Lateo.net - Flux RSS en pagaille (pour en ajouter : @ moi)

🔒
❌ À propos de FreshRSS
Il y a de nouveaux articles disponibles, cliquez pour rafraîchir la page.
À partir d’avant-hierAnalyses, perspectives

Carte des câbles sous-marins en Méditerranée et au Moyen-Orient

Une carte commentée. L'espionnage ou la rupture des câbles sous-marins sont les deux menaces principales pour ce type d'équipement absolument crucial. La région du bassin méditerranéen et du Moyen-Orient, par sa compacité et par le nombre de ses détroits, offre de nombreuses opportunités d'accès aux câbles...

- Afrique & M.-O. / , , , , , , , , , , ,

Police et justice, quand les piliers du macronisme se bouffent le nez

L’opération concoctée par la haute fonction publique d’État, approuvée et financée par l’oligarchie pour être finalisée par la magistrature a installé à la tête de l’État en 2017, un inconnu sans réelles compétences politiques. Sorti de nulle part Emmanuel Macron… Continue Reading

Macron à Marseille : encore et toujours plus de centralisation…

Emmanuel Macron a fait récemment une visite à Marseille pour présenter la suite du Plan Marseille en grand. Ce vaste programme centralisateur est le projet d’un président qui, ne parvenant pas à faire ce qu’il veut sur le plan national, se tourne vers une grande municipalité pour expérimenter certaines politiques publiques.

Pour autant, cette intervention n’est pas anodine et elle est susceptible de générer plusieurs conséquences bien connues : déresponsabilisation des acteurs locaux, bureaucratie, renforcement de la tendance centralisatrice, perte d’initiative locale, etc.

Par ailleurs, cette sorte de cercle vicieux de la centralisation produit une concentration des ressources dans la capitale et, par conséquent, un affaiblissement des revendications régionalistes.

Il peut paraître anachronique qu’un président de la République intervienne directement dans une ville, en court-circuitant les acteurs locaux. Son intervention marque cette tendance lourde du centralisme français qui consiste à réduire les marges de manœuvre des entités locales en imposant des choix venus d’en haut.

Est-ce bien le rôle d’un président d’intervenir au niveau local en imposant un programme qui n’est nullement le fruit de négociation avec les acteurs locaux ? Tel un monarque, il ne rendrait que des visites à ses intendants en veillant à ce qu’ils exécutent parfaitement ses ordres.

 

Les dangers du centralisme

Ce centralisme centripète a pour effet de réduire les initiatives locales sans pour autant rendre les initiatives centrales efficientes.

En effet, hormis le problème des trafics de drogues, les problèmes marseillais peuvent être résolus localement, éventuellement par l’initiative privée. Il est assez prétentieux pour un président de descendre de son lit pour imposer ses lumières à une population locale peu intéressée par sa venue. Plus encore, son intervention est révélatrice des problèmes qui touchent à la séparation verticale des pouvoirs entre les différents échelons décentralisés.

En effet, après avoir fortement réduit les marges fiscales des collectivités territoriales par la suppression de la taxe d’habitation ou par les impôts de production, voire par la réduction de la dotation globale de fonctionnement (qui, d’un point de vue constitutionnel, accroît l’autonomie locale au sens de l’article 72 de la Constitution), donc de leurs marges de manœuvre d’action, le pouvoir central vient à leur rescousse avec des programmes quasi-politiques pour les « aider » à améliorer le niveau de vie de leurs habitants.

Autant dans ce cas mettre en tutelle la collectivité en question, ce sera plus simple. Ainsi, comme avait pu le dire, il fut un temps, le doyen Louis Favoreu, « la France a réussi à décentraliser en centralisant ». C’est là en effet le gros paradoxe de la France qui, historiquement, n’a, depuis la Révolution de 1789 et à de rares exceptions (programme de Nancy), jamais plaidé ni œuvré pour une réelle décentralisation.

Pour donner la possibilité aux collectivités territoriales de pouvoir traiter leurs affaires de la manière la plus libre possible, il faudrait un transfert massif de compétences de l’échelon central vers les échelons décentralisés. Cela peut se faire, après révision constitutionnelle, par le transfert de la politique fiscale (autonomie fiscale) aux collectivités territoriales. Ce transfert permettrait une véritable différence de fiscalité entre les entités territoriales et donc une concurrence fiscale nécessaire pour l’attractivité des territoires, une pleine autonomie sur les budgets locaux et ainsi, contribuer à une gestion plus saine des finances locales.

Outre l’aspect fiscal, c’est l’aspect démocratique qu’il conviendrait de traiter.

Pour une véritable décentralisation, la possibilité de mise en œuvre d’une démocratie participative, voire directe, dans les collectivités locales, est urgente. Elle peut passer par des initiatives populaires, voire par des référendums locaux plus fréquents. Elle pourrait concerner toutes les compétences de la collectivité, même la compétence fiscale. Les citoyens auraient ainsi un véritable contrôle sur l’action publique et cela entraînerait une meilleure transparence et une plus grande confiance dans les acteurs locaux.

Enfin, il convient de penser la décentralisation ascendante.

Autrement dit, l’échelon le plus bas doit dire s’il peut ou non assurer telle ou telle compétence. Si non, cette compétence est proposée à l’échelon supérieur, et ainsi de suite. Cela permettra de donner une plus grande lisibilité sur les compétences des différentes entités territoriales.

Une véritable décentralisation permettra de rapprocher la politique des citoyens, de donner davantage de confiance dans les acteurs politiques et rendra donc plus efficientes les politiques publiques. Cette proximité avec des élus disposant d’une large marge de manœuvre, mais aussi de fortes responsabilités, conduit les individus à mieux évaluer le travail des représentants en général. Par ailleurs, les responsables politiques sont généralement plus populaires lorsqu’ils ont moins de pouvoir.

Enfin, pour libérer les élus, donnons-leur les responsabilités financières, levons toutes
les contraintes dans leur politique de taux, et, contrepartie nécessaire de la liberté, responsabilisons-les beaucoup plus.

Les analyses de GenerationLibre sur ces sujets sont éclairantes.

Par exemple, on comprend que « la décentralisation fiscale ne serait donc acceptable qu’à la condition de s’accompagner d’une baisse massive des impôts d’État. Les impôts d’État à réduire devraient porter autant que possible sur les mêmes contribuables que les impôts locaux ».

Bref, on comprend que les dangers du centralisme excessif pèsent lourd sur la vitalité des collectivités territoriales, leur dynamisme et leur prospérité. Il conviendrait donc de les libérer de l’État pour donner un véritable souffle à notre État fragile.


J’aimerais terminer cet article en rendant un hommage sincère à un ami d’université, Maxime Manhes, mort à l’âge de 21 ans lors une chute de ski à l’aiguille Verte, le 8 juin 2023. Je l’ai rencontré à l’université d’Aix-Marseille en droit où nous avons fait notre licence ensemble. C’était un étudiant brillant pour lequel j’avais un immense respect. Il m’impressionnait par sa vivacité d’esprit et sa rapidité d’analyse. Publiciste comme moi, j’ai rencontré en lui un étudiant passionné par le droit public, notamment administratif. Il était passionné par la Cour suprême américaine et par ses juges renommés qui l’ont habité. Sa connaissance à ce sujet imposait le respect. Sportif de haut niveau, tant en judo qu’en ski, il m’impressionnait aussi par sa polyvalence et par sa faculté à exceller, tant en droit qu’en sport.

C’est donc avec une immense tristesse que j’ai appris sa mort.

J’adresse mes condoléances à sa famille et à ses amis.

Covid : la mystérieuse recette marseillaise

Par : h16

Par Nasier Ockham et h16

Pour Ariane Chemin, grande reporter au Monde, c’est évident : ce qui se passe à Marseille en matière de gestion sanitaire est la représentation fidèle des errances du Pr. Raoult. Paf, c’est dit. 

Pourtant un intéressant billet de blog paru en avril 2020 établissait avec quelques chiffres des statistiques sur ce qui se passait justement du côté marseillais, et ce avant même que les polémiques aient pris des proportions démesurées, et manifestement, ça cadrait mal avec les saillies enflammées de la journaliste.

À l’époque déjà, le billet en concluait que, sur le plan des données recueillies, il semblait y avoir un net avantage pour la méthode pratiquée par l’IHU, à savoir un traitement des patients et ce, sans même préjuger de la validité du traitement en question : un malade marseillais avait, statistiquement, plus de chance de s’en sortir qu’un malade parisien. 

Plus d’un an s’est écoulé depuis ce billet. Les polémiques n’ont pas diminué, loin s’en faut, et les questions sur la pertinence des méthodes et traitements proposés par le Pr. Raoult n’ont cessé d’enfler depuis. Quelle leçon tirer du parcours marseillais depuis avril 2020 ? 

Une seule façon d’en avoir le coeur net : retournons aux données.

Et pour cela, épluchons grâce à l’OpenData les données concernant justement la ville de Marseille et tentons de les comparer à, par exemple, celles de Lyon et Paris qui ont le mérite de s’occuper de métropoles d’environ 2 millions d’individus à chaque fois. Pour faire bonne mesure, on y incluera le département du Haut-Rhin, moins urbain, mais qui s’est distingué lors du début de l’épidémie de coronavirus en France par un nombre élevé de morts. 

Les petites illustrations seront retrouvables aux liens suivants : Haut-Rhin , Bouches du Rhône , Paris, Rhône. Les chiffres officiels ont été repris directement, calculés ici en décès par million d’habitants. 

Les données statistiques sont fournies ici et montrent de façon assez claire que, dans le département du Dr Raoult, où une majorité de gens ont été testés et pris en charge (et dont certains ont bénéficié du traitement maintenant si controversé à base d’hydroxychloroquine et d’azithromycine), on observe qu’il n’y avait que 39 décès par million d’habitants pendant les semaines où sévirent le confinement alors qu’on observait, sur la même période, 137 décès par million d’habitants dans les trois autres départements choisis.

Apparemment, la différence entre le traitement (quel qu’il soit) effectué dans les Bouches-du-Rhône et le non-traitement tel qu’appliqué (avec componction ?) partout ailleurs semble donc coûter la bagatelle de près de 100 décès supplémentaires par million d’habitants, ou, plus précisement, entre 40 et 185 selon les départements urbains à forte mortalité. 

Ici, il faut bien sûr comparer ce qui est comparable, et il ne servirait à rien de rappeler les faibles décès d’autres départements ruraux, beaucoup moins denses, puisqu’on comprend bien que le virus y a bien moins circulé avant le confinement.

Cette différence entre les Bouches-du-Rhône et les autres départements est, en réalité, très significative et à ce niveau de significativité, insister sur un test randomisé pour bien s’assurer que traiter et suivre des patients permet de meilleurs résultats confinerait à l’obstination compulsive. Du reste, les mois qui ont suivi ont amplement démontré que renvoyer les malades avec un doliprane et un arrêt de travail ne suffisait pas alors que tester, traiter et accompagner les malades accroissait notablement leur espérance de meilleur résultat médical. 

D’autre part, les mêmes données montrent que malgré les différences de décès causés par le Covid, les départements ont sensiblement la même mortalité totale (toutes causes confondue, il n’y a pas de différence significative entre les départements). Dans le même temps, plus les départements ont de décès causés par le Covid, moins ils ont de décès par d’autres causes…

Ceci indique que, si les départements qui ont plus de décès de covid n’ont pas plus de mortalité totale, alors inévitablement, une proportion de décès de toute cause ont été affichés comme morts du Covid. 

Cependant, si dans les Bouches du Rhône, il y a eu de façon très significative moins de morts du Covid, et plus de décédés par d’autres causes négatifs au Covid au moment de leurs décès (alors que les taux d’infection ou d’entrées en soins critiques ne sont pas pas du tout corrélés à cette mortalité), la seule variable d’explication ne peut être qu’une différence de traitement.

Cette différence de traitement comprend de nombreux facteurs et ne peut être restreint aux seuls propositions médicales du Pr. Raoult puisque jouent aussi la densité des hôpitaux, les nombres de lits disponibles à tout instant, la densité de la population, … bref, tous facteurs confondus qui concourent à soigner les gens (et hors vaccin qui n’existait pas encore lors du premier confinement) : si on applique les bons traitements, les meilleurs protocoles, sans doute dans des hopitaux suffisamment équipés, on diminue par un facteur 5 ou 6 la mortalité par rapport aux pires départements, ce qui revient à dire que le traitement offre une efficacité plusieurs fois supérieure à celle des vaccins

Les semaines avant et après confinement, on ne trouve pas de différences significatives entre les départements, que ce soit pour les décès covid, les autres types de décès ou tous décès confondus. Par contraste, cela implique ou bien que les traitements et protocoles appliqués dans les Bouches-du-Rhône font une énorme différence, ou bien que les services hospitaliers du Haut-Rhin, de Paris et de Lyon sont sous-développés ou disons fort dégradés par rapport à ceux du département marseillais.

On sait donc désormais que juste avant et juste après le confinement, les mortalités « autres causes » n’ont que peu changé, dans chaque département. On constate que le confinement n’a pas eu de répercussion significative sur le total des décès (et donc le triage des malades), contrairement à ce qu’ont dit les médias, sauf peut-être à Paris en éparpillant des centaines de milliers de Parisiens… en dehors de Paris. On pourrait, sans trop pousser, conclure à une véritable entreprise de dramatisation, ou, tout aussi charitablement, à un travail peu professionnel de journalistes parisiens. 

En outre bien qu’à chaque période, on n’observe pas de différence significative de mortalité totale entre les départements, la mortalité a augmenté pendant le confinement pour chacun d’eux. Malgré la plus grande proportion de personnes âgées dans les Bouches du Rhône, il n’y a eu qu’une augmentation de 14% dans les décès totaux pendant le confinement par rapport aux semaines le précédent. Dans le même temps, le Haut-Rhin voit ses décès grimper de 94%, de 58% à Paris et de 46% dans le Rhône. Sur cette simple statistique, on comprend le ressenti de certains Marseillais qui font des santons à l’effigie de Raoult : pendant le confinement, on mourait 3 à 7 fois moins dans son département qu’ailleurs… 

Enfin, on ne peut s’empêcher de remarquer que les décès du covid dans le Rhône sont moindres qu’à Paris : peut être que les docteurs lyonnais ont silencieusement appliqué, au moins en partie, les méthodes marseillaises ? 

Si l’on peut conclure quelque chose de ces statistiques, c’est que les choix opérés, depuis le renvoi dans leurs pénates des patients dolipranés, jusqu’à la volonté farouche de prendre en charge exclusivement par le public (le privé ayant été consciencieusement boudé depuis le début de la crise), en passant par le refus de toute latitude de prescription pour les médecins de terrain, rejetés aux rangs de subalternes, ont tous participé à faire de cette crise une affaire d’état et à ruiner les processus et habitudes en place, pourtant efficaces. 

Si Marseille démontre quelque chose, c’est que sans les manipulations, mensonges et hystéries politiques, cette crise n’aurait jamais eu lieu. Cette maladie, silencieuse pour un nombre écrasant de personnes, tue peu, des gens déjà très affaiblis, et moins encore lorsqu’ils sont correctement hospitalisés et suivis. 

Comme l’étude des surmortalités européennes le montre sur Euromomo, la politique de santé suivie dans chaque pays est la seule variable vraiment explicative des différentiels observés. C’est d’ailleurs confirmé lorsqu’on regarde le classement mondial (OCDE) des décès du Covid, qui ne montre guère d’affinité entre richesse et meilleure performance : les politiques suivies sont plus pertinentes pour expliquer les résultats obtenus…

Par contraste, dans de nombreux pays en développement, peu mentionnent le fait “covid” et il n’y est pas observé de surmortalité : peu détecté, peu testé, la société ne s’arrête pas. Les dirigeants de ces pays ne sont évidemment pas meilleurs qu’en France mais ont d’autres chats à fouetter, ce qui remet le covid à sa place. 

En somme, si – comme le prétend telle journaliste du Monde – Marseille devient le symbole de quelque chose, c’est plutôt de l’éloignement de certains politiciens, certains médecins de plateau télé de certaines régions, Paris en tête, à la médecine traditionnelle, celle qui consiste à tester, traiter et accompagner les malades.

J'accepte les BTC, ETH et BCH !

qqefdljudc7c02jhs87f29yymerxpu0zfupuufgvz6

Vous aussi, foutez les banquiers centraux dehors, terrorisez l’État et les banques en utilisant les cryptomonnaies, en les promouvant et pourquoi pas, en faisant un don avec !
BTC : 1BuyJKZLeEG5YkpbGn4QhtNTxhUqtpEGKf
BCH : qqefdljudc7c02jhs87f29yymerxpu0zfupuufgvz6
ETH : 0x8e2827A89419Dbdcc88286f64FED21C3B3dEEcd8
 

Coronavirus : le point au 1° novembre

Un petit point s’impose sur cette histoire de coronavirus en ce 1° novembre car de nouveaux éléments particulièrement importants sont intervenus récemment…

D’abord et avant tout, ce qui était a priori impensable, inconcevable, inimaginable s’est produit : le Mignon poudré et sa bande ont décidé de faire mourir des milliers de personnes en France en leur interdisant d’utiliser les solutions préconisées par le Professeur Didier Raoult contre les coronavirus, les seules qui sont vraiment efficaces !

En effet, les pharmaciens d’officines n’avaient déjà plus le droit de délivrer de l’hydroxychloroquine en France mais les personnes se trouvant à ou près de Marseille pouvaient encore en bénéficier à l’IHU.

Pire : les dirigeants de Sanofi ont fait savoir récemment à l’IHU de Marseille Infection qu’ils sont susceptibles de ne plus lui livrer de Plaquenil si bien que même les personnes atteintes d’un coronavirus soignées dans cet établissement ne pourront plus bénéficier de ce traitement.

Les personnes accusées d’être des complotistes (comme Pierre Jovanovic) ont donc malheureusement raison : le Mignon poudré et sa bande ont non seulement décidé de faire mourir des milliers de personnes en France mais encore, ils condamnent aussi à mort l’économie de la France !

Pire encore : plus de 70 % des Français approuvent les dernières décisions du Mignon poudré de reconfiner la France.

Il n’y a donc plus aucun espoir. C’est fini, foutu. Ce qui se passe est de la survie en attendant…

Tout le reste n’est que de la littérature.

Pour rappel : les juifs qui ont quitté l’Allemagne dans les années 20 sont morts de mort naturelle…

© Chevallier.biz

Le jour d’après

Tous les professionnels de la santé savent que tous les ans des maladies transmissibles se propagent dans l’hémisphère Nord en hiver. Ce sont généralement des grippes et plus rarement des coronavirus qui sont suivis d’infections bactériennes qui ont des conséquences létales sur les personnes immunodéprimées.

Le Professeur Didier Raoult rappelle que le nombre de décès attribués à ces maladies est de l’ordre de 2,6 millions par an pour le monde entier.

D’après l’IHU Marseille Infection, 120 000 décès seulement dans le monde sont attribués au covid-19 à ce jour, 14 avril, depuis son apparition en décembre 2019 en Chine.

Première conclusion : le nombre de décès provoqués par des maladies saisonnières transmissibles pendant cet hiver 2019-2020 pourrait être globalement inférieur à la norme car le faible nombre relatif de décès dus à une grippe cette année serait en quelque sorte compensé par un nombre exceptionnellement élevé de décès dus à un coronavirus (qui étaient peu nombreux au cours des années précédentes).

En France, les professionnels de la santé travaillant sur ces maladies saisonnières transmissibles connaissent bien ces problèmes, évidemment, et ils se connaissent tous…

Ainsi, fin décembre, début janvier, le Directeur de la santé a bien compris que le coronavirus qui se développait en Chine arriverait en France quelques semaines plus tard, et c’est normal car c’est là son travail.

Quelle décision a-t-il prise ?

Là est LE TRES GROS PROBLEME !

En effet, il a très bien compris que le Professeur Didier Raoult sortirait alors de sa boite comme un beau diable en présentant les solutions qu’il a trouvées et qu’il fait appliquer avec succès depuis une vingtaine d’années dans le cadre de ses activités, présentement à l’IHU Marseille Infection.

Ce traitement est simple : de l’hydroxychloroquine (200 mg x 3 par jour pour 10 jours) + de l’Azithromycine (500 mg le 1er jour puis 250 mg par jour pour 5 jours de plus) ce qui permet de réduire le portage du virus (la durée de sa présence dans l’organisme) à 6 jours au lieu de 20 au total et l’infection bactérienne possiblement létale.

Ce traitement a l’avantage d’être simple et peu couteux : une boite de Plaquenil coûte 4,17 euros,

Document 1 :

Et là, c’est encore un TRES GROS PROBLEME !

En effet, beaucoup de molécules actives contre des maladies ont été découvertes ou inventées depuis des décennies si bien qu’il est très difficile en ce début de XXI° siècle d’en trouver et d’en inventer de nouvelles.

Or, beaucoup de molécules tombées dans le domaine public (donc non brevetables) qui ont obtenu une AMM (Autorisation de Mise sur le Marché) pour une maladie précise peuvent être efficaces contre d’autres maladies, ce qui est le cas de la chloroquine et d’un de ses dérivés pour les coronavirus.

Donc, en suivant les préconisations du Professeur Didier Raoult et celles des autorités de… Taïwan, il était possible d’optimiser les solutions pour minimiser les conséquences de la propagation de ce covid-19.

Pour cela, il aurait fallu faire d’abord ce qu’ont fait les autorités de Taïwan, à savoir réduire le plus possible les entrées de personnes sur le territoire français (voire les limiter aux seuls ressortissants français revenant en France) dès le début du mois de janvier et les contrôler avec des tests PCR.

Seules les personnes négatives à ce test auraient alors pu entrer en France, les personnes positives étant mises en quarantaine (tant qu’elles ne sont pas négatives à ce test) ou interdites de séjour en France.

Ensuite, il aurait fallu suivre les conseils du Professeur Didier Raoult, à savoir organiser la gestion au niveau national de cette épidémie en commandant dès le début du mois de janvier des milliards de masques et de gants, des millions d’autres dispositifs indispensables (dont des blouses de protection) et ce qui est nécessaire pour faire des tests (PCR) de façon à pouvoir diagnostiquer et traiter les personnes portant ce covid-19 selon ses préconisations.

C’est ce qu’ont fait les autorités de Taïwan et c’est ce qu’a fait le Professeur Didier Raoult dans le cadre de l’IHU Marseille Infection, avec succès.

Tout est simple, mais c’est trop simple pour la nomenklatura qui sévit en France : le Directeur de la santé a fait publier le 13 janvier un arrêté classant l’hydroxychloroquine dans la liste des substances… vénéneuses sans aucune justification scientifique nouvelle !

Document 2 :

Donc, début janvier, sachant que le coronavirus allait se propager en France, le Directeur de la santé (en accord avec le ministère de la santé et donc du gouvernement) a condamné à mort des milliers de personnes pour défendre les intérêts des big pharmas (dont principalement Sanofi) qui imposent, de connivence avec les autorités publiques, des règles pour réserver à ces seules big pharmas l’accès à la commercialisation de médicaments fortement rémunérateurs !

C’est là un scandale impardonnable.

Les auteurs de ces mesures sont des criminels qui devraient être condamnés en tant que tels.

Pour une fois, je serais d’accord avec le Mignon poudré : nous sommes en guerre a-t-il dit, contre un agent venu de l’extérieur et qui cause des milliers de morts.

Donc, en pareilles circonstances, des tribunaux militaires devraient juger et condamner à mort les traîtres qui ont favorisé l’invasion de cet ennemi qui a causé des milliers de morts.

Evidemment, ces tribunaux d’exception ne seront pas réunis et les coupables de ces crimes ne seront pas jugés et encore moins condamnés.

En l’absence de tels jugements, des Français pourraient se révolter et c’est ce que craignent les services de renseignement qui ont repéré de nombreuses interventions sur les réseaux sociaux en faveur de manifestations violentes et possiblement massives qui pourraient avoir lieu contre les pouvoirs publics le jour d’après la fin du confinement.

Ce confinement était totalement inutile car il ne sert à rien de laisser les personnes atteintes du covid-19 chez elles sans leur prodiguer les soins nécessaires.

Le Professeur Didier Raoult rappelle que, face à un malade, tout médecin doit d’abord diagnostiquer cette maladie puis la traiter efficacement.

Les réponses apportées par les autorités françaises face au covid-19 ont été et sont dramatiquement mal adaptées à la situation comme le montre le taux de décès attribués au covid-19 par million d’habitants,

Document 3 :

Ce confinement va provoquer des ravages considérables en France car, non seulement la création de richesse d’effondre, c’est-à-dire que le PIB va baisser d’un tiers, mais en plus le Mignon poudré a décidé de continuer à payer les gens qui ne travaillent pas, dans le cadre d’une procédure de chômage partiel qui permet à 8 millions de personnes de bénéficier de 84 % de leur salaire net antérieur !

Cette décision est présentée comme étant une mesure salvatrice alors qu’elle est violemment destructrice car elle consiste à accentuer la création monétaire indue qui sévissait déjà en France.

L’interdiction de travailler va entrainer aussi une augmentation considérable des défauts de paiements qui vont provoquer des ravages dans les banques.

Ainsi par exemple, une augmentation des défauts de paiements de 1 % pour BNP-Paribas sur les prêts à ses clients (de 800 milliards d’euros d’après le bilan 2019) entraine une perte de 8… milliards !

C’est d’autant plus inquiétant que les dirigeants des banques américaines anticipent une augmentation de ces défauts de paiements de… 8 points de pourcentage !

La première vague du coronavirus cause un certain nombre de décès très médiatisés, la deuxième vaque provoque des situations dramatiques pour beaucoup de gens qui n’ont plus d’argent et pour beaucoup d’entreprises qui sont ou qui vont être en faillite, la troisième vague sera encore plus destructrice avec un tsunami bancaire en Europe et une hypertrophie monétaire létale.

Interdire à la plupart des gens de travailler, c’était impensable, inimaginable, inconcevable et c’est et ce sera historiquement catastrophique, pire que la crise de 1929.

Le jour d’après (la fin du confinement) risque d’être sanglant !

***

Cliquer ici pour lire mon article précédent à ce sujet.

Cliquer ici pour voir la vidéo de la Conférence très instructive de Saint Cyr sur mer d’octobre 2013 du Professeur Didier Raoult.

Cliquer ici pour voir la vidéo au cours de laquelle le Professeur Éric Chabrière de l’IHU Marseille Infection tente de faire comprendre à ses interlocuteurs que le traitement des coronavirus préconisé par le Professeur Didier Raoult donne les meilleurs résultats connus à ce jour.

© Chevallier.biz

 

Covid-19 : le pays le plus craignos du monde est…

Le site de l’IHU Marseille Infection publie les données du South China Morning Post qui répertorie les décès dus au covid-19 par million d’habitants,

Document 1 :

C’est la source la plus sûre en la matière mais en réalité, le pays le plus craignos du monde n’est pas l’Espagne mais… l’Andorre !

Document 2 :

29 décès attribués au covid-19 en ce dimanche de Pâques, 12 avril pour une population de 77 000 habitants,

Document 3 :

Le taux de décès par million d’habitants est de… 376,6 !

Record mondial battu !

Andorre est pour les Chinois un trop petit pays qui ne vaut pas la peine de figurer dans les statistiques mais qui existe bien.

Les vautours qui survolent toujours les sommets de la principauté attendent leurs proies…

© Chevallier.biz

❌