sur des sites Internet comme « Glassdoor ».

Stratégies :

  • Gardez à l’esprit que votre nouvelle relation est susceptible d’avoir une vision différente de la vôtre sur le marché du travail. Informez-la rapidement de ce que vous recherchez et demandez-lui si elle a des suggestions à vous faire. Pour lui donner du contexte, dites-lui ce que vous aimez et quels sont vos points forts.
  • Enfin, demandez-lui si elle peut vous recommander des personnes à contacter. Cette question vaut de l’or, car elle l’incite à vous présenter des connaissances et donc vous donne l’opportunité d’établir d’autres relations professionnelles.
  • Après votre conversation, assurez-vous d’y faire suite avec un message de remerciement (par e-mail) contenant des informations pertinentes comme votre CV. Contactez cette personne régulièrement pour entretenir votre relation professionnelle. Le plus important est de rester honnête.

 

Conclusion

 

Plus vous avez de relations, plus vous saurez quelles carrières vous conviennent le mieux. À un moment ou un autre, la marche à suivre deviendra claire et vous aurez les relations adéquates pour vous guider.

Répétez les étapes n° 4 et 5 jusqu’à ce que vous trouviez la bonne carrière. Le développement de votre réseau ne contribuera pas seulement à l’identification de votre nouvelle carrière cible, mais vous aidera également à déterminer quels sont les études, compétences et autres éléments préparatoires nécessaires à l’obtention du poste idéal. On ne sait jamais, on vous fera peut-être tout de suite une offre d’emploi !

 

À lire ensuite : 

 

Pourquoi changer de métier ? ]
Quel est le bon moment pour changer de métier ?  ]
Quels sont les métiers les plus recherchés dans le numérique ?  ]
Effectuer son bilan de compétences  ]
[ Les 10 métiers les plus recherchés du numérique ]

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La reconversion de Silvia, de Barcelone à Paris

 

Silvia est espagnole et travaille à Paris depuis 2010. Après huit ans à travailler dans le commercial, elle décide de se reconvertir et s’inscrit au programme « Ingénieur responsable pédagogique » chez OpenClassrooms.

Et son projet fonctionne. En octobre 2018, Silvia quitte son ancienne entreprise et décroche un poste de chef de projet e-learning dans un centre de formation. Nous sommes allés à sa rencontre pour en savoir plus sur son parcours.


Quel métier exerçais-tu à Barcelone et pourquoi es-tu venue en France ?

 

En Espagne, j’étais enseignante vacataire et j’animais des formations pour enfants et adultes. Mon métier était très exécutif et consistait à transmettre un contenu aux élèves de la manière la plus efficace possible.

Je suis arrivée à Paris en fuyant la crise, et je ne parlais pas bien le Français. J’ai eu de la chance malgré tout, car j’ai décroché un job en service client, puis j’ai évolué en tant que commerciale. J’ai travaillé dans plusieurs entreprises pendant huit ans.

J’ai toujours su ce que je voulais faire, mais ce n’était jamais le bon moment pour prendre les choses en main et quitter le confort de mon CDI. Je pensais ne jamais pouvoir accéder au job de mes rêves et j’étais presque sûre que je n’aurais pas le niveau de langue requis.


Quand as-tu décidé de te reconvertir et de suivre une formation ?

 

Pendant mon congé maternité, j’ai eu un déclic.

J’ai compris que ma carrière de commerciale ne me satisfaisait plus. Changer d’entreprise ne servait à rien : je me lassais vite car ce n’était pas le métier que je voulais exercer. Alors, je me suis posée les bonnes questions et pris la décision de changer de voie.

J’ai commencé mon parcours de formation chez OpenClassrooms au mois de juin, une fois en congé maternité. Aujourd’hui, j’en suis au 6e projet du parcours, il ne m’en reste plus que deux pour terminer la formation.

 

Quelle formation as-tu choisie et pourquoi ?

 

L’ingénierie pédagogique est ce qui m’intéresse le plus : concevoir des formations, réfléchir à un contenu intéressant et utile. Et depuis quelques années, les formations professionnalisantes ont le vent en poupe en entreprise.

 

Qu’est-ce qui t’a poussée à t’inscrire chez OpenClassrooms?

 

J’ai choisi OpenClassrooms car je voulais suivre une formation à mon rythme, depuis chez moi. Étant enceinte, c’était important de pouvoir adapter mon travail à mes journées.

Pour pouvoir me reconvertir, je devais acquérir de nouvelles compétences, mais surtout me confronter à un nouveau métier. Chez OpenClassrooms, on met en pratique ce qu’on apprend à travers des projets. Chaque projet de la formation donne lieu à une soutenance : il faut faire preuve de débrouillardise, se creuser la tête, chercher des informations.

Le suivi avec le mentor, pour moi, c’est la clef de la réussite. Faire un point hebdomadaire, ça re-motive ; au moindre souci, on peut en discuter.

Je me suis sentie accompagnée, soutenue.

C’est ce qui fait toute la différence chez OpenClassrooms par rapport à d’autres organismes de formation.

 

Comment t’organises-tu au quotidien ?

 

Quand j’étais enceinte, je me calais des séances de travail régulièrement. J’étais souvent fatiguée, donc ça n’a pas été facile tout le temps. Aujourd’hui, mon bébé est né, je m’isole donc le soir entre 19h et 21h pour travailler.

L’organisation est indispensable, car le quotidien peut vite vous rattraper !

 

Comment as-tu vécu ta recherche d’emploi ?

 

J’ai commencé à postuler après la naissance de ma fille. J’ai passé mes entretiens pendant le congé parental de mon mari. Pour mes candidatures, je me suis servie de tout le vocabulaire engrangé pendant la formation, et ça a payé !

J’ai trouvé un nouveau travail en tant que chef de projet e-learning, à partir de février. Même si c’est dur de se sentir légitime lorsqu’on change de métier, je suis confiante.

 

Quels conseils donnerais-tu aux élèves d’OpenClassrooms ?

 

Pour mettre toutes les chances de votre côté, réfléchissez en amont à votre projet professionnel. Gardez-le en tête, tout le temps.

Au moment de vous lancer, vous serez débordants de motivation : pour ne pas la perdre, pensez à bien organiser vos temps de travail. Et surtout, échangez le plus possible avec votre mentor, il est là pour vous aider.

 

Envie de suivre le même chemin professionnel que Silvia ? 

 

Jetez un œil à notre parcours Ingénieur responsable pédagogique !

 

À lire ensuite : 

 

La trajectoire de Damien – À peine diplômé, les appels ont plu ]
La trajectoire de Mehedi – Un parcours réussi malgré plusieurs pauses ]

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Tout savoir sur… Workplace !

Par : Nora Leon

 

Étudier en ligne, c’est étudier seul ”. Moui… Sauf si vous étudiez chez… OpenClassrooms !

Pour vous éviter de bloquer sur un sujet ou de vous démotiver par manque de contact avec des étudiants, nous avons pris le problème à bras-le-corps. La solution ? Deux éléments clés pour que vous ne soyez jamais livré à vous même  :

  • Un suivi hebdomadaire avec un expert de votre futur métier, le fameux mentor

[ À lire : Les retours d’étudiants sur le mentorat ]

  • Un Facebook géant (Workplace) où les étudiants, mentors et l’équipe discutent de tous les sujets de formation et bien d’autres choses, en temps réel.

Pour que vous y voyez plus clair, faisons le tour du propriétaire.

 

À quoi ressemble Workplace ?

À Facebook (d’ailleurs, c’est un produit d’entreprise de Facebook).

Ce grand forum s’organise autour de plusieurs blocs.

  • Le fil d’actualité, comme sur Facebook. En arrivant sur votre Workplace, vous voyez en effet tous les posts en vrac. Ceux spécifiques à un parcours, sur un sujet extérieur à votre apprentissage chez nous et même les offres d’emplois.
  • Les groupes :
    👉🏽 Un par formation, par exemple Développeur Web Junior ou UX designer. Ils sont faits pour échanger sur les projets, les cours, les soutenances : bref, la vie sur un parcours chez nous.
    👉🏽 Des groupes généraux (annonces OpenClassrooms, le Campus, Offres d’emplois, j’ai trouvé un job) pour s’informer sur l’actualité des sujets utiles à tous les parcours.
    👉🏽 Des groupes de “détente” (Jamais sans musique, Le bistrot…) où les étudiants postent sur des sujets divers et variés, comme sur un forum.
  • Les sujets populaires, sur la droite. C’est là que vous voyez les sujets qui provoquent le plus de commentaires, pour ne pas rater une discussion importante. C’est là aussi que vous trouvez les sujets brûlots, jeunes trolls, au cas où l’envie vous prendrait de jeter un pavé dans la mare On vous connaît, les amis.

    Exemples de sujets populaires. Le premier message est pour dire… Qu’elle a trouvé un job ! 🚀

  • La messagerie instantanée (sur la droite) ou en grand format (sur la gauche), comme sur Facebook, pour pouvoir contacter les étudiants en privé.

 

À quoi sert-il ?

 

  • À poser ses questions en direct à la communauté. Sur un projet, sur un cours, pour ne pas être bloqué entre deux séances de mentorat. Les apprenants plus avancés sur les projets, diplômés et mentors y répondent rapidement.

 

  • À partager de bonnes pratiques : veille, outils qui permettent d’aller plus vite dans son job… Tout partage est bon pour tirer le plus possible des échanges.  

 

  • À se retrouver en vrai. Nous organisons dans toutes les grandes villes de France des sessions de co-working qui sont programmées sur Workplace.
    De plus, les étudiants organisent aussi leurs propres sessions. Ils créent des groupes de travail dans leur ville, dans le même parcours ou dans plusieurs spécialités. Travailler à plusieurs se révèle très motivant.

 

  • À booster la recherche d’emploi : les mentors et diplômés postent régulièrement des offres d’emploi sur un groupe dédié, et chacun peut partager son CV pour avoir des avis et l’améliorer.

 

  • À se détendre et créer des liens avec la communauté, tout comme sur un forum d’entraide classique.

 

En pratique : comment l’utiliser ?

 

En rejoignant le groupe de son métier.
Sur le groupe “Présentations”, vous trouverez le post qui vous aide à le trouver. Voici la liste pour 2 spécialités :

Exemple de groupes qu’on peut rejoindre en développement et IT

Vous pouvez aussi rejoindre les autres groupes qui vous intéressent et y poster.


Commen
t poster ?

 

Exactement comme sur Facebook. Vous choisissez le groupe où vous voulez écrire, et vous rédigez votre post. Simple comme bonjour.



En un mot

 

Workplace est donc l’espace d’échange par excellence entre les apprenants, diplômés et les mentors.

Vous pouvez l’utiliser comme espace d’échange sur des questions techniques, de partage d’emploi, ou encore pour constituer un réseau solide de professionnels qui ont une expérience similaire à la vôtre et sont passés par les mêmes études.

C’est l’assurance de ne pas être seul pendant son parcours, et un vrai accélérateur.

 

Le petit bonus

 


Si vous avez envie de poser vos questions à la communauté et de visiter le Workplace avant de souscrire votre formation Premium Plus, envoyez un e-mail à hello@openclassrooms.com en demandant à entrer dans le groupe “Portes ouvertes”.

Vous serez alors invité dans le Workplace et pourrez vous faire votre opinion vous-même.

C’est parti !

J’écris aux conseillers pédagogiques

 

🙋🏻

 

À lire ensuite : 

 

[ Les retours d’étudiants sur le mentorat ]
[ Peut-on changer de mentor ? ]

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Quelle est la meilleure option : devenir développeur full-stack ou développeur spécialisé ?

Par : Nora Leon

 

Si tu veux être dév’loppeur web, frappe dans tes mains !
Si tu veux être dév’loppeur web, frappe dans tes mains !

* PAUSE *

Bien. Mais quel type de développeur Web souhaitez-vous devenir ?

Une carrière dans le développement web est gratifiante et intéressante, car le marché du travail recherche des développeurs en permanence et de nouveaux langages apparaissent régulièrement. Si vous avez déjà fait toutes ces recherches, vous savez probablement déjà que vous pouvez choisir parmi une multitude de disciplines et vous ne savez sûrement pas où donner de la tête.

Pour faire simple, votre choix réside dans votre désir de spécialisation ou non. Toutes les spécialités en développement ont de l’avenir, et par ailleurs, il y a des emplois pour tous les développeurs, à Paris et en province.

À titre d’information, plusieurs spécialités sont disponibles sur OpenClassrooms : nous formons des développeurs spécialisés en Frontend, en Backend en PHP/Symfony ou en full-stack (c’est-à-dire en Front et Back à la fois) en Développement web junior ou Python ou  Java. Vous avez donc le choix.

Reste maintenant à vous décider !

 

Quelle est la différence entre un développeur full-stack et un développeur spécialisé ?

 

Un développeur spécialisé travaille généralement soit en Frontend soit en Backend. Là où un développeur Frontend va travailler du côté des utilisateurs en créant les interfaces visibles sur les navigateurs à l’aide des langages HTML, CSS et JavaScript, le développeur Backend sera en charge du fonctionnement interne. Il s’assurera que les utilisateurs peuvent accéder aux données appropriées et que les bonnes données sont stockées au bon moment.

Un développeur full-stack est un mélange des deux. Ses connaissances des différents langages de programmation sont plus limitées, mais il est capable de travailler en frontend et en backend et peut donc suivre un projet de sa conception à sa création.


À quoi ma journée de travail ressemblera-t-elle ?

 

En tant que développeur spécialisé, vous passerez beaucoup de temps à développer et améliorer les projets sur lesquels vous travaillerez. Vous serez un expert dans votre domaine et devrez continuer de vous former pendant toute votre carrière pour être à jour sur les dernières innovations.

En tant que développeur full-stack, vous travaillerez souvent sur une grande variété de tâches, car vous serez un véritable touche-à-tout. Vous passerez moins de temps à travailler en collaboration avec plusieurs personnes, car vous serez plus autonome et dépendrez moins de vos collègues pour mener à bien des tâches connexes.

 

Quel diplôme garantit l’embauche ?

 

Les deux profils sont très recherchés, vous pourrez le constater en survolant les sites d’offres d’emploi. En termes de rémunération, le salaire de départ est similaire. La vraie question est donc la suivante : quel type de métier souhaitez-vous exercer ?

Les grandes entreprises savent quels sont leurs besoins et ont donc tendance à embaucher des développeurs spécialisés. Les start-ups favorisent au contraire les développeurs full-stack, car ils peuvent prendre en charge l’ensemble de leurs besoins technologiques dès le début. Si l’évolution professionnelle est importante pour vous, les développeurs full-stack sont souvent ceux qui possèdent un point de vue plus global sur les projets et donc ceux qui sont le mieux placés pour diriger une équipe.

Si vous pensez à vous établir en indépendant, vous pourrez plus facilement concevoir vos propres produits en étudiant le développement web full-stack.


Je suis perdu : comment me décider ? 

 

Pas de panique. Le mieux est d’essayer les différents langages, qui vous permettront de savoir lequel vous botte. Le mieux, c’est de commencer avec celui qui vous plaît le plus, sachant que vous pourrez toujours en apprendre d’autres par la suite.

Une carrière en développement web implique de toujours se remettre à jour et d’apprendre de nouvelles technos et des Frameworks récents.

Commencez par les cours débutants :

Frontend
Concevez votre site avec HTML5 et CSS3
PHP
Concevez votre site web avec PHP et MySQL
Python
Démarrez votre projet avec Python
Java
Démarrez votre projet avec Java


En résumé :

 

Si vous souhaitez obtenir un diplôme en Frontend, en Backend en PHP/Symfony ou en full-stack (Développement web junior ou Python ou  Java),  nous avons ce qu’il vous faut.

Nous offrons également une garantie à l’emploi de six mois, car nous sommes convaincus que vous serez rapidement embauché après vos études.

 

Parlez-en à un conseiller pédagogique !

 

🙋🏻

 

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7 conseils pour éviter la pause quand on étudie en ligne… Ou la surmonter !

Par : Nora Leon

 

Vous pensez à faire une pause dans vos études pendant votre parcours OpenClassrooms ?

Lisez d’abord cet article sur le parcours de Mehedi Hasan.

Mehedi est un ancien étudiant international en développement d’applications Front-end. Il a été forcé de mettre ses études en pause non pas une, mais deux fois. Et malgré ces pauses dues à des circonstances exceptionnelles, il a obtenu son diplôme en douze mois. Il a donc acquis en cours de route des techniques pratiques pour garder un rythme d’apprentissage régulier, qu’il partage.

Voici mon premier conseil : si possible, ne faites pas de pauses dans vos études ! Vous atteindrez vos objectifs plus lentement, serez frustré et risquerez de ne pas valider votre parcours. Cependant, si vous devez en prendre une, j’ai quelques conseils à vous donner. Voici mon histoire.

Avant OpenClassrooms

Je me suis toujours senti l’âme d’un entrepreneur. Il y a cinq ans, je suis parti du Bangladesh pour m’installer en Allemagne, où je souhaitais obtenir une licence et un master. J’avais beaucoup de chemin à faire avant d’y arriver.

Pour remplir les conditions préalables à l’entrée dans le programme universitaire de ma licence, je devais suivre des cours d’allemand et d’enseignement général. J’ai également dû faire un stage préalable. Tout cela m’a pris presque deux ans. Ensuite, après avoir validé deux semestres dans mon université allemande, j’ai créé mon entreprise pour fournir des services Web aux petites et grandes entreprises. C’était très difficile de jongler entre mon travail et mes études à cette époque.

Il est vite devenu clair que j’avais besoin d’approfondir mes connaissances en développement Web pour fournir des services de meilleure qualité à mes clients. C’est à ce moment-là que j’ai découvert OpenClassrooms et leur parcours de développeur d’application frontend.

En examinant l’accréditation internationale des diplômes délivrés par OpenClassrooms, équivalents à un diplôme européen de licence, qui pouvaient être validés en un an environ, cette option semblait être plus en accord avec mes besoins professionnels que mon programme universitaire. J’ai donc décidé de quitter l’université et de commencer à étudier avec OpenClassrooms sans attendre en septembre dernier.

Début de son parcours sur OpenClassrooms

Pendant mes deux premiers mois d’études de développement d’application frontend avec OpenClassrooms, je gagnais chaque jour en assurance : j’apprenais beaucoup en peu de temps.

Puis, j’ai reçu un appel de ma famille : mon père avait été hospitalisé. J’ai tout de suite pris un avion pour être à ses côtés et j’ai suspendu mes études en mettant mon compte Premium Plus en pause sur OpenClassrooms. Je ne savais pas comment la santé de mon père allait évoluer et si je pourrais reprendre mes études.

Heureusement, mon père a retrouvé la santé. J’ai donc pu retourner en Allemagne après un mois passé à son chevet. Je me suis tout de suite réinscrit sur OC, j’ai recontacté mon mentor et j’ai repris mon parcours là où je m’étais arrêté.

Se remettre dans le bain

C’est là que je me suis retrouvé dans une impasse. J’avais l’impression de tout avoir oublié et que c’était vraiment trop difficile. J’ai dit à mon mentor que je n’y arrivais pas et que je voulais abandonner.

Il m’a répondu que c’était normal d’oublier quand on fait une pause et que la meilleure façon d’avancer était tout simplement de s’entraîner. Il m’a demandé de prendre 45 minutes ou moins par jour pour manipuler le contenu, essayer de concevoir des choses, revoir d’anciens projets, et même regarder à nouveau quelques courtes vidéos des cours précédents. Il m’a assuré que tout me reviendrait assez vite.

Mon mentor est l’une des raisons principales pour lesquelles j’ai pu continuer à suivre le parcours. Il m’a dit que je pouvais y arriver. Il a cru en moi. Il connaissait mes points forts et savait que même si je réduisais mon temps de travail à 7-10 heures par semaine, je pouvais quand même réussir. Je pouvais ralentir, tout en avançant dans le parcours.

Donc c’est ce que j’ai fait.

Le fait de travailler plus lentement chaque jour ne m’a pas seulement aidé à revenir dans un état d’esprit adapté aux études, cela m’a également appris que des études ou un entraînement quotidiens peuvent être plus efficaces qu’étudier pendant de plus longues périodes seulement une ou deux fois par semaine. Avoir dû me remettre dans le bain après ma pause m’a appris qu’étudier lentement en grattant quelques minutes chaque jour pouvait être une façon d’apprendre encore plus efficace.

Pause inattendue n° 2

Après ça, mon assurance est remontée en flèche et j’étais sur la bonne voie pour terminer le programme quand j’ai appris que mon père avait été hospitalisé une nouvelle fois. Je suis rentré dans mon pays sans hésitation. En dépit du chagrin et de l’inquiétude, tout s’est arrangé pour mon père.

Mais cette seconde pause était très différente de la première. J’avais remis mon abonnement Premium Plus en pause, mais avais continué à m’entraîner. Cela a fait toute la différence. Après une pause de 20 jours, j’ai réussi à reprendre le parcours beaucoup plus facilement. Je l’ai enfin fini et j’ai obtenu un diplôme de licence en 12 mois malgré presque deux mois de pause.

Je suis tellement heureux d’avoir continué mes études.

Aujourd’hui, je constitue le dossier pour ma candidature en école supérieure et obtenir mon master en avance. Je me rapproche chaque jour de mes rêves d’entrepreneuriat

 

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“Dès que j’ai été diplômé, les appels ont plu” Damien Vauchel, diplômé en développement d’applications PHP/Symfony

Par : Nora Leon

 

Damien Vauchel est diplômé du parcours Développeur d’Applications PHP/Symfony depuis avril 2018. Il raconte son expérience chez OpenClassrooms et donne de nombreux conseils aux étudiants.  

Comment as-tu choisi ce métier et cette formation ?

Je suivais depuis plusieurs années les cours du Site du Zéro, comme pas mal de gens de ma génération. J’avais un intérêt pour l’informatique, je consultais les forums quand j’avais un souci sur Windows, mais je ne m’étais jamais lancé.

Après quelques années en tant qu’opticien, j’ai voulu changer de métier. J’ai commencé à suivre les cours d’OpenClassrooms au magasin, lorsqu’il n’y avait pas de clients. Après quelques mois, je me lançais dans un parcours diplômant en développement PHP/Symfony.

Pourquoi as-tu choisi OpenClassrooms ?

J’avais grappillé pas mal de cours d’OpenClassrooms et je les trouvais bien fichus. J’avais touché à des technos différentes pour savoir ce qui me plaisait. JavaScript n’était pas mon truc ; et j’ai tenté Python, Java, PHP… PHP m’a beaucoup plu. Quand je suis arrivé sur de l’orienté objet, j’ai eu besoin de quelqu’un pour me soutenir. Ça se corsait !

J’ai choisi OpenClassrooms car je connaissais déjà les cours et qu’ils proposaient un mentor. Le fait d’être soutenu par quelqu’un qui connaisse le milieu a été déterminant.

Comment as-tu vécu la formation ?

Tout d’abord, je dois dire que j’ai mis 7 mois pour finir cette formation qui normalement dure un an. C’était intense ! Je travaillais près de 60 heures par semaine, 8 à 10 heures par jour, même certains dimanches.

J’étais vraiment motivé, mais ça a quand même été en dents de scie. Je travaillais énormément, et parfois c’était dur. J’ai plusieurs fois voulu arrêter, mais mon mentor et mes proches m’ont aidé à passer ces caps plus compliqués.

Sur l’un des projets, je me suis senti découragé parce que j’étais dans une impasse. Mon mentor m’a conseillé de tout reprendre depuis le début, et là je me suis rendu compte que j’avais fait des erreurs à la base. La deuxième fois, ça a bien été, et ça m’a permis de reprendre confiance en mes capacités à acquérir les compétences du parcours.

Sur ce projet, justement, j’ai changé de mentor. Mes deux mentors avaient des visions et compétences complémentaires : ça m’a aidé de les croiser. Ils étaient passionnés, ouverts d’esprit, et comme le second s’était lui aussi ré-orienté, ça m’a permis de relativiser et de prendre du recul pour réussir.

Que penses-tu de la communauté ?

J’ai beaucoup utilisé Workplace : c’est un outil super. Ça m’a aidé car c’est l’interface Facebook privée pour les étudiants, donc on peut demander de l’aide et les gens sont réactifs. Ça m’a aussi permis de systématiser ma veille technique : aujourd’hui, je la réalise encore en partie via cet outil.

Et en plus, les mentors sont aussi sur la plateforme, ce qui permet d’apporter leur expertise dans les discussions. Ces discussions plus avancées permettent d’aller encore plus loin sur un sujet et nous tirent vers le haut.

Comment s’est passée ta recherche d’emploi ?

De façon rapide, chose à laquelle je n’étais pas habitué. J’ai attendu la fin de mon parcours, puis j’ai mis sur LinkedIn l’annonce que j’avais validé ce parcours et que j’étais en attente de jury. J’ai été contacté par LinkedIn et Monster. Je me suis aussi inscrit sur RegionJobs.

J’ai eu une trentaine d’entretiens téléphoniques et j’ai passé 9 entretiens, sans jamais faire la démarche de chercher. Mon CV était sur des plateformes et les recruteurs venaient vers moi.

Dès que j’ai été diplômé officiellement, les coups de téléphone sont tombés les uns après les autres ! En une semaine, j’ai passé 3 entretiens dans 9 des boîtes qui m’avaient contacté. 4 recruteurs voulaient m’embaucher. J’ai pu choisir une entreprise jeune et sympa qui voulait bien continuer à me former. 

Et aujourd’hui, en janvier 2019, tu en es où ?

Depuis mai 2018, je suis dans une agence, on est une quinzaine de développeurs. J’ai déjà beaucoup appris parmi eux. Je me vois monter en compétences jour après jour et c’est très stimulant !

 

Tes conseils aux étudiants du parcours ?

  • Il ne faut pas lâcher ni tout voir en noir. À un moment, vous aurez probablement l’impression que cela n’avance pas. À la fin de mon parcours, j’ai refait le Projet n°5 où j’avais eu du mal. Et là, je me suis dit que mine de rien, j’avais fait un sacré bout de chemin.
  • D’où mon deuxième conseil, revenir sur les projets déjà validés pour ne pas perdre la main et acquérir des réflexes. Ça a bien plu aux employeurs quand je leur ai dit que j’étais repassé dessus pour ancrer mes compétences.
  • Ne pas sous-estimer la recherche par vous-même pendant la semaine. Dans mon nouveau job, quand je pose une question, mes collaborateurs me disent d’aller chercher dans la doc. Donc n’attendez surtout pas, pour vous former, pour chercher par vous-même, ce sera un atout précieux.
  • En entretien, ne pas mentir sur vos compétences. Si vous ne savez pas, les entreprises s’en rendront vite compte. Vous perdrez aussi une occasion de demander à l’entreprise de continuer à vous former, alors que c’est primordial. Moi j’ai dit que je n’étais pas au point sur JavaScript, mais que je voulais apprendre. Les employeurs ont apprécié ma franchise et mon humilité, et à présent je suis dans un environnement bienveillant pour développer mes compétences.
  • Ne pas vous dévaloriser. Certains employeurs voudront que vous vous bradiez parce que vous n’êtes pas un ingénieur. Dites-vous bien que vous avez des compétences solides, une pratique bien utile pour un premier poste, et qu’en plus vous savez vous débrouiller. D’ailleurs, vous ne devez pas hésiter à mettre en avance les compétences acquises dans une expérience passée : les qualités que vous avez obtenues en travaillant dans un autre secteur et sur un autre poste vous aideront aussi à convaincre un employeur de votre compétence et sérieux. Gardez confiance, et une belle opportunité s’offrira à vous au fil de vos candidatures.

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OpenClassrooms et Google.org aident les indépendants à s’épanouir professionnellement

Par : Nora Leon

 

L’équipe d’OpenClassrooms est fière d’annoncer le lancement de LevelUp, son école en ligne dédiée aux travailleurs indépendants, grâce au soutien de Google.org.

OpenClassrooms s’est donné une mission : rendre l’éducation accessible à toutes et tous, partout dans le monde. Et derrière cette mission, un objectif professionnel : permettre à ses apprenants de s’épanouir dans leur carrière tout au long de la vie – y compris les travailleurs indépendants, pour qui l’accès à la formation n’est pas toujours aisé.  Nous avons donc souhaité proposer des formations sur-mesure pour répondre aux besoins de ces derniers.

Notre ambition : accompagner l’ascension des indépendants

Aujourd’hui, les nouvelles formes de travail se développent massivement – en particulier les indépendants, de plus en plus nombreux. . Choisir le travail indépendant, c’est plus d’autonomie, pas de patron, un accès direct aux clients… mais aussi plus de risques, un encadrement pas toujours complet. Si les opportunités pour les indépendants, quels que soient la structure et le secteur, ne cessent de fleurir, les modalités pour créer et développer son activité à son propre compte évoluent aussi de manière radicale.

Dans ce contexte, OpenClassrooms et Google.org ont joint leurs efforts pour proposer aux indépendants des formations qui répondent à leurs besoins, en France, au Royaume-Uni et en Belgique.

La première étape : comprendre les besoins de formation des indépendants, en particulier de ceux qui collaborent avec des plateformes numériques. Pour ce faire, nous avons noué des partenariats avec Uber, Deliveroo et Stuart, et sondé leurs audiences pour préparer ce programme.

Près de 2500 personnes en France, au Royaume-Uni et en Belgique ont participé à cette enquête. Les résultats ont mis en lumière que 90% de ces indépendants comptent évoluer professionnellement en changeant d’emploi. Ils voient en effet leur activité  actuelle comme une activité de transition, un tremplin pour évoluer.  Certains d’entre-eux n’envisagent pas forcément de changer d’activité ; d’autres par contre connaissent mal les solutions de formation à leur disposition pour évoluer vers autre chose tout en sécurisant leurs revenus.

Construire sa carrière en maîtrisant les risques

Le programme LevelUp d’OpenClassrooms est né pour permettre aux indépendants  d’acquérir les compétences nécessaires pour leur permettre de faire un bond dans leur carrière, tout en maîtrisant leurs revenus.

 


Vous êtes indépendant et cela vous intéresse ? Demandez le programme !


Le programme de formation est composé de 12 cours créés spécifiquement pour vous. En les suivant, vous vous familiariserez avec les bonnes pratiques numériques du marché de l’emploi et apprendrez les compétences du 21ème siècle.

Vous apprendrez notamment à créer et gérer votre activité, à construire un plan de carrière ambitieux, et à chercher efficacement un emploi. Vous développerez aussi des compétences fondamentales à toute création d’entreprise, telles que rédiger des écrits professionnels, parler en public, collaborer avec une équipe et organiser votre travail de manière autonome.

N’importe quel indépendant peut suivre ces cours, ou l’un des 300 autres déjà accessibles sur OpenClassrooms. Si vous collaborez avec Uber, Deliveroo, Stuart ou Malt, vous pouvez dès maintenant accéder à toutes ces ressources gratuitement, suite à une inscription en quelques clics.

Je m’inscris gratuitement

 


Des bourses d’études pour donner vie à 100 projets

Pour aller encore plus loin, LevelUp d’OpenClassrooms offre 100 bourses d’études à des indépendants aux projets ambitieux. Ces bourses permettront d’étudier pendant un an chez OpenClassrooms : le temps moyen pour obtenir un diplôme de niveau reconnu par l’État à équivalent Bac +3. Ces personnes choisiront entre trois spécialités celle qui sera la plus adéquate pour mener à bien leur projet.

Cela vous intéresse ? Vous avez un super projet et voulez postuler ?

 

À quoi ressembleront vos études si vous obtenez la bourse ?

Vous bénéficierez, comme les autres 99 indépendants, d’un compte Premium Plus d’OpenClassrooms. C’est-à-dire que vous étudierez sur l’un de nos parcours diplômants, qui comprend des projets professionnalisants, des cours et l’aide d’un mentor par visioconférence chaque semaine. Vous aurez également le droit, dès le parcours terminé, à un accompagnement à l’emploi avec un coach RH qui vous aidera à décrocher leur premier poste.

Et si vous vous lanciez ?

Je postule

 

Le programme LevelUp d’OpenClassrooms est une opportunité en or pour les indépendants de se former en parallèle de leur activité. C’est l’occasion pour eux de la faire passer au niveau supérieur, ainsi que leurs compétences professionnelles. Et surtout, petit à petit et sans prendre de risques inconsidérés, de s’acheminer vers la carrière dont ils rêvent.

 

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Quel est le bon moment pour changer de métier ?

Par : Nora Leon

 

Dans 20 ans, vous serez plus déçu par les choses que vous n’avez pas faites que par celles que vous aurez faites. Alors sortez des sentiers battus. Explorez. Rêvez. Découvrez.
Mark Twain

Vous songez à changer de métier. Comme 64% des Français. Pour beaucoup, cela restera un doux fantasme. Mais peut-être faites-vous partie de ceux qui prennent chaque jour leur vie à bras-le-corps et se taillent un destin sur-mesure qui les enthousiasme plus.

Une foule de questions se pose alors : Quand changer de métier ? Y a-t-il un âge limite pour le faire ? Et un moment opportun pour quitter son emploi ?

 

Le meilleur moment pour vous

Quand changer de métier ? Vous pouvez être en poste depuis un mois ou 10 ans. Quitter votre emploi est pertinent si vous vous retrouvez dans l’une de ces situations :

1- Vous avez fait le tour de votre poste
2- Vous n’avez pas de perspective d’évolution
3- Vous n’aimez plus ou n’avez jamais aimé vos missions
4- Vous avez un problème éthique avec votre emploi
5- Vous voulez explorer un nouveau métier
6- Vous avez un rêve professionnel inassouvi
7- Vous souhaitez gagner mieux votre vie
8- Vous voulez être indépendant

À lire : Pourquoi changer de carrière ?

En ce qui concerne votre temps en poste, les recruteurs vous diront que rester dans un poste 1 an et demi à deux ans est nécessaire pour l’avoir pris en main. Cependant, ce n’est pas une règle stricte, car on voit régulièrement de belles reconversions après moins de temps passé en poste : tout repose sur votre argumentation durant l’entretien d’embauche.

En ce qui concerne le moment dans l’année, septembre et janvier sont en général les pics de reprise d’études, mais vous ne devez pas forcément commencer par là. Chez OpenClassrooms, vous pouvez vous inscrire toute l’année et commencer de suite.

Côté vie personnelle, tout est possible. Chez OpenClassrooms, on voit régulièrement des parents avec des enfants en bas-âge et un emploi à côté, réussir des parcours diplômants.  C’est en vous que vous puiserez la motivation pour y arriver.

Enfin, vous pouvez changer de métier quel que soit votre âge. Surtout pour les métiers du numérique qui sont très en demande, vos compétences vous garantiront un emploi.

 

Le bon moment pour respecter votre employeur

Votre patron et votre équipe ne s’attendent pas forcément à ce que vous partiez. Cela peut leur faire un choc d’apprendre cette (mauvaise) nouvelle.

Pour autant, cela ne veut pas dire que vous deviez vous censurer. Il y a un équilibre à trouver entre ne jamais partir par peur de vexer son employeur ou de ralentir son équipe, et partir au pire moment.


Les bonnes pratiques :

  • Partez bien avant ou après la période la plus stratégique de l’année où vous remplacer serait impossible, pour ne pas mettre votre équipe dans une situation délicate.
  • Vous pouvez aider à recruter votre successeur dès que vous avez posé votre démission pour que la transition soit plus facile pour l’équipe.
  • Il est également possible de partir à la faveur de recrutements dans l’équipe pour laisser l’opportunité aux collaborateurs d’unir leurs forces en mode « Lean » (en se répartissant le travail en équipe pour ne pas stopper l’activité)
  • Respectez la période convenue avec votre employeur pour le préavis et soignez votre passation à votre successeur : si vous l’aidez, vous pourrez choisir librement votre date de départ car la relève sera assurée.


En un mot

Rassurez-vous : vous allez trouver le bon moment. Le plus dur est de se lancer.

À lire ensuite :
Pourquoi changer de métier ?
Quel est le bon moment pour changer de métier ?
Quels sont les métiers les plus recherchés dans le numérique ?
Effectuer son bilan de compétences
5 conseils pour choisir son futur métier
OpenClassrooms, un modèle pédagogique par la pratique 

 

 

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OpenClassrooms, un modèle pédagogique par la pratique

Apprendre un métier en ligne ? Pourquoi pas, mais à quoi dois-je m’attendre ?

Une formation orientée compétences

Si vous avez déjà fait des études dans une école, une université ou un centre de formation traditionnel, vous êtes certainement habitué à la logique pédagogique suivante : suivre des modules – cours, TP, séminaires – pour passer des examens. Passer des examens pour avoir des notes. Avoir des notes pour valider des semestres. Valider des semestres pour valider des années. Valider des années pour valider un diplôme. Valider un diplôme pour continuer ses études ou trouver un emploi.

Cette logique est très répandue, mais si vous vous attendez à la retrouver dans nos parcours, vous risquez d’être surpris ! En fait, pour créer une bonne expérience d’apprentissage en ligne, nous avons dû repartir d’une page blanche et nous poser les bonnes questions.

Que cherchent vraiment les recruteurs ? Des bonnes notes aux examens ? Non, plutôt des professionnels qui peuvent prouver leurs compétences.

Comment acquérir ces compétences en ligne ? En regardant des vidéos ? Pas seulement, non ! Avant tout par la pratique, et par le contact régulier avec des professionnels du domaine.

Une pédagogie par projets


Chez OpenClassrooms, pour acquérir ces compétences, vous devez réaliser une suite de projets. En d’autres termes, des reconstitutions de scénarios professionnels aussi réalistes que possible. Vous devez donc vous glisser dans la peau d’un professionnel et fournir à un client, des collègues ou un manager des livrables, avec des contraintes données, dans un environnement particulier, etc.

Afin de vous accompagner, vous êtes suivi une heure par semaine par un mentor durant une session en visioconférence. Le mentor n’est pas un professeur mais un professionnel du métier, qui pourra vous aiguiller avec son expérience du terrain.

Et les cours dans tout cela ? On y arrive ! Les cours sont conçus comme des ressources pour vous aider à réaliser ces fameux projets. Ils ne sont donc pas strictement obligatoires : vous pouvez tout à fait valider le projet en vous aidant de ressources différentes ou par votre propre expérience. Cela dit, si vous êtes débutant, ils vous seront quand même vivement recommandés.

Pourquoi ce choix de pédagogie ?

La pédagogie par projet n’est pas nouvelle dans le paysage éducatif. Elle s’est même imposée comme l’une des méthodes efficaces pour accroître la motivation des étudiants.

Chez OpenClassrooms, nous concevons des projets professionnels d’envergure, évalués par des soutenances, qui vous permettent de bâtir votre portfolio… et accessoirement de valider le diplôme.

Quelle est l’idée derrière ?

  • Que votre apprentissage soit plus précis : vous apprendrez uniquement ce dont vous avez besoin dans le monde professionnel, mais également tout ce dont vous avez besoin. Les projets nous permettent de calibrer plus finement les compétences acquises.
  • Que votre apprentissage soit évalué au mieux : la durée de réalisation des projets est flexible. Vous apprenez à votre rythme. Ainsi, lorsque vous validez le diplôme, cela signifie que vous avez vraiment acquis toutes les compétences requises, , à un niveau qui plus que pour passer l’examen, vous permettra réellement de les mettre en pratique dans le monde professionnel.
  • Que votre apprentissage soit valorisable facilement dans le monde du travail : même si vous ne passez pas par l’apprentissage ou le stage (ce qui est possible chez OpenClassrooms pour certains parcours), à la fin de votre formation, vous aurez réalisé une série de livrables que vous pourrez présenter en entretien par un portfolio. Vous serez directement opérationnel.

Vous pouvez ainsi faire l’expérience du métier, mais avec plus de place pour des erreurs que si vous étiez directement plongé en entreprise, et avec un mentor qui vous suit toutes les semaines.

OpenClassrooms permet donc de faire converger les sections éducation et expérience du CV… C’est ça, pour nous, une formation professionnalisante.

Vous êtes étudiant ? Dites-nous ce que vous en pensez.

Vous voulez faire décoller votre carrière ?

Rendez-vous sur notre page Parcours !

 

Les auteurs de ce post :

Charlène et Guillaume.

Passionnés d’éducation, tous deux font partie de l’équipe pédagogique.


Charlène est ingénieure pédagogique. Elle cherche au quotidien à améliorer l’expérience d’apprentissage des étudiants au travers de cours et de parcours toujours plus professionnalisants et pédagogues.
Guillaume est Learning Expérience Designer : il réfléchit aux innovations éducatives à mettre en place dès et dans les prochaines années, pour une meilleure expérience d’apprentissage.

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Anatomie d’un parcours OpenClassrooms

Par : Nora Leon

Comment se passent concrètement vos études quand vous étudiez chez OpenClassrooms ?

 

Ça y est, vous vous jetez à l’eau. Vous allez apprendre un nouveau métier, en ligne. Est-ce que vous le ferez chez OpenClassrooms ? Voici comment se dérouleront vos études chez nous. On espère que ça vous permettra de vous projeter.

 

Qu’allez-vous apprendre ?


OpenClassrooms est l’école du concret. Vous apprendrez un métier de A à Z, en pratique.

Vos passerez environ 80% de temps de travail sur des projets avec l’aide de votre mentor et 20% sur les cours.

Les cours ne sont pas obligatoires, il vous aident à réussir les projets.

 


Qu’est-ce qu’un projet professionnalisant ?

 

Ce sont des travaux pratiques, comme si vous étiez déjà en entreprise. Par exemple établir une fiche de paie dans le parcours comptabilité, créer un site Internet en développement, réaliser un plan de communication dans le parcours Responsable Marketing…

“C’est en forgeant qu’on devient forgeron.” Et justement, ces projets vous permettent d’apprendre en faisant. Vous développez des compétences immédiatement applicables en entreprise.

 

Comment OpenClassrooms vous accompagne

 

Votre mentor

C’est un expert qui exerce votre futur métier, sélectionné par OpenClassrooms pour vous motiver et vous accompagner pas à pas vers la réussite. Avec lui, vous vous fixez des objectifs et approfondissez les sujets.


Dès que j’ai un souci technique, ma mentor Marion est là. Et cela va plus loin : elle me rassure quand j’hésite. Souvent, après coup, elle me dit : “Tu vois que tu as réussi !” Le contact humain est super aussi. On parle d’un nombre incalculable de choses.

 

Clémence, diplômée dans le parcours développement front-end, développeuse en CDI dans le milieu du transport

On n’a pas de vision globale du parcours : il nous faut un cadrage, pour savoir combien de temps on va mettre sur un projet. Se fixer des objectifs chaque semaine est aussi très important. On les définit ensemble, et donc, c’est réalisable.

Sylvie, 59 ans, diplômée de la formation Chef de projet multimédia Développement, développeuse indépendante

 

En ligne mais pas tout seul : la communauté Workplace

Le Workplace est réservé à la communauté Premium Plus d’OpenClassrooms. Son interface ressemble à celle de Facebook. Les étudiants, les diplômés, les mentors et l’équipe OpenClassrooms y discutent librement des études, des emplois et d’autres sujets, comme sur n’importe quel campus.

Cette communauté vous permet d’obtenir de l’aide sur une question technique entre deux rendez-vous avec votre mentor. Vous pouvez y obtenir un conseil sur un projet, ou discuter avec les autres étudiants de tout et de rien. Vous échangerez au quotidien avec les autres étudiants et pourrez organiser des sessions de travail en groupe près de chez vous.

 

Les conseillers pédagogiques

C’est l’équipe d’OpenClassrooms qui vous accompagne au quotidien, de votre demande de financement jusqu’à l’obtention de votre diplôme et votre prise de poste.

Concrètement, ils vous aident à choisir le métier qui vous convient. Une fois décidé, c’est à eux que vous demandez un changement de mentor, un coach pour accélérer votre recherche d’emploi, une attestation de présence, une copie de votre diplôme… Leur mission : vous faciliter la vie.

 

Les coachs pour décrocher un emploi

Enfin, dès votre diplôme obtenu, vous pourrez demander l’aide d’un coach, gratuitement, pendant 2 mois.

L’objectif : vous aider à trouver un job qui vous plaise, le plus vite possible.

Comment ? En vous conseillant dans vos candidatures, en vous aidant à trouver les bons arguments, en vous préparant aux entretiens, et en vous ouvrant si nécessaire son réseau pour créer des opportunités.

La recherche du contrat est un moment difficile, où l’on peut sentir sa motivation vaciller. Mais même là, je n’ai pas été tout seul. Openclassrooms m’a attribué un coach, qui m’a aidé dans les différentes étapes de ma recherche. Et aujourd’hui, j’ai décroché mon contrat pro et je vais pouvoir continuer mon parcours jusqu’à l’obtention du diplôme.

 

Aurélien, étudiant en développement web

 

La journée d’un étudiant


Comment m’organiser durant cette période d’apprentissage en ligne ?

Les horaires

Cela dépend de vous : les horaires sont flexibles, les projets et les cours sont accessibles à toute heure, et les mentors proposent plusieurs créneaux. Donc, chaque personne a un emploi du temps différent.

  • Si vous étudiez à plein-temps, vous aurez sûrement une routine de travail : 3h30 le matin, votre déjeuner, 4h00 l’après-midi les jours de la semaine (on recommande 35h de travail hebdomadaire). D’ailleurs, vous préférez peut-être travailler tard, ou répartir vos heures l’après-midi et le soir.
  • Si vous avez un emploi, vous travaillerez probablement le soir (2h chaque soir par exemple) et le week-end (par exemple 6h par jour le weekend) ; vous mettrez sans doute un peu plus de temps à terminer votre parcours.
  • Si vous avez des enfants, vous pourrez ménager du temps pour vous en occuper (en concentrant vos études sur leurs horaires à la crèche ou à l’école).

 

La structure de travail

Chaque semaine, vous définirez avec votre mentor les tâches de votre projet à mener à bien pour la semaine suivante. Vous saurez donc quoi faire. Vous passerez sûrement un peu de temps chaque jour à vérifier des éléments dans les cours, mais la plupart du temps sera consacré à du travail pratique.

Une fois toutes les deux semaines, vous viendrez peut-être au coworking organisé par OpenClassrooms dans l’une des grandes villes de province ou à Paris. Ou vous travaillerez en groupe avec des étudiants qui habitent près de chez vous.

 

Le mot de la fin


Chez OpenClassrooms, c’est zéro blabla, 100% concret. Si vous avez envie de sauter à pieds joints dans un nouveau métier, lancez-vous avec nous.

Ma reconversion est en passe d’être une réussite et s’il y a bien un truc à retenir pour toutes les personnes qui auraient tendance à vouloir abandonner : NE LE FAITES PAS !!!! Ne lâchez rien, JAMAIS ! Tous les efforts finissent par payer, certes plus ou moins vite mais ça finit toujours par être positif.

Nicolas, jeune développeur web en CDD évolutif en CDI.

 

À consulter ensuite : 

La page Parcours d’OpenClassrooms 
Le mentorat, l’atout humain des formations
Retours d’étudiants sur le mentorat
Changer de métier, mais pourquoi ? 

 

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Quel est le meilleur langage de programmation pour le Web ?

Par : Christophe

Les besoins en recrutement ne cessent d’augmenter pour les métiers du numérique. Toutes les spécialités en profitent. Les métiers de la programmation web n’y échappent pas. Faisant partie des compétences les plus recherchées par les entreprises et les mieux rétribuées, la programmation web attirent un nombre croissant d’étudiants et de professionnels souhaitant s’y former. Survient nécessairement la question de savoir quel est le meilleur langage de programmation web apprendre afin d’augmenter vos chances de succès professionnel.

Cet article nous permet ainsi de revenir sur ce qu’est la programmation web et sur les principaux langages utilisés, qu’ils soient historiques ou nouveaux. Objectif: vous aider à mieux choisir votre langage de programmation web.

Sommaire de l’article :

Quelle est la définition d’un langage de programmation ?

Un langage de programmation est un mode de communication vous permettant de dialoguer avec une machine en lui soumettant des instructions à exécuter. Les langages de programmation se comptent par milliers. Certains sont dits dédiés car utilisés pour traiter les contraintes d’un domaine d’application précis (calcul scientifique, bases de données, …). D’autres sont généralistes car peuvent être utilisés dans tous les domaines. Les langages de programmation se différencient aussi selon qu’ils soient interprétés ou compilés ou encore de haut ou de bas niveau. Un langage de programmation de haut niveau utilisera ainsi une langue naturelle tel que l’anglais. A contrario, un langage de programmation de bas niveau visera à être compris d’abord et avant tout par la machine et moins par un être humain.

Il vous est toutefois possible de débuter la programmation informatique sans avoir à apprendre un langage de programmation très avancé. Le MicroAlg en est un bon exemple. Il s’agit d’un langage de programmation simple en français comportant comme seuls caractères spéciaux des guillemets et des parenthèses. Ce sera pourtant suffisant pour vous permettre de comprendre les principaux concepts de l’algorithmique. Mais pour réaliser des programmes informatiques plus élaborés, l’apprentissage d’un réel langage de programmation vous sera utile.

Apprendre la programmation web

Et la programmation web alors ?

Pour qu’un contenu soit rendu accessible à vous internautes, votre navigateur internet (Chrome, Firefox, Internet Explorer …) doit récupérer et traiter des fichiers. Le développement de ces fichiers servant à rendre des contenus disponibles sur le web est appelé la programmation web. En cela, la programmation web se différencie du développement logiciel consistant à construire des applications informatiques pouvant être utilisées hors du web.

En quoi consiste alors la programmation web ? Les termes “programmation web” correspondent en réalité à des missions très diverses. Les technologies et les langages de programmation utilisés le sont tout autant. On y retrouvera ainsi autant le développement d’applications sur-mesure que la création de sites web à partir d’une base existante (Content Management System). Passons maintenant aux langages de programmation web.

Choisissez votre Langage de programmation

Quel est le meilleur langage de programmation web alors ?

Maintenant que vous savez ce que sont les langages de programmation et ce qu’est la programmation web, répondons à la question : Quel est le meilleur langage de programmation pour le Web ?

Les forums de programmation informatique pullulent de tout type de réponses à la simple vue de cette question. Notre réponse est simple: le meilleur langage de programmation web dépend de ce que vous souhaitez en faire. Passons en revue les principaux langages de programmation pour le web.

Langage de programmation web: Le HTML et le CSS

Utilisé aujourd’hui dans sa version 5, le HTML est le langage servant à la création de pages pour le web. Il s’agit donc d’un langage web. En réalité, le HTML5 n’est pas à proprement parlé un langage de programmation. Il s’agit plutôt d’un langage de balisage. Cela veut simplement dire que votre code contiendra des balises qui elles-mêmes contiendront les informations que vous souhaitez afficher sur votre page web.

Le binôme du HTML5 est le CSS3. Là où le HTML mettra les contenus sur notre page web, le CSS sera utilisé pour mettre en forme ces contenus. Vous allez ainsi pouvoir, grâce au CSS, choisir la police que vous souhaitez utiliser, sa taille ou encore la couleur du fond de votre page web. Chaque instruction en CSS que vous écrirez va ainsi pointer l’élément HTML que vous souhaiterez customiser. Le HTML5 et le CSS3 sont à la base de tous les sites web.

Pour créer votre premier site web, suivez donc notre cours dédié au HTML5 et au CSS3.

Langage de programmation web: Le Javascript (JS)

Le Javascript été utilisé à l’origine pour rendre dynamiques les pages web. Là où le HTML5 et le CSS3 permettent respectivement l’affichage et la mise en forme de vos éléments sur votre page web, le Javascript rendra cette page interactive. Incontournable aujourd’hui en raison du nombre d’adeptes, le javascript permettra plus seulement d’améliorer l’aspect visuel de votre site (front-end) mais aussi de créer le moteur qui fera tourner le site (back-end) et de gérer les bases de données associées au site web. C’est bien le JavaScript qui vous permettra de vérifier que les données entrées par un utilisateur dans votre formulaire de contact sur votre site web sont au bon format.

Donc, si vous souhaitez rendre vos sites web riches et interactifs, notre cours sur le Javascript est fait pour vous.

Langage de programmation web: Le PHP

Les utilisateurs qui viendront sur votre site seront divers et variés. Le contenu de votre site ne peut donc pas être le même pour tous les utilisateurs. Le PHP permet justement cela. Comment cela se passe-t-il ? Votre internaute accédera à votre page web, son ordinateur, appelé le client, enverra une demande à un autre ordinateur, appelé le serveur. Le rôle du serveur est de stocker vos pages web. Le serveur préparera la page spécialement pour ce client et la lui enverra. Le PHP permet ainsi à votre page de répondre spécifiquement aux demandes du client en changeant le contenu de la page demandée.

Tout comme le HTML5 a comme binôme le CSS3, le PHP a comme acolyte un système pour gérer les données. MySQL est l’un des plus connus. Son rôle sera d’enregistrer les informations liées à votre site web et ce de manière organisée. L’objectif sera de les retrouver plus facilement. Si votre site permet aux membres de s’inscrire, c’est grâce au MySQL que vous pourrez les enregistrer et les ressortir plus tard lorsque le membre voudra modifier son pseudonyme par exemple.

La meilleure manière de découvrir le PHP et le MySQL est encore de le tester à travers notre cours complet sur le PHP.

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Quel est le langage de programmation le plus facile ?

Par : Christophe

Vous souhaitez vous engager dans un projet informatique et vous vous demandez quel est le langage de programmation le plus facile pour débuter ? Rassurez-vous, cela est tout à fait naturel puisque vous n’êtes pas le seul à vous poser cette question. Face à la multitude de langages de programmation, le risque est réel de vous éparpiller. Cela finira par vous décourager avant même d’avoir commencé.

La première étape serait donc de vous concentrer sur l’objectif de votre projet. Que souhaitez-vous réaliser avec ce langage de programmation ? Après seulement interviendrait le choix de votre langage de programmation.

Nous vous proposons ainsi, à travers cet article, de revenir sur les questions qui doivent vous guider dans le choix de votre langage de programmation. Nous ferons ensuite un focus sur 3 langages de programmation profitant d’une réelle popularité mais sujets encore à de nombreuses questions, Java, Python et C.

Sommaire de l’article :

Comment choisir un langage de programmation ?

Il existe certes des langages de programmation plus abordables que d’autres lorsque l’on débute en développement informatique. Le langage MicroAlg en fait partie proposant une syntaxe simple et en plus en français. Mais si vous souhaitez développer de manière professionnelle une application mobile, un site internet, un jeu vidéo ou encore une solution informatique spécifique à votre métier, il vous faudra aller plus loin. De l’objectif que vous souhaitez atteindre dépendra le langage de programmation. Si vous voulez vous orienter vers le développement d’une application web, le binôme HTML5+CSS3 se révèle inévitable.

Si votre projet porte sur la création d’une application mobile, votre choix d’un langage de programmation dépendra de la plateforme sur laquelle tournera votre application. Une application Android orientera votre choix vers Java, C# ou Python. A l’inverse, si votre application mobile est appelée à fonctionner sur les appareils d’Apple, il serait judicieux de vous lancer dans l’apprentissage d’Objective-C. Finalement, le C# vous permettrait de développer une application mobile qui fonctionnerait sur Windows Phone.

Choisissez votre Langage de programmation

Choisir votre langage de programmation : découvrez Java

Java est un langage de programmation créé en 1995. Tout est parti du souhait de Patrick Naughton, ingénieur chez Sun Microsystem, société intégrée depuis à Oracle, d’améliorer le C++ qui ne lui convenait plus. Il débarrasse alors ce langage de programmation de ses aspects superflus. Java (« café » en argot américain) est créé. 

Beaucoup utilisé au sein de l’industrie bancaire, Java est un des langages les plus répandus en informatique. Il a la particularité d’être portable. Autrement dit, Java est utilisable sous n’importe quel système d’exploitation.

Développement application mobile Android

Si votre projet porte sur le développement d’applications mobiles tournant sous Android, sachez que Java est un langage plébiscité pour cette tâche. En revanche, il s’agit aussi d’un langage de programmation orienté Objet. Si cela ne vous dit rien, il serait donc préférable de vous pencher sur les concepts de la programmation orientée objet avant de vous lancer dans l’apprentissage de Java.

Si vous souhaitez vous former au langage Java et d’apprendre le développement d’applications, découvrez notre parcours de formation Développeur d’application Java.

Choisir votre langage de programmation : découvrez Python

Créé en 1991 par Guido Van Rossum, Python est un des langages de programmation open source les plus connus. Élaboré dans un premier temps pour réaliser rapidement des prototypes de logiciels, ce langage s’est avéré être un outil très performant pour l’analyse de données. En termes de caractéristiques, Python est un langage de haut niveau. Cela signifie qu’il se rapproche beaucoup du langage humain. Son côté intuitif en fait un langage informatique très apprécié des débutants, car il est, de ce fait, facile à apprendre, à lire et à écrire.

Tout comme Java, ce langage de programmation présente aussi l’atout non négligeable d’être portable. En apprenant Python, vous pourrez ainsi créer des solutions informatiques pouvant fonctionner sous iOS, Windows, Linux, …. Finalement, sa communauté d’utilisateurs est l’une des plus actives. Ce point est loin d’être anecdotique car ce seront les personnes de la communauté qui vous aideront probablement lorsque vous rencontrerez des défis dans votre apprentissage de Python.

Nous avons créé tout un parcours qui vous permettra non seulement d’apprendre Python mais aussi de décrocher un diplôme et un emploi de développeur d’application Python.

Choisir votre langage de programmation : découvrez C

Bien avant la naissance de Python existait déjà le langage de programmation C qui voit le jour en 1972. Dennis Ritchie, alors employé dans les laboratoires Bell, souhaitait faire évoluer le précédent langage, B, créé pour écrire leur système d’exploitation UNIX. Le langage C est aujourd’hui l’un des plus connus de par son ancienneté. Tout comme Python, le langage C est portable signifiant que tous les systèmes d’exploitation peuvent le supporter.

Voté “Langage de l’année 2017” par TIOBE, un indicateur mesurant la popularité des langages de programmation, C recèle plusieurs atouts. Les professionnels de l’informatique continuent à l’utiliser massivement pour la création d’applications métier. Il s’agit de solutions informatiques répondant spécifiquement aux besoins d’un secteur d’activité (réaliser des calculs dans l’assurance, produire des comptes financiers, …).

La conclusion en est que le langage de programmation C est considéré comme étant plutôt complexe à apprendre. La contrepartie en revanche est que maîtriser ce langage vous donnera ensuite de très solides bases de programmation.

Pour acquérir les bases et apprendre à programmer rapidement ce langage, vous pouvez suivre notre cours en ligne de programmation en langage C.

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Découvrez l’UX design, le pendant numérique du métier d’architecte

Par : Nora Leon

L’UX designer est un architecte. Il écoute les besoins de son client pour penser la structure du site, qui représente une grande partie de l’expérience utilisateur”.  Adeline Brogard, UX designer chez OCTO Technology

 

Que l’entreprise soit un média, un prestataire de services, ou même un site de e-commerce, tout doit être fait pour que l’internaute utilise intuitivement le site et le trouve suffisamment pratique pour y rester, et, le cas échéant, acheter.

Dans ce contexte, les excellents UX designers sont de plus en plus recherchés.

Découvrez ce métier à la fois analytique, créatif et tech, encore méconnu mais qui a de beaux jours devant lui.

[À lire : le métier d’UX Designer en start-up]

Notre experte

 

Adeline Brogard est UX designer chez OCTO Technology. Elle s’est reconvertie après une première partie de carrière en marketing.

Lorsqu’elle exerçait en marketing, Adeline voulait se rapprocher des utilisateurs pour mieux comprendre leurs besoins. Elle raconte : “En marketing, on a une vision-cible des profils qui se serviront de notre produit mais pas des utilisateurs réels. Avec l’UX design, j’ai découvert une méthode pour améliorer l’expérience client de manière concrète en répondant à leurs besoins”.

 

Pouvez-vous nous décrire une journée type ?

Plutôt un projet type. Il y a deux temps fort dans l’UX design : la partie cadrage, et la partie conception (que l’on nomme « delivery » chez OCTO Technology).

Le cadrage permet de comprendre le contexte client, explorer et définir le besoin.  Je démarre par des immersions, que je synthétise à travers des livrables :

  • Les personas, qui catégorise par usage les profils d’utilisateurs réels rencontrés,
  • Les experience maps : le chemin utilisateur, pour analyser leur journée type et définir leurs nuances de sentiments pour apporter la meilleure solution en terme d’expérience à chaque étape de leur chemin
  • Et les empathy maps, pour comprendre les émotions diverses des personas.

À partir de cette synthèse, je fais ressortir les “pain points” pour l’utilisateur, c’est-à-dire les problématiques prioritaires, qui viennent dessiner les priorités du projet.

Cet ensemble d’informations permet d’apporter des recommandations à mon client. Nous en discutons alors pour se mettre d’accord sur les hypothèses retenues.

La partie conception sert à prototyper, tester et réaliser fonctionnalités demandées. La fréquence de mes interventions est variable en fonction du moment du projet. Elle est aussi dépendante de mon accès aux utilisateurs, pour les rencontrer, faire les tests et co-construire la solution.

 

Ce qui vous plaît le plus ?


Ce qui me plaît, c’est d’abord d’être en empathie pour mettre l’utilisateur au centre de la réflexion. De tout faire pour comprendre ses besoins et lui proposer la meilleure solution possible. J’adore aussi l’opérationnel : aller sur le terrain faire ce qu’on appelle de l’UX research, réaliser des interviews pour pouvoir construire des hypothèses.

 

Quels sont les plus grands défis quand on exerce ce métier dans le Conseil ?


L’évangélisation ! Cela va vous paraître étrange, mais c’est parfois difficile de faire comprendre à notre client notre métier (et les avantages pour lui). Il y a toujours une réticence du client à intégrer l’UX design. Et notamment des équipes marketing, qui ciblent d’un point de vue business les personnes qu’ils veulent attirer, en les confondant avec les utilisateurs.

Or, en design, on sait que la persona marketing n’est pas l’utilisateur final. Nous devons justement nous confronter à l’utilisateur réel.

Cela étant dit,  aujourd’hui, avec la recrudescence des méthodologies agile et lean, l’UX design est de plus en plus reconnu. Il parle aux professionnels de la transformation numérique.

 

Comment voyez-vous le métier d’UX designer dans 10 ans ?


Je n’ai pas de réponse arrêtée. Cependant, si je fais le parallèle avec le Marketing, l’UX design est amené à évoluer de pair avec les technologies. Dans 10 ans, on devrait designer des interfaces locales, des hologrammes, travailler en 3D. On travaillera aussi avec des data scientists et des spécialistes du machine learning.

Une autre transformation que je vois se profiler : pour moi, le métier de sociologue se concentrera demain sur l’éthique. Avec la multiplication des chatbots, l’aube de l’intelligence artificielle et d’autres outils qu’on ne connaît pas encore, la question de l’éthique sera centrale. L’Homme programme les machines à son image mais avec des biais cognitifs. À mon sens, l’UX design devrait bientôt viser à corriger ces biais.

 

C’est fait pour qui ?

 

C’est fait pour les sociologues, les ethnologues, les gens du marketing, les ergonomes, ceux qui ont fait des études d’UX design, qui ont fait du conseil. Il faut avoir une forte capacité d’écoute, d’analyse et de synthèse.

Attention à l’effet “c’est facile, il faut demander au client ce qu’il veut”. Car comme disait Steve Jobs, « Ce n’est pas le boulot des consommateurs de savoir ce qu’ils veulent”.

 

Quelles sont les qualités à développer pour évoluer dans cette branche ?

 

En tout premier lieu la curiosité. Il faut aussi avoir la capacité à apprendre, vouloir participer à des conférences (par exemple la FUPA, Paris Web, Toulouse Web, Meetup UX République) et se mettre à jour continuellement grâce à une veille efficace.
Il faut aussi s’intéresser à ce qui se trouve hors de son périmètre. Comprendre le fonctionnement des product owners ou coachs agiles par exemple, est utile pour travailler efficacement avec eux.

 

Avez-vous des bonnes pratiques pour ceux qui débutent dans ce métier ?

 

  • Aimer les gens, être curieux. C’est la base de l’UX. On a une posture particulière : être dans l’observation sans jugement de la personne qu’on suit, pour comprendre pourquoi elle fait les choses.
  • Être empathique sans être sympathique. Concrètement, être là pour comprendre les problèmes mais ne pas les résoudre de manière immédiate pour supprimer des frustrations.
  • La créativité est plutôt du côté UI.  En UX, il faut être ordonné, synthétique (On voit 10 personnes, puis on capter les éléments des profils et les restitue fidèlement).
  • Il faut s’entraîner à exposer des besoins sans parler de solutions, pour remettre en cause les idées reçues des clients. Tout le jeu d’équilibriste, c’est d’apporter des recommandations en termes d’opportunités, qu’on les traduit en hypothèses mais sans imposer une solution au détriment d’une autre.  
    Par exemple, si on met en place une application mobile en banque pour faciliter les échanges d’argent entre potes pendant un voyage, notre objectif n’est pas de dire que l’application mobile est la seule solution possible, mais qu’on peut répondre à ce besoin sur mobile, le web, ou une forme de réseau social. La solution recommandée dépend des résultats des immersions et des orientations business de l’entreprise.
Des ressources à partager pour apprendre au mieux ?

 

  • Muzli, qui regroupe tous les sites de tendances pour faire des maquettes.
  • Sketch et InVision comme outils de travail incontournables.
  • Pinterest comme source d’inspiration très riche.
  • Huntsplash pour les photos libres de droits.
  • SketchAppSource pour trouver des templates gratuits faits par des UX ou UI designers et partagés à la communauté.
  • Milanote, qui est une sorte d’Evernote visuel (pour rassembler les inspirations visuelles, les articles de blog, etc).
  • Medium, pour avoir des dizaines de retours très pertinents d’UX designers en cherchant les bloposts par mots-clés.
  • Et bien sûr YouTube, pour trouver des tutos sur le Design Thinking, le Sprint, l’UX design, surtout si on comprend l’anglais.

 

Intéressé par ce métier ?

Renseignez-vous sur notre formation diplômante à Bac +5  avec l’emploi garanti, en tant qu’UX designer, en suivant ce lien.

 

L’article Découvrez l’UX design, le pendant numérique du métier d’architecte est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.

Devenir UX Designer, une bonne idée ?

Par : Nora Leon

Depuis quelques années, le métier d’UX designer a le vent en poupe. Cet architecte de nos outils numériques est de plus en plus demandé dans les petites entreprises comme dans les grands groupes. Nous nous sommes penchés sur les raisons qui rendent ce métier particulièrement passionnant.

1- Pour changer la vie des gens et construire d’excellents produits numériques

L’UX designer changerait-il la vie des gens ? N’est-ce pas un peu exagéré ? Réfléchissons à la manière dont Apple a transformé nos vies et nous verrons l’impact qu’un design révolutionnaire et une expérience utilisateur extraordinaire ont sur nos existences depuis 15 ans.

Le métier de l’UX designer, c’est d’améliorer les interfaces utilisateurs sur tous les supports (site internet, objet numérique, application mobile, etc) pour les rendre plus intuitives et agréables à utiliser.

En amont de la création pure, l’UX designer discute avec le client pour définir ses besoins, et pendant la phase de développement, il teste les solutions. Et tous les professionnels du milieu l’assurent, c’est grisant lorsque les utilisateurs leur disent que leur produit est génial.

2- Pour avoir un impact sur le produit

Au même titre que les équipes commerciales ou les développeurs, l’UX designer “construit” le produit.

Parmi ses missions les plus stratégiques, il définit les profils types des clients qui vont utiliser le produit, et fait un “mapping” de tests utilisateurs pour déterminer quel chemin, quelle fonctionnalité doivent être adoptés.

Ses découvertes sont une réelle “boussole” pour construire le produit. Elles ont d’ailleurs du poids, puisqu’elles s’appuient sur des tests quantitatifs et qualitatifs.

3- Pour relever de nouveaux défis au quotidien

Pour améliorer l’expérience utilisateur, l’UX designer doit inventer au quotidien de nouvelles solutions créatives. Aucun projet ne ressemble aux autres, les stratégies changent en fonction des produits, des cibles et des secteurs.

Devenir UX designer, c’est donc l’assurance de ne jamais s’ennuyer, et de pouvoir utiliser son  esprit analytique et sa créativité tous les jours.

4- Pour allier connaissances techniques et scientifiques

Pour exercer ce métier, il faut avoir à la fois :

  • des connaissances techniques (connaître les dessous d’une application ou d’un site, savoir communiquer avec une équipe de développeurs, être à jour dans sa veille technologique)
  • des connaissances scientifiques, car l’UX design emprunte beaucoup à la psychologie et à la sociologie.

La curiosité et la polyvalence intellectuelle qui sont donc nécessaires en font un métier passionnant.

5- Pour suivre l’évolution numérique de près

ProductHunt, l’Apple Store, TechCrunch ou encore les sites spécialisés de design… Cela fera partie de votre job d’être curieux de tout ce qui se fait au niveau technologies.

En outre, le métier est appelé à évoluer en fonction des nouveaux terminaux : demain, on imagine bien un UX designer travailler sur des objets connectés ou de la réalité virtuelle, ce qui demandera une mise à jour des compétences et devrait s’avérer passionnant.

En cela, on peut dire que l’UX designer, au même titre qu’un responsable produit, devrait être acteur de la construction de ces objets connectés et nouveaux terminaux, puisqu’il y définira l’expérience utilisateur.

6- Faire partie d’une communauté de passionnés

La culture du partage fait partie intégrante du crédo de la communauté internationale des designers.

Entrer dans cette communauté, cela veut dire que non seulement vous pourrez (et devrez) partager votre savoir, vos bons plans, vos découvertes, mais aussi que vous pourrez demander de l’aide.

Il n’est pas rare qu’un UX designer expérimenté soit le mentor d’un plus jeune, ou que des professionnels du milieu se penchent sur un projet pour partager des avis, ou des bonnes pratiques qui aident à avancer.

7- Choisir comment vous voulez exercer ce métier

En freelance, en CDI dans une entreprise de la taille et du secteur que vous souhaitez… En france ou à l’international, ou même en voyage, vous aurez le choix de l’offre que vous accepterez, en fonction de votre chemin de vie et conception du travail.


8- Pour avoir de belles perspectives d’évolution

L’UX designer a de nombreuses casquettes : sociologue, architecte 2.0, consultant, product manager, même parfois développeur. Le métier vous ouvre donc bien des portes, et peut amener vers une carrière verticale dans l’UX design, ou des postes connexes de Product Manager, Développeur web, UI designer, ou encore consultant. À vous donc de savoir quel tournant vous souhaitez donner à votre carrière

 

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Et si je me lançais en tant que freelance ?

Par : Nora Leon

C’est le grand saut, mais ça a l’air de valoir le coup. 

Votre rythme, les missions qui vous passionnent, les clients dont le projet fait sens pour vous. C’est tentant d’être son propre patron et de choisir ses spécialités. Mais aussi de rencontrer des personnes intéressantes au fil de nouveaux contrats. Ou encore pouvoir vous aménager la vie que vous voulez, où vous le voulez. Ce serait un bon moyen pour vous épanouir professionnellement, concilier travail et vie de famille ou projet entrepreneurial.


Pas de doute, se lancer en freelance est plus facile aujourd’hui qu’hier. Sur
Malt, 50 000 personnes ont déjà sauté le pas au sein d’une communauté qui grandit chaque jour.

Suite à un parcours diplômant OpenClassrooms, les métiers du numérique se prêtent tout à fait au format du travail indépendant. La grande majorité d’entre peuvent être exercés à distance. Développement, design, marketing, entrepreneuriat… Nous voulions donc aborder ce sujet pour donner aux étudiants les clés pour savoir si c’est fait pour eux, et des conseils pratiques pour se lancer.

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Indépendant : est-ce que cela me correspond ?

 

La première question à vous poser : est-ce fait pour moi ? Il y a évidemment des avantages, mais une carrière en tant qu’indépendant requiert certaines caractéristiques et aptitudes et n’est pas de tout repos.

 

Vous sentez-vous capable de tenir une comptabilité ? Le statut de freelance comprend bien des aspects administratifs qu’il faut pouvoir gérer en toute autonomie ou en binôme avec un gestionnaire. Ces aspects constituent entre 5 et 10% du temps consacré à l’activité. 

Avez-vous la fibre commerciale et aimez-vous les nouveaux défis ? Pour chaque client recruté, combien d’appels, d’e-mails ou de rencontres dans le cadre du networking ? Le statut d’indépendant nécessite, pour pouvoir avoir une activité fluide, de consacrer au moins 10% de son temps à la prospection commerciale, même si l’on est déjà répertorié sur un site de profils en freelance.

 

Prenez-vous plaisir à élargir votre réseau ? Souvent, les opportunités se construisent au contact de personnes rencontrées lors d’événements. Sociabilité, proactivité et dynamisme sont de mise pour tout freelance, qui peut avoir parfois 5 rendez-vous ou plus pour agrandir son réseau. Une façon de créer des opportunités à moyen et long terme.


Êtes-vous organisé et capable d’établir un plan de travail sur plusieurs mois et de vous y tenir ? Ce statut demande plus d’anticipation qu’un emploi en tant que salarié, pour pouvoir réduire le risque, et définir le nombre et la nature des missions réalisables dans un laps de temps donné.

En tant qu’indépendant, il faut également se préparer aux inconvénients qui peuvent se révéler pesants pour certaines personnes : 

S’habituer à la réalité d’une activité parfois précaire. Au-delà du doute présent au quotidien quant au montant de son salaire mensuel, les opportunités de placements (immobiliers par exemple), peuvent être plus compliquées d’accès.
Mettre une croix sur la certitude d’une évolution de carrière linéaire.
Accepter de moins travailler en équipe et qu’on n’aura pas forcément l’occasion de manager quelqu’un au quotidien.
➤ Enfin, cela requiert de l’autonomie et de l’auto-discipline. Ceux qui ont du mal à s’y mettre ou à tenir la distance sur le long-terme pourraient avoir tendance à se démotiver.

 

Cela ne vous fait pas peur ? Vous y voyiez plus d’avantages que de risques ? Dans ce cas, c’est le moment de vous donner des éléments sur comment vous y prendre exactement.

 

Choisir votre statut

 

Nous vous renvoyons à l’article de Quentin Debavelaere, le Chief Operations Officer de notre partenaire Malt, qui vous expliquera les options qui s’offrent à vous.


 

En bref, en dessous de 170 000€ de chiffre d’affaires pour les entreprises d’achat et de vente de biens, et sous 70 000€ pour toutes les autres, le statut micro-entrepreneur suffit. Les plafonds relevés en 2018 par la Loi Finance permettent en effet de conserver ce statut plus longtemps.

 

Au-dessus de ce montant, Quentin conseille “de choisir entre la SASU (Société par Actions Simplifiée) ou l’EURL (Société Anonyme à Responsabilité Limitée) en fonction de vos priorités : rester au régime général de la sécurité sociale (c’est notamment le cas des personnes qui ont toujours été inscrites à ce régime et qui prendront leur retraite dans une dizaine d’années) ou bien gagner plus”.

Une fois votre statut choisi, optimisez votre présence en ligne.

Créer un profil attractif

 

Pour démarcher des clients, ayez un profil sé-dui-sant !


Les ingrédients d’un excellent profil

➤ Une photo professionnelle où vous souriez

➤ Une description courte et attrayante de ce que vous offrez

➤ Un profil limpide, qui donne en un coup d’œil un aperçu de vos compétences, votre expérience et votre parcours

➤ Un portfolio exhaustif et professionnel

➤ Des recommandations clients

➤ Le moyen de vous contacter

➤ Vos tarifs et conditions en un coup d’œil.

 

Pour réussir votre profil, nous vous conseillons le cours de Nicolas Decaux, notre expert de chez LinkedIn, sur le ‘Personal Branding’. Il vous permettra de créer votre propre marque, et ainsi de vous mettre en valeur.

 

Grâce à ce profil, recrutez vos premiers clients (le premier est toujours le plus dur).

 

Prospecter au mieux

 

Vous l’aurez compris, prospecter est l’une des clés d’une activité réussie en tant qu’indépendant. 10 à 20% de votre temps de travail environ devront être dédiés à recruter de nouveaux clients.

 

Pour cela, outre votre profil irréprochable, vous aurez besoin de sonder les demandes du marché et des entreprises en particulier, pour construire des propositions commerciales qui répondent à des besoins forts. Plus le besoin sera prégnant, plus cher vous pourrez facturer votre service.

 

Une fois le “pain point” (le besoin) compris, vous pourrez construire une proposition commerciale convaincante :

➤ Fondée sur la discussion avec le client et son besoin

➤ Sur-mesure

➤ Concise et claire

➤ Irréprochable au niveau formel.

Pour vous améliorer dans l’art de la prospection et de la fidélisation client, suivez le cours d’Henri, Account Director chez OpenClassrooms.

 



Enfin, en plus de ces éléments, voici quelques conseils pratiques pour organiser au mieux votre activité en tant qu’indépendant.

 

Vous faciliter la vie grâce à des services pour indépendants

 

Nous vous l’assurions plus haut, devenir indépendant est moins risqué aujourd’hui qu’hier. Et étant donnée la croissance sur ce marché, plusieurs entreprises se sont alliées pour proposer des services qui vous rendent la vie plus facile.

 

Nous avons un chouchou : le partenariat Sésame, entre Qonto, Malt, Alan, et l’ExpertComptable.com, notamment.

 

Ce package permet d’avoir au même endroit tout ce dont vous avez besoin pour gérer votre création d’entreprise : comptabilité, assurance, compte en banque, formation… Ces entreprises vous accompagnent dans les démarches administratives pour les alléger.

Au programme : 

 

➤ Le choix de votre forme juridique et la rédaction des statuts

➤ Le dépôt du dossier et de la demande d’ACCRE

➤ L’inscription aux impôts et aux caisses sociales faite automatiquement pour vous

➤ Le recrutement de votre comptable pour 80€ par mois, dont deux mois offerts

➤ Une session de conseils personnalisés et une séance photo, offerte par Malt

➤ Les trois premiers mois de frais bancaires à 29€ par Qonto, la banque des indépendants

➤ Le premier mois d’assurance offert par Alan

➤ -15% sur les bootcamps de code et de design par IronHack

➤ 20% de réduction sur le premier mois d’abonnement en co-working Co-pass à Paris

➤ Un Premium Solo OpenClassrooms offert.

 

Quelques ressources pour aller plus loin

 

Visitez le site des auto-entrepreneurs.

Renseignez-vous sur l’ACCRE, accessible aux demandeurs d’emploi et aux -25 ans.

Renseignez-vous sur les modalités du RSA pour les travailleurs indépendants.

Lisez le blog de notre partenaire Malt.

 

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J’ai pas eu mon Bac. Et maintenant ?

Par : Nora Leon

Les résultats sont tombés ce matin. Tu pré-sentais que ça n’allait pas passer, et voilà, c’est fait.
T’es recalé au Bac.

Bon, maintenant c’est quoi le programme ?  Tu ne vas pas te laisser abattre si facilement quand même.

Du courage, de la niaque !

 


Tu
as des choix. Mode d’emploi pour ne pas sombrer dans la déprime.


Comment survivre aux résultats en 3 étapes vitales

 

D’abord, souffle un bon coup.

 

Oui, c’est décevant. Tu as bossé pour réussir, ou alors pas tant que cela mais tu espérais quand même que ça passerait. Game over.

Bon, effectivement, c’est ennuyeux.

>   Oui, le Bac est utile car la plupart des écoles et universités françaises l’exigent pour faire des études supérieures.
>   Oui, une majorité d’employeurs préfère embaucher des gens qui sortent de ces écoles.

Cela étant dit, assieds-toi, souffle un coup et fais la liste de tes options (on t’aide).

Il n’y a pas d’échec définitif et on peut toujours apprendre quelque chose et réussir ses projets.

Tiens, regarde cette vidéo, ce sera un bon point de départ pour penser P.O.S.I.T.I.F.


Ensuite, demande-toi si tu peux repasser le Bac.

 

➡ Tu es inscrit au rattrapage ? Qu’est-ce que tu fais à traîner ici ? Vas bosser, MAINTENANT !

(À lire : Le mode d’emploi spécial rattrapage de Studyrama).

Fais de ton mieux et si tu es définitivement recalé, tu liras nos conseils.

 

➡ Tu n’as pas eu 8/20 et ne peux donc pas passer les rattrapages ?
2 options s’offrent à toi.

1. Tu as le courage de repasser le Bac l’année prochaine. Allez, motive-toi. En te préparant mieux, ça passera sûrement.

Benoît est diplômé chez nous et a une carrière professionnelle florissante, le tout sans le Bac. Voici son conseil :

“Si tu en as la possibilité, repasse-le ! Même si on peut se débrouiller sans, tu seras quand même plus libre avec”

 2. Tu n’en es pas à ton premier essai ou tu sais que cela va être très dur de le repasser. 

C’est là qu’on intervient : tu pourras quand même étudier et développer des compétences très recherchées par les recruteurs.

 

Enfin, découvre tes possibilités sans le Bac.  

 

Donc, tu es sûr de chez sûr, tu ne vas pas repasser le Bac ? Pas par flemme ou par esprit de contraction ? Tu en as discuté avec tes profs et proches ? C’est vraiment au-dessus de tes forces ? D’accord.

Dans ce cas, on te la fait courte. OUI, on peut mener une belle carrière professionnelle sans avoir le Bac en poche. Nos diplômés témoignent.

 

Trajectoires de 3 diplômés OC qui n’ont pas le Bac

 

Benoît, responsable informatique et ex-patron de magasin informatique
Diplômé OpenClassrooms Chef de projet Multimédia Développement

 

“Au lycée, je séchais beaucoup. Je montais des PC dans un magasin d’informatique, en échange de quelques composants pour le mien. Je n’ai pas eu mon BAC S et j’ai été exclu du lycée.


J’étais coincé, je ne pouvais pas faire d’études. Le dirigeant du magasin d’informatique où je « bricolais » m’a conseillé de m’adresser à l’IFC, un centre de formation. Il recrutaient à partir de BAC +2. Devant mon insistance, ils m’ont fait passer des tests, que j’ai réussis grâces aux connaissances acquises au magasin. J’ai ensuite passé les certifications Microsoft sur Windows NT4 (MCSE). Elles m’ont permis de trouver du travail en intérim dans différentes SSII de la région Nantaise. J’ai fait ça pendant 5 ans. Ensuite, j’ai créé mon magasin d’informatique. Cette aventure a duré 6 ans.

Depuis 2010, je suis responsable informatique d’une PME d’environ 50 salariés. J’ai suivi la formation OpenClassrooms de Chef de projet Multimédia Spécialité Développement (que j’ai terminée en décembre 2017). J’avais toujours eu envie de toucher au développement, c’est un atout supplémentaire”.

 

Jonathan, Chef de projet IT en Banque et entrepreneur en développement web
Diplômé OpenClassrooms Chef de projet Multimédia Développement

 

“Je n’ai pas eu le Bac. À la place, j’ai enchaîné différents emplois : en Fast Food, magasin de sport, de bricolage, en banque. Après 7 ans en banque, je souhaitais évoluer professionnellement et même changer de secteur et de métier.

J’ai choisi OC car c’était pour moi l’exemple de l’entreprise qui est partie de rien pour aider des gens à se reconvertir. La formation m’a donné de bonnes bases de codage. Et en ce moment, j’apprends un nouveau langage de programmation pour mes besoins professionnels, car OpenClassrooms nous apprend à nous former en continu.

Aujourd’hui, je travaille pour un groupe bancaire international, et j’ai monté mon agence de développement en parallèle en Pologne, car je vis à Cracovie. Mes clients ne m’ont jamais demandé de fournir la preuve de l’obtention du Bac”.

 

Mohamed, Développeur PHP
Diplômé OpenClassrooms Chef de projet Multimédia Développement

 

 

“J’ai quitté le système scolaire à 17 ans, après une 2nde professionnelle en chaudronnerie et en logistique qui ne m’a pas plu.

 

Après cela, avec de la détermination, j’ai trouvé un emploi en tant que technicien de maintenance informatique où je pouvais me former en continu.

 

Peu à peu, j’ai découvert le monde du développement web, car notre entreprise m’a fait refaire son site internet et son intranet avec le CMS WordPress. Alors, j’ai saisi l’opportunité d’aller plus loin en suivant le parcours diplômant en développement via OpenClassrooms. Suite à ce parcours, j’ai trouvé un emploi en tant que Développeur PHP dans une entreprise, deux mois seulement après mon diplôme, et cela se passe bien”.

 

Bac ou pas Bac ? Comment faire sans ?

 

“Ça dépend. Sans le Bac, tout n’est pas perdu (OpenClassrooms est une voie possible). Par contre il ne faut pas croire que le BAC est inutile. Il sert à avoir un socle de connaissances sans lesquelles on est parfois handicapé. Par exemple, pour être Data Scientist, il faut de bonnes connaissances en Maths. Le Bac sert aussi à ouvrir des portes, surtout celles d’un premier emploi, car ensuite les recruteurs regardent l’expérience. Donc, si tu peux le repasser, fais-le, et dans le cas contraire, mets en avant ton expérience et tes compétences”.

Benoît

 

“Le BAC est encore vu en France comme le Saint Graal de la vie active sans lequel on est un raté. Mais je suis un exemple parmi d’autres qui montre qu’on peut réussir sa carrière sans lui. Attention : ce qu’on apprend au lycée est très utile. L’anglais, les mathématiques par exemple, ou dans mon cas l’Histoire pour comprendre celle de Cracovie (en Pologne), où je vis. Mais le bout de papier comme tel n’est pas indispensable pour exercer le métier qui te passionne : ce sont tes compétences, ta motivation et ta personnalité qui feront la différence”.

Jonathan

 

“Je ne suis pas sûr que le Bac soit nécessaire pour tous les métiers. Dans le numérique, on est plus jugés sur nos compétences”.

Mohamed

La boîte à motivation


3 conseils de nos diplômés

 


Choisis la voie qui te plaît, pas celle à la mode… et bosse. Donne-toi les moyens de réussir. Si tu bosses maintenant, tu gagneras ta vie sans travailler… mais en pratiquant ta passion”.

Benoît

 

“Si ton projet professionnel te permet de continuer sans le Bac, n’hésite pas. Beaucoup de gens réussissent leur carrière sans lui”.

Mohamed

 

“Quand on veut, on peut. Tu es maître de ton avenir. Tu as sûrement un énorme potentiel, mais il ne faut pas baisser les bras. Rassemble ta détermination et travaille. Pour monter un projet ou se vendre à un recruteur, il faut de la motivation, de la conviction, prouver que tu es unique et que tu as les compétences. Tu peux faire ça sans le Bac”.

Jonathan

 

Bonus : ils ont réussi… Sans le Bac

 

 

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Tout savoir sur les stages dans un parcours OpenClassrooms

Par : Nora Leon

L’objet de cet article est de vous donner toutes les informations sur les modalités de ces stages, pour que vous puissiez savoir si vous y êtes éligible dans le cadre de votre parcours, et comment procéder pour en demander un.

Si vous avez des questions, posez-les directement en commentaire afin que tout le monde puisse bénéficier des réponses. Si vous avez un doute, d’autres personnes le partagent sûrement sans pour autant le formuler.

Chaque jour chez OpenClassrooms, nous voyons fleurir de belles histoires. Celle de Laurent qui travaillait dans le jardinage avant de se reconvertir, après un an à suivre le parcours Chef de projet multimédia – option développement d’OpenClassrooms, il a été embauché en tant que développeur front-end et, quelques mois plus tard, passait manager de son équipe.

Celle de Sylvie aussi : après une carrière de professeur de mathématiques, elle est devenue développeuse front-end et elle est à présent freelance en création de sites web. Nous vous souhaitons une aussi belle réussite que ces deux étudiants, et tant d’autres !

Et nous avons voulu aller plus loin en proposant à nos étudiants d’effectuer un stage en entreprise. Au cours d’un stage, vous validerez en effet les compétences acquises sur les projets, et approfondirez votre pratique, pour maîtriser toujours mieux votre métier.

 

Les conditions pour faire un stage

 

Le type de parcours :

 

  • Vous devez être inscrit à un parcours dont la durée affichée est de 12 mois minimum* (exemple : Développeur d’application frontend, ou Chef de projet multimédia).
  • *Certains parcours de 6 mois peuvent comprendre un stage uniquement pour les étudiants financés par un organisme. Vous pourrez vérifier si votre parcours y est éligible sur sa fiche (voir le point illustré ci-dessous).
  • Votre parcours doit comporter un module stage (soit un projet qui peut être remplacé par une expérience en entreprise).

Voici ce que vous verrez sur la page de votre parcours si votre parcours est éligible à un stage (pour vérifier, rendez-vous ici).

L’expérience requise :

 

  • Vous devez déjà avoir réalisé et validé 3 projets avant de vous lancer en entreprise. Nous prenons cette mesure afin de vous donner le bagage suffisant afin que votre stage se passe bien et que vous en tiriez le meilleur parti, et que les employeurs constatent votre compétence.
  • Attention : Le stage de fin d’études n’est pas possible car les stages doivent remplacer un projet de stage.
La durée des stages :

 

  • Nous délivrons une convention pour un minimum de 2 mois (en France cela nous assure que vous serez indemnisés) et un maximum de 6 mois.
Le volet international :

 

  • Tous les étudiants peuvent a priori réaliser un stage, même si certaines particularités peuvent s’appliquer suivant le pays visé. Avant de partir, vous devrez prendre connaissance des conseils aux voyageurs accessibles via la fiche pays pour être certain que les stages sont acceptés dans votre pays ou le pays dans lequel vous souhaitez le réaliser.
  • Nous devrons vous fournir un document supplémentaire : si votre souhait est de faire un stage à l’international, signalez-le-nous.
Les modalités :

 

  • Nous souhaitons autant que possible que nos étudiants soient gratifiés pour faire un stage. Demandez à l’être, et tentez de négocier plus que le minimum légal. Vos compétences, votre motivation, débrouillardise et persévérance valent mieux que le minimum légal.
  • Conformément à la convention de stage, l’étudiant s’engage à rester abonné pendant la période de stage.

Organisez votre stage, mode d’emploi

 

Étape 1 : décrochez votre stage en entreprise

 

Avant toute chose, et surtout avant de solliciter les conseillers pédagogiques, il vous faut trouver l’entreprise où vous allez effectuer votre stage.

Pour vous aider, nous vous conseillons de suivre le cours sur le Personal Branding, qui va vous aider à être attractif auprès des employeurs, et de consulter ces ressources :

À lire AVANT de rédiger votre CV :

Les dix questions à se poser avant de rédiger son CV
Nos 8 conseils pour améliorer votre CV
10 conseils indispensables pour rendre votre CV attractif
Un article sur le fait d’enjoliver son CV (ou pas)

Quelques informations sur votre lettre de motivation :

Les indispensables qui feront la différence 
La lettre de motivation est-elle morte ?

Quelques conseils pour épater votre recruteur en entretien :

Les conseils de Mathieu Nebra pour faire comme les meilleurs candidats en entretien
Les conseils d’Honorine Jollans, experte RH, pour réussir votre entretien
Les pires et meilleures questions à poser à un recruteur
Les bonnes questions pour la fin de l’entretien
Un article sur la communication non verbale
Et enfin, nos conseils pour accélérer votre recherche.

Étape 2 : cliquez sur le projet puis le lien vers le formulaire

Vous arriverez sur un formulaire où vous pourrez renseigner toutes les informations relatives à votre stage, qui permettront aux conseillers pédagogiques d’éditer votre convention de stage. Au programme, notamment votre identité, vos coordonnées, la durée de votre stage et ses dates, le nom et l’adresse de l’entreprise, etc.

Étape 3 : recevez votre convention

 

Les conseillers pédagogiques pré-remplissent une partie de la convention de stage, puis vous l’adressent ainsi qu’à l’entreprise qui vous accueillera pour remplir l’ensemble des données nécessaires. Une fois toutes les données remplies, cette convention est signée électroniquement par toutes les parties (vous-même, votre entreprise d’accueil et OpenClassrooms). Vous serez alors paré pour faire votre stage.

 

Bonne chance !

 

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