La cybersécurité, ça vous parle ? Vraiment ? Ce n’est pas qu’un antivirus ou un mot de passe complexe. Un champ de bataille, certainement, mais pas seulement. La cybersécurité est, avant tout, incarnée par des professionnels qui veillent sur les individus et les organisations, les protègent, parfois dans l’ombre. Des métiers du « care » qui ont le vent en poupe ! Alors, prêt à dépasser les clichés et à découvrir l’univers de la cybersécurité et ses acteurs qui œuvrent chaque jour pour la protection numérique ?
Yann Bonnet est Directeur Général délégué du Campus Cyber, lieu totem de la cybersécurité en France. Nantais d’origine (et fier de l’être), il se déplace rarement sans son vélo. Il était, dès son plus jeune âge, curieux de comprendre le fonctionnement d’Internet et ses limites. Il a notamment été directeur de cabinet du DG de l’ANSSI (Agence Nationale de la Sécurité des Systèmes d’Information) pendant 3 ans, a accompagné Cédric Villani dans ses travaux sur l’Intelligence Artificielle au Conseil National du Numérique et donne des cours sur les enjeux de la cybersécurité dans de grandes institutions françaises comme Sciences Po.
Yann Bonnet : J’aime bien citer le philosophe Bernard Stiegler avec lequel j’ai pu travailler et qui dit que la transformation numérique est, à la fois, un remède et un poison pour notre société. On se forme en ligne, on améliore la détection du cancer du sein grâce au numérique, on se transporte avec des voitures de plus en connectées : c’est très positif tout ça. Mais, plus notre monde se numérise, plus on doit faire face à de nouvelles menaces, notamment celle de la cybercriminalité.
« Il y a une attaque toutes les 11 secondes dans le monde. »
Attention, on ne parle pas de petits jeunes dans leur chambre mais d’une véritable industrie de la cybercriminalité. Au niveau mondial, il y a une attaque toutes les 11 secondes pour un coût total estimé à 5 500 milliards de dollars par an. Et tout le monde est concerné ! Par exemple, quand un hôpital est attaqué, les infirmiers et les médecins n’ont plus accès aux informations qui concernent les patients et, tout simplement, ne savent plus quel médicament a été prescrit ou non. Alors, les acteurs de la cybersécurité travaillent pour éviter ces attaques et faire en sorte que, quand attaque il y a, nous soyons tous protégés. Autrement dit, la cybersécurité est un état recherché pour un système d’information lui permettant de résister à des événements susceptibles de compromettre sa disponibilité, son intégrité ou sa confidentialité.
Petites ou grandes entreprises, on est de plus en plus dépendants vis-à-vis du numérique. La cybersécurité permet aux organisations de fonctionner sereinement, sans redouter qu’un grain de sable ne vienne enrayer le système. Si nous ne prenons pas nos précautions, les conséquences peuvent être dramatiques : un logiciel va bloquer le système d’information d’une PME, demander une rançon et, très rapidement, cette même PME peut faire faillite parce que son business est au point mort, que son fichier client a fuité ou que la relation de confiance avec ses partenaires est brisée. Heureusement, de plus en plus d’entreprises mettent en place des dispositifs pour se protéger. Mais on a constaté, ces derniers mois, qu’il y a de plus en plus d’attaques qui ciblent les PME, probablement parce qu’elles sont moins matures sur le sujet et qu’elles investissent moins dans la cybersécurité.
On est tous concernés, quel que soit le pays, par la cybersécurité. C’est difficile de se comparer aux autres pays mais, au niveau européen, on peut dire que la France est plutôt un bon exemple. Cependant, il faut toujours rester humble dans ce domaine. Les enjeux sont importants : on doit former massivement, innover pour in fine mieux se protéger et faire rayonner l’excellence française. C’est tout le rôle du Campus Cyber.
« Il y a aujourd’hui 44 000 emplois dans le domaine de la cybersécurité en France dont 15 000 postes non pourvus alors que nous ambitionnons d’atteindre les 75 000 emplois d’ici 2025. »
Face à cette menace grandissante, il faut travailler collectivement pour se renforcer, mieux se protéger et inverser le rapport de force avec les attaquants. C’est ce que nous faisons avec le Campus Cyber. Nous avons tout juste fêté sa première année d’existence mais c’est déjà un vrai succès que nos amis à l’étranger nous envient. Il se passe quelque chose, la dynamique est intéressante et nous sommes en train de l’étendre avec des campus au niveau régional.
Trois grandes missions nous animent. La première, la plus importante actuellement, c’est la formation : on doit faire face à une pénurie de talents importante, améliorer l’attractivité de nos métiers, former massivement et attirer des profils divers. Notamment des femmes qui ne composent aujourd’hui que 11 % de nos effectifs. Il faut casser les clichés ! Notre deuxième mission porte sur l’innovation et la recherche. Tous les acteurs de la recherche en France travaillent main dans la main pour avoir un coup d’avance sur ceux qui nous attaquent. C’est un peu le jeu du chat et de la souris. Les cybercriminels sont, malheureusement, très performants, ils savent s’adapter et innover. Côté défense, on doit en faire de même ! Enfin, la troisième et dernière mission concerne ce qu’on appelle « les opérations ». Très concrètement, le Campus Cyber est un bâtiment de treize étages auquel plus de 4 000 acteurs privés et publics ont accès. Dans ce lieu, on trouve notamment des enseignants-chercheurs, des responsables de la cybersécurité, des développeurs ou encore des « cyber-pompiers » prêts à intervenir 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, en cas d’attaque.
Il y a aujourd’hui 44 000 emplois dans le domaine de la cybersécurité en France et 15 000 postes non pourvus. Et, d’ici 2025, nous ambitionnons d’atteindre les 75 000 emplois ! À titre de comparaison, au Japon, 85 % des emplois sont non pourvus. Nous ne sommes donc pas des si mauvais élèves mais il faut travailler et garder en tête que notre société va continuer à se numériser et que les besoins en cybersécurité seront de plus en plus importants.
Alors il y a, plus largement, un vrai sujet sur la féminisation des métiers dans la tech. On doit s’attaquer à des conceptions mentales qui se forment quand on est très jeunes et qu’il faut s’efforcer de déconstruire. C’est à nous parents, enseignants, conseillers pédagogiques ou autres prescripteurs d’agir.
« Les femmes ne composent aujourd’hui que 11% des effectifs. Il faut casser les clichés ! Il y a de la place pour tout le monde et les métiers de la cybersécurité sont accessibles à tous. »
Les métiers de la cybersécurité ne sont pas réservés aux hommes, ingénieurs, geeks à capuche. On doit travailler les imaginaires. On a vraiment besoin de plus de diversité dans les équipes, et pas seulement d’une diversité de genre. Une équipe composée exclusivement d’hommes blancs qui pensent tous de la même manière, ça ne peut pas être efficace !
Il y a d’ailleurs une quarantaine de métiers différents dans le secteur, techniques et non-techniques : des métiers de la communication de crise, de la géopolitique, du droit et bien d’autres.
Oui, complètement. J’ai cette conviction qu’il y aura les pays qui réussiront à former massivement à la cybersécurité et il y aura les autres. On doit se donner les moyens, dans les prochains mois, d’attirer et de former plus de gens. Les métiers de la cybersécurité sont accessibles à tous ! On doit sensibiliser les jeunes et les moins jeunes, ceux qui vont se lancer sur le marché du travail et ceux qui sont peut-être déjà bien avancés dans leur carrière, aux métiers de la cybersécurité.
« Au-delà des enjeux techniques, les métiers de la cybersécurité sont avant tout des métiers de l’humain et de la résilience. Ce sont des métiers nobles et porteurs de sens. »
OpenClassrooms peut nous aider à former plus de gens, à faire monter en compétences des personnes déjà salariées, ou à encourager des reconversions ! Le nouveau cours Découvrez l’univers de la cybersécurité permet de comprendre les fondamentaux de la cybersécurité. On étudie des cas très concrets et très intéressants, notamment celui de l’attaque d’un hôpital (fictif) pour mieux saisir les enjeux. J’espère que ce cours créera des vocations et motivera des personnes à se former plus en profondeur sur le sujet.
Exactement, pas besoin d’être un expert en maths ou un ingénieur pour se lancer ! Il y a de la place pour tout le monde (15 000 postes non-pourvus en France !) dans des métiers bien rémunérés et challengeants. Par exemple, on parle beaucoup d’intelligence artificielle en ce moment. Les cybercriminels sont les premiers à utiliser cette technologie que nous devons, nous aussi, maîtriser pour mieux nous protéger, mieux détecter les attaques et mieux y répondre. Ce sont des défis technologiques importants et stimulants. Mais, au-delà des enjeux techniques, je veux insister sur le fait que les métiers de la cybersécurité sont avant tout des métiers de l’humain et de la résilience.
Les acteurs de la cybersécurité font en sorte que la transformation numérique se passe pour le mieux en protégeant les individus, les organisations, la nation. La question n’est pas de savoir si on va être attaqué mais plutôt quand on va être attaqué et si nous serons assez résilients pour y faire face. Dans la cybersécurité, on doit gérer des situations qui peuvent parfois être dramatiques puisqu’il peut y avoir des vies humaines en jeu. Alors, quand on pense « cybersécurité », on devrait beaucoup plus penser à des métiers de l’humain, du relationnel, de la psychologie, de la diplomatie. J’insiste : le facteur humain est absolument essentiel. Finalement, la cybersécurité est un métier du « care » et, personnellement, je trouve que ça a du sens et que c’est très gratifiant.
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2030, ce n’est pas si loin. Pourtant, selon une étude de Dell et de l’Institut pour le futur, 85 % des emplois de 2030 n’existent pas encore. Ça vous fait flipper ? Pas nous !
On rembobine : vous vous souvenez d’où vous étiez en 2013 ? Le développement était réservé à une poignée de connaisseurs. La data et l’intelligence artificielle, ça ne voulait absolument rien dire. La réalité virtuelle, ça sonnait comme un bon titre de bouquin. Mais nous voici, 10 ans plus tard et ces métiers sont devenus des incontournables. Alors oui, ça va vite, le marché de l’emploi évolue rapidement, les compétences les plus demandées aussi et il y a de quoi avoir le tournis mais, chez OpenClassrooms, on est plutôt du genre à voir le verre à moitié plein : tous ces changements sont surtout sources de nouvelles opportunités ! La preuve : le secteur recrute en masse depuis plus de 10 ans et ça ne s’essouffle pas : 230 000 recrutements sont à prévoir d’ici 2027 selon des estimations de Numeum.
Alors, quels sont les métiers tech d’aujourd’hui et ceux qui feront demain ? Embarquement immédiat pour le futur.
C’est du charabia pour vous ? Aujourd’hui, les recruteurs manient à merveille le vocabulaire du développement pour attirer des pépites de plus en plus spécialisées. Il faut dire que ces métiers sont bien ancrés dans notre quotidien. Les développeurs d’applications mobiles sont en première ligne pour répondre à nos besoins d’utilisateurs nomades. Ils créent des applis qui nous aident à communiquer, travailler, nous divertir, nous alimenter etc.
Si tu veux que tes clients soient heureux, fidèles et qu’ils recommandent tes produits ou tes services à leurs amis, alors tu as intérêt à leur offrir une expérience de qualité. Et qui est-ce qui s’occupe de ça ? Les UX designers ! (Pour les novices, UX signifie User eXperience). Ils analysent les comportements des utilisateurs, font des tests et des recherches pour comprendre ce qu’ils aiment ou non. Puis ils utilisent leur créativité pour concevoir des designs, des interfaces et des parcours qui répondent aux besoins des utilisateurs et en font des clients fidèles.
Les spécialistes de la data sont plus que jamais en vogue ! Les entreprises ont compris que les données sont l’or noir de notre époque, et elles ont besoin de ces talents pour les exploiter à leur plein potentiel. Les spécialistes de la data sont des personnes clés pour aider les entreprises à mieux comprendre leur marché, à améliorer l’expérience utilisateur, à optimiser les processus et à voir plus clair dans leur univers complexe et en constante évolution.
Les trois métiers de la data – le data analyst, le data engineer et le data scientist – sont étroitement liés :
Les ingénieurs en intelligence artificielle sont les cerveaux derrière les robots et les systèmes autonomes. Ils programment les machines pour qu’elles apprennent et agissent comme des humains. À quand les voitures volantes ? Ils ont un rôle clé à jouer pour que ces technologies deviennent une réalité : ils développent des algorithmes et des modèles qui permettent aux machines de « penser » et de prendre des décisions. Très concrètement, en entreprise, ils permettent d’automatiser des processus, d’optimiser des systèmes et de résoudre des problèmes complexes.
Avec la hausse des cyberattaques, les entreprises ont besoin de vrais pros pour sécuriser leurs systèmes et leurs données. Les experts en cybersécurité utilisent des outils high-tech pour déceler les menaces et défendre les systèmes contre les hackers malveillants. Ces enquêteurs plongent dans les systèmes informatiques en profondeur, trouvent les failles de sécurité et déploient des solutions pour protéger les données et les réseaux d’entreprise.
Le testing, c’est un mot un peu moche (vous ne trouvez pas ?) pour désigner des professionnels d’une rigueur implacable. Car si les développeurs sont capables de créer des apps en un clin d’œil, ou presque, rien ne peut être lancé sans le travail des testeurs logiciel qui ont pour mission de détecter les erreurs et les défauts d’une app avant sa mise en production. Les entreprises veulent à tout prix améliorer leur expérience utilisateur, leur sécurité et leur fiabilité. Le rôle des testeurs est donc devenu crucial dans beaucoup de secteurs.
Les emplois liés à l’intelligence artificielle sont en pleine expansion, et ça ne va pas s’arrêter là ! Les spécialistes de l’apprentissage automatique, les ingénieurs en IA, les analystes de données, et les concepteurs de chatbots sont déjà de plus en plus recherchés par les employeurs. Mais de nouveaux métiers très spécialisés pourraient apparaître, comme les avocats en IA ou les évaluateurs d’impact de l’IA sur la société. Bref, l’avenir est prometteur pour ce secteur !
Avec la hausse du stockage d’informations en ligne et la multiplication des menaces de cyberattaques, les postes de spécialistes de la sécurité informatique, ingénieurs en sécurité, IAM engineers et analystes de la sécurité deviennent des piliers fondamentaux pour les entreprises. Le marché de l’IAM (gestion des identités et des accès) devrait atteindre 46 milliards de dollars d’ici 2028 grâce aux avancées de la technologie blockchain qui stimulent l’innovation dans ce domaine. Les experts en la matière vont donc rapidement devenir indispensables pour aider les entreprises à protéger leurs informations et à gérer l’accès aux données de manière sécurisée.
Le cloud computing, ou informatique en nuage en bon français messieurs dames, désigne l’accès à des ressources informatiques à distance. Il peut par exemple s’agir de solutions Saas (Software as a Service) comme des ERP, CRM, solutions e-commerce, plateformes de visioconférence ou outils de messagerie. Ces outils ont explosé ces dernières années, certains portés par l’essor du télétravail. Architectes, ingénieurs, administrateurs : les experts du cloud computing sont des professionnels spécialisés dans l’utilisation de la technologie du cloud pour aider les entreprises à stocker, gérer et traiter leurs données de manière efficace et sécurisée.
Les développeurs de blockchain ont pour mission de concevoir et de mettre en place des applications qui utilisent cette technologie dont on a beaucoup entendu parler ces dernières années (le bitcoin, vous connaissez). Ces professionnels seront de plus en plus convoités car de plus en plus d’entreprises cherchent à adopter la technologie de la blockchain pour garantir la sécurité et l’intégrité de leurs données. Avec un marché qui devrait atteindre plus de 57 milliards de dollars d’ici 2025, les développeurs de la blockchain peuvent envisager une carrière prospère et prometteuse.
L’Internet des objets (IoT) est l’une des tendances technologiques les plus importantes des prochaines années. Les ingénieurs spécialisés dans l’IoT sont très demandés pour leur capacité à développer et déployer des technologies qui permettent aux objets physiques de se connecter et d’interagir sur Internet. On imagine que vous connaissez déjà. Plus besoin de bouger du canap’ pour allumer les lumières, contrôler le chauffage et j’en passe. Avec plus de 30 milliards d’appareils connectés prévus d’ici 2025, les perspectives d’avenir pour les ingénieurs en IoT sont très prometteuses.
Et sinon ? On aurait pu vous parler d’architecte en terraformation planétaire, qui s’occuperait de rendre une planète habitable pour les humains, de pilote de voiture volante autonome pour superviser les vols et intervenir en cas de problèmes, de technologue d’immortalité numérique pour stocker les souvenirs et émotions en format numérique. Mais on est plus convaincus par les métiers de la tech : un secteur en pleine croissance qui offre de nombreuses opportunités pour les personnes qui cherchent à travailler dans un domaine passionnant et innovant. Avec des avancées constantes en matière de technologie, les possibilités sont infinies !
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Nos ancêtres en tomberaient de leur chaise : en 2023, occuper le même poste durant toute sa carrière est devenu rare. D’aucuns iraient même jusqu’à affirmer que c’est ringard !
En effet, ces dernières décennies, le travailleur 2.0 est devenu de plus en plus flexible et polyvalent. Capable de se glisser dans un nouveau métier et d’adopter de nouvelles compétences, tout comme il enfilerait un nouveau T-shirt ! Plus qu’une tendance, c’est devenu une réelle nécessité : dans un contexte de constante évolution du marché du travail, 72 % des employeurs déclarent que cette capacité à s’adapter, se recycler même et assumer de nouveaux rôles est déterminante. 41 % ajoutent que le développement de leurs collaborateurs à travers le reskilling, l’upskilling et le cross-skilling est leur priorité absolue.
Mais quelle réalité se cache derrière ces anglicismes barbares ? Sont-ils simplement de nouveaux termes à la mode, ou des concepts réellement essentiels à comprendre ? Spoiler alert : le reskilling, l’upskilling et le cross-skilling sont bel et bien des notions importantes. Ils désignent chacun une approche de la formation continue et des compétences, qu’il vous faut maîtriser pour naviguer dans un futur du travail complexe… Reste à savoir laquelle est adaptée à votre situation et peut vous aider à avancer sereinement dans votre carrière. Pas de panique : dans cet article, nous vous aidons à décrypter ces termes et à vous les approprier !
Commençons par le reskilling. Ce dernier consiste à se former pour acquérir de nouvelles compétences. En bon français, on pourrait le traduire par « requalification ». L’idée, lorsque vous effectuez un reskilling, c’est que vous apprenez quelque chose de totalement nouveau. En général, ce dernier permet d’évoluer dans sa carrière et d’endosser un rôle différent.
Et dans un monde où les métiers changent à toute vitesse, c’est une approche très importante. En effet, le Forum économique mondial prévoit que 50 % des travailleurs devront se reskiller au cours des cinq prochaines années !
Le reskilling est une méthode privilégiée par les entreprises pour renforcer les compétences et les capacités de leurs équipes. Face à des contraintes de recrutement toujours plus intenses, les employeurs préfèrent en effet contribuer à la reconversion de leurs collaborateurs plutôt que de chercher de nouveaux talents en externe. Une bonne nouvelle pour vous, puisque cela vous donne la possibilité d’explorer de nouveaux domaines au sein de votre entreprise !
Plus concrètement, le reskilling est souvent une démarche enclenchée par votre employeur. C’est souvent lui qui vous proposera un parcours de formation et des ressources pédagogiques pour vous accompagner tout au long de votre apprentissage.
Pour votre entreprise, le reskilling, c’est un peu la stratégie du couteau suisse. Plutôt que d’embaucher une nouvelle personne (surtout sur des postes mixtes, pour lesquels la quête du mouton à 5 pattes est franchement difficile), le reskilling ouvre la porte à l’évolution de profils en interne.
Pour vous, le reskilling est l’occasion d’opérer une reconversion professionnelle en douceur. Vous en aviez marre de votre job ? Bonne nouvelle : vous allez pouvoir acquérir de nouvelles compétences et préparer tranquillement la prochaine étape de votre carrière ! Si vous souhaitez évoluer au sein de votre entreprise, le reskilling est parfait pour prétendre à une palette plus large de compétences, de missions et de responsabilités. Si au contraire, vous avez plutôt en tête de prendre la tangente, il vous permettra de voguer vers de nouveaux horizons avec plus de sérénité (ohé ohé – pardon, on n’a pas résisté à l’envie de vous mettre cette chanson dans la tête).
Quoi qu’il en soit, si le reskilling vous paraît pertinent, il existe plusieurs dispositifs pour vous lancer !
Un bonus indéniable pour le candidat comme pour son employeur, c’est que les formations de reskilling sont souvent prises en charge par Pôle emploi (pour les demandeurs d’emploi) ou via le CPF( pour les personnes en poste). Cela peut être intégralement ou partiellement, en fonction de votre situation. D’autres dispositifs en lien avec la mobilité choisie ou contrainte peuvent également s’inscrire dans cette démarche de reskilling.
Du point de vue pratico-pratique, votre parcours de reskilling prendra généralement la forme d’une formation longue. Une étape nécessaire pour acquérir des compétences techniques, ou très éloignées de votre profil actuel ! C’est le cas par exemple si vous voulez découvrir des métiers liés à la data comme celui de Data Analyst. Chez OpenClassrooms, plus de 50 parcours de formation diplômants existent, pour se réorienter vers les métiers de demain.
D’un point de vue plus pédagogique, le reskilling suppose souvent d’alterner les supports théoriques et les exercices pratiques de mise en application. L’idée est d’évoluer progressivement et de vous permettre d’être très rapidement opérationnel sur vos nouvelles compétences. Bref, avec le reskilling : on vous jette dans le bain le plus tôt possible !
Le reskilling reste cependant une démarche lourde et exigeante. Après tout, elle consiste à apprendre un nouveau métier et repartir à zéro ! Si ce n’est pas votre objectif, l’upskilling et le cross-skilling sont peut-être plus adaptés pour vous…
L’upskilling (ou la « montée en compétences ») consiste, comme son nom l’indique, à monter d’un cran votre bagage professionnel. L’idée, c’est de booster le niveau de vos connaissances théoriques et pratiques dans votre domaine de prédilection. Et ce, afin de vous adapter aux évolutions et aux savoirs nécessaires dans votre rôle actuel.
Toujours selon le Forum Économique Mondial (on a pris un abonnement), l’upskilling est un enjeu crucial pour les entreprises et les organisations en raison du contraste de plus en plus frappant entre les compétences réelles des travailleurs et les besoins des entreprises. En gros, ce qu’on nous apprend sur les bancs de l’école n’est pas franchement en phase avec la réalité du monde du travail (prends ça dans les dents, l’hypoténuse). Lorsque l’on est en poste, il faut donc continuer à apprendre pour rester à la page dans son secteur d’activité.
PwC a même constaté que les entreprises qui intègrent l’upskilling dans leur stratégie de formation en interne peuvent augmenter de 10 à 15 % les avantages de leurs initiatives de transformation à grande échelle ! Une bonne nouvelle pour votre employeur (et pour la pérennité de votre job…).
Contrairement au reskilling, l’upskilling est plutôt une démarche continue que ponctuelle. L’idée, c’est de continuer d’évoluer avec votre industrie et de mettre constamment à jour vos compétences. C’est d’autant plus vrai pour les métiers techniques ou qui sont en constante évolution, comme le marketing ou le développement web par exemple.
L’avantage pour vous ? En élargissant votre champ de compétences, vous devenez essentiellement plus performant à votre poste. C’est un peu comme mettre vos compétences sous stéroïdes. Vous vous ouvrez aussi à de nouvelles opportunités et gardez un œil sur votre secteur, ses évolutions et son avenir à moyen et long terme.
Vous l’avez compris : l’upskilling vous permet de booster votre employabilité (un avantage majeur). À ce titre, vous pouvez vous lancer dans cette démarche après un bilan de compétences (pour identifier celles à renforcer). Ensuite, il vous est possible de bénéficier de dispositifs comme le CPF ou le FONGECIF pour vous former.
Étant donné que vous disposez déjà d’un solide bagage pédagogique et d’une expérience professionnelle significative, vous pourrez plus facilement intégrer l’upskilling à vos responsabilités actuelles.
Selon vos besoins, vous pourrez par exemple opter pour :
L’upskilling, c’est donc un petit lifting ponctuel de vos connaissances dans votre domaine d’expertise. Mais qu’en est-il si vous souhaitez développer des compétences transversales, ou sur un sujet connexe à votre métier ? C’est tout l’enjeu du cross-skilling…
Après le reskilling et l’upskilling, place au cross-skilling. Vous connaissez le crossfit : et bien c’est un peu la même chose. Mais plutôt que de travailler tous vos muscles en suant à la gym, vous allez développer des compétences complémentaires, couvrant un large spectre de rôles, de fonctions et de domaines d’applications. Autrement dit, le cross-skilling consiste à développer des « compétences polyvalentes ».
C’est tout bénéfice pour les entreprises, qui cherchent de plus en plus des profils polyvalents. Des talents qui comprennent à la fois les exigences de la conception d’un produit, les différentes stratégies de mise sur le marché et de marketing, mais aussi les besoins en maintenance et en support clients sont en effet ultra précieux. Qui n’aimeraient pas avoir dans ses rangs des personnes avec une vision à 360° de ses activités ?
Pour vous, c’est aussi tout bénef : fini le travail en silo et le bore-out. Vous êtes à l’aise dans plusieurs domaines, collaborez avec des départements différents et développez donc une vie professionnelle ultra riche et tout sauf monotone. Et plus vous vous rendez indispensable, plus votre place est assurée et valorisée ! Tout bénef on vous dit…
Cette approche de la formation continue est indéniablement bénéfique pour vous comme votre entreprise. Mieux vous comprenez votre organisation, plus vous êtes à même d’optimiser ses processus, de l’aider à innover, et donc d’évoluer avec elle.
Et si l’envie vous prend d’aller voir si l’herbe est plus verte ailleurs, les recruteurs sont eux aussi très intéressés par les profils de slasheurs (tant que les compétences multiples que vous possédez forment un tout cohérent).
La bonne nouvelle, si vous êtes intéressé par le cross-skilling, c’est que vous aurez l’embarras du choix. Toutes les disciplines vous ouvrent les bras ! À condition, bien sûr, qu’elles aient une complémentarité avec vos compétences actuelles et soient alignées aux besoins de votre secteur.
Le marché de la formation regorge aussi de formats et d’offres dans ce domaine.
Et si vous souhaitez découvrir de nouvelles compétences porteuses, pourquoi ne pas faire un tour du côté de nos programmes? Vous y trouverez de nouvelles cordes à ajouter à votre arc comme des cours sur le leadership, la cybersécurité ou la prise de parole en public.
Maintenant que vous arrivez à faire la différence entre reskilling, upskilling et cross-skilling (et ce n’était pas gagné), vous vous posez peut-être encore la question : quelle voie choisir ? En effet, pas si simple d’identifier quelle méthode est la plus adaptée à votre profil.
Un bon bilan de compétence peut se révéler nécessaire pour faire le point sur vos compétences actuelles et vos aspirations. Cela vous permettra aussi d’identifier les besoins concrets de votre marché et les compétences de demain à vous approprier ! Voyez-le comme une cartographie de vos connaissances et un bon socle pour déterminer les domaines que vous souhaitez explorer. Il vous servira également par la suite pour mesurer vos progrès et accompagner votre carrière…
Si vous êtes actuellement en poste, c’est une démarche que vous pouvez entamer avec votre service RH. À l’inverse, si vous cherchez un travail, n’hésitez pas à vous faire aider par l’OPCO le plus proche (l’opérateur de compétences chargé d’accompagner la formation professionnelle).
Ensuite, une fois le bilan effectué et la bonne approche (reskilling, upskilling ou cross-skilling) identifiée, il ne vous restera plus qu’à vous lancer ! Croyez-en notre (longue) expérience, le plus important est de diversifier les canaux d’apprentissage afin de trouver la formule qui vous convient. Et puis, varier les plaisirs rend la formation plus fun et plus tenable sur le long terme…
Pour choisir le format, tenez compte :
Quelle que soit la voie que vous choisissez, vous former en continu est un enjeu crucial pour rester pertinent. Alors bon apprentissage !
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Il est loin le temps des lourds manuels scolaires glissés dans le sac à dos et de l’incessant métro-boulot-dodo. Certains diront, comme toujours, que « c’était mieux avant », avant l’avènement des technologies, avant la révolution numérique. On vous l’accorde, c’est vrai que les K7 avaient un certain charme. Mais la transformation numérique, c’est aussi des barrières qui tombent. Pour le mieux.
Le numérique a transformé et continue de transformer la société : il s’immisce dans tous les aspects de nos vies, à tous les âges, et révolutionne nos manières de communiquer, d’interagir, de s’informer et de s’amuser. Mais aussi de se former et de travailler.
Car depuis les années 90, et évidemment accéléré par la désormais historique crise sanitaire du Covid-19, le développement d’outils formidables a fait tomber les murs de la salle de classe et des bureaux. Rien que ça, oui. Grâce au numérique, plus de personnes peuvent accéder à une éducation de qualité et intégrer le marché du travail. Bref, la révolution numérique porte bien son nom : elle révolutionne l’éducation et le travail pour réinventer la formation, transformer l’entreprise, créer de nouvelles opportunités… et transformer nos vies ?
Le numérique, c’est un meilleur accès à l’éducation : la formation pour tous, partout, tout le temps, pour peu qu’on ait une simple connexion Internet. Le savoir n’est plus contenu que dans les seuls livres ou dispensés dans les grandes universités.
Plus besoin de passer sa journée à la BU ou de dépenser tout son livret A dans des livres recommandés par les professeurs. C’est la beauté d’Internet (pour peu qu’on sache où chercher, c’est vrai). Tous les étudiants, d’où qu’ils viennent, ont accès à une grande variété de ressources en ligne aux formats variés qui permettent d’être consommés à tout moment : cours, tutos, livres, vidéos, podcasts. Souvent gratuites (ou au moins peu coûteuses), ces ressources permettent à chacun d’approfondir ses connaissances sur un sujet ou d’en explorer de nouveaux. Les bases du code, la philosophie dans l’Antiquité Grecque, l’histoire de la mode : peu importe ce qui vous plaît, vous trouverez des informations sur le sujet.
Plus besoin, aussi, de déménager à l’autre bout du pays, voire du monde, seul et sans argent, pour aller dans une université super renommée. Les plateformes d’apprentissage en ligne (comme Openclassrooms, coucou !) ont démocratisé l’accès à l’éducation : elles proposent des formations reconnues, diplômantes et dispensées par des experts du domaine, à suivre depuis son canapé, sans avoir besoin de casser la tirelire pour un studio à Paris. C’est cadeau.
Pas besoin non plus de squatter les bancs de l’amphi toute la journée, 5 jours sur 7. C’est peut-être là LE grand atout de l’e-learning : les acteurs de l’éducation numérique proposent des formations ultra flexibles à suivre quand bon nous semble. Peu importe où l’on vit, si l’on travaille déjà ou pas, si l’on a des enfants à charge etc. : chacun s’adapte en fonction de ses contraintes personnelles.
Évidemment, puisque l’on peut se former partout et tout le temps, la formation ne s’adresse plus qu’aux seuls jeunes. On peut être étudiant à 30, 40, 50 ans. Grâce aux outils numériques, on se forme à n’importe quel âge et dans n’importe quelle situation, que l’on soit étudiant ou déjà salarié d’ailleurs. Car, en tant que salarié, l’e-learning permet de se perfectionner et de se reconvertir quand on veut.
Vous avez déjà entendu parler de l’IA, non ? On la retrouve aussi dans l’éducation : l’intelligence artificielle permet de personnaliser l’expérience d’apprentissage. Terminées les formations uniformes et (parfois) ennuyeuses. L’IA crée des formations adaptées aux besoins individuels et au niveau de chaque étudiant en déterminant son niveau de compréhension et en ajustant le contenu des cours en conséquence. De quoi l’aider à progresser plus rapidement et à atteindre ses objectifs plus facilement.
La transformation numérique, et plus encore la crise du Covid-19, a accéléré l’adoption des outils digitaux par les entreprises en changeant profondément leur organisation et leurs modes de travail. Qu’est-ce que ça change pour les salariés ? De plus en plus d’entreprises se métamorphosent en environnements plus flexibles et plus stimulants.
On a beaucoup (trop) parlé de Zoom ces derniers temps. Mais ce n’est pas pour rien. Tous ces outils de stockage de données et de messagerie d’entreprise permettent une meilleure gestion des informations, où que soient les salariés. Plus question de se réunir à 15 dans une salle sans fenêtres ou de stocker des dossiers aux archives du sous-sol. On peut accéder aux informations à tout moment et en tout lieu. Ce qui permet au final de développer la flexibilité pour les travailleurs (à vous le télétravail et les horaires flexibles !) et de leur fournir un environnement de travail de meilleure qualité.
Les outils de communication à distance et de gestion de projet ont révolutionné le travail collaboratif : messageries instantanées, e-mails, vidéoconférences, réseau social d’entreprise, planificateurs et j’en passe, permettent aux salariés d’interagir en temps réel, de partager des informations et de travailler en collaboration. Même à distance. Vous nous voyez venir : là encore, ces outils numériques permettent plus de flexibilité et développent la pratique du télétravail sans rien gâcher du team spirit !
Comment améliorer à la fois la qualité du travail ET la qualité de vie au travail ? Les outils de gestion de projet en ligne permettent une meilleure organisation, une meilleure collaboration, une meilleure communication. Ce qui permet aussi aux talents de se concentrer sur ce qui importe vraiment : des missions plus stratégiques et plus enrichissantes sur le plan professionnel. Parce qu’ils ont accès à des outils ultra-performants au quotidien, les salariés sont plus autonomes, plus responsabilisés et ont toutes les cartes en main pour s’adapter rapidement à des changements imprévus, ajuster leurs méthodes ou leur stratégie.
Les technologies évoluent rapidement (vous voyez l’iPod ?), les compétences, les métiers et la manière dont nous les exerçons en entreprise aussi.
Dans un monde de plus en plus numérique, les compétences tech, digitales ou numériques (choisissez votre camp) sont essentielles pour réussir dans presque tous les emplois. Ça, les recruteurs le savent. Une chance pour les plus jeunes générations, j’ai nommé les Millenials et les Gen-Z, qui baignent dans les technologies depuis leur plus tendre enfance. Les salariés sachant les manier sont mieux préparés pour le marché du travail et peuvent plus facilement s’adapter aux évolutions technologiques à venir.
Les compétences numériques sont toujours plus convoitées par les recruteurs qui cherchent à attirer des talents ayant développé une maîtrise approfondie des technologies (programmation, analyse de données, digital marketing ou cybersécurité pour ne citer qu’eux). Ces compétences sont aujourd’hui super sexy sur le marché du travail car essentielles pour la réussite d’une entreprise dans un monde de plus en plus numérique. Pour les talents possédant ces atouts, c’est le jackpot : ils peuvent accéder à des emplois bien rémunérés dans une grande variété de secteurs.
Les technologies évoluent sans cesse et rapidement. Logiquement, les compétences et les outils à maîtriser aussi. Les salariés doivent donc se former régulièrement et les entreprises n’hésitent pas à investir dans leur formation. Travailler dans le secteur du numérique, c’est travailler dans un secteur super stimulant et avoir l’occasion de toujours apprendre de nouvelles compétences, d’améliorer ses connaissances pour rester à jour avec les dernières tendances.
Les métiers du numérique sont souvent liés à la conception, au développement et à la mise en œuvre de solutions innovantes et créatives pour répondre aux besoins des utilisateurs et des clients. De quoi satisfaire tous les profils ! Les créatifs peuvent devenir designers, social media managers ou rédacteurs de contenu. Les stratèges peuvent se spécialiser en digital marketing, en data analyse et ou en transformation numérique. Les plus techniques, eux, feront de bons développeurs ou ingénieurs en informatique. En bref : avec une grande variété de postes, tous les profils peuvent s’épanouir dans les métiers du digital.
Arriver au boulot à 8h, bosser jusqu’à 18h, rentrer chez soi. Et si ce n’était plus la norme ? Le numérique, on l’a tous vécu pendant la crise sanitaire, permet aux salariés de travailler à distance : une flexibilité qui leur permet d’accéder à un meilleur cadre de vie et de trouver un meilleur équilibre entre leur vie professionnelle et leur vie personnelle.
Vivre en Provence tout en travaillant à Paris, c’est possible. Le travail à distance est en train de devenir la norme pour de nombreuses entreprises, permettant aux salariés de travailler de n’importe où dans le monde. Les outils de communication en ligne permettent de maintenir des interactions professionnelles à distance et le lien avec les collègues. Plus besoin de passer autant de temps dans les transports ou de vivre dans un petit studio pour garder son boulot. Une autre vie est possible grâce à la flexibilité, au télétravail partiel ou même à 100 %.
Parcourir la planète en travaillant, c’est possible aussi ! Une connexion internet et le tour est joué pour les talents maîtrisant des compétences numériques. De plus en plus conscientes de la valeur ajoutée apportée par les travailleurs indépendants, les entreprises font appel à ces spécialistes pour des missions ponctuelles ou de longue durée, pour les conseiller ou les soutenir dans certains projets quand elles n’ont pas les compétences en interne. La flexibilité à l’extrême, des responsabilités énormes et de l’autonomie totale.
La transformation numérique a révolutionné notre vie et a considérablement transformé l’éducation et le monde du travail pour offrir de nouvelles opportunités pour tous, faisant tomber les barrières et permettant à chacun de s’épanouir dans son travail et sa formation.
Et demain ? Les évolutions numériques ne vont pas s’arrêter là. La réalité virtuelle et augmentée, l’intelligence artificielle et bien d’autres technologies pas encore inventées viendront améliorer les expériences des étudiants, pour créer des formations plus personnalisées et plus stimulantes encore, et des salariés, pour leur offrir un cadre de travail plus épanouissant. Les mondes de l’éducation et du travail continueront de se transformer, encore et encore. À quand des cours de marketing dans le métavers avec Mark Zuckerberg ?
L’article Numérique : nouvelle éducation, nouveau travail, nouvelle vie ? est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.
Le métier de développeur figure en tête des plus recherchés par les recruteurs, selon une analyse de l’Apec. Cette première place a d’ailleurs été renforcée par la crise sanitaire, qui a accéléré la transformation numérique de l’économie. De plus en plus, les entreprises comptent en effet sur l’expertise technique de profils spécialisés dans le code. Le défi désormais pour ces profils : acquérir les bonnes compétences. OpenClassrooms, acteur majeur de la formation en ligne, partage ses meilleurs conseils pour aider les futurs développeurs à se lancer. Alors, comment percer dans le développement informatique ?
Si les envies de reconversion se multiplient, le développement web attire de plus en plus. Passionnés de nouvelles technologies, candidats à l‘aventure freelance : les talents sont nombreux. Et ça tombe bien : ce métier ne connaît pas la crise. Les entreprises ont besoin de développeurs, mais pas n’importe lesquels ! Une véritable tendance se dessine sur le marché du travail et certaines compétences Tech très précises deviennent bien plus prisées que d’autres. En s’appuyant sur de solides données marché ainsi que les retours d’expérience de développeurs experts, OpenClassrooms a identifié les plus recherchées actuellement.
Et si vous pouviez acquérir ces compétences, même sans avoir codé avant, à votre rythme, et sans retourner sur les bancs de l’école, avec un diplôme à la clé ?
Découvrez, en cinq étapes-clés, la marche à suivre pour apprendre les codes de votre future carrière.
Que vous soyez étudiant, en recherche d’emploi ou déjà en poste, vous êtes en plein questionnement autour de votre carrière. Vous ne savez pas coder, ou avez quelques connaissances en développement. Mais ce secteur vous plaît et vous sentez que vous pourriez vous épanouir dans un métier technique.
Alors vous êtes au bon endroit. Pour aider un maximum de personnes à obtenir un emploi d’avenir dans la création de sites web, OpenClassrooms propose de nouvelles formations accessibles quel que soit l’âge ou le parcours. Ces formations ont été lancées pour répondre à une véritable demande, comme l’explique Nicolas Patschkowski, Learning designer en charge de ce projet : « Le marché recherche des développeurs spécialisés, car les technologies de développement, langages et outils, sont de plus en plus diversifiés. Les entreprises ont besoin de développeurs performants, spécialisés dans un langage. »
Quel métier sera le plus adapté à vos envies de carrière ?
Le Développeur WordPress est autonome, créatif, technique et aime la diversité de projets. Il est capable de créer facilement des sites sur-mesure de A à Z sur WordPress, le CMS sur lequel sont hébergés 42,9 % des sites web aujourd’hui. Mais il dispose également de solides compétences techniques pour rendre un site performant et le personnaliser au mieux selon les besoins des clients (blogs, sites e-commerce ou vitrines).
L’intégrateur web travaille également sur des projets variés, avec une forte expertise dans le code. C’est la partie la plus visible des sites web dont il est en charge : l’interface. Il maîtrise React : l’un des frameworks JavaScript les plus utilisés. Sa mission : intégrer les éléments visuels demandés par un client dans les pages d’un site web pour créer une interface harmonieuse, dynamique et facilement navigable.
Vous y voyez plus clair désormais ! Mais alors comment passer du choix théorique d’un métier à son apprentissage concret ? Là est toute la force de la formation. Mais attention : pas n’importe laquelle.
De nombreuses formations existent dans le digital. Elles promettent toutes de vous apprendre vite et bien le métier de vos rêves. Comment s’y retrouver ? Il convient d’être très vigilant quant au sérieux de l’organisme choisi. Pourquoi OpenClassrooms serait l’école la plus adaptée à votre évolution de carrière ?
Historique. Parmi toutes les écoles existantes, OpenClassrooms occupe une place de choix dans la formation aux métiers du numérique depuis 2013 (et même dès 1999 avec le Site du Zéro !). Les chiffres sont évocateurs : nous avons déjà permis à des millions de personnes d’apprendre tous types de compétences techniques, dont 10 000 ayant suivi notre parcours “Développeur web”. Nos cours en ligne sont même utilisés dans plusieurs écoles d’informatique et d’ingénieurs, et plébiscités par de nombreux développeurs désireux de mettre à jour leurs acquis.
Contenu. Comment être sûr de bénéficier d’un enseignement de qualité ? La correspondance entre le contenu des formations OpenClassrooms et les compétences recherchées par les entreprises, est primordiale. Nous analysons en permanence l’évolution des métiers et mettons ainsi à jour un quart de l’ensemble de notre catalogue chaque année.
Reconnaissance. C’est grâce à cette expertise que la plupart de nos formations permettent désormais d’obtenir des diplômes de niveau reconnu par l’État : un gage de confiance supplémentaire. Et pour poursuivre notre mission de rendre l’éducation accessible à tous, nos formations sont éligibles à plusieurs types de financement, selon le statut de chacun.
Notre promesse : vous transmettre les connaissances les plus précises et actuelles possibles.
En tant que futur développeur, votre expertise fera toute la différence. Pour garantir un haut niveau technique dans ses deux nouvelles formations, OpenClassrooms a fait le choix de produire l’intégralité de ses contenus en interne, en s’entourant de profils dûment sélectionnés.
« Pour élaborer ces deux parcours, nous nous sommes appuyés sur des outils très puissants, permettant d’analyser de nombreuses données marché relatives à la recherche d’emploi, en vue de développer des référentiels de compétences. Nos ingénieurs pédagogiques travaillent également en continu avec des experts métiers, interrogés sur leur quotidien, pour identifier les méthodes, outils & acquis indispensables à leur métier. » Nicolas Patschkowski, Learning designer.
Ainsi, en 9 mois, les compétences que vous maîtriserez en tant que Développeur WordPress et Intégrateur Web sont :
Chacun de ces deux parcours permet également de maîtriser la gestion de projet web, les outils de veille technologique, et les bases du SEO.
Mais rentrons dans le vif du sujet : comment notre école va-t-elle vous former, vous, à votre futur métier ?
Se former demande un véritable engagement. Pourtant, même si l’envie de faire évoluer sa carrière est là, la motivation peut manquer pour mener à bien ce projet de vie. Chez OpenClassrooms, nous avons étudié tous les mécanismes de l’apprentissage et élaboré une pédagogie innovante avec un seul objectif : faciliter et optimiser la formation, pour tous. Tout a été pensé pour que vous alliez au bout de nos parcours, et viviez une belle expérience personnelle et professionnelle. Se former ne ressemble alors en rien à ce que vous avez expérimenté à l’école auparavant. Les spécificités de nos formations sont :
Alors, oui, certains diront que se former en ligne demande beaucoup d’autonomie. Mais Nicolas Patschkowski, Learning designer, précise : « C’est un challenge utile pour tous les futurs développeurs, car ce métier nécessite d’être autonome avec les outils digitaux, d’être capable de se former sur internet, trouver ses réponses par soi-même, demander à d’autres professionnels. »
S’il y a bien un métier qui ne connaît pas la crise : c’est celui de développeur ! Mais quel environnement de travail vous attire le plus ? Les développeurs WordPress sont très recherchés en agences web et sont nombreux aussi à se lancer en freelance. Les intégrateurs web se retrouvent beaucoup dans les start-ups et entreprises Tech, mais aussi en ESN.
De débutant à développeur, il n’y a qu’un pas. Alors, une fois votre formation diplômante dans le développement web terminée : que se passe-t-il ? OpenClassrooms met tout en œuvre pour favoriser votre employabilité. « Nos formations sont professionnalisantes. Elles ont pour but de rendre tous les apprenants employables en tant que développeurs junior ! », explique Nicolas Patschkowski.
« Nos formations sont professionnalisantes. Elles ont pour but de rendre tous les apprenants employables en tant que développeurs junior ! »
Nicolas Patschkowski, Learning designer.
Tout au long du parcours, vous avez réalisé une succession de projets concrets, avec l’aide de votre mentor, et les avez présentés à des experts métiers dans le cadre de sessions d’évaluation. Ces projets sont désormais rassemblés au sein d’un portfolio : véritable vitrine de vos capacités techniques ! Après avoir validé toutes les étapes requises, vous obtenez votre diplôme : une certification RNCP de niveau 5 (équivalent bac +2) reconnue par l’État. Vous avez désormais toutes les cartes en main pour commencer votre nouvelle vie professionnelle et être épanoui dans un travail qui vous plaît.
OpenClassrooms propose, à la fin de la formation, un parcours de coaching à l’emploi pour tous les étudiants qui le désirent. Des coachs spécialisés en insertion professionnelle peuvent alors les aider à préparer leurs CV, leurs lettres de motivation et leurs entretiens, en vue d’optimiser leur recherche d’emploi. De quoi mettre toutes les chances de votre côté !
Alors, pourquoi pas vous ?
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Faites un bond dans votre carrière grâce au développement informatique et avec OpenClassrooms !
Postulez pour vous former à votre futur métier :
Découvrez également ici tous nos parcours de formations diplômants dans le développement informatique.
Développement web : se former dès maintenant à un métier d’avenir
L’article Devenez Développeur en 5 étapes est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.
Gel des salaires et dépublication de 50% des offres au premier semestre 2020, les effets de la crise du Coronavirus sur le marché du travail se sont vite faits sentir. Alors, comment faire lorsqu’on ne projette pas de travailler dans l’un des secteurs devenus plus que jamais « essentiels », tels la santé ?
De plus en plus de nouveaux métiers apparaissent sous l’influence du numérique. Comment savoir lesquels seront demandés demain ? En dépit de la crise économique, de très belles places restent à prendre dans bien des domaines du numérique ou liés au numérique (tous les métiers qui ont été impactés par la digitalisation, par exemple responsable paie ou RH). Quels seront les métiers digitaux les plus en vogue en 2021 ? Nous avons croisé plusieurs études pour faire le point.
Il fait partie des métiers qui sont structurellement en déficit de talents. Autrement dit, puisqu’on manquait de gestionnaires de paie en 2020, on devrait aussi en manquer en 2021. Cette pénurie de profils explique que ce métier soit le premier sur la liste * de ceux qui vont augmenter en 2021 selon Capital.
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Vous avez décidé d’apprendre ce métier ? La formation Gestionnaire de paie en alternance est faite pour vous.
Envie de commencer par tester ce métier puis d’être accompagné(e) pour trouver une alternance pour l’apprendre ? Direction le Programme Prép’Apprentissage 100% financé.
Métier star car l’un des plus demandés ** depuis le déconfinement (il figure en 4ème place), il a de beaux jours devant lui. Pour relancer l’économie et surtout leurs ventes, les entreprises devront redoubler d’efforts commerciaux et auront donc besoin de renforts. Ce métier aussi devrait voir son salaire augmenter en 2021, toujours selon Capital.
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Là encore, si les développeurs étaient trop peu nombreux pour l’explosion de demandes en 2020, ils devraient le rester en 2021. L’étude Michael Page sur les recrutements face à la Covid-19 est claire, elle met en premier « l’ensemble des métiers de l’IT ». Il s’agit d’un échantillon large qui comprend les métiers de développeur Web, développeur mobile, technicien informatique, administrateur infrastructure et cloud… le métier de développeur étant le 8ème le plus recherché entre le premier et le deuxième confinement.
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Vous êtes demandeur(se) d’emploi ? Pôle Emploi finance votre formation à temps plein grâce au programme “Solution 100% à distance”.
Chef d’orchestre sur des projets Web, le chef de projet digital est de plus en plus recherché. De nombreuses entreprises font appel à lui pour gérer des projets complexes, au carrefour entre les ventes, le marketing et la Tech (développeurs, équipes produit et IT). Pas étonnant donc qu’on le retrouve dans la liste des métiers dont le salaire va augmenter en 2021.
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La formation Chef de projet est parmi les plus suivies de l’école en ligne OpenClassrooms : foncez ! Elle est disponible aussi en alternance.
Vous êtes demandeur(se) d’emploi ? Pôle Emploi finance votre formation à temps plein grâce au programme “Solution 100% à distance”.
L’étude *** Michael Page publiée à l’automne 2020 met en avant les profils de la data comme des réservoirs à emploi. Selon ces experts, le numérique et les nouvelles technologies resteraient toujours aussi porteurs.
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Prêt(e) à devenir data analyst ou data scientist ? Cette formation est disponible aussi en alternance et est financée par Pôle Emploi si vous êtes demandeur(se) d’emploi. Postulez au programme “Solution 100% à distance”.
Tout aussi en demande que les métiers de l’IT, celui d’UX designer a la cote. Chargé de proposer la meilleure expérience utilisateur possible sur un produit numérique (site, application, etc), il est indispensable aux entreprises du numérique. Lui aussi devrait voir son salaire augmenter en 2021.
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Vous avez décidé de devenir UX designer ? La formation d’UX designer en alternance est faite pour vous.
Dans une société régie par la donnée, le secteur de la cybersécurité est en plein essor. Nul doute que les experts encore trop peu nombreux pour les besoins croissants des entreprises seront demain encore très recherchés.
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Vous avez décidé de travailler dans la cybersécurité ? Jetez un coup d’œil au Master « Responsable en Sécurité des Systèmes d’Information » délivré par l’Université de Technologies de Troyes sur OpenClassrooms. Cette formation est disponible aussi en alternance.
Pour les demandeur(se)s d’emploi, Pôle Emploi vous propose une formation à temps plein et 100% financée de Responsable en sécurité des systèmes d’information.
De manière contextuelle, les responsables des ressources humaines devraient également être plus mobilisés que jamais. Certaines entreprises au climat social instable feront en effet appel à leurs services pour faire passer la tempête, selon l’étude Michael Page.
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Vous avez décidé d’apprendre ce métier ? La formation Responsable RH en alternance devrait vous convenir.
Plus que jamais, c’est un défi de s’orienter sur le marché du travail. De nouveaux métiers apparaissent en permanence, alors que certains postes se font rares. Nous espérons que cet article vous aura aidé(e) à voir quelles voies seront prometteuses dans les mois à venir.
Et si vous souhaitez bénéficier d’une aide pour vous former ou vous reconvertir, sachez que nos équipes sont disponibles. Nous vous accompagnons de votre orientation ou votre recherche d’alternance, vous suivons tout au long de votre formation et jusque dans votre recherche de job, à l’aide d’un coach RH dédié.
* Source : Capital, 2020 (Lien).
** Source : La Dépêche (Lien).
*** Source : Michael Page, 2020 (Lien).
L’article 8 métiers du digital très recherchés de l’après-crise est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.
Dans nos sociétés à l’évolution rapide, l’accès à l’éducation et aux compétences du numérique seront déterminants pour façonner un monde plus inclusif et durable.
« De nombreux acteurs s’engagent déjà pour faire rimer numérique et inclusion. Parmi eux, l’école en ligne OpenClassrooms travaille notamment avec plusieurs acteurs pour accompagner des personnes réfugiées dans leur intégration professionnelle en leur permettant de se former à des métiers en tension. Un dispositif qui révèle le potentiel des personnes réfugiés en même temps qu’il traduit l’ambition de l’entreprise : rendre l’éducation accessible ».
Maureen Sigliano, Présidente du Comité d’Impact d’OpenClassrooms
Depuis quelques années déjà, des associations et des entreprises prennent à bras-le-corps la problématique de l’accompagnement des personnes réfugiées. Et pour cause : dans un monde jalonné par les guerres et où les dérèglements climatiques exponentiels pourraient amener 140 millions de personnes à devoir se déplacer d’ici à 2050*, cette problématique déjà prégnante risque de devenir centrale pour bon nombre d’États.
Loin d’adopter une vision misérabiliste de la situation, Techfugees est une organisation internationale qui œuvre à accélerer l’inclusion sociale des personnes déplacées à travers une utilisation responsable des nouvelles technologies. OpenClassrooms et des employeurs gagnés à la cause des personnes réfugiées ont à cœur de faire leur part en permettant l’accès à des formations certifiantes ou diplômantes à distance et en embauchant ces talents.
L’un des programmes phares de Techfugees s’intitule TF4WOMEN (Tech For Women). Il vise l’orientation et l’insertion professionnelle de femmes au statut de réfugiées dans les métiers du numérique. Pour Marine Plossu, Responsable Programmes & Partenariats chez OpenClassrooms, les synergies avec OpenClassrooms sont naturelles : « Techfugees fait partie des associations qui agissent pour l’insertion professionnelle des réfugiés politiques ou environnementaux. Nous travaillons aussi avec Wintegreat, Singa et des CPH pour ne citer que ces structures. Elles sont nombreuses à épauler les réfugiés. Chez OpenClassrooms, nous rendons l’éducation accessible via des formations diplômantes, professionnalisantes et accessibles à distance. En outre, nous attachons une importance particulière au fait de favoriser l’insertion des femmes dans les métiers du numérique, avec le concours d’employeurs engagés comme RTE ou Cstar. Nous sommes fiers d’avoir mis sur pied cette collaboration vertueuse avec Techfugees et RTE. Nous espérons la voir se démultiplier dans les mois à venir ! ».
Justement, depuis 2019, les participantes au programme d’insertion de Techfugees, désignées par le termes de “fellows”, suivent les cours d’OpenClassrooms sur les métiers de la Tech afin d’obtenir des certificats reconnus par les employeurs français. Ces cours sont assortis de sessions de mentorat assurées par des employés issus des rangs des partenaires du programme TF4Women comme RTE, BNP Paribas, Leetchi-MangoPay ou encore Cisco France.
Pour Joséphine Goube, CEO de Techfugees,
C’est une formidable opportunité pour nos fellows qui sont en majorité qualifiées à hauteur d’un BAC +3, de voir leurs compétences enfin validées et reconnues par des employeurs français.
« Quant à l’embauche, elle est simplifiée par la relation de confiance qui s’installe au travers des sessions de mentorat et de la progression constatée sur la plateforme d’OpenClassrooms« . Mieux encore, plusieurs fellows ont su trouver un emploi en alternance à l’issu du programme et dans le cadre d’une formation diplômante chez OpenClassrooms.
C’est le cas d’Ozlem et Mojan, toutes deux en alternance au sein de RTE, une entreprise du secteur de l’énergie.
Ozlem, jeune militante turque de 29 ans et réfugiée politique en France, y est arrivée en juillet 2017. Elle suit le parcours développeuse web en alternance chez RTE.
Mojan, elle, est iranienne. Également arrivée en France en 2012, elle fait alors de l’apprentissage du français une priorité. Volontaire, elle réussit à convaincre un agent de la Mairie de Paris de l’embaucher comme assistante en maternelle. Elle y reste quatre ans, avant d’essayer de trouver un emploi dans la chimie, sa formation en Iran. Malgré un stage chez l’Oréal, elle ne parvient pas à décrocher de poste : « bien que ma licence en Chimie ait une équivalence en France, c’était difficile de retrouver un emploi dans cette branche. Aucun poste n’était ouvert chez l’Oréal à l’issue de mon stage… ».
Je pense que j’avais surtout besoin de me remettre sur des rails, de retrouver confiance en moi et de me rediriger vers un secteur plus porteur .
Coup du destin, Mojan entend parler de Techfugees, qui propose un programme d’insertion des réfugiés dans la Tech. Tout se dénoue pour elle : « Le programme Fellowship était très complet. Au fil des visites chez les entreprises de la Tech et des cours sur OpenClassrooms, en 6 mois, j’avais confirmé mon intérêt pour la gestion de projet. J’avais déjà travaillé avec les méthodes en cascade en Iran, et donc je voulais creuser. À un job dating organisé par Techfugees, j’ai rencontré le directeur recherche et développement de RTE, qui a été intéressé par mon profil. Aujourd’hui, je me forme au métier de Product Manager au sein de cette entreprise du secteur de l’énergie. C’est passionnant ».
Pour les deux jeunes femmes, le soutien de Tech fugees et d’OpenClassrooms ainsi que la confiance des équipes de RTE leur a permis de se forger des perspectives d’avenir à la hauteur de leurs ambitions et compétences, en France.
L’équipe de Techfugees en est convaincue : les personnes déplacées représentent un potentiel humain et professionnel invisible. Ce sont des femmes le plus souvent éduquées qui parviennent à se réfugier en Europe. Elles sont donc frustrées de ne pas pouvoir reprendre leur carrière dans leur pays d’accueil. Pour Joséphine,
c’est grâce à la collaboration constructive entre des employeurs engagés comme chez RTE, l’équipe professionnelle et bénévole de Techfugees qui identification et accompagne ces personnes réfugiées et à la mise à disposition efficace de contenus pédagogiques dispensés par OpenClassrooms, que nous avons pu offrir aux fellows les opportunités qu’elles méritent.
En effet, 80% des fellows ont reçu des offres d’emplois à la sortie. « C’est une première étape, importante, vers une éducation plus inclusive, conduisant à l’embauche et à la reconnaissance des compétences de femmes réfugiées en France dans les secteurs du numérique », conclut la cheffe d’entreprise.
L’enthousiasme de Isabelle Tanguy, Pilote de projets en Ressources Humaines chez RTE, est représentatif des retours que font les entreprises face à la qualité des candidats issus des programmes de Techfugees. Pour elle, embaucher une réfugiée est à la fois gage du sens éthique de l’entreprise, mais aussi une réelle opportunité de recrutement. « Nous sommes ravis de nous associer à OpenClassrooms pour permettre aux femmes réfugiées de s’insérer sur le marché de l’emploi. Grâce à ce type d’alliance, nous générons des opportunités pour des futurs talents numériques. Ce partenariat entre les deux entreprises et l’association Techfugees résulte d’une collaboration naturelle qui traduit une vision commune ; créer un impact positif fort et pérenne chez les femmes réfugiées en formant les talents de demain. »
Ce partenariat entre les deux entreprises résulte d’une collaboration naturelle qui traduit une vision commune ; créer un impact positif fort et pérenne chez les femmes réfugiées en formant les talents de demain.
Au côtés de Techfugees et d’entreprises engagées pour le bien commun telles que notre partenaire RTE, OpenClassrooms espère que ce genre de programmes de formation solidaires ouvrira la voie à une éducation plus inclusive, juste et accessible.
* Source
[Saviez-vous que c’était le bon moment pour démarrer une alternance ? Jusqu’au 31 décembre 2020, le gouvernement propose une aide à l’embauche. Les entreprises peuvent toucher entre 5 et 8000€ de prime d’alternance supplémentaire. Le temps de recherche a aussi été étendu de 3 à 6 mois après le début d’une formation. Vous commencez sereinement votre parcours diplômant chez nous, et nous vous aidons à trouver votre employeur dans les mois qui suivent. Rendez-vous sur notre page Alternance]
L’article Techfugees, RTE et OpenClassrooms s’associent pour accélerer l’accès des femmes réfugiées à la formation et l’emploi dans la Tech est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.
Vous vous retrouvez soudainement en télétravail depuis la maison ? Vous vous demandez comment vous allez rester productif ? Pas de panique ! Nous avons ce qu’il vous faut.
Chez OpenClassrooms, le travail à distance fait partie de la vie quotidienne de nos étudiants, apprenants, mentors et d’une grande partie de nos employés.
Depuis sa création, OpenClassrooms a pour mission de rendre l’éducation accessible. Travailler à distance efficacement est l’un de nos fondamentaux ; après des années d’expérience, nous avons mis au point une méthode efficace et éprouvée pour bien s’organiser à distance.
Nous sommes là pour vous soutenir pendant cette période et sommes heureux de vous partager ce que nous avons appris pour un télétravail réussi. Cet article est le premier d’une série sur ce sujet en plein essor.
On définit les pièces dans lesquelles on travaille ou on ne travaille pas, enfin on aménage : c’est le moment de mettre du Feng Shui dans votre open space perso. On évite de placer le bureau face au mur, pour éviter de couper élan et créativité. On opte pour une vue dégagée et on s’assure d’être confortablement assis pour ne pas s’abîmer le dos !
Difficile de résister à la tentation de mettre sa tenue décontractée, n’est-ce-pas ? Pourtant, il est important de garder les mêmes rituels, se préparer et s’habiller comme si on se rendait dans un lieu de travail classique. Cela permet de garder un état d’esprit professionnel. Oubliez le jogging (ou pire le pyjama !) pour travailler depuis chez vous.
Soudain, vos ex-trajets en métro libèrent du temps, vous devenez donc plus flexible. Fini les pauses déjeuners ou cafés avec les collègues….ce qui vous donne une immense opportunité de vous fixer une organisation de travail à votre rythme.
Au bureau, il y a la machine à café – et les collègues – mais chez soi, c’est parfois plus compliqué. Utilisez vos pauses pour respirer et vous aérer, vous n’en serez que plus productif !
Vous pouvez aussi profiter d’être à la maison pour décompresser en faisant du sport devant une vidéo Youtube ou même prendre une douche. Pourquoi ne pas lancer une machine ou vider le lave-vaisselle pour vous changer les idées ? Ces tâches vous donneront le sentiment d’accomplir quelque chose et vous libéreront du temps pour des activités plus sympa.
Attention, ne tombez pas dans le piège de travailler d’une traite et sans pause. Vous ne tiendrez alors pas sur la longueur !
Travailler depuis la maison peut nous donner un sentiment d’isolement. Essayez de reproduire quelques une de vos interactions régulières avec vos collègues en les planifiant à travers des conférences téléphoniques. Ces échanges vous connecteront et vous engageront à votre environnement de travail.
N’hésitez pas également à utiliser des messageries instantanées telles que Slack ou WhatsApp pour les échanges plus informels. Si vous n’avez pas ces outils mis en place, référez vous à votre responsable pour voir lequel est le plus adapté.
Toujours dans un esprit d’échange évoqué plus haut, il est important de maintenir une dynamique d’équipe même si elle n’est pas physiquement rassemblée. Heureusement pour nous, grâce aux nouvelles technologies il est aujourd’hui plus facile de travailler ensemble à distance.
Planifiez des points réguliers avec votre équipe sur le même rythme que vous avez au bureau. Cela peut-être une conférence vidéo quotidienne ou hebdomadaire. Connectez toute l’équipe à travers une vidéo simule bien l’expérience “au bureau”, voir les expressions de vos collègues renforcent les échanges.
Puisque le télétravail augmente, le nombre d’outils collaboratifs en ligne se multiplie. Ce n’est pas le choix qui manque ! Parmi nos préférés :
Si vous vous sentez toujours un peu désorienté à l’idée de travailler à la maison, nous avons quelques cours en ligne accessibles gratuitement sur OpenClassrooms pour vous apprendre les compétences les plus pertinentes à acquérir pour rester productifs.
Voici notre sélection :
Travailler efficacement en équipe
Communiquez en utilisant les outils numériques
Et à partir des prochains jours, nous vous envoyons encore plus de conseils et d’inspirations pour faire de votre télétravail une réussite.
Au programme : comment gérer une équipe à distance et travailler depuis la maison avec des enfants ?
Pour aller plus loin…
L’article Comment être efficace en télétravail ? est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.
Chez OpenClassrooms, nous évaluons tout ce que nous faisons à l’aune de notre mission. Nous nous demandons : “en quoi est-ce que ce membre de l’équipe, cette formation, cette fonctionnalité donnera accès à chacun – et ce, quelle que soit sa situation actuelle – à une éducation abordable et de qualité ?”
Notre mission est notre étoile polaire.
OpenClassrooms est à une étape critique dans sa vie de d’entreprise. Dans le même temps où nous grandissons et proposons nos formations tout autour du monde, il est de plus en plus important d’établir avec certitude une méthode d’évaluation de l’efficacité de notre mission. C’est la raison pour laquelle nous prenons aujourd’hui une décision audacieuse.
Je suis ravi d’annoncer la création du Comité d’Impact d’OpenClassrooms.
Au sein de ce groupe seront rassemblées toutes les parties prenantes de l’entreprise, depuis la communauté éducative jusqu’au monde de l’EdTech. À compter d’aujourd’hui, ces experts nous aideront à tenir le cap de notre mission, de manière totalement indépendante.
Ce Comité d’Impact est un corps indépendant, chargé d’être le garant de la cohérence des décisions de l’entreprise par rapport à sa mission. Ce n’est pas un gadget : son existence a été actée dans nos statuts d’entreprise.
Les membres du comité ont d’ailleurs le droit de questionner les décisions du board d’OpenClassrooms et ses membres sont tenus d’y répondre. Il produira également un rapport annuel détaillant les progrès d’OpenClassrooms en termes d’impact.
Dans une démarche de transparence, ces rapports seront publics et consultables depuis notre site Internet.
La diversité qui fait la force de notre communauté a sciemment été préservée au sein du Comité. Ce dernier compte des employés, étudiants, diplômés, professeurs et mentors d’OpenClassrooms, ainsi que des experts indépendants, afin de garantir la neutralité et l’équilibre de cette équipe. Notamment des professeurs d’université et enseignants au sein de l’Éducation Nationale et des professionnels travaillant au sein d’organisations non gouvernementales et d’entreprises.
Notre Comité d’Impact est unique en son genre au sein de l’écosystème EdTech international. C’est aussi le tout premier tous secteurs confondus en France.
Il se réunit pour la première fois aujourd’hui, pour définir ensemble les critères qui détermineront les progrès de l’entreprise, et voir comment ces experts travailleront ensemble. La semaine prochaine, je vous partagerai les résultats de cette réunion, ainsi que notre vision pour la suite.
L’article Evaluer l’impact d’OpenClassrooms est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.
Capitaliser sur la force d’une équipe est clé, notamment au travail. À plusieurs, on communique mieux, on unit plusieurs compétences pour aller plus loin, et les résultats n’en sont que décuplés. De plus, son emploi acquiert une dimension de cohésion bien agréable.
Pour autant, travailler sereinement avec ses collègues ne va pas forcément de soi. Parfois, on constate des frictions dues aux caractères, aux différences culturelles, à la hiérarchie ou aux divergences de points de vue… Qu’il est heureusement possibles de gommer. Comment ?
La meilleure façon pour y parvenir est de travailler ensemble et d’ajuster. Cela étant dit, se préparer en apprenant les techniques principales pour bien travailler ensemble nous donne plus de cordes à notre arc.
C’est le but du cours Travaillez efficacement en équipe, dans lequel on apprend étape par étape à s’épanouir et évoluer au sein d’un groupe de collègues.
Cet article vous ouvre une petite lucarne sur les éléments que ce que le cours peut vous apporter.
Pour fonctionner harmonieusement au sein d’une équipe, il est nécessaire de comprendre à la fois le but commun et son rôle pour y parvenir.
Or, il existe 9 rôles qui contribuent, dans une dynamique d’équipe, au succès des projets (Source : Belbin, 2003). Chacun peut normalement se reconnaître dans l’un d’eux :
Au sein d’une équipe, votre rôle dépendra de l’équilibre entre les trois éléments suivants :
Aujourd’hui, les équipes sont plus diversifiées que jamais. Elles se composent de différents profils et nationalités, de personnalités très diverses… Ce qui apporte des opportunités uniques d’être à la fois créatifs et efficaces.
Au sein des entreprises les plus dynamiques, l’appréhension d’un poste et d’un rôle peuvent évoluer, car la cohésion d’équipe et l’ouverture d’esprit le permettent. On appelle cela le “phénomène du changement de rôles”. La clé pour bien coopérer est d’accepter une mission en fonction d’une situation donnée, sans mettre trop en avant ses propres préférences.
Chaque projet mené en équipe est aussi l’occasion de grandir professionnellement et même personnellement.
Rendez-vous au premier chapitre du cours “Apprenez à travailler en équipe” d’OpenClassrooms. Il est gratuit et très complet, ce serait dommage de vous en priver.
OpenClassrooms est un institut de formation à distance, 100% en ligne, pour apprendre les compétences les plus recherchées par les recruteurs et les plus prometteuses. Le but : décrocher un emploi très recherché et qui ait de l’avenir !
Nous formons à tous les métiers du numérique, notamment le développement web et mobile, le design, les systèmes et réseaux, la data science, la gestion de projet, le marketing, les ressources humaines et l’entrepreneuriat.
Tous les cours des programmes de formation à distance sont accessibles gratuitement en ligne.
Nos cursus à équivalent Bac +2, +3 et +5 se réalisent en ligne. Ils sont composés d’un mélange de vidéos, de cours écrits, de projets professionnalisants réalisés par l’étudiant pour apprendre par la pratique, et de sessions de mentorat hebdomadaires avec un expert du métier. Les formations durent entre 6 et 18 mois en fonction des sujets et du temps alloué par l’étudiant.
À l’issue du programme, les étudiants sont coachés par des experts pour faciliter leur recherche d’emploi. Ce dernier est d’ailleurs garanti.
Cela vous intéresse ?
J’en discute avec mon conseiller pédagogique
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Une grande détermination. C’est ce qui ressort de notre échange avec Fayçal, l’un des étudiants boursiers de la formation LevelUp, en partenariat avec Google.org.
Après avoir cherché sa voie en fac de maths, Fayçal s’est décidé pour la formation développeur iOS. Bien décidé à coder et soutenu par sa copine, il met en œuvre l’énergie nécessaire pour faire aboutir ses rêves. Rencontre.
Je suis un matheux. J’ai fait une licence de maths info à Paris Descartes… Que j’ai arrêtée. Ce n’était pas assez concret. Je n’étais pas fixé sur ce que je voulais, mais je savais bien ce que je ne voulais pas. Notamment, faire de recherche en master, devenir prof ou data scientist comme mon frère. Cela m’intéresse peu, même si c’est très demandé. Donc, comme je ne savais pas encore quoi faire, je me suis inscrit sur Deliveroo et Uber en attendant.
Mon frère m’a proposé de devenir développeur iOS, car c’est un métier très demandé. Je me suis auto-formé sur les cours OpenClassrooms dès mars 2018 en suivant des cours, tout en cherchant un moyen de me faire financer une formation diplômante d’un an. Début 2019, j’ai reçu le mail d’Uber et Deliveroo annonçant une bourse d’études OpenClassrooms en partenariat avec Google.org.
J’avais très peu de chances de l’obtenir. Donc, imaginez mon soulagement quand on me l’a accordée !
Pour la Tech, d’abord. Apple code en C, option que j’avais choisie en maths info.
Ce métier était donc dans la suite logique de ce que je savais déjà. Et au niveau technique, c’est passionnant car le code en iOS a un lien avec tout : le design, l’écriture, le respect des normes. C’est très complet et cela donne plusieurs dimensions au job.
Mais aussi par rapport à Apple. J’aime son image épurée et le fait que les composants interagissent ensemble. C’est aussi une marque sécurisée et confidentielle, deux points que je considère très positifs.
Apple est enfin très rigoureux dans ses standards qualité. Cela me plaît, car je me mets au défi d’arriver à ce niveau.
J’ai momentanément arrêté les maths, mais j’ai quand même les chiffres dans la peau ! Donc, j’aimerais bien concilier code informatique et arithmétique dans mon futur emploi.
Pour cela, il me suffirait de travailler dans les algorithmes. Je trouverais intéressant de proposer des améliorations dans le code des ingénieurs, tout comme les mathématiciens qui peaufinent l’algorithmie.
Pour y parvenir, je compte reprendre mes études en maths en alternance avec mon emploi, pour développer mes compétences.
Et je voudrais aussi développer des outils open source qui aideraient à participer aux génomes. C’est important pour moi de résoudre des problèmes concrets. Je suis convaincu qu’il faut partager ses connaissances : je cherche donc à être dans une dynamique d’échange.
Aujourd’hui, ma charge de travail est conséquente, même si je prends plaisir à étudier et pratiquer le développement. J’avance vite, car mon mentor m’épaule, alors qu’avant j’étais seul.
Je mets beaucoup d’énergie dans la formation et suis prêt à faire les sacrifices nécessaires pour réussir.
Je me projette aussi sur le moyen-terme. Après quelques années en poste, j’aimerais devenir mentor. Je me sens déjà redevable de ce qu’on m’a donné. Plus tard, j’accompagnerai des étudiants qui seront au stade où j’en suis à présent.
L’article Combiner maths et développement informatique, le projet de Fayçal est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.
Nicolas Macherey a fondé WakeOnWeb en 2015. Implantée sur trois sites à Paris, Lyon et Aix-en-Provence, cette entreprise de près de 40 salariés conçoit des solutions numériques et technologiques sur-mesure pour les entreprises.
Pour conserver leur expertise face aux changements permanents du monde du numérique, les professionnels de la Tech doivent rester en veille permanente et être curieux des dernières innovations. C’est ce que nous explique Nicolas au travers de sa propre expérience.
WakeOnWeb est une société encore jeune, qui a connu des hauts et des bas. S’il y a eu un peu plus de turn-over lors des périodes de creux, aujourd’hui les équipes sont bien en place, soudées et compétentes.
La stratégie de recrutement de Nicolas ? Miser sur la diversité : “J’ai fait un pari en fondant WakeOnWeb, car c’est difficile d’être bien formé sur toutes les technologies. »
Alors, j’ai employé des gens qui étaient soit des développeurs expérimentés, soit des passionnés autodidactes. Certains n’avaient même pas le bac ou étaient de jeunes diplômés tout juste sortis d’école. Ils avaient l’avantage d’être encore modelables.
« Personnellement, je connais les formations en ligne OpenClassrooms depuis le début, mais je laisse les gens choisir leur formation lorsqu’ils font leur contrat de professionnalisation ou leur formation continue. J’ai eu beaucoup d’alternants qui venaient de formations différentes : SupInfo, écoles d’ingé, OpenClassrooms…”
Bien que les compétences techniques soient indispensables pour proposer la meilleure expertise aux entreprises, Nicolas valorise d’autres éléments aussi : “Nous sommes une société de service donc nous devons nous adapter aux circonstances du client et dans ce contexte, être capables de monter en compétences rapidement, de s’adapter, de rebondir. C’est très important quelles que soient les bases techniques que l’on a eues au départ. C’est pour cette raison que je valorise les profils variés. »
Je n’ai pas d’a priori, je ne regarde jamais les CV avant de faire entrer les candidats en entretien, que je juge d’abord sur leurs valeurs humaines.
« Puis dans un deuxième temps, ils passent un test de personnalité et un test technique qui est adapté en fonction du profil. On ne donnera pas le même test à un architecte développeur qu’à un junior en reconversion par exemple. »
Les technologies du numérique sont en constante évolution et de plus en plus nombreuses.
Pour rester compétitifs, les professionnels de la tech n’ont d’autre choix que de continuer à apprendre et à se former tout au long de leur carrière.
Nicolas croit aux vertus de la formation interne et externe :
Notre métier est d’apporter l’innovation technologique dans les entreprises donc si on n’encourage pas la formation continue auprès de nos collaborateurs, on se laisse dépasser très rapidement.
« Au sein de WakeOnWeb, on a un programme de formation interne qui est encadré par nos architectes. Le marché évolue constamment, donc on sélectionne avec nos collaborateurs les technologies qu’on trouve intéressantes à connaître et maîtriser. Le but n’est pas de devenir spécialiste de tout non plus, on évalue de façon concrète l’expertise qui est la plus pertinente pour nous.”
Incorporer la formation au sein de l’entreprise demande une organisation du travail adaptée, qui peut sembler complexe à mettre en place à première vue.
Cependant, elle représente indéniablement un investissement sur le long terme.
Lorsqu’on sélectionne une nouvelle technologie, on laisse les employés se dégager du temps pour se former à partir des ressources ou des outils qu’ils choisissent, en échange de quoi ils rédigent une présentation ou un article qui peut être profitable à tous sur la techno en question.
« Cela représente un coût mais c’est indispensable dans notre domaine. Par conséquent, nous avons mis en place ce système en début d’année et nous verrons si cela perdure”, explique Nicolas.
Quel que soit le langage informatique que l’on maîtrise le mieux, ce qui est inhérent à tous les métiers du numérique est la curiosité d’apprendre perpétuellement pour rester innovant. Finalement, c’est sans doute la qualité première recherchée par les recruteurs dans le domaine, à l’image de Nicolas.
L’article Interview : que recherchent les recruteurs chez les candidats Tech ? est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.
Un marché du travail en évolution et axé sur la technologie nécessite des modèles de formation et de recrutement également en évolution et axés sur la technologie.
Et pourtant, alors que le nombre d’emplois dans les domaines liés à la technologie a explosé, il existe un manque inquiétant de travailleurs qualifiés disponibles pour les pourvoir.
Un étude récente s’est intéressée à 600 entreprises mondiales avec plus d’un milliard de revenus chaque année et a montré que 93 % d’entre elles estiment que le manque de compétences en informatique les freine dans leur croissance et leur transformation.
Les anciens modèles de formation, de recrutement et d’embauche des travailleurs qualifiés doivent être profondément transformés. Un plus grand nombre de diplômés en informatique ne suffira pas à combler ce fossé de compétences. Il faut penser différemment.
Les entreprises doivent participer à la création d’un vivier de talents ouvert à des candidats de tous horizons. De nouveaux modèles de coopération entre les entreprises et les plateformes d’éducation en ligne peuvent émerger afin d’améliorer l’éducation et l’accès à l’emploi dans le domaine de la technologie.
Aujourd’hui, je suis heureux d’annoncer qu’OpenClassrooms noue un tel partenariat avec Salesforce.
Nous allions nos forces pour vous présenter un nouveau modèle d’éducation, dans lequel les employeurs et les professeurs travaillent ensemble en continu pour façonner les expériences des étudiants et leur fournir un chemin vers l’emploi.
Dans ce nouveau programme Salesforce developer, nous visons à recruter et former 1000 personnes pour ce type d’emploi d’ici 2021. Pendant 9 mois, elles suivront des cours qui les prépareront à occuper des postes hautement qualifiés dans le domaine de l’informatique cloud.
L’ensemble de la formation est façonné à partir des problèmes sur lesquels travaillent les équipes d’ingénieurs de Salesforce afin de confronter les étudiants à une série de scénarios tirés de la réalité leur permettant de mettre en pratique leurs nouvelles compétences. Les étudiants passionnés seront recrutés dans le monde entier à travers les réseaux et les plateformes d’OpenClassrooms.
À la fin du parcours, les étudiants obtiendront un diplôme reconnu par l’État et certifié par Salesforce.
OpenClassrooms mettra à leur disposition des sessions de coaching professionnel pour les aider à trouver des postes recherchés dans le domaine de la technologie, dans le réseau des clients et partenaires de Salesforce, dont font partie Capgemini et Accenture. Si au bout de six mois ils n’ont pas trouvé d’emploi, nous leur rembourserons leur parcours.
Des partenariats tels que celui-ci – qui sont réellement mondiaux et sortent des modes de recrutement classiques – pourraient bien être la solution pour que les talents d’aujourd’hui s’adaptent rapidement aux changements que la technologie apporte à l’économie. J’ai bon espoir qu’OpenClassrooms devienne un leader de ces solutions.
Pierre Dubuc, Président d’OpenClassrooms
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Les compétences et les certifications Salesforce developer sont créatrices d’opportunités professionnelles. Du côté technique, des postes de développeur Salesforce ou d’architecte technique sont accessibles avec la bonne formation et de l’expérience.
Les compétences Salesforce donnent accès à des salaires compétitifs : aux États-Unis, le salaire annuel d’un développeur Salesforce est en moyenne 125 000 $ et celui d’un architecte technique 150 000 $.
OpenClassrooms et Salesforce ont allié leurs forces pour créer le parcours développeur Salesforce, destiné à préparer les étudiants à l’examen donnant accès à la certification Salesforce Platform Developer I via l’éducation en ligne. Vous pouvez découvrir l’annonce de ce partenariat ici. Ce parcours est chaudement recommandé aux développeurs qui souhaitent travailler avec le logiciel Salesforce et être compétitifs.
Continuez votre lecture pour en savoir plus sur les développeurs Salesforce et découvrir comment devenir l’un d’entre eux grâce à OpenClassrooms.
Oui ! 3,3 millions d’emplois seront créés par Salesforce et son écosystème plus large d’ici 2022. Les recherches de Burning Glass Technologies (une entreprise qui analyse le marché du travail) sur la demande d’emplois Salesforce en 2017 ont montré que le nombre d’offres de postes demandant des compétences Salesforces augmentait plus vite que la moyenne des offres d’emplois et que ces emplois étaient mieux rémunérés que ceux qui ne demandaient pas de compétences Salesforce.
Un développeur Salesforce est un développeur logiciels hautement spécialisé, c’est pourquoi il a un salaire supérieur à celui d’un développeur classique. Vous pouvez en savoir plus sur la plateforme cloud CRM de Salesforce ici.
Les développeurs Salesforce font principalement de la programmation. Toutefois, une grande partie du travail de tous les professionnels Salesforce est également d’utiliser le logiciel Salesforce pour proposer des solutions pour entreprises. Cela signifie que, grâce à leur formation Salesforce, ils doivent être en mesure d’écrire le code qui fait fonctionner la plateforme, mais également d’utiliser celle-ci.
Les développeurs Salesforce construisent des fonctionnalités en créant des déclencheurs Salesforce et créent des pages Visualforce basées sur les besoins des clients.
Le modèle commercial de Salesforce fonctionne en embauchant des personnes via Salesforce pour travailler pour les entreprises qui utilisent la plateforme. Vous pouvez également travailler directement pour les entreprises qui utilisent Salesforce ou en tant que développeur Salesforce freelance.
Les compétences techniques et spécifiques le plus souvent demandées par les employeurs pour ce rôle sont : Salesforce, Apex, Visualforce, Lightning, Java/C/OOP, JavaScript, JQuery, AngularJS, Bootstrap, SQL/SOQL, et les services web.
Les compétences relationnelles les plus souvent demandées par les employeurs pour ce rôle sont : des compétences de communication, d’écriture, de résolution des problèmes, de gestion de projet, de service client, une bonne organisation, des capacités de travail en équipe et de la créativité.
Salesforce l’explique très bien sur son site internet :
« La plateforme Salesforce permet aux développeurs de construire et de déployer rapidement des applications cloud fiables, solides, sécurisées et évolutives sans avoir à s’inquiéter de la configuration du matériel ou des applications prérequises. Pour commencer rapidement, la plateforme donne accès à des outils et des services prêts à l’emploi pour automatiser vos processus d’affaires, les intégrer avec des applications externes, fournir des mises en page évolutives et plus encore. »
Les badges Trailhead représentent ce que vous avez appris.
Les Superbadges démontrent que vous êtes en mesure de mettre en pratique ce que vous avez appris pour résoudre des problèmes complexes et réels du monde du travail. Par exemple, pour les développeurs, il existe les Superbadges Apex Specialist, Data Integration Specialist et Lightning Experience Specialist.
Les certifications Salesforce sont la plus haute qualification disponible et démontrent votre expertise générale dans un rôle spécifique. C’est la manière la plus efficace pour vous démarquer lorsque vous postulez pour des rôles spécifiques ou des projets, et elles sont très demandées par les employeurs. En effet, une fois que vous possédez une certification (et qu’elle est à jour), vous apparaissez sur une base de données consultable par les employeurs potentiels.
Les certifications Salesforce s’obtiennent en passant un examen.
L’une des certifications est la certification Salesforce Certified Platform Developer I. C’est en se basant sur cette certification qu’OpenClassrooms a collaboré avec Salesforce pour créer et proposer le parcours développeur Salesforce.
Voyons plus en détail les prérequis de la certification Salesforce et le parcours d’OpenClassrooms :
Pour obtenir le statut de Salesforce Certified Platform Developer I, vous devez réussir l’examen et pour cela, il vous faut un certain niveau d’études et d’expérience. Vous devrez avoir de l’expérience dans le développement et le déploiement de la logique métier de base et des interfaces utilisateur, en utilisant les fonctionnalités de programmation de la plateforme Lightning.
Pour réussir l’examen de Salesforce Certified Platform Developer I, Salesforce recommande généralement de posséder 1 à 2 ans d’expérience en tant que développeur et au moins six mois d’expérience de travail avec la plateforme Lightning.
L’examen Salesforce Certified Platform Developer I est composé de 60 questions à choix multiples auxquelles vous devez répondre en 110 minutes. Le score minimum pour réussir l’examen est de 65 % de bonnes réponses. Au moment où nous écrivons cet article, l’inscription à l’examen coûte 200 dollars et le tarif pour le repasser est de 100 dollars (ces deux chiffres peuvent varier en fonction des taxes de chaque pays).
Le parcours développeur Salesforce d’OpenClassrooms vous prépare à l’examen de Salesforce Certified Developer I et est la meilleure voie à suivre pour devenir développeur Salesforce.
D’après Salesforce, vous devez posséder 1 à 2 ans d’expérience mais le parcours d’OpenClassrooms a été spécialement conçu en partenariat avec Salesforce pour vous guider au niveau requis sans expérience préalable dans le développement.
En suivant le parcours développeur Salesforce d’OpenClassrooms, vous acquerrez toutes les compétences nécessaires pour être développeur classique, mais aussi l’ensemble des compétences spécifiques à Salesforce afin de réussir l’examen (si vous souhaitez obtenir leur accréditation). Salesforce requiert l’expérience, les compétences et les connaissances suivantes pour obtenir la certification – vous pouvez être sûr qu’à la fin de votre parcours développeur Salesforce d’OpenClassrooms :
Comme vous pouvez le voir, OpenClassrooms vous permettra d’acquérir un ensemble impressionnant de compétences en suivant le parcours développeur Salesforce.
Inscrivez-vous dès maintenant !
L’article Quelles sont les carrières techniques accessibles grâce à Salesforce ? est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.
Dans cet article, nous vous présentons les services proposés par Salesforce et nous vous expliquons pourquoi faire une formation Salesforce developer est un choix de carrière stratégique. Salesforce est une entreprise mondiale à la pointe de la technologie des logiciels cloud CRM, qui fournit des solutions pour des entreprises de premier plan dans le monde entier.
Qu’est-ce que cela signifie ? Toute entreprise a besoin d’interagir avec ses clients. Et pour prospérer, elle doit le faire efficacement. Ces interactions couvrent notamment le marketing, la vente, le commerce, le support client. Pour que tout soit simple, les entreprises ont besoin d’un logiciel intelligent conçu et utilisé par des professionnels qualifiés.
C’est précisément ce service que Salesforce fournit. Salesforce « booste » chaque interaction entreprise-client pour ses clients, qui comptent plus de 150 000 entreprises de secteurs variés dans le monde. Parmi elles, Amazon Web Services, Virgin Media, Coca-Cola, Kuoni, Eurostar, Ocado et Aston Martin.
Le portefeuille de clients de Salesforce grandit chaque jour, ainsi que sa demande en matière de développeurs Salesforce qualifiés pour maintenir et personnaliser le logiciel pour chacun des clients.
Pour répondre à cette demande, OpenClassrooms et Salesforce ont collaboré afin de créer un parcours développeur Salesforce sur-mesure qui permettra d’acquérir les compétences nécessaires à une carrière en tant que développeur Salesforce – et qui vous préparera pour l’examen Salesforce Certified Platform Developer I.
Être développeur Salesforce certifié vous garantit d’être très demandé et vous assure une carrière stimulante dans le domaine de la technologie cloud CRM.
Alors, quels sont les détails de cette opportunité ?
Salesforce est une plateforme de gestion de la relation client (CRM). Chaque entreprise a besoin d’un CRM.
La gestion de la relation client est un mélange des stratégies utilisées par une entreprise pour gérer les interactions avec ses clients, afin de rester en contact avec eux et cultiver leur relation et leur loyauté de manière intelligente et professionnelle. Elle est également utilisée pour attirer de nouveaux clients potentiels vers l’entreprise.
Une plateforme CRM est utilisée pour faire correspondre le marketing aux objectifs de chiffre d’affaires et simplifier les processus. C’est un moyen de rassembler, d’analyser et d’utiliser des données commerciales à jour – y compris les données des ventes, du marketing, du service client et des réseaux sociaux – et de tout visualiser au même endroit.
C’est un outil commercial efficace, qui assure aux entreprises de ne jamais rater une information, une tendance ou une communication importante. Toute entreprise moderne qui n’utilise pas de plateforme CRM est largement désavantagée.
Cependant, il faut des compétences et une certification pour développer ces plateformes CRM. La formation développeur Salesforce d’OpenClassrooms vous permet d’acquérir ces compétences et de vous préparer à l’examen nécessaire pour obtenir la certification.
Salesforce est basé sur le cloud, ce qui signifie que le logiciel est hébergé sur le cloud et qu’on y accède par internet.
Une plateforme cloud CRM permet un développement plus rapide, un accès fluide, une utilisation facile et des mises à jour automatiques. C’est un outil rentable et évolutif, fiable, avec des hauts niveaux de sécurité, de flexibilité et une compatibilité accrue.
L’International Data Corporation (IDC) a rapporté que les dépenses des entreprises en matière de services et d’infrastructures cloud continueront d’augmenter en 2019 et prédit une croissance de 23 % par rapport à 2018. Sur la période 2017-2022, elle prévoit une augmentation du marché chaque année, pour atteindre une dépense pour les services cloud publics de 370 milliards de dollars en 2022.
Cela signifie que la demande en matière d’emplois pour maintenir et développer ces services est également en augmentation.
Le modèle commercial de Salesforce est construit de telle manière que des personnes peuvent être embauchées via Salesforce pour travailler pour les entreprises qui utilisent sa plateforme. Vous pouvez également travailler pour les entreprises qui utilisent Salesforce directement, ou bien en tant que développeur Salesforce freelance. Afin d’être compétitif et de réussir sur la plateforme Salesforce, vous aurez besoin des certifications appropriées. Le parcours développeur Salesforce d’OpenClassrooms vous donnera accès à cette opportunité.
Le CRM et l’informatique cloud font partie de la révolution technologique qui a un eu un impact considérable sur les entreprises. Salesforce conserve sa réputation impressionnante de leader du marché des plateformes CRM.
L’entreprise apporte 5 éléments essentiels aux entreprises :
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Dans le monde des entreprises, la course à l’innovation se joue aussi à l’échelle humaine. En termes de management, l’objectif est généralement d’intégrer ce cercle vertueux alliant performances économiques et bien-être des salariés, mais comment faire ?
Élodie Baussand et Arnaud Regnier, associés du cabinet Tenzing Conseil, nous en disent plus sur l’attitude à adopter en s’appuyant sur l’un des piliers de leur organisation : le management par la confiance.
« C’est un management basé sur l’équilibre entre confiance et accompagnement. D’un côté, nous faisons confiance à nos consultants en leur donnant des responsabilités. De l’autre, nous les accompagnons dans le bon déroulement de leurs missions. » – Arnaud Regnier
Cette culture managériale est le principal des cinq piliers sur lesquels s’est bâti le cabinet. La confiance est l’essence même de l’organisation. Cette notion se traduit par une réelle volonté de faire prendre conscience à chacun des employés des forces dont ils disposent, de les utiliser et d’avoir un regard objectif sur qui ils sont, ce qu’ils sont en mesure de faire.
« Cette introspection est surtout valable pour les axes d’amélioration » nous explique Élodie, « manager par la confiance, c’est avant tout amener chacun des employés à adopter un point de vue critique quand il le faut ». Une quête d’objectivité qui intègre plus largement une véritable « culture du feedback » à part entière, primordiale quel que soit le style de management. Les retours sont des maillons essentiels au processus d’amélioration. Ils sont synonymes de transparence et in fine : source de confiance.
Pour réellement fonctionner, les notions de « confiance » et « différence » doivent se retrouver dans toutes les strates de l’entreprise. En bonne entreprise sociale, Tenzing les intègre dans sa mission première : « réduire les inégalités » et y fait référence dans chacun de ses piliers.
Tenzing favorise la reconnaissance des jeunes de milieux modestes « en leur donnant accès aux métiers du conseil », commence Élodie, « un véritable tremplin, car dans cette culture fortement élitiste, les origines sont souvent un facteur d’exclusion ».
« Nous avons pour cela mis en place un recrutement véritablement ouvert, nous permettant de passer d’une culture du diplôme à celui de la compétence » poursuit-elle, « chez nous, cela se matérialise par un ou deux recrutements de profils atypiques »
Point très important : Tenzing est une entreprise hybride détenue par sa propre association. « Cela nous permet de faire cause commune, d’acter que nous partageons une même vision de ce que doit être l’entreprise : plus redistributive et prenant sa part à la résolution de problèmes de société », explique-t-elle.
« 100% des bénéfices redistribuables le sont pour des associations », termine-t-elle. De quoi donner plus de sens à son travail et se différencier du schéma classique d’une entreprise.
Pour impliquer ses équipes, Tenzing mise tout sur la mixité et les parcours très différents de chacun. « L’idée ici est d’entretenir la personnalité dans le management pour ne pas entrer dans une logique de formation. Celle des cabinets de conseil plus traditionnels, dans lesquels tout le monde serait dans le même moule. Cette différence a aussi de la valeur pour nos clients » conclut Arnaud.
Après « faire confiance », le véritable second mot d’ordre chez Tenzing est : « cultiver la différence », et ce à tous les niveaux : dans le recrutement, dans la gouvernance et jusque dans les actions.
Quelles que soient les particularités de chaque maillon, tous doivent remplir leurs rôles de manière optimale. « L’idée est donc d’établir de vrais liens entre managers et managés » explique Élodie, « il est impératif que les employés comprennent que les managers sont là pour les accompagner, les aider à se développer » et non pas les contrôler à la tâche ou les sanctionner.
« Le management par la confiance, c’est avant tout avoir confiance en son management » – Élodie Baussand
En plus du solide combo « mission première + cinq piliers » cela passe aussi par le bon sens des managers et le respect des règles de management classiques :
Ainsi réglés, les rouages du management par la confiance ont tout pour bien tourner. Attention toutefois, il existe des risques à prendre en compte avant de se lancer.
Le management par la confiance passe par une réelle conduite du changement et de nombreuses expérimentations. « On ne s’arrête pas à de petites bonnes intentions de type bienveillance, droit à l’erreur, non, il faut aller chercher la vraie subsidiarité » explique Arnaud.
« Il faut accepter que chacun prenne ses responsabilités, et ça, c’est dur ».
Manager par la confiance, signifie donc mettre son ego de côté, accepter de déléguer… accepter de faire confiance.
« L’un des autres risques dans ce type de management, c’est aussi la possibilité que certains employés prennent mal les retours », ajoute Élodie. Quand une entreprise applique une stratégie de management par la confiance, la personnalité de chacun est directement exposée. C’est pourquoi il se crée des liens plus forts que d’habitude. Quand tout va bien, c’est parfait, mais en cas de coup dur, cela peut faire mal.
« On est en confiance, on exprime ses opinions, on exprime qui on est, mais il ne faut pas oublier qu’on reste dans un environnement professionnel. » – Élodie Baussand
Enfin, la confiance accordée laisse également place à une forme de liberté qui peut poser problème à certains profils demandant à être encadrés. Pour eux, la liberté peut se transformer en pression et devenir source de stress. Pour pallier à ces risques, l’entreprise doit donc impérativement déployer des capteurs permettant d’évaluer tout au long de l’année le moral des troupes. Chez Tenzing, un système interne d’évaluation à 360 entre collaborateurs a été mis en place. Ils utilisent des outils comme Bloomin pour mesurer et agir rapidement si besoin.
« Il est également bon d’organiser trois à quatre événements par ans », ajoute Arnaud, « organisés par des prestataires extérieurs si possible, car cela reste le meilleur moyen de libérer la parole et non plus la conditionner au sein même de l’entreprise ».
Le management par la confiance permet aux entreprises d’ouvrir de nouvelles portes et de saisir de nouvelles opportunités en révélant des talents. C’est un terreau particulièrement fertile si, à l’image de Tenzing, les notions de « confiance » et « différence » sont réellement prises en compte dans toutes les strates de l’entreprise : de la mission première et les piliers jusque dans le recrutement, les actions et la considération des risques.
Les entreprises mettent beaucoup de modèles collaboratifs et agiles en place pour casser les silos, mais tout cela n’est vraiment efficace que si on manage correctement par la confiance. Nous le constatons tous les jours sur le terrain, c’est un sujet qui plaît, mais qui est très difficile à mettre en œuvre. Il y a une tendance, toutefois les entreprises n’y sont pas encore. – Arnaud Reigner
Le management par la confiance n’en serait-il qu’à ses débuts ?
L’article Pourquoi manager par la confiance ? est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.
La prise de conscience de la responsabilité sociale des entreprises (RSE) et le soulèvement général de l’économie sociale et solidaire (ESS) ont propulsé la notion d’impact social sur le devant de la scène entrepreneuriale. Beaucoup de structures cherchent désormais à maximiser cette conception, qui demeure, pour certains, relativement lointaine et floue.
De quoi parle-t-on vraiment ? Comment se lancer ? Comment avoir un impact réellement positif et le maximiser ?
Nous en avons discuté avec trois experts en la matière : Élodie Baussand et Arnaud Regnier, associés chez Tenzing Conseil et Mathieu Nebra, fondateur d’OpenClassrooms.
L’impact social correspond à l’ensemble des conséquences d’ordre sociales, sociétales et environnementales des actions d’une entreprise sur ses parties prenantes et sur la société dans son ensemble.
Que ce soit dans le mouvement gilets jaunes ou dans les discussions sur le climat : les entreprises ont un rôle à jouer – Arnaud Regnier
La notion d’impact social est en partie le résultat de cette convergence d’initiatives menées aujourd’hui en faveur du développement durable. Un point que de nombreuses entreprises cherchent donc à favoriser pour leur image, mais aussi pour leur avenir. En fonction des missions, des ressources et priorités de chacune, les démarches peuvent varier avec plus ou moins d’efficacité.
Tenzing Conseil et OpenClassrooms sont deux entreprises dites « sociales ».
Elles sont détenues par leur propre association et leurs statuts indiquent une mission première d’ordre social, leur permettant de prendre part à leur manière à l’ESS. Elles jouent donc, malgré une notion de profit, dans la même cour que les associations non lucratives, les fondations, les mutuelles et les coopératives. Autrement dit, pour des entreprises, elles ont un impact social maximal.
Tenzing est un cabinet de conseil qui a été créé avec la volonté de « favoriser la reconnaissance des jeunes de milieux modestes en leur donnant accès aux métiers du conseil ». Dans ce domaine particulièrement élitiste, les origines sont souvent facteur d’exclusion.
Ils ont pour cela mis en place un recrutement ouvert, permettant de passer d’une culture orientée diplômes à une culture orientée compétences, mais ce n’est pas tout. « En tant qu’entreprise à impact social et sociétal, comme OpenClassrooms, nous avons un mode de gouvernance partagée et 100% de nos bénéfices sont redistribués », nous explique Élodie.
Le modèle de Tenzing se trouve entre l’entreprise classique et celui de l’ESS. On veut montrer qu’on peut avoir une activité qui allie sens et performance – Arnaud Regnier
Côté OpenClassrooms, l’engagement prend une place tout aussi importante. « Nous n’avons qu’une mission : rendre l’éducation accessible » explique Mathieu.
Nous sommes l’une des premières entreprises françaises à l’inscrire dans nos statuts et à faire évoluer la gouvernance en fonction – Mathieu Nebra
L’idée derrière cette démarche ? Prendre en compte la mission dans les prises de décision de l’entreprise, à tous les niveaux, qu’il s’agisse de décisions opérationnelles ou stratégiques.
« La mission première exige beaucoup d’attention. Elle n’existe que si elle est partagée par les actionnaires et les équipes. De plus, la simple question « cela correspond-il à la mission » permet d’apporter des réponses simples et débloquer toute sorte de situations » – Mathieu Nebra
À l’arrivée, l’impact social de ce type d’entreprise atteint des sommets. Si bien que la notion d’« enjeux RSE », telle que perçue dans les entreprises classiques « n’a ici plus vraiment lieu d’être » explique Mathieu.
L’idée ici est de mettre en place un processus permettant de comprendre puis valoriser les effets générés par l’entreprise dans sa mission. Le champ d’évaluation peut donc être très étendu, la taille de l’impact variant en fonction des engagements de l’entreprise. Cela devient d’autant plus compliqué que l’impact peut concerner différents types de bénéficiaires : les bénéficiaires physiques directs, des zones territoriales définies, ou même la société dans son ensemble. C’est souvent ici que se perdent les entreprises..
Voici les principales méthodes référencées par le conseil supérieur de l’ESS en 2011. Elles sont toujours valables aujourd’hui et sont positionnées selon deux dimensions : leur visée interne ou externe et le nombre de critères pris en compte.
Il en manque un grand nombre et il serait périlleux de détailler toutes les méthodes ici. Retenez simplement qu’il y a l’embarras du choix et que pour être pertinent il devra être porté en fonction de trois critères précis :
Il n’y a pas de meilleure méthode ou de méthode unique, c’est à l’entreprise d’élaborer celle qui lui correspond le mieux. Quel que soit le moment auquel elle décide de se lancer, les enjeux ou la finalité de l’évaluation. En fonction de la méthode choisie, le processus mis en place devra cependant respecter ces trois étapes clés :
1) Définir ce qui compte : ou la définir le nombre de critères d’évaluation. Ils permettent au passage d’afficher les valeurs auxquelles l’entreprise se réfère.
2) Mesurer : en utilisant des indicateurs qualitatifs ou quantitatifs spécifiques, qui visent à préciser les critères retenus et leur faire gagner en objectivité.
3) Communiquer : en partageant les résultats en interne, en externe, et en tirant un maximum d’enseignements des actions menées.
Il s’agit d’intégrer un cercle vertueux dans lequel tout le monde est gagnant : l’entreprise, les parties prenantes, les collaborateurs et la planète – Arnaud Regnier
Il y aura ainsi plus de chances que la démarche plaise aux collaborateurs en quête de sens, ce qui favorisera leur implication. « Beaucoup d’entreprises sont dans une politique RSE incarnée par un fond philanthropique ou du mécénat, et financent des projets qui n’ont rien à voir avec leur business. Ce n’est pas une mauvaise chose, mais les salariés peuvent se sentir moins concernés par la cause » nous assure Arnaud.
Et l’enjeu est double, car côté investisseurs, le principe est le même. « Citizen Capital s’intéresse uniquement à des entreprises qui ont un objet social en rapport avec leur mission. Ils demandent des infos sur l’activité financière, sociale, demandent un reporting annuel. C’est l’un des premiers fonds d’investissement à faire cela en France » ajoute Mathieu.
Une fois la mission clairement définie, il devient plus simple de trouver une thématique. Cela permet notamment d’accéder à un réseau de partenaires déjà en place et d’y apporter sa contribution. « Cela nous évite de nous disperser, permet d’avoir un vrai effet levier et maximise notre impact » nous explique Élodie, « L’idée derrière étant aussi de mettre en relation les acteurs associatifs pour maximiser le leur ».
« Toutes les entreprises qui voudraient s’engager peuvent trouver des structures avec lesquelles travailler. On peut même aller loin dans les connexions, il faut prendre le temps d’y réfléchir » – Arnaud Regnier
« Cartographier des acteurs de l’ESS et trouver ses potentiels partenaires n’est pas simple pour une entreprise qui veut mener des actions » poursuit Arnaud, « d’où l’intérêt de cibler et de laisser venir à soi ». Une simple page dédiée sur le site peut attirer un grand nombre de projets solidaires, mais il faut tout de même communiquer dessus, notamment sur les réseaux sociaux.
Un autre type d’action est mené chaque année par Tenzing pour attirer les meilleurs partenaires : l’appel à projets. « Le nôtre s’appelle le Prix Tenzing » précise Élodie, « nous l’avons remis cette année à Sciences-Po en présence de Muriel Penicaud (ministre du travail) et Emmanuel Faber (PDG de Danone) ». Un temps fort pour les associations qui sont réellement mises en lumière, mais aussi pour Tenzing qui valorise ainsi son modèle auprès de ses clients.
Ainsi les participants voient que d’autres voies sont possibles, c’est un événement militant – Élodie Baussand
Le prix Tenzing, une belle occasion de trouver des partenaires et de communiquer sur ses actions.
Des labels comme B-Corp permettent de rendre visible l’action positive de l’entreprise – Elodie Baussand
Ce label vise à certifier l’impact des entreprises engagées. « C’est une reconnaissance internationale » ajoute Mathieu, « beaucoup de grandes entreprises connues pour leur engagement sont déjà labellisées et nous cherchons également à l’obtenir pour OpenClassrooms ».
Une autre idée adoptée par OpenClassrooms dans laquelle il est question cette fois de faire évoluer la gouvernance de l’entreprise. « En plus des dirigeants, des investisseurs et des collaborateurs, notre comité d’impact réunit toutes les parties prenantes » explique Mathieu. Ainsi, l’avis des professeurs, mentors, étudiants, partenaires et représentants des autorités publiques sont pris en compte dans les décisions de l’entreprise.
Le comité d’impact n’a pas pouvoir de décision, mais il est autonome et peut interpeller lorsque l’entreprise dévie de sa mission. C’est très peu courant, je crois même qu’on est parmi les premiers en France – Mathieu Nebra
L’impact social d’une entreprise est une notion globale dans laquelle chacun des collaborateurs a une part qui lui revient. « Malheureusement, on peut difficilement constater directement le fruit de son action », nous explique Élodie, « en revanche on peut facilement constater le résultat d’un mouvement collectif. À l’entreprise de mettre en place des systèmes qui peuvent mettre l’impact en perspective et le rendre visible ».
Chez OpenClassrooms, cela se traduit à travers un compteur d’emplois créés. « Il est possible de compter de manière assez précise le nombre de jobs créés qui sont en lien avec nos formations. Nous avons donc installé un compteur flip-flap qui affiche le nombre et tient les comptes » explique Mathieu. Un moyen simple et efficace d’afficher un résultat au vu et au su de tous.
La maximisation de l’impact social passe par la mise en place d’un terrain favorable au développement de l’aspect social. Il n’existe pas de méthode universelle, mais on peut s’accorder sur le fait qu’il existe un ensemble de démarches, plus ou moins complexes, basées sur l’implication et la transparence de chacun. Que l’on soit engagé par nature comme les entreprises « sociales » ou par envie pour les entreprises « économiques », tout le monde peut trouver son cercle vertueux et avoir un impact social significatif.
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Liberté, créativité, horaires flexibles, travail nomade : si pour vous reconversion rime avec indépendance, il y a de fortes chances que vous vous lanciez dans le monde du freelancing ou de l’entreprenariat.
Le choix du statut juridique de votre future entreprise est une étape incontournable lorsque vous décidez de travailler à votre compte. Il dépendra bien évidemment de votre activité, mais aussi d’autres critères personnels.
Pas simple alors de saisir toutes les subtilités fiscales de chaque statut : le jargon et les acronymes ont de quoi laisser perplexe. Pour vous aider à y voir plus clair, voici un tour d’horizon de toutes les possibilités qui s’offrent à vous.
Avant de rentrer dans le vif du sujet, une première grande distinction s’impose. En effet, le choix du statut juridique d’une entreprise dépend tout d’abord :
Si vous vous lancez en solo, vous représentez votre propre structure et n’avez pas forcément besoin de créer une société : vous pourrez exercer en tant que micro-entrepreneur ou bien en EI (Entreprise Individuelle).
Dans ce cas, votre responsabilité vis-à-vis de votre situation financière et fiscale est dite « illimitée » : il n’y a pas de séparation entre vos ressources personnelles et vos gains professionnels.
Au contraire, en créant une société, votre responsabilité est « limitée » : votre entreprise est une personne morale et vous y injectez un capital. Vos biens personnels sont donc protégés en cas de faillite. Et la société vous permet bien évidemment de travailler avec des associés.
La Micro-entreprise est, de fait, une entreprise ultra-simplifiée. Sa création et sa radiation sont rapides et gratuites. En tant que micro-entrepreneur, vous êtes considéré comme un travailleur non-salarié (TNS) et êtes affilié à la Sécurité Sociale des Indépendants (ex RSI) ; vous disposez d’un numéro de SIRET, vous payez des cotisations sociales à l’Urssaf et êtes imposé sur vos revenus.
En micro-entreprise, tout se base sur votre CA (chiffre d’affaire) : vous facturez vos clients, et, selon la nature de votre activité, vous acquittez d’un taux maximum de charges sociales d’environ 23%. Si vous ne gagnez rien, vous ne payez pas de charges.
En contrepartie de cette grande souplesse, vous ne pouvez pas dépasser les 70 000 € de CA annuel. Et vous n’êtes assujetti à la TVA (20% à rajouter sur la facture et à reverser à l’Etat) qu’à partir de 33 200 €.
Si vous êtes inscrit au chômage au moment où vous créez votre micro-entreprise, vous bénéficiez de l’ACRE : vos charges sociales sont moins élevées et augmentent progressivement sur trois ans avant d’atteindre le pourcentage défini par la loi.
L’Entreprise Individuelle est également une entreprise simplifiée. La création est gratuite, il y a peu de formalités de gestion, et vous n’êtes pas tenu à publier vos résultats comme pour une société. De même qu’en micro-entreprise, vous êtes un travailleur non-salarié, affilié à la Sécurité Sociale des Indépendants.
Si vous optez pour ce statut, vous pourrez toutefois déduire vos frais professionnels de votre chiffre d’affaire. Cela signifie que votre entreprise générera des bénéfices (CA – frais réels = bénéfices), sur lesquels seront calculées vos cotisations sociales (à hauteur d’environ 40/45%).
Les frais professionnels déductibles désignent les dépenses nécessaires au bon fonctionnement de votre entreprise. Ces frais doivent être justifiés et cohérents avec votre activité. Quelques exemples :
→ Attention : si vous êtes un créatif et que vous souhaitez vendre de la production artistique uniquement, intéressez-vous plutôt aux régimes sociaux de la Maison Des Artistes et de l’AGESSA, plus intéressants en termes de charges sociales.
Si vous dépassez le plafond de chiffre d’affaire imposé par le statut de micro-entrepreneur, vous pouvez vous lancer dans la création d’une Entreprise Unipersonnelle à Responsabilité Limitée (EURL) ou d’une Société A Responsabilité Limitée (SARL).
Dans ces deux cas, l’entreprise constitue une personne morale distincte de votre personne physique. Votre responsabilité est donc engagée uniquement sur le capital social investi au départ. En EURL et SARL vous êtes toujours considéré comme un travailleur non-salarié, affilié à la Sécurité Sociale des Indépendants.
Premièrement, la comptabilité d’une entreprise autre que la micro-entreprise ou l’EI est toujours gérée par un expert comptable ; de plus, la création/radiation d’une société engendre des frais.
Dans le cadre d’une société, vous aurez la possibilité de vous dégager une rémunération : le montant et la fréquence de cette rémunération reste à votre discrétion. Et fiscalement, votre entreprise est désormais soumise à l’impôt sur les sociétés (un impôt plafonné selon votre CA, qui peut s’élever à 15, 28 ou 33%).
Concrètement, vous réalisez un chiffre d’affaire duquel seront déduits vos frais professionnels ainsi que votre rémunération nette, et les charges sociales directement proportionnelles à cette rémunération (à hauteur de 38%). Une fois l’impôt sur les sociétés soustrait, il vous reste le bénéfice. Ce bénéfice, vous pouvez décider d’en faire votre trésorerie ou bien de vous le verser sous forme de dividendes à la fin de l’année. Les dividendes sont soumis à l’impôt sur le revenu.
En Société par Actions Simplifiée et Société par Actions Simplifiée Unipersonnelle, vous êtes assimilé salarié (dirigeant).
Comme pour l’EURL et la SARL, l’entreprise constitue ici une personne morale distincte de votre personne physique. En revanche, vous êtes affilié au régime générale de la Sécurité Sociale.
De votre chiffre d’affaire seront déduits vos frais professionnels ainsi que votre rémunération nette, et l’impôt sur les sociétés. Jusqu’ici, rien de nouveau sous le soleil. Ce qui change, c’est essentiellement le taux de charges sociales, qui s’élève à 75%. Ce taux vous permet de bénéficier d’une très bonne couverture sociale, à l’instar d’un salarié ; avec ce statut, vous vous rémunérez donc sous forme de fiches de paye mensuelles.
Concernant les bénéfices, vous pouvez encore une fois décider d’en faire votre trésorerie ou bien de vous le verser sous forme de dividendes à la fin de l’année. A noter qu’en SAS et SASU le taux de prélèvement est plus avantageux par rapport aux dividendes en EURL et SARL.
Vous l’aurez compris, le statut juridique de votre entreprise est avant tout un choix personnel : il doit être adapté à vos objectifs et à la nature de votre activité indépendante. Il existe des cabinets spécialisés qui pourront vous accompagner dans ce choix, comme Novaa.
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Que l’on soit en poste ou en recherche d’emploi, la capacité à apprendre à apprendre est l’une des compétences les plus importantes au XXIème siècle. Ajoutez-y une once de proactivité et vous obtenez selon nous ce qui s’approche le plus de la recette du succès.
Comment bien adopter cette démarche ? Qu’est ce qu’être proactif peut apporter à une carrière ? Quels sont les pièges à éviter ?
Nous avons demandé à Gwen Rivet, Growth Manager chez OpenClassrooms et étudiant sur la formation diplômante data analyst, un profil formé aux langues et sciences sociales.
S’il est aujourd’hui aussi à l’aise avec la data et les nombres qu’avec les mots, c’est qu’au cours de ses formations, Gwen a toujours su faire rimer apprentissage et proactivité.
[ À suivre : les cours gratuits sur OpenClassrooms ]
Qu’est-ce qui t’a poussé à adopter cette approche ?
« On vit dans un monde où le travail évolue constamment, encore plus dans le digital. Il faut impérativement comprendre les outils, termes et nouveaux acronymes qui peuvent débarquer du jour au lendemain. La seule solution pour rester à la page, c’est d’être vraiment proactif. »
Comment t’es-tu lancé ?
« J’ai toujours été à l’aise avec les maths, pour mon travail j’étais donc plutôt confiant, mais il fallait impérativement que maîtrise les outils et données. Concrètement, je me sentais de le faire, mais je ne savais pas comment. J’ai donc commencé par me renseigner, lire des articles, j’ai même lu toutes les doc des outils que j’utilise.
Aujourd’hui je vais encore plus loin en suivant une formation Data Analyst sur Openclassrooms. »
Comment intègres-tu la formation dans ton quotidien ?
« Il faut penser par semaine. Pour la formation que j’ai choisie, c’est entre six et huit heures. Je me fixe un ou deux jours pendant lesquels je bosse une ou deux heures après le boulot, puis je réserve une matinée le week-end. Je fais aussi de la veille. Pas tous les jours, mais régulièrement. »
Tu arrives à trouver assez de temps pour cela ?
« Pour gagner du temps sur la veille, le mieux reste de s’inscrire à des de newsletters, mais il faut faire attention à ne garder que les plus pertinentes. En ce moment, j’en reçois deux ou trois par jour, qui sont très concises. Comme cela, je ne passe pas des heures et des heures à lire des articles.
Être proactif, c’est avant tout être efficace. Pour ça il y aussi la possibilité de se créer des alertes Google sur des mots clés. À part cela, nous échangeons aussi beaucoup d’informations au sein de mon équipe. »
Est-ce qu’il y a des erreurs à ne pas commettre ?
« Il ne faut pas vouloir faire trop de choses en même temps ni vouloir aller trop vite, car cela nous fait nous rendre compte de la masse de travail qu’il y a. Le risque : se démotiver avant d’avoir commencé et être frustré.
Il faut vraiment se dire : « je me concentre sur une chose à la fois et j’y vais étape par étape ». Il faut aussi éviter de se mettre de pression inutile. On ne peut pas tout savoir, c’est comme ça, on aura toujours des choses à apprendre. C’est d’ailleurs l’une des clés pour rester motivé. »
De quoi es-tu le plus fier dans ce que t’as apporté le fait d’être proactif ?
« Il y a avant tout la fierté de se dire qu’on y arrive et qu’avec le temps on peut acquérir des compétences totalement transversales. J’ai un profil littéraire et aujourd’hui je jongle avec les datas, c’est plutôt valorisant.
Il y a aussi deux autres choses très satisfaisantes. La première, c’est que je peux voir directement à quel point ma proactivité impacte mon travail au quotidien, car je mesure mes actions grâce à la data et au reporting. Je me dis tous les jours que ce que je fais chez OpenClassrooms sert à quelque chose.
La deuxième, c’est que j’ai énormément gagné en confiance en moi. Je suis bien plus à l’aise quand je dois m’exprimer sur des sujets pointus. Déjà parce que je comprends parfaitement de quoi on parle, et parce que je sens aussi que mes interventions ont de plus en plus de poids et de valeur. »
Cette immédiateté dans les résultats donne une dimension presque tangible aux bénéfices d’une attitude proactive. C’est ce qui plaît à Gwen depuis le début. Cela le pousse à étoffer quotidiennement ses compétences dans le marketing, pour qui sait, un jour, penser à entamer une carrière dans un tout autre domaine.
À propos de Mathieu :
Un pied dans la rédaction, l’autre dans les réseaux sociaux, Mathieu s’est formé auprès de médias parmi les plus actifs et novateurs de Paris.Passionné par les nouveaux modes d’écriture, il s’est lancé comme rédacteur indépendant en 2018. Son objectif : anticiper l’influence du digital sur nos vies, et explorer le futur du travail.
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Réaliser des études en ligne demande beaucoup de motivation, de régularité et d’auto-discipline. Et c’est tout à fait possible !
Bien évidemment, votre motivation initiale est essentielle. Chacun en est capable avec de la volonté, mais il faut apprendre à croire en vous. Nous avons tous des hauts et des bas. Nous rencontrons tous des difficultés et nous avons parfois besoin d’aide. C’est pourquoi nous avons décidé de dresser une liste de 6 conseils utiles qui peuvent vous aider à réussir vos études en ligne.
Michael Holmes est diplômé d’un parcours en développement d’OpenClassrooms. C’est un membre très actif de notre communauté et il a aidé d’autres personnes qui avaient du mal à se motiver. Aujourd’hui, il partage ses meilleures astuces avec vous.
Alors Michael… Comment réussir ses études en ligne ?
On ne le dira jamais assez : il faut se fixer des objectifs.
Au début de chaque semaine, je me fixe un objectif principal à accomplir d’ici la fin de la semaine. Je l’écris sur un papier que je place à un endroit où je le vois tous les jours.
C’est bien de se fixer un objectif hebdomadaire, mais ce n’est pas suffisant.
Chaque matin, je prends quelques minutes pour évaluer ma situation. Qu’est-ce que je veux accomplir aujourd’hui ? Il est important que cet objectif soit raisonnable. Ne visez pas trop haut car si vous rencontrez un problème ou que vous vous retrouvez coincé parce que vous avez été trop ambitieux, vous serez déçu et cela sera très démotivant.
Ces petits objectifs vous aident à rester sur la bonne voie et vous permettent d’évaluer rapidement votre progrès. Si vous n’avez pas de petits objectifs, seulement celui de terminer le parcours, il vous sera très difficile de mesurer votre progrès et vous ne vous rendrez pas compte de ce que vous avez accompli.
Se créer un emploi du temps aide autant que les petits objectifs.
Quand allez-vous travailler sur vos cours ? Si vous ne le planifiez pas, vous ne le ferez pas. Je ne dis pas que vous êtes paresseux, mais je sais que certaines choses finissent toujours par nous distraire de nos études : le travail, passer du temps avec ses amis ou sa famille. Il y a même des distractions plus subtiles… notre smartphone
Ce ne sont pas de mauvaises choses, mais si vous définissez pas un moment chaque jour où vous prévoyez de travailler sur votre cours en ligne, votre progrès sera lent et vous n’en serez pas satisfait. Par exemple, si vous êtes en mesure de consacrer quatre heures par jour à vos études… planifiez-les et tenez-vous-y.
Étudier avec d’autres personnes est un excellent moyen de le faire, et c’est l’une des raisons pour lesquelles les formations en présentiel peuvent être efficaces. Je ne dis pas que c’est impossible dans l’enseignement en ligne, en aucun cas. Rencontrer des personnes qui font face aux mêmes problèmes que vous et d’autres qui les ont surmontés peut s’avérer très motivant.
Vous pouvez le faire de plusieurs manières, par exemple, si votre école vous propose de rejoindre sa communauté en ligne, faites-le et soyez actif. Parfois, vous serez en mesure d’aider d’autres étudiants et cela décuplera alors votre motivation.
Chez OpenClassrooms, nous utilisons Workplace pour que les étudiants puissent interagir. Voici un article qui explique comment cela peut vous aider dans vos études.
Imaginez une équipe de football sans entraîneur. Les équipes de football ne sont-elles pas meilleures avec un coach expérimenté pour les guider ?
Si vos études en ligne ne comportent pas de programme de mentorat, je vous recommande grandement de trouver une personne qui soit prête à vous aider et à vous guider.
Votre mentor n’est pas né avec toutes ses connaissances. Il a dû apprendre et il a lui aussi connu des difficultés. Il comprend ce que vous traversez et ce que vous avez à faire, et il connaît vos capacités et sait ce que vous pouvez accomplir.
L’un des avantages d’avoir un mentor est d’avoir quelqu’un à contacter lorsque vous êtes bloqué sur un problème ou que vous rencontrez des difficultés. Il n’est pas là pour faire le travail à votre place, mais pour vous aider à déterminer ce dont vous avez besoin pour avancer.
Cherchez un mentor, trouvez un mentor, et appréciez-le.
Bon à savoir : Les étudiants des parcours diplômants d’OpenClassrooms ont accès à des sessions de mentorat d’une heure chaque semaine. Voici une interview de Bertrand Deloffre, mentor en Marketing chez Openclassrooms, qui parle du processus de mentorat et en explique le fonctionnement.
Mon premier conseil était de vous fixer de petits objectifs. Que faire lorsque vous avez accompli ces objectifs ? Que faire après une semaine d’étude qui s’est bien passée, ou après avoir terminé un projet sur lequel vous travailliez depuis des semaines ?
Il est important que vous vous récompensiez d’une manière saine et équilibrée. Sortez avec des amis, allez au cinéma ; pour ce faire, faites-vous plaisir. Pensez à ce que vous avez accompli. Vous vous sentirez bien et vous saurez que si vous continuez vos efforts, vous pourrez faire encore plus… et vous y parviendrez.
Imaginez deux athlètes, l’un bien reposé, avec une alimentation équilibrée, et le second qui dort peu et qui se nourrit de caféine et de sucre. On sait bien lequel des deux aura des performances meilleures et plus régulières. Il ne s’agit pas d’un blog fitness ou santé, mais lorsque vous étudiez, vous utilisez tout de même une partie essentielle de votre corps… votre cerveau !
Dormir suffisamment la nuit, boire assez d’eau et avoir une alimentation équilibrée vous aidera à avoir les idées plus claires et à mieux vous concentrer.
De plus, si vous restez assis pendant plusieurs heures de suite, levez-vous toutes les heures et marchez quelques minutes. Vous pouvez également le faire si vous êtes bloqué sur un problème… Prenez une pause de 10 minutes et sortez prendre l’air avant de retourner étudier.
Cela ne vous transformera pas instantanément en Albert Einstein mais ça améliorera les fonctions de votre cerveau et vous aidera à concentrer vos efforts pour réussir vos études en ligne et atteindre vos objectifs.
OpenClassrooms est une école en ligne offrant des parcours diplômants et professionnalisants à plus de trois millions d’étudiants chaque mois à travers le monde.
Elle propose des cours gratuits ainsi que des programmes dans tous les métiers du numérique.
Renseignez-vous sur l’un de nos parcours en Développement, Design, Data science, Systèmes et réseaux, Marketing & Communication, Ressources humaines, Gestion de projet ou entrepreneuriat.
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Chaque langage de programmation a ses partisans et ses détracteurs, ses atouts et ses inconvénients. Les classer entre eux s’avère donc périlleux. Tout dépendra de l’usage que vous comptez en faire ou encore de votre expérience de la programmation informatique.
Cela n’empêche que les langages de programmation ne sont pas égaux en popularité. Chaque année apportant ses tendances fortes en matière de choix de langage, quels sont les langages de programmation les plus utilisés en 2018 ? Réponse dans cet article!
Sommaire de l’article :
Pour la cinquième année consécutive, IEEE , la principale association professionnelle dans le monde et qui regroupe les ingénieurs électriciens, informaticiens et électroniques, a réalisé son classement des langages de programmation. Ce classement a l’avantage de vous permettre de classer les langages de programmation informatiques selon l’usage que vous comptez en faire. Les rangs évolueront donc selon que vous souhaitez créer des sites web, des applications mobiles, des logiciels d’entreprise ou encore développer un programme informatique qui sera intégré à un objet dans le but de le contrôler.
Le langage de programmation Python semble bien installé en tête du segment « programmation web ». Il était déjà premier du classement d’IEEE Spectrum des langages de programmation les plus utilisés en 2017. Les langages Java et C# arrivent juste après parmi les langages informatiques les plus utilisées pour le web. Ces deux langages ont aussi l’avantage de figurer parmi les langages informatiques les plus utilisées pour le développement d’applications mobiles. PHP garde aussi la côte en complétant le quatuor de tête. S’agissant du développement mobile justement, C++ est plébiscité par les développeurs sollicités par IEEE Spectrum pour réaliser ce classement.
Cet article nous donne l’occasion de faire un focus sur deux des langages les plus appréciés, le PHP et le C++ afin de vous donner tous les éléments pour éclairer votre choix d’un langage de programmation.
Le PHP figure parmi les langages de programmation informatiques les plus côtés pour le développement web. Pourquoi ? D’abord, parce qu’il est gratuit et simple d’installation. Il permet aussi de développer toute sorte d’applications web, sites de vente en ligne, réseaux sociaux, blogs, … Chaque développeur informatique, peu importe son niveau et ses envies peut ainsi y trouver son compte. Tirer le meilleur du PHP nécessite quelques pré-requis. D’abord, maîtriser un logiciel de gestion de bases de données vous serait très utile, le plus connu étant MySQL. C’est ce logiciel qui sauvegardera et restituera les données que l’utilisateur entrera sur votre site à travers votre formulaire de contact par exemple. Le PHP s’assurera que les données entrées par l’utilisateur sont au bon format (pas de chiffres dans le nom, un numéro de téléphone à 10 chiffres …). Il enverra ensuite ces informations à MySQL et les lui réclamera lorsqu’il le souhaite.
Une utilisation optimale du PHP vous demandera aussi de maîtriser au préalable le HTML et le CSS. Ces deux langages de programmation sont au fondement de tout site web. Le premier vous permettra de créer la structure de votre site et d’y insérer des éléments textes comme multimédia. Le CSS quant à lui sera chargé de mettre en forme votre site. Le PHP interviendra ensuite pour personnaliser ce site web pour l’utilisateur qui cliquera sur tel ou tel bouton.
Faisant partie des langages de programmation les plus utilisés au monde, le C++ a été créé à partir de son ancêtre, le C inventé dans les années 70. Ce langage est reconnu pour la puissance qu’elle offre, d’où son utilisation dans la création de jeux vidéo. Le C++ apporte une surcouche au langage C et vous apportera de nouvelles fonctionnalités dont la programmation orientée objet qu’a introduit le C++.
Cette notion d’orienté objet est souvent difficilement compréhensible lorsque l’on débute en programmation informatique. Vous ne voyez donc peut être pas l’intérêt d’utiliser un langage orienté objet tel que le C++. Pour reprendre l’analogie utilisée par Steve Jobs, un objet est comme une personne à qui vous confiez une tâche. Cette tâche peut être par exemple d’amener vos vêtements à une blanchisserie. Pour que vos vêtements soient nettoyés, vous enverrez un message à cette personne que l’on appellera « objet blanchisserie ». L' »objet blanchisserie » sait où se trouve la meilleure blanchisserie et comment s’y rendre. Il s’y rend donc, fait nettoyer vos vêtements et vous les ramène.
A aucun moment vous n’aurez à vous soucier de comment les vêtements ont été nettoyés ou encore comment vous rendre à la blanchisserie. Vous n’avez d’ailleurs aucun besoin de le savoir puisque c’est votre objet qui fait le travail.
Le langage C++ vous permet donc de donner des instructions aux objets composant votre code informatique en leur demandant de réaliser des tâches données en partant du principe que ces objets sachent faire. En gardant les mêmes objets mais en changeant les paramètres, vous pourrez les faire exécuter une tâche différente. Le C++ vous permettra donc de développer un code informatique qui sera réutilisable car générique et accélérera donc votre développement.
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L’équipe d’OpenClassrooms est fière d’annoncer le lancement de LevelUp, son école en ligne dédiée aux travailleurs indépendants, grâce au soutien de Google.org.
OpenClassrooms s’est donné une mission : rendre l’éducation accessible à toutes et tous, partout dans le monde. Et derrière cette mission, un objectif professionnel : permettre à ses apprenants de s’épanouir dans leur carrière tout au long de la vie – y compris les travailleurs indépendants, pour qui l’accès à la formation n’est pas toujours aisé. Nous avons donc souhaité proposer des formations sur-mesure pour répondre aux besoins de ces derniers.
Notre ambition : accompagner l’ascension des indépendants
Aujourd’hui, les nouvelles formes de travail se développent massivement – en particulier les indépendants, de plus en plus nombreux. . Choisir le travail indépendant, c’est plus d’autonomie, pas de patron, un accès direct aux clients… mais aussi plus de risques, un encadrement pas toujours complet. Si les opportunités pour les indépendants, quels que soient la structure et le secteur, ne cessent de fleurir, les modalités pour créer et développer son activité à son propre compte évoluent aussi de manière radicale.
Dans ce contexte, OpenClassrooms et Google.org ont joint leurs efforts pour proposer aux indépendants des formations qui répondent à leurs besoins, en France, au Royaume-Uni et en Belgique.
La première étape : comprendre les besoins de formation des indépendants, en particulier de ceux qui collaborent avec des plateformes numériques. Pour ce faire, nous avons noué des partenariats avec Uber, Deliveroo et Stuart, et sondé leurs audiences pour préparer ce programme.
Près de 2500 personnes en France, au Royaume-Uni et en Belgique ont participé à cette enquête. Les résultats ont mis en lumière que 90% de ces indépendants comptent évoluer professionnellement en changeant d’emploi. Ils voient en effet leur activité actuelle comme une activité de transition, un tremplin pour évoluer. Certains d’entre-eux n’envisagent pas forcément de changer d’activité ; d’autres par contre connaissent mal les solutions de formation à leur disposition pour évoluer vers autre chose tout en sécurisant leurs revenus.
Construire sa carrière en maîtrisant les risques
Le programme LevelUp d’OpenClassrooms est né pour permettre aux indépendants d’acquérir les compétences nécessaires pour leur permettre de faire un bond dans leur carrière, tout en maîtrisant leurs revenus.
Vous êtes indépendant et cela vous intéresse ? Demandez le programme !
Le programme de formation est composé de 12 cours créés spécifiquement pour vous. En les suivant, vous vous familiariserez avec les bonnes pratiques numériques du marché de l’emploi et apprendrez les compétences du 21ème siècle.
Vous apprendrez notamment à créer et gérer votre activité, à construire un plan de carrière ambitieux, et à chercher efficacement un emploi. Vous développerez aussi des compétences fondamentales à toute création d’entreprise, telles que rédiger des écrits professionnels, parler en public, collaborer avec une équipe et organiser votre travail de manière autonome.
N’importe quel indépendant peut suivre ces cours, ou l’un des 300 autres déjà accessibles sur OpenClassrooms. Si vous collaborez avec Uber, Deliveroo, Stuart ou Malt, vous pouvez dès maintenant accéder à toutes ces ressources gratuitement, suite à une inscription en quelques clics.
Des bourses d’études pour donner vie à 100 projets
Pour aller encore plus loin, LevelUp d’OpenClassrooms offre 100 bourses d’études à des indépendants aux projets ambitieux. Ces bourses permettront d’étudier pendant un an chez OpenClassrooms : le temps moyen pour obtenir un diplôme de niveau reconnu par l’État à équivalent Bac +3. Ces personnes choisiront entre trois spécialités celle qui sera la plus adéquate pour mener à bien leur projet.
Cela vous intéresse ? Vous avez un super projet et voulez postuler ?
À quoi ressembleront vos études si vous obtenez la bourse ?
Vous bénéficierez, comme les autres 99 indépendants, d’un compte Premium Plus d’OpenClassrooms. C’est-à-dire que vous étudierez sur l’un de nos parcours diplômants, qui comprend des projets professionnalisants, des cours et l’aide d’un mentor par visioconférence chaque semaine. Vous aurez également le droit, dès le parcours terminé, à un accompagnement à l’emploi avec un coach RH qui vous aidera à décrocher leur premier poste.
Et si vous vous lanciez ?
Le programme LevelUp d’OpenClassrooms est une opportunité en or pour les indépendants de se former en parallèle de leur activité. C’est l’occasion pour eux de la faire passer au niveau supérieur, ainsi que leurs compétences professionnelles. Et surtout, petit à petit et sans prendre de risques inconsidérés, de s’acheminer vers la carrière dont ils rêvent.
L’article OpenClassrooms et Google.org aident les indépendants à s’épanouir professionnellement est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.
Apprendre un métier en ligne ? Pourquoi pas, mais à quoi dois-je m’attendre ?
Cette logique est très répandue, mais si vous vous attendez à la retrouver dans nos parcours, vous risquez d’être surpris ! En fait, pour créer une bonne expérience d’apprentissage en ligne, nous avons dû repartir d’une page blanche et nous poser les bonnes questions.
Que cherchent vraiment les recruteurs ? Des bonnes notes aux examens ? Non, plutôt des professionnels qui peuvent prouver leurs compétences.
Comment acquérir ces compétences en ligne ? En regardant des vidéos ? Pas seulement, non ! Avant tout par la pratique, et par le contact régulier avec des professionnels du domaine.
Chez OpenClassrooms, pour acquérir ces compétences, vous devez réaliser une suite de projets. En d’autres termes, des reconstitutions de scénarios professionnels aussi réalistes que possible. Vous devez donc vous glisser dans la peau d’un professionnel et fournir à un client, des collègues ou un manager des livrables, avec des contraintes données, dans un environnement particulier, etc.
Afin de vous accompagner, vous êtes suivi une heure par semaine par un mentor durant une session en visioconférence. Le mentor n’est pas un professeur mais un professionnel du métier, qui pourra vous aiguiller avec son expérience du terrain.
Et les cours dans tout cela ? On y arrive ! Les cours sont conçus comme des ressources pour vous aider à réaliser ces fameux projets. Ils ne sont donc pas strictement obligatoires : vous pouvez tout à fait valider le projet en vous aidant de ressources différentes ou par votre propre expérience. Cela dit, si vous êtes débutant, ils vous seront quand même vivement recommandés.
Chez OpenClassrooms, nous concevons des projets professionnels d’envergure, évalués par des soutenances, qui vous permettent de bâtir votre portfolio… et accessoirement de valider le diplôme.
Quelle est l’idée derrière ?
Vous pouvez ainsi faire l’expérience du métier, mais avec plus de place pour des erreurs que si vous étiez directement plongé en entreprise, et avec un mentor qui vous suit toutes les semaines.
OpenClassrooms permet donc de faire converger les sections éducation et expérience du CV… C’est ça, pour nous, une formation professionnalisante.
Vous êtes étudiant ? Dites-nous ce que vous en pensez.
Vous voulez faire décoller votre carrière ?
Les auteurs de ce post :
Charlène et Guillaume.
Passionnés d’éducation, tous deux font partie de l’équipe pédagogique.
Charlène est ingénieure pédagogique. Elle cherche au quotidien à améliorer l’expérience d’apprentissage des étudiants au travers de cours et de parcours toujours plus professionnalisants et pédagogues.
Guillaume est Learning Expérience Designer : il réfléchit aux innovations éducatives à mettre en place dès et dans les prochaines années, pour une meilleure expérience d’apprentissage.
L’article OpenClassrooms, un modèle pédagogique par la pratique est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.
Suivre et réussir une formation en informatique ne demande plus d’avoir le bac. Pour cause, décrocher ce diplôme ne vous est plus indispensable pour réussir votre vie professionnelle. Quel que soit votre profil (un parcours scolaire non-terminé, des ambitions incompatibles avec le système universitaire ou tout simplement des envies de reconversion), vous pouvez embrasser la carrière qui vous fait rêver.
Nombreuses sont les personnalités ayant réussi sans le bac (Pierre Bérégovoy, ancien ministre, Xavier Niel, PDG de Free, Alain Ducasse, chef cuisinier aux 6 étoiles ou encore Jean Paul Gaultier, célèbre couturier), alors pourquoi pas vous ? D’autant plus si vous souhaitez vous former à l’informatique. L’émergence des formations en ligne, ou MOOCs, vous permet désormais de suivre une formation en informatique sans avoir le bac depuis chez vous, à n’importe quel moment et quel que soit votre parcours. Il n’y a donc pas de doute, vous pouvez réussir votre formation en informatique sans le bac.
Sommaire de l’article :
Les ordinateurs sont votre passion et vous vous demandez comment vous former en informatique sans le bac. Plusieurs options s’offrent à vous.
Il existe des écoles informatiques accessibles sans le bac. L’École 42 est probablement la plus connue en raison de son fondateur, Xavier Niel. Excellente opportunité de formation, l’école présente en revanche un taux de sélection très élevé. Seulement 4% des inscrits finiront par intégrer l’école. Seconde contrainte, si vous recherchez une formation informatique vous donnant accès rapidement à une nouvelle profession, ce ne sera pas votre meilleure option. Le cursus de 42 est calibré pour durer 3 ans même si l’école encourage les étudiants à avancer à leur propre rythme.
Vous pouvez aussi vous former à l’informatique sans le bac grâce aux bootcamps. Ces sessions de formations accélérées et intenses sont plutôt dédiées aux métiers du développement informatique. D’une durée n’excédant pas une vingtaine de semaines, ces formations informatiques offrent l’indéniable avantage d’un cursus court et donc a priori d’une acquisition de connaissance rapide. En revanche, le coût de ses formations, de plusieurs milliers d’euros, peut être un vrai frein lorsqu’on est demandeur d’emploi ou étudiant. Leur faculté à vous permettre de décrocher un emploi dans l’informatique reste aussi à être démontrée.
Suivre une formation informatique sur internet est une réelle possibilité. Cette option se révèlera particulièrement utile pour les personnes souhaitant organiser elles-mêmes leurs journées de travail. L’investissement financier nécessaire pour ce type de formation demeure par ailleurs limité. Le plus dur ne sera donc pas de trouver une formation informatique en ligne mais bien de trouver la bonne formation. Cette formation devra idéalement être d’excellente qualité, accessible à votre niveau de connaissance et vous délivrer un diplôme reconnu par l’État. Car, qu’on se le dise, vous pouvez vous former en informatique sans le bac mais les recruteurs eux rechercheront dans leur majorité une certification validant votre formation informatique avant de vous offrir une collaboration.
La question du financement de la formation informatique est l’une des principales préoccupations des apprenants. Encore plus lorsqu’ils sont jeunes et sans diplôme. Là encore, des solutions existent.
Et si vous commenciez votre formation au développement web avec un emploi et ce dès le 1er jour ? C’est ce que vous permet de faire l’alternance OpenClassrooms. Notre équipe vous accompagne individuellement et gratuitement pour vous aider à trouver votre entreprise en alternance. Cette formation en alternance est ouverte à 100 personnes. Elle se déroule exclusivement en ligne avec un suivi personnel par un mentor et donne lieu à un diplôme reconnu par l’État.
Le CIF CDD permet de régler tout ou partie des frais associés à une formation, voire éventuellement de vous rémunérer à titre de stagiaire de la formation professionnelle. Pour en bénéficier, vous devrez avoir travaillé en tant que salarié (contrat d’apprentissage ou de professionnalisation inclus) au moins 12 mois au cours des 5 dernières années et être âgé de moins de 26 ans. Vous pouvez vous renseigner auprès de votre employeur, de Pôle Emploi ou bien d’un organisme Opacif ou Fongecif.
Le Compte Personnel de Formation, quant à lui, est un compte sur lequel 150 heures de formations sont déposées chaque année quand vous travaillez. Il peut être utilisé que vous soyez employé(e) ou au chômage. Il vous permet de suivre la formation qualifiante de votre choix. Cela peut être un excellent moyen de suivre une formation informatique donnant accès à un diplôme. L’Organisme Paritaire Collecteur Agréé dont vous dépendez est alors chargé de vous reverser cette aide financière.
Enfin, si vous êtes demandeur d’emploi, il existe un autre type d’aide spécifique, l’AIF (Aide Individuelle à la Formation). Pour obtenir l’Aide Individuelle à la Formation, vous devez être inscrit(e) à Pôle Emploi. En fonction du coût de la formation, ce dernier versera le montant des frais pédagogiques directement à OpenClassrooms, si vous décidez de suivre l’une de nos formations informatiques.
Les chefs d’entreprise peinent à recruter des collaborateurs spécialisés dans les métiers informatiques. Selon un rapport du Conseil d’Orientation pour l’Emploi dédié à l’automatisation, à la numérisation et à l’emploi, 900 000 postes seraient même vacants d’ici 2020 dans les domaines du numérique et de l’électronique. Pourtant un grand nombre de demandeurs d’emploi sont aujourd’hui inscrits à Pôle Emploi à la recherche d’une nouvelle aventure professionnelle. Ce ne sont en réalité pas les personnes formées aux métiers informatiques qui manquent mais bien les personnes qualifiées. Cela explique l’importance du choix de la formation et du diplôme délivré.
Les demandeurs d’emploi disposant des connaissances et compétences informatiques pertinentes se retrouvent aujourd’hui en position de force leur permettant de négocier des salaires avantageux et/ou des conditions de travail particulièrement intéressantes. Près de 9 postes sur 10 sont proposés en CDI et 7 sur 10 sont des postes de cadres.
Si vous souhaitez vous orienter vers les métiers du développement informatique, sachez que certains langages informatiques ont plus la côte auprès des recruteurs que d’autres. Java comme le Javascript sont ainsi particulièrement recherchés. Sur le plan de la rémunération, tous les métiers informatiques ne sont pas non plus logés à la même enseigne. Le responsable CRM est aujourd’hui le professionnel de l’informatique le mieux payé avec un salaire moyen de 67 500 euros mais l’ensemble des professions informatiques proposent des grilles salariales en hausse.
Accéder à un métier informatique vous est donc possible grâce à des formations de qualité ne nécessitant pas que vous ayez le bac mais une bonne dose de motivation.
L’article Quelle Formation en Informatique Sans le Bac ? est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.
Ça y est, vous vous jetez à l’eau. Vous allez apprendre un nouveau métier, en ligne. Est-ce que vous le ferez chez OpenClassrooms ? Voici comment se dérouleront vos études chez nous. On espère que ça vous permettra de vous projeter.
OpenClassrooms est l’école du concret. Vous apprendrez un métier de A à Z, en pratique.
Vos passerez environ 80% de temps de travail sur des projets avec l’aide de votre mentor et 20% sur les cours.
Les cours ne sont pas obligatoires, il vous aident à réussir les projets.
Ce sont des travaux pratiques, comme si vous étiez déjà en entreprise. Par exemple établir une fiche de paie dans le parcours comptabilité, créer un site Internet en développement, réaliser un plan de communication dans le parcours Responsable Marketing…
“C’est en forgeant qu’on devient forgeron.” Et justement, ces projets vous permettent d’apprendre en faisant. Vous développez des compétences immédiatement applicables en entreprise.
Votre mentor
C’est un expert qui exerce votre futur métier, sélectionné par OpenClassrooms pour vous motiver et vous accompagner pas à pas vers la réussite. Avec lui, vous vous fixez des objectifs et approfondissez les sujets.
Dès que j’ai un souci technique, ma mentor Marion est là. Et cela va plus loin : elle me rassure quand j’hésite. Souvent, après coup, elle me dit : “Tu vois que tu as réussi !” Le contact humain est super aussi. On parle d’un nombre incalculable de choses.
Clémence, diplômée dans le parcours développement front-end, développeuse en CDI dans le milieu du transport
On n’a pas de vision globale du parcours : il nous faut un cadrage, pour savoir combien de temps on va mettre sur un projet. Se fixer des objectifs chaque semaine est aussi très important. On les définit ensemble, et donc, c’est réalisable.
Sylvie, 59 ans, diplômée de la formation Chef de projet multimédia Développement, développeuse indépendante
En ligne mais pas tout seul : la communauté Workplace
Le Workplace est réservé à la communauté Premium Plus d’OpenClassrooms. Son interface ressemble à celle de Facebook. Les étudiants, les diplômés, les mentors et l’équipe OpenClassrooms y discutent librement des études, des emplois et d’autres sujets, comme sur n’importe quel campus.
Cette communauté vous permet d’obtenir de l’aide sur une question technique entre deux rendez-vous avec votre mentor. Vous pouvez y obtenir un conseil sur un projet, ou discuter avec les autres étudiants de tout et de rien. Vous échangerez au quotidien avec les autres étudiants et pourrez organiser des sessions de travail en groupe près de chez vous.
Les conseillers pédagogiques
C’est l’équipe d’OpenClassrooms qui vous accompagne au quotidien, de votre demande de financement jusqu’à l’obtention de votre diplôme et votre prise de poste.
Concrètement, ils vous aident à choisir le métier qui vous convient. Une fois décidé, c’est à eux que vous demandez un changement de mentor, un coach pour accélérer votre recherche d’emploi, une attestation de présence, une copie de votre diplôme… Leur mission : vous faciliter la vie.
Les coachs pour décrocher un emploi
Enfin, dès votre diplôme obtenu, vous pourrez demander l’aide d’un coach, gratuitement, pendant 2 mois.
L’objectif : vous aider à trouver un job qui vous plaise, le plus vite possible.
Comment ? En vous conseillant dans vos candidatures, en vous aidant à trouver les bons arguments, en vous préparant aux entretiens, et en vous ouvrant si nécessaire son réseau pour créer des opportunités.
La recherche du contrat est un moment difficile, où l’on peut sentir sa motivation vaciller. Mais même là, je n’ai pas été tout seul. Openclassrooms m’a attribué un coach, qui m’a aidé dans les différentes étapes de ma recherche. Et aujourd’hui, j’ai décroché mon contrat pro et je vais pouvoir continuer mon parcours jusqu’à l’obtention du diplôme.
Aurélien, étudiant en développement web
Comment m’organiser durant cette période d’apprentissage en ligne ?
Les horaires
Cela dépend de vous : les horaires sont flexibles, les projets et les cours sont accessibles à toute heure, et les mentors proposent plusieurs créneaux. Donc, chaque personne a un emploi du temps différent.
La structure de travail
Chaque semaine, vous définirez avec votre mentor les tâches de votre projet à mener à bien pour la semaine suivante. Vous saurez donc quoi faire. Vous passerez sûrement un peu de temps chaque jour à vérifier des éléments dans les cours, mais la plupart du temps sera consacré à du travail pratique.
Une fois toutes les deux semaines, vous viendrez peut-être au coworking organisé par OpenClassrooms dans l’une des grandes villes de province ou à Paris. Ou vous travaillerez en groupe avec des étudiants qui habitent près de chez vous.
Chez OpenClassrooms, c’est zéro blabla, 100% concret. Si vous avez envie de sauter à pieds joints dans un nouveau métier, lancez-vous avec nous.
Ma reconversion est en passe d’être une réussite et s’il y a bien un truc à retenir pour toutes les personnes qui auraient tendance à vouloir abandonner : NE LE FAITES PAS !!!! Ne lâchez rien, JAMAIS ! Tous les efforts finissent par payer, certes plus ou moins vite mais ça finit toujours par être positif.
Nicolas, jeune développeur web en CDD évolutif en CDI.
À consulter ensuite :
La page Parcours d’OpenClassrooms
Le mentorat, l’atout humain des formations
Retours d’étudiants sur le mentorat
Changer de métier, mais pourquoi ?
L’article Anatomie d’un parcours OpenClassrooms est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.
Les résultats sont tombés ce matin. Tu pré-sentais que ça n’allait pas passer, et voilà, c’est fait.
T’es recalé au Bac.
Bon, maintenant c’est quoi le programme ? Tu ne vas pas te laisser abattre si facilement quand même.
Tu as des choix. Mode d’emploi pour ne pas sombrer dans la déprime.
Oui, c’est décevant. Tu as bossé pour réussir, ou alors pas tant que cela mais tu espérais quand même que ça passerait. Game over.
Bon, effectivement, c’est ennuyeux.
> Oui, le Bac est utile car la plupart des écoles et universités françaises l’exigent pour faire des études supérieures.
> Oui, une majorité d’employeurs préfère embaucher des gens qui sortent de ces écoles.
Cela étant dit, assieds-toi, souffle un coup et fais la liste de tes options (on t’aide).
Il n’y a pas d’échec définitif et on peut toujours apprendre quelque chose et réussir ses projets.
Tiens, regarde cette vidéo, ce sera un bon point de départ pour penser P.O.S.I.T.I.F.
Tu es inscrit au rattrapage ? Qu’est-ce que tu fais à traîner ici ? Vas bosser, MAINTENANT !
(À lire : Le mode d’emploi spécial rattrapage de Studyrama).
Fais de ton mieux et si tu es définitivement recalé, tu liras nos conseils.
Tu n’as pas eu 8/20 et ne peux donc pas passer les rattrapages ?
2 options s’offrent à toi.
1. Tu as le courage de repasser le Bac l’année prochaine. Allez, motive-toi. En te préparant mieux, ça passera sûrement.
Benoît est diplômé chez nous et a une carrière professionnelle florissante, le tout sans le Bac. Voici son conseil :
“Si tu en as la possibilité, repasse-le ! Même si on peut se débrouiller sans, tu seras quand même plus libre avec”
2. Tu n’en es pas à ton premier essai ou tu sais que cela va être très dur de le repasser.
C’est là qu’on intervient : tu pourras quand même étudier et développer des compétences très recherchées par les recruteurs.
Donc, tu es sûr de chez sûr, tu ne vas pas repasser le Bac ? Pas par flemme ou par esprit de contraction ? Tu en as discuté avec tes profs et proches ? C’est vraiment au-dessus de tes forces ? D’accord.
Dans ce cas, on te la fait courte. OUI, on peut mener une belle carrière professionnelle sans avoir le Bac en poche. Nos diplômés témoignent.
“Au lycée, je séchais beaucoup. Je montais des PC dans un magasin d’informatique, en échange de quelques composants pour le mien. Je n’ai pas eu mon BAC S et j’ai été exclu du lycée.
J’étais coincé, je ne pouvais pas faire d’études. Le dirigeant du magasin d’informatique où je « bricolais » m’a conseillé de m’adresser à l’IFC, un centre de formation. Il recrutaient à partir de BAC +2. Devant mon insistance, ils m’ont fait passer des tests, que j’ai réussis grâces aux connaissances acquises au magasin. J’ai ensuite passé les certifications Microsoft sur Windows NT4 (MCSE). Elles m’ont permis de trouver du travail en intérim dans différentes SSII de la région Nantaise. J’ai fait ça pendant 5 ans. Ensuite, j’ai créé mon magasin d’informatique. Cette aventure a duré 6 ans.
Depuis 2010, je suis responsable informatique d’une PME d’environ 50 salariés. J’ai suivi la formation OpenClassrooms de Chef de projet Multimédia Spécialité Développement (que j’ai terminée en décembre 2017). J’avais toujours eu envie de toucher au développement, c’est un atout supplémentaire”.
“Je n’ai pas eu le Bac. À la place, j’ai enchaîné différents emplois : en Fast Food, magasin de sport, de bricolage, en banque. Après 7 ans en banque, je souhaitais évoluer professionnellement et même changer de secteur et de métier.
J’ai choisi OC car c’était pour moi l’exemple de l’entreprise qui est partie de rien pour aider des gens à se reconvertir. La formation m’a donné de bonnes bases de codage. Et en ce moment, j’apprends un nouveau langage de programmation pour mes besoins professionnels, car OpenClassrooms nous apprend à nous former en continu.
Aujourd’hui, je travaille pour un groupe bancaire international, et j’ai monté mon agence de développement en parallèle en Pologne, car je vis à Cracovie. Mes clients ne m’ont jamais demandé de fournir la preuve de l’obtention du Bac”.
“J’ai quitté le système scolaire à 17 ans, après une 2nde professionnelle en chaudronnerie et en logistique qui ne m’a pas plu.
Après cela, avec de la détermination, j’ai trouvé un emploi en tant que technicien de maintenance informatique où je pouvais me former en continu.
Peu à peu, j’ai découvert le monde du développement web, car notre entreprise m’a fait refaire son site internet et son intranet avec le CMS WordPress. Alors, j’ai saisi l’opportunité d’aller plus loin en suivant le parcours diplômant en développement via OpenClassrooms. Suite à ce parcours, j’ai trouvé un emploi en tant que Développeur PHP dans une entreprise, deux mois seulement après mon diplôme, et cela se passe bien”.
“Ça dépend. Sans le Bac, tout n’est pas perdu (OpenClassrooms est une voie possible). Par contre il ne faut pas croire que le BAC est inutile. Il sert à avoir un socle de connaissances sans lesquelles on est parfois handicapé. Par exemple, pour être Data Scientist, il faut de bonnes connaissances en Maths. Le Bac sert aussi à ouvrir des portes, surtout celles d’un premier emploi, car ensuite les recruteurs regardent l’expérience. Donc, si tu peux le repasser, fais-le, et dans le cas contraire, mets en avant ton expérience et tes compétences”.
Benoît
“Le BAC est encore vu en France comme le Saint Graal de la vie active sans lequel on est un raté. Mais je suis un exemple parmi d’autres qui montre qu’on peut réussir sa carrière sans lui. Attention : ce qu’on apprend au lycée est très utile. L’anglais, les mathématiques par exemple, ou dans mon cas l’Histoire pour comprendre celle de Cracovie (en Pologne), où je vis. Mais le bout de papier comme tel n’est pas indispensable pour exercer le métier qui te passionne : ce sont tes compétences, ta motivation et ta personnalité qui feront la différence”.
Jonathan
“Je ne suis pas sûr que le Bac soit nécessaire pour tous les métiers. Dans le numérique, on est plus jugés sur nos compétences”.
Mohamed
“Choisis la voie qui te plaît, pas celle à la mode… et bosse. Donne-toi les moyens de réussir. Si tu bosses maintenant, tu gagneras ta vie sans travailler… mais en pratiquant ta passion”.
Benoît
“Si ton projet professionnel te permet de continuer sans le Bac, n’hésite pas. Beaucoup de gens réussissent leur carrière sans lui”.
Mohamed
“Quand on veut, on peut. Tu es maître de ton avenir. Tu as sûrement un énorme potentiel, mais il ne faut pas baisser les bras. Rassemble ta détermination et travaille. Pour monter un projet ou se vendre à un recruteur, il faut de la motivation, de la conviction, prouver que tu es unique et que tu as les compétences. Tu peux faire ça sans le Bac”.
Jonathan
L’article J’ai pas eu mon Bac. Et maintenant ? est apparu en premier sur OpenClassrooms : le blog.