Lateo.net - Flux RSS en pagaille (pour en ajouter : @ moi)

🔒
❌ À propos de FreshRSS
Il y a de nouveaux articles disponibles, cliquez pour rafraîchir la page.
Aujourd’hui — 29 mars 2024Analyses, perspectives

Attentat à Moscou : ne pas renoncer à comprendre

Le discours médiatique pointant l’Etat islamique comme le responsable final de l’effroyable attentat perpétré à Moscou se doit d'être interrogé. A plus forte raison en l’absence de preuves irréfutables comme […]

The post Attentat à Moscou : ne pas renoncer à comprendre appeared first on Investig'action.

Hier — 28 mars 2024Analyses, perspectives

Taxer les super-profits ? En voilà une bonne blague…

Face à l’effondrement en cours de nos finances publiques, à la recherche d’au moins 50 milliards € d’économies, beaucoup de Dr Folamour de l’équilibre budgétaire ont une idée lumineuse : taxer les super-riches, et spécialement les super-profits des méchantes grandes entreprises qui profitent de la situation. Lorsque, en 2022, le sujet vint sur la table, on parlait alors de 12 milliards de recettes possibles, et même plus. Ce n’était que justice : ceux qui profitent du capitalisme de connivence doivent payer leur écot à la cause de l’Etat. Mais, l’affaire a fait “pschitt”. Le gain final est inférieur à 4 milliards. C’est que : taxer les super-profits, tout le monde est pour. Mais un super-profit, c’est quoi au juste ? Le pouvoir n’est pas une affaire d’intention, mais de compétence.

C’est comme toujours en France, on dépense trop. Et pour éviter de se serrer la ceinture, on invente des cagnottes cachées dans lesquelles il suffirait de puiser pour vivre heureux et sans souci. La théorie des “super-profits” n’y échappe pas.

Mettons les choses au clair : toute réglementation génère ses super-profits. Lorsque le gaz russe a été banni par une réglementation limitant le libre-échange avec la Russie, mécaniquement, les Etats membres de l’UE ont fabriqué des super-profits pour les énergéticiens qui se sont mis à profiter de la hausse des prix. Sans ce choix de sanctionner la Russie, on ne parlerait pas de super-profits dans l’industrie.

Ce contenu est réservé aux abonnés

Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.

Connectez-vous si vous avez acheté un abonnement et/ou ce contenu.

S'abonner

Accédez à tous nos contenus.
Plus de 5 000 articles.

Acheter l'article

Déverrouillez cet article et obtenez un accès permanent pour le lire.

De l’opium pour le peuple ? L’Allemagne interdit le charbon et autorise le cannabis ! par Ulrike Reisner

A Pâques, les choses changent à Berlin : alors que le gouvernement fédéral fait fermer 15 centrales à charbon, la légalisation du cannabis entre en vigueur. On pourrait alors affirmer par dérision que le « changement d’époque » d’Olaf Scholz a définitivement commencé. Il l’avait annoncé lors de sa déclaration gouvernementale en février 2022, au début de la guerre en Ukraine. Mais en réalité, ces deux actions sont une preuve négative de l’échec total de l’élite dirigeante allemande. Celle-ci s’exerce à la politique des symboles sans évaluer le moins du monde les conséquences de ses actes pour l’Etat et la société.


Rappelons tout d’abord les faits : En 2024, le groupe énergétique RWE AG mettra à lui seul hors service des centrales au lignite d’une capacité de 2,5 gigawatts. Début avril, les trois unités de lignite du « bassin rhénan », qui avaient été activées par le gouvernement fédéral dans le cadre de la crise énergétique, seront définitivement fermées. En outre, les deux tranches de charbon de 600 mégawatts de Neurath, dont l’exploitation avait également été prolongée par la loi, seront arrêtées. Le lundi de Pâques dans toute l’Allemagne 15 centrales et unités de production d’électricité au charbon, représentant une puissance installée de 4,4 gigawatts, seront déconnectées du réseau.

Ce contenu est réservé aux abonnés

Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.

Connectez-vous si vous avez acheté un abonnement et/ou ce contenu.

S'abonner

Accédez à tous nos contenus.
Plus de 5 000 articles.

Acheter l'article

Déverrouillez cet article et obtenez un accès permanent pour le lire.

Un amendement du MoDem pour supprimer l’élection présidentielle au suffrage universel

Un amendement glissé dans un débat sur l’article 49-3: le député Erwan Balanant, du MoDem, a proposé de revenir à un collège électoral pour élire le président de la République. Soyez prévenus: si vous critiquez M’sieur Erwan, vous êtes d’une “ignorance crasse”, vous ne voulez pas d’une vraie démocratie, vous ne connaissez rien à l’argumentation des juristes etc….En réalité, la manoeuvre est grosse comme une ficelle: la caste se demande comment éviter l’arriver de Marine Le Pen à l’Elysée. Et puis Emmanuel Macron pourrait, avec un nouveau collège électoral, se représenter, n’est-ce pas?

Le député MODEM Erwan Balanant a déposé un amendement visant à supprimer l'élection du président de la République au suffrage universel. Il propose qu'il soit élu par un collège électoral pour 7 ans. La proposition a été rejetée mais le culot de ces macronards est ahurissant. https://t.co/rV7xNXwdE1 pic.twitter.com/HNpakL73ES

Ce contenu est réservé aux abonnés

Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.

Connectez-vous si vous avez acheté un abonnement et/ou ce contenu.

S'abonner

Accédez à tous nos contenus.
Plus de 5 000 articles.

Acheter l'article

Déverrouillez cet article et obtenez un accès permanent pour le lire.

Plucked Peacocks in Françafrique..

Par : AHH

Lost in the thunder of the two incendiary battlegrounds of the Ukraine and the Holy Land, the end of the western Age of Plunder is vividly demonstrated in the West African Sahel. Calm business arrangements are conducted with friendly states, even as the last US garrisons are dismantled, one by one.


💠 @Intel Slava Z:
⭕ 🇷🇺🇫🇷🇸🇳 SENEGAL: how Russia is destroying French neocolonialism

Historical events are brewing in another West African country, Senegal. Getting rid of the country’s neocolonial dependence on its former official metropolis – France.

Over the weekend, presidential elections took place here, in which the opposition candidate Bashiru Jumaye Faye is confidently leading (and may even win them in the first round, which will become known tomorrow), who, as part of his election promises, promised to review oil and gas deals with Western campaigns, including agreements with British Petroleum, Endeavor Mining and Kosmos Energy.

He also advocates a radical revision of relations between Senegal and France. And as part of this, Faye is going to follow neighboring Mali, Niger and Burkina Faso to leave the French currency system (by abandoning the CFA franc). And the French military will have to leave the country. By the way, sensing something was wrong, Paris had already announced a little earlier that it was sharply reducing the military contingent in the country (probably so that it would not be so shameful later). In return, he promises to take a course towards rapprochement with Russia.

Thus, France’s next major foreign policy defeat on the African continent looms on the horizon. Moreover, Senegal was a key player in the issue of the blockade of Niger, Burkina Faso and Mali, which had previously freed themselves from the influence of Paris. And the departure of Senegal from the CFA franc zone puts a final and fat cross on this system (which brought huge profits to France) and on which the entire system of French neocolonialism was essentially built.

And hence all of Macron’s current anti-Russian hysteria. He, like a plucked rooster, understands that he is losing to Russia and therefore becomes hysterical. And Ukraine for him is the last chance to spoil Moscow. But I think he will be disappointed here too.


💠 @Russian MFA:
⭕ 🇷🇺🇳🇪📞 President Vladimir Putin spoke over the phone with President of the National Council for the Safeguard of the Homeland of the Republic of Niger Abdourahamane Tchiani, who expressed solidarity with the Russian people and heartfelt condolences over the numerous victims of the heinous terrorist attack at Crocus City Hall.

In discussing the bilateral agenda, the Leaders expressed determination to step up political dialogue and develop mutually beneficial cooperation in various spheres.

They also exchanged views on the developments in the Sahel-Sahara region with an emphasis on coordination of security and counterterrorism efforts. 

💠 @Sputnik Africa:
⭕ 🇳🇪 US will plan for the “disengagement” of troops from Niger after its military pact with Washington ends, Niger’s interior minister says.

The statement was published on social media after Mohamed Toumba hosted US Ambassador Kathleen FitzGibbon for talks.

A spokesperson for the Nigerien military said in mid-March that the country’s transitional government, which took power in a coup last July, ended the agreement with immediate effect, citing the interests of the Nigerien people.

💠@Africa Intel:
⭕ 🇷🇺🌍 Putin discusses security cooperation with West and Central African leaders.

Russian President Vladimir Putin discussed security and economic cooperation with Mali’s junta leader Assimi Goita by phone on Wednesday, both countries said, a day after Putin held a similar call with the junta leader in neighbouring Niger.

“We discussed bilateral issues, particularly the security and economic areas,” Goita said. “We agreed to cooperate further in the fight against terrorism.” The Kremlin confirmed.

The call appeared to be part of a round of diplomatic exchanges Putin has made with West and Central African leaders since his re-election earlier this month.

The Kremlin said on Wednesday Putin and the leader of the Republic of Congo, Denis Sassou Nguesso, had agreed in a phone call to deepen political, economic and humanitarian ties.

On Tuesday, Putin spoke by phone with Niger’s junta leader, Abdourahamane Tiani and discussed a need to reinforce their security cooperation, according to Nigerien state television.


💠 @Arab_Africa:
⭕ 🇺🇸 The US is worried that Niger will replace its military with Russian mercenaries

This was stated by the Chairman of the House Armed Services Committee, Mike Rogers, at a hearing on the US military posture in the Middle East and Africa.

According to him, the recent expulsion of the US military from Niger may be linked to security talks with Iran and Russia that took place the day before.

“It looks like Niger will soon join Mali, Libya, Sudan, Mozambique and Burkina Faso in welcoming Russian troops and mercenaries into their country,” Rogers suggested. He also noted that China is at the same time seeking to expand its military presence beyond the PLA naval base in Djibouti.

“And they set up bases on the west coast to give the PLA strategic access to the Atlantic. China has already built and currently operates several major trading ports along the west coast of Africa,” the Republican reported.

Finally, Rogers warned that the US could lose the initiative due to inaction on the continent.

“Africa is of vital strategic importance to the United States. We cannot allow China or Russia to become their preferred security or business partner,” the American worries.
#нувыпонимаете
LOL


💠@Sputnik Africa:
⭕ “Atomexpo-2024,” the largest international forum on nuclear energy, was held on March 25-26 in Russia. Here are our publications not to be missed
🔸 Atomexpo-2024 nuclear industry forum breaks attendance record;
🔸 Rosatom signs roadmaps for developing cooperation on nuclear energy with Mali, and Burkina Faso and AlgeriaNOTE: the first two are members of the Sahelian Junta Belt..
🔸 “Russia will be able to better support Burkina Faso towards its energy independence,” a Burkinabe minister reveals details of the roadmap with Rosatom;
🔸 “Gold mined in Mali should be processed in Mali,” Malian minister of mines comments on the gold processing plant project with Russia;
🔸 Cooperation with Russia can help eliminate power shortages in Africa and advance Zimbabwe’s healthcare system, says minister;
🔸 Russia attracted Africans’ interest in nuclear energy because it’s a reliable partner, says a Rosatom official;
🔸 With the help of the agreements with Rosatom, Burundi intends to have a nuclear power plant that will help launch the country into industrial production, says a minister from the African country.

Federal Reserve Refuses to Provide Records of Foreign Gold Holdings

By Ken Silva Weeks after Federal Reserve Chairman Jerome Powell evaded a sitting congressman’s questions about the central bank’s foreign gold holdings, the Fed has...

Federal Reserve Refuses to Provide Records of Foreign Gold Holdings

Certains policiers sont-ils des flemmards qui viennent juste chercher un salaire ?

Certains milieux identitaires transforment les policiers en héros des temps modernes et soutiennent que toute critique contre les dysfonctionnements de la police au jour le jour relèveraient de la trahison nationale. Pourtant… gavés de primes en tout genre et soigneusement protégés par le ministère de l’Intérieur, certains policiers ne donnent pas le sentiment d’avoir l’intérêt général chevillé au corps et, disons-le, font honte au jour le jour au service public et à sa noblesse. On en veut pour preuve le récit d’un médecin, menacé dans l’exercice de ses fonctions… et mal traité par le policier auprès de qui il voulait porter plainte.

Kevin Arnold est interne en troisième année de médecine générale. Son histoire est racontée par le très sérieux et très macroniste Quotidien du médecin :

Mi-décembre, un patient d’une quarantaine d’années consulte pour « un problème de dos ». Il refuse l’examen clinique et réclame d’emblée une prescription de médicament. Le généraliste en formation le recadre et lui explique calmement qu’il ne délivre pas de prescriptions sans examen préalable.

Le patient se montre de plus en plus agressif et menaçant, et exige le nom et le matricule du jeune interne pour se plaindre… à la Sécu. (…)

« Mais j’étais quand même un peu perturbé », poursuit l’interne, qui, sur les conseils de l’Ordre et de son maître de stage, décide de porter plainte au commissariat. Coup de chance, il est reçu tout de suite. Mais à partir de ce moment, Kévin va enchaîner les déconvenues. « Quand je leur ai parlé du protocole établi entre l’Ordre, la police et le préfet pour les dépôts de plainte des médecins, ils m’ont regardé l’air de dire : “Il est bien gentil celui-là, de quoi nous parle-t-il” ». L’agent censé prendre sa déposition fait tout pour le décourager, arguant qu’il a besoin d’éléments supplémentaires pour qualifier l’infraction. « Le patient n’avait pas menacé de me péter les dents ou de me tuer », grince la victime. « Ne pas vouloir écouter mon histoire, montrer des signes d’impatience et attendre d’une certaine façon que je renonce à déposer plainte, bref, l’attitude des policiers m’a presque plus choqué que mon agression elle-même », se désole le jeune interne. « On ne s’attend pas à être reçu de cette manière et à se retrouver soi-même à la place du suspect », ajoute-t-il.

Le Quotidien du médecin

Un jeune interne agressé dans un cabinet médical qui se retrouve dans la position de l’accusé lorsqu’il tente de porter plainte au commissariat ? Un policier qui a manifestement autre chose à faire que de servir le public ?

Mais non, il faut être gauchiste pour imaginer une affaire aussi rocambolesque concernant Saint-Poulet.

Bonjour 👋
Ravi de vous rencontrer.

Inscrivez-vous pour recevoir chaque jour les articles publiés la veille dans votre boîte de réception.

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Nous vous remercions pour votre inscription. Vous recevrez notre prochaine newsletter dans moins de 24 heures.

Le groupe parlementaire écologiste ne suspend pas Julien Bayou

Accusé de violences psychologiques par son ex-compagne, le député Julien Bayou ne sera pas suspendu par son groupe parlementaire. Le groupe écologiste à l'Assemblée nationale a pris cette décision à l'issue d'un vote à bulletin secret, mardi 26 mars. De nombreux votes blancs ont empêché d'atteindre le seuil des 60 %, nécessaire à la suspension de l'élu, d'après les informations recueillies par franceinfo.
« Nous déplorons ce résultat, qui n'est pas à la hauteur de nos engagements pour la lutte contre les (...)

Lire la suite - En bref / ,

Arrêtons le commerce d’armes avec Israël. Embargo militaire, MAINTENANT !

Par : INTAL

Selon un sondage de YouGov, les trois quarts de la population belge souhaitent la fin du commerce d'armes entre la Belgique et Israël. Pourtant, les gouvernements de notre pays n'imposent […]

The post Arrêtons le commerce d’armes avec Israël. Embargo militaire, MAINTENANT ! appeared first on Investig'action.

Les « kargo » d'Istanbul, l'autre facette de la Turquie-Afrique

Les Turcs éliront leurs maires ce 31 mars. À Istanbul, où la campagne électorale se joue sur le terrain du nationalisme, les Africains venus faire du business sont malmenés. Ces dernières années, nombre d'entre eux s'y sont installés, et se sont fait une place dans le commerce à la valise et dans les sociétés de transport de marchandises appelées « kargo ».

L’avocate à l’origine des allégations de “viols par le Hamas” dénoncée pour imposture

Des fonctionnaires israéliens affirment que Cochav Elkayam-Levy a a cherché à gagner des millions en diffusant des fake news, selon lesquelles le Hamas aurait perpétré des viols massifs le 7 […]

The post L’avocate à l’origine des allégations de “viols par le Hamas” dénoncée pour imposture appeared first on Investig'action.

Attal conduit-il la France dans un scénario à la grecque ou à l’argentine ?

Hier, Attal a profité de l’absence de Macron et de quelques autres (en voyage au Brésil) pour parler dans le poste. Le Premier Ministre a expliqué les différentes mesurettes qu’il compte prendre, et que nous avions détaillées, pour résoudre la crise systémique des finances publiques. Aucune réforme d’ampleur n’est prévue. L’engrenage se met en place : le canoë France s’approche du gouffre, et les rameurs n’ont pas la force de remonter le courant. Allons-nous vers un scénario à la grecque ? ou à l’argentine ?

Gabriel Attal a fait le choix de parler dans le poste, hier, pour expliquer les mesures qu’il comptait prendre pour endiguer la crise des finances publiques. Nous avions déjà annoncé l’essentiel (et même un peu plus). De l’intervention d’Attal, on retiendra plusieurs points :

  • le Premier Ministre a dicté sa feuille de route pour un durcissement des conditions d’indemnisation du chômage. On parle désormais de limiter l’indemnisation à 14 ou 15 mois, contre 18 mois aujourd’hui, et de diminuer l’indemnisation elle-même
  • pour le reste, Gabriel Attal a laissé planer le doute sur les augmentations d’impôt
  • il a écarté des augmentations d’impôts pour les classes moyennes et pour les entreprises
  • mais cette affirmation est bien vague : quid de la fiscalité écologique ? de celle des dividendes, si importante pour les entrepreneurs ?
  • la taxations des super-profits devrait être améliorée (càd mise réellement en pratique)

Mais on voit bien ce qui manque dans cette logique. Gabriel Attal effleure les sujets, se contente d’un catalogue de mesures éparses. Il n’entreprend aucune réforme de l’action publique destinée à diminuer durablement les dépenses.

Ce contenu est réservé aux abonnés

Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.

Connectez-vous si vous avez acheté un abonnement et/ou ce contenu.

S'abonner

Accédez à tous nos contenus.
Plus de 5 000 articles.

Acheter l'article

Déverrouillez cet article et obtenez un accès permanent pour le lire.

L’attentat du Crocus City Hall, hypothèses et conséquences

par Caroline Galactéros. Quels sont les faits ? Quelles sont les hypothèses concernant les motivations des exécutants et commanditaires de cet acte ? Et enfin, quelles vont en être les conséquences ?

Le système fermé du capitalisme de guerre

Le système économique et politique occidental est "désespérément dépassé et devient donc un système fermé et totalitaire", affirme l'universitaire italien Fabio Vighi. Les quelques super-riches (0,01 %) qui profitent encore du système capitaliste sont prêts à tout pour prolonger son existence. La dernière astuce des banquiers pour gérer et ralentir l'effondrement est toujours la même : la guerre

L’article Le système fermé du capitalisme de guerre est apparu en premier sur Strategika.

UN MONDE QUI CHANGE ENTRETIEN AVEC ERIC DENECE

Eric Dénécé est un spécialiste français du renseignement et de l’intelligence économique. Directeur du Centre français de Recherche sur le Renseignement, qu’il a fondé. SOMMAIRE : I) Analyse de l’attentat de Moscou II) Instabilité stratégique et dissuasion nucléaire III) Le… Lire la suite

TotalÉnergies fête ses 100 ans : retour sur ses méfaits en 5 dates clés

Naufrage de l'« Erika », oléoduc géant en Afrique du Sud, désinformation... Alors que la major pétrogazière TotalÉnergies fête ses 100 ans, Reporterre vous retrace sa longue vie de méfaits écologiques.
« TotalÉnergies, pionniers depuis cent ans. » Sur son site, la multinationale française du pétrole célèbre fièrement son anniversaire : en mars 1924 était créée la Compagnie française des pétroles, ancêtre de l'entreprise actuelle. Le 26 mars dernier, elle fêtait son bilan centennal en grande pompe en organisant une (...)

Lire la suite - Info / ,

Obligation vaccinale : les aumôniers militaires US suspendus saisissent la Cour Suprême

Fin 2021, tous les membres devaient compléter leur parcours vaccinal avant le 28 décembre 2021 sous peine de renvoi. Théoriquement, les membres de l’armée de l’air pouvaient demander une exemption pour des raisons religieuses ou médicales. Malheureusement, cette clause n’a pas respecté. Actuellement, un groupe d’aumôniers militaires a saisi la Cour suprême pour contester les politiques du ministère de la Défense liées à la COVID-19, alléguant qu’elles ont contraint les objecteurs religieux à quitter les forces armées.

Le 10 janvier 2023, le Pentagone avait abrogé l’obligation vaccinale anti- Covid-19 pour les militaires américains, imposée précédemment par le Congrès dans la loi sur la défense nommée National Defense Authorization, qui obligeait le Pentagone à mettre fin au mandat de vaccination contre le Covid-19 des marines et soldats américains. Récemment, les aumôniers militaires ont saisi la Cour suprême, ces derniers affirment que les politiques du ministère de la Défense punissent injustement ceux qui ont soumis des objections religieuses à l’obligation vaccinale COVID-19, entraînant des conséquences professionnelles négatives.

Appel des aumôniers militaires devant la Cour Suprême

Les aumôniers militaires ont déposé un appel devant la Cour suprême après que le quatrième circuit ait rejeté leur affaire. Ils demandent des mesures provisoires pour protéger leur carrière et contester les politiques du ministère de la Défense, qu’ils estiment discriminatoires envers ceux qui ont déposé des objections religieuses à la vaccination obligatoire contre la COVID-19.

Ce contenu est réservé aux abonnés

Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.

Connectez-vous si vous avez acheté un abonnement et/ou ce contenu.

S'abonner

Accédez à tous nos contenus.
Plus de 5 000 articles.

Acheter l'article

Déverrouillez cet article et obtenez un accès permanent pour le lire.

L’acharnement d’Israël contre l’UNRWA est aussi terrible qu’absurde

Les États-Unis et plus d’une douzaine d’autres pays ont interrompu leur aide à l’Office de secours et de travaux des Nations unies, aggravant ainsi la crise humanitaire à Gaza sur la base d’accusations auxquelles les services de renseignement américains n’accordent qu’une « faible confiance ». C’est aussi cruel et absurde que toute cette guerre.

Source : Jacobin, Branko Marcetic
Traduit par les lecteurs du site Les-Crises

Une vue de la destruction résultant des attaques israéliennes au siège de l’UNRWA dans la ville de Gaza, Gaza, le 21 février 2024. (Dawoud Abo Alkas / Anadolu via Getty Images)

Une fois de plus, on constate que les allégations du gouvernement israélien utilisées pour justifier la pression exercée par les États-Unis en vue d’intensifier le massacre à Gaza se révèlent aussi peu convaincantes que beaucoup l’avaient prédit au départ.

La semaine dernière, le Wall Street Journal a rapporté que le Conseil national du renseignement américain (un groupe de dix-huit experts et analystes politiques qui évaluent les problèmes urgents de sécurité nationale pour les agences de renseignement américaines) n’avait qu’une « faible confiance » dans les affirmations israéliennes selon lesquelles une douzaine d’employés de l’Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNRWA) auraient pris part aux attentats du 7 octobre. Cela signifie, selon le document, qu’ils estiment que ces affirmations sont « plausibles », mais qu’ils ne peuvent rien dire de plus, car ils ne les ont pas vérifiées de manière indépendante et leurs homologues israéliens ne leur ont pas montré les preuves sous-jacentes. Néanmoins, Washington a jugé ces allégations « crédibles », a assuré un fonctionnaire américain sous couvert d’anonymat au journal.

Lire la suite

West’s Geoeconomic Gamble behind Gaza Genocide

Par : AHH

After blocking Russian and Iranian gas pipelines to Europe and working to decouple from China, the combined West put their eggs into the Leviathan basket off Gaza and the IMEC connectivity corridor over the revitalized ancient Silk Roads…

To Rafah, or not to Rafah, that is the question

Par : AHH

All eyes are on Rafah as Israel prepares to mount an invasion to expel Palestinians or decimate them. It is this pivotal battle that will either force Israel into a ceasefire or thrust the region into an all-out, multi-front war.

By Tawfik Chouman at The Cradle.

The Battle of Rafah: a short step to regional war

The temporary truce struck on 24 November between the Hamas resistance movement and the Israeli government could have paved the way toward successive truces and potentially a sustainable ceasefire in the Gaza Strip.

But the opportunity was squandered by Tel Aviv, who viewed the continuation of its genocidal war as a means to reshape Gaza’s political and security landscape under the guise of ‘restoring deterrence’ and mitigating domestic fallout from Hamas’ 7 October Al-Aqsa Flood Operation.

Now, nearly six months since the commencement of what Israel calls a ‘war of survival and existence’ against Gaza, it has become clear that the occupation state’s military aggression cannot unseat Hamas from either the Strip or the broader Palestinian political arena.

The recent flurry of indirect Hamas–Israel negotiations held in Paris, Cairo, and Doha have revealed a stark political reality: Hamas is the primary Palestinian negotiating party where Gaza is concerned. This tacit acknowledgment by Tel Aviv marks the strategic failure of one of Israel’s dual objectives set forth last October, aimed at eradicating Hamas and its allied resistance factions in the Strip.

Bibi’s political interests v domestic backlash

This reality raises questions about the potential pathways available to Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu as he struggles with immense international pressure to stop the carnage. Will he persist with the war on Gaza and risk global pariah status, or will he be compelled to pursue a politically costly settlement? The latter option, it should be noted, will not be an easy fix. It could potentially unleash a storm of domestic backlash within Israel, with various political factions eager to hold him accountable from multiple angles.

Since Netanyahu abandoned the truce in November, prominent Israeli political commentators and even former prime ministers have been surprisingly unanimous in their assessment. They argue that Netanyahu’s decision to prolong the war serves mainly his personal political interests, allowing him to project an illusion of victory while evading political, security, and judicial scrutiny.

Accordingly, Netanyahu’s stance remains firmly opposed to a war settlement. He has instead doubled down on the necessity of eliminating the military capabilities of Hamas and its allies, and is ostensibly pursuing an ‘absolute victory’ through total war.

The prime minister’s roadmap hinges on continuing the ethnic cleansing of Gaza. In this scenario, he envisions the Battle of Rafah as the decisive climax that will definitively render the already terminal ‘two-state solution’ obsolete and permanently sever any ties between Gaza and the occupied West Bank.

The Battle of Rafah thus emerges as a pivotal juncture, delineating two competing trajectories: one driven by regional and international efforts towards a negotiated settlement, and the other dictated solely by Netanyahu’s ambitions.

Regional ramifications and Egypt’s dilemma

This raises complex questions about whether Netanyahu can prolong the war and influence regional and international actors – to buy time, if you will – all while factoring in the delicate balance of power involving Egypt and the wider regional war against other members of the Axis of Resistance.

Indeed, the Battle of Rafah presents a multi-level challenge for Egypt, encompassing political, security, and popular dimensions. Should the Israeli army invade Rafah, it will have significant implications for Cairo’s relations with Tel Aviv, in addition to severely impacting Egypt’s domestic security landscape.

A recent poll by the Washington Institute for Near East Studies revealed that three-quarters of Egyptians view Hamas positively. This popular sentiment influences Egyptian policy regarding potential Israeli actions in Rafah.

On 10 March, The New York Times and Wall Street Journal reported warnings from Egyptian officials on the potential suspension of the Camp David Accords if Israel were to attack Rafah.

Diaa Rashwan, head of the Egyptian Information Service, emphasized the seriousness of Israel’s occupation of the Philadelphi Corridor – a buffer zone on the Sinai–Gaza border designated by the Camp David agreement – stating it poses a grave threat to Cairo–Tel Aviv relations.

Dealing with the potential mass influxes of Gazan civilians seeking refuge and Palestinian fighters crossing into Egyptian territory also poses significant logistical and security challenges. This scenario also raises questions about the Israeli army’s potential incursions into Egyptian territory and how the Egyptian military would respond.

Moreover, any intensification of pressure on Rafah or a full-scale Israeli invasion will lead to widespread regional ramifications, potentially including the unraveling of the Abraham Accords. The Axis of Resistance has made it clear that the elimination of Hamas is unacceptable and, if threatened, may trigger a regional war.

Complicating matters further is the lack of substantive US pressure on Israel to halt its actions in Gaza. While the Biden White House seeks a ‘credible operational plan,’ it has not unequivocally opposed an attack on Rafah. This ambivalence enables and even emboldens Netanyahu to continue his military operations.

Rafah could reshape the region 

Regardless of the outcome of the Battle of Rafah, both Israeli and US perspectives interpret it as a campaign directed against Hamas, which they view as an extension of Iranian influence in the region. This narrative aligns with what Thomas Friedman, writing for the New York Times, referred to as the new “Biden Doctrine,” which emphasizes confronting Iran and its allies in West Asia. This marks a significant shift in US strategy since 1979.

The convergence of US and Israeli interests casts suspicion on ongoing efforts to bring about a long-term ceasefire, with all eyes focused on the current round of talks in Doha. Amos Harel, writing for Haaretz, frames the discussions as a race toward either a negotiated ceasefire or a potentially expansive regional conflict involving multiple fronts.

Yemen’s Ansarallah movement, which last week expanded its naval operations into the Indian Ocean, has issued a stark warning against a Rafah invasion, threatening a sharp escalation in both sea and air operations, including the closure of the Bab al-Mandab Strait.

Similarly, the Lebanese front remains sensitive to developments in Rafah. Despite the northern front’s expansion since the onset of 2024, recent Israeli attacks targeting Baalbek, over 100 kilometers from the southern border, suggest Tel Aviv’s misguided willingness to escalate.

This possibility could spill over into reality if Israel invades Rafah, as the occupation army may resort to preemptive actions to mitigate perceived threats from Lebanese resistance forces.

Overall, the Battle of Rafah will likely reshape the regional conflict, adding new layers to existing pressure fronts. Importantly, it challenges the notion that Hamas stands alone, abandoned in Rafah, as various regional actors, including Iran and its allies, are closely watching and prepared to intervene.

Malgré l'Accord de Paris, feu vert pour 20 nouveaux gisements pétrogaziers en 2023

Au moins vingt développements de champs pétroliers et gaziers ont fait l'objet d'une décision finale d'investissement en 2023. Ils devraient déboucher sur une production de 8 milliards de barils équivalent pétrole (bep), selon l'édition annuelle du Global Oil and Gas Extraction Tracker, publiée par l'ONG étasunienne Global Energy Monitor jeudi 28 mars.
En outre, dix-neuf nouveaux gisements contenant environ 7,7 milliards de barils ont été découverts en 2023. D'ici la fin de la décennie, les entreprises (...)

Lire la suite - En bref / ,

ALERTE : les amis de Bayrou veulent faire payer le déficit aux entrepreneurs

Il y a donc deux France : d’un côté, celle des bureaucrates qui ont la garantie de l’emploi et qui creusent les déficits, de l’autre côté, celle des entrepreneurs qui se battent pour créer des richesses, qui risquent tout chaque jour, et qui sont allègrement tondus par la bureaucratie. Pour combler le déficit, François Bayrou et ses amis ont clairement choisi leur camp : ce sera celui des creuseurs de déficit. Les entrepreneurs paieront ! L’un des députés MODEM, Jean-Paul Mattéi, pourrait voir triompher l’idée qu’il ressort chaque année : le relèvement du taux du prélèvement forfaitaire unique sur les dividences, une mesure qui étrangle des entrepreneurs déjà surtaxés. Il faut s’organiser dès maintenant pour bloquer cette mesure scélérate.

Chaque année, ce notaire des Pyrénées-Atlantiques, département où sévit le septuagénaire François Bayrou, élu député après avoir été maire de la mystérieuse commune de Ger, propose la même chose : faire les poches des entrepreneurs en augmentant le prélèvement forfaitaire unique grâce auquel les entrepreneurs ne sont imposés qu’à 50% sur leurs dividendes. Rappelons-le, si, facialement, le prélèvement forfaitaire unique est à 30%, il intervient après l’impôt sur les sociétés, qui est de 25%.

Donc, un entrepreneur qui réalise 100.000€ de bénéfices, commence à en verser 25.000 au titre de l’impôt sur les bénéfices. Puis, s’il se verse les 75.000€ restants sous forme de dividendes, il doit ensuite payer une taxe de 30%, soit 22.500€. Ne restent donc que 52.500€ sur les 100.000€ initiaux… un niveau de taxation qu’aucun député n’accepterait pour lui-même, redisons-le inlassablement.

Ce contenu est réservé aux abonnés

Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.

Connectez-vous si vous avez acheté un abonnement et/ou ce contenu.

S'abonner

Accédez à tous nos contenus.
Plus de 5 000 articles.

Acheter l'article

Déverrouillez cet article et obtenez un accès permanent pour le lire.

Pour combler le déficit, Macron exonère les privilégiés et saigne les plus faibles

Après le coup de calebasse du déficit 2023 annoncé à 4,9% du PIB et malencontreusement effondré à 5,5% sans que personne ne s’en aperçoive, Macron est aux abois. Il n’a guère envie de consacrer du temps à ces menues choses qui concernent la vie quotidienne des Français, et préfère s’occuper de combattre l’ogre russe. Mais il a bien conscience qu’il va falloir satisfaire les agences de notation et convaincre les créanciers de continuer à acheter de la dette française. Solution ? on commence par serrer les vis des plus faibles, et à ne pas fâcher les privilégiés du régime : cette fameuse bureaucratie qui fait et défait les Présidents.

Donc, on le sait pertinemment maintenant, Bercy n’a pas vu le déficit 2023 exploser bien au-delà de ce que le Parlement avait voté. Et la Cour des Comptes, avant même ce dérapage, avait demandé 50 milliards d’économies pour tenir les engagements européens de la France et revenir aux fameux 3% de déficit de Maastricht. Nous reviendrons rapidement sur les demandes foisonnantes du parti de l’impôt, qui réclame des hausses de la pression fiscale tous azimuts.

D’ici là, on relèvera les premières pistes d’économies affichées par le gouvernement dans la presse :

Ce contenu est réservé aux abonnés

Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.

Connectez-vous si vous avez acheté un abonnement et/ou ce contenu.

S'abonner

Accédez à tous nos contenus.
Plus de 5 000 articles.

Acheter l'article

Déverrouillez cet article et obtenez un accès permanent pour le lire.

Head Librarian Shushed out of Circulation by Woke Mob

By Casey Riley Cathy Simpson, 60, the well-liked and respected Chief Librarian and CEO of the NOTL Public Library, serving the sleepy Canadian tourist town...

Head Librarian Shushed out of Circulation by Woke Mob

À partir d’avant-hierAnalyses, perspectives

Un avertissement venu du “Old Deep State”: Macron conduit à une guerre nucléaire

Ce sont des anciens des services secrets. Ils ont participé à la politique d’hégémonie américaine mais ils détestent l’idéologie des néoconservateurs. C’est pourquoi je les appelle, ironiquement, le ‘Vieil Etat Profond”. Ils sont réunis dans le groupe Veteran Intelligence Professionals for Sanity. (Ancien du Renseignement Chevronnés pour le Bon Sens). Il faut les écouter attentivement! Ils ont écrit à Biden pour l’avertir: Emmanuel Macron ne prend pas les Russes au sérieux. Il ne croit pas que les Russes frapperont des troupes françaises au sol. Par inconscience, il pourrait entraîner, au bout d’une chaîne de réactions, les Etats-Unis dans un affrontement nucléaire avec la Russie. Retenons en particulier cette phrase: “Un (…) facteur inquiétant est que les Russes sont susceptibles de croire que la folie de Macron a l’approbation tacite de certains responsables américains et occidentaux, qui semblent désespérés de trouver un moyen de modifier la trajectoire de la guerre en Ukraine – d’autant plus que les élections approchent”.

Ce texte est paru sur InformationClearingHouse.blog. C’est la rédaction du Courrier des Stratèges qui est responsable des intertitres et des passages soulignés.

Ce contenu est réservé aux abonnés

Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.

Connectez-vous si vous avez acheté un abonnement et/ou ce contenu.

S'abonner

Accédez à tous nos contenus.
Plus de 5 000 articles.

Acheter l'article

Déverrouillez cet article et obtenez un accès permanent pour le lire.

RI Zap du 27.03 : Un avenir macabre où la mort règne en reine suprême de l’organisation sociale

Flicage des chômeurs, flicage des allocataires du RSA, flicages des citoyens dans l’espace public, flicages des opposants, flicages des réseaux sociaux. Il s’agit de faire tomber les espoirs d’émancipation par un discours sur les devoirs.

Federal Reserve’s ‘Doomsday Book’ Reveals Vast Power Claimed by Central Bank

By Ken Silva After years of speculation, the Federal Reserve has released its so-called “Doomsday Book”—an internal document that outlines the vast power the central...

Federal Reserve’s ‘Doomsday Book’ Reveals Vast Power Claimed by Central Bank

State Farm Insurance Drops 72,000 California Properties

By Tyler Durden State Farm will not renew approximately 72,000 property and commercial apartment policies, of which approximately 30,000 will be for ‘homeowner, rental, rental,...

State Farm Insurance Drops 72,000 California Properties

Nouveau retard sur l'EPR de Flamanville, qui était prévu pour... 2012

Le chargement du combustible de l'EPR de Flamanville (Manche) a été repoussé à la mi-avril, a annoncé l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN), mardi 26 mars. Cette opération était auparavant prévue le 31 mars dans le calendrier établi par EDF.
Ce nouveau retard est dû à de dernières vérifications de conformité sur certains équipements sous pression, comme la cuve. Cela a rallongé l'instruction du dossier, qui ne s'est finalement achevée que « la semaine dernière », a indiqué l'ASN à l'Agence France-Presse. Elle doit (...)

Lire la suite - En bref / ,

Le jeu psychologique de Macron pour maintenir en l’air le ballon crevé d’une «UE géopolitique»

par Alastair Crooke. L'opinion générale en Europe était que Macron jouait à des jeux d'esprit complexes. Néanmoins, il semble que les coups de sabre de Macron pourraient avoir une certaine substance.

Mort de Marczak

par Patrick Reymond. Personne ne connait Marczak, c'était un général polonais. Il est mort naturellement, nous dit-on. Il est vrai qu'il est naturel de mourir quand on se reçoit un Iskander sur la tronche, en Ukraine.

Pourquoi la France, la Pologne et la Roumanie ont été choisies pour la guerre avec la Russie

Une fois que les contingents de l'OTAN seront sur le territoire de l'Ukraine, cela signifiera le début de la partition du territoire dans des conditions extrêmement défavorables à la Russie.

Europe : Les soldats et les jeunes fuient les armées

par Pierre Duval. Les appels lancés par les dirigeants de l'OTAN pour recruter des soldats dans une croisade contre la Russie sont boudés par les recrues qui ont commencé à fuir. 

Map. The North Atlantic Treaty Organisation (NATO) in 2024

As of mid-March 2024, 23 member countries of the EU-27 are members of NATO-32. Most EU member states are therefore also members of NATO, including France. This dual NATO/EU membership results in subtle issues.

- Union européenne / , , , , , , ,

Note d’alerte du groupe de pilotage des anciens du Renseignement US à l’attention du président US Biden

La France s'apprêterait à envoyer en Ukraine une force d'environ 2000 hommes. Cela reviendrait à introduire des troupes de combat d'un pays de l'OTAN sur un théâtre de guerre, ce qui en ferait des «cibles légitimes».

À Saint-Denis, les JO transforment une piscine gratuite en centre aquatique privé

Gratuite et gérée par le département, la piscine de Saint-Denis est remplacée par une structure privée, construite pour les Jeux olympiques. Ce revirement risque d'éloigner de nombreux riverains de cet équipement de proximité.
Saint-Denis, La Courneuve et Stains (Seine-Saint-Denis), reportage
« On nous jette comme des vieilles serviettes ». Depuis les marches de la vieille piscine de Marville, à Saint-Denis, les agents regardent avec amertume le centre aquatique flambant neuf, situé à 300 mètres de là. (...)

Lire la suite - Reportage / , ,

Santé mentale: les garçons plus affectés que les filles durant le COVID, selon une étude

A cause de la crise COVID, nombreux jeunes ont été confrontées au stress, à la solitude, à la peur de la maladie, à l’anxiété … une nouvelle étude menée par des chercheurs de plusieurs universités britanniques révèle des différences importantes entre les garçons et les filles quant à l’impact de la pandémie sur leur santé mentale. Nombreux sont les jeunes garçons qui ont développé des sentiments dépressifs. En 2022, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, patron de l’OMS, avait déclaré que « les informations dont nous disposons actuellement sur l’impact de la COVID-19 sur la santé mentale dans le monde ne sont que la partie émergée de l’iceberg ». Pourtant c’est l’OMS qui a davantage encouragé ces politiques « enfermistes », comme toujours, l’OMS est dans son rôle favori celui du pyromane qui se fait pompier.

La crise du COVID a entraîné des conséquences considérables sur la santé mentale des adolescents à travers le monde. Selon une étude menée par les scientifiques de l’Université de Liverpool, de l’Université métropolitaine de Manchester, de l’Université de Reading et du King’s College de Londres, la pandémie de Covid-19, l’effet négatif de la pandémie du Covid-19 sur la santé mentale a été plus important chez les garçons que chez les filles. Les résultats ont été publiés dans le Journal européen de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent. En effet, si le Covid-19 a affecté physiquement les individus, il a également mis en exergue la hausse des syndromes dépressifs, notamment chez les jeunes.

Ce contenu est réservé aux abonnés

Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.

Connectez-vous si vous avez acheté un abonnement et/ou ce contenu.

S'abonner

Accédez à tous nos contenus.
Plus de 5 000 articles.

Acheter l'article

Déverrouillez cet article et obtenez un accès permanent pour le lire.

Israël a menti et présenté de fausses « preuves » devant la Cour Internationale de Justice

Par exemple, Israël a prétendu qu’une image montrait des camions d’aide entrant dans la bande de Gaza alors qu’ils étaient en fait en train de la quitter.

Source : Truthout, Sharon Zhang
Traduit par les lecteurs du site Les-Crises

Camp de réfugiés palestiniens de Maghazi : Enfants au milieu des décombres d’un immeuble gravement endommagé par les bombardements israéliens, dans le centre de la bande de Gaza, le 27 février 2024. AFP VIA GETTY IMAGES

Une analyse approfondie des arguments présentés par les avocats d’Israël dans le cadre de sa défense lors du procès pour génocide intenté par l’Afrique du Sud montre que l’équipe juridique d’Israël a formulé des affirmations fallacieuses ou induisant en erreur concernant les preuves présentées à la Cour, ce qui affaiblit sa thèse quant au bien-fondé du massacre perpétré dans la bande de Gaza..

Ainsi, selon les avocats, Israël avait de bonnes raisons de lancer des raids sur les hôpitaux de Gaza, comme Al-Shifa dans la ville de Gaza, et qu’il avait autorisé une quantité suffisante d’aide humanitaire dans la région, alors qu’une analyse plus minutieuse effectuée par Forensic Architecture, un groupe de recherche de Goldsmiths, l’université de Londres, conclut dans son rapport publié cette semaine que les avocats d’Israël ont dénaturé les éléments de preuve qu’ils ont soumis à la Cour internationale de justice (CIJ).

Lire la suite

Yémen. Le socialisme dilué dans le séparatisme sudiste

De la République populaire et démocratique du Yémen, unique État marxiste dans le monde arabe, au mouvement sécessionniste sudiste, la trajectoire du socialisme au Yémen apparaît bien singulière. Le passage au pouvoir jusqu'en 1990 n'a empêché ni le désenchantement ni la relégation. Le parti socialiste s'est depuis trois décennies largement enfermé dans des logiques identitaires, instrumentalisées par les puissances régionales.

La gauche au Yémen, comme ailleurs dans le monde arabe, est un objet devenu fuyant. Elle s'est graduellement vu marginaliser, ne comptant plus vraiment aujourd'hui en tant que force politique de premier plan. Restent la nostalgie, quelques atavismes et parfois des positionnements géopolitiques baroques lui permettant de survivre sans jamais réellement peser.

L'une des spécificités du Yémen est liée à une longue expérience socialiste au pouvoir. Pendant deux décennies, alors que le pays était divisé en deux entités indépendantes héritières des découpages de l'ère coloniale, le Parti socialiste yéménite (PSY), créé en 1978, et ses prédécesseurs issus du soulèvement anticolonial débuté en 1963 contre les Britanniques, ont présidé de façon autoritaire aux destinées du Yémen du Sud. Depuis la capitale Aden, autrefois port de rayonnement international et joyau de l'Empire, les dirigeants socialistes ont exercé de 1967 à 1990 un pouvoir centralisé, fortement idéologisé. Celui-ci était porté par une volonté d'exporter leur révolution, en particulier dans l'Oman voisin et la région du Dhofar, ainsi qu'au Yémen du Nord, à travers le soutien fourni à la guérilla du Front national démocratique à la fin des années 1970. Les socialistes ont œuvré pour transformer la société et l'économie du Yémen du Sud à coup de nationalisations et de purges, et grâce à l'appui des parrains extérieurs est-allemands, soviétiques et chinois. Aden était alors un phare du camp socialiste, lieu de refuge et d'entraînement de militants, parfois armés tels ceux du Front populaire de libération de la Palestine (FPLP) emmené par Georges Habache, ou de l'Allemand Hans-Joachim Klein et du Vénézuélien Ilich Ramírez Sánchez, dit Carlos.

L'État marxiste défait

Mise sous pression par le projet socialiste, la société traditionnelle locale — dans laquelle les tribus et les acteurs religieux sont centraux — a toutefois survécu, en particulier dans les campagnes et dans la région orientale du Hadramaout. Les structures n'ont en réalité guère évolué, faute de ressources, mais aussi en raison de la faiblesse de l'urbanisation et d'une importante population émigrée (en particulier dans les monarchies du Golfe), qui a trouvé hors du Yémen une protection face aux politiques volontaristes socialistes, souvent brutales, et des moyens de préserver ses intérêts financiers.

Malgré sa vulgate progressiste, la République populaire et démocratique du Yémen était elle-même traversée par des tensions inter régionales déguisées en divergences idéologiques. Cela a notamment abouti en janvier 1986 à un épisode d'une violence rare, faisant plusieurs milliers de morts, et dont l'impact est encore fort parmi les élites du Sud. Cette brève guerre civile1 a entraîné l'exil de certains et un fort ressentiment. Une opposition est née de l'époque, entre le groupe dit Al-Zoumra dirigé par Ali Nasser Mohammed (président du Sud de 1980 à 1986) et plus marginalement Abd Rabbo Mansour Hadi (président de 2012 à 2022) qui trouve ses principaux soutiens dans la région d'Abyan d'un côté, et la faction alors victorieuse surnommée Al-Toughma conduite par Ali Salim Al-Bidh dont la base principale se trouve dans le Hadramaout de l'autre. Cette opposition continue de structurer les débats et les inimitiés au sein de la gauche sudiste.

Cet échec du pouvoir marxiste n'a jamais été totalement digéré. Il a fini par reconfigurer la place des socialistes en tant que mouvement d'opposition depuis la fin de la Guerre froide, l'unification des deux Yémen le 22 mai 1990, et la chute de l'État socialiste. Plutôt que d'incarner une alternative politique claire, fondée sur le plan économique par des stratégies différentes de celles proposées par Ali Abdallah Saleh, président du Yémen unifié jusqu'en 2012, le parti socialiste yéménite s'est largement transformé en défenseur d'une identité sudiste qu'il a volontiers cherché à définir comme spécifique, distincte de l'identité nationale et donc opposée à celle dite du Nord. La défense des classes laborieuses s'est largement mue en construction d'une nation sudiste.

Sur la route de l'exil

Au lendemain de l'unité, cette logique, adossée à la volonté des leaders socialistes de sauvegarder leurs prérogatives et leur accès aux ressources de l'État, a grandement structuré l'attitude du Parti socialiste yéménite. Pendant quatre années, l'accord entre le Nord et le Sud a préservé une phase de transition qui offrait des postes de commandement aux socialistes, notamment le rang de vice-président à Ali Salem Al-Beidh, en plus du maintien des forces armées du Sud sous commandement autonome.

Certes, l'unité du Yémen a acté la domination du Nord, entraînant des spoliations et des discriminations au moment de la reprivatisation des terres, cependant les élites socialistes n'ont pas reconnu leur défaite — tout d'abord économique — en maintenant des attentes peu réalistes. L'égalité était de fait impossible, ne serait-ce qu'en raison d'un déséquilibre démographique : l'ex-Yémen du Sud demeure environ trois fois moins peuplé que le Nord. Dans ce contexte, la guerre de 1994, au lendemain de la déclaration de sécession de l'ex-Yémen du Sud en mai 1994, a précipité une nouvelle défaite socialiste, militaire cette fois, poussant Ali Salem Al-Beidh vers un exil définitif à Oman puis en Autriche, et entraînant une marginalisation définitive de la gauche en tant qu'alternative.

Après 1990, la bouée de sauvetage que le leadership socialiste avait alors cru trouver auprès des monarchies du Golfe, en particulier l'Arabie saoudite qui cherchait en lui un affaiblissement du Yémen, n'a pas suffi. Leur reconnaissance de l'État sudiste nouvellement proclamé en 1994, les promesses d'aide financière par les rois et émirs n'ont pas effacé un processus historique profond, incarné dans une défaite militaire conduisant au sac d'Aden par l'armée du Nord, alliée aux islamistes et aux hommes de tribus revanchards, le 7 juillet 1994. La séquence a néanmoins souligné les compromissions géopolitiques des dirigeants de gauche, loin des discours anti impérialistes qui avaient guidé la création du parti et de l'État socialistes.

Construire l'alternance avec les islamistes

Il demeure évidemment quelques exceptions et le jugement soulignant un égarement de la gauche au Yémen s'avère quelque peu sévère. L'assise du parti socialiste au nord, avant comme après l'unité de 1990, n'est pas nulle. À travers la guérilla du Front national démocratique, le parti a su mobiliser et donner naissance à des cadres qui étaient pour partie autonomes vis-à-vis de l'État sudiste. Le plus brillant est Jarallah Omar Al-Kuhali, originaire de la région d'Ibb et secrétaire général adjoint du PSY. Autour de Taez, troisième ville du pays, le parti socialiste avait également une base non négligeable et a su, après 1994, se réinventer partiellement. De même, en dehors de la structure partisane née au Sud, le Yémen a connu des figures de gauche, comme les poètes Abdallah Al-Baradouni et Abd Al-Aziz Al-Maqalih, ou encore les militantes féministes Amal Bacha et Raoufa Hassan.

Au cours des trois dernières décennies, deux dynamiques au sein du parti socialiste semblent avoir coexisté, sans jamais donner naissance à des scissions formelles, pourtant coutumières au sein des gauches arabes : l'une inscrite dans le cadre large de l'État unifié, l'autre œuvrant pour la sécession. Bien qu'assassiné en décembre 2002 dans des conditions non élucidées alors qu'il assistait au congrès du parti Al-Islah (branche yéménite des Frères musulmans), Jarallah Omar Al-Kuhali a su imposer une option singulière pour le parti socialiste : l'alliance entre oppositions. En 2003 puis en 2006, la présence de candidats uniques à travers la plateforme du Dialogue commun (Al-liqa al-mouchtarak) face au parti au pouvoir d'Ali Abdallah Saleh, a permis au parti socialiste de se maintenir. Il a également pu apporter son concours à un dépassement de la confrontation entre islamistes et gauche qui, partout ailleurs dans le monde arabe, a renforcé les pouvoirs autoritaires. Le journal Al-Thawri et l'Observatoire yéménite des droits humains, liés au PSY, ont été l'incarnation de cette option finalement fructueuse.

C'est en partie grâce à cette logique que le soulèvement révolutionnaire de 2011 a pu atteindre sa masse critique et aboutir, avec un niveau de violence limité, à la chute d'Ali Abdallah Saleh. Cependant, la phase de transition, marquée par la montée des enchères au sein de chaque groupe politique, a aussi montré les limites de l'approche fondée sur le consensus qu'incarnait le Dialogue commun. Le secrétaire général du PSY, Yassin Said Noman, qui était une figure largement respectée, s'est alors retiré de la politique, acceptant le rôle d'ambassadeur à Londres en 2015, un rang qu'il continue d'occuper début 2024.

Le socialisme dilué

La dynamique sudiste au sein du parti socialiste a donc acquis une place prépondérante au moment même où les rebelles houthistes prenaient le contrôle de Sanaa fin 2014 et où la confrontation armée débutait. Depuis 2015 et l'intervention saoudienne pour rétablir le président Abd Rabbo Mansour Hadi, ancien socialiste honni par ces derniers, le devenir de la gauche n'est clairement pas un enjeu de premier plan. Socialiste ou non, elle n'incarne à aucun niveau une alternative sérieuse. Les quelques socialistes restés à Sanaa se sont alignés sur les positions anti saoudiennes des houthistes, d'autres sont en exil et ont délaissé le label socialiste du fait de sa démonétisation.

C'est ainsi que le PSY s'est pour l'essentiel dilué dans le mouvement sudiste. Il a toutefois été marginalisé dans la mesure où une nouvelle génération a remplacé la figure longtemps tutélaire d'Ali Salem Al-Beidh, exilé depuis 1994 mais qui continuait jusqu'au début de la guerre actuelle à être l'un des leaders du mouvement. Les faits d'arme de combattants salafistes lors des affrontements contre les houthistes en 2015 à Aden ont favorisé une alliance de fait avec une partie des socialistes. Tous deux se sont depuis lors retrouvés dans le Conseil de transition sudiste, fondé en 2017 avec l'appui continu des Émirats arabes unis. Soutenus par l'État capitaliste par excellence et soumis à des leaders religieux, les socialistes ne sont même pas représentés au sein du Conseil présidentiel composé de huit membres qui a succédé à Hadi en avril 2022. Dans l'armée comme au sein des milices, ils ne comptent plus et ne semblent subsister qu'à travers d'anciens cadres, parfois formés dans les anciennes républiques socialistes d'Europe et mus par une nostalgie désespérée. Certes, il reste bien l'étoile rouge du socialisme sur le drapeau derrière lequel se rallient les partisans de la sécession sudiste, néanmoins c'est là un bien maigre héritage si l'on pense aux ambitieux slogans portés par la République populaire et démocratique du Yémen dans les années 1970.


1NDLR.— La guerre civile au Yémen du Sud s'est déroulée du 13 janvier au 24 janvier 1986. Le bilan de ces onze jours de combats est estimé entre 4 000 et 10 000 morts.

Geoengineering – Weapon of Mass Destruction

Par : AHH

Solving the ‘Climate Crisis’ is Bad for Business and Worse for Politics

For GlobalSouth.co by Peter Koenig
25 March 202

The article Harvard Shuts Geoengineering Project by Cauf Skiviers, explains Bill Gates, funder of the project, stopping Harvard from carrying out the study to Preserve the Climate Narrative.

How is this relevant?

That Bill Gates calls the shots on what should and should not go forward, is nothing new. Surprising is that he was willing to finance such a study in the first place. – Why?

The honest results of the research would have shown the outright “climate change” fraud humanity has been exposed to for more than three decades.

The study’s outcome would have gone in the complete opposite direction of the current western globalist plan, the World Economic Forum’s (WEF) Great Reset and the UN Agenda 2030, One World Order, One World Government. Their success being largely based on the ”climate” lie.

Geoengineering serves two purposes, falsely demonstrating the Green Agenda’s fake CO2 emissions-based climate change, and – of equal importance – making weather and climate into Weapons of Mass Destruction (WMD).

The outcome of the study would have been against those who want to destroy the world’s economy and social structure as we know it – to rebuild it afresh, according to the elites’ desire. See Club of Rome’s “First Global Revolution” (1991); and this.

The revelation of the now canceled Harvard research, would have allowed just about anyone marginally aware of what is happening to Mother Earth’s climate, to see through the scam. It would have been difficult to avoid leaking the study’s outcome of such a hyped-up topic, like “climate change”, to the public.

Imagine! – Harvard research would destroy a political agenda, as well as Big Business. It would reveal that the climate narrative of the “Green Agenda”, is a lie, and that the weather almost everywhere on the globe is manipulated – or to use the scientific term “geoengineered”.

More than three decades of intense “fake science” and media manipulation about humans’ CO2, methane, and similar greenhouse gas emissions, is the culprit for “climate change”, have left most people, even non-active, often “bought”, so-called scientists, under the impression that doomsday is just around the corner, if we keep using hydrocarbons (oil and gas) to fuel our economy and keep using agriculture to feed humanity.

These alarm bells are constant calls to decarbonize civilization. Yet, the use of hydrocarbons (mostly oil and gas) to run the world’s economies has hardly changed in the last three decades. In the early 1990s about 87% of all energy used worldwide came from oil and gas. The figure is almost the same today.

It is a big lie. The climate is NOT changing, at least not more than it has always changed over the past 4 billion years – normally by small increments, so that life on earth can adapt and adjust.

According to Spain’s State Meteorological Agency (Spanish Acronym – AEMET), there are currently more than 50 countries which have at least some technologies to change the weather and climate. See this.

Those with the most sophisticated knowledge are the United States, Russia, and China.

It is fair to assume that the 50-plus nations are “modifying” the weather or climate according to what benefits them most. It is also fair to assume that today there is worldwide almost no weather completely natural, but influenced either directly, or indirectly, through modified weather patterns elsewhere in the world, the collateral effect of geoengineering.

In olden times, it was called “the butterfly effect” – meaning the butterfly flaps its wings and will have an effect somewhere in the world. You do not know where and what. With geoengineering that can be very dangerous.

Obviously, weather modifications, so far, serve primarily the fake climate change agenda. When a super hurricane hits the Caribbean, or a prolonged Monsoon floods and destroys two thirds of Pakistan, including her economy, it exponentially exceeds the “normal”. Blame it on “climate change”.

But most often there is an economic and / or political agenda behind it. Take Hurricane Katrina that hit New Orleans on 29 August 2005. Some 1,800 people died. With 230 km / hour, Katrina made landfall in Southeast Louisiana and destroyed New Orleans.

While the State of Louisiana evacuated about 1.5 million people before the hurricane hit, 150,000 to 200,000 stayed behind, mostly black people in “old” New Orleans, often run-down, but potential prime real estate for developers; was to be razed for luxury-style rebuilding.

The original owners were later force-evacuated to FEMA (Federal Emergency Management Agency) provided “emergency” camps (shacks), all over the country. So, the force-refugees could not organize. The properties were taken over by the state and city. – This served both, an economic and political agenda.


In June through August and into September 2022, Pakistan received about three times as much rain as normal. The deadly disaster was blamed on “climate change”. See this.

In reality, the catastrophe is suspected of having been geoengineered, and had a political agenda. On 10 April 2022, the popular, democratically and by a landslide elected President, Imram Khan, was ousted through a parliamentary non-confidence vote, instigated and “influenced” by the US, because Mr. Khan refused to follow orders from Washington, but instead intended to be President for an independent Pakistan and for the People of Pakistan.

For weeks people took to the streets by the millions, creating national unrest, wanting their President Imram Khan back. Creating or geoengineering the destructive Monsoon floods was a means to stop the social upheaval, so that the country could follow the western / Washington imposed political agenda, which meant foremost no political or business relations with China.

This is weaponized geoengineering.

When geoengineering serves as a weapon for Super-Powers, the dangers may be equivalent or worse than from nuclear weapons. Because most people have no clue that these weather “disturbances” and climate disasters are manmade and targeted for specific purposes at an “enemy”.

To get this right, geoengineering is NOT manmade in terms of what the Green Agenda interprets manmade “climate change”, as in CO2 emissions, greenhouse gases and more of the like. Geoengineering is dangerous. The Green Agenda climate change claims are sheer bullsh*t.


Geoengineering has been developed since the early 1940s. It started out with simple cloud-seeding, to prompt rainfall, mostly for agricultural purposes. It then moved to more sophisticated weather and climate manipulations, using the infamous chemtrails, white “vapor” stripes emanating from airplanes, crisscrossing the blue skies, disseminating poisonous chemicals and microscopic heavy metal particles, to influence the climate – but also, and possibly more important, to affect people’s health in very negative ways.

There are hundreds if not thousands of patents out there for these chemicals and heavy metals coming down from the planes into the ground, into the water, into plants and vegetables and finally into our bodies, killing our Pineal Gland and gradually weakening our bodies.

Geoengineering also includes the High-frequency Active Auroral Research Program (HAARP) and similarly sophisticated technologies. HAARP, created by the Pentagon-linked thinktank, DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency), is controlled by the US Airforce. HAARP is possibly the world’s most capable high-power, high-frequency electromagnetic waves transmitter, acting on the ionosphere.

HAARP technologies often applied from satellites, can emit electromagnetic waves piercing deep into the earth, creating earthquakes. It is suspected that HAARP technologies were used to cause the 6 February 2023 Turkey – Syria earthquake of 7.8 Richter scale strength, killing more than 60,000 people.

The seism happened shortly before Recep Tayyip Erdogan was reelected in May 2023 as President of Turkey. The earthquake’s epicenter was in Turkey’s Kahramanmaras province, with seismic movement taking place along the Conjugated Tectonic Faults. Strangely and remarkably, however, the tremors defied the natural patterns and do not fit into the usual mainshock–aftershocks sequence.

This was also the time when President Erdogan refused to approve Sweden and Finland into NATO, despite the tremendous pressure of all 29 other NATO countries – to put NATO even closer to Russia, the western-made non-conform enemy that needed to be “subdued.”

This would be weaponized political geoengineering, with an economic side effect.


The 12 January 2010 Haiti earthquake of 7.0 magnitude, left the capital city, Port-au-Prince, devastated and killed about 220,000 people. Sizable off-shore oil and gas deposits are all over the Caribbean, and also off-shore of Port-au-Prince.

These petrol reserves, are so deep that it is uneconomical to exploit them at current depths. A seismic event will break the tectonic plates, so that the earth’s core pressure pushes the oil to higher levels, where exploitation is easier and more economical.

Haiti has been in chaos ever since. The Clinton Foundation set up allegedly to help rebuild Haiti, has been a disaster, causing more harm than good, and making the Clintons richer. Destabilizing the country is a good reason for the US to maintain steady control.

Haiti is the world’s first and only country inhabited by black slaves that fought for and obtained independence 220 years ago (January 1, 1804). Washington pretends, Haiti could become a national security threat – like Cuba! – and must be controlled. See this.

The giant Haiti tremor also served two interests: Economics, as in oil; and politics, as in control.

Geoengineering is a convenient and highly effective weapon to dominate or coerce countries into submission. The geo-weapon’s potential could explode exponentially during the coming years, decades, if people remain ignorant about its menace for humanity.

A Harvard study divulging what geoengineering does and can do would not only derail the entire fake “climate change” narrative, but might also risk taking steam out of the growing geo-weapons industry.

Therefore, “Solving the ‘Climate Crisis’ is indeed Bad for Business- and bad for Politics”, and even worse for strategic warfare planning. So, Bill Gates was right in stopping the Harvard Geoengineering Project. Geoengineering may, therefore, prosper, bringing rain, shine and – war.

—-

Peter Koenig is a geopolitical analyst and a former Senior Economist at the World Bank and the World Health Organization (WHO), where he worked for over 30 years around the world. He lectures at universities in the US, Europe and South America. He writes regularly for online journals and is the author of Implosion – An Economic Thriller about War, Environmental Destruction and Corporate Greed; and  co-author of Cynthia McKinney’s book “When China Sneezes: From the Coronavirus Lockdown to the Global Politico-Economic Crisis” (Clarity Press – November 1, 2020)

Peter is a Research Associate of the Centre for Research on Globalization (CRG).
He is also a non-resident Senior Fellow of the Chongyang Institute of Renmin University, Beijing.

Déficit à 5,5% : le bal des faux-culs sur les vraies causes du naufrage commence

Depuis cet automne, nous alertons sur les risques qui devaient peser sur les finances publiques en 2024… et nous ne nous trompions pas complètement, puisque le dérapage du déficit est devenu une sorte de sujet à la mode. Et, sans grande surprise, il fait l’objet d’une savante opération de désinformation pilotée depuis Bercy et relayée consciencieusement par tous les journalistes encartés qui bouclent leurs fins de mois grâce aux subventions de l’Etat (au nom de la déontologie évidemment). Remettons donc quelques éléments au point pour dissiper ce grand enfumage sur les causes réelles de l’effondrement français.

Donc l’INSEE a confirmé le chiffre qui circulait depuis près de 15 jours : le déficit public en 2023 n’est pas de 4,9% du PIB comme initialement prévu et annoncé, mais bien de 5,5%, ce qui est beaucoup moins bien. Toute la question est de savoir pour quelle raison ce dérapage incontrôlé survient. Et, sur ce point, le gouvernement a une explication toute trouvée : les impôts rendent moins, la croissance est en berne. Circulez, y a rien à voir, c’est la faute de la croissance ! Et notre gestion n’y est pour rien, bien entendu.

Ces éléments de propagande ont été fidèlement repris par la presse subventionnée. Voici ce qu’écrit le Monde, par exemple :

Reprise intégrale de la doctrine officielle : le déficit dérape à cause du ralentissement de la croissance et de la baisse des recettes fiscales. Bien entendu, rien sur l’excès de dépenses, comme si, dans l’esprit du journaliste moyen, un déficit provenait forcément de la baisse de l’impôt mais ne pouvait pas provenir d’excès de dépenses. Et c’est bien l’objectif de Bercy, d’expliquer que, en matière de finances publiques, il faut regarder du côté de la croissance, des impôts, mais pas des dépenses de l’Etat. Surtout des dépenses des ministères, qui doivent être inattaquables.

Pourtant, nous avons rappelé quelques points, notamment cette hausse de 35% des dépenses de l’Etat depuis l’arrivée de Macron au pouvoir. Et nous avions signalé l’été dernier le dérapage permanent de ces dépenses… Mais si le gouvernement subventionne largement la presse, c’est bien pour faire oublier cet aspect gênant des choses, et concentrer l’attention sur la faiblesse de l’impôt.

L’INSEE a quand eu le bon goût de proposer un autre tableau pour mieux expliquer le phénomène :

Ce tableau détaille la dérive des différents postes de dépenses et de recettes de l’Etat, et on comprend mieux, en effet, la difficulté présente.

Du côté des recettes, d’abord, si, effectivement, les impôts ont marqué le pas par rapport à 2022, le racket des salariés par les cotisations sociales a progressé de 4,5%.

Du côté des dépenses, le gros morceau est constitué par les dépenses de fonctionnement, qui ont augmenté de 6%. Les prestations sociales ont augmenté de 3%. Les dépenses d’investissement ont augmenté de 8,5%. Cet investissement est essentiellement dû aux collectivités locales.

Il est donc évident que, le problème qui s’est posé tient moins à l’essoufflement des impôts qu’à l’explosion des investissements et des dépenses de fonctionnement des administrations.

Mais cet effort de lecture simple des tableaux de l’INSEE est au-dessus du niveau moyen de nos brillants journalistes subventionnés, qui adorent expliquer que ne pas reprendre les élements de langage du gouvernement et penser par soi-même, c’est du complotisme.

Bonjour 👋
Ravi de vous rencontrer.

Inscrivez-vous pour recevoir chaque jour les articles publiés la veille dans votre boîte de réception.

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Nous vous remercions pour votre inscription. Vous recevrez notre prochaine newsletter dans moins de 24 heures.

Nicolas Dupont-Aignan renonce à aller aux européennes, faute d’argent

Ce matin, Nicolas Dupont-Aignan a annoncé qu’il renonçait à présenter une liste aux européennes. Il explique ce choix par le souci de ne pas éparpiller le vote souverainiste, et par la volonté de préserver ses moyens financiers en vue de la présidentielle. Florian Philippot et François Asselineau restent donc “seuls” en lice pour réclamer tous deux le Frexit.

Nicolas Dupont-Aignan jette donc l’éponge pour les européennes : trop d’argent, trop de temps, trop de dispersion. Si les sondages lui prédisaient un meilleur sort que Philippot ou Asselineau, le président de Debout la France risquait d’engloutir dans cette opération une importante somme sans espérance de décrocher un élu au Parlement européen.

Désormais, deux listes souverainistes devraient donc se “partager le gâteau” :

  • les Patriotes de Philippot devraient pouvoir déposer une liste et imprimer leur propagande électorale grâce au “trésor de guerre” accumulé par Florian Philippot durant le COVID et l’épisode du passe sanitaire. Nul ne sait toutefois si Philippot fera directement campagne pour le Frexit, ou s’il demandera un referendum en ce sens. Cette idée semble poussée par Jean-Frédéric Poisson, qui a quitté le mouvement zemmouriste
  • L’UPR de François Asselineau devrait également présenter une liste favorable au Frexit. Asselineau déclare avoir levé plus de 600.000€ à ce stade

Pour l’instant, chacun de ces listes est créditée de 0,5% dans les sondages… mais rien n’exclut qu’une surprise intervienne.

Bonjour 👋
Ravi de vous rencontrer.

Inscrivez-vous pour recevoir chaque jour les articles publiés la veille dans votre boîte de réception.

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Nous vous remercions pour votre inscription. Vous recevrez notre prochaine newsletter dans moins de 24 heures.

Aux européennes, la caste veut gagner en agitant les épouvantails Trump et Poutine – par Ulrike Reisner

Par : Rédaction

Actuellement la nervosité règne non seulement dans les sièges des partis, mais aussi dans les groupes d’experts de la caste au pouvoir. Comment éviter que les élections de juin ne se transforment en un vote sur les échecs de l’UE ? Le mot d’ordre, surprenant, a été passé au sein des partis de gouvernement: si vous voulez gagner les élections, ne faites pas preuve de triomphalisme , car cela récolterait plus de résistance que de soutiens. Cela semble déroutant ? Bien sûr, mais des conseils comme celui-ci montrent qu’il y a un manque d’idées claires sur l’avenir de l’Union. On mise donc sur un concept qui a fait ses preuves – la propagation de la peur et de la terreur. Dans le doute, Trump et Poutine doivent être instrumentalisés pour inquiéter les gens et ainsi en tirer un profit politique.

L’inquiétude et la préoccupation se répandent parmi les partis pro-européens établis. L’échéance électorale de juin se rapproche, les pronostics se dégradent à vue d’œil. Selon un récent sondage , réalisé par Ipsos en collaboration avec Euronews, une union entre les conservateurs, les sociaux-démocrates, les libéraux et les Verts serait nécessaire : c’est la seule façon de s’assurer 453 sièges sur les 720 que compte le Parlement, et donc la majorité simple avec 62,9 %.

Ce contenu est réservé aux abonnés

Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.

Connectez-vous si vous avez acheté un abonnement et/ou ce contenu.

S'abonner

Accédez à tous nos contenus.
Plus de 5 000 articles.

Acheter l'article

Déverrouillez cet article et obtenez un accès permanent pour le lire.

Cocoa Hyperinflation Strikes Before Easter, Prices Surge To New Record High

By Tyler Durden As the Easter holiday weekend nears, Cocoa futures soared to new record highs on Tuesday as the worsening supply crunch forces chocolate makers to...

Cocoa Hyperinflation Strikes Before Easter, Prices Surge To New Record High

❌