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À partir d’avant-hierJean-Pierre CHEVALLIER

TVLibertés : tsunami bancaire tout ce qu’on vous cache

Comme je l’ai écrit précédemment, Olivier Pichon m’a invité à son émission Politique et éco sur TVLibertés du 17 mai 2021 enregistrée le mardi 11 mai en compagnie de Pierre Bergereau pour aborder une fois de plus les problèmes posés par les banksters en particulier français et je l’en remercie vivement.

Cette émission n’est pas passée sur YouTube car la chaine TVLibertés a été censurée (par YouTube) sous prétexte que Maitre Di Vizio aurait tenu dans une autre émission de cette chaine « Le samedi politique » des propos contraires aux règles de bien-pensance édictées par YouTube, en fait par la bande du Mignon poudré parce qu’il tenait des propos qui dérangent ce despote.

Ainsi va la vie en France en ce moment qui s’enfonce de plus en plus dans une dictature qui n’a plus de limite, comme pendant l’Occupation…

Cliquer ici pour voir cette émission diffusée alors sur Vimeo.

Cependant, TVLibertés a pu récupérer sa chaine YouTube et la vidéo de cette émission y est maintenant visible,

Cliquer ici pour voir cette émission diffusée sur YouTube.

Ce moyen de communication YouTube a réussi à s’imposer dans le monde de la diffusion de vidéos.

Ceux qui contrôlent YouTube et donc Google et sa maison mère Alphabet s’arrogent le droit de censurer tout ce qui ne convient pas, en France à la bande du Mignon poudré et partout dans le monde à ceux qui veulent imposer leur pensée devenue ainsi dominante.

Ces gens-là sont les mêmes qui sont à l’origine de cette histoire de coronavirus.

Ils sont alliés ou parfois en concurrence avec d’autres manipulateurs d’opinions publiques comme par exemple les banksters et les dirigeants musulmans de pays producteurs d’hydrocarbures, entre autres.

Cette vidéo mise en ligne lundi sur YouTube dépasse 60 000 vues.

Cliquer ici pour accéder au site de TVLibertés, avec un S car c’est le média de référence qui s’oppose à la pensée unique dominante en France.

© Chevallier.biz

 

Mon offre Gold est activée…

En vous abonnant à l’offre Gold vous bénéficierez de l’offre Premium et de 2 heures de communication libre par téléphone (sur rendez-vous) ou par email pour la durée d’une année.

Cette offre Gold convient tout particulièrement pour les personnes désirant des informations complémentaires et des conseils personnalisés pour leurs investissements.

Elle est proposée pour un prix de 1 000 euros.

Elle ne comprend pas les prestations supplémentaires de l’offre Platinum, à savoir la fourniture d’une sélection de titres de sociétés (a priori cotées aux Etats-Unis) à fort potentiel (de plus-values) avec leurs analyses financières.

***

Comme je l’ai écrit précédemment, l’accès à la plupart de mes articles est devenu payant depuis le début de cette année 2019 car tout lecteur avisé, et en même temps (comme dirait l’Autre) investisseur (ou tout au moins titulaire d’un certain capital qu’il veut valoriser et sauvegarder même dans les pires circonstances), a pu en profiter précédemment pour en tirer les bonnes conclusions, et donc pour en tirer profit… sans aucune contrepartie pour moi !

Ainsi par exemple, certains de mes lecteurs, m’ont rapporté qu’ils ont investi (à la baisse) sur la base de mes articles, sur un des banksters de la zone en dégageant une plus-value de… 90 % en 6 mois !

L’échange était inégal.

Je propose déjà une offre basique, dite Premium pour le prix de 240 euros par an qui permet de suivre l’actualité économique et financière tout acquérant une culture économique, et plus précisément monétariste, avec des incidences financières qui conduit à une spéculation gagnante.

Je n’ai jamais donné de conseils d’investissement explicites sur certains titres à la suite d’analyses financières stricto sensu dans le cadre de cette offre premium.

Je n’offre que des informations économiques et financières (tirées d’analyses basées sur des données fiables et certaines) que l’on ne retrouve nulle part ailleurs et qui permettent de comprendre ce qui se passe sur la planète, en particulier financière.

Ce service rendu résulte d’un certain travail qui a un coût. Il présente des avantages. Il a donc un prix, normal.

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Mon offre Premium permet donc de ne pas mourir idiot car elle permet de comprendre par exemple (à partir d’analyses fiables basées sur des données vérifiables) que l’Amérique n’est pas au bord du gouffre, que Wall Street ne va pas s’effondrer, ni le dollar, ni le système bancaire, financier et monétaire américain et même mondial.

Par contre, de très gros problèmes se posent en Europe et en particulier en France à cause de cette monnaie unique contre nature qu’est l’euro, des banksters qui ne respectent pas les règles prudentielles d’endettement et du socialisme larvé qui y règne.

Pour rappel, comme je l’ai déjà écrit maintes fois, il n’existe qu’une antériorité à cette situation caractérisée par une création monétaire indue : celle de la période de l’entre-deux guerres en Allemagne au cours de laquelle la population a énormément souffert, cf. le livre de Pierre JovanovicHitler ou la revanche de la planche à billets, qui est le seul à traiter correctement des conséquences dramatiques de l’hypertrophie monétaire qui s’y est alors développée.

Seul le monétarisme bien compris permet d’avoir des connaissances claires sur tous ces sujets.

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Je propose donc maintenant d’autres offres qui sont donc présentement opérationnelles.

L’offre Gold me permet de répondre a priori correctement aux questions posées par des lecteurs qui demandent davantage d’informations, d’avis, de conseils, sur des problèmes qu’ils comprennent mal, ce qui exige de ma part un certain temps de réflexion et de recherches, ce qui prend un certain temps, et ce qui a donc un certain prix.

Je ne présente jamais des idées a priori communes, sans justifications fiables comme le font habituellement beaucoup de bonimenteurs…

L’offre Platinum propose en outre des titres de sociétés américaines (des États-Unis !) pour lesquels, à partir de recherches et d’analyses financières, les probabilités de plus-values sont les plus fortes.

Cliquer ici pour lire mon article annonçant que mon site était devenu payant.

© Chevallier.biz

 

Création monétaire en zone euro, actualisation au 30 novembre

Cet article en libre accès reprend des éléments de mon article précédent réservé aux abonnés de ce site.

La masse monétaire M3 (totale) de la zone euro continue inexorablement à augmenter comme je l’ai écrit maintes fois dans mes articles précédents et en particulier pour le mois d’août 2019.

M3 représentait fin octobre 108 % du PIB de la zone, en forte croissance depuis ces derniers mois.

Or la masse monétaire globale (M3) ne doit pas dépasser 78 % du PIB courant annuel, ce qui est le seuil critique empirique issu de l’observation de ce qui s’est passé aux États-Unis depuis l’après-guerre, ce qui constitue la norme en la matière, comme je l’ai écrit maintes fois aussi, et en particulier récemment pour la semaine finissant le 11 novembre.

En effet, si la masse monétaire globale M3 dépasse 78 % du PIB, des dysfonctionnements majeurs se produisent toujours et ils ont des conséquences particulièrement graves comme par exemple ce fut le cas dans l’Allemagne de l’après Première guerre mondiale, comme le montre très bien Pierre Jovanovic dans son livre Hitler ou la revanche de la planche à billets.

Arthur, Laffer a bien exprimé cette idée en la transcrivant dans cette règle fondamentale : l’argent sain est le premier pilier des Reaganomics, ce qui signifie que les autorités monétaires de tout pays doivent impérativement empêcher toute création monétaire indue car elle est létale à terme.

Avant la création de la zone euro, M3 fluctuait aux alentours de 70 % du PIB dans les pays de la future zone euro, ce qui était parfait mais malheureusement l’adoption de cette monnaie unique contre nature qu’est l’euro a engendré une hausse non maitrisée de cette masse monétaire globale M3.

Cette création monétaire indue se produit essentiellement dans l’agrégat M1 qui correspond à 46 % du PIB contre 13 % aux États-Unis alors qu’avant l’adoption de l’euro, ce ratio M1/PIB était au même niveau que celui qui était constaté aux États-Unis !

Pour rappel, M1 est constitué d’une part du total des dépôts des résidents aux États-Unis sur leurs comptes bancaires (Household deposits) et d’autre part du total des billets mis en circulation par la BCE (Currency). La fameuse planche à billets en a imprimé pour presque 800 milliards en trop !

Les dépôts sur les comptes bancaires des malheureux Euro-zonards représentent presque 46 % du PIB contre 9,75 % aux États-Unis et les billets représentent 10 % du PIB dans la zone euro contre 3,5 % aux États-Unis,

Yapa foto !

L’évolution des trois agrégats monétaires de la zone euro sur la longue période couverte par les données statistiques fournies par la BCE montre que leur structure était normale avant l’adoption de l’euro, avec une épargne des ménages (correspondant à l’agrégat M2-M1) fluctuant aux alentours de 40 % du PIB ainsi que M1, mais par la suite, une création monétaire indue s’est mise en marche inexorablement.

Une autre source d’hypertrophie monétaire se trouve dans l’agrégat M3-M2 qui correspond à la trésorerie globale des entreprises mais elle n’est pas bien décelable dans ces statistiques de la BCE car les gestionnaires de trésorerie de beaucoup de grandes entreprises établies dans la zone euro ont transmis des capitaux dans leurs entités établies en Suisse et au Royaume-Uni, ce qui leur est facile car ces pays font partie du SEPA (Single Euro Payments Area, Espace Unique de paiements en euros).

L’augmentation d’une année sur l’autre de la masse monétaire M3 a presque toujours été supérieure à celle du PIB annuel courant, ce qui signifie clairement que la création monétaire indue, supérieure à la création de richesse, s’est presque toujours produite depuis l’adoption de l’euro.

Autre formulation : la vitesse de circulation de la monnaie (qui est le rapport entre le PIB et (sur) M3 et donc l’inverse du ratio précédent (M3/PIB*100) continue à baisser au point d’être inférieure à 1, ce qui signifie que l’argent circule peu, ou mal, ce qui limite la croissance du PIB et donc la création de richesse !

Une conclusion amusante et nouvelle : la création monétaire indue s’oppose à la création de richesse.

En quelque sorte, il faut choisir : soit la création de richesse, soit la création monétaire !

Ces deux concepts sont antinomiques.

Tout est simple.

© Chevallier.biz

 

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