Depuis le lancement des vaccins contre le Covid-19, en 2021, le plus grand flou règne sur l’ampleur des effets secondaires de ces injections. Chaque jour, l’administration Biden semble démunie face à cette résurgence du scepticisme des Américains à l’égard des vaccins, avec l’absence d’un plan global pour contrer ce mouvement qui prend de l’ampleur. Une récente étude publiée dans la revue médicale JAMA a examiné les données du système fédéral de notification des événements indésirables des vaccins (VAERS), et a révélé une corrélation entre l’orientation politique d’un État et le nombre de rapports d’effets secondaires du vaccin.
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A Singapour, les données de recherche de contacts TraceTogether et SafeEntry liées au Covid-19 ont été supprimées. Les deux applications ont été également supprimées des magasins d’applications mobiles. Cette mesure, bien que présentée comme une action nécessaire pour protéger la vie privée des citoyens, soulève des préoccupations quant à la transparence et à l’utilisation des données personnelles par les autorités.
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Pour commencer, je rappelle les règles de la concurrence dans la communauté européenne. Ce sont des règles de bonnes gouvernances applicables aux nations. Rappelons que l’union européenne dit :
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La Nouvelle-Zélande fait face à un scandale de divulgation de données sur les vaccins COVID alors qu’un informaticien, Barry Young, est arrêté pour avoir prétendument accédé illicitement aux informations de l’agence de santé publique “Te Whatu Ora”. Les allégations de Young, affirmant que l’agence dissimule des décès liés aux vaccins, suscitent des inquiétudes quant à la désinformation. Tandis que la PDG de Te Whatu Ora rejette ces affirmations, le ministre néo-zélandais de la Santé condamne l’abus de confiance et qualifie Young de “théoricien du complot”. La situation souligne les défis de sécurité des données et les implications potentielles de la désinformation dans le contexte de la vaccination.
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Donc, en cas d’urgence publique, ou bien pour accomplir une mission d’intérêt public, la Commission Européenne, la Banque Centrale Européenne, les organes de l’UE, mais aussi les organismes du secteur public pourront réquisitionner les données personnelles des habitants de l’UE. Toutes les entreprises devront obéir à cette réquisition, qui peut être décidée dans des circonstances exceptionnelles (une pandémie, une attaque terroriste, etc.). Bref, chaque fois que l’Etat se considérera en danger, il pourra exiger de toutes les entreprises, y compris les micro-entreprises, de disposer des données personnelles qu’il souhaite.
Voilà une belle violation totalitaire de nos libertés. On en reste sans voix. Ils ne se cachent même plus.
Il va devenir urgent de réagir.
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Le NHS confie à Palantir la gestion de données de santé. Si le but du projet est d’améliorer l’efficacité des soins en facilitant l’échange d’informations entre les services de santé. La British Medical Association a déclaré que le choix de Palantir était « profondément inquiétant », soulignant les risques pour la confidentialité et les droits des patients.
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On vous recommande donc chaleureusement de picorer dans la Stratégie mondiale en Santé les passages concernant notre abdication nationale face à l’OMS, dont Bill Gates, rappelons-le, est l’un des principaux contributeurs (rappel pour ceux qui imagineraient que l’OMS appartienne à la sphère publique).
Comme l’indique la capture d’écran ci-dessus, on y retrouve tout le langage crypto-marxiste tiré du Great Reset de Klaus Schwab : financement mondial de la santé, taxation mondiale pour la santé, nouveau pacte financier mondial. Tous les infiltrés dans la résistance qui affirme que l’objectif principal à atteindre est la lutte contre le capitalisme s’en frotteront les mains : la bureaucratie macroniste ne poursuit pas d’autre objectif que de créer des taxes mondiales pour financer une santé mondiale !
Dans cet ensemble, on note que la France a l’ambition de participer à la création et au déploiement de l'”espace européen des données de santé”, qui permettra de céder nos données de sécurité sociale à nos voisins, et qui permettra de lier l’identité numérique européenne aux données vaccinales. On ne pouvait imaginer meilleure soumission d’Aurélien Rousseau, ancien militant communiste, à une surveillance totalitaire que Staline n’osait même pas rêver dans ses nuits les plus béates.
À quoi cet argent pris dans la poche du contribuable va-t-il servir ? à inonder des fonds privés, bien entendu, ceux qui se livrent à des recherches pour le compte de Big Pharma. Le GAVI créé par Bill Gates, par exemple.
Et voilà comment on mutualise les pertes et on privatise les bénéfices.
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