Pour satisfaire les agences de notations financières, le ministre écrase les collectivités de tout son poids, pour qu’elles rendent jusqu’au dernier centime. Maintenant c’est au tour des rentiers d’être dans l’œil mauvais du gouvernement. Ce gouvernement donne l’impression de gratter les fonds de tiroir à la recherche des rares poches de revenus qui échappent encore à sa convoitise. Un État dispendieux, dilapidant l’argent public sans compter, endetté à hauteur de 3.000 milliards, dont 900 supplémentaires sous le seul mandat du ministre de l’Économie. Bruno Le Maire s’attaque encore, comme depuis de nombreuses années, aux collectivités territoriales, qui n’ont de cesse de gérer leur budget au centime près, avec méthode et discipline, sans jamais invoquer le droit à l’erreur. Ces mêmes collectivités subissent des coupes budgétaires chaque année, sans jamais avoir le droit de s’indigner. En proposant de restreindre à nouveau les ressources des collectivités, le ministre affiche là une vision économique à court terme, ignorant les conséquences désastreuses sur la vie quotidienne de nos concitoyens. Les maires et élus locaux, en première ligne, se voient contraints de faire face à des coupes budgétaires drastiques, compromettant ainsi des investissements essentiels pour pallier l’État défaillant, dans l’éducation, la santé, l’aménagement du territoire… Aucun secteur public n’est épargné. Où vont nos impôts !
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Dans cette capsule, Machabert passe en revue les détails essentiels d’un relevé annuel d’assurance-vie, un document souvent fastidieux mais crucial pour la gestion de vos contrats. Dossier de référence : le 11è dossier de Florent Machabert, qui intègre des conseils en matière d’assurance-vie, et le premier baromètre de l’épargne.
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Dans le cadre de ce 39 dossier, nous examinerons l’engouement croissant pour les Sociétés Civiles Immobilières (SCI) en tant que moyen de gestion de patrimoine.
Nous vous présentons donc dans ce 39ème dossier :
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En Italie, le Parlement italien vient d’approuver avec un vote de 132 voix contre 86 le projet de loi visant à lancer une enquête officielle sur la gestion de la pandémie de Covid-19. Cette décision a provoqué de la colère chez l’opposition, les partis de centre –gauche qui étaient au pouvoir à l’époque. Notons que les résultats de l’enquête devraient être divulgués d’ici 2027, la fin de la législature. En 2023, Giuseppe Conte, l’ancien premier ministre italien, a été visé par une enquête et accusé de négligences lors de la gestion de la crise du Covid-19, mais abandonnée par la suite. Le Parquet de Bergame, ville lombarde du nord de l’Italie l’avait déjà entendu dès juin 2020.
Selon le bilan de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le Covid-19 a fait plus de 195.000 décès en Italie. C’est le second pays le plus touché par la pandémie en Europe après la Grande-Bretagne, qui mène actuellement une enquête publique sur sa propre gestion très critiquée de la pandémie. Les mesures prises par l’administration de centre gauche pour contenir le virus ont été largement critiquées par les groupes de droite.
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L’enquête officielle sur la réponse du gouvernement à la pandémie se poursuit. Devant la commission d’enquête, présidée par l’ancienne magistrate Heather Hallett, les membres du gouvernement Johnson , ses anciens conseillers et collaborateurs font l’objet d’une enquête publique sur la gestion de la pandémie de Covid-19 . L’ancien Premier ministre a toujours fait valoir que son gouvernement avait pris bon nombre de décisions importantes, selon des personnes proches de lui. Boris Johnson artisan du Brexit, a constamment exprimé son désaccord avec la politique sanitaire de son gouvernement. Il s’est toujours opposé au confinement total, même après avoir été lui-même hospitalisé pour covid. Il était favorable à l’immunisation naturelle de la société, craignant les impacts économiques d’un confinement complet
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Depuis juillet 2020, la Cour de justice de la République (CJR)enquête sur la gestion gouvernementale de l’épidémie de Covid-19. Cependant, à l’instar « pseudos » contre-pouvoirs comme le Conseil d’Etat ou le Conseil Constitutionnel, cette juridiction censée juger les membres du gouvernement pour les actes délictueux ou criminels commis dans l’exercice de leur fonction demeure très docile et complaisante.
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Au cours des derniers jours, des témoignages accablants contre l’ex-Premier ministre britannique se sont multipliés. Il fait actuellement l’objet d’une enquête publique sur la gestion de la pandémie de Covid-19 par son gouvernement. Ses anciens conseillers le qualifient comme une girouette plus préoccupée par l’économie que par la santé de ses citoyens. Devant la commission d’enquête, présidée par l’ancienne magistrate Heather Hallett, Edward Lister, ancien chef de cabinet du Premier ministre, a révélé que Boris Johnson aurait envisagé de se faire injecter le virus à la télévision pour rassurer le public. Cette enquête met en évidence les difficultés rencontrées par le gouvernement britannique pour élaborer une réponse cohérente à la pandémie en 2020, et mises en lumière par les anciens membres du personnel de Downing Street.
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