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À partir d’avant-hierLe courrier des stratèges

Vers un défaut de paiement de la France ? par Florent Machabert

Par : Rédaction

L’info de la semaine- On sait où passe notre pognon ! …. Dans notre débat économique de la semaine qui fait écho à la rubrique que nous dédions mensuellement aux finances publiques dans Finance & Tic, nous avons abordé avec Eric la question des colossales dépenses des pouvoirs publics en France : médaille d’or des prélèvements obligatoires (cotisations sociales, impôts & taxes) qui représentent près de 46% de notre PIB (soit 4 pts au-dessus de la moyenne des pays de l’UE et 12 pts au-dessus de la moyenne de l’OCDE), la France n’en a pas moins enregistré un déficit public de plus de 173 Mds € en 2023, soit presque autant qu’en 2020 en pleine pandémie, où la croissance s’était pourtant repliée de 7,7% ! Si en 2023 ni la croissance du PIB (+0,9%), ni les encaissements de TVA (tristement) dopés par l’inflation n’ont donc suffi à résorber le déficit, c’est que notre pays vit très largement au-dessus de ses moyens : sur les quelque 1 600 Mds € de dépenses publiques annuelles, 53% (850 Mds €) financent notre système de protection sociale, ce qui conduit à verser une moyenne annuelle de 12 500 € de prestations sociales par habitant (dont une majorité pour notre retraite et notre santé…), soit 20% de plus que la moyenne des pays de l’UE, mais moins que d’autres pays (l’Allemagne, l’Autriche, le Danemark, etc.) qui pressurent pourtant (bien) moins leurs contribuables.

Notre dépense publique, et notamment sociale, manque donc cruellement d’efficacité. Les autres postes de dépense sont, eux, loin derrière : 250 Mds € pour les collectivités territoriales, 110 Mds € pour l’enseignement (scolaire et supérieur), 55 Mds € d’intérêts de la dette… et près de 150 Mds € de dépenses de personnel (salaires nets des presque 6 millions de fonctionnaires d’Etat, territoriaux ou hospitaliers). Avec 15% des aides sociales alors qu’elle représente moins d’1% de la population mondiale, la France ne doit-elle pas élaguer un peu ?

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Opération SBU : persécution des politiciens allemands hostiles à l’Ukraine, par Dmitri Rodionov

Nombreux sont ceux qui ont déjà entendu parler des listes de Myrotvorets ou de Molfar Osint (basé à Londres), comprenant le nom « des ennemis considérés comme une menace pour la sécurité nationale de l’Ukraine ». Pour un pays qui se veut démocratique et que l’Occident entend défendre au nom des valeurs de liberté, à commencer par le droit d’expression, cela n’est pas sans paradoxe. On trouve dans ces listes noires des personnalités jugées comme « propagandistes » mettant en cause la sécurité de l’Ukraine : Elon Musk, Tulsi Gabbard, l’ancien musicien des Pink Floyd, Roger Waters et le chanteur Kanye Weste, pour ne citer que quelques noms célèbres. Mais récemment, des dirigeants de l’opposition en Allemagne auraient commencé (nous parlons au conditionnel) à être persécutés par les agents de Kiev. Le dernier cas serait la tentative d’assassinat du chef du parti Alternative pour l’Allemagne (AfD), Tino Chrupalla, et dont l’initiative (toujours au conditionnel) pourrait être attribuée aux services de renseignement ukrainiens, ainsi que l’affirme le Deutschland Kurier.


Cet article initialement publié sur le site svpressa.ru n’engage pas la ligne éditoriale du Courrier.

« Des rumeurs circulent dans les milieux du renseignement occidentaux selon lesquelles les services secrets ukrainiens SBU pourraient être à l’origine de l’attaque par injection mortelle contre le représentant fédéral de l’AfD, Tino Chrupalla », rapporte le journal allemand. Un ancien chef des services secrets allemands, qui a souhaité rester anonyme, a déclaré dans un commentaire sur l’article que si l’Ukraine organisait une attaque contre un homme politique, il devait y avoir un motif à cela. De plus, selon lui, seuls les services spéciaux disposent d’un poison indétectable.

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