Depuis plusieurs années maintenant, un sérieux mal ronge les entreprises à travers le monde : le turnover. Un phénomène bien connu de tous les secteurs, sur lequel même les géants de la tech ont, dans le passé, déjà tous trébuché. Sauf que le problème aujourd’hui, est encore loin d’être solutionné. Combien de temps avant qu’il atteigne la France ? La question se pose. Recruter et fidéliser les talents : le véritable challenge des futurs RH.
Pour comprendre un peu mieux les mécaniques en place, et anticiper tous les cas de figure, nous avons demandé l’avis de Deborah Rippol, Head of talent chez Alan, qui a pu nous répondre avec précision.
Aux États-Unis, surtout dans la Silicon Valley, tout est grand et surréaliste. Les bureaux comme les salaires. Mais, pour fidéliser les salariés, cela ne suffit pas. Deborah Rippol.
Avec une moyenne de 2,02 années — légèrement supérieure à tous les autres —, Facebook est celui qui s’en sort le mieux de tous les grands noms de la baie. Il semble impossible de retenir plus de deux ans leurs salariés. Le constat est le même partout, que l’on regarde chez Google (1,90), Apple (1,89), Amazon (1,84) ou Uber (1,23). Un fléau dû à la pénurie de profils tech hyper qualifiés, entraînant au passage une course aux talents et une inflation quasi immédiate des salaires. Ajoutez à cela un niveau de vie qui grimpe en flèche et l’instabilité des plans de carrière des nouvelles générations : vous obtenez LE casse-tête RH du siècle. Un casse-tête qui pousse les entreprises dans leurs derniers retranchements.
Quelle ne fut pas la surprise de Michael Sayman, 17 ans, en recevant un mail de Mark Zuckerberg en personne : le patron de Facebook souhaitait le rencontrer. Le lycéen ne le savait pas encore, mais après son stage, il deviendrait le futur plus jeune employé de la boîte.
En allant ainsi recruter directement dans les lycées, la Silicon Valley n’était-elle pas déjà en 2013 en train d’abattre ses dernières cartes ?
Michael n’est resté que 2 ans et 9 mois chez Facebook. Il est aujourd’hui chez Google.
Aujourd’hui en France, on constate facilement le nombre important d’entreprises à la recherche de profils tech, mais en réalité, la pénurie ne se limite pas à ce secteur. Un sondage OpinionWay (2018) nous dévoile que ce sont en fait 52% des petites et moyennes entreprises qui rencontrent des difficultés à recruter des profils experts. Plus de la moitié, quel que soit le domaine. Alors, comment faire ?
Parce qu’elles n’ont pas forcément les mêmes moyens, les entreprises en France se focalisent sur des choses plus subtiles que le salaire et les infrastructures. Elles vont par exemple jouer sur la transparence et la flexibilité.
Selon Déborah, pour garder ses équipes soudées, il faut agir à différents niveaux :
L’idée, c’est de créer une grande mécanique bien huilée, qui profite autant à l’entreprise qu’à ses salariés. Il faut donc jouer sur les fondations de l’entreprise et sur les finitions, afin « d’instaurer la confiance avec, mais aussi entre ses salariés », précise Déborah. Elle estime que le secret pour garder ses équipes ne se trouve pas seulement dans les avantages en nature.
Ils ne sont pas à bannir, loin de là, il faut juste ne pas entrer dans une dynamique de surenchère.
Environ un an de salaire : c’est le coût d’un recrutement raté pour une entreprise. Un taux de turn-over élevé peut donc revenir très cher à une boîte. Pour fidéliser ses équipes, l’idée est de créer un environnement fluide et sans accroc pour chacun des employés. Mission impossible ? Loin de là. Pour Deborah, c’est une question de bon sens, de timing et de transparence. Autrement dit, activer les bons leviers au bon moment.
De manière générale, cela passe d’abord par la disponibilité du top management et la responsabilité accordée à chacun des employés.
La hiérarchie influence le taux de turnover, « moins elle est présente, plus il est bas » nous affirme-t-elle, « il faut donc commencer par se pencher sur ces questions-là ». Le style management en place est-il le bon ? Les salariés se sentent-ils suffisamment responsabilisés et écoutés dans leurs activités ? Il faut également faire un état des lieux, pour mettre à jour les différents leviers à portée de main.
Il faut régulièrement se poser des questions du type : mes salariés sont-ils heureux, oui, non, pourquoi ? Doit-on mettre en place un CE ou être plus flexible sur les congés ? Et pourquoi pas les deux ?
Il faut apporter des réponses, passer à l’action et considérer les feedbacks. La transparence ici est vitale. L’entreprise doit avancer main dans la main avec ses salariés, tout en leur offrant plus de liberté, de responsabilité et de flexibilité. Être ouvert et honnête, la seule solution face à ces obligations quelque peu contradictoires.
Le but n’est plus de garder les gens longtemps, mais de les garder motivés, ce qui change tout.
Pour Déborah, la rétention des employés dans une entreprise n’est plus à prendre en compte. Il faut simplement que la boîte reste à l’écoute et offre la possibilité à ses employés de s’épanouir et de rester motivés. Attention toutefois, juste écouter ses salariés ne suffit pas, il faut également leur proposer, car ils ne savent pas forcément ce que leur entreprise peut leur apporter. Sport, billets d’avion, salle de sieste ou cantine bio, il semble difficile d’évoquer une méthode miracle tant les entreprises ont leurs spécificités. Chez Alan, ils ont mis en place quelque chose d’un peu particulier : une holacratie, un système de gouvernance basé sur l’intelligence collective. Autrement dit, « il n’y a pas de manager, chacun peut prendre des décisions en demandant à ses collègues. Plus la décision est importante, plus il faut un grand nombre d’avis ».
Un procédé managérial qui se distingue nettement des procédés classiques de type top-down, dans lequel managers et employés peuvent vite se perdre de vue. Dans une holacratie, chaque employé, chaque idée compte. Quelle que soit la taille de l’entreprise.
Dans une holacratie, petite ou grande structure, il n’y a aucune différence entre les deux. C’est une question d’état d’esprit des fondateurs, une question de culture.
C’est un modèle old school particulièrement efficace — vingt ans qu’il existe — et toujours dans l’air du temps. Comme le souligne Déborah : « Ce modèle convient parfaitement à l’arrivée des millenials. Quelqu’un travaille pour nous depuis six mois en Asie, tout se passe bien ».
D’autres modèles avec des états d’esprit totalement différents existent. Certaines entreprises ne fonctionnent qu’avec des freelances, d’autres permettent à leurs employés de fixer eux-mêmes le montant de leur salaire, ou la durée de leurs vacances. Il n’y a pas de règle à suivre, hormis celle de « repenser l’environnement de travail, en misant sur le confort et les responsabilités de chacun ».
Et pour travailler sur la rétention en entreprise, suivez le cours de Joëlle Salou « Intégrez vos nouveaux collaborateurs« .
À propos de Mathieu :
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En 2019, construire et entretenir son réseau est la clef pour exister aux yeux des recruteurs et saisir de belles opportunités. Et pour cela, pas besoin de spammer votre carte de visite à de parfaits inconnus… Essayez plutôt les réseaux sociaux professionnels.
Parmi les plus populaires, LinkedIn compte 17 millions de membres rien qu’en France. Une mine d’or pour trouver un nouveau job, élargir votre réseau ou découvrir un secteur d’activité. Mais, pour qu’il vous soit vraiment utile, il est indispensable de savoir s’y démarquer.
Pour vous aider au mieux, nous avons interrogé Marina Rogard. Elle est conceptrice-rédactrice et spécialiste en communication sur LinkedIn.
Autodidacte, elle a appris par curiosité les fondements de la communication et des réseaux sociaux et s’est concentrée sur l’écriture, par amour des mots.
Aujourd’hui, elle accompagne les personnes désireuses de faire de LinkedIn leur meilleur allié professionnel et rédige des textes pour le web et ailleurs.
Alors, prêt à personnaliser votre profil, pour tirer profit de cette plateforme ?
Dès la création de votre compte LinkedIn, vous devrez remplir un certain nombre d’informations personnelles et professionnelles. Plus votre profil sera complet et détaillé, plus il sera vu et apprécié. En effet, LinkedIn classe les profils par niveau : Débutant, Intermédiaire, Avancé, Expert et Expert absolu. Ces derniers obtiennent 5 fois plus de demandes de connexion et sont 40 fois plus efficaces.
« Avant de commencer à utiliser la plateforme, il est capital de bien bâtir votre profil. Il doit être complet, soigné et convaincant. Ne le considérez pas comme un simple CV en ligne, voyez-le plutôt comme un portfolio personnel en constante évolution. Et n’oubliez pas que les profils LinkedIn sont parmi les premiers résultats de recherche sur Google : en quelques secondes, un potentiel recruteur a accès à toutes vos informations. Voilà une (première) bonne raison pour mettre toutes les chances de votre côté en travaillant autant le fond que la forme de votre présentation » explique Marina.
Son conseil ? Visez d’emblée un profil Expert en renseignant 100% des informations demandées par la plateforme. Pour cela, voyons en détail comment remplir et optimiser chaque partie de votre profil, pas à pas.
Un profil sans photo est un profil anonyme. Et les profils anonymes ne sont pas très rassurants, n’est-ce pas ?
« La photo ne révèle pas seulement votre identité mais donne confiance aux visiteurs : vous n’êtes pas un robot ou un « fake », mais bel et bien une personne. Et un profil avec photo reçoit 21 fois plus de vues et 9 fois plus de demandes de connexion » confie Marina.
Ses conseils pour choisir le bon cliché:
Une bannière personnalisée attirera le regard. LinkedIn vous en fournit une par défaut, mais vous pouvez la modifier. N’hésitez pas à choisir un beau visuel pour habiller votre profil et donner des indices sur vos passions ou votre secteur d’activité.
« Avec votre photo, la bannière vient renforcer le potentiel de votre profil : telle la couverture d’un livre, elle doit être évocatrice et raconter votre histoire » explique Marina.
Son conseil : utilisez l’outil proposé par le site Canva pour créer votre bannière :
L’intitulé se trouve juste en dessous de votre nom. Il est indispensable de le rédiger et de le faire évoluer au fil du temps. Si vous ne modifiez pas ce champs, LinkedIn indiquera par défaut l’intitulé de votre poste actuel : ainsi, vous serez noyé dans la masse des candidats ayant des fonctions similaires à la vôtre.
« L’intitulé est la première chose que liront vos visiteurs. Sa fonction : indiquer en 120 caractères qui vous êtes, ce que vous faites et quelle est votre proposition de valeur. Pour ma part, je propose ce modèle :
l’intitulé du poste + 2 ou 3 mots-clés principaux + une accroche (une petite phrase pour vous différencier) » poursuit Marina.
Ses conseils pour un intitulé qui en jette :
Le résumé est votre espace d’expression. C’est ici que vous vous présentez et expliquez succinctement votre mission et vos savoir-faire.
« Le résumé a le même rôle qu’une quatrième de couverture : c’est souvent elle qui déclenche un achat. Proposez une présentation différenciante tout en mettant en avant votre expertise. Qui êtes-vous, et qu’est-ce qui vous rend unique ? Votre personnalité doit en ressortir et créer de l’intérêt auprès du visiteur, pour faire en sorte qu’il reste » continue Marina.
Ses conseils pour un résumé convaincant et efficace :
Pour obtenir un profil exhaustif et crédible, accompagnez chacune de vos expériences professionnelles d’un petit résumé. Mentionnez vos missions, les traits saillants de chaque poste, y compris pour les stages ou les expériences bénévoles.
« Les recruteurs veulent savoir ce que vous avez fait, et comment. Détaillez au mieux sans vous épancher ; exprimez-vous là aussi à la première personne ; gagnez en lisibilité en aérant vos paragraphes. L’important, c’est qu’on comprenne vite l’enjeu de chaque poste occupé et sa cohérence par rapport à votre parcours pro » poursuit Marina.
Certaines sections du profil, souvent négligées par les utilisateurs de LinkedIn, peuvent faire la différence :
Les détails qui font la différence
Si vous êtes en recherche active d’emploi, utilisez la fonctionnalité « Open Candidate » (accessible avec un profil gratuit) : les recruteurs sauront directement quel genre de poste vous recherchez.
Avec ces astuces, vous ne tarderez pas à développer un réseau intéressant et à décrocher votre prochain job sur LinkedIn. A bon entendeur…
Suivez ce cours de notre expert François Decaux de LinkedIn pour améliorer votre Personal Branding sur Internet.
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La meilleure – et la pire – des choses en tant que développeur Web est le fait que le Web change constamment. Cela signifie également que vous devez toujours être proactifs dans l’apprentissage de nouveaux langages de programmation, vous adapter aux changements et être prêts et désireux d’accepter de nouveaux défis.
Cela peut inclure des tâches telles que mettre à jour les infrastructures existantes pour répondre aux exigences de l’entreprise, le test d’un site Web pour identifier les problèmes techniques ou optimiser les performances de l’infrastructure développée.
C’est pourquoi nous avons décidé de vous créer une liste exhaustive d’outils en développement web par spécialité pour vous aider à être plus productifs, à vous tenir informés et mieux performer en tant que développeurs.
Aujourd’hui, le développement Front-end occupe une part de plus en plus importante en entreprise et ce afin d’améliorer l’interaction utilisateur, les performances, l’interactivité et l’apparence d’une application. Voici une liste de cinq outils qui vous aideront à remplir ces objectifs.
Commençons par les bases : un éditeur de code de premier ordre, doté d’une interface utilisateur bien conçue, ultra efficace et rapide. Vous me direz qu’il y a d’autres options, mais la meilleure (et la plus populaire) est sans doute Sublime Text.
Astucieusement géré par une équipe de développement composée d’une seule personne, le secret du succès de Sublime Text réside dans la multitude de raccourcis clavier du programme, tels que la possibilité d’effectuer des modifications simultanées (en effectuant les mêmes modifications interactives dans plusieurs zones sélectionnées), ainsi qu’une navigation rapide vers des fichiers, symboles et lignes. Et lorsque vous passez plus de huit heures par jour avec votre éditeur, ces secondes économisées deviennent précieuses.
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Ne serait-il pas formidable de pouvoir modifier votre code HTML et CSS en temps réel ou de débugger votre code JavaScript tout en affichant une analyse approfondie des performances de votre site web?
Les outils de développement Google Chrome intégrés à Google vous permettent de le faire. Intégrés et disponibles à la fois dans Chrome et Safari, ils permettent aux développeurs d’avoir accès aux éléments internes de leur application Web. De plus, une palette d’outils réseau peut vous aider à optimiser vos flux de chargement, tandis qu’un calendrier vous permet de mieux comprendre ce que le navigateur fait à un moment donné.
Google publie une mise à jour toutes les six semaines. Consultez leur site Web ainsi que leur chaîne YouTube pour actualiser vos compétences.
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JavaScript a longtemps été considéré par les développeurs comme un langage de base essentiel, bien qu’il ne soit pas dépourvu de problèmes : sa syntaxe un peu compliquée et inapprochable, ses incohérences avec certains navigateurs, font que les fonctionnalités développées en pâtissent souvent.
C’était sans compter, en 2006, le lancement de jQuery, une petite bibliothèque JavaScript rapide et multiplateformes visant à simplifier le développement front. En simplifiant une grande partie des fonctionnalités qu’il incombait généralement aux développeurs de produire par eux-mêmes, jQuery a permis une plus grande marge de manœuvre pour la création d’animations, l’ajout de plugins, etc.
Et c’est clairement un succès : en 2015, jQuery était par exemple la bibliothèque JavaScript la plus populaire, étant installée sur quelque 65% des 10 millions de sites Web les plus visités.
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Faire des erreurs embêtantes appartient désormais au passé. Bienvenue dans les systèmes de contrôle de version (le versioning) et plus précisément dans GitHub.
En déployant votre projet avec le service, vous pouvez afficher toutes les modifications que vous avez apportées ou même revenir à l’état précédent d’un commit. Le service bénéficie également d’une riche communauté et fournit plusieurs autres composants tels que le suivi des bugs, les demandes de fonctionnalités, la gestion des tâches et les wikis pour chaque projet.
De nombreux employeurs recherchent des personnes avec des compétences pointues en Git. C’est donc le moment idéal pour vous inscrire. De plus, c’est un excellent moyen de vous impliquer et d’apprendre des meilleurs avec un large éventail de projets Open Source sur lesquels travailler.
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Fatigué de taper le même style pour un conteneur ? Une fois que vous aurez commencé à régulièrement créer des applications front, vous constaterez des répétitions.
Les frameworks d’interface utilisateur tentent de résoudre ces problèmes en résumant les éléments communs en modules réutilisables. Les développeurs peuvent développer leurs nouvelles applications plus rapidement et simplement.
Le plus largement utilisé de ces frameworks est Bootstrap, un package d’interface utilisateur complet développé par l’équipe de Twitter. Doté outils pour normaliser les feuilles de style, créer des objets modaux, ajouter des plugins JavaScript et une multitude d’autres fonctionnalités, Bootstrap peut considérablement réduire la quantité de code (et le temps) nécessaire à la création de votre projet.
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L’une des premières choses que vous apprendrez sur le code est qu’il doit être DRY (« Don’t Repeat Yourself »). La deuxième chose que vous apprendrez probablement est que le CSS n’est généralement pas très DRY.
Entrez dans le monde du préprocesseur CSS, un outil qui vous aidera à écrire du code maintenable et évolutif, tout en réduisant la quantité de CSS que vous devez écrire (en le gardant DRY).
Le plus populaire d’entre eux est peut-être Sass, un projet Open Source vieux de huit ans qui définissait assez bien le genre des préprocesseurs CSS modernes. Bien qu’elle soit quelque peu difficile à comprendre au début, la combinaison de variables, d’imbrication de Sass, rendra le CSS simple lors de la compilation. De quoi rendre vos feuilles de style plus lisibles et (plus important encore) DRY.
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À propos de l’auteur
Salut , je suis Joffrey, développeur web basé sur Paris. Je suis passionné par WordPress, l’e-marketing et
l’écriture d’articles sur des sujets Tech. Freelance depuis plusieurs années, je partage avec vous des tutos, des conseils et mon expérience afin que vous puissiez mieux gérer vos projets web.
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Qu’est-ce qui incite à devenir mentor ?
Nous avons posé la question à quelques-uns de nos plus anciens et fidèles mentors :
Olivier : j’étais dans l’enseignement et l’informatique, à Strasbourg. J’aime bien apprendre, et j’ai suivi beaucoup de cours sur OpenClassrooms. Quand j’ai vu l’annonce de recrutement des premiers mentors il y a 2 ans, j’ai postulé. Cela m’a paru naturel : cela fait le lien entre mes deux métiers, l’enseignement et l’informatique. C’est aussi un complément de revenus.
Aurélien : je suis indépendant basé en Equateur depuis plusieurs années, mais je garde une grande partie de mon activité en France : j’y ai des clients startups et PME. Le mentorat sur OpenClassrooms convient à mon activité à distance. Je le fais parce que j’ai toujours aimé partager, transmettre – j’ai même formé moi-même des jeunes au développement informatique.
Je trouve aussi motivant d’appartenir à l’équipe d’OpenClassrooms, qui fait un travail extraordinaire dans l’éducation : je peux ainsi participer au projet, et partager avec d’autres mentors. Ca m’aide également à améliorer ma manière de travailler en tant que freelance.
Stéphane : j’ai été sollicité au départ par un ancien collègue qui travaillait chez OpenClassrooms, pour mentorer sur le parcours Gestion de projet. J’aime beaucoup la diffusion de connaissances, et le côté réseau social également, le partage entre mentors.
Séverine : moi j’ai fait un changement de vie, une reconversion dans le web : je me suis formée en partie sur OpenClassrooms, et j’ai été l’une des premières à suivre le premier parcours certifiant Développeur Web Junior sur OpenClassrooms. J’ai été sollicitée par Mathieu (Nebra, fondateur d’OpenClassrooms) pour voir si j’étais intéressée par le mentorat, lors de son lancement. Cela a été une opportunité d’entrer dans ce nouvel univers, et aussi de partager et de montrer à d’autres que c’était possible, en tant que femme, et en tant que personne pas très jeune (+ de 40 ans). J’aime partager mes connaissances, me dépasser, et aider les gens à changer de vie.
Guillaume : oui, j’aime toujours autant l’idée de partager des compétences, de former des élèves pour les amener le plus loin possible, et leur permettre d’être recherchés sur le marché du travail.
Benoît : aujourd’hui, je consacre plus de temps au mentorat qu’au début. Et cela me plaît autant sinon plus : j’ai moi aussi gagné en professionnalisme et j’ai enrichi ma connaissance des technologies abordées. J’ai enfin eu l’occasion d’accompagner des personnes très différentes, ce qui a enrichi mon expertise en tant que mentor.
Certains mentorés partent de zéro, sont en complète reconversion professionnelle. C’est grisant de les accompagner : j’aime l’idée de casser les codes du système scolaire classique, de faire en sorte que tout devienne possible, d’aider tout un chacun à coder… avec un certain niveau d’exigence et de professionnalisme.
Philippe : mes motivations par rapport aux étudiants n’ont pas changé. La transmission du savoir est mon moteur. Je suis aussi un peu de la vieille école, je n’hésite pas à leur passer – gentiment – un petit savon quand ils n’ont pas travaillé – c’est pour eux qu’ils bossent.
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Depuis quelques années, le métier d’UX designer a le vent en poupe. Cet architecte de nos outils numériques est de plus en plus demandé dans les petites entreprises comme dans les grands groupes. Nous nous sommes penchés sur les raisons qui rendent ce métier particulièrement passionnant.
L’UX designer changerait-il la vie des gens ? N’est-ce pas un peu exagéré ? Réfléchissons à la manière dont Apple a transformé nos vies et nous verrons l’impact qu’un design révolutionnaire et une expérience utilisateur extraordinaire ont sur nos existences depuis 15 ans.
Le métier de l’UX designer, c’est d’améliorer les interfaces utilisateurs sur tous les supports (site internet, objet numérique, application mobile, etc) pour les rendre plus intuitives et agréables à utiliser.
En amont de la création pure, l’UX designer discute avec le client pour définir ses besoins, et pendant la phase de développement, il teste les solutions. Et tous les professionnels du milieu l’assurent, c’est grisant lorsque les utilisateurs leur disent que leur produit est génial.
Au même titre que les équipes commerciales ou les développeurs, l’UX designer “construit” le produit.
Parmi ses missions les plus stratégiques, il définit les profils types des clients qui vont utiliser le produit, et fait un “mapping” de tests utilisateurs pour déterminer quel chemin, quelle fonctionnalité doivent être adoptés.
Ses découvertes sont une réelle “boussole” pour construire le produit. Elles ont d’ailleurs du poids, puisqu’elles s’appuient sur des tests quantitatifs et qualitatifs.
Pour améliorer l’expérience utilisateur, l’UX designer doit inventer au quotidien de nouvelles solutions créatives. Aucun projet ne ressemble aux autres, les stratégies changent en fonction des produits, des cibles et des secteurs.
Devenir UX designer, c’est donc l’assurance de ne jamais s’ennuyer, et de pouvoir utiliser son esprit analytique et sa créativité tous les jours.
Pour exercer ce métier, il faut avoir à la fois :
La curiosité et la polyvalence intellectuelle qui sont donc nécessaires en font un métier passionnant.
ProductHunt, l’Apple Store, TechCrunch ou encore les sites spécialisés de design… Cela fera partie de votre job d’être curieux de tout ce qui se fait au niveau technologies.
En outre, le métier est appelé à évoluer en fonction des nouveaux terminaux : demain, on imagine bien un UX designer travailler sur des objets connectés ou de la réalité virtuelle, ce qui demandera une mise à jour des compétences et devrait s’avérer passionnant.
En cela, on peut dire que l’UX designer, au même titre qu’un responsable produit, devrait être acteur de la construction de ces objets connectés et nouveaux terminaux, puisqu’il y définira l’expérience utilisateur.
La culture du partage fait partie intégrante du crédo de la communauté internationale des designers.
Entrer dans cette communauté, cela veut dire que non seulement vous pourrez (et devrez) partager votre savoir, vos bons plans, vos découvertes, mais aussi que vous pourrez demander de l’aide.
Il n’est pas rare qu’un UX designer expérimenté soit le mentor d’un plus jeune, ou que des professionnels du milieu se penchent sur un projet pour partager des avis, ou des bonnes pratiques qui aident à avancer.
En freelance, en CDI dans une entreprise de la taille et du secteur que vous souhaitez… En france ou à l’international, ou même en voyage, vous aurez le choix de l’offre que vous accepterez, en fonction de votre chemin de vie et conception du travail.
L’UX designer a de nombreuses casquettes : sociologue, architecte 2.0, consultant, product manager, même parfois développeur. Le métier vous ouvre donc bien des portes, et peut amener vers une carrière verticale dans l’UX design, ou des postes connexes de Product Manager, Développeur web, UI designer, ou encore consultant. À vous donc de savoir quel tournant vous souhaitez donner à votre carrière
L’article Devenir UX Designer, une bonne idée ? est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.
L’objet de cet article est de vous donner toutes les informations sur les modalités de ces stages, pour que vous puissiez savoir si vous y êtes éligible dans le cadre de votre parcours, et comment procéder pour en demander un.
Si vous avez des questions, posez-les directement en commentaire afin que tout le monde puisse bénéficier des réponses. Si vous avez un doute, d’autres personnes le partagent sûrement sans pour autant le formuler.
Chaque jour chez OpenClassrooms, nous voyons fleurir de belles histoires. Celle de Laurent qui travaillait dans le jardinage avant de se reconvertir, après un an à suivre le parcours Chef de projet multimédia – option développement d’OpenClassrooms, il a été embauché en tant que développeur front-end et, quelques mois plus tard, passait manager de son équipe.
Celle de Sylvie aussi : après une carrière de professeur de mathématiques, elle est devenue développeuse front-end et elle est à présent freelance en création de sites web. Nous vous souhaitons une aussi belle réussite que ces deux étudiants, et tant d’autres !
Et nous avons voulu aller plus loin en proposant à nos étudiants d’effectuer un stage en entreprise. Au cours d’un stage, vous validerez en effet les compétences acquises sur les projets, et approfondirez votre pratique, pour maîtriser toujours mieux votre métier.
Voici ce que vous verrez sur la page de votre parcours si votre parcours est éligible à un stage (pour vérifier, rendez-vous ici).
Avant toute chose, et surtout avant de solliciter les conseillers pédagogiques, il vous faut trouver l’entreprise où vous allez effectuer votre stage.
Pour vous aider, nous vous conseillons de suivre le cours sur le Personal Branding, qui va vous aider à être attractif auprès des employeurs, et de consulter ces ressources :
À lire AVANT de rédiger votre CV :
Les dix questions à se poser avant de rédiger son CV
Nos 8 conseils pour améliorer votre CV
10 conseils indispensables pour rendre votre CV attractif
Un article sur le fait d’enjoliver son CV (ou pas)
Quelques informations sur votre lettre de motivation :
Les indispensables qui feront la différence
La lettre de motivation est-elle morte ?
Quelques conseils pour épater votre recruteur en entretien :
Les conseils de Mathieu Nebra pour faire comme les meilleurs candidats en entretien
Les conseils d’Honorine Jollans, experte RH, pour réussir votre entretien
Les pires et meilleures questions à poser à un recruteur
Les bonnes questions pour la fin de l’entretien
Un article sur la communication non verbale
Et enfin, nos conseils pour accélérer votre recherche.
Vous arriverez sur un formulaire où vous pourrez renseigner toutes les informations relatives à votre stage, qui permettront aux conseillers pédagogiques d’éditer votre convention de stage. Au programme, notamment votre identité, vos coordonnées, la durée de votre stage et ses dates, le nom et l’adresse de l’entreprise, etc.
Les conseillers pédagogiques pré-remplissent une partie de la convention de stage, puis vous l’adressent ainsi qu’à l’entreprise qui vous accueillera pour remplir l’ensemble des données nécessaires. Une fois toutes les données remplies, cette convention est signée électroniquement par toutes les parties (vous-même, votre entreprise d’accueil et OpenClassrooms). Vous serez alors paré pour faire votre stage.
Bonne chance !
L’article Tout savoir sur les stages dans un parcours OpenClassrooms est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.