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Data Science : ces experts de la prise de décision stratégique en entreprise

Par : Claire

Si par le passé la prise de décision en entreprise se faisait avec une bonne dose de flair et de pragmatisme, aujourd’hui elle s’appuie plus que jamais sur des données scientifiques. Nouveau graal des entreprises, le Big Data a propulsé les experts de la data sur le podium des métiers les plus convoités. On les appelle Data Scientist, AI Engineer ou Machine Learning Engineer. Qui sont ces différents professionnels de la Data Science ? Quelles sont leurs spécialités ? Quelles formations mènent à ces jobs d’avenir ? C’est parti pour une plongée au cœur de la Matrice.

La Data Science : une discipline en vogue

En 2012, il est qualifié de « job le plus sexy du XXIe siècle » par la Harvard Business Review. En 2023, il se situe tout en haut du classement LinkedIn des métiers les plus en demande dans le monde. L’expert en IA et en Data Science est depuis quelques années la rockstar du marché de l’emploi et l’un des profils les plus recherchés. En France, une étude de l’OPIIEC  prévoyait une hausse de 59 % des demandes de spécialistes en IA et Data Science sur la période 2019-2023.

Cela n’a rien d’étonnant quand on sait que le volume de données générées à l’échelle mondiale a été multiplié par plus de trente au cours de la dernière décennie. Avec le développement rapide d’outils d’IA génératives, comme ChatGPT ou Dall-e, et des objets connectés : la Data Science a encore de beaux jours devant elle !

Mais qu’est-ce que la Data Science ou « science des données » ? Du fait de son appellation trompeuse, on pourrait penser qu’il s’agit d’observer des données au microscope. C’est presque ça… Il s’agit de traiter, d’analyser et d’interpréter les données pour prendre de meilleures décisions business. Selon Olivier Chotin, consultant et mentor chez OpenClassrooms, « le rôle de la Data Science est de donner du sens à la donnée, afin de créer de la valeur pour l’entreprise ».

La data science permet à toutes les entreprises, des grands groupes de distribution jusqu’aux start-ups tech, d’avoir une connaissance très pointue de leurs clients et des usages qu’ils font de leurs produits/services : qui achète quel produit, à quelle fréquence, dans quelle tranche de prix ? Quel type de promotions fonctionne le mieux ? Quels sont les signaux faibles et les tendances émergentes ? 

Grâce à ces informations précieuses, les entreprises sont en mesure de prendre des décisions optimales, notamment dans les domaines du marketing et de la vente, pour améliorer leurs performances. Mais qui sont ces acteurs de la Data Science capables de transformer des grands volumes de données en or ?

Dessine-moi les métiers de la Data Science

Spoiler alerte : la Data Science ne comprend pas que des data scientists. En fait, c’est une grande famille qui réunit d’autres professionnels aux appellations un peu plus énigmatiques, comme le Machine Learning engineer et le AI engineer. Ces titres vous échappent ? Pas de panique : on vous aide à y voir plus clair. 

Comme nous l’explique Olivier Chotin : « Le data scientist, le Machine Learning engineer et l’AI engineer ont tous comme point commun de mettre en place des algorithmes et de s’appuyer sur les possibilités offertes par le Machine Learning ou le Deep Learning (deux formes d’intelligence artificielle) pour créer des modèles et mieux tirer profit des données. Mais, au-delà de ça, ils ont des domaines de spécialité différents. » Zoomons tout de suite sur ce qui les rend uniques.

Le data scientist, l’interprète de la data

Véritable touche-à-tout, il intervient tout au long du parcours des données – de leur collecte à leur mise à disposition auprès des équipes. C’est un caméléon qui est capable de se glisser, tour à tour, dans la peau d’un statisticien, mathématicien, programmeur, chef de projet et consultant. Dans l’équipe, c’est lui qui collabore de manière étroite avec les métiers ; il se doit donc d’être un excellent communicant.

  • Son rôle ? Récupérer des données brutes, les traiter et les interpréter.
  • Son but ? Rendre une information exploitable et la valoriser pour apporter des réponses aux métiers (ex : marketing, ventes, logistique…). 
  • Ses compétences ? Selon Olivier Chotin : « Ce métier demande des compétences variées : il faut savoir coder, élaborer des modélisations d’algorithmes mais aussi rédiger des rapports et les communiquer aux responsables d’une entreprise… En fait, c’est un vrai mouton à 5 pattes. » Les « social skills » sont essentielles dans ce poste axé sur la capacité à comprendre les besoins, à communiquer des résultats et à travailler de manière transversale avec tous les métiers. Cette vision globale de l’entreprise, couplée à une expertise pluridisciplinaire (ex: algorithmique, statistique, analytique, stratégique…), fait du data scientist un acteur clé de l’entreprise. Un profil idéal pour chapeauter les équipes data.
  • Exemples de projets ? Il peut être amené à traiter les données pour implémenter un modèle de crédit scoring dans une banque et restituer les résultats aux chargés de clientèle sous forme de dashboard. 

N.B : Attention à ne pas confondre le data scientist avec le data analyst. Ce dernier est moins généraliste, et se concentre sur l’analyse de données une fois que celles-ci ont été récoltées et traitées par le Data Scientist. Voilà… Maintenant vous savez !

Machine Learning engineer, l’entraîneur d’algos

Tel un coach qui préparerait un athlète pour une compétition, le Machine Learning engineer entraîne des algorithmes à faire des prédictions ou à automatiser certaines tâches avec toujours plus de précision. La machine « apprend » à devenir meilleure au fil du temps, c’est pourquoi on parle de Machine Learning. Doté de compétences techniques plus avancées que le Data Scientist, c’est un vrai pro des algos !

  • Son rôle ? Entraîner et déployer des modèles d’apprentissage automatiques en utilisant une palette d’algorithmes : supervisés, non supervisés ou encore réseaux de neurones profonds (Deep Learning).
  • Son but ? Faire des prédictions/recommandations et automatiser des tâches.
  • Ses compétences ? « Par rapport au Data Scientist, il est moins orienté métier et est plus pointu sur la conception de modèles auto-apprenants et la mise en place d’algorithmes complexes en Deep Learning », comme l’explique Olivier Chotin. Il doit savoir implémenter une démarche MLOps complète de gestion du cycle de vie des modèles de bout en bout, pour automatiser les processus d’entreprise et améliorer leur efficacité. Ainsi, il doit posséder des compétences avancées en modélisation de données et en architecture des données, maîtriser les langages de programmation (Python, R et Java) et les frameworks de Machine Learning (TensorFlow ou Keras). 
  • Exemple de projets ? Il peut, par exemple, être amené à faire des prédictions pour améliorer les ventes d’une entreprise ou réaliser un moteur de recommandations pour une plateforme de vidéos à la demande.

AI engineer, le connecteur de neurones

À la question « les machines peuvent-elles penser comme un être humain ?», l’AI engineer répond par un grand oui. Pourquoi ? Parce qu’il est capable de créer des programmes informatiques intuitifs qui imitent l’intelligence humaine. Un métier très technique, parfait pour tous les passionnés d’IA qui rêvent d’un monde où humains et machines vivraient (et communiqueraient) en parfaite harmonie.

  • Son rôle ?  Concevoir, mettre en place et optimiser des systèmes d’IA.
  • Son but ? Apprendre aux machines à raisonner comme un être humain.
  • Ses compétences ? Selon Olivier Chotin : « On lui demande autant qu’un ingénieur Machine Learning au niveau technique, mais avec une plus forte spécialisation en intelligence artificielle ». Ainsi, il doit posséder une expertise variée en développement logiciel, programmation, science des données et ingénierie des données. Un profil très complet et de haut niveau, qui doit être en mesure de concevoir et mettre en œuvre des modèles d’algorithmes sophistiqués qui utilisent des réseaux neuronaux (Deep Learning). Il doit aussi avoir de bonnes capacités de communication pour travailler en équipe et expliquer les concepts techniques aux non experts.
  • Exemple de projets ? Il va, par exemple, participer à la conception d’une voiture autonome ou d’un outil d’IA générative comme ChatGPT.

Comme vous l’aurez compris : alors que le data scientist a une approche généraliste et orientée métier, le Machine Learning engineer et l’AI engineer ont des profils plus spécialisés et techniques. Tandis que le rôle du Machine Learning engineer sera de concevoir des programmes auto-apprenants, celui de l’AI engineer sera d’apprendre aux machines à réfléchir comme un être humain. Ainsi, selon votre tempérament et vos affinités (plus métier ou plus technique), il est possible de vous orienter vers des métiers aux spécialités différentes au sein même de la data science. 

Un parcours adapté aux nouveaux enjeux

Après avoir lu tout cela, vous réfléchissez sérieusement à vous former à un métier de la Data Science ? Ça tombe bien : chez OpenClassrooms, nous venons tout juste de lancer une nouvelle version de notre formation Data Science qui comprend trois parcours d’apprentissage distincts. On vous explique…

Vous avez le choix entre trois formations 100 % en ligne : data scientist (9 mois), Machine Learning engineer (9 mois) et AI engineer (12 mois). Que vous soyez passionné de nouvelles technologies, en reconversion ou que vous souhaitiez vous former à un métier d’avenir ; chaque formation est accessible à partir d’un BAC+3 et délivre un titre RNCP de niveau 7.

Co-développées avec des experts du secteur, qui ont mis en commun leurs compétences et leurs expériences, nos formations répondent aux nouvelles attentes des entreprises. Ainsi, les trois parcours intègrent de nouveaux modules sur :

  • La mise en production (MLOps). Avec les avancées dans le domaine du Machine Learning et de l’intelligence artificielle, les professionnels de la data science doivent avoir des compétences techniques toujours plus poussées pour assurer l’automatisation des modèles et leur déploiement à grande échelle. C’est pourquoi, ils doivent être mieux formés aux pratiques MLOps.
  • La gestion de projet. Alors que les équipes data ne cessent de croître et que les projets deviennent de plus en plus complexes, les entreprises recherchent des spécialistes de la data science toujours mieux formés aux méthodes de gestion de projet (Agile et Scrum) ainsi qu’à la gestion des risques, notamment en matière de protection des données et d’éthique.

Pour vous donner une idée plus précise du contenu des programmes de formation, le tronc commun des trois cursus couvre l’ensemble des compétences que tout expert en Data Science se doit de posséder à l’heure actuelle, à savoir :

  1. Préparation des données : collecter, pré-traiter, analyser des données et créer des variables pertinentes (feature engineering) pour l’entraînement d’un modèle.
  2. Élaboration de modèles : concevoir des modèles d’apprentissage automatique à partir de données structurées (ex : noms, adresses, numéros de téléphone…) et de données non structurées (ex : textes et images).
  3. Mise en production : gérer le cycle de vie et le déploiement en production d’un modèle (MLOps) ou d’une application dans des environnements classiques et Big Data.
  4. Gestion de projet/d’équipe : manager des projets IA et de data science complexes en intégrant les contraintes légales et les valeurs d’éthique.

En fonction du cursus (data scientist, machine learning engineer ou AI engineer), vous approfondirez certains enseignements liés à votre domaine de spécialité aux côtés d’un mentor, expert du métier. Des sessions individuelles d’échanges sont même organisées toutes les semaines en parallèle des cours en ligne : de quoi vous aider à dépasser vos blocages, progresser plus vite et surtout rester motivé !

Dernier point (et non des moindres !) : chaque parcours repose sur des projets concrets d’entreprise, qui vous permettent de mieux assimiler les connaissances et de développer rapidement toutes les compétences essentielles au métier choisi. Par exemple, le cursus data scientist comprend 10 cas pratiques, parmi lesquels :  

  • Analyser des données de systèmes éducatifs
  • Segmenter des clients d’un site e-commerce
  • Implémenter un modèle de scoring
  • Réaliser un dashboard et assurer une veille technique
  • Réaliser un traitement dans un environnement Big Data sur le Cloud
  • Réaliser le cadrage d’un projet IA

 

Envie d’en savoir plus ? Découvrez les formations.

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UX designer, un métier de plus en plus convoité

En seulement quelques années, l’UX design est devenu crucial dans le succès des entreprises de la tech. Mais cette spécialité n’est pas que le monopole du secteur du numérique : de plus en plus d’entreprises ont compris l’importance de fournir la meilleure expérience utilisateur possible pour rester compétitives sur le marché. C’est là que l’UX designer entre en scène.

Alors que la mise à jour du parcours UX designer vient de paraître sur notre plateforme, découvrez les nouvelles caractéristiques de ce parcours et les opportunités offertes par ce métier de plus en plus convoité. 

 

 

Pour s’assurer de la bonne compréhension de la suite de cet article, il est essentiel de définir les fondamentaux. Alors avant toute chose, commençons par le commencement. 

L’UX design, qu’est ce que c’est ? 

Sous l’abréviation UX se cache le terme anglais User eXperience. En bon français, on parle d’« expérience utilisateur », mais on utilise aussi l’abréviation UX, prononcée à la française. Une fois qu’on a dit ça, on n’est pas forcément plus avancé, donc on vous apporte plus de précisions : l’expérience utilisateur désigne l’expérience vécue par l’utilisateur dans toute situation d’interaction.

Cette méthode de conception, apparue aux États-Unis il y a plusieurs années, est centrée sur l’humain et fondée sur la science. Elle  repose sur des principes clés que sont la clarté, la simplicité, la convivialité et la cohérence

Les bases sont maintenant posées, donc entrons dans le vif du sujet : quel est le rôle de l’UX designer ?

L’UX designer est un ergonome, un architecte de l’expérience utilisateur. Sa mission, lorsqu’il l’accepte, est d’identifier les besoins et les désirs des utilisateurs et de les satisfaire en concevant des produits et des services pratiques, accessibles et attrayants. 

Son travail consiste donc à comprendre les utilisateurs, à anticiper leurs besoins et à concevoir des interfaces utilisateurs innovantes pour les satisfaire. Pour ce faire, il effectue des recherches auprès des utilisateurs passés, présents et futurs, en mobilisant des connaissances très variées – de la psychologie jusqu’à la conception d’interfaces utilisateurs.

Pour Jordane Lacroix, UX designer depuis 10 ans, « l’objectif principal de l’UX Design est de rendre les systèmes, les produits et les services faciles à utiliser (ce qui implique la notion d’inclusivité), efficaces et agréables pour les utilisateurs finaux et ce à 360° ».

Mais pour y parvenir, comment l’UX designer s’y prend ? L’UX design implique un processus collaboratif de recherche, d’idéation (ou brainstorming), de prototypage, de test et d’itération. Les designers utilisent des techniques telles que la recherche utilisateur, l’analyse de tâches et les tests d’utilisabilité pour comprendre les besoins des utilisateurs et créer des produits qui répondent à leurs attentes.

« Les gens ne veulent pas d’une perceuse. Ils veulent un trou dans leur mur ! » – Theodore Levitt

Les designers travaillent également à créer une expérience utilisateur qui reflète l’image de marque de l’entreprise et crée une connexion émotionnelle avec les utilisateurs.

 

Quels enjeux ?

Dans un monde en constante évolution où la qualité de l’expérience occupe une place de plus en plus importante, l’expérience utilisateur est un élément incontournable de la conception de systèmes, de produits et de services tant numériques que physiques. 

Nous avons tous été victimes de mauvais design : l’information non trouvée sur un site Internet, une application qui ne fonctionne pas aussi simplement et rapidement qu’escompté… Toutes ces expériences génèrent de la confusion, de la frustration, et de l’incompréhension. Elles peuvent aussi être à l’origine de conséquences néfastes pour les entreprises telles que la perte de revenus. En effet, nous sommes de moins en moins tolérants à l’égard d’un produit ou d’un service procurant une mauvaise expérience utilisateur. Les entreprises l’ont bien compris en mettant le besoin des utilisateurs au cœur de la création de valeur. 

Pour preuve, d’après une étude de The Product Crew et Designers interactifs, menée auprès de 1 200 personnes, entre septembre et octobre 2022, 71 % des design managers ont recruté des profils design en 2022 et les équipes de design ont augmenté de 58 %. 

Pour Jordane Lacroix, les enjeux du marché en matière d’UX Design sont nombreux et complexes mais on peut en lister quelques uns auxquels les entreprises et les UX designers sont confrontés en 2023 : 

  • L’explosion des technologies de l’IA (intelligence artificielle) et de l’IoT (Internet des objets). Ces technologies ont le potentiel de transformer l’expérience utilisateur, mais elles peuvent également poser des défis en matière de sécurité, de vie privée et de convivialité.
  • La nécessité de concevoir des expériences utilisateur omnicanales. Les utilisateurs s’attendent à pouvoir accéder aux produits et aux services sur une variété de canaux : les applications mobiles, les sites web, les réseaux sociaux et les chatbots. Les UX designers doivent donc être capables de créer des expériences cohérentes et efficaces sur tous ces canaux.
  • L’importance de la personnalisation. Les utilisateurs s’attendent de plus en plus à ce que les produits et les services soient personnalisés en fonction de leurs besoins et de leurs préférences. Les UX designers doivent donc être en mesure de concevoir des produits qui permettent une personnalisation facile et efficace.
  • La diversité. Les entreprises doivent s’assurer que leurs produits sont accessibles et conviviaux pour un large éventail d’utilisateurs (personnes en situation de handicap, personnes âgées, utilisateurs de différents horizons culturels). Pour les designers, la prise en compte de ces enjeux de diversité et d’accessibilité, dès le début du processus de conception, est cruciale.
  • L’innovation. Les entreprises et les designers doivent être en mesure de concevoir des produits innovants en s’appuyant sur des signaux faibles et de les tester rapidement pour s’assurer qu’ils répondent aux besoins en constante évolution des utilisateurs tout en proposant une expérience exceptionnelle.
  • La sécurité. Les enjeux de sécurité sont de plus en plus importants dans le monde numérique et les entreprises doivent s’assurer que les données personnelles des utilisateurs sont protégées pendant l’utilisation de leurs produits. Les designers doivent être conscients des enjeux de sécurité et intégrer des mesures de sécurité dans leurs produits dès le début du processus de conception.

Évolution des technologies, attentes des utilisateurs de plus en plus grandes, protection des données, accessibilité… Vous l’avez compris, l’UX designer doit faire preuve d’agilité et collaborer de manière transversale pour offrir la meilleure expérience possible. Les entreprises qui réussissent à intégrer l’UX Design dans leur stratégie commerciale ont de meilleures chances de fidéliser les clients, d’augmenter les ventes et de se démarquer de la concurrence.

Envie d’en savoir plus sur le métier de UX designer ? Écoutez notre podcast dédié à cette profession.

 

Et demain ? 

L’UX design est un domaine qui exige de faire preuve d’agilité pour rester compétitif. Nous l’avons vu précédemment, les enjeux actuels sont nombreux. Ceux à venir le sont tout autant. Envie de les découvrir ? Suivez le guide et plongez dans le futur. 

Selon Jordane Lacroix, voici les tendances et les problématiques phares à venir en matière d’UX Design :

  • Inclusivité. Les designers prendront de plus en plus en compte la diversité des utilisateurs et s’efforceront de créer des expériences répondant aux besoins et préférences des personnes ayant des capacités différentes, des besoins linguistiques et culturels différents, ainsi que d’autres facteurs. Les designers chercheront à créer des expériences accessibles pour tous.
  • Intelligence artificielle et automatisation. Avec l’augmentation de l’IA et de l’automatisation, les designers devront adapter leur travail à ces technologies en constante évolution. Il s’agira d’explorer de nouvelles méthodes pour créer des expériences utilisateur fluides, naturelles et intelligentes, en utilisant l’IA pour améliorer la personnalisation et la prédiction des besoins des utilisateurs.
  • Conception de la voix. Avec la popularité croissante des assistants vocaux et de la commande vocale, la conception de la voix devient de plus en plus importante. Les designers devront créer des interactions vocales naturelles et intuitives, en utilisant des techniques visant à renforcer l’engagement des utilisateurs.
  • Éthique.  Les designers devront s’assurer de l’impact éthique et social de leur travail. Ils devront alors en évaluer les implications dans leur processus de conception, en prenant en compte les préoccupations de confidentialité, de sécurité et de responsabilité sociale. Ils devront aussi prendre en compte les biais dans les algorithmes utilisés. 
  • Éco-responsabilité. L’impact environnemental n’aura plus de secret pour les designers. Cette notion fera partie intégrante de leur travail. La création d’expériences utilisateur durables et respectueuses de l’environnement sera la nouvelle norme. Il s’agira de réduire la consommation d’énergie des sites web et des applications, d’utiliser des matériaux éco-responsables pour la fabrication de leurs produits, et de favoriser une utilisation durable de leurs produits. Certains designers parlent même d’approche « planet centric design » (conception centrée sur la planète) et non plus seulement « user centric design » (sur l’humain).
  • Nouvelles technologies. Réalité augmentée, réalité virtuelle… Rester à la pointe des dernières technologies et les intégrer dans les expériences utilisateurs sera un enjeu de taille pour les designers. 

 

 

Un parcours à la hauteur des attentes du marché

Pour répondre aux enjeux actuels et anticiper ceux de demain, chez OpenClassrooms, nous avons travaillé à une nouvelle version de notre parcours UX designer.

Publiée en janvier 2023, la nouvelle version de notre parcours répond aux dernières exigences en matière de conception d’interface utilisateur. Co-développée avec des experts du domaine, qui ont mis en commun leurs compétences et leurs expériences, cette nouvelle version a permis de renforcer les compétences liées notamment : 

  • au cadrage projet, en intégrant la prise en compte des enjeux business au même niveau que ceux des utilisateurs. Cela pousse le curseur de l’UX design plus loin en l’emmenant dans la sphère du product design là où les indicateurs de performance sont pris en considération ;
  • aux moyens de restituer les résultats de recherche ;
  • à l’itération produit basée sur des méthodes de projet (comme le Lean UX), avec une stratégie de priorisation et de planification.

Nous avons également profité de cette mise à jour pour : 

  • intégrer des notions d’accessibilité et d’éco-développement (comprenant l’éthique), notamment dans les modalités et critères d’évaluation (à la pointe, on vous a dit !) ;
  • actualiser les outils pour les aligner avec ceux principalement utilisés sur le marché (comme par exemple l’outil de co-conception Figma).

Last but not least, nous avons aussi consolidé les compétences comportementales indispensables au métier d’UX designer comme l’empathie et l’écoute active. 

Aujourd’hui, notre parcours repose sur 11 projets concrets d’entreprise, qui permettent de développer les compétences essentielles du métier, parmi lesquelles : 

  • Mener une étude utilisateur
  • Auditer l’expérience utilisateur d’un service digital
  • Élaborer un brief UX en suivant des objectifs business
  • Définir l’architecture d’information
  • Prototyper une application mobile  

Ça vous tente ? Découvrez la formation 

 

 

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Vers plus de diversité et d’inclusion dans la tech : notre enquête

Dire que la diversité et l’inclusivité c’est important, ça ne suffit pas. Chez OpenClassrooms, nous croyons que chaque individu, quels que soient son genre, son origine ou son handicap, doit avoir accès à une éducation de qualité et avoir toutes les chances de réussir dans sa carrière. Après avoir réalisé une étude auprès de nos employés pour mesurer la diversité, nous avons mené une enquête auprès de nos étudiants pour mieux comprendre leur expérience de formation et leur expérience sur le marché de la tech. 

 

Diversité et inclusion dans la Tech : on en est où ?

Institutions, entreprises et écoles, tous s’accordent à dire que ce sont des enjeux cruciaux pour l’industrie tech en France et, pourtant, les chiffres montrent que le secteur est encore loin de refléter la diversité de la population française.

Voici un bref état des lieux de l’univers tech français, selon une étude menée par Pôle emploi et Diversidays en 2022 : 

  • Bon point : un jeune de moins de 35 ans qui vit en QPV (quartier prioritaire de la politique de la ville) montre un intérêt presque aussi proche qu’un jeune en dehors de cette zone. C’est une hausse significative de 13 % en trois ans. Pas rien. 
  • De plus en plus de femmes recherchent un métier dans la tech, on constate une hausse des demandeuses d’emploi dans le secteur de 11% entre 2018 et 2021. Oui mais : 77 % des demandeurs d’emploi dans le numérique sont des hommes. Un chiffre écrasant. 
  • Seulement 7 % des demandeurs d’emploi dans le numérique sont en situation de handicap. Ces personnes sont 1,2 fois moins enclines à rechercher un métier dans la tech. Pire encore : l’écart se creuse (+ 5 %) par rapport à 2018.

Des politiques de recrutement et de promotion équitables pour toutes les personnes, la sensibilisation des employeurs et des professionnels des ressources humaines à l’importance d’adapter leurs processus de recrutement et de créer un environnement de travail inclusif : voilà des solutions concrètes pour améliorer les choses. Bien sûr, l’éducation joue là aussi un rôle majeur. Pour aller vers plus de diversité et d’inclusivité dans les entreprises tech, il faut avant tout pouvoir garantir que tous les individus ont accès à ces métiers spécialisés, quel que soit leur genre, leur milieu social ou leurs conditions de santé. C’est là tout le projet d’OpenClassrooms.

 

Et chez OpenClassrooms, comment ça se passe ?

Rendre l’éducation accessible. Partout et pour tout le monde, voilà notre priorité. Depuis 2018, les équipes d’OpenClassrooms, quel que soit leur métier, travaillent main dans la main pour faire avancer ce projet collectif. Cinq ans plus tard, il est essentiel de faire un point : quel est notre impact réel sur la vie des étudiants et quel chemin nous reste-t-il à parcourir ? 

« Connais-toi toi-même ». Pour répondre à ces questions, il faut d’abord répondre à celle-ci : qui sont nos étudiants ? 

Mieux connaître celles et ceux pour lesquels nous nous engageons est essentiel. Pendant 5 semaines, nous avons donc interrogé nos étudiants sur leur rapport à la diversité pendant leur formation et au-delà. Plus de 3 000 personnes étaient au rendez-vous pour partager leur expérience et les obstacles rencontrés dans les mondes de l’éducation et du travail. Ces informations sur leur parcours sont des données précieuses. Elles nourrissent nos ambitions et déterminent notre plan d’action pour continuer à mener à bien notre mission.

→ Pour aller plus loin : chaque année, nous publions un rapport de mission complet (édition 2022) qui évalue et mesure l’impact de notre travail.

 

 

Les chiffres clés de notre enquête diversité et inclusion

 

La formation en ligne, une (nouvelle) chance pour beaucoup

Sur plus de 3 000 étudiants qui ont répondu à nos questions, près de la moitié (41 %) s’identifient à une forme de diversité. Un chiffre dont nous sommes fiers compte tenu des freins, financiers et sociaux, qui subsistent pour ces personnes et le manque de visibilité et d’incarnation qui les empêchent de se projeter dans l’univers de la tech. 

La formation en ligne OpenClassrooms, c’est aussi une seconde chance. D’abord, pour les personnes n’ayant pas eu accès à une formation auparavant : lorsqu’ils ont débuté leur formation avec nous, 30 % de nos étudiants n’étaient titulaires d’aucun diplôme. Mais aussi pour les personnes qui n’ont pas réussi à aller au bout de leurs précédentes études et à décrocher leur diplôme : 12 % de nos étudiants ont étudié dans un établissement d’enseignement post-secondaire, sans diplôme à la clé. 

Ce diplôme, d’ailleurs, ils sont plus de la moitié (55 %) à être les premiers de leur famille à en obtenir un dans l’enseignement supérieur grâce à leur formation. Une fierté pour leur famille, pour eux (et pour nous). Un modèle pour les autres. 

 

Des inégalités qui persistent parmi les étudiants

Si les résultats de notre enquête sont très positifs en termes de diversité, des freins subsistent et empêchent certaines personnes d’aller au bout de leur projet de formation dans la tech et, au final, d’accéder à un emploi dans le secteur. 

  • Des obstacles de genre : les inégalités liées au genre sont encore très présentes et sont également visibles dans la formation. Parmi les étudiants qui ont répondu à notre enquête, la moitié des femmes (49,5 %) a un ou des enfants à charge, contre 36 % des hommes. Une situation qui demande davantage de capacité d’adaptation et de résilience. 

 

  • Des obstacles financiers : difficile de se consacrer pleinement à sa formation quand on travaille à côté. Pourtant, près d’un tiers des hommes cumulent emploi et formation, ce qui est également le cas de 24 % des femmes. 

💬 Ces inégalités et ces difficultés sont l’une des principales raisons d’être de notre modèle d’éducation : s’adapter aux besoins de chaque étudiant, lui permettre de progresser à son rythme et s’insérer dans son emploi du temps, quelles que soient ses contraintes personnelles ou professionnelles. Une fois en formation, il est capital que les outils nécessaires à l’apprentissage soient accessibles aux personnes qui en ont le plus besoin.

 

  • Des obstacles de santé : 19 % des répondants déclarent être en situation de handicap ou être dans un état de santé qui a un impact sur leurs études. C’est beaucoup plus que les 2 % d’étudiants dans l’enseignement supérieur en 2020, ce qui est très encourageant. Ce que cela signifie ? Un besoin plus fort d’accompagnement pour ces personnes, pour faire en sorte qu’elles aillent au bout de leur formation.

💬 C’est un nombre significatif et c’est pourquoi nous avons à cœur de rendre la plateforme d’OpenClassrooms conforme aux standards pour l’accessibilité des contenus Web, et formons nos équipes pour accompagner les personnes en situation de handicap.

 

  • Des freins sur le marché du travail : les difficultés ne s’arrêtent malheureusement pas aux portes de la formation. Parmi les répondants à notre enquête, un tiers des étudiants qui s’identifient à une forme de diversité (33 %) considèrent avoir déjà été victimes de discrimination à l’embauche. C’est moins que les chiffres de l’Ifop en 2021 (42 % des personnes se percevant comme non-blanches , 53 % des musulmans et 50 % des salariés d’origine étrangère disent en avoir été victimes), mais c’est toujours trop.

💬 Rendre l’éducation accessible, c’est participer à la lutte contre toutes les discriminations, y compris celle à l’embauche. Et c’est l’une des principales raisons pour lesquelles nous accompagnons nos étudiants dans leurs recherches d’emploi au-delà de leur formation avec l’aide d’équipes dédiées.

 

La diversité est une richesse et nous avons la chance de la constater quotidiennement parmi nos étudiants. Nous sommes fiers de voir que nos engagements portent leurs fruits et permettent à de plus en plus d’étudiants issus de milieux différents d’accéder à un diplôme dans l’enseignement supérieur. Souvent les premiers de leur famille à le faire, ces étudiants sont une source d’inspiration.

Mais des inégalités persistent encore. Nous sommes conscients que certaines personnes sont confrontées à des obstacles dans la formation et l’accès à l’emploi en raison de leur genre, de leur handicap ou de leur origine. Mais nous sommes convaincus que nous pouvons faire bouger les choses et, déjà, les mesures mises en place pour lutter contre ces inégalités commencent à payer.

Nous sommes déterminés à offrir à tous nos étudiants les mêmes chances de réussite. Nous savons que c’est une mission ambitieuse, mais nous sommes prêts à relever ce défi pour construire une éducation et une tech plus accessibles et plus inclusives.

 

 

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« Accompagner des étudiants est une expérience très enrichissante », Loïse, mentor

Bonjour Loïse ! Peux-tu te présenter en quelques mots ?

Je suis originaire de Nice et j’y habite encore. Je suis mentor développeur web et front end react. Après avoir eu mon master 2 mobiquité base de données et système d’intégration en apprentissage au W3C, j’ai travaillé pendant cinq ans en tant qu’ingénieur web et Scrum Master, puis tech lead node JS/React. J’ai finalement créé ma propre SAS Super Responsable, dont je suis co-dirigeante et associée. Je donne également des cours dans des écoles d’enseignement supérieur.

Quelle est la réalisation professionnelle dont tu es la plus fière ?

La création de ma propre entreprise !

Quelles sont tes passions ?

J’adore le dessin, les mangas et mes tortues ! Je fais de la peinture sur verre, sur des coques de téléphone, des bureaux, des tables…

Comment es-tu devenu mentor ?

J’avais besoin d’un job qui soit modulable pour continuer à gérer mon entreprise, celle-ci n’étant pas mûre financièrement pour subvenir à mes besoins, donc après plusieurs années à être scrum master/chef d’équipe, et avoir eu plusieurs positifs retours sur ma pédagogie, j’ai eu envie de me jeter à l’eau !

Qu’est-ce que t’apporte le mentorat ?

C’est une expérience très enrichissante, je suis particulièrement fière de pouvoir accompagner tous mes étudiants en reconversion, j’adore pouvoir leur apprendre mon métier qui me passionne.

Qu’est-ce que tu conseillerais aux nouveaux mentors ?

D’être à l’écoute des besoins de l’étudiant qui peut parfois manquer de confiance, et a besoin d’être validé dans leurs démarches.

Une anecdote te concernant ?

Mes étudiants peuvent avoir la surprise chaque jour de me voir avec une nouvelle couleur de cheveux ! Rose, vert, bleu, orange, j’adore m’amuser avec mon style haut en couleur.

 

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Les avantages de la formation en ligne pour l’alternance

Peu d’étudiants le savent, mais il est parfaitement possible de faire sa formation d’alternance en ligne.
Comme n’importe quel cursus ou établissement, l’alternance et les centres de formation qui la dispensent sont accessibles à distance ! Une accélération que l’on doit à la réforme de la formation de septembre 2018, autorisant la formation en alternance à se dérouler entièrement en ligne. En 2020, la pandémie est venue accentuer la tendance, et désormais, l’alternance a le vent en poupe… 

La formation en alternance et en ligne séduit autant les étudiants que les entreprises d’accueil, qui y voient tous les deux une opportunité pour les jeunes talents de se former de manière plus autonome et flexible. Mais cette option est-elle vraiment la mieux adaptée à vos besoins ? Et surtout, est-elle disponible dans votre filière ? 

Nous vous proposons de vous apporter des éléments de réponse dans cet article. 

Quels sont les avantages de la formation en ligne pour les alternants ?

Les étudiants sont de plus en plus nombreux à opter pour la formation en ligne dans le cadre de leur alternance. Cette option leur permet en effet de se former de manière concrète à un métier, le tout en gardant une flexibilité sur leur agenda et en avançant à leur rythme. 

Si vous considérez l’apprentissage numérique pour valider votre alternance, voici les principaux avantages dont vous pourrez bénéficier. 

Plus d’autonomie et de liberté

La formation en ligne, qu’elle se fasse en alternance ou non, est le meilleur moyen d’étudier en gardant le contrôle sur votre emploi du temps ainsi que votre organisation. Vous pourrez en effet décider par vous-même comment vous souhaitez organiser votre travail, sans vous faire imposer des horaires par votre centre de formation. Si vous recherchez plus d’autonomie, ou que vous devez tenir compte de contraintes horaires spécifiques, c’est certainement la meilleure option qui s’offre à vous. 

Réaliser votre alternance sur une plateforme de formation en ligne vous permettra également d’être plus productif et efficace, aussi bien dans le volet scolaire que professionnel. Par ailleurs, cette dernière offre une certaine souplesse en comparaison avec la formation en présentiel, car lors de la mise en place de votre contrat en alternance, vous pouvez décider avec votre employeur, des journées qui seront consacrées à la formation et de celles passées en entreprise chaque semaine.

Une formation 100 % financée et en ligne pour s’affranchir des contraintes financières

Vous n’êtes pas sans savoir que la formation en alternance est non seulement financée, mais qu’elle vous permet également de percevoir un salaire. Elle est ainsi réputée pour être accessible à tous, quelle que soit la situation économique de l’alternant. 

En optant pour la formation en ligne, vous pourrez également vous affranchir des autres contraintes matérielles qui entourent votre scolarité. Vous n’aurez par exemple plus besoin de vous déplacer au sein de l’établissement pour suivre vos cours. Cela représente un gain financier, mais aussi un gain de temps que vous pourrez utiliser à meilleur escient. 

En s’affranchissant des contraintes géographiques, les alternants n’ont également plus l’obligation de déménager dans la ville de leur centre de formation. Vous pourrez ainsi continuer de travailler au calme chez vous ou chez vos proches. 

Se former et progresser à son rythme

En optant pour la formation en ligne, l’alternant peut également suivre ses cours à son propre rythme. Vous ne vous verrez donc plus imposer celui de vos camarades de classe et pourrez progresser en fonction de votre disponibilité, mais aussi de vos appétences et de vos capacités. 

La formation en ligne est ainsi un excellent moyen de s’émanciper du groupe, et de reprendre le contrôle sur son apprentissage. Si vous êtes plus à l’aise sur une matière, vous pourrez avancer bien plus rapidement que dans un environnement d’enseignement classique. À l’inverse, les points que vous avez plus de mal à maîtriser pourront recevoir une attention plus particulière, dans le respect de la temporalité de votre formation. 

Avec l’apprentissage en ligne, vous aurez aussi accès via votre plateforme d’apprentissage (comme OpenClassrooms) à des outils d’auto-évaluation qui facilitent cette progression sur mesure. Vous pourrez par exemple répondre à des quizz pour évaluer vos connaissances, et déterminer si vous pouvez sereinement ou non passer au module suivant. 

Par ailleurs, l’entraide entre camarades de promotion ne disparaît pas complètement avec le format en ligne. De nombreux établissements proposent à leurs élèves de se rencontrer (et d’échanger avec leurs professeurs) de manière hebdomadaire ou mensuelle. Des forums en ligne sont également disponibles pour poser ses questions, ou demander un coup de main aux autres alternants. Par exemple, chez OpenClassrooms, la plateforme WorkPlace fait office d’espace de discussion et d’échanges, ouvert à tous les étudiants et les mentors. Un excellent moyen de maintenir sa motivation et de se faire épauler en cas de blocage ! 

Une formation en ligne et ouverte à tous… sans sacrifier la qualité de l’enseignement 

Comme nous l’avons déjà mentionné, la formation en alternance (qu’elle soit en ligne ou en présentielle) est 100 % financée. Vos frais de scolarité seront en effet pris en charge par l’État ainsi que par votre entreprise d’accueil. 

Par ailleurs, les alternants touchent un salaire et peuvent donc bénéficier d’une indépendance financière (en plus d’une plus grande indépendance dans la gestion de leurs études). 

Mais formation en ligne ne veut pas pour autant dire formation au rabais. Les cursus disponibles bénéficient d’une qualité d’enseignement équivalente à celle dispensée dans les centres de formation en présentiel. Les cours sont en effet conçus par des experts dans leur métier, et doivent respecter les référentiels de l’éducation nationale et du marché du travail. Le diplôme délivré est lui aussi équivalent à celui obtenu en suivant une formation en présentiel. 

Un suivi personnalisé

L’une des principales appréhensions que l’on peut avoir concernant la formation en ligne est qu’elle soit anonyme et donc générique. Contrairement à ce que les étudiants pourraient penser, elle leur permet en réalité de bénéficier d’un suivi tout aussi qualitatif, avec parfois un accompagnement personnalisé et des sessions de formation en individuel. 

En parallèle des référents, certains organismes de formation comme OpenClassrooms s’appuient sur un autre outil choc : le mentorat. Cette pratique permet de renforcer de manière significative l’engagement des étudiants et de les soutenir dans leur formation, par le biais de plusieurs leviers efficaces : 

  • des rendez-vous hebdomadaires entre l’étudiant et le mentor ;
  • des objectifs personnels fixés d’une session à l’autre ;
  • un compte-rendu de chaque session rédigé par le mentor, qui permet à l’étudiant de suivre son évolution.

Le mentorat est également une excellente manière pour les étudiants de se confronter aux réalités de leur futur métier, en discutant et en apprenant d’un profil ayant une vaste expérience du terrain.

Le mentor, qui est un professionnel du métier sur lequel l’étudiant se forme, fait donc un travail de suivi régulier, via des séances d’accompagnement individuel chaque semaine. Son expérience  professionnelle lui permet d’offrir une perspective concrète sur les réalités de son métier et de son industrie, afin d’ aider l’étudiant à se projeter au-delà de la théorie des cours. 

Le mentor joue aussi un rôle de coach, accompagnant l’étudiant dans la préparation de ses soutenances ou dans la fixation d’objectifs d’apprentissage réalistes d’une semaine sur l’autre. Son rôle est également clé pour le maintien de la motivation des étudiants dans le cadre d’un apprentissage autonome.

Enfin, grâce à son expertise technique et son sens pédagogique, le mentor est en mesure de reformuler les concepts techniques les plus complexes afin de faciliter leur acquisition par ses étudiants

Des facilités pour décrocher son contrat d’alternance en entreprise 

En réalité, la formation en ligne n’est pas seulement avantageuse pour l’alternant. Elle présente aussi de nombreux bénéfices concrets pour les entreprises qui les emploient ! En effet, l’alternance au format numérique permet aux organisations d’accéder à des groupes plus larges et diversifiés de candidats. 

D’autre part, elles valorisent de plus en plus les profils autonomes, qui ont naturellement tendance à se tourner vers la formation à distance. L’apprentissage en ligne incite fortement l’alternant à développer son autonomie, et donc à la mettre à profit dans le cadre de ses missions professionnelles. Ce choix prouvera également aux recruteurs que vous savez faire preuve de détermination et de maturité. Cela rendra votre CV plus attrayant et vous permettra de sortir du lot dans un contexte où les contrats en alternance sont de plus en plus demandés !

La flexibilité que vous allez acquérir grâce à la formation en ligne vous sera ensuite très utile en entreprise. Vous pourrez mieux vous adapter aux exigences et échéances, parfois très serrées, de votre employeur, de ses partenaires et clients. Si vous êtes amené à vous déplacer régulièrement pour des raisons professionnelles, le numérique sera là encore un atout qui peut faire la différence en faveur de votre candidature. 

Pour finir, vous pourrez plus aisément adapter votre programme de formation aux défis que vous rencontrerez en entreprise. Il vous sera ainsi très facile de prioriser les sujets qui sont directement en lien avec vos missions. Et ainsi, d’être plus efficace et réactif que si vous deviez suivre les modules et le rythme imposé par votre professeur !

Suivre une alternance chez OpenClassrooms : un format flexible et d’excellence !

L’option de la formation en ligne est disponible dans pratiquement toutes les filières d’alternance classique. Les modalités d’inscription et de validation des acquis pour décrocher votre diplôme dépendent de l’organisme que vous sélectionnez.

Et si vous vous formiez avec OpenClassrooms à un métier du numérique qui a de l’avenir ? Découvrez à quoi ressemble le quotidien de nos apprenants, et quelles filières s’ouvrent à vous…

À quoi ressemble une formation en alternance en ligne chez OpenClassrooms ?

Vos cours vous sont délivrés via une plateforme de formation en ligne mise à disposition par l’école OpenClassrooms. Avec vos identifiants, vous pouvez y accéder quand vous voulez, où vous voulez, depuis tous vos supports numériques !

Par ailleurs, même en étant étudiant en ligne, vous pouvez également vous intégrer pleinement à votre école et à votre vie étudiante. Chaque mois, ce sont 300,000 étudiants connectés à travers le monde qui apprennent avec notre école en ligne. 

Par ailleurs, une formation en alternance avec OpenClassrooms, c’est : 

  • une formation tournée vers l’emploi, qui vous apprend les connaissances et les compétences essentielles pour vous épanouir dans votre futur métier ;
  • un mentor dédié qui vous épaule chaque semaine, pas à pas dans votre formation. Chaque semaine, cet expert dans votre futur métier vous accompagnera pour assurer une progression constante et une bonne compréhension des enjeux liés au secteur auquel vous vous réservez ;
  • un diplôme reconnu par l’État, allant du niveau bac + 2 à bac + 5, pour renforcer l’attractivité de votre profil ;
  • un choix des jours de formation flexible. Dès le début, vous définissez avec votre futur maître d’apprentissage ou tuteur, les jours dédiés à votre présence au sein des équipes. Ainsi vous pouvez vous adapter aux besoins de votre entreprise d’accueil. C’est un véritable atout de la formation en ligne.
  • une communauté d’étudiants disponible en permanence sur la plateforme Workplace. Entre camarade de classe, vous pouvez demander de l’aide, échanger sur les projets, vous motiver. 

Quels sont les programmes en alternance disponibles ?

Nos formations en alternance se concentrent sur les métiers du numérique, qui offrent de belles perspectives professionnelles à nos étudiants. Les domaines d’études sont variés : développement, data, RH et gestion, systèmes et réseaux, marketing et communication, pédagogie, gestion de projet, business ainsi que design – à vous de choisir l’activité qui correspond le plus à vos compétences et à vos envies professionnelles ! Nous nous occupons ensuite du reste… 

Par ailleurs, vous bénéficiez d’une rémunération salariale dès le 1er jour de votre contrat d’alternance. Cette dernière peut varier en fonction de la nature de votre contrat :

  • Si vous avez un contrat d’apprentissage, votre rémunération variera en fonction de votre âge et de l’année d’étude que vous réalisez. Le salaire minimum perçu est un pourcentage du Smic ou du SMC (salaire minimum conventionnel de l’emploi occupé) pour les plus de 21 ans. Par ailleurs, chaque nouvelle année d’exécution de votre contrat, votre rémunération augmente ;
  • Si vous bénéficiez d’un contrat de professionnalisation, votre rémunération dépendra du niveau de votre formation initiale et de votre âge.

Comment postuler à une formation en alternance OpenClassrooms ?

Pour devenir alternant chez OpenClassrooms, rien de plus simple ! Il vous suffit de commencer par postuler au programme que vous souhaitez suivre. Dans un délai de 7 jours maximum, nos conseillers vous contactent pour discuter et valider votre admission. 

Ensuite, nous mettons à votre disposition un coach d’insertion professionnelle OpenClassrooms, pour vous aider à trouver votre entreprise d’accueil. Par ailleurs, notre équipe d’experts recherche activement des offres d’emploi en alternance, qui vous seront proposées en fonction de vos préférences et de votre profil. Ainsi, vous bénéficiez du soutien de la communauté OpenClassrooms tout au long de vos démarches, pour garantir votre succès ! 

Et bien sûr, votre parcours apprenant ne s’arrête pas là : même après votre formation, qui dure entre 12 et 36 mois en fonction du diplôme choisi, vous rejoignez la communauté de nos alumni, mentors, experts et étudiants, qui vous accompagnera dans votre démarche d’employabilité tout au long de votre parcours professionnel !

Pour en savoir plus et postuler, rendez-vous sur la pages alternance d’OpenClassrooms !

 

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Comment nous mesurons l’impact des formations OpenClassrooms

En tant que co-fondateur d’OpenClassrooms, j’ai voulu créer un type d’entreprise différent qui a un impact réel et concret sur la vie des gens. C’est pour cela qu’OpenClassrooms est une entreprise avec une mission claire : rendre l’éducation accessible. C’est ce qui nous motive et nous pousse au quotidien à aller plus loin.

Mais comment savoir si on réussit à rendre l’éducation accessible ? Quel est l’objectif concret que l’on doit suivre et mesurer ?

Nous avons donc fait un choix clair chez OpenClassrooms : nous voulons que nos étudiants voient un impact positif sur leur vie professionnelle. Nous voulons les rendre employables ou qu’ils créent eux-mêmes leur emploi.

Nous voulons le vérifier, nous voulons le mesurer, nous voulons le prouver. Et quand cet impact n’est pas suffisant (spoiler alert : on peut toujours faire mieux ! 😅), alors nous travaillerons sans relâche à l’améliorer.


Nos mesures d’impact

Nous avons choisi 2 mesures pour guider notre impact chez OpenClassrooms :

  • Le taux de diplomation (ex : « 72% des étudiants décrochent leur diplôme »)
  • Le taux d’insertion dans l’emploi (ex : « 79% des diplômés trouvent un emploi »)

Note : ces mesures d’impact concernent les étudiants sur les parcours d’OpenClassrooms qui visent un diplôme.

Ces 2 mesures sont liées : les étudiants se forment dans le but d’avoir un diplôme, puis ensuite cherchent à trouver un emploi grâce à ce diplôme.

⚠ Le problème est qu’il y a 1 million de façons différentes de calculer ces taux. Bien souvent, cette méthode de calcul n’est pas explicitée, elle n’est pas vérifiée par un organisme indépendant. Selon la méthode utilisée, je peux vous présenter un taux d’insertion dans l’emploi de 90% comme un taux de 55%. Il est donc impossible de comparer les chiffres d’une école à une autre car la formule n’est jamais vraiment la même… et il est tentant pour chacun de montrer les meilleurs chiffres.

Chez OpenClassrooms, nous nous sommes interrogés sur la bonne formule longuement, en analysant les bonnes pratiques des standards émergents comme CIRR et EQOS.
Avec beaucoup de travail et de rigueur, voici comment nous calculons nos chiffres.

Taux de diplomation

Le taux de diplomation nous permet de savoir si nos formations sont vraiment accessibles, c’est-à-dire qu’un taux acceptable d’étudiants arrivent à obtenir leur diplôme.

La formule est la suivante :

Nombre d'étudiants ayant obtenu leur diplôme dans les délais annoncés
---- divisé par ----
Nombre d'étudiants ayant démarré la formation

Exemple : 100 étudiants démarrent une formation de 1 an. 60 d’entre eux la finissent en 1 an ou moins. 10 la finissent en plus d’1 an. Les 30 autres ne vont pas jusqu’au bout. Dans ce cas, le taux de diplomation est de 60% (60% de l’ensemble des étudiants a fini la formation dans les temps).

👆 Il est important de noter que tous les étudiants qui démarrent la formation sont pris en compte, même s’ils ne participent qu’un seul jour avant de changer de formation.

Cela veut dire qu’il est quasi-impossible qu’une formation puisse atteindre les 100% de diplomation (cela voudrait d’ailleurs dire que le diplôme est donné à tout le monde, ce qui serait un très mauvais signal !).

Taux d’insertion dans l’emploi

Le taux d’insertion dans l’emploi nous permet de vérifier qu’en ayant rendu l’éducation accessible, nous avons bien un impact positif sur la vie des étudiants.

La formule est la suivante :

Nombre de diplômés ayant trouvé un travail dans les 6 mois
---- divisé par ----
Nombre de diplômés

Exemple : sur 100 diplômés, 70 trouvent un travail dans les 6 mois, 10 trouvent un travail après 6 mois et le reste ne trouve pas de travail. Le taux d’insertion dans l’emploi est de 70%.

« Trouver un travail » signifie soit :

  • Obtenir un contrat de travail salarié
  • Monter son entreprise
  • Obtenir une évolution de poste dans l’entreprise.

Il doit donc y avoir un changement clair dans la vie de l’étudiant.

Dans tous les cas, « avoir trouvé un travail » signifie avoir un travail dans le métier que l’on a appris. Si vous vous formez au digital marketing et que vous prenez un poste de vendeur, soyons clairs : cela ne comptera pas.

Certains diplômés sont exclus du calcul. Nous pensons qu’il est normal de ne pas prendre en compte tous les diplômés et nous sommes basés sur les standards CIRR et EQOS pour cela. Voici donc en toute transparence les diplômés non pris en compte :

  • Ceux qui ne répondent pas à nos sondages
    (nous essayons de les joindre mais nous n’avons pas de réponse)
  • Ceux qui continuent leurs études
    (ils ont fait la formation pour que ça soit un tremplin pour une autre formation)
  • Ceux qui n’ont pas le droit de travailler
    (pour des raisons de visa, d’âge)
  • Ceux qui avaient indiqué au début de la formation qu’ils ne comptaient pas chercher de travail
    (ils font la formation pour le plaisir par exemple).

Nos chiffres

Dès aujourd’hui, nous sommes heureux de publier l’impact des formations OpenClassrooms suivantes :

Impact de la formation Conseiller en évolution professionnelle (diplômés de 2021)

Pourquoi ces formations ? Parce que nous avons travaillé récemment pour nous assurer de la rigueur des chiffres de ces 2 formations (et je peux vous dire que cela a demandé du travail !).

Notre objectif sera d’étendre ces informations pour l’ensemble de nos formations par la suite. Nous sommes preneurs d’ores et déjà de tous vos retours, questions et réactions !

Nous faisons déjà un constat clair : bien souvent, les étudiants en alternance ont les meilleurs taux de réussite et les meilleurs taux de placement dans l’emploi.

Vous le verrez, ces chiffres ne sont pas parfaits et ils n’ont pas vocation a l’être : nous souhaitons nous améliorer en continu et pensons qu’engager la conversation avec vous est le meilleur moyen de faire progresser les formations ! 


Nous espérons que vous apprécierez ces détails et cette rigueur. Nous en avons besoin pour améliorer en continu l’efficacité de nos formations.

Plus important encore : nous pensons que nous vous devons ces informations. Il est normal que vous y ayez accès pour choisir votre formation !

 

 

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Comment trouver une formation en alternance ?

La formation en alternance est de plus en plus populaire auprès des étudiants. En effet, elle valorise l’expérience professionnelle et permet à ces derniers de découvrir le monde de l’entreprise. Bénéficiant du statut de salarié, les étudiants peuvent ainsi se former de manière concrète à leur futur métier. Un bon moyen de s’insérer plus facilement sur le marché du travail, notamment en étoffant son réseau et ses compétences ! Mais déterminer comment trouver une formation et son alternance n’est pas aussi simple qu’il n’y paraît…

Il existe en effet différents types d’établissements, de cursus et même de formules. Et une fois le choix porté sur une option, il reste encore à bien préparer son CV et trouver son entreprise d’accueil en alternance !

Si vous aussi vous envisagez de suivre une formation en alternance, ce guide complet répondra à toutes vos questions. Il vous permettra surtout d’optimiser vos recherches, et de vous lancer sereinement dans votre alternance.  

 

Comment trouver une formation en alternance

  1. Définir son projet professionnel et ses objectifs
  2. Identifier le secteur dans lequel on souhaite faire son alternance ;  
  3. Choisir la bonne formation en fonction de ses objectifs et aspirations professionnelles, puis définir comment trouver une formation en alternance ; 
  4. Sélectionner une école, 
  5. Préparer un CV qui cartonne pour décrocher un contrat d’alternance, 
  6. Définir les entreprises qui vous intéressent.

 

Qu’est-ce qu’une formation en alternance ?

Avant de vous demander comment trouver une alternance, il est important de comprendre la formation en elle-même.

La formation par alternance associe l’expérience professionnelle au sein d’une entreprise à un cursus au sein d’un établissement d’enseignement. L’alternant partage donc son temps entre ses études et l’entreprise dans laquelle il exercera son futur métier en tant que salarié ou stagiaire.

Selon les conventions entre l’employeur, l’alternant et le centre de formation, le rythme d’une formation d’alternance est très différent. Il peut être long, allant jusqu’à 2 mois en entreprise et 2 passées en formation. Certaines alternances fonctionnent sur des rythmes beaucoup plus courts (allant de quelques jours à une semaine en entreprise).

Quel que soit son rythme, le système de l’alternance permet d’obtenir rapidement des qualifications et une expérience professionnelle. Ces dernières sont deux atouts de taille face aux recruteurs ! Par ailleurs, les frais de formation sont également pris en charge par l’entreprise et son OPCO, ce qui rend la formation en alternance beaucoup plus accessible.  

L’alternance peut s’effectuer sous l’égide de deux contrats, en fonction du statut et de la situation de l’alternant : 

  • le contrat de professionnalisation ;
  • et le contrat d’apprentissage. 

Différences entre le contrat d’apprentissage et de professionnalisation

L’alternance peut également s’effectuer dans le cadre d’un large éventail de formations (du CAP au master spécialisé), et dans quasiment toutes les filières (comptabilité, communication, science humaine en passant par les sciences). 

 

Comment savoir si on a le profil pour trouver une formation en alternance ?

Il n’y a pas de portrait type de l’alternant. Néanmoins, les étudiants qui peuvent être les plus attirés par ce type de formation sont ceux à la recherche d’une expérience professionnalisante, ou les profils en cours de reconversion.

Quoi qu’il en soit, de par son attractivité d’un point de vue de l’insertion rapide dans le monde du travail, mais aussi de ses conditions avantageuses en termes de salaires et d’encadrement, la formation par alternance s’est largement imposée comme un choix mûrement réfléchi pour de nombreux étudiants et profils en reconversion ces dernières années. 

 

Les avantages et les inconvénients de la formation en alternance 

Parmi les nombreux avantages de l’alternance, on peut citer : 

  • La prise en charge par l’entreprise et son OPCO, ce qui fait de l’alternance une formation 100 % financée pour les étudiants ;
  • Un choix toujours plus large : de nombreuses formations se sont ouvertes à l’alternance et donnent accès à des métiers très divers ; 
  • La possibilité de confronter la théorie à la pratique. Beaucoup d’élèves apprécient de pouvoir mettre en pratique leurs cours, et affirment même mieux les comprendre en situation. 
  • Une insertion plus facile vers le monde du travail. Et ce, notamment en décrochant un emploi dans l’entreprise dans laquelle on a effectué son alternance. 
  • La rémunération versée par son entreprise, qui peut aider à financer sa vie étudiante ou sa reconversion professionnelle.

 

Avant de réfléchir à comment trouver une alternance, prenez néanmoins le temps de considérer les contraintes de cette formation. 

L’alternance exige un fort investissement et une organisation rigoureuse de la part des élèves. Il faudra en effet assurer vos cours, le travail en entreprise, et le passage de vos examens. Votre statut de salarié aura également pour conséquence de réduire vos vacances (plus que 5 semaines de congés payés par an). Pour les jeunes étudiants, il faut également prendre en compte leur capacité d’adaptation dans le monde de l’entreprise et avec des collègues souvent plus âgés. 

Si la formation en alternance ne vous semble pas adaptée à votre profil et vos objectifs, pas de panique ! Il est en effet toujours possible de bifurquer vers une formation classique en cours de route (et inversement). Et pour commencer, il est nécessaire de formuler un projet concret d’alternance… Dans la prochaine partie, nous vous expliquons comment faire !

 

Formuler son projet d’alternance 

Avant de vous lancer dans la recherche d’une formation en alternance, il vous faut commencer par identifier votre projet de métier. En effet, c’est en ayant une idée claire de votre projet professionnel que vous pourrez choisir le bon établissement et la bonne entreprise dans lesquels effectuer votre alternance !

Premier conseil : choisissez de préférence une filière qui soit alignée avec vos appétences, vos valeurs, et vos aptitudes. Renseignez-vous sur le métier que vous souhaitez occuper, et tenez compte de tous ses aspects, aussi bien positifs que négatifs. 

Pour bien construire votre métier, pensez donc à :

  • Définir vos centres d’intérêt, votre personnalité, vos capacités et vos envies ;
  • Vous informer sur les métiers et les secteurs qui vous intéressent ; 
  • Rencontrer des professionnels pour confronter vos préconceptions et la réalité du métier. 

 

Comment choisir votre établissement d’alternance ?

La seconde étape pour trouver une alternance consiste à trouver l’établissement dans lequel vous allez vous former. 

Vous aurez notamment le choix entre : 

  • Les CFA : (Centres de Formation d’Apprentis). Ces établissements peuvent être publics ou privés. La formation dispensée y est à la fois générale, pratique et technologique. Elle sera complétée par celle reçue en entreprise. 
  • Les unités de formation. Il peut s’agir d’une unité dédiée au sein d’un lycée ou d’une université. Elles sont le plus souvent publiques ; 
  • Les sections d’apprentissage. Si vous choisissez cette option pour suivre votre alternance, vos cours auront lieu dans un établissement d’enseignement public (ou privé sous contrat avec l’État). Il peut également s’agir d’une section spéciale d’un établissement de recherche relevant d’un ministère autre que celui de l’Éducation Nationale ;
  • Les organismes de formation interne à l’entreprise. L’entreprise avec laquelle vous avez signé votre contrat en alternance peut également disposer de son service de formation interne. Elle y dispensera une formation générale, professionnelle et technologique. 

 

Trouver son établissement de formation en alternance 

Plusieurs sites existent pour vous aider à accéder facilement à la liste des établissements qui proposent votre formation en alternance. 

Vous pouvez par exemple trouver une alternance sur : 

  • Le site de l’ONISEP (Office National d’Information Sur les Enseignements et les Professions) ; 
  • L’Étudiant
  • Le CIDJ (Centre d’Information et de Documentation Jeunesse) ; 
  • Auprès des CIO (Centres d’Informations et d’Orientation) ; 
  • A l’occasion des nombreux salons qui sont organisés chaque année sur la formation en alternance. 
  • Sur OpenClassrooms : l’école numérique qui forme aux métiers de demain propose de nombreuses formations en alternance. 

Les meilleures plateformes pour trouver une alternance

 

Quels sont les critères pour bien sélectionner son établissement ?

Avant de choisir l’établissement dans lequel vous allez suivre votre formation en alternance, prenez le temps d’effectuer vos recherches. 

Les règles de création des CFA ont été simplifiées, et certaines formations sont très récentes. Vérifiez par exemple que votre diplôme soit reconnu par une branche professionnelle ou par l’État. Mais aussi – et surtout – qu’il soit homologué ! Intéressez-vous également au taux de réussite et d’emploi des diplômés. Cette information devrait être disponible sur le site de l’établissement, ou vous être communiquée après l’avoir contacté. 

Renseignez-vous aussi sur la réputation de la formation auprès des employeurs ou d’une éventuelle association d’anciens élèves. Enfin, n’oubliez pas de vous pencher sur les indicateurs de poursuite d’études et d’insertion ! 

Vous pouvez par ailleurs tenir également compte des éléments suivants, en fonction de vos appétences et de vos objectifs : 

  • le programme de formation ;
  • la durée et le rythme de l’alternance ;
  • le suivi personnalisé offert aux élèves ; 
  • l’alignement entre la formation délivrée et votre projet professionnel :
  • la possibilité de suivre votre alternance en ligne. En 2020, elle représente plus de 16 % de nouveaux contrats d’apprentissage signés en France. Le digital learning sera en effet la meilleure option pour les alternants qui valorisent leur autonomie et leur liberté !

 

Comment préparer son CV pour trouver une entreprise et décrocher un job en alternance ?

Une fois que vous aurez choisi votre centre de formation, il ne vous reste plus qu’à réfléchir à comment trouver une entreprise en alternance. 

Et pour convaincre votre futur employeur, vous devez préparer un CV qui valorise votre profil et vos compétences. La concurrence est rude pour décrocher son contrat d’alternance, et les recruteurs ont peu de temps à consacrer à la lecture de votre CV. L’idée est donc de leur présenter de manière succincte toutes les informations dont ils ont besoin pour arriver à la conclusion que votre profil est idéal ! 

 

Voici quelques conseils pour vous aider à sortir du lot

Donnez un titre à votre CV

C’est le meilleur moyen d’attirer l’attention du recruteur, et de lui présenter clairement vos intentions. Ce titre sera souvent l’intitulé du poste que vous convoitez, pour que le recruteur sache d’emblée que vous recherchez un contrat d’alternance. 

 

Ajoutez un encadré descriptif

Cet encadré vous permettra de présenter votre situation, et notamment de résumer votre parcours et vos aspirations professionnelles. Vous pouvez par exemple revenir sur vos diplômes, préciser le rythme d’alternance qui vous convient le mieux, ou encore les compétences que vous souhaitez renforcer. 

 

Mettez en avant vos précédentes expériences professionnelles

N’hésitez pas à indiquer les stages que vous avez déjà réalisés, à quel poste et dans quelle organisation. Si possible, ajoutez les projets sur lesquels vous avez travaillé ou vos réalisations les plus notables, pour plus de concret. Vous pouvez aussi valoriser vos autres expériences professionnelles, comme vos jobs étudiants ou vos missions en intérim. 

 

Valorisez vos compétences

C’est la clé pour étoffer votre CV, en particulier si vous n’avez pas beaucoup d’expérience professionnelle. Misez sur vos savoir-faire, mais aussi sur votre savoir-être (vos soft skills, qualités personnelles, etc.) et les situations dans lesquelles vous les avez acquises.  

 

Ajoutez vos références 

Si vous avez eu de bonnes expériences lors de vos précédents stages ou expériences professionnelles quelconques, n’hésitez pas à ajouter les coordonnées de vos anciens maîtres de stage, collègues, etc. Attention cependant, ne le faites évidemment pas sans leur accord ! L’entreprise dans laquelle vous envisagez de faire votre alternance pourra les contacter pour vérifier vos compétences. 

 

Soignez la forme 

La forme de votre CV compte également pour trouver une entreprise en alternance. Soignez la mise en page, afin que la lecture soit la plus agréable et la plus fluide possible pour le recruteur. Cela vous permettra aussi de mettre en valeur les éléments les plus importants, et ainsi de refléter au mieux votre personnalité. 

 

Comment trouver un contrat en alternance

La dernière étape consiste à décrocher votre travail en alternance. Il existe aujourd’hui une multitude de plateformes qui peuvent vous faciliter vos recherches et vous aider à trouver votre futur employeur. 

Vous aurez notamment la possibilité de trouver un contrat en alternance sur des sites nationaux comme 1 jeune 1 solution ou encore Alternance.emploi.gouv.fr. Ce dernier recense plus de 12,000 offres en apprentissage et en professionnalisation, aussi bien dans le privé que le public. L’Apec et Pôle Emploi (via la Bonne Alternance) proposent eux aussi des offres en contrat d’apprentissage et contrat de professionnalisation, à partir de Bac + 2. 

Des plateformes privées comme Walt existent également pour vous aider dans vos recherches d’une formation et d’un travail en alternance. N’hésitez pas également à être actif sur LinkedIn et à contacter directement les entreprises qui vous intéressent sur le réseau social. 

Dernière option : les sites dédiés à l’alternance dans votre région (comme la Bretagne ou le PACA). Mais aussi ceux spécialisés dans votre filière professionnelle (par exemple l’hôtellerie-restauration, ou encore l’artisanat

 

Combien de temps pour trouver un contrat en alternance ?

Le temps moyen de recherche d’un contrat d’alternance est d’environ 3 mois. Cette durée moyenne peut néanmoins énormément varier d’un étudiant à l’autre. 

Retenez cependant que ce dernier devra être signé au plus tard trois mois après le début de votre formation. Essayez donc de commencer vos recherches le plus tôt possible (en mars ou avril pour une rentrée en septembre). Même si les recrutements ne s’arrêtent pas pendant l’été et que parfois, les recruteurs sont plus disponibles à cette période, une bonne partie des postes est déjà pourvue avant le début des vacances de juillet-août ! Prenez donc de l’avance, mais ne baissez pas les bras pour autant si vous ne trouvez pas le contrat idéal tout de suite…

Vous souhaitez bénéficier d’un accompagnement dans la recherche de votre alternance et tout au long de votre formation ? Avec OpenClassrooms, vous pouvez vous lancer dans un programme d’alternance 100% en ligne, profiter d’un coaching dédié, mais aussi trouver votre future entreprise parmi notre réseau de partenaires et obtenir un diplôme de niveau 5, 6, 7 (équivalent bac +2 à bac +5) reconnu par l’État. Pour en savoir plus, rendez vous sur notre page alternance !

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Développement web : se former dès maintenant à un métier d’avenir

Deux métiers phares se cachent derrière nos sites Internet : le développeur WordPress et l’intégrateur web. Pour former au mieux ces profils, particulièrement recherchés par les entreprises, OpenClassrooms propose deux nouvelles formations, accessibles même sans avoir codé avant.

Le métier de développeur attire les talents de tous âges. Avec la diversification des technologies de développement, le marché évolue vers une spécialisation des compétences. Les entreprises ont besoin de développeurs performants dans un langage ou un outil précis. C’est pour répondre à cette demande qu’OpenClassrooms lance deux nouveaux parcours de formation en ligne, conçus pour les développeurs débutants. La voie d’entrée vers votre future carrière ? Décryptage.

Choisir un métier d’avenir

Les caractéristiques, compétences requises et champ d’action propres à chaque métier vont vous permettre d’identifier celui qui correspond le plus à vos envies de carrière.

Le développeur WordPress va se spécialiser dans la création de sites web grâce à un CMS. Il rejoindra plutôt des agences web ou se lancera en freelance ; tandis que l’intégrateur web travaille sur la partie visible d’un site : son interface, et il sera très recherché en ESN ou startup tech. 

Une fois l’orientation choisie : comment apprendre concrètement un métier ?

Se former au mieux selon les attentes du marché

Pour permettre à chaque futur développeur d’acquérir les connaissances les plus précises, techniques et actuelles, OpenClassrooms a conçu ses formations avec des experts métiers et les met à jour très régulièrement. Les parcours Développeur WordPress et Intégrateur Web permettent d’apprendre les bases des langages et outils techniques les plus courants : PHP, HTML, CSS, Git & GitHub, JavaScript, ainsi que le SEO, la gestion de projets web et la maintenance de sites. Les acquis propres à chaque métier sont ensuite approfondis dans les formations dédiées.

Se former au développement WordPress

Cette formation s’adresse à toutes les personnes souhaitant être rapidement autonomes dans le développement de sites web performants et sur-mesure avec WordPress (le CMS le plus utilisé). Les étudiants apprendront, en plus des langages courants, les bases d’Elementor, Gutenberg, ainsi que des notions de jQuery et de Responsive design.

Se former à l’intégration Web

L’intégration web  plaira à des profils techniques qui s’intéressent au front-end et ont envie de maîtriser React : l’un des frameworks JavaScript les plus utilisés. Une fois la formation terminée, les apprenants sont capables de créer des applications & interfaces web complètes et optimisées, et de dynamiser des pages web. Ils découvrent, en plus des langages courants, Redux, SASS, les appels API, Visual Studio Code et Figma. 

Informations pratiques & débouchés 

Ces deux formations permettent, en 9 mois, de décrocher un diplôme de niveau 5 (bac +2), reconnu par l’État, et de se constituer un portfolio technique particulièrement utile pour valoriser son expertise. Le but d’OpenClassrooms : rendre tous les apprenants employables en tant que développeurs junior. Un coaching à l’emploi est même proposé en fin de cursus pour ceux qui le désirent.

Que vous soyez étudiant, demandeur d’emploi ou en reconversion, si le métier de développeur vous attire, n’attendez plus ! Les parcours sont même finançables avec vos crédits CPF, selon statut, et peuvent être effectués en alternance (18 mois). La date de démarrage ? C’est vous qui choisissez !

Alors, pourquoi pas vous ? Osez faire un travail qui vous plaît.

RDV ici et ici pour obtenir toutes les informations et décider de la suite pour votre carrière.

Vous pouvez faire confiance à OpenClassrooms pour vous donner toutes les chances de réussir.

La pédagogie innovante d’OpenClassrooms

OpenClassrooms est un acteur majeur de la formation en ligne en Europe. Plus de 10 000 personnes se sont déjà formées au développement web avec notre école, et des millions d’autres sur tous types de compétences techniques. Depuis 2013, notre mission est votre réussite, et nous avons, pour cela, mis au point une pédagogie spécifique.

L’approche unique d’OpenClassrooms pour monter en compétences rapidement :

  → FLEXIBILITÉ : des cours 100 % en ligne & un rythme adaptable à son emploi du temps

  → CONCRET : un minimum de théorie et un maximum de pratique avec la réalisation de projets issus de scénarios professionnels

  → MOTIVATION : le soutien hebdomadaire d’un mentor, lui-même développeur, et l’accès à une communauté d’entraide virtuelle avec d’autres étudiants

Prêt à vous lancer dans le développement web ?

 

INSCRIPTIONS DÉVELOPPEUR WORDPRESS


INSCRIPTION INTÉGRATEUR WEB

Intégrateur web développeur wordpress
Tableau comparatif

Devenez développeur en 5 étapes

 

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Devenez Développeur en 5 étapes

Le métier de développeur figure en tête des plus recherchés par les recruteurs, selon une analyse de l’Apec. Cette première place a d’ailleurs été renforcée par la crise sanitaire, qui a accéléré la transformation numérique de l’économie. De plus en plus, les entreprises comptent en effet sur l’expertise technique de profils spécialisés dans le code. Le défi désormais pour ces profils : acquérir les bonnes compétences. OpenClassrooms, acteur majeur de la formation en ligne, partage ses meilleurs conseils pour aider les futurs développeurs à se lancer. Alors, comment percer dans le développement informatique ?

 

Si les envies de reconversion se multiplient, le développement web attire de plus en plus. Passionnés de nouvelles technologies, candidats à l‘aventure freelance : les talents sont nombreux. Et ça tombe bien : ce métier ne connaît pas la crise. Les entreprises ont besoin de développeurs, mais pas n’importe lesquels ! Une véritable tendance se dessine sur le marché du travail et certaines compétences Tech très précises deviennent bien plus prisées que d’autres. En s’appuyant sur de solides données marché ainsi que les retours d’expérience de développeurs experts, OpenClassrooms a identifié les plus recherchées actuellement. 

Et si vous pouviez acquérir ces compétences, même sans avoir codé avant, à votre rythme, et sans retourner sur les bancs de l’école, avec un diplôme à la clé ?

Découvrez, en cinq étapes-clés, la marche à suivre pour apprendre les codes de votre future carrière.

1. Identifier le métier de développeur correspondant à son profil 

Que vous soyez étudiant, en recherche d’emploi ou déjà en poste, vous êtes en plein questionnement autour de votre carrière. Vous ne savez pas coder, ou avez quelques connaissances en développement. Mais ce secteur vous plaît et vous sentez que vous pourriez vous épanouir dans un métier technique.

Alors vous êtes au bon endroit. Pour aider un maximum de personnes à obtenir un emploi d’avenir dans la création de sites web, OpenClassrooms propose de nouvelles formations accessibles quel que soit l’âge ou le parcours. Ces formations ont été lancées pour répondre à une véritable demande, comme l’explique Nicolas Patschkowski, Learning designer en charge de ce projet : « Le marché recherche des développeurs spécialisés, car les technologies de développement, langages et outils, sont de plus en plus diversifiés. Les entreprises ont besoin de développeurs performants, spécialisés dans un langage. » 

Quel métier sera le plus adapté à vos envies de carrière ?

Le Développeur WordPress est autonome, créatif, technique et aime la diversité de projets. Il est capable de créer facilement des sites sur-mesure de A à Z sur WordPress, le CMS sur lequel sont hébergés 42,9 % des sites web aujourd’hui. Mais il dispose également de solides compétences techniques pour rendre un site performant et le personnaliser au mieux selon les besoins des clients (blogs, sites e-commerce ou vitrines).

L’intégrateur web travaille également sur des projets variés, avec une forte expertise dans le code. C’est la partie la plus visible des sites web dont il est en charge : l’interface. Il maîtrise React : l’un des frameworks JavaScript les plus utilisés. Sa mission : intégrer les éléments visuels demandés par un client dans les pages d’un site web pour créer une interface harmonieuse, dynamique et facilement navigable.  

Vous y voyez plus clair désormais ! Mais alors comment passer du choix théorique d’un métier à son apprentissage concret ? Là est toute la force de la formation. Mais attention : pas n’importe laquelle. 

2. Choisir la bonne école pour se former 

De nombreuses formations existent dans le digital. Elles promettent toutes de vous apprendre vite et bien le métier de vos rêves. Comment s’y retrouver ? Il convient d’être très vigilant quant au sérieux de l’organisme choisi. Pourquoi OpenClassrooms serait l’école la plus adaptée à votre évolution de carrière ?

Historique. Parmi toutes les écoles existantes, OpenClassrooms occupe une place de choix dans la formation aux métiers du numérique depuis 2013 (et même dès 1999 avec le Site du Zéro !). Les chiffres sont évocateurs : nous avons déjà permis à des millions de personnes d’apprendre tous types de compétences techniques, dont 10 000 ayant suivi notre parcours “Développeur web”. Nos cours en ligne sont même utilisés dans plusieurs écoles d’informatique et d’ingénieurs, et plébiscités par de nombreux développeurs désireux de mettre à jour leurs acquis. 

Contenu. Comment être sûr de bénéficier d’un enseignement de qualité ? La correspondance entre le contenu des formations OpenClassrooms et les compétences recherchées par les entreprises, est primordiale. Nous analysons en permanence l’évolution des métiers et mettons ainsi à jour un quart de l’ensemble de notre catalogue chaque année. 

Reconnaissance. C’est grâce à cette expertise que la plupart de nos formations permettent désormais d’obtenir des diplômes de niveau reconnu par l’État : un gage de confiance supplémentaire. Et pour poursuivre notre mission de rendre l’éducation accessible à tous, nos formations sont éligibles à plusieurs types de financement, selon le statut de chacun. 

Notre promesse : vous transmettre les connaissances les plus précises et actuelles possibles.

3. Se spécialiser dans un des métiers du développement informatique 

En tant que futur développeur, votre expertise fera toute la différence. Pour garantir un haut niveau technique dans ses deux nouvelles formations, OpenClassrooms a fait le choix de produire l’intégralité de ses contenus en interne, en s’entourant de profils dûment sélectionnés.

« Pour élaborer ces deux parcours, nous nous sommes appuyés sur des outils très puissants, permettant d’analyser de nombreuses données marché relatives à la recherche d’emploi, en vue de développer des référentiels de compétences. Nos ingénieurs pédagogiques travaillent également en continu avec des experts métiers, interrogés sur leur quotidien, pour identifier les méthodes, outils & acquis indispensables à leur métier. » Nicolas Patschkowski, Learning designer.

Ainsi, en 9 mois, les compétences que vous maîtriserez en tant que Développeur WordPress et Intégrateur Web sont :

Développeur WordPress :

  • Créer des sites personnalisés de manière efficace dans le cadre de développement d’activité ou de lancement de nouvelles offres de l’entreprise ou d’un client
  • Personnaliser des thèmes et des plugins WordPress afin de développer des sites aux fonctionnalités avancées et à l’interface sur-mesure.
  • Maîtriser les technologies et les langages techniques les plus demandés : WordPress, PHP, HTML, CSS, Git & Github, JavaScript, Elementor, Gutenberg, ainsi que des notions de jQuery et de Responsive design.

Intégrateur web :

  • Créer une application web complète et responsive pour permettre à l’entreprise ou au client de vendre ses produits et services en ligne, sur tous types d’appareils.
  • Dynamiser des pages web pour mieux mettre en valeur les produits / services d’une entreprise. 
  • Créer des interfaces communiquant avec le back-end du site pour créer des applications dynamiques et permettre aux clients de s’identifier sur le site.
  • Maîtriser les technologies et les langages techniques les plus demandés : HTML, CSS, SASS, JavaScript, React & Redux, les appels API, et quelques notions de Visual Studio Code, le responsive design, Figma, Git & GitHub.

Chacun de ces deux parcours permet également de maîtriser la gestion de projet web, les outils de veille technologique, et les bases du SEO.

Mais rentrons dans le vif du sujet : comment notre école va-t-elle vous former, vous, à votre futur métier ?

4. Apprendre son futur métier de manière (vraiment) efficace 

Se former demande un véritable engagement. Pourtant, même si l’envie de faire évoluer sa carrière est là, la motivation peut manquer pour mener à bien ce projet de vie. Chez OpenClassrooms, nous avons étudié tous les mécanismes de l’apprentissage et élaboré une pédagogie innovante avec un seul objectif : faciliter et optimiser la formation, pour tous. Tout a été pensé pour que vous alliez au bout de nos parcours, et viviez une belle expérience personnelle et professionnelle. Se former ne ressemble alors en rien à ce que vous avez expérimenté à l’école auparavant. Les spécificités de nos formations sont :

  • Praticité. Tous les cours se déroulent en ligne pour garantir un maximum de flexibilité physique et temporelle. Vous apprenez à tout moment, de n’importe où, et adaptez donc votre formation à votre emploi du temps.
  • Alternance. Tous les parcours peuvent être effectués en alternance avec un format hybride (en ligne / en présentiel), et l’aide d’OpenClassrooms et de son réseau pour trouver son entreprise (contrat de professionnalisation ou d’apprentissage).
  • Mode projets : Savoir c’est bien, savoir-faire c’est mieux ! Comme l’explique Nicolas Patschkowski, Learning designer : « Tout ce qui est enseigné aux étudiants est fait dans le but d’acquérir les compétences-clés du métier : pas de théorie superflue, ni d’initiation. Notre pédagogie est active et repose sur la réalisation de projets issus de scénarios professionnels. Chaque apprenant vit une expérience immersive dans son futur métier ! ». Apprendre par la pratique renforce la vitesse de mémorisation et les capacités professionnelles.`« Tout ce qui est enseigné aux étudiants est fait dans le but d’acquérir les compétences-clés du métier : pas de théorie superflue, ni d’initiation. Notre pédagogie est active et repose sur la réalisation de projets issus de scénarios professionnels. Chaque apprenant vit une expérience immersive dans son futur métier ! » Nicolas Patschkowski, Learning designer. 
  • Soft skills. Interactions professionnelles, présentation synthétique d’une solution à un client : ces compétences sont indispensables pour être un bon développeur. Plusieurs jeux de rôle sont organisés au fil du parcours, pour vous permettre d’incarner au mieux votre future posture de développeur. 
  • Suivi individuel. Tous les étudiants sont accompagnés par un mentor, expert du métier choisi, tout au long de leur formation. Des sessions individuelles d’échanges sont organisées chaque semaine en parallèle des cours en ligne : de quoi rester motivé,, dépasser les blocages, ancrer les nouvelles connaissances et permettre une véritable passation d’expérience.
  • Soutien. Les professeurs et conseillers pédagogiques OpenClassrooms sont dédiés à votre réussite et disponibles si besoin, tout comme la communauté d’étudiants sur Facebook Workplace.
  • Ressources. Des cours optionnels vous sont accessibles pour aller plus loin.

Alors, oui, certains diront que se former en ligne demande beaucoup d’autonomie. Mais Nicolas Patschkowski, Learning designer, précise : « C’est un challenge utile pour tous les futurs développeurs, car ce métier nécessite d’être autonome avec les outils digitaux, d’être capable de se former sur internet, trouver ses réponses par soi-même, demander à d’autres professionnels. »

5. Être épanoui dans le développement informatique

S’il y a bien un  métier qui ne connaît pas la crise : c’est celui de développeur ! Mais quel environnement de travail vous attire le plus ? Les développeurs WordPress sont très recherchés en agences web et sont nombreux aussi à se lancer en freelance. Les intégrateurs web se retrouvent beaucoup dans les start-ups et entreprises Tech, mais aussi en ESN.

De débutant à développeur, il n’y a qu’un pas. Alors, une fois votre formation diplômante dans le développement web terminée : que se passe-t-il ? OpenClassrooms met tout en œuvre pour favoriser votre employabilité. « Nos formations sont professionnalisantes. Elles ont pour but de rendre tous les apprenants employables en tant que développeurs junior ! », explique Nicolas Patschkowski.

« Nos formations sont professionnalisantes. Elles ont pour but de rendre tous les apprenants employables en tant que développeurs junior ! »
Nicolas Patschkowski, Learning designer.

Tout au long du parcours, vous avez réalisé une succession de projets concrets, avec l’aide de votre mentor, et les avez présentés à des experts métiers dans le cadre de sessions d’évaluation. Ces projets sont désormais rassemblés au sein d’un portfolio : véritable vitrine de vos capacités techniques ! Après avoir validé toutes les étapes requises, vous obtenez votre diplôme : une certification RNCP de niveau 5 (équivalent bac +2) reconnue par l’État. Vous avez désormais toutes les cartes en main pour commencer votre nouvelle vie professionnelle et être épanoui dans un travail qui vous plaît.

OpenClassrooms propose, à la fin de la formation, un parcours de coaching à l’emploi pour tous les étudiants qui le désirent. Des coachs spécialisés en insertion professionnelle peuvent alors les aider à préparer leurs CV, leurs lettres de motivation et leurs entretiens, en vue d’optimiser leur recherche d’emploi. De quoi mettre toutes les chances de votre côté !

Alors, pourquoi pas vous ?

Faites un bond dans votre carrière grâce au développement informatique et avec OpenClassrooms !

Postulez pour vous former à votre futur métier :

Découvrez également ici tous nos parcours de formations diplômants dans le développement informatique.

 

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Développement web : se former dès maintenant à un métier d’avenir

 

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« Une de mes étudiantes a créé son agence de comm », Julien, mentor

Par : Nora Leon

Consultant senior et expert en stratégie de communication, Julien Hervy accompagne également les étudiants des parcours OpenClassrooms en marketing et communication et community management en tant que mentor. Portait.

Comment et pourquoi êtes-vous devenu mentor ? 

Ma spécialité, c’est l’expérience client. J’ai été diplômé en 2014, puis j’ai travaillé dans une grande entreprise. Ensuite, j’ai été dans une start-up spécialisée dans les avis clients où je suis devenu directeur marketing.

J’ai aussi contribué à pas mal de médias, et un jour j’ai voulu devenir indépendant. 

Je suis devenu mentor chez OpenClassrooms après avoir écouté le podcast Nouvelle école avec Mathieu Nebra. J’ai toujours aspiré à enseigner et ce rôle m’a permis de le faire, d’une certaine façon.

OpenClassrooms m’a également apporté un revenu stable dans le cadre du lancement de mon activité de freelance, ce qui a été très précieux. Les équipes m’ont fait confiance au fur et à mesure en me donnant progressivement de plus en plus d’étudiants. Je suis parti à Vancouver, aux États-Unis, au Canada, au Japon, en Allemagne et j’ai mentoré depuis l’étranger.  

Que vous a apporté le mentorat ?

Le mentorat, cela renforce le leadership ! Et c’est très gratifiant de voir tes étudiants évoluer.

L’accompagnement est complexe, nous tissons des liens parfois assez forts avec les étudiants mais il faut garder la posture de mentor. Une forme de leadership dont ils peuvent s’inspirer pour leur future activité. C’est sensible car il faut à la fois être un atout pour l’étudiant mais ne pas passer la ligne. Il y a une partie soft skills qui est ultra importante.

Je ne suis pas là pour faire le projet à leur place mais pour leur apporter de bons conseils, c’est passionnant de m’entraîner à leur expliquer tout cela.

Quelle relation avez-vous avec vos étudiants, justement ?

J’aime beaucoup la session de découverte, où on apprend à faire connaissance. Je leur demande s’ils aiment lire et écrire : c’est très important dans la communication d’aujourd’hui. C’est un peu la revanche des littéraires (rires !). D’ailleurs, j’ai même participé à un concours de nouvelles avec une étudiante !

Honnêtement, mes étudiants sont très impressionnants. Je mentore sur les parcours Expert en stratégies marketing et communication et Responsable Marketing Opérationnel et Marketing. Les profils sont assez experts, justement. 

Je retrouve le fait de faire des retours constructifs, qui me plaît particulièrement, dans mon expérience en tant que mentor.  Tout au long de la relation, il faut aussi lutter contre le syndrome de l’imposteur des étudiants, insuffler la motivation et l’envie de terminer le parcours. Une fois qu’ils ont réussi, c’est également formidable de rencontrer les étudiants en vrai.

Enfin, les relations vont au-delà des échanges de bonnes pratiques sur le métier et les soft-kills. On s’échange aussi des conseils de lecture : c’est très riche. C’est l’occasion de faire ressortir ce que l’étudiant a de particulier, et comment on peut l’utiliser pour sa carrière.

L’aboutissement de la formation et de notre accompagnement, c’est qu’ils trouvent un métier qui leur plaise. 

Outre les compétences techniques, que transmettez-vous aux étudiants ?

Je cherche à les rassurer, à leur montrer qu’ils comprennent le sujet. Je les aide à monter en compétences, à trouver les bonnes informations. Il faut aussi les rassurer sur leur choix de formation : le métier est passionnant !

J’aime aussi les amener à mettre en avant leur plus-value, quelle qu’elle soit : visuelle, éditoriale ou même, de réflexion sur la société. Cette dernière est très différente d’un étudiant à un autre, sur un même parcours.   

Qu’est-ce que vous trouvez particulièrement grisant dans ce rôle ?

Il y a un côté inspirant dans le fait d’être mentor. Suite à la formation, on est appelé pour recueillir quelques conseils. C’est une relation toute particulière, qui nourrit aussi mon activité de consultant en stratégie.

Mes étudiants ne sont ni des collègues, ni des amis. Je leur mets la pression, je suis très exigeant, peut-être un peu dur, mais aussi bienveillant. Je fais aussi un peu de maïeutique : je leur dis « tu peux avoir confiance en toi ». Le plus grisant, au final, c’est lorsque mes étudiants trouvent des débouchés qui correspondent à leurs projets, valeurs et personnalités. Cela rend immensément fier !

Racontez-nous une histoire d’étudiant dont vous êtes fier, justement.

J’ai tellement de belles histoires en tête… Une de mes étudiantes a lancé sa propre agence de communication juste après son parcours, qui a d’ailleurs créé la charte graphique (cf. logo, etc.) de sa ville. Une autre étudiante est passée CXO chez la Redoute pendant sa formation. 

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Si vous rejoignez l’une des formations en ligne en marketing, vous pourrez être accompagné par Julien.

Comme lui, vous aimeriez devenir mentor OpenClassrooms dans votre expertise métier ? Rejoignez cette aventure humaine pour compléter vos revenus en nous soumettant votre CV.

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« En alternance, je suis responsabilisée », Victoire, communicante

Par : Nora Leon

Victoire se forme en alternance sur le parcours expert en stratégies marketing chez OpenClassrooms. Portrait.

Que faisais-tu avant OpenClassrooms ?

Après le Bac, j’ai fait une licence en sciences du langage & sciences sociales. C’était à Descartes mais cela ne me convenait pas vraiment,  j’étais entourée dans la promo par des gens qui voulaient devenir professeurs, pas forcément ma vocation même si c’est un beau métier.

J’ai eu ma licence, et je suis rentrée en école de communication.
Dans ma classe, plein de gens n’ont pas trouvé d’alternance et ont dû enchaîner deux stages. On ne te prend pas forcément, car même pour être alternant ou stagiaire on te demande de l’expérience. 

Comment as-tu choisi OpenClassrooms ?

J’en avais déjà pas mal entendu parler. En pleine période Covid, j’ai fait l’entretien chez OpenClassrooms, j’ai trouvé que le poste de cheffe de projet digital était intéressant, j’aime bien faire ça. J’ai été prise et ça s’est enchaîné.

Le descriptif du poste me plaisait, il y avait des missions que je ne connaissais pas encore, et des missions d’engagement d’étudiants. Je suis curieuse, j’aime bien découvrir des nouveaux milieux pour voir ce que j’aime ou pas. Venant du luxe, l’éducation, c’était le grand écart.

Ce que je retrouve entre OpenClassrooms et mon ancienne expérience, c’est le côté porté par leur histoire, et ça m’a séduite dès les entretiens, le fait qu’on ait une histoire à raconter. C’est cool de se dire que le Site du Zéro a fait ce chemin en  20 ans, ou qu’une petite petite dame a un jour ouvert une petite boutique qui a laissé place à une marque emblématique française une centaine d’année plus tard.  il y a plus de 100 ans. J’adore ce côté historique, il donne envie de parler de son travail !

Chez OpenClassrooms, je suis encore plus indépendante que dans mes précédentes expériences. J’avais déjà pas mal de responsabilités, mais là, je me sens plus en « CDI ». Je ne sais pas si c’est le fait que je sois en 2ème année de master, ou si j’ai accumulé assez de compétences, mais je suis garante de A à Z d’un projet. On m’a fait complètement confiance dès le départ, j’ai trouvé cela gratifiant. 

Qu’est-ce que tu aimes dans ta formation ?

Je suis en formation experte marketing. On a beaucoup de créa au final, en parallèle de la stratégie. En agence, il y a des personnes pour gérer cela. Mais là on doit penser au projet de manière 360°. Cela me met vraiment dans la peau de plusieurs personnes d’un projet de communication, et c’est très professionnalisant.

Et le mentorat ?


Ça se passe super bien avec mon mentor. Il est très sympa. Il a une expérience de fou. Il a réponse à toutes mes questions, il sait me rassurer. Il me met la pression comme il faut, sans que je me sente mal, sans m’engueuler. Il est compréhensif et il m’encourage. C’est vraiment un soutien. Après ma formation, il gardera cette place de mentor. Il m’accompagne dans la fin de mes études. 

Que préfères-tu chez OpenClassrooms ?

La force des formations OpenClassrooms, c’est l’autonomie. Cela pourrait aussi être un défaut pour certaines personnes qui aiment être plus accompagnées. Mais moi à qui ce format convient très bien, je vois cela comme quelque chose qui te prépare vraiment au monde du travail ! Tu es seule devant ton projet, OK, tu as ton mentor pour t’aider, mais tu le fais quand même toi. Il faut savoir se documenter, aussi bien en interne qu’en externe dans la vie professionnelle, et les parcours préparent énormément à cela ! 

Et dans le marketing et la communication ?

Ce qui m’intéresse dans le marketing et la comm, c’est qu’on doit convaincre. Pour le faire, il faut se mettre à leur place. On a des étapes d’introspection, il faut être empathique… Et dans la gestion de projet, c’est la polyvalence. Tu te retrouves à faire une tâche digitale, puis un message de comm, envoyer une campagne mailing, animer des réseaux sociaux. C’est d’avoir tellement de tâches différentes dans un même métier que je trouve intéressant.

Comment organises-tu ton rythme en alternance ?

Pour l’alternance, j’essaie de bosser régulièrement, un peu tous les jours mais je ne peux pas forcément le faire. Je consacre en tout cas toutes mes journées de formation au parcours OpenClassrooms, et quand j’ai du temps libre je ne l’utilise pas que pour voir mes copines. Je prépare bien ma session de mentorat, car je n’ai pas envie que mon mentor perdre son temps.

Le conseil pour ceux qui galèrent à trouver son alternance ?

Pour trouver son alternance, il ne faut pas se décourager. C’est un peu bête, mais si on ne te prend pas, ce n’est pas forcément de ta faute. Il y a tellement de personnes, de profils sur le marché du travail… Parfois, j’arrivais au dernier stade du recrutement, et ça se jouait à rien du tout. J’ai fait  tellement d’entretiens , et tel produit ou parce que je ne connaissais pas tel logiciel. Cela veut pas dire que je n’étais pas le bon profil, que je n’avais pas les compétences…  Je pense qu’à ce stade, plein de gens se démotivent. Mais il faut tenir le coup et garder espoir !

Quelle est la suite pour toi ? 

À court terme, j’aimerais terminer ma formation, et continuer chez OpenClassrooms. Cette boîte m’apporte énormément et pourrait m’apporter encore plus. à moyen terme, j’aimerais me lancer dans l’événementiel, des événements à thèmes, avec des artistes. J’aimerais le faire en Afrique de l’ouest, Côte d’Ivoire, Sénégal, Mali, Cameroun… Je pense qu’il y a une grosse communauté d’artistes qui vaut le coup. Et quelque chose à jouer dans tout ce qui est diaspora… Moi en tant qu’Ivoirienne en France, je connais peu la Côte d’Ivoire. Ce serait beau de créer des événements récurrents pour découvrir les différents pays. En France, cela pourrait être une réunion de plein d’artistes qui viennent… Un festival culturel ou quelque chose comme ça !

 

Podcast Joboscope épisode #16 : Expert en stratégie marketing

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« Le métier de CM, une superbe découverte », Raphaëlle, diplômée

Par : Nora Leon

Raphaëlle Fasquelle, passionnée d’art, s’est cherchée après une licence de généalogie. Suite à un bilan de compétences, elle a trouvé sa voie, CM. Et qui sait, peut-être deviendra-t-elle Community Manager d’un musée ou d’une fondation artistique ? Portrait.

Que faisais-tu avant OpenClassrooms ? Tu as un diplôme de généalogie, n’est-ce pas ?

Après mon Bac (en 2010) j’ai eu une licence en Histoire de l’art et un BTS notariat avec le CNED. Puis j’ai fait une formation de généalogie à distance. 

Donc je suis une habituée des formations à distance. M’inscrire à OpenClassrooms était dans la continuité, car je sais travailler seule. Je suis passionnée d’histoire. J’avais choisi un métier dont on entend pas parler, généalogiste. Cela n’a pas fonctionné, mais tant mieux pour moi car aujourd’hui j’exerce un métier qui est plus ouvert et qui recrute plus. 

Généalogiste, on en entend beaucoup parler à la télé, on appelle ça des ‘chasseurs d’héritiers’. Tu peux soit rechercher les ancêtres d’une personne ou chercher les héritiers dans le monde entier, et tu peux apporter une nouvelle très bonne à quelqu’un qui n’avait pas connaissance d’une famille.

Mais c’est rare que les personnes aient une vocation, cherchent activement à devenir généalogistes. Cela va être d’anciens juristes, notaires, historiens. Il n’y a aucun diplôme d’État pour cela. C’est un métier de personnes qui ont déjà pas mal d’années d’expérience : on m’a reproché d’être trop jeune.

Personne ne comprenait ma passion pour les archives… Fouiller dans les vieux documents n’intéresse pas tout le monde. 

Bref, je n’ai pas trouvé d’emploi. À partir du moment où je me suis dit que je n’allais pas réussir, ça a été assez dur d’être face à un mur. Je me suis laissée le temps de réfléchir, de trouver ce qui pouvait correspondre à ma personnalité. Ma vie ne peut pas s’arrêter à mon travail ! Je fais du piano, beaucoup de sport. Je voulais avoir le temps nécessaire pour consacrer du temps à ça.

J’ai une personnalité plutôt créative, avenante, et je voulais un métier qui me permettait de temps en temps d’avoir accès à un milieu sportif, artistique. Je ne savais pas trop où me diriger.

Comment as-tu fait pour trouver ta voie ?

Le temps de trouver, j’ai travaillé dan une galerie d’art, dans l’habillement pour bébé, j’ai été auto-entrepreneure en immobilier… Au bout d’un moment, j’étais perdue. J’ai rencontré une coach en développement personnel. À ses côtés, j’ai compris ce dont j’avais besoin et que le métier de CM était tout à fait moi.

On a conclu que ça me correspondait bien car une facette de ma personnalité c’est que je suis assez dynamique. Je n’aime pas trop faire traîner les choses. Il y a pas mal de choses dans mon comportement, ma personnalité, comme le fait que je sois autonome, indépendante, j’adore rencontrer des gens, j’aime pas rester sur un seul projet, qui collait.

Ma coach m’a fait rencontrer le CM avec lequel elle travaillait. Finalement, ça allait de soi.

C’était une évidence car je me suis dit : « si je trouve une marque qui me correspond, je saurai véhiculer les bonnes valeurs, faire ressortir le cœur de l’entreprise ».

C’était aussi, parce que vivant à Nantes, les postes y en a beaucoup. Pas comme généalogiste. 

Comment as-tu connu OpenClassrooms ?

 

J’ai choisi OpenClassrooms parce que mon conjoint a suivi la formation « développeur Web » et a trouvé du travail avant d’avoir fini sa formation. Je le voyais avec son mentor, à fond dans ses projets. Il m’a dit « rappelle-toi, j’ai fait cette formation », regarde pour toi. J’ai jeté un coup d’œil et la formation CM convenait.

L’avantage, c’est qu’on peut s’inscrire à n’importe quel moment de l’année. Je me suis inscrite en avril 2020, à savoir que j’ai mis 2 mois à décider quelle école prendre, ce qui est très court.

En plus, c’était en plein confinement. Je voyais plein de personnes qui étaient perdues, et je ne voulais pas attendre que les choses arrivent, je voulais être actrice de mon orientation et aller de l’avant.

Je n’avais pas le niveau pour la formation CM, j’ai dû faire une vidéo de motivation, j’ai dû demander des lettres de référence. 

Comment s’est passée la formation ? Le mentor ? Les soutenances ? Comment jonglais-tu ?

J’ai l’une de mes dernières soutenances vendredi. 

J’arrive à la fin, je pense que d’ici un mois et demi, c’est fini !

La semaine dernière, je disais à mon mentor que j’étais triste… C’est le problème des gens qui aiment apprendre. C’est la fin, tu as hâte, mais dans cet environnement, tu apprends, tu évolues…

Se voir évoluer, grandir, c’est super ! 

Le fait de savoir qu’après je vais être sur le marché du travail, ça fait un peu peur. Mais c’est l’avantage, car le côté théorique est là, mais ce n’est pas le plus important. Être au cœur du boulot de ton futur métier t’oblige à te dépasser. 

Malgré toutes les formations que j’avais faites, j’ai moins peu moins peur grâce à celle-ci d’aller sur le marché du travail. Après un BTS ou une licence, t’as un stage de deux mois si t’as de la chance… Là j’ai déjà pratiqué, je sais ce qu’on attend de moi, ce qu’on va me demander, et même si c’est pas évident de s’imaginer devant un vrai patron, j’ai quand même moins peur.

Et le coaching, c’est nickel. J’ai trop hâte ! C’est le truc qui me manque parce que ce n’est pas évident de passer des entretiens.

Avec mon mentor, ça s’est super bien passé. J’ai fait une pause dans la formation pour travailler l’été, et le mentor est top. Ce n’est pas une relation de mentor à élève, c’est plutôt de collègue à collègue. Plus expérimenté, qui apporte des réponses à un collègue moins expérimenté.

C‘est une relation très solide, qui ne met pas trop la pression. Il est détente, il y a aussi ce côté motivant, on a envie de faire plaisir à son mentor, on a envie de travailler. Et d’avoir son expérience, c’est énorme ! Car avoir son expérience de spécialiste, c’est incroyable car il me fait comprendre, il me dit que j’ai ma place dans ce milieu. Il me fait des retours constructifs, quand je fais quelque chose de bien, de mal et il n’y a pas de faux semblants. Ce n’est pas formel, on parle pas que boulot ! 

Que t’apporte le mentorat ? 

J’ai beaucoup plus confiance en moi, en mes capacités à apprendre et à apprendre vite.

Ça m’a aussi appris à être autonome. 

Et j’ai aussi appris à mieux m’exprimer à l’oral car on fait quand même pas mal de soutenances avec des mentors évaluateurs. Le fait de jouer ce rôle de CM, cette mise en situation, ça m’a permis d’apprendre à communiquer de manière plus professionnelle. Et aussi à être beaucoup moins stressée parce que c’est pas la même chose d’être derrière un écran, rencontrer une personne différente. Ça m’a permis de dédramatiser les présentations professionnelles.

Mon mentor me dit souvent qu’il faut apprendre à être convaincante. CM, on entend souvent que c’est juste « publier sur les réseaux sociaux ». En fait, il faut convaincre quand on présente ton projet. Et rebondir sur des questions déstabilisantes des personnes qui  ne pensent pas que c’est un enjeu important. 

Ce que tu préfères chez OpenClassrooms ? 

L’autonomie. La possibilité de travailler à mon rythme. C’est indispensable à ma façon de vivre. Et la deuxième chose, le mentorat.

Et la suite ?

Je suis déjà en recherche d’emploi ! Normalement, fin août-début septembre j’espère avoir du travail dans l’ouest de la France. Je préférerais travailler en agence, mais si une petite entreprise me plaît, je n’hésiterai pas à postuler, un petit CDI ce serait pas mal ! Tout ce qui est musées, j’aimerais beaucoup. Mais j’aimerais m’exercer en agence pour bien me faire la main, quitte à attendre un peu pour aller dans le milieu de l’art. 

L’article « Le métier de CM, une superbe découverte », Raphaëlle, diplômée est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.

 « Chaque étudiant a ses forces et ses faiblesses », Jérémy, mentor 

Développeur FullStack chez Advize Groupe, Jérémy transmet sa passion du code en étant mentor sur OpenClassrooms. Il a découvert cette opportunité à travers Mobiskill, notre partenaire expert du recrutement sur les postes Tech.

Comment et pourquoi êtes-vous devenu mentor pour OpenClassrooms ?

J’ai toujours aimé enseigner, transmettre mes connaissances, et aider les autres.

Dès le début de mes études supérieures, j’ai commencé à donner des cours bénévolement à mes camarades en nous regroupant toutes les semaines dans une salle prêtée par l’établissement.

Cela me plaisait tellement que les cours particuliers sont devenus un emploi étudiant grâce à un statut d’auto-entrepreneur, pour venir en aide à des étudiants de niveau collège et lycée dans les matières scientifiques.

Alors que je cherchais un nouvel emploi dans le développement Web, on m’a proposé de devenir mentor chez OpenClassrooms. Une occasion de combiner amour des cours et du partage et passion du développement.

En quoi le mentorat consiste-t’il et qu’est-ce qu’il vous apporte ?

J’ai actuellement trois étudiants avec qui nous réalisons une heure de mentorat individuel chaque semaine.

Chaque étudiant est différent : il a sa façon de penser, ses points forts, ses faiblesses et ses expériences passées. C’est d’autant plus riche lorsqu’il s’agit d’une reconversion professionnelle. Cette composante humaine et cette diversité de profils  rendent chaque séance différente par rapport aux précédentes.

Cela m’apporte à la fois des aspects passionnants au niveau professionnels, mais surtout de nouvelles connaissances.

Et bien sûr, en tant que mentor, on se nourrit des échanges avec nos étudiants. 

Quelle est votre activité professionnelle en dehors du mentorat ?

Je suis développeur Web FullStack. J’ai 5 ans d’expérience professionnelle, sans compter les nombreuses d’années d’entraînement qui les ont précédées.

Le développement est un secteur de passion, c’est rare qu’on commence seulement après ses études. Souvent, on a déjà pas mal codé et mené des projets pendant ses études.

Qu’est-ce qui vous plaît dans ces métiers ?

Le développement est une aventure.

Chaque jour, les demandes, les problèmes, les idées et les façons de faire sont différents. En effet, chaque client va avoir des demandes qui lui sont propres. Les bugs remontés ne sont jamais les mêmes. Et le domaine progresse très rapidement, ce qui oblige à se mettre à jour, mais permet de découvrir de nouvelles façons de faire.

Y a-t-il des sujets sur lesquels vous aussi vous aimeriez vous former ?

La gestion de projet. J’adore m’organiser, le contact humain et aider les autres de manière pratique ou en leur partageant mes connaissances. Les métiers de la Tech sont poreux. On peut passer d’une spécialité à une autre de manière assez agile… Alors, pourquoi pas devenir chef de projet plus tard ? Affaire à suivre !

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L’apprentissage du développement vous intéresse ? Rendez-vous sur les formations diplômantes en développement informatique pour choisir votre domaine de prédilection et vous faire accompagner par un mentor.

Si comme Jérémy, vous aimez transmettre vos connaissances, devenez mentor !

L’article  « Chaque étudiant a ses forces et ses faiblesses », Jérémy, mentor  est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.

« J’ai découvert ma vocation : accompagner les talents ! », Claire

La carrière de Claire peut être résumée en un mot : l’humain. Un virage s’est toutefois opéré lors de son congé maternité, où elle a fait le point. « Comment me sentir encore plus à ma place dans mon métier ? ».  Elle a alors décidé de suivre le parcours “Conseillère en Évolution Professionnelle” (CEP) pour se spécialiser dans l’insertion des adultes. Maintenant qu’elle a trouvé sa voie, elle souhaite désormais aider les autres à trouver la leur ! Portrait.

Pouvez-vous nous en dire un peu plus sur vous ?

J’ai 35 ans et habite en région parisienne avec mes 2 filles et mon compagnon.

Après l’obtention d’un master marketing et vente des PME/PMI, j’ai travaillé 10 ans, en changeant régulièrement de poste et de structure. Jamais plus de trois ans dans la même entreprise : je suis un vrai électron libre ! 

C’est dans une association que j’ai commencé, dans l’accompagnement en création d’entreprise. J’ai ensuite rejoint un groupe d’école privé, au sein duquel je m’occupais de l’alternance (développement, placement et suivi des étudiants). Puis, j’ai travaillé dans une collectivité territoriale en tant que développeur économique local (chez Est Ensemble) où j’ai contribué à l’animation d’un club d’entreprises. Enfin j’ai touché au mécénat pour développer des programmes entrepreneuriaux dans le secteur de l’ESS (Economie sociale et solidaire).

Votre travail avait l’air de beaucoup vous plaire ! Pourquoi avoir voulu reprendre une formation ?

Oui, j’aimais mon travail car je suis d’un tempérament dynamique et j’aime apprendre. Mais je sentais que quelque chose ne me convenait pas.

Puis, je suis tombée enceinte. Je me suis donc dit que c’était le moment de faire une pause professionnelle et de faire un bilan de compétences.

Ce dernier, pendant mon congé maternité m’a permis de faire le point, prendre du recul, me reconnecter à mes envies en vue de me sentir plus à ma place dans mes futures activités professionnelles. 

J’ai alors décidé, le 7 janvier 2021, de démarrer la formation “Conseillère en Evolution Professionnelle” (CEP) chez OpenClassrooms, pour me spécialiser dans l’accompagnement de talents dans leur carrière. 

Qu’est-ce qui vous attire dans ce métier ?

Finalement, l’Humain a toujours été le leitmotiv de mon parcours professionnel. Écouter, aider : ce sont des compétences naturelles chez moi, que je mobilise déjà spontanément avec mon entourage à titre personnel. J’adore, cela nourrit ma curiosité et ma soif d’apprendre.

Via cette formation chez OpenClassrooms, j’ai deux projets d’accompagnement pour aider des personnes à trouver leur voie. Et effectivement, l’écoute représente 80% du travail. D’ailleurs, les retours positifs de ces deux personnes sur notre accompagnement m’ont beaucoup encouragée à continuer dans cette voie.

Justement, votre expérience sur cette formation a-t-elle été concluante ?

Au premier abord, j’avoue avoir été un peu angoissée par le webinaire d’intégration, qui était assez formel. Mais le discours était clair sur le déroulé du parcours. Je me suis rapidement détendue en pratiquant et en prenant le rythme. Le défi devient alors stimulant. 

Plusieurs aspect de la formation m’ont plu :

  • Le format en distanciel : car il permet une flexibilité et une autonomie dans la façon de s’organiser. Dans mon cas, je dois en parallèle garder ma fille qui n’a pas eu de place en crèche, mais c’est tout à fait conciliable. Je me tiens à mon calendrier pour la formation et j’avance vite. Je vais même terminer plus tôt que prévu !
  • Le côté pratique de l’apprentissage : qui permet de mettre en application nos compétences. Je ne me voyais vraiment pas retourner sur les bancs de l’école, au sens classique du terme.
  • La taille des leçons : c’est court, synthétique et facile à intégrer avec le mélange textes + vidéo.

Et comment s’est passée la relation avec votre mentor ?

Le contact a tout de suite été très positif. J’étais la première apprenante qu’il mentorait. Nous avons commencé par nous présenter de manière détendue et simple. Pour moi, cette étape est essentielle quand on est à distance. 

Mon mentor est flexible, il s’est adapté à ma situation personnelle et familiale, j’ai beaucoup apprécié. Et à côté de cela, il est exigeant et me motive de façon bienveillante. C’est un parfait équilibre.

La seule limite du mentorat, selon moi, est de n’être suivi que par un seul mentor, qui a sa vision et sa spécialité.

Quelles sont vos envies professionnelles désormais ?

J’aimerais retrouver un emploi dans le domaine de l’accompagnement, de préférence dans une structure qui reçoit des profils adultes, comme un cabinet en évolution professionnelle. En parallèle, j’aimerais réaliser des bilans de compétences. Le mentorat m’attire également pour être à mon tour “de l’autre côté” ! Je compte rester ouverte aux opportunités du marché.

Un petit plus que vous avez particulièrement apprécié chez OpenClassrooms ?

L’application de messagerie instantanée Workplace proposée à tous les élèves est géniale. Je vais sur chaque groupe pour avancer, c’est une vraie plus-value. Cela permet d’échanger, de créer du lien. Et cela, c’est très important en période d’apprentissage !

Avec une autre étudiante, Marie-Pierre, nous avons créé le parrainage ou marrainage pour aider les nouveaux. Je suis moi-même marraine. On prévoit d’ailleurs de se rencontrer, en vrai !

Et la suite ? 

À présent, je vole de mes propres ailes et j’ai donc créé mon entreprise pour effectuer des bilans de compétences. Si des personnes se reconnaissent dans le besoin de faire le point professionnellement, qu’elles n’hésitent pas à me contacter.

Vous projetez aussi de devenir Conseillère en Évolution Professionnelle ? Étudiez à votre rythme et bénéficiez d’un accompagnement personnalisé grâce au parcours CEP d’OpenClassrooms. Ce parcours est finançable par Pôle emploi

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D’Interpol aux systèmes et réseaux, le parcours de Jean-Marie

Par : Nora Leon

Jean-Marie Koka a un parcours pour le moins atypique. Arrivé en France en 2012 après une carrière dans la police congolaise, au service d’Interpol, il a été frappé par une maladie grave. Dans le cadre de sa rémission, il a décidé d’entreprendre une reconversion en informatique. Son choix s’est porté sur la formation en ligne Administrateur systèmes et réseaux d’OpenClassrooms. Nous sommes revenus ensemble sur son parcours détonnant.

Bonjour Jean-Marie ! Pouvez-vous s’il-vous-plaît nous raconter des bribes de votre histoire ?

Je m’appelle Jean-Marie Koka, je suis juriste de formation et je vis en France depuis 2012. Initialement, je ne voulais pas rester. J’ai travaillé pour le compte d’Interpol, la police internationale. Lors d’une mission de service, alors que je voyageais avec le chef de la police de mon pays, le Congo, je suis tombé gravement malade. 

En France, nous devions acquérir du matériel pour la police congolaise. Nous sommes donc allés voir la police fluviale pour le Ministère de l’Intérieur. À l’époque, on nous avait logés vers la tour Eiffel, dans un hôtel. Et subitement, un jour, je ne me suis pas senti bien. Mon chef est parti en Belgique pour faire son check-up et moi, je suis resté dans cet hôtel à Paris. 

J’ai appelé un ami qui est venu me chercher à l’hôtel pour m’emmener en urgence à l’hôpital. J’ai passé de nombreux examens et j’ai découvert que j’avais un cancer : il n’était plus question de rentrer avec mon chef au Congo. Finalement, j’ai été hospitalisé pendant 3 mois en France, et les médecins m’ont prescrit un suivi médical. Je suis resté en France, et ma femme, qui est médecin, m’a rejoint. 

J’ai commencé à suivre des soins ambulatoires, de la chimiothérapie, etc. Je me suis dit qu’il fallait que je fasse quelque chose, que je redevienne actif.

Au Congo, j’ai un diplôme niveau bac +5,  j’ai cherché à trouver une formation ici en France qui me confère un niveau similaire. 

Quelle histoire ! Et comment avez-vous mené cette recherche de formation ?

Je suis allé à la Sorbonne : il y avait un master professionnel sur les contentieux d’affaires. Mais le problème, c’est que je n’avais pas d’emploi pour payer les frais de scolarité. Et comme je ne vivais pas à Paris même, Pôle emploi ne pouvait pas prendre en charge ma formation.

J’étais sans argent, je me suis demandé comment j’allais faire ! Mais lorsque j’étais à l’hôpital, il y avait une assistante sociale. Je suis allé la voir, lui disant que je n’avais pas les moyens de me former. Or, le cancer est considéré comme une maladie handicapante. L’assistante m’a donc recommandé de chercher une formation au niveau de la MDPH (la Maison Départementale des Personnes Handicapées, une entité finançant le droit à la reconversion pour les adultes en situation de handicap). Avec leur aide, je me suis lancé dans le projet d’une reconversion professionnelle.

Quel cursus avez-vous choisi pour votre reconversion ?

Parmi les formations disponibles, j’ai trouvé que l’informatique en valait la peine. Lorsque je travaillais au Congo, j’ai dû travailler dans le cadre de la réforme de la police du Congo. Et à cette époque, nous avions suivi une formation pour connaître les bases de l’informatique, notamment Excel. 

Dans le travail que je faisais pour Interpol, l’information circulait sur des canaux informatiques. Il y avait par exemple des notices de recherche, etc…

Je me suis donc dit que j’allais me lancer en informatique. Je suis allé à Groslay pour faire une pré-orientation de 3 mois. 

Après la pré-orientation, j’ai fait une remise à niveau suivie d’une formation d’assistance informatique de 18 mois. De temps en temps, comme je lisais les cours sur OpenClassrooms, j’ai remarqué qu’il y avait sur le site une offre de formations financées au niveau de la région.

La formation de technicien que je suivais alors avait un équivalent bac. Moi, j’avais quand même fait 5 ans à l’université et je devais me retrouver à un niveau de bac – j’ai eu envie d’aller plus loin. Donc j’ai postulé et j’ai été admis dans mon parcours OpenClassrooms Administrateur systèmes et réseaux.

Je commence à découvrir beaucoup de choses. Certains cours m’ont déjà aidé à réfléchir à ce que je peux faire à l’avenir ! Par exemple, devenir hébergeur ou bien créer un data center. Au Congo, et plus généralement en Afrique, il y a des problèmes d’électricité. J’aimerais créer un data center là-bas pour héberger les données des clients. En tout cas, c’est ma vision actuelle ! 

Génial ! Et comment se passe la formation ?

Elle se passe bien ! J’essaye d’apprendre, de comprendre, je ne veux pas aller vite en besogne, mais je cherche à aller vraiment en profondeur dans mes sujets d’études.

Est-ce que vous pouvez nous parler de vos projets ?

En ce moment, je finis mon quatrième projet sur le parcours d’administrateur systèmes et réseaux, qui consiste à apprendre à perfectionner les réseaux informatiques d’une grande entreprise. J’ai découvert comment créer un compte et loger un fichier sur Amazon. 

Comment cela se passe-t-il avec votre mentor ? 

Dans la formation, c’est vous qui lisez les cours et si vous êtes bloqué, le mentor peut vous donner des pistes. Parfois, on entre un peu en contradiction. Dernièrement, j’ai utilisé Cisco, et mon mentor avait voulu que j’utilise le fichier dans Ubuntu. Moi, j’ai préféré faire du VLAN sur les Switch Cisco. Lorsqu’il a vu mon travail, il était surpris mais il m’a félicité ! Il y a un bon dialogue entre nous. 

Qu’est ce que vous aimez le plus dans Ia formation OpenClassrooms ?

Les cours me plaisent beaucoup ! Ils me permettent de faire des recherches par moi-même et de me former. À l’école, quelquefois, on se limite seulement aux notes du formateur.

Mais là, ça vous pousse à aller un peu plus loin, parce que OpenClassrooms encourage à effectuer d’autres recherches.

Vous avez un parcours atypique ! Vous êtes passé par plusieurs étapes compliquées.

Tout à fait ! Juriste de formation, puis dans la police. Je me retrouve maintenant dans l’informatique, c’est vraiment une reconversion pour moi… Que OpenClassrooms me donne les moyens de faire.

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Malgré une vie pleine d’imprévus, Jean-Marie a su tirer parti de sa situation pour avancer et se transformer professionnellement. Le choix du secteur informatique et plus particulièrement des systèmes et réseaux lui permet de se positionner sur un marché de l’emploi porteur et en forte demande… Outre le développement de nouvelles compétences, sa formation OpenClassrooms et les cours dispensés lui ont aussi permis de réfléchir à l’avenir, et de peut-être préparer la voie d’un projet entrepreneurial…

Vous aussi, vous vous intéressez au métier d’Administrateur systèmes et réseaux ? Rendez-vous sur la page parcours de la formation pour découvrir son contenu. Vous pouvez aussi suivre les cours dispensés sur le parcours gratuitement ; cela vous donnera un bon aperçu pour vous lancer sur cette formation professionnalisante. 

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De commercial à data analyst : le contact humain, fil rouge de la carrière d’Anthony

Par : Nora Leon

Anthony a 40 ans, habite en banlieue parisienne et a toujours eu le contact facile. C’est donc pendant près de 15 années qu’il a évolué en tant que commercial dans le milieu du courant faible.

La crise du Covid a stoppé son activité mais sans le perturber pour autant, bien au contraire. Antony a su faire de sa période de chômage une opportunité pour envisager une reconversion. C’est lors de la semaine du numérique organisée par Pôle emploi, qu’il découvre les métiers du numérique. La formation de data analyst d’OpenClassrooms lui a tout de suite plu. Interview d’une reconversion réussie. 

Bonjour Anthony, pourriez-vous s’il-vous-plaît nous expliquer s’il votre reconversion a suivi une certaine logique ?

Aussi étrange que cela puisse paraître, je vous dirais que oui !

J’idéalise peut-être le métier de Data analyst, mais pour moi, il consiste à être au cœur de l’entreprise puisqu’on peut travailler avec différents services ; aussi bien les services commerciaux, marketing ou RH. Au-delà d’une parfaite maîtrise des chiffres et de langages techniques, ce métier demande une certaine aisance dans le contact humain. Tout comme quand j’étais commercial.

Il faut que je sois capable de faire parler des chiffres, je ne suis pas juste là pour extraire les données. 

Et quels sont, selon vous, les savoir-faire et savoir-être acquis dans votre formation OpenClassrooms qui vous seront utiles demain en poste ? 

C’est vrai que finalement chaque expérience sert la suivante et ainsi de suite.

Depuis que j’ai commencé cette formation, d’une durée d’un an, je vois bien que je me perfectionne aussi bien à l’écrit qu’à l’oral. On a des soutenances régulières avec nos mentors au cours desquelles je retranscris mes résultats. 

Cela me sera demandé en tant que Data analyst. Je vais devoir savoir faire parler les chiffres et surtout avec un langage accessible pour que n’importe quel public me comprenne. 

Vous parlez de soutenances, pouvez-vous nous en dire un peu plus sur les projets proposés dans le cadre de votre formation ?

Les projets se déroulent en deux parties : la première partie, ce sont des cours vidéo que l’on suit, à son rythme. Quand je ne comprends pas quelque chose, je mets en pause et je vais chercher de l’aide : soit en me débrouillant grâce à Internet, soit sur notre groupe Discord en demandant aux autres étudiants. 

Une fois que j’ai suivi le cours, on passe à la partie concrète avec le suivi d’un projet. C’est comme si nous étions en situation réelle. De projets en projets, je monte en compétences pour avoir les connaissances nécessaires au métier de data analyst. 

Le premier projet était de se présenter, ce qui était facile pour moi, ex-commercial. Le deuxième projet était une analyse de chiffres de vente avec Excel et PowerPoint. Je n’ai pas trouvé ça trop compliqué, à part peut-être la partie sur Excel. Le projet 3 était sur les bases de données relationnelles avec le langage SQL. Je n’y connaissais rien, et puis finalement, on se rend compte que ce n’est pas si difficile. 

Au moment où nous nous parlons, j’en suis au projet 4 et je démarre le langage Python. Je panique un peu, mais dans deux mois, je vous dirai peut-être que c’est très simple. Enfin, je l’espère ! 

Et durant tout cela, vous êtes suivi par un mentor ? Que vous apporte-t’il ?

Tout à fait, je suis suivi par Antoine avec qui j’échange une fois par semaine. Cela se passe très bien ! En même temps, vous l’aurez compris, j’aime le contact humain. 

Il est data analyst de formation, donc il m’apporte son expertise technique avant tout. Quand je bute sur des choses, il ne me donne pas la solution, mais nous réfléchissons ensemble. C’est beaucoup plus stimulant que s’il m’apportait la réponse sur un plateau.

Tout à l’heure, vous nous parliez des autres étudiants qui peuvent être aussi un soutien dans la réussite de votre formation. Vous êtes en lien au quotidien avec eux ?

Nous avons deux espaces d’échange : le Workplace mis en place par OpenClassrooms et le groupe Discord, animé par les étudiants, par niveau et par projet. Cela nous permet de rester en contact virtuellement et de s’entraider ou de se poser des questions. 

C’est toujours très intéressant de voir comment chacun traite un problème, cela permet de comparer nos réflexions et de voir son erreur. Et si j’arrive à aider les autres, c’est que j’ai compris ; cela me rassure.

Il existe une vraie synergie entre étudiants chez OpenClassrooms ! 

C’est en effet une des volontés de nos fondateurs. La transmission est notre leitmotiv. 

Vous faites cette formation à temps complet, auriez-vous une routine à partager ?

Pas spécialement ; à part peut-être le fait de me connecter régulièrement sur notre groupe Discord pour aller chercher de l’aide auprès d’autres étudiants ou, à mon tour, aider ceux en difficulté. J’essaie vraiment de ne pas rester bloqué, tout en y allant à mon rythme. 

Et quelle est la suite pour vous ? 

Avoir mon diplôme, puis travailler dans une entreprise à taille humaine, pour ne pas être qu’un numéro.

Idéalement, j’aimerais rejoindre une société engagée, qui ait un vrai impact sur notre vie quotidienne. Pourquoi pas dans le domaine de l’écologie.

Devenir mentor chez OpenClassrooms me plairait bien aussi. J’aime le contact humain, j’aime transmettre donc cela fait plutôt sens. 

J’ai eu la chance de pouvoir débuter ce parcours au sein d’OpenClassrooms, financé par Pôle emploi. Je me dis que c’est normal de transmettre à mon tour.

C’est beau. Comment aimeriez-vous conclure cette interview ?

Un conseil à tous ceux qui hésitent, foncez ! 

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Vous envisagez, vous aussi, de vous réorienter en tant que Data analyst ? Suivez la  formation en ligne data analyst en 6 mois, basée sur la réalisation de projets concrets et l’accompagnement d’un expert métier chaque semaine. Ce parcours peut être financé grâce à vos crédits CPF ou effectué en alternance, en doublant le temps d’études.

 

La trajectoire de Nicolas, devenu Data Analyst sans le Bac

Agar, alternante en Data Science chez Sereneo

 

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Sylvie, de la coiffure à l’immobilier grâce à Passeport Numérique

Par : Nora Leon

De la coiffure à l’immobilier, il n’y a qu’un pas ? C’est ce que nous apprend l’histoire de Sylvie Tello, diplômée Passeport Numérique. Après bien des années à prendre soin des coiffures de ses clients et un petit passage à vide, Sylvie a rebondi sur OpenClassrooms, l’école en ligne des métiers du numérique. L’occasion de bifurquer vers un métier qui lui plaît vraiment. Rencontre.

Bonjour Sylvie, vous êtes coiffeuse de métier, c’est cela ?

J’ai fait une longue carrière, mais je suis coiffeuse au départ et mon dernier métier était assistante maternelle. Coup dur de la vie, au décès de ma maman, j’ai perdu toute motivation. J’avais perdu mon père quelques années auparavant, donc c’était une deuxième partie de moi qui s’en allait. J’ai ressenti une profonde tristesse et pendant un an, je n’ai plus pu travailler.

Chez Pôle emploi, mon premier conseiller ne s’est pas montré très compréhensif. J’ai changé et je suis tombée sur une dame qui, elle, a voulu m’aider. 

Votre conseillère qui vous a proposé la formation « Passeport numérique » ?

Oui ! Elle a vite compris que je ne me voyais plus dans le milieu de la coiffure, à travailler le samedi et le dimanche et même les jours fériés. Je suis maman et ma petite dernière a treize ans : j’ai besoin de temps libre pour me consacrer à ma famille. 

Pour autant, j’aime le relationnel, le commerce, parler, les gens. Cela vient de mon métier de coiffeuse. J’ai pensé au dropshipping, mais cela me faisait peur de me lancer seule ; je n’ai pas pris le risque. 

Alors, nous avons exploré le métier d’agent immobilier, dont je suis passionnée. Pour l’exercer, il me fallait de bonnes bases en informatique. Ma conseillère m’a proposé la formation rapide Passeport numérique pour que je me forme. Elle m’a dit : « Lancez-vous, vous allez apprendre plein de choses ! ». Et elle avait raison !

Comment s’est passée la formation ?

J’ai été très surprise de ce format en ligne. Au départ, je pensais que mon mentor allait être avec moi du matin au soir par visio, mais en fait je devais être autonome (rires). 

Ma première mentor ne comprenait pas que j’aie besoin qu’elle me montre les choses sur l’ordinateur plusieurs fois. D’elle-même, elle m’a proposé de continuer avec une personne plus pédagogue, qui a parfaitement compris mes besoins. 

Je suis vraiment bien tombée. Mon mentor m’a poussée vers le haut, m’a aidée à avoir confiance en moi.

Il m’a donné pas mal d’autonomie, en m’accompagnant pour que je m’en sorte.

À partir de là, je me suis éclatée en formation. Dans Passeport Numérique, on apprend les bases de tout ce qui est utile sur un ordinateur. J’ai découvert PowerPoint, Google Meets, j’ai approfondi mes connaissances sur Zoom et Word. 

J’ai fait des slides toute seule. Même insérer une image, pour une débutante comme moi, ce n’était pas évident ! J’ai aussi dû organiser une réunion ou encore travailler sur un projet fictif pour le restaurant le Fouquet’s. Les projets sont intéressants, bien expliqués et si on comprend pas, on demande.

Pour les soutenances, je suis tombée les mentors validateurs m’ont mise à l’aise. Je suis allée au bout de la formation. Je suis fière de moi !

Qu’avez-vous aimé dans la pédagogie d’OpenClassrooms ? 

Tant de choses ! Les projets sont bien faits, et le rythme est flexible. On ne te met pas la pression avec les dates, on sait que tu vas rattraper. Je me suis donnée à fond. 

J’ai aussi apprécié l’aspect humain. On a notre mentor et la communauté sur l’outil interne où tous les étudiants s’entraident, se motivent. On se félicite, on se soutient, parfois on fait même connaissance en vrai. 

Qu’est-ce que cette formation vous a apporté de plus important ?

 

Au-delà d’une aisance sur un ordinateur (le but de Passeport Numérique !), c’est surtout de la confiance en moi. 

Au début, j’avais peur. Je me disais que les autres avaient tous fait plein d’études, que moi la petite coiffeuse je n’avais rien à faire là. Je me suis vite rendue compte que j’avais tout à fait ma place et que moi aussi, je pouvais énormément apprendre.

Et puis, j’ai quand même 54 ans… Chez OpenClassrooms, suite à Passeport Numérique, j’ai un coach pour chercher un emploi. Ça me rassure de ne pas être seule dans la nature !

Avez-vous été surprise de quelque chose ? 

Je ne pensais pas réussir à me débrouiller toute seule. Je croyais que j’allais être prise par la main toute la journée. Finalement, je n’en ai pas eu besoin, ça a roulé tout seul. 

J’ai aussi été surprise de la façon dont la formation était organisée. Ça va doucement, on n’a pas la pression. Et tant mieux, car quand on me met la pression, je n’y arrive pas ! (rires).

À présent que vous avez réussi Passeport Numérique, quel est votre projet ?

Je voudrais devenir agent immobilier. J’ai soif d’apprendre et ce secteur m’attire beaucoup. 

Aujourd’hui, je suis en Action de Formation Préalable au Recrutement (AFPR) en stage chez un agent immobilier. J’adore mon nouveau métier et j’espère rester dans cette agence à l’issue de mon stage.

D’ailleurs, il y a des ponts avec mon ancien métier et mon futur job ! En coiffure, on a un côté psychologue. On écoute, on conseille nos clients… Je pense retrouver cet aspect avec mes futurs clients en agence immobilière, car quand on achète un appartement ou une maison, c’est une grande décision de vie. 

Ce métier me permettra d’utiliser mes qualités d’écoute et de communication, que j’aime tant mettre en pratique.

Une chose est sûre, Passeport Numérique m’a mise sur des rails pour terminer ma carrière dans un métier qui me plaît. 

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Vous vous retrouvez dans le témoignage de Sylvie et avez envie, vous aussi, de suivre le programme Passeport Numérique ?

Il est financé par Pôle emploi et vous permettra d’être à l’aise sur les outils numériques, quel que soit votre projet professionnel. Vous aussi, lancez-vous !

L’article Sylvie, de la coiffure à l’immobilier grâce à Passeport Numérique est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.

« Les sessions de mentorat sont une joie », Fayçal, mentor 

Développeur iOS en freelance chez Parrot le jour et mentor sur le parcours développeur d’application – iOS chez OpenClassrooms la nuit, Fayçal est pour le moins dynamique ! Passionné par la transmission de connaissances, il revient avec nous sur l’impact du mentorat sur sa carrière… et son développement personnel. Témoignage.      

Bonjour Fayçal ! Comment êtes-vous devenu mentor chez OpenClassrooms ?

J’ai toujours aimé transmettre et partager mes connaissances. Je trouve qu’on apprend beaucoup plus lorsque l’on transmet aux autres, et cela permet aussi d’apprendre plus facilement les connaissances.

Lorsque j’ai passé mon bac, je donnais déjà des cours de mathématiques aux troisièmes. Au fil de mes études, j’ai continué et l’envie d’accompagner est restée.

Lorsque j’ai commencé à travailler dans le secteur de l’informatique, c’était logique pour moi de continuer sur ma lancée. Et d’ailleurs, je ne compte pas m’arrêter là. 

Qu’est-ce qui vous a amené à travailler chez Parrot ?

Je travaillais pour Solocal (une société spécialisée dans le marketing digital), puis j’ai décidé de rejoindre Parrot (le leader européen des drones professionnels et civils). 

Via mon expérience chez Solocal, j’avais acquis une expérience des médias et du marketing digital. J’ai eu envie de découvrir le monde des systèmes embarqués, ces systèmes électroniques et informatiques autonomes. C’est pourquoi mon choix s’est porté sur Parrot, qui produit des drones.

Quel lien faites-vous entre votre métier de développeur et le mentorat ?

Exercer mon métier me permet d’être en permanence à jour par rapport à la réalité de l’entreprise et de partager aux élèves des retours d’expérience concrets.

Par exemple, j’aide beaucoup mes mentorés à se préparer aux tests techniques de recrutement auxquels ils risquent d’être soumis, comme j’en fais souvent passer à des candidats.

Je trouve cela légitime de leur partager ce à quoi ils peuvent s’attendre lors de leur recherche d’emploi !

Envie de devenir mentor ? Lancez-vous !

Et vous, que vous apporte le mentorat ? 

Énormément d’échanges. J’ai hâte que l’heure de mentorat arrive avec mes étudiants.
Je sais qu’ils ont beaucoup de questions, qu’ils sont parfois bloqués. C’est toujours un plaisir de les aider à avancer et d’observer leurs progrès. En ce moment, je suis trois étudiants et j’ai fait la demande d’en accompagner plus !

J’ai toujours voulu transmettre, alors quand l’opportunité de devenir mentor chez OpenClassrooms s’est présentée, cela m’a semblé naturel.

J’ai passé un entretien et j’ai intégré la communauté des mentors OpenClassrooms. Pour l’instant, ce n’est que du plaisir ! 

Pouvez-vous nous parler un peu des projets ? 

Les projets des étudiants montent en difficulté au long de la formation. Les débuts sont importants, parce que l’étudiant prend connaissance de ce qui l’attend, et il lui faut se donner un objectif qu’il puisse se tenir et atteindre à l’aide d’un plan théorique.

Ces projets sont variés, mais impliquent beaucoup de code et de développement. Pour certains exercices, je sais que les étudiants peuvent rapidement monter en compétences sur des notions particulières . Pour d’autres, il faut les accompagner, attendre le bon moment ou le bon exercice pour les aider à intégrer efficacement un nouveau savoir – ça demande de bien comprendre les capacités de chaque étudiant et de bien réguler le mentorat !

À la fin de la formation sur laquelle je suis mentor, les étudiants ont un projet libre : la construction d’une application de leur choix, de A à Z.

S’ils réussissent, leurs projets sont validés et ils reçoivent leur diplôme.  

Quelle est la valeur ajoutée du mentorat pour les étudiants ?

Parfois, les étudiants ont peur du jugement des autres, ou tout simplement d’échouer. Mon rôle de mentor, c’est de leur rappeler qu’ils sont en formation, et qu’ils sont là pour tester le plus de choses possible. Plus ils essaient, plus ils vont avoir des retours sur leur travail. Cette approche permet de nourrir leur curiosité et de les aider à aller plus vite !

En tant que mentor OpenClassrooms, j’essaie toujours d’aider les étudiants à donner le meilleur d’eux-mêmes, à se dépasser.

S’ils trouvent un projet trop facile, j’y ajoute des contraintes. Dans la programmation Web, il y a toujours des choses à faire, il n’existe pas d’état parfait. Je suis là pour les aider à s’approprier cette réalité. Parfois, je leur partage des applications que j’ai conçues pour qu’ils voient un code concret.

Ce que j’apprécie chez OpenClassrooms, c’est tout est fait pour qu’il n’y ait pas de déphasage entre la formation et la réalité des métiers auxquels se préparent les étudiants.

Les projets très concrets et le mentorat y contribuent grandement. 

Qu’avez-vous prévu pour la suite ?

Je suis récemment devenu papa, ce qui chamboule un peu ma vie ! Il va falloir que je m’organise au maximum pour concilier vie pro et vie perso – la venue de mon enfant va me demander beaucoup plus d’attention.

Par ailleurs, mon cours sortira bientôt sur Udemy, et c’est pour moi une grande fierté ! S’il fonctionne bien, et qu’il enregistre de bons retours, j’espère en sortir d’autres. Je l’ai produit en anglais, qui est le langage “universel” de la communauté dev. J’ai hâte de voir ce que donnera ce projet.

Dans les années à venir, j’aimerais aussi beaucoup intervenir en conférence, parler en public lors d’un Meetup sur des sujets techniques. Mais avant ça, il faut que je me prépare. J’ai encore de nombreux défis à relever ! 

Fayçal illustre parfaitement le rôle des mentors OpenClassrooms : des experts métier en lien avec la réalité des entreprises, qui apportent une expérience très concrète aux étudiants en formation.

Sa curiosité sans limites et son intérêt pour la transmission font de lui un soutien apprécié par les développeurs en herbe. 

Vous aimeriez apprendre le développement avec Fayçal ou d’autres mentors développeurs ? Rendez-vous sur les formations diplômantes en développement informatique pour faire votre choix. Ou suivez les cours en libre accès en développement pour décider quel métier vous intéresse.

Si vous aussi vous travaillez dans le milieu du développement, devenez mentor !

« J’aime accompagner les étudiants jusqu’à la réussite », Danyl, mentor

 

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« J’aime voir mes étudiants surmonter les difficultés », Ranga, mentor

Développeur d’applications chez Nokia, Ranga est aussi passionné par la formation et la transmission des connaissances. C’est cette envie de partager son expérience qui l’a poussé à devenir mentor chez OpenClassrooms, sur la formation en ligne Développeur d’applications python. Rencontre.

Pourquoi et comment êtes-vous devenu mentor OpenClassrooms ?

Grâce à un collègue qui est mentor depuis plus de 4 ans, et que je connais depuis longtemps ! Il m’a fait découvrir OpenClassrooms et j’ai sauté le pas. C’était un grand défi pour moi, dont je suis content aujourd’hui.

Qu’est-ce qui vous a donné envie de sauter le pas ?

Je donne des cours de soutien scolaire en mathématiques depuis l’époque de mes classes préparatoires. Comme j’avais un bon niveau en mathématiques, j’ai été en mesure d’aider pas mal d’étudiants. Le mentorat avec OpenClassrooms, c’est un moyen de maintenir une continuité avec tout ça. 

Je souhaite continuer dans la formation. Un jour peut-être, j’aimerais travailler exclusivement dans ce domaine. OpenClassrooms, c’est à la fois un beau défi et une porte pour aller dans cette direction.

Pourquoi cet attrait pour la formation ? 

Parce que j’aime être en contact avec des personnes et les aider. En parallèle des mathématiques, j’ai aussi donné des cours de musique. La formation, pour moi, c’est allier l’utile à l’agréable par la transmission de connaissances tout en faisant quelque chose qu’on aime. Il n’y a pas mieux ! 

Comme je suis aussi développeur logiciel, j’ai eu envie de transmettre mes connaissances dans ce domaine-ci également.

En quoi consiste le mentorat ?

Le mentorat consiste à suivre les étudiants tout au long de leur parcours, d’être leur allié, de les aiguiller.

Pour moi, c’est avant tout un échange qui va dans les deux sens. D’une part, j’apporte à l’étudiant des connaissances qui vont lui permettre de réaliser son parcours dans les meilleures conditions. D’autre part, le mentorat me permet de constamment monter en compétences, car les étudiants m’apprennent énormément. Je suis en effet dans l’IT (informatique) et ce secteur bouge sans arrêt !

J’apprécie aussi que l’on soit dans un cadre un peu moins “sérieux”. On est un peu plus proches avec les étudiants, une relation de confiance se met en place.

Qui sont vos étudiants, comment décririez-vous votre relation avec eux ?

Ce qui est génial, c’est la diversité des profils. Il y a des étudiants qui ont mon âge, certains sont plus jeunes, d’autres beaucoup plus vieux que moi. Je trouve ça chouette, parce que de mon côté, j’ai fini mes études il y a 6 ans et je comprends encore plutôt bien ce qu’attendent les étudiants, comment ils réfléchissent, les choses sur lesquelles ils bloquent, parce que j’ai eu les mêmes problèmes. 

Quoi qu’il en soit, j’essaie d’instaurer un climat de confiance dans ma relation avec les étudiants, pour les mettre à l’aise.

Quel est le lien entre votre métier et le mentorat ?

Quand je suis rentré chez Nokia, j’ai été développeur logiciel, et au bout de deux ans environ, mon manager m’a donné des responsabilités. Il m’a demandé de former les nouveaux arrivants, les jeunes, les alternants et les stagiaires. 

Ça a été un déclic. J’ai fini par former quasiment toute l’équipe et mon chef m’a donné plus de responsabilités.

Je me suis retrouvé à faire des formations pour l’ensemble des développeurs et testeurs français. J’avais des audiences de 1000, 2000 personnes, c’était vraiment sympa ! 

C’est aussi formidable de constater que mes formations sont bien reçues. Parfois, un collègue vient me voir pour me dire qu’il a apprécié ma formation. D’autres me demandent de leur envoyer des vidéos, et mon manager me relaie parfois leurs éloges ! Ces retours positifs me confortent sur le chemin de la formation professionnelle.

Finalement, aujourd’hui, la formation, c’est ce qui vous plaît le plus dans votre métier ?

Oui ! Aujourd’hui, presque tous les mois, mon manager me demande d’animer une formation pour les nouveaux arrivants, ou sur d’autres sujets. On réserve 20 à 30% de mon temps sur le sujet.

Ça m’apporte une casquette de formateur chez Nokia, alors que je n’étais pas du tout venu pour ça ! (rires) Mais c’est formidable, parce que ça va exactement dans le sens de ce que je veux faire.

Il faudrait quand même que vous continuiez à exercer ?

C’est vrai ! L’IT, ça avance très, très vite. Donc il faut en effet absolument que j’exerce le métier dans un milieu professionnel. `

C’est pourquoi, je continue à travailler dans mon entreprise, notamment pour garder les bonnes pratiques de développement et pour continuer à perfectionner mes compétences auprès d’autres collègues.

Est-ce qu’il y a un projet de la formation Développeur Python que vous avez trouvé particulièrement intéressant ?

De manière générale, les projets les plus intéressants à mentorer pour moi sont les premiers. Tout simplement parce que c’est là que les étudiants ont le plus de mal. Ils découvrent le monde du développement et c’est génial de les voir progresser, se dépasser et surmonter leurs difficultés.

Puis, au bout d’un certain moment, ils ont l’expérience nécessaire pour commencer à apprendre tout seuls, bien qu’ils aient encore besoin de moi parfois. J’interviens alors plutôt pour du suivi, voire du déblocage. 

Une anecdote à nous partager ?

Je me souviens d’une étudiante qui n’y connaissait rien en informatique. Elle a passé son cap du projet numéro 4 et elle était tellement fière, c’était un plaisir ! C’est son acharnement au travail qui a permis sa réussite.

J’adore voir mes étudiants terminer leur parcours, être fiers d’eux-mêmes.

Qu’est-ce qui se passe lorsqu’ils finissent leur parcours ? 

J’arrête de les mentorer, mais je reste en contact avec tous mes étudiants, que ce soit sur LinkedIn ou sur Workplace. J’ai encore des étudiants d’il y a six mois qui me contactent pour me dire qu’ils ont trouvé du boulot, je trouve ça génial. 

Le défi, c’est vraiment les étudiants qui n’ont jamais eu d’expérience en informatique. Dans ces cas-là, il faut sans cesse adapter sa manière d’enseigner à la personne.. 

Vous avez l’air d’adorer la mission de mentor…

Absolument ! J’aimerais beaucoup, si possible, pouvoir travailler très rapidement  dans le domaine de la formation. Et justement, avec le collègue qui m’a présenté OpenClassrooms, nous avons un projet de collaboration. 

J’adore aussi la relation humaine qu’on a avec nos étudiants, c’est vraiment génial. J’ai pu donner des missions à certains étudiants aussi ! Je connais leur niveau parce que je les ai formés, ça me permet de leur donner des missions les yeux fermés. 

Dès que je vois une opportunité, je la partage aussi à mes anciens étudiants. Ça permet de les mettre très vite dans le bain. J’essaie de rester en contact avec eux et de les aider un maximum. 

Le mot de la fin ? 

OpenClassrooms, c’est une superbe opportunité, que ce soit pour les étudiants ou les mentors. Un grand merci, parce que je m’éclate dans ce que je fais !

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Vous vous intéressez aux formations en ligne en développement sur lesquelles Ranga est mentor ? Lancez-vous !

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Devenir mentor chez OpenClassrooms, c’est une aventure humaine qui semble avoir réussi à Ranga. Son rôle lui permet de tisser des liens avec les étudiants qu’il accompagne, mais aussi d’enrichir ses propres compétences de formateur. Une opportunité pour Ranga d’ajouter de nouvelles cordes à son arc, et de préparer la suite de sa carrière tout en s’épanouissant.

Envie vous aussi de sauter le pas et de devenir mentor ? Rendez-vous sur la page Carrières Mentors

« Je rencontre une richesse de profils », Danyl, mentor

 

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« Les étudiants font des réflexions pointues », Sara, mentor

Sara aime les défis et s’est lancée en tant que consultante social média en freelance il y a peu. Pour transmettre ses compétences, elle a décidé de devenir mentor OpenClassrooms sur trois parcours francophones et anglophones, dans le domaine du marketing. De quoi constamment remettre en question ses connaissances ! Rencontre. 

Pourquoi êtes-vous devenue mentor ? 

J’ai un parcours plutôt classique en entreprise, dont dix années au sein du service marketing d’une très grosse entreprise. À la suite de cette expérience, j’ai voulu changer. Je suis passée dans une petite agence de publicité digitale. Depuis l’année dernière, j’ai enfin décidé de prendre mon envol en exerçant en tant qu’indépendante.  

Pour moi, il était important d’avoir une dimension de transmission et de formation pour aider les étudiants à devenir autonomes et développer leurs compétences.

Quand j’ai vu que OpenClassrooms cherchait des mentors dans mon domaine de compétence, j’ai sauté sur l’occasion. Je suis désormais mentor sur les parcours Community Manager, responsable marketing et communication et Digital Marketer (parcours en anglais).

Je suis contente parce que j’aime vraiment la relation que j’ai avec mes étudiants. Ça me permet moi aussi de grandir et d’apprendre des choses au quotidien, de remettre en question mon propre savoir et de continuer à devenir meilleure, même dans ce que je savais déjà faire. 

Que fait exactement une mentor ? 

Prenons l’exemple du rendez-vous hebdomadaire avec mes étudiants. Comme je leur dis toujours, il faut que chaque session soit un moment de plaisir. C’est un rendez-vous qui permet d’inscrire leur formation dans une certaine routine, durant lequel je vais entre autres les éclairer sur certaines notions, remettre en perspective les choses ou encore expliquer avec des cas concrets l’importance des compétences à acquérir.  

Je peux aussi les débloquer sur des connaissances qui sont parfois floues. Je leur apprends à chercher par eux-mêmes, je partage des pistes de réflexion. Je leur montre comment monter en compétences et je les accompagne tout du long.

Quel est le lien entre le mentorat et votre métier ? 

Comme j’ai longtemps travaillé dans une grande entreprise ainsi qu’au sein d’une agence, j’ai conscience de la manière dont les choses se passent dans le milieu du marketing et de la communication. Mon activité d’indépendante m’aide aussi à comprendre les problématiques actuelles des clients. 

J’explique à mes étudiants qu’ils pourront être confrontés à ces différentes questions. Ils seront amenés à travailler avec des personnes qui ne pensent pas de la même façon. Il est donc nécessaire qu’ils apprennent à cadrer le travail d’une agence ou encore qu’ils prennent le temps de bien comprendre les demandes d’un client. 

Comment se passe le travail de mentor avec les étudiants, de manière pratique ? 

On se retrouve toutes les semaines par visio. On commence par échanger, pour savoir si la semaine s’est bien passée. Cela permet de faire du lien et de cadrer la discussion. 

Ils me présentent ce qu’ils ont fait, comment ils ont avancé, et s’ils ont réussi à remplir les objectifs fixés. Si quelque chose les a bloqués, on regarde cela ensemble et je leur donne des conseils. Parfois, je leur lance un défi, en leur soumettant des questions qu’ils pourraient avoir lors de la soutenance. Je ne suis pas là pour juger leur stratégie, mais pour comprendre le cheminement de leur pensée. Ensuite, on échange et on avance ensemble sur les prochaines étapes et on fixe les objectifs pour la session suivante. 

S’ils ont des questions entre nos rendez-nous, il faut qu’ils puissent être autonomes dans leurs recherches, ou sinon demander sur Workplace. Je suis bien sûr disponible, l’essentiel étant qu’ils ne restent pas bloqués. Je réponds toujours par email afin qu’ils puissent avancer jusqu’à la prochaine session. 

C’est quoi le Workplace ? 

C’est le réseau social interne d’OpenClassrooms. On y retrouve les étudiants, les mentors et surtout beaucoup d’entraide. J’y partage notamment des liens pour aider mes étudiants. 

Qu’est-ce que vous apporte le fait d’être mentor ? 

Cela m’apporte de la fierté, surtout quand j’ai des étudiants qui m’envoient un message m’annonçant leur réussite. 

Cela demande aussi de l’humilité. Ils ont en effet souvent des questions très pointues pour lesquelles je préfère me renseigner et leur apporter du contenu de qualité. C’est enrichissant parce que cela m’apprend beaucoup sur les parcours individuels des étudiants et leurs cultures. J’ai par exemple un étudiant qui habite au Canada, mais qui vient du Botswana.  Il avait des questions sur le marketing digital, des choses qui me paraissent évidentes. 

La dimension culturelle est aussi passionnante. J’aime beaucoup apprendre des gens et de leurs parcours. De manière générale, les voir progresser, partir de rien et faire ensuite des projets en trois semaines, ça me rend super fière. 

Est-ce que vous pouvez nous partager l’histoire d’une réussite qui vous rend fière, justement ? 

Je n’ai pas encore eu d’étudiant diplômé, mais j’en ai un qui en est au stade du dernier projet. C’est un étudiant de Singapour. Il a commencé avec un petit boulot à côté et n’avait pas de connaissances sur le marketing. Pourtant, il a su prendre en main sa formation, acquérir les compétences clés et les savoir-faire professionnels. J’en suis fière. 

Le projet de vos étudiants que vous trouvez intéressant ou qui vous met au défi ? 

Il y a ce projet, sur la manière d‘apprendre à gérer une équipe créative et faire un brief. C’est étonnant parce que les étudiants font des supers briefs, mais ils oublient tous de mentionner les livrables attendus. Et puis c’est un projet très concret, qui leur apprend à rédiger un e-mail et à formuler clairement des demandes.

J’aime beaucoup ce projet, parce qu’il met l’accent sur la dimension humaine d’une mission, qui est pour moi fondamentale. Les étudiants doivent ainsi apprendre à cadrer les choses, à être précis et détailler leurs demandes.

Vous accompagnez combien d’étudiants ? 

13 à peu près. 

Y a-t-il un ouvrage dont vous recommandez la lecture parce qu’il vous a inspiré personnellement ou professionnellement ?

Système 1 / Système 2 de Daniel Kahneman, prix Nobel d’économie. Il a décrit le phénomène des biais cognitifs qui affectent toutes nos décisions, que l’on croit souvent rationnelles sans l’être. Ça m’aide à prendre du recul, à rester humble dans mes certitudes, à convaincre aussi. 

Je trouve fascinant qu’on soit incapable de s’émanciper totalement de nos biais, malgré tous les efforts. Un peu comme si on essayait de voir le monde autrement que par nos yeux.

Et la suite ? 

J’ai vraiment envie de poursuivre sur ces notions de formation et de transmission, en gardant cela au cœur de mon activité. 

Je souhaite également développer mon activité de conseil, trouver des sessions de formation en école. Je poursuis en parallèle mon activité de photographe, je cherche à faire produire une série que j’ai écrite et je lance mon blog sur les biais cognitifs. J’aime beaucoup l’idée d’avoir plusieurs activités, et j’adore le mentorat, mais cette activité ne peut pas être réalisée à plein temps.

Il faut veiller à garder un pied dans la réalité du métier. 

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Si vous rejoignez l’une des formations en ligne en marketing, vous pourrez être accompagné par Sara.

Comme Sara, vous aimeriez devenir mentor OpenClassrooms dans votre expertise métier ? Rejoignez cette aventure humaine pour compléter vos revenus en nous soumettant votre CV.

L’article « Les étudiants font des réflexions pointues », Sara, mentor est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.

« J’aime accompagner les étudiants jusqu’à la réussite », Danyl, mentor

Par : Nora Leon

Danyl Semmache est ingénieur informatique chez Nokia mais aussi mentor sur les formations en ligne développeur iOS, développeur Web et Product Manager d’OpenClassrooms.

En parallèle, il donne également des cours à l’ECE Paris sur le développement d’applications mobiles. Il nous parle de sa mission de transmission et de son quotidien de développeur. Rencontre.

Bonjour Danyl, comment êtes-vous devenu mentor sur OpenClassrooms, et pourquoi ? 

Je suis mentor OpenClassrooms depuis 4 ans, j’accompagne une trentaine d’étudiants en ce moment.

Lors de mes études supérieures, je faisais du bénévolat au sein d’une association en tant que tuteur dans laquelle j’aidais des collégiens en difficulté scolaire en ZEP. 

J’ai poursuivi l’aventure à la sortie de l’école, en devenant mentor. J’avais envie de partager mes connaissances, en parallèle de mon CDI. 

J’ai créé mon statut d’auto-entrepreneur pour postuler chez OpenClassrooms. Et c’est là que j’ai pu devenir mentor sur le parcours iOS pour commencer. 

Être mentor est une aventure humainement très riche. Je rencontre des profils différents, mais qui ont tous le même but : changer de vie professionnelle pour s’épanouir davantage. 

C’est génial de voir qu’une fois la formation passée, mes étudiants sont heureux dans leur travail. J’ai été témoin de nombreuses réussites : je suis content d’y avoir participé. 

En fait, c’est plus que du code, c’est une aventure humaine, et c’est ce que j’adore. 

Et comment avez-vous connu OpenClassrooms ? 

J’étais inscrit sur OpenClassrooms, anciennement le Site du Zéro, depuis 2011. J’ai commencé à coder à l’âge de 16 ans en suivant les cours de Mathieu Nebra, en HTML – CSS. Cela m’a très vite donné envie de poursuivre l’aventure. 

Le code m’a beaucoup plu et j’ai intégré une école informatique. 

J’ai eu la chance de suivre un beau parcours dans le Programme Grande Ecole de l’EPITECH, à l’UNISTRA et à HEC Paris. J’ai donc naturellement eu envie de rendre la pareille en transmettant mon savoir.

Dans les faits, en quoi cela consiste-t-il d’être mentor ? 

Être mentor, c’est avant tout suivre et accompagner les étudiants au fil de leur parcours, s’assurer qu’ils montent en compétences et répondre à toutes leurs questions. 

Je fixe également avec eux leurs objectifs. Ils doivent être cohérents avec leur personnalité et leur environnement personnel.

Je dois m’assurer que les étudiants sont sur les bons rails et qu’ils avancent à leur rythme.

Et vous parvenez à concilier votre métier et votre activité de mentor ? Y a-t-il un lien entre les deux ?

Absolument. J’arrive à concilier les deux en bonne partie grâce au sport, qui m’a appris à avoir de la discipline et être organisé. 

J’ai commencé ma carrière chez Orange. Je faisais du développement d’applications mobiles grand public au même moment où je suis devenu mentor iOS. Petit à petit, j’ai élargi mes compétences pour être aujourd’hui mentor sur quatre parcours. 

Ensuite, lors de mon passage chez Nokia, j’ai acquis deux autres certifications : PSM1, pour le parcours de Scrum Master, et plus récemment, la PSPO1, pour accéder au parcours de manager de projet. 

L’opportunité de devenir enseignant en école d’ingénieurs à l’ECE a été rendue possible parce que j’avais cette expérience de mentor chez OpenClassrooms. J’ai pu y apprendre le code quand j’étais plus jeune, devenir développeur ensuite, puis ingénieur, et aujourd’hui transmettre mes connaissances. Cela m’a alors ouvert des portes à de nouvelles opportunités professionnelles. 

Mon activité de mentor m’a permis de grandir dans mon approche, dans ma manière d’expliquer les choses.

Je retravaille certaines notions pour ensuite mieux les transmettre à mes étudiants. Je peaufine régulièrement ma méthode pour qu’elle soit pédagogique et ludique à la fois.

Aujourd’hui, une chose est sûre : je souhaite conserver un pied dans la formation, en parallèle de mon activité professionnelle d’ingénieur.

Qu’est-ce que vous préférez dans votre activité professionnelle ? 

Dans mon école, on m’a appris à « apprendre à apprendre”. Au quotidien, cela se traduit ainsi : toujours avoir un pied dans les dernières actualités tech et me tenir informé des nouveautés. 

Mais ce que j’aime par-dessus tout, c’est transmettre mes connaissances et accompagner des étudiants jusqu’à la réussite. C’est pour moi la plus belle des victoires.

D’ailleurs, il m’arrive souvent de recommander des anciens étudiants pour devenir mentors à leur tour. En quatre ans, j’ai recommandé une dizaine de personnes qui ont intégré OpenClassrooms. 

Voulez-vous partager une histoire qui vous rend particulièrement fier ? 

J’en ai plusieurs, mais une m’a particulièrement touché.

La personne n’avait pas pu finir le parcours développement Web, pour des raisons personnelles. Père de famille, trentenaire, il m’avait dit qu’il reprendrait un jour le parcours. Lorsque j’ai repris de ses nouvelles, il était devenu webmaster en CDI. Il m’écrivait qu’il avait enfin trouvé un travail qui lui plaisait, qu’il ne comptait pas ses heures, qu’il apprenait énormément et qu’il était très heureux. 

Il y bien sûr d’autres belles réussites, avec des personnes qui ont terminé leur parcours. J’accompagnais un étudiant sur le parcours Développeur d’applications iOS qui avait arrêté ses études en 3e année de fac.

Sa formation s’est très bien passée et je l’avais d’ailleurs recommandé chez Orange pour son premier stage. Il travaille aujourd’hui chez BforBank avec un salaire de bac +5. C’est une belle victoire. 

En fait, j’ai beaucoup de jolies histoires à partager. En ce moment, j’accompagne une personne réfugiée politique, qui était professeur d’économie dans son pays et qui possède quelques bases en programmation acquises en France. Il s’apprête à se professionnaliser avec OpenClassrooms et postule pour le parcours de data analyst. Je l’accompagne pour trouver son alternance. 

Mais vous êtes aussi coach ? 

Oui, tout à fait, je suis mentor et coach. En tant que coach, la mission est un peu différente, car il s’agit de mettre le pied à l’étrier à des personnes pour qu’elles trouvent un emploi ou une alternance.

Et qu’est-ce que vous préférez entre les deux ? À moins que ce soit complémentaire ? 

J’ai fait du mentorat pendant 4 ans, et j’en fais toujours. 

Il m’arrivait très souvent, en fin de parcours, de donner quelques derniers conseils : compléter son profil LinkedIn, créer un compte sur GitHub, Stack et Overflow ou encore peaufiner son CV. 

J’ai donc postulé pour être coach en insertion professionnelle chez OpenClassrooms, et j’y prends désormais beaucoup de plaisir. 

Je suis également mentor évaluateur. Je fais passer des soutenances aux étudiants, dont certains qui sont aux quatre coins du monde. Cela me fait d’ailleurs penser à d’autres anecdotes.

J’accompagnais un étudiant congolais, qui vivait en Russie, sur un parcours en développement Web. Ce qu’il étudiait à la fac ne lui plaisait pas, il souhaitait quelque chose de plus axé sur la pratique. Il codait depuis ses 15 ans, et ses parents lui donnaient une somme tous les mois, dont une partie finançait son parcours OpenClassrooms. Ses parents n’étaient d’ailleurs pas au courant qu’il passait un double diplôme. Il a obtenu son diplôme et il a postulé pour continuer ses études au Canada. En attendant, il travaille à distance pour The Good Seat, une entreprise française où je l’ai recommandé en tant que freelance.

J’ai aussi coaché un autre étudiant qui a suivi le parcours développement d’application iOS. Ce dernier m’ayant pris pour exemple, une fois son diplôme en poche, il avait pour ambition de poursuivre sa scolarité en intégrant Epitech avec l’admission parallèle. Il est travailleur et pourvu d’une très grande maturité, nous avons tous mis en œuvre afin de lui permettre d’atteindre ses objectifs.

Pour ma part, je suis arrivé chez OpenClassrooms de manière assez indirecte. Lorsque j’étais en 3e année à Epitech, j’ai été professeur assistant lors du “Coding Club Summer Camp”, événement durant lequel on animait des ateliers en initiation au développement Web pour les futurs étudiants de l’école. J’y ai rencontré Brian T., qui avait alors 17 ans. Il est désormais mentor chez OpenClassrooms et c’est grâce à lui que j’ai aussi intégré le site.

Lorsqu’on s’est rencontrés, il voulait intégrer Epitech. Cela ne s’est pas fait et il est parti en année sabbatique. Il a rejoint OpenClassrooms dès son lancement, parce que le site proposait des parcours diplômants. En un an, il a obtenu un équivalent bac +3 de chef de projet multimédia. François Hollande lui a remis son diplôme. Cet étudiant a finalement étudié au sein d’une école multimédia et a été diplômé d’un master à 21 ans. Il est désormais data product manager chez France TV et mentor.

Y a-t-il un ouvrage dont vous recommandez la lecture parce qu’il vous a inspiré personnellement ou professionnellement ?

Absolument ! J’en ai plusieurs mais celui que je recommande reste “The 4-Hour Workweek” de Tim Ferriss. C’est un livre de développement personnel qui m’a grandement inspiré.

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Vous vous intéressez aux formations en ligne en développement sur lesquelles Danyl est mentor ? Lancez-vous !

Vous aussi vous aimeriez devenir mentor OpenClassrooms dans votre expertise métier ? Rejoignez cette aventure humaine pour compléter vos revenus en nous soumettant votre CV.

L’article « J’aime accompagner les étudiants jusqu’à la réussite », Danyl, mentor est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.

De commercial à data analyst : le contact humain est le fil rouge de la carrière d’Anthony

Antony a 40 ans, habite en banlieue parisienne et a toujours eu le contact facile. C’est donc pendant près de 15 années qu’il a évolué en tant que commercial dans le milieu du courant faible.

La crise du Covid a stoppé son activité mais sans le perturber pour autant, bien au contraire. Antony a su faire de sa période de chômage une opportunité pour envisager une reconversion. C’est lors de la semaine du numérique organisée par Pôle emploi qu’il découvre les métiers du numérique.

La formation de data analyst de l’école en ligne OpenClassrooms lui a tout de suite plu. Récit d’une reconversion réussie. 

Bonjour Antony, pourriez-vous s’il-vous-plaît nous raconter quelle logique a suivi votre reconversion ?

Je ne suis pas arrivé à ce métier par hasard. J’idéalise peut-être le métier de Data analyst, mais pour moi, il consiste à être au cœur de l’entreprise puisqu’on peut travailler avec différents services ; aussi bien les services commerciaux, marketing ou RH.

Au-delà d’une parfaite maîtrise des chiffres et de langages techniques, ce métier demande une certaine aisance dans le contact humain. Tout comme quand j’étais commercial.

Il faut que je sois capable de faire parler des chiffres et de les partager aux équipes, au-delà d’extraire la donnée.

Et quels sont, selon vous, les savoir-faire et savoir-être acquis dans votre formation OpenClassrooms qui vous seront utiles demain en poste ? 

C’est vrai que finalement chaque expérience sert la suivante et ainsi de suite.

Depuis que j’ai commencé cette formation, d’une durée d’un an, je vois bien que je me perfectionne aussi bien à l’écrit qu’à l’oral. On a des soutenances régulières avec nos mentors au cours desquelles je retranscris mes résultats. 

Cela me sera demandé en tant que Data analyst. Je vais devoir savoir faire parler les chiffres et surtout avec un langage accessible pour que n’importe quel public me comprenne. 

Vous parlez de soutenances, pouvez-vous nous en dire un peu plus sur les projets proposés dans le cadre de votre formation ?

Les projets se déroulent en deux parties : la première partie, ce sont des cours vidéo que l’on suit, à son rythme. Quand je ne comprends pas quelque chose, je mets en pause et je vais chercher de l’aide : soit en me débrouillant grâce à Internet, soit sur notre groupe Discord en demandant aux autres étudiants. 

Une fois que j’ai suivi le cours, on passe à la partie concrète avec le suivi d’un projet.

C’est comme si nous étions en situation réelle. De projets en projets, je monte en compétences pour avoir les connaissances nécessaires au métier de data analyst. 

Le premier projet était de se présenter, ce qui était facile pour moi, ex-commercial. Le deuxième projet était une analyse de chiffres de vente avec Excel et PowerPoint. Je n’ai pas trouvé ça trop compliqué, à part peut-être la partie sur Excel. Le projet 3 était sur les bases de données relationnelles avec le langage SQL. Je n’y connaissais rien, et puis finalement, on se rend compte que ce n’est pas si difficile. 

Au moment où nous nous parlons, j’en suis au projet 4 et je démarre le langage Python. Je panique un peu, mais dans deux mois, je vous dirai peut-être que c’est très simple. Enfin, je l’espère ! 

Vous êtes suivi par un mentor ? 

Tout à fait, je suis suivi par Antoine avec qui j’échange une fois par semaine. Cela se passe très bien ! En même temps, vous l’aurez compris, j’aime le contact humain. 

Il est data analyst de formation, donc il m’apporte son expertise technique avant tout.

Quand je bute sur des choses, il ne me donne pas la solution, mais nous réfléchissons ensemble. C’est beaucoup plus stimulant que s’il m’apportait la réponse sur un plateau.

Tout à l’heure, vous nous parliez des autres étudiants qui peuvent être aussi un soutien dans la réussite de votre formation. Vous êtes en lien au quotidien avec eux ?

Nous avons deux espaces d’échange : le Workplace mis en place par OpenClassrooms et le groupe Discord, animé par les étudiants, par niveau et par projet. Cela nous permet de rester en contact virtuellement et de s’entraider ou de se poser des questions. 

C’est toujours très intéressant de voir comment chacun traite un problème, cela permet de comparer nos réflexions et de voir son erreur. Et si j’arrive à aider les autres, c’est que j’ai compris ; cela me rassure.

Il existe une vraie synergie entre étudiants chez OpenClassrooms ! 

C’est en effet une des volontés des fondateurs. La transmission est un vrai leitmotiv. 

Vous suivez cette formation à temps complet, auriez-vous une routine à partager ?

Pas spécialement ; à part peut-être le fait de me connecter régulièrement sur notre groupe Discord pour aller chercher de l’aide auprès d’autres étudiants ou, à mon tour, aider ceux en difficulté. J’essaie vraiment de ne pas rester bloqué, tout en y allant à mon rythme. 

Et quelle est la suite pour vous ? 

Avoir mon diplôme, puis travailler dans une entreprise à taille humaine, pour ne pas être qu’un numéro.

Idéalement, j’aimerais rejoindre une société engagée, qui ait un vrai impact sur notre vie quotidienne. Pourquoi pas dans le domaine de l’écologie.

Devenir mentor chez OpenClassrooms me plairait bien aussi. J’aime le contact humain, j’aime transmettre donc cela fait plutôt sens. 

J’ai eu la chance de pouvoir débuter ce parcours au sein d’OpenClassrooms, financé par Pôle emploi. Je me dis que c’est normal de transmettre à mon tour.

C’est beau. Comment aimeriez-vous conclure cette interview ?

Un conseil à tous ceux qui hésitent, foncez ! 

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Vous envisagez, vous aussi, de vous réorienter en tant que Data analyst ? Suivez la  formation en ligne data analyst en 6 mois, basée sur la réalisation de projets concrets et l’accompagnement d’un expert métier chaque semaine. Ce parcours peut être financé grâce à vos crédits CPF ou effectué en alternance, en doublant le temps d’études.

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L’article De commercial à data analyst : le contact humain est le fil rouge de la carrière d’Anthony est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.

« Je dis aux étudiants de foncer », Jérôme, coach emploi et mentor

Jérôme Beaufils, fort de bien des années dans la communication, est coach depuis deux ans et demi et mentor sur le parcours Conseiller en évolution professionnelle chez OpenClassrooms. 

Spécialisé dans la recherche d’alternance avec ses bénéficiaires, Jérôme nous explique ce qui l’anime dans cette activité. Rencontre.

Bonjour Jérôme, comment et pourquoi êtes-vous devenu coach ? 

À l’origine, j’ai une formation de journaliste. J’ai ensuite travaillé 15 ans en agence de communication spécialisée dans les ressources humaines.

J’ai été journaliste, responsable éditorial et responsable de clientèle. Je dirigeais la création et la production de magazines d’entreprises, par exemple celui de Nestlé France ou encore celui de Leroy Merlin. 

À un moment donné, j’ai eu envie de changer. J’ai fait un bilan de compétences. Je me suis alors tourné vers l’accompagnement humain et l’aide à la recherche d’emploi. 

J’ai travaillé durant 6 ans au sein de différentes structures qui m’ont mis le pied à l’étrier. Cela a confirmé mon envie de poursuivre dans cette voie. Fin 2018, je me suis lancé en tant qu’indépendant. 

OpenClassrooms m’avait en parallèle contacté via LinkedIn. D’ailleurs, je conseille toujours aux personnes que j’accompagne d’être présentes sur ce réseau. OpenClassrooms m’a fait signe et m’a demandé si cela m’intéressait de poursuivre ma route avec eux. Cela s’est fait très rapidement, c’est ce que je voulais faire à ce moment-là : proposer de l’accompagnement de proximité. 

OpenClassrooms m’offre un cadre. Le site me propose d’accompagner des étudiants, en m’appuyant sur leurs contenus pour professionnaliser mes sessions d’échange. 

Aujourd’hui, je travaille beaucoup avec OpenClassrooms, mais aussi avec d’autres personnes, qui me contactent directement via LinkedIn. 

Mais vous êtes aussi mentor, un autre rôle important chez OpenClassrooms. Quelle est la différence ?

Oui, je suis coach et mentor. Il s’agit là de deux rôles différents. 

Coach, c’est accompagner les étudiants qui cherchent une alternance pour intégrer un parcours. 

Le rôle de mentor consiste à suivre des étudiants qui sont en formation tout au long de leur parcours. Cette formation est en l’occurrence en lien avec mon métier. J’accompagne donc des étudiants sur le parcours de formation Conseiller en évolution professionnelle

Pour la partie coaching, j’accompagne les étudiants sur six sessions, qui peuvent s’étaler sur 1 à 2 mois. Pour le mentorat, j’accompagne deux étudiants depuis décembre dernier, et je ferai cela jusqu’au mois d’août (selon le moment de publication de cet article, mentionner décembre et août sera obsolète). Le mentorat est quelque chose de plus long. Nous allons nous voir toutes les semaines, durant 8 à 9 mois. 

Pour ces deux types de suivi, les relations sont très différentes. Pour les uns, je les aide à trouver une alternance pour qu’ils puissent intégrer la formation de leur choix. Pour les autres, c’est faire en sorte que leur formation se déroule au mieux.  Tout ne dépend pas de moi bien sûr. Ils disposent d’outils numériques sur lesquels s’appuyer, mais j’ai aussi ma responsabilité dans leur réussite. 

C’est la même fréquence entre le coaching et le mentorat ? 

Presque. Avec le mentorat, les rendez-vous sont hebdomadaires. C’est obligatoire pour trouver un rythme de suivi régulier. 

Pour le coaching, les six sessions peuvent s’étaler sur 3 à 8 semaines maximum. C’est extrêmement variable en fonction des situations. Je peux proposer deux sessions par semaine par exemple, si des situations professionnelles le nécessitent, ou dans d’autres cas laisser passer 2 semaines. 

L’étudiant a ainsi la possibilité de mettre en place tout ce que l’on a travaillé ensemble et d’appliquer, par exemple, les conseils que je lui ai donnés pour son CV et sa lettre de motivation. On fait toujours un mini bilan de ce qui a fonctionné ou non. 

Que retrouvez-vous de vos anciennes expériences qui vous est utile en tant que mentor ? Et en tant que coach ?

Ma formation de journaliste et les interviews que j’ai menées lorsque je travaillais en agence de communication m’ont amené à développer un sens de l’écoute indispensable pour accompagner au quotidien des étudiants et des personnes en recherche d’emploi.

Travailler en agence pour des clients extrêmement divers, puis accompagner des bénéficiaires du RSA après ma reconversion, m’a appris à être très adaptable, à m’intéresser à des gens très différents, et c’est ce qui est passionnant.

Qu’est-ce que ces deux rôles vous apportent ? 

Pour commencer, cela m’apporte beaucoup de joie ! D’ailleurs, le fait d’être en visio ne représente pas un frein. Les étudiants sont de l’autre côté de l’écran, dans toute la France, y compris à La Réunion ou en Martinique par exemple, mais je ressens une réelle connexion avec eux.

De ce point de vue là, il y a un rapport de proximité. Je ne vais pas dire que cela fonctionne avec tous les étudiants. Chacun a sa personnalité, mais globalement, je dirais que cela prend plutôt bien. 

Je prends beaucoup de plaisir à me sentir utile. Soit parce qu’ils vont signer une alternance pendant le coaching ou bien parce qu’ils montrent déjà de la reconnaissance à se sentir accompagnés. Je reçois d’ailleurs souvent des remerciements. Tout ne dépend pas de moi, il y a aussi les cours et les projets bien sûr. 

En bref, je travaille en indépendant tout en profitant du cadre OpenClassrooms, avec des parcours sur lesquels je peux m’appuyer. J’assiste également à des webinars entre coachs, animés par des personnes d’OpenClassrooms. Travailler seul était une de mes craintes en me lançant en tant qu’indépendant. Il y avait aussi le risque de ne pas savoir se renouveler et d’être dépassé dans son approche. Je me suis très vite rendu compte que j’appartenais à un collectif. C’est enrichissant. 

J’apprends des choses et cela me permet de revoir certains points dans mon approche, pour le premier entretien par exemple ou pour l’e-mail de premier contact.

Les étudiants m’apportent aussi beaucoup. Les moments d’interactions avec les étudiants, en visio, m’aident à retrouver mon énergie. Les échanges sont stimulants !

C’est aussi ce que j’aime dans le métier, c’est à la fois individuel et collectif. J’ai animé en 2019 plusieurs ateliers en présentiel, sur la recherche d’emploi ou sur le réseau LinkedIn. J’en garde de super souvenirs aussi, je serais ravi de le refaire. 

On touche du bois. 

Effectivement. 

Quels sont les principaux freins que vous constatez pour trouver un emploi ? Et quels conseils donnez-vous pour les contourner ? 

Tout le monde est amené à chercher un emploi mais bien peu d’entre nous ont appris à le faire. Il y a donc de vrais connaissances techniques à avoir pour savoir faire un bon CV, un profil LinkedIn efficace, être performant en entretien. 

Mais au-delà de ces éléments, deux choses me semblent essentielles. 

D’abord, savoir valoriser ses atouts auprès de l’entreprise de manière concrète et personnalisée. Il faut absolument éviter d’être un clone. Chacun a un talent, une personnalité, il est essentiel de savoir les mettre en avant. 

Ensuite, la confiance en soi. Bien armé, il est possible de soulever des montagnes, d’aller de l’avant et de convaincre les recruteurs. Ce qui me paraît primordial, c’est d’être accompagné dans sa recherche d’emploi. Au-delà des conseils d’un coach, cela offre aussi une prise de recul difficile à avoir soi-même. Je conseille toujours à mes étudiants d’être en relation avec d’autres, de faire partie d’un collectif pour échanger des informations, des conseils, des bonnes pratiques, et aussi de l’énergie positive. Je propose parfois des ateliers collectifs et c’est en général un vrai plaisir pour les étudiants et pour moi.

Si vous aviez un seul conseil à donner en tant que coach pour trouver une alternance ou un job, ce serait quoi ? 

Pour moi, le conseil phare serait de ne pas tout miser sur la technique.  J’apprends aux étudiants à rédiger leur CV, à peaufiner leur profil Linkedin ou à structurer une lettre de motivation. Ils vont ensuite s’approprier tout cela. 

Le principal est l’état d’esprit ou plus exactement l’engagement que l’étudiant va mettre dans sa recherche et dans son offre de services. 

Cela me fait penser à une anecdote : une étudiante recherchait une alternance de développeur web.  Cela faisait un petit moment que je l’accompagnais et elle m’annonce qu’elle a trouvé. On organise une visio pour qu’elle me raconte et on sabre le champagne à distance. Elle était en concurrence avec un autre candidat. Pourtant, les recruteurs lui ont dit qu’ils l’avaient choisie à l’unanimité. Son concurrent était meilleur qu’elle d’un point de vue technique, il avait plus de compétences, mais c’est elle qu’ils ont recrutée, pour sa personnalité et son état d’esprit. Elle leur a de suite montré son envie d’apprendre. 

C’est ce qui a fait la différence en fait. Il ne faut pas se brider, bien au contraire, il faut oser. J’ai des étudiants qui, parfois, n’osent pas faire de relance ; ils pensent ne pas être légitimes. Je leur dis de foncer.

J’aime bien faire référence à l’ancien slogan de la Française des jeux « 100% des gagnants ont tenté leur chance ». 

C’est pas mal comme devise.

Je n’ai pas le copyright mais, dans l’idée, c’est le message que je souhaite leur faire passer. 

Y a-t-il un ouvrage dont vous recommandez la lecture parce qu’il vous a inspiré personnellement ou professionnellement ?

J’aime beaucoup l’Histoire et les biographies de personnages historiques. J’ai été fasciné par la biographie de Winston Churchill. C’est un véritable personnage de roman autant qu’un grand homme politique qui a très largement contribué à sauver l’Europe et le monde de l’emprise du nazisme. Il a aussi reçu le prix Nobel de littérature, excusez du peu.

Il craignait de mourir jeune, comme son père, ce qui l’a amené à être dans l’action. Il a connu des échecs cinglants et a su se relever. Il est un exemple de ce que la volonté de chacun peut faire d’extraordinaire.

Vous souhaitez bénéficier du coaching pour trouver une alternance ou un emploi ? Rejoignez l’école en ligne OpenClassrooms.

Vous avez de l’expérience et voulez  devenir coach ou mentor OpenClassrooms ? Rejoignez-nous, nous sommes régulièrement à la recherche de profils experts pour accompagner nos étudiants vers la réussite. 

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Agar, alternante en Data Science chez Sereneo

Par : Nora Leon

Après des études en mathématiques appliquées et une première expérience du travail en tant que freelance, Agar Blohorn a décidé de se spécialiser en data science à 29 ans. Aujourd’hui, elle suit la formation Data Scientist en alternance chez OpenClassrooms. Dans le cadre de ce programme, elle travaille chez Sereneo, une entreprise spécialisée dans la gestion des relations clients. Si vous avez déjà discuté avec un chatbot de support sur un site Web, il est possible qu’il ait été créé par Agar ! Elle revient avec nous sur son parcours et son alternance.

Bonjour Agar ! Qu’est-ce que tu faisais avant cette formation en data science sur OpenClassrooms ?

J’étais en train de préparer mon Master 2 en mathématiques appliquées. Entre-temps, j’ai fondé ma famille et je n’ai donc pas réussi à trouver de travail en parallèle. Je devais faire une thèse, mais je n’ai pas eu le financement qu’il fallait. 

J’ai déménagé en Île de France, car mon mari a trouvé du travail ici et j’ai travaillé un peu en freelance. J’ai écrit des articles de vulgarisation sur le machine learning et les mathématiques derrière la machine learning.

En parallèle, j’ai continué à chercher un travail, sans trouver. J’ai donc décidé de me spécialiser dans la data science avec OpenClassrooms.

Pourquoi la data science ?

D’abord, parce que c’était une voie où je pouvais trouver plus facilement du travail. C’est vrai que je cherchais quand même un domaine qui était assez ouvert. 

Et puis, la data science ça me plaît beaucoup parce que ça touche à plusieurs domaines, plusieurs thèmes de la vie du quotidien.

On peut intégrer les mathématiques aux différentes thématiques de la vie de tous les jours, et c’est ce qui m’attire le plus.

Tu es en alternance. Pourquoi ce choix, comment ça se passe pour toi?

L’alternance était très importante pour moi, parce que justement, quand je cherchais du travail, le problème principal était que je n’avais pas d’expérience.

Donc, il fallait absolument que j’intègre une première entreprise pour pouvoir ensuite trouver plus facilement un CDI ou un travail stable, ou même trouver ma voie professionnelle. 

Même si avec OpenClassrooms, je réalise neuf projets qui sont censés donner de l’expérience et pouvoir prouver à l’employeur que j’ai des bases solides, j’ai préféré prendre l’alternance avec la formation. 

Aujourd’hui, j’ai intégré une entreprise qui est spécialisée dans la gestion des relations clients, Sereneo. Je m’y occupe d’écrire les scripts destinés à être intégrés dans un algorithme pour chatbots (agents conversationnels sur les sites Web, etc). En plus d’écrire des scripts, je fais la aussi de la configuration qui permet à la machine de reconnaître le langage naturel.

Et ça te plaît ?

Oui, plutôt ! Alors pour être honnête, écrire des scripts, c’est super au début mais au d’un moment, ça peut devenir un peu ennuyeux.

Mais ce qui est intéressant, c’est vraiment de configurer avec les composants de machine learning pour voir comment l’outil permet de reconnaître le langage humain. Là, ça devient vraiment passionnant. 

D’ailleurs, pour trouver ton entreprise actuelle, tu as eu un coup de pouce d’OpenClassrooms, le coaching. Peux-tu nous partager ton expérience ?

Oui, bien sûr ! Ma coach m’a beaucoup aidée. Elle m’a permis d’avoir plus confiance en moi et surtout de foncer. On se met souvent des barrières pour rien, parce qu’ensuite, quand on a fait ce sur quoi on bloquait, on se dit toujours que ce n’était pas si difficile.

Ma coach était top, vraiment, je l’en remercie ! Sans elle, je ne sais pas si je serais arrivée à envoyer 25 candidatures par jour… C’était ce qu’elle m’avait demandé. Je me rappelle que je me réveillais à l’aube, parce que c’était le moment où j’étais le plus efficace. Puis je cherchais les annonces et ensuite, vers 8h ou 9h, j’envoyais mes candidatures en masse ! C’était assez marrant, mais c’était dur. 

Un conseil pour ceux qui cherchent une alternance ? 

Si j’ai un conseil à donner, c’est surtout d’envoyer des candidatures. Une fois que la préparation du CV est parfaite, qu’on a une lettre de motivation propre, il faut y aller. Ensuite, il faut changer quelques phrases, quelques paragraphes en fonction de l’offre d’emploi à laquelle on postule. Mais quoi qu’il arrive, il faut envoyer, que ce soit en candidatures libres, par email, par Linkedin, pourquoi pas aussi en allant demander sur place… Il faut passer par tous les moyens, et ne pas s’arrêter ! Et normalement au bout d’un moment, vous devriez y arriver sans aucun problème.

Tu as été accompagnée par deux mentors aussi, pendant ta formation. Peux-tu m’en dire un peu plus ?

Oui, bien sûr ! Au début, j’ai eu un mentor qui m’a accompagnée sur mon premier projet et la moitié du deuxième. C’était quelqu’un de très cadré, efficace ! Mais il a déménagé au Canada et j’ai dû en changer. J’ai donc rencontré un second mentor, qui était très différent du premier ! Il avait une approche plus responsabilisante, moins cadrée. Et justement, il était très complémentaire avec le premier. Il m’a vraiment fait pousser plus loin mes projets et devenir plus autonome.

Être très guidée, c’était parfait au début, parce que j’avais besoin de ça pour être à l’aise. Et après, une fois rentrée dans la formation, il fallait que je j’acquière de l’autonomie. Avec ma deuxième mentor, j’ai été à bonne école !

Est-ce que tu peux nous raconter un peu ce qu’est un projet ? 

Les projets consistent à entrer en immersion dans notre rôle de data scientist. On a un sujet issu d’un scénario professionnel où sont bien expliquées les attentes. Et nous, on essaie, à travers les données qui sont à disposition, de réaliser des analyses et de créer des algorithmes de machine learning pour pouvoir répondre à la problématique de l’employeur. L’objectif est ensuite de vulgariser toutes ces étapes dans un PowerPoint et de le présenter à l’employeur (joué par un mentor validateur qu’on ne connaît pas) de la manière la plus claire possible, avec plusieurs solutions à sa problématique. 

Comment se passe ta formation, le fait d’être en alternance entre tes projets et le travail ?

Dans la formation, je m’éclate, c’est clair, parce qu’on a un champ libre énorme.

Le mentor est là pour nous dire qu’on va dans la bonne direction. Mais ensuite, on est libre d’utiliser les ressources à notre disposition. Par exemple, en data science, il y a des librairies pour le langage Python. Nous sommes libres d’utiliser celle de notre choix, d’apprendre de nouvelles choses, tant qu’on a les bases et les fondamentaux qu’on doit présenter à la fin du projet.

C’est vraiment génial, je pense qu’on ne peut l’avoir qu’avec OpenClassrooms. En entreprise en général, c’est très cadré. On attend quelque chose d’assez précis et donc, à part apprendre de notre côté, en dehors du cadre du travail, c’est un peu compliqué. Mais là, on fait vraiment tout en même temps et c’est super. C’est vraiment une formation intensive. 

Est-ce que tu arrives à jongler avec ta vie de famille ? 

C’est vrai que je suis maman, c’est pas évident. Il faut se fixer des horaires de travail et ensuite tout couper pour pouvoir s’occuper du petit.

Mais je m’en sors, je suis efficace. L’organisation, c’est le nerf de la guerre !

Et donc, la suite après ton alternance, c’est quoi ? 

Je suis dans une entreprise qui va normalement me proposer une thèse. Je ne sais pas encore trop si je vais accepter : comme je suis maman, j’ai envie de sortir du cadre d’étudiant et de rentrer vraiment dans la vie professionnelle. 

Et en plus de ça, j’ai plein d’idées en tête maintenant, parce que la formation m’a vraiment ouvert l’esprit. À l’époque, je voulais uniquement trouver un travail, peu importe ce que c’était ! Je cherchais quelque chose qui me permette d’avancer. 

Maintenant, je vois les choses de manière un peu plus large, je sens que je peux me lancer. Je peux collaborer avec des gens avec qui j’ai parlé pendant ma formation, des gens que j’ai connus sur LinkedIn aussi. 

La personne qui m’a aidée à trouver mon alternance m’a aussi appris à utiliser Linkedin et interagir avec des gens. C’est très utile, car je connais maintenant pas mal de personnes dans le milieu de la data science – je pense que c’est ce qui s’appelle le réseau et ça me sert beaucoup (rires). 

Donc, c’est vrai que la thèse, même si c’est très intéressant, je ne sais pas si c’est ce qu’il me faut aujourd’hui. Mais j’ai encore le temps de me décider.

Maintenant que tu as un peu de recul, quel est ton avis sur OpenClassrooms ?

Je recommande à 100% ! Quand tu as vraiment un blocage, que tu te sens un peu tout seul face à ton projet, dès le premier appel, on te met à l’aise, on t’explique comment ça se passe.

On te dit qu’il y a des mentors qui vont t’accompagner. Et c’est la vérité, ils sont vraiment là, ils comprennent ta personnalité et y vont petit à petit.

Donc, si tu es timide, on va te pousser un petit peu, mais pas trop pour que tu ne sois pas non plus trop perdu. En plus, ton mentor est là pour te rebooster au besoin, à l’aide de plusieurs stratégies. Des choses auxquelles tu ne penses pas forcément : par exemple, “vas-y, essaie tous les moyens, essaie Linkedin, essaie les emailings, essaie les candidatures spontanées…”. Avec ces encouragements, c’est plus facile de s’y mettre.

Au niveau de la formation, c’est aussi génial, parce que comme je le disais tout à l’heure, on a le champ libre dans l’apprentissage. Il suffit d’être motivé, d’en vouloir. Cette formation permet de la liberté, de l’adaptabilité, mais aussi de se trouver soi-même. Ça m’a permis de me connaître un peu plus d’un point de vue professionnel. En plus, c’est en télétravail : on peut donc travailler d’où on veut. 

En tout cas,  quel que soit l’endroit d’où l’on travaille, on est assez accompagné pour ne pas se sentir enfermé dans ce que l’on fait, et ça c’est rare.

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La stratégie de spécialisation sur un métier en forte demande semble avoir réussi à Agar ! L’accompagnement OpenClassrooms lui aura permis d’effectuer une transition vers son nouveau métier de manière sereine, en dépassant les blocages qu’elle pouvait ressentir et en apprenant à valoriser son profil. Des compétences qu’elle pourra réutiliser tout au long de sa carrière !

Vous aussi, vous vous intéressez à la data science ? Rendez-vous sur la page parcours de la formation pour découvrir son contenu. Vous pouvez aussi suivre les cours dispensés sur le parcours gratuitement ; cela vous donnera un bon aperçu pour vous lancer sur cette formation professionnalisante. 

Le Data Scientist : entre optimisation de la donnée, analyse et projection

Le coaching chez OpenClassrooms

 

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Pauline, du marketing au produit en formation développeur Web

Par : Nora Leon

« J’ai appris plusieurs langages informatiques et surtout la logique du code dans la formation Développeur Web. Ce bagage me sert aujourd’hui à communiquer avec la Tech dans mon métier de Product Marketing Manager ».

Du CRM au product marketing, il n’y a qu’un pas ? C’est en tout cas ce qu’a constaté Pauline Fumeron suite à sa formation en ligne Développeuse Web sur OpenClassrooms. Elle revient sur son expérience en formation et son impact sur sa carrière. Rencontre.

Comment avez-vous choisi ce parcours ? 

J’avais envie d’apprendre le code, et il fallait commencer quelque part. L’avantage de la formation Développeur Web était qu’elle était courte, diplômante, et basée sur des projets concrets.

J’avais déjà un petit socle de choses que j’avais apprises en autodidacte. Cependant, il me manquait le cadre pour apprendre. J’avais aussi besoin d’étoffer mes compétences avec de bonnes bases en HTML et CSS. En somme, avoir une connaissance basique du code orienté objet, pour comprendre les logiques d’une application ou d’un code donné. J’avais envie d’apprendre à modifier, tester des choses… 

Mon projet n’était pas vraiment de devenir développeuse Web à part entière. Je voulais plutôt savoir échanger avec des équipes tech. Je travaillais dans le marketing et en particulier le CRM à ce moment-là. Mon besoin était donc plus lié à la mise en place de workflows automatisés, de landing pages ou de templates marketing, dans le cadre du marketing automation.

Vous avez mené de front le parcours et un emploi. Comment cela s’est-il passé ?

Ça s’est bien passé. Mais il faut avouer que c’est tout de même une charge de travail !

Après chaque journée de boulot, j’avais une à trois heures le soir en semaine à passer sur mon parcours, plus le weekend.

Quand c’est facile, ça va. Mais quand les projets deviennent plus compliqués… Ça se corse ! Avec l’accompagnement de mes mentors, j’ai eu pas mal d’aide pour retrouver la motivation quand j’en avais besoin.

Qu’avez-vous préféré ?

Les projets de mise en situation, les cas concrets. À la fin, tu te retrouves avec un livrable viable.

J’ai développé différentes applications. Je suis surtout montée en compétences sur des langages divers, tous appris sur des applications métiers très concrètes.

Tout faire de A à Z m’a donné confiance sur ma capacité à réaliser plein de choses ! C’était le cœur de la formation et la base de ce qui suit derrière.

Aujourd’hui, quelles compétences utilisez-vous le plus en poste ? 

Ma compréhension technique au quotidien m’aide vraiment. Je ne code pas, mais ce que j’ai appris facilite les discussions avec les équipes de développeurs, Product Managers… J’ai aussi une meilleure compréhension du logiciel tech sur lequel je travaille. Je cerne plus vite les sujets ; je me sens à l’aise. C’est cela dont j’avais besoin.


Je me sers pas mal des bases pour continuer à automatiser des choses.

Quel impact a eu cette formation sur la suite de votre carrière ? 

Aujourd’hui, je suis Product Marketing Manager chez Lifen, une entreprise en forte croissance dans le domaine de la santé dont l’objectif est de simplifier et faciliter la communication médicale des professionnels de santé au quotidien.

Le parcours d’OpenClassrooms a participé à me faire gagner confiance en moi. Je me sens aujourd’hui plus légitime sur pas mal de sujets.

J’ai pu faire ce que je voulais et être sereine sur mes capacités à évoluer sur un poste en marketing produit. 

Aujourd’hui, je suis Product Marketing Manager. Je suis la voix de l’équipe produit en interne pour faire en sorte que tout le monde connaisse les fonctionnalités de notre produit, que les lancements se passent bien, que les clients utilisent le logiciel. Je suis également la voix de nos utilisateurs et clients. Ma mission est de me faire l’écho de leurs demandes pour aider à construire un produit qui réponde à leurs besoins. Je mêle ma casquette produit et marketing au quotidien. Ces compétences complémentaires posent aussi les jalons pour la suite. Je sais que je peux appendre et je le ferai encore.

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Comme Pauline, vous travaillez en Webmarketing ou CRM et vous souhaitez bifurquer vers le Product Marketing ?

La formation en ligne Développeur Web est disponible, soit en alternance, soit à plein-temps. Vous pouvez aussi éventuellement faire financer votre formation par un organisme national ou local (Pôle emploi, Cap emploi, les Missions locales) selon votre profil et le quota de places disponibles.

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Quelques questions à…Nathalie Jaouën, mentor OpenClassrooms et coach de vie

Nathalie est mentor sur les parcours OpenClassrooms responsable learning & development, chargé de gestion des ressources humaines, ingénieur responsable pédagogique, conseiller en évolution professionnel et enseignant/formateur . Motivations, approche pédagogique, conseils… Nathalie nous livre sa vision du mentorat.

Comment et pourquoi es-tu devenue mentor pour OpenClassrooms ?

Je suis mentor depuis bientôt trois ans. C’est une amie qui m’avait envoyé l’offre de mentorat OpenClassrooms. J’ai longtemps travaillé en ressources humaines avant de devenir coach de vie.

Cette mission de mentorat me permet de garder un pied dans un domaine qui m’intéresse toujours. Cela a du sens pour moi de transmettre, tout en étant libre de pouvoir faire d’autres activités complémentaires.

En quoi cela consiste et qu’est-ce que cela t’apporte ?

Tout dépend des profils. Mais cela consiste surtout à rassurer,  booster, accompagner les étudiants sur leurs projets lorsqu’ils ont des doutes. C’est intéressant aussi de leur expliquer les choses de façon pragmatique en se basant sur notre propre expérience.

Certains étudiants sont en reconversion complète et n’ont jamais mis en pratique ce qu’ils apprennent. Nous leur faisons profiter de notre retour d’expérience.

De mon côté, cela me permet d’apprendre continuellement aussi et de rester à jour, notamment dans le domaine du learning & development qui est en pleine mutation en ce moment par exemple.

Un petit mot sur ton historique professionnel ?

Pour des raisons familiales, je ne souhaitais plus travailler en entreprise. Je me suis mise à mon compte. Aujourd’hui je suis coach en développement personnel et professionnel, formatrice et facilitatrice en intelligence collective.

J’apprécie avoir plusieurs activités différentes pour ne pas tomber dans la routine. Je rencontre beaucoup de personnes qui sont en pleine transition, souvent en reconversion professionnelle. Les consultations se font aussi bien dans mon cabinet que des interventions en entreprise ou même des animations d’ateliers.

Je donne également des cours à l’université. J’interviens autour des thématiques du bien-être, du sens au travail, de l’employabilité.

Qu’est-ce qui te plaît dans le mentorat OpenClassrooms ?

J’échange en permanence avec des profils très différents et j’aime beaucoup cette diversité. Je ne m’ennuie jamais, il y a toujours de la nouveauté et du changement. J’apprécie aussi la liberté que j’ai de pouvoir organiser mon temps comme je veux.

Sur quels sujets aimerais-tu te former ?

Je pense qu’on n’arrête jamais vraiment d’apprendre. À la base, j’ai une formation de psychologue donc je suis assez attirée par tout ce qui touche à la pensée, aux émotions, aux sentiments. Les neurosciences cognitives ont fait de grandes avancées ces dernières années. Je m’”autoforme” aussi sur la qualité de vie au travail et globalement, j’essaye de toujours me tenir informée.

Y a-t-il un ouvrage dont tu recommandes la lecture parce qu’il t’a inspiré personnellement ou professionnellement ?

J’aime beaucoup l’ouvrage de Tony Robbins, Pouvoir illimité. Il nous explique que quand on croit que quelque chose est possible, alors c’est possible. Je suis convaincue que souvent, on se limite dans nos objectifs parce qu’on anticipe que l’on n’y arrivera pas. Pourtant, si on se projette dans le futur de façon positive, on est capable de tout !

Le pouvoir du moment présent d’Eckart Tolle est aussi un ouvrage que j’adore et dans lequel je me replonge régulièrement.

L’article Quelques questions à…Nathalie Jaouën, mentor OpenClassrooms et coach de vie est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.

« J’apprends de mes étudiants », Marion, mentor

Marion Ruzicka est mentor pour le parcours Responsable marketing opérationnel et communication au sein de l’école en ligne OpenClassrooms. Nous sommes allés à sa rencontre pour en savoir plus sur ses motivations et son approche de cet accompagnement sur-mesure.

Comment et pourquoi es-tu devenue mentor pour OpenClassrooms ?

J’ai une amie qui a suivi le parcours UX designer au sein d’OpenClassrooms et que j’accompagnais de manière non formelle.

Elle m’a conseillé de me renseigner sur les missions de mentorat à proprement parler car j’avais le bon profil selon elle. 

En quoi cela consiste-t-il et qu’est-ce que cela t’apporte ?

Je le vois comme un transfert de compétences qui se fait de manière guidée et constructive.

Le but est que l’étudiant acquière un maximum de connaissances. Je travaille beaucoup sur la façon dont on peut apprendre de ses erreurs et sur la démystification du numérique qui serait un milieu difficile, et peu accessible.

J’aime vraiment transmettre mes compétences ! Le mentorat me transmet de l’énergie positive. Je considère qu’il n’y a pas un seul savoir, donc j’apprends aussi beaucoup de mes étudiants en retour. 

Quelle est ton activité professionnelle en dehors du mentorat ?

Après avoir été consultante en stratégies de communication et marketing digital en freelance auprès de start-ups et de plus petites entreprises, mon activité a un peu évolué. Je suis toujours intervenante au sein de plusieurs écoles sur du marketing digital. En revanche, j’exerce également à présent l’activité de Coach de vie et Coach professionnelle afin d’accompagner chacun à trouver son équilibre et une vie épanouissante.

Qu’est-ce qui te plaît dans ce métier ?

Pour le mentorat et la formation, c’est la transmission de mes compétences.

Concernant le coaching, c’est de révéler le potentiel de chacun et d’amener la personne a un meilleur épanouissement, personnel ou professionnel.

J’intègre la nature dans mes coachings pour une re-connexion à soi et à son environnement. La composante principale de toutes ces missions est la dimension coaching, formation. C’est ce qui m’intéresse le plus.

Une partie de mon activité concerne aussi le développement durable. Dans ma façon d’aborder les sujets, je fais en sorte qu’on utilise le numérique de manière responsable. 

Y a-t-il des sujets sur lesquels toi aussi tu aimerais te former ?

J’ai été mentor pour des start-up qui utilisaient la technologie pour aider les handicapés. J’ai donc travaillé avec des personnes handicapées, autour de la problématique de l’accessibilité, à laquelle je m’intéresse particulièrement en ce moment.

Pour le métier de coach, je me forme à l’écopsychologie. 

Y a-t-il un ouvrage dont tu recommandes la lecture parce qu’il t’a inspiré personnellement ou professionnellement ?

Mindset de Carol Dweck, qui est une docteure en psychologie américaine, résume bien ma philosophie au quotidien.

En tant que mentor, je ne pense pas que nous soyons des produits finis. Au contraire, nous sommes toujours en construction et il est toujours possible d’apprendre et de se développer. 

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« Être mentor me permet de travailler ma pédagogie », Gaëtan, mentor

Gaëtan de Jacquelot est mentor pour la formation Product Manager  au sein de l’école en ligne OpenClassrooms. Nous sommes allés à sa rencontre pour en savoir plus sur ses motivations et son approche de cet accompagnement sur mesure. 

Comment et pourquoi es-tu devenu mentor pour OpenClassrooms ?

J’ai vu Mathieu Nebra expliquer l’histoire et la mission d’OpenClassrooms lors de la Product Conférence 2019 devant plus de 800 personnes.

Grâce au mentorat, j’ai l’impression de pouvoir participer à quelque chose qui me dépasse un peu et qui pourrait bien rendre l’apprentissage accessible à énormément de monde.

En quoi cela consiste et qu’est-ce que cela t’apporte ?

Au travers de mon rôle de mentor, j’aide les personnes qui ont choisi un parcours à aller au bout sans lâcher. Je les guide pour qu’ils se donnent des objectifs atteignables. Grâce à mon expérience terrain, je leur partage aussi des exemples concrets pour les aider à lier théorie et pratique. Ma plus grande satisfaction est l’accomplissement de leurs objectifs.

Tout cela, en plus d’aller dans le sens de mes convictions, me permet de travailler ma pédagogie et cela me sert au quotidien chez mon employeur principal.

Quelle est ton activité professionnelle en dehors du mentorat ?

Je suis coach agile à l’échelle dans une grande entreprise d’assurance. Mon rôle est d’accompagner la transformation du groupe vers plus d’efficience et de capacité d’adaptation.

Les compétences  d’un coach agile sont un doux mélange de coach individuel et collectif, d’expert en méthodes agiles, de formateur, de mentor sur les rôles clés que sont le Product Owner et le Scrum Master, …

Qu’est-ce qui te plaît dans ce métier ?

La transformation des organisations, c’est beaucoup d’Humain.

Accompagner les équipes vers plus d’épanouissement et de performance, c’est ça qui fait sens pour moi. 

Y a-t-il des sujets sur lesquels toi aussi tu aimerais te former ?

La communication, le marketing, le commerce, la systémie, l’UX design… La liste est longue et non exhaustive. C’est le meilleur moyen d’apporter de la créativité et de l’innovation à mes clients et partenaires.

Y a-t-il un ouvrage dont tu recommandes la lecture parce qu’il t’a inspiré personnellement ou professionnellement ?

  • « The Lean startup » d’Éric Ries
  • « Solution Focus » de Gery Derbier

Ce sont deux bonnes références pour devenir un bon Product Manager et un bon Manager coach.

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Mentor en développement informatique, Thomas Boileau répond à nos questions

Thomas est mentor sur plusieurs formations, dont Développeur d’applications PHP/Symfony et Développeur web au sein de l’école en ligne OpenClassrooms. Nous sommes allés à sa rencontre pour en savoir plus sur ses motivations et son approche de cet accompagnement sur-mesure.

Comment et pourquoi es-tu devenu mentor en développement informatique pour OpenClassrooms ?

OpenClassrooms m’avait contacté aux balbutiements du mentorat, mais pour une raison que j’ignore, j’avais refusé…Cependant, j’avais beaucoup aimé le concept, et puis l’histoire était belle quand on a connu le Site du Zéro [l’ancêtre d’OpenClassrooms]. C’est bien plus tard, en décembre 2016, que j’ai effectué ma première session en tant que mentor en développement web. Tout cela s’est fait très rapidement car j’avais besoin d’un nouveau défi. La routine du travail ne me satisfaisait plus, et lorsque j’ai vu passer une annonce, j’ai cette fois sauté sur l’occasion. C’était un bond dans l’inconnu. J’avais ce besoin de partager, de rencontrer des gens motivés à l’idée de devenir développeurs.

En quoi cela consiste et qu’est-ce que cela t’apporte ?

Pour moi, c’est avant tout un échange, un partage. Je n’ai pas eu la chance, à mes débuts, d’être accompagné. Donc je fais en sorte que les apprenants aient toutes les cartes en main pour poursuivre leur carrière dans les meilleures conditions.

Bien que ce soit des formations très techniques, il me semble important de préparer chaque étudiant pour son insertion dans le monde du travail. C’est un milieu très concurrentiel où il faut savoir jouer des coudes pour sortir du lot. La majorité des étudiants est empreinte de doutes, et c’est mon rôle de rassurer chacun. Il me semble que le plus important est de pouvoir s’adapter à toute situation à l’issue de la formation. C’est toujours une grande satisfaction quand un étudiant m’annonce qu’il a trouvé un emploi, c’est que j’ai bien fait mon travail !

Quelles sont tes autres activités professionnelles ?

Après plusieurs années en tant que développeur au sein d’une agence de marketing opérationnel, j’ai décidé de m’installer en freelance. Je peux donc organiser mon emploi du temps comme je l’entends. Depuis 3 ans, je navigue entre les projets clients, mon activité de mentor en développement web et un peu de formation/coaching. Tout est question d’équilibre, j’aime beaucoup la production, mais force est de constater qu’après 11 ans de carrière, la balance commence à pencher plus d’un côté que d’un autre. Wait’n see !

Qu’est-ce qui te plaît dans ce métier ?

J’aime les défis. C’est un facteur de motivation très puissant. Quand une start-up me fait confiance pour développer un produit, je trouve cela gratifiant. L’enjeu me pousse dans mes retranchements, et permet de m’améliorer quotidiennement.

Quant aux formations et sessions de coaching que je dispense, c’est la transmission de ma passion pour le code. Quand des apprenants sortent de la formation avec le sourire, l’envie de faire bouger les choses dans leur entreprise, et celle d’en apprendre plus encore, c’est tout simplement réjouissant.

Y a-t-il des sujets sur lesquels tu aimerais te former ?

J’aimerais bien continuer mon apprentissage du métier de Product Owner. Je trouve que le plus important quand on travaille sur un nouveau projet est de pouvoir facilement transformer un besoin en une solution technique. Cependant, même après 11 ans, j’ai encore quelques lacunes sur ces sujets-là, et je pense que j’ai encore un peu de chemin à faire pour proposer une meilleure collaboration professionnelle avec mes actuels et futurs clients.

Un ouvrage ou un cours dont tu recommandes la lecture parce qu’il t’a inspiré personnellement ou professionnellement ?

Pour les développeurs déjà bien avancés dans leur parcours, et même pour les plus aguerris, j’invite à lire l’ouvrage “Clean Code” de Robert C.Martin. Cet ouvrage ne fera pas de vous un véritable artisan du code, mais il vous poussera à faire un travail de qualité.

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Coaching : Comment Juliette a aidé Salomé à signer son contrat

Par : Nora Leon

Qu’on entre en alternance ou qu’on finisse une formation diplômante, l’école en ligne OpenClassrooms offre des sessions avec un coach pour décrocher son emploi. 

Juliette a été la coach de Salomé pour trouver son alternance dans le milieu de la pédagogie. Elles nous en disent plus sur cette expérience et cette recherche d’emploi en mode éclair.

Enchantée Juliette et Salomé. Pouvez-vous vous présenter ?

Salomé : Je m’appelle Salomé, je suis ingénieure pédagogique en alternance via OpenClassrooms au sein de la SNCF. J’ai signé ce contrat notamment grâce à l’aide de Juliette, ma coach en insertion professionnelle.

Juliette : J’ai fait partie du service client d’OpenClassrooms et je me suis reconvertie pour être professeure de yoga il y a deux ans. Mais, comme j’adore accompagner des étudiants pour leur permettre d’exploiter pleinement leur potentiel, je suis longtemps restée coach en accompagnement professionnel en parallèle de mon activité.

Tout d’abord, Juliette, peux-tu nous en dire un peu plus sur ce rôle de coach et pourquoi il t’a intéressée ?

Absolument. Le coach en insertion professionnelle apporte les bons outils, codes et la méthodologie à toute personne qui recherche un emploi via OpenClassrooms (que ce soit un contrat d’alternance ou job).

Quand on sort tout juste de ses études, c’est un défi d’apprendre à « se vendre » en entretien.

On n’a pas forcément tous les codes du marché de l’emploi et on est tout frais dans le métier, donc on a souvent besoin d’un coup de pouce. Pour les personnes qui se reconvertissent, c’est pareil : valoriser son profil et expliquer en quoi nos compétences sont transposables, ça s’apprend, d’autant plus avec son coach ! 

J’ai une bonne expérience des RH et du monde du travail. J’aime tirer parti de mon optimisme et de mes qualités interpersonnelles pour accompagner des personnes de tous horizons vers l’emploi qui leur convient.

Salomé, peux-tu aussi nous en dire plus sur toi ?

Je m’appelle Salomé et j’ai 30 ans. Je suis alternante sur la formation en ligne Ingénieur responsable pédagogique d’OpenClassrooms. Je travaille à la SNCF en parallèle de mes études théoriques. Je suis lyonnaise mais aujourd’hui, je travaille à Paris.

Pourquoi souhaitais-tu suivre cette formation ? 

J’avais déjà derrière moi 8 ans d’études (rires). Donc j’avais envie de quelque-chose de pratique, pas à nouveau d’être sur les bancs de l’université.

La pédagogie par projets m’a attirée, puisqu’on s’entraîne à ce que qu’on va faire en poste. La formation correspondait à mes attentes en termes de savoir-faire. Elle était en ligne et en alternance. Et surtout, je pouvais commencer quand je voulais, pas seulement en septembre ou janvier comme dans la plupart des écoles.

Attends : 8 ans d’études ? Pourquoi souhaitais-tu encore te former ?

Oui ! Je suis titulaire de deux licences (en psychologie et en communication) et de deux masters (en UX et psychologie et en communication Web). À la sortie de mes études, je n’étais pas sûre du domaine où je voulais travailler. Pour me laisser du temps, je suis partie en Permis Vacances Travail (PVT) un an en Corée du sud. À mon retour, j’avais trouvé mon domaine d’application. J’ai tenté de me lancer avec mon diplôme… Mais la crise sanitaire n’était pas propice aux embauches.

Alors, je me suis tournée vers une formation en alternance pour acquérir encore de l’expérience et parfaire ma formation.

Comment as-tu choisi le métier d’ingénieure pédagogique ?

C’est assez proche de l’UX et de la communication, en fait. Il y a une grande partie où on analyse les besoins pour les formations et où on conçoit des e-learnings. Cela rejoint la conception ou le design de logiciels et il faut de bonnes capacités d’analyse et rédactionnelles.

Tu as commencé à chercher ton contrat d’apprentissage pendant le 1er confinement. Tu as trouvé facilement ton employeur ?

Globalement oui, mais il y a tout de même eu un petit rebondissement.

J’ai rapidement eu une offre de la part d’Enedis. Mais avec le confinement, mon équipe a dû geler les recrutements le temps de confirmer les budgets. Pendant deux mois, j’ai été dans l’incertitude… Puis mes futurs managers m’ont confirmé que le poste n’allait pas s’ouvrir. J’ai bien compris que ce n’était pas voulu et je ne l’ai pas pris personnellement.

Heureusement, je n’avais pas complètement fermé la porte aux autres personnes qui m’avaient contactée.

En un mois, j’ai trouvé mon contrat au sein de la SNCF et cette fois, c’était pour de bon !

Tu as commencé il y a quelques mois. Comment est-ce que cela se passe ?

Très très bien ! Mon équipe est au top. C’est une des choses les plus importantes, d’être à l’aise en poste et d’avoir le feeling avec mes collègues. Je fais partie de l’équipe de l’école numérique de Paris, en Seine-Saint-Denis. Nous développons une université d’entreprise spécialisée dans les formations sur les métiers du numérique. Elle forme entre 2500 et 3000 agents environ.

Mon métier, c’est d’une part d’animer notre communauté d’apprenants, car on a des prestataires externes pour certaines formations, et de l’autre, de travailler sur nos formations internes en digital learning.

Qu’est-ce qui te plaît dans ce job ? 

J’aime avoir un impact sur l’évolution humaine des personnes. Les aider à réaliser leurs projets.

Les formations sont un incroyable outil pour évoluer tant professionnellement que personnellement. Ça m’enthousiasme beaucoup !

Juliette a été ta coach pour chercher ton contrat. Pouvez-vous nous raconter à deux voix comment vous avez fonctionné pour le coaching ?

Salomé. Le feeling est passé tout de suite avec Juliette : elle m’a mis en confiance.

Juliette. Salomé savait déjà où elle voulait aller, elle avait juste besoin d’un petit coup de pouce pour que ça fasse des étincelles. Je l’ai mise sur la piste de LinkedIn en lui expliquant comment l’utiliser. Et là, ça a fonctionné très bien !

On veut savoir ! Quelle a été ta stratégie sur LinkedIn Salomé ?

Salomé. Avant de commencer la démarche, j’ai dû faire une dizaine, quinzaine de candidatures sans réponse.  Avec ma coach Juliette, je n’ai presque pas eu à postuler, car j’ai utilisé la technique d’agrandir mon réseau sur LinkedIn. Tout d’abord, j’ai amélioré mon profil LinkedIn.

Puis, j’ai passé du temps à rechercher des professionnels dans les grands groupes que je visais. J’ai repris tous les professionnels du Fortune 500, et j’ai cherché les ingénieurs pédagogiques dans ces entreprises.

J’ajoutais ces professionnels en laissant un petit message du type : « Bonjour, bientôt alternante, j’essaie d’agrandir mon réseau avec de potentiels futurs collaborateurs« .

Les résultats ont été étonnants, car la plupart de ces personnes sont revenues vers moi pour me dire qu’elles recrutaient ou pour me recommander d’autres entreprises.

Ces contacts se sont soldés par des entretiens.

Et sinon, avez-vous travaillé certains aspects de la recherche d’emploi ensemble ?

Juliette. Nous avons fait une simulation d’entretiens, pour balayer les questions qu’on pouvait te poser.

Salomé. Nous avons aussi revu le CV et mon discours. L’oral, c’est pas trop mon truc…

Juliette. C’est le lot de tout le monde ! Il faut décider ce qu’on va dire, et surtout être capable de comprendre ce que veut l’entreprise, pour ne pas accepter un poste avec lequel on n’est pas en phase. 

Juliette, tu as vu quoi comme changements ? Quelles sont les compétences que Salomé a acquises ou améliorées ?

J’ai trouvé qu’elle avait gagné en confiance en elle. Elle ne se sentait pas à l’aise à l’oral. Son profil était super sur le papier, mais elle avait besoin de pouvoir le vendre. 

Il manquait ce petit quelque chose pour affirmer avec conviction que ce qui était écrit sur le CV était véritable, et se positionner comme la meilleure candidate, qui voulait la place. 

Salomé. C’est vrai que même si j’ai fait plein d’études, sur le marché du travail, je me suis demandée ce que je pouvais apporter… J’ai été très surprise d’avoir le choix. De grandes entreprises étaient intéressées, mon profil avait de la valeur.

Ça a vraiment reboosté ma confiance et j’y suis allée à fond.

Juliette, ça arrive que ce soit plus compliqué ? Que des étudiants ne trouvent pas de job ? 

Aucun des étudiants que j’ai accompagnés n’est resté sur le carreau, mais parfois il faut travailler sur la confiance en soi et l’envie de réussir.

Ça arrive que des étudiants aient un gros manque de confiance en eux. Quand on n’a jamais été encouragé ou soutenu, que personne ne nous a dit qu’il était fier de nous ou qu’on avait de la valeur, c’est difficile de penser qu’on va trouver un job en claquant des doigts. En se posant et en voyant ensemble que la personne a de belles qualités et plein de compétences, ça finit par fonctionner.

Pour ceux qui n’ont pas un projet assez bien défini, c’est compliqué aussi de se vendre. Ils vont en entretien un peu par défaut, et donc il faut retravailler l’objectif pour que la motivation transparaisse.

Il y a aussi des gens qui n’ont pas de sentiment d’urgence. Ils ont souvent la sécurité de l’emploi et ne sont pas sûrs de vouloir changer.

Or, même si je suis convaincue qu’il y a de la place pour tout le monde sur le marché de l’emploi, personne ne nous attend, donc il faut y aller avec conviction !

Enfin, il y a l’excuse royale : « Il n’y a pas d’emploi dans ma région ». Parfois, il faut savoir sortir de sa zone de confort… quitte à revenir dans sa région après une première expérience concluante. Salomé cherchait à Lyon, mais elle travaille finalement en Seine-Saint-Denis. 

Quels conseils donneriez-vous aux personnes qui cherchent un emploi ?

Juliette. Persévérer ! Si tu sais ce qui va te donner envie de te lever le matin, il faut foncer. On s’en fiche des craintes des autres et des obstacles supposés sur le chemin. Ça peut prendre quelques semaines, quelques mois, même deux ans. On n’est pas tous égaux. Mais il faut garder espoir et tenir bon.

Et aussi, il faut absolument personnaliser ses candidatures. La plupart des personnes qui cherchent un job se découragent très vite. Elles me disent : « Juliette, j’ai envoyé 50 candidatures sans réponse ». Je leur demande : « OK, mais étaient-elles personnalisées ? ». Non. Alors on se pose, on fait moins de candidatures mais qui sont bien adaptées à l’employeur et au poste. C’est du boulot, certes, mais ça paye ! 

Enfin, une fois la candidature envoyée ou en cours de recrutement, la relance téléphonique fonctionne du tonnerre.

Les gens ne s’attendent pas à ce qu’on les appelle : c’est différenciant. Et si c’est bien fait, cela donne une excellente impression et cela permet de rester à l’esprit du recruteur et d’avoir des réponses qu’on n’aurait pas toujours eu par écrit. 

Salomé. Oui ! J’ajouterai qu’il faut être clair sur ses objectifs. Savoir vers quoi on peut tendre et mettre en place un plan d’action avec des étapes faciles à atteindre. Ces étapes, on peut les écrire sur des posts-its et les afficher au mur pour rester motivé en voyant la prochaine étape.

Pour aller plus loin : 

https://blog.openclassrooms.com/2020/11/19/comment-trouver-un-contrat-dapprentissage-pendant-la-crise-sanitaire/

https://blog.openclassrooms.com/2020/09/04/les-meilleures-plateformes-pour-trouver-une-alternance/

https://blog.openclassrooms.com/2019/10/09/comment-utiliser-linkedin-efficacement-dans-sa-recherche-demploi/

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20 ans après, l’odyssée d’OpenClassrooms 

Par : Nora Leon

C’est l’histoire d’une soif. Soif de comprendre ; soif d’apprendre ; soif de transmettre.

L’histoire d’un bouquin de code écrit vers 1999 dans un jargon incompréhensible, réécrit par M@teo21 pour être compris par toutes et tous.

L’histoire d’une passion pour le développement Web. L’histoire d’un prof en herbe de 13 ans qui démocratisait ce qu’il apprenait en direct.

L’histoire de deux ados qui collaborent à distance pendant des années sur un site, sans encore se rencontrer. L’histoire surtout, de comment il en font quelque chose. 

L’histoire d’un élan. D’une communauté. D’un lieu d’échanges. 

L’histoire d’une petite tribu de personnes déterminées à changer le monde de l’éducation, devenue une grande équipe. 

L’histoire d’une aventure entrepreneuriale avec ses hauts et ses bas, ses changements de caps, ses menues et ses grandes victoires.

L’histoire de milliers de personnes montées en compétences sur des cours et sur des formations diplômantes en ligne. L’histoire de leurs changements de caps et de leurs victoires. L’histoire de vos victoires ?

L’histoire des milliers d’employeurs heureux de les avoir recrutés.

L’histoire ou plutôt l’odyssée, encore en marche, d’une éducation plus accessible.

Et puisque en décembre 2020 cela fait 20 ans que nous rendons l’éducation toujours plus accessible… Cette histoire commune, la voici racontée à plusieurs voix.

🇫🇷

« Y a eu tellement de visiteurs [sur le Site du Zéro] qu’il [Mathieu] a un jour eu un visiteur qui revenait plus souvent, et qui s’appelait Pierre. » 

Michel Nebra, père de Mathieu Nebra 

« Mon objectif premier, c’était le partage. J’aime voir la lueur de compréhension dans le regard des gens »

Mathieu Nebra, co-fondateur d’OpenClassrooms 

« [Mathieu et Pierre] ont une vision enracinée et venant de loin ».

Henri de Castries, Mentor de Pierre Dubuc (co-fondateur d’OpenClassrooms)

« Tu connais l’étudiant par cœur […] et c’est vrai que quand la personne obtient son diplôme, obtient un job à la fin […] cette histoire te touche plus car tu as accompagné l’étudiant ».

Pierre Dubuc, Co-fondateur d’OpenClassrooms

 

🇬🇧

Pour aller plus loin :

Evaluer l’impact d’OpenClassrooms 

 

L’accessibilité chez OpenClassrooms 

Pourquoi et comment OpenClassrooms met à jour ses formations

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Intelligence Artificielle : comprenez ses défis et opportunités pour notre société

Par : Nora Leon

Quel est le point commun entre Facebook, Spotify, Netflix et l’appareil photo de votre smartphone ? Notamment… qu’ils fonctionnent grâce à une l’intelligence artificielle, sous une forme ou une autre ! 

Car l’Intelligence Artificielle irrigue déjà nos vies. Lorsque vous regardez les fils d’actualité de vos réseaux sociaux préférés, ce que vous voyez a été sélectionné par une IA. De même, Netflix et les entreprises de musique en ligne vous proposent une sélection qui vous plaira à partir d’analyses de votre consommation de films, séries et morceaux musicaux. Quand vous prenez une photo d’un plat au restaurant pour l’envoyer à vos amis, votre appareil s’adapte tout seul  pour vous proposer le mode qui rendra le mieux… toujours grâce à l’IA. 

On pourrait multiplier les exemples qui prouvent que l’IA, ce ne sont pas  les robots et les voitures autonomes. Elle transforme d’ores et déjà notre quotidien, nos entreprises et nos métiers, et ce n’est que le début ! Plus qu’une niche scientifique, elle est donc un sujet de société, auquel chacun devrait s’intéresser. 

Pourtant, l’IA est souvent perçu comme un sujet d’expert, voire une spécialité nébuleuse. Elle est partout autour de nous, mais aussi nulle part, puisque nous ne la repérons pas forcément, et n’en comprenons pas le fonctionnement de manière précise. 

Et comme tout ce qui est mal compris, elle inquiète. Une IA qui connaît mes préférences, mes goûts, mes données personnelles peut-elle se retourner contre moi ? Vendre mes données, les utiliser à mauvais escient, voire me manipuler ? Où s’arrête le pouvoir d’une IA ? Sera-t-elle toujours contrôlable dans le futur ? Quelles sont les implications éthiques liées à cette technologie ? Que doit-on accepter et interdire ; une législation appropriée existe-t-elle ?

Pour lever ces doutes, le mieux est encore de comprendre en quoi consiste l’Intelligence Artificielle. Où et comment est-elle utilisée et pourquoi ? Comment fonctionne cette technologie et ses algorithmes ? Quels sont ses opportunités, mais aussi les risques liés à une mauvaise utilisation ? Comment lever ces risques, se protéger de manipulations et sécuriser ses données ? 

L’Institut Montaigne et l’école en ligne OpenClassrooms ont souhaité apporter des réponses à ces questions. Pour ce faire, ils ont créé le cours Objectif IA, qui s’adresse à toute personne curieuse de comprendre le fonctionnement et les enjeux que soulève l’intelligence artificielle. Un cours en somme, pour mieux appréhender la place de l’IA dans nos vies, ses enjeux pour les particuliers, les gouvernements et les entreprises et son évolution future. 

Dans ce cours, vous découvrirez à la fois ce qu’est une intelligence artificielle et quels sont ses défis et opportunités pour notre société. Vous verrez aussi en pratique comment l’IA se décline en suivant un projet concret. 

Ce cours a été réalisé par des spécialistes en Intelligence Artificielle habitués à démocratiser des savoirs scientifiques. Il est donc accessible à tout un chacun qui souhaite se renseigner sur ce sujet de société, sans aucun prérequis scientifiques ou d’études. N’hésitez donc plus, plongez dans le monde de l’IA :

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« J’apprends en même temps que les étudiants » | Eloïse, mentor

Éloïse Gomez est mentor sur la formation Data analyst, la formation Data scientist et la formation Data architect au sein de l’école en ligne OpenClassrooms. Nous sommes allés à sa rencontre pour en savoir plus sur ses motivations et son approche de cet accompagnement sur-mesure.

Comment et pourquoi es-tu devenue mentor pour OpenClassrooms ?

Depuis quelques temps, j’envisageais de donner des cours. Le binôme avec qui je travaille dans mon entreprise intervient à l’Université mais je ne m’en sentais pas forcément capable parce qu’inexpérimentée.

Je connaissais bien le Site du Zéro [ancêtre communautaire d’OpenClassrooms] et quand OpenClassrooms a cherché des mentors, j’ai sauté sur l’occasion. Je me dis que c’est une bonne première étape avant de pouvoir éventuellement donner des cours à proprement parler.

En quoi cela consiste et qu’est-ce que cela t’apporte ?

Il y a deux missions pour un mentor. Il y a d’abord beaucoup de coaching car en informatique, quand on débute, c’est parfois difficile.

Il faut soutenir les étudiants moralement, les rassurer, les maintenir motivés.

Puis, il faut rendre les problèmes compréhensibles, c’est-à-dire que généralement cela consiste à diviser un gros projet en plusieurs petites étapes pour avancer progressivement sans se décourager. De mon côté, j’apprécie le fait que cela apporte une dimension humaine à mon travail.

C’est très satisfaisant d’aider quelqu’un à monter en compétences ou de l’accompagner dans une reconversion professionnelle.

Quelle est ton activité professionnelle en dehors du mentorat ?

Je suis Data Observer Architect. Je travaille pour une plateforme de data science et je m’occupe de l’installation des produits chez les clients. Ensuite, je leur expliquer comment on a procédé et comment la plateforme fonctionne pour qu’ils soient autonomes. 

Qu’est-ce qui te plaît dans ce métier ?

C’est un peu similaire au mentorat, j’aime beaucoup transmettre et aider les personnes à monter en compétences. Après l’installation, il y a un suivi client pendant quelques mois car ils ont forcément des questions donc il y a une dimension aussi didactique qui me plaît. 

Y a-t-il des sujets sur lesquels toi aussi tu aimerais te former ?

Ironiquement, je bosse comme Data architect depuis cinq ans mais dans le parcours OpenClassrooms, je me rends compte qu’il y a encore des sujets que je ne maîtrise pas. Par exemple, je n’ai jamais monté un job spark de A à Z. Mais c’est une question de pratique.

Finalement, je suis contente d’apprendre en même temps que les étudiants.

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« Je pousse les étudiants à s’interroger sur leur code » | Johnny, mentor

Johnny Behague est mentor pour la formation Développeur web au sein de l’école en ligne OpenClassrooms. Nous sommes allés à sa rencontre pour en savoir plus sur ses motivations et son approche de cet accompagnement sur-mesure.

Comment et pourquoi es-tu devenu mentor pour OpenClassrooms ?

Je me suis initié à la programmation grâce au Site du Zéro (la toute première version d’OpenClassrooms), quand j’avais 15-16 ans.

Puis, c’est un collègue, déjà mentor pour OpenClassrooms, qui m’a parlé de sa mission. Il était vraiment très positif sur ce rôle de mentor et ce que cela lui apportait dans son propre métier.

Comme j’aime beaucoup partager mes connaissances, j’ai eu envie de me lancer aussi. 

En quoi cela consiste et qu’est-ce que cela t’apporte ?

J’aide les étudiants qui préparent leur projet. Dans le cas du parcours en développement web, il s’agit de créer un site Internet de A à Z à partir d’une maquette. Je les accompagne sur la partie code, je leur donne des pistes sans faire le travail à leur place et on échange à chaque session sur ce qui va et ce qui ne va pas.

C’est important pour moi de pousser les étudiants à s’interroger sur ce qu’ils font pour qu’ils soient capables de justifier leurs choix. L’objectif est d’être prêt à défendre son code et son projet au moment de la soutenance. 

De mon côté, c’est très enrichissant d’avoir entrepris cette démarche pédagogique.

On m’a beaucoup reproché par le passé de ne pas être suffisamment didactique dans mes propos. Or, pour OpenClassrooms, je suis obligé d’adapter mon discours à des personnes qui ne sont pas toujours issues du monde informatique, à l’inverse des gens que je côtoie au quotidien dans mon travail. C’est donc un très bon exercice. 

Quelle est ton activité professionnelle en dehors du mentorat ?

Je suis consultant informatique pour la société de services Umanis. En ce moment et pour les six prochains mois, je développe par exemple un espace internet pour une mutuelle. 

Qu’est-ce qui te plaît dans ce métier ?

Je travaille sur un projet pendant plusieurs mois, puis je passe à autre chose. J’aime beaucoup cette diversité. J’ai eu l’occasion de travailler dans le secteur de la banque, de l’assurance, pour des industries. Ce qui m’a permis de rencontrer beaucoup de personnes d’horizons différents et d’apprendre beaucoup.

Y a-t-il des sujets sur lesquels toi aussi tu aimerais te former ?

J’aimerais être capable à terme d’animer des réunions, de prendre la parole en public pour des conférences en informatique et autres. Le mentorat chez OpenClassrooms représente déjà une première étape pour moi qui suis à la base plutôt réservé. Devoir mettre les étudiants en confiance m’a apporté une plus grande confiance en moi aussi et j’aimerais continuer à évoluer dans ce sens-là. 

Y a-t-il un ouvrage dont tu recommandes la lecture parce qu’il t’a inspiré personnellement ou professionnellement ?

Le tout premier livre que j’ai acheté, c’est Design Patterns pour C# de Laurent Debrauwer, car c’est le premier langage informatique que j’ai appris. Cet ouvrage aide à comprendre la conception de projet dans son ensemble. Au-delà du code, c’est la dimension architecture de la programmation qui m’intéresse. Comment on appréhende un projet, comment on le développe ensuite, je trouve que c’est passionnant.

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« Recadrer avec bienveillance, c’est tout un art ! » | Magalie, Mentor

Magalie Damel est mentor sur la formation en ligne Community Manager au sein de l’école en ligne OpenClassrooms. Nous sommes allés à sa rencontre pour en savoir plus sur ses motivations et son approche de cet accompagnement sur-mesure.

Comment et pourquoi es-tu devenue mentor pour OpenClassrooms ?

Lorsque j’ai décidé de m’installer en freelance et de devenir digital nomad, j’ai cherché des missions de mentorat. 

Dans ma vie, j’ai eu la chance d’être suivie et encouragée par des mentors. Une personne m’a appris à évoluer dans le monde journalistique au début de ma carrière, et plus tard une autre m’a coachée en tant que cheffe d’entreprise.

Ces mentors m’ont guidée, m’ont conseillée, sans jamais me donner d’ordres. À mon tour, j’avais envie d’épauler une personne grâce à mon expérience.

En quoi cela consiste et qu’est-ce que cela t’apporte ?

J’accompagne les étudiants sur les projets qu’ils ont à rendre. J’ai un regard sur les livrables qu’ils soumettent pour les évaluations. Mon rôle est de faire progresser leur état d’esprit et de les accompagner jusqu’à ces évaluations finales. 

Nous avons un lien privilégié qui évolue au fur et à mesure du parcours, c’est enrichissant.

Pour moi, c’est à la fois gratifiant, agréable et en même temps exigeant. Il faut être concentrée, recadrer le travail avec bienveillance (ce qui n’est pas toujours facile).

Une partie de la mission consiste aussi à motiver et soutenir le mentoré. Le mentorat m’a fait prendre conscience que j’avais ces qualités-là !

Quelle est ton activité professionnelle en dehors du mentorat ?

J’ai été journaliste-reporter radio et je travaille aujourd’hui dans la gestion de projets éditoriaux numériques. J’effectue des missions de consultante éditoriale – cheffe de projet communication digitale, principalement dans le secteur du tourisme et du développement durable. Parallèlement, j’écris des livres professionnels, des polars pour ados et des biographies. J’interviens en école de journalisme, et en école de communication et marketing digital depuis 2013.

Qu’est-ce qui te plaît dans ces métiers ?

La variété et le fait de raconter des histoires. Je suis curieuse. Je m’ennuie vite mais j’ai de l’imagination…

Y a-t-il des sujets sur lesquels toi aussi tu aimerais te former ?

J’aime beaucoup la philosophie et la psychologie,  ce sont des domaines captivants au sein desquels il reste toujours des notions à apprendre et à comprendre.  

D’ailleurs, cela m’aide dans mon rôle de mentor de jeunes pousses numériques. En termes de logiciels, ce qui me plairait beaucoup si j’avais le temps serait de me former au Motion Design. C’est une compétence vidéo intéressante, dans la continuité du storytelling et de la rédaction. 

Y a-t-il un ouvrage dont tu recommandes la lecture parce qu’il t’a inspiré personnellement ou professionnellement ?

Psychanalyse des contes de fées de Bruno Bettelheim et Le héros aux mille et un visages de Joseph Campbell sont mes livres de chevet en terme de storytelling. L’ouvrage de Campbell donne des clés sur les schémas narratifs qui font écho aux séries que le public  regarde beaucoup en ce moment, par exemple. Pour moi, ce sont les fondamentaux qui aident à être créatif, quel que soit le projet numérique. 

Pour aller plus loin

Le mentorat, l’atout humain des formations

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Projetez-vous de manière positive pour réussir

Par : Nora Leon

Vous avez probablement déjà entendu parler de sportifs qui réalisent des prouesses dont personne ne les croit capables, et notamment d’Axel Alletru, ex-champion au niveau olympique de moto-cross, qui a réussi à remarcher après un accident qui devait le laisser paralysé, selon les dires de tous les spécialistes.

Dans le sport, il paraîtrait que les exploits résideraient à 90% dans le mental et à 10% dans le physique.

Mais alors, comment font ces sportifs pour augmenter leurs chances de réussite via leur mental ? Existe-t-il une méthode pour multiplier ses chances de succès ?

Oui. Cela s’appelle la projection positive ou encore la préparation mentale. Et pour bien commencer 2018 et vous aider à atteindre vos objectifs pour cette année qu’on vous souhaite fabuleuse, nous avons voulu vous partager cette méthode souvent utilisée par les plus grands champions et certains professionnels qui ont du succès.

D’accord, mais en quoi cela consiste-t-il ?

La projection mentale positive (utilisée notamment par Zinedine Zidane) est le fait de se projeter dans un futur positif, toujours en situation de réussite.

Le principe est simple : au niveau neurologique, notre cerveau a le pouvoir de conditionner notre corps. Pour s’en convaincre, pensons par exemple à la douleur que peut supporter une femme lors d’un accouchement : son organisme libère certaines hormones telles que l’endorphine, un opiacé qui permet de maintenir la douleur à un niveau supportable. Axel précise :

Il faut que les objectifs soient réalisables. Lors de ma rééducation, j’ai d’abord eu une infime récupération musculaire dans les quadriceps. Je m’y suis raccroché et c’est dans un deuxième temps, que la visualisation m’a permis de récupérer encore davantage.

On peut aussi penser à l’effet anti-stress des endorphines, qui fait des grands sportifs des gens moins stressés que la moyenne.

Eh bien, aussi fou que cela puisse paraître, notre cerveau peut de la même façon conditionner notre corps pour réaliser des objectifs que l’on s’est fixés, si on les visualise assez précisément et assez régulièrement.

Alors, comment se projeter positivement ?

La première étape consiste à vous fixer un objectif clair, réalisable, avec une date butoir. Par exemple : “Je souhaite réussir à courir un semi-marathon dans 6 mois”. Pour Axel, l’important a été de fonctionner par paliers.

Lors de ma première séance de rééducation, j’ai compris que mon objectif de remarcher était trop énorme, que cela demanderait beaucoup de temps. Pour ne pas perdre ma motivation, j’ai donc découpé ce challenge en plusieurs petits objectifs, ainsi chaque palier atteint représentait une petite victoire qui m’encourageait à progresser encore.

L’étape suivante vous fait entrer dans le vif du sujet : prenez l’habitude d’imaginer votre objectif (ou le palier vers votre plus grand objectif) atteint. Et quand je vous dis “imaginer”, cela signifie visualiser de façon précise, concrète, détaillée. Comme si vous y étiez ! C’est en effet en vous forçant à le voir que votre cerveau vous donnera les moyens de le réaliser.

En pratique, cela donne quoi ? Vous imaginez avec le plus de détails possibles votre environnement. N’hésitez pas à imaginer le circuit du semi-marathon, les coureurs autour de vous, votre tenue, vos proches derrière les barrières en train de vous encourager, la cadence de votre souffle, l’intensité de l’effort…

Vous pouvez le faire de deux manières :

  • Soit vous le faites en perspective interne : vous imaginez que vous contemplez la scène à travers de vos yeux, comme si vous y étiez.
  • Soit vous le faites en perspective externe : vous voyez la scène, mais vous vous regardez aussi en train de courir, etc.

Il n’y a pas de règle, prenez la perspective qui vous vient en tête le plus spontanément, c’est sûrement celle qui vous paraîtra la plus confortable et réelle.

Les meilleurs arrivent à se transposer 20 minutes dans une situation projetée. Certains sportifs assurent même qu’ils transpirent et ressentent des crampes ou des courbatures après leur séance d’entraînement mental, alors même qu’ils sont tranquillement assis sur leur canapé ! C’est donc que le corps arrive à se déconnecter du réel pour aller vers la situation imaginée.

Pour Axel, la visualisation était quelque chose de familier puisqu’on lui en avait enseigné les bienfaits pour la préparation de grandes compétitions :

J’ai mis à profit pendant ma rééducation ce que j’avais appris dans le monde du sport. Je faisais plusieurs séances de 10 minutes environ chaque jour. Cela devait être des temps calme, de relaxation voire de somnolence au cours desquels j’ancrais dans mon subconscient les images de moi debout ou en train de courir. Je sentais mon cerveau être de plus en plus réceptif au point de ressentir l’émotion provoquée par la marche ou la course dans mon corps.

En effet, c’est un exercice qui demande de la concentration : pratiquez cela chez vous, au calme, sur un lit ou un canapé confortable. Et s’il ne se passe rien la première fois, c’est normal ! Plus vous pratiquerez, plus vous aurez de résultats. Vous devrez donc faire preuve de patience et de persévérance.  

Mais en tout cas, à en croire les sportifs et d’autres champions, si vous pratiquez cela  quelques minutes tous les jours, vous parviendrez à changer votre mode de pensée et à conditionner votre organisme pour qu’il vous donne les moyens de réussir ce qui vous semble a priori irréalisable.

Et rendre atteignable l’impossible, c’est ce qu’on vous souhaite pour votre carrière et vos projets personnels.

Pour aller plus loin 

Les 5 secrets pour rester motivé pendant ses études

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Études ou recherche d’emploi : 5 astuces pour rester motivé

“ Il n’y a qu’une façon d’échouer : abandonner avant d’avoir réussi ”.  Georges Clémenceau.

Vous avez bien l’intention de réussir vos études ou à trouver un emploi si vous êtes déjà diplômé. Pour vous aider à garder le cap, nous avons mis en place, entre autres :

  • Des sessions de mentorat ou de coaching pour les diplômés, où vous pouvez poser toutes vos questions

En plus de cela, nous voulions vous partager cinq conseils pour vous motiver au quotidien, et être dans les meilleures dispositions pour réussir. Suivez le guide !

1 – Fixez-vous des objectifs

Ne perdez pas de vue votre objectif final, c’est le plus important !

La clé, c’est pourquoi vous travaillez.

Vous voulez acquérir de nouvelles compétences ? Vous voulez vous reconvertir ? Vous êtes passionné par votre futur métier ?

Vous avez fini vos études et cherchez l’emploi qui vous rendra épanoui ?

Votre formation vous permettra d’être épanoui au quotidien dans votre emploi. Et suite à une recherche d’emploi organisée, vous trouverez  votre futur patron.

Si vous visualisez votre objectif, vous allez donner à votre cerveau l’impression que vous avez déjà réussi. Si vous regardez mentalement votre réussite comme si vous étiez au cinéma, votre cerveau va se conditionner pour mettre en place toutes les conditions de votre réussite : il créera les ressources (le courage, la patience, la motivation) pour vous aider.

Découpez la formation ou la recherche d’emploi en quelques grands objectifs

Vous fixer des objectifs à long terme est important. Mais ayez aussi des objectifs intermédiaires, plus facilement accessibles. Quelles sont les 3 à 5 grandes compétences que cette formation vous permettra d’acquérir ? Y a-t-il des grandes étapes à passer ?

Dans les cours, vous avez des chapitres et une barre de progression pour voir où vous en êtes. Dans les parcours, nous avons découpé les projets pour créer des étapes qui vous motiveront.

Si vous en êtes à la recherche d’emploi, quelles sont les grandes étapes à passer pour réussir ? Par exemple :

  • Améliorer votre identité en ligne
  • Créer un CV et un portfolio convaincants
  • Postuler à plusieurs entreprises
  • Être invité aux premiers entretiens…

Chaque fois que vous aurez atteint l’une de ces étapes, ce sera l’occasion de fêter vos progrès et de vous réjouir.

2 – Trouvez le lieu de travail adéquat

Pas de secret, pour bien travailler, il faut vous créer un espace où vous vous sentirez bien et pourrez vous concentrer. Certains étudiants ou diplômés travaillent uniquement de chez eux, d’autres préfèrent l’effervescence d’un café ou d’un espace de coworking. À vous de voir !

Si vous travaillez de chez vous, ayez un espace bien délimité de travail, par exemple votre bureau ou une table, pour pouvoir “couper” avec la formation ou la recherche d’emploi lorsque vous arrêtez de bosser.

Une autre solution est d’aller dans un espace de coworking, pour pouvoir travailler en émulation avec d’autres personnes qui sont à leur compte, sont consultants ou suivent une formation en ligne tout comme vous. Choisissez un endroit où vous vous sentirez bien (c’est très personnel). Si vous habitez à Paris, vous pouvez consulter cet article pour avoir des idées de coworkings à tester.

3 – Installez-vous dans une routine productive

Quand on travaille seul ou qu’on cherche un job, il est facile de procrastiner ou d’arrêter un moment sa formation ou recherche, et de prendre du retard.

Pour éviter cela, nous vous conseillons de vous fixer un objectif quotidien, et de vous y tenir.

  • Trouvez le moment de la journée où vous êtes productif : le matin ? l’après-midi, le soir ? Et optimisez cette plage horaire pour travailler efficacement.
  • Prenez le temps de déjeuner, si possible avec quelqu’un, pour vous changer les idées et repartir de plus belle l’après-midi. Ne négligez pas ce que vous mangez, “un esprit sain dans un corps sain” vous permettront de mieux réussir !
  • Ne vous laissez pas distraire. Lorsque vous êtes sur un projet ou une candidature, coupez les réseaux et mettez votre téléphone sur silencieux. Vous pouvez utiliser RescueTime pour limiter l’accès aux réseaux pendant votre temps de travail.
  • Continuez vos activités en parallèle. Un sport ou des activités culturelles vous permettront de garder un rythme de vie dynamique et de structurer encore mieux vos journées.

4 – Faites régulièrement l’inventaire de vos réussites et progrès

L’une des façons les plus efficaces de rester motivé est de prendre du recul régulièrement pour voir tout votre avancement.

Votre mentor ou coach peut vous aider à faire l’inventaire des compétences acquises et du chemin parcouru pour trouver votre emploi. Prenez le réflexe de vous réjouir !

  • L’atteinte de chacun de vos objectifs vous montre un nouveau jalon de réussite.
  • La barre d’avancement vous permet de suivre où vous en êtes.
  • Vous donnerez probablement des conseils aux autres étudiants : il est encourageant d’aider quelqu’un et de cette façon vous serez sûr d’avoir compris.
  • Au fur et à mesure, vous vous verrez progresser.

5 – Ne négligez pas le contact humain

Vous allez commencer ou avez entrepris cette formation seul, mais vous ne l’êtes plus.

  • Vous pouvez vous appuyer sur la communauté, puisque nos formations se réalisent dans un climat d’entraide.
  • Étudier ou chercher un emploi avec l’un de vos amis peut être motivant.
  • Travailler dans un coworking peut vous permettre d’être moins isolé.
  • Et l’appui de votre famille et de vos proches est précieux.

Si vous étudiez dans un parcours ou cherchez un emploi :

  • Votre mentor ou coach est là pour vous guider pendant votre session hebdomadaire.
  • L’équipe des conseillers pédagogiques est également présente.

Et voilà, vous connaissez maintenant les 5 secrets pour maintenir votre motivation au top, que vous soyez encore étudiant ou déjà en recherche d’emploi.

Et vous, quels sont vos meilleurs conseils pour rester motivé ?

On attend des nouvelles de vos belles réussites très bientôt !

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Le Data Scientist : entre optimisation de la donnée, analyse et projection

Le Data Scientist est l’expert qui se cache derrière les algorithmes qui régissent l’organisation de l’entreprise. Féru de mathématiques, il traque l’optimisation et la moindre erreur dans les bases de données. Si l’aspect technique de ce métier représente un véritable défi, il a des applications très concrètes dans la vie de l’entreprise. Laura Mandon est data scientist depuis plus de deux ans et elle nous raconte son métier.

Le goût des mathématiques et de la recherche opérationnelle

J’ai suivi une classe préparatoire maths et physique, puis je suis entrée en école d’ingénieur généraliste. Je ne savais pas à l’époque que le métier de Data Scientist existait. Sur la fin de mon parcours, je me suis spécialisée en informatique et productique (ce qui correspond aux techniques informatiques pour optimiser les systèmes de production industrielle et automatisée). J’ai acquis quelques notions en bases de donnée et en recherche opérationnelle, mais c’était encore assez général. Ensuite, j’ai eu l’occasion de réaliser un double au diplôme au Québec. C’est à ce moment-là que j’ai commencé à me familiariser avec les métiers de la Data. J’ai obtenu l’équivalent d’une maîtrise en informatique et je me suis initiée à ce qu’ils appellent là-bas” la fouille de données” en prenant des cours. 

La data se trouve à la croisée de plusieurs de mes centres d’intérêt. Je n’aime pas du tout la physique, alors ce n’était pas idéal pour évoluer en tant qu’ingénieure généraliste. En revanche, j’ai toujours eu un goût pour les maths et la programmation.

La dimension résolution de problèmes, prédiction et optimisation de la data science m’a séduite.

Je trouve cela fascinant à maîtriser. Au départ, je n’avais que quelques connaissances basiques en informatique. J’ai mis un peu de temps à m’y familiariser davantage et maintenant, j’y vois surtout de la logique.

On obtient le résultat de chaque manipulation sur l’écran, c’est magique. Si on fait un changement, il apparaît tout de suite, c’est très satisfaisant. 

Pour mon stage de fin d’études, je cherchais de façon large une expérience dans la Data ou la recherche opérationnelle, qui est assez proche et nécessite aussi des maths et de la programmation. J’ai été prise comme Data Scientist chez Decathlon avec justement une dimension de recherche opérationnelle car ils cherchaient à ouvrir ce domaine. 

Je pense que c’est un métier qui exige d’être curieux. Au-delà de ce qui est demandé, il est important d’avoir un regard, d’anticiper sur les optimisations qui sont possibles, de prédire ce qui pourrait être amélioré.

Il faut être rigoureux évidemment et assez tenace pour faire face aux bugs et problèmes techniques qui sont fréquents. Les bases mathématiques sont nécessaires pour comprendre ce qu’il y a derrière les algorithmes, pour pouvoir les choisir et les améliorer. Avoir des connaissances en Machine Learning et connaître son fonctionnement est nécessaire aussi. Le langage de base de données que l’on utilise est généralement SQL et en terme de programmation, on utilise le langage R et le langage Python, qui ont chacun leurs avantages et leurs inconvénients.

Un métier théorique aux conséquences pratiques

J’ai été embauchée à la suite de mon stage et cela fait deux ans et demie maintenant que je travaille comme Data Scientist chez Decathlon.

Mon métier consiste à dégager les éléments les plus intéressants de la donnée, puis en faire quelque chose d’intelligent. Le défi est de créer une information à partir de la donnée, qui ne soit pas forcément dans la donnée elle-même initialement. 

Je passe beaucoup de mon temps à nettoyer la donnée. Comme c’est la base de notre travail, nous devons être rigoureux. La culture de la donnée n’est pas encore très présente en entreprise en général, même si on est plutôt avancés chez Decathlon. Il est rare de trouver de la donnée qui soit 100% propre et fiable. Il faut donc commencer par faire ce travail. Ensuite, nous rencontrons les personnes de l’entreprise qui ont des problématiques métier, puis nous essayons d’y répondre avec un algorithme qui leur permettra de mieux travailler. Pour cela, il y a une partie modélisation, puis compréhension des métiers et de leur langage. De plus en plus, dans notre équipe data, nous tentons d’être spécialisés par corps de métier pour justement répondre le plus efficacement possible aux demandes. 

Chez Decathlon, les enjeux data sont multiples. J’ai récemment travaillé sur un projet qui consistait à détecter les aberrations dans nos données poids/dimensions des articles. Si on trouve une chaussure qui mesure trois mètres par exemple, il y a aura de nombreuses conséquences. En magasin, la fiche de produit fera rire, mais ne sera pas très crédible. Sur le site web, la dimension de la chaussure induit le coût de la livraison, qui risque de vous sembler exorbitant si elle mesure trois mètres. Dans nos entrepôts, une partie du stockage est automatisée donc par défaut, la chaussure de trois mètres se verra refuser l’accès. Et en cas de transport à l’international, c’est une information qui peut aussi poser problème à la douane. Ces erreurs dans la donnée peuvent donc avoir des répercussions monétaires énormes. 

J’évolue essentiellement au sein de l’équipe qui traite de l’approvisionnement et des transports. Donc, je fais face justement aux problématiques internationales concernant les usines de production, les entrées des produits dans les pays, etc. Je travaille par exemple depuis 3-4 mois sur le projet est l’optimisation des flux de transports internationaux.

J’aime beaucoup le fait qu’il y ait des applications réelles derrière la technique.

J’ai des retours concrets sur ce que je fais et sur les optimisations apportées. Je suis toujours motivée de réfléchir aux problématiques, d’imaginer quel algorithme je vais utiliser. Il y a un aspect casse-tête théorique avec de vraies conséquences pratiques. 

Un domaine en pleine structuration

Quand je suis arrivée chez Decathlon, nous étions une petite dizaine au sein du data center. L’équipe était assez récente, très centrale sans vraiment de spécialité attribuée. Nous faisions essentiellement de l’analyse et nos projets étaient relativement limités. La frontière était encore floue entre la Data Science et la Data Analyse. Aujourd’hui en France, nous sommes une trentaine de Data Scientists chez Decathlon et nous avons des pôles internationaux. Dans chaque pays où nous sommes présents, il y a un petit pôle Data science qui traite des problématiques locales du pays et nous en France nous agissons sur les problèmes plus génériques. 

Notre corps de métier évolue très rapidement donc nous sommes très investis dans la formation continue. C’est indispensable de connaître les nouveaux outils, d’apprendre quels algorithmes fonctionnent le mieux etc.

Nous dédions une partie de notre temps de travail à la formation. Pour la partie technique, ce sont souvent des MOOCs en ligne, puis en interne, nous nous transmettons les articles pertinents entre Data Scientists.

Je pense qu’à terme, la qualité de la donnée va s’améliorer dans les entreprises. Aujourd’hui, c’est quelque chose sur lequel on passe du temps, il faut tout vérifier, s’assurer que l’on a rien oublié. En termes d’infrastructure, nous avons des projets et des objectifs ambitieux à l’échelle industrielle mais des serveurs qui ne suivent pas forcément. L’objectif dans le futur est vraiment de devenir meilleur techniquement. Pour l’instant, on réalise beaucoup d’expérimentations et de démonstrations de faisabilité (ou POC pour Proof of Concept), et à l’avenir il faut réussir à les implanter réellement de façon industrielle. À ce jour, nous sommes aux prémices, ce qui est très enthousiasmant pour la suite où nous pourrons être davantage impliqués dans la structure de l’entreprise. 

C’est vraiment le moment de se lancer dans la Data car la demande est énorme. Il y a beaucoup de choses à mettre en place et à structurer, c’est exaltant.

Les recruteurs ne cherchent pas de profils types, beaucoup de gens se forment ou apprennent en autodidactes pour se reconvertir dans ce domaine. Avec de la motivation, de la passion et un minimum de bagage technique, tout le monde peut tenter sa chance !

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Récupérer, structurer et analyser la donnée, le métier de Data Architect

Exploiter correctement les données du monde numérique est devenu un enjeu important en entreprise. Le métier de data architect fait partie de ceux encore rares sur le marché et très recherchés. Chez iProspect, Grégoire Gaillard est data architect et il relève essentiellement des défis marketing pour des clients divers. Il nous raconte son parcours et son quotidien. 

[À découvrir : la formation Data Architect au sein de notre école en ligne]

“Big Data” ou le mot magique

J’ai fait un BTS communication, puis un bachelor en marketing en école de commerce. J’y ai découvert le big data, ce qui m’a conduit à faire un master I en marketing digital et big data, puis un master en marketing, communication et stratégie d’entreprise. J’ai fait cinq stages dans des agences de communication et j’ai réalisé le dernier au sein d’une société de conseil outillée par l’IA intitulée Synomia. J’évoluais en tant que consultant marketing et data, et c’est à l’issue de ce stage que j’ai trouvé le poste de data architect chez iProspect où je suis aujourd’hui. 

J’ai très vite vu que la data représentait l’avenir. Je trouve qu’en comparaison des métiers de communicant ou de marketeur, la data a une portée plus rationnelle.

Les données  ne sont pas des paroles en l’air, c’est la preuve rigoureuse de ce que l’on avance. J’ai une très forte mémoire des chiffres, ce qui m’a beaucoup aidé dans ce domaine, malgré peu de compétences informatiques au départ. La mémoire de l’information est quelque chose de très important aujourd’hui, et c’est tout l’enjeu de mon métier finalement. 

Le poste que j’ai est encore relativement rare. À l’issue de mes études, j’ai reçu énormément d’offres d’emploi avant même d’avoir commencé à chercher. Néanmoins, c’était plutôt des offres de data scientist qui nécessitaient des compétences informatiques que je n’avais pas.

De par mon cursus, j’avais une préférence pour la dimension marketing par rapport à la collecte et au traitement des données. 

Finalement, je suis parti en vacances, j’ai pris du recul et en rentrant, j’avais de nouveau une offre. iProspect me proposait un poste de data architect, c’était exactement ce que je voulais.

Donc, il ne m’a fallu que quelques mois à la fin de mes études pour être embauché.

Il aura suffi que je mette le mot “big data” dans mon profil LinkedIn pour que les recruteurs viennent à moi plutôt que l’inverse. Tout s’est fait très naturellement à partir de là, c’était un peu le mot magique. 

Une lecture marketing de la data

Je suis maintenant chez iProspect. C’est une entité du groupe britannique Dentsu Aegis, spécialisé dans le webmarketing. Au sein de la boîte, je suis dans la branche data consulting. Le métier de data architect à proprement parler est encore un peu difficile à définir et à circonscrire.

Nous construisons une recommandation ou une réflexion stratégique de la donnée grâce à des data providers que l’on active.

En gros, le client vient avec un besoin, qu’il n’a pas toujours bien identifié, et nous nous lui expliquons quoi chercher, comment et où. Une fois que nous sommes accordés avec le client, mon rôle est d’activer ces fournisseurs de données, de collecter et traiter les données pour soumettre une stratégie pertinente sur la base de la problématique initiale. Les problématiques peuvent être diverses : chercher de la sémantique autour d’un sujet, générer du trafic, analyser les cookies liés au site du client, c’est très varié. Nous avons parfois des clients qui veulent lancer des campagnes de communication sans savoir comment s’y prendre, alors nous les orientons. Et il arrive aussi que nous soyons sollicités pour analyser le résultat de ces campagnes dans un deuxième temps. 

Je me tourne vers le data analyst et le data scientist pour qu’ils me fournissent les résultats dont j’ai besoin sur un sujet donné. Je peux aussi créer un logiciel, une infrastructure ou un robot qui va aller chercher ce que je lui demande. Puis, je décortique les données dans leur ensemble pour élaborer une structure de réflexion que j’exporte ensuite chez le client.

Mon quotidien est rythmé par différentes missions.

Je rencontre les entreprises qui me présentent leur travail, à l’inverse j’explique aux clients qui viennent à nous comment nous pourrions les aider. Il m’arrive aussi de participer à des ateliers pour me familiariser avec l’activité d’une entreprise. J’active les data providers, et ensuite j’établis une recommandation à partir des résultats. La dernière étape est d’aller présenter les résultats chez le client et de défendre ma recommandation et les décisions que cela implique pour l’entreprise. Je suis certains clients en continu et pour les projets plus ponctuels, ma mission s’étale sur environ un mois. 

Nous sommes trois data architects, intégrés dans une équipe data d’environ 35 personnes. En ce moment par exemple, je travaille pour un client dans les cosmétiques qui souhaite rajeunir sa cible. Il faut donc aller chercher sur Internet les caractéristiques de cette cible, comprendre comment elle s’exprime, ce qui l’attire, pour ensuite formuler une stratégie marketing. La diversité des missions est sans doute ce qui est le plus plaisant dans ce métier.

J’aime également le moment où il faut se creuser la tête à la lecture des résultats d’une étude.

Data Architect, un métier jeune

J’ai eu peur en arrivant sur le marché car mon profil correspond parfaitement au métier que j’exerce aujourd’hui, mais je me demandais si je n’étais pas arrivé un tout petit peu trop tôt. C’est très récent que l’on donne une dimension marketing à la donnée. Finalement, j’ai eu la chance d’être parmi les premiers postes et je suis témoin de la vitesse à laquelle ils évoluent. En quelques mois, ma quantité de travail a plus que doublé. 

Je pense que pour démarrer dans ce secteur d’activité, il est bon de commencer en tant que consultant data, ce qui permet déjà de se familiariser avec les chiffres, avec excel que nous utilisons beaucoup et de prendre du recul.

Ensuite, la particularité du data architect est la dimension marketing.

Il peut donc être intéressant d’avoir une expérience en agence au préalable, il faut savoir établir une recommandation, échanger avec le client, mais aussi gérer les périodes de rush et de stress. Nous dépendons beaucoup d’autres entreprises qui nous fournissent les données, mais aussi de nos collègues analyst ou scientist, puis des clients qui nous font des retours ou ont des requêtes spécifiques. Il ne faut pas avoir peur de rester tard le soir, et savoir garder la tête froide face aux chiffres. 

Comme iProspect est un grand groupe, nous avons la chance de recevoir régulièrement des invitations de la part de tous les acteurs de la data. Cela peut être des conférences sur l’évolution du marché, ou un data provider qui nous présente sa méthode de gestion de la donnée, nous sommes fréquemment sollicités. En interne, nous avons également des newsletters qui nous permettent de rester en veille permanente.

C’est indispensable de rester à jour, dans un secteur d’activité qui est en constante évolution et qui est encore en train de se définir. 

Le grand groupe au sein duquel j’exerce est aussi présent à l’international. Dans mon entité, nous sommes les seuls data architect à proposer une certaine offre à nos clients. Il y a quelques semaines, j’ai dû aller en Allemagne pour expliquer à une équipe qui ne proposait pas cette offre, comment je travaille et animer un atelier avec le client qui était intéressé. Ce qui fait qu’aujourd’hui je travaille sur un projet en allemand par exemple. Nous sommes encore très uniques et tout bouge très rapidement. Cette expérience que j’ai aujourd’hui, me permet d’apprendre beaucoup de connaissances et d’accumuler les contacts.

À terme, mon objectif personnel est de me servir de ce bagage pour gravir les échelons et obtenir un poste de responsable architect data. Pourquoi pas même à l’étranger. 

À lire ensuite :

Pourquoi c’est le moment de se lancer dans une carrière dans la data

Data analyst, scientist, architect, quelles différences ?

En quoi consiste vraiment le métier de data analyst ?

L’article Récupérer, structurer et analyser la donnée, le métier de Data Architect est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.

Analyst, Scientist, ou Architect, comment choisir sa spécialité en Data ?

Le domaine de la data est en plein essor, et pour cause, elle est une denrée précieuse que les entreprises ont intérêt à exploiter pour améliorer leurs performances.

Les experts qui collectent, analysent, structurent et interprètent les données détiennent aujourd’hui un pouvoir non négligeable.

Comme c’est un secteur d’activité en pleine  phase de construction, il est parfois difficile de s’y retrouver. Voici les clés pour choisir au mieux une spécialité data et s’y former. 

Les trois métiers data

S’il y a des compétences communes à tous les métiers en data, ils diffèrent aussi sur certains aspects. Très souvent, ils constituent ensemble le data center de l’entreprise et ces trois experts sont amenés à collaborer de façon étroite. Le point sur trois spécialités recherchées en science des données. 

Data Analyst

Le data analyst collecte et et traite les données de l’entreprise.

Par son analyse, il est le plus à même de comprendre et d’interpréter ces informations pour que l’entreprise en tire des conclusions pertinentes.

Au service de tous les départements de l’entreprise, le data analyst se doit de fournir des données rigoureuses, vérifiées et pertinentes, pour aider à la mise en place des meilleures stratégies possibles. Chronologiquement, le data analyst rassemble la donnée autour d’une problématique bien définie, établit des rapports à partir des résultats puis les présente de façon compréhensible aux destinataires. 

En résumé, c’est fait pour : 

  • Celles et ceux qui ont des affinités avec les maths
  • Qui se sont déjà un peu intéressés au développement ou veulent l’apprendre
  • Et qui veulent acquérir les bases de la science des données (potentiellement avec le projet derrière de se spécialiser sur l’un des deux métiers de data scientist ou data architect).

[À découvrir : la formation Data analyst]

Data Scientist

Le data scientist a une mission plus technique que le data analyst.

Il transforme les problématiques de ressources humaines, de productivité, de bien-être en problèmes scientifiques pour ensuite les résoudre à l’aide d’algorithmes.

Très à l’aise avec les outils de Big Data, le scientist doit être capable de créer ces algorithmes, de mettre en place les outils nécessaires pour faire des prédictions, pour collecter et traiter la donnée. Le data scientist travaille à la croisée de statistiques, de l’algèbre, des langages informatiques, ou encore de l’intelligence artificielle. Il sait également mettre en place et développer les modèles statistiques qui permettent d’utiliser les fonctionnalités de l’intelligence artificielle. C’est aussi lui qui peut apporter la donnée au data analyst. 

Le data scientist peut également se faire ingénieur Machine Learning s’il se spécialise dans les algorithmes d’apprentissages automatiques, champs d’étude de l’intelligence artificielle. Grâce à une approche statistique et des modélisations mathématiques, l’ingénieur met en place des algorithmes qui permettent aux ordinateurs et aux machines d’évoluer et de résoudre des problèmes en autonomie.

La formation Ingénieur Machine Learning d’OpenClassrooms délivre l’équivalent d’un bac+5.

En résumé, c’est fait pour : 

  • Ceux qui ont de bonnes bases en algorithmie et data analyse
  • Qui veulent travailler sur des problématiques de projection des données
  • Qui par la théorie veulent obtenir des résultats concrets.

[À découvrir : la formation Data scientist].

Data Architect

Il pense et met en place des infrastructures nécessaires au stockage et au traitement de la donnée. 

Il se positionne pour organiser la donnée de la façon la plus efficace et la plus accessible possible à ceux qui en ont besoin. Le data architect est au cœur de la conception des plateformes qui gèrent l’ensemble des données de l’entreprise et des modèles apportés par le data scientist. Ces plateformes doivent avant tout être fonctionnelles à court et à long terme. Cela constitue un défi permanent pour servir correctement les autres équipes data et les différents services de l’entreprise. 

En résumé, c’est fait pour :

Ceux qui veulent construire des architectures de données
Qui  veulent être l’interface data de toute l’entreprise
Ceux qui veulent avoir un rôle organisationnel.

Comment choisir ?

Thomas Dupouy a travaillé pendant une dizaine d’années en tant que consultant pour un groupe multinational de stockage et sauvegarde informatique. Il a alors acquis des notions en infrastructure et quand l’entreprise où il travaillait a été rachetée, il a sauté sur l’occasion pour se former à la data. Il a ainsi suivi la  formation data analyst puis data architect au sein de l’école en ligne OpenClassrooms.

Selon lui, la formation en data analyse est un bon moyen de découvrir l’univers de la data :

On y apprend un peu le BA-ba, c’est comme apprendre à lire et à écrire, c’est la base à connaître dans le domaine de la data.

« On apprend les outils et le traitement de la donnée. Cela peut être une fin en soi ou un très bon pré-requis pour se former ensuite plus spécialement comme data scientist ou data architect.” 

Les trois experts en data partagent :

  • le goût des chiffres
  • un esprit logique
  • la volonté de se creuser la tête sur des problèmes mathématiques
  • des notions en probabilités et statistiques.

Le data analyst a besoin d’un bagage technique moindre par rapport au data architect ou au data scientist. Le data architect est aussi appelé data engineer dans certaines entreprises. C’est un métier qui peut donc correspondre à des profils ingénieur, mais aussi marketing. Pour devenir data scientist, il faut avoir le goût des technologies car il est indispensable de maîtriser certains langages informatiques comme Python par exemple. 

Selon Thomas,

idéalement, il faut déjà être capable de monter des petites infrastructures, de traiter des données avec une certaine volumétrie, de manipuler un peu de code et d’avoir quelques notions de programmation.

« Quel que soit le parcours que l’on choisisse, je pense qu’il est bon d’être déjà familiarisé avec l’informatique en général pour démarrer. La formation data architect est assez proche des parcours consacrés au cloud par exemple. On se sert des mêmes technologies.”

Quelles opportunités sur le marché du travail ?

Les annonces dans le secteur de la data sont de plus en plus nombreuses. Comme l’explique Thomas, “les infrastructures legacy (NDLR les systèmes informatiques hérités du passé et de plus en plus obsolètes aujourd’hui face à l’émergence du cloud) sont en déclin aujourd’hui et ce sont les outils de Big Data que les entreprises recherchent. Aujourd’hui, il y a aussi beaucoup d’entreprises qui n’ont pas la connaissance ou la maîtrise de ces outils et qui pourraient beaucoup mieux fonctionner. »

Le marché n’étant pas encore saturé en terme d’experts data, on peut trouver des offres avec des salaires très attractifs

À l’issue de ses deux ans de formation chez OpenClassrooms et de deux mois de stage comme data architect, Il a justement été embauché en CDI chez Capgemini Infrastructure en tant que chef de projet architecture. “Ils n’avaient pas encore le terme data dans leur nomination mais cela correspond à un poste de data architect en terme de mission. Je démarre en septembre donc je ne sais pas encore à quels clients je serai affecté mais a priori ils sont au service de grands comptes comme EDF, Air France, Total, etc. Je découvrirai par la suite quels sont les besoins associés à quels  budgets.”

Un plus pour la notoriété des organismes diplômants

Les formations OpenClassrooms de data scientist et data architect sont élaborées en partenariat avec l’école CentraleSupélec et la formation de data analyst avec l’école ENSAE-ENSAI. Deux écoles qui sont des références en la matière et qui sont évocatrices aux yeux des recruteurs.

Je pense que les grands groupes sont très sensibles à ces références”, précise Thomas. 

Le domaine de la data est un univers en pleine évolution et qui fait sens dans le contexte numérique actuel. Ses métiers sont accessibles à des profils variés, qui exigent néanmoins une appétence pour les chiffres et les outils informatiques de base.

À mesure que les entreprises se dotent de départements data à part entière, les recruteurs cherchent de plus en plus à recruter des experts. Alors pourquoi ne pas se lancer ?

Pour aller plus loin :

Pourquoi c’est le moment de se lancer dans une carrière dans la data

En quoi consiste vraiment le métier de data analyst ?

Récupérer, structurer et analyser la donnée, le métier de Data Architect

 

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En quoi consiste vraiment le métier de data analyst ?

De plus en plus d’entreprises se dotent d’une équipe data aujourd’hui. Le data analyst est le maillon de la chaîne qui rassemble les données pertinentes et les fournit aux équipes qui en ont besoin. Les enjeux sont nombreux pour interpréter, comparer, comprendre et donc ajuster un service ou un produit.

Kévin est data analyst depuis sept mois au sein de la start-up Spendesk. À la croisée entre code, statistiques et business, il nous raconte son métier.

Un profil polyvalent

J’ai un profil un peu atypique dans le domaine de la data. Je me suis d’abord formé comme ingénieur, puis j’ai obtenu un double diplôme avec une école de commerce.

J’ai toujours été attiré par l’informatique et la technologie. Durant mon cursus universitaire, j’ai souvent choisi les options qui s’en rapprochaient le plus.

Mes expériences professionnelles étaient davantage tournées vers la finance, puisque j’ai réalisé des stages dans des fonds d’investissement destinés aux start-up. Plus particulièrement, les start-up qui s’intéressaient justement à la gestion de la donnée.

Mon premier vrai contact avec la data a eu lieu au cours d’un autre stage de quelques mois au sein de la BNP. C’était différent de ce que je fais aujourd’hui, puisque c’était un grand groupe et ma mission en tant que stagiaire était toute relative, mais j’avais néanmoins une position équivalente à celle d’un data architect. 

Ce sont ces stages qui m’ont donné envie de travailler au sein d’une start-up. Je pensais que la data serait un bon moyen de mettre à profit mes capacités d’analyse et les compétences acquises en école d’ingénieur. La data est un secteur en plein essor, les données sont partout, il y en a de plus en plus et c’est un enjeu énorme que de savoir les analyser correctement. Particulièrement pour des jeunes entreprises qui démarrent, qui ont besoin de recul et de références chiffrées. C’est pour cela qu’il y a également des outils de plus en plus puissants qui sont développés, ce que je trouve très intéressant. 

À l’issue de mes études, je tenais donc à travailler au sein d’une start-up. Je voulais vraiment voir croître une entreprise et prendre part à cette évolution. Je cherchais un poste avec un minimum de technique, tout en sachant que je ne suis pas développeur non plus.

Au fil de mes recherches, il est apparu que le métier de data analyst me correspondait bien et que de plus en plus d’entreprises cherchaient à se constituer une équipe data.

C’est la raison pour laquelle je pense que même en tant que junior, et sans trop d’expérience en data, j’ai pu trouver un poste. Le marché est très ouvert actuellement. Même aujourd’hui en étant en poste, il m’arrive de recevoir des offres. Les opportunités se multiplient dans ce secteur.

Des journées au rythme des demandes et des besoins

Depuis sept mois, je suis donc chez Spendesk en tant que data analyst. C’est une start-up qui a été créée il y a un peu plus de trois ans et qui propose aux entreprises de prendre en charge la gestion de leurs dépenses. La mission est de simplifier tout le processus de gestion comptable. À mon arrivée, nous étions 55 employés et aujourd’hui nous sommes plus d’une centaine. La start-up se porte bien et elle est soutenue par un gros fond d’investissement européen. 

Ma principale mission en tant que data analyst est de faire en sorte que les équipes aient accès aux données dont elles ont besoin.

Je travaille donc aussi bien avec l’équipe produit, que l’équipe ventes, l’account manager, l’équipe financière ou même les fondateurs lorsqu’il faut remonter certaines informations générales sur l’entreprise. C’est très transversal. Je me dois de transmettre de la donnée qui soit valable donc vérifiée et pertinente au regard de la problématique de l’équipe qui fait la demande. 

Mon travail s’organise principalement autour de plusieurs axes. 

Tout d’abord, je travaille sur les tableaux de bord des différentes équipes : cela consiste à mettre à disposition des chefs d’équipe les Indicateurs clés de performance (KPI en anglais). Ces indicateurs sont des données, que l’on définit ensemble et qui permettent ensuite de se positionner stratégiquement pour un objectif donné, comme améliorer la satisfaction client, générer du trafic, ou augmenter ses ventes, par exemple. 

En collaboration avec le data ingénieur et le data scientist, nous travaillons aussi sur les infrastructures, pour les optimiser au maximum les outils dont nous nous servons. Il arrive aussi que je travaille sur des analyses plus ouvertes afin de soumettre des rapports aux équipes. Dans ce cas, c’est à moi d’aller chercher la data que je pense pertinente pour essayer de comprendre pourquoi un client n’utilise plus tel outil par exemple, et ensuite faire les recommandations nécessaires. À ce niveau, on croise aussi bien des données qualitatives en interviewant le client et des données quantitatives grâce au GRC (l’ensemble des outils de la gestion de relation client).

Nous sommes une équipe data de cinq personnes : deux data analysts, un data scientist, un data ingénieur qui s’occupe de l’architecture et une personne qui supervise l’équipe qui a aussi un rôle de data architect.

Les journées et les semaines sont assez variables en fonction des projets en cours. Néanmoins, il y a toujours un moment dans la journée que je dédie aux requêtes au sein de l’entreprise.

J’essaye aussi régulièrement d’échanger avec les chefs d’équipe pour discuter autour de leur tableau de bord, voir comment le mettre à jour et l’optimiser. Ensuite, je dois délimiter aussi des temps sans interaction où je me concentre vraiment sur les analyses

En ce moment par exemple, nous travaillons à mettre en place un nouveau tableau de bord pour l’équipe support. C’est l’équipe qui répond aux questions des entreprises clients. L’objectif est de savoir si nous sommes suffisamment efficaces dans les retours que nous faisons aux clients, de comprendre pourquoi un outil est plus utilisé qu’un autre, de savoir quel pourcentage de support, d’aide on apporte à nos gros clients par rapport aux plus petits, pour ensuite équilibrer nos services.

Des défis en constante évolution

Le vrai défi dans l’analyse est de conserver un esprit critique et une rigueur dans ce qu’on présente.

Il faut réussir à pousser suffisamment loin pour pouvoir tirer des conclusions qui ont du sens. Dans un deuxième temps, il faut s’assurer que la personne à qui est adressée l’analyse puisse la comprendre et s’y référer. Tout l’enjeu est vraiment de mettre en place les outils nécessaires pour que les équipes puissent ensuite être les plus autonomes possible. C’est la dimension qui est particulièrement enthousiasmante pour moi dans ce métier, car on se doit d’être curieux et de comprendre le métier de chacun pour être le plus pertinent possible et anticiper les besoins

Je pense qu’à terme, l’équipe data va grossir et se structurer davantage. Chaque data analyst pourra alors avoir une spécialité, il y en aura un qui travaillera pour la partie produit, un autre pour les ventes par exemple, en ayant un vrai domaine d’expertise chacun. Ce sont les perspectives d’évolution que j’imagine. Comme le métier change beaucoup en ce moment, j’essaye régulièrement de déjeuner avec les équipes data d’autres start-up à Paris. Nous discutons de comment est structurée leur équipe, de nos problématiques communes, ou des nouveaux outils.

Ensuite, au sein de ma boîte, nous prenons aussi le temps de nous former régulièrement aux nouveaux logiciels. Je dirais que c’est finalement la curiosité qui est la qualité principale à cultiver en tant que data analyst, au-delà des exigences techniques du métier. 

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Maman, salariée et étudiante : la reconversion de Sandrine

Étudier, travailler et s’occuper de sa jolie marmaille…
Est-ce possible ?

La réponse est OUI ! Avoir des enfants et un job à temps plein n’empêchent pas de réussir une formation OpenClassrooms. 

Pa contre, une bonne organisation est essentielle pour tenir sur le long terme.

Mais il n’y a pas de “bon moment” pour entamer une reconversion professionnelle, et à trop vouloir attendre, parfois on ne se lance jamais. 

[À lire : Reconversion professionnelle, les étapes clés]

L’histoire de Sandrine Linise montre bien qu’il est possible de se former tout en continuant à s’occuper de ses enfants et en travaillant à côté. Ses conseils pourraient bien vous inspirer pour franchir le cap.

Un parcours atypique 

Sandrine a 43 ans, est salariée à temps plein de nuit, freelance en développement web et inscrite à la formation développeur web dans l’école en ligne OpenClassrooms.

Elle a trois enfants, dont une petite fille de 5 ans. Son parcours est atypique : depuis longtemps, elle rêvait de se reconvertir et d’apprendre à coder.

J’ai commencé à m’intéresser au développement web il y a douze ans. A l’époque je n’y connaissais rien, mais j’ai quand même aidé mon mari à lancer son site Internet et j’ai adoré l En cherchant des solutions, j’ai donc fait mon premier site sans avoir aucune notion de code.

Intriguée, Sandrine commence à se former seule en ligne et se lance en freelance en 2011. Elle décroche quelques missions mais est contrainte d’arrêter la formation lors de la naissance de sa fille. En parallèle, elle travaille de nuit en tant qu’aide soignante dans un centre d’autistes. Pas facile de concilier tant de casquettes !

Une organisation bien ficelée

En 2015, Sandrine décide de reprendre une formation en développement web. Après un congé parental d’un an, elle monte un dossier pour obtenir un financement. Qui n’arrivera que trois ans après… En 2018, elle débute sa formation à distance chez OpenClassrooms, alors qu’elle est désormais maman de trois enfants. Elle continue de travailler de temps en temps à la création de sites internet pour ses clients.

Aujourd’hui, mes journées sont réglées comme du papier à musique : je m’occupe de ma fille entre 16h30 et 19h, puis je pars travailler jusqu’à 7h du matin. La nuit est parfois agitée. A mon retour, j’accompagne ma petite à l’école, puis je travaille à ma formation toute la matinée. Je prends une vraie pause en début d’après-midi. 

« Je travaille au centre d’autistes alternant une semaine de trois jours de travail et une semaine de quatre jours de travail. Mais même si je peux dormir la nuit, il m’arrive de faire des nuits blanches pour mes missions freelance.”

Concilier vie pro et perso : on y arrive

Comment mener de front tant de projets sans négliger sa vie personnelle ? Sandrine respecte son planning bien rempli, s’octroie des moments de repos et profite de sa fille dans l’après-midi. 

Je prépare mon calendrier minutieusement. C’est difficile de s’y tenir, mais on y arrive ! Parfois, il y a des contretemps, cela ne se passe pas comme prévu. Alors, on se retrousse les manches et on trouve une solution. 

« Le fait d’étudier en ligne permet une grande flexibilité. On peut adapter ses horaires, travailler à son rythme et, à terme, se reconvertir pour profiter davantage de la vie. Même s’il y a des sacrifices à faire aujourd’hui, je sais pourquoi je les fais.”

[À lire : En quoi la formation OpenClassrooms est-elle flexible ?]

Les conseils de Sandrine

  • Parlez de votre projet à votre partenaire et trouvez des solutions ensemble au quotidien.
  • Continuez de vivre une vie « normale » : le repos, les amis, les loisirs vous permettent de continuer sans vous épuiser.
  • Ne loupez pas le coche ! Il n’y a pas d’âge pour se reconvertir et se former à un nouveau métier.
  • Pensez “long terme » : le fait de se projeter permet de ne pas baisser les bras et de rester motivé. 

Les histoires de parents heureux et reconvertis sont nombreuses. Une bonne organisation et beaucoup de motivation sont les atouts de ceux qui réussissent à concilier leur vie familiale et leur projet de reconversion. À vous de jouer ! 

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Comment grandir en tant que mentor ?

Depuis quelques années, le mentorat prend une place de plus en plus prégnante dans la vie de l’entreprise : accompagnement, mutualisation des compétences, hyperconnectivité, partage de savoir-faire, les bénéfices sont nombreux.

Chez OpenClassrooms, chaque étudiant est suivi par un mentor tout au long de son parcours et jusque dans sa recherche d’emploi. Les fonctions du mentor sont multiples et l’échange se fait dans les deux sens, comme la trajectoire de Jordane Lacroix en témoigne.

[Vous aussi, postulez en tant que mentor]

Venu au mentorat de façon naturelle

Jordane, mentor depuis 3 ans au sein de l’école en ligne OpenClassrooms, est spécialisé dans le design UX/UI et le front-end : “J’ai une formation de communication visuelle. Aujourd’hui le design est une spécialité qui s’étend dans beaucoup de domaines, on est amené à toucher au code si on fait du design d’interface par exemple. J’interviens sur la formation développeur web car les premiers projets sont consacrés à la partie front-end, et sur la formation UX design qui est sorti récemment.”

Jordane se dit touché par les valeurs de pédagogie et de transmission, il donne le sentiment d’avoir toujours accompagné son entourage quand il le pouvait. Il raconte : “Le mentorat, c’est une longue histoire pour moi car en soi, j’ai le sentiment d’en faire depuis toujours. À l’adolescence, au début de l’informatique, j’ai été amené à dépanner des proches puis par bouche-à-oreille, on m’a recommandé dans des cercles de plus en plus élargis pour donner des cours sur Photoshop et en html/css ».

J’ai vite constaté que la pédagogie était un domaine qui me plaisait, l’idée de transmettre, d’aider… Je trouve cela important.

Une mission bien précise…

Chez OpenClassrooms, le mentor joue un rôle central dans le parcours des étudiants qui effectuent leur apprentissage à distance et donc en autonomie.

Ma mission est de donner des pistes et de répondre à des problématiques que les apprenants rencontrent pendant la semaine. Ils sont souvent seuls face à leur projet donc j’interviens parfois pour les recadrer quand ils s’écartent un peu trop du sujet.

Il prend aussi pour mission de préparer les étudiants à leur insertion sur le marché du travail à l’issue de leur formation : “J’essaie aussi toujours d’anticiper l’après OpenClassrooms et donc d’imaginer les attentes d’un recruteur ou d’un potentiel client. À partir du brief initial, il m’arrive d’apporter des éléments nouveaux pour permettre à l’étudiant d’aller plus loin s’il le souhaite. À court terme, c’est la réussite au jury qui importe mais ensuite je sais qu’on va les attendre au tournant, donc il m’importe de les préparer à rencontrer des personnes qui seront peut-être beaucoup plus exigeantes ou sévères”.

Les étudiants se posent beaucoup de questions quant à leur insertion sur le marché du travail : est-ce que je vais devenir freelance, est-ce que je vais intégrer une agence ? On discute, j’essaye de les aiguiller là-dessus.

Et des qualités particulières à avoir

Lorsque l’on demande à Jordane quelle est la qualité indispensable à acquérir pour être un bon mentor, il répond immédiatement l’empathie. « Je pense que l’empathie est indispensable pour se mettre à la portée de chacun ».

En même temps, il faut trouver le bon curseur entre l’empathie et la nécessité de recadrer et tirer vers le haut. Tout doit être dit mais avec bienveillance, pour ne pas braquer l’apprenant.

« La pédagogie évidemment est le cœur de la mission, c’est important pour faire passer des notions compliquées. Par exemple, j’utilise souvent des analogies ou des images dans d’autres domaines que l’informatique pour expliquer quelque chose d’abstrait.” 

Le mentor est aussi là pour motiver les étudiants, les rassurer et leur donner confiance : “Certains étudiants partent de loin donc il ne faut pas oublier de les encourager régulièrement. Parfois, on va avoir tendance à comparer le rendu de projet d’un apprenant par rapport à un autre alors que ce qui est intéressant et ce qu’il faut regarder ce sont les trajectoires et progrès individuels.”

Un échange à double sens

Comme l’explique Jordane, le mentor n’est pas un professeur donc il n’y a pas de rapport de hiérarchie et finalement l’échange se fait dans les deux sens.

Le mentorat est tout aussi bénéfique pour le mentor lui-même :

Pour moi, c’est un peu un laboratoire, cette expérience de mentorat.

« Il y a des risques que je ne peux pas forcément prendre sur des projets clients, par manque de temps ou d’opportunité ».

Le fait de tester des choses avec les étudiants me permet de continuer à apprendre, à expérimenter.

« J’ai aussi des élèves qui me présentent parfois des outils que je ne connais pas, même si j’essaye de faire de la veille régulièrement donc c’est très enrichissant car je les intègre ensuite dans mon travail au quotidien.” 

En tant que mentor, il est en effet indispensable de rester à jour dans son domaine d’expertise, ce qui permet de se lancer des défis : “On n’a pas toujours la réponse immédiatement aux questions des étudiants mais ce qui me plaît c’est de rester toujours proactif, d’aller chercher des données sur le terrain. Par exemple, aux États-Unis, ils sont en avance sur certains sujets. Donc, je regarde souvent des vidéos, des articles en anglais pour rester à jour et apporter aux étudiants les dernières technologies ou méthodes qui arrivent sur le marché pour qu’ils soient le plus compétitifs possibles face aux recruteurs ensuite. Cela permet de rester à l’écoute aussi de mon côté et de me former constamment aux nouveautés.”

Dans une autre mesure, l’expérience de mentorat de Jordane a eu des répercussions très positives pour lui dans la gestion de son activité. Il explique : “Je bénéficie aussi de la bonne image d’OpenClassrooms parce que cela parle à beaucoup de personnes ».

Dans ma profession, ce rôle de mentor m’a ouvert énormément de portes, des nouveaux contrats, un réseau. J’ai eu le sentiment d’être plus légitime dans mon domaine et donc d’avoir plus confiance en moi ensuite.

« Le fait de devoir communiquer très souvent avec les apprenants, on acquiert cette soft skill qui est très importante. Cela permet d’être ensuite moins réservé dans d’autres cercles professionnels. J’ai la certitude qu’aujourd’hui je communique globalement mieux et cela m’a beaucoup aidé. Le mentorat m’a donné un nouvel élan, c’est très positif.”

La mentorat relaté par Jordane s’apparente finalement à une expérience positive et enrichissante à bien des égards, basée sur des valeurs de respect et de bienveillance. Et vous, seriez-vous prêt à mettre votre expertise au service des étudiants OpenClassrooms ?

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Interview : que recherchent les recruteurs chez les candidats Tech ?

Nicolas Macherey a fondé WakeOnWeb en 2015. Implantée sur trois sites à Paris, Lyon et Aix-en-Provence, cette entreprise de près de 40 salariés conçoit des solutions numériques et technologiques sur-mesure pour les entreprises.

Pour conserver leur expertise face aux changements permanents du monde du numérique, les professionnels de la Tech doivent rester en veille permanente et être curieux des dernières innovations. C’est ce que nous explique Nicolas au travers de sa propre expérience.

Un processus de recrutement ouvert

WakeOnWeb est une société encore jeune, qui a connu des hauts et des bas. S’il y a eu un peu plus de turn-over lors des périodes de creux, aujourd’hui les équipes sont bien en place, soudées et compétentes.

La stratégie de recrutement de Nicolas ? Miser sur la diversité : “J’ai fait un pari en fondant WakeOnWeb, car c’est difficile d’être bien formé sur toutes les technologies. »

Alors, j’ai employé des gens qui étaient soit des développeurs expérimentés, soit des passionnés autodidactes. Certains n’avaient même pas le bac ou étaient de jeunes diplômés tout juste sortis  d’école. Ils avaient l’avantage d’être encore modelables.

« Personnellement, je connais les formations en ligne OpenClassrooms depuis le début, mais je laisse les gens choisir leur formation lorsqu’ils font leur contrat de professionnalisation ou leur formation continue. J’ai eu beaucoup d’alternants qui venaient de formations différentes : SupInfo, écoles d’ingé, OpenClassrooms…

Bien que les compétences techniques soient indispensables pour proposer la meilleure expertise aux entreprises, Nicolas valorise d’autres éléments aussi  : “Nous sommes une société de service donc nous devons nous adapter aux circonstances du client et dans ce contexte, être capables de monter en compétences rapidement, de s’adapter, de rebondir. C’est très important quelles que soient les bases techniques que l’on a eues au départ. C’est pour cette raison que je valorise les profils variés. »

Je n’ai pas d’a priori, je ne regarde jamais les CV avant de faire entrer les candidats en entretien, que je juge d’abord sur leurs valeurs humaines.

« Puis dans un deuxième temps, ils passent un test de personnalité et un test technique qui est adapté en fonction du profil. On ne donnera pas le même test à un architecte développeur qu’à un junior en reconversion par exemple. »

Un apprentissage permanent

Les technologies du numérique sont en constante évolution et de plus en plus nombreuses.

Pour rester compétitifs, les professionnels de la tech n’ont d’autre choix que de continuer à apprendre et à se former tout au long de leur carrière.

Nicolas croit aux vertus de la formation interne et externe :

Notre métier est d’apporter l’innovation technologique dans les entreprises donc si on n’encourage pas la formation continue auprès de nos collaborateurs, on se laisse dépasser très rapidement.

« Au sein de WakeOnWeb, on a un programme de formation interne qui est encadré par nos architectes. Le marché évolue constamment, donc on sélectionne avec nos collaborateurs les technologies qu’on trouve   intéressantes à connaître et maîtriser. Le but n’est pas de devenir spécialiste de tout non plus, on évalue de façon concrète l’expertise qui est la plus pertinente pour nous.”

Incorporer la formation au sein de l’entreprise demande une organisation du travail adaptée, qui peut sembler complexe à mettre en place à première vue.

Cependant, elle représente indéniablement un investissement sur le long terme.

Lorsqu’on sélectionne une nouvelle technologie, on laisse les employés se dégager du temps pour se former à partir des ressources ou des outils qu’ils choisissent, en échange de quoi ils rédigent une présentation ou un article qui peut être profitable à tous sur la techno en question.

« Cela représente un coût mais c’est indispensable dans notre domaine. Par conséquent, nous avons mis en place ce système en début d’année et nous verrons si cela perdure”, explique Nicolas.

Quel que soit le langage informatique que l’on maîtrise le mieux, ce qui est inhérent à tous les métiers du numérique est la curiosité d’apprendre perpétuellement pour rester innovant. Finalement, c’est sans doute la qualité première recherchée par les recruteurs dans le domaine, à l’image de Nicolas.

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Pourquoi c’est le moment de se lancer dans une carrière dans la data

La vague du Big Data se profile à l’horizon. Si vous voulez surfer sur elle, vous devez être capable de naviguer dans la data pour en tirer des information utiles.

Glassdoor vient de nommer le métier de data scientist meilleur métier aux États-Unis pour la troisième année consécutive. Bloomberg a rapporté une augmentation de 75 % des offres d’emploi pour ce poste. De plus, data analyst, data scientist et data architect font partie des meilleurs emplois émergents sur LinkedIn et le nombre d’offres augmente chaque jour. Ces statistiques dépeignent un tableau très convaincant.

En d’autres termes, c’est le moment idéal pour devenir spécialiste de la data.

[À lire : Data analyst, scientist, architect, quelles différences ?]

[À découvrir : notre offre de formation à distance]

Des défis auxquels font face grandes comme petites entreprises

Presque toutes les organisations qui existent aujourd’hui sont alimentées d’une manière ou d’une autre par des données. Chaque seconde, des pétaoctets (soit 1000 teraoctets) de données sont générés. Et toutes les entreprises devraient se servir de la data pour définir leurs prochaines actions. P

Pour de plus en plus d’entreprises dans le monde, la complexité et la quantité de données non-structurées représentent un défi préoccupant.

Avec l’arrivée de l’Internet des Objets (IdO), et l’application accélérée de la technologie à tous les secteurs, les postes dans la data sont florissants.

  • Les entreprises de services financiers gèrent d’énormes quantités de données transactionnelles historiques et en temps réel pour lutter contre la fraude et fournir des services de banque en ligne ou mobile automatisés.
  • Le secteur de la santé tente de visualiser des données génomiques et d’en extraire des informations pour soigner les maladies chroniques comme le cancer et le SIDA en utilisant la data science à différentes étapes de la recherche de traitement.
  • Les géants du numérique comme Microsoft, Google et Facebook utilisent les données comportementales de leurs utilisateurs – qu’on appelle power analytics – pour mieux comprendre et améliorer leurs opérations de vente.

Le monde des affaires est aujourd’hui centré sur les données, c’est pourquoi les recruteurs recherchent des candidats qui les comprennent. Des professionnels de la data avec la bonne optique peuvent extraire des informations qui accéléreront la croissance d’une entreprise.

En prenant en compte l’ampleur de la data et le manque de data analysts qualifiés dans le monde, faire carrière dans ce domaine vous assure un emploi aujourd’hui et pour les années à venir.

D’après un rapport de LinkedIn, les postes de data scientist ont augmenté de 650% depuis 2012, mais il n’y a pas assez de professionnels qualifiés pour répondre à cette demande.

Perspectives de carrière

Lorsqu’on parcourt les sites d’offres d’emploi, on trouve de nombreux et très divers postes d’analyse de données. Toutes ces options de carrière peuvent être déroutantes et vous pouvez vous sentir dépassé.

Pour y voir plus clair, considérez qu’il y a trois domaines principaux dans la data :

  • L’analyse de data
  • L’analyse marketing
  • L’analyse décisionnelle (ou business intelligence analysis)

Alors que le rôle de data analyst comprend plus d’analyse et vous demande de travailler comme analyste spécialisé, les postes d’analyse marketing et d’informatique décisionnelle ont une plus grande part de stratégie commerciale.

En travaillant à un poste orienté sur la stratégie, vous utiliserez vos compétences analytiques pour trouver les défauts et les inefficacités du marché, définir une stratégie et une approche afin d’y répondre et d’améliorer l’entreprise. Avec le temps, cela peut vous mener à des postes de product management.

Si vous souhaitez vous spécialiser, le poste de data analyst vous fait pénétrer dans le monde dynamique de la data science. Vous pouvez vous spécialiser dans plusieurs compétences comme l’analyse de texte, l’analyse de discours, le traitement d’images ou de vidéos, l’analyse prédictive, la modélisation, etc. Vous apporterez une valeur immense à l’entreprise tant la demande de spécialistes est grande.

Comment réussir en tant que data analyst ?

Le trait de caractère le plus important pour devenir un data analyst qualifié est la curiosité. Vous devez avoir un désir profond d’analyser des problèmes, de développer la capacité à élaborer des questions stratégiques et à tester des hypothèses. Un goût pour le calcul et une bonne attention aux détails sont essentiels.

Il vous faut également acquérir plusieurs compétences techniques et comportementales. Voici ce qu’il vous faudra maîtriser pour devenir data analyst, marketing analyst ou business intelligence analyst :

1. Le code et les outils analytiques

  • Python/R data science stack (numpy, pandas, matplotlib, sklearn)
    SQL
  • Les tableaux Excel
  • Jupyter Notebooks

2. Data wrangling

  • L’analyse exploratoire de données, leur nettoyage, leur transformation et leur formatage
  • La programmation de scripts ETL

3. Visualisation et communication de données

  • Générer des rapport
  • La visualisation de graphiques et diagrammes (ggplot, matplotlib, etc.)

4. Pensée par association

  • Poser les bonnes questions
  • Réaliser une analyse commerciale
  • Découvrir les zones de croissance sur le marché

5. Machine learning

  • Apprentissage supervisé
  • Apprentissage non-supervisé

6. Expérimenter le design

  • Modéliser des phénomènes
  • Distiller des hypothèses testables

Je l’admets, c’est une liste impressionnante, en particulier pour un débutant. Mais avec du temps et la bonne formation, vous serez en route pour une belle carrière, armé des compétences en demande sur le marché du travail pour les années à venir.

Pourquoi ne pas vous lancer ?

Dans tous les domaines, la réussite est fonction de nombreux facteurs : l’opportunité, le travail, le timing, la bonne formation. Pour un data analyst, la fonction ressemblerait à :

Data analyst compétent = f (demande sur le marché, désir d’améliorer ses compétences et ses connaissances, timing, __________)

Vous pouvez remplir le reste vous-même.

OpenClassrooms répond à la demande en matière de data grâce à des formations complètes en data. Découvrez notre formation diplômante data analyst en un an.

À propos de l’auteur

Harshit Tyagi est ingénieur data à Elucidata. Développe des algorithmes pour des chercheurs de Yale, UCLA et du MIT. Il est aussi mentor chez OpenClassrooms.

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Qu’est-ce que Salesforce ? Pourquoi devenir développeur Salesforce ?

Par : Nora Leon

Dans cet article, nous vous présentons les services proposés par Salesforce et nous vous expliquons pourquoi faire une formation Salesforce developer est un choix de carrière stratégique. Salesforce est une entreprise mondiale à la pointe de la technologie des logiciels cloud CRM, qui fournit des solutions pour des entreprises de premier plan dans le monde entier.

Qu’est-ce que cela signifie ? Toute entreprise a besoin d’interagir avec ses clients. Et pour prospérer, elle doit le faire efficacement. Ces interactions couvrent notamment le marketing, la vente, le commerce, le support client. Pour que tout soit simple, les entreprises ont besoin d’un logiciel intelligent conçu et utilisé par des professionnels qualifiés.

C’est précisément ce service que Salesforce fournit. Salesforce « booste » chaque interaction entreprise-client pour ses clients, qui comptent plus de 150 000 entreprises de secteurs variés dans le monde. Parmi elles, Amazon Web Services, Virgin Media, Coca-Cola, Kuoni, Eurostar, Ocado et Aston Martin.

Le portefeuille de clients de Salesforce grandit chaque jour, ainsi que sa demande en matière de développeurs Salesforce qualifiés pour maintenir et personnaliser le logiciel pour chacun des clients.

Pour répondre à cette demande, OpenClassrooms et Salesforce ont collaboré afin de créer un parcours développeur Salesforce sur-mesure qui permettra d’acquérir les compétences nécessaires à une carrière en tant que développeur Salesforce – et qui vous préparera pour l’examen Salesforce Certified Platform Developer I.

Être développeur Salesforce certifié vous garantit d’être très demandé et vous assure une carrière stimulante dans le domaine de la technologie cloud CRM.

Alors, quels sont les détails de cette opportunité ?

La gestion de la Relation Client

Salesforce est une plateforme de gestion de la relation client (CRM). Chaque entreprise a besoin d’un CRM.

La gestion de la relation client est un mélange des stratégies utilisées par une entreprise pour gérer les interactions avec ses clients, afin de rester en contact avec eux et cultiver leur relation et leur loyauté de manière intelligente et professionnelle. Elle est également utilisée pour attirer de nouveaux clients potentiels vers l’entreprise.

Une plateforme CRM est utilisée pour faire correspondre le marketing aux objectifs de chiffre d’affaires et simplifier les processus. C’est un moyen de rassembler, d’analyser et d’utiliser des données commerciales à jour – y compris les données des ventes, du marketing, du service client et des réseaux sociaux – et de tout visualiser au même endroit.

C’est un outil commercial efficace, qui assure aux entreprises de ne jamais rater une information, une tendance ou une communication importante. Toute entreprise moderne qui n’utilise pas de plateforme CRM est largement désavantagée.

Cependant, il faut des compétences et une certification pour développer ces plateformes CRM. La formation développeur Salesforce d’OpenClassrooms vous permet d’acquérir ces compétences et de vous préparer à l’examen nécessaire pour obtenir la certification.

Un outil construit sur le cloud

Salesforce est basé sur le cloud, ce qui signifie que le logiciel est hébergé sur le cloud et qu’on y accède par internet.

Une plateforme cloud CRM permet un développement plus rapide, un accès fluide, une utilisation facile et des mises à jour automatiques. C’est un outil rentable et évolutif, fiable, avec des hauts niveaux de sécurité, de flexibilité et une compatibilité accrue.

L’International Data Corporation (IDC) a rapporté que les dépenses des entreprises en matière de services et d’infrastructures cloud continueront d’augmenter en 2019 et prédit une croissance de 23 % par rapport à 2018. Sur la période 2017-2022, elle prévoit une augmentation du marché chaque année, pour atteindre une dépense pour les services cloud publics de 370 milliards de dollars en 2022.

Cela signifie que la demande en matière d’emplois pour maintenir et développer ces services est également en augmentation.

Le modèle commercial de Salesforce est construit de telle manière que des personnes peuvent être embauchées via Salesforce pour travailler pour les entreprises qui utilisent sa plateforme. Vous pouvez également travailler pour les entreprises qui utilisent Salesforce directement, ou bien en tant que développeur Salesforce freelance. Afin d’être compétitif et de réussir sur la plateforme Salesforce, vous aurez besoin des certifications appropriées. Le parcours développeur Salesforce d’OpenClassrooms vous donnera accès à cette opportunité.

En savoir plus sur Salesforce

Le CRM et l’informatique cloud font partie de la révolution technologique qui a un eu un impact considérable sur les entreprises. Salesforce conserve sa réputation impressionnante de leader du marché des plateformes CRM.

L’entreprise apporte 5 éléments essentiels aux entreprises :

  1. L’innovation – Salesforce se place loin devant les autres fournisseurs de CRM ce qui donne à ses utilisateurs un avantage notable par rapport à leurs concurrents pour évoluer et conserver leur avance. Avec Salesforce, la technologie de l’information devient la technologie de l’innovation.
  2. Une plateforme – Tout est rassemblé au même endroit et la plateforme intègre de nombreuses applications différentes grâce à AppExchange. Cela permet une expérience utilisateur simple, intuitive et pratique et rend possible l’innovation.
  3. De la productivité – Salesforce propose sa plateforme Lightning, entièrement personnalisable, qui a fait ses preuves en tant que moteur d’efficacité et de croissance.
  4. De la mobilité – La plateforme fonctionne sur mobile et possède une application sophistiquée, ce qui signifie que les employés de l’entreprise peuvent l’utiliser partout, à tout moment, créant des possibilités illimitées en matière d’efficacité.
  5. Une communauté – Salesforce compte plus de 2,3 millions de membres qui forment une communauté solide appelée « Trailblazer », composée d’individus, de partenaires et de développeurs qui utilisent tous la plateforme et partagent leur expertise et leurs expériences. Cet accès à la communauté est un avantage immense pour votre carrière.

 

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Pourquoi manager par la confiance ?

Dans le monde des entreprises, la course à l’innovation se joue aussi à l’échelle humaine. En termes de management, l’objectif est généralement d’intégrer ce cercle vertueux alliant performances économiques et bien-être des salariés, mais comment faire ?

Élodie Baussand et Arnaud Regnier, associés du cabinet Tenzing Conseil, nous en disent plus sur l’attitude à adopter en s’appuyant sur l’un des piliers de leur organisation : le management par la confiance.

Le management par la confiance, c’est quoi ?

« C’est un management basé sur l’équilibre entre confiance et accompagnement. D’un côté, nous faisons confiance à nos consultants en leur donnant des responsabilités. De l’autre, nous les accompagnons dans le bon déroulement de leurs missions. » – Arnaud Regnier

Cette culture managériale est le principal des cinq piliers sur lesquels s’est bâti le cabinet. La confiance est l’essence même de l’organisation. Cette notion se traduit par une réelle volonté de faire prendre conscience à chacun des employés des forces dont ils disposent, de les utiliser et d’avoir un regard objectif sur qui ils sont, ce qu’ils sont en mesure de faire.

« Cette introspection est surtout valable pour les axes d’amélioration » nous explique Élodie, « manager par la confiance, c’est avant tout amener chacun des employés à adopter un point de vue critique quand il le faut ». Une quête d’objectivité qui intègre plus largement une véritable « culture du feedback » à part entière, primordiale quel que soit le style de management. Les retours sont des maillons essentiels au processus d’amélioration. Ils sont synonymes de transparence et in fine : source de confiance.

En quoi est-ce un management différent ?

Pour réellement fonctionner, les notions de « confiance » et « différence » doivent se retrouver dans toutes les strates de l’entreprise. En bonne entreprise sociale, Tenzing les intègre dans sa mission première : « réduire les inégalités » et y fait référence dans chacun de ses piliers.

Pilier n°1 – La promotion des talents

Tenzing favorise la reconnaissance des jeunes de milieux modestes « en leur donnant accès aux métiers du conseil », commence Élodie, « un véritable tremplin, car dans cette culture fortement élitiste, les origines sont souvent un facteur d’exclusion ».

Pilier n°2 – Un mode de recrutement ouvert

« Nous avons pour cela mis en place un recrutement véritablement ouvert, nous permettant de passer d’une culture du diplôme à celui de la compétence » poursuit-elle, « chez nous, cela se matérialise par un ou deux recrutements de profils atypiques »

Pilier n°3 – Un modèle de gouvernance partagée

Point très important : Tenzing est une entreprise hybride détenue par sa propre association. « Cela nous permet de faire cause commune, d’acter que nous partageons une même vision de ce que doit être l’entreprise : plus redistributive et prenant sa part à la résolution de problèmes de société », explique-t-elle.

Pilier n°4 – Le partage de la valeur financière

« 100% des bénéfices redistribuables le sont pour des associations », termine-t-elle. De quoi donner plus de sens à son travail et se différencier du schéma classique d’une entreprise.

Pour impliquer ses équipes, Tenzing mise tout sur la mixité et les parcours très différents de chacun. « L’idée ici est d’entretenir la personnalité dans le management pour ne pas entrer dans une logique de formation. Celle des cabinets de conseil plus traditionnels, dans lesquels tout le monde serait dans le même moule. Cette différence a aussi de la valeur pour nos clients » conclut Arnaud.

Après « faire confiance », le véritable second mot d’ordre chez Tenzing est : « cultiver la différence », et ce à tous les niveaux : dans le recrutement, dans la gouvernance et jusque dans les actions.

Objectifs et mise en place

Quelles que soient les particularités de chaque maillon, tous doivent remplir leurs rôles de manière optimale. « L’idée est donc d’établir de vrais liens entre managers et managés » explique Élodie, « il est impératif que les employés comprennent que les managers sont là pour les accompagner, les aider à se développer » et non pas les contrôler à la tâche ou les sanctionner.

« Le management par la confiance, c’est avant tout avoir confiance en son management » – Élodie Baussand

En plus du solide combo « mission première + cinq piliers » cela passe aussi par le bon sens des managers et le respect des règles de management classiques :

  • L’écoute
  • L’exemplarité
  • La considération
  • La remise en question
  • La transparence dans les actions et la communication, etc.

Ainsi réglés, les rouages du management par la confiance ont tout pour bien tourner. Attention toutefois, il existe des risques à prendre en compte avant de se lancer.

Comment assurer le succès de cette approche ?

Le management par la confiance passe par une réelle conduite du changement et de nombreuses expérimentations. « On ne s’arrête pas à de petites bonnes intentions de type bienveillance, droit à l’erreur, non, il faut aller chercher la vraie subsidiarité » explique Arnaud.

« Il faut accepter que chacun prenne ses responsabilités, et ça, c’est dur ».

Manager par la confiance, signifie donc mettre son ego de côté, accepter de déléguer… accepter de faire confiance.

« L’un des autres risques dans ce type de management, c’est aussi la possibilité que certains employés prennent mal les retours », ajoute Élodie. Quand une entreprise applique une stratégie de management par la confiance, la personnalité de chacun est directement exposée. C’est pourquoi il se crée des liens plus forts que d’habitude. Quand tout va bien, c’est parfait, mais en cas de coup dur, cela peut faire mal.

« On est en confiance, on exprime ses opinions, on exprime qui on est, mais il ne faut pas oublier qu’on reste dans un environnement professionnel. » – Élodie Baussand

Enfin, la confiance accordée laisse également place à une forme de liberté qui peut poser problème à certains profils demandant à être encadrés. Pour eux, la liberté peut se transformer en pression et devenir source de stress. Pour pallier à ces risques, l’entreprise doit donc impérativement déployer des capteurs permettant d’évaluer tout au long de l’année le moral des troupes. Chez Tenzing, un système interne d’évaluation à 360 entre collaborateurs a été mis en place. Ils utilisent des outils comme Bloomin pour mesurer et agir rapidement si besoin.

« Il est également bon d’organiser trois à quatre événements par ans », ajoute Arnaud, « organisés par des prestataires extérieurs si possible, car cela reste le meilleur moyen de libérer la parole et non plus la conditionner au sein même de l’entreprise ».

Pour conclure

Le management par la confiance permet aux entreprises d’ouvrir de nouvelles portes et de saisir de nouvelles opportunités en révélant des talents. C’est un terreau particulièrement fertile si, à l’image de Tenzing, les notions de « confiance » et « différence » sont réellement prises en compte dans toutes les strates de l’entreprise : de la mission première et les piliers jusque dans le recrutement, les actions et la considération des risques.

Les entreprises mettent beaucoup de modèles collaboratifs et agiles en place pour casser les silos, mais tout cela n’est vraiment efficace que si on manage correctement par la confiance. Nous le constatons tous les jours sur le terrain, c’est un sujet qui plaît, mais qui est très difficile à mettre en œuvre. Il y a une tendance, toutefois les entreprises n’y sont pas encore. – Arnaud Reigner

Le management par la confiance n’en serait-il qu’à ses débuts ?

 

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De militaire à scrum master, la reconversion de Cédric

Cédric a passé 5 ans en tant que Sergent dans l’Armée de Terre, principalement en tant qu’instructeur pour les jeunes recrues. La voie militaire était logique dans son parcours car son père était légionnaire. Depuis sa reconversion, il a pu évoluer sur des missions de product management. Il est aujourd’hui comme Scrum Master au sein de la Banque Internationale de Luxembourg.

Depuis, Cédric est également devenu mentor chez OpenClassrooms pour accompagner des étudiants et renforcer ses compétences transverses.

Comment est-il passé de militaire à Scrum Master et mentor ? Portrait.

Comment as-tu réalisé ta reconversion ?

J’ai loupé le coche de reconversion avec l’armée : je n’avais pas réalisé les démarches à temps pour la préparer. Ainsi, j’ai pris les devants avec Pôle Emploi pour ouvrir les droits. J’ai pu bénéficier d’une subvention de la région pour la formation développeur web sur OpenClassrooms.

Souvent, on est redirigé vers des organismes de formation traditionnels, délocalisés par rapport aux zones d’habitation et des zones d’affectation du régiment. En termes de transport, c’est loin d’être l’idéal et les conditions ne sont pas optimales.

C’est là qu’OpenClassrooms, solution 100% en ligne, s’avère intéressante, quel que soit notre lieu de résidence.

Je connaissais déjà OpenClassrooms avant cette reconversion : lorsqu’on n’est pas en opération avec l’armée, il y a beaucoup de temps d’attente en métropole. Je suivais des cours chez OpenClassrooms pendant ces moments au régiment. Pour toute personne qui se pose la question de se reconvertir, c’est une façon de découvrir le site.

Quels défis as-tu relevés en formation ?

L’autonomie, c’est une autodiscipline qu’on a déjà en étant militaire et le développement de nos compétences est aussi inscrit dans le code du soldat. Cela ne nous change pas du quotidien.

En temps que militaire, on passe beaucoup de temps à faire des formations tout au long de notre carrière. Dans le cadre de ma reconversion, c’était plaisant car la formation OpenClassrooms est en adéquation avec les besoins du métier : c’est adapté à ce que les recruteurs recherchent.  

J’ai particulièrement apprécié l’aspect pratique, concret, et opérationnel des projets.

 

Comment OpenClassrooms t’a-t-elle accompagné ?

OpenClassrooms m’a vraiment accompagné de manière personnalisée. Des gens sont là pour vous, il y a un vrai suivi.

Petite anecdote : mon mentor était aussi un ancien militaire. Cela m’a encore plus stimulé : je me suis dis que s’il avait réussi, je pouvais aussi y arriver.

C’est une grande famille, même si on ne porte plus l’uniforme. Savoir que des mentors sont des anciens militaires nous rassure vraiment.

Quels conseils donnerais-tu à un militaire qui souhaite se reconvertir ?

L’armée est une belle expérience de vie et apporte de vraies valeurs. En revanche, il est difficile de transposer les compétences techniques militaires dans le domaine civil ; même si mon rêve d’enfant était de devenir mercenaire, j’ai vite compris que cela n’était pas possible.

Beaucoup de militaires ne vont pas vers les métiers du numérique car ils ne les connaissent pas ou peu et peuvent avoir peur de l’inconnu.

Mais au contraire, est intéressant et possible de les exercer.  Les reconversions traditionnelles sont chauffeur de poids lourd ou agent de sécurité. Si on veut être ambitieux, et évoluer de manière professionnelle, il faut choisir les métiers qui ont le vent en poupe et de l’avenir. De plus, on peut acquérir des compétences et des connaissances tout en étant soldat.

Pour réaliser et réussir une reconversion, on peut appliquer certaines règles présentes dans le code du soldat : autodiscipline, introspection, rigueur. Les “soft skills” qu’on obtient à l’armée permettent aussi de réussir une formation. Il faut s’appuyer dessus et oser s’ouvrir à des perspectives nouvelles.  

À propos des auteurs de cet article

Aurélie est Mentorship Manager chez OpenClassrooms. Elle fait partie de l’équipe qui sélectionne les meilleurs profils de professionnels et accompagne les mentors tout au long de leur expérience chez OpenClassrooms, leur garantissant une bonne collaboration.

 

 

Antoine est responsable partenariats chez OpenClassrooms. Il fait partie de l’équipe qui permet aux publics éloignés de l’emploi (notamment les jeunes décrocheurs, vétérans de l’armée ou encore réfugiés) d’accéder à une formation pour faire avancer leur carrière.

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Comment maximiser l’impact social d’une entreprise ?

La prise de conscience de la responsabilité sociale des entreprises (RSE) et le soulèvement général de l’économie sociale et solidaire (ESS) ont propulsé la notion d’impact social sur le devant de la scène entrepreneuriale. Beaucoup de structures cherchent désormais à maximiser cette conception, qui demeure, pour certains, relativement lointaine et floue.

De quoi parle-t-on vraiment ? Comment se lancer ? Comment avoir un impact réellement positif et le maximiser ?

Nous en avons discuté avec trois experts en la matière : Élodie Baussand et Arnaud Regnier, associés chez Tenzing Conseil et Mathieu Nebra, fondateur d’OpenClassrooms.

Qu’est-ce que l’impact social d’une entreprise ?

L’impact social correspond à l’ensemble des conséquences d’ordre sociales, sociétales et environnementales des actions d’une entreprise sur ses parties prenantes et sur la société dans son ensemble.

Que ce soit dans le mouvement gilets jaunes ou dans les discussions sur le climat : les entreprises ont un rôle à jouer – Arnaud Regnier

La notion d’impact social est en partie le résultat de cette convergence d’initiatives menées aujourd’hui en faveur du développement durable. Un point que de nombreuses entreprises cherchent donc à favoriser pour leur image, mais aussi pour leur avenir. En fonction des missions, des ressources et priorités de chacune, les démarches peuvent varier avec plus ou moins d’efficacité.

Les cas Tenzing Conseil et OpenClassrooms

Tenzing Conseil et OpenClassrooms sont deux entreprises dites « sociales ».

Elles sont détenues par leur propre association et leurs statuts indiquent une mission première d’ordre social, leur permettant de prendre part à leur manière à l’ESS. Elles jouent donc, malgré une notion de profit, dans la même cour que les associations non lucratives, les fondations, les mutuelles et les coopératives. Autrement dit, pour des entreprises, elles ont un impact social maximal.

Tenzing est un cabinet de conseil qui a été créé avec la volonté de « favoriser la reconnaissance des jeunes de milieux modestes en leur donnant accès aux métiers du conseil ». Dans ce domaine particulièrement élitiste, les origines sont souvent facteur d’exclusion.

Ils ont pour cela mis en place un recrutement ouvert, permettant de passer d’une culture orientée diplômes à une culture orientée compétences, mais ce n’est pas tout. « En tant qu’entreprise à impact social et sociétal, comme OpenClassrooms, nous avons un mode de gouvernance partagée et 100% de nos bénéfices sont redistribués », nous explique Élodie.

Le modèle de Tenzing se trouve entre l’entreprise classique et celui de l’ESS. On veut montrer qu’on peut avoir une activité qui allie sens et performance – Arnaud Regnier

Côté OpenClassrooms, l’engagement prend une place tout aussi importante. « Nous n’avons qu’une mission : rendre l’éducation accessible » explique Mathieu.

Nous sommes l’une des premières entreprises françaises à l’inscrire dans nos statuts et à faire évoluer la gouvernance en fonction – Mathieu Nebra

L’idée derrière cette démarche ? Prendre en compte la mission dans les prises de décision de l’entreprise, à tous les niveaux, qu’il s’agisse de décisions opérationnelles ou stratégiques.

« La mission première exige beaucoup d’attention. Elle n’existe que si elle est partagée par les actionnaires et les équipes. De plus, la simple question « cela correspond-il à la mission » permet d’apporter des réponses simples et débloquer toute sorte de situations » – Mathieu Nebra

À l’arrivée, l’impact social de ce type d’entreprise atteint des sommets. Si bien que la notion d’« enjeux RSE », telle que perçue dans les entreprises classiques « n’a ici plus vraiment lieu d’être » explique Mathieu.

Comment mesurer l’impact social d’une entreprise ?

L’idée ici est de mettre en place un processus permettant de comprendre puis valoriser les effets générés par l’entreprise dans sa mission. Le champ d’évaluation peut donc être très étendu, la taille de l’impact variant en fonction des engagements de l’entreprise. Cela devient d’autant plus compliqué que l’impact peut concerner différents types de bénéficiaires : les bénéficiaires physiques directs, des zones territoriales définies, ou même la société dans son ensemble. C’est souvent ici que se perdent les entreprises..

Voici les principales méthodes référencées par le conseil supérieur de l’ESS en 2011. Elles sont toujours valables aujourd’hui et sont positionnées selon deux dimensions : leur visée interne ou externe et le nombre de critères pris en compte.

Il en manque un grand nombre et il serait périlleux de détailler toutes les méthodes ici. Retenez simplement qu’il y a l’embarras du choix et que pour être pertinent il devra être porté en fonction de trois critères précis :

  • Le périmètre : il est impossible de tout évaluer de manière exhaustive, il faut donc choisir et faire la lumière sur un ou plusieurs points bien précis.

  • Les ressources : quelle est la durée dont je dispose ? Quels sont mes moyens financiers, matériels, humains ?  Il faut baser sa méthodologie sur des outils réellement accessibles.
  • La raison et la cible : les motivations derrière l’évaluation sont-elles d’ordre interne (exemple : renforcer la culture d’entreprise), ou d’ordre externe (exemple : convaincre des investisseurs). Répondre à cette question permet déjà de mieux cerner la dimension de la démarche.

Il n’y a pas de meilleure méthode ou de méthode unique, c’est à l’entreprise d’élaborer celle qui lui correspond le mieux. Quel que soit le moment auquel elle décide de se lancer, les enjeux ou la finalité de l’évaluation. En fonction de la méthode choisie, le processus mis en place devra cependant respecter ces trois étapes clés :

1) Définir ce qui compte : ou la définir le nombre de critères d’évaluation. Ils permettent au passage d’afficher les valeurs auxquelles l’entreprise se réfère.

2) Mesurer : en utilisant des indicateurs qualitatifs ou quantitatifs spécifiques, qui visent à préciser les critères retenus et leur faire gagner en objectivité.

3) Communiquer : en partageant les résultats en interne, en externe, et en tirant un maximum d’enseignements des actions menées.

Comment maximiser l’impact social ?

Il s’agit d’intégrer un cercle vertueux dans lequel tout le monde est gagnant : l’entreprise, les parties prenantes, les collaborateurs et la planète – Arnaud Regnier

Conseil n°1 : avoir une mission sociétale liée au business

Il y aura ainsi plus de chances que la démarche plaise aux collaborateurs en quête de sens, ce qui favorisera leur implication. « Beaucoup d’entreprises sont dans une politique RSE incarnée par un fond philanthropique ou du mécénat, et financent des projets qui n’ont rien à voir avec leur business. Ce n’est pas une mauvaise chose, mais les salariés peuvent se sentir moins concernés par la cause » nous assure Arnaud.

Et l’enjeu est double, car côté investisseurs, le principe est le même. « Citizen Capital s’intéresse uniquement à des entreprises qui ont un objet social en rapport avec leur mission. Ils demandent des infos sur l’activité financière, sociale, demandent un reporting annuel. C’est l’un des premiers fonds d’investissement à faire cela en France » ajoute Mathieu.

Conseil n°2 : bien cibler ses partenaires

Une fois la mission clairement définie, il devient plus simple de trouver une thématique. Cela permet notamment d’accéder à un réseau de partenaires déjà en place et d’y apporter sa contribution. « Cela nous évite de nous disperser, permet d’avoir un vrai effet levier et maximise notre impact » nous explique Élodie, « L’idée derrière étant aussi de mettre en relation les acteurs associatifs pour maximiser le leur ».

« Toutes les entreprises qui voudraient s’engager peuvent trouver des structures avec lesquelles travailler. On peut même aller loin dans les connexions, il faut prendre le temps d’y réfléchir » – Arnaud Regnier

Conseil n°3 : laisser venir ses partenaires

« Cartographier des acteurs de l’ESS et trouver ses potentiels partenaires n’est pas simple pour une entreprise qui veut mener des actions » poursuit Arnaud, « d’où l’intérêt de cibler et de laisser venir à soi ». Une simple page dédiée sur le site peut attirer un grand nombre de projets solidaires, mais il faut tout de même communiquer dessus, notamment sur les réseaux sociaux.

Un autre type d’action est mené chaque année par Tenzing pour attirer les meilleurs partenaires : l’appel à projets. « Le nôtre s’appelle le Prix Tenzing » précise Élodie, « nous l’avons remis cette année à Sciences-Po en présence de Muriel Penicaud (ministre du travail) et Emmanuel Faber (PDG de Danone) ». Un temps fort pour les associations qui sont réellement mises en lumière,  mais aussi pour Tenzing qui valorise ainsi son modèle auprès de ses clients.

Ainsi les participants voient que d’autres voies sont possibles, c’est un événement militant – Élodie Baussand

Le prix Tenzing, une belle occasion de trouver des partenaires et de communiquer sur ses actions.

Conseil n°4 : obtenir des labels

Des labels comme B-Corp permettent de rendre visible l’action positive de l’entreprise – Elodie Baussand

Ce label vise à certifier l’impact des entreprises engagées. « C’est une reconnaissance internationale » ajoute Mathieu, « beaucoup de grandes entreprises connues pour leur engagement sont déjà labellisées et nous cherchons également à l’obtenir pour OpenClassrooms ».

Conseil n°5 : créer un comité d’impact

Une autre idée adoptée par OpenClassrooms dans laquelle il est question cette fois de faire évoluer la gouvernance de l’entreprise. « En plus des dirigeants, des investisseurs et des collaborateurs, notre comité d’impact réunit toutes les parties prenantes » explique Mathieu. Ainsi, l’avis des professeurs, mentors, étudiants, partenaires et représentants des autorités publiques sont pris en compte dans les décisions de l’entreprise.

Le comité d’impact n’a pas pouvoir de décision, mais il est autonome et peut interpeller lorsque l’entreprise dévie de sa mission. C’est très peu courant, je crois même qu’on est parmi les premiers en France – Mathieu Nebra

Conseil n°6 : mettre en perspective les résultats de l’impact

L’impact social d’une entreprise est une notion globale dans laquelle chacun des collaborateurs a une part qui lui revient. « Malheureusement, on peut difficilement constater directement le fruit de son action », nous explique Élodie, « en revanche on peut facilement constater le résultat d’un mouvement collectif. À l’entreprise de mettre en place des systèmes qui peuvent mettre l’impact en perspective et le rendre visible ».

Chez OpenClassrooms, cela se traduit à travers un compteur d’emplois créés. « Il est possible de compter de manière assez précise le nombre de jobs créés qui sont en lien avec nos formations. Nous avons donc installé un compteur flip-flap qui affiche le nombre et tient les comptes » explique Mathieu. Un moyen simple et efficace d’afficher un résultat au vu et au su de tous.

Pour conclure

La maximisation de l’impact social passe par la mise en place d’un terrain favorable au développement de l’aspect social. Il n’existe pas de méthode universelle, mais on peut s’accorder sur le fait qu’il existe un ensemble de démarches, plus ou moins complexes, basées sur l’implication et la transparence de chacun. Que l’on soit engagé par nature comme les entreprises « sociales » ou par envie pour les entreprises « économiques », tout le monde peut trouver son cercle vertueux et avoir un impact social significatif.

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Julien, à la conquête d’un métier qui lui correspond

Après avoir mis de côté ses prédispositions pour le graphisme au profit d’un emploi stable et sécuritaire dans l’industrie pharmaceutique, Julien Butty a repris sa carrière en main. Il se dans la formation Développeur PHP/Spmfony pendant près de deux ans chez OpenClassrooms et trouve un emploi dans une agence qui lui plaît avant même la fin de sa formation. Récit d’un parcours atypique mais tout en contrôle.

Stabilité versus passion

À la fin du lycée, Julien pense mettre à profit ses compétences créatives pour travailler dans le graphisme, mais tout ne se passe pas comme prévu : “Au départ, j’ai suivi un parcours assez classique, j’ai eu un bac ES puis je suis parti en BTS communication visuelle. J’avais une prédisposition pour le dessin mais suite à de mauvais choix, j’ai malheureusement raté ces études. Après un job d’été, j’ai eu l’opportunité d’obtenir un poste dans le domaine pharmaceutique : j’élaborais des solutions antibiotiques en suivant des étapes de préparation ».

Même si ce n’était pas ce que je souhaitais faire à la base et que j’avais l’impression d’avoir régressé en terme de compétences, le salaire était confortable et je suis resté près de quinze ans dans l’entreprise.

Julien se sent piégé dans son emploi sécuritaire qui ne correspond pas à ses envies et ressent le besoin d’évoluer. Il prend d’abord un congé sabbatique pour s’essayer à la vente immobilière mais cela ne lui convient pas davantage : “J’ai tenté ma chance mais ça ne correspondait pas du tout à mon caractère, je suis donc retourné auprès de mon employeur ».

J’avais en tête de revenir à mes premiers amours, mais mon diplôme était obsolète et le milieu du graphisme semblait saturé à ce moment-là.

« Au cours d’une discussion, une web designer m’a conseillé de me renseigner sur les formations de développement proposées par OpenClassrooms. Je souhaitais vraiment obtenir un diplôme reconnu par l’État donc la plateforme m’a séduit. Je viens de terminer la formation développeur d’applications PHP/Symfony. “

Une reconversion au timing impeccable

Julien conserve son emploi dans l’entreprise pharmaceutique en parallèle de sa formation. Malgré quelques périodes de pause, il a bouclé son parcours récemment et a opéré avec succès sa transition dans le domaine du développement digital et informatique.

Avant la fin de la formation, je ne me sentais pas forcément prêt à intégrer une agence mais j’avais mis à jour mon profil sur LinkedIn malgré tout. De nombreux recruteurs sont venus à moi, à qui je n’ai pas donné de réponse favorable jusqu’à ce que je tombe sur une agence qui semblait me convenir. Les entretiens se sont très bien passés, c’était bienveillant et ils m’ont fait passer un test technique ».

Mon manque d’expérience pouvait inquiéter un peu mais le fait de montrer que ma reconversion était une décision réfléchie a plu.

« J’ai donc intégré l’agence 4 mois avant la fin de ma formation chez OpenClassrooms, et pour l’instant je travaille sur deux projets qui m’ont été assignés : l’élaboration d’un CRM pour créer des contrats et l’accompagnement d’un bailleur social dans la résolution de problèmes et la création de nouvelles fonctionnalités. J’évolue tranquillement grâce au soutien de l’équipe et je suis vraiment satisfait.”

Aujourd’hui, Julien est donc développeur back-end Symfony PHP alors qu’il n’avait pas de connaissances particulières en informatique initialement. Il a commencé son nouveau travail deux jours après la fin de son contrat avec son ancien employeur pharmaceutique. “Au départ, on a le syndrome de l’imposteur car on doit réaliser des choses que l’on ne sait pas faire. Mais dans le développement, l’assimilation de certains concepts prend du temps et ce sont des étapes normales à franchir ».

Il ne faut pas avoir peur, ni se décourager mais plutôt appréhender la résolution de problèmes de code comme un jeu.

Pour aller plus loin :

L’interview de Julien sur le blog de l’agence Novaway pour laquelle il travaille.

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