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À partir d’avant-hierOpenClassrooms : le blog

« En alternance, je suis responsabilisée », Victoire, communicante

Par : Nora Leon

Victoire se forme en alternance sur le parcours expert en stratégies marketing chez OpenClassrooms. Portrait.

Que faisais-tu avant OpenClassrooms ?

Après le Bac, j’ai fait une licence en sciences du langage & sciences sociales. C’était à Descartes mais cela ne me convenait pas vraiment,  j’étais entourée dans la promo par des gens qui voulaient devenir professeurs, pas forcément ma vocation même si c’est un beau métier.

J’ai eu ma licence, et je suis rentrée en école de communication.
Dans ma classe, plein de gens n’ont pas trouvé d’alternance et ont dû enchaîner deux stages. On ne te prend pas forcément, car même pour être alternant ou stagiaire on te demande de l’expérience. 

Comment as-tu choisi OpenClassrooms ?

J’en avais déjà pas mal entendu parler. En pleine période Covid, j’ai fait l’entretien chez OpenClassrooms, j’ai trouvé que le poste de cheffe de projet digital était intéressant, j’aime bien faire ça. J’ai été prise et ça s’est enchaîné.

Le descriptif du poste me plaisait, il y avait des missions que je ne connaissais pas encore, et des missions d’engagement d’étudiants. Je suis curieuse, j’aime bien découvrir des nouveaux milieux pour voir ce que j’aime ou pas. Venant du luxe, l’éducation, c’était le grand écart.

Ce que je retrouve entre OpenClassrooms et mon ancienne expérience, c’est le côté porté par leur histoire, et ça m’a séduite dès les entretiens, le fait qu’on ait une histoire à raconter. C’est cool de se dire que le Site du Zéro a fait ce chemin en  20 ans, ou qu’une petite petite dame a un jour ouvert une petite boutique qui a laissé place à une marque emblématique française une centaine d’année plus tard.  il y a plus de 100 ans. J’adore ce côté historique, il donne envie de parler de son travail !

Chez OpenClassrooms, je suis encore plus indépendante que dans mes précédentes expériences. J’avais déjà pas mal de responsabilités, mais là, je me sens plus en « CDI ». Je ne sais pas si c’est le fait que je sois en 2ème année de master, ou si j’ai accumulé assez de compétences, mais je suis garante de A à Z d’un projet. On m’a fait complètement confiance dès le départ, j’ai trouvé cela gratifiant. 

Qu’est-ce que tu aimes dans ta formation ?

Je suis en formation experte marketing. On a beaucoup de créa au final, en parallèle de la stratégie. En agence, il y a des personnes pour gérer cela. Mais là on doit penser au projet de manière 360°. Cela me met vraiment dans la peau de plusieurs personnes d’un projet de communication, et c’est très professionnalisant.

Et le mentorat ?


Ça se passe super bien avec mon mentor. Il est très sympa. Il a une expérience de fou. Il a réponse à toutes mes questions, il sait me rassurer. Il me met la pression comme il faut, sans que je me sente mal, sans m’engueuler. Il est compréhensif et il m’encourage. C’est vraiment un soutien. Après ma formation, il gardera cette place de mentor. Il m’accompagne dans la fin de mes études. 

Que préfères-tu chez OpenClassrooms ?

La force des formations OpenClassrooms, c’est l’autonomie. Cela pourrait aussi être un défaut pour certaines personnes qui aiment être plus accompagnées. Mais moi à qui ce format convient très bien, je vois cela comme quelque chose qui te prépare vraiment au monde du travail ! Tu es seule devant ton projet, OK, tu as ton mentor pour t’aider, mais tu le fais quand même toi. Il faut savoir se documenter, aussi bien en interne qu’en externe dans la vie professionnelle, et les parcours préparent énormément à cela ! 

Et dans le marketing et la communication ?

Ce qui m’intéresse dans le marketing et la comm, c’est qu’on doit convaincre. Pour le faire, il faut se mettre à leur place. On a des étapes d’introspection, il faut être empathique… Et dans la gestion de projet, c’est la polyvalence. Tu te retrouves à faire une tâche digitale, puis un message de comm, envoyer une campagne mailing, animer des réseaux sociaux. C’est d’avoir tellement de tâches différentes dans un même métier que je trouve intéressant.

Comment organises-tu ton rythme en alternance ?

Pour l’alternance, j’essaie de bosser régulièrement, un peu tous les jours mais je ne peux pas forcément le faire. Je consacre en tout cas toutes mes journées de formation au parcours OpenClassrooms, et quand j’ai du temps libre je ne l’utilise pas que pour voir mes copines. Je prépare bien ma session de mentorat, car je n’ai pas envie que mon mentor perdre son temps.

Le conseil pour ceux qui galèrent à trouver son alternance ?

Pour trouver son alternance, il ne faut pas se décourager. C’est un peu bête, mais si on ne te prend pas, ce n’est pas forcément de ta faute. Il y a tellement de personnes, de profils sur le marché du travail… Parfois, j’arrivais au dernier stade du recrutement, et ça se jouait à rien du tout. J’ai fait  tellement d’entretiens , et tel produit ou parce que je ne connaissais pas tel logiciel. Cela veut pas dire que je n’étais pas le bon profil, que je n’avais pas les compétences…  Je pense qu’à ce stade, plein de gens se démotivent. Mais il faut tenir le coup et garder espoir !

Quelle est la suite pour toi ? 

À court terme, j’aimerais terminer ma formation, et continuer chez OpenClassrooms. Cette boîte m’apporte énormément et pourrait m’apporter encore plus. à moyen terme, j’aimerais me lancer dans l’événementiel, des événements à thèmes, avec des artistes. J’aimerais le faire en Afrique de l’ouest, Côte d’Ivoire, Sénégal, Mali, Cameroun… Je pense qu’il y a une grosse communauté d’artistes qui vaut le coup. Et quelque chose à jouer dans tout ce qui est diaspora… Moi en tant qu’Ivoirienne en France, je connais peu la Côte d’Ivoire. Ce serait beau de créer des événements récurrents pour découvrir les différents pays. En France, cela pourrait être une réunion de plein d’artistes qui viennent… Un festival culturel ou quelque chose comme ça !

 

Podcast Joboscope épisode #16 : Expert en stratégie marketing

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« L’envie d’apprendre fait bonne impression ! », Laurence, coach

Par : Nora Leon

C’est après 30 ans en tant que cheffe des ventes à l’international que Laurence se reconvertit en tant que coach en insertion professionnelle, notamment chez OpenClassrooms. Elle accompagne aujourd’hui des dizaines d’étudiants pour trouver leur alternance ou leur emploi. Portrait.

Laurence, voulez-vous vous présenter ?

Oui ! J’ai occupé pendant 30 ans des postes de direction des ventes à l’international, notamment dans la fibre optique chez Acome et l’éclairage public chez Philips Lighting. De retour d’expatriation,  je me suis reconvertie dans le coaching professionnel.

J’accompagne aujourd’hui une clientèle multiculturelle : étudiants, actifs, personnes réfugiées, cadres et managers, sur des questions d’orientation, de mobilité professionnelle et de recherche d’emploi. Depuis 2019, je suis coach professionnelle certifiée et membre ICF. Je lutte contre le décrochage scolaire au sein de l’association C’Possible, je forme à l’entrepreneuriat et au leadership chez Social Builder.

Enfin, j’accompagne des personnes en reconversion professionnelle vers l’emploi et des métiers en tension, chez Generation France et OpenClassrooms. Au sein de cette dernière,  je suis spécialisée dans le coaching en recherche d’alternance.

« J’ai déjà accompagné plus de 200 étudiants dans la recherche de leur emploi ou de leur alternance sur OpenClassrooms. C’est une fierté. » 

Concrètement, comment accompagnez-vous les étudiants en recherche d’alternance ou d’emploi en tant que coach ? 

Je vois mes bénéficiaires par visioconférence une fois par semaine environ, activement pendant deux mois, puis prends des nouvelles sur leur intégration.
On travaille à la fois sur leurs outils (CV, lettre), leur posture en entretien et leur argumentaire personnalisé, mais aussi sur leur projet professionnel global.

C’est très agréable de pouvoir les épauler pour savoir exactement ce qu’ils veulent faire de leur carrière. Et ce coup de pousse les aide aussi, concrètement, à mieux avancer dans leur recherche et à signer un contrat rapidement !

« Mon expérience en tant que directrice commerciale m’aide au quotidien à décrypter les profils que j’accompagne, par l’écoute et la bienveillance, afin de faire ressortir leurs atouts ».

Qu’est-ce qui vous tient à cœur dans le rôle de coach ? 

J’adore justement confirmer leur projet vis à vis du parcours choisi chez OpenClassrooms. Tout cela va de pair avec une relation de de confiance : c’est important de  rassurer la personne sur sa capacité à trouver un emploi, ses qualités techniques et surtout humaines.

En recherche d’emploi, le mental est très important. Je dois donc aussi conforter leur confiance en eux même.  

Un conseil à transmettre aux personnes en recherche d’emploi ? 

Un des arguments qui tue pour décrocher un emploi, c’est montrer sa motivation, son envie de continuer à apprendre au sein de l’entreprise ciblée. On ne peut pas tout savoir, mais un peu d’humilité et une bonne dose d’ouverture d’esprit et de motivation décupleront vos chances de faire bonne impression !

 

Envie de rejoindre OpenClassrooms en alternance ? Postulez à l’alternance pour recevoir l’accompagnement d’un coach comme Laurence.

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William, de gendarme à chef de projet en alternance

Après une première carrière en tant que gendarme, William a dû, à la suite d’une blessure, se reconvertir. Aujourd’hui en alternance sur la formation en ligne Chef de projet digital d’OpenClassrooms, il explore un nouveau tremplin vers l’emploi. Portrait.

Bonjour William ! Comment avez-vous découvert OpenClassrooms ? 

Un de mes amis m’a parlé des cours. J’envisageais à ce moment-là de passer un diplôme pour certifier mon expérience de commercial. 

J’ai vite découvert tous les nouveaux parcours disponibles sur OpenClassrooms, au-delà de ceux dédiés au métier de développeur. J’ai été séduit. C’est en ligne, simple d’accès et gratuit.

J’ai voulu tenter l’expérience et suite à cela, j’ai décroché mon alternance. Je me suis présenté sur LinkedIn en mettant en valeur mes compétences commerciales et le fait que j’étais attiré par le digital.

J’ai été contacté par une entreprise, qui m’a proposé un contrat en alternance. Ça a été le coup de chance de mon année ! 

Vous diriez que ce poste en alternance est arrivé par hasard ? 

Un peu, oui. Je cherchais une alternance pour obtenir une expérience terrain. J’étais suivie par une super coach en insertion professionnelle. Elle m’a beaucoup aidé dans cette recherche. 

Pourriez-vous me parler un peu du coaching dont vous avez bénéficié pour trouver ? 

Ma coach Amélie a su se rendre disponible, en visioconférence ou par message. Elle a été d’une grande aide pour déterminer quelles étaient mes réelles attentes. 

Nous avons aussi travaillé ensemble mon CV et mon profil LinkedIn.

Nous avions un fichier de suivi partagé sur lequel je devais renseigner quotidiennement les recherches faites, les candidatures envoyées, les relances effectuées, etc. Cela m’a beaucoup aidé à m’organiser dans mes recherches et à ne pas m’éparpiller.

Grâce à elle, très rapidement, j’ai trouvé quelques pistes. Puis, l’opportunité OpenClassrooms s’est présentée, et à mes yeux, c’était une occasion à ne pas manquer !

Et quel est votre rythme ? 

J’ai une journée par semaine de formation, le reste en entreprise.

En ce qui concerne les horaires, c’est assez flexible. Je m’organise comme je veux tant que je réalise les tâches qui me sont demandées.

Quelles sont vos missions chez OpenClassrooms où vous effectuez votre alternance ?

Au sein d’OpenClassrooms, je suis responsable des étudiants qui quittent la formation pour éventuellement les intégrer en tant que coach ou mentor. 

J’utilise également ce que j’apprends en formation pour me faire la main sur le digital. Je participe à l’amélioration de la plateforme ou de l’expérience utilisateur par exemple. Côté étudiant, ces projets sont auto-financés. 

Où en êtes-vous dans votre formation ? 

Au projet quatre, de mon parcours Chef de projet digital. Je peux suivre ma progression grâce au score communiqué. Pour l’instant, tout va bien. Je suis assez perfectionniste en fait, je passe énormément de temps sur les projets. 

Ce parcours m’apprend aussi à respecter les dates de rendu, tout en conservant cette volonté de bien faire. 

Pourriez-vous me parler un peu du mentorat ? 

Mon mentor est très professionnel et investi. Il est très disponible, il répond rapidement sur Workplace et par e-mail. 

J’ai de la chance d’être accompagné par quelqu’un qui se sent réellement concerné par son travail.

Il est d’ailleurs engagé dans une communauté de mentors, qui aide justement à améliorer l’expérience du mentorat. 

Et vous ne diriez pas qu’en étant alternant chez OpenClassrooms, en formation également, vous avez aussi ce rôle d’améliorer cette expérience du mentorat ? 

Oui, tout à fait. Je suis des deux côtés de la barrière, c’est assez intéressant. Cela m’arrive de faire des suggestions d’amélioration. Je sers mon propre travail, tout en étant étudiant. 

Vous avez un exemple en tête d’un point d’amélioration que vous avez pu soumettre ? 

Oui, par exemple sur la manière d’appréhender les cours pour les étudiants qui débutent leur formation. 

Le module en ligne est totalement nouveau pour beaucoup de personnes, et je vois bien, quand je suis en entreprise, qu’une majorité d’étudiants n’a pas forcément d’expérience. Ils sont novices sur le modèle en ligne. Ils ne savent donc pas comment s’organiser et surtout, ce n’est pas évident d’être seul devant son ordinateur. Il est crucial que les mentors soient bien formés, pour à leur tour préparer les étudiants à ces nouveautés. 

Est-ce que vous avez l’impression que les projets que vous réalisez vous servent au quotidien, dans votre travail notamment ? 

Oui, par exemple, j’ai besoin de beaucoup d’outils de gestion de projet. 

Je dois aussi savoir argumenter tout ce que je présente avec des données chiffrées pour ensuite apporter des recommandations concrètes.

Côté design également, j’utilise des outils qui peuvent être intéressants pour concevoir des e-mails ou les pages d’un site.

Vous avez une expérience dont vous êtes particulièrement fier dans votre parcours ? 

Je pense à certains étudiants qui sont dans des situations particulièrement précaires. Par exemple, ceux qui viennent de pays plongés dans des guerres civiles ou d’autres qui font face à des situations familiales compliquées, avec la perte de proches. 

D’autres étudiants peuvent aussi être contraints d’abandonner leurs formations, faute de financement. 

Pour tous ces cas-là, on trouve des solutions de financement, ou bien, on travaille avec eux pour mettre en pause leur parcours le temps de dégager des économies, ou simplement pour qu’ils puissent passer du temps précieux avec leurs proches.

Quelle est la suite pour vous, William ? 

Après l’alternance, je ne souhaite pas forcément quitter OpenClassrooms. J’aimerais tenter l’expérience comme salarié cette fois, pour utiliser ce que j’ai appris et monter en compétences. 

OpenClassrooms, c’est aussi la possibilité de valider d’autres diplômes. J’aimerais donc acquérir d’autres connaissances, après le diplôme de Chef de projet digital. Peut-être basculer sur le parcours de Product Manager. J’aimerais passer du côté Produit pour m’occuper de problématiques marketing et avoir une vision plus stratégique de la marque. 

Vous voulez aussi devenir Chef de projet digital ou Product Manager ? Étudiez à votre rythme et bénéficiez d’un accompagnement personnalisé grâce au parcours CEP d’OpenClassrooms. Ce parcours est finançable par Pôle emploi. 

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« J’ai rebondi grâce à Passeport Numérique » : l’histoire d’Angélique

Par : Nora Leon

Suite à la formation en ligne Passeport Numérique, Angélique Pointout a pu valoriser ses compétences pour décrocher un emploi qui lui ressemble. Cette ancienne Manager d’une équipe de 30 personnes au McDo, qui voulait rééquilibrer ses vies professionnelle et personnelle, a trouvé un poste en or dans un restaurant à Chaumont. Portrait. 

Vous avez 20 ans d’expérience derrière vous et occupiez un poste de manager chez McDo. Pourquoi vouliez-vous vous reconvertir ? 

En 20 ans, j’avais gravi un à un les échelons chez McDo. J’étais entrée équipière et je suis ressortie Manager de 30 personnes et assistante de direction. À la fin, je gérais le restaurant de A à Z soit le matin, soit le soir. Je manageais 15 à 30 personnes et m’occupais de la comptabilité, des caisses, des inventaires. McDo est une bonne enseigne où on peut évoluer si on fait ses preuves. J’ai aussi pu me former, notamment à un BTS en management, en parallèle de mon travail, et je ne regrette pas du tout cette expérience qui m’a beaucoup apporté.

Mais côté horaires, à la longue, c’est dur. À 46 ans, je voulais enfin avoir un bon équilibre vie personnelle-vie professionnelle. 

Vous avez postulé directement au sein d’une boulangerie. Qu’est-ce qui n’a pas marché ? 

En 2020, à Chaumont, nous avons une nouvelle boulangerie. J’ai quitté McDo pour y devenir responsable adjointe. Sur le papier, c’était parfait… Mais parfois, les relations entre collègues sont difficiles. En l’occurrence, je ne me suis pas entendue avec ma responsable, et ma période d’essai a pris fin au bout de 5 mois. C’était une bonne chose, car j’avais la boule au ventre pour aller au travail. Même mon mari s’inquiétait ! À ce moment-là, j’ai regretté d’avoir quitté McDonald’s, où j’avais des horaires contraignants mais où l’ambiance était tout de même bonne. 

Dans la foulée, votre conseillère Pôle emploi vous a aidée sur votre projet ? 

Chez Pôle emploi, on a en effet discuté de mon projet. Ma conseillère m’a proposé de me former au secrétariat, pour devenir assistante de direction. Elle m’a conseillé la formation en ligne Passeport Numérique d’OpenClassrooms. Le but, c’était vraiment d’apprendre les bases de l’utilisation d’un ordinateur et de ses outils : Word, Excel, les emails… Car j’étais totalement débutante.

Qu’avez-vous pensé de Passeport Numérique ? 

Honnêtement ? (rires). C’était pas du gâteau au début ! Il faut dire que je partais de zéro. Je ne savais pas écrire un mail, pas faire mon CV, pas utiliser Word et tous les autres logiciels. Mais, je n’ai rien lâché, et avec mon mentor (qui était génial) et Aurore, ma conseillère OpenClassrooms, qui m’ont aidée de bout en bout, j’ai réussi. 

Au début, j’avais très peur de la formation à distance. Pour tout vous dire, j’ai failli ne pas la faire. Mais on n’est pas tout seul, et cet accompagnement change tout.

Au niveau technique, pour ceux qui comme moi sont débutants, ça apporte énormément. J’ai appris à me servir de Word, PowerPoint, des choses que j’apporte aujourd’hui dans mon travail, qui me sont utiles. Je suis à présent à l’aise sur un ordinateur, j’en fais un atout au quotidien !

Et vous savez quoi ? Ma patronne actuelle n’avait pas de connaissances sur ces logiciels non plus, et je lui ai retransmis ce que j’avais appris au sein de passeport numérique. Ça, ça me rend très fière.

Finalement, c’est au niveau de votre assurance et de votre orientation que tout s’est joué ?

Oui, justement ! Lorsque je suis arrivée dans cette formation, je n’avais pas du tout confiance en moi. Mais mon mentor m’a poussée, m’a dit que je faisais du superbe boulot. Il m’a accompagnée aussi pour préparer mes soutenances. Comme je suis assez réservée, la première, c’était du sport ! Mais au fil des projets, j’ai réellement gagné en assurance. Aujourd’hui, j’utilise PowerPoint pour nos réunions, je présente devant toute l’équipe. Je n’aurais pas été  aussi à l’aise avant la formation.

Enfin, le coaching pour trouver un emploi m’a vraiment donné le coup de pouce qu’il me fallait. Avec mon coach, on a défini mes compétences transposables. Je me suis rendue compte que tout de même, gérer 30 personnes, la comptabilité, les stocks… Ce n’était pas rien. Ça fait tout drôle de se dire qu’on peut y arriver. Tout cela et mes nouvelles compétences sur un ordinateur, je pouvais le mettre en valeur pour postuler ailleurs. 

Et alors ? Où travaillez-vous aujourd’hui et comment avez-vous décroché ce poste ?

C’est vraiment grâce au coaching d’OpenClassrooms que j’ai rebondi dans mon emploi actuel. D’abord, je m’étais inscrite à Passeport Numérique pour devenir secrétaire. Mais au fil de la formation, je me suis rendue compte que ce n’était pas fait pour moi. Pas question d’être derrière un bureau ! J’ai décidé de revenir à mes premières amours, la restauration. 

Avec mon coach emploi, nous avons super bien préparé mes entretiens. J’étais très à l’aise et ça s’est passé comme sur des roulettes. 

J’ai décroché un poste de responsable dans un restaurant à Chaumont. Je travaille en binôme avec la patronne, qui a des enfants en bas-âge. Elle travaille le midi et moi le soir. Je m’occupe du comptoir, du service client, des plannings, et surtout d’encadrer et de motiver les équipes. Je gère aussi la comptabilité, la caisse du soir, les inventaires, bref, tout ce que je faisais déjà au McDo.

Quand j’ai signé ce job, ma motivation pour finir ma formation a baissé. Mais mon mentor m’a assuré que ça allait être utile et qu’il ne fallait rien lâcher. Ma patronne a attendu que je termine, et effectivement, je me sers de toutes mes nouvelles compétences au restaurant. Word, PowerPoint, mon aisance sur l’ordinateur… Nous ont permis de moderniser la manière dont on travaille !

Le mot de la fin ?

Sans cette formation, je n’aurais pas décroché ce travail qui me plaît et me correspond. Même sur le plan personnel, elle m’a permis d’évoluer et de gagner en assurance. C’est que du bon : je recommande !

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Vous voulez aussi devenir plus à l’aise dans l’usage des outils numériques ?
Rejoignez la communauté d’apprenants sur Passeport numérique !

Ce parcours est également finançable par Pôle emploi.

Ludivine, en route vers la comptabilité avec Passeport Numérique

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« À présent, je suis ingénieur et enseignant ! », Gaëtan, mentor

Gaëtan de Smet est mentor pour les formations développeur web, et développeur d’application front-end et développeur PHP/Symfony au sein de l’école en ligne OpenClassrooms. Nous sommes allés à sa rencontre pour en savoir plus sur ses motivations et son approche de cet accompagnement sur mesure.

Comment et pourquoi es-tu devenu mentor pour OpenClassrooms ?

Au cours de mon parcours, j’ai toujours hésité entre devenir ingénieur en informatique et l’enseignement.

Le fait d’être mentor en parallèle de mon métier d’ingénieur me permet donc de combiner les deux finalement.

Je connaissais OpenClassrooms depuis le Site du Zéro, qui était une référence pour apprendre le développement. Comme j’ai vécu à l’étranger pendant un moment, le mentorat était aussi un moyen pour moi de travailler à distance. 

En quoi cela consiste et qu’est-ce que cela t’apporte ?

Ma mission principale est le partage de mon expérience et de mes connaissances. Je réponds aux questions des étudiants et je fais aussi souvent de la revue de code, en expliquant pourquoi j’aurais plutôt fait comme ceci ou comme cela. Je fais le pont entre le cours et ce qui se passe réellement de manière pragmatique en entreprise. Ce sont surtout les technologies qui ont tendance à évoluer très rapidement et il faut en tenir compte. 

À l’inverse, je pense qu’un ingénieur doit être capable de partager son savoir au quotidien, donc ce rôle de mentor m’a permis d’acquérir cette compétence-là.

Aussi, dans le domaine de l’informatique, toutes les missions ne sont pas toujours gratifiantes alors qu’en tant que mentor, ce que je fais pour les autres est très satisfaisant. On trouve immédiatement du sens lorsque l’on aide quelqu’un à progresser.

Quelle est ton activité professionnelle en dehors du mentorat ?

J’ai plusieurs activités, je suis un slasheur.

Néanmoins, j’évolue principalement en tant que freelance en développement d’application web en Vue.js / Node.

En parallèle, j’ai aussi créé deux chaînes Youtube dans le domaine du roller et du JavaScript.

L’informatique reste le liant de toutes ces activités, mais je prends plaisir à l’exploiter de manière la plus vaste possible, en accumulant des compétences diverses.

Qu’est-ce qui te plaît dans ces activités ?

Sans doute la variété et la liberté qu’elles m’apportent.

Je pense que la force de l’informatique aujourd’hui est la facilité à trouver du travail car il y a de la demande et la flexibilité puisqu’on peut aussi bien exercer en entreprise qu’en télétravail. Mon site e-commerce je l’ai démarré alors que je vivais en Thaïlande et avant cela, j’étais en Australie comme freelance par exemple. 

Y a-t-il des sujets sur lesquels toi aussi tu aimerais te former ?

Je suis quelqu’un qui se forme perpétuellement, j’ai toujours un livre à la main !

L’année dernière, j’ai appris le marketing digital. Cette année, je me forme à la finance pour comprendre les marchés financiers et la finance personnelle.

Comme les technologies évoluent rapidement dans le Web, il y a des milliers de choses à apprendre. Je suis spécialiste en JavaScript et les trois dernières années, ce langage a extrêmement changé donc en ce moment je renforce mon expertise Vue.js / node / TypeScript…

Y a-t-il un ouvrage dont tu recommandes la lecture parce qu’il t’a inspiré personnellement ou professionnellement ?

Delivering Happiness de Tony Hsieh, qui est le fondateur de Zappos, une entreprise américaine qui a été rachetée par Amazon. La force de cette boîte est d’avoir mis le service client au centre de l’entreprise. C’est-à-dire que les clients appelaient pour expliquer leurs problèmes et l’entreprise se débrouillait pour trouver une solution immédiatement. C’est simple, si le client est content, il reviendra et je mets ce principe au cœur de mes activités.

C’est aussi une philosophie de vie, car en aidant les autres, même gratuitement, on a toujours un retour à un moment.

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Portrait de Claire-Émilie, mentor en marketing

Claire-Émilie Lecocq est mentor au sein de la formation responsable marketing au sein de l’école en ligne OpenClassrooms. Nous sommes allés à sa rencontre pour en savoir plus sur ses motivations et son approche de cet accompagnement sur-mesure.

Comment et pourquoi es-tu devenue mentor pour OpenClassrooms ?

Je m’intéressais à toutes les problématiques de l’éducation et c’est grâce à des portes ouvertes OpenClassrooms que j’ai découvert ce principe de parcours diplômant et de mentorat. J’y ai vu une occasion de diversifier mes missions car la plupart du temps je travaille pour des start-up au niveau stratégique et opérationnel. 

En quoi cela consiste et qu’est-ce que cela t’apporte ?

Le mentor guide et oriente les élèves. Le but est de leur donner une idée de la réalité du marketing au-delà de la théorie des cours.

Avoir ce rôle-là me permet de prendre du recul sur ce que je fais, de remettre en perspective certaines notions avec lesquelles je suis familière ou au contraire moins à l’aise.

Cela m’oblige à mieux comprendre et mieux formuler ce que je fais de façon instinctive au quotidien. C’est aussi très valorisant de voir un élève progresser, acquérir des réflexes, monter en compétences. 

Quelle est ton activité professionnelle en dehors du mentorat ?

Je fais du marketing et de la rédaction de contenus pour des start-up. Je suis installée en freelance depuis presque trois ans.

Qu’est-ce qui te plaît dans ce métier ?

J’aime la diversité des missions, la liberté que j’ai en terme d’organisation, dans le choix de mes missions et de mes clients.

Y a-t-il des sujets sur lesquels toi aussi tu aimerais te former ?

Pas forcément, mais je réfléchis constamment à la façon dont je peux faire évoluer mon activité.

J’envisage de travailler éventuellement avec plus de personnes, ou d’organiser des missions en physique chez les clients pour être un peu moins derrière mon ordinateur.

Le côté formation me plaît bien aussi pour le partage d’expérience mais je ne me vois pas devenir prof en tant que tel. C’est en cours de réflexion.

Y a-t-il un ouvrage dont tu recommandes la lecture parce qu’il t’a inspiré personnellement ou professionnellement ?

Récemment, la lecture du livre Le pouvoir du moment présent d’Eckhart Tolle m’a donné une meilleure compréhension des mécanismes qui sont en jeu dans nos vies. Cela aide à prendre du recul sur nos ressentis, la manière dont on appréhende les choses.

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La trajectoire de Nicolas, devenu Data Analyst sans le Bac

Par : Nora Leon


“Même si on n’a pas eu son Bac, même si on n’a pas fait d’études, on peut très bien s’épanouir dans une carrière.

 

 

Ce n’est pas parce que le format classique ne nous convient pas qu’on est forcément hermétique à l’envie d’apprendre, qu’on n’est pas curieux. Sachant qu’apprendre à apprendre, c’est la clé”.

Nicolas a 30 ans. Il est marseillais. Il est indépendant en Data Analysis, et a de grands projets pour sa carrière, notamment à San Francisco. Aujourd’hui, il est dans les meilleures conditions pour apprendre, évoluer, s’épanouir professionnellement.

Pourtant, il n’a pas fait d’études et ne croyait pas pouvoir en arriver là il y a 10 ans. Une histoire qui nous prouve qu’avec de la niaque, tout est possible.  

Découvrez aussi son histoire en vidéo, à la toute fin de cet article. 



Un diplôme en… Bidouille

 

Au collège, Nicolas n’aime pas les études. Il ne passe jamais le Bac.

J’ai eu une scolarité un peu chaotique. J’étais en échec, j’ai redoublé ma troisième, redoublé ma seconde et arrêté ensuite. Je cherchais à tout prix à bosser”.

Très tôt, il touche un peu à l’informatique. “Je n’ai pas vraiment choisi de bosser dans le web. À l’âge de 12, 13 ans, j’ai découvert Internet et convaincu ma mère de prendre une connexion. J’ai codé très tôt. Ensuite, j’ai eu une première mission dans le numérique. À l’époque, j’avais un boulot en tant que commercial. L’un des membres de l’équipe, qui savait que je voulais arrêter ce métier, m’a fait confiance pour réaliser son site web et ses cartes de visite. Ça a été mon premier pied dans le design et le code”.

À partir de là, Nicolas apprend sur le tas, sur OpenClassrooms, anciennement le Site du Zéro : “je connaissais le SdZ depuis le début. Je me formais sur des cours et j’ai énormément appris dessus”.

Puis, il apprend en faisant. Il fait un DAEU à la Fac en un an, réalise ses propres sites, se forme au SEO, publie de la pub sur Internet. Du bidouillage, il passe à des jobs en agences, où il monte en compétences. Autodidacte en data analyse, il travaille en ce moment pour un client qui lui paie sa formation OpenClassrooms en Data Analysis, pour qu’il monte en compétences rapidement.

 

La soif d’apprendre

 

“Je ne suis pas un privilégié. Je n’ai pas le bac, je n’ai pas fait d’études… Je pars vraiment de tout en bas.

En revanche, cela fait 10 ans que je travaille dans le web. J’ai été en agence à Marseille, à Paris, j’ai monté une boîte qui n’a pas marché, etc. J’ai vraiment fait plein de trucs pour en arriver où j’en suis”.

En 10 ans, Nicolas s’est construit un réseau et a assemblé des connaissances et compétences utiles sur le marché du travail. Chez OpenClassrooms, il assoit ses bases solides en data analyse, et il se prépare pour la formation Data Scientist, qui l’aidera à monter en technicité.

“Aujourd’hui, je travaille principalement avec de la donnée web en tant qu’expert Analytics. Demain, j’aimerais grâce aux connaissances plus globales en statistiques ou en modélisation, avoir des compétences rares qui me permettront de pouvoir bosser dans une ONG, et dans un secteur qui me botte : l’environnement, la recherche, la santé. Suite aux deuux parcours OpenClassrooms, je devrais être armé pour cela”.

En 10 ans, Nicolas a aussi changé de rapport à l’éducation. Le système scolaire classique ne lui convenait pas. Maintenant, il dévore les cours et projets en ligne. OpenClassrooms donne les clés de la réussite, en s’appuyant sur des compétences réelles. Si on suit un cours, qu’on va au bout des projets, on a de vraies compétences qu’on peut mettre en avant”. 

 

Un rêve grand comme l’Amérique

 


Suite à sa formation en analyse des datas, Nicolas s’autorise à rêver en grand. Le projet : rejoindre sa copine à San Francisco, continuer sur la formation Data Scientist, et conquérir la Silicon Valley, qui bouge énormément au niveau Tech.

À côté de ce rêve américain, Nicolas souhaite aussi à moyen terme s’engager pour le bien commun. Il nous a parlé avec passion d’associations qui réunissent des professionnels de la Tech. Le but : aider ponctuellement des ONG et des projets à but non lucratif et à fort impact.

J’aimerais aussi donner de mon temps pour aider des projets ou des ONG qui ne peuvent pas se payer un Data Analyst ou Data Scientist. Par exemple, dans la science, dans la santé, ou encore l’environnement”.

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Lorsqu’on demande à Nicolas ce qu’il pense des études aujourd’hui, il sourit à pleines dents.

Chacun peut apprendre, il suffit d’avoir envie. Il faut que ça fasse vibrer, que ce soit un plaisir de bosser les cours. Et c’est important de le faire avec de la rigueur, à fond et de viser l’excellence, quel que soit notre bagage avant. Vraiment rien ne résiste à l’envie”.

Alors, un conseil pour le Nicolas de tes 18 ans, si tu le croisais ? “Je lui dirais de ne pas complexer de ne pas avoir fait d’études, d’aller vers là où il a envie d’aller et vers ce en quoi il croit”.

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Pour aller plus loin, jetez un coup d’œil à notre parcours Data Analyst et Data Scientist.

L’article La trajectoire de Nicolas, devenu Data Analyst sans le Bac est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.

Comment vous donner toutes les chances d’être financé ?

Par : Nora Leon

 

Vous voulez étudier, vous reconvertir, acquérir de nouvelles compétences. Et vous préfèreriez avoir un coup de pouce financier pour le faire.

Le financement comporte une dose d’aléatoire, car vous vous adressez à des tiers qui doivent décider de la pertinence de votre projet. Il est donc important de constituer le dossier le plus qualitatif et convaincant possible, assure Amel, conseillère pédagogique chez OpenClassrooms.

Voici ses conseils, qui ont déjà prouvé leur efficacité pour de nombreux étudiants dans le cadre d’une demande de financement de formation. 



1 Ayez un projet professionnel clair

 

 

Chacun de vos interlocuteurs devra débloquer un budget pour vous permettre de vous former. Il faut donc les convaincre que vous avez réfléchi et pesé votre décision.

Benchmarkez les emplois dans votre future profession

Venez avec des chiffres précis sur la demande dans l’emploi que vous voulez exercer à l’échelle de votre région. Comment ? En comptant les offres sur Monster, Indeed, LinkedIn, et en notant les secteurs concernés. En prouvant que vous vous êtes renseigné sur le bassin de l’emploi, vous montrerez que vous avez arrêté votre choix sur un métier d’avenir.

 

Prouvez votre intérêt

Montrez également votre motivation. Comment ? En rédigeant une lettre. Elle doit être argumentée, sincère et faire percevoir votre intérêt pour votre futur métier. Attention à bien expliquer pourquoi vous en changez, et à la faire relire pour que l’orthographe soit nickel-chrome. Sinon, vous risqueriez de vous disqualifier bêtement.

Si vous avez parlé à des professionnels pour comprendre leur quotidien, mentionnez-le. Si vous avez réalisé des cours en ligne ou en présentiel dans votre future spécialité, joignez les certificats à votre dossier.

Prouver ainsi votre intérêt par des actions concrètes et proactives ne peut que jouer en votre faveur.

Joignez également votre CV pour information, en le tournant pour qu’il explique votre reconversion (pensez au chapeau de texte expliquant votre projet).

 

Montrez en quoi vous pouvez capitaliser sur vos acquis

Pour cela, fournissez un bilan de compétences qui montre en quoi vous ne partirez pas de zéro. Vous avez forcément des compétences techniques ou des qualités interpersonnelles utiles à cet emploi. Mettez-les en avant pour montrer l’avancement de votre réflexion.  



2 Apportez un benchmark des formations possibles



Tous les organismes apprécient de connaître les différentes formations possibles sur votre futur métier. Leurs prix, leurs prestations et leurs durées.

C’est en apportant toute cette documentation que vous adopterez une posture non dogmatique et ouverte à la discussion. Et que vous pourrez donc motiver votre préférence par des arguments logiques, auxquels votre conseiller sera sûrement réceptif.

Un conseil : même si vous souhaitez absolument étudier en ligne, apportez la documentation d’une ou deux formations en présentiel aussi. De cette manière, votre choix n’aura que plus de poids, car vous aurez pris votre décision en connaissance de cause.


3 Préparez les arguments pour motiver votre préférence



Vous aurez choisi une formation. Préparez tous les arguments pour lesquels vous vous êtes décidé pour celle-ci en particulier, car vous devrez défendre votre projet de formation devant votre conseiller.

Quelques arguments utiles pour OpenClassrooms
– Une formation professionnalisante : vous apprenez sur des projets et en sortez opérationnel.
– Vous êtes suivi par un mentor chaque semaine, pour vous aider sur la technique, vous distiller sa vision du métier et vous amener à vous dépasser. C’est donc une formation très personnalisée.
– Vous bénéficiez de l’Emploi garanti : si 6 mois après votre diplôme vous n’avez pas trouvé d’emploi, nous vous remboursons.
– Vous êtes accompagné pour trouver un emploi. Un coach spécialiste en RH vous ouvre son réseau et vous aide à parfaire vos candidatures pour mettre en avant vos qualités professionnelles.
– La formation est flexible et accessible à toute heure. L’étudiant s’organise comme il le souhaite, ce qui en fait une formation pratique lorsqu’on travaille à côté ou a une famille dont on doit s’occuper au quotidien.

Comment vous préparer concrètement

Comme pour un entretien d’embauche, entraînez-vous bien à l’avance.

Vous pouvez le faire soit avec un proche qui vous pose des questions, et contre-argumente, soit en listant les questions les plus logiques qu’on pourra vous poser, et en y répondant. Si vous êtes tout seul, vous pouvez vous entraîner devant une glace. Une technique qui a fait ses preuves pour réviser un discours, par exemple.



Vous avez toutes les clés en main pour demander un financement.

Il ne nous souhaite plus qu’à vous souhaiter bonne chance.

Si vous avez la moindre question, contactez Amel et l’équipe des conseillers pédagogiques, ils seront ravis de vous aider.

 

J’ai une question 

 

[ À lire ensuite :
Qui est éligible à un financement de formation ?
Comment réaliser un bilan de compétences ?  ]

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À quoi ressemblent les premiers jours chez OpenClassrooms ?

Par : Nora Leon

* Plouf, vous vous êtes jeté à l’eau *.
(Ou c’est imminent. Rassurez-vous, elle est bonne)

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Félicitations ! Et maintenant, les choses sérieuses.

Que pouvez-vous attendre des premiers jours chez OpenClassrooms ?

 

L’attribution du mentor individuel

 

C’est la toute première étape de notre côté, et l’équipe le fait très vite. Le mentor sera en effet votre interlocuteur privilégié tout au long de votre formation, pour répondre à vos questions et vous motiver. Parlons sans langue de bois. Que signifie concrètement très vite ?

Nous mettons trois jours ouvrés à vous attribuer le mentor. Nous lui envoyons vos coordonnées pour qu’il prenne contact avec vous.

En tout, c’est-à-dire les échanges avec vos mentors compris, vous devriez avoir votre première séance de mentorat dans la première semaine après avoir cliqué sur ‘Je m’inscris’.

Oui, nous le savons, vous êtes très pressé de commencer. Nous faisons au plus vite. Et dans tous les cas, vous avez déjà accès à tout le reste.

 

 

L’accès aux cours et au 1er projet

 

C’est magique : vous y entrez depuis votre tableau de bord.
Vous pouvez commencer doucement : lisez l’intitulé du projet, commencez le cours associé. Votre mentor vous aidera à structurer tout cela lors de la session de découverte.

[ À lire : Comment démarrer un projet ? ]

 

Les premiers pas au sein de Workplace


[ À lire : Tout savoir sur… Workplace ! ]

Il s’agit de notre (superbe) communauté d’apprenants.

Dès vos premiers jours, baladez-vous. Inscrivez-vous aux groupes qui vous intéressent (celui de votre parcours, le Campus, OpenClassrooms announcements…).

Et surtout, écrivez un petit mot sur vous sur le groupe “Présentations” : votre nom, votre ville, votre parcours, pourquoi vous avez décidé de le commencer… Les apprenants vous y souhaiteront la bienvenue.

 

 

Pour conclure, vos premiers jours sont à l’image de vos objectifs. Vous pouvez soit décider d’attaquer très fort et de terminer le ou les premiers cours de votre parcours, ou alors commencer doucement en vous acclimatant petit à petit.

 

Et à tout moment, si vous avez la moindre question, nous sommes à votre écoute.

 

Justement, j’ai une question

🙋🏻

 

 

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Comment OpenClassrooms vous aide à trouver un emploi

Par : Nora Leon

 

Vous avez sans doute entendu parler de notre dispositif Emploi Garanti, qui propose de rembourser jusqu’à un an de votre formation si vous ne trouvez pas d’emploi dans les 6 mois suivant l’obtention de votre diplôme. Si nous prenons cet engagement, c’est que nous sommes sûrs de votre réussite.

Nous avons conçu l’expérience OpenClassrooms pour aider nos étudiants à trouver un emploi et à réussir leur carrière. Voici comment nous procédons.

 

1 — Notre programme vous prépare pour le monde du travail

 

Nous concevons notre programme en nous basant sur les compétences nécessaires à votre futur rôle. Vous apprenez seulement ce que vous devez savoir, mais vous acquérez toutes les compétences, à la fois techniques et comportementales, essentielles pour trouver un emploi dans votre futur métier.

Les recruteurs et les RH seront très heureux de constater que vous avez des compétences solides qui correspondent à leurs besoins.

 

2 —Votre travail scolaire est intégré dans votre portfolio professionnel

 

Nos programmes sont centrés sur des projets professionnalisants. Cela signifie qu’au lieu d’apprendre des informations par cœur pour une évaluation, vous apprenez par la pratique. Vous devez mener à bien de véritables projets, comme par exemple créer des produits et résoudre des problèmes similaires à ceux que vous rencontrerez dans votre futur travail. Grâce à ces projets, vous pouvez créer votre portfolio professionnel avant même d’avoir de l’expérience professionnelle dans votre domaine.

 

3 — Votre mentor vous aide à envisager le futur

 

Pour compléter votre programme OpenClassrooms, vous préparerez votre future stratégie de recherche d’emploi en suivant les conseils de votre mentor professionnel. Votre mentor vous montrera comment aborder le marché du travail, et vous pourrez établir une liste de secteurs-cibles et d’entreprises correspondant à vos objectifs.

 

4 — Nos coaches en recherche d’emploi vous apprennent à rechercher un emploi comme un pro

 

À la fin de votre parcours OpenClassrooms, vous recevrez 2 mois de sessions de coaching en recherche d’emploi, compris dans les frais de scolarité et renouvelables jusqu’à ce que vous trouviez un emploi. Qu’est-ce que cela signifie ?

Durant ces sessions, vous apprendrez à optimiser votre :

  • CV
  • Lettre de motivation
  • Profil LinkedIn
  • Portfolio
  • Technique d’entretien d’embauche
  • Professional branding
  • Technique de réseautage

 

5 — OpenClassrooms vous prépare pour le futur

 

À travers votre expérience sur notre plateforme, vous développerez un état d’esprit propice à l’apprentissage.

Vous saurez combien il est important d’être toujours ouvert à l’apprentissage dans notre monde en constante évolution. Ainsi, vous serez prêt pour le futur, prêt à acquérir de nouvelles compétences et à maîtriser les technologies émergentes à mesure qu’elles se développent. Cela vous permettra de rester compétitif sur le marché du travail dans les années à venir. Et lorsque vous serez prêt à en apprendre plus, nous serons là pour vous.

Toutes nos actions à OpenClassrooms visent à aider nos étudiants à acquérir les compétences et les qualifications dont ils ont besoin pour trouver un travail dans le domaine de leur choix. Nous considérons que nous n’avons pas réussi notre mission tant que nos étudiants n’ont pas trouvé d’emploi. C’est aussi simple que ça.


Osez. Apprenez. Réussissez. Nous sommes là pour vous aider à changer de vie.

Consultez notre page Parcours pour choisir votre avenir professionnel.

Ou contactez un conseiller pédagogique !

🙋🏻

 

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Mentors : leurs plus beaux cadeaux, et pas qu’à Noël…


Cette année, les mentors d’OpenClassrooms jouent au Père-Noël et partagent avec nous ce qui les rend les plus heureux, à la fois dans leur job et comme mentor. Et ces “cadeaux” ne sont pas toujours ceux que vous croyez…

🎄  🎄  🎄

 

Bertrand Bloc’h, mentor en développement iOS

Mon plus beau cadeau en tant que développeur iOS
« Lorsque j’arrive à développer un concept compliqué en une architecture au final très simple, maintenable et compréhensible ».
Mon plus beau cadeau en tant que mentor
« La fierté que je ressens à chaque fois qu’un étudiant a validé un projet et donc acquis de nouvelles compétences ».

Nathan Duvieusart, mentor technicien informatique

Mon plus beau cadeau en tant que technicien informatique
« Une plateforme HelpDesk vide de tickets ».
Mon plus beau cadeau en tant que mentor
« Dans le parcours, Abolition de GNS3 ».

Jessica Tessé, mentor en community management

Mon plus beau cadeau en tant que community manager
« Que ma communauté me dise des mots doux ».
Mon plus beau cadeau en tant que mentor :
« Une vidéo spéciale Noël des Mentoring managers d’OpenClassrooms dans les bureaux ».

Jordane Lacroix,  mentor en UX design

Mon plus beau cadeau en tant que UX Designer
« Être davantage sur le terrain pour capter de nouvelles méthodes ».
Mon plus beau cadeau en tant que mentor
« Pouvoir accompagner des étudiants dans un domaine qui me passionne est en soi un très beau cadeau ! »

Fouziya Kaddane, mentor en développement web

Mon plus beau cadeau en tant que développeuse web
« Chaque projet est un challenge. Je le prends comme tel à chaque fois ».
Mon plus beau cadeau en tant que mentor
« Contribuer à la démocratisation du développement informatique ».

Soma Bini, mentor en développeur backend et frontend

Mon plus beau cadeau en tant que développeur PHP
« Un nouveau framework à tester ».
Mon plus beau cadeau en tant que mentor
« Avoir l’occasion de partager mon expériences est vraiment grisant ».

Thierno Diop, mentor en data architecture

Mon plus beau cadeau en tant que data architect
« Que la force de la data soit avec nous ».
Mon plus beau cadeau en tant que mentor
« Have fun while learning, together. That’s the key to great achievement ».

Emilie Alakl, mentor en management RH

Mon plus beau cadeau en tant que manager RH
« Constater que les collaborateurs de l’entreprise sont contents de venir au travail et de retrouver leur équipe chaque matin ».
Mon plus beau cadeau en tant que mentor
« Recevoir le mail d’un mentoré m’informant qu’il a validé son titre ou qu’il a décroché un job ! »

Franck Giroudon, mentor en entrepreneuriat

Mon plus beau cadeau en tant qu’entrepreneur
« Réaliser ma première vente ! Cela veut dire que le projet a convaincu un premier client ».
Mon plus beau cadeau en tant que mentor
« Voir un étudiant passer les étapes les unes après les autres ».

Et vous, quel serait votre plus beau cadeau en cette fin d’année ?

 

🎄 Un excellent Noël à toutes et tous ! 🎄

 

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Petits fours et parcours : 5 conseils pour trouver l’équilibre entre études et fêtes de fin d’année

Par : Nora Leon

 

L’idée d’étudier pendant les fêtes de fin d’année est tellement contradictoire ! Qui diable voudrait travailler pendant ses vacances ?

VOUS ! Parce que…

  • Vous avez fait un pas de géant en commençant vos études chez OpenClassrooms et qu’il faut entretenir cette belle motivation ;
  • Vous allez changer de vie une fois votre diplôme en poche et dans votre prochain boulot qui sera vraiment passionnant ;
  • Et donc, plus vite vous aurez fini, plus vite vous serez épanoui professionnellement (sans parler du fait que plus vite vous aurez fini plus vite vous économiserez les mois restants, on pense à vous, cher étudiant non financé).

Nous savons ô combien les apéros de fin d’année sont festifs et les repas costauds. Mais tuuuuut tuuuut, concilier sprints de travail et vacances de fin d’année bien méritées est possible.

Voici nos 5 conseils pour réussir un tour de force : faire rimer petits fours et… PARCOURS !


1 — Fixez des objectifs réalistes avec votre mentor

Ne nous voilons pas la face, même quand on est au top de sa motivation, ce sont les vacances. Ce qui signifie concrètement que les deux prochaines semaines ne peuvent pas être considérées comme le reste de l’année. C’est un fait, vous allez passer du temps avec vos proches, manger beaucoup trop gras et buller (le champagne aussi a priori).

Donc, pas la peine de vous fixer 5 projets et 11 cours pour ces 2 semaines. Définissez donc avec votre mentor un planning réduit pour cette période, où vous allez vous concentrer sur deux ou trois tâches importantes mais pas très chronophages. Par exemple, revoir un cours que vous avez mal assimilé. Ou avancer sur un ou deux éléments d’un projet.

2 — Ayez un plan défini pour la semaine

Analysez quand vous pouvez être disponible pendant ces vacances. Vous fêtez Noël ? Ce n’est probablement pas très réaliste de prévoir quoi que ce soit le 24 au soir et le 25, surtout si vous avez prévu de rendre visite à vos grands-parents, votre filleule ou de donner un coup de main en cuisine.

Par contre, vous êtes libre le 23 et le 26. Définissez des plages horaires où vous pourrez travailler efficacement, et — c’est la clé, tenez-vous-y.

Plus vous planifierez ces moments, plus vous arriverez à dégager du temps. Et surtout, dites bien à vos proches qu’ils sont sacrés, pour qu’ils ne vous proposent pas de partie de jeux de société_goûter chez Tata Louisa_partie de bowling justement à ce moment-là. Eux aussi doivent jouer le jeu.

3 — Choisissez un endroit propice au travail

Pendant les fêtes, vous ne serez probablement pas seul chez vous. Ou peut-être même que vous serez chez quelqu’un d’autre : vos beaux-parents, vos parents, votre tonton préféré. Alors, sondez l’endroit et choisissez bien celui où vous allez établir votre quartier général.

La plupart des gens travaillent mieux au calme. Gardez les portes fermées, et prévenez les personnes qui vous accompagnent que vous devez vous concentrer. Si c’est difficile car l’espace est petit ou que vous êtes nombreux, vous pouvez toujours vous ménager deux heures dans un café ou une bibliothèque pour être dans les bonnes conditions.

4 — Évitez les distractions comme la peste

En cette période de l’année, les SMS, appels et messages Facebook pleuvent. Alors quand vous étudiez, éteignez votre portable pour être tranquille. Car quand on a été déconcentré, on peut mettre 20 minutes à s’y remettre. Surtout si vous avez prévu 1h30 de travail dans la journée, c’est contre-productif, n’est-ce pas ?

Et surtout, installez un bloqueur social media sur votre ordinateur. Avouez-le : vous êtes habitué à traîner sur Facebook pendant votre journée de boulot ; d’ailleurs Workplace ne fait pas exception : virez cette vilaine petite fenêtre pendant votre session de travail.

Pour combattre les distractions sur votre ordi, vous devriez trouver votre bonheur ici

5 — Rappelez-vous vos objectifs

Oui, tout arrêter pendant les fêtes est tentant… Mais si vous vous concentrez sur quelques tâches stratégiques, vous allez bien faire avancer votre parcours. 2 semaines, c’est long, surtout sur un parcours de 6 mois ! (techniciens informatiques, développeurs web, data analystes et les autres… Hello 😉).

En cas d’attaque de flemme aiguë, rappelez-vous pourquoi vous faites tout cela. Étudier en ligne n’est pas facile, changer de vie non plus. Mais vous vous y êtes collé et jusqu’à présent vous tenez le cap. Ne lâchez pas maintenant.

Justement : si vous arrivez à continuer sur des plages horaires réduites à Noël, vous vous prouverez aussi à quel point vous êtes déterminé et vous recommencerez sur d’excellentes bases en janvier.

🎄   🎄   🎄

 

Sur ce, nous vous souhaitons d’excellentes vacances. Et partagez vos bonnes pratiques pour garder la pêche en commentaires et sur Workplace à l’occasion 😃

 

 

 

 

 

 

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Apprentissage ou contrat pro, mode d’emploi chez OpenClassrooms

Par : Nora Leon

En France, chaque année, plus de 420 000 étudiants choisissent l’apprentissage et près de 200 000 personnes optent pour le contrat de professionnalisation afin de se former.

Chez OpenClassrooms, nous souhaitons vous donner la possibilité de vous former de manière professionnalisante. Les formations comportent donc des projets pratiques qui vous donnent une première expérience dans votre métier.

Et pour ceux qui souhaitent mettre leurs connaissances pratiques en application directement, l’alternance est possible, sous deux formes. Explication.

Contrat d’apprentissage et de professionnalisation, quelles différences ?

La rémunération

En contrat de professionnalisation, vous touchez 65% du SMIC si vous avez moins de 21 ans, et 100% du SMIC si vous avez plus de 21 ans, voire plus selon l’entreprise.

En contrat d’apprentissage, vous touchez jusqu’à 65% du SMIC si vous avez moins de 21 ans et jusqu’à 78% du SMIC si vous avez plus, voire plus selon l’entreprise.

Le temps passé en entreprise

En contrat de professionnalisation, vous passez 75 à 80% du temps en entreprise. Vous passez donc un jour à vous former en ligne par semaine.

En contrat d’apprentissage, vous passez 50% du temps en entreprise.

C’est donc un critère important de savoir quelle proportion de votre formation vous souhaitez passer en entreprise.

L’âge pour y être éligible

Pour être admis en contrat de professionnalisation, vous devez avoir entre 16 ans et 25 ans, ou être demandeur d’emploi 26 ans ou plus, bénéficiaire du revenu de solidarité active (RSA), de l’allocation de solidarité spécifique (ASS) ou de l’allocation aux adultes handicapés (AAH), ou avoir bénéficié d’un contrat aidé (contrat unique d’insertion – CUI). Dans ces cas, il n’y a pas de limite d’âge.

Pour être admis en contrat d’apprentissage, vous devez avoir moins de 30 ans, sauf dans 4 régions où vous devez avoir moins de 25 ans révolus : en Corse, en Provence-Alpes-Côte d’Azur, en Auvergne-Rhône-Alpes et en Normandie. Si vous êtes Handicapé (RQTH), créateur d’entreprise, ou sportif de haut niveau, c’est sans limite d’âge.

Le suivi en entreprise

En contrat d’apprentissage, vous êtes plus encadré, par un maître d’apprentissage au sein de l’entreprise et un tuteur qui passe deux fois pour vérifier que les missions sont conformes au contrat et que l’apprentissage se déroule bien (chez OpenCFA ce seront deux visioconférences car aucune visite physique prévue). Vous serez aussi suivi par votre mentor chaque semaine, toujours en visioconférence.

L’organisme signataire

En contrat de professionnalisation, vous signez avec l’entreprise et OpenClassrooms SAS. En contrat d’apprentissage, le contrat est signé entre OpenCFA, l’apprenti et l’entreprise. Pour information, OpenCFA est un organisme distinct d’OpenClassrooms SAS, porté par l’organisme gestionnaire ATNE et créé pour pouvoir former des apprentis.

Comment postuler

 

Je postule en contrat pro ICI
Je postule en apprentissage ICI

Et pour toute question, contactez nos conseillers pédagogiques, qui pourront vous renseigner de vive voix.
J’en parle avec mon conseiller ICI


Pour aller plus loin,

Regardez la documentation officielle concernant toutes les modalités de l’alternance.

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À quoi ressemble le métier d’UX designer en start-up ?

Par : Nora Leon

Le rôle d’UX Designer est très prisé, car chaque entreprise présente sur la toile a besoin de récupérer et d’analyser des données sur ses utilisateurs pour optimiser l’expérience client en ligne. 

L’enjeu est simple : créer le meilleur produit ou service possible pour fidéliser ses clients.

Nous avons voulu vous donner un aperçu de ce métier dans différents environnements et secteurs. Cet article se focalise sur ce rôle en start-up.

[À lire : le métier d’UX Designer dans le Conseil]


Notre expert

 


Xavier Dumont
est Product Manager et UX designer chez Bureaux à Partager.

À sa sortie d’école de management, Xavier n’a fait que des stages en web marketing, et c’est donc dans cette discipline qu’il s’est spécialisé. Il s’est formé sur le tas à l’intégration et au web design, puis est entré en école de web design puis en web développement.

Le rôle de Product Manager, centré sur l’utilisateur et toujours très lié à l’UX design, l’a séduit car il est au croisement entre ses compétences en web design, développement web et web marketing.

 

Qu’est-ce qui te plaît dans l’UX design ?

 

La combinaison entre la réflexion et la stratégie en amont, et le côté très terre à terre, car l’utilisation concrète prime en fin de compte. On réfléchit sur le long-terme pour construire une expérience client sur le long-terme. Et également l’aspect créatif.

Quand on construit des plateformes, on met sur pieds de manière créative quelque chose de concret qui servira à l’utilisateur.

 

Une semaine type en tant que Product Manager et ce qu’elle comprend en UX

 

Je travaille sur toute la boucle d’itérations sur le produit. J’analyse les données que je trouve sur le site, je réfléchis à prioriser les aspects du produit que nous allons développer en fonction des retours utilisateurs et de la ‘roadmap’, et enfin je fais le travail effectif d’un UX designer, en essayant de confronter mes maquettes à l’utilisateur, jusqu’à la mise en application.

Chez Bureaux à Partager, on fait beaucoup avec peu, et les Product Managers sont polyvalents. Je fais l’UX de la plateforme, et je participe au brainstorming sur l’UX des autres produits régulièrement. Aucune semaine ne ressemble à une autre. Nous sommes tous des couteaux suisses.

Peux-tu nous décrire la stratégie UX Design de Bureaux à Partager ?

 

Chez BAP, dans notre offre de matching pour trouver des bureaux ou des salles, nous avons deux cibles. Ceux qui cherchent une place pour travailler et ceux qui ont des places à louer.

La première étape a été de définir nos personas et surtout d’aller à la rencontre de nos utilisateurs pour construire la meilleure expérience possible sur le site. Nous avons utilisé des formulaires qualis, quantis, et des entretiens pour comprendre leurs attentes.

Avec ces infos, nous avons défini nos cibles et cerné leurs attentes pour créer un produit sur-mesure et optimisé.

  • Les co-workings ont déjà un outil de contractualisation, car c’est leur business. Par contre, ils ont besoin de leads pour pouvoir louer leurs bureaux, et donc on leur en fournit via notre plateforme.
  • Les non professionnels, qui cherchent un bureau ou en louent un, ont besoin des bons contacts et des bons outils, que nous développons pour eux. Un exemple simple : nous avons travaillé sur un outil de signature électronique car nous savions que ce serait utile aux non-professionnels, que cela leur faciliterait la tâche dans les contrats signés via chez nous.

Ensuite, lorsqu’on a fait la refonte du site en octobre dernier, il a fallu  se poser la question de la cohabitation des différentes cibles et offres. En effet, nous avions cette cible multiple d’offreurs et de demandeurs, avec différents espaces (bureaux, salles de réunions), ainsi que différentes temporalités (à la journée ou au mois).

Là, nous avons pris le parti de privilégier notre principale proposition de valeur : trouver un bureau au mois. en simplifiant notre message sur la landing page :

  • l’accessibilité des demandeurs, pour que celui qui cherche un bureau trouve facilement ;

Mais aussi de mettre en avant la possibilité d’être offreur d’une salle ou d’un bureau. Le bouton “publier une annonce” est donc très présent, par exemple.

C’est cela, construire une démarche UX : faire des choix pour que le chemin utilisateur soit intuitif tout en correspondant aux objectifs principaux de l’entreprise.

 

Quelles sont les qualités clés pour exercer ce métier, particulièrement en start-up ?

 

La première chose, c’est de savoir écouter (écouter vraiment) et se remettre en question. C’est primordial de prendre en compte les retours des utilisateurs sur ce qu’on fait, ou même de gens qui ne sont pas dans le milieu, mais qui ont un regard frais et du bon sens.

Il faut être humble aussi. On est un peu les exécutants des besoins qu’on priorise et qui sont parfois dictés par quelqu’un d’autre. Et agile, car il arrive souvent de devoir faire passer une tâche avant une autre, revoir son planning ou même se dépêcher d’installer une fonctionnalité. Évidemment, c’est ambivalent, car car l’UX designer ou le Product Manager doivent avoir confiance en leurs conclusions et se faire confiance en imposant leur vision. Cela fait partie de l’expérience métier de comprendre quelles sont les meilleures décisions à mettre en place.

Enfin, la curiosité est un très bon défaut dans notre métier. Il est utile de regarder ce qui se fait chez les autres, les nouvelles pratiques en termes d’outils, de navigation. C’est à ce titre qu’on reste pointu et qu’on ne se laisse pas dépasser par les innovations qu’on ne connaît pas.

 

Xavier vous a donné envie d’exercer ce métier ? 
Par ici pour l’apprendre, dans notre parcours UX Designer

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