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Hier — 24 avril 2024Le courrier des stratèges

La communauté internationale redoute un geste nucléaire désespéré de Netanyahu

La communauté internationale redoute un geste désespéré de Benjamin Netanyahu, qui l’amènerait à utiliser d’une manière ou d’une autre l’arsenal nucléaire d’Israël. Une version moderne du “complexe de Massada”. Depuis qu’Israël a frappé le consulat d’Iran le 2 avril 2024, la communauté internationale a changé de façon de faire vis-à-vis de l’Etat hébreu. Tout se passe comme si une répartition des rôles avait lieu. L’Iran, la Russie, la Chine font passer des avertissements très clairs à Tel-Aviv; tandis que les alliés d’Israël se chargent d’encadrer l’Etat hébreu pour limiter les dégâts commis par Netanyahu.

La forteresse de Massada dans le désert de Judée

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Quelle somme faut-il dépenser pour finir ses jours en EHPAD ?

Dans la série “Où passe le pognon ?”, Florent Machabert aborde aujourd’hui la question du coût de la dépendance et du vieillissement. Les plus de 75 ans constituent une part grandissante de la population, avec des besoins spécifiques liés à leur perte de dépendance. Combien cette évolution coûte-t-elle à la “solidarité” nationale ? Et quelle somme fait-il provisionner pour préparer son passage en EHPAD ?

Cette capsule fait le point sur différents aspects du vieillissement, de la dépendance et de son coût.

  • On retiendra que la dépendance coûte près de 35 milliards à la solidarité nationale aujourd’hui
  • Compte tenu des différentes aides versées aux personnes hébergées en EHPAD, il faut compter environ 18.000€ de reste à charge entre l’entrée en établissement et le décès…

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À partir d’avant-hierLe courrier des stratèges

En direct de Lampedusa : mais où sont passés les migrants ?

Le Courrier des Stratèges est en reportage à Lampedusa, pour examiner de près l’image désormais mythique de cette île battue par les vents… et submergée par les migrants. Si la préoccupation migratoire est bien partout sur ce bout du monde, les migrants sont en revanche… invisibles ! et l’île n’est certainement pas submergée en personne par des arrivées de survivants. Pour le coup, une certaine propagande joue habilement des peurs et des fantasmes.

Le narratif a très bien fonctionné dans l’esprit collectif… Demandez à n’importe quel Français à quoi Lampedusa lui fait penser. Très peu vous parleront du pourtant célèbre roman le Guépard. Beaucoup vous diront que cette île de 5.000 habitants et de 20 km² au large de la Tunisie est devenue le principal point de passage des migrants africains vers l’Europe. Et, dans la croyance générale, ce lieu ressemblerait à une fuite dans un tuyau : une source d’écoulement permanent, un flux ininterrompu.

La réalité est bien différente quand on arrive sur place : pas un migrant n’est visible sur ce petit bout de Sicile où la vie s’écoule à l’italienne, avec ses petites rues chargées de voitures et ses restaurants qui s’animent le soir venu. Et pas une embarcation de fortune n’est visible dans le port, où les bateaux des garde-côtes sont sagement alignés.

Pourtant, quand on embarque à Palerme dans l’ATR 72 qui relie Lampedusa, on sent bien une atmosphère particulière. Une escouade de policiers mobiles occupe une partie du petit avion, avec des employés de la Croix-Rouge, des fonctionnaires munis de badges… Un tiers, la moitié de l’avion peut-être, transporte ces personnels dépêchés en mission, et les touristes ou les insulaires sont plus rares. Dans Lampedusa, on croise un nombre anormalement élevé de fourgons de police munis de grilles de protection. Il doit bien se passer quelque chose ici.

Mais… les rues sont vides et tranquilles. Jusqu’à vingt heures, les gens travaillent. Les magasins ouvrent tard. Les terrasses sont encore peu fréquentées. Et nulle part on ne voit les migrants. Le port semble somnoler. La vie est calme. Rien ne se passe.

Le voyageur scrute l’horizon en attendant ces barques chargées de hères dépenaillés qui viennent se jeter sur le sol européen pour fuir leur pays après une arrivée périlleuse. Mais la mer est vide, et ici personne ne semble sur le qui-vive.

Les habitants vous le disent simplement : rares sont les migrants qui arrivent “seuls”, c’est-à-dire à bord de leur embarcation. Les trafiquants à qui ils paient le passage ne leur laissent pas assez de carburant pour faire une traversée complète. Donc, oublions ce mythe terrifié d’une submersion migratoire qui déferlerait sur les plages de l’île (au demeurant peu nombreuses). Les choses se passent autrement.

Là aussi, les habitants vous l’expliquent. Les migrants arrivent grâce à des missions de “récupération” menées par les garde-côtes. Ceux-ci sont rapidement prévenus lorsque des bateaux passent. D’ordinaire, les traversées se font lorsqu’il fait beau. Lorsque la mer est agitée ou impraticable, les embarcations ne partent pas.

Le phénomène migratoire semble donc relativement organisé. Les passeurs préviennent les garde-côtes qui partent à la recherche des migrants. Ils les ramènent ensuite au port, où des formalités d’accueil, comme une identification photographique, est réalisée. Il est donc évident qu’il existe une économie spontanément organisée de la migration : depuis le départ au pays jusqu’à l’arrivée en Europe, des intermédiaires sont à la manoeuvre pour gagner de l’argent, dans une relative confiance avec les autorités locales.

Le jour où j’étais à Lampedusa, la presse italienne s’est fait l’écho de six arrestations de migrants qui n’avaient pas respecté leur arrêté d’expulsion. Ils ont été reconnus grâce à l’identification faciale… Personnellement, je n’ai pas été témoin de cette semaine, et on peut se demander dans quelle mesure ces informations ne sont pas diffusées à destination des complices des passeurs installés en Sicile. Rien dans la petite ville de Lampedusa ne laissait en tout cas transparaître la moindre agitation à ce sujet. Et tout laisse à penser qu’en Italie même, des réseaux s’agitent pour faire venir les migrants.

Et c’est un peu le point essentiel qu’il faut retirer d’un passage à Lampedusa.

Oui, il y a un phénomène migratoire. Comme le disent les habitants, c’est un flot continu, c’est-à-dire que chaque jour où la mer est praticable, des migrants arrivent.

Non, ce n’est pas le chaos migratoire à Lampedusa. Des centaines de migrants ne débarquent pas chaque jour. L’île n’est pas submergée par le phénomène. Les autorités italiennes tiennent la situation en main. Les rues sont calmes et sûres. Les touristes viennent. L’atmosphère est paisible.

Non, Lampedusa n’est pas en proie à l’anarchie. Les Européens ne s’y font ni agresser, ni insulter, ni voler, ni poignarder. Des bandes errantes ne mettent pas le village à feu et à sang. Les habitants ne vivent pas dans la peur. Ils sortent normalement, font la fête, se montrent aux terrasses et sur la via Roma.

Je reviendrai ce week-end dans le Courrier sur cette peur agitée dans les masses, qui ne correspond nullement à la réalité.

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L’euro numérique : pourquoi notre argent liquide est sous pression, par Ulrike Reisner

Par : Rédaction

Le monde entier observe une véritable course à l’introduction de monnaies numériques de banque centrale. L’idée de remplacer l’argent liquide par des jetons numériques est plus que séduisante. Mais que se passe-t-il en cas de panne d’électricité ? C’est pour cette raison que la banque centrale suédoise vient de demander au Parlement de créer le cadre juridique d’un mélange de moyens de paiement analogiques et numériques. Mais notre argent liquide n’est pas seulement menacé par l’euro numérique. Les institutions bruxelloises et les banques travaillent d’arrache-pied, de différents côtés, pour restreindre considérablement la disponibilité et les possibilités d’utilisation de l’argent liquide.

Lorsqu’il est question d’argent numérique, une question préoccupe les gens : l’argent liquide va-t-il disparaître ? La BCE souligne que ce ne sera pas le cas et renvoie à la proposition législative ainsi qu’au rapport actuel sur la phase exploratoire. Cela ne permet toutefois pas de dissiper les inquiétudes des entrepreneurs et des citoyens, car l’argent liquide perd son utilité lorsqu’on ne peut plus l’utiliser. Rappelons-le : le plafond unique de 10.000 euros pour les paiements en espèces dans l’Union européenne verra le jour. La raison officielle est de lutter contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme.

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Autorité à l’école : Attal et son deux poids deux mesures pour les plus riches

Gabriel Attal rêve de pouvoir voler de ses propres ailes, après une série d’humiliations, notamment sur les questions budgétaires, infligées à la fois par Emmanuel Macron et Bruno Le Maire. Il vient de prononcer un discours tonitruant sur le retour de l’autorité à l’école, sujet sur lequel on pourrait l’approuver. Problème : ses idées sont à rebours des principes dont il a bénéficié au sein de la très élitiste Ecole Alsacienne, “école inclusive” paraît-il, qui se goberge de principes bienveillants. Le Premier Ministre incarne à merveille ce fils à papa pistonné et servile, qui entend bien ne pas partager le gâteau qu’il avale goulument depuis sa plus tendre enfance.

Ah c’est marrant comme les gens des beaux quartiers qui grandissent avec une petite cuillère d’argent dans la bouche adorent se mettre en scène dans un monde idyllique, fait de bienveillance et de principes généreux, dont le bénéfice est évidemment réservé aux membres de la caste… Pour les autres, c’est “poigner vilains”, le bâton, le rappel à l’ordre, les sanctions et les bruits de botte dans les couloirs.

Nous savons que Gabriel Attal, à l’issue de sa scolarité dans la très sélective Ecole Alsacienne (dont je rappelle ci-dessus quelques-uns des principes dégoulinants de bonne conscience bourgeoise parfaitement pharisienne), a directement commencé à ramper dans les couloirs des cabinets ministériels pour faire carrière, sans même avoir la patience de décrocher un diplôme prouvant qu’il était capable de travailler sans l’aide de papa, de maman, et des mignons qui lui ont donné de réguliers coups de piston.

Face au problème de l’autorité à l’école, il aurait pu se souvenir des principes dont il est au fond l’héritier : l’inclusion, l’entraide, tout ça tout ça. Mais non, dans son discours du jour, destiné aux écoles publiques, il préfère manier la grosse voix et annoncer des mesures contraignantes, comme l’éloignement des perturbateurs dans des internats loin de chez eux.

En soi, l’idée de ramener l’ordre dans les classes est plutôt bonne. Simplement… on ne pouvait mieux avouer l’existence d’une école à deux vitesses en France : celle des carottes des beaux quartiers, et celle des bâtons pour le reste du pays.

Rappelons nos propositions :

  • tous les parents doivent pouvoir avoir accès à l’école privée de leur choix, comme Gabriel Attal, grâce à la mise en place d’un chèque scolaire
  • les établissements doivent devenir autonomes et chaque parent doit pouvoir choisir, pour ses enfants, le projet pédagogique dans lequel il croit le plus
  • il faut en finir avec le mythe des écoles égales et interchangeables
  • il faut redonner la liberté d’enseigner aux enseignants
  • la fin du statut de la fonction publique pour les enseignants doit permettre le licenciement des moins efficaces

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Les USA s’appuient sur la Russie et l’Iran pour maîtriser Netanyahu

Les Etats-Unis ont eu besoin de la Russie et de la connivence de l’Iran pour empêcher Netanyahu de déclencher une guerre majeure au Proche-Orient. Telle est la thèse défendue par Seymour Hersh, qui s’appuie sur des sources internes au Pentagone. Le récit des militaires américains sur la mise en scène de l’attaque iranienne est trop bien léché pour être complètement crédible. D’une part, les analyses militaires sérieuses montrent que l’Iran a eu un impact limité mais réel. D’autre part, si on lit l’article de Hersh avec un grain de sel, il signifie que Washington a eu besoin de Moscou et de Téhéran pour maîtriser Netanyahu. Depuis le début de la semaine, nous vous avons expliqué la complexité du décryptage de l’attaque iranienne du 14 avril 2024 (ne manquez pas, en particulier le long entretien d’Eric Verhaeghe avec Thierry Meyssan). Avec Seymour Hersh, le dossier devient de mieux en mieux étayé. D’un côté, il est rassurant de penser que le parti de la raison d’Etat semble avoir la main aux USA. Mais le clan des néo-conservateurs n’a certainement pas dit son dernier mot.

Vous ne rêvez pas en lisant ce que nous écrivons: le Pentagone a, selon le journaliste américain Seymour Hersh, eu besoin de Moscou pour s’entendre avec Téhéran pour éviter une guerre entrer Israël et l’Iran.

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De moins en moins de Français paient l’impôt sur le revenu, mais ils paient de plus en plus…

C’est bien connu : l’impôt direct en France (à commencer par l’impôt sur le revenu, mais pas que) est extrêmement injuste : il repose sur des taux d’imposition élevés, mais concernent toujours peu de gens. Les chiffres qui viennent d’être publiés par Bercy le rappellent : moins d’un ménage sur deux, désormais, est assujetti à l’impôt sur le revenu… mais les montants payés sont de plus en plus élevés. Curieusement, alors que les finances publiques vacillent, personne ne se sent obligé de rappeler que les contributeurs aux dépenses publiques se font de plus en plus rares.

Nous l’avions rappelé il y a peu : les prélèvements obligatoires directs sur les ménages ne cessent d’augmenter depuis qu’ Emmanuel Macron est arrivé au pouvoir. Ce qu’on ne savait pas encore, c’est que, si l’impôt sur le venu rapportait 73 milliards en 2017, et s’il en a rapporté près de 89 Milliards en 2023, de moins de moins de ménages y participent

En conséquence, le nombre de foyers redevables de l’impôt sur le revenu a diminué de 0,4 % l’an dernier, à 18,2 millions de foyers fiscaux sur un total de 40,7 millions de foyers. Ils ont payé en moyenne 4.663 euros d’impôt sur le revenu. A l’inverse le nombre de foyers non-redevables de l’impôt sur le revenu a progressé de 2,6 %, s’établissant à 22,5 millions l’an dernier. « Parmi eux, 3,5 millions ont perçu grâce aux crédits d’impôt un montant moyen de 861 euros », souligne la DGFIP.

Les Echos

Bref, de moins en moins de gens paient de plus en plus d’impôts. Au nom de la “protection” sans doute…

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Politique industrielle de l’UE : Enrico Letta rêve d’une économie planifiée, par Ulrike Reisner

Par : Rédaction

La centralisation de l’UE s’aggrave. A partir de demain, les chefs d’Etat et de gouvernement discuteront à Bruxelles de l’opportunité de communautariser les investissements publics sous la forme d’un fonds d’investissement européen. Derrière cette idée se cache Enrico Letta, directeur de l’Institut Jacques Delors et possible futur commissaire européen. Ce fervent défenseur du marché unique ignore toutefois que les sanctions contre la Russie, les coûts élevés de l’énergie et la bureaucratie excessive de Bruxelles constituent les véritables obstacles à l’économie européenne.

La campagne électorale européenne s’accélère lentement. Lors du 9e Forum sur la cohésion qui s’est tenu la semaine dernière à Bruxelles, le marché unique a été invoqué dans l’esprit de Jacques Delors. L’un des défenseurs les plus véhéments de cette approche est Enrico Letta. Il a rédigé, à la demande de la Commission d’Ursula von der Leyen, un rapport sur la compétitivité de l’UE, qu’il présentera lors du sommet extraordinaire de demain.

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Face à son inefficacité, Biden suspend l’obligation du masque pour les employés fédéraux 

Dans un décret présidentiel publié le vendredi 12 avril 2024 après-midi, le président américain Joe Biden a mis fin discrètement à l’obligation de porter un masque Covid pour les employés fédéraux. Il vient ainsi d’abroger le décret intitulé « Protéger la main-d’œuvre fédérale et exiger le port du masque ». C’était l’une des mesures phares qu’il a adoptées durant le Covid-19. Par ce geste, Biden vient de reconnaître l’inefficacité des politiques sanitaires mises en place et sans doute le déclin naturel de l’épidémie. 

Depuis le début de la crise COVID, Aux Etats-Unis,  l’obligation vaccinale et la question du port du masque sont des sujets à controverse. Déjà en novembre 2021, Joe Biden a enchaîné les revers  devant les juridictions, sur l’application du mandat de vaccin COVID-19. Le président Biden a finalement abrogé l’un de ses décrets présidentiels précédents concernant la COVID-19, mettant ainsi fin à l’obligation pour les employés fédéraux de porter des masques faciaux dans les bâtiments fédéraux ou sur les terres fédérales. Cette décision, annoncée par décret présidentiel le 12 avril 2024, marque un tournant dans la stratégie de réponse du gouvernement américain à la pandémie. Les mandats liés à la COVID ont été très controversés et ont fait l’objet de diverses poursuites judiciaires. L’obligation vaccinale contre la COVID pour les employés fédéraux n’a pas été appliquée pendant un certain temps après qu’un tribunal a émis une injonction mettant fin à l’application de l’obligation.

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Macron manque de peu la médaille d’or du leader occidental le plus détesté

Emmanuel Macron n’est pas le responsable politique le plus impopulaire du monde occidental: il est battu d’une courte tête par Olaf Scholz, le chancelier allemand. C’est ce que montre la comparaison des “opinions favorables” dont bénéficient les présidents ou les premiers ministres dans différents pays. Le New York Times a voulu aider Joe Biden en montrant qu’il n’est pas le plus impopulaire des dirigeants occidentaux. Cela fait ressortir la crise de la légitimité politique dans nos pays.

C’est un graphique publié par le New York Times pour rassurer ses lecteurs: Joe Biden n’est pas le responsable politique le plus détesté. Il ne s’agit pas à proprement parler d’un sondage nouveau mais de la collation des sondages publiés dans les grands pays “occidentaux” sur le mode “approuvez-vous l’action de X….? “

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La Cour des Comptes documente la folie répressive de Macron

C’est probablement le prix à payer pour l’exercice jupitérien du pouvoir, fondé, on s’en souvient, sur la volonté assumée “d’emmerder” une partie des Français. Lorsque le clivage devient une méthode de pouvoir, il y a un prix à payer : la colère populaire, et, rapidement, la mobilisation grandissante d’un volume grandissant de forces de l’ordre. La Cour des Comptes vient de publier un intéressant rapport qui montre à quelle dérive la France est conduite pour maintenir le calme dans une population heurtée par une gouvernance autoritaire et agressive.

Il faut absolument le rapport de la Cour des Comptes sur forces mobiles, qui aurait aussi pu s’appeler le rapport sur la dérive autoritaire d’un Président “jupitérien”, qui a parfaitement assumé sa volonté de cliver les Français pour les gouverner. On ne cessera de rappeler ici sa phrase sur sa volonté “d’emmerder” les non-vaccinés, qui résumait en peu de mots sa vision du pouvoir : diviser, agresser, provoquer, jeter de l’huile sur le feu. Au passage, sa vision de l’ordre international n’est guère différente.

La Cour produit donc un document qui en dit long sur la dérive du maintien de l’ordre en France.

Alors que près de 25.000 agents affectés aux forces mobiles (12.500 gendarmes mobiles, 11.150 CRS), effectif stable depuis une bonne quinzaine d’années, le pouvoir ne cesse de se raidir.

En soi, les opérations sont très liées à l’actualité :

Comme on le voit, si les années 2018 et 2019 ont constitué des pics d’activités (avec les Gilets Jaunes puis la première réforme des retraites, jamais appliquée), et si le tableau ne donne pas les chiffres 2023 (année marquée elle aussi par la réforme des retraites), l’activité moyenne se situe autour de 40.000 opérations annuelles de maintien de l’ordre, soit moins de deux opérations annuelles par agent (on est bien d’accord que ces opérations se font en groupe, et que ce chiffre est juste indicatif).

Par rapport à cette moyenne :

  • l’activité de 2018 a doublé (sur un laps de temps très court, au demeurant)
  • l’activité de 2019 a augmenté de 50% par rapport à la moyenne

Un indicateur intéressant de cette activité est la consommation moyenne de carburant sur une période de 10 ans :

Comme on le voit, les CRS ont consommé près de 50% de carburant en plus durant les années 2020-2022 que durant les années 2012-2014. Les gendarmes mobiles sont sur une tendance similaire.

C’est bien le signe d’une augmentation importante de l’intensité de leur action à dix ans d’intervalle.

Le public ne manquera pas ce graphique intéressant :

Alors que, en 2022, le nombre d’opérations de maintien de l’ordre était en fort repli par rapport à 2019, les forces mobiles ont quand même tiré plus de grenades qu’en 2019… Signe que la violence des manifestations a fortement augmenté sous l’effet de la gouvernance Macron…

Au passage, la Cour étrille la doctrine des forces de l’ordre, en la comparant aux doctrines belges ou allemandes, beaucoup plus pacifiques.

Et encore… tous ces chiffres interviennent, comme nous le montrons dans le tableau en ouverture de cet article, dans un contexte de restrictions de la liberté de manifester. Depuis 2016, les interdictions de manifester à Paris ont été multipliées par plus de 50…

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Michel Pinton explique comment l’art d’influencer les élections en France est apparu

Michel Pinton n’est pas très connu du grand public. Fondateur de l’UDF, il a pourtant joué un rôle essentiel dans l’élection de Giscard en 1974. Grâce à lui, le jeune candidat a importé en France (il fut le premier) les techniques de “psychologie sociale” utilisée aux Etats-Unis, notamment par Robert Kennedy, dont il fit la campagne avant son assassinat. Michel Pinton nous explique comment Giscard a révolutionné l’art électoral. Un enseignement indispensable pour comprendre l’élection d’Emmanuel Macron en 2017…

De ce long entretien avec Michel Pinton, il faut retenir plusieurs éléments :

  • Giscard est, au tournant des années 70, le premier (en France) à comprendre l’art “d’orienter” les élections en utilisant des “data”
  • Ces data sont issues de sondage d’opinion, elles permettent d’affiner les thèmes de campagne
  • La campagne de Giscard mise sur un investissement stratégique inspiré par la campagne “moderne” de Robert Kennedy aux USA
  • Giscard recrute Michel Pinton qui avait fait l’expérience de ce type de fonction et d’organisation dans le staff de campagne de Robert Kennedy
  • Giscard gardera sa supériorité technique en 1981
  • en revanche, il n’a pas su concilier les contradictions de son électorat, dont Emmanuel Macron héritera en partie, idéologiquement
  • les data ne font donc pas tout…

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Les USA élargissent (encore) l’accès à un nouveau traitement COVID

Si l’urgence de santé publique fédérale pour Covid-19 a expiré officiellement le 11 mai 2023 , aux USA, on ne sort pas immédiatement de la culture de la peur du COVID. L ’Agence américaine des médicaments (FDA) des États-Unis a récemment accordé une autorisation d’utilisation d’urgence à un nouveau médicament, connu sous le nom de Pemgarda, chez les patients à risque COVID. Comme avec les vaccins, le marché des médicaments anti-covid cherche à s’établir peu à peu.

Aux Etats-Unis, la FDA (Food and Drug Administration) a décidé d’étendre l’utilisation du médicamentPemgarda de Invivyd, un médicament qui permet de prévenir le Covid-19 chez les individus présentant un risque élevé de complications graves liées au virus. Administré par intraveineuse , le médicament Pemgarda agit en fournissant un stimulant en anticorps aux personnes dont le système immunitaire ne répond pas suffisamment après la vaccination.

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Au moins 13% des Français ont compris que leur banque est à risque, par Florent Machabert

Par : Rédaction

L’info de la semaine- Le Crédit Mutuel a triché sur son ratio de capital … La Banque centrale européenne inflige une amende de 3,5 M€ au groupe Crédit Mutuel pour des infractions liées à l’utilisation de son modèle interne dans le calcul de son ratio de capital « CET 1 ». Ces infractions, à la fois considérées comme « mineures » et « modérément sévères » (il faudrait quand même savoir…), se sont produites entre mai 2021 et avril 2022. La BCE reproche ainsi au Crédit Mutuel de ne pas avoir respecté certains seuils définis pour le calcul du risque de crédit, ce qui a conduit à une sous-estimation des actifs pondérés des risques, gonflant ainsi artificiellement son ratio de capital, lequel a donc permis à la banque commerciale de créer davantage de monnaie (c’est-à-dire de prêter plus).

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COVID : un journaliste du NYT accuse les scientifiques de “tromperie” sur la thèse de la fuite de laboratoire

Jusqu’à présent, il est impossible de confirmer définitivement l’origine du virus qui a provoqué la pandémie du Covid-19.Ancien journaliste du New York Times, Donald McNeil Jr accuse un groupe d’éminents scientifiques de l’avoir « clairement induit en erreur » concernant l’origine du Covid-19. Selon Donald McNeil Jr, ces experts ont minimisé la possibilité d’une origine artificielle du virus, induisant ainsi en erreur les journalistes et influençant la couverture médiatique.

Plus de quatre ans après le début de la pandémie, l’origine du Covid-19 reste encore inconnue, bien que de nombreuses enquêtes aient été menées. La thèse officielle du gouvernement chinois reste encore aujourd’hui, celle d’une origine naturelle du virus : une zoonose issue de la chauve-souris ou du Pangolin. Une thèse citée dans le rapport de l’OMS publié en mars 2021, largement critiqué parce que les autorités chinoises ont été fortement impliquées dans sa rédaction. En juin 2023, l’Office of the Director of National Intelligence (ODNI) ou bureau du directeur du renseignement national, avait publié un rapport de 10 pages tant attendu, qui fournit de nouveaux détails sur les conclusions de la communauté du renseignement américaine, mais ne permet pas de déterminer de manière définitive si la source du coronavirus est liée à une zoonose issue de la chauve-souris ou du Pangolin ou à un incident survenu dans un laboratoire. Actuellement, Donald McNeil Jr, ancien journaliste du New York Times, a exprimé son scepticisme envers l’hypothèse d’une fuite de laboratoire après avoir été influencé par des virologues épidémiologiques de haut niveau. Selon lui, ces experts lui ont fait croire que la fuite en laboratoire était la théorie la plus plausible. McNeil Jr accuse ces scientifiques de l’avoir induit en erreur dès le début de la pandémie, ce qui a influencé la couverture médiatique et conduit à un débat étouffé sur les origines du virus.

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Obligation vaccinale : les aumôniers militaires US suspendus saisissent la Cour Suprême

Fin 2021, tous les membres devaient compléter leur parcours vaccinal avant le 28 décembre 2021 sous peine de renvoi. Théoriquement, les membres de l’armée de l’air pouvaient demander une exemption pour des raisons religieuses ou médicales. Malheureusement, cette clause n’a pas respecté. Actuellement, un groupe d’aumôniers militaires a saisi la Cour suprême pour contester les politiques du ministère de la Défense liées à la COVID-19, alléguant qu’elles ont contraint les objecteurs religieux à quitter les forces armées.

Le 10 janvier 2023, le Pentagone avait abrogé l’obligation vaccinale anti- Covid-19 pour les militaires américains, imposée précédemment par le Congrès dans la loi sur la défense nommée National Defense Authorization, qui obligeait le Pentagone à mettre fin au mandat de vaccination contre le Covid-19 des marines et soldats américains. Récemment, les aumôniers militaires ont saisi la Cour suprême, ces derniers affirment que les politiques du ministère de la Défense punissent injustement ceux qui ont soumis des objections religieuses à l’obligation vaccinale COVID-19, entraînant des conséquences professionnelles négatives.

Appel des aumôniers militaires devant la Cour Suprême

Les aumôniers militaires ont déposé un appel devant la Cour suprême après que le quatrième circuit ait rejeté leur affaire. Ils demandent des mesures provisoires pour protéger leur carrière et contester les politiques du ministère de la Défense, qu’ils estiment discriminatoires envers ceux qui ont déposé des objections religieuses à la vaccination obligatoire contre la COVID-19.

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Japon : nouvelle orchestration de la peur autour de la bactérie “mangeuse de chair”

Le gouvernement métropolitain de Tokyo a lancé un avertissement face à l’augmentation des cas d’une infection bactérienne rare, mais potentiellement mortelle, le syndrome de choc toxique streptococcique (STSS). Selon les autorités sanitaires, cette hausse inquiétante des infections a dépassé les chiffres de l’année précédente, déclenchant une série de mesures de précaution et suscitant des interrogations sur les raisons de cette recrudescence.

Selon The Japan Times, depuis janvier, les cas de SCTS ou syndrome de choc toxique streptococcique ont augmenté au Japon. Ce sont des infections bactériennes rares, mais mortelles, provoquées par la bactérie nommée streptocoque du groupe A. Le gouvernement métropolitain de Tokyo a émis un avertissement puisque le nombre de patients infectés a dépassé de celui de l’année dernière. L’inquiétude monte dans le pays et à l’étranger.

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Breton demande accès à toutes les données numériques privées des souverainistes

Thierry Breton est décidément le meilleur ami de la dictature par Bruxelles, et le meilleur idéologue de l’Europe de la surveillance. Cette semaine, il devrait publier des directives à destination des plateformes pour réquisitionner l’accès aux données de connexion des opposants au régime, regroupés sous l’étiquette des ingérences étrangères. Au passage, personne ne juge utile de signaler que ces données permettent de connaître les intentions de vote… et de procéder à des opérations ciblées de contre-influence. Ou comment truquer les élections sans l’avouer.

Soumettre les grandes plateformes numériques (le réseau X compris) à des exigences dignes d’une dictature communiste en matière de violation de la vie privée et de liberté d’expression, tel est l’exercice commencé par le Digital Services Act, la directive totalitaire de l’Union, l’été dernier, et que Thierry Breton poursuit sans discontinuer et sans rien lâcher. Alors que les élections européennes approchent, et s’annoncent comme une victoire populiste, la Commission veut optimiser ses chances d’entraver la parole souverainiste, sous le prétexte fallacieux bien connu de lutter contre les “inégrences étrangères” et, au besoin, de changer l’issue finale du vote.

Donc, cette semaine, pour parvenir à ces objectifs “libéraux”, la commission devrait publier des directives complémentaires à destination des huit grandes plateformes numériques (Telegram n’en fait pas partie) pour qu’elles prennent des mesures pour que les réseaux sociaux “ne soient pas utilisées à mauvais escient pour manipuler nos scrutins”… Superbe inversion accusatoire.

Dans le panel de mesures, la Commission demande pudiquement d'”accorder au régulateur un accès à leurs algorithmes”. Cette expression savante dissimule derrière des concepts mathématiques ce qu’on appelle couramment la surveillance par l’algorithme, parallèlement demandée à titre permanent en France par le président de la commission des Lois à l’Assemblée, le macroniste de gauche Sacha Houlié. Cette surveillance consiste à fournir aux services de renseignement tout le contenu des comptes sociaux des internautes.

Cette transmission est importante, parce qu’elle permet, à grande échelle, de prédire assez précisément les intentions de vote des opposants (et de leurs amis), et, éventuellement de cibler des messages destinés à modifier leur comportement ou leur opinion.

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Emmanuel Macron : seule menace existentielle pesant sur la France ! par Jean-François TACHEAU

Emmanuel MACRON est un acteur de génie. La réalité, c’est qu’il aurait pu rivaliser avec Heath Ledger qui fit une remarquable interprétation du Joker dans The Dark Knight (2008) et avec Robin Lord Taylor, qui fit un excellent pingouin dans la série Gotham.Il est manifestement imbattable dans les rôles de bad guys. Et la petite rétrospective des rôles qu’il a endossés dans la vraie vie est tout simplement stupéfiante.

Le 14 mars dernier, Emmanuel Macron s’est efforcé de préparer les Français à entrer dans une économie de guerre en interprétant à la perfection un nouveau rôle, celui de BIG BROTHER en attribuant toute la responsabilité de la situation dans laquelle nous nous trouvons aux Russes et au régime de Vladimir Poutine.   L’interview de Gilles Bouleau et d’Anne-Sophie Lapix avait pour objectif d’éclairer les Français suite à l’annonce sidérante du 26 février d’un possible envoi de troupes au sol sur le territoire ukrainien, suite au -très anticonstitutionnel- accord de défense signé avec l’Ukraine le 16 février, visant la réintégration de tous les territoires annexés par la Russie, Crimée comprise, et son intégration dans l’Union Européenne et l’OTAN, (une alliance militaire constituée contre la Russie permettant surtout aux Américains de vendre leurs matériels).

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L’économie de guerre Française : un leurre ! par Michel Goldstein

LE BILLET D’HUMEUR DE LA LISTE “NON! PRENONS-NOUS EN MAINS!” – La France est-elle passée en économie de guerre comme l’annonce le Président de la République ? Le secteur de l’armement en France, c’est quatre mille entreprises. Et c’est vrai, elles produisent en ce moment à des cadences inhabituelles.

MBDA, par exemple, (détenue par Airbus 37,5%, BAE systems 37,5% et Leonardo 25%) a ainsi doublé ses commandes en 2023.Mais la réalité est autre, les difficultés sont considérables ; on manque de poudre pour les obus mais aussi des matières premières pour la fabriquer, la Chine ayant interrompu ses livraisons.

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COVID: une nouvelle étude appuie la thèse de l’accident de laboratoire

L’origine du Covid-19 continue à susciter de nombreuses interrogations, avec des théories divergentes concernant la transmission du virus à l’homme ou une possible fuite de laboratoire. La thèse officielle du gouvernement chinois est, encore aujourd’hui, celle d’une origine naturelle du virus, à partir d’une zoonose issue de la chauve-souris ou du Pangolin. Une récente étude australienne publiée dans la revue universitaire à comité de lecture Risk Analysis remet en question cette hypothèse. Cette étude propose une probabilité plus élevée du COVID-19 provenant d’un laboratoire plutôt que d’une source naturelle.

Une étude de la revue Risk Analysis s’est concentrée sur la probabilité d’une origine non naturelle du Covid-19. Les chercheurs ont trouvé de nouvelles preuves indiquant qu’on ne peut pas écarter l’origine en laboratoire. Les agences de renseignements des États-Unis ont de plus en plus d’éléments pour étayer la thèse de la sortie accidentelle du SARS-Cov-2 “cultivé” au laboratoire P4 de la ville de Wuhan. Cependant, le gouvernement américain est gêné aux entournures. Il y a en effet de fortes présomptions concernant une participation américaine aux recherches de Wuhan. Les origines du Covid-19 restent difficiles à établir parce qu’il y a encore volonté de cacher la vérité.

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Des chercheurs identifient un gène qui protégerait les hommes du Covid-19 grave

Une étude récente américaine menée par des chercheurs de la NYU Langone School of Medicine met en lumière une variante génétique anti-inflammatoire qui semble protéger les hommes de moins de 75 ans contre les formes graves de la COVID-19. Cette découverte offre un nouvel éclairage sur les facteurs biologiques qui influencent la gravité de l’infection par le virus SARS-CoV-2.

Pendant la crise Covid-19, il est fréquent de constater que des personnes considérées comme fragiles surmontent l’infection avec de simples symptômes légers. Certaines demeurent même asymptomatiques. On a même constaté que les hommes étaient plus susceptibles de développer la forme grave de maladie et d’en mourir. Mais certains d’entre eux ont réussi à résister à l’attaque du virus. Les chercheurs de la NYU Grossman School of Medecine ont trouvé une explication à cela. Ils ont découvert un gène anti-inflammatoire qui protège les hommes de moins de 75 ans contre le Covid-19 grave.

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Thierry Breton : jeu de hasard entre guerre et dette, par Ulrike Reisner

Par : Rédaction

L’Europe s’équipe, surtout en paroles, mais aussi progressivement en actes. Thierry Breton a de grands projets pour l’avenir de la politique de défense européenne. Dans l’idéal, il deviendrait commissaire dans un nouveau portefeuille de la défense à créer par Ursula von der Leyen après les élections. Pour cela, il faut beaucoup d’argent, que l’on souhaite visiblement trouver à Bruxelles par le biais de la Banque européenne d’investissement et de la dette. C’est dans ce contexte, mais pas seulement, qu’il faut voir la politique ukrainienne actuelle des élites de Bruxelles et de certains États membres. Cette guerre est nécessaire comme prétexte pour faire avancer les structures autoritaires et centralistes.

Le budget de l’Allemagne est serré. Le ministre des Finances Christian Lindner a demandé aux ministères de présenter leurs propositions d’économies d’ici la mi-avril. On ne sait pas exactement combien il manque pour présenter un plan propre pour 2025. On parle d’une somme comprise entre 15 et 25 milliards d’euros.

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L’autorégulation, une piste thérapeutique contre le Covid long

Le Covid long concerne de plus en plus de personnes. De nombreuses études ont déjà été menées dans le but d’identifier les facteurs qui favorisent cette persistance des symptômes après la guérison. Si certains scientifiques prétendent que les symptômes du Covid long sont essentiellement psychologiques. Selon une étude récente menée par l’UCLA publiée dans le Journal of Psychosomatic Research, certaines personnes atteintes d’un Covid long ont pu soulager certains de leurs symptômes grâce à la thérapie d’autorégulation à court terme. Des améliorations significatives ont été signalées six au bout de six semaines de traitement et elles ont duré trois mois.

Le COVID-19 (ou les effets de la vaccination selon les médecins de l’Alliance FLCCC) a entraîné l’émergence d’un ensemble de symptômes persistants chez de nombreux patients, communément appelés COVID long. À cet effet, une étude menée par l’Université de Californie à Los Angeles (UCLA) offre des perspectives. Publiée dans le Journal of Psychosomatic Research, cette recherche explore l’efficacité des thérapies autorégulées chez les patients souffrant de COVID long.

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Guerre d’Ukraine: Victoria Nuland, Madame “F… the EU!”, démissionne

La nouvelle du jour, c’est la démission de la pasionaria néoconservatrice Victoria Nuland. Elle quitte avant l’heure son poste d’adjointe d’Anthony Blinken au moment où son rêve de triomphe ukrainien aux dépens de la Russie est en train de s’effondrer. Je reviens aussi sur l’affaire de l’indiscrétion médiatisée, la transcription d’une conversation entre des officiers allemands: ont-ils été écouté “à l’insu de leur plein gré”? Pendant ce temps, le front se modifie chaque jour un peu plus en faveur de la Russie sur terre tandis que les Ukrainiens rêvent toujours d’infliger de sérieux dommages à la flotte russe en Crimée.

Victoria Nuland quitte le navire avant le naufrage de l’Ukraine

So strange that Victoria Nuland would step down when her lifelong dream of Russian military defeat, state collapse, and western exploitation is so near. pic.twitter.com/tN4zIHQJ0M

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Royaume-Uni : une coalition de députés exige la publication des données sur la surmortalité liée au vaccin COVID

Le débat sur la corrélation potentielle entre le vaccin Covid-19 et la surmortalité fait rage au Royaume-Uni. Le groupe de 21 députes et pairs de quatre partis demande au secrétaire à la Santé, Victoria Atkins, de publier des données qui pourraient mettre en évidence le lien entre les vaccins Covid et le taux de surmortalité élevé au Royaume-Uni depuis 2020.

En 2021, la question de l’efficacité du vaccin Covid, notamment de l’ AstraZeneca (AZ), a toujours été posée, avant même son autorisation de mise sur le marché en Europe. Une erreur de dosage lors des essais avait semé le doute. Dans de nombreux pays, les cas suspects d’effets secondaires graves se sont multipliés, présentés malheureusement statistiquement comme négligeables par les autorités sanitaires. Au Royaume-Uni, quelques jours après avoir reçu leur vaccin, des patients seraient décédés. Comme toujours, on multiplie les précautions (et les dénis quand c’est nécessaire) pour éviter de reconnaître un lien direct entre le vaccin et le décès. Malgré les affirmations du gouvernement selon lesquelles aucun lien entre le vaccin et la surmortalité n’a été établi, un groupe multipartite a réclamé la transparence totale des données pour étayer ces déclarations. Cette demande a suscité un débat animé et des appels à l’action immédiate.

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La résilience russe face aux sanctions: le miracle du système des paiements (Partie 2/2), par Hélène Clément-Pitiot

Par : Rédaction

Dans l’article précédent, nous avons examiné comment la Russie a réussi à maintenir sa stabilité financière malgré les pressions internationales, aujourd’hui nous parlerons du système des paiements comme clef de la résilience russe.

«  Despite  the  challenges,  the  development  of  international  settlements  and  the payment systems  is  the  most  important factor  in  economic  growth  ensuring  the financial stability of the Russian Federation ».  (Malgré les difficultés, le développement des règlements internationaux et des systèmes de paiement est le facteur le plus important de la croissance économique et de la stabilité financière de la Fédération de Russie)

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Austérité : le gouvernement sacrifie les cancéreux sur l’autel des absentéistes et des bobologisés

Comment faire les indispensables économies dans la santé ? Il y a la méthode morale, qui consiste à demander aux très nombreux assistés de tous poils de se serrer la ceinture pour aider les quelques grands malades. Et il y a la méthode populiste, qui consiste à sacrifier les quelques grands malades en sursis pour faire plaisir aux nombreux assistés qui seront encore vivants aux prochaines élections. Déjà auteur d’instructions illégales sur la vaccin en 2021, Frédéric Valletoux, groupie d’Edouard Philippe et grand bureaucrate de la santé devenu ministre, a choisi la méthode la plus immonde… celle qui lui ressemble le mieux. Haro sur les cancéreux !

Mais pourquoi défendre l’intérêt général en perdant des voix, quand on peut en gagner en défendant les intérêts particuliers ? Telle est, dit-on, la maxime du nouveau ministre de la Santé Frédéric Valletoux, défenseur d’Edouard Philippe et de son cynisme bourgeois à toute épreuve.

Donc, dans les inévitables économies annoncées dans le domaine de la santé, Frédéric Valletoux, directeur d’hôpital, maire de Fontainebleau et encore fraîchement président de la Fédération Hospitalière Française, qui s’est déshonoré dans la crise du COVID, se contente d’appliquer sa maxime. Selon toute vraisemblance, le ministère de la Santé limitera les remboursements des soins aux cancéreux ou autres personnes affectés d’une maladie de longue durée. Concrètement, le “100%” sera désormais limité aux médicaments directement liés à l’affection, et ne concernera plus les médicaments liés aux autres maladies. Autrement dit, un cancéreux en stade terminal ne bénéficiera plus du 100% sur les antibiotiques qui lui permettent de lutter contre une mauvaise bronchite.

En revanche, la secrétaire médicale de l’hôpital, qui en est à son énième arrêt maladie de l’année pour un oui ou pour un non, continuera à voir sa boîte de Doliprane remboursée, et ne fera l’objet d’aucune chipoterie pour vérifier que son absence est vraiment justifiée.

Il est vrai que des tire-aux-flancs et des profiteurs, on en compte beaucoup plus et en parfaite santé (les indemnités journalières explosent depuis plus de 10 ans !), que des cancéreux qui ont peu de chances d’être encore vivants aux prochaines élections. Cela s’appelle la solidarité.

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Nouveau ralliement à la liste citoyenne Prenons-nous en main !

Le Courrier des Stratèges accompagne la liste citoyenne “Prenons-nous en main”, qui vise à constituer un arc républicain contre la fédéralisation de l’Europe à l’insu des peuples. Conduite par l’ex-macroniste Michel Goldstein, cette liste qui compte également Edouard Husson dans ses porte-parole, commence à engranger des ralliements. Nous vous en présentons un, aujourd’hui, venu des Républicains, tout en faisant l’actualité de la liste : le génocide en préparation à Gaza, la transformation de Rester libre ! en parti politique, et une visite au Salon de l’Agriculture !

On notera donc que :

  • Hervé Coulaud, de sensibilité filloniste, rejoint la liste Prenons-nous en main
  • Michel Goldstein a effectué un voyage en Egypte pour obtenir le passage de frontières d’une famille de Gaza
  • L’association Rester Libre a décidé à l’unanimité de se transformer en parti politique
  • Une visite au Salon de l’Agriculture est prévue ce vendredi

N’hésitez pas à nous écrire.

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Canada : un enseignant non vacciné obtient gain de cause en justice

Fidèle au Great Reset, le Canada avait imposé la vaccination obligatoire en milieu de travail dans le contexte de la crise Covid. Dans l’Ontario, le Collège Fanshawe l’avait autorisé sous la demande du gouvernement provincial en septembre 2021. A l’époque, un instructeur,Andy Wing, avait refusé le vaccin.  Par la suite, ce dernier a été placé en congé administratif sans solde pendant trois mois. L’instructeur a décidé de porter plainte contre le Collège. L’arbitre du travail Larry Steinberg a statué en sa faveur le 20 février dernier.

Le différend entre le Collège Fanshawe et l’un de ses instructeurs à distance concernant la politique de vaccination contre la COVID-19 a récemment été tranché par un arbitre du travail. Cette affaire soulève des questions importantes sur l’application de telles politiques dans le contexte des travailleurs entièrement à distance.

Andy Wing a remporté la bataille

En raison de la pandémie, le gouvernement provincial d’Ontario a ordonné à tous les établissements postsecondaires de mettre en vigueur des politiques de vaccination contre le covid-19 pour le personnel et les étudiants. Le Collège Fanshaw a respecté cette exigence. Il a lancé sa politique de vaccination à la fin fin septembre 2021.

Un instructeur à distance Andy Wing a informé le collège en octobre son refus de se faire vacciner. En vertu du Code des droits de la personne de l’Ontario, il n’a pas demandé d’exemption. Face à sa décision, le collège a décidé de le placer en congé administration sans solde pendant la période du 3 janvier au 7 mars 2022.

Lors de son retour au travail, on lui avait attribué un poste qui n’avait rien à avoir avec l’enseignement, et ce, jusqu’à la fin de l’année scolaire 2022. Il n’a pas pu récupérer son poste qu’en septembre 2022. Pourtant, la politique de vaccination mise en vigueur par Fanshawe a pris fin en avril 2022. Andy Wing a décidé de porter plainte contre le collège.

L’arbitre du travail Larry Steinberg a rendu son verdict le 20 février dernier. Il a appuyé la décision de la section locale 110 du Syndicat des employés et de la fonction publique de l’Ontario (SEFPO) et a statué en faveur du plaignant. Selon Steinberg, « le collège n’a pas fourni de preuve suffisamment convaincante que ses intérêts à fournir une éducation à ses étudiants étaient contrebalancés dans cette affaire par l’intérêt du plaignant à l’égard de son intégrité physique ».

Wing était un instructeur à distance

La décision de l’arbitre du travail a indiqué que Wing a développé et lancé en 2020 un programme entièrement à distance. Il s’agit du cours Fanshawe. Le programme enseigné par M. Wing était conçu pour être entièrement en ligne, et il avait continué à s’acquitter de ses responsabilités professionnelles sans difficulté depuis son domicile. De plus, le collège avait permis aux étudiants qui étudiaient exclusivement en ligne et refusaient de fournir une preuve de vaccination de ne pas se rendre sur le campus.

Wing assurait donc toutes ses missions à distance, y compris les réunions avec ses collègues et ses étudiants.

La décision a aussi indiqué que le collège Fanshawe a publié une note autorisant les étudiants qui refusaient de présenter une preuve de vaccination de suivre les cours en ligne. L’arbitre du travail s’interroge donc sur la raison la différence de traitement entre les étudiants et l’instructeur Andy Wing. Le collège n’a pas voulu faire des commentaires à ce sujet. Il a affirmé que cela relève du domaine des ressources humaines.

Dans sa décision, l’arbitre du travail a déclaré que c’est au Fanshawe Collège et à la section locale 110 du SEFPO d’identifier la réparation appropriée. Pour le moment, aucune information à ce sujet n’est disponible. De fait, et même si d’autres tribunaux administratifs ont pris une option contraire, cet arrêt devrait fixer la jurisprudence et valoir pour tous les recours.

Que penser des dénonciations des anciennes jeunes actrices ? par Yves-Marie Adeline 

Par : Rédaction

Il y a quelque chose de suspect dans ces indignations féminines à propos des comportements abusifs de certains saltimbanques au cours des dernières décennies, disons les cinquante dernières années – au moins… Non pas que l’indignation ne soit pas légitime, mais pour l’observateur impartial et désintéressé, elle semble manquer d’équilibre.

On nous dit que l’actrice Maïwenn s’est mise en couple à l’âge de quinze ans avec le réalisateur Luc Besson qui avait dix-sept ans de plus que lui, et en a eu un enfant, avant d’être répudiée dès l’âge de dix-sept ans, ce qui en effet est un démarrage sur les chapeaux de roues dans la vie. A l’époque, il était possible de se marier aussi jeune, pour peu que les parents y consentissent. Et l’on peut multiplier les exemples, accusant des acteurs mais surtout des réalisateurs qui ont pu profiter de leur situation dominante pour obtenir les faveurs de très jeunes actrices, voire faire leur conquête sentimentale.

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Total Energies, grand vainqueur de la guerre en Ukraine

Nous avons évoqué hier l’impact économique désastreux de la guerre en Ukraine sur nos petits agriculteurs (répétons-le : un accord de paix avec la Russie permettrait une sortie immédiate de la crise agricole). Mais, dans ce conflit que nous entretenons savamment depuis deux ans maintenant, il y a des vainqueurs qui n’ont pas du tout intérêt à ce qu’une paix soit signée. C’est tout particulièrement le cas des groupes pétroliers, dont Total, numéro 2 mondial du gaz naturel liquéfié, qui engrange des profits record dgrâce aux sanctions contre le gaz naturel russe.

Alors que des secteurs comme l’agriculture sont sinistrés par la guerre en Ukraine et son impact sur les prix de production, d’autres engrangent des dizaines de milliards grâce au conflit.

C’est le cas de Total Energie, à l’instar de l’ensemble du secteur pétrolier.

Infographie: TotalEnergies encaisse un nouveau bénéfice record | Statista 

De là à affirmer qu’il existe un parti de la guerre en Occident, il y a un pas que nous franchissons timidement.

Une chose est sûre : la guerre coûté quelques milliards à la France, mais elle en rapporte au moins autant à Total…

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“Le combat armé des Palestiniens est autre chose que le terrorisme” (Ma Xinmin devant la CIJ)

Devant la Cour Internationale de Justice, le chef du service juridique du Ministère des Affaires Etrangères chinois a rappelé en termes simples les principes du droit international: souveraineté, droit à l’auto-détermination, légitimité de la résistance à l’occupation. Ainsi se terminent trente années de “loi de la jungle” encouragée par les Etats-Unis. Un moment historique! Une révolution ? Certains diront une restauration des principes du droit. Si vous tenez à parler de révolution, alors c’est une “Glorieuse révolution”, par référence aux événements anglais de 1688-89: une restauration des libertés. Bien entendu, on est encore loin de pouvoir faire respecter par Israël ces principes du droit. Mais le fait que la Chine ait osé proclamer la légitimité de la résistance palestinienne à l’occupation est fondamental!

Intervention de Ma Xinmin devant la Cour Internationale de Justice à La Haye le 22 février 2024

Retenez bien cette date: 22 février 2024. La prise de parole du chef du service juridique du Ministère chinois des Affaires étrangères représente un point de basculement dans les relations internationales.

A vrai dire, Ma Xinmin n’a rien dit de novateur. Au contraire, il a rappelé le droit international existant. Mais, après trente ans de “loi de la jungle” américaine dans les relations internationales, c’est un séisme.

Le cœur du propos

‘En poursuivant leur autodétermination, un peuple a le droit de se battre, de chercher et recevoir des soutiens. C’est sur la base de ce droit que le peuple palestinien a proclamé l’Etat de Palestine en 1988, qui a été reconnu par plus de 130 pays. En poursuivant leur droit à l’auto-détermination, le recours du peuple palestinien à la force pour résister à l’occupation étrangère, avec l’objectif d’ établir un Etat indépendant, est un droit inaliénable, bien fondé dans le droit international. Des peuples variés se sont libérés d’une domination coloniale ou de l’oppression étrangère pour créer un Etat indépendant après la Seconde Guerre mondiale. Ils ont donné l’exemple pratique d’un tel droit. De nombreuses résolutions internationales reconnaissent la légitimité à combattre par tous les moyens disponibles, y compris la lutte armée menée par des peuples qui sont sous une domination coloniale ou une occupation étrangère, pour réaliser leur droit à l’auto-détermination. (….) Le combat armé, dans ce contexte, est autre chose que le terrorisme. Il est reconnu par le droit international…”

Ma Xinmin, La Haye, 22 février 2024

Ce n’est que le début d’une nouvelle ère

Bien entendu, ce n’est que le début. Il est évident que les membres de l’actuel gouvernement israélien vont se boucher les oreilles et crier fort pour être sûrs de ne rien entendre.

J’entends bien l’objection, aussi: est-ce que le gouvernement chinois fait autre chose que répéter ce qui a été dit maintes fois dans les résolutions non respectées de l’ONU? Raisonner ainsi, cependant, c’est ne pas voir plusieurs choses:

+ Israël, entre la fin des années 1990 et aujourd’hui, a calqué son comportement sur l’unilatéralisme américain. Tel-Aviv va être obligé, comme les Etats-Unis, de s’adapter au monde polycentrique.

+ La déclaration chinoise a un énorme retentissement dans tout le Proche-Orient. Elle va galvaniser la Résistance Palestinienne.

+ La Chine n’est en guerre avec aucun autre Etat. Il est plus facile, pour elle, de tenir cette position, que pour la Russie – même si Xi Jinping et Vladimir Poutine sont en phase sur le sujet.

+ Last but not least, cette déclaration devrait avoir un impact important sur l’Union Européenne. Non seulement parce que le discours sur “le Hamas mouvement terroriste” est délégitimé. Mais aussi parce que, par la bouche de Ma Xinmin, c’est tout simplement, le principe de la souveraineté des Etats qui est réaffirmé.

Mark Rutte devrait devenir secrétaire général de l’OTAN

Longtemps, Ursula von der Leyen était pronostiquée comme une possible secrétaire générale de l’OTAN, en remplacement du travailliste norvégien Stoltenberg. Pour quelles raisons ce projet est-il si mal embouché ? Ce point reste à découvrir. Toujours est-il que von der Leyen préfère se présenter à sa propre succession à la Commission Européenne et que, selon toute vraisemblance, le poste de secrétaire général de l’OTAN devrait échoir à Mark Rutte, le Premier Ministre batave démissionnaire, mais toujours au pouvoir !

La petite planète otanienne ne bruisse plus que de cette rumeur : Mark Rutte, le Premier ministre hollandais par interim (en attendant qu’un successeur lui soit trouvé), fait campagne pour remplacer Stoltenberg et se trouverait déjà en position d’être soutenu par une large majorité de membres de l’OTAN. Tout indique donc que le successeur de Stoltenberg sera hollandais.

Cette candidature a le mérite d’être beaucoup plus consensuelle que celle d’Ursula von der Leyen, dont on se souvient qu’elle avait dû quitter le ministère allemand de la Défense après des scandales de corruption. On ajoutera qu’Ursula, qui semble acter sa défaite sur le poste de l’OTAN, a annoncé la création d’un poste de Commissaire à la Défense au sein de la prochaine Commission dont elle brigue la présidence.

On peut penser désormais que les questions militaires occuperont pas mal les responsables européens, et seront causes de tensions entre eux, dans l’hypothèse où Donald Trump remporterait les élections américaines et mettrait sa menace d’un désengagement à exécution.

Pour ce qui concerne l’incapacité de Geert Wilders à former un gouvernement à l’issue des élections qu’il a gagnées, ne manquez pas notre autre article de ce jour sur la situation hollandaise.

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Liste citoyenne : pourquoi Michel Goldstein, ancien macroniste, est tête de liste…

Nous avons créé la surprise hier en présentant une liste citoyenne souverainiste aux législatives, rassemblant un arc républicain en gestation avec une personnalité en tête de liste au passé lié à En Marche. Notre parti pris est de constituer une coalition large et ouverte autour de notre programme et de notre ambition d’une alliance tactique contre une nouvelle étape dans la construction européenne. Les principaux concernés expliquent aujourd’hui cette démarche aux sympathisants du mouvement.

On retiendra de cet entretien que :

  • Michel Goldstein souscrit au programme adopté par le groupe “Prenons-nous en main”
  • qu’il est déterminé à mener le combat contre l’Europe fédérale
  • qu’il dispose d’une expérience légitime pour conduire cette liste
  • qu’Edouard Husson et lui jettent les bases d’un axe très large pour mener le combat
  • que la stratégie d’alliance de la liste ne s’arrêtera pas là

Rendez-vous jeudi prochain pour un prochain rendez-vous sur le même sujet

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ALERTE : la liste citoyenne aux européennes “Non ! Prenons-nous en main !” est lancée

Depuis plusieurs mois maintenant, le Courrier vous annonce qu’il “propulse” une liste aux européennes. Après de nombreuses discussions (qui ne sont pas finies), nous avons jeté les bases d’une liste citoyenne qui regroupera des personnalités civiles de toutes les sensibilités de l’arc politique, dès lors qu’elles sont déterminées à s’opposer à une Europe fédérale. Cette liste sera conduite par Michel Goldstein, proche de Renaissance, et épaulée par Edouard Husson, bien connu de nos lecteurs. D’autres sensibilités devraient rejoindre rapidement cet ensemble. En voici le communiqué de presse…

Voici le communiqué de presse déposé par la liste.

Nous rappelons ici ses “grands points” :

  • la liste est citoyenne mais n’exclut pas des alliances
  • elle est un regroupement “tactique” pour s’opposer à la création d’une Fédération européenne
  • elle est ouverte à toutes les sensibilités qui se retrouvent dans ce combat
  • la participation à la liste ne présume en rien d’un accord sur des points au-délà du refus de la Fédération européenne

Concrètement, il est donc possible d’appartenir à LFI, au RN, ou à d’autres partis et de rejoindre notre liste qui constitue une coalition au sens propre contre la nouvelle étape de la construction européenne qui se prépare.

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Aujourd’hui, on vous dit où est passé le pognon des impôts qui nous écrasent

Depuis plusieurs mois, des esprits faussement naïfs posent la question du “où est passé le pognon” de l’Etat, levé à grands frais et à grands renforts d’inquisition fiscale. Cette question s’est instillée dans les esprits, comme si cet argent avait mystérieusement disparu dans des paradis fiscaux ou dans des poches percées. Avec Florent Machabert, nous redisons où l’argent est passé… et nous répondons à quelques questions taboues.

Une rumeur persistante voudrait qu’on ne sache pas où est passé le “pognon” de dingue que l’Etat-Providence nous ponctionne chaque année. Nous avons décidé de tordre le cou à cette fausse rumeur en révélant là où est passé l’argent…

  • la France est la championne du monde des prélèvements obligatoires (impôts, taxes, cotisations sociales et contributions en tous genres) au profit d’un Etat Providence obèse
  • cet Etat Providence s’endette et accumule les déficits pour faire face à ses dépenses courantes : salaire des fonctionnaires, remboursements maladie, paiement des retraites, dépenses somptuaires des administrations
  • l’essentiel des dépenses publiques sert à payer les retraites et la santé. Ces dépenses servent donc au “social” et retournent dans les poches des Français
  • le budget de l’éducation est d’environ 60 milliards, celui des retraites est six fois supérieur
  • en moyenne, la France dépense 5.300€ par habitant pour les retraites, et 4.550€… chaque année

Tôt ou tard, ces dépenses élevées seront “confrontées” à la réalité de nos moyens, et ce réveil sera douloureux.

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La Hongrie cible de chantage par l’Union Européenne, par Finn Andreen

Par : Rédaction

L’Union européenne a décidé le 1er février 2024, par unanimité de tous ses états membres, de fournir encore 50 milliards d´euros d’aide financière à l’Ukraine. Or, la Hongrie y avait été opposée et cette unanimité a été obtenue par menace d’extorsion du gouvernement magyar.

D’abord il convient de préciser que cette somme sera prélevée sur le budget de l’UE et distribuée sur quatre ans à Kiev, où elle contribuera au budget ukrainien. Mais l’Ukraine a un déficit de 40 milliards d’euros juste pour 2024, donc cette aide ne comblera même pas ses besoins urgents.

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Conférence de Munich: l’establishment atlantiste veut forcer l’entrée de l’Ukraine dans l’OTAN, par Ulrike Reisner

Par : Rédaction

Lors d’une conférence de presse fédérale ce matin, le président de la Conférence de Munich sur la sécurité, Christoph Heusgen, a présenté le rapport sur la sécurité et le programme. Même si la devise de la Conférence sur la sécurité est « la paix par le dialogue », cela ne semble pas s’appliquer – du moins pour le moment – aux relations avec la Russie. Aucun représentant officiel de la Fédération de Russie n’a été invité à Munich. Au lieu de cela, lors de la conférence de presse, on a menacé Moscou : la meilleure garantie de sécurité pour l’Ukraine est l’adhésion à l’OTAN !

On pouvait lire sur son visage, lors de la conférence de presse, que Christoph Heusgen était sous pression. Il cherchait sans cesse ses mots, perdait le fil du contenu et, pour couronner le tout, oubliait de mentionner le ministre chinois des Affaires étrangères Wang Ji parmi les invités d’État importants. Ce n’est pas un bon début pour la conférence sur la sécurité de Munich, qui débute jeudi prochain et dont c’est le 60e anniversaire cette année.

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Interview Poutine/Carlson: le décryptage (1)

Nous mènerons cette semaine un décryptage de l’entretien accordé par Vladimir Poutine à Tucker Carlson et diffusée le 9 février. Ce lundi 12 février, nous nous demandons pourquoi Vladimir Poutine a passé 25% de l’interview à réexpliquer l’histoire des relations entre la Russie et l’Ukraine. Inhabituel chez un chef d’Etat: où voulait-il donc en venir? Le président russe a envoyé trois messages: (1) l’Ukraine propose une interprétation ethniciste fascisante des origines de la Russie alors qu’elle partage un passé avec cette dernière. (2) L’Ukraine a déjà été, au XVIIè siècle un enjeu entre l’est et l’ouest et un compromis a été trouvé entre la Russie et ses adversaires. (3) Loin d’être un peuple autochtone, les Ukrainiens d’aujourd’hui sont une création artificielle imaginée par Lénine et Staline. Nous n’avons pas à juger de la validité des thèses historiques défendues par le président russe: mais force est de constater que Vladimir Poutine a bien compris que l’histoire était un instrument politique entre les mains de tous les belligérants: il n’entend pas céder de terrain à ses adversaires, qu’il accuse de réécrire l’histoire de l’Ukraine.

Tucker Carlson a marqué un étonnement un peu agacé après l’entretien. Preuve que tout ne s’est pas passé exactement comme il s’y attendait. Il est vrai que Vladimir Poutine lui a demandé au départ: “S’agit-il d’un ‘talk show’ ou d’un entretien sérieux?”. Toujours est-il que, lorsque Carlson lui demande de donner son point de vue sur les origines de la guerre d’Ukraine, le président russe se livre à une leçon d’histoire qui dure une bonne vingtaine de minutes – sans que l’intervieweur ose véritablement interrompre.

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Dr Fauci retrouve la mémoire et présente les leçons tirées du Covid-19

L’ancien “Monsieur COVID” de la Maison Blanche – sous Donald Trump puis sous Joe Biden a livré lors de la Whittington Lecture 2024 à la McCourt School of Public Policy, une analyse approfondie des enseignements tirés de la pandémie de COVID-19. Cette conférence a rassemblé 650 participants à l’Université de Georgetown. Le Dr. Fauci a souligné l’unicité du virus, sa capacité à muter, et a présenté 10 leçons clés, allant de la préparation à la lutte contre la désinformation, en passant par l’importance de la vaccination. Comme à son habitude, l’ancien directeur du NIAID, Anthony Fauci, n’a pas manqué une occasion de réinsuffler la peur aux Américains. Il a parlé de l’importance de planifier à l’avance la réponse à une hypothétique prochaine pandémie. Il est assez étonnant qu’en début d’année, devant la commission d’enquête du Congrès , l’ancien “Monsieur COVID” de la Maison Blanche, Anthony Fauci, âgé de 83 ans Fauci avait pourtant  déclaré qu’il ne se souvenait pas des décisions prises au début de la pandémie ayant causé le décès de plus d’un million d’Américains.

Lors de la conférence Whittington 2024 de la McCourt School of Public Policy qui s’est tenue le 1er février 2024, le Dr Anthony Fauci a présenté les 10 principales leçons tirées sur la pandémie du Covid-19. Le Professeur Anthony Fauci, ancien conseiller médical des présidents américains dont on sait qu’il a dissimulé pendant de longs mois la coopération scientifique sino-américaine sur la fabrication de coronavirus artificiels, a déclaré que les maladies infectieuses émergentes représentent un défi constant qui nécessite une préparation continue. Même si la trame narrative du Covid est morte, les instances sanitaires continuent à maintenir un discours de la peur. Durant la crise Covid, l’ expert en infection a été accusé d’avoir conseillé l’agence nationale de santé publique de fermer les écoles et les entreprises, une décision qui a eu des conséquences graves sur le plan économique et éducatif. Alors qu’il prônait l’inefficacité du port du masque, Fauci avait changé d’avis. Il avait alors déclaré que le masquage était un moyen de lutte efficace et qu’il permettrait à la nation de surmonter la pandémie.

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Ça balance pas mal à DC, par Florent Machabert

Par : Rédaction

L’info de la semaineFinalement, la baisse des taux n’est pas pour tout de suite… Une gouverneure de la Réserve fédérale a estimé cette semaine qu’une baisse des taux d’intérêt aux États-Unis n’était pas encore justifiée malgré la perspective donnée fin 2023 par le patron de la FED (les lecteurs de Finance & Tic savent déjà combien nous trouvions cette annonce prématurée) de plusieurs baisses en 2024. La décision de desserrer la politique monétaire (de « reflater », dans le jargon des banquiers centraux) reste donc incertaine quant à son horizon, en raison des risques persistants (notamment géopolitiques) qui pourraient faire repartir l’inflation. Bien que certains signes montrent une stabilisation de l’économie et que l’industrie US se porte globalement bien, notamment grâce au programme IRA d’aide à la délocalisation sur le sol américain des entreprises européennes, d’autres indicateurs pointent en revanche la faiblesse du marché du travail, comme la baisse du temps de travail hebdomadaire moyen, qui, à elle seule, faire craindre de nouvelles suppressions d’emplois.

Enfin, la perspective de l’élection présidentielle en novembre prochain ajoute une dimension politique à ces préoccupations, alors que les candidats, y compris l’ancien président Donald Trump, s’inquiètent de la santé économique de leur pays. Pas Joe Biden, certes, qui se demande où est bien passé François Mitterrand.

Le chiffre de la semaine

129,5 Mds €, le total des crédits immobiliers octroyés en France en 2023

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Selon un rapport, Biden aurait encouragé le détournement de millions de dollars de fonds COVID vers les migrants

L’État de Washington a reçu un financement total de 4,4 milliards de dollars dans le cadre du Coronavirus State and Local Fiscal Recovery Fund (SLFRF), destiné à aider les gouvernements à répondre à la pandémie. Cependant, selon un nouveau rapport rédigé par l’Economic Policy Innovation Center (EPIC), l’Etat de Washington a détourné 340 millions de dollars de fonds fédéraux pour ensuite remettre des chèques de 1.000 $ aux immigrants illégaux. Ces derniers n’étaient pas éligibles à l’aide économique. Pour le président et directeur général de l’EPIC, Paul Winfree, l’administration  Biden a encouragé activement l’immigration illégale.

De multiples cas de fraude concernant les aides liées à la COVID-19 ont été mis en lumière aux États-Unis. Le manque de prudence et la précipitation lors de la distribution des prêts ont simplifié les manœuvres des fraudeurs. En 2023, selon une enquête menée par l’Associated Press (AP), plus de 280 milliards de dollars des fonds d’aide COVID-19 ont été volés ou gaspillés aux États-Unis. Un nouveau rapport vient de mettre en lumière l’utilisation de fonds fédéraux COVID dans l’État de Washington pour distribuer des chèques de 1 000 $ aux immigrants illégaux.

Un détournement de 340 millions de dollars approuvé par l’administration Biden

L’American Rescue Plan Act a créé le Coronavirus State and Local Fiscal Recovery Fund (SLFRF) afin d’aider les gouvernements des Etats dans la lutte contre le Covid-19. Ce programme a été conçu pour financer les efforts déployés par ces derniers pour répondre à la pandémie et assurer le rétablissement après la crise sanitaire. L’Etat de Washington a reçu 4,4 milliards de dollars de financement.

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Après un fichage généralisé, Singapour efface les données de son application anti-Covid

Dans le cadre de la lutte contre la propagation du covid,les autorités singapouriennes avaient lancé les systèmes TraceTogether et SafeEntry en mars 2020. Ces outils de traçage des cas contacts ont été utilisés par des millions d’individus. Récemment, les autorités singapouriennes ont annoncé la suppression de toutes les données de traçage des contacts liées au COVID-19, à l’exception spécifique d’un cas de meurtre. Ces applications, supposées protéger contre le virus, ont surtout permis le fichage sans limite des citoyens. Le plus grand le flou demeure sur la conservation de toutes ces données.

A Singapour, les données de recherche de contacts TraceTogether et SafeEntry liées au Covid-19 ont été supprimées. Les deux applications ont été également supprimées des magasins d’applications mobiles. Cette mesure, bien que présentée comme une action nécessaire pour protéger la vie privée des citoyens, soulève des préoccupations quant à la transparence et à l’utilisation des données personnelles par les autorités.

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La caste dirigeante occidentale est affaiblie. Poussons l’avantage!

Il existe aujourd’hui un contraste flagrant entre la pusillanimité des oppositions – l’incapacité à exploiter la révolte des paysans est flagrante – et la défaite militaire de la caste dirigeante occidentale. L’absence d’opposition efficace fait paradoxalement ressortir le néant de la caste prise en tenailles entre révolte sociale et recul stratégique de l’hégémonie occidentale.

Nous sommes tous d’accord que l’opposition parlementaire, en France est pusillanime, pire, inexistante.quand se déclenche une crise qui devrait permettre de tourner rapidement la page du macronisme. Eric nous retrace, ce 1er février au soir, l’échec du “siège de Paris“,grâce au mélange de discussions en coulisses et d’intimidations policières pratiqué par le régime. On ajoutera le refus de Madame Le Pen de transformer en élan politique l’énergie sociale du mouvement.

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Un conflit régional au Proche-Orient vient-il d’être évité – provisoirement?

Malgré les frappes de ce jeudi 1er février contre le Yemen Libre, l’attaque d’envergure promise par Joe Biden voici deux ou trois jours pour répondre à la destruction d’une base de la CIA à la frontière de la Syrie et du Yemen, n’a pas (encore) eu lieu. Les Iraniens ont-ils fait ressortir un bluff américain? Ou bien est-ce la défaite militaire de plus en plus visible de Tsahal sur le terrain qui tempère les ardeurs guerrières de Washington?

En début de semaine, nous avions hésité entre l’option de la guerre imminente et celle d’une mise en scène de Washington pour dissimuler la défaite stratégique de lapuissance américaine au Proche-Orient.

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Vaccin COVID : la Suisse face au trop-plein de doses

Depuis le depuis de la crise Covid, la Suisse a détruit 18,6 millions de doses de vaccin périmées anti-Covid 19. Selon le rapport annuel d’une commission parlementaire, la quantité d’injections détruites a dépassé le nombre de doses injectées.

Depuis fin 2020, la Suisse a reçu 31,9 millions de doses de vaccins anti- Covid-19 et 17 millions d’entre elles ont déjà été utilisées. Le pays a attribué 8 millions de doses à des pays tiers. La Suisse n’est pas le seul pays éprouvant des difficultés face au surstockage de vaccins. Actuellement, les pays européens font pression sur la Commission pour qu’elle renégocie les contrats. La Pologne et la Hongrie ont cessé d’accepter des vaccins et sont poursuivies par Pfizer pour défaut de paiement. En attendant, les vaccins continueront d’arriver, le contrat révisé avec Pfizer obligeant les pays européens à acheter des vaccins jusqu’en 2027

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Les dirigeants américains entre puérilité et barbarie

Dans une grande mise en scène, les dirigeants américains annoncent des représailles imminentes suite à la frappe par la résistance irakienne d’une base américaine à la frontière entre la Syrie et la Jordanie (“Tour22”). Et ils font passer un message à l’Iran en lui demandant de ne pas riposter! Or, depuis dimanche, c’est l’Iran que Washington accuse d’être à l’origine de la frappe de la “Tour22”. Les milieux dirigeants américains sont enfermés dans leur monde d’enfance prolongée, devenue sénile et barbare. Jamais devenus adultes, ils continuent à croire que la guerre est un jeu. Le problème, c’est que ces enfants attardés sont dotés de jouets qui peuvent faire des millions de victimes.

No U.S. military action yet — I'm told messages are being conveyed to #Iran via back-channels urging restraint from #Tehran & #IRGC proxies, both now & once retaliation has occurred.

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De connivence avec Washington, les réseaux sociaux ont massivement censuré les sujets COVID

La Cour suprême entendra en mars des arguments concernant la légitimité des demandes du gouvernement aux géants des médias sociaux pour modérer la désinformation sur le Covid-19. La question sur la violation des droits des utilisateurs garantis par le premier amendement sera sans doute au cœur de ce procès. La première plainte a été déposée par le procureur général du Missouri, Eric Schmitt. Mais une série de plaignants a suivi son exemple plus tard. Les réseaux sociaux ont commencé leur vie comme une promesse de liberté, ils sont aujourd’hui des outils politiques au service des intérêts dominants de la caste.

En mars, la Cour suprême va entendre des arguments concernant le rôle du gouvernement fédéral dans la communication ou la censure d’informations sur la santé publique durant la pandémie. Cette action en justice, initiée par le procureur général du Missouri, soulève des questions cruciales sur les droits des utilisateurs et le rôle du gouvernement dans la communication en période de pandémie. En effet, il n’a échappé à personne qu’en pleine crise Covid, les réseaux sociaux ont réprimé les utilisateurs qui ne partageaient pas informations provenant de source gouvernementale.

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Deux laboratoires s’associent pour anticiper les menaces infectieuses

Même si la trame narrative du Covid est morte, les instances sanitaires continuent à maintenir un discours de la peur. Dernièrement, l’Organisation mondiale de la santé a estimé que la “maladie X” pourrait être la prochaine menace sanitaire. Afin de renforcer la surveillance génomique à l’échelle mondiale, deux laboratoires, l’un au Royaume-Uni et l’autre en Afrique du Sud, se sont unis. Cette collaboration vise à maintenir l’attention sur l’importance de la surveillance génomique pour mieux surveiller non seulement le covid, mais aussi d’autres maladies infectieuses telles que le paludisme et le choléra.

Alors que l’urgence Covid n’est plus d’actualité et que la situation sanitaire à l’échelle mondiale s’est nettement améliorée. La surveillance génomique reste au cœur des préoccupations dans la lutte contre les variants du coronavirus. En 2023 , l’OMS avait mis en place un nouveau dispositif appelé Réseau International de Surveillance des Pathogènes pour détecter les éventuelles maladies infectieuses et partager les informations entre les pays et les régions. L’objectif est d’identifier les nouvelles infections le plus tôt possible afin de prévenir une pandémie. Par ailleurs, deux laboratoires du Royaume-Uni et d’Afrique du Sud vont unir leur force afin de partager des ressources et de soutenir les partenaires dans la mise en place de cette surveillance génomique des maladies infectieuses à l’échelle mondiale.

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