Lateo.net - Flux RSS en pagaille (pour en ajouter : @ moi)

🔒
❌ À propos de FreshRSS
Il y a de nouveaux articles disponibles, cliquez pour rafraîchir la page.
À partir d’avant-hierLe courrier des stratèges

Après 7 ans dans le rouge, sauvons notre économie, changeons de Ministre !

Par : Rédaction

Par Michel Goldstein – Un chef d’entreprise avec ce bilan aurait dû mettre la clé sous la porte depuis bien longtemps. N’importe quelle ville avec une telle gestion aurait été mise sous tutelle dès son premier écart de budget, à l’exception de Paris bien entendu. Tous les responsables auraient démissionné après un tel échec politique… Tous ? Depuis maintenant sept ans, un ministre fait de la résistance. Pourtant, la gestion de Bruno Le Maire suscite légitimement l’inquiétude et la défiance.  La dette explose, le déficit bat des records, le leurre des 10 milliards d’économie à l’horizon 2025 se révèle être le double.

Pour satisfaire les agences de notations financières, le ministre écrase les collectivités de tout son poids, pour qu’elles rendent jusqu’au dernier centime. Maintenant c’est au tour des rentiers d’être dans l’œil mauvais du gouvernement. Ce gouvernement donne l’impression de gratter les fonds de tiroir à la recherche des rares poches de revenus qui échappent encore à sa convoitise. Un État dispendieux, dilapidant l’argent public sans compter, endetté à hauteur de 3.000 milliards, dont 900 supplémentaires sous le seul mandat du ministre de l’Économie.  Bruno Le Maire s’attaque encore, comme depuis de nombreuses années, aux collectivités territoriales, qui n’ont de cesse de gérer leur budget au centime près, avec méthode et discipline, sans jamais invoquer le droit à l’erreur. Ces mêmes collectivités subissent des coupes budgétaires chaque année, sans jamais avoir le droit de s’indigner. En proposant de restreindre à nouveau les ressources des collectivités, le ministre affiche là une vision économique à court terme, ignorant les conséquences désastreuses sur la vie quotidienne de nos concitoyens. Les maires et élus locaux, en première ligne, se voient contraints de faire face à des coupes budgétaires drastiques, compromettant ainsi des investissements essentiels pour pallier l’État défaillant, dans l’éducation, la santé, l’aménagement du territoire… Aucun secteur public n’est épargné. Où vont nos impôts !

Ce contenu est réservé aux abonnés

Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.

Connectez-vous si vous avez acheté un abonnement et/ou ce contenu.

S'abonner

Accédez à tous nos contenus.
Plus de 5 000 articles.

Acheter l'article

Déverrouillez cet article et obtenez un accès permanent pour le lire.

Je décrypte pour vous un relevé annuel d’assurance-vie, par Florent Machabert

Par : Rédaction

Dans cette capsule, Machabert reprend, page après page et ligne à ligne, les détails d’un relevé annuel d’assurance-vie, document long et fastidieux à liure. Il vous dit à quels détails il vous faut être attentif et les éventuels arbitrages à rendre en conséquence. Nous guettons toujours la parution des décrets de la loi « Industrie verte » d’octobre 2023 qui pourraient bouleverser la gestion de vos contrats d’assurance-vie et de vos PER.

Dans cette capsule, Machabert passe en revue les détails essentiels d’un relevé annuel d’assurance-vie, un document souvent fastidieux mais crucial pour la gestion de vos contrats. Dossier de référence : le 11è dossier de Florent Machabert, qui intègre des conseils en matière d’assurance-vie, et le premier baromètre de l’épargne.

Bonjour 👋
Ravi de vous rencontrer.

Inscrivez-vous pour recevoir chaque jour les articles publiés la veille dans votre boîte de réception.

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Nous vous remercions pour votre inscription. Vous recevrez notre prochaine newsletter dans moins de 24 heures.

Faut-il créer une SCI pour gérer son immobilier ? par Florent Machabert

Par : Rédaction

Une entreprise sur sept créée chaque année est une Société Civile Immobilière, alias une SCI : pourquoi cet engouement ? Est-ce un passage obligé pour gérer son patrimoine, étant entendu (voir le dossier N°38) qu’il s’agit déjà d’un bon instrument pour en anticiper la transmission ?

Dans le cadre de ce 39 dossier, nous examinerons l’engouement croissant pour les Sociétés Civiles Immobilières (SCI) en tant que moyen de gestion de patrimoine.

Nous vous présentons donc dans ce 39ème dossier :

  • En quoi consiste une SCI et les principaux cas de figure où elle s’impose ;
  • Un kit de création pas à pas si vous décidez de vous lancer ;
  • Un état des lieux des écueils à éviter ;
  • La mise à jour du baromètre général des portefeuilles (en annexe).
    Un indispensable pour tout savoir sur cette structure juridique qui a le vent en poupe.

Bonjour 👋
Ravi de vous rencontrer.

Inscrivez-vous pour recevoir chaque jour les articles publiés la veille dans votre boîte de réception.

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Nous vous remercions pour votre inscription. Vous recevrez notre prochaine newsletter dans moins de 24 heures.

Bonjour 👋
Ravi de vous rencontrer.

Inscrivez-vous pour recevoir chaque jour les articles publiés la veille dans votre boîte de réception.

Nous ne spammons pas ! Consultez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Nous vous remercions pour votre inscription. Vous recevrez notre prochaine newsletter dans moins de 24 heures.

Italie : l’opposition conteste l’ouverture d’une enquête sur la gestion chaotique du Covid

La crise du Covid a eu un impact énorme dans le monde, et l’Italie n’a pas été épargnée par ses conséquences. L’Italie va lancer une enquête sur la gestion de la pandémie de COVID-19, suscitant la controverse politique. Le Parlement italien a approuvé la création d’une enquête officielle sur la gestion de la pandémie de COVID-19, déclenchant la colère des partis d’opposition précédemment au pouvoir. La chambre basse, maintenant dominée par les partis de droite, a voté en faveur de cette mesure.

En Italie, le Parlement italien vient d’approuver avec un vote de 132 voix contre 86 le projet de loi visant à lancer une enquête officielle sur la gestion de la pandémie de Covid-19. Cette décision a provoqué de la colère chez l’opposition, les partis de centre –gauche qui étaient au pouvoir à l’époque. Notons que les résultats de l’enquête devraient être divulgués d’ici 2027, la fin de la législature. En 2023, Giuseppe Conte, l’ancien premier ministre italien, a été visé par une enquête et accusé de négligences lors de la gestion de la crise du Covid-19, mais abandonnée par la suite. Le Parquet de Bergame, ville lombarde du nord de l’Italie l’avait déjà entendu dès juin 2020.

Mise en place d’une enquête officielle Covid

Selon le bilan de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le Covid-19 a fait plus de 195.000 décès en Italie. C’est le second pays le plus touché par la pandémie en Europe après la Grande-Bretagne, qui mène actuellement une enquête publique sur sa propre gestion très critiquée de la pandémie. Les mesures prises par l’administration de centre gauche pour contenir le virus ont été largement critiquées par les groupes de droite.

Ce contenu est réservé aux abonnés

Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.

Connectez-vous si vous avez acheté un abonnement et/ou ce contenu.

S'abonner

Accédez à tous nos contenus.
Plus de 5 000 articles.

Acheter l'article

Déverrouillez cet article et obtenez un accès permanent pour le lire.

Enquête Covid au R-U: Nicola Sturgeon admet avoir supprimé ses messages WhatsApp

Dans le cadre de l’enquête publique sur le Covid-19, les anciens messages WhatsApp des ex-dirigeants sont passés au crible. L’objectif est de comprendre si les décisions prises durant la crise étaient adéquates, notamment en ce qui concerne les verrouillages et les restrictions. Durant son audition, l’ancienne première ministre écossaise Nicola Sturgeon, a bien admis avoir supprimé ses messages WhatsApp avec des ministres et officiels. Elle a d’ailleurs essayé de minimiser leur importance. En revanche, elle a rejeté les affirmations selon lesquelles, elle a utilisé la crise covid comme une opportunité de revitaliser les arguments en faveur du démantèlement du Royaume-Uni. Au bord des larmes , l’ex-dirigeante du SNP a reconnu qu’elle s’est sentie « dépassée » dans sa gestion de la crise covid. Bien que l’Écosse fasse partie du Royaume-Uni, son gouvernement dispose de pouvoirs en matière de santé publique.

L’enquête officielle sur la réponse du gouvernement à la pandémie se poursuit. Devant la commission d’enquête, présidée par l’ancienne magistrate Heather Hallett, les membres du gouvernement Johnson , ses anciens conseillers et collaborateurs font l’objet d’une enquête publique sur la gestion de la pandémie de Covid-19 . L’ancien Premier ministre a toujours fait valoir que son gouvernement avait pris bon nombre de décisions importantes, selon des personnes proches de lui. Boris Johnson artisan du Brexit, a constamment exprimé son désaccord avec la politique sanitaire de son gouvernement. Il s’est toujours opposé au confinement total, même après avoir été lui-même hospitalisé pour covid. Il était favorable à l’immunisation naturelle de la société, craignant les impacts économiques d’un confinement complet

Ce contenu est réservé aux abonnés

Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.

Connectez-vous si vous avez acheté un abonnement et/ou ce contenu.

S'abonner

Accédez à tous nos contenus.
Plus de 5 000 articles.

Acheter l'article

Déverrouillez cet article et obtenez un accès permanent pour le lire.

Enquête Covid-19 : Olivier Véran sous le statut de témoin assisté

Dans un tournant significatif de l’enquête sur la gestion de la crise du Covid-19 en France, Olivier Véran, actuel porte-parole du gouvernement et ancien ministre de la Santé de février 2020 à mai 2022, a été placé sous le statut de témoin assisté par la Cour de justice de la République(CJR). Il a été placé en juin sous le statut plus favorable de témoin assisté pour « abstention volontaire de combattre un sinistre ». Cette décision, motivée par des interrogations sur les mesures gouvernementales pendant la pandémie, soulève des préoccupations cruciales quant à sa responsabilité.


Depuis juillet 2020, la Cour de justice de la République (CJR)enquête sur la gestion gouvernementale de l’épidémie de Covid-19. Cependant, à l’instar « pseudos » contre-pouvoirs comme le Conseil d’Etat ou le Conseil Constitutionnel, cette juridiction censée juger les membres du gouvernement pour les actes délictueux ou criminels commis dans l’exercice de leur fonction demeure très docile et complaisante.

Ce contenu est réservé aux abonnés

Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.

Connectez-vous si vous avez acheté un abonnement et/ou ce contenu.

S'abonner

Accédez à tous nos contenus.
Plus de 5 000 articles.

Acheter l'article

Déverrouillez cet article et obtenez un accès permanent pour le lire.

Enquête covid-19 : Boris Johnson vivement critiqué par ses anciens conseillers

Toujours dans le cadre de l’enquête Covid, les critiques des anciens conseillers de Boris Johnson continuent à s’abattre sur lui. Dernièrement, Edward Lister, son ancien conseiller stratégique et chef de cabinet a déclaré que ce dernier voulait se faire injecter le SRAS-CoV-2 en direct à la télé pour calmer le public. L’ancien dirigeant conservateur a toujours été opposé à la politique sanitaire de son propre gouvernement. A présent, ses anciens collaborateurs continuent à lui faire porter le chapeau sur la gestion catastrophique du Covid au Royaume-Uni.

Au cours des derniers jours, des témoignages accablants contre l’ex-Premier ministre britannique se sont multipliés. Il fait actuellement l’objet d’une enquête publique sur la gestion de la pandémie de Covid-19 par son gouvernement. Ses anciens conseillers le qualifient comme une girouette plus préoccupée par l’économie que par la santé de ses citoyens. Devant la commission d’enquête, présidée par l’ancienne magistrate Heather Hallett, Edward Lister, ancien chef de cabinet du Premier ministre, a révélé que Boris Johnson aurait envisagé de se faire injecter le virus à la télévision pour rassurer le public. Cette enquête met en évidence les difficultés rencontrées par le gouvernement britannique pour élaborer une réponse cohérente à la pandémie en 2020, et mises en lumière par les anciens membres du personnel de Downing Street.

Ce contenu est réservé aux abonnés

Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.

Connectez-vous si vous avez acheté un abonnement et/ou ce contenu.

S'abonner

Accédez à tous nos contenus.
Plus de 5 000 articles.

Acheter l'article

Déverrouillez cet article et obtenez un accès permanent pour le lire.
❌