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Hier — 19 avril 2024Le courrier des stratèges

Covid chez les sujets âgés : une étude américaine confirme l’inefficacité des injections COVID

Si le Covid-19 peut toucher tout le monde, ses formes graves sont plus courantes chez les personnes âgées ou déjà affaiblies par une autre maladie. Une nouvelle étude menée par l’équipe de chercheurs dirigée par l’Université de Californie (San Francisco) a révélé pourquoi les personnes âgées ont un risque plus élevé de développer la forme grave du Covid-19. Ils ont découvert que cela est lié à une charge virale très élevée et à une faiblesse des cellules immunitaires qui les empêchent d’éliminer le virus SRAS-CoV-2. Les auteurs ont également souligné que malgré les doses de rappel, les adultes de plus de 75 ans étaient 140 fois plus susceptibles de mourir de la maladie du COVID.

La pandémie de COVID-19 a mis en évidence des disparités importantes dans la gravité de la maladie, les personnes âgées étant plus susceptibles de développer des formes graves de la maladie et de décéder. Une étude dirigée par l’Université de Californie et publiée dans Science Translational Medicine a examiné les mécanismes sous-jacents à cette vulnérabilité accrue chez les personnes âgées.

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À partir d’avant-hierLe courrier des stratèges

Royaume-Uni : les autorités sanitaires poussent les groupes vulnérables à la vaccination

En dépit de la baisse des cas de contamination COVID, le gouvernement britannique a annoncé que la campagne de vaccination continue. À partir de ce lundi, les personnes de plus de 75 ans et celles souffrant de certains problèmes de santé sous-jacents peuvent recevoir leur dernière série de rappel COVID. Alors que le débat sur une corrélation potentielle entre le vaccin Covid-19 et la surmortalité fait rage au Royaume-Uni, le pays lance sa dernière campagne de rappel Covid-19 pour les personnes vulnérables. Pour la première fois également, des vaccins privés sont disponibles en marge de la campagne publique.

Selon les autorités sanitaires britanniques, tant que le Covid-19 sera présent, le risque d’apparition de nouveaux variants existe. Un discours de peur qui est rabâché depuis 2021 par les organisations internationales et les gouvernements d’un certain nombre de pays occidentaux .Ainsi, l’Agence britannique de sécurité sanitaire souligne l’importance pour les personnes à risque de se faire vacciner afin de renforcer leur immunité. Bien que les effets secondaires de la vaccination Covid  soient particulièrement à risque, les autorités sanitaires britanniques poursuivent leur politique sanitaire qui repose sur le déni de réalité.

Les injections gratuites pour les plus vieux et payantes pour les jeunes

Déjà en 2022, le ministre Michael Gove avait déclaré que le Royaume-Uni est en train d’arriver à un stade où il est possible de « vivre avec le Covid ». Cependant, le climat de peur propre à justifier les contraintes d’ordre sanitaire, comme la vaccination, n’en finit pas.

Dernièrement, le ministre de la santé, Maria Caulfield a déclaré que le gouvernement s’engage à protéger les plus vulnérables contre le Covid-19. En parallèle, le Dr Mary Ramsay de l’Agence britannique de sécurité sanitaire, en rajoute une couche en déclarant : « le Covid- continue à se propager chez les personnes âgées et celles qui ont un système immunitaire affaibli… le vaccin offre la meilleure protection alors ne le remettez pas à plus tard ».

Selon l’Agence britannique de sécurité sanitaire, à compter de ce lundi, les personnes éligibles pourront réserver un vaccin gratuit auprès du système national de réservation du NHS (National Health Service). Selon le NHS, cette campagne se poursuivra jusqu’au 30 juin

Notons que pour la première fois, des vaccins privés sont également disponibles en marge de la campagne publique. Les personnes âgées de plus de 12 ans disposant des moyens nécessaires peuvent désormais se faire vacciner en privé, moyennant un coût variant entre 45 £ (52.5 euros) et 99 £ (115.8 euros). Ces vaccins privés sont proposés dans des pharmacies et cliniques privées.

Toujours des préoccupations sur les vaccins

Les vaccins de rappel sont offerts aux personnes de 75 ans ou plus, aux résidents des maisons de soins pour personnes âgées et aux individus de 6 mois et plus dont le système immunitaire est affaibli.

La liste des personnes éligibles à ces injections gratuites sera publiée par le système de santé publique. Elles pourront recevoir le vaccin auprès des médecins de famille, des pharmacies et des centres sans rendez-vous.

Selon le directeur national des vaccinations et du dépistage du NHS, Steve Russel, ce rappel a été conçu pour prévenir le risque de complications majeures, d’hospitalisation et de décès causés par le Covid-19.

Pour autant, un rapport met en lumière une préoccupation croissante liée à la surmortalité due aux maladies cardiovasculaires au Royaume-Uni. Les données, couvrant la période de 2010 à 2022, montrent une augmentation significative, atteignant 44% en 2022, suggérant une accélération inquiétante des décès et des handicaps dans cette tranche d’âge.

L’enquête publique Covid-19 actuelle, présidée par l’ancienne magistrate Heather Hallett, traite différents sujets et elle a été divisée en plusieurs phases . La troisième phase portant sur le développement des vaccins anti-Covid, leur efficacité et leur sécurité, était censée débuter au cours de l’été 2024, mais elle sera sans doute reportée. Pour le moment, aucun calendrier des audiences n’a été publié.

USA: les États républicains signalent davantage d’effets secondaires des injections COVID, révèle une étude

Si l’Agence américaine de médicaments ou Food and Drug Administration (FDA) a déclaré « environ 3,2 millions » de vies américaines ont été sauvées grâce aux vaccins Covid. Une nouvelle étude publiée dans la revue médicale JAMA a révélé que dans les Etats avec un pourcentage élevé d’électeurs républicains, les cas d’effets secondaires des vaccins contre le Covid-19 signalés sont plus nombreux. Cette étude a suscité des questions sur les différences observées dans les rapports d’effets secondaires du vaccin COVID-19 entre les États américains.

Depuis le lancement des vaccins contre le Covid-19, en 2021, le plus grand flou règne sur l’ampleur des effets secondaires de ces injections. Chaque jour, l’administration Biden semble démunie face à cette résurgence du scepticisme des Américains à l’égard des vaccins, avec l’absence d’un plan global pour contrer ce mouvement qui prend de l’ampleur. Une récente étude publiée dans la revue médicale JAMA a examiné les données du système fédéral de notification des événements indésirables des vaccins (VAERS), et a révélé une corrélation entre l’orientation politique d’un État et le nombre de rapports d’effets secondaires du vaccin.

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Canada : Musk financera les frais de justice d’une soignante réfractaire aux injections COVID

Le réseau social X, anciennement connu sous le nom de Twitter, a récemment annoncé son engagement à contribuer financièrement aux frais juridiques de la Dre Kulvinder Kaur Gill. Cette pédiatre de Brampton, en Ontario, a été réprimandée par les autorités pour ses tweets anti-vaccin Covid. Un des tweets de la médecin affirmait que les vaccins COVID n’étaient pas nécessaires.

I've been overwhelmed by outpouring of kindness & generosity of Cdns & people globally. I'm reading all of your msgs/prayers. My sincerest thank you💛

We're at ~50% of fundraising goal of $300K with only 4 days left until deadline

Pls donate what you canhttps://t.co/b0cc5pZIBk https://t.co/AnV2vkG7G3

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Aux USA, la propagande sur le vaccin continue

De nouveau, les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) américains envisagent de recommander un rappel du vaccin Covid au printemps pour les personnes âgées et les groupes vulnérables. Le Centre de Contrôle des Maladies (CDC) souligne l’importance pour les personnes âgées de 65 ans et plus de recevoir une dose supplémentaire d’injection COVID-19, adaptée aux variants actuels. Cette mesure vise à renforcer la protection contre le virus, notamment pour les personnes âgées et les individus immunodéprimés. Aux États-Unis, bien que le variant JN.1 représente plus de 80% de tous les cas COVID les données préliminaires ne montrent pas d’aggravation des symptômes chez les patients infectés par ce variant.

Début septembre 2023, les autorités sanitaires américaines ont lancé le mythe d’une nouvelle vague de covid. Pour justifier le déploiement des injections de rappel bivalent Covid, le Centre américain de contrôle et de prévention des maladies (CDC) argue que le nombre d’infections et d’hospitalisations dues au COVID a augmenté. Dans ses nouvelles directives, les CDC ont indiqué que les personnes âgées de 65 ans et plus devraient recevoir un rappel de vaccin Covid-19 au printemps 2024. Bien que le CDC recommande les nouveaux vaccins pour toutes les personnes âgées de 6 mois et plus depuis le mois de septembre 2023, la confiance à l’égard de la vaccination Covid s’érode, seule une minorité des Américains ont été vaccinés jusqu’à présent.

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L’autorégulation, une piste thérapeutique contre le Covid long

Le Covid long concerne de plus en plus de personnes. De nombreuses études ont déjà été menées dans le but d’identifier les facteurs qui favorisent cette persistance des symptômes après la guérison. Si certains scientifiques prétendent que les symptômes du Covid long sont essentiellement psychologiques. Selon une étude récente menée par l’UCLA publiée dans le Journal of Psychosomatic Research, certaines personnes atteintes d’un Covid long ont pu soulager certains de leurs symptômes grâce à la thérapie d’autorégulation à court terme. Des améliorations significatives ont été signalées six au bout de six semaines de traitement et elles ont duré trois mois.

Le COVID-19 (ou les effets de la vaccination selon les médecins de l’Alliance FLCCC) a entraîné l’émergence d’un ensemble de symptômes persistants chez de nombreux patients, communément appelés COVID long. À cet effet, une étude menée par l’Université de Californie à Los Angeles (UCLA) offre des perspectives. Publiée dans le Journal of Psychosomatic Research, cette recherche explore l’efficacité des thérapies autorégulées chez les patients souffrant de COVID long.

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Nouvelle reconnaissance d’un effet secondaire du vaccin

Selon le discours officiel, les injections anti-Covid sont présentées comme efficaces, empêchant les formes graves de la maladie. Cependant, cette affirmation suscite des inquiétudes réelles du fait que les effets indésirables des vaccins sont largement sous-déclarés. Selon une étude récente publiée dans Research and Practice in Thrombosis and Haemostasis, la vaccination anti-Covid est à l’origine de caillot sanguin parfois fatal, tels que le syndrome de thrombocytopénie induit par le vaccin (VITT) et la thrombocytopénie immunitaire (PTI).

Une nouvelle étude canadienne vient de mettre à jour un problème lié aux vaccins contre le Covid-19. En effet, selon l’étude des personnes ayant reçu un vaccin ont souffert du syndrome de thrombocytopénie induit par le vaccin (VITT) et la thrombocytopénie immunitaire (PTI). Cette étude rétrospective monocentrique examine la prise en charge de ces événements chez les patients vaccinés contre le COVID-19, mettant en lumière les défis cliniques et les stratégies thérapeutiques employées pour y faire face. Les vaccins COVID malgré leurs effets secondaires ont été minimisés par l’industrie pharmaceutique, les autorités de régulation sanitaire et les médias subventionnés.

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Après le Covid, Sérum Institute of India mise sur les vaccins contre le paludisme et la dengue

Le Serum Institute of India (SII), plus grand fabricant de vaccins au monde, va étendre sa production vers de nouveaux vaccins contre des maladies telles que le paludisme et la dengue. Cette décision stratégique s’inscrit dans le contexte d’une demande en baisse de vaccins COVID-19 et permet à l’entreprise d’utiliser pleinement ses capacités de production. À titre de rappel, le Serum Institute of India, a fabriqué les doses du premier vaccin anti-Covid AstraZeneca. Il a été distribué sous la marque Covishield. La question de l’efficacité du vaccin AstraZeneca a toujours été posée, avant même son autorisation de mise sur le marché. Le vaccin AstraZeneca a été suspendu dans plusieurs pays, après la survenue de plusieurs cas mortels de thrombo-embolie.

Serum Institute India a produit le vaccin contre le Covid-19 AstraZeneca sous la marque Covishield et les injections Covid à base de protéines de Novavax. En raison de la chute des demandes des vaccins Covid-19, le Serum Institute a annoncé son intention de réaffecter ses installations de fabrication de vaccins contre le COVID-19 pour produire des vaccins contre le paludisme et la dengue.

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Les USA maintiennent la satire covidienne

Si l’OMS (Organisation mondiale de la santé) avait déclaré la fin de l’urgence de santé publique de portée internationale liée à la Covid-19 le 5 mai 2023, aux États-Unis, l’état d’urgence lié à la pandémie Covid-19 avait pris fin le 11 mai 2023. Depuis, les américains songent à un retour à la vie normale, avec la fin des restrictions sanitaires comme la vaccination obligatoire, la fin du port du masque…Cependant, malgré la normalisation progressive de la vie quotidienne, les autorités sanitaires veulent maintenir un climat anxiogène sur le COVID ,et adoptent de nouvelles mesures sur les directives d’isolement, les changements dans les tests, les mises à jour des vaccins et les recommandations sur le port du masque.

L’OMS et la Maison-Blanche ont déclaré que la fin de la phase d’urgence ne signifie pas que le danger est écarté, car le virus est toujours parmi nous. Actuellement, on commence à retrouver une vie normale. Les règles sanitaires se sont assouplies. Aux Etats-Unis,voici quelques informations sur les recommandations de santé publique les plus récentes sur le Covid-19. Wahsington continue à relancer la folie covidienne et exhortent le public aux injections de rappels.

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Royaume-Uni : une coalition de députés exige la publication des données sur la surmortalité liée au vaccin COVID

Le débat sur la corrélation potentielle entre le vaccin Covid-19 et la surmortalité fait rage au Royaume-Uni. Le groupe de 21 députes et pairs de quatre partis demande au secrétaire à la Santé, Victoria Atkins, de publier des données qui pourraient mettre en évidence le lien entre les vaccins Covid et le taux de surmortalité élevé au Royaume-Uni depuis 2020.

En 2021, la question de l’efficacité du vaccin Covid, notamment de l’ AstraZeneca (AZ), a toujours été posée, avant même son autorisation de mise sur le marché en Europe. Une erreur de dosage lors des essais avait semé le doute. Dans de nombreux pays, les cas suspects d’effets secondaires graves se sont multipliés, présentés malheureusement statistiquement comme négligeables par les autorités sanitaires. Au Royaume-Uni, quelques jours après avoir reçu leur vaccin, des patients seraient décédés. Comme toujours, on multiplie les précautions (et les dénis quand c’est nécessaire) pour éviter de reconnaître un lien direct entre le vaccin et le décès. Malgré les affirmations du gouvernement selon lesquelles aucun lien entre le vaccin et la surmortalité n’a été établi, un groupe multipartite a réclamé la transparence totale des données pour étayer ces déclarations. Cette demande a suscité un débat animé et des appels à l’action immédiate.

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Royaume-Uni : la MHRA accusée de ne pas avoir signalé les effets secondaires des injections COVID

Quelque 25 députés du groupe parlementaire multipartite (APPG) sur la réponse à la pandémie et la relance ont demandé au comité restreint de la santé du Royaume-Uni de lancer une enquête urgente. Ils accusent le régulateur des médicaments d’avoir dissimulé les effets secondaires du vaccin Covid. Selon eux, l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA) n’a pas protégé les patients, elle les a exposées à « de graves risques ». 

La gestion des effets secondaires des vaccins Covid a été au centre de préoccupations croissantes, notamment en ce qui concerne la réactivité et la transparence des régulateurs. Les députés ont récemment exprimé leurs inquiétudes concernant l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA), soulignant des lacunes dans la communication et la gestion des risques associés aux vaccins. La réponse de la MHRA, qui se définit comme un “facilitateur” plutôt qu’un “chien de garde”, a été jugée insatisfaisante par les députés, qui exigent des mesures concrètes pour garantir la sécurité des patients et renforcer la confiance du public dans le système de régulation médicale.Selon le discours officiel, les injections anti-Covid sauveraient des vies parce qu’elles empêchent les formes graves de Covid. Mais cette affirmation pose un vrai problème puisque les effets indésirables des vaccins sont pour la plupart sous-déclarés et qu’un risque pour la vie humaine ne peut pas être exclu. Le manque de transparence sur ces sujets est de plus en plus couvert par nos dirigeants et bien sûr par les médias subventionnés.

La MHRA a sous-estimé les effets secondaires des vaccins

La MHRA prend en charge l’approbation des médicaments et des dispositifs de lutte contre le Covid-19. Elle était aussi censée surveiller les effets secondaires des traitements. Selon l’APPG, elle a manqué à ses obligations. Dans une lettre adressée au président du comité de la santé, Steve Brine, les députés ont déclaré que la MHRA n’a pas signalé les effets secondaires du vaccin Covid. Pourtant, il y a de nombreuses raisons de croire qu’elle était déjà au courant de leur existence.

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Avec la fin du pactole Covid, Moderna mise sur son vaccin ARN anti-cancer

Malgré un marché du Covid en crise, Moderna a surpris les investisseurs en annonçant un bénéfice inattendu au quatrième trimestre, attribuable à des économies de coûts et à des revenus différés. Au quatrième trimestre 2023, Moderna a enregistré un bénéfice de 217 millions de dollars, soit 55 cents par action, dépassant largement les prévisions des analystes. En parallèle, alors que plusieurs études ont déjà prouvé la toxicité des injections à ARNm anti- Covid, Moderna lance son vaccin expérimental ARN contre le cancer. Il est basé sur la technologie d’ARNm utilisée pour la production des injections Covid-19. Selon les prévisions du géant américain, le domaine de l’oncologie devrait générer des milliards de dollars de chiffre d’affaires d’ici peu. Suite à cette annonce, l’action de Moderna a grimpé de 14%. Durant la crise Covid,  pour les autorités sanitaires, les vaccins à ARNm sont considérés comme les meilleurs outils de lutte contre le Covid-19. Les régulateurs internationaux ont rapidement autorisé leur utilisation. Ce sont d’ailleurs ces derniers qui ont incité les populations à se faire vacciner plutôt que les arguments sanitaires. Si les conséquences des injections ARN restent inconnues, chaque jour des cas suspects d’effets secondaires graves se multiplient, voire des décès.

Grâce à la crise sanitaire, l’industrie des vaccins et des biotechnologies a réalisé en moins de 2 ans un chiffre d’affaires qu’elle n’aurait pu espérer obtenir en 15 ans. Le résultat Moderna pour le dernier trimestre de l’année 2023 était surprenant. Alors que les prévisions annonçaient une perte de 99 cents par action, le fabricant de vaccin contre le Covid-19 a enregistré un gain de 55 cents par action. Son chiffre d’affaires était aussi au-dessus des estimations. Jeudi, l’action Moderna a grimpé après avoir dépassé les attentes trimestrielles de Wall Street. Cette performance a été soutenue par des revenus différés inattendus de 600 millions de dollars et des économies de coûts d’environ 300 millions de dollars. Malgré le déclin des ventes liées au COVID, la société vise à renouer avec la croissance en 2025 avec le développement de ses vaccins contre le cancer et le CMV.

L’action de Moderna a grimpé de 14%

Selon FactSet, Moderna devrait s’attendre à une pette de 99 cents par action au cours du dernier trimestre de l’année 2023. Mais par surprise, la société a eu droit à un gain de 55 cents par action. Elle a aussi déclaré un chiffre d’affaires de 2,9 milliards de dollars qui a dépassé les prévisions de 2,51 milliards de dollars. En d’autres termes, le fabricant de vaccins contre le Covid-19 a enregistré un bénéfice surprise.

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Deux nouveaux effets secondaires « rares » des injections Covid-19 identifiés dans une étude

Dès leur apparition, les vaccins à ARNm contre le Covid-19 ont fait l’objet de nombreuses critiques. Une nouvelle étude publiée dans la revue internationale Vaccine vendredi a révélé deux nouveaux effets secondaires rares du vaccin contre le Covid-19. Cette récente étude sur l’innocuité des vaccins Covid-19 a identifié deux nouveaux effets secondaires rares, il s’agit de l’encéphalomyélite aiguë disséminée et de la myélite transversale.Selon le discours officiel, les injections anti-Covid sont présentées comme efficaces, empêchant les formes graves de la maladie. Cependant, cette affirmation suscite des inquiétudes réelles du fait que les effets indésirables des vaccins sont largement sous-déclarés, un risque pour la vie humaine ne peut pas être exclu.

Bien que les vaccins à ARNm contre la Covid soient déclarés sûrs et efficaces, une étude révèle un effet secondaire inattendu. Deux effets secondaires nouveaux, mais extrêmement rares du vaccin Covid-19 ont été détectés par des chercheurs dans le cadre de la plus grande étude sur l’innocuité des vaccins à ce jour. Les conséquences médicales de ces vaccins à ARNm restent encore largement inexplorées.

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Les injections COVID à l’origine de nombreux effets secondaires graves, selon la plus grande étude jamais menée sur les vaccins

Les professionnels de la santé à la tête des campagnes de vaccination contre le Covid-19 n’ont cessé d’affirmer que « le vaccin Covid est un vaccin normal, sûr et efficace ». Cependant, des préoccupations persistent quant aux effets indésirables des vaccins, notamment en ce qui concerne les troubles neurologiques, sanguins et cardiaques. Une récente étude mondiale, portant sur 99 millions de personnes vaccinées dans huit pays, a révélé des associations entre les vaccins Covid et ces affections. Malgré ces constats, il est incompréhensible que les gouvernances sanitaires n’aient modifié leur position sur la vaccination alors que le constat de ces problèmes cardiaques et vasculaires parfois fatals se renouvelle de plus en plus dans les revues de pharmacovigilance.

La question des risques du vaccin n’est pas nouvelle. Un groupe d’experts internationaux en vaccins a mené une vaste étude sur les vaccins contre le Covid-19. Ils ont découvert que les injections favorisaient le développement de différentes pathologies incluant notamment les troubles neurologiques, sanguins et cardiaques. Cela dit, l’équipe a affirmé que le risque reste relativement faible. Quoi qu’il en soit, une étude plus approfondie est nécessaire concernant les liens entre les vaccins et certains troubles.

Les vaccins Covid associés à de nombreuses maladies

Un groupe international de chercheurs a réalisé une étude de cohorte multinationale du Réseau mondial de données sur les vaccins (GVDN) portant sur 99 millions de personnes vaccinées contre le Covid. En réalité, cette coalition d’experts avait recherché 13 troubles de santé sur les 99 millions d’individus vaccinés dans 8 pays. Leur objectif était d’identifier les taux les plus élevés de ces maladies suite à l’administration des vaccins. Ils ont alors découvert que les injections Pfizer, Moderna et AstraZeneca augmentent le risque de développer des troubles cardiaques, sanguins et neurologiques.

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L’immunité naturelle liée à une infection antérieure plus forte que les vaccins, selon une étude

Depuis le lancement de la vaccination contre la Covid-19, la question se pose : quelle protection offrent réellement les vaccins ? Les scientifiques multiplient les recherches concernant l’immunité naturelle et la réponse immunitaire donnée par le vaccin. Dans le cadre du tournoi de football Amir Cup organisé au Qatar en décembre 2020, une étude de cohorte a été menée afin d’évaluer la réponse des anticorps après une infection au Covid-19. L’étude a permis de mesurer leur efficacité contre la réinfection. Les chercheurs ont alors observé que l’immunité après une primo-infection au coronavirus peut garantir une protection élevée chez ses personnes. Durant la crise Covid, le virus se propageait naturellement et cela aurait dû conduire à miser beaucoup plus sur l’immunité de groupe.

Une grande partie de la population a développé une immunité contre le SARS-CoV-2 suite à une infection. Après une infection, le corps produit des anticorps immunitaires humoraux qui peuvent rester dans le sang pendant plusieurs semaines. Des recherches antérieures ont montré que ces anticorps offrent une protection contre la réinfection pendant au moins sept mois. Cette étude vise à examiner la persistance des anticorps circulants du SRAS-CoV-2 après une infection au COVID-19 sur une période de suivi de 18 mois, ainsi qu’à évaluer le risque de réinfection chez les personnes non vaccinées.

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USA: de nouvelles recommandations pour doper la vaccination des groupes vulnérables

Les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) américains prévoient de recommander un nouveau rappel de vaccin Covid aux personnes vulnérables au printemps. Il s’agit des personnes âgées de 65 ans et plus ou qui ont un système immunitaire affaibli. Bien que le variant JN.1 représente plus de 80% de tous les cas COVID aux États-Unis, les données préliminaires ne montrent pas d’aggravation des symptômes chez les patients infectés par ce variant.

Depuis le 11 septembre 2023, face à une prétendue hausse des cas liés à la souche EG. 5, surnommée «Eris», les autorités sanitaires fédérales ont recommandé l’administration des vaccins anti- Covid-19 mis à jour pour les personnes âgées de 6 mois et plus. De nouveau, les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) américains envisagent de recommander un rappel du vaccin Covid au printemps pour les groupes les plus vulnérables. Cette mesure vise à renforcer la protection contre le virus, notamment pour les personnes âgées et les individus immunodéprimés. Bien que les effets secondaires de la vaccination Covid  soient particulièrement à risque, les autorités sanitaires américaines poursuivent leur politique sanitaire qui repose sur le déni de réalité. Si les autorités sanitaires américaines s’attendaient à ce que des millions de personnes reçoivent leur injection, il n’en est rien.

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Une républicaine tacle violemment l’expertise de la FDA sur les vaccins Covid

Jeudi, à Capitoll Hill, lors d’une audience organisée par le sous-comité spécial de surveillance de la Chambre sur la pandémie de coronavirus, la républicaine Marjorie Taylor Greene a rejeté les affirmations du Dr Peter Marks directeur de l’évaluation et de la recherche sur les produits biologiques à la Food and Drug Administration,  sur l’efficacité des vaccins. Ce dernier a annoncé que les vaccins contre le Covid-19 ont sauvé « environ 3,2 millions » de vies aux États-Unis. A cet effet, Marjorie Taylor Greene a déclaré : « Je ne suis pas médecin, mais j’ai un doctorat pour reconnaître les conneries quand je les entends. » Les experts médicaux et des représentants démocrates dénoncent l’impact de cette “désinformation”, qui selon eux, pouvant avoir avec des conséquences graves pour la santé publique. Comme toujours, les autorités sanitaires américaines justifient leur décision en invoquant l’importance primordiale de la santé publique et la menace potentielle d’une situation d’urgence pandémique.

Depuis le lancement des vaccins contre le Covid-19, en 2021, le plus grand flou règne sur l’ampleur des effets secondaires de ces injections. Cela ne fait qu’accroître le doute de la population américaine.La républicaine Marjorie Taylor Greene, a récemment contesté les statistiques sur le nombre de vies sauvées par les vaccins contre le Covid-19, remettant en question l’expertise médicale de Marks. En effet, le Dr Peter Marks, directeur de l’évaluation et de la recherche sur les produits biologiques à la Food and Drug Administration,  a déclaré « environ 3,2 millions » de vies américaines ont été sauvées par les vaccins contre le Covid. Marjorie Taylor Greene a déclaré qu’elle pouvait reconnaître les “conneries” quand elle les entendait. L’influence croissante de l’activisme anti-vaccin, soutenu par certaines factions du parti républicain, inquiète les responsables de la santé publique qui accusent ce mouvement de propager des théories du complot dangereux. L’administration Biden espère que ça finira par disparaître.

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Une étude chinoise confirme l’inefficacité du traitement Paxlovid

Une étude observationnelle publiée dans eClinicalMedicine indique que les médicaments antiviraux azvudine et nirmatrelvir/ritonavir (Paxlovid) n’ont pas démontré d’avantage en termes de survie chez les patients âgés hospitalisés pour COVID-19 en Chine. Les résultats de l’étude ont révélé que ni l’azvudine ni le Paxlovid n’ont montré de bénéfice significatif en termes de survie chez les populations les plus âgées. Depuis l’utilisation de l’antiviral Paxlovid de Pfizer, de plus en plus de patients avaient même signalé le phénomène de rebond de Covid.

Selon une étude observationnelle publiée dans eClinicalMedicine, les médicaments antiviraux Azvudine et Paxlovid (nirmatrelvir/ritonavir) ne permettent pas de prévenir les décès chez les patients âgés hospitalisés recueillis en Chine. Les résultats de l’étude ont révélé que ni l’azvudine ni le Paxlovid n’ont montré de bénéfice significatif en termes de survie. Malgré l’utilisation de ces antiviraux, une proportion notable de patients est décédée pendant le suivi, mettant en évidence les défis posés par la prise en charge de la COVID-19 chez les personnes âgées, qui sont souvent atteintes de multiples maladies chroniques.

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Victime du vaccin, un Britannique exprime sa colère face à Sunak

Rishi Sunak a fait une apparition exclusive sur le Forum du peuple de GB News le lundi 12 février. C’était une séance de questions/réponses qui a duré une heure. Lors de cet évènement, le Premier ministre a dû subir une interrogation intense sur les effets secondaires des vaccins contre le Covid-19. Un Britannique furieux a profité de l’occasion pour exprimer sa colère envers Sunak. Il a alerté sur les effets indésirables et inquiétants de ces vaccins dont il est victime.

En 2021, la question de l’efficacité du vaccin Covid, notamment de l’ AstraZeneca (AZ), a toujours été posée, avant même son autorisation de mise sur le marché en Europe. Une erreur de dosage lors des essais avait semé le doute. Dans de nombreux pays, les cas suspects d’effets secondaires graves se sont multipliés, présentés malheureusement statistiquement comme négligeables par les autorités sanitaires. Au Royaume-Uni, quelques jours après avoir reçu leur vaccin, des patients seraient décédés. Comme toujours, on multiplie les précautions (et les dénis quand c’est nécessaire) pour éviter de reconnaître un lien direct entre le vaccin et le décès. Dernièrement, lors d’un forum public sur GB News, un Britannique nommé John Watt a exprimé sa colère face aux effets secondaires qu’il attribue au vaccin Covid-19. Il a directement interpellé Rishi Sunak, demandant des réponses sur les souffrances endurées par lui-même et d’autres personnes touchées.

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La vaccination aurait réduit la fertilité des femmes

Le Covid long concerne de plus en plus de personnes, incluant les femmes. De nombreuses études ont déjà été menées dans le but d’identifier les facteurs qui favorisent cette persistance des symptômes après la guérison. Récemment, des chercheurs ont décidé d’étudier les effets du Covid long sur la vie sexuelle des femmes. Il faut dire que la sexualité féminine reste encore un sujet tabou. Pourtant, d’après une étude menée par l’équipe de l’Université de Boston, publiée dans le Journal of Sexual Medicine, le Covid long peut entraîner différents troubles sexuels chez les femmes. Le stress, la solitude, la peur, les inquiétudes et les perturbations causées par le Covid-19, notamment les confinements, pourraient expliquer ces résultats. Depuis le lancement de la campagne vaccinale, différents cas d’effets secondaires ont également été signalés parmi eux les troubles menstruels et de fécondité.

Si le Covid-19 a affecté physiquement les individus, selon une étude d’une équipe de l’Université de Boston publié dans le Journal of Sexual Medicine, la santé sexuelle des femmes a également été affectée par le covid. L’équipe de l’Université de Boston a mené une étude visant à évaluer l’impact nocif du Covid sur la vie sexuelle des femmes. Il s’agit d’un sujet qu’on évoque rarement. Notons que des recherches précédentes ont été réalisées, mais elles concernaient plutôt la vie sexuelle des hommes. 

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Découverte de la protéine VIPERIN, une nouvelle piste contre les infections virales

Une récente découverte réalisée par une cohorte internationale de chercheurs sur la COVID-19 a mis en lumière une partie cachée du système immunitaire humain. Cette avancée, publiée dans le Journal of Proteome Research, ouvre de nouvelles perspectives dans la lutte contre la COVID-19 et d’autres infections virales, une percée significative dans la compréhension du système immunitaire humain. Ils ont révélé l’existence de la voie VIPERIN étendue (X-VIP). Il s’agit d’un composant précédemment caché de notre système immunitaire qui produit des agents antiviraux.

‘The discovery of the Extended VIPERIN Pathway (X-VIP) has greatly extended the knowledge of the VIPERIN anti-viral pathway..’

‘For some people, these impacts…can result in long-COVID or post-acute COVID-19 syndrome (PACS)..’https://t.co/0gGBDJGVeD

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Les nouveaux vaccins Covid-19 peu efficaces, selon les CDC US

Aux Etats-Unis, début septembre 2023, face au mythe d’une nouvelle vague de covid, les autorités sanitaires américaines ont recommandé le déploiement des injections de rappel bivalent Covid. Dans une nouvelle étude publiée jeudi, les Centres de lutte et de prévention des maladies (CDC) américains ont révélé que les vaccins actualisés contre le Covid-19 ont une efficacité peu élevée pour prévenir les infections chez les adultes. Les autorités sanitaires américaines persistent dans l’erreur. Au lieu de se demander pourquoi le vaccin est inefficace, les CDC continuent à recommander de nouveau rappel.

Une nouvelle étude menée par Centres de lutte et de prévention des maladies (CDC) américains a examiné l’efficacité des derniers vaccins contre la COVID-19. Sur un échantillon de 9 000 personnes testées dans des pharmacies CVS et Walgreens, les résultats ont montré une efficacité de 54 % pour prévenir l’infection symptomatique chez les adultes. Cette étude représente la première évaluation américaine de l’efficacité des vaccins contre les variants récents du Covid. Malgré une vaccination complète chez ses patients, les chercheurs soulignent que ses injections multiples n’ont pas permis d’augmenter le niveau d’anticorps neutralisants des patients contre les variants Covid.

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Suspicion d’effet secondaire du vaccin Covid sur la thyroïde

Une physiothérapeute qui propose des suppléments a affirmé dans une bobine Instagram publiée le 17 janvier dernier que les vaccins Covid-19 pourraient aggraver les cas des personnes qui souffrent d’une maladie auto-immune ou d’un trouble thyroïdien. Le président de l’Association américaine de la thyroïde et directeur de la pratique d’endocrinologie et de diabète de l’hôpital de l’Université du Colorado, le Dr Michael McDermott estime qu’il faut mener de nouvelles études pour éclaircir ce sujet.

Pour faire face à une énième vague de Covid, nos gouvernements ont toujours opté pour une vaccination généralisée et expérimentale utilisant de nouvelles technologies, pour la majorité à ARN messager. Dans nos colonnes, nous avons toujours alerté sur les effets indésirables et inquiétants, voire potentiellement mortels de ces vaccins. Une étude de cas de 2022, publiée dans le Journal of Endocrinological Investigation, a révélé que sur 83 cas signalés de troubles thyroïdiens après la vaccination contre la COVID-19, 68 % l’étaient après une vaccination avec des vaccins à base d’ARNm.

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Les vaccins ARN à l’origine des troubles menstruels, selon une étude EPI-PHARE

Les troubles menstruels font partie des effets indésirables des vaccins contre le Covid-19. Ils ont été signalés par de très nombreuses femmes et ils se manifestent généralement après la première ou la seconde dose de rappel. EPI-PHARE, le groupement d’intérêt scientifique ANSM-Cnam en épidémiologie des produits de santé, a mené une nouvelle étude dans le cadre du dispositif de surveillance renforcée des vaccins contre le Covid-19. Elle consistait à mesurer le risque de saignements menstruels abondants après l’administration des doses de vaccins à ARNm. L’étude EPI-PHARE a confirmé qu’il est élevé après la primovaccination.

Les effets secondaires des vaccins Covid-19 commencent à ne plus pouvoir être camouflés. Depuis quelques mois, des milliers de cas de troubles menstruels qui surviennent après la vaccination ont été signalés. Après avoir mené une étude dans le cadre de la surveillance renforcée des vaccins anti-COVID-19, l’étude pharmaco-épidémiologique d’EPI-PHARE a analysé le risque de saignements menstruels abondants nécessitant une hospitalisation après la vaccination en France. L’étude confirme une hausse du risque de saignements menstruels abondants après la primovaccination par un vaccin Covid à ARNm. Cette étude renforce l’évidence d’un risque accru de saignements menstruels abondants dans les 3 mois après la primovaccination anti-COVID-19 par vaccin à ARNm.

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Liens entre vaccins ARNm expérimentaux et les risques de « turbo-cancers »

Normalement un « vaccin » est fait pour protéger les populations pas pour les exposer à un risque. Avec l’avènement des injections Covid émerge la théorie des “turbo-cancers”, suggérant que les vaccins à ARN messager pourraient déclencher ou accélérer la survenue de cancers. L’usage de ce terme suggère l’idée de cancers extrêmement agressifs attribués à la vaccination. Cette théorie est largement discréditée par la communauté scientifique. Des études antérieures ont pourtant déduit que la vaccination rendait vulnérable le système immunitaire de la population injectée. Si les conséquences des injections restent inconnues, chaque jour des cas suspects d’effets secondaires graves se multiplient, voire des décès. Malgré tout, ces effets secondaires n’ont eu aucune incidence sur la suite de la campagne de vaccination.

Dès leur apparition, les vaccins à ARNm contre le Covid-19 ont fait l’objet de nombreuses critiques. Le terme “turbo-cancers” ne correspond à aucun concept médical établi, popularisé par Alexandra Henrion-Caude, ancienne directrice de recherche à l’INSERM, désormais une figure influente parmi les opposants à la vaccination contre le coronavirus. Elle affirme que depuis la vaccination de masse, il a été constaté que des cancers se développent chez les personnes vaccinées.

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La propagande vaccinale de l’OMS continue avec le Corbevax

Après avoir évalué le vaccin Corbevax à base de protéines recombinantes développées par les scientifiques du Texas Children’s Hospital et du Baylor College of Medecine, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a approuvé son inscription sur la liste d’utilisation d’urgence ou EUL. Alors que la situation sanitaire s’est améliorée en raison de l’immunité accrue de la population. Comme à son habitude, l’OMS continue à ré-insuffler la peur du covid dans la population. La propagande vacciniste recommence.

Alors que la demande pour les vaccins anti-Covid a considérablement diminué. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) vient d’ approuver  l’inscription d’un nouveau vaccin anti- COVID-19 sur la liste d’utilisation d’urgence (EUL). Sous le nom de Corbevax, ce vaccin est à base de protéines recombinantes développées par des scientifiques du Texas Children’s Hospital et du Baylor College of Medicine.

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44% des britanniques auraient refusé les rappels Covid, selon une étude Lancet

Une étude The Lancet a révélé que 44% de la population britannique n’a pas reçu toutes les doses de vaccins recommandées. Selon l’étude, la population a refusé certains rappels, ce qui a généré une hausse des cas d’infection graves. Les jeunes étaient identifiés comme les plus susceptibles de sauter ces doses. Les vaccins contre le COVID-19 tuent et les britanniques auraient ils commencé à s’en rendre compte?

En 2021, pionnière dans la vaccination, l’Angleterre a atteint un taux de vaccination de 80%… mais le nombre de cas quotidien a continué à exploser, ce qui soulève d’importantes questions sur l’efficacité des vaccins eux-mêmes. Une étude publiée dans The Lancet souligne que plus de 7 000 hospitalisations liées à la COVID-19 auraient pu être évitées au Royaume-Uni à l’été 2022 si la population avait suivi les recommandations complètes de vaccination. Avec un saut de 44% dans la population sous-vaccinée, les plus jeunes sont identifiés comme les plus susceptibles de sauter des doses. Cette étude, qui analyse les dossiers médicaux de toute la population britannique de plus de cinq ans, est la première du genre.

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Enquête Covid au R-U : report des audiences sur les effets secondaires des vaccins

L’enquête sur le développement de vaccins et autres médicaments contre le Covid-19 a été prévue débuter cet été. Mais selon les dernières nouvelles, elle sera reportée. Aucun calendrier n’a été publié concernant les dates des audiences.

L’enquête officielle sur la réponse du gouvernement à la pandémie se poursuit. Néanmoins, l’enquête Covid ne commencera pas à entendre des preuves sur le développement de vaccins et d’autres médicaments cet été, comme prévu initialement. Présidée par l’ancienne magistrate Heather Hallett, les auditions des témoins seront reportées à une date ultérieure, probablement après les prochaines élections générales.

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Malgré un marché Covid en crise, Moderna déclare avoir atteint ses objectifs de ventes de vaccins ARN

Malgré un marché du Covid en crise, Moderna a annoncé les résultats positifs des ventes préliminaires de ses vaccins contre le Covid-19. Lundi, la société a déclaré que l’objectif a été atteint, les ventes d’injections ARN anti-covid s’élèveraient à environ 6,7 milliards de dollars, dépassant ainsi la limite inférieure de ses prévisions pour l’ensemble de l’année. Après cette annonce, les actions de Moderna ont connu une hausse de 2,3%.

Après des résultats records en 2022, la société de biotechnologie américaine, Moderna, a enregistré une chute spectaculaire des ventes de son vaccin anti-Covid19 au cours du second trimestre de l’année 2023. Moderna a annoncé que son chiffre de ventes préliminaire des vaccins contre le Covid s’élèverait à 6,7 milliards de dollars en 2023.

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Nathalie Marquay associe le décès de son époux au vaccin Covid

Pour Nathalie Marquay, épouse de Jean-Pierre Pernaut (décédé en mars 2022), les causes de la mort de ce dernier suscitent des interrogations, Marquay suggérant que ce n’était pas le cancer du poumon qui l’a emporté, mais plutôt des complications liées à la vaccination Covid. La vérité sur les effets secondaires des vaccins Covid commence peu à peu à resurgir. Les effets secondaires à court, moyen et long termes inquiétent, d’autant plus que beaucoup sont encore inconnus et que d’autres sont potentiellement mortels.

Pour les autorités sanitaires, les vaccins à ARNm sont considérés comme les meilleurs outils de lutte contre le Covid-19. Avec la crise du Covid, les régulateurs internationaux ont rapidement autorisé leur utilisation. Ce sont d’ailleurs ces derniers qui ont incité les populations à se faire vacciner plutôt que les arguments sanitaires. Actuellement, des effets secondaires non reconnus auparavant continuent d’être signalés. Dans une interview jeudi avec Gala, Nathalie Marquay, épouse de feu Jean-Pierre Pernaut, a affirmé que son mari n’était pas mort du cancer, mais de la vaccination Covid-19. Outre les cas d’inflammations cardiaques (myocardites) qui sont les plus mis en avant, de plus en plus de cas commencent à soulever d’autres effets toxiques des vaccins.

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Floride : le vaccin ARN rend infertile, selon les autorités sanitaires

Le chirurgien général Dr Joseph Ladapo de la Floride a déclaré mercredi que le gouvernement devrait arrêter le déploiement des vaccins contre le Covid-19 à ARNm. Il a indiqué que l’utilisation de ces produits est risquée pour les hommes. Pour la Food and Drug Administration FDA, cette affirmation est pure désinformation, pouvant avoir avec des conséquences sur la santé publique, mais notamment sur la couverture vaccinale actuelle, qui est déjà faible.

Début septembre 2023, les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC) américains ont préconisé une large utilisation des vaccins COVID-19 mis à jour, pour toute personne âgée de 6 mois et plus. Cette recommandation a suscité la controverse en Floride, le chirurgien général Dr Joseph Ladapo, a déconseille vivement le nouveau vaccin mis à jour pour les moins de 65 ans. Pour rappel, en 2022, la Floride a été le premier État à recommander officiellement de ne pas administrer les vaccins COVID-19 aux enfants en bonne santé. Le Dr Ladapo avait déjà évoqué les nombreux effets indésirables des vaccins tels que « les troubles de la coagulation, les lésions cardiaques aiguës, la paralysie de Bell, l’encéphalite, l’appendicite et le zona ». Mercredi, le chirurgien général de la Floride a déclaré i que le gouvernement devrait cesser d’administrer des vaccins à ARNm contre la COVID-19, car ils ne « ne conviennent pas à une utilisation chez l’homme »

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Après le pactole covid, Moderna parie sur de nouveaux produits pour stimuler ses ventes

La société Moderna, longtemps associée à son vaccin Covid, connaît un regain d’optimisme suite à la déclaration positive d’Oppenheimer. L’analyste d’Oppenheimer, Hartaj Singh a affirmé que le fabricant de vaccins Covid pourrait commercialiser cinq produits d’ici 2026. Suite à cette annonce, l’action de Moderna a grimpé. En effet, la fin de l’état d’urgence sanitaire lié au Covid-19 a entraîné une diminution significative des revenus de la société biopharmaceutique en 2023.

2023 a été une année marquée par une baisse significative de la valeur des actions de Moderna. Cette baisse des bénéfices est principalement attribuée à la diminution de la demande de vaccins COVID-19. Malgré un marché du Covid en crise, les prévisions actuelles indiquent un potentiel de croissance stimulé par un pipeline diversifié. Les actions de Moderna ont clôturé en hausse de plus de 13 % mardi après qu’Oppenheimer a relevé le titre à « surperformance », affirmant que le fabricant de vaccins Covid pourrait commercialiser cinq produits d’ici 2026.

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Après la manne du Covid, Moderna va lutter contre le cancer

Le géant américain Moderna souhaite se diversifier. Moderna lance son vaccin expérimental mRNA-4157 (V940) contre le cancer. Il est basé sur la technologie d’ARNm utilisée pour la production des vaccins contre le Covid-19. Les résultats des tests ont été révélés que l’injection permettrait de réduire de moitié le risque de rechute ou de décès en cas de cancer de la peau, lorsqu’on l’associe au médicament d’immunothérapie Keytruda de Merck. Suite à cette annonce faite jeudi matin, l’action de Moderna a grimpé.

Après que Pfizer a annoncé les prévisions négatives de vente de son vaccin Covid-19, les actions des fabricants de vaccins Covid-19 ont chuté. Cette baisse des bénéfices projetée par Pfizer est principalement attribuée à la diminution de la demande de vaccins et de traitements liés au COVID-19. Malgré un marché du Covid en crise, les actions de Moderna ont grimpé à la suite de résultats prometteurs sur son vaccin expérimental contre le cancer. Moderna a testé son vaccin ARNm, associé au médicament Keytruda(R) (Pembrolizumab) de Merck. Les essais auraient montré une réduction significative du risque de rechute ou de décès chez les patients atteints de mélanome. Ce vaccin ARN repose sur la même technologie que celle utilisée pour les vaccins contre la COVID-19. Cette technologie qui, selon la MIT Technology Review, est bon marché rapide et facile à concevoir, mais surtout : dangereuse. Néanmoins, grâce à cette « avancée » dans la technologie de l’ARNm, les gains boursiers de Moderna ont été notables. Le traitement du cancer représente une charge financière considérable, atteignant environ 14 milliards d’euros chaque année pour les 350 000 nouveaux patients, ce qui équivaut à 8% des dépenses totales de santé pour seulement 2% de la population. Les actions pharmaceutiques, de par leur implication dans ce secteur, ont évolué pour devenir des refuges de valeur.

Une hausse de près de 15% de l’action Moderna

Jeudi, Moderna et Merck ont annoncé les résultats des tests sur l’utilisation du vaccin contre le cancer et du médicament Keytruda sur des patients atteints de mélanome. Sur une période de trois ans, les patients atteints de mélanome recevant à la fois le vaccin et le médicament d’immunothérapie Keytruda ont présenté une réduction de 49% du risque de rechute ou de décès par rapport à ceux traités uniquement avec Keytruda. De plus, une diminution de 62% du risque de propagation du cancer ou de décès a été observée avec l’utilisation combinée des deux traitements par rapport à l’utilisation de Keytruda seul.

Les effets secondaires signalés étaient généralement mineurs, tels que la fatigue, la douleur au site d’injection et les frissons.

Cette annonce a fait grimper l’action Moderna de près de 15 % jeudi matin, tandis que les actions de Merck étaient en baisse de 0,3 %. Il faut dire que la performance de Moderna était au ralenti ces derniers mois avec le recul du covid. Suite à la baisse de la demande de vaccins contre le Covid-19,  l’action de la société a même connu une baisse assez conséquente mardi.

Disponible en 2025

Le vaccin expérimental contre le Cancer mRNA-4157 (V940) de Moderna est basé sur la technologie d’ARNm utilisée pour la production des vaccins Covid-19. Conçue sur mesure pour chaque receveur, l’injection se sert de l’ADN de la tumeur du patient afin d’accroître son immunité. Les résultats des tests sont basés sur des conclusions déjà publiées au début de cette année.

Selon le président de Moderna, Stephen Hoge, l’efficacité des deux traitements est durable. Notons que l’expérience a été menée sur une période de 3 ans. Il a ajouté que « les réponses sont solides comme le roc durant cette période ».  

Le PDG de Moderna, Stéphane Bancel, a déclaré que la société visait une disponibilité du vaccin en 2025 et qu’elle avait lancé des essais supplémentaires pour évaluer l’efficacité de la combinaison dans le mélanome à un stade avancé et dans le cancer du poumon.

Hormis celui contre le mélanome, Moderna compte développer un vaccin contre la grippe à base de la technologie à ARNm. Pour rappel, durant la crise Covid,  pour les autorités sanitaires, les vaccins à ARNm sont considérés comme les meilleurs outils de lutte contre le Covid-19. Les régulateurs internationaux ont rapidement autorisé leur utilisation. Ce sont d’ailleurs ces derniers qui ont incité les populations à se faire vacciner plutôt que les arguments sanitaires. Actuellement, les effets secondaires non reconnus des injections ARNm continuent d’être signalés.

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La Floride alerte sur les dangers des vaccins ARNm

Alors que les nouvelles données du gouvernement fédéral américain ont révélé que seulement 56 millions d’américains ont reçu le vaccin anti – Covid-19 actualisé. Les Centers for Disease Control and Prevention affirment qu’il y a un « besoin urgent » d’augmenter la couverture vaccinale face à l’augmentation des niveaux de maladies respiratoires. Vendredi, la Food and Drug Administration (FDA) a dénoncé les déclarations du chirurgien général de Floride, Joseph Ladapo, qui remettaient en question la sécurité des vaccins COVID-19,  avançant des inquiétudes sur le potentiel cancérogène des vaccins ARNm. Pour la FDA, cette affirmation est pure désinformation ,pouvant avoir avec des conséquences graves pour la santé publique. Pour le gouverneur de la Floride Ron DeSantis, les agences fédérales de santé restent le « bras armé de Big Pharma » avec leur « autoritarisme médical » (obligations du port de masques, obligations vaccinales…).

Début septembre, les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC) américains ont préconisé une large utilisation des vaccins COVID-19 mis à jour, pour toute personne âgée de 6 mois et plus. Cette recommandation a suscité la controverse en Floride, le chirurgien général Dr Joseph Ladapo, a déconseille vivement le nouveau vaccin mis à jour pour les moins de 65 ans. Pour rappel, en 2022, la Floride a été le premier État à recommander officiellement de ne pas administrer les vaccins COVID-19 aux enfants en bonne santé. A l’époque la porte-parole de la Maison-Blanche, Jen Psaki, avait qualifié de “profondément inquiétante”, la décision du département de la santé de Floride et continue de pousser à la doxa vaccinale. Précédemment, le Dr Ladapo a fait de nombreuses déclarations sur la dangerosité des vaccins, vivement critiquées par les démocrates et les épidémiologistes. Il a par exemple déconseillé aux jeunes hommes de se faire vacciner en raison des cas d’inflammation cardiaque signalés. Le Dr Ladapo a évoqué les nombreux effets indésirables des vaccins tels que « les troubles de la coagulation, les lésions cardiaques aiguës, la paralysie de Bell, l’encéphalite, l’appendicite et le zona ». A ce jour, seulement 11 % des Floridiens ont reçu un booster actualisé.

Ladapo alerte sur les effets indésirables des injections ARN

Dans une lettre récente à la FDA, le chirurgien général nommé par le gouverneur Ron DeSantis, Joseph Ladapo a émis des doutes sérieux sur la sécurité des vaccins COVID-19, en particulier ceux à ARNm. Il a soulevé la possibilité que le système d’administration de ces vaccins puisse introduire de l’ADN contaminant dans les cellules humaines, augmentant ainsi le risque de cancer.

Ladapo avait également demandé à la FDA et au CDC si le risque d’intégration de l’ADN a été évalué par les fabricants de vaccin et fourni aux agences fédérales.

Dr. Kawsar Talaat, professeur associé au département de la santé internationale de la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health, a répondu que ces préoccupations n’ont aucune base scientifique.

De même le Dr. Peter Marks, directeur du Center for Biologics Evaluation and Research for the FDA, a qualifié les allégations du Dr Ladapo d’infondées sur le plan scientifique.

Dans un communiqué, Marks souligne que Ladapo a mal interprété les processus cellulaires, expliquant qu’il est scientifiquement improbable que des quantités significatives d’ADN contaminant se retrouvent dans le noyau des cellules humaines. De plus, Marks insiste sur le rôle crucial des vaccins dans la réduction des risques de décès, d’hospitalisation et de maladies graves liées au COVID-19. Toujours ce narratif du « seul le vaccin peut nous sauver », puis du « seuls d’irresponsables complotistes refusent le vaccin ».

Pour mémoire, le microbiologiste Kevin McKerman avait révélé dans une étude que les vaccins Pfizer ARNm sont contaminés par la présence de l’ADN double brin et les promoteurs du virus simien 40 (SV40). Le niveau de contamination est élevé puisqu’il est de 30%. C’est une quantité qui dépasse les limites réglementaires en Europe et aux États-Unis. Notons que la présence de l’ADN dans les vaccins constitue une véritable source de danger pour les personnes vaccinées.

Réticence vaccinale à cause de la désinformation

Pour Dr. Kawsar Talaat, « ces déclarations de Ladapo sont conçues pour effrayer les gens plutôt que d’enquêter sur la vraie science ». Elle dénonce l’impact de cette désinformation, qui reflète le faible taux de vaccination en Floride, une tendance qui s’étend sur tout le continent américain.

En effet, seulement 11 % des Floridiens ont reçu une mise à jour du vaccin COVID-19, malgré la population significative de personnes âgées, les plus vulnérables. La FDA accuse le gouverneur et son chirurgien général de désinformation, ayant contribué à cette réticence vaccinale, mettant en danger la population face à la persistance du virus.

Comme toujours, les autorités sanitaires américaines  justifient leur décision en invoquant l’importance primordiale de la santé publique et la menace potentielle d’une situation d’urgence pandémique. Comme toujours, il y a une tendance à étouffer l’information lorsque des preuves scientifiques liées aux effets secondaires des injections contre le Covid. Les informations ne sont pas relayées, les médias subventionnés choisissent délibérément d’ignorer les preuves lorsqu’elles sont disponibles.

Ladapo a fustigé les autorités sanitaires fédérales en déclarant :

« les CDC et la FDA disent toujours quelque chose de très différent … ils ne sont pas francs avec les gens au sujet des données et de ce qui est connu et inconnu et qui est le mieux pour eux. »

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Nouvelle-Zélande : un agent de santé arrêté pour avoir divulgué des données sur les vaccins COVID

Les informations qui circulent à propos du covid-19 et des procédés de vaccination sont de plus en plus critiquées, surtout quand on sait que des médecins et des personnels soignants parlent de ce qu’ils voient sur le terrain.Un agent de santé néo-zélandais de 56 ans a été appréhendé et inculpé pour avoir prétendument utilisé et divulgué de manière » abusive des données de vaccination tout en propageant de fausses informations sur le Covid-19 ». Barry Young, 56 ans, aurait accédé à un réseau informatique au sein de l’agence de santé publique « Te Whatu Ora » à des « fins malhonnêtes » et a téléchargé un téraoctet de données. Young a ensuite publié l’information en ligne. La directrice générale de Health New Zealand, Margie Apa, a condamné cet “abus de confiance flagrant” et souligné l’urgence de traiter cette “divulgation non autorisée et l’utilisation abusive de données”.

La Nouvelle-Zélande fait face à un scandale de divulgation de données sur les vaccins COVID alors qu’un informaticien, Barry Young, est arrêté pour avoir prétendument accédé illicitement aux informations de l’agence de santé publique “Te Whatu Ora”. Les allégations de Young, affirmant que l’agence dissimule des décès liés aux vaccins, suscitent des inquiétudes quant à la désinformation. Tandis que la PDG de Te Whatu Ora rejette ces affirmations, le ministre néo-zélandais de la Santé condamne l’abus de confiance et qualifie Young de “théoricien du complot”. La situation souligne les défis de sécurité des données et les implications potentielles de la désinformation dans le contexte de la vaccination.

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Le Japon lance son premier vaccin ARN adapté au sous-variant XBB.1.5

Bien que le nombre de cas d’infections au Covid-19 a largement diminué au Japon, le ministère de la Santé a donné son feu vert au vaccin Daichirona de Daiichi-Sankyo, conçu pour cibler la souche XBB.1.5. En prévision d’une éventuelle recrudescence des cas,le Japon a annoncé que cette version adaptée sera intégrée au programme national de vaccination gratuite dès la semaine prochaine, avec une commande initiale de 1,4 million de doses.

Face à la souche XBB.1.5 d’Omicron, le ministère de la Santé japonais a donné son feu vert au vaccin Daichirona de Daiichi-Sankyo, marquant un tournant dans la campagne de vaccination. Pour rappel, le Japon a dénombré quelque 74.000 morts depuis le début de la pandémie pour une population de 125 millions d’habitants, un chiffre inférieur à ceux de beaucoup d’autres pays.  Néanmoins, les responsables du gouvernement japonais n’ont jamais instauré d’état d’urgence ni de restrictions strictes.

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Royaume-Uni : un jeune homme décède après une injection AstraZeneca

Alex Reid, un jeune homme de 28 ans, est décédé des suites d’une injection Covid-19 AstraZeneca. Selon ses parents, il a été victime d’erreur médicale, considéré comme obèse morbide dans son enfance, Alex a reçu le vaccin AstraZeneca, déclenchant un caillot sanguin fatal. La cause de son décès était une thrombocytopénie thrombotique immunitaire ou VITT.

Selon le discours officiel, les injections anti-Covid sont présentées comme efficaces, empêchant les formes graves de la maladie. Cependant, cette affirmation suscite des inquiétudes réelles du fait que les effets indésirables des vaccins sont largement sous-déclarés, un risque pour la vie humaine ne peut pas être exclu. En 2021, l’efficacité du vaccin AstraZeneca (AZ) a toujours été posée, avant même son autorisation de mise sur le marché en Europe. Des études israéliennes et américaines avaient mis en doute le bénéfice/risque de l’AZ. Au Royaume-Uni on juge le vaccin “sûr et efficace”. Pourtant, quelques jours après avoir reçu leur vaccin, des patients seraient décédés. Aujourd’hui les familles des victimes du vaccin AstraZeneca portent plainte. Selon The Telegraph, l’histoire d’Alex Reid révèle un enchaînement d’erreurs tragiques qui ont conduit à sa mort prématurée. Une faute de classification dans son dossier médical remontant à son enfance a entraîné une invitation anticipée à la vaccination. Cette classification erronée, basée sur un indice de masse corporelle incorrect, a exposé Alex au vaccin AstraZeneca. Alex Reid a reçu le vaccin Covid d’AstraZeneca, qui a provoqué la formation d’un caillot sanguin rare et a entraîné sa mort prématurée.

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Joron : “Eudravigilance compte 12.000 décès signalés du vaccin !”

Avec les conflits qui se succèdent, la question du COVID, et des conséquences du vaccin, passe plutôt inaperçue. La ténacité de certains députés européens comme Virginie Joron permet heureusement de faire remonter à la surface les informations saillantes qui rappellent que l’opération COVID a constitué le premier épisode d’un narratif du chaos qui continue aujourd’hui au fil des crises. Aujourd’hui, Virginie Joron nous fait le point de la situation.

Dans les faits, la base Eudravigilance continue à recenser les signalements d’effets secondaires causés par les médicaments, dont les vaccins contre le COVID. On rappelle bien entendu que signalement ne signifie pas lien de causalité avéré. Mais comme le rappelle Virginie Joron, la mise sur le marché de certains médicaments a été arrêtée après infiniment moins de signalements.

Pourquoi Pfizer bénéficie-t-il d’un traitement de faveur ?

Les questions restent en suspens.

En tout cas, la réponse de la Commissaire Kyriakides à une question posée par un député est sans appel :

11.977 signalements spontanés d’effets secondaires suspects d’avoir entraîné la mort… Ce n’est pas rien tout de même.

Voici le document que Virginie Joron signale dans son interview :

Royaume-Uni : bataille judiciaire engagée autour du vaccin AstraZeneca

Le vaccin Oxford-AstraZeneca est au cœur d’une contestation judiciaire devant la Haute Cour de Londres, à cause de possibles effets secondaires, dont une thrombocytopénie et une thrombose immunitaires. D’après le rapport du média britannique « The Daily Telegraph », le plaignant, un père de famille nommé Jamie Scott a failli mourir après avoir reçu le vaccin covid d’AstraZeneca.

En 2021, la question de l’efficacité du vaccin AstraZeneca (AZ) a toujours été posée, avant même son autorisation de mise sur le marché en Europe. Une erreur de dosage lors des essais avait semé le doute. Après son déploiement, le vaccin AstraZeneca a été suspendu dans plusieurs pays, après la survenue de plusieurs cas mortels de thrombo-embolie, présentés malheureusement statistiquement comme négligeables par les autorités sanitaires. Au Royaume-Uni, quelques jours après avoir reçu leur vaccin, des patients seraient décédés. Aujourd’hui les familles des victimes du vaccin AstraZeneca portent plainte. Selon la presse anglaise, Jamie Scott aurait subi une hémorragie au cerveau suite à sa vaccination. Les avocats de la famille ont déclaré que le vaccin était « défectueux » et que les informations sur l’efficacité et l’innocuité du produit étaient « trompeuses ». Ils réclament des dommages et intérêts. De son côté, AstraZeneca a souligné que la sécurité des patients reste sa priorité, pourtant les victimes du vaccin s’interrogent de la responsabilité de l’État et des fabricants avec ces cas de complications graves.

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USA : des Républicains associent le décès de Matthew Perry au vaccin ARNm

Matthew Perry, alias Chandler Bing dans la série Friends, a été retrouvé mort dans son jacuzzi samedi. Une première autopsie a été jugée “non concluante”, laissant la cause du décès de l’acteur de 54 ans indéterminée. Mais des personnalités de droite ont affirmé que la mort de l’acteur serait due au vaccin anti Covid.

What??? Was he vaccinated? https://t.co/sB9Uu8YhDD

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USA : la FDA minimise les risques d’AVC causés par les vaccins Covid et la grippe

Dès le début de la crise covid, l’arrivée des vaccins a été accompagnée de discours optimistes sur leur efficacité et leur sécurité, insistant sur la réduction des risques de formes graves et la protection qu’ils offraient. Pourtant, de plus en plus d’études commencent à mettre en évidence les effets toxiques des vaccins. Une nouvelle étude de la FDA (agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux) américaine vient de révéler que les vaccins contre le Covid-19 et la grippe peuvent accroître le risque d’accident vasculaire cérébral (AVC). Les données de Medicare indiquent une légère hausse du risque, surtout après une double vaccination chez les 85 ans et plus.

Selon une étude publiée dans The New England Journal of Medecine, de nombreux cas de crises cardiaques ont été signalés au cours de ces deux dernières années, chez les personnes ayant reçu un vaccin à ARNm contre le Covid-19. Par ailleurs, de plus en plus d’études révèlent les effets toxiques des vaccins, c’est la deuxième étude qui met en évidence la hausse du risque d’AVC chez les personnes âgées qui ont reçu les vaccins contre le Covid-19 et contre la grippe en même temps. Selon cette nouvelle étude, le risque est beaucoup plus élevé chez les adultes âgés de 85 ans et plus. Pour rappel, la FDA et les CDC (Centers for Disease Control and Prevention) américains ont déjà publié un communiqué public en janvier.

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Le thé vert aurait un potentiel thérapeutique contre le covid, selon une étude

Une étude publiée dans la revue Scientific Reports a révélé que le thé vert a le pouvoir de prévenir l’infection par le Covid-19. Selon les auteurs de la recherche, un composé végétal dans le thé vert est capable de neutraliser le SARS-CoV-2.

La vaccination de masse est aujourd’hui de plus en plus remise en cause, puisqu’elle ne garantit pas l’arrêt de l’épidémie et qu’elle n’empêche pas la naissance de nouveaux variants du virus. De plus en plus de chercheurs centrent leur étude sur d’autres nouvelles pistes thérapeutiques efficaces, mais avec peu d’effets secondaires, pour lutter contre le covid. Dernièrement, une étude publiée dans la revue Scientific Reports a conclu que le thé vert pouvait prévenir le Covid.

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Après les vaccins ARN expérimentaux, voilà que Pfizer investit dans le cancer  

Jeudi, la Commission européenne a approuvé le rachat de la biotech Seagen par Pfizer. Selon la société américaine, son but avec cette acquisition est de diversifier ses offres. Seagen est une biotech spécialiste des thérapies anticancéreuses utilisant des « anticorps conjugués ».

Grâce à la crise sanitaire, l’industrie des vaccins et des biotechnologies a réalisé en moins de 2 ans un chiffre d’affaires qu’elle n’aurait pu espérer obtenir en 15 ans. Pfizer détient toujours la grosse part du marché en matière de produits contre le Covid avec son vaccin et sa pilule Paxlovid. Mais avec la fin du covid, en raison d’une diminution des revenus attendus du Paxlovid et du vaccin Comirnaty, Pfizer a décidé de revoir ses prévisions à la baisse avec une chute de 9 milliards de dollars de ventes pour l’ensemble de l’année. La Commission européenne a autorisé l’acquisition de Seagen par Pfizer, évaluée à 43 milliards de dollars. Seagen, spécialisée dans les thérapies ciblées contre le cancer, a déjà obtenu l’approbation pour quatre de ses traitements aux États-Unis. On se demande pourquoi Pfizer, une société qui a eu le champ libre sur les vaccins aux nombreux effets indésirables, et qui n’arrive plus à les vendre, rachète une société spécialisée dans le traitement des cancers ?

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Contrat Pfizer : les injections sont expérimentales et le fabricant non condamnable

Suite un jugement rendu par la Haute Cour du Nord Gauteng à Pretoria en aout, le département de national de la Santé a été contraint de remettre toutes les copies des contrats d’achat de vaccins contre le Covid-19 à la Health Justice Initiative (HJI). Au regard du contrat Pfizer en Afrique du Sud rendu public le 21 septembre dernier, une clause mentionnée que « (…) sont rapidement développés en raison des circonstances d’urgence liées à la pandémie de COVID-19 et continueront d’être étudiés après la fourniture du vaccin à l’acheteur dans le cadre du présent accord. L’acheteur reconnaît en outre que les effets et l’efficacité à long terme du vaccin ne sont pas actuellement connus et qu’il peut y avoir des effets indésirables du vaccin qui ne sont pas actuellement connus. » Depuis le début de la vaccination et ce, jusqu’à ce jour, de nombreux cas d’effets indésirables ont été rapportés. L’émergence de nouvelles pathologies met en lumière le caractère expérimental de ces produits.

Plus le temps passe et plus les effets à terme des vaccins sont visibles, on assiste de plus en plus à un lien de cause à effet entre les injections et des maladies à long court (cancer, maladie de Guillain Barré, scléroses en plaques…) ou des accidents cardiovasculaires. Malgré les effets indésirables continus, sans une réelle prise en compte dans les orientations de la politique sanitaire, on peut légitimement soupçonner une sous-déclaration plus importante de ces effets nocifs de ces injections. Les citoyens sont utilisés comme des cobayes au prétexte d’une urgence contestée et du rejet, par exemple, de l’ivermectine en tant que traitement efficace, sans effets secondaires majeurs et économiquement abordables (médicament générique).

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USA : un médecin teste un traitement anti-covid sur des détenus à leur insu

Des détenus du comté de Washington à Fayetteville, en Arkansas, ont porté plainte contre le Dr Robert Karas. Ils ont déclaré avoir reçu une surdose d’ivermectine, à leur insu en aout 2021. Le médecin aurait mené une expérience dans le but de connaître les effets de ce médicament antiparasitaire chez les patients atteints du Covid-19. Les détenus ont remporté une indemnité de 2.000$ chacun.

De nombreux chercheurs ont évoqué l’efficacité de certains médicaments incluant notamment l’hydroxychloroquine et l’ivermectine dans le traitement du Covid-19. Avec le lobbying intensif des laboratoires, les médias mainstream ont également alimenté la confusion et la désinformation autour de ce médicament. Traitement peu cher, plusieurs gouvernements ont autorisé la prescription de l’ivermectine comme traitement contre le covid, ces pays ont tous eu recours à ces traitements avec des résultats probants. La FDA (Food and Drug Administration) n’a jamais approuvé l’utilisation de ce vermifuge dans le traitement du Covid-19. En septembre 2021, la FDA avait déclaré que de nombreux patients ont présenté des troubles de santé nécessitant des soins médicaux spécifiques, incluant une hospitalisation, après avoir s’être automédiqués avec de l’ivermectine.

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Comment l’establishment continue à torpiller l’hydroxychloroquine et l’ivermectine

Selon une nouvelle étude réalisée par le JAMA Health Forum, 1 Américain sur 20 a utilisé des thérapies non approuvées par la communauté scientifique pour traiter le Covid-19. L’étude, menée entre décembre 2022 et janvier 2023, met en lumière l’utilisation de l’ivermectine et de l’hydroxychloroquine. Pourtant, avec le lobbying intensif des laboratoires, les médias mainstream ont alimenté la confusion et la désinformation autour de ces thérapies.

Au début de la pandémie, de nombreux chercheurs ont évoqué l’efficacité de certains médicaments – incluant notamment l’hydroxychloroquine et l’ivermectine – dans le traitement du Covid-19. Mais rapidement, les autorités sanitaires et les bureaucrates de l’administration Biden les ont volontairement disqualifiés en tant que traitement du COVID-19.

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Nobel de médecine : les vaccins ARNm anti-covid et ses dangers potentiels adoubés

Lundi, le prix Nobel de médecine 2023 a été décerné à la chercheuse hongroise Katalin Kariko et à son collègue américain Drew Weissman pour leurs travaux de recherche ayant permis le développement des injections ARN messager dans la lutte contre le COVID-19. Pourtant actuellement, la vérité sur les effets secondaires des vaccins Covid ARNm commence peu à peu à resurgir. Les effets secondaires à court, moyen et long termes inquiètent, et sont parfois inconnus, voire potentiellement mortels.

Le prix Nobel de médecine 2023 a été attribué, lundi 2 octobre, à la Hongroise Katalin Kariko et à l’Américain Drew Weissman pour “leurs découvertes concernant les modifications des bases nucléosidiques ayant permis la mise au point de vaccins ARNm” contre le Coronavirus.Pour rappel, l’acide ribonucléique messager, ARN messager, ou ARNm  est une copie transitoire d’une portion de l’ADN correspondant à un ou plusieurs gènes.  L’ARNm est utilisé comme intermédiaire par les cellules pour la synthèse des protéines. La découverte en a été faite en 1961. Le médecin découvreur du principe utilisé pour les vaccins à ARN messager dans les années 1980 a été le Professeur Robert Malone. Ce dernier s’est opposé avec véhémence aux injections ARN actuelles de Pfizer et Moderna, qu’il considère comme fabriqués trop vite. Selon lui, ces derniers n’ont pas fait l’objet d’essais complets permettant de garantir une absence de nocivité. 

Rapidité du développement des vaccins ARNm

Collègues de l’Université de Pennsylvanie (États-Unis), Katalin Kariko (68 ans) et Drew Weissman (64 ans) ont longtemps travaillé sur la technologie ARNm (Acide ribonucléique messager). En 2005, les deux experts ont fait des découvertes décisives, ils ont découvert que l’ARNm peut aider les cellules à produire des protéines bienfaisantes pour le corps.

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Vaccination des femmes enceintes : le mensonge continue

Alors que de nombreux arguments scientifiques vont à l’encontre des injections Covid, les politiques sanitaires continuent à recommander la vaccination même des tout petits. Une récente étude des CDC vient même de révéler que la vaccination pendant la grossesse protège le nourrisson contre la forme grave du Covid-19 pendant les 5 premiers mois de sa vie. Selon les autorités sanitaires des pays occidentaux, il n’y aurait aucune contre-indication à faire vacciner les femmes enceintes. Pourtant des études antérieures ont confirmé la dangerosité des vaccins Covid pour les femmes enceintes.

Comme nous l’avons évoqué, le Dr Pierre Peterson a présenté des statistiques montrant que le taux de mortalité fœtale par vaccin administré aux États-Unis avait, en fait, massivement augmenté (environ 2000%) depuis la mise à disposition des vaccins Covid. Comment peut-on justifier une politique de santé publique en faveur des injections Covid pour les nourrissons ?

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