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À partir d’avant-hierLe courrier des stratèges

Nouvelles accusations de la caste covidisite contre le Dr Raoult

Les récentes déclarations du professeur Didier Raoult, comparant le non-recours à l’hydroxychloroquine à un “holocauste”, ont suscité une vive indignation parmi la communauté médicale. Ces propos controversés ont ravivé les critiques à l’égard du célèbre microbiologiste marseillais, déjà sous le feu des critiques pour ses prises de position antérieures sur le traitement de la COVID-19. Ce nouveau « procès » politique est l’illustration parfaite de cette volonté de faire taire les médecins anti caste covidiste.

Selon Didier Raoult, “les auteurs de cet holocauste” sont Olivier Véran, alors ministre de la Santé, le directeur de l’APHM (Assistance Publique – Hôpitaux de Marseille) et la directrice général de l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament)

Le professeur marseillais Didier Raoult est de nouveau au cœur d’une polémique. Dans sa dernière publication sur X, l’ancien Twitter, il a comparé la non-utilisation de l’hydroxychloroquine à l’holocauste. Pour plusieurs médecins, Raoult est allé trop loin en faisant cette nouvelle déclaration. Ils demandent aux autorités médicales en France de le sanctionner. Pour rappel, durant la crise COVID, en fin 2020,l’infectiologue marseillais a été visé par deux plaintes déposées par l’Ordre des médecins des Bouches-du-Rhône et le Conseil national de l’Ordre des médecins (Cnom). Le professeur Raoult avait immédiatement réagi en portant plainte à son tour contre le président du Cnom, Patrick Bouet, pour “harcèlement”. Accusé de charlatanisme, d’antivax et de complotiste, l’infectiologue marseillais a été évalué par ses pairs suite à des accusations d’entorses au code de déontologie médicale, liées à la promotion de l’hydroxychloroquine en tant que traitement Covid. Les résultats de la première étude de Didier Raoult, menée sur un nombre réduit de personnes, montraient pourtant très clairement que la prise simultanée d’hydroxychloroquine et d’azithromycine faisait chuter la charge virale.

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Européennes : enfin une liste citoyenne non verticale et non autoritaire !

Depuis plusieurs mois, le Courrier des Stratèges accompagne l’élaboration d’une liste citoyenne qui se revendique de l’ordre spontané si bien analysé par Friedrich Hayek. Cette liste ne se contente pas de promouvoir une énergie vitale “venue du bas” et donc, par principe, hostile à la verticalité du multilatéralisme mondialiste, mais aussi à celle des élites françaises. Cette liste promeut également une logique de “moins d’Europe”. Son originalité est de ne pas avoir de chef tout-puissant, de ne pas être dictée par le nombrilisme narcissique d’un leader plus ou moins gourou. Son autre originalité est de s’appuyer sur la conciliation spontanée des bonnes volontés et la recherche du meilleur accord. Nous vous en donnons un premier reflet aujourd’hui, après la publication des éléments programmatiques, hier, par Edouard Husson.

Edouard Husson a présenté hier les éléments programmatiques de la liste “prenons-nous en main” que nous promouvons pour les élections européennes.

Nous la présentons plus “politiquement” aujourd’hui.

Il faut en retenir plusieurs points :

  1. c’est une liste horizontale et non verticale, c’est-à-dire que le programme a été élaboré de façon itérative et partagée avec tous les candidats à son élaboration
  2. toutes les propositions du programme ont fait l’objet d’une approbation massive (à plus de 80%, voire 85%) de la part des 1.000 participants à l’élaboration
  3. la liste n’est pas conduite par un cénacle de décideurs tout puissants qui concentrent le pouvoir de façon opaque
  4. notre projet est à l’orthogonale avec la logique jacobine ou autoritaire des partis classiques

Si vous souhaitez la rejoindre, envoyez votre CV à cette adresse, avec un mot de motivation.

Merci d’avance !

Présidentielle à Madagascar : les ingrédients d’une crise électorale annoncée

Par : Rédaction

Le 16 novembre prochain, près de 12 millions de Malgaches seront appelés à élire leur nouveau président de la République. Mais l’opposition exige le report du scrutin en raison de nombreuses irrégularités. À une semaine du premier tour, la tension est à son comble entre l’opposition et le gouvernement en place. La prochaine présidentielle risque de provoquer une crise sans précédent dans l’Ile.

Le Collectif des candidats et leurs partisans

Le scrutin présidentiel de 2023, qui devait initialement avoir lieu ce jeudi, a été reporté d’une semaine par la Haute cour constitutionnelle malgache. Le Collectif des candidats joue la carte de la mobilisation populaire pour reporter à nouveau ces élections présidentielles, mais cette tentative semble vouée à l’échec. La Communauté de développement des États d’Afrique australe (SADC) et “la communauté internationale” (composée de la Délégation de l’Union européenne, la Représentation de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF) pour l’Océan Indien, l’Ambassade d’Allemagne, l’Ambassade des Etats-Unis, l’Ambassade de France) ne s’opposent pas au calendrier électoral prévu pour les 16 novembre 2023 pour le premier tour et le second tour, le 20 décembre 2023. A l’approche des élections, Andry Rajoelina, le Président sortant, est le plus actif, suivi par Siteny Randrianasoloniaiko. Le troisième, Sendrison Daniela Raderananirina, est plutôt discret. Le Collectif, composé de dix candidats, demande sans succès le report des élections. A une semaine du premier tour de la présidentielle à Madagascar, la présidente de l’Assemblée nationale, à la tête d’une plateforme de médiation, a demandé hier «la suspension de l’élection», déjà reportée une fois.

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