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À partir d’avant-hierLe courrier des stratèges

USA: les États républicains signalent davantage d’effets secondaires des injections COVID, révèle une étude

Si l’Agence américaine de médicaments ou Food and Drug Administration (FDA) a déclaré « environ 3,2 millions » de vies américaines ont été sauvées grâce aux vaccins Covid. Une nouvelle étude publiée dans la revue médicale JAMA a révélé que dans les Etats avec un pourcentage élevé d’électeurs républicains, les cas d’effets secondaires des vaccins contre le Covid-19 signalés sont plus nombreux. Cette étude a suscité des questions sur les différences observées dans les rapports d’effets secondaires du vaccin COVID-19 entre les États américains.

Depuis le lancement des vaccins contre le Covid-19, en 2021, le plus grand flou règne sur l’ampleur des effets secondaires de ces injections. Chaque jour, l’administration Biden semble démunie face à cette résurgence du scepticisme des Américains à l’égard des vaccins, avec l’absence d’un plan global pour contrer ce mouvement qui prend de l’ampleur. Une récente étude publiée dans la revue médicale JAMA a examiné les données du système fédéral de notification des événements indésirables des vaccins (VAERS), et a révélé une corrélation entre l’orientation politique d’un État et le nombre de rapports d’effets secondaires du vaccin.

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Après un fichage généralisé, Singapour efface les données de son application anti-Covid

Dans le cadre de la lutte contre la propagation du covid,les autorités singapouriennes avaient lancé les systèmes TraceTogether et SafeEntry en mars 2020. Ces outils de traçage des cas contacts ont été utilisés par des millions d’individus. Récemment, les autorités singapouriennes ont annoncé la suppression de toutes les données de traçage des contacts liées au COVID-19, à l’exception spécifique d’un cas de meurtre. Ces applications, supposées protéger contre le virus, ont surtout permis le fichage sans limite des citoyens. Le plus grand le flou demeure sur la conservation de toutes ces données.

A Singapour, les données de recherche de contacts TraceTogether et SafeEntry liées au Covid-19 ont été supprimées. Les deux applications ont été également supprimées des magasins d’applications mobiles. Cette mesure, bien que présentée comme une action nécessaire pour protéger la vie privée des citoyens, soulève des préoccupations quant à la transparence et à l’utilisation des données personnelles par les autorités.

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La protection des données personnelles sur les plateformes US et dans l’UE, par Philippe Rouchy

Par : Rédaction

Margrethe Vestager est la vice-présidente exécutive (2019-2024) de la direction de la commission Européenne de la concurrence. C’est une position essentielle au sein de l’union européenne quand il s’agit de politiques industrielles ou la domination technologique des GAFAM est insolente. Leur contrôle de la chaine entière des informations, des serveurs, des algorithmes de croisement des informations jusqu’au écosystème qui retiennent les utilisateurs a ouvert une autoroute d’abus de position dominante dans le traitement des informations individuelles de million de citoyens. Le 11 octobre 2022, Margrethe Vestager, a averti que l’Europe traversait un « réveil difficile vers l’ère de l’interdépendance militarisée ». Le rejet de la nomination du professeur Américain Fiona Scott Mortoná la direction de la commission européenne de la concurrence m’a amené á écrire l’article que vous lise sur la protection des données individuelles. En effet, sa nomination le 11 juillet 2023 fut suivi d’un refus de poste le 19 juillet 2023 après une levée de bouclier de députés européens français, espagnol, italien. Cet incident est un indicateur que les désaccords au sein de la commission européenne de la concurrence existent clairement en ce qui concerne les rapports de force entre les Etats-Unis et l’Europe en matières industrielles.

Pour commencer, je rappelle les règles de la concurrence dans la communauté européenne. Ce sont des règles de bonnes gouvernances applicables aux nations. Rappelons que l’union européenne dit :

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Nouvelle-Zélande : un agent de santé arrêté pour avoir divulgué des données sur les vaccins COVID

Les informations qui circulent à propos du covid-19 et des procédés de vaccination sont de plus en plus critiquées, surtout quand on sait que des médecins et des personnels soignants parlent de ce qu’ils voient sur le terrain.Un agent de santé néo-zélandais de 56 ans a été appréhendé et inculpé pour avoir prétendument utilisé et divulgué de manière » abusive des données de vaccination tout en propageant de fausses informations sur le Covid-19 ». Barry Young, 56 ans, aurait accédé à un réseau informatique au sein de l’agence de santé publique « Te Whatu Ora » à des « fins malhonnêtes » et a téléchargé un téraoctet de données. Young a ensuite publié l’information en ligne. La directrice générale de Health New Zealand, Margie Apa, a condamné cet “abus de confiance flagrant” et souligné l’urgence de traiter cette “divulgation non autorisée et l’utilisation abusive de données”.

La Nouvelle-Zélande fait face à un scandale de divulgation de données sur les vaccins COVID alors qu’un informaticien, Barry Young, est arrêté pour avoir prétendument accédé illicitement aux informations de l’agence de santé publique “Te Whatu Ora”. Les allégations de Young, affirmant que l’agence dissimule des décès liés aux vaccins, suscitent des inquiétudes quant à la désinformation. Tandis que la PDG de Te Whatu Ora rejette ces affirmations, le ministre néo-zélandais de la Santé condamne l’abus de confiance et qualifie Young de “théoricien du complot”. La situation souligne les défis de sécurité des données et les implications potentielles de la désinformation dans le contexte de la vaccination.

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ALERTE : l’UE prépare une loi autorisant la saisie de vos données personnelles auprès de toutes les entreprises

Innocemment, vous utilisez votre carte Carrefour, votre carte Monoprix, vous répondez à des sondages sur des sites Internet ? Voilà une belle collection d’informations sur votre compte qui intéresse la police ! et quelques autres acteurs comme la Banque Centrale Européenne. Pour mieux vous espionner, et sous le couvert fallacieux de “l’équité de l’accès aux données et de l’utilisation des données”, le Conseil européen vient de valider un projet de règlement (que l’Union appelle désormais “loi”) qui prévoit le transfert obligatoire des données personnelles détenues par des entreprises vers les gouvernements ou vers la Banque Centrale. Bien entendu, cette disposition ne peut servir que dans des circonstances exceptionnelles, comme une pandémie, par exemple. Ou encore pour “accomplir une mission d’intérêt public”. On connaît la musique.

Donc, en cas d’urgence publique, ou bien pour accomplir une mission d’intérêt public, la Commission Européenne, la Banque Centrale Européenne, les organes de l’UE, mais aussi les organismes du secteur public pourront réquisitionner les données personnelles des habitants de l’UE. Toutes les entreprises devront obéir à cette réquisition, qui peut être décidée dans des circonstances exceptionnelles (une pandémie, une attaque terroriste, etc.). Bref, chaque fois que l’Etat se considérera en danger, il pourra exiger de toutes les entreprises, y compris les micro-entreprises, de disposer des données personnelles qu’il souhaite.

Voilà une belle violation totalitaire de nos libertés. On en reste sans voix. Ils ne se cachent même plus.

Il va devenir urgent de réagir.

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Le Royaume-Uni confie ses données personnelles de santé à Palantir et suscite les craintes

L’entreprise technologique américaine controversée Palantir s’est vu attribuer un contrat de 480 millions de livres sterling (environ 550 millions d’euros) par le système de santé national (NHS) du Royaume-Uni , pour gérer la nouvelle “plateforme de données fédérées” appelée Federated Data Platform. Cette décision a vite suscité des inquiétudes en raison des liens controversés de Palantir, connue pour ses liens avec des services militaires et de renseignement. Chaque jour, on assiste au transfert graduel de notre autonomie sanitaire vers l’Union européenne, éventuellement vers l’OMS, dépassant de loin le simple enjeu de santé. On se rappelle ici que la mise en place d’une gouvernance sanitaire mondiale est présentée comme une façon de répondre aux futures pandémies.

Le NHS confie à Palantir la gestion de données de santé. Si le but du projet est d’améliorer l’efficacité des soins en facilitant l’échange d’informations entre les services de santé. La British Medical Association a déclaré que le choix de Palantir était « profondément inquiétant », soulignant les risques pour la confidentialité et les droits des patients.

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En lousdé, Rousseau lance l’espace européen des données de santé

Pendant que la guerre faisait et fait encore rage en Palestine, des informations capitales sont passées inaperçues. Parmi celles-ci, on rangera la parution de la “Stratégie mondiale en santé” pour 2027 rédigée par le ministère français de la Santé, et qui donne les grandes lignes de notre soumission à un nouvel ordre sanitaire mondial, prélude à un nouvel ordre politique mondial. Derrière un fatras de banalités bureaucratiques diarrhéiques, on y trouve quelques perles sur la démission française qui valent leur pesant de cacahuètes. Par exemple l’adhésion de la France d’ici à 2027 à l’espace européen des données de santé. Entre autres.

On vous recommande donc chaleureusement de picorer dans la Stratégie mondiale en Santé les passages concernant notre abdication nationale face à l’OMS, dont Bill Gates, rappelons-le, est l’un des principaux contributeurs (rappel pour ceux qui imagineraient que l’OMS appartienne à la sphère publique).

Comme l’indique la capture d’écran ci-dessus, on y retrouve tout le langage crypto-marxiste tiré du Great Reset de Klaus Schwab : financement mondial de la santé, taxation mondiale pour la santé, nouveau pacte financier mondial. Tous les infiltrés dans la résistance qui affirme que l’objectif principal à atteindre est la lutte contre le capitalisme s’en frotteront les mains : la bureaucratie macroniste ne poursuit pas d’autre objectif que de créer des taxes mondiales pour financer une santé mondiale !

Dans cet ensemble, on note que la France a l’ambition de participer à la création et au déploiement de l'”espace européen des données de santé”, qui permettra de céder nos données de sécurité sociale à nos voisins, et qui permettra de lier l’identité numérique européenne aux données vaccinales. On ne pouvait imaginer meilleure soumission d’Aurélien Rousseau, ancien militant communiste, à une surveillance totalitaire que Staline n’osait même pas rêver dans ses nuits les plus béates.

À quoi cet argent pris dans la poche du contribuable va-t-il servir ? à inonder des fonds privés, bien entendu, ceux qui se livrent à des recherches pour le compte de Big Pharma. Le GAVI créé par Bill Gates, par exemple.

Et voilà comment on mutualise les pertes et on privatise les bénéfices.

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