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À partir d’avant-hierLe courrier des stratèges

Le Courrier des Stratèges soutiendra le printemps de la liberté d’expression à Perpignan

La ville de Perpignan (bien connue pour être le centre du monde) organise un printemps de la liberté d’expression, du 3 au 5 mai, au palais des congrès local. Nous soutenons cet événement…

Cet événement en vaut la peine. Tous les auteurs invités ne sont pas forcément notre tasse de thé, mais il faut savoir s’unir pour avancer. Ce peut être l’occasion de nous rencontrer sur place…

Toutes les informations sur cet événement sont ici

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Patrick Pelloux accusé d’harcèlement sexuel par une consœur de la technostructure sanitaire

Cheffe des maladies infectieuses de l’hôpital Saint-Antoine, Karine Lacombe, accuse Patrick Pelloux d’agression sexuelle et morale. L’accusation a été confirmée par Agnès Buzyn et Roselyne Bachelot. Pendant la crise du Covid, tout comme sa consœur Karine Lacombe, Patrick Pelloux a été régulièrement invité sur les plateaux de télévision, faisant partie de cette « garde rapprochée » de médecins de la technostructure sanitaire connus pour leurs discours covidistes, enfermistes et anxiogènes. Si l’infectiologue Karine Lacombe s’était illustrée comme pro-confinement, l’urgentiste Patrick Pelloux, s’était prononcé en faveur de la vaccination obligatoire des enfants contre le Covid-19. Désormais, elle accuse l’urgentiste d’être un « prédateur  sexuel».

Dans un récent entretien accordé à Paris Match, Karine Lacombe a levé le voile sur les comportements inappropriés qu’elle aurait subis de la part de Patrick Pelloux. Karine Lacombe, médecin star de la technostructure sanitaire, accuse ouvertement Patrick Pelloux, une figure respectée dans le domaine médical, de comportements déplacés et d’agressions sexuelles. Après l’industrie cinématographique et le secteur militaire, c’est maintenant le domaine hospitalier qui est touché par le mouvement #MeToo.

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Une crise de l’emploi menace le Royaume-Uni, par Yves-Marie Adeline

En février dernier, faisant le bilan du Brexit, nous avions conclu que le vrai problème économique du Royaume-Uni n’est certainement pas dû au Brexit, qui lui a été plutôt favorable, c’est d’abord un problème social, dans la mesure où l’on y observe un déséquilibre croissant entre une métropole gigantesque et une périphérie encore plus laissée pour compte qu’en France. Ce déséquilibre vient de la place démesurée qu’a prise le secteur tertiaire aux dépens des deux autres, primaire (agricole) et secondaire (industriel).

Or, avec le développement accéléré de l’IA (l’intelligence artificielle), il se trouve que le secteur tertiaire va connaître une révolution sans précédent.

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Faillite de l’Etat : Macron et la macronie donnent l’exemple de l’avachissement

Mais pourquoi les Français donnent-ils si souvent le triste spectacle de l’avachissement, prompts à écumer de colère contre la caste, mais incapables de structurer une alternative politique crédible ? Bruno Le Maire vient de nous donner une réponse : parce que la caste elle-même est avachie, préoccupée par ses intérêts immédiats et incapables de fournir l’effort, d’obéir à la discipline d’une pensée à long terme. Ses mensonges sur la question du dérapage budgétaire en donnent une illustration parfaite : pourquoi se compliquer la vie à dire la vérité aux Français, quand on peut l’adoucir en leur mentant ?

Les événements de ces derniers jours montrent que Bruno Le Maire a ouvertement menti aux Français sur la situation des comptes publics. Les services de son ministère l’ont alerté à plusieurs reprises :

  • et sur l’état réel des comtptes publics
  • et sur l’effort à fournir pour les rétablir

Malgré ces alertes désormais documentées grâce au sénateur Husson, Bruno Le Maire a minimisé la gravité de la situation, et il a lourdement menti (en divisant par deux…) l’ampleur de l’effort à fournir pour rétablir les comptes.

Tout ceci pose la question de l’insincérité de la loi de finances, mais aussi des raisons pour lesquelles la macronie ment aussi éhontément au peuple.

Dans cette capsule, je reprends les raisons potentielles de ces mensonges.

La plus flagrante est celle de l’avachissement de la caste, qui donne un terrible exemple au peuple :

  • mieux vaut vivre dans le mensonge que dans la réalité
  • mieux vaut profiter en trichant que faire des efforts en disant la vérité
  • mieux vaut jouir à crédit que souffrir sans contracter de dettes
  • mieux vaut être populaire en caressant le peuple dans le sens du poil que de dire la vérité

Au fond, comme disait un proverbe : le poisson pourrit toujours par la tête.

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Etats-Unis : des cas de grippe aviaire découverts chez les vaches laitières

Aux États-Unis, les autorités agricoles du Texas ont récemment annoncé la découverte de cas inédits de grippe aviaire chez des vaches laitières, une situation qui suscite des préoccupations dans le secteur agricole et alimentaire. Pour le moment, selon les autorités sanitaires américaines, il n’y a aucun risque de transmission à l’homme, néanmoins les enquêtes épidémiologiques continuent.

Selon les autorités agricoles du Texas, des cas de grippe aviaires ont été détectés chez des vaches dans deux exploitations laitières. Ces cas, jugés sans précédent dans le pays, ont été détectés à la suite de tests effectués sur du lait non pasteurisé collecté dans des exploitations laitières du Texas et du Kansas.

L’influenza aviaire hautement pathogène (IAHP) détectée chez les vaches

Le mercredi 27 mars, les autorités agricoles texanes ont annoncé la détection de cas de la grippe aviaire, influenza aviaire hautement pathogène (IAHP), chez quelques vaches dans deux exploitations laitières du Kansas et du Texas.

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Taxer les super-profits ? En voilà une bonne blague…

Face à l’effondrement en cours de nos finances publiques, à la recherche d’au moins 50 milliards € d’économies, beaucoup de Dr Folamour de l’équilibre budgétaire ont une idée lumineuse : taxer les super-riches, et spécialement les super-profits des méchantes grandes entreprises qui profitent de la situation. Lorsque, en 2022, le sujet vint sur la table, on parlait alors de 12 milliards de recettes possibles, et même plus. Ce n’était que justice : ceux qui profitent du capitalisme de connivence doivent payer leur écot à la cause de l’Etat. Mais, l’affaire a fait “pschitt”. Le gain final est inférieur à 4 milliards. C’est que : taxer les super-profits, tout le monde est pour. Mais un super-profit, c’est quoi au juste ? Le pouvoir n’est pas une affaire d’intention, mais de compétence.

C’est comme toujours en France, on dépense trop. Et pour éviter de se serrer la ceinture, on invente des cagnottes cachées dans lesquelles il suffirait de puiser pour vivre heureux et sans souci. La théorie des “super-profits” n’y échappe pas.

Mettons les choses au clair : toute réglementation génère ses super-profits. Lorsque le gaz russe a été banni par une réglementation limitant le libre-échange avec la Russie, mécaniquement, les Etats membres de l’UE ont fabriqué des super-profits pour les énergéticiens qui se sont mis à profiter de la hausse des prix. Sans ce choix de sanctionner la Russie, on ne parlerait pas de super-profits dans l’industrie.

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COVID : un journaliste du NYT accuse les scientifiques de “tromperie” sur la thèse de la fuite de laboratoire

Jusqu’à présent, il est impossible de confirmer définitivement l’origine du virus qui a provoqué la pandémie du Covid-19.Ancien journaliste du New York Times, Donald McNeil Jr accuse un groupe d’éminents scientifiques de l’avoir « clairement induit en erreur » concernant l’origine du Covid-19. Selon Donald McNeil Jr, ces experts ont minimisé la possibilité d’une origine artificielle du virus, induisant ainsi en erreur les journalistes et influençant la couverture médiatique.

Plus de quatre ans après le début de la pandémie, l’origine du Covid-19 reste encore inconnue, bien que de nombreuses enquêtes aient été menées. La thèse officielle du gouvernement chinois reste encore aujourd’hui, celle d’une origine naturelle du virus : une zoonose issue de la chauve-souris ou du Pangolin. Une thèse citée dans le rapport de l’OMS publié en mars 2021, largement critiqué parce que les autorités chinoises ont été fortement impliquées dans sa rédaction. En juin 2023, l’Office of the Director of National Intelligence (ODNI) ou bureau du directeur du renseignement national, avait publié un rapport de 10 pages tant attendu, qui fournit de nouveaux détails sur les conclusions de la communauté du renseignement américaine, mais ne permet pas de déterminer de manière définitive si la source du coronavirus est liée à une zoonose issue de la chauve-souris ou du Pangolin ou à un incident survenu dans un laboratoire. Actuellement, Donald McNeil Jr, ancien journaliste du New York Times, a exprimé son scepticisme envers l’hypothèse d’une fuite de laboratoire après avoir été influencé par des virologues épidémiologiques de haut niveau. Selon lui, ces experts lui ont fait croire que la fuite en laboratoire était la théorie la plus plausible. McNeil Jr accuse ces scientifiques de l’avoir induit en erreur dès le début de la pandémie, ce qui a influencé la couverture médiatique et conduit à un débat étouffé sur les origines du virus.

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Dérives sectaires : l’article 4 n’aura pas lieu (pour l’instant)

Tout le monde a suivi les tribulations du projet de loi sur les dérives sectaires, qui visait à supprimer la liberté d’expression en matière médicale et sanitaire, sous le prétexte de lutter contre les sectes et leurs gourous. On se souvient qu’un député de la majorité (réputé de l’aile gauche de celle-ci) avait d’ailleurs déclaré en séance que Didier Raoult était un gourou et que la loi aurait permis de le faire taire si elle avait existé… Finalement, la Commission Mixte Paritaire s’est réunie aujourd’hui pour tenter de trouver un accord sur ce fameux article 4 : en vain. Le texte est donc reparti pour une navette parlementaire…

Il n’aura pas fallu une heure, aujourd’hui, pour que la Commission Mixte Paritaire qui devait trouver une rédaction commune de l’article 4 entre le Sénat et l’Assemblée Nationale constate qu’elle ne pouvait réussir… et décide de se séparer. On se souvient que, en cas d’adoption d’un projet de loi dans des termes différents entre le Sénat et l’Assemblée, une commission mixte regroupant sept sénateurs et sept députés peut proposer un texte de compromis commun pour éviter une deuxième lecture du texte. Au vu des débats sur l’article 4, cette solution a été tentée. Elle a échoué.

Pour la proche du couple Macron, Sabrina Agresti-Roubache, il s’agit aussi d’une défaite personnelle, puisqu’elle était en charge du texte.

Certains pressent le gouvernement d’inscrire le texte en deuxième lecture à l’Assemblée dès la semaine prochaine. Le répit pourrait donc être de courte durée pour les amoureux de la liberté de penser et d’expression.

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Eric Denécé : “Pourquoi l’OTAN mène une offensive contre la liberté d’expression en France”

Eric Denécé, fondateur du CF2R, intervenant régulier du Courrier des Stratèges, vient d’être attaqué au Sénat par Nicolas Tenzer, représentant des intérêts américains en France. Tenzer appelle officiellement à la “répression” contre les prétendus “pro-Poutine” en France, ce qui fait froid dans le dos. Visiblement, l’OTAN et ses sbires sont bien décidés à faire taire toute opposition dans notre pays. Denécé s’explique devant nous.

Plusieurs éléments expliquent l’agressivité et la bouffée d’autoritarisme des Otaniens en France :

1° la défaite en Ukraine est imminente et est, au mieux, une affaire de mois, mais plus vraisemblablement de semaines

2° derrière la défaite en Ukraine, c’est le naufrage de la stratégie hégémonique des néo-conservateurs américains auquel nous assistons

3° face à la défaite, une réaction agressive est classique

4° cette affaire est l’occasion de souligner le rôle de l’Aspen Insitute dans l’influence américaine, y compris en France

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Révolution souveraine et libertarienne: l’intégrale de notre série

La semaine dernière, nous nous sommes attardés sur ce que pourrait être une révolution en France dans les semaines ou les mois à venir. Comment peut-elle survenir ? par quelles causes ? comment peut-elle se dérouler ? la violence révolutionnaire est-elle inévitable ? sur quel “programme” peut-elle se fonder ? Retrouvez ici tous nos contenus sur ce sujet.

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En quoi consiste vraiment notre proposition de révolution libertarienne et souverainiste ?

Dans le cadre de notre semaine révolutionnaire, nous avons souhaité expliquer notre vision et la décliner autour de quelques grands principes clés pour la rendre plus lisible. Nous vous exposons donc ce soir le projet que nous portons pour relever notre pays. Il s’agit, bien entendu, de pistes à suivre, à enrichir, à débattre… inspirées par une orientation libertarienne de la société où l’ordre spontané est contraint le moins possible par la verticalité du pouvoir étatique.

Pour dresser une synthèse du projet libertarien ET révolutionnaire que nous dégageons, quelques lignes directrices méritent d’être reprécisées :

  • la France doit quitter le sillon atlantiste et s’émanciper de l’OTAN pour construire sa propre défense souveraine
  • la France doit quitter la pente multilatéraliste et fédéraliste européenne
  • l’euro produit un effet retard sur les termes de la compétitivité française et avachit progressivement les Français en les habituant à vivre au-dessus de leurs moyens
  • le retour à une monnaie nationale ne doit pas compromettre la logique gaullienne d’ouverture au libre-échange et à la modernisation
  • la sortie de l’euro peut donc s’accompagner d’une dévaluation initiale
  • en revanche, une fois l’euro abandonné, les entreprises doivent s’ajuster à la concurrence internationale pour pouvoir exporter
  • cet ajustement passe en particulier par un retour à l’équilibre des comptes publics et par une réduction massive de la bureaucratie
  • le droit du travail doit revenir à une rationalité simple et cesser d’être un outil de désindustrialisation
  • l’ajustement des termes de la compétitivité dans le domaine du travail doit passer par des négociations d’entreprise
  • la mise en place du chèque scolaire doit permettre de créer une école d’excellence pour tous

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Que dit le nouvel article 4 de la loi sur les dérives sectaires ?

Aujourd’hui, l’Assemblée Nationale a finalement adopté une nouvelle version de l’article 4 de la loi sur les dérives sectaires. La version adoptée provient d’un amendement parlementaire qui distingue quatre critères “objectifs” pour caractériser le nouveau délit. Dans la pratique, cette version paraît promise à un avenir éphémère, tant sa rédaction est boîteuse. Nous vous disons tout sur le sujet ici.

Nous avons régulièrement alerté, depuis le mois de novembre, sur les dangers de l’article 4 de la loi sur les dérives sectaires. en montrant que son véritable objectif n’a jamais été de lutter contre les sectes, mais bien d’empêcher les débats sur les politiques sanitaires imposées à la faveur de l’urgence, notamment dans le cas du COVID. D’ailleurs, l’un des intervenants de la majorité, hier, dans l’hémicycle, n’a pas caché que l’objectif de ce texte était tout simplement de faire taire des Raoult en puissance.

La nouvelle rédaction du texte détermine, en principe, 4 critères “précis” pour caractériser une infraction que le Conseil d’Etat avait jugée attentatoire à la liberté d’expression.

Ces 4 critères sont définis dans l’exposé des motifs de l’amendement :

  • il faut que l’appel à l’abandon de soins visent des personnes atteintes d’une pathologie précise
  • il faut que l’abandon du traitement soit présenté comme bénéfique pour la santé
  • il faut que les conséquences de cet abandon soit graves
  • il faut le risque pour la santé soit avéré

Ces 4 critères excluent donc des poursuites contre un Raoult qui lui prônait le recours à un médicament là où la médecine officielle proposait du Doliprane. D’une certaine façon, c’est plutôt la politique sanitaire du gouvernement durant le COVID qui pourrait être visée.

Reste que le texte finalement adopté, ne dit pas exactement la même chose que l’exposé des motifs.

« Art. 223‑1-2. – Est punie d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende la provocation à abandonner ou à s’abstenir de suivre un traitement médical thérapeutique ou prophylactique, lorsque cet abandon ou cette abstention est présenté comme bénéfique pour la santé des personnes visées alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales, manifestement susceptible d’entraîner pour elles, compte tenu de la pathologie dont elles sont atteintes, des conséquences graves pour leur santé physique ou psychique.

« Est punie des mêmes peines la provocation à adopter des pratiques présentées comme ayant une finalité thérapeutique ou prophylactique pour les personnes visées alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales, manifeste que ces pratiques les exposent à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente.

« Lorsque la provocation prévue aux deux premiers alinéas a été suivie d’effets, les peines sont portées à trois ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende.

« Lorsque ces délits sont commis par la voie de la presse écrite ou audiovisuelle, les dispositions particulières des lois qui régissent ces matières sont applicables en ce qui concerne la détermination des personnes responsables. »

Article 4 de la loi sur les dérives sectaires

Donc, ce texte dégage les critères suivants :

  • appeler à abandonner un traitement (thérapeutique ou prophylactique, comme un vaccin à Arn par exemple) ou à s’abstenir de le recevoir
  • il faut que cet appel soit présenté comme bénéfique pour la santé des personnes visées
  • il faut que cet appel intervienne alors que l’état des connaissances médicales au moment où il est lancé indiquent que l’abstention ou l’abandon de soins serait “manifestement susceptible” d’avoir des conséquences graves pour la santé physique ou psychique
  • la même infraction court pour les appels entraînant “un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente”

En l’état, la rédaction de cet article semble confuse et pas totalement conforme aux critères exposés par les parlementaires porteurs de l’amendement. Cela sent la censure par le Conseil Constitutionnel…

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Quel est le bilan du Brexit ? par Yves-Marie Adeline

Quelques années après la sortie de l’Union européenne décidée par le peuple britannique – à vrai dire, essentiellement les Anglais, contre l’avis des Ecossais, des Gallois et des Nord-Irlandais, mais les Anglais sont tellement plus nombreux que la sortie a été décidée quand même – les commentaires, de ce côté-ci de la Manche, donnent aux peuples restés dans l’Union l’impression que ce choix a été catastrophique, que l’économie britannique souffre terriblement de ce vote. Ne nous contentons pas des rumeurs, essayons d’y voir clair sur la base de données objectives.

D’abord, il faut rappeler une chose très importante : le Royaume-Uni n’a jamais totalement appartenu à l’Union européenne, mais plutôt a continué d’appartenir à la Communauté Economique Européenne, c’est-à-dire à l’institution précédente, celle d’avant le Traité de Maastricht.

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Interview Poutine/Carlson: le décryptage (2) – l’amitié américano-russe perdue

Deuxième volet de ma série de décryptages de l’entretien accordé par Vladimir Poutine au journaliste américain Tucker Carlson. Aujourd’hui, nous partons de ce constat de Vladimir Poutine: les présidents américains avec qui il s’est entendu personnellement n’ont jamais pu imposer au “complexe militaro-industriel” de sortir de son attitude foncièrement russophobe. Pourtant, pouvons-nous ajouter avec l’historienne canadienne Cynthia Chung, il existe une ancienne tradition d’amitié entre les Etats-Unis et la Russie, parfaitement représentée par Abraham Lincoln et le tsar Alexandre II

Abraham Lincoln et Alexandre II étaient contemporains: l’un a mis fin à l’esclavage aux Etats-Unis, l’autre au servage en Russie.

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La vaccination aurait réduit la fertilité des femmes

Le Covid long concerne de plus en plus de personnes, incluant les femmes. De nombreuses études ont déjà été menées dans le but d’identifier les facteurs qui favorisent cette persistance des symptômes après la guérison. Récemment, des chercheurs ont décidé d’étudier les effets du Covid long sur la vie sexuelle des femmes. Il faut dire que la sexualité féminine reste encore un sujet tabou. Pourtant, d’après une étude menée par l’équipe de l’Université de Boston, publiée dans le Journal of Sexual Medicine, le Covid long peut entraîner différents troubles sexuels chez les femmes. Le stress, la solitude, la peur, les inquiétudes et les perturbations causées par le Covid-19, notamment les confinements, pourraient expliquer ces résultats. Depuis le lancement de la campagne vaccinale, différents cas d’effets secondaires ont également été signalés parmi eux les troubles menstruels et de fécondité.

Si le Covid-19 a affecté physiquement les individus, selon une étude d’une équipe de l’Université de Boston publié dans le Journal of Sexual Medicine, la santé sexuelle des femmes a également été affectée par le covid. L’équipe de l’Université de Boston a mené une étude visant à évaluer l’impact nocif du Covid sur la vie sexuelle des femmes. Il s’agit d’un sujet qu’on évoque rarement. Notons que des recherches précédentes ont été réalisées, mais elles concernaient plutôt la vie sexuelle des hommes. 

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Le refus de port de masque durant le COVID est un acte de désobéissance, selon une Cour d’appel US

Dans quelles mesures nos libertés fondamentales ont-elles été menacées par les mesures de lutte contre la pandémie ? Une cour d’appel fédérale a rendu son verdict concernant deux affaires connexes sur le refus de port de masques faciaux lors des réunions publiques lundi. Les plaignants, George Falcone et Gwyneth Murray-Nolan, ont affirmé avoir subi les représailles des fonctionnaires à Freehold et Cranford. La Cour a déclaré que le refus de porter un masque n’était pas protégé par la liberté d’expression.dans le Premier amendement de la Constitution américaine. Pour beaucoup, le port du masque en extérieur est un choix bien plus politique que scientifique, mais surtout un symbole de la soumission du peuple par les élites.

La décision récente d’une cour d’appel fédérale concernant le port du masque dans les réunions du conseil d’administration scolaire a ravivé le débat sur la liberté d’expression et les mesures de santé publique pendant la pandémie de COVID-19. La Cour d’appel du 3e circuit a statué que le refus de porter un masque en période d’urgence sanitaire ne constituait pas un exercice protégé par le Premier Amendement de la Constitution des États-Unis. Cette décision soulève des questions sur la balance entre les droits individuels et la sécurité publique.

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Quitter l’euro ! La seule revendication incontournable pour les agriculteurs et le reste de notre économie

Par Jean Goychman – C’est en 1992 que le piège tendu de longue date s’est refermé sur la France. Après une campagne longtemps indécise, les partisans de l’euro l’ont finalement emporté. La mise en place de cette monnaie « idéalisée » s’est pourtant faite en dépit du bon sens et nombre de personnalités avaient pourtant mis en garde contre les dangers qu’une telle monnaie allait faire courir à l’ensemble de notre économie.

Pour apporter une réponse rassurante, un certain nombre de « garde-fous » avaient été mis en place, histoire de dire « Dormez tranquilles, braves gens, nous avons tout prévu… »On voit aujourd’hui qu’ils ne valaient pas tripette, puisque inapplicables. Qui se souvient encore des fameux « critères de convergence » de Maastricht ? Oubliés depuis longtemps bien que gravés dans le marbre des traités…

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Pourquoi le “Frexit” est un slogan (sympathique) sans stratégie (gagnante)

Depuis quelques mois, le Courrier des Stratèges soutient un travail de fond réalisé par de simples citoyens, qui ont imaginé un programme pour les élections européennes. Un millier de personnes ont participé au débat. De façon intéressante, le “Frexit” n’a pas obtenu la majorité dans le groupe de discutants, alors même qu’une majorité du même groupe refuse la dynamique actuelle de l’Union Européenne et veut en sortir. Pusillanimité? Contradiction? En réalité, non, les participants du débat citoyen ont proposé une méthode de sortie. Et ils ont jugé, à juste titre, que le Frexit n’est qu’un slogan, sans stratégie. Développer une stratégie, c’est (1) identifier les domaines prioritaires dont la France doit renégocier les cadres (avec une option de sortie du domaine si la négociation échoue);(2) trouver des alliés parmi les Etats-membres (éventuellement sortir un jour à plusieurs); (3) réussir d’emblée la seule sortie qui vaille, celle de l’OTAN.

Vous trouverez ci-dessus le programme pour les élections européennes , dont nous avons déjà parlé dans Le Courrier, issu du débat citoyen mené sur le canal Telegram”Prenons-Nous En Mains” . Plusieurs personnes nous ont demandé pourquoi le programme ne comprend pas le mot “Frexit”. Certains soupçonnant les auteurs du programme de manquerde courage…..

En réalité, si vous suivez le fil de la discussion menée sur le canal Telegram pendant de longues semaines, vous verrez que la question du “Frexit”a été ouvertement débattue. Et il est apparu qu’il s’agissait d’un beau slogan, mais qui ne répondait pas à la question du comment.

Pourquoi le “Frexit” n’est pas une stratégie

J’énumère ici les principaux arguments donnés lors du débat:

+ L’isolement de la Grande-Bretagne n’était qu’apparent, lors du Brexit. Jamais la Grande-Bretagne n’aurait pris ce risque sans avoir un appui, caché mais réel, des USA.

+ Précisément, la France n’a pas l’équivalent du marché américain pour la Grande-Bretagne: des débouchés de substitution.

+ On ne quitte pas l’Union Européenne sans avoir une stratégie de rechange. Or, chez les partisans du “Frexit” pur et simple, elle n’est pas claire.

+ Chez plusieurs des têtes d’affiche du Frexit, on a le sentiment que le seul fait de sortir de l’UE fait passer de l’ombre à la lumière. Or – nous retrouvons là une idée qui nous tient à coeur au Courrier – l’euro a été (contrairement à sa réputation) une source de laxisme pour les finances publiques (à l’abri des taux d’intérêt allemands). On ne peut pas prôner un “Frexit facile”sans mentir aux Français.

La stratégie proposée par “Prenons-Nous En Mains”

Les citoyens qui ont forgé le programme que vous avez ci-dessus sont tous d’accord pour dénoncer la dérive fédéraliste de l’Union Européenne. Ils la refusent. Ilspensent qu’ilfaut au contraire défaire une partie des lourdeurs et des inerties de la bureaucratie européenne. Ils n’excluent pas que le résultat de leur démarche ressemble de très près à un”Frexit”. Mais en ayant suivi une stratégie politique.

Deux exemples:

+ Et si, au lieu de sortir de l’UE en laissant intacte la technocratie bruxelloise, qui aurait toute liberté pour écraser de son poids un pays rebelle et sortant, nous prenions le taureau par les cornes, en exigeant et en obtenant la suppression de 10% des postes de fonctionnaires européens par an pendant cinq ans?

+ Et si nous adoptions une méthode générale de renégociation, domaine par domaine: le marché de l’électricité,; Schengen, la “transition énergétique” etc…. ? A chaque fois, la France poserait ses exigences, conformes à ses intérêts. Et elle ferait savoir à ses partenaires qu’elle a une option de sortie du domaine considéré. Aux Français de savoir quelle est la priorité stratégique: de quel domaine de l’UE éventuellement sortir en priorité, avec une chance de réussite élevée?

Naturellement, la stratégie retenue tient compte du fait que nous pouvons avoir des alliés dans notre combat contre l’Europe fédérale. Pourquoi se priver d’avoir des soutiens,selon les domaines? N’y a-t-il pas une liste à faire des revendications des différents Etats-membres contre Bruxelles, afin d’en faire un atout pour nous-mêmes?

Ne pas se tromper de priorité: l’OTANexit

La stratégie retenue vient aussi d’une considération très simple. Quel est actuellement le plus grand ennemi des peuples européens? Ce sont les Etats-Unis qui nous ont entraîné dans une guerre européenne fratricide contre la Russie. Qui cherche à substituer le gaz américain au gaz russe? Qui a saboté Nordtream? Qui espère provoquer de larges délocalisations des grandes entreprises européennes vers les Etats-Unis à la faveur de l’actuel marasme économique européen?

La priorité n’est pas un Frexit de l’UE mais de l’OTAN!

On me rappellera à juste titre que l’OTAN est au coeur du Traité de Maastricht. Précisément, retirons-la des traités européens et on leur enlèvera une grande partie de leur nocivité. Débarrassons Bruxelles de ses atlantistes forcenés! Une partie importante du travail de libération de la France sera amorcé.

Telle est la raison pour laquelle “Prenons Nous En Mains” a donné la priorité à la sortie de l’OTAN dans son programme.

Révolution paysanne, génocide palestinien, sécession américaine

Dans ce nouveau numéro de Chaos Global, nous décryptons les informations importantes de la semaine. Nous commençons par la révolution paysanne, et nous évoquons la décision de la Cour Internationale de Justice et la montée de la “sécession” aux Etats-Unis, avec la mobilisation de la garde nationale au Texas.

Chaos global paraît tous les lundis soirs.

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Liens entre vaccins ARNm expérimentaux et les risques de « turbo-cancers »

Normalement un « vaccin » est fait pour protéger les populations pas pour les exposer à un risque. Avec l’avènement des injections Covid émerge la théorie des “turbo-cancers”, suggérant que les vaccins à ARN messager pourraient déclencher ou accélérer la survenue de cancers. L’usage de ce terme suggère l’idée de cancers extrêmement agressifs attribués à la vaccination. Cette théorie est largement discréditée par la communauté scientifique. Des études antérieures ont pourtant déduit que la vaccination rendait vulnérable le système immunitaire de la population injectée. Si les conséquences des injections restent inconnues, chaque jour des cas suspects d’effets secondaires graves se multiplient, voire des décès. Malgré tout, ces effets secondaires n’ont eu aucune incidence sur la suite de la campagne de vaccination.

Dès leur apparition, les vaccins à ARNm contre le Covid-19 ont fait l’objet de nombreuses critiques. Le terme “turbo-cancers” ne correspond à aucun concept médical établi, popularisé par Alexandra Henrion-Caude, ancienne directrice de recherche à l’INSERM, désormais une figure influente parmi les opposants à la vaccination contre le coronavirus. Elle affirme que depuis la vaccination de masse, il a été constaté que des cancers se développent chez les personnes vaccinées.

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Pour briser le mouvement social allemand, Olaf Scholz mobilise contre “l’extrême-droite”

Nous le disons depuis des mois à nos lecteurs: le gouvernement allemand est minoritaire, rejeté par 70% des Allemands. Nous avons parlé bien avant les médias subventionnés français du mouvement social qui a vu agriculteurs, chauffeurs routiers et cheminots bloquer lepays enneigé pendant dix jours. Depuis quelques jours, Olaf Scholz,le dos au mur, peut compter sur la mobilisation des médias et de la Section Allemande l’Internationale Néoconservatrice (SA…IC) pour monter un complot imaginaire d’extrême-droite et mobiliser quelques centaines de milliers de personnes dans les rues un samedi de janvier.

Vous vous appelez Olaf Scholz, votre majorité dans l’opinion se réduit comme une peau de chagrin après que vous mis en place un mélange d’écologie punitive (les Verts participent à votre gouvernement) et de soumission pur jus aux Etats-Unis. Les prox de l’énergie ne cessent de monter, l’inflation est une réalité quotidienne pour les foyers allemands. Agriculteurs, chauffeurs routiers, cheminots viennent de bloquer les voies de transport du pays depuis dix jours.

Que faire?

Olaf en héros de l’antinazisme

Heureusement, il y a la bonne grosse ficelle antifasciste:

+ “Correctiv”, une plateforme de “fact-checkers” financée par le gouvernement, un grand groupe de médias et l’Open Society (George et Alexander Soros) découvre une nouvelle “conférence de Wannsee“, une conspiration de personnalités politiques conservatrices, venues de la CDU et de l’AfD, – d’extrême-droite, quoi! – pour expulser tous les étrangers d’Allemagne.

+ Des manifestations contre l’extrême-droite sont organisées dans toute l’Allemagne. Et les médias proclament, sans”fact-checking” cette fois, mais avec une certaine hésitation, qu’il y avait 1,4 millions de personne dans les rues dans toute l’Allemagne.

En réalité, si vous dépassez 300 000 manifestants sur trois jours (19-20-21 janvier, vous aimez l’exagération.

Quel est le double problème du gouvernement? L’AfD est à 23% dans les sondages. Et la CDU est à 30%. Il faut s’assurer que la CDU n’ait jamais la tentation de gouverner avec des membres de l’AfD. Autant sortir la Grosse Bertha de l’antifascisme.

La ficelle est tellement grosse. On dirait une corde; Olaf joue au jeu du pendu avec l’opinion allemande.

Nicolas Dupont-Aignan: “Il faut supprimer la Commission Européenne”

“Il faut supprimer la Commission Européenne”. Nicolas Dupont-Aignan présentait ce 18 janvier ses vœux à la presse. L’occasion, pour lui, d’annoncer que Debout-La-France, son parti, présentera une liste aux élections européennes du 9 juin 2024. Et de préciser sa vision de l’avenir de la France: en Europe mais hors des institutions bruxelloises.

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Le pape François exerce le pouvoir de façon trop personnelle

L’affaire de la bénédiction des couples homosexuels continue à occuper les esprits. Pourquoi ce texte d’une portée limitée continue-t-il à occuper les esprits ? Edouard Husson souligne que la polémique tient en partie aux conditions de réalisation du texte lui-même : le pape François I, loin de prendre le temps des consultations nécessaires, l’a rapidement publié, suscitant un tollé, notamment dans les églises africaines.

Dans ce nouveau numéro d’Urbi et Orbi, l’hebdomadaire d’actualité consacré à la vie de l’Eglise catholique, Edouard Husson revient sur les pratiques “politiques” du pape François :

  • un exercice personnel du pouvoir
  • un recours plus fréquent que ses prédécesseurs au Motu Proprio
  • une faible appétence pour la consultation du clergé
  • une recentralisation du pouvoir

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L’homosexualité dans la macronie devient un sujet politique

Traditionnellement, les Français s’occupent peu de la vie privée de leurs gouvernants. C’est pour ainsi dire une habitude d’Ancien Régime, seulement démentie en 1789 avec les commentaires sur les relations extra-conjugales de Marie-Antoinette, et sur ses prétendues moeurs évoquées lors de son procès en 1793. Assez curieusement, Emmaneul Macron ravive ce vieux souvenir, en s’entourant excessivement et visiblement de membres de la communauté gay, à tel point que, même sur une chaîne soumise à la censure active de l’Arcom (ex-CSA), la question du poids du réseau homosexuel dans la décision publique est devenue un sujet de débat. Un signe qui ne trompe pas…

L’histoire est croustillante ! Reçu sur le plateau de LCI hier, pour ajouter son commentaire à la masse des autres commentaires aussi vides et abyssaux que les autres, Guillaume Roquette, du Figaro, a détonné en osant affirmer que la possible nomination de Gabriel Attal à Matignon était liée à son orientation sexuelle, et, plus largement, à son appartenance au réseau gay. Bien entendu, la séquence a été retirée, et Pujadas a supprimé le tweet qui répercutait cette analyse qui mérite d’être prise en compte.

Mais le seul fait qu’ne chaîne Bouygues évoque ouvertement la question est en soi révélateur d’un malaise dans le pays. Redisons-le, chacun est libre de sa vie privée, et l’homosexualité n’est en rien un problème. En revanche que des réseaux affinitaires se tissent dans l’ombre autour de telle ou telle orientation sexuelle pour confisquer le pouvoir et dégager de nouveaux privilèges est un problème. Autrement dit, tant qu’un comportement relève de la vie privée, il est un droit absolu. Lorsqu’il devient un outil politique, il est nécessaire qu’il soit encadré et transparent.

Pour l’instant, l’accusation d’homophobie interdit d’évoquer le sujet. Mais le problème demeure… Souvenons-nous d’Olivier Dussopt, qui a opportunément fait son coming out dans Têtu après avoir bu le bouillon dans la réforme des retraites et qui, semble-t-il, aborde son maintien en poste de façon extrêmement sereine.

Avons-nous encore le droit “d’activer” l’article 15 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, qui prévoit la possibilité, pour tout citoyen, de demander des comptes sur la façon dont le pouvoir est exercé ?

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“Il y a beaucoup de loges au Vatican”

Dans cet épisode hebdomadaire de l’actualité vaticanesque, nous faisons le point sur le succession possible du pape François, et sur la bénédiction des couples homosexuels… telle qu’elle soulève une polémique à travers le monde. Nous en profitons pour présenter, à nouveau, tous nos voeux à nos lecteurs.

Dans cette émission hebdomadaire dont nous publions le premier numéro de l’année 2024 aujourd’hui, nous revenons sur plusieurs points :

  • le nom du possible successeur du pape François tels que les “pronostiqueurs” le parient aujourd’hui
  • l’impact de la bénédiction des couples homosexuels sur la future élection.

Nous rappelons que nous avons publié la bénédiction de l’Angelus du 31 décembre 2023 en intégrale sur notre fil Telegram gratuit.

Meilleurs voeux à tous.

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Husson : “sur la bénédiction des couples homosexuels, le pape joue aux Jésuites”

Dans ce dernier numéro de l’année pour notre magazine chrétien, Edouard Husson aborde la position du pape sur la bénédiction des couples homosexuels, qui a suscité beaucoup de remous. Il refait aussi le point après l’assassinat par l’armée israélienne de deux croyantes dans une enceinte religieuse.

On notera donc :

  • l’ambiguïté de la position pontificale sur la bénédiction des couples homosexuels
  • l’engagement du pape en faveur des Palestiniens

Nous vous retrouvons en vidéo dès le 8 janvier pour notre journal télévisé.

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Elon Musk veut créer une base lunaire et des villes sur Mars

Le PDG de Tesla et de SpaceX, Elon Musk, a fait part de sa vision de l’avenir. Le milliardaire veut mettre en place une civilisation humaine sur mars. Dans un message sur X, il souhaite créer une base lunaire et de villes sur Mars. Il a souligné l’importance historique d’Apollo 11 et regrette le manque d’initiatives lunaires depuis.  Visionnaire ? Fou ?Le chef d’entreprise veut  “faire des humains une espèce multiplanétaire”, en colonisant rapidement la Planète rouge.

Le milliardaire Elon Musk veut réaliser un de ses rêves, coloniser Mars en créant une base lunaire et des villes martiennes. S’exprimant sur X, il souligne l’absence d’explorations lunaires depuis 50 ans et évoque le besoin pressant de nouvelles conquêtes spatiales. Cette vision audacieuse rejoint les ambitions de Musk de propulser l’exploration humaine bien au-delà de la Terre.

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Elections européennes : moins d’Europe, mais avec ou sans Frexit ?

La liste “Prenons-nous en main” que le Courrier des Stratèges parraine s’est posée la question d’une mention explicite du Frexit, ou pas. Au terme d’un débat nourri, une majorité s’est prononcée en faveur d’une position plus ouverte, d’une position de négociation, au fond. Les animateurs du mouvement restitue ici de façon transparente les termes du débat.

On retiendra de cet échange que :

  • le Frexit est une option ouverte
  • il faut d’ores et déjà se poser la question du “passage à l’acte” vis-à-vis de nos partenaires européens
  • l’impact d’un Frexit brutal sur les entreprises est à prendre en considération

Pour le reste, nous commençons la recherche de candidats. N’hésitez pas à postuler.

Les USA n’ont pas abandonné l’idée d’un coup d’état en Biélorussie, par Victor GORODETSKI

Par : Rédaction

Bien qu’isolée en Europe comme son allié la Russie, et frappée aussi de nombreuses sanctions, la Biélorussie cherche à développer ses relations internationales hors du champ de l’Occident. Rappelons que le régime de sanctions s’est renforcé dès 2020 à la suite de l’élection présidentielle, que « France diplomatie » continue de considérer comme « frauduleuse ». Le dispositif s’est renforcé depuis 2021, dans une démarche d’accusations diverses et variées dont on voit bien l’objectif : déstabiliser le pays pour y instaurer un gouvernement qui se démarquerait de la Russie, comme le veulent les Etats-Unis et l’UE avec la Moldavie, le Kazakhstan… En résumé, refaire du « Maïdan » là où cela peut affaiblir la Russie. Toutefois, cela n’empêche nullement le président Alexandre Loukachenko d’approfondir en ce mois de décembre ses partenariats avec la Chine, mais aussi en Afrique.

Cet article initialement publié sur le site 1rodina.ru n’engage pas la ligne éditoriale du Courrier.

En Biélorussie, les sanctions imposées par les pays occidentaux ont toujours été traitées avec un certain scepticisme. Le pays subit la pression de l’UE et des États-Unis depuis des décennies et a depuis longtemps appris à vivre dans un régime de confrontation constante avec eux.  Malgré cela, l’Occident n’abandonne pas sa politique répressive, présentant périodiquement de nouvelles exigences très ambiguës à Minsk.

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L’OTAN propose de créer un « Schengen » militaire, par Stoletie

L’OTAN semble avoir la tête sens dessus dessous. D’abord, son État-major a sous-évalué la capacité des forces militaires russes et surtout leurs avancées technologiques, a méprisé la solidité du régime de Poutine et la résilience ainsi que le potentiel économique de la Russie, a trop compté sur un gouvernement ukrainien depuis longtemps corrompu. Mais le pire, c’est finalement le constat que l’OTAN a conçu des équipements militaires trop fragiles pour des combats de haute intensité, n’a pas constitué un stock de munitions adapté à un long conflit, et n’a pas réussi à homogénéiser son arsenal, chaque État membre voulant conserver ses propres normes pour vendre leur matériel à l’étranger.  Côté stratégie, si l’on doit reconnaître que la Russie a eu la faiblesse de ne pas engager suffisamment de troupes au départ de l’opération spéciale, il semble devenu évident que les approches de l’OTAN prescrites à l’AFU sur le terrain n’ont pas été efficaces. Au final, la Russie semble devoir l’emporter dans les prochains mois, lorsque les troupes ukrainiennes baisseront les bras, faute de munitions et de motivation. Et le bilan pour l’OTAN sera terrible, car une large part de son équipement aura été détruit. Au passage, la cohésion des États membres de l’UE, dont la plupart sont des adhérents au Pacte Atlantique, aura été largement altérée. Pour l’État-major Otanesque, il faut donc réagir en urgence. Première mesure : le chef du commandement logistique conjoint de l’OTAN, Alexander Solfrank, a appelé à la création d’un « Schengen » militaire avec la libre circulation des troupes de l’OTAN.


Cet article initialement publié sur le site stoletie.ru n’engage pas la ligne éditoriale du Courrier.

C’est l’agence Reuters qui a rapporté que Solfrank aimerait voir un « Schengen » militaire, c’est-à-dire une zone de libre passage militaire. Ce général a expliqué que les forces de l’OTAN se heurtent à des obstacles sous la forme de réglementations nationales lors du déplacement de troupes et de munitions. « Nous devons avoir une longueur d’avance. Nous devons préparer le théâtre des opérations bien avant que l’article 5 de la Charte de défense collective de l’OTAN ne soit invoqué », a-t-il déclaré. Rappelons que l’article 5 de la Charte de l’OTAN stipule qu’une attaque contre un membre de l’alliance est considérée comme une attaque contre l’ensemble du bloc militaire.

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Royaume-Uni : un jeune homme décède après une injection AstraZeneca

Alex Reid, un jeune homme de 28 ans, est décédé des suites d’une injection Covid-19 AstraZeneca. Selon ses parents, il a été victime d’erreur médicale, considéré comme obèse morbide dans son enfance, Alex a reçu le vaccin AstraZeneca, déclenchant un caillot sanguin fatal. La cause de son décès était une thrombocytopénie thrombotique immunitaire ou VITT.

Selon le discours officiel, les injections anti-Covid sont présentées comme efficaces, empêchant les formes graves de la maladie. Cependant, cette affirmation suscite des inquiétudes réelles du fait que les effets indésirables des vaccins sont largement sous-déclarés, un risque pour la vie humaine ne peut pas être exclu. En 2021, l’efficacité du vaccin AstraZeneca (AZ) a toujours été posée, avant même son autorisation de mise sur le marché en Europe. Des études israéliennes et américaines avaient mis en doute le bénéfice/risque de l’AZ. Au Royaume-Uni on juge le vaccin “sûr et efficace”. Pourtant, quelques jours après avoir reçu leur vaccin, des patients seraient décédés. Aujourd’hui les familles des victimes du vaccin AstraZeneca portent plainte. Selon The Telegraph, l’histoire d’Alex Reid révèle un enchaînement d’erreurs tragiques qui ont conduit à sa mort prématurée. Une faute de classification dans son dossier médical remontant à son enfance a entraîné une invitation anticipée à la vaccination. Cette classification erronée, basée sur un indice de masse corporelle incorrect, a exposé Alex au vaccin AstraZeneca. Alex Reid a reçu le vaccin Covid d’AstraZeneca, qui a provoqué la formation d’un caillot sanguin rare et a entraîné sa mort prématurée.

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Comment l’Union Européenne se transforme en Quatrième Reich ! par Igor Veremeïev

Pour tous ceux qui ont pu être séduits un jour par l’idéal européen, l’évolution actuelle de la gouvernance de l’UE peut laisser au minimum perplexe, mais surtout susciter de profondes inquiétudes quant au respect des grands principes démocratiques, à commencer par la liberté d’expression. Il en est de même concernant la défense de la souveraineté des peuples. Le concept de « subsidiarité » semble aujourd’hui totalement absent dans les prises de décisions des commissaires européens. Mais plus grave, la Commission européenne a pris un certain nombre d’initiatives qui, selon de nombreux juristes, ont dépassé les limites fixées par les différents Traités. Tout ceci a commencé avec l’épidémie du Covid.  Puis, avec la mise en place de sanctions contre la Russie et l’affection de budgets importants à l’Ukraine, Madame Van der Leyen nous a conduit à la fois sur le chemin de la guerre et du déclin économique. Tout ceci subrepticement, sans aucune consultation référendaire, et encore moins sans débat. Qui plus est, la grande majorité des gouvernements des Etats membres sont devenus complices, car ils n’ont pas sourcillé, voire ont cautionné cette déviation institutionnelle. Il serait bon qu’à l’occasion des prochaines élections européennes, un vaste débat soit engagé sur l’Europe communautaire et ses instances de gouvernance. Disons-le clairement, l’article du Russe Igor Veremeïev que nous publions est très orienté. Mais bien documenté, il a le mérite de lancer le débat qui doit mobiliser non seulement tous les Libertariens, mais aussi tous les citoyens européens quant à la maîtrise de notre avenir.

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Comment se protéger du fanatisme de la caste ?

Les études de psychologie sociale parrainées par la caste depuis 1945, et accélérées depuis les années 90, ont permis la fanatisation de ce qu’on appelle désormais l’extrême centre, dont Edouard Husson a très bien décrit l’inclination progressive vers le “fascisme gris”. Je sais que beaucoup d’entre vous souffrent de cette intolérance majoritaire grandissante, où tout expression de doute cartésien est désormais qualifiée par les marchands de soupe stipendiés par le pouvoir comme “complotisme”, voire comme “antisémitisme” ou comme “extrémisme de droite”. Mais la liberté est tenace… Je vous explique aujourd’hui les mécanismes de cette intolérance et je vous donne quelques suggestions pour vous en protéger.

Je recommande à tout le monde de lire attentivement les théories de Cass Sunstein, notamment celles sur la nécessaire infiltration cognitive des “complotistes” par le pouvoir, au nom de l’efficacité. Cette théorie prône la création d’opposants fantoches chargés de neutraliser la dissidence.

C’est tout à fait intéressant !

Dans tous les cas, restez libres et pensez par vous-mêmes. C’est une démarche de salubrité privée !

Contrat Pfizer : les injections sont expérimentales et le fabricant non condamnable

Suite un jugement rendu par la Haute Cour du Nord Gauteng à Pretoria en aout, le département de national de la Santé a été contraint de remettre toutes les copies des contrats d’achat de vaccins contre le Covid-19 à la Health Justice Initiative (HJI). Au regard du contrat Pfizer en Afrique du Sud rendu public le 21 septembre dernier, une clause mentionnée que « (…) sont rapidement développés en raison des circonstances d’urgence liées à la pandémie de COVID-19 et continueront d’être étudiés après la fourniture du vaccin à l’acheteur dans le cadre du présent accord. L’acheteur reconnaît en outre que les effets et l’efficacité à long terme du vaccin ne sont pas actuellement connus et qu’il peut y avoir des effets indésirables du vaccin qui ne sont pas actuellement connus. » Depuis le début de la vaccination et ce, jusqu’à ce jour, de nombreux cas d’effets indésirables ont été rapportés. L’émergence de nouvelles pathologies met en lumière le caractère expérimental de ces produits.

Plus le temps passe et plus les effets à terme des vaccins sont visibles, on assiste de plus en plus à un lien de cause à effet entre les injections et des maladies à long court (cancer, maladie de Guillain Barré, scléroses en plaques…) ou des accidents cardiovasculaires. Malgré les effets indésirables continus, sans une réelle prise en compte dans les orientations de la politique sanitaire, on peut légitimement soupçonner une sous-déclaration plus importante de ces effets nocifs de ces injections. Les citoyens sont utilisés comme des cobayes au prétexte d’une urgence contestée et du rejet, par exemple, de l’ivermectine en tant que traitement efficace, sans effets secondaires majeurs et économiquement abordables (médicament générique).

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Macron distribue les sucettes en chocolat face au terrorisme

Ce jeudi auront lieu les obsèques de Dominique Bernard, l’enseignant assassiné à l’occasion d’un attentat terroriste à Arras. Cette tragédie manifeste une fois de plus l’impuissance de l’Etat face à une violence importée de l’extérieur. Pour faire oublier cette incapacité à agir, Emmanuel Macron, qui proclame désormais que les services de l’Etat n’ont manifesté aucune défaillance, a pris une bonne résolution : il va distribuer des médailles à Arras.

La polémique continue sur la capacité de l’Etat à lutter contre le terrorisme, après l’attentat d’Arras. Nous avons évoqué hier le discours curieusement peu allant du ministère de l’Intérieur sur l’expulsion des clandestins fichés comme radicalisés dangereux. Aujourd’hui, Emmanuel Macron a affirmé qu’il n’y avait eu aucune défaillance de nos services, alors même que des doutes interviennent sur la filature dont le terroriste faisait l’objet.

Pour faire oublier cette impuissance à agir, Emmanuel Macron a pris de bonnes résolutions : il va distribuer des images, des sucettes en chocolat et des bons points à tous ceux qui ont fait “preuve de bravoure”. Les personnels du lycée qui se sont interposés dans cet attentat, et qui ont été blessés, auront donc une récompense symbolique.

C’est le cas, notamment, de Christian, un agent d’entretien blessé au visage, du responsable des agents d’entretien mais aussi d’un professeur d’EPS, plus grièvement blessés, et d’autres enseignants de la cité scolaire.

Le Figaro

On n’est pas bien sûr que ça aide à lutter contre le terrorisme, mais au moins, ça leur fera des souvenirs… et ça donnera sans doute envie aux autres de pallier les insuffisances de la police.

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Clandestins fichés S : l’hallucinante passivité de l’Etat régalien !

Il a fallu le terrible attentat d’Arras, commis par un étranger en situation irrégulière et considéré comme dangereux, pour que l’État passe aux aveux sur sa passivité en matière de traitement réservé à ces clandestins repérés comme radicalisés et susceptibles de passer à l’acte. Mais les informations données par Gérald Darmanin sont confondantes : on découvre que 500 irréguliers sont fichés S, officiellement, dont 200 environ sont privés de liberté, et une centaine sont assignés à résidence. Il en reste 200, dont Darmanin annonce que leur situation sera examinée au cas par cas… Visiblement, le ministère de l’Intérieur est très soucieux de respecter des règles de droit qui l’ont beaucoup moins embarrassé lorsqu’il s’est agi de réprimer les manifestations en tous genres. Un deux poids deux mesures qui interroge sur la passivité de l’État régalien en matière d’immigration.

On se souvient tous des violations flagrantes de libertés publiques durant les manifestations : tirs de LBD, parfois à bout portant, pendant les Gilets Jaunes, nasses et interpellations sans motifs durant les manifestations contre les retraites. Et que dire des retraits autoritaires de contenus sur les réseaux sociaux pendant la grande crise du vaccin et du passe sanitaire ?

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“Prenons-Nous En Mains”: la liste citoyenne pour les européennes a travaillé le volet “souveraineté”.

Le Courrier des Stratèges soutient l’élaboration d’une liste citoyenne pour les élections européennes – “Prenons-nous en main”. Le travail sur le programme a commencé. Tout citoyen français peut y participer en suivant le canal Telegram https://t.me/prenons_nous_en_main . La discussion est menée selon les principes qui sont chers aux libertariens: discussion ouverte, absence de hiérarchie entre les contributions, accès de tous à l’ensemble de la discussion. La première phase du débat a porté sur les enjeux de souveraineté. Elle est en cours. Nos lecteurs sont bienvenus pour y participer. A partir de la semaine prochaine, nous entamons un deuxième volet programmatique, celui de la défense des libertés personnelles et collectives!

Au terme d’une discussion qui a duré deux semaines, sept axes de travail se sont dégagés :

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Macron le Frexiteur : « s’émanciper sans se quitter », par Modeste Schwartz

Par : ModesteS

C’est tout de même rageant, ces élections qui obligent à tenir compte des désidératas des gueux (comme : ne pas faire faillite tout de suite à cause du marché européen de l’électricité), alors que l’agenouillement de la Russie prend du temps, risquant même de passer carrément inaperçu derrière la fumée du Moyen-Orient en flammes. Heureusement, il y a le en même temps !

C’est une situation qui semblait pourtant sans issue : Le Maire lui-même nous avait prévenus comme jamais : « Sortir du marché européen, c’est sortir de l’Union européenne tout court. » Il est certes démenti à même cet article du Monde, qui mentionne à quelques phrases de distance les dérogations obtenues par l’Espagne et l’Italie – lesquelles n’ont, à ma connaissance, pas encore quitté l’Eurogoulag.

Il est vrai que, du point de vue de l’Allemagne, dans ces pays-là, le travail de la désindustrialisation est déjà largement achevé : la Mante religieuse doit donc se concentrer sur la France, avant de céder sa propre industrie au suzerain américain et aux favoris pigmentés de Davos – ces BRICS si délicieusement multilatéraux qu’on s’en voudrait presque, en 2023, d’être encore blancs et toujours en vie. Et d’ailleurs, on s’en veut.

« Quelque chose de pourri au royaume de l’électricité »

– résume « un conseiller de l’exécutif ».

Mais ne serait-ce pas plutôt dans le cerveau des Charlie hexagonaux ?

« En début d’année, les sénateurs communistes ont défendu une proposition de résolution pour demander (…) la sortie du marché européen de l’énergie, soutenue par les socialistes, les écologistes et les centristes, qui n’a été repoussée qu’à une trentaine de voix. »

Cette trentaine de voix, c’est le seuil qualitatif qui sépare le minimum syndical de la volonté de survie observé en Espagne ou en Italie de la mentalité de ces français tous piqués et tous protégés, qui, pour la plus grande gloire du Green Deal de l’Ukraine, ont si volontiers accepté de se laisser dékoulakiser verdir par Davos un hiver de plus (pour beaucoup de PME : un hiver de trop).

Oui, mais voilà : les européennes, c’est dans six mois. Du coup, le Monde et Nicolas Goldberg (du groupe de réflexion Terra Nova) ont beau nous promettre toutes les apocalypses europhobes possibles si nous osions sortir la tête du nœud coulant – le mal est fait.

En même temps, sauve-nous !

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Corse : à quand le vaccin contre les explosifs ? par Modeste Schwartz

Par : ModesteS

Pendant que la pseudo-représentation nationale s’épuise à « condamner » (qui le Hamas, qui Israël, qui les deux), la réalité parfaitement immorale de l’espèce humaine vient se rappeler à leur bon souvenir, sous la forme d’une vague d’explosions corse aussi méticuleusement synchronisée que l’assaut du Hamas sur les colonies israéliennes. Comparaison n’est pas raison ? Vérifions tout de même.

En 2020, tous les Charlie nous intimaient de « sauver des vies » (de nonagénaires cancéreux menacés par une grippe). En 2021, ils nous voulaient tous piqués et tous protégés. En 2022, le disque de l’angélisme d’Etat a commencé à se rayer, quand on a appris que, désormais, la meilleure garantie d’édification de la paix universelle et perpétuelle allait être la fourniture de canons César aux unités arborant des symboles nazis d’une grande démocratie slave sans partis ni presse d’opposition, où les élections sont à présent ajournées sine die.

En réalité, quand les démocraties mourantes du monde blanc (de Washington à Moscou), en mars 2020, se sont assises de toute leur ampleur rectale sur leurs sacro-saintes constitutions parce que Klaus Schwab l’épidémiologie ad hoc « les y obligeait », elles ont (sans le savoir ?) envoyé un signal très clair à toutes les forces de la partie de l’humanité qui veut encore vivre.

« Valeurs occidentales » : combien de divisions de déminage ?

Ce message, c’est que l’Occident historique ne croit plus du tout à ces fameuses valeurs que son élève, l’Occident pigmenté, retourne désormais contre lui comme un vulgaire drone kiévien piraté par les systèmes électroniques russes.

Et aussi que, une fois ouvert le bal de la violence, il vaut mieux entrer dans la danse, afin d’aborder les futures négociations de paix dans une bonne position. L’Azerbaïdjan l’a compris, ridiculisant la rhétorique impériale de la Russie en Transcaucasie. Les Palestiniens et leur amis (mais aussi, probablement, la droite sioniste religieuse de Netanyahou) l’ont tout aussi bien compris.

Sous les quolibets de tous les perroquets du jacobinisme en naphtaline, même le mari de Brigitte semblait l’avoir compris, quand il a cherché, en constitutionnalisant l’exception corse (qui est une réalité culturelle indéniable), à prendre les devants sur une négociation non-Charlie.

Car il se trouve qu’une petite partie de cette humanité qui veut encore vivre se trouve sur le sol de la République. Et maîtrise la langue corse. Et la pyrotechnie.

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Nobel de médecine : les vaccins ARNm anti-covid et ses dangers potentiels adoubés

Lundi, le prix Nobel de médecine 2023 a été décerné à la chercheuse hongroise Katalin Kariko et à son collègue américain Drew Weissman pour leurs travaux de recherche ayant permis le développement des injections ARN messager dans la lutte contre le COVID-19. Pourtant actuellement, la vérité sur les effets secondaires des vaccins Covid ARNm commence peu à peu à resurgir. Les effets secondaires à court, moyen et long termes inquiètent, et sont parfois inconnus, voire potentiellement mortels.

Le prix Nobel de médecine 2023 a été attribué, lundi 2 octobre, à la Hongroise Katalin Kariko et à l’Américain Drew Weissman pour “leurs découvertes concernant les modifications des bases nucléosidiques ayant permis la mise au point de vaccins ARNm” contre le Coronavirus.Pour rappel, l’acide ribonucléique messager, ARN messager, ou ARNm  est une copie transitoire d’une portion de l’ADN correspondant à un ou plusieurs gènes.  L’ARNm est utilisé comme intermédiaire par les cellules pour la synthèse des protéines. La découverte en a été faite en 1961. Le médecin découvreur du principe utilisé pour les vaccins à ARN messager dans les années 1980 a été le Professeur Robert Malone. Ce dernier s’est opposé avec véhémence aux injections ARN actuelles de Pfizer et Moderna, qu’il considère comme fabriqués trop vite. Selon lui, ces derniers n’ont pas fait l’objet d’essais complets permettant de garantir une absence de nocivité. 

Rapidité du développement des vaccins ARNm

Collègues de l’Université de Pennsylvanie (États-Unis), Katalin Kariko (68 ans) et Drew Weissman (64 ans) ont longtemps travaillé sur la technologie ARNm (Acide ribonucléique messager). En 2005, les deux experts ont fait des découvertes décisives, ils ont découvert que l’ARNm peut aider les cellules à produire des protéines bienfaisantes pour le corps.

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Uniforme scolaire : vos enfants, terrain d’expérimentation pour Attal – par Modeste Schwartz

Par : ModesteS

A défaut d’avoir des enfants, Gabriel Attal, dont la légitimité professionnelle en matière d’éducation est nulle, dispose heureusement des vôtres, obligatoirement confiés à l’institution totalitaire qu’il contrôle, pour mener à bien ses expérimentations amusantes d’ingénierie sociale. La dernière en date concerne (on la voyait venir) le port d’un uniforme scolaire.

French Education and Youth Minister Gabriel Attal (C) meets with a class during the first day of school at the middle school Bourbon in Saint-Denis, on the island of la Reunion, on August 17, 2023. During his two day visit, the minister spoke with students and teacher about school harassment, as the Reunion is the first academy to have students go back to school after summer vacations. (Photo by Richard BOUHET / AFP)

La mesure arbitraire et vexatoire visant l’abaya aurait-elle été prise de peur de toucher à une question de l’uniforme scolaire qui serait tabou en France ?

Il faut croire que non, puisque Gabriel Attaltürk, après avoir raté sa tentative d’ignition d’une guerre civile ethnique – mais réussi à susciter une levée de bouclier mondiale contre l’illibéralisme macronien – en interdisant sous prétexte de laïcité des vêtements indéfinissables indépendamment de l’identité ethnique de leur porteur, parle désormais « d’expérimenter » en matière d’uniforme. La chronologie des manœuvres a, en l’occurrence la valeur d’un aveu.

Gageons que cette nouvelle saillie illibérale s’enfoncera, elle aussi, dans l’apathie d’une opinion parfaitement Charlie, tous piqués et tous protégés, à laquelle les manipulations sadiques de l’exécutif du fascisme gris macronien ne parviennent plus à arracher le moindre réflexe de révolte.

Pour une sortie groupée du Club SM « Education nationale »

Après des décennies de féminisme, après tout, Attal n’a plus face à lui des familles, mais des couples affligés de la charge d’une progéniture qui ne leur appartient que du point de vue des obligations financières, tout le reste – de la religion à l’orientation sexuelle – relevant du bon vouloir du Léviathan étatique.

Après tout, la majorité de ces post-citoyens qui devront bientôt équiper leurs gosses de frusques qui soient du goût du baron Attal ont préalablement accepté que leur soient appliquées, sous égide de l’OMS, les procédures de la médecine vétérinaire. Les anti-spécistes vous feront remarquer qu’on ne demande pas non plus aux vaches quel avenir elles rêvent pour leurs veaux.

Cette ambiance d’autoritarisme débridé rend certes particulièrement savoureuses les saillies pseudo-girondines dont de fend cet exécutif tyrannique, dans le cadre de la mise en scène scrupuleuse de son virage néo-conservateur :

« qu’il puisse y avoir des territoires et des établissements différents (…) [pour avoir] une vraie méthodologie d’évaluation »

Et si, pour favoriser la fameuse différence, on laissait les parents décider de ce que doivent porter, apprendre etc. leurs propres enfants ? Et si on en finissait avec l’Education nationale ? Et avec Attal ?

Quitter l’UE pour sauver la France ? Eric Verhaeghe à l’université d’été de “Debout la France!”

Quitter l’Union Européenne pour sauver la France ? Telle était la question posée, ce samedi 30 septembre à l’université d’été de Debout la France en présence de Nicolas Dupont-Aignan. Eric Verhaghe a participé au débat. Il a souligné que l’éclatement de l’Union Européenne était inéluctable et qu’il s’agissait de préparer le pays du mieux possible à saisir l’occasion quand elle se présenterait. La discussion a été de haute tenue. Dans son discours de clôture des travaux, Nicolas Dupont-Aignan a insisté sur la participation d’Emmanuel Macron à un véritable coup d’État de l’Union Européenne contre les peuples.

“Faut-il quitter l’UE pour sauver la France ?”. Telle était la question posée aux cinq débatteurs de la table ronde de l’université d’été de “Debout la France” en présence de Nicolas Dupont-Aignan.

Un débat de haute tenue. Y ont participé Philippe Murer, économiste, Julien Aubert, ancien député et vice-président des Républicains, Guillaume Bigot, ancien directeur d’école de commerce et chroniqueur à C-News, Guillaume Rougeyron éditeur. Et, last but not least, Eric, que j’avais accompagné pour représenter le Courrier des Stratèges.

L’éclatement de l’UE est inéluctable. Il faut s’y préparer.

Point d’accord entre tous les orateurs : la France est lentement mais sûrement asphyxiée dans le cadre actuel de l’Union Européenne.

A partir de là, les débatteurs ont divergé, entre ceux qui, tels Philippe Murer et Pierre Yves Rougeyron, affirment que plus rapidement on fera le Frexit, mieux le pays se portera ; Guillaume Bigot, qui pense qu’il s’agit de préparer les esprits ; et Julien Aubert, qui juge que l’on peut encore faire évoluer l’Union Européenne de l’intérieur.

Eric a défendu une position différente : il a insisté sur les contradictions internes, qui rendent l’éclatement de l’Union Européenne inéluctable. Et donc, a-t-il plaidé devant les militants attentifs de “Debout la France”, la question première est de savoir comment la France peut se préparer au mieux, dans l’objectif de tirer le meilleur parti d’une nouvelle configuration européenne.

Un bon et un mauvais Frexit ?

On a senti rapidement émerger un paradoxe. Plusieurs orateurs ont à la fois insisté sur le volontarisme nécessaire (il faut vouloir sortir de l’UE) mais jugé qu’en soi le processus était assez facile (y compris la sortie de l’euro, selon Philippe Murer). Pourtant, les mêmes ont esquivé la question posée par Eric Verhaeghe : est-ce que sortir de l’UE mais garder l’actuel comportement de notre haute fonction publique et la “culture du décret” ferait avancer les affaires des Français ?

Petit à petit on a vu émerger, très clairement, le vrai débat à mener : est-il réaliste de souhaiter la sortie de l’Union Européenne, si c’est pour ne rien changer à la manière dont est dirigée la France ?

C’est tout le sens de la participation d’Eric Verhaeghe et du Courrier des Stratèges à l’université d’été de “Debout la France” : rappeler l’effort que le Général de Gaulle avait exigé du pays, en 1958-59, quand il avait remis le budget en ordre, pour que la France puisse peser à nouveau dans les affaires européennes. Insister sur le nécessaire changement des esprits dans une France qui est autant corsetée par sa propre bureaucratie que par les oukases de Bruxelles.

Prenons-nous en main

En 2023, il s’agit moins d’exiger des sacrifices des Français, qui n’en peuvent plus, que d’imposer une cure d’amaigrissement à un État à la fois obèse et inefficace, qui est l’allié zélé et intéressé de la technocratie bruxelloise.

Il faut donc une révolution de la liberté, une “démocratie liquide” qui réponde à la crise de la démocratie représentative. Donner aux Français les moyens de “se prendre en main”, c’est indispensable si l’on veut saisir pour la France l’occasion que présentera, à plus ou moins brève échéance, la crise de l’UE.

C’est pourquoi le Courrier des Stratèges travaille à la constitution d’une liste citoyenne aux élections européennes.

Souveraineté et liberté

Prenant la parole après la Table Ronde, pour conclure les travaux de la journée, Nicolas Dupont-Aignan, président de “Debout la France!” a dénoncé la complicité d’Emmanuel Macron avec le coup d’État européen en cours.

+ Il a rappelé la manière dont la Commission von der Leyen n’a cessé d’empiéter sur les libertés nationales et individuelles : outrepassant les compétences de l’UE en matière de santé pendant la crise du COVID ; entraînant les pays-membres au-delà de leurs intérêts en ce qui concerne les sanctions avec la Russie ; mettant en place une véritable censure numérique avec le Digital Services Act ; installant, actuellement, une véritable dictature écologique etc….

+ Nicolas Dupont-Aignan, qui envisage d’être à nouveau candidat à la présidence de la République en 2027, a insisté sur la nécessité de remporter rapidement un combat concret : il propose de faire de la défense de l’argent liquide une priorité ! Continuons à faire le maximum de transactions en argent liquide, a-t-il insisté, pour faire échouer le projet d’euro numérique.

C’est en effet un bon exemple de combat civique, pour rétablir nos libertés !

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