Lateo.net - Flux RSS en pagaille (pour en ajouter : @ moi)

🔒
❌ À propos de FreshRSS
Il y a de nouveaux articles disponibles, cliquez pour rafraîchir la page.
À partir d’avant-hierOpenClassrooms : le blog

D’Interpol aux systèmes et réseaux, le parcours de Jean-Marie

Par : Nora Leon

Jean-Marie Koka a un parcours pour le moins atypique. Arrivé en France en 2012 après une carrière dans la police congolaise, au service d’Interpol, il a été frappé par une maladie grave. Dans le cadre de sa rémission, il a décidé d’entreprendre une reconversion en informatique. Son choix s’est porté sur la formation en ligne Administrateur systèmes et réseaux d’OpenClassrooms. Nous sommes revenus ensemble sur son parcours détonnant.

Bonjour Jean-Marie ! Pouvez-vous s’il-vous-plaît nous raconter des bribes de votre histoire ?

Je m’appelle Jean-Marie Koka, je suis juriste de formation et je vis en France depuis 2012. Initialement, je ne voulais pas rester. J’ai travaillé pour le compte d’Interpol, la police internationale. Lors d’une mission de service, alors que je voyageais avec le chef de la police de mon pays, le Congo, je suis tombé gravement malade. 

En France, nous devions acquérir du matériel pour la police congolaise. Nous sommes donc allés voir la police fluviale pour le Ministère de l’Intérieur. À l’époque, on nous avait logés vers la tour Eiffel, dans un hôtel. Et subitement, un jour, je ne me suis pas senti bien. Mon chef est parti en Belgique pour faire son check-up et moi, je suis resté dans cet hôtel à Paris. 

J’ai appelé un ami qui est venu me chercher à l’hôtel pour m’emmener en urgence à l’hôpital. J’ai passé de nombreux examens et j’ai découvert que j’avais un cancer : il n’était plus question de rentrer avec mon chef au Congo. Finalement, j’ai été hospitalisé pendant 3 mois en France, et les médecins m’ont prescrit un suivi médical. Je suis resté en France, et ma femme, qui est médecin, m’a rejoint. 

J’ai commencé à suivre des soins ambulatoires, de la chimiothérapie, etc. Je me suis dit qu’il fallait que je fasse quelque chose, que je redevienne actif.

Au Congo, j’ai un diplôme niveau bac +5,  j’ai cherché à trouver une formation ici en France qui me confère un niveau similaire. 

Quelle histoire ! Et comment avez-vous mené cette recherche de formation ?

Je suis allé à la Sorbonne : il y avait un master professionnel sur les contentieux d’affaires. Mais le problème, c’est que je n’avais pas d’emploi pour payer les frais de scolarité. Et comme je ne vivais pas à Paris même, Pôle emploi ne pouvait pas prendre en charge ma formation.

J’étais sans argent, je me suis demandé comment j’allais faire ! Mais lorsque j’étais à l’hôpital, il y avait une assistante sociale. Je suis allé la voir, lui disant que je n’avais pas les moyens de me former. Or, le cancer est considéré comme une maladie handicapante. L’assistante m’a donc recommandé de chercher une formation au niveau de la MDPH (la Maison Départementale des Personnes Handicapées, une entité finançant le droit à la reconversion pour les adultes en situation de handicap). Avec leur aide, je me suis lancé dans le projet d’une reconversion professionnelle.

Quel cursus avez-vous choisi pour votre reconversion ?

Parmi les formations disponibles, j’ai trouvé que l’informatique en valait la peine. Lorsque je travaillais au Congo, j’ai dû travailler dans le cadre de la réforme de la police du Congo. Et à cette époque, nous avions suivi une formation pour connaître les bases de l’informatique, notamment Excel. 

Dans le travail que je faisais pour Interpol, l’information circulait sur des canaux informatiques. Il y avait par exemple des notices de recherche, etc…

Je me suis donc dit que j’allais me lancer en informatique. Je suis allé à Groslay pour faire une pré-orientation de 3 mois. 

Après la pré-orientation, j’ai fait une remise à niveau suivie d’une formation d’assistance informatique de 18 mois. De temps en temps, comme je lisais les cours sur OpenClassrooms, j’ai remarqué qu’il y avait sur le site une offre de formations financées au niveau de la région.

La formation de technicien que je suivais alors avait un équivalent bac. Moi, j’avais quand même fait 5 ans à l’université et je devais me retrouver à un niveau de bac – j’ai eu envie d’aller plus loin. Donc j’ai postulé et j’ai été admis dans mon parcours OpenClassrooms Administrateur systèmes et réseaux.

Je commence à découvrir beaucoup de choses. Certains cours m’ont déjà aidé à réfléchir à ce que je peux faire à l’avenir ! Par exemple, devenir hébergeur ou bien créer un data center. Au Congo, et plus généralement en Afrique, il y a des problèmes d’électricité. J’aimerais créer un data center là-bas pour héberger les données des clients. En tout cas, c’est ma vision actuelle ! 

Génial ! Et comment se passe la formation ?

Elle se passe bien ! J’essaye d’apprendre, de comprendre, je ne veux pas aller vite en besogne, mais je cherche à aller vraiment en profondeur dans mes sujets d’études.

Est-ce que vous pouvez nous parler de vos projets ?

En ce moment, je finis mon quatrième projet sur le parcours d’administrateur systèmes et réseaux, qui consiste à apprendre à perfectionner les réseaux informatiques d’une grande entreprise. J’ai découvert comment créer un compte et loger un fichier sur Amazon. 

Comment cela se passe-t-il avec votre mentor ? 

Dans la formation, c’est vous qui lisez les cours et si vous êtes bloqué, le mentor peut vous donner des pistes. Parfois, on entre un peu en contradiction. Dernièrement, j’ai utilisé Cisco, et mon mentor avait voulu que j’utilise le fichier dans Ubuntu. Moi, j’ai préféré faire du VLAN sur les Switch Cisco. Lorsqu’il a vu mon travail, il était surpris mais il m’a félicité ! Il y a un bon dialogue entre nous. 

Qu’est ce que vous aimez le plus dans Ia formation OpenClassrooms ?

Les cours me plaisent beaucoup ! Ils me permettent de faire des recherches par moi-même et de me former. À l’école, quelquefois, on se limite seulement aux notes du formateur.

Mais là, ça vous pousse à aller un peu plus loin, parce que OpenClassrooms encourage à effectuer d’autres recherches.

Vous avez un parcours atypique ! Vous êtes passé par plusieurs étapes compliquées.

Tout à fait ! Juriste de formation, puis dans la police. Je me retrouve maintenant dans l’informatique, c’est vraiment une reconversion pour moi… Que OpenClassrooms me donne les moyens de faire.

______________

Malgré une vie pleine d’imprévus, Jean-Marie a su tirer parti de sa situation pour avancer et se transformer professionnellement. Le choix du secteur informatique et plus particulièrement des systèmes et réseaux lui permet de se positionner sur un marché de l’emploi porteur et en forte demande… Outre le développement de nouvelles compétences, sa formation OpenClassrooms et les cours dispensés lui ont aussi permis de réfléchir à l’avenir, et de peut-être préparer la voie d’un projet entrepreneurial…

Vous aussi, vous vous intéressez au métier d’Administrateur systèmes et réseaux ? Rendez-vous sur la page parcours de la formation pour découvrir son contenu. Vous pouvez aussi suivre les cours dispensés sur le parcours gratuitement ; cela vous donnera un bon aperçu pour vous lancer sur cette formation professionnalisante. 

L’article D’Interpol aux systèmes et réseaux, le parcours de Jean-Marie est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.

Philip, de tourneur-fraiseur à administrateur réseau

« Pas si simple à 18 ans de choisir sa voie, une carrière, un métier ».

Philip Dumet s’est lancé dans la vie active un peu précipitamment après avoir raté son bac une première fois. Il a ensuite exercé un métier contraignant pendant plusieurs années, dans lequel il savait qu’il ne pourrait pas évoluer.

Il décide alors de prendre un autre chemin. Aujourd’hui, il termine la formation administrateur infrastructure et cloud de l’école en ligne OpenClassrooms et s’apprête à ouvrir un nouveau chapitre de sa vie professionnelle, dans un secteur qui lui correspond parfaitement.

Un début de carrière comme tourneur-fraiseur

Indécis au lycée, Philip fait le choix de commencer à travailler très tôt. “J’ai passé un bac STG mécanique que j’ai raté la première fois puis obtenu l’année suivante en candidat libre. À ce moment-là, je ne savais pas vraiment quelle direction prendre professionnellement, c’était encore un peu tôt”, explique t-il.

Après son premier échec au bac, il est embauché dans une entreprise comme opérateur sur commande numérique : “J’étais tourneur-fraiseur, c’est-à-dire que je réalisais des pièces en série sur des machines. Ensuite, je contrôlais les pièces, je réalisais des programmes informatiques également ».

« C’était un métier très répétitif, avec des horaires contraignants, que j’ai fait malgré tout pendant 5 ans en intérim ».

Philip est conscient que sans autre diplôme que son bac, il aura peu de perspectives d’évolution dans cette entreprise. Même chose s’il veut se reconvertir dans un domaine qui lui plaît davantage.

Des formations manquées puis la bonne formule

Au bout de ces cinq ans comme tourneur-fraiseur, j’ai décidé de me lancer et j’ai essayé de faire plein de petites formations. À ce moment-là, mon idée était de devenir automaticien ».

« Seulement, à chaque fois que j’envisageais une formation, il y avait toujours un pépin au dernier moment et la formation n’avait finalement pas lieu. J’ai perdu quasiment deux ans de cette façon ».

Débrouillard en informatique, Philip a quelques compétences dont il se sert sur son temps libre. C’est de cette façon qu’il découvre les formations diplômantes en ligne proposées par OpenClassrooms : “Depuis toujours, je bidouillais en informatique et j’avais pris l’habitude d’aller sur le site d’OpenClassrooms lorsque j’avais un problème que je n’arrivais pas à résoudre. Je suivais les cours gratuits. Alors, quand j’ai vu les formations diplômantes qu’ils proposaient, à distance et avec un mentor, j’ai réalisé que c’était la formule qui me correspondait tout à fait pour me former.

Selon lui, ce sont les conditions d’apprentissage idéales et le parfait compromis compte tenu du secteur d’activité dans lequel il souhaite désormais évoluer.

Avec juste le bac en poche, il m’aurait fallu au moins deux ans pour commencer de zéro dans n’importe quel autre cursus. Or, financièrement, ce n’était pas forcément envisageable.

Philip se lance donc avec OpenClassrooms et choisit la formation Administrateur infrastructure & cloud. “J’ai pu me permettre de faire les six premiers mois du parcours à plein temps, j’ai donc avancé rapidement au début. Puis, j’ai eu besoin de retravailler, ce qui a un peu ralenti la formation mais c’était malgré tout faisable. Je pense qu’en faisant quelques sacrifices et avec la motivation, c’est une formation vraiment accessible en un an. Il y a des moments plus compliqués que d’autres mais c’est très épanouissant.

Administrateur réseau : un métier d’avenir

La formation est complète et permet à Philip d’acquérir de nombreuses compétences indispensables pour être crédible sur le marché du travail :

« Je suis capable de blacklister un serveur, j’ai tout appris à propos des réseaux, des adresses IP, de la virtualisation, je peux réaliser de la documentation technique et des procédures. J’ai également été initié à la gestion de projets et sensibilisé à la sécurité informatique ».

À l’issue de la formation, Philip a le choix entre réaliser un projet ou un stage. “J’ai choisi de réaliser un stage de deux mois. J’ai senti que c’était nécessaire pour que je gagne en confiance”.

L’histoire est belle puisqu’il fait ce stage au sein de l’entreprise pour laquelle il travaillait auparavant comme tourneur-fraiseur. Au département informatique cette fois.

« Ils ont été ravis de m’accueillir comme administrateur réseau, étant donné que je connaissais déjà l’entreprise ».

« Et pour moi, c’était aussi l’occasion de découvrir une autre facette de cette boîte pour laquelle j’avais travaillé pendant plusieurs années.”

Fraîchement diplômé, Philip est désormais à la recherche d’un emploi. “Idéalement, j’aimerais travailler dans un environnement de type data center, car cela m’intéresse beaucoup. Je pense que la sécurité informatique est aussi une problématique en plein boom actuellement : l’administrateur système peut couvrir cette dimension également.

Fort de nouvelles connaissances, Philip voit l’administration de réseau comme un métier d’avenir : “L’administrateur est garant du système d’informations de l’entreprise. Il doit s’assurer que le réseau est fonctionnel pour l’ensemble des employés, il forme les utilisateurs au matériel informatique, s’occupe des sauvegardes, de l’installation et de la maintenance des machines ».

« Ce sont des missions très variées au quotidien, qui sont devenues des piliers indispensables dans quasiment toutes les entreprises aujourd’hui ».

Philip est ainsi la preuve qu’avec une bonne dose de motivation et la formation adéquate, de tourneur-fraiseur à administrateur réseau, il n’y a finalement qu’un pas.

L’article Philip, de tourneur-fraiseur à administrateur réseau est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.

Les plus impressionnantes attaques en cybersécurité

Par : Nora Leon

Au rythme où vont les hackers, le responsable cybersécurité sera bientôt indispensable au sein de toute entreprise. Pourtant, ces profils sont encore rares sur le marché : ce qui explique qu’ils soient aussi très bien payés et rarement en recherche d’emploi.

Par ailleurs, pour toute personne qui possède un ordinateur personnel, connaître les pare-feux les plus récents permet également de protéger ses données intimes.

Et justement, Mathieu Nebra, développeur et fondateur de l’école en ligne OpenClassrooms, a récemment proposé un cours pour découvrir l’univers en plein essor de la cybersécurité. Un cours utile pour celles et ceux qui veulent y travailler, ou juste se tenir informés des bonnes pratiques en matière de sécurité informatique. En somme, à l’heure du tout-numérique, il s’agit même de culture générale !

Cet article a pour but d’introduire la cybersécurité en partageant les formes d’attaques les plus courantes et leurs parades actuelles.

Les attaques fréquentes en cybersécurité 

Les failles logicielles

Les failles logicielles sont des défauts liés à des bugs des logiciels. Il y en a dans quasiment tous les logiciels, des systèmes d’exploitation Windows, macOS, Linux… aux logiciels comme Skype, Google Chrome, Firefox, Word. 

En revanche, dès qu’une faille est repérée, elle doit être corrigée. C’est pour cela que les logiciels doivent être mis à jour régulièrement. 

Pour se protéger, il est conseillé dinstaller les mises à jour des logiciels le plus régulièrement possible.

Les failles réseau

Les failles peuvent aussi avoir lieu à un autre niveau : celui du réseau.

Prenons un exemple : si les données de l’entreprise sont échangées entre postes en wifi, et que ce wifi n’est pas chiffré, il est facile pour quelqu’un dans la rue d’aspirer tous les échanges qui ont lieu. Dans ces échanges, il y a notamment les cookies dans lesquels on peut parfois trouver des données d’authentification !

Ajoutez à cela les serveurs auxquels on peut se connecter avec un mot de passe simple, voire sans mot de passe. Il y a aussi des routeurs qui restent configurés avec le mot de passe par défaut (admin/password). Et ne rigolez pas ! Cela arrive très fréquemment.

De simples négligences comme celles-ci sont à l’origine de nombreuses cyberattaques.

Les droits d’accès 

Que se passe-t-il quand on ne veut pas se prendre la tête avec les droits d’accès ? On donne des accès de niveau administrateur à tout le monde ! On partage ses codes d’accès aux collègues, on les écrit sur des post-it au bureau…

C’est évidemment la source de nombreux problèmes de sécurité. Une entreprise où tout le monde est administrateur est une entreprise où chaque personne risque d’effectuer une action qui peut avoir des conséquences désastreuses.

A l’inverse, concentrer tous les droits d’administration sur une personne est aussi risqué. Et si cette personne quittait l’entreprise sans donner les mots de passe ? Si elle était frappée d’amnésie ? Tant de situations où le responsable IT peut se retrouver dans de beaux draps…

Envie d’en savoir plus sur les grands hacks du monde du web ?

Retrouvez l’historique dans le “cours “Découvrez l’univers de la cybersécurité”.

À propos d’OpenClassrooms

OpenClassrooms est un institut de formation à distance, 100% en ligne, pour apprendre les compétences les plus recherchées par les recruteurs et les plus prometteuses. Le but : décrocher un emploi très recherché et qui ait de l’avenir !

Nous formons à tous les métiers du numérique, notamment le développement web et mobile, le design, les systèmes et réseaux, la data science, la gestion de projet, le marketing, les ressources humaines et l’entrepreneuriat.

Tous les cours des programmes de formation à distance sont accessibles gratuitement en ligne.

Nos cursus à équivalent Bac +2, +3 et +5 se réalisent en ligne. Ils sont composés d’un mélange de vidéos, de cours écrits, de projets professionnalisants réalisés par l’étudiant pour apprendre par la pratique, et de sessions de mentorat hebdomadaires avec un expert du métier. Les formations durent entre 6 et 18 mois en fonction des sujets et du temps alloué par l’étudiant. 

À l’issue du programme, les étudiants sont coachés par des experts pour faciliter leur recherche d’emploi. Ce dernier est d’ailleurs garanti.  

Cela vous intéresse ? 

J’en discute avec mon conseiller pédagogique

L’article Les plus impressionnantes attaques en cybersécurité est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.

Interview : que recherchent les recruteurs chez les candidats Tech ?

Nicolas Macherey a fondé WakeOnWeb en 2015. Implantée sur trois sites à Paris, Lyon et Aix-en-Provence, cette entreprise de près de 40 salariés conçoit des solutions numériques et technologiques sur-mesure pour les entreprises.

Pour conserver leur expertise face aux changements permanents du monde du numérique, les professionnels de la Tech doivent rester en veille permanente et être curieux des dernières innovations. C’est ce que nous explique Nicolas au travers de sa propre expérience.

Un processus de recrutement ouvert

WakeOnWeb est une société encore jeune, qui a connu des hauts et des bas. S’il y a eu un peu plus de turn-over lors des périodes de creux, aujourd’hui les équipes sont bien en place, soudées et compétentes.

La stratégie de recrutement de Nicolas ? Miser sur la diversité : “J’ai fait un pari en fondant WakeOnWeb, car c’est difficile d’être bien formé sur toutes les technologies. »

Alors, j’ai employé des gens qui étaient soit des développeurs expérimentés, soit des passionnés autodidactes. Certains n’avaient même pas le bac ou étaient de jeunes diplômés tout juste sortis  d’école. Ils avaient l’avantage d’être encore modelables.

« Personnellement, je connais les formations en ligne OpenClassrooms depuis le début, mais je laisse les gens choisir leur formation lorsqu’ils font leur contrat de professionnalisation ou leur formation continue. J’ai eu beaucoup d’alternants qui venaient de formations différentes : SupInfo, écoles d’ingé, OpenClassrooms…

Bien que les compétences techniques soient indispensables pour proposer la meilleure expertise aux entreprises, Nicolas valorise d’autres éléments aussi  : “Nous sommes une société de service donc nous devons nous adapter aux circonstances du client et dans ce contexte, être capables de monter en compétences rapidement, de s’adapter, de rebondir. C’est très important quelles que soient les bases techniques que l’on a eues au départ. C’est pour cette raison que je valorise les profils variés. »

Je n’ai pas d’a priori, je ne regarde jamais les CV avant de faire entrer les candidats en entretien, que je juge d’abord sur leurs valeurs humaines.

« Puis dans un deuxième temps, ils passent un test de personnalité et un test technique qui est adapté en fonction du profil. On ne donnera pas le même test à un architecte développeur qu’à un junior en reconversion par exemple. »

Un apprentissage permanent

Les technologies du numérique sont en constante évolution et de plus en plus nombreuses.

Pour rester compétitifs, les professionnels de la tech n’ont d’autre choix que de continuer à apprendre et à se former tout au long de leur carrière.

Nicolas croit aux vertus de la formation interne et externe :

Notre métier est d’apporter l’innovation technologique dans les entreprises donc si on n’encourage pas la formation continue auprès de nos collaborateurs, on se laisse dépasser très rapidement.

« Au sein de WakeOnWeb, on a un programme de formation interne qui est encadré par nos architectes. Le marché évolue constamment, donc on sélectionne avec nos collaborateurs les technologies qu’on trouve   intéressantes à connaître et maîtriser. Le but n’est pas de devenir spécialiste de tout non plus, on évalue de façon concrète l’expertise qui est la plus pertinente pour nous.”

Incorporer la formation au sein de l’entreprise demande une organisation du travail adaptée, qui peut sembler complexe à mettre en place à première vue.

Cependant, elle représente indéniablement un investissement sur le long terme.

Lorsqu’on sélectionne une nouvelle technologie, on laisse les employés se dégager du temps pour se former à partir des ressources ou des outils qu’ils choisissent, en échange de quoi ils rédigent une présentation ou un article qui peut être profitable à tous sur la techno en question.

« Cela représente un coût mais c’est indispensable dans notre domaine. Par conséquent, nous avons mis en place ce système en début d’année et nous verrons si cela perdure”, explique Nicolas.

Quel que soit le langage informatique que l’on maîtrise le mieux, ce qui est inhérent à tous les métiers du numérique est la curiosité d’apprendre perpétuellement pour rester innovant. Finalement, c’est sans doute la qualité première recherchée par les recruteurs dans le domaine, à l’image de Nicolas.

L’article Interview : que recherchent les recruteurs chez les candidats Tech ? est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.

Chez OpenClassrooms, nous donnons confiance aux femmes pour travailler dans la tech

Par : Nora Leon

16%. C’est le ratio de femmes qui exercent des métiers dans la tech. Chez OpenClassrooms, nous sommes fiers d’aider des milliers de femmes à se former ou changer de carrière dans un métier du numérique. De les aider à embrasser la carrière qu’elles souhaitent, quel que soit le ratio de femmes dans leur spécialité. Elles sont nos pionnières, et elles nous aident à prouver qu’aucun métier de la tech ne restera majoritairement masculin.

À l’occasion de la journée internationale des droits des femmes, nous voulions mettre en avant les femmes extraordinaires de notre communauté. Des femmes qui étudient ou enseignent, aux multiples talents, qui sont souvent à la fois des professionnelles aguerries, des mères, et des passionnées.

 

Véronica est diplômée du parcours développement front-end



Véronica n’avait jamais écrit une ligne de code avant de commencer le programme développeur front-end. En moins d’un an, elle a obtenu son diplôme et trouvé un emploi dans une jeune entreprise prometteuse.

Ce n’est pas parce que vous n’avez jamais écrit une ligne de code que vous ne serez pas excellente dans ce domaine.

 

Anaïs étudie le développement web en alternance



Anaïs a suivi le chemin de son coinjoint, passé de l’armée à Tech Lead et formé sur OpenClassrooms. Curieuse, elle a suivi plus de 50 cours en ligne pendant sa grossesse, jusqu’à s’inscrire en alternance au parcours développement web junior.

Maman et développeuse passionnée, elle mène avec courage et ambition sa reconversion professionnelle. Quelle niaque !

On se dit qu’il faut des diplômes, qu’il faut un cerveau configuré pour apprendre… Et en fait, non. Cela vient petit à petit. Quand on fait une reconversion professionnelle, on est plutôt fiers de le mettre en avant. Fiers de dire, ‘moi j’étais peintre en bâtiment, j’étais cavalière, j’étais caissière, et aujourd’hui, je suis votre égale’.

 

Emily enseigne le développement web

 

Emily a étudié l’art et l’architecture à la faculté, mais elle s’est formée en autodidacte en développement lorsqu’elle a vu à quel point la tech et les arts étaient complémentaires. Elle adore aider chacun à faire le même changement de carrière qu’elle.

Suivez ses cours en développement sur OpenClassrooms !

Réalisez des sites modernes et beaux grâce à WordPress
Introduction à JQuery
Testez l’interface de votre site

____________

Oser sauter le pas 

 

Ce n’est un secret pour personne que la gent féminine est encore sous-représentée dans les métiers de la Tech. La moitié des startups en Tech n’a pas de femmes dans ses équipes dirigeantes. 60% de ces entreprises n’ont pas de femmes dans leur conseil d’administration.  Dans les dernières années, des femmes ont obtenu seulement 17% des postes chez Google, 15% chez Facebook et 10% chez Twitter au niveau international. 16% seulement des professionnels du numérique en sont des femmes. Leur absence est due à une pénurie de talents notamment féminins, dans le secteur.

Pourquoi les femmes n’osent-elles parfois pas se lancer dans des carrières tech ?

Lorsqu’elles le font, elles occupent pourtant parmi les postes les plus prestigieux.

La diversité au travail crée des organisations plus créatives et productives. Nous sommes déterminés à rendre les carrières dans les métiers du numérique attrayantes et accessibles à toutes.

Ne vous fixez pas de limite. Exercez le métier qui vous plaît. Devenez l’une des prochaines professionnelles talentueuses de la tech.

Belle journée internationale des droits des femmes !

L’article Chez OpenClassrooms, nous donnons confiance aux femmes pour travailler dans la tech est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.

La cybersécurité, nouvel eldorado des recruteurs en systèmes et réseaux

Par : Nora Leon

14 avril 2017. Le groupe de cyberpirates “The Shadow Brokers” diffuse nonchalament une liste d’outils dérobés à la… NASA. Coup de tonnerre dans le monde du web.

Entreprises, développeurs et acteurs institutionnels savent désormais qu’une cyber-attaque peut bloquer une entreprise ou institution pendant plusieurs heures voire jours. Et qu’un cyber-pirate peut s’approprier des données contre rançons ou simplement pour le sport.

En mai, le ransomware WannaCry frappe 150 pays et… les esprits. Un bilan douloureux estimé entre 1 et 1,5 millions, 300 000 machines touchées, et des usines telles que Renault et Saint Gobain fermées pendant plusieurs jours.

Devant ces menaces de plus en plus nombreuses et inventives, le métier de responsable cybersécurité a le vent en poupe — et pour longtemps. Ceux des systèmes et réseaux recrutent 4 fois plus que le reste des métiers du marché de l’emploi. Le métier de responsable cybersécurité, 8 fois plus.

Anatomie d’une fonction technique, stratégique et agréablement geek.

 

Notre expert

 

Antoine Botte est Président et Directeur Général de SAFE-Cyberdéfense.

Très tôt, Antoine s’intéresse à l’informatique. Polyvalent, il commence par de la maintenance informatique, s’intéresse ensuite aux réseaux d’entreprises ainsi qu’au développement.

En 2013, il entreprend la Licence Professionnelle en sécurité informatique de l’IUT de Valenciennes, suivi par le Master en Sécurité informatique de l’ESGI. Pendant ce master, il découvre de nombreuses solutions de sécurité très réputées.

Rapidement conscient des faiblesses des solutions vendues aux clients, il a créé sa société il y a trois ans, pour proposer une solution sur-mesure de remplacement aux anti-virus poreux du marché.

Antoine a su greffer sur son profil de développeur des compétences en cybersécurité, un développement de carrière particulièrement recherché à l’heure actuelle.

 

Des attaque protéiformes

 

Pour notre expert, les attaques de hackers peuvent prendre des formes très diverses.

Premièrement, il y a celles qui sont permises par les failles dans le développement vieillissant de certains sites. Antoine explique : “Auparavant, il y avait énormément de sites développés avec des langages anciens, dont les failles permettaient de voler des données. Aujourd’hui, les langages et frameworks récents permettent de sécuriser les sites by design, (Python, Django) et les règles de sécurité permettent d’éviter que les sites soit perméables. Tout cela est automatisé : les menaces sont donc toujours présentes sur les sites qui ne sont pas passés à ces technologies, mais ce sera de moins en moins le cas.

Ensuite, les menaces les plus courantes à l’heure actuelle sont les “ransomwares”, des logiciels malveillants développés pour infecter tous types de terminaux (les smartphones, postes de travail, iPads, ou même les objets connectés). Ces programmes prennent en otage les données de l’utilisateur contre rançon (et encore, quand on récupère les données après rançon…). Selon Antoine, en quelques lignes de code, “on peut développer un programme qui chiffre vos données personnelles pour les rendre inaccessibles, il suffit ensuite de demander une rançon à l’utilisateur au travers d’une adresse bitcoin et le tour est joué.

Les cryto-mineurs sont d’autres menaces plus insidieuses. Le bitcoin et la blockchain utilisent les ressources d’un terminal pour générer de l’argent. Or, certains hackeurs utilisent la puissance de calcul d’ordinateurs infectés pour générer des crypto-monnaies qui leurs reviennent, à l’insu du propriétaire de la machine. Cela utilise anormalement la machine, en la mobilisant en permanence, et réduit donc sa durée de vie. Antoine affirme que c’est parmi les attaques les plus courantes en ce moment.

Et dans 5 à 10 ans ? Antoine voit se dessiner des menaces liées aux GAFAM (Google, Amazon, Facebook, Apple, Microsoft). Aujourd’hui, tout est stocké dans le Cloud. Même Microsoft vient de racheter Github.

Le jour où on piratera Facebook, ou même Microsoft, cela fera du bruit, car les hackers auront dérobé les données de millions de personnes ou même celles d’entreprises.

Quoi qu’il en soit, il sera toujours nécessaire de sécuriser les terminaux des utilisateurs qui accèdent à ces données, surtout parce que les utilisateurs sont souvent responsable de l’infection de leurs machines en cliquant au mauvais endroit au mauvais moment.

D’autres attaques pourraient proliférer, notamment avec le développement de l’intelligence artificielle, qui va complexifier les cyber-attaques, et l’explosion du nombre d’objets connectés, qui présentent souvent des failles faciles à exploiter.

 

La cybersécurité, un domaine technique

 

Ce domaine est stratégique pour les entreprises comme les particuliers. Dans un contexte où la donnée est partout, la sécuriser devient primordial. Les terminaux à sécuriser sont aussi en évolution permanente : ordinateurs, smartphones, tablettes, mais aussi aujourd’hui nombre d’objets connectés. Et la tendance est à la multiplication et des terminaux à sécuriser, et des types de menaces. Les responsables et ingénieurs sécurité ont donc de beaux jours devant eux, et de beaux défis, puisque ce métier exige des compétences techniques mises à jour régulièrement pour palier aux attaques impossible donc de vous ennuyer tout au long de votre carrière.

Alors, quels sont les pré-requis techniques à l’heure actuelle ? Pour pouvoir exercer cette spécialité, il est préférable d’avoir de très bonnes bases en développement. Antoine nous confirme qu’il existe plusieurs niveaux de connaissances en développement requis pour exercer différentes spécialités en sécurité informatique.

Pour de l’audit de code on n’a pas forcément besoin de développer, il a des solutions payantes, mais souvent moins efficaces. De même, pour faire des tests d’intrusion, il existe pas mal d’outils sur Internet pour se faciliter la tâche. Python peut ensuite être un gros plus pour automatiser des choses.

Pour sécuriser une application par contre, il faut savoir développer, et notamment maîtriser les frameworks récents. Il existe bon nombre de framework orientés sécurité, basés sur du modèle de données. De même, si on fait de la sécurité applicative ou de la recherche de vulnérabilités sur des logiciels, il faut faire du C, et maîtriser l’assembleur pour comprendre ce qu’il se passe dans la mémoire et le processeur de la machine.

 

Un métier en forte demande

 

On a besoin de responsables cybersécurité dans tous les secteurs, et ce sera de plus en plus le cas, affirme Antoine. “Des robots se baladent sur Internet pour voir si votre site est vulnérable, en permanence. Si c’est le cas, votre site peut ensuite servir pour d’autres attaques en hébergeant du contenu malveillant. Donc, même le plus innocent des sites peut héberger à son insu des malwares ou être utilisé comme relais de spam. Et toute entreprise présente sur Internet doit se protéger pour ne pas être la cible des cyber-pirates”, renchérit-il.

Le marché ne fait que grossir, et pas mal de postes différents sont à pourvoir. En tant que responsable cybersécurité, vous vous situez à un niveau stratégique dans l’entreprise : vous sécurisez les données, souvent décrites comme le nouvel or noir.

Pas étonnant donc que de nombreuses configurations de postes existent pour attirer les “talents” qui possèdent ces compétences rares. Vous pouvez trouver un poste dans une PME ou dans un grand groupe en CDI. Travailler comme consultant directement chez ses propres clients est également possible. Enfin, le télétravail est également envisageable, notamment si on se spécialise dans la recherche de malwares, car cela peut être fait de manière indifférenciée à distance.

 

Est-ce pour moi ?

 

Voici les principales qualités nécessaires pour exercer ce métier :

  • Discrétion et éthique, car le responsable cybersécurité manipule des données sensibles d’une entreprise ;
  • Organisation et capacité à anticiper, tant pour colmater les failles que pour prévoir un programme sécuritaire efficace ;
  • Pédagogie, pour faire passer aux collaborateurs les règles de sécurité globales ;
  • Résistance au stress, pour gérer les crises ;
  • Curiosité et pro-activité, pour se tenir au courant des nouvelles menaces et faire sa veille technologique mais aussi pour proposer les grandes orientations de la stratégie en sécurité de l’entreprise ;
  • Capacité à manager une équipe, particulièrement en cas de crise ;
  • Esprit analytique et autonomie, capacité à chercher des solutions.

Antoine résume : 

Si on aime bidouiller son ordinateur et surtout se casser la tête pendant des heures en cherchant, sans savoir si on va y arriver, c’est fait pour nous. Il faut aussi aimer l’informatique, avoir l’esprit créatif, être très analytique et logique.

 

Antoine vous a convaincu des aspects passionnants de ce métier ?

Consultez le programme du Master de l’Université de Technologies de Troyes pour devenir Responsable en sécurité des systèmes d’information sur OpenClassrooms.

 

L’article La cybersécurité, nouvel eldorado des recruteurs en systèmes et réseaux est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.

DevOps, le rôle entre IT et Développement qui nous vient des États-Unis

Par : Nora Leon

Historiquement, les développeurs et professionnels des systèmes et réseaux (encore appelés professionnels de l’IT) travaillaient plus en parallèle que de concert. Des développeurs créent donc parfois des livrables peu adaptés aux infrastructures de l’entreprise.

À l’heure actuelle, ces situations frustrantes sont de plus en plus rares. Les équipes s’organisent en effet pour mieux travailler ensemble, et ce grâce au nouveau facilitateur fraîchement arrivé des États-Unis : le DevOps.

Nous avons rencontré Amine Benseddik, qui exerce ce rôle en start-up depuis quelques années, pour comprendre en quoi consiste ses responsabilités.

 

Notre expert

 

Amine Benseddik a un profil équilibré entre du développement et de l’administration de systèmes et réseaux. Naturellement, il prend en charge le rôle de DevOps dans plusieurs structures. Il nous explique :

Au départ, j’ai fait une formation d’administrateur systèmes, mais je n’ai pas pour autant vraiment tranché entre l’infrastructure et le développement. J’ai eu les deux casquettes à différentes reprises, et par conséquent pour moi c’était naturel de faire les deux. Hors, dans ce métier, il faut être à l’aise dans les deux.

Aujourd’hui, DevOps chez Qonto et riche de cette grande diversité de missions et des échanges avec toutes les équipes que ce rôle comprend nécessairement, Amine ne ferait marche arrière pour rien au monde.

 

Qui est le DevOps ?

 

Sa mission secrète, mettre du liant entre les développeurs et les administrateurs systèmes. Les produits sont donc facilement intégrés à au réseau de l’entreprise, là où c’était moins évident il y a quelques années.

Traditionnellement, on avait les équipes de développement, les administrateurs systèmes et au milieu… un vide. Les développeurs travaillaient, mais l’équipe système n’arrivait pas à mettre en production. Et donc certains produits n’arrivaient jamais en prod, car ce qu’on fournissait aux administrateurs ne correspondait pas à ce qui pouvait être pluggé sur leurs installations. Aujourd’hui, le devops vient fluidifier tout ça.

Ce rôle est récent. Amine insiste, au départ c’était un rôle que prenait un élément polyvalent de l’équipe au sein du projet.

Ce n’est pas un métier, c’est plus une méthodologie ou un ensemble de pratiques, aujourd’hui rassemblé au sein d’un métier. C’est partagé entre le développeur et l’administrateur systèmes. Aujourd’hui on tend à prendre des profils qui ont ces deux compétences et on appelle ça le DevOps.

Les besoins sont devenus tels que startups et grands groupes recrutent directement à ce rôle : “On a vu arriver les DevOps en force à partir de 2010. À présent, c’est tellement rentré dans les mœurs que ce rôle devient un métier à part entière. Le DevOps a la mission centrale de créer le pipeline de livraison du début à la fin”.

Très concrètement, Amine propose au quotidien aux développeurs “tous les outils qui leurs permettent d’être autonomes sur le développement, le test et la livraison de leur application en production”.

Ce métier est passionnant pour sa pluridisciplinarité. Pour Amine,

C’est grisant de pouvoir couvrir un scope technique très très large et d’être un point central de la vie de l’équipe technique.

 

Pourquoi les DevOps sont-ils recherchés ?

 

En un mot, car ils créent de l’agilité au sein des équipes développement et IT.

Le DevOps est d’abord intervenu dans les startups.

C’est quasiment intégré dans l’ADN de la startup, car le DevOps amène beaucoup d’agilité : il amène le développement en production sans freiner la vélocité de l’équipe. On le retrouve très en amont du développement de la startup, et c’est souvent un développeur qui prend ce rôle.

Mais aujourd’hui, les entreprises plus établies et notamment les grands groupes voient bien l’intérêt de ce rôle : “savoir intervenir sur une infrastructure, la mettre en place, la superviser, l’exploiter, et travailler avec des développeurs pour contribuer au développement des applications, et donc ouvrir la chaîne du développement jusqu’à la mise en production”.

Le DevOps assure donc un certain rythme de production. “C’est le nerf de la guerre, assure Amine. La question, c’est comment amener le plus rapidement possible les nouvelles fonctionnalités en production, et ce sans interruption. C’est ce qui permet aux startups d’aller très vite, de corriger des bugs très rapidement en production, et cela se répand aussi dans les autres types d’entreprises”. Pas étonnant donc que ces fonctions fleurissent au sein d’entreprises de toutes tailles et de tous secteurs. Plus de 1500 postes sur Indeed en permanence, à Paris mais aussi dans plusieurs grandes villes telles que Lyon, Bordeaux, Toulouse, Lille, Nantes, Rennes, Montepellier ou Grenoble.

 

Se lancer en tant que DevOps, mode d’emploi

 

Acquérir un cocktail de compétences

À rôle polyvalent, cursus polyvalent. Certaines formations existent déjà pour devenir DevOps, même si le plus souvent ces professionnels font encore simplement la synthèse de leurs compétences pour les utiliser dans ce rôle, comme Amine.

Dans le parcours DevOps à équivalent Bac +5 d’OpenClassrooms, il vous sera demandé un équivalent Bac +3 en IT ou en développement avec des bases en IT, ou de justifier d’une expérience en SI et développement.

Développer sa capacité à apprendre

Vous devrez développer une bonne maîtrise du code, mais surtout une curiosité par rapport aux nouvelles technologies et une bonne capacité à apprendre en continu, pour emmagasiner les nouveaux langages utiles.

Il y a tellement de nouvelles technologies et d’outils, qu’il faut expérimenter. C’est comme si j’étais toujours à l’école, j’apprends toujours de nouveaux langages car il faut être aligné avec les équipes de dev, et sur les nouvelles technos en termes d’infrastructure, comme Kubernetes, et plus on en fait, plus ça devient facile et naturel de passer de l’une à l’autre. Ce qu’il faut apprendre c’est à tester, expérimenter, se mettre à niveau pour ne pas être déphasé avec le marché.

Rester passionné

C’est un cursus à faire uniquement quand on est passionné par le développement, l’IT, la gestion de projets et le développement produit. Le métier bouge énormément et le DevOps a deux fois plus de choses à emmagasiner quand elles évoluent, puisqu’il doit rester à la pointe de deux fonctions.

Être DevOps, c’est difficile, il faut avoir les deux compétences et avoir l’envie d’apprendre. Donc, il faut se demander si on veut être le point central qui peut être aussi le point de contention. C’est un métier où l’on a beaucoup de pression, et tout le monde n’est pas fait pour la gérer. Mais si on est sûrs d’être intéressé par les deux et de pouvoir tenir les délais, c’est vraiment là qu’on s’éclate le plus.

 


Envie d’apprendre ce métier ? 

Renseignez-vous sur le parcours DevOps d’OpenClassrooms.

 

L’article DevOps, le rôle entre IT et Développement qui nous vient des États-Unis est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.

Technicien informatique & administrateur réseau vus par un pro

Il y a des jours où l’on arrive au bureau plein de motivation et de bonnes intentions. Et puis, sans aucune explication, notre ordinateur plante, ou l’imprimante de la boîte n’imprime plus, ou le mystérieux dossier sur lequel nous travaillons depuis des semaines ne s’enregistre pas. Vent de panique !

Mais avant que notre crise d’angoisse ne prenne de trop grandes proportions, nous composons le numéro du technicien informatique en charge de notre service : « Je comprends pas, ça marche plus ». Quand tout semble aller mal, les techniciens informatiques d’une entreprise, chapeautés par l’administrateur systèmes et réseaux, sont les sauveurs du quotidien.

 

Le technicien informatique, garant des systèmes et réseaux de l’entreprise….

 

A l’heure où toutes les entreprises fonctionnent au rythme des ordinateurs, téléphones, tablettes et autres appareils électroniques ou numériques, le technicien informatique fait figure de pierre angulaire. Son rôle est d’installer de la façon la plus optimale le système informatique : brancher les bons câbles aux bons endroits, assurer la mise en réseau des appareils informatiques, et assurer le bon fonctionnement de l’ensemble pour les utilisateurs.

Dans un deuxième temps, le technicien est également en charge de l’entretien et de la maintenance du parc informatique. Il doit à la fois intervenir pour des dépannages lorsqu’ils surviennent, et également les anticiper en amont pour éviter qu’ils ralentissent l’activité de l’entreprise ou du service.

Gildas Thomas a été technicien informatique avant de devenir administrateur réseau chez OpenClassrooms. Il explique :

Il n’y a pas de journée type pour un technicien informatique. Chaque jour est conditionné par les demandes des utilisateurs, les problèmes de réseau ou sur le matériel lui-même, des problèmes au niveau de l’impression…. C’est vaste. En général, plus l’entreprise est grande, plus le travail est sectorisé et donc le technicien assigné uniquement à certaines problématiques.

 

Sous la houlette de l’administrateur réseau

 

Le technicien informatique est généralement managé par un administrateur système et réseau. Ce dernier est fort d’une expertise plus poussée dans un ou plusieurs domaines et peut répondre pour des problématiques plus complexes. Il intervient lorsque les techniciens sont à cours de solutions, et c’est également la personne qui se doit de proposer et d’anticiper les changements de système, de réseau, d’outils informatiques pour le bon fonctionnement de l’entreprise. Il doit respecter des contraintes de budget d’une part et de productivité, d’ergonomie d’autre part.

Ses objectifs principaux sont d’automatiser les tâches répétitives et de simplifier l’infrastructure au maximum en choisissant les bons outils technologiques.

L’administrateur réseau est également responsable de la cybersécurité du parc informatique et donc de la protection des données des utilisateurs et de l’entreprise.

C’est finalement celui qui doit savoir prendre du recul dans la gestion d’incidents complexes, et être capable de communiquer avec tout type de profils : utilisateurs, techniciens, fournisseurs et prestataires. Là encore, Gildas témoigne :

Il faut être capable de se transposer à la place des utilisateurs, qui parfois se sentent biaisés ou empêchés de travailler lorsqu’il y a des problèmes ou des changements. Il faut pouvoir tout expliquer de façon diplomate et prendre le temps de désamorcer les situations délicates. Un bon administrateur réseau doit comprendre comment travaillent les techniciens informatiques et prendre cela en compte dans sa gestion de projet, les deux métiers fonctionnent main dans la main.

 

Deux métiers aux exigences multiples

 

        Au-delà des connaissances et compétences en informatique, ces deux métiers requièrent de nombreuses autres qualités. Comme nous le savons, le propre du bug est d’arriver au moment le plus inopportun, au moment où évidemment il y a urgence !

Lorsque l’on fait appel aux techniciens informatiques pour nous venir en aide, ils doivent être capables de bien gérer les situations de stress et s’adapter aux problèmes de l’utilisateur.

C’est un métier qui demande également beaucoup de pédagogie et donc de patience puisque la plupart de temps, les techniciens sont face à des novices en informatiques à qui il faut prendre le temps d’expliquer le nouvel outil en place par exemple. Gildas le souligne :

Il est indispensable d’avoir une bonne résistance au stress, car les problèmes sont tous urgents en général. Dans un deuxième temps, c’est aussi être capable de faire face à la résistance au changement des utilisateurs et les accompagner le mieux possible lorsque l’on implante de nouveaux outils qui chamboulent leurs habitudes. Il faut toujours réussir à expliquer pourquoi nous appliquons des changements et pourquoi ils seront bénéfiques sur le long-terme.

Le technicien informatique, comme l’administrateur réseau, est constamment au contact des autres. Ce sont des métiers de service dans lesquels il faut savoir rester jovial et disponible en toutes circonstances, sans attendre de reconnaissance en retour.

Le plus plaisant dans ce domaine est sans doute de ne jamais avoir à faire la même chose deux fois, il n’y a pas de routine puisque chaque jour apporte son lot d’imprévus et de problèmes plus ou moins importants.

Enfin, ce sont des métiers qui sont en constante évolution et pour lesquels il est indispensable d’être particulièrement curieux. Chaque nouveauté technologique peut faire l’objet d’une nouvelle formation et d’un nouvel apprentissage auxquels il faudra ensuite familiariser l’utilisateur.

 

Vous voulez apprendre l’un de ces deux métiers ? 

 

Renseignez-vous sur notre formation Technicien Informatique à équivalent Bac +2, ou Administrateur Infrastructure et Cloud, à équivalent Bac +3.

 

À propos d’Aglaé : 

Aglaé est auteur-rédacteur. Elle a fondé Word Shaper, une agence créative qui propose des services d’écriture, de consulting et de conception.

 

L’article Technicien informatique & administrateur réseau vus par un pro est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.

Les 10 métiers les plus recherchés dans le numérique

Par : Nora Leon


Quel emploi très recherché vous permettra de vous faire une place rapidement dans le numérique ?

80 000. C’était le nombre d’emplois à pourvoir en informatique rien qu’en 2018.

C’est aussi le nombre minimum de recrutements dans le numérique d’ici à 2020. De quoi se faire une place au soleil.

Concrètement, dans la Tech, on parle de 40 000 chefs de projets, 12 000 développeurs et 9 000 techniciens. Dans d’autres domaines, les recruteurs recherchent aussi une flopée d’experts en data, systèmes et réseaux, marketing et communication…

Ces emplois sont à pourvoir en Île-de-France (56%) et en province (43%), avec des bassins d’emplois notamment en Auvergne-Rhône-Alpes, en Provence-Alpes-Côte d’Azur, dans les Hauts-de-France, dans les Pays de la Loire, en Occitanie  ou encore en Grand-Est et Bretagne.

Voici les métiers très demandés auxquels vous pouvez vous former.

Développeur web

Il crée des sites web et donne vie aux maquettes. Responsable d’assembler les pages en HTML5 et CSS3 à partir de modélisations graphiques, le développeur web intègre les contenus (textes, images, sons, vidéos) dans le code. Il assure la compatibilité avec les différents moteurs de recherche et met en place la communication entre client et serveur, en plus de gérer les bases de données. Bref, un développeur web donne vie aux sites, de leur structure (le back) à leur apparence (le front).

Salaire brut annuel débutant : 29 000 à 34 000 €*
Ce métier peut aussi parfaitement s’exercer en tant qu’indépendant.
Voir la formation développeur web en 6 mois.

Développeur mobile

Il réalise des applications mobiles sur iOS ou sur Android. Analyse des besoins clients, définition des étapes de fonctionnement de l’application, développement, test et validation des fonctionnalités, support client et mise en place d’une documentation technique, correction des bugs… Tout y passe pour réaliser des applications mobiles fonctionnelles, fiables et viables.

Salaire brut annuel : 43 000 à 51 000 €*
Ce métier peut aussi parfaitement s’exercer en tant qu’indépendant.
Voir le parcours OpenClassrooms en 1 an en iOS ou Android

Chef de projet digital

Le chef de projet web est responsable de la réalisation de produits digitaux (sites, boutiques en ligne, applications web et mobiles, logiciels…). En tant que bon chef d’orchestre, il est responsable du planning et du budget et garant de la qualité des rendus. Pour mener à bien les projets, il coordonne les équipes de développeurs, designers et web marketeurs.

Ce profil polyvalent, entre développement, marketing digital et gestion de projet est très recherché, principalement en CDI. Ce métier peut s’exercer en entreprise, en agence ou SSII, en Île-de-France ou en province.

Salaire brut annuel : 30 000 à 39 000 €
Voir le parcours OpenClassrooms en 1 an

Administrateur systèmes, réseaux et cloud

Ce professionnel est un architecte : il conçoit les infrastructures systèmes et réseaux sur un site et/ou en cloud. Il le fait en adaptant son travail aux contraintes du système d’information de son entreprise. Il s’assure de la sécurité, administre les différents comptes utilisateurs et les droits d’accès, et stocke les données de manière sécurisée et viable.

En fonction de la taille de l’entreprise et du secteur, il gère tout le système d’information (3 à 30 000 machines) ou est expert d’une partie spécifique. Étant données les transformations au niveau des technologies du cloud, ce métier est en constante évolution et a de beaux jours devant lui.

Salaire brut annuel débutant : 30 000 à 35 000 €
Voir le parcours OpenClassrooms en 1 an

DevOps

Le DevOps a une double casquette de développeur et d’administrateur systèmes. Cela lui permet de faire le pont entre les équipes pour livrer les applications sans bugs, et les déployer facilement sur leurs infrastructures de destination.

Sans DevOps,  les équipes en développement et systèmes communiquaient peu ; désormais les applications peuvent être livrées et testées en continu.

Ce rôle, qui rend les activités des développeurs et administrateurs systèmes compatibles et optimisées, est de plus en plus central au sein des équipes techniques. Le métier n’existe que depuis 2009. Donc, les outils et pratiques sont encore à construire, ce qui explique l’ampleur que ce  profil devrait prendre dans les prochaines années, en entreprise comme en agence.

Salaire brut annuel débutant : 30 000 à 45 000 €
Voici quelques cours qui vous permettront d’acquérir les bonnes compétences : 

Expert en cybersécurité

L’expert en sécurité des SI protège les terminaux (PC, mobiles, objets connectés) et les systèmes d’information (serveurs, réseaux) des cyberattaques. Il doit également réaliser un audit des risques pour les diminuer et établir un protocole de gestion des menaces pour y répondre de manière optimale et réactive.

Le secteur de la cybersécurité est en train d’exploser : d’après une étude du cabinet Gartner, 90 milliards de dollars y ont été consacrés en 2017, et 81% des entreprises déclarent déjà avoir eu un problème de sécurité de l’information.

Tous secteurs confondus, la cybersécurité représente 9% des recrutements, selon le baromètre IMT des métiers du numérique. Parmi les secteurs les plus en demande, l’audit et le conseil (13%), les opérateurs télécoms (12%) et les éditeurs de logiciels (10%). Le besoin est croissant aussi dans le secteur des banques et assurances.

Salaire brut annuel débutant : 40 000 à 75 000 €
Voir le parcours OpenClassrooms en un an

Experts en Data science

Trois profils sont très recherchés :

– Le data analyst, qui prépare et nettoie des données et les analyse pour en tirer des conclusions ;

– Le data scientist, qui à partir de grandes quantités de données, établit des tendances et réalise des prédictions grâce aux statistiques ;

– Le data architect, qui crée l’architecture des serveurs permettant de traiter des données.

Ces métiers représenteraient 8% des demandes de professionnels tous secteurs confondus et atteindraient même 11% dans l’audit, le conseil et les industries télécoms électroniques, selon le baromètre IMT des métiers du numérique.

Salaire brut annuel débutant :
Data analyst : 29 000 à 38 000 €*
Data scientist  : 35 000 à 45 000 €*
Data architect : 40 000 à 50 000 €*
Voir les parcours OpenClassrooms :
Data analyst
Data scientist
Data architect

Community, Social Media Manager

Les marques prennent constamment la parole sur la toile et les réseaux sociaux. Dans ce contexte,  le community manager gère leur présence et anime leurs communautés.

Les missions du Social Media Manager sont hétéroclites. Il établit la stratégie social media, anime les communautés avec du contenu créatif, viral et reconnaissable, développe et monétise ses audiences, analyse les retombées et la réputation en ligne de l’organisation ou encore gère des communautés internes à l’entreprise.

Ces profils sont très recherchés en CDI ou en freelance.

Salaire brut annuel débutant : 26 000 à 40 000 €*
En freelance : 250 à 400 € par jour en fonction de l’expérience.
Voir le parcours OpenClassrooms en un an 

Digital brand Content Manager

Au croisement entre le métier de stratège de marque, Content Manager et Social Media Manager, ce profil hybride est garant des contenus de communication.

Pour populariser la marque, informer et convaincre les clients et créer de l’engagement, ce couteau suisse en marketing imagine, crée et diffuse ses contenus (articles de blog ou de presse vidéos, podcasts et posts sur les réseaux sociaux).

Ce profil stratégique est recherché à la fois en agence et en entreprise.

Salaire brut annuel : 30 000 à 60 000 € en fonction du profil**
Voir le parcours OpenClassrooms en un an

UX designer

L’UX designer (UX = User Experience) a pour mission d’optimiser l’expérience utilisateur, notamment sur un site ou une application. Il doit penser le parcours de l’utilisateur pour que celui-ci trouve facilement ce qu’il cherche et apprécie sa visite. L’UX designer doit donc interviewer les utilisateurs pour comprendre leurs besoins et leur logique, afin de proposer une ergonomie efficace. Il prend en compte les fonctionnalités, l’intuition, l’accessibilité et les objectifs de l’entreprise. Un casse-tête… passionnant !

Très recherché en agence comme en entreprise, l’UX designer peut également travailler en tant qu’indépendant. 

Salaire brut annuel débutant : 30 000 à 40 000 €
Voir le parcours OpenClassrooms en un an

Sources :

Études

* Selon l’étude sur les rémunérations du cabinet Robert Half 
** Selon l’étude du Blog du Modérateur en 2017
Baromètre IMP des métiers du numérique 2018
Expectra – Baromètre des salaires cadres 2018
Adzuna – Étude sur les métiers du numérique par région

Articles
80 000 emplois à pourvoir dans le numérique, par le laboratoire du numérique

À lire ensuite :

Devenir UX designer, est-ce une bonne idée ?
Découvrez l’UX design, le pendant numérique du métier d’architecte
À quoi ressemble le métier d’UX designer en start-up ?
La data science pour tous chez OpenClassrooms 
3 métiers porteurs du marketing et de la communication
Le mot de la pro : le community management selon Amandine Gleyzes
Le mot de la pro : le marketing opérationnel selon Amandine Richardot
Pourquoi changer de métier ?
Quel est le bon moment pour changer de métier ?
Quels sont les métiers les plus recherchés dans le numérique ?
OpenClassrooms, un modèle pédagogique par la pratique 

L’article Les 10 métiers les plus recherchés dans le numérique est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.

❌