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À partir d’avant-hierLe courrier des stratèges

Comment l’IA pourrait aider à détecter le COVID ?

L’utilisation de l’intelligence artificielle dans la médecine ouvre de nouvelles possibilités d’accélération de la mise au point de traitements. Une récente recherche menée par des chercheurs de l’Université Johns Hopkins a abouti au développement d’un outil de détection automatisé utilisant l’IA pour repérer le COVID-19 dans les images échographiques pulmonaires. Cette avancée pourrait révolutionner la manière dont les médecins urgentistes diagnostiquent les patients, en particulier dans des situations d’urgence où le temps est crucial.

Les chercheurs du Whiting School of Engineering de l’Université Johns Hopkins ont lancé une recherche pour développer un outil permettant de détecter rapidement le Covid-19. Les résultats ont été publiés dans Communications Medicine. Ils ont réussi à mettre au point un outil de détection automatique utilisant l’Intelligence artificielle (AI). Il permet de détecter le Covid-19 dans les images échographiques pulmonaires.

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Les biomarqueurs fibrinolytiques permettent d’identifier la gravité du COVID, selon une étude

Pendant la pandémie, les tests conventionnels ne permettaient pas d’évaluer si un patient risque de développer la forme grave du Covid-19. Les facteurs de comorbidité pouvaient entraîner une hospitalisation ou un décès chez un plus grand nombre de personnes reconnues comme vulnérables. Mais une nouvelle étude a révélé que les protéines régulant les niveaux de plasminogène et de plasmine pourraient devenir des indicateurs importants. L’étude menée par l’Université Juntendo au Japon a ouvert de nouvelles perspectives dans la recherche de biomarqueurs pour prédire la gravité du COVID-19.

Si le Covid-19 peut toucher tout le monde, ses formes graves sont plus courantes chez les personnes âgées ou déjà affaiblies par une autre maladie. On entend par comorbidité, la présence de maladies et divers troubles aigus ou chroniques s’additionnant à la maladie initiale (obésité, diabète,hypertension, maladie cardiovasculaire…). Une récente étude menée par l’Université Juntendo au Japon a exploré le potentiel des biomarqueurs fibrinolytiques, en se concentrant sur les protéines régulant les niveaux de plasminogène-plasmine, pour identifier les patients à risque. Une compréhension des réponses immunitaires déclenchées au fur et à mesure de l’évolution de la maladie est donc essentielle pour déterminer quels patients sont les plus à risque de souffrir de graves complications ou de mourir à la suite de celles-ci.

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Un rapport israélien établit que Tsahal serait écrasée militairement par le Hezbollah

Un rapport rédigé par des experts israéliens de la défense et de la lutte contre le terrorisme juge que Tsahal aurait le dessous dans une guerre de haute intensité avec le Hezbollah au Liban. Cela fait deux mois au moins que Tel-Aviv menace de déclencher une guerre de grande envergure contre le Liban pour mettre fin aux attaques régulières du Hezbollah contre la Galilée. En réalité, l’armée israélienne se garde bien de franchir un certain seuil de violence, tant elle craint des représailles terribles pour le pays. Le rapport, commencé avant le 7 octobre 2023, vient d’être achevé alors qu’une guerre de basse intensité a déjà lieu entre Israël et le Hezbollah.

Plus de 100 experts et officiers israéliens ont rédigé un rapport de 130 pages intitulé “La guerre la plus meurtrière de toutes”, qui conclut à l’incapacité des Israéliens à mener une guerre sur plusieurs fronts. Le rapport, réalisé sous la direction du professeur Boaz Ganor, aujourd’hui président de l’université Reichman, a été présenté à de nombreux responsables gouvernementaux et militaires.

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Borne annonce la destruction définitive de notre agriculture

Hier, Elisabeth Borne a présenté la “Stratégie Nationale Biodiversité 2030”, moins médiatique que la stratégie bas carbone sur laquelle Emmanuel Macron a tergiversé pendant plusieurs mois, mais peut-être plus destructrice encore pour notre mode spontané de vie. En effet, d’ici 2030, la Première Ministre annonce d’importants changements écologiques dans le paysage de nos campagnes qui devraient modifier fortement le visage de la France profonde.

On se souvient des hésitations d’Emmanuel Macron à présenter l’explosive “stratégie bas carbone” du gouvernement, qui doit imposer la sobriété écologique à un petit peuple déjà rincé par l’inflation et les salaires bas qui ont suivi les 35 heures. Moins médiatique, la stratégie biodiversité n’en est pas moins, n’en sera pas moins destructrice. Elle comporte en effet quelques mesures structurantes qui devraient modifier notre paysage dans les 6 ou 7 ans à venir.

Par exemple :

Nous voulons avancer, également, pour la restauration des sols. C’est le sens de l’engagement du président de la République de planter 1 milliard d’arbres en dix ans. C’est encore ce que permettront les 50 000 kilomètres de haies que nous plantons à travers le territoire, ou encore nos actions de restauration des zones humides. Nous devons ensuite veiller à faire baisser les pressions qui s’exercent sur la biodiversité. Je connais bien la sensibilité de cette question. Et je crois fermement qu’il n’y a pas d’opposition entre transition écologique, développement des territoires et croissance économique – au contraire. 

Elisabeth Borne

Bref, alors que les nappes phréatiques débordent, contrairement aux affirmations de la propagande écologique, le gouvernement s’engage à restaurer les zones humides. Si l’on ajoute à ce projet étrange l’installation de 50.000 kilomètres de haie, la plantation d’1 milliards d’arbres, et l’objectif plus général de diminuer la surface agricole utile, on comprend que notre agriculture sera mise à rude épreuve dans les années qui viennent. Dans ce cas de figure, le problème général n’est pas celui de l’écologie, mais de la propriété privée. Progressivement, l’agriculture sera mise en coupe réglée pour faire plaisir au lobby de l’écologie.

Globalement, donc, nous glissons dans cette société orwellienne où la France est promise à la club-médisation. Nos campagnes seront sauvages, protégées, vides d’industrie. Notre pays se transformera en carte postale où pas une usine ne viendra pollué le ciel, pas un ouvrier ne viendra plus déparer dans les plus jolis villages de France. Nous vivrons du tourisme, et nous mourrons d’ennui.

Rappelons que cette stratégie décline les projets de l’Union Européenne dans ce domaine. L’asservissement de l’Europe dans un grand projet mondialiste progresse.

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L’INSEE montre que les enfants de pauvres sont gros, et les autres alcoolo

Y a-t-il des comportements induits par les milieux sociaux ? Non, disent la bouche en coeur ceux qui prétendent que nous vivons dans une parfaite égalité des chances. Oui, dit l’INSEE qui documente le sujet avec un intéressant portrait social de la France. Il faut lire ce document tout à fait instructif pour comprendre les enjeux de la France contemporaine. D’un côté une jeunesse misérable qui prend la malbouffe de plein fouet. De l’autre, une jeunesse à la recherche de paradis artificiels pour oublier le vide de son existence.

Bien entendu, il y a tout un bla-bla sur l’égalité des chances. La réalité est un peu différente. Dans le portrait social de la France que l’INSEE publie, on découvre que les enfants dont les parents sont inactifs (autant dire marginaux) sont, une fois sur quatre, obèses, alors qu’un enfant de cadre sur 15 seulement est dans ce cas. L’inactivité des parents est-elle la mère de la gourmandise chez les enfants ? Plutôt la mère de la malbouffe et de la compréhension des règles diététiques de base.

Inversement, les enfants de cadres sont plus nombreux à sa saouler et à se droguer que les enfants de pauvres :

9 enfants de cadres picolent, contre 6 enfants de pauvres. En substance, donc, soit tu es pauvre et gros, soit tu es riche et alcoolo. Entre les deux, tu choisis.

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Netanyahu a besoin de l’opération à Gaza pour conserver son pouvoir, par Dmitri Bavyrine

Après la visite du président américain Joe Biden en Israël, le discours de Washington à l’égard du gouvernement israélien semble devenir plus dur. En fait, les Américains ne veulent pas d’opérations terrestres dans la bande de Gaza. Mais le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, lui, en a besoin comme de l’air qu’il respire. Sans cette offensive, il perdra le pouvoir, mais avec elle, il en sera certainement de même.

Cet article initialement publié sur le site vz.ru n’engage pas la ligne éditoriale du Courrier.

« Justice doit être rendue. Mais mon avertissement est le suivant : pendant que vous ressentez cette rage, ne la laissez pas vous consumer. Après le 11 septembre, nous étions furieux aux États-Unis. Nous avons demandé justice, mais nous avons commis des erreurs », a déclaré le président américain Joe Biden dans un discours télévisé spécialement destiné au peuple israélien.

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