La pandémie de COVID-19 a mis en évidence des disparités importantes dans la gravité de la maladie, les personnes âgées étant plus susceptibles de développer des formes graves de la maladie et de décéder. Une étude dirigée par l’Université de Californie et publiée dans Science Translational Medicine a examiné les mécanismes sous-jacents à cette vulnérabilité accrue chez les personnes âgées.
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Selon les autorités sanitaires britanniques, tant que le Covid-19 sera présent, le risque d’apparition de nouveaux variants existe. Un discours de peur qui est rabâché depuis 2021 par les organisations internationales et les gouvernements d’un certain nombre de pays occidentaux .Ainsi, l’Agence britannique de sécurité sanitaire souligne l’importance pour les personnes à risque de se faire vacciner afin de renforcer leur immunité. Bien que les effets secondaires de la vaccination Covid soient particulièrement à risque, les autorités sanitaires britanniques poursuivent leur politique sanitaire qui repose sur le déni de réalité.
Déjà en 2022, le ministre Michael Gove avait déclaré que le Royaume-Uni est en train d’arriver à un stade où il est possible de « vivre avec le Covid ». Cependant, le climat de peur propre à justifier les contraintes d’ordre sanitaire, comme la vaccination, n’en finit pas.
Dernièrement, le ministre de la santé, Maria Caulfield a déclaré que le gouvernement s’engage à protéger les plus vulnérables contre le Covid-19. En parallèle, le Dr Mary Ramsay de l’Agence britannique de sécurité sanitaire, en rajoute une couche en déclarant : « le Covid- continue à se propager chez les personnes âgées et celles qui ont un système immunitaire affaibli… le vaccin offre la meilleure protection alors ne le remettez pas à plus tard ».
Selon l’Agence britannique de sécurité sanitaire, à compter de ce lundi, les personnes éligibles pourront réserver un vaccin gratuit auprès du système national de réservation du NHS (National Health Service). Selon le NHS, cette campagne se poursuivra jusqu’au 30 juin
Notons que pour la première fois, des vaccins privés sont également disponibles en marge de la campagne publique. Les personnes âgées de plus de 12 ans disposant des moyens nécessaires peuvent désormais se faire vacciner en privé, moyennant un coût variant entre 45 £ (52.5 euros) et 99 £ (115.8 euros). Ces vaccins privés sont proposés dans des pharmacies et cliniques privées.
Les vaccins de rappel sont offerts aux personnes de 75 ans ou plus, aux résidents des maisons de soins pour personnes âgées et aux individus de 6 mois et plus dont le système immunitaire est affaibli.
La liste des personnes éligibles à ces injections gratuites sera publiée par le système de santé publique. Elles pourront recevoir le vaccin auprès des médecins de famille, des pharmacies et des centres sans rendez-vous.
Selon le directeur national des vaccinations et du dépistage du NHS, Steve Russel, ce rappel a été conçu pour prévenir le risque de complications majeures, d’hospitalisation et de décès causés par le Covid-19.
Pour autant, un rapport met en lumière une préoccupation croissante liée à la surmortalité due aux maladies cardiovasculaires au Royaume-Uni. Les données, couvrant la période de 2010 à 2022, montrent une augmentation significative, atteignant 44% en 2022, suggérant une accélération inquiétante des décès et des handicaps dans cette tranche d’âge.
L’enquête publique Covid-19 actuelle, présidée par l’ancienne magistrate Heather Hallett, traite différents sujets et elle a été divisée en plusieurs phases . La troisième phase portant sur le développement des vaccins anti-Covid, leur efficacité et leur sécurité, était censée débuter au cours de l’été 2024, mais elle sera sans doute reportée. Pour le moment, aucun calendrier des audiences n’a été publié.
Depuis le lancement des vaccins contre le Covid-19, en 2021, le plus grand flou règne sur l’ampleur des effets secondaires de ces injections. Chaque jour, l’administration Biden semble démunie face à cette résurgence du scepticisme des Américains à l’égard des vaccins, avec l’absence d’un plan global pour contrer ce mouvement qui prend de l’ampleur. Une récente étude publiée dans la revue médicale JAMA a examiné les données du système fédéral de notification des événements indésirables des vaccins (VAERS), et a révélé une corrélation entre l’orientation politique d’un État et le nombre de rapports d’effets secondaires du vaccin.
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Début septembre 2023, les autorités sanitaires américaines ont lancé le mythe d’une nouvelle vague de covid. Pour justifier le déploiement des injections de rappel bivalent Covid, le Centre américain de contrôle et de prévention des maladies (CDC) argue que le nombre d’infections et d’hospitalisations dues au COVID a augmenté. Dans ses nouvelles directives, les CDC ont indiqué que les personnes âgées de 65 ans et plus devraient recevoir un rappel de vaccin Covid-19 au printemps 2024. Bien que le CDC recommande les nouveaux vaccins pour toutes les personnes âgées de 6 mois et plus depuis le mois de septembre 2023, la confiance à l’égard de la vaccination Covid s’érode, seule une minorité des Américains ont été vaccinés jusqu’à présent.
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Le COVID-19 (ou les effets de la vaccination selon les médecins de l’Alliance FLCCC) a entraîné l’émergence d’un ensemble de symptômes persistants chez de nombreux patients, communément appelés COVID long. À cet effet, une étude menée par l’Université de Californie à Los Angeles (UCLA) offre des perspectives. Publiée dans le Journal of Psychosomatic Research, cette recherche explore l’efficacité des thérapies autorégulées chez les patients souffrant de COVID long.
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Une nouvelle étude canadienne vient de mettre à jour un problème lié aux vaccins contre le Covid-19. En effet, selon l’étude des personnes ayant reçu un vaccin ont souffert du syndrome de thrombocytopénie induit par le vaccin (VITT) et la thrombocytopénie immunitaire (PTI). Cette étude rétrospective monocentrique examine la prise en charge de ces événements chez les patients vaccinés contre le COVID-19, mettant en lumière les défis cliniques et les stratégies thérapeutiques employées pour y faire face. Les vaccins COVID malgré leurs effets secondaires ont été minimisés par l’industrie pharmaceutique, les autorités de régulation sanitaire et les médias subventionnés.
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Serum Institute India a produit le vaccin contre le Covid-19 AstraZeneca sous la marque Covishield et les injections Covid à base de protéines de Novavax. En raison de la chute des demandes des vaccins Covid-19, le Serum Institute a annoncé son intention de réaffecter ses installations de fabrication de vaccins contre le COVID-19 pour produire des vaccins contre le paludisme et la dengue.
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L’OMS et la Maison-Blanche ont déclaré que la fin de la phase d’urgence ne signifie pas que le danger est écarté, car le virus est toujours parmi nous. Actuellement, on commence à retrouver une vie normale. Les règles sanitaires se sont assouplies. Aux Etats-Unis,voici quelques informations sur les recommandations de santé publique les plus récentes sur le Covid-19. Wahsington continue à relancer la folie covidienne et exhortent le public aux injections de rappels.
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En 2021, la question de l’efficacité du vaccin Covid, notamment de l’ AstraZeneca (AZ), a toujours été posée, avant même son autorisation de mise sur le marché en Europe. Une erreur de dosage lors des essais avait semé le doute. Dans de nombreux pays, les cas suspects d’effets secondaires graves se sont multipliés, présentés malheureusement statistiquement comme négligeables par les autorités sanitaires. Au Royaume-Uni, quelques jours après avoir reçu leur vaccin, des patients seraient décédés. Comme toujours, on multiplie les précautions (et les dénis quand c’est nécessaire) pour éviter de reconnaître un lien direct entre le vaccin et le décès. Malgré les affirmations du gouvernement selon lesquelles aucun lien entre le vaccin et la surmortalité n’a été établi, un groupe multipartite a réclamé la transparence totale des données pour étayer ces déclarations. Cette demande a suscité un débat animé et des appels à l’action immédiate.
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La gestion des effets secondaires des vaccins Covid a été au centre de préoccupations croissantes, notamment en ce qui concerne la réactivité et la transparence des régulateurs. Les députés ont récemment exprimé leurs inquiétudes concernant l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA), soulignant des lacunes dans la communication et la gestion des risques associés aux vaccins. La réponse de la MHRA, qui se définit comme un “facilitateur” plutôt qu’un “chien de garde”, a été jugée insatisfaisante par les députés, qui exigent des mesures concrètes pour garantir la sécurité des patients et renforcer la confiance du public dans le système de régulation médicale.Selon le discours officiel, les injections anti-Covid sauveraient des vies parce qu’elles empêchent les formes graves de Covid. Mais cette affirmation pose un vrai problème puisque les effets indésirables des vaccins sont pour la plupart sous-déclarés et qu’un risque pour la vie humaine ne peut pas être exclu. Le manque de transparence sur ces sujets est de plus en plus couvert par nos dirigeants et bien sûr par les médias subventionnés.
La MHRA prend en charge l’approbation des médicaments et des dispositifs de lutte contre le Covid-19. Elle était aussi censée surveiller les effets secondaires des traitements. Selon l’APPG, elle a manqué à ses obligations. Dans une lettre adressée au président du comité de la santé, Steve Brine, les députés ont déclaré que la MHRA n’a pas signalé les effets secondaires du vaccin Covid. Pourtant, il y a de nombreuses raisons de croire qu’elle était déjà au courant de leur existence.
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Grâce à la crise sanitaire, l’industrie des vaccins et des biotechnologies a réalisé en moins de 2 ans un chiffre d’affaires qu’elle n’aurait pu espérer obtenir en 15 ans. Le résultat Moderna pour le dernier trimestre de l’année 2023 était surprenant. Alors que les prévisions annonçaient une perte de 99 cents par action, le fabricant de vaccin contre le Covid-19 a enregistré un gain de 55 cents par action. Son chiffre d’affaires était aussi au-dessus des estimations. Jeudi, l’action Moderna a grimpé après avoir dépassé les attentes trimestrielles de Wall Street. Cette performance a été soutenue par des revenus différés inattendus de 600 millions de dollars et des économies de coûts d’environ 300 millions de dollars. Malgré le déclin des ventes liées au COVID, la société vise à renouer avec la croissance en 2025 avec le développement de ses vaccins contre le cancer et le CMV.
Selon FactSet, Moderna devrait s’attendre à une pette de 99 cents par action au cours du dernier trimestre de l’année 2023. Mais par surprise, la société a eu droit à un gain de 55 cents par action. Elle a aussi déclaré un chiffre d’affaires de 2,9 milliards de dollars qui a dépassé les prévisions de 2,51 milliards de dollars. En d’autres termes, le fabricant de vaccins contre le Covid-19 a enregistré un bénéfice surprise.
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Bien que les vaccins à ARNm contre la Covid soient déclarés sûrs et efficaces, une étude révèle un effet secondaire inattendu. Deux effets secondaires nouveaux, mais extrêmement rares du vaccin Covid-19 ont été détectés par des chercheurs dans le cadre de la plus grande étude sur l’innocuité des vaccins à ce jour. Les conséquences médicales de ces vaccins à ARNm restent encore largement inexplorées.
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La question des risques du vaccin n’est pas nouvelle. Un groupe d’experts internationaux en vaccins a mené une vaste étude sur les vaccins contre le Covid-19. Ils ont découvert que les injections favorisaient le développement de différentes pathologies incluant notamment les troubles neurologiques, sanguins et cardiaques. Cela dit, l’équipe a affirmé que le risque reste relativement faible. Quoi qu’il en soit, une étude plus approfondie est nécessaire concernant les liens entre les vaccins et certains troubles.
Un groupe international de chercheurs a réalisé une étude de cohorte multinationale du Réseau mondial de données sur les vaccins (GVDN) portant sur 99 millions de personnes vaccinées contre le Covid. En réalité, cette coalition d’experts avait recherché 13 troubles de santé sur les 99 millions d’individus vaccinés dans 8 pays. Leur objectif était d’identifier les taux les plus élevés de ces maladies suite à l’administration des vaccins. Ils ont alors découvert que les injections Pfizer, Moderna et AstraZeneca augmentent le risque de développer des troubles cardiaques, sanguins et neurologiques.
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Une grande partie de la population a développé une immunité contre le SARS-CoV-2 suite à une infection. Après une infection, le corps produit des anticorps immunitaires humoraux qui peuvent rester dans le sang pendant plusieurs semaines. Des recherches antérieures ont montré que ces anticorps offrent une protection contre la réinfection pendant au moins sept mois. Cette étude vise à examiner la persistance des anticorps circulants du SRAS-CoV-2 après une infection au COVID-19 sur une période de suivi de 18 mois, ainsi qu’à évaluer le risque de réinfection chez les personnes non vaccinées.
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Depuis le 11 septembre 2023, face à une prétendue hausse des cas liés à la souche EG. 5, surnommée «Eris», les autorités sanitaires fédérales ont recommandé l’administration des vaccins anti- Covid-19 mis à jour pour les personnes âgées de 6 mois et plus. De nouveau, les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) américains envisagent de recommander un rappel du vaccin Covid au printemps pour les groupes les plus vulnérables. Cette mesure vise à renforcer la protection contre le virus, notamment pour les personnes âgées et les individus immunodéprimés. Bien que les effets secondaires de la vaccination Covid soient particulièrement à risque, les autorités sanitaires américaines poursuivent leur politique sanitaire qui repose sur le déni de réalité. Si les autorités sanitaires américaines s’attendaient à ce que des millions de personnes reçoivent leur injection, il n’en est rien.
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Depuis le lancement des vaccins contre le Covid-19, en 2021, le plus grand flou règne sur l’ampleur des effets secondaires de ces injections. Cela ne fait qu’accroître le doute de la population américaine.La républicaine Marjorie Taylor Greene, a récemment contesté les statistiques sur le nombre de vies sauvées par les vaccins contre le Covid-19, remettant en question l’expertise médicale de Marks. En effet, le Dr Peter Marks, directeur de l’évaluation et de la recherche sur les produits biologiques à la Food and Drug Administration, a déclaré « environ 3,2 millions » de vies américaines ont été sauvées par les vaccins contre le Covid. Marjorie Taylor Greene a déclaré qu’elle pouvait reconnaître les “conneries” quand elle les entendait. L’influence croissante de l’activisme anti-vaccin, soutenu par certaines factions du parti républicain, inquiète les responsables de la santé publique qui accusent ce mouvement de propager des théories du complot dangereux. L’administration Biden espère que ça finira par disparaître.
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Selon une étude observationnelle publiée dans eClinicalMedicine, les médicaments antiviraux Azvudine et Paxlovid (nirmatrelvir/ritonavir) ne permettent pas de prévenir les décès chez les patients âgés hospitalisés recueillis en Chine. Les résultats de l’étude ont révélé que ni l’azvudine ni le Paxlovid n’ont montré de bénéfice significatif en termes de survie. Malgré l’utilisation de ces antiviraux, une proportion notable de patients est décédée pendant le suivi, mettant en évidence les défis posés par la prise en charge de la COVID-19 chez les personnes âgées, qui sont souvent atteintes de multiples maladies chroniques.
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En 2021, la question de l’efficacité du vaccin Covid, notamment de l’ AstraZeneca (AZ), a toujours été posée, avant même son autorisation de mise sur le marché en Europe. Une erreur de dosage lors des essais avait semé le doute. Dans de nombreux pays, les cas suspects d’effets secondaires graves se sont multipliés, présentés malheureusement statistiquement comme négligeables par les autorités sanitaires. Au Royaume-Uni, quelques jours après avoir reçu leur vaccin, des patients seraient décédés. Comme toujours, on multiplie les précautions (et les dénis quand c’est nécessaire) pour éviter de reconnaître un lien direct entre le vaccin et le décès. Dernièrement, lors d’un forum public sur GB News, un Britannique nommé John Watt a exprimé sa colère face aux effets secondaires qu’il attribue au vaccin Covid-19. Il a directement interpellé Rishi Sunak, demandant des réponses sur les souffrances endurées par lui-même et d’autres personnes touchées.
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Si le Covid-19 a affecté physiquement les individus, selon une étude d’une équipe de l’Université de Boston publié dans le Journal of Sexual Medicine, la santé sexuelle des femmes a également été affectée par le covid. L’équipe de l’Université de Boston a mené une étude visant à évaluer l’impact nocif du Covid sur la vie sexuelle des femmes. Il s’agit d’un sujet qu’on évoque rarement. Notons que des recherches précédentes ont été réalisées, mais elles concernaient plutôt la vie sexuelle des hommes.
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‘The discovery of the Extended VIPERIN Pathway (X-VIP) has greatly extended the knowledge of the VIPERIN anti-viral pathway..’
‘For some people, these impacts…can result in long-COVID or post-acute COVID-19 syndrome (PACS)..’https://t.co/0gGBDJGVeD
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Une nouvelle étude menée par Centres de lutte et de prévention des maladies (CDC) américains a examiné l’efficacité des derniers vaccins contre la COVID-19. Sur un échantillon de 9 000 personnes testées dans des pharmacies CVS et Walgreens, les résultats ont montré une efficacité de 54 % pour prévenir l’infection symptomatique chez les adultes. Cette étude représente la première évaluation américaine de l’efficacité des vaccins contre les variants récents du Covid. Malgré une vaccination complète chez ses patients, les chercheurs soulignent que ses injections multiples n’ont pas permis d’augmenter le niveau d’anticorps neutralisants des patients contre les variants Covid.
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Pour faire face à une énième vague de Covid, nos gouvernements ont toujours opté pour une vaccination généralisée et expérimentale utilisant de nouvelles technologies, pour la majorité à ARN messager. Dans nos colonnes, nous avons toujours alerté sur les effets indésirables et inquiétants, voire potentiellement mortels de ces vaccins. Une étude de cas de 2022, publiée dans le Journal of Endocrinological Investigation, a révélé que sur 83 cas signalés de troubles thyroïdiens après la vaccination contre la COVID-19, 68 % l’étaient après une vaccination avec des vaccins à base d’ARNm.
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Les effets secondaires des vaccins Covid-19 commencent à ne plus pouvoir être camouflés. Depuis quelques mois, des milliers de cas de troubles menstruels qui surviennent après la vaccination ont été signalés. Après avoir mené une étude dans le cadre de la surveillance renforcée des vaccins anti-COVID-19, l’étude pharmaco-épidémiologique d’EPI-PHARE a analysé le risque de saignements menstruels abondants nécessitant une hospitalisation après la vaccination en France. L’étude confirme une hausse du risque de saignements menstruels abondants après la primovaccination par un vaccin Covid à ARNm. Cette étude renforce l’évidence d’un risque accru de saignements menstruels abondants dans les 3 mois après la primovaccination anti-COVID-19 par vaccin à ARNm.
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Dès leur apparition, les vaccins à ARNm contre le Covid-19 ont fait l’objet de nombreuses critiques. Le terme “turbo-cancers” ne correspond à aucun concept médical établi, popularisé par Alexandra Henrion-Caude, ancienne directrice de recherche à l’INSERM, désormais une figure influente parmi les opposants à la vaccination contre le coronavirus. Elle affirme que depuis la vaccination de masse, il a été constaté que des cancers se développent chez les personnes vaccinées.
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Alors que la demande pour les vaccins anti-Covid a considérablement diminué. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) vient d’ approuver l’inscription d’un nouveau vaccin anti- COVID-19 sur la liste d’utilisation d’urgence (EUL). Sous le nom de Corbevax, ce vaccin est à base de protéines recombinantes développées par des scientifiques du Texas Children’s Hospital et du Baylor College of Medicine.
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En 2021, pionnière dans la vaccination, l’Angleterre a atteint un taux de vaccination de 80%… mais le nombre de cas quotidien a continué à exploser, ce qui soulève d’importantes questions sur l’efficacité des vaccins eux-mêmes. Une étude publiée dans The Lancet souligne que plus de 7 000 hospitalisations liées à la COVID-19 auraient pu être évitées au Royaume-Uni à l’été 2022 si la population avait suivi les recommandations complètes de vaccination. Avec un saut de 44% dans la population sous-vaccinée, les plus jeunes sont identifiés comme les plus susceptibles de sauter des doses. Cette étude, qui analyse les dossiers médicaux de toute la population britannique de plus de cinq ans, est la première du genre.
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L’enquête officielle sur la réponse du gouvernement à la pandémie se poursuit. Néanmoins, l’enquête Covid ne commencera pas à entendre des preuves sur le développement de vaccins et d’autres médicaments cet été, comme prévu initialement. Présidée par l’ancienne magistrate Heather Hallett, les auditions des témoins seront reportées à une date ultérieure, probablement après les prochaines élections générales.
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Après des résultats records en 2022, la société de biotechnologie américaine, Moderna, a enregistré une chute spectaculaire des ventes de son vaccin anti-Covid19 au cours du second trimestre de l’année 2023. Moderna a annoncé que son chiffre de ventes préliminaire des vaccins contre le Covid s’élèverait à 6,7 milliards de dollars en 2023.
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Pour les autorités sanitaires, les vaccins à ARNm sont considérés comme les meilleurs outils de lutte contre le Covid-19. Avec la crise du Covid, les régulateurs internationaux ont rapidement autorisé leur utilisation. Ce sont d’ailleurs ces derniers qui ont incité les populations à se faire vacciner plutôt que les arguments sanitaires. Actuellement, des effets secondaires non reconnus auparavant continuent d’être signalés. Dans une interview jeudi avec Gala, Nathalie Marquay, épouse de feu Jean-Pierre Pernaut, a affirmé que son mari n’était pas mort du cancer, mais de la vaccination Covid-19. Outre les cas d’inflammations cardiaques (myocardites) qui sont les plus mis en avant, de plus en plus de cas commencent à soulever d’autres effets toxiques des vaccins.
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Début septembre 2023, les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC) américains ont préconisé une large utilisation des vaccins COVID-19 mis à jour, pour toute personne âgée de 6 mois et plus. Cette recommandation a suscité la controverse en Floride, le chirurgien général Dr Joseph Ladapo, a déconseille vivement le nouveau vaccin mis à jour pour les moins de 65 ans. Pour rappel, en 2022, la Floride a été le premier État à recommander officiellement de ne pas administrer les vaccins COVID-19 aux enfants en bonne santé. Le Dr Ladapo avait déjà évoqué les nombreux effets indésirables des vaccins tels que « les troubles de la coagulation, les lésions cardiaques aiguës, la paralysie de Bell, l’encéphalite, l’appendicite et le zona ». Mercredi, le chirurgien général de la Floride a déclaré i que le gouvernement devrait cesser d’administrer des vaccins à ARNm contre la COVID-19, car ils ne « ne conviennent pas à une utilisation chez l’homme »
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2023 a été une année marquée par une baisse significative de la valeur des actions de Moderna. Cette baisse des bénéfices est principalement attribuée à la diminution de la demande de vaccins COVID-19. Malgré un marché du Covid en crise, les prévisions actuelles indiquent un potentiel de croissance stimulé par un pipeline diversifié. Les actions de Moderna ont clôturé en hausse de plus de 13 % mardi après qu’Oppenheimer a relevé le titre à « surperformance », affirmant que le fabricant de vaccins Covid pourrait commercialiser cinq produits d’ici 2026.
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Après que Pfizer a annoncé les prévisions négatives de vente de son vaccin Covid-19, les actions des fabricants de vaccins Covid-19 ont chuté. Cette baisse des bénéfices projetée par Pfizer est principalement attribuée à la diminution de la demande de vaccins et de traitements liés au COVID-19. Malgré un marché du Covid en crise, les actions de Moderna ont grimpé à la suite de résultats prometteurs sur son vaccin expérimental contre le cancer. Moderna a testé son vaccin ARNm, associé au médicament Keytruda(R) (Pembrolizumab) de Merck. Les essais auraient montré une réduction significative du risque de rechute ou de décès chez les patients atteints de mélanome. Ce vaccin ARN repose sur la même technologie que celle utilisée pour les vaccins contre la COVID-19. Cette technologie qui, selon la MIT Technology Review, est bon marché rapide et facile à concevoir, mais surtout : dangereuse. Néanmoins, grâce à cette « avancée » dans la technologie de l’ARNm, les gains boursiers de Moderna ont été notables. Le traitement du cancer représente une charge financière considérable, atteignant environ 14 milliards d’euros chaque année pour les 350 000 nouveaux patients, ce qui équivaut à 8% des dépenses totales de santé pour seulement 2% de la population. Les actions pharmaceutiques, de par leur implication dans ce secteur, ont évolué pour devenir des refuges de valeur.
Jeudi, Moderna et Merck ont annoncé les résultats des tests sur l’utilisation du vaccin contre le cancer et du médicament Keytruda sur des patients atteints de mélanome. Sur une période de trois ans, les patients atteints de mélanome recevant à la fois le vaccin et le médicament d’immunothérapie Keytruda ont présenté une réduction de 49% du risque de rechute ou de décès par rapport à ceux traités uniquement avec Keytruda. De plus, une diminution de 62% du risque de propagation du cancer ou de décès a été observée avec l’utilisation combinée des deux traitements par rapport à l’utilisation de Keytruda seul.
Les effets secondaires signalés étaient généralement mineurs, tels que la fatigue, la douleur au site d’injection et les frissons.
Cette annonce a fait grimper l’action Moderna de près de 15 % jeudi matin, tandis que les actions de Merck étaient en baisse de 0,3 %. Il faut dire que la performance de Moderna était au ralenti ces derniers mois avec le recul du covid. Suite à la baisse de la demande de vaccins contre le Covid-19, l’action de la société a même connu une baisse assez conséquente mardi.
Le vaccin expérimental contre le Cancer mRNA-4157 (V940) de Moderna est basé sur la technologie d’ARNm utilisée pour la production des vaccins Covid-19. Conçue sur mesure pour chaque receveur, l’injection se sert de l’ADN de la tumeur du patient afin d’accroître son immunité. Les résultats des tests sont basés sur des conclusions déjà publiées au début de cette année.
Selon le président de Moderna, Stephen Hoge, l’efficacité des deux traitements est durable. Notons que l’expérience a été menée sur une période de 3 ans. Il a ajouté que « les réponses sont solides comme le roc durant cette période ».
Le PDG de Moderna, Stéphane Bancel, a déclaré que la société visait une disponibilité du vaccin en 2025 et qu’elle avait lancé des essais supplémentaires pour évaluer l’efficacité de la combinaison dans le mélanome à un stade avancé et dans le cancer du poumon.
Hormis celui contre le mélanome, Moderna compte développer un vaccin contre la grippe à base de la technologie à ARNm. Pour rappel, durant la crise Covid, pour les autorités sanitaires, les vaccins à ARNm sont considérés comme les meilleurs outils de lutte contre le Covid-19. Les régulateurs internationaux ont rapidement autorisé leur utilisation. Ce sont d’ailleurs ces derniers qui ont incité les populations à se faire vacciner plutôt que les arguments sanitaires. Actuellement, les effets secondaires non reconnus des injections ARNm continuent d’être signalés.
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Début septembre, les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC) américains ont préconisé une large utilisation des vaccins COVID-19 mis à jour, pour toute personne âgée de 6 mois et plus. Cette recommandation a suscité la controverse en Floride, le chirurgien général Dr Joseph Ladapo, a déconseille vivement le nouveau vaccin mis à jour pour les moins de 65 ans. Pour rappel, en 2022, la Floride a été le premier État à recommander officiellement de ne pas administrer les vaccins COVID-19 aux enfants en bonne santé. A l’époque la porte-parole de la Maison-Blanche, Jen Psaki, avait qualifié de “profondément inquiétante”, la décision du département de la santé de Floride et continue de pousser à la doxa vaccinale. Précédemment, le Dr Ladapo a fait de nombreuses déclarations sur la dangerosité des vaccins, vivement critiquées par les démocrates et les épidémiologistes. Il a par exemple déconseillé aux jeunes hommes de se faire vacciner en raison des cas d’inflammation cardiaque signalés. Le Dr Ladapo a évoqué les nombreux effets indésirables des vaccins tels que « les troubles de la coagulation, les lésions cardiaques aiguës, la paralysie de Bell, l’encéphalite, l’appendicite et le zona ». A ce jour, seulement 11 % des Floridiens ont reçu un booster actualisé.
Dans une lettre récente à la FDA, le chirurgien général nommé par le gouverneur Ron DeSantis, Joseph Ladapo a émis des doutes sérieux sur la sécurité des vaccins COVID-19, en particulier ceux à ARNm. Il a soulevé la possibilité que le système d’administration de ces vaccins puisse introduire de l’ADN contaminant dans les cellules humaines, augmentant ainsi le risque de cancer.
Ladapo avait également demandé à la FDA et au CDC si le risque d’intégration de l’ADN a été évalué par les fabricants de vaccin et fourni aux agences fédérales.
Dr. Kawsar Talaat, professeur associé au département de la santé internationale de la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health, a répondu que ces préoccupations n’ont aucune base scientifique.
De même le Dr. Peter Marks, directeur du Center for Biologics Evaluation and Research for the FDA, a qualifié les allégations du Dr Ladapo d’infondées sur le plan scientifique.
Dans un communiqué, Marks souligne que Ladapo a mal interprété les processus cellulaires, expliquant qu’il est scientifiquement improbable que des quantités significatives d’ADN contaminant se retrouvent dans le noyau des cellules humaines. De plus, Marks insiste sur le rôle crucial des vaccins dans la réduction des risques de décès, d’hospitalisation et de maladies graves liées au COVID-19. Toujours ce narratif du « seul le vaccin peut nous sauver », puis du « seuls d’irresponsables complotistes refusent le vaccin ».
Pour mémoire, le microbiologiste Kevin McKerman avait révélé dans une étude que les vaccins Pfizer ARNm sont contaminés par la présence de l’ADN double brin et les promoteurs du virus simien 40 (SV40). Le niveau de contamination est élevé puisqu’il est de 30%. C’est une quantité qui dépasse les limites réglementaires en Europe et aux États-Unis. Notons que la présence de l’ADN dans les vaccins constitue une véritable source de danger pour les personnes vaccinées.
Pour Dr. Kawsar Talaat, « ces déclarations de Ladapo sont conçues pour effrayer les gens plutôt que d’enquêter sur la vraie science ». Elle dénonce l’impact de cette désinformation, qui reflète le faible taux de vaccination en Floride, une tendance qui s’étend sur tout le continent américain.
En effet, seulement 11 % des Floridiens ont reçu une mise à jour du vaccin COVID-19, malgré la population significative de personnes âgées, les plus vulnérables. La FDA accuse le gouverneur et son chirurgien général de désinformation, ayant contribué à cette réticence vaccinale, mettant en danger la population face à la persistance du virus.
Comme toujours, les autorités sanitaires américaines justifient leur décision en invoquant l’importance primordiale de la santé publique et la menace potentielle d’une situation d’urgence pandémique. Comme toujours, il y a une tendance à étouffer l’information lorsque des preuves scientifiques liées aux effets secondaires des injections contre le Covid. Les informations ne sont pas relayées, les médias subventionnés choisissent délibérément d’ignorer les preuves lorsqu’elles sont disponibles.
Ladapo a fustigé les autorités sanitaires fédérales en déclarant :
« les CDC et la FDA disent toujours quelque chose de très différent … ils ne sont pas francs avec les gens au sujet des données et de ce qui est connu et inconnu et qui est le mieux pour eux. »
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La Nouvelle-Zélande fait face à un scandale de divulgation de données sur les vaccins COVID alors qu’un informaticien, Barry Young, est arrêté pour avoir prétendument accédé illicitement aux informations de l’agence de santé publique “Te Whatu Ora”. Les allégations de Young, affirmant que l’agence dissimule des décès liés aux vaccins, suscitent des inquiétudes quant à la désinformation. Tandis que la PDG de Te Whatu Ora rejette ces affirmations, le ministre néo-zélandais de la Santé condamne l’abus de confiance et qualifie Young de “théoricien du complot”. La situation souligne les défis de sécurité des données et les implications potentielles de la désinformation dans le contexte de la vaccination.
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Face à la souche XBB.1.5 d’Omicron, le ministère de la Santé japonais a donné son feu vert au vaccin Daichirona de Daiichi-Sankyo, marquant un tournant dans la campagne de vaccination. Pour rappel, le Japon a dénombré quelque 74.000 morts depuis le début de la pandémie pour une population de 125 millions d’habitants, un chiffre inférieur à ceux de beaucoup d’autres pays. Néanmoins, les responsables du gouvernement japonais n’ont jamais instauré d’état d’urgence ni de restrictions strictes.
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Selon le discours officiel, les injections anti-Covid sont présentées comme efficaces, empêchant les formes graves de la maladie. Cependant, cette affirmation suscite des inquiétudes réelles du fait que les effets indésirables des vaccins sont largement sous-déclarés, un risque pour la vie humaine ne peut pas être exclu. En 2021, l’efficacité du vaccin AstraZeneca (AZ) a toujours été posée, avant même son autorisation de mise sur le marché en Europe. Des études israéliennes et américaines avaient mis en doute le bénéfice/risque de l’AZ. Au Royaume-Uni on juge le vaccin “sûr et efficace”. Pourtant, quelques jours après avoir reçu leur vaccin, des patients seraient décédés. Aujourd’hui les familles des victimes du vaccin AstraZeneca portent plainte. Selon The Telegraph, l’histoire d’Alex Reid révèle un enchaînement d’erreurs tragiques qui ont conduit à sa mort prématurée. Une faute de classification dans son dossier médical remontant à son enfance a entraîné une invitation anticipée à la vaccination. Cette classification erronée, basée sur un indice de masse corporelle incorrect, a exposé Alex au vaccin AstraZeneca. Alex Reid a reçu le vaccin Covid d’AstraZeneca, qui a provoqué la formation d’un caillot sanguin rare et a entraîné sa mort prématurée.
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Dans les faits, la base Eudravigilance continue à recenser les signalements d’effets secondaires causés par les médicaments, dont les vaccins contre le COVID. On rappelle bien entendu que signalement ne signifie pas lien de causalité avéré. Mais comme le rappelle Virginie Joron, la mise sur le marché de certains médicaments a été arrêtée après infiniment moins de signalements.
Pourquoi Pfizer bénéficie-t-il d’un traitement de faveur ?
Les questions restent en suspens.
En tout cas, la réponse de la Commissaire Kyriakides à une question posée par un député est sans appel :
11.977 signalements spontanés d’effets secondaires suspects d’avoir entraîné la mort… Ce n’est pas rien tout de même.
Voici le document que Virginie Joron signale dans son interview :
En 2021, la question de l’efficacité du vaccin AstraZeneca (AZ) a toujours été posée, avant même son autorisation de mise sur le marché en Europe. Une erreur de dosage lors des essais avait semé le doute. Après son déploiement, le vaccin AstraZeneca a été suspendu dans plusieurs pays, après la survenue de plusieurs cas mortels de thrombo-embolie, présentés malheureusement statistiquement comme négligeables par les autorités sanitaires. Au Royaume-Uni, quelques jours après avoir reçu leur vaccin, des patients seraient décédés. Aujourd’hui les familles des victimes du vaccin AstraZeneca portent plainte. Selon la presse anglaise, Jamie Scott aurait subi une hémorragie au cerveau suite à sa vaccination. Les avocats de la famille ont déclaré que le vaccin était « défectueux » et que les informations sur l’efficacité et l’innocuité du produit étaient « trompeuses ». Ils réclament des dommages et intérêts. De son côté, AstraZeneca a souligné que la sécurité des patients reste sa priorité, pourtant les victimes du vaccin s’interrogent de la responsabilité de l’État et des fabricants avec ces cas de complications graves.
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What??? Was he vaccinated? https://t.co/sB9Uu8YhDD
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Selon une étude publiée dans The New England Journal of Medecine, de nombreux cas de crises cardiaques ont été signalés au cours de ces deux dernières années, chez les personnes ayant reçu un vaccin à ARNm contre le Covid-19. Par ailleurs, de plus en plus d’études révèlent les effets toxiques des vaccins, c’est la deuxième étude qui met en évidence la hausse du risque d’AVC chez les personnes âgées qui ont reçu les vaccins contre le Covid-19 et contre la grippe en même temps. Selon cette nouvelle étude, le risque est beaucoup plus élevé chez les adultes âgés de 85 ans et plus. Pour rappel, la FDA et les CDC (Centers for Disease Control and Prevention) américains ont déjà publié un communiqué public en janvier.
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La vaccination de masse est aujourd’hui de plus en plus remise en cause, puisqu’elle ne garantit pas l’arrêt de l’épidémie et qu’elle n’empêche pas la naissance de nouveaux variants du virus. De plus en plus de chercheurs centrent leur étude sur d’autres nouvelles pistes thérapeutiques efficaces, mais avec peu d’effets secondaires, pour lutter contre le covid. Dernièrement, une étude publiée dans la revue Scientific Reports a conclu que le thé vert pouvait prévenir le Covid.
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Grâce à la crise sanitaire, l’industrie des vaccins et des biotechnologies a réalisé en moins de 2 ans un chiffre d’affaires qu’elle n’aurait pu espérer obtenir en 15 ans. Pfizer détient toujours la grosse part du marché en matière de produits contre le Covid avec son vaccin et sa pilule Paxlovid. Mais avec la fin du covid, en raison d’une diminution des revenus attendus du Paxlovid et du vaccin Comirnaty, Pfizer a décidé de revoir ses prévisions à la baisse avec une chute de 9 milliards de dollars de ventes pour l’ensemble de l’année. La Commission européenne a autorisé l’acquisition de Seagen par Pfizer, évaluée à 43 milliards de dollars. Seagen, spécialisée dans les thérapies ciblées contre le cancer, a déjà obtenu l’approbation pour quatre de ses traitements aux États-Unis. On se demande pourquoi Pfizer, une société qui a eu le champ libre sur les vaccins aux nombreux effets indésirables, et qui n’arrive plus à les vendre, rachète une société spécialisée dans le traitement des cancers ?
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Plus le temps passe et plus les effets à terme des vaccins sont visibles, on assiste de plus en plus à un lien de cause à effet entre les injections et des maladies à long court (cancer, maladie de Guillain Barré, scléroses en plaques…) ou des accidents cardiovasculaires. Malgré les effets indésirables continus, sans une réelle prise en compte dans les orientations de la politique sanitaire, on peut légitimement soupçonner une sous-déclaration plus importante de ces effets nocifs de ces injections. Les citoyens sont utilisés comme des cobayes au prétexte d’une urgence contestée et du rejet, par exemple, de l’ivermectine en tant que traitement efficace, sans effets secondaires majeurs et économiquement abordables (médicament générique).
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De nombreux chercheurs ont évoqué l’efficacité de certains médicaments incluant notamment l’hydroxychloroquine et l’ivermectine dans le traitement du Covid-19. Avec le lobbying intensif des laboratoires, les médias mainstream ont également alimenté la confusion et la désinformation autour de ce médicament. Traitement peu cher, plusieurs gouvernements ont autorisé la prescription de l’ivermectine comme traitement contre le covid, ces pays ont tous eu recours à ces traitements avec des résultats probants. La FDA (Food and Drug Administration) n’a jamais approuvé l’utilisation de ce vermifuge dans le traitement du Covid-19. En septembre 2021, la FDA avait déclaré que de nombreux patients ont présenté des troubles de santé nécessitant des soins médicaux spécifiques, incluant une hospitalisation, après avoir s’être automédiqués avec de l’ivermectine.
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Au début de la pandémie, de nombreux chercheurs ont évoqué l’efficacité de certains médicaments – incluant notamment l’hydroxychloroquine et l’ivermectine – dans le traitement du Covid-19. Mais rapidement, les autorités sanitaires et les bureaucrates de l’administration Biden les ont volontairement disqualifiés en tant que traitement du COVID-19.
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Le prix Nobel de médecine 2023 a été attribué, lundi 2 octobre, à la Hongroise Katalin Kariko et à l’Américain Drew Weissman pour “leurs découvertes concernant les modifications des bases nucléosidiques ayant permis la mise au point de vaccins ARNm” contre le Coronavirus.Pour rappel, l’acide ribonucléique messager, ARN messager, ou ARNm est une copie transitoire d’une portion de l’ADN correspondant à un ou plusieurs gènes. L’ARNm est utilisé comme intermédiaire par les cellules pour la synthèse des protéines. La découverte en a été faite en 1961. Le médecin découvreur du principe utilisé pour les vaccins à ARN messager dans les années 1980 a été le Professeur Robert Malone. Ce dernier s’est opposé avec véhémence aux injections ARN actuelles de Pfizer et Moderna, qu’il considère comme fabriqués trop vite. Selon lui, ces derniers n’ont pas fait l’objet d’essais complets permettant de garantir une absence de nocivité.
Collègues de l’Université de Pennsylvanie (États-Unis), Katalin Kariko (68 ans) et Drew Weissman (64 ans) ont longtemps travaillé sur la technologie ARNm (Acide ribonucléique messager). En 2005, les deux experts ont fait des découvertes décisives, ils ont découvert que l’ARNm peut aider les cellules à produire des protéines bienfaisantes pour le corps.
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Comme nous l’avons évoqué, le Dr Pierre Peterson a présenté des statistiques montrant que le taux de mortalité fœtale par vaccin administré aux États-Unis avait, en fait, massivement augmenté (environ 2000%) depuis la mise à disposition des vaccins Covid. Comment peut-on justifier une politique de santé publique en faveur des injections Covid pour les nourrissons ?
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