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À partir d’avant-hierKorben

Conversion de devises automatique pour acheter malin

Par : Korben

Si vous aimez faire du shopping en ligne sur des sites étrangers, vous devez probablement jongler avec les conversions de devises pour avoir les tarifs en euros afin de ne pas provoquer un arrêt cardiaque à votre banquier.

Et bien bonne nouvelle, je vais vous faire gagner du temps seulement si vous utilisez Firefox évidemment. Le navigateur des champions !

Il s’agit d’une extension pompeusement nommée Universal Automatic Currency Converter qui en fonction du paramétrage que vous faites, pourra automatiquement convertir les devises sur les pages de sites que vous visitez.

Vous pouvez bien sûr mettre certains sites en liste de blocage pour que les conversions ne se fassent pas et si vous cliquez sur un des prix convertis, vous verrez le prix d’origine.

Voici ce que ça donne :

Bref, très pratique pour gagner du temps et faire de bonnes affaires !

Emulateur x86 WebAssembly pour lancer des vieux Windows / Linux / BSD…etc depuis votre browser

Par : Korben

Je ne me lasse pas de ces émulateurs x86 qui permettent au travers d’une page web de faire tourner d’anciens OS tels que Windows 95, Windows 2000 ou encore ReactOS. Mais également des trucs encore d’actualité comme FreeDOS, OpenBSD ou Haiku.

Arch LinuxDamn Small LinuxBuildroot LinuxReactOSWindows 2000Windows 98Windows 95Windows 1.01MS-DOSFreeDOSFreeBSDOpenBSD9frontHaikuOberonKolibriOSQNX

Le projet v86 émule un processeur et du matériel compatible x86. Ainsi, le code machine est traduit en modules WebAssembly au moment de l’exécution ce qui permet d’obtenir des performances décentes.

Sur le site copy.sh/v86/ vous pourrez ainsi lancer du DOS, du Windows ou encore du Linux et du BSD, directement à partir des images proposées ou charger vous-même votre propre image CD, disquette, disque dur…etc. Le matériel émulé est un CPU compatible x86 équivalent d’un Pentium III de l’époque avec le support SSE2 et d’autres choses comme un contrôleur de lecteur de disquette, un clavier PS2, une carte VGA ou encore une carte réseau PCI NE2000.

Comme le projet est open source, vous pouvez le forker et déployer ça sur votre propre serveur si besoin. En tout cas, c’est une chouette initiative.

Anonymiser un tweet d’un simple clic

Par : Korben

Si vous êtes accro aux captures écran pour soulever des malfaisants sur Twitter ou autre forme d’espèce vivante toxique méritant de finir au bûcher, mais que vous ne voulez pas vous-même jouer leur jeu, voici une extension pour Firefox qui va vous plaire.

Il s’agit de Twitter Anonymizer par Marc Brillaut qui permet d’anonymiser un tweet en faisant disparaître dessus l’ensemble des données personnelles de celui qui l’a posté.

Démonstration… hop clic droit, « toggle anonymization »…

Et voici le résultat :

Cela évite que trop d’information soit divulguée même si c’est vrai, avec le contenu du message, on peut toujours le retrouver. Mais en tout cas, ça ne vous placera pas dans le camp des malfaisants. Vous pourrez ainsi dénoncer un abus auprès de votre communauté, sans pour autant que cela passe pour un appel au harcèlement déguisé.

Ça fait gagner du temps, ça évite de sortir le logiciel de dessin, et ça réduit les risques de retour de bâton pour la personne citée.

Shinobi – Le serveur de vidéo surveillance open source et agréable à utiliser

Par : Korben

Si vous avez des caméras chez vous ou au travail et que vous voulez les agréger dans une même interface, je vous présente le futur en la matière : Shinobi

Shinobi est un serveur de vidéosurveillance open source écrit en Node.js qui se veut hyper user friendly. L’outil permet ainsi d’agréger des flux vidéos et audios de caméras HTTP(S) / RTP / RTSP / ONVIF…etc. et offre des fonctionnalités d’enregistrement en continu ou sur détection avec mise en mémoire tampon préalable.

De plus, contrairement à d’autres logiciels de ce type, Shinobi permet de visualiser plusieurs caméras en même temps et ça, c’est cool. Au total, il supporte plus de 6000 caméras IP et USB différentes.

Afin de répartir la charge, il est également possible de faire fonctionner Shinobi en cluster avec un système parent / enfant et au niveau de l’interface, c’est royal puisque vous pouvez régler tout comme bon vous semble simplement en glissant déposant les fenêtres des différentes caméras.

Niveau stockage, cela peut se faire localement ou à distance en WebDAV, Amazon S3 ou encore Backblaze B2 et Shinobi intègre même un calendrier sur lequel sont reportés tous les événements.

Shinobi existe en version pro payante, mais également en version CE (Community Edition) totalement gratuite et open source.

Toute la documentation se trouve ici.

Savez-vous ce qu’il y a dans l’air que vous respirez ? Air-Q vous le dira !

Par : Korben

— En partenariat avec AirQ —

Fondée en 2015 en Allemagne, AirQ est une entreprise qui développe et commercialise des capteurs de toutes sortes, notamment des capteurs permettant d’analyser l’air et les gaz contenus dans l’air.

Car vous ne le savez peut-être pas, mais ce qu’on respire chaque jour a un impact. Sur notre santé à long terme bien sûr, mais également sur notre bien être du moment, et même nos performances physiques ou intellectuelles. Si je vous dis pollution, vous allez peut-être penser « usines » et « voitures » quand on parle de qualité de l’air, ça va encore plus loin.

En effet, l’air de nos intérieurs est souvent extrêmement chargé en produits nocifs. Cette pollution provient de nos meubles, des colis que nous recevons, des objets qu’on amasse, des moquettes mal nettoyées…etc. Les facteurs de pollutions sont extrêmement nombreux et c’est pourquoi il faut souvent aérer son domicile ou son bureau même l’hiver.

Mais si vous voulez aller plus loin et savoir exactement ce qu’il y a dans l’air que vous respirez, je vous emmène à la découverte de l’air-Q, l’appareil de mesure de la qualité de l’air grand public le plus performant sur le marché.

Qu’est-ce que l’air-Q ?

Grâce à ces capteurs intelligents, ce petit appareil, qui se connecte au Wifi, est capable de mesurer, surveiller et analyser l’ensemble de votre environnement en temps réel. Ainsi, le air-Q mesure tout un tas de choses comme les polluants atmosphériques (particules fines), le monoxyde de carbone ou encore l’ozone, il peut également surveiller le climat intérieur et même le niveau de bruit.

L’air-Q peut être configuré via un ordinateur, mais c’est surtout grâce à l’application mobile Android / iOS que vous allez pouvoir apprécier la haute précision de l’appareil. Au travers de l’application, vous aurez accès à l’ensemble des mesures prises à intervalle de 2 minutes ainsi qu’à une évaluation en pourcentage de la qualité de l’air sur votre santé et sur vos performances physiques ou intellectuelles. Vous pouvez bien sûr voir le niveau de chaque élément en temps réel, mais également sur des périodes plus longues grâce à l’historique des mesures.

Un assistant virtuel vous signale également lorsque certaines limites sont dépassées et non seulement vous en donne les raisons possibles, mais également des conseils pour y remédier. En cas d’incendie ou de fumée / monoxyde, l’air-Q peut également se mettre à sonner pour vous prévenir. C’est super cool, mais attention, juridiquement, il ne peut pas remplacer un détecteur de fumée ou de monoxyde habituel, car il ne fonctionne pas avec des piles, mais sur secteur. Je trouve également la sonnerie pas très forte même poussée à son maximum, donc il vaut mieux conserver vos détecteurs traditionnels.

Enfin, au niveau du paramétrage sur air-Q, il y a des choses très cools comme la possibilité de stocker les mesures dans le cloud, mais également de régler les indicateurs lumineux en façade pour connaître l’état général ou des mesures plus spécifiques comme les COV ou le taux de particules fines. C’est vous qui choisissez.

Que mesure l’air-Q ?

Je vais passer en revue l’ensemble des mesures prises par le air-Q Basic que j’ai reçu.

Dioxyde de carbone

Il s’agit ici de mesurer le CO₂ contenu dans l’air. Vous le connaissez bien puisque c’est l’un des gaz à effet de serre le plus important. Et malheureusement, trop de CO₂ chez vous va entraîner une certaine fatigue pouvant aller jusqu’à la mort si ça devient trop concentré. Ce gaz est produit lorsque vous brûlez des choses donc si vous avez une cuisinière à gaz, un four à bois, que vous fumez ou que vous aimez allumer des bougies, vous allez en produire. Mais même sans ça, les humains et animaux présents chez vous produiront aussi naturellement ce gaz avec leur respiration.

COV

Cela signifie Composés Organiques Volatils. Ce sont des substances carbonées qui s’évaporent à basse température. Cela peut être produit par les êtres vivants via différents processus de décomposition biologiques, mais sont également produits par tout un tas de colles, des vernis, de solvants, de produits ménagers ou de cosmétiques. Tous les COV ne sont pas toxiques, mais ils ont un effet sur la concentration, le mal de tête, la fatigue, les allergies…etc.

L’humidité relative et absolue

On sous-estime souvent l’humidité, mais si son taux est trop élevé, cela peut nuire à la régulation de la température du corps humain, et favoriser l’apparition de moisissures qui à leur tour provoqueront des allergies, des problèmes respiratoires ou autre. Et si le taux d’humidité est trop bas, vous risquez d’avoir des irritations des muqueuses et des difficultés à respirer. Un bon taux d’humidité relative doit se situer entre 40% et 60%.

L’humidité relative, c’est le rapport entre la densité de la vapeur d’eau et l’humidité maximale. On l’exprime en %.

Alors que l’humidité absolue décrit la densité de la vapeur d’eau, c’est-à-dire la masse de vapeur d’eau contenue dans un volume d’air donné. On l’exprime en g/m³.

Température

La température joue également un rôle sur notre bien être. Entre 23°C et 28°C, vous serez intellectuellement ramolli et au delà votre régulation thermique sera plus difficile. Combinez une température plus élevée avec un taux d’humidité élevé et bonjour les acariens et les moisissures.

Bruit

En ce qui me concerne, je suis très sensible au bruit. Au-dessus de 65 dB le jour, il y a un risque sur la santé si l’exposition est prolongée. Actuellement, dans mon bureau, je suis autour de 13 dB, alors je peux dire que je suis relativement pas mal.

Des pics sonores élevés ou un bruit de fond continu trop élevé va non seulement nuire à votre audition, mais également engendrer du stress ou des acouphènes. Chez moi, le bruit génère immédiatement une forte irritation au niveau de mon humeur.

Particules fines

Les particules sont des particules solides et liquides qui sont en suspension dans l’air. Ce qui fait qu’on les respire. C’est de la poussière qui va avoir un impact sur la santé et cela, peu importe son niveau de concentration. Cela irrite les voies respiratoires, favoriser les allergies, voire même abimer les alvéoles de vos poumons. On distingues différentes tailles de particules fines : PM1, PM2,5 et M10. Les particules les plus fines (PM1, PM2,5) peuvent même passer dans le sang et avoir des effets cancérigènes (comme l’amiante). Ces particules fines peuvent être d’origine naturelle (volcans, feu de forêt, érosion du sol, spores, virus, pollens…etc.), mais également d’origine humaine (trafic routier, élevage intensif, usines, cheminées…etc.). Et tout cela se dépose chez nous avant de se retrouver à nouveau dans l’air au moindre coup d’aspirateur.

Monoxyde de carbone

Le monoxyde de carbone (CO) est sans doute l’un des gaz les plus dangereux. Il provient de la combustion incomplète de carbone. Il est inodore et incolore et au-delà de 170 mg/m3, il commence à entrainer de la fatigue et des vertiges. Au-delà de 460 mg/m3, c’est votre vie qui est en danger. Bref, gaffe à vous si vous avez un poêle à pellet ou une cheminée chez vous.

Dioxyde d’azote

Le NO₂ est émis principalement par des véhicules à moteur ou certaines chaudières. Il est toxique à haute dose, mais comme il pique, on le sent venir. Toutefois, à petite concentration, il peut provoquer des maux de tête, des vertiges ainsi que tout un tas de troubles de santé. Par exemple, j’ai pu constater qu’à certaines heures de la journée, il y avait des pics chez moi probablement dus au trafic routier proche. Dans ce cas, mieux vaut fermer la fenêtre à ces moments-là.

Pression atmosphérique

Cela vous paraîtra étrange, mais la pression atmosphérique a également un impact sur la santé. En effet, certaines personnes sont « météo sensibles » et un changement de pression atmosphérique pour avoir un impact sur leur santé. D’anciennes blessures qui se réveillent, les fameux rhumatismes, des problèmes respiratoires, des migraines et même des allergies.

La pression atmosphérique évolue en fonction des mouvements des masses d’air dans l’atmosphère.

Point de rosée

Enfin le point de rosée, c’est la température à partir de laquelle l’humidité de l’air est de 100% et commencer à se condenser en eau. C’est les coulées d’eau sur les murs ou les fenêtres et cela va provoquer à terme le développement de moisissures et de ses conséquences.

Les autres air-Q

Comme je vous le disais, j’ai reçu l’air-Q Basic d’une valeur de 399 €, mais il existe toute une gamme d’appareils air-Q qui vont de la version basique light (249 €) à la version experte pour les scientifiques avec encore plus de capteurs (629 €). Il est d’ailleurs possible d’ajouter ou de remplacer certains capteurs en fonction de vos besoins et ça, c’est vraiment génial.

J’ai démonté l’appareil et j’ai été bluffé par la qualité de la carte mère et son côté pratique avec tous les emplacements pour ajouter les capteurs. C’est vraiment du bon boulot.

Comment ça s’installe ?

Au niveau de l’installation, c’est hyper simple. Vous pouvez le faire depuis un ordinateur ou un smartphone. Vous vous créez un compte chez AirQ, vous scannez le QR Code de l’appareil, vous lui faites rejoindre votre réseau wifi et le tour est joué.

Conclusion

Cela fait donc quelques semaines que je l’utilise et que je surveille les mesures. Ce que je peux vous dire c’est qu’au niveau des capteurs, on est sûr du très bon qui remonte les infos sans jamais défaillir. L’application mobile est parfois un peu lente je trouve et elle ne rend clairement pas hommage à la qualité de l’appareil. C’est dommage, mais ça s’améliorera probablement au fur et à mesure des mises à jour. En effet, le produit est encore assez jeune.

J’adore le côté customisable des appareils et surtout j’ai beaucoup apprécié toute la littérature aussi bien dans l’application que sur le site, qui m’a permis d’apprendre beaucoup de choses sur les polluants et les gaz notamment leur origine, leur dangerosité, mais surtout comment remédier à leur excès. Ce que je veux dire par là, c’est que air-Q n’est pas simplement un super capteur qui nous bombarde d’infos. C’est avant tout un compagnon qui nous alerte et nous guide. Et ça, c’est vraiment ce que j’ai apprécié dans cet appareil.

Bref, si vous êtes des geeks de la qualité de l’air ou de la santé, c’est certain que ce genre d’objet électronique va vous plaire. D’autant plus que l’appareil est assez ouvert, comme vous avez pu le voir, y compris sur les données collectées qui sont tout simplement stockées sur une carte micro SD et que vous pouvez ensuite vous approprier pour importer ça dans vos propres outils. Au top !

J’ai testé DALL-E 2

Par : Korben

Grâce à Fooohx, lecteur de Korben.info et soutien sur mon Twitch, j’ai testé en live cette semaine l’intelligence artificielle DALL-E 2 en bêta. Pour ceux qui auraient loupé le phénomène, DALL-E est un projet d’OpenAI qui est capable à partir d’une simple phrase de produire des images.

Là dernière fois, je vous ai parlé de Craiyon qui fait la même chose, mais avec DALL-E, on dépasse clairement mes espérances en termes de qualité. Je vais vous spoiler : Ce truc est dingue !

Je lui ai d’abord demandé de me refaire quelques bébés pour mon site en essayant d’être le plus précis possible. Ce n’était pas parfait en termes de compréhension, mais niveau rendu visuel, c’est ouf.

Quelque chose de plus simple comme « bébé hacker avec des lunettes de soleil » c’était déjà beaucoup mieux.

Ensuite, on s’est demandé s’il était capable de générer des logos. Je lui ai donc demandé un logo si Mac Donalds vendait des chaussures. Et voici le résultat.

Puis je me suis demandé s’il était capable de générer des personnalités. Alors Jésus, ça passe…

Abraham Lincoln, c’est moins précis, mais on le reconnaît aussi.

Dora l’exploratrice version GTA, ça passe aussi…

Par contre, Gérald Darmanin avec un gilet jaune, il ne m’a pas sorti le ministre présumé innocent, mais toute une tripotée de gars qui ont des physiques de Gérald habillés en gilet jaune.

À un moment, je me suis trompé, je lui ai également parlé en français et DALL-E 2 s’en est presque très bien sorti.

En anglais, le résultat est quand même plus juste (ours rose).

Un des aspects qui fait également la force de DALL-E, c’est qu’on peut lui préciser des styles. Vous l’avez vu dans mes captures, je précise par exemple « Professional Photo » ou « realistic photo ». Mais vous pouvez ajouter des trucs comme « Rendu 3D ».

Ou encore Digital Art..

Mais également des styles artistiques comme pixel art, ou à la manière d’artistes comme Monet ou Keith Haring.

J’ai également tenté des choses très utilitaires comme une image pour Twitch, des pochettes d’album ou encore un écusson militaire.

Comme vous pouvez le voir, dès qu’il y a un peu de texte, l’IA est perdue et place des lettres qui se rapprochent du sujet, mais sans vraiment écrire correctement. Je pense que c’est un axe majeur qu’ils vont devoir travailler.

Enfin, pour terminer, je lui ai demandé des trucs qui demandent un peu d’imagination comme « Et si Dieu était une femme », ou « Mona Lisa un homme » ou à quoi ressemble la tête d’Internet, une bataille médiévale épique entre des tomates et des radis ou encore une « photo qui aspire au bonheur et à la plénitude ». Et voici le résultat :

Comme vous pouvez le voir, il n’y a pas de limites. Les résultats sont parfois éloignés de ce que j’ai demandé, mais c’est super rare. Et chaque image, si elle vous plaît, peut à son tour être déclinée dans d’autres versions automatiquement. Quoiqu’il en soit, en termes de qualité, on est quand même sur quelque chose de super propre. Vous pouvez constater le gouffre entre DALL-E 2 et Craiyon par exemple.

À titre perso, si ça reste gratuit, je compte bien m’en servir parfois pour mon site, afin d’avoir des images d’illustration qui collent avec mon sujet et qui n’appartiennent à personne si ce n’est à OpenAI (faudra lire les CGU là-dessus).

Et vous, qu’en pensez-vous ? Moi je suis bluffé.

Encore merci à tous ceux qui ont participé à ce test en live sur ma chaine Twitch et qui m’ont proposé certaines de ces idées.

Lisez 1,5 fois plus rapidement grâce à cette extension Chrome / Firefox

Par : Korben

La lecture rapide, ce n’est pas forcément quelque chose de compliquer à pratiquer. Il faut en réalité beaucoup s’entrainer, mais avec un peu de persévérance, on y arrive.

Toutefois, même sans forcer, il existe une méthode plutôt simple permettant de « hacker » notre cerveau pour lire jusqu’à 1,5 fois plus rapidement.

Alors comment ça fonctionne ?

Cette méthode nommée « lecture bionique » (lol) facilite le processus de lecture en guidant les yeux dans le texte grâce à des points de fixation artificiels.

Ainsi, le lecteur se concentre uniquement sur les premières lettres mises en évidence et laisse son cerveau compléter le mot. Cette méthode permet ainsi de lire plus vite et de manière plus soutenue tous les contenus que vous pouvez trouver en ligne.

Voici un texte normal :

Et ce même texte passé à la moulinette bionique 🙂

Alors, comment faire pour intégrer la lecture bionique dans votre quotidien ? Et bien tout simplement grâce à l’extension Jiffy Reader dispo sous Firefox, Opera, Edge et Chrome (et Android via le navigateur kiwi).

Cette extension une fois installée va tout simplement traiter le texte des sites de votre choix pour vous permettre de lire comme Superman / Superwoman.

Un panneau de configuration vous permettra également de régler le nombre de lettres à fixer (en gras) et le taux d’opacité du reste du texte.

Franchement, c’est super cool. Ça fait quelques jours que je me le traine sur l’ordinateur et même si je ne me suis pas chronométré, je trouve que ma lecture est plus fluide. Bref, je vous recommande de tester la chose.

Plus d’infos ici

NeoGB Printer – Émulateur d’imprimante GameBoy

Par : Korben

J’sais pas si vous vous souvenez, mais à une époque, Nintendo avait sorti une imprimante thermique pour sa Game Boy. L’engin était conçu pour fonctionner avec la caméra GameBoy et permettait d’imprimer ce qu’il y avait à l’écran sur une espèce de papier au dos adhésif.

Comme vous pouvez le voir dans ce test vidéo, c’était pas ouf. Les impressions étaient quand même de très mauvaise qualité.

Mais cela n’a pas découragé une bande de joyeux codeurs qui ont mis au point un clone open source de l’imprimante GameBoy, baptisée la NeoGB. Il s’agit en réalité d’un émulateur qui utilise un Arduino, une carte SD et quelques composants électroniques pour la modique somme de 15 $.

Cela se branche à la GameBoy et sera compatible avec tous les jeux et la caméra GameBoy qui à l’époque étaient utilisables avec l’imprimante GameBoy.

Alors évidemment, comme vous l’aurez compris, ça n’imprime pas sur du papier, mais cela fera un export fichier sur la carte SD. Toutefois le rendu sera le même que celui proposé par l’imprimante de Nintendo sortie en 1998.

Si le projet vous intéresse, tout est là.

Crow Translate – Pour tout traduire sous Linux et Windows

Par : Korben

J’ai expérimenté l’anglais et l’allemand tout au long de ma scolarité et le seul prof qui m’a donné vraiment le goût d’apprendre l’anglais, ça a été celui que j’ai eu à la fin de mes études, en BTS. Il m’a clairement réconcilié avec la matière.

Mais je sais au fond qu’on est tous un peu dans le même cas ici en France. On a parfois eu des profs qui nous ont dégoûtés ou qui étaient un peu nuls, on n’a quasiment jamais l’occasion de pratiquer l’anglais à moins de beaucoup voyager et quand on se lance enfin, les autres Français qui ne savent pas parler anglais se moquent de notre accent.

Bref, ce n’est pas ouf et nous avons donc besoin de traducteurs automatiques. Ça tombe bien, en voici un qui s’appelle Crow Translate et qui fera plaisir aux gens sous Linux et Windows. Crow Translate est donc un outil de traduction simple et léger qui a été écrit en C++ / Qt et qui est capable de traduire et de prononcer du texte.

Pour réaliser cette prouesse, il utilise notamment les API de Google, Yandex, Bing, LibreTranslate et Lingva translate, ce qui lui permet de proposer 125 langues différentes ainsi que du text2speech. Et ceux qui le souhaitent peuvent également l’utiliser en ligne de commande.

Pour l’installer sous Windows, vous pouvez télécharger le .exe ici ou lancer la commande scoop suivante :

sudo scoop install crow-translate -g

Et pour les linuxiens sous Debian-like :

sudo add-apt-repository ppa:jonmagon/crow-translate
sudo apt update
sudo apt install crow-translate

Vous trouverez plus d’infos sur Crow Translate ici.

Merci à Lorenper pour le partage

Passez la tondeuse même sans jardin – Lawn Mowing Simulator gratuit jusqu’au 4 août 2022

Par : Korben

J’ai un peu de terrain et tondre la pelouse est un exercice que j’apprécie. Toutefois, je pratique de la tonte différenciée. C’est-à-dire que je laisse de grands espaces en friche, ce qui permet à la faune et à la flore de s’installer et de garder un peu d’humidité et de fraicheur. Du coup, j’ai plein de papillons, c’est génial !

Alors oui, quand on a un petit jardin, on pousse la tondeuse et ce n’est pas fun. Mais quand on a une tondeuse autoportée, c’est tout de suite l’aventure (surtout dans les pentes) !!

Toutefois, si vous n’avez pas cette chance, ne vous inquiétez pas puisque Epic Games pense à vous !

Jusqu’au 4 août, le simulateur de tondeuse Lawn Mowing Simulator est en téléchargement gratuit ici.

C’est un jeu conçu pour Windows qui comme Powerwash Simulator vous apportera un grand sentiment de satisfaction. Vous allez pouvoir tondre des parcs entiers, des jardins anglais magnifiques, tout en choisissant la hauteur de coupe et le modèle de votre tondeuse autoportée parmi les 12 proposés.

Évidemment, comme vous gérez votre propre entreprise d’espaces verts, il y un également un petit côté gestion, mais on est plus sur du jeu de détente et de satisfaction que de la course de vitesse.

Je vous mets le trailer, histoire de finir de vous convaincre. De toute façon, comme c’est gratuit jusqu’au 4 août, vous auriez tort de vous en priver.

Merci à Letsar pour le partage.

Créez des captures écrans explicatives et partagez les avec le monde entier (extension Firefox)

Par : Korben

Quand on veut expliquer des choses sur Internet, une bonne vidéo ou un bon texte, c’est cool, mais si c’est accompagné d’un petit dessin ou d’une capture écran annotée, c’est encore mieux. Et ça tombe bien puisque c’est exactement ce que permet de faire cette extension Firefox extraordinaire amoureusement baptisée « Explain and Send Screenshots« .

Plus explicite, tu meurs.

Bref, cette extension, une fois installée permet d’un simple clic de capturer une zone de votre écran puis d’y ajouter du texte, des flèches, des numéros, des encadrés voire même flouter certaines parties. C’est super rapide et pratique et ce qui est encore plus cool, c’est qu’une fois vos dessins faits, vous pouvez sauvegarder votre image localement ou l’exporter vers Google Drive, Imgur ou l’ouvrir carrément dans Pixlr pour aller encore plus loin dans la retouche.

Un must à avoir dans votre boite à outils !

Qui connaît la console rétro PICO-8 ?

Par : Korben

Avez-vous déjà entendu parler de la PICO-8 ?

Et bien il s’agit d’une console qui a la particularité de ne pas vraiment être une console. Je m’explique. La PICO-8 se présente comme une console ordinaire, mais sans avoir l’inconvénient du hardware.

En effet, la PICO-8 possède tout ce qui fait d’une console une console tels que des outils de dev, une plateforme de distribution, un format d’affichage, des specs machines bien précises et bien sûr une communauté de gamers sauf que la console est totalement virtuelle. C’est si vous voulez, un émulateur de jeu rétro pour une machine qui n’a jamais existé physiquement.

Elle a donc sa propre identité et ses propres spécificités et à la place des traditionnelles cartouches physiques, les programmes conçus pour PICO-8 sont distribués sur des images PNG qui ont des têtes de cartouches, avec des étiquettes et une capacité de stockage de 32k.

Que du bonheur !

En suivant les spécs, chacun peut donc développer ses propres jeux. Et on trouve des trucs très cool sur la PICO-8 comme un jeu Ghostbusters nommé Bustin’, un street fight nommé Fighter Street II ou encore un pacman nommé Picoman. Bref, vous l’aurez compris, c’est pour le fun, le challenge mais également pour le plaisir des joueurs.

Si vous voulez tester la console sur macOS, Windows ou Linux, vous pouvez la télécharger contre une quinzaine de dollars ou tout simplement vous rendre ici pour jouer à une version online.

Un super projet auquel je vous invite à jeter un œil et pourquoi pas commencer à développer des jeux.

OpenHV – Hard Vacuum sur le moteur OpenRA

Par : Korben

Quand j’étais collégien, l’un de mes jeux préférés c’était Red Alert. Évidemment pour Tania, mais surtout le jeu de stratégie temps réel qui nous occupait pas mal même sans Internet.

Depuis de l’eau a coulé sous les ponts et des passionnés ont crée un portage open source du moteur de Red Alert baptisé OpenRA dont je vous ai déjà parlé ici. Et récemment, j’apprends l’existence de OpenHV (Open Hard Vacuum), qui est un mod d’OpenRA.

Hard Vacuum est un RTS qui n’est jamais sorti et dont le développement avait débuté en 1993. L’action se déroule dans un futur lointain où le monde est tenu par d’énormes corporations (les GAFAM ^^) qui s’affrontent sur le champ de bataille.

Comme dans Red Alert, il y a des histoires de ressources à collecter (ici du minerai), des bâtiments à construire et des unités telles que des tanks ou des soldats prêts à se sacrifier pour la victoire et le plaisir de dominer le monde.

Le jeu est jouable en solo contre une IA, mais également en LAN ou via Internet. J’ai fait une petite partie où je me suis fait défoncer, mais c’était bien cool quand même malgré les graphismes d’un autre âge.

Le jeu est dispo sous Linux, macOS et Windows à cette adresse.

Tous les caractères ASCII, Unicode, emojis…etc à portée de clic sous Chrome / Edge

Par : Korben

Si vous aimez écrire des trucs chelous en ASCII, vous savez sûrement lancer l’utilitaire de table de caractères ASCII sous Windows ou le Visualiseur de caractères sous macOS.

Mais pour aller plus vite, il existe une extension Chrome / Edge, nommée pompeusement « Special Characters » qui vous mets tout ça à portée de clic. Vous allez pouvoir écrire en chinois, en arabe, en cyrillique ou encore en emojis et j’en passe. Il y a au total, plus de 150 000 caractères différents.

▣ ✈ ✰ య ܓ ᅕ ↷ ◠

Tous les caractères sont classés dans plus de 300 catégories et vous avez même un petit moteur de recherche pour aller plus vite.

Exportez et recherchez dans les commentaires Youtube avec YCS

Par : Korben

Que vous soyez simple internaute accro à Youtube ou créateur de vidéos sur la plateforme, cette extension pour Chrome / Edge va vraiment vous plaire. Elle se nomme YCS pour Youtube Comment Search et permet comme son nom l’indique, d’indexer l’ensemble des commentaires présents sous une vidéo Youtube pour pouvoir y effectuer ensuite des recherches.

Et ce n’est pas une simple recherche par mot clé puisque vous pouvez également faire de la recherche à l’aide d’opérateurs AND / OR ou faire des exclusions de termes, trouver des préfixes / suffixes et j’en passe. Et vous pourrez également filtrer les commentaires selon l’auteur, les likes, la présence de timestamps, les abonnés payants et j’en passe.

C’est assez impressionnant comme extension, surtout qu’on peut tout exporter au format texte. C’est le bonheur.

Je vous invite à vraiment la tester. Vous pouvez télécharger YCS en cliquant ici.

L’extension Chrome / Edge pour assurer pendant vos soirées Netflix / Youtube

Par : Korben

Vous faites une soirée Netflix avec un bon copain ou une bonne copine, quand soudain, ça sonne à la porte. Impossible de mettre en pause, car vous avez les doigts sales. Normal, cette délicieuse pizza était pleine de sauce tomate et de fromage et vous mangez comme un cochon.

Heureusement, grâce à l’extension Chrome / Edge nommée Freeze, vous allez pouvoir mettre en pause votre série, simplement en levant la main pour faire un geste à votre webcam.

Rock’n’roll 🤘 pour mettre en pause (ou lecture), le poing levé ✊ comme un gars de la CGT pour couper le son, ou le signe de la victoire ✌️ pour zapper l’intro Netflix bien reloue.

Super pratique vous ne trouvez pas ?

Freeze supporte également YouTube avec les mêmes gestes, sauf que le V de la victoire permet de passer à la vidéo suivante.

Le bonheur pour ne plus salir l’ordinateur en cas d’imprévu !

Comment contourner la vérification d’age de Youtube ?

Par : Korben

Si vous êtes adulte et que vous avez un compte YouTube, vous n’avez sûrement jamais remarqué que sur certaines vidéos, exigeait une confirmation d’âge. Mais quand on n’est pas loggé et qu’on souhaite visionner un clip ou un court métrage avec un peu de violence dedans (y’a pas de nichons sur YouTube) bien pas moyen.

Et ça, c’est bien relou. Heureusement, il existe une extension / userscript pour Firefox / Chrome / Edge qui détourne l’API de Google pour accéder anonymement aux vidéos de YouTube dont l’âge est limité.

Histoire d’assurer le coup, au cas où les méthodes de contournement de l’API ne fonctionneraient pas, un serveur proxy est également utilisé. Cela permet de regarder tous les types de vidéos dont l’âge est limité sur YouTube et YouTube Music sans vérification de l’âge et sans avoir besoin d’être connecté.

Parfait ! Et bien sûr si vous êtes mineur, je ne vous recommande pas d’installer ce genre de chose, car ce genre de blocage est en place pour vous protéger d’images violentes qui pourraient vous marquer. Quoiqu’il en soit, si vous voyez quelque chose de choquant sur Internet, parlez-en à un adulte et ne restez pas avec ça sur le cœur, ce n’est pas bon.

A télécharger ici.

Slither – « Vers » l’infini et au delà

Par : Korben

Bon, je sais bien qu’on est au mois d’août et que c’est assez calme niveau boulot, mais ce n’est pas une raison pour passer tout ce temps sur PointerPointer, non, mais oh !

À la place, je vous recommande plutôt d’aller zoner sur Slither.io, un merveilleux petit jeu semblable à Snake, où vous évoluez dans l’espace infini des galaxies pour manger des petites billes afin de devenir le plus gros spécimen du coin.

Mais attention, le danger rôde, car si vous percutez un autre ver, vous serez immédiatement désintégré. Vous l’aurez compris, un vers et bonjour les dégâts. Mais si c’est lui qui vous cogne, alors vous pourrez manger ses petites billes et devenir gros à votre tour. Hé oui, les vers c’est satanique.

Le jeu est jouable en solo ou en multi, ce qui est cool parce que j’ai bien l’impression que vos collègues regardent eux aussi, les mouches voler.

Pour une fois que grossir, c’est cool, on ne va pas se plaindre. Oui, les diététicien(ne)s, faut se calmer là.

Merci à z82nik et TryphZ

Continuez à coder pendant vos réunions

Par : Korben

Amis développeurs, si vous travaillez dans une entreprise, surtout en télétravail, vous le savez, il est impossible d’esquiver toutes les réunions téléphoniques, surtout les plus inutiles. Et malheureusement, si vous prenez l’initiative de continuer à coder pendant que Jean-Michel fait un hors sujet sur la qualité du papier dans le photocopieur, tout le monde commencera à vous râler dessus parce qu’on entend votre clavier que ça coupe la parole des autres.

Alors que faire ?

Et bien si vous travaillez sur Mac, il y a ce formidable utilitaire qui s’appelle Unclack et qui automatiquement va « muter » votre micro lorsque vous taperez au clavier. Ainsi, vous pourrez continuer à coder pendant ces réunions interminables sans que cela ne se remarque.

Quel bonheur !

Une curieuse expédition

Par : Remouk

— Article rédigé par l’ami Remouk (DansTonChat) – Merci à lui —

Qui n’a jamais rêvé, gamin, de devenir le plus grand explorateur de tous les temps ? Traverser des déserts arides, survivre dans la jungle, découvrir d’incroyables monstres, des traces d’anciennes civilisations, et rencontrer de nouvelles cultures ? C’est l’expérience que nous propose Curious Expedition 2. 🤓

Tout commence en plein Paris, fin du 19ème siècle. Différents clubs d’explorateur sont prêts à financer des expéditions pour récupérer de jolis trésors. Profitons-en ! La première phase de jeu consiste à recruter un équipage, à s’équiper d’armes, d’objets, faire le plein de vivres… Enfin, on choisi une destination et hop, c’est parti pour l’aventure !

On se retrouve sur une île inconnue qu’il va falloir explorer en vue de remplir l’objectif fixé par la mission. On se déplace au tour par tour, il est important de prendre soin de son équipe : fatigue, faim, soif, maladies, blessures… Attention à ne pas foncer tête baissée, sinon vous allez vite y laisser votre peau… Et recommencer une nouvelle partie. Oui, on est dans un roguelite !

Régulièrement, la faune locale vient à notre rencontre, encore une occasion de mourir… Alors on sort les armes et on passe en mode combat ! C’est à nouveau du tour par tour, avec un système d’attaque / défense basée sur les lancers de dés. C’est assez original, ça apporte une notion de prise de risque assez fun et bienvenue.

Sans tout énumérer, vous allez aussi rencontrer des autochtones, leurs villages, etc. ! Seront-ils bienveillants ou agressifs ? Ça dépendra surtout de vous. Si vous pillez tout ce que vous trouvez, ou bien si vous respectez au maximum la culture de l’île, si vous leur rendez service, si vous êtes généreux quand vous faites du troc, ce genre de choses. A vous de choisir l’explorateur que vous êtes. 😀

Une fois votre objectif atteint, vous allez revenir sur Paris pour faire part de vos découvertes. Offrir vos trésors à un musée ou bien les vendre aux plus offrants ? Vous aurez l’occasion d’entretenir votre équipage, d’améliorer vos rapports avec les différents clubs (et donc obtenir des bonus), etc., avant de reprendre la mer. 🙂 On a donc un système de progression qui dépasse la simple partie.

A savoir que la plupart du contenu du jeu est généré de manière procédurale : la topologie et le contenu des différentes îles, les noms et caractéristiques des personnages, les évènements spéciaux, mais aussi la narration ! C’est vraiment bien foutu, les parties se suivent mais se renouvellent à chaque fois.

Vous l’aurez compris, et c’est pour ça que j’en parle, Curious Expedition 2 est un jeu que j’aime beaucoup. Principalement parce que ça se joue tranquillement, à son rythme, mais qu’il faut régulièrement faire des choix cornéliens qui peuvent aussi bien nous sauver que nous mener à notre perte. Les graphismes en mode bande dessinée sont vraiment très réussis, l’ambiance est super prenante… Donc voilà, je vous le conseille !

A savoir qu’il est dispo sur Steam, Nintendo Switch, Playstation, XBox, et qu’il existe à ce jour deux DLC pas chers, qui permettent de rallonger l’expérience si vous en voulez encore. 🙂

DevToys – Le couteau suisse des développeurs

Par : Korben

Quand on est développeur, il y a parfois certains trucs dont on a besoin qui nécessite de chercher un site web ou un petit outil pour le faire rapidement. Cela peut-être générer un texte en lorem ipsum, formater un JSON, décoder un Base64, tester une regex et j’en passe.

Du coup, ça prend du temps.

Mais si je vous disais que tout cela et bien d’autres choses sont centralisés dans cet outil disponible sous Windows et nommé DevToys ?

DevToys simplifie votre quotidien en vous proposant des tas d’outils pour effectuer des tâches simples avec vos données. DevToys est également capable de détecter le meilleur outil capable de traiter les données que vous avez copiées dans le presse-papiers et vous pouvez même utiliser plusieurs instances du logiciel en même temps.

Voici les outils que vous trouverez dans ce couteau suisse à destination des développeurs :

  • Convertisseurs
    • JSON <> YAML
    • Horodatage
    • Base de nombres
    • Analyseur CRON
  • Encodeurs / Décodeurs
    • HTML
    • URL
    • Base64 (texte et images)
    • Gzip
    • Décodeur JWT
  • Formateurs
    • JSON
    • SQL
    • XML
  • Générateurs
    • Hash MD5, SHA1, SHA256, SHA512
    • UUID 1 / UUID 4
    • Lorem Ipsum
    • Somme de contrôle
  • Texte
    • Inspecteur de texte et convertisseur maj / min
    • Testeur de Regex
    • Comparateur de texte
    • Validateur XML
    • Markdown
  • Images
    • Simulateur de daltonisme
    • Color picker & constrastes
    • Compresseur PNG / JPG
    • Convertisseur d’images

La revanche de Shredder !

Par : Remouk

— Article rédigé par l’ami Remouk (DansTonChat) – Merci à lui —

Les chevaliers d’écaille sont de retour ! Bon, la vérité c’est que nos mutants préférés n’ont jamais disparus, mais je dois admettre que je préfère largement le look et la personnalité que nos tortues arboraient durant les années 80-90… Et c’est cette version des Tortues Ninja que l’on retrouve dans un nouveau jeu de baston : Teenage Mutant Ninja Turtles: Shredder’s Revenge. 🐢

Tout est fait pour nous replonger dans cette époque : le design des tortues, les ennemis, les graphismes en pixel art, la musique… C’est presque du rétro-gaming mais sans les ralentissements horribles. 🙂 On se retrouve face à un beat’em all à l’ancienne : on avance dans des niveaux et on tabasse tout ce qui s’approche.

Le gameplay est vraiment bon, entre coups de base, coups spéciaux, prises, sauts, esquives… Y a de quoi varier les plaisirs. Mais surtout, il ne faut pas se contenter d’appuyer sur tous les boutons : il sera parfois indispensable de bien se positionner, d’attaquer les ennemis dans un certain ordre, d’éviter les frappes en attendant le bon moment pour contre-attaquer, etc. Un jeu moins bête qu’il n’en a l’air !

Le mode arcade nous demande d’enchaîner les différents stages, avec un nombre limité de vies et de continues. À l’ancienne ! En revanche, le mode histoire nous propose, entre chaque level, de se balader en ville (comme sur NES), de s’améliorer, de remplir des objectifs secondaires, de sauvegarder, etc. Une expérience plus accessible mais aussi plus complète. C’est cool d’avoir le choix ! Dans les deux cas, l’histoire est super sympa à suivre, avec son lot de méchants et de situations débiles. 🙂

Côté contenu, c’est assez généreux, surtout en terme de personnages : on peut jouer les 4 tortues (dont les animations et attaques reflètent bien les différentes personnalités) mais aussi April et Splinter… Sans oublier un certain justicier masqué à débloquer. 😉 Figurez vous que c’est loin d’être trop, vu qu’on peut profiter du mode multi jusqu’à 6 joueurs, en local comme en ligne ! C’est un joyeux bordel mais franchement fun.

Vous l’avez compris, j’ai adoré retrouver les tortues ninja de mon enfance, et je conseille ce jeu à tous les fans du genre ! Attention, finir le mode histoire ne vous demandera qu’une poignée d’heures, pour 25€ ça peut décevoir. Mais si vous êtes adepte de la baston, du genre à vouloir tout débloquer, à viser les hi-scores, à jouer et rejouer avec vos potes en mode arcade pour réussir à le finir d’une traite, c’est une valeur sûre.

Teenage Mutant Ninja Turtles: Shredder’s Revenge est dispo sur Steam, Nintendo Switch, Playstation et Xbox !

Le testeur de manettes en ligne

Par : Korben

Si vous disposez d’une manette qui vous semble un peu capricieuse et que vous voulez la tester, il existe un outil en ligne nommé Gamepad Tester qui vaut le détour.

Ce site utilise les API Gamepad HTML5 afin d’évaluer l’état de vos boutons, vos sticks et de tout ce qui se trouve sur votre manette. Par exemple si votre manette est défectueuse, vous le saurez tout de suite avec cet outil.

En appuyant sur chacune des touches, vous verrez son équivalent à l’écran s’afficher et vous pourrez également réaliser une mesure de circularité de vos sticks pour savoir s’ils sont correctement calibrés / en place.

Et si vous êtes développeur ou concepteur de manette DIY alternative, vous pourrez comme ça mieux vous rendre compte de votre avancée.

Le Gamepad-Tester est ici.

Hackez votre aspirateur robot pour le débrancher du cloud

Par : Korben

Si vous êtes l’heureux propriétaire d’un aspirateur robot chinois et que celui-ci commence à vous sortir un peu par les yeux, alors cet article va vous inspirer (et pas aspirer !).

Vous le savez ce genre de robot est très lié à une application et surtout aux services cloud de son constructeur. Alors pour remédier à cela et offrir une nouvelle liberté aux aspirateurs, des développeurs ont mis au point Valetudo.

Valetudo est un code ouvert qui vous permet de remplacer le système d’exploitation de robots aspirateurs comme certains modèles de Dreame, de Roborock ou encore Viomi. L’idée est de supprimer toute connectivité au cloud, tout en gardant l’appareil fonctionnel.

Une fois Valetudo en place, vous aurez alors accès à une API bien documentée, ce qui vous permettra de commander votre robot comme bon vous semble avec des intégrations dans MQTT, Home Assistant, Node-RED ou encore openHAB. Évidemment, Valetudo permet de conserver les fonctionnalités suivantes :

  • Nettoyage, division, fusion et renommage des pièces
  • Contrôle des pompes à eau et modification des zones interdites
  • Modification des murs virtuels, des zones interdites d’accès
  • Nettoyage dynamique par zones
  • Emplacements
  • Contrôle de la vitesse des ventilateurs et du démarrage, de l’arrêt, de l’accueil et de la localisation
  • Contrôle des consommables
  • Mode tapis et contrôle des données persistantes
  • Contrôle du volume audio

Et bien sûr, vous conserverez et aurez accès à l’ensemble de vos données en local puisque le robot sera débranché du cloud constructeur. D’ailleurs différentes applications « compagnons » existent aussi bien pour Android que pour Windows.

Mais là où ça devient marrant, c’est que Valetudo permet de faire autre chose que le ménage avec son robot.

Par exemple, le projet Valeronoi repose sur Valetudo et permet grâce au robot d’établir une cartographie détaillée de votre réseau wifi.

D’autres s’amusent à mapper leur appartement pour ensuite en faire un monde Minecraft.

Ou encore, collez une caméra dessus, et vous pourrez en faire un petit robot de surveillance que vous programmerez vous-même.

Bref, les possibilités sont nombreuses et cela vous permettra vraiment d’hacker votre aspirateur robot.

Que faire quand on n’arrive pas à tomber sur le portail captif d’une borne wifi publique ?

Par : Korben

Quand on se connecte à un réseau public wifi, il arrive parfois qu’on ait du mal à obtenir le fameux « portail captif »‘ où on nous demande en général notre adresse email, avant de nous laisser librement surfer. En effet, sur certaines bornes wifi, le truc est tellement mal configuré que si vous entrez l’URL de votre moteur de recherche préférée ou de Facebook et bien vous n’obtiendrez rien.

Plantage ? Non, c’est juste que le portail captif n’accepte pas les connexions en HTTPS… Et comme la plupart des sites utilisent SSL/TLS, HSTS…etc., et bien ça ne passe pas.

Alors dans ce cas, il y a 2 solutions pour vous assurer des vacances pépères. Moi à titre perso, ce que je fais surtout, c’est de me placer directement sur le routeur en entrant dans mon navigateur des IP comme 192.168.0.1 ou 192.168.1.1 ou 10.0.0.1 … En général ça passe et on est renvoyé vers le portail captif où on peut alors rentrer ses infos pour se connecter.

Mais l’autre solution consiste à se placer sur un site sans SSL/TLS. Si vous en avez un en tête, testez-le, sinon utilisez le site http://neverssl.com.

Sur ce site, pas d’authentification forte, pas de HTTP2, pas de HSTS, pas de chiffrement. Juste du bon vieux HTTP comme on en fait plus. À partir de ce point d’entrée, vous serez alors redirigé vers le portail captif et ensuite vous pourrez surfer sur tous vos sites préférés (avec HTTPS, je vous rassure) comme bon vous semble.

Un autre site permet de faire la même chose, et c’est également à essayer : http://fixwifi.it/

Merci Jonathan pour l’info.

N’oubliez pas quand même, les bornes wifi publiques, c’est comme le sexe non protégé. Quand on ne sait pas trop sur quoi on se « branche », il vaut mieux utiliser une protection type VPN.

source

Date de publication originale : 19 juin 2017 – Mise à jour : 07 septembre 2022

Koodo – Le lecteur d’ebooks qui fonctionne partout

Par : Korben

Je n’aime pas trop lire de livres électroniques sur mon ordinateur, car je ne trouve pas ça très agréable. Je préfère largement mon Kindle et son doux papier électronique. Si Amazon faisait du PQ à l’identique, j’en achèterais tellement j’adore ce support.

Sur l’ordi, quand je suis obligé, j’utilise la liseuse intégrée de Calibre, mais c’est loin d’être sexy. Heureusement, un logiciel libre nommé Koodo Reader vient combler un peu ce manque d’interface chatoyante.

L’outil supporte de nombreux formats de livres (PDF, Epub, CBR, CBZ, DOCX, MOBI, AZW3…etc) et dispose de nombreuses options de personnalisation. Ainsi, vous pouvez choisir le nombre de colonnes de texte, tourner les pages ou scroller vers le bas, activer du text 2 speech (lecture audio), prendre des notes, placer des signets, régler la police et la taille du texte ainsi que la couleur du fond de page…etc.

Un mode sombre est également dispo pour protéger vos petits yeux humides. Vous pouvez également créer des catégories (« étagères ») pour ranger vos bouquins et si vous sauvegardez les données sur Dropbox, iCloud ou autre service de ce genre, vous comme ça, accéder à vos livres sur toutes vos machines, aussi bien sous macOS que Windows, Linux et même en mobilité totale puisqu’une version web est également disponible.

La version web peut se déployer via Docker comme ceci :

git clone https://github.com/troyeguo/koodo-reader.git
docker-compose up -d

Une fonction d’import / export est également proposée pour sauvegarder tous vos livres et méta données associées.

Koodo est libre et disponible ici sur Github.

Comment créer un escape game en ligne ?

Par : Korben

Si vous êtes fan d’escape game ou que vous avez le câblage neuronal pour en créer de toutes pièces, mais que vous n’avez pas envie de louer un appartement pour y mettre du faux sang et des tronçonneuses rouillées, j’ai ce qu’il vous faut.

Il s’agit d’un site gratuit qui s’appelle Rakura, qui permet de créer des escapes games en ligne. À vous de créer vos salles, de les illustrer avec une jolie image, d’indiquer la présence de meubles, de cadenas, et d’objets à trouver pour mettre dans l’inventaire du joueur.

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Ainsi, vous pourrez créer vos énigmes et autres pièges et partager votre escape game perso à l’ensemble de la communauté.

Évidemment, si vous êtes aussi créatif qu’une asperge, ce n’est pas grave, car vous pourrez quand même jouer aux escape games des autres, seul ou avec des amis puisque le site Rakura propose des dizaines d’aventures à explorer.

On y retrouve par exemple :

  • « La terrible salmonelle – Échappe-toi de ton restaurant »
  • « Fuite à l’hôpital – Vous vous réveillez dans une pièce inconnue, comment êtes-vous arrivé ici ? Mais surtout comment allez-vous sortir d’ici. »
  • « Maison du kidnappeur – Vous vous êtes fait kidnapper par votre voisin. Échappez-vous avant qu’il ne revienne ».

Tout un programme !

Le jeu qui ne plaira pas aux graphistes

Par : Korben

Vous connaissez maintenant le cauchemar vivant des graphistes et autres artistes depuis que vous avez lu mes articles sur Dall-e 2 ou encore Craiyon.

Vous connaissez le concept : Il faut écrire une jolie phrase hyper descriptive et précise. Cette phrase sera alors communiquée à un algo pompeusement appelé « Intelligence artificielle », qui se chargera alors de générer une image représentant votre écrit.

Sacré jeu !

Mais le plus fun, c’est de faire l’inverse. C’est à dire, retrouver à partir d’une image générée par un algorithme, la petite phrase qui a fait mouche.

Il s’agit d’un clone de Wordle nommé Wordalle qui utilise ce genre d’image pour apporter de la joie dans votre petit coeur. Je m’y suis frotté lors d’un de mes Twitch et je ne m’en suis pas si mal tiré.

Bref, de quoi passer un bon moment ! Vous pouvez même jouer avec vos collègues, histoire de faire passer encore plus vite vos journées à ne rien faire tout en étant payé !

Amusez-vous bien !

Et si vous démissionniez ?

Par : Korben

— En partenariat avec LesJeudis

Avec la reprise de l’activité économique post-covid, on a vu apparaître dans les médias 2 nouveaux concepts assez nouveaux sur le marché de l’emploi : La grande démission et la démission silencieuse.

Il faut vraiment que je vous explique ça, car ça touche de nombreux secteurs et notamment la tech. Je suppose que la plupart d’entre vous travaillent dans le secteur IT, et cela ne vous aura pas échappé que ça démissionne à tour de bras autour de vous. Peut-être que vous-même avez démissionné.

En effet, ce phénomène de Grande Démission n’est pas nouveau et assez courant quand on sort d’une crise. En effet, durant une crise, chacun s’accroche à son job, mais dès que ça va mieux, un grand nombre de travailleurs cherchent à changer de travail pour obtenir de meilleures conditions, voire souhaitent s’orienter dans une nouvelle profession ou décident carrément de se retirer de la vie active.

C’est pourquoi, en ce moment en France, ça démissionne de partout.

Le concept de la démission silencieuse par contre, est plus récent. Ici il ne s’agit pas de réellement démissionner, mais se mettre en mode « service minimum » : Faire son taf sans se forcer, se tenir à ses horaires et se désinvestir totalement de son travail. Cela se produit quand les gens ne sont pas satisfaits au travail, mais ne veulent pas démissionner. Ils préfèrent mettre l’accent sur leur vie personnelle et éviter ainsi la fatigue professionnelle et le stress.

Que ce soit dans le cas d’un phénomène de Grande Démission ou de Démission Silencieuse, la racine du problème reste la même : Les gens ne sont pas heureux dans leur job.

À titre personnel, je trouve un peu dommage de caler professionnellement en se mettant en mode économie d’énergie, parce qu’on est triste au boulot. À mon sens, il serait plus sain de donner un nouvel élan à sa carrière en changeant d’entreprise et de poste.

Si vous bossez dans la tech et que vous voulez rester dans la tech, mais que votre job actuel ne vous motive plus, pourquoi vous infliger d’y rester alors que le marché de l’emploi manque cruellement de profils comme le votre et que de nombreuses sociétés seraient prête à vous proposer un meilleur salaire, des projets plus intéressants, de nouvelles responsabilités, un télétravail aux petits oignons…etc. ?

Ça vous tente ?

Si vous vous reconnaissez là-dedans et que vous n’êtes plus très épanoui dans votre travail, la bonne idée est probablement de rester à « l’écoute du marché » comme on dit.

Et pour cela, LesJeudis peuvent vous y aider. En effet, même si on ne présente plus ce site, LesJeudis restent à ce jour LA plateforme n°1 dans l’emploi des techs et des informaticiens. D’un côté, il y a les entreprises qui recrutent des profils qui se font de plus en plus rares et de l’autre, il y a vous avec votre expertise tech. Le rôle de LesJeudis, c’est d’établir et de proposer la correspondance parfaite entre un poste IT et un profil IT précis.

Et pour cela, LesJeudis accompagnent les candidats à l’aide de différents outils de développement de carrière tels que des centaines de conseils emploi, de très nombreux articles techniques informatiques (j’en ai même rédigé certains), un focus sur les nouvelles tendances et bien sûr la description et le salaire propre à chacun des jobs pour que vous soyez le mieux armé possible pour répondre aux offres d’emploi.

La nouvelle version de LesJeudis

Vous vous en doutez, si un site aussi ancien que LesJeudis a su rester dans la course après toutes ces années, c’est qu’il a su évoluer avec succès. Et c’est encore le cas cette année puisque l’UX et l’UI de la plateforme ont été intégralement repensées pour vous procurer l’expérience la plus intuitive possible. L’accent a également été mis sur l’accès à la plateforme en mobilité, comme ça plus d’excuse pour regarder les offres d’emploi et postuler, durant votre temps de transport en fin de journée ou poser le soir devant Netflix.

Pour vous permettre de trouver et postuler plus facilement aux emplois qui vous correspondent le mieux, lesJeudis ont entièrement optimisé et simplifié la procédure de recherche de poste et de candidature. Une possibilité de candidatures multiples est également présente, ce qui vous permettra de postuler à plusieurs offres en même temps en un minimum de clics. Il y a même une IA qui vous accompagnera durant la rédaction de votre CV.

LesJeudis, c’est bien plus qu’un site d’emploi. C’est une communauté impliquée dans l’univers de la tech qui vous apportera tous les outils pour réussir dans votre changement professionnel. De leur côté, ils ont commencé un gros travail d’actualisation des fichiers emploi qui sera disponible en octobre et vous permettra de tout savoir sur votre futur métier, y compris le salaire moyen que vous êtes en droit d’attendre.

Je vous assure, cette version vaut le coup d’œil donc je vous invite à parcourir les annonces. Vous trouverez peut-être le job de vos rêves. Celui qui vous permettra enfin de démissionner ou de sortir de votre période de « démission silencieuse » qui au final n’est pas très épanouissante.

Qu’attendez vous pour franchir la pas ?

Bref, que vous soyez chef de projet, développeur mobile, devops ou dev web…etc., vous trouverez au sein de la communauté de LesJeudis, tout ce qu’il faut, des jobs IT en passant par de l’accompagnement professionel, de l’actu tech et même à certains moments de l’année des événements pour se rencontrer et également échanger avec les entreprises. Ça vaut de l’or !

Si vous avez déjà un compte sur la plateforme de LesJeudis, je vous invite à aller explorer à nouveau le site. Vous allez voir, ça a beaucoup changé et ça devrait vous plaire. Et si c’est votre première fois parce que vous êtes plus jeune dans l’univers de la tech, c’est l’occasion de vous créer un compte et de plonger dans cette communauté qui vous apportera tout ce qu’il vous faut pour démissionner et immédiatement retrouver un emploi qui vous corresponde mieux et vous apporte plus en épanouissement (et salaire évidemment !)

Découvrir LesJeudis

Comment savoir si une application iOS injecte du javascript dans les sites que vous visitez ?

Par : Korben

Si vous avez déjà utilisé une application mobile dans votre vie, vous connaissez forcement le concept de navigateur in app. En gros, il s’agit d’une fonctionnalité présente dans certaines applications, qui permet d’ouvrir une page web sans avoir à quitter l’application. C’est présent dans des applications comme Instagram, Facebook ou encore Snapchat.

Mais le truc que vous ne savez pas, c’est qu’en passant par ces navigateurs in app sous iOS, vous êtes potentiellement espionné. Par exemple, lorsque vous passez par le navigateur intégré à TikTok, ce dernier enregistre tout ce que vous tapez au clavier (mots de passe inclus) et partout là où vous tapotez avec votre doigt sur l’écran

Alors ça ne veut pas dire que les sociétés en question volent des mots de passe mais ça veut tout simplement dire qu’elles en ont la possibilité.

Alors comment peut-on savoir si une application injecte du javascript dans les pages que vous consultez via leur navigateur in app ?

Et bien Felix Krause a mis au point un service nommé InAppBrowser qui permet de lister les commandes javascript executées par l’application iOS elle-même. Pour l’utiliser, entrez ce lien dans l’application (par exemple dans la messagerie).

https://InAppBrowser.com

Puis cliquez dessus pour l’ouvrir dans le navigateur in app. Vous verrez alors les injections de javascript.

Voici une démo :

Alors que faire ? Et bien en tant qu’utilisateur, le mieux c’est d’éviter si c’est possible d’utiliser un navigateur inapp et de toujours passer par le navigateur de l’iPhone, Safari.

Voici quelques applications qui modifient les pages que vous visitez et qui récupère de la métadonnées.

D’ailleurs certaines applications utilisent Safari comme navigateur par défaut.

C’est le cas de Twitter, Reddit, Whatsapp, Youtube, Outlook, Twitch…etc. C’est une implémentation saine puisque Apple empêche l’injection de JS par une application tierces dans le code des sites web. Vous pouvez donc avoir confiance dans ces applications :

Si le sujet vous intéresse, je vous invite à visiter cette page qui répondra à toutes vos interrogations sur cette pratique cachée des éditeurs d’applications.

Hello – Le moteur de recherche préféré des développeurs

Par : Korben

Si vous êtes développeur, vous devez probablement faire pas mal de recherche sur Google pour trouver un exemple d’implémentation ou un tuto vous expliquant comment arriver à vos fins. Et c’est cool, sauf que cela est souvent noyé dans de nombreux contenus qui sont soit assez pauvres, soit mal ciblés.

C’est là qu’entre en scène le moteur de recherche spécialisé Hello qui permet de trouver rapidement des réponses à toutes vos questions techniques concernant du code. Pour cela, Hello utilise du deep learning pour classer et trier l’information technique en provenance de nombreuses sources.

Cependant, pour utiliser correctement ce moteur de recherche, pensez à bien poser des questions complètes et détaillées en anglais, en précisant le langage ou la technologie employée.

Par exemple, plutôt que d’écrire « Récupérer une liste d’article depuis mon site », écrivez plutôt « Comment récupérer une liste d’articles WordPress en python » (en anglais de préférence, même s’il est possible d’avoir des résultats dans la langue de Booba).

Le moteur supporte également des filtres pour réduire les domaines de recherche et trouver précisément ce dont vous avez besoin.

Bref, de quoi gagner beaucoup de temps dans vos recherches techniques, en obtenant à la fois des explications simples, des bouts de code d’exemples et de nombreux liens détaillés.

A découvrir ici.

Mist – Pour télécharger les installeurs / firmwares de macOS

Par : Korben

Si vous travaillez dans un environnement macOS et qu’il vous arrive parfois de récupérer les différentes versions de macOS pour les analyser, faire des clés USB avec Clover ou encore tout simplement réinstaller la bestiole… plus besoin de vous rendre sur le site d’Apple pour télécharger les firmwares (.ipsw) / installeurs des dernières versions de macOS.

Grâce au logiciel Mist, vous les aurez toutes à portée de clic. Vous pourrez ainsi afficher ou masquer les versions beta, ainsi que les versions incompatibles avec votre ordinateur actuel.

À l’export vous pourrez même choisir si vous voulez une application (.app), une image disque bootable (.iso), une image disque (.dmg) ou un package (.pkg). Et bien sûr, lors du téléchargement, tous les contrôles (checksum) sont faits pour vous assurer que l’image est OK.

Pour les plus bidouilleurs, il est également possible de spécifier de nouvelles URLs de catalogues pour récupérer les versions Developer, Customer ou Public voire exporter toutes ces listes en CSV, JSON…etc.

Notez que Mist est également disponible en ligne de commande.

À télécharger ici.

Test de la friteuse à air Ultenic K20 – Plus de puissance, plus de frites 🍟

Par : Korben

— Article en partenariat avec Ultenic —

Fin 2021, je publiais ici même un test détaillé sur la friteuse à air K10 d’Ultenic.

Cela vous a intéressé et que j’ai reçu de nombreuses questions sur le fonctionnement de cette friteuse connectée. Mais il y a un an, j’étais loin d’imaginer que je m’en servirai tous les jours. Oui, car au-delà de l’aspect friteuse à air (sans huile), c’est surtout un mini four vraiment pratique pour faire cuire tout ce qu’on veut très rapidement, de la tartine de pain à faire griller, au bout de viande à cuire en passant par le réchauffage d’aliments de la veille.

J’étais donc très content de cet appareil et voilà qu’Ultenic me propose de tester la friteuse K20, qui prend la suite de la K10. Je vais donc vous faire un article où je compare un peu les deux et/ou je vous présente les trucs que je trouve cool et moins cool dans cette nouvelle version. Pour info, ça fait 15 jours que j’utilise la K20 tous les jours.

Sur le principe général, on est sur la même idée : une friteuse sans huile connectée. La première différence, c’est qu’il y a deux bacs pour faire des cuissons séparées. On passe donc d’un bac unique de 5 litres à 2 paniers de 4 litres, soit un total de 8 litres.

Pas vraiment de place pour mettre une pizza ou un poulet entier par contre, mais comme je ne m’en sers pas pour ça ce n’est pas vraiment un souci pour moi. En ce qui me concerne, je m’en sers pour décongeler des choses, cuire de la viande / poisson ou faire de la friture, et ça me permet de garder libres mes emplacements sur ma cuisinière pour des choses qui mijotent.

Je remplissais rarement la K10, car quand on blinde trop le tiroir, ça a du mal à cuire uniformément. Avec les bacs de la K20, on en met autant, mais ça cuit vachement mieux. D’abord parce que c’est réparti sur les deux emplacements, mais aussi parce que la machine est plus puissante. On passe de 1500 W pour la K10 à 2850 W pour la K20. Du coup, je la trouve carrément plus efficace et rapide.

Avec la K10, quand je préparais un steak frites, il fallait que je fasse cuire les frites en premier, que je les stocke dans plat, puis que je fasse cuire le steak ensuite. Avec la K20, je peux tout lancer en même temps et surtout synchroniser les paniers pour que la cuisson des deux aliments se termine au même moment. Je m’explique.

Admettons que vous en ayez pour 20 min de cuisson pour vos frites et 12 min pour le steak. Vous mettez tout dans la machine et vous synchronisez les paniers. La cuisson des frites débutera, mais celle du steak commencera 8 min après pour que tout se termine au même moment. C’est super pratique.

Il y a moins de programmes que sur la K10, mais ce n’est pas vraiment gênant, car l’essentiel y est : Friture sans huile, Max Crisp, rôtir, cuire au four, réchauffer et déshydrater (pratique pour vos fruits). Pour le reste, il faudra régler la température et la durée. Mais comme avec l’application Ultenic, il est possible d’avoir des recettes et les réglages associés (température / durée), n’importe qui peut s’en sortir à l’aise.

Au niveau du nettoyage, je la trouve plus pratique à laver que la K10, car il y a moins de relief sur les grilles, donc la graisse des aliments ne reste plus coincée sur les pieds en caoutchouc ou sur la grille.

Voilà pour mon retour sur la Ultenic K20. C’est une bonne évolution de la K10 avec plus de puissance et une meilleure facilité de nettoyage. Les deux bacs sont vraiment cool et le fait de pouvoir les synchroniser, c’est un petit plus pratique pour éviter de jongler avec 2 cuissons différentes. En tout cas, avec cet appareil comme avec sa version antérieure, je ne fais plus jamais rien bruler par inattention. Je programme, et ça fait le job à la perfection.

La K10 était connectée au wifi avec l’application, mais on s’est tous rendu compte que ça ne servait pas à grand-chose. C’est pourquoi Ultenic a retiré cet aspect connectable de sa friteuse à air K20 tout en continuant de proposer des tonnes de super recettes dans son application (et dans le livret fourni avec l’appareil).

Concernant le prix, on est à 179,99 € ce qui est de l’ordre du raisonnable pour un objet que j’utilise tous les jours et qui me simplifie vraiment la vie. Je n’ai pas encore pu tester la fonction déshydratation. C’est un mode qui lance une cuisson à 60° pendant 8h d’affiler pour retirer toute l’eau d’un aliment pour ensuite en faciliter la conservation. Mais j’ai quelques pommes qui n’attendent que ça ;-). Je vous mettrais les photos sur Instagram.

Konbert – Pour convertir du CSV ou du JSON

Par : Korben

Si vous avez besoin de convertir un fichier CSV au format SQL ou JSON ou de convertir un fichier JSON en CSV ou SQL, j’ai ce qu’il vous faut.

Il s’agit d’un site mis au point par Mohamed Boudra qui s’appelle Konbert qui simplement en y glissant-déposant votre fichier (CSV ou JSON) vous permettra ensuite de récupérer le format voulu (SQL, CSV ou JSON).

On peut uploader un fichier, indiquer une URL ou coller de la donnée brute :

Et voilà les données converties :

Pratique ! Mais évitez d’y balancer des données sensibles.

Article publié le 18/08/2017 – Mis à jour le 09/10/2022

Firefox va vous permettre d’écrire et dessiner dans vos PDF

Par : Korben

Il y a une petite nouveauté qui ne va pas tarder dans Firefox qui n’a pas l’air de grand chose mais qui va vous faire gagner du temps en plus de vous faire plaisir.

Signalée par Maxime, lecteur assidu de Korben.info, cette nouveauté n’est présente pour le moment que dans la version Dev de Firefox et j’étais passé totalement à côté. Ça se passe au niveau de la visionneuse PDF intégrée à Firefox qui permet -enfin- d’annoter avec du texte ou des petits dessins n’importe quel PDF.

Vraiment très pratique pour faire des retours sur un PDF ou tout simplement faire des modifications simples. Il suffit de prendre l’outil dessin et de recouvrir de blanc le texte, avant d’écrire à nouveau dessus avec l’outil texte. Il ne s’agit pas d’un vrai outil d’édition de texte PDF pour le moment car on ne peut pas éditer le texte existant mais c’est déjà pas si mal, je trouve.

Hâte d’avoir ça dans Firefox final.

Merci à Maxime pour l’info !

Un générateur IA pour vos fonds d’écran

Par : Korben

Vous le savez, les générateurs d’images utilisant du Deep Learning tels que Dall-E 2 ou Midjourney ont le vent en poupe.

Et si je vous disais que vous pouvez également générer gratuitement vos meilleurs fonds d’écran simplement à partir d’une petite phrase bien construite ?

C’est ce que permet ce nouveau service de Photo Room nommé AI Background Generator. Vous entrez une phrase contenant une description de ce que vous voulez, les couleurs et éventuellement et le style que vous souhaitez obtenir et taaadaaa ! Vous obtiendrez une image carrée de 2048 pixels à utiliser comme fond d’écran ou illustration ou habillage ou ce que vous voulez…

Merveilleux non ? À vous de vous creuser la tête pour arriver au meilleur résultat. En tout cas, pour les trucs un peu abstraits ou artistiques c’est parfait !

À tester ici.

Xenoblade Chronicles 3 : le JRPG de l’année ?

Par : Remouk

— Article rédigé par l’ami Remouk (DansTonChat) – Merci à lui —

Aaaah Xenoblade Chronicles… J’adore cette série ! Ce sont des RPG japonais avec un gros focus sur l’exploration d’un monde gigantesque (à dos de titan) et un système de combat super fun en temps réel. Le troisième du nom (et quatrième jeu de la licence) vient de sortir, et comme d’habitude il n’est pas nécessaire d’avoir joué aux précédents pour apprécier celui-ci : Xenoblade Chronicles 3 un jeu totalement indépendant. Parlons-en !

L’histoire se déroule dans un univers en guerre perpétuelle, on peut dire que la mort et la peur d’y passer font partie du quotidien de nos héros. 😀 Ok, ça commence bien, c’est chelou et glauque, mais notre but va être de ramener la paix dans le monde ! 🙂

Les personnages principaux (on peut switcher de l’un à l’autre à tout moment, même en plein combat) sont initialement ennemis, mais ils vont devoir apprendre à se connaître et à s’apprécier. L’équipe est vraiment attachante, surtout Eunie. 🥰 Le scénario reste assez classique dans le genre « anime », mais il propose son lot d’émotion et de surprises, c’est vraiment chouette.

Au tout départ, l’exploration peut sembler décevante : des lieux en ruines, un peu ternes… Mais je vous rassure, on découvre plus tard d’autres régions qui décollent la rétine. Je vous rappelle tout de même que nous nous baladons sur des titans ! Même si les récompenses sont souvent maigres (quelques coffres et ressources), on se surprend à fouiller les moindres recoins pour ne rater aucun panorama, aucune grotte secrète, aucun monstre unique.

Au niveau des combats, c’est toujours aussi fun ! On conserve la formule de base, mais comme pour chaque Xenoblade, il y a des spécificités uniques à celui-ci. 🙂 En l’occurence, un système de classe interchangeables, des fusions entre personnages, ainsi que des combos dévastateurs. Le plaisir est là ! Et heureusement car il va y en avoir beaucoup, des combats. 😀

Techniquement, la Switch n’a pas trop à rougir. Les paysages sont magnifiques, et en dehors de quelques rares ralentissements ou plantages (2 fois sur 90h de jeu), c’est vraiment très propre, aussi agréable à l’œil qu’aux oreilles. Les musiques sont incroyables, vraiment. Petit bémol sur certaines phrases prononcées très (très (très)) souvent, mais on va dire que ça fait partie du charme de la licence. x)

Dans le même genre, je regrette que les systèmes de jeu soient aussi visibles, parfois ça casse l’immersion. Certains sont même inutiles (niveau d’alerte…), ou mal dosés ; par exemple on ramasse des tonnes de ressources tous les 3 pas, qu’on utilise à la pelle sans trop savoir. Pareil pour les équipements : on en a tellement, et on les change tellement souvent (comme on change de classe…) qu’au final on utilise l’attribution automatique.

C’est dommage, le jeu n’est pas exempt de défaut et je dois même avouer que j’ai préféré le deuxième opus, mais j’ai tout de même pris beaucoup de plaisir lors de cette aventure ! Et surtout, Xenoblade Chronicles 3 est dépourvu de personnages au design outrancier, et rien que pour ça, je le conseillerais en priorité si vous voulez goûter à cette incroyable série. 😅

En conclusion : c’est un excellent RPG, en particulier si vous aimez les combats dynamiques et l’exploration. Le scénario n’est pas en reste avec des personnages super attachants. Une réussite !

Acheter Xenoblade Chronicles 3 sur Amazon

Kirby va tout buffet !

Par : Remouk

— Article rédigé par l’ami Remouk (DansTonChat) – Merci à lui —

Qu’est-ce qui est rose comme un chamallow, rond comme un chamallow, léger comme un chamallow, doux comme un chamallow, mais qui mange des chamallows ? Kirby ! Notre gourmand préféré se retrouve mis en scène dans Kirby’s Dream Buffet, nouveau jeu de « course à la bouffe » orienté multijoueur.

Oui, course à la bouffe ! C’est à dire qu’on fait la course, mais en se goinfrant le plus possible sur le chemin : car c’est la personne qui aura dévoré le plus de sucreries à la fin des 4 manches qui aura gagné. 😋 Deux manches sur circuits (à la manière d’un Mario Kart en plus léger), et deux manches en arène (où on ramasse un max de gourmandises en essayant de faire tomber les autres pour piquer les leurs) : à la fin on pèse les Kirbys et que le plus lourd gagne !

Le gameplay se résume à l’essentiel : déplacement, saut, attaque spéciale (grâce aux bonus récupérés ici et là). Il y a juste la gestion de l’inertie, propre à la petite boule qu’on dirige, qui va demander quelques petites minutes d’adaptation : le concept est aussi simple que la prise en main est immédiate, c’est un party-game d’une efficacité assez redoutable. Et tellement mignon… 🥰

Niveau contenu, en terme de modes de jeux ou nombre de circuits/niveaux, là aussi on se contente de l’essentiel. Pas de quoi être déçu, car c’est cohérent avec le prix affiché (15€). Pour les fous furieux, sachez qu’il y a des tonnes de petits cosmétiques et autres à débloquer. 😀

Jouable à 4 en ligne ou en local (chacun sa console), mais pas en écran splitté sur la même console : là on est limités à 2 joueurs. Incompréhensible et décevant. 🙁 On notera aussi quelques ralentissements, c’est étonnant… À part ça, c’est vraiment un petit bonbon qu’on prend plaisir à savourer comme un goûter, entre deux sessions d’autres jeux plus costauds. 😉

Retrouvez Kirby’s Dream Buffet sur le Nintendo Store

Splatoon 3 : le véritable Squid Game

Par : Remouk

— Article rédigé par l’ami Remouk (DansTonChat) – Merci à lui —

Splatoon, le shooter coloré de Nintendo, revient dans une troisième version éclaboussante ! Reprenons du début : Splatoon (apparu en 2015 sur WiiU) est un jeu de tir à la troisième personne, orienté compétition en ligne. On s’affronte par équipe de 4 en balançant de l’encre partout ; et c’est l’équipe qui aura colorié le plus de territoire de sa propre couleur qui gagne la partie. C’est ici que le jeu se démarque, car même si vous ne savez pas très bien viser, vous pouvez être utile à votre équipe. 😉

Nos personnages sont des enfants/calamars ultra stylés. 😎🦑 Ce qui nous offre un large éventail de mouvements, puisqu’on peut se transformer en calamar pour nager dans notre encre et aller beaucoup plus vite, grimper sur les murs, etc. Le jeu propose un grand nombre d’armes, dont l’utilisation peut complètement changer le gameplay. On peut facilement varier les plaisirs !

Les modes de jeu, eux aussi, sont variés. Entre les matchs classiques, les parties « ranked » (matchs « anarchie » avec différentes règles du jeu possible !), ou bien en coopératif… Il y a de quoi faire ! On a même un jeu de carte assez cool, où l’on construit son propre deck. 🤓

Le mode solo n’est pas en reste, il s’agit d’un tutorial géant mais vraiment sympa, où l’on alterne entre phases d’exploration et épreuves, nous faisant découvrir un large éventail d’armes et de techniques. Bref, au niveau du contenu, c’est vraiment généreux, sans même parler des cosmétiques, rangs et armes à débloquer.

Techniquement, hormis la Cité-clabousse qui rame (allez savoir pourquoi), le jeu est ultra bien foutu : c’est beau, lisible, super fluide ! La plate-forme réseau manque encore un peu de stabilité, mais elle est toute récente et s’améliore continuellement, donc sur le moyen/long terme ça devrait le faire. Enfin j’espère. 🤞

Les menus ne sont pas d’une ergonomie sans faille, ils ont voulu faire un truc classe avec un hub, des boutiques, etc. C’est joli mais au final on se perd un peu, on perd du temps, et pire, on passe à côté de certaines options (perso j’ai mis un temps fou à comprendre comment jouer à Cartes & Territoire, ou comment modifier la skin de mon inkling)… C’est un peu dommage.

Ceci étant dit, c’est toujours mieux que dans Splatoon 2 ! 😁 Il y a de nettes améliorations, par exemple, on peut zapper l’introduction de chaque nouvelle rotation de maps. Y a eu de vrais efforts pour rendre l’expérience plus agréable. Quelques autres apports, en vrac :

  • Un meilleur lobby (avec entrainement pendant l’attente, etc.)
  • De nouveaux mouvements pour nos calamars
  • Un casier à décorer avec des stickers
  • Nouvelles armes, maps, cosmétiques…
  • Les matchs à 3 équipes !

Concrètement, ce n’est pas une suite révolutionnaire, mais elle améliore et apporte plein de petites choses. Au final, quand on met tout bout à bout, ça fait une grosse différence. Si vous aimez les shooters, c’est super original et surtout : très fun !

Acheter Splatoon 3 sur Nintendo Switch

Contrôlez les ventilos de votre PC

Par : Korben

Y’a pas que les membres du gouvernement qui brassent de l’air avec leurs petits bras. Il y a aussi votre PC !

Hé oui, car si vous avez été un peu curieux et que vous l’avez ouvert, vous avez sans doute remarqué qu’à l’intérieur se cachaient des petits ventilateurs. Les miens, je leur ai donné des petits noms. Celui de mon CPU s’appelle Élisabeth Borne, celui de ma carte graphique s’appelle Gérald Darmanin, celui de mon alimentation est le bien nommé Bruno Lemaire, et celui que j’ai installé dans ma cheminée pour ramener un peu d’air chaud s’appelle Manuel Valls !

Je vous offre un petit peu d’air frais.

Bon, bref, le truc c’est que si vous êtes sous Windows, bah ça souffle un peu dans tous les sens et vous ne contrôlez rien. Mais ça c’est parce que vous connaissiez pas encore Fan Control.

Fan Control est comme son nom l’indique un logiciel qui permet de surveiller et contrôler tous vos ventilos. Ainsi, vous pouvez créer des profils, spécifier les sources de températures que vous voulez (CPU, GPU, carte mère, disques durs) que vous voulez surveiller et bien sûr spécifier le comportement à adopter pour chacun de vos ventilos en fonction de l’augmentation de température.

Si vous êtes « chaud » pour tester, arrêtez de faire l’hélicoptère avec vos bras et allez cliquer ici (c’est libre et c’est sur Github).

Copy Dialog Lunar Lander – Pour s’amuser discrètement au boulot

Par : Korben

Vous êtes au boulot et vous avez des tonnes de fichiers à copier sous Windows… Et ça prend du temps…

… C’est super long …

… Mais vous ne pouvez rien faire à part regarder cette jolie barre verte …

Mais en êtes-vous bien sûr ?

Avec ce projet disponible sur Github, vous allez pouvoir copier vos fichiers tout en vous amusant. Le projet consiste à intégrer à la fenêtre de copie un clone de « Luna Lander »

Le graphique représentant le volume de la copie sera utilisé comme un paysage escarpé dans lequel vous devrez atterrir avec votre module lunaire. Autant dire qu’il y a autant de niveaux que de fichiers à copier. Et différents paysages sont disponibles. En vert, c’est une copie de fichier classique, mais si vous mettez la copie en pause, vous irez dans la version désertique.

Pour faire tourner le jeu, vous aurez besoin de minimum Windows 10.

Bonne idée en tout cas 🙂

Le binaire est téléchargeable ici.

Comment tout retrouver grâce à Curiosity ?

Par : Korben

Je ne sais pas si vous vous souvenez de Google Desktop, mais au fond de mon petit coeur, je suis sûr que oui. C’était un freeware mis au point par Google qui permettait de rechercher des fichiers sur son ordinateur à la vitesse de l’éclair.

C’était un genre de moteur de recherche Google, mais 100% local. Google Desktop créé en fait une base de données de tous les fichiers présents sur le PC, ce qui permettait ensuite de rapidement retrouver n’importe quel fichier à partir de n’importe quel mot clé.

C’était vraiment cool surtout pour les gens bordéliques comme moi. Puis un jour, les systèmes d’exploitation comme Windows ou macOS ont intégré cette fonctionnalité.

Et bien si vous êtes un peu nostalgique de cet outil, je vous présente Curiosity qui reprend un peu le concept, à savoir vous permettre de faire des recherches rapides dans vos fichiers, emails et applications, mais également dans l’ensemble de vos services Cloud : Google Drive, Slack, Outlook, pCloud, Teams, Box, Notion, Github, Linkedin, Twitter et j’en passe.

Une fois installé, Curiosity s’appelle avec un raccourci clavier ⌥ + Espace et vous n’avez plus qu’à entrer les mots clés de ce que vous cherchez.

Ainsi, plus rien ne vous échappera. Ni un rendez-vous dans votre calendrier, ni un email, et encore moins un fichier ou une application enfouie au fond de votre disque dur. Enfin, rassurez-vous, tout ce que Curiosity collecte comme donnée (y compris ce qu'(il y sur vos services de cloud) est indexé uniquement en local sur votre machine. De leur côté, ils ne collectent rien.

Le service est gratuit jusqu’à 5 services cloud connectés, mais si vous en voulez plus, notamment la recherche dans le contenu des fichiers, il faudra mettre la main au portefeuille.

Dispo sous Windows, MacOS et Linux.

Corriger son orthographe, le réflexe à avoir

Par : Korben

Il y a pleins de raisons pour lesquelles les gens font des fautes. Certains n’ont pas accroché avec l’école, d’autres sont dyslexiques, d’autres encore sont tête en l’air et ne font pas attention. Enfin, certains écrivent en français alors que ce n’est pas leur langue maternelle. Force à vous tous !

J’ai beau retourner les choses dans tous les sens, les gens ne font pas exprès de faire des fautes d’orthographe ou de grammaire. Ce n’est pas un plaisir pour eux, surtout qu’en général, le premier contact qu’on a avec quelqu’un, qui plus est par Internet, se fait via l’écrit.

Et si le message est bourré de fautes, l’autre en face a vite fait de ranger celui qui lui écrit dans un tiroir mental étiqueté « teubé » ou assimilé alors que ce n’est pas forcément le cas.

Sachez-le, quand vous faites des erreurs à l’écrit, vous vous démarquez négativement, et cela même si vous avez de bonnes raisons « techniques » de massacrer l’orthographe. C’est triste mais c’est comme ça.

Du côté du lecteur, même si on peut être très tolérant sur les raisons qui poussent à commettre des fautes, c’est aussi très « douloureux ». Lire un texte plein de fautes, c’est buter sur chaque mot. L’expérience n’est pas agréable. Pire, quand on est censé lire un article rédigé par un journaliste, un professionnel, on se dit qu’on est vraiment tombé sur des amateurs. Pourtant, les coquilles existent, j’en sais quelque chose.

Alors que faire ?

Plusieurs options :

Soit on s’en fout et on espère qu’un jour, les gens arrêtent de juger négativement ceux qui font des erreurs dans leurs messages.

Soit on se sort les doigts et on s’équipe. D’abord de connaissances en orthographe et en grammaire. Les règles sont simples, il suffit de rebosser un peu le sujet. Une fois adulte, on trouve ça beaucoup plus sympa. Et surtout, on trouve un bon correcteur orthographique.

Par exemple, je ne jure que par Antidote dont je vous ai déjà parlé ici. Mais il en existe d’autres gratuits, certes limités dans leur version de base mais indispensable pour mettre un petit coup de lustrage sur vos textes.

Je pense bien sûr à BonPatron qui est le boss du game depuis 1795, et plus récemment le service Merci-app qui se présente sous la forme d’une extension pour Chrome, Firefox et Edge et qui permet d’un seul clic de contrôler l’orthographe et la grammaire de base de tous vos messages.

Ce n’est pas grand-chose en apparence mais ce sera suffisant pour à la fois envoyer des messages corrects et surtout apprendre de vos erreurs. L’outil est également capable de contrôler la cohérence de vos espacements et d’obtenir des stats sur vos écrits.

Si cela vous tente, vous pouvez bien sûr tester l’outil directement sur son site, avant d’installer l’extension. Vous pouvez ainsi contrôler jusqu’à 5000 caractères.

En tout cas, depuis que j’utilise ce genre d’outils, je fais beaucoup moins de fautes, et surtout je gagne un temps de dingue en relecture.

Pensez-y !

Retour sur l’île aux singes

Par : Remouk

— Article rédigé par l’ami Remouk (DansTonChat) – Merci à lui —

Sortez vos poulets en plastique avec une poulie au milieu, car c’est le retour d’un monument, que dis-je, d’une légende du jeu vidéo : le fameux et fabuleux Monkey Island. Surtout que Ron Gilbert, le créateur de la série, revient 30 ans après son départ pour réaliser ce sixième épisode ! Return to Monkey Island nous fait la promesse de répondre au cliffhanger laissé en suspend à la fin du deuxième opus, mais aussi de nous dévoiler le véritable secret de l’île aux singes. 🙈

Le jeu reprend directement après la fin de Monkey Island 2: LeChuck’s Revenge, donc là dessus, on ne nous a pas menti. 🙂 Fort heureusement pour ceux qui n’ont pas suivi ou ne connaissent pas cette licence, un scrapbook permet de se (re)mettre à jour, avec dessins et explications sur les personnages et évènements importants de la série. Dispo dans le jeu mais aussi en ligne, c’est mignon, rigolo, et bien pensé !

Ce qui frappe en premier lieu, c’est l’univers graphique, très différent de ce qu’on a pu voir auparavant. Faut dire que chaque jeu propose un style artistique unique, et celui-ci ne fait pas exception à la règle. Mais lorsque le jeu fut annoncé et les premières images dévoilées, nombre de trolls se sont indignés (à tel point que Ron Gilbert a cessé toute communication). J’étais sceptique mais une fois dans le jeu, franchement, à part quelques points particuliers, c’est magnifique. Tout est très lisible, coloré, détaillé, super bien animé…

Ajoutez à cela un habillage sonore enchanteur avec d’excellentes musiques, et on est embarqué direct dans l’ambiance ! On retrouve le thème principal de la série, évidemment, mais pas que. 😉 Les arrangements sont super réussis, j’ai adoré !

Enfin bref, on est là pour vivre une aventure de pirates et résoudre plein d’énigmes. Qu’en est-il de ce côté là ? Eh bien, je suis désolé pour le manque de suspense mais c’est encore une réussite. 🦜 L’interface est bien foutue, accessible et ergonomique. Il y a un mode « facile » pour les personnes qui ne connaissent pas trop ce genre de jeu, c’est une bonne idée mais attention, ça enlève certaines énigmes et donc certaines parties de l’histoire. Je conseille de jouer en mode « difficile ».

L’histoire est vraiment très bien écrite, c’est super drôle et prenant. Le rythme énigmes / dialogues / découverte de nouveaux lieux m’a semblé équilibré, avec toujours une certaine liberté dans l’ordre d’appréhender les choses. On est jamais totalement coincé devant un truc sans savoir quoi faire, on peut toujours aller voir ailleurs et avancer d’une manière ou d’une autre.

Au pire, y a un système d’aide intégré au jeu, qui donne quelques indices sans jamais dévoiler la solution. Vraiment mieux que d’aller chercher la soluce sur le web, c’est bien dosé, vraiment nickel !

On sent l’attention porté à chaque détail, et ce, sur chaque aspect. Les nouveaux venus sont accueillis aux petits soins, et les vieux de la vieille apprécieront les multiples références faites aux anciens jeux. Je pense que chacun peut y trouver son compte.

Non franchement j’ai été conquis de bout en bout, pour les plus radins le jeu est actuellement disponible sur le Xbox Gamepass, mais vous pourrez aussi le trouver sur Steam (compatible Windows, Mac et Linux), Nintendo Switch, Playstation 5, Xbox Series X/S… Pour moins de 25€ je ne peux que vous le conseiller !

Comment toujours acheter au meilleur prix sur Amazon ?

Par : Korben

Les utilisateurs d’Amazon ont une astuce pour acheter les produits de leurs rêves au meilleur prix. L’astuce est connue et plutôt simple, puisqu’il vont sur les Amazon d’autres pays, comme Amazon DE (Allemagne) ou encore Amazon ES (Espagne).

Sauf qu’à la main, se balader sur tous les shop, ça peut prendre un peu de temps. Heureusement, voici une extension Chrome nommée Amazin’ Europe qui vous permet de comparer les prix d’un produit Amazon dans les shops Amazon présents en Europe.

Pour cela, il suffit de cliquer sur l’icône d’Amazon’ Europe pour obtenir une liste des prix du produit ciblé dans tous les magasins Amazon européens, en appliquant également les taux de change lorsque la monnaie du pays n’est pas l’euro.

Voici l’exemple d’une carte micro SD vendue 23,10 euros en France et disponible en Allemagne pour 15,99 euros.

Bref, super pratique pour éviter d’ouvrir des tonnes d’onglets à la recherche du meilleur tarif.

Exécuter du PHP serverless avec AWS Lambda

Par : Korben

— Article en partenariat avec talent.io

Aujourd’hui, les amis, on va faire un peu de serverless. Si vous ne connaissez pas le concept de Serverless, et bien ça va être vite résumé : C’est héberger des trucs directement dans le cloud (chez Amazon par exemple), sans avoir ni serveur dédié ni serveur virtualité.

Quand on est développeur, on peut vite rester bloqué sur les technologies qu’on connait par coeur. Toutefois, c’est dommage de ne pas continuer à découvrir de nouvelles pratiques ou technologies, car si demain vous souhaitez changer de job, vous aurez besoin d’être à la page. C’est important si vous souhaitez évoluer dans la carrière de vos rêves.

C’est d’ailleurs pour ça que le talent club a été crée. Il s’agit d’une communauté tech propulsée par talent.io qui donne accès à du contenu exclusif pour vous accompagner professionnellement. En vous inscrivant (c’est gratuit !!), vous recevrez tous les 15 jours des conseils d’expert(e)s de sociétés comme Google, Deezer, Sorabe…etc. directement dans votre boite mail. Les sujets partagés sont assez variés comme « Comment devenir VP of Engineering », « Comment passer du dev au produit », « Comment obtenir une augmentation », « quelles sont les choses à savoir quand on est le 1er dev d’une start-up », etc..

Au sein du talent club, vous aurez aussi accès aux études de salaires annuelles dans la tech réalisées par talent.io et à d’autres outils pour gérer votre carrière

Et bien sûr qui dit communauté, dit possibilité de poser des questions à l’ensemble des 40 000 inscrits, de manière anonyme. Je vous invite à rejoindre la communauté talent club en cliquant ici.

Revenons à notre code et prenons un bout de PHP. Pour le faire fonctionner, vous avez besoin de louer, configurer, et maintenir un serveur. Et évidemment si ce bout de code PHP reçoit beaucoup de trafic, vous devrez aussi augmenter le nombre de serveurs ou libérer des ressources…

Le serverless, ça permet d’éviter cela et donc de réduire les coûts opérationnels, aussi bien en termes d’hébergement, que de maintenance…etc. Et surtout, comme on se repose sur les infrastructures de géants comme Google, Microsoft ou Amazon, ça ne tombe *jamais* en panne et ça peut être scalable (mise à l’échelle pour absorber le trafic) très simplement.?

Ce qui est rigolo avec ce concept de serverless, c’est que vous pouvez y mettre toute votre application web par exemple ou simplement quelques fonctions critiques. Et c’est cela dont on va parler aujourd’hui.

En effet, je vais vous expliquer comme exécuter une simple fonction écrite en PHP dans le cloud Amazon, en utilisant leur serveur AWS Lambda.

Lambda permet d’exécuter du code pour n’importe quel type d’application ou service backend sans avoir à administrer un serveur et en payant uniquement le temps de calcul que vous utilisez. Quand le code n’est pas exécuté, vous n’êtes pas facturé.

De quoi a-t-on besoin ?

Vous allez avoir besoin d’un compte chez AWS pour accéder à Lambda. Nativement avec Lambda, vous pouvez créer des fonctions nodejs, python, go…etc. Mais pas PHP, en tout cas, pas avec les outils fournis au niveau de la console d’administration d’AWS Lambda

Donc pour contourner le souci, on va utiliser un framework Composer qui s’appelle Bref et qui permet de faire tourner du PHP en Serverless sans se prendre la tête. C’est top pour des jobs cron, des API ou des petits sites web dont les assets sont servis par Amazon S3. Par contre pour des applications complètes en PHP, ce sera un peu plus complexe.

On passe à l’installation

Première étape : Installer Composer sur votre machine.

brew install composer

Vous allez également avoir besoin de npm :

brew install npm

Ensuite, vous allez devoir installer le framework Serverless dont Bref a besoin pour fonctionner. Cela lui permet d’assurer la connexion avec AWS.

npm install -g serverless

Droits utilisateur AWS

Côté AWS, vous allez avoir besoin de clés d’accès. Ça se passe par ici. Allez dans la section « Utilisateurs » et ajoutez un utilisateur.

Vous obtiendrez alors un ID de clé d’accès et une clé d’accès secrète à bien sûr garder dans un lieu sûr comme son nom l’indique.

Concernant les droits à donner à votre utilisateur pour que tout se déroule correctement, voici ce que moi j’ai mis :

{
    "Version": "2012-10-17",
    "Statement": [
        {
            "Sid": "VisualEditor0",
            "Effect": "Allow",
            "Action": [
                "iam:*",
                "apigateway:*",
                "logs:*",
                "lambda:*",
                "cloudformation:*",
                "s3-object-lambda:*"
            ],
            "Resource": "*"
        }
    ]
}

Je pense qu’on peut affiner tout ça histoire de réduire la surface des permissions, mais ça, je vous laisse expérimenter de votre côté.

Vous allez ensuite lier votre accès AWS avec l’application serverless comme ceci. :

serverless config credentials --provider aws --key VOTRECLÉAWS --secret LESECRETAWS

Création de la fonction PHP

Pour créer notre fonction, on va lui faire un petit nid douillet comme ceci :

mkdir lambda
cd lambda

Puis on lance composer afin d’installer le framework Bref

composer require bref/bref

Après, il faudra initialiser le projet avec la commande suivante :

vendor/bin/bref init

Et là, on nous demande quel type de code lambda on souhaite créer. Par défaut, on sélectionne WebApplication.

Ainsi, Bref va créer un fichier index.php qui contiendra notre code et un fichier serverless.yml qui contient toutes les informations nécessaires au déploiement de la fonction PHP que je souhaite exécuter avec lambda.

Voici donc le contenu du fichier serverless.yml. On y retrouve la région AWS, le plugin utilisé…etc. :

service: app

provider:
    name: aws
    region: us-east-1
    runtime: provided.al2

plugins:
    - ./vendor/bref/bref

functions:
    api:
        handler: index.php
        description: ''
        timeout: 28 # in seconds (API Gateway has a timeout of 29 seconds)
        layers:
            - ${bref:layer.php-81-fpm}
        events:
            -   httpApi: '*'

# Exclude files from deployment
package:
    patterns:
        - '!node_modules/**'
        - '!tests/**'

Maintenant, le truc rigolo, ça va être de coder un petit truc qui sera renvoyé par notre fonction exécutée dans Lambda. Je n’avais pas trop d’idée donc je suis parti sur un générateur de numéros du loto. Attention, ce sont uniquement des numéros gagnants.

Ainsi, quand je lance le code dans mon terminal, j’obtiens ceci :

Et maintenant on déploie

Maintenant, la brique finale de ce tuto, ça va être de déployer mon code PHP dans Lambda. Pour cela, je lance simplement la commande :

serverless deploy

Vous rencontrerez peut-être quelques soucis si vous n’avez pas donné les autorisations suffisantes. Ne vous découragez pas et refaites un tour dans les autorisations AWS données à votre utilisateur.

Comme vous pouvez le voir sur la capture, une URL est alors disponible. Et si je m’y rends, j’aurais des numéros du loto tout frais.

Et voilà comment on exécute un bout de code PHP en serverless chez Amazon. Bon, évidemment, là je renvoie une simple chaine de caractères, mais vous pouvez comme ça faire carrément une API.

J’espère que ça vous aura plu. N’oubliez pas, si vous souhaitez rejoindre une grande et belle communauté de développeurs comme vous, et recevoir des conseils pour évoluer dans votre carrière de développeur / informaticien, le talent club peut vous y aider (et c’est gratuit !).

MenubarX – Le navigateur de votre barre de menu macOS

Par : Korben

Si vous êtes utilisateur de macOS et que vous en avez assez de jongler avec les fenêtres et les onglets dans Safari pour aller sur Youtube, Twitter, Spotify et j’en passe, il y a une application que vous aller adorer.

Cela s’appelle MenubarX et ça permet d’ajouter dans les icônes de la barre de menu, des accès rapides vers vos services préférés. C’est un navigateur de barre de menu si vous préférez.

Dans la version gratuite, vous pouvez en avoir jusqu’à deux sous la main. Au-delà, il faudra débourser quelques euros pour une licence à vie (ce qui est de plus en plus rare).

Chaque « navigateur » peut être configuré en termes de User Agent, de taille de fenêtre, de rafraichissement automatique et j’en passe.

Bref, c’est un usage assez limité quand même, mais s’il y a des services en ligne sur lesquels vous passez votre vie, ça peut surement vous faire gagner du temps.

À découvrir ici.

Télécharger un autoclicker pour Cookie Clicker, Pokeclicker ou n’importe quel Idle Game

Par : Korben

Si vous cherchez un Auto Clicker pour y aller à fond sur votre Idle Game préféré tel que Cookie Clicker ou encore Pokeclicker, vous avez plusieurs choix tant il existe des logiciels capables de cliquer à la vitesse de l’éclair. Mais ils sont tellement nombreux que c’est difficile de choisir. Je vous ai donc fait un article avec une sélection des meilleures auto-clicker gratuits pour Windows, macOS et Linux. Avec un petit bonus à la fin pour développer votre propre autoclicker en Python (c’est facile, vous verrez).

Autoclicker pour Windows

Sous Windows, les autoclickers sont souvent un peu pourris et vieillots. Alors je vous propose de vous rabattre sur celui qui s’appelle (en toute modestie) : The Fastest Mouse Clicker for Windows.

Il est gratuit, open source et peut atteindre la vitesse phénoménale de 100 000 clics à la seconde.

Autoclicker pour macOS

Sous macOS, l’autoclicker le plus cool, totalement open source et gratuit s’appelle tout simplement Auto Clicker for macOS. Il est bien maintenu à jour, en plus d’être joli et vous pouvez tout régler à la milliseconde près.

Autoclicker pour Linux

Sous Linux, il y a XClicker qui est lui aussi open source et gratuit et qui dispose d’une interface X11 tout à fait accessible pour votre Linux Desktop. Ici aussi vous pouvez tout configurer : L’intervalle des clics, le bouton de la souris, les touches de raccourci ou encore l’emplacement à cliquer avec les coordonnées.

Autoclicker à coder vous-même en Python

Ici, rien de plus simple puisque tout le tutoriel vous expliquera tout. Il s’agit d’utiliser la lib Pynput pour faire cliquer la souris de manière répétée avec le délai le plus court possible. Comme c’est en Python, ça fonctionnera sous Mac, Windows et Linux et vous pourrez bien évidemment modifier les sources pour que ça colle avec vos besoins.

Autoclicker avec un userscript

Alors ici, il ne s’agit pas vraiment d’un autoclicker mais plutôt d’un userscript qui se lance dans le navigateur à l’aide de l’extension GreaseMonkey (Firefox) ou TamperMonkey (Chrome) et qui vous permet de réaliser des actions (et des clics) sur votre jeu préféré.

Par exemple, pour Pokeclicker, il y a des tas de scripts qui font ce job. A vous de chercher votre Idle Game préféré sur GreasyFork.

Voilà, j’espère que cette sélection d’auto-clicker vous aura été utile ! Amusez-vous bien !

Comment identifier le CPU (processeur) ou la carte mère de votre PC ?

Par : Korben

Quand on dispose d’un ordinateur sur lequel on ne sait pas grand-chose, soit parce que c’est de la récup, soit parce qu’on l’a acheté d’occasion, il y a 3 façons de déterminer quel est le modèle du processeur, de la carte mère, de la carte graphique, de la mémoire…etc.

  • Méthode N°1 : Trouver le numéro de série du PC et se rendre sur le site du fabricant pour connaitre les specs détaillées.
  • Méthode N°2 : Prendre son plus beau tournevis et démonter la machine pour aller inspecter les composants.
  • Et la méthode N°3 qui est ma préférée : Utiliser un petit soft !

Comment identifier le processeur d’une machine sous Windows 11 ?

Alors sous Windows 10 ou Windows 11, la référence ultime pour ce genre de chose, c’est bien évidemment CPU-Z. Il s’agit donc d’un logiciel gratuit qui va vous permettre de récupérer des tas d’informations sur les composants principaux de votre PC Windows, à savoir le nom, le numéro, le nom de code, les niveaux de cache et j’en passe de votre processeur.

Également toutes les informations concernant la carte mère, avec son chipset, sa marque, son modèle…etc.

Sans oublier ensuite le type de mémoire RAM présente, avec la taille des barrettes, les spécifications remontées par le module SPD…etc ainsi que toutes les informations concernant la carte graphique présente dans votre ordinateur.

Pour télécharger CPU-Z pour Windows, rendez-vous ici sur le site officiel.

Comment identifier la carte mère d’un PC Linux ?

Sous Linux, il y a un clone de CPU-Z qui s’appelle… CPU-X.

Hé oui, y’a de l’idée. Tout est quasiment identique en termes d’interface et l’application open source remonte aussi bien des informations détaillées sur le type de processeurs que vous avez, sur la marque, le modèle et le socket de la carte mère, sans oublier les données concernant les barrettes de RAM ou encore la carte graphique ainsi que la version de l’OS Linux en place.

C’est merveilleux ! Et ça fonctionne sous Debian, Ubuntu, Fedora, FreeBSD…etc. Tout est détaillé sur la page Github du projet, mais pour l’installer sous Ubuntu / Debian ou Mint, il suffit d’ouvrir un terminal et de taper la commande suivante :

sudo apt install cpu-x

Puis de lancer l’application avec la commande :

cpu-x

Et voilà. Si vous avez l’habitude d’utiliser CPU-Z, vous ne serez pas dépaysé avec l’interface de CPU-X.

Télécharger CPU-X pour Linux ici.

Bonne découverte de votre matos à tous !

Comment coloriser une photo en noir & blanc ?

Par : Korben

Si vous avez de vieilles photos en noir et blanc de votre grand-père en train de labourer un champ ou de votre grand-mère en train de mettre une fessée à votre maman âgée de 2 ans, ce serait quand même fun de repasser tout ça en couleur, vous ne pensez pas ?

Il y a beaucoup de sites qui permettent de faire ça mais maintenant que l’intelligence artificielle est partout, c’est encore mieux ! Notamment grâce au site Palette.fm qui permet de mettre en couleur vos clichés noirs et blanc, soit en utilisant une des palettes de teintes fournies, soit en écrivant un prompt des familles.

J’ai généré une photo noir & blanc avec Midjourney et voici le résultat colorisé :

Et avec une vraie photo noir et blanc, et un prompt en mode « Vive le cirque », voici ce que ça donne :

Vraiment cool comme résultat, non ?

À vous d’aller chercher l’album photo du camp naturiste familial de 1930 et de les balancer sur ce site !

À tester ici !

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