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À partir d’avant-hierKorben

Un distributeur de CPU au Japon – Un Core i7-8700 pour 3 dollars !

Par : Korben

Vous pensiez avoir tout vu en matière de distributeurs automatiques ? Et bien le pays du Soleil Levant repousse une fois de plus les limites de l’imagination avec une machine pour le moins insolite : un distributeur de… CPU Intel ! Si, si, vous avez bien lu. Au pays des capsules toys, tout est possible même de tomber sur un Core i7-8700 pour la modique somme de 500 yens, soit environ 3 dollars.

La scène se passe devant une boutique d’informatique nommée 1’s PC, qui a visiblement eu l’idée farfelue de recycler ses vieux processeurs en les mettant dans un distributeur façon gacha. Le principe est simple : vous insérez une pièce, tournez la manivelle, et hop ! Voilà votre petite capsule contenant un CPU mystère. C’est comme une pochette surprise, mais avec des puces en silicium dedans. Évidemment, c’est la loterie : vous pouvez aussi bien tomber sur un vieux Celeron tout poussiéreux que sur une pépite comme ce fameux i7-8700.

Un YouTubeur japonais nommé Sawara-San a tenté sa chance et a eu la main particulièrement chanceuse en décrochant le précieux sésame pour seulement 500 yens. Ni une ni deux, notre bidouilleur s’est empressé de rentrer chez lui pour tester la bête et vérifier si le CPU est fonctionnel ou non. Parce que bon, à ce prix-là, on peut légitimement avoir des doutes.

Après un montage express sur une carte mère d’occasion, première tentative de boot et… rien. Nada. Que dalle. L’écran reste désespérément noir. Le CPU serait-il mort ? Que nenni ! Après quelques secondes de panique, notre cher Sawara-San s’est rendu compte qu’il avait juste oublié de brancher le câble d’alimentation du GPU. Une fois ce léger détail corrigé, l’ordinateur a enfin daigné s’allumer.

Direction le BIOS pour checker les infos CPU et là, bingo ! C’est bien un Core i7-8700 qui est détecté. Ce processeur possède 6 cœurs et 12 threads, avec une fréquence de base de 3.2 GHz et un boost jusqu’à 4.6 GHz. Il est compatible avec les cartes mères équipées d’un socket LGA 1151 et d’un chipset de la série 300. Maintenant, il faut installer Windows et vérifier que tout fonctionne correctement. Et c’est là que les choses se corsent un peu…

L’installation se passe sans accroc, mais une fois sur le bureau, Sawara-San remarque quelques artefacts graphiques suspects. Après investigation, il semblerait que la puce graphique intégrée du CPU ait morflé. Ces soucis semblent spécifiques à ce processeur en particulier et ne sont pas forcément représentatifs de tous les Core i7-8700. Bon, tant pis, il décide de passer outre et de lancer quelques benchmarks pour voir ce que le proc a dans le ventre.

Résultat : l’i7-8700 se comporte plutôt bien malgré son statut de rescapé d’un distributeur automatique ! Sous Cinebench R15, il atteint un score de 992 points en multi-thread. Certes, c’est un poil en-dessous d’un modèle fraîchement sorti d’usine, mais pour 3 dollars, on va éviter de faire la fine bouche, hein.

En fouillant un peu dans le Gestionnaire des tâches, Sawara-San se rend compte que le CPU ne compte que 5 cœurs actifs au lieu de 6. Étrange… Serait-ce un autre dommage collatéral ? Ni une ni deux, il fonce dans le BIOS et décide de désactiver manuellement le cœur défectueux. Et voilà, le tour est joué ! Windows ne voit plus que 5 cœurs, mais au moins, le système est stable.

Au final, ce Core i7-8700 bradé dans un distributeur aura fait le bonheur de Sawara-San qui, pour seulement une poignée de yens, a pu mettre la main sur un CPU encore vaillant. Certes, la puce a quelques défauts, comme son iGPU aux fraises et un cœur en moins, mais pour ce prix, c’est tout bonnement exceptionnel. Un vrai coup de bol !

Et vous, seriez-vous prêt à tenter votre chance dans ce drôle de distributeur de CPU ?

Qui sait, peut-être que la chance vous sourira aussi ! En attendant, si vous passez devant la boutique 1’s PC au Japon, n’hésitez pas à faire un petit tour au rayon gacha, car c’est peut-être vous le prochain gagnant d’un processeur haut de gamme pour le prix d’un café !

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Short Stack – la Nintendo Wii miniaturisée à l’extrême

Par : Korben

Ça y est les amis, on a atteint le summum du bidouillage et de la miniaturisation avec le Short Stack, un mod complètement dingue de la Nintendo Wii qui arrive à faire tenir toute la puissance de la console dans un boîtier de la taille d’un paquet de cartes ! C’est juste ahurissant quand on y pense.

Alors bien sûr, la Wii c’est pas la console la plus grosse à la base, mais quand même, passer de 157 x 60 x 197mm à un truc aussi compact, faut reconnaître que c’est quand même sacrément impressionnant. Et le plus fou dans tout ça, c’est que le moddeur n’a pas triché en passant par de l’émulation. Non non, le Short Stack embarque une vraie carte mère de Wii, juste super bien taillée et optimisée !

James Smith, le génie derrière ce projet de titan, a réussi à faire rentrer dans son petit boîtier imprimé en 3D la carte mère réduite de la Wii, un tas de cartes électroniques custom empilées les unes sur les autres (d’où le nom du mod) pour gérer le Bluetooth, l’USB, les ports manettes GameCube, et même un dissipateur thermique sur mesure. Niveau intégration, on est donc sur du très très haut niveau.

Bon par contre, évidemment, pas de lecteur de disque là-dedans, faut pas déconner. Mais ça n’empêche pas d’avoir quand même un petit slice factice qui s’illumine en façade pour faire genre. Les jeux et les sauvegardes sont stockés sur une carte microSD à la place. Et pour faire encore plus pro, le Short Stack se branche en HDMI et s’alimente en USB-C. De quoi faire un joli petit media center rétrogaming, fin et discret.

Alors certes, c’est pas le premier mod de Wii ultra compact, on avait déjà vu passer la KillMii qui tenait dans une boîte d’Altoids. Mais celle-là intégrait un écran, des contrôleurs et une batterie qui tenait… 10 minutes. Pas top pour les sessions de Mario Kart endiablées. Le Short Stack a au moins le mérite d’être vraiment utilisable au quotidien sans trop de compromis. Après, difficile de dire s’il s’agit vraiment de la « plus petite Wii du monde » comme l’affirme Smith, mais une chose est sûre, c’est probablement la plus compacte que vous aurez vraiment envie d’utiliser !

D’ailleurs si ce projet de fou vous tente, sachez que Smith a publié tous les détails, les fichiers de conception et les instructions sur GitHub. Vous y trouverez quelques infos sur la réalisation, même si on ne peut pas dire que ce soit un tutoriel complet non plus. Et attention, c’est clairement pas un mod pour débutants ! Il vous faudra de sacrées compétences en électronique, pas mal de matos spécifique et une bonne dose de patience pour arriver à un résultat similaire.

Enfin bref, je dis chapeau bas Monsieur Smith pour ce boulot de malade mental. On en redemande des comme ça ! Parce que soyons honnêtes, ça sert pas à grand chose mais qu’est-ce que c’est classe !

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Le Recovery Kit V2 – Le cyberdeck pour les aventuriers du net

Par : Korben

Vous avez vu le Recovery Kit Version 2 ?

En gros, c’est un cyberdeck de compète qui renferme un Raspberry Pi dans une valise Pelican Case. Le genre de bidule qui vous donne envie de partir à l’aventure numérique façon Mad Max.

Alors pour faire simple, un cyberdeck, c’est un ordi portable custom taillé pour les baroudeurs du net. Un truc compact, autonome et qui en a dans le ventre pour pirater la NASA depuis un bunker en plein désert (enfin, façon de parler hein, on est pas là pour finir en taule).

Ce Recovery Kit V2, c’est une version améliorée du premier modèle conçu par Jay Doscher en 2019. À l’époque, le concept avait fait un petit buzz dans la commu des makers et des nerds. Faut dire que l’idée de fourrer un Raspberry Pi dans une mallette antichoc, c’est quand même stylé.

Mais alors, qu’est-ce qui change avec cette V2 ? Déjà, on a droit à un Raspberry Pi 5 qui envoie du gros. Ça va vous permettre de faire tourner des trucs costauds sans avoir l’impression d’être revenu au temps du Minitel. Ensuite, y a une batterie de 25 600 mAh pour tenir la distance (4 à 5h d’autonomie), un écran tactile 7 pouces, un clavier ortholinéaire et même un disque SSD NVMe pour le stockage. De quoi vous concocter une config de guerrier nomade.

La valise Pelican 1300 utilisée pour le boitier offre une protection optimale contre la poussière, l’eau et autres dangers environnementaux, histoire de garder votre matos bien au sec.

Au niveau des composants, la liste est plutôt complète mais il manque quelques détails techniques qui pourraient être utiles, genre un schéma du montage pour voir comment tout se branche car le tuto de montage complet est réservé aux membres premium.

En parlant de switches, les célèbres Cherry MX sont un classique mais pour un kit nomade, des switches low profile type Kailh ou Outemu seraient plus adaptés je trouve. Niveau look, comme vous le voyez, on reste dans un style assez brut de décoffrage qui respire la robustesse. La valise Pelican noire avec ses coins renforcés, ça envoie du lourd. On est clairement pas sur un truc fragile à trimballer avec des gants blancs.

Bon après, faut pas se leurrer, c’est pas non plus le machin le plus ergonomique du monde. Le clavier ortholinéaire, c’est un poil déroutant au début et faut aimer taper sur des touches de la taille d’un timbre poste. Mais bon, c’est le prix à payer pour avoir un truc compact qui rentre dans une valise.

Côté connectique, on est plutôt bien servi avec de l’Ethernet, de l’USB-C, un port GPIO pour brancher des modules et même un switch réseau pour partager la connexion. Par contre, va falloir vous coltiner un adaptateur secteur, parce que la recharge se fait via un port barrel. Un poil old school mais bon, on va pas chipoter.

Pour ce qui est de la config logicielle, Jay propose une image toute prête avec Raspberry Pi OS, mais vous pouvez aussi installer votre distro préférée. Perso, je verrai bien un petit Kali Linux pour partir en mode h@ck3r dans la matrice, mais rassurez-vous, un Windows c’est possible aussi. 😎

En vrai, ce Recovery Kit V2, c’est clairement pas un truc pour madame Michu qui veut surfer sur Facebook. C’est plutôt une machine pour les passionnés de bidouille qui kiffent l’idée d’avoir un ordi portable custom qui sort de l’ordinaire. Et puis faudra quand même mettre la main au portefeuille parce qu’entre la valise Pelican, le matos électronique et les accessoires, vous allez vite dépasser les 500 balles. Mais bon, c’est le prix à payer pour avoir un cyberdeck qui en jette.

En attendant, si vous voulez en savoir plus sur ce projet, je vous invite à checker le site de Jay Doscher. Vous y trouverez plein de photos et des détails sur les composants utilisés.

Imprimantes HP – Un nouveau firmware qui fait grincer des dents

Par : Korben

Ah les imprimantes, ces petites boites en plastique bon marché, bien bruyantes, sans lesquelles on serait bien embêtés pour imprimer nos QR Codes pour les JO photos de vacances ou nos documents. Mais attention, si vous avez une imprimante HP, vous risquez d’être encore plus embêtés !

En effet, la célèbre marque a eu la bonne idée de balancer une mise à jour firmware qui bloque l’utilisation des cartouches d’encre non estampillées HP. Sympa non ? Du coup, si vous aviez l’habitude d’acheter des cartouches génériques pour faire des économies, c’est raté. Votre imprimante va gentiment vous envoyer bouler en vous disant d’aller acheter des cartouches HP, sinon rien.

Cette mise à jour firmware contient une fonctionnalité de sécurité qui empêche l’utilisation de cartouches d’encre non-HP, monopolisant ainsi le marché des cartouches de remplacement. Bien que les détails techniques ne soient pas précisés, il est probable que la mise à jour utilise un algo spécifique et des techniques de gestion des droits numériques (DRM) pour vérifier l’authenticité de la puce sur la cartouche et empêcher son utilisation si ce n’est pas une cartouche de marque HP.

Forcément, ça n’a pas plu à tout le monde cette histoire. Des petits malins ont décidé d’attaquer HP en justice, en mode « non mais oh, on n’est pas des pigeons non plus » (Vous la sentez la conviction que j’y mets ?). Ils accusent la marque de vouloir monopoliser le marché des cartouches d’encre en forçant les utilisateurs à acheter ses propres cartouches hors de prix. Les plaignants affirment que HP a cherché à tirer profit des coûts irrécupérables des clients en monopolisant le marché secondaire des cartouches d’encre de remplacement par le biais de la sécurité dynamique et d’autres tactiques.

Alors ils ont bien tenté de se défendre en disant « mais non, on ne bloque pas toutes les cartouches, regardez il y a des marques compatibles« . Sauf que les plaignants ne sont pas dupes. Ils ont bien compris que le but du jeu était de profiter du fait que les gens ont déjà investi dans une imprimante HP pour leur faire cracher un max de thunes en cartouches.

Mais le fabriquant ne compte pas se laisser faire. La marque affirme que les mises à jour de firmware qui bloquent certaines cartouches sont là pour « protéger l’innovation et la propriété intellectuelle« . Arf ! En gros, si vous voulez utiliser une imprimante HP, vous devez passer à la caisse pour acheter des cartouches HP, sinon c’est de la triche. HP soutient également que les plaignants ne peuvent pas réclamer de dommages et intérêts pour avoir été surfacturés en vertu des lois antitrust fédérales américaines, car les consommateurs qui achètent des produits auprès d’un intermédiaire ne peuvent poursuivre le fabricant que pour obtenir une injonction, et non pour récupérer des dommages et intérêts résultant d’une prétendue surfacturation.

Le problème, c’est que cette stratégie est un poil abusive. C’est un peu comme si on vous forçait à faire le plein de votre Renault uniquement dans les stations Renault (je sais, ça n’existe pas), en prétextant que les autres essences ne sont pas assez bien pour votre voiture. Pas cool.

D’ailleurs, le PDG de HP, Enrique Lores, a exprimé l’espoir d’attirer les clients vers un modèle d’abonnement à l’impression, où les clients sont facturés pour avoir suffisamment imprimé ou utilisé suffisamment de fournitures. Mais attention, certaines estimations suggèrent que les prix de l’encre pour imprimante peuvent être assez élevés, allant de 439 à 2 380 dollars le litre. Outch ! C’est encore plus cher que le parfum de luxe.

Alors certes, HP n’est pas le seul à jouer à ce petit jeu. Les fabricants d’imprimantes ont bien compris que c’est sur les cartouches d’encre qu’ils se font le plus de blé, mais bloquer carrément les cartouches concurrentes, c’est un cran au-dessus. Et ça risque de leur coûter cher en procès et en image de marque. D’ailleurs, on peut se demander si d’autres fabricants d’imprimantes ont mis en place des mises à jour similaires, et s’ils font également l’objet de poursuites judiciaires ? Ça pourrait avoir un impact sur les choix des utilisateurs.

En attendant, si vous avez une imprimante HP récalcitrante, vous pouvez toujours essayer de bidouiller le firmware pour contourner le problème. Mais à vos risques et périls, car la marque risque de ne pas apprécier que vous trichiez avec son système. Et puis bon, il faut quand même avouer que c’est un peu la galère de devoir se prendre la tête avec son imprimante juste pour pouvoir imprimer tranquille.

Bref, tout ça pour dire que cette histoire de firmware bloquant est un bel exemple de comment les fabricants essaient de nous la faire à l’envers pour gratter toujours plus de pognon. Mais les consommateurs ne sont pas prêts à se laisser faire, et HP risque de le découvrir à ses dépens. En attendant, si vous cherchez une imprimante, peut-être que vous devriez regarder du côté des marques qui ne vous obligent pas à vendre un rein pour acheter des cartouches. Juste une suggestion comme ça, en passant…

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Smartphone Xiaomi – Dites adieu à cette option que vous adorez

Par : Korben

— Poisson d’avril ! —

Dans une annonce surprenante, le géant chinois Xiaomi a décidé de supprimer la fonctionnalité « Appel » de ses smartphones, affirmant que cette option n’est plus utilisée par la majorité de ses clients. Cette décision radicale a suscité de nombreuses réactions parmi les utilisateurs de la marque.

Xiaomi affirme que les appels passent désormais par les messageries instantanées

Selon un communiqué officiel de Xiaomi, la fonctionnalité « Appel » sera progressivement retirée de tous les modèles de smartphones de la marque à partir de la prochaine mise à jour. L’entreprise justifie cette décision en expliquant que la plupart des utilisateurs préfèrent désormais passer leurs appels via des applications de messagerie instantanée telles que WhatsApp, Facebook Messenger ou encore WeChat.

« Nos études montrent que moins de 5% de nos clients utilisent encore la fonction d’appel classique via le réseau de l’opérateur« , indique le porte-parole de Xiaomi. « Il nous a donc semblé logique de supprimer cette option devenue obsolète afin d’optimiser les performances de nos appareils. »

Des avantages et des inconvénients pour les utilisateurs

Si cette décision peut sembler radicale, Xiaomi met en avant plusieurs avantages pour ses clients. Tout d’abord, la suppression de la fonctionnalité « Appel » permettra de libérer de l’espace de stockage sur les smartphones, offrant ainsi plus de place pour les photos, vidéos et applications. De plus, l’entreprise promet une amélioration significative de l’autonomie de la batterie, les appels via les messageries consommant moins d’énergie que les appels traditionnels.

Cependant, certains utilisateurs s’inquiètent des conséquences de cette décision. En effet, les appels via les messageries nécessitent une connexion internet stable, ce qui n’est pas toujours le cas dans certaines zones géographiques. De plus, les personnes âgées ou moins à l’aise avec la technologie pourraient se retrouver dans l’incapacité de passer des appels depuis leur smartphone Xiaomi.

Vers une suppression de l’application SMS ?

Suite à cette annonce, des rumeurs circulent quant à une possible suppression de l’application SMS dans un futur proche. En effet, Xiaomi aurait également constaté une baisse significative de l’utilisation des SMS au profit des messageries instantanées.

Si cette information venait à se confirmer, cela marquerait un tournant majeur dans l’histoire de la téléphonie mobile. Les smartphones deviendraient alors de véritables « appareils de messagerie », délaissant progressivement les fonctions de communication traditionnelles.

Quoi qu’il en soit, cette annonce a eu l’effet d’une bombe dans le monde de la tech, suscitant de nombreux débats sur l’avenir de la téléphonie mobile et une fool en colère. Reste à voir si d’autres fabricants emboîteront le pas à Xiaomi dans cette « pêche » aux fonctionnalités obsolètes.

Le premier cobaye Neuralink s’éclate sur Civilization VI

Par : Korben

Vous vous souvenez sûrement de Neuralink, la startup fondée par Elon Musk qui veut révolutionner les interfaces cerveau-machine ? Eh bien, figurez-vous que leur premier cobaye humain, un certain Noland Arbaugh, s’est amusé comme un petit fou avec son nouveau gadget greffé dans le ciboulot !

Ce cher Noland, un jeune homme de 29 ans paralysé des épaules jusqu’aux pieds suite à un accident de plongée, a eu l’immense privilège de recevoir l’implant Neuralink N1 en janvier dernier. Et croyez-moi, il n’a pas perdu de temps pour tester son joujou high-tech !

Lors d’un livestream sur X (l’ex-Twitter, vous suivez ?), notre cher patient a fait une démonstration époustouflante en jouant aux échecs sur ordi rien qu’avec la force de son esprit. Tel un Jedi de la stratégie, il a déplacé les pièces sur l’échiquier virtuel en un clin d’œil, laissant les spectateurs bouche bée.

Mais ce n’est pas tout ! Noland nous a confié qu’il avait déjà passé une nuit blanche à s’éclater sur Civilization VI, le célèbre jeu de stratégie. Avant son opération, il devait compter sur un pote pour l’aider à jouer, ce qui était loin d’être idéal pour enchaîner les parties jusqu’au bout de la nuit.

Maintenant, grâce à son implant miracle, il peut s’adonner à sa passion sans limites ! Enfin, presque… La seule contrainte, c’est d’attendre que son gadget se recharge quand il a épuisé toute la batterie. Mais bon, c’est un détail quand on peut à nouveau profiter des joies du gaming de manière autonome, non ?

Et ce n’est pas fini ! Notre champion a aussi réussi l’exploit de terminer deuxième à Mario Kart 8 Deluxe en affrontant son père et un ami. Pas mal pour un débutant qui pilote son kart à la force de la pensée !

Bien sûr, comme le souligne Noland, tout n’est pas encore parfait avec cette technologie. Il reste du chemin à parcourir pour que Neuralink tienne toutes ses promesses. Mais avouez que c’est quand même un sacré bond en avant pour redonner de l’autonomie et des loisirs aux personnes paralysées. Bravo Elon 🙂

D’ailleurs, le grand gourou de la tech, ne compte d’ailleurs pas s’arrêter là. Son objectif ultime ? Utiliser les implants pour « shunter » les signaux du cortex moteur directement vers les membres paralysés, histoire de contourner les lésions de la moelle épinière. Carrément !

Mais avant d’en arriver là, Neuralink va devoir convaincre les autorités américaines que ses expériences sont éthiques et sans danger, car la startup a déjà fait polémique avec ses tests sur les animaux, accusée d’avoir provoqué des souffrances inutiles sur des singes, des cochons et probablement Bruno Le Maire si on en croit la dernière annonce du déficit français.

Espérons que cette success story avec Noland ouvre la voie à des essais cliniques plus larges, histoire de transformer la vie d’autres personnes dans sa situation. En attendant, on peut toujours rêver au jour où on pourra tous s’affronter sur Civilization ou Mario Kart par la simple force de notre cerveau !

Perso, si Neuralink me permet de débrancher à la demande le son de mes oreilles quand j’ai les enfants dans les pattes, je me le fait implanter tout de suite !

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Geohot atomise les firmwares AMD et ça fait mal

Par : Korben

Je sais pas si vous avez vu passer ça, mais dernièrement, il y a eu un peu de grabuge entre George Hotz (Geohot) et AMD, puisque ce dernier a essayé de faire tourner son framework IA Tiny Grad sur des GPU AMD.

Sauf que voilà, AMD lui a donné du fil à retordre avec ses firmwares propriétaires. Le driver open-source d’AMD se révélant être une jolie mascarade puisque tout les morceaux de code critiques sont bien protégés et sous licence.

Pourtant, Geohot n’a pas lésiné. Des mois à éplucher le code, à bypasser la stack logicielle, à discuter avec les pontes d’AMD. Mais rien à faire, les mecs veulent pas cracher leurs précieux blobs binaires. « Trop risqué, pas assez de ROI, faut voir avec les avocats. » Bref, c’est mort.

Pendant ce temps, Nvidia se frotte les mains avec son écosystème IA bien huilé. Des pilotes certifiés, des perfs au rendez-vous, une bonne communauté de devs… Tout roule pour eux, alors qu’AMD continue de s’enfoncer dans sa logique propriétaire, au détriment de ses utilisateurs.

La goutte d’eau pour Geohot ? Un « conseil » de trop de la part d’AMD qui l’a incité à « lâcher l’affaire« . Résultat, geohot est passé en mode « je vais vous montrer qui c’est le patron« . Si AMD ne veut pas jouer le jeu de l’open-source, alors il va leur exposer leurs bugs de sécu à la face du monde !

Et c’est ce qu’il a fait puisque durant un live de plus de 8h, il s’est attaché à trouver plusieurs exploit dans le firmware des GPU AMD. Il est fort !

Dans l’IA, l’aspect hardware compte évidemment mais le software c’est le nerf de la guerre. Les boîtes noires, les firmwares buggés, le code legacy, c’est plus possible et les sociétés qui tournent le dos à la communauté des développeurs et des hackers font, selon moi, le mauvais choix.

Et ce qui arrive à AMD n’est qu’un exemple de plus.

Bref, comme d’habitude, gros respect à Geohot pour son combat de vouloir encore et toujours que la technologie profite au plus grand nombre. En attendant, suite à sa mésaventure avec AMD, il a annoncé qu’il switchait tout son labo sur du matos Nvidia et qu’il bazardait ses 72 Radeon 7900 XTX sur eBay. Si vous voulez des GPU d’occase pour pas cher (et apprendre à les faire planter ^^), c’est le moment !

Et si le code source de ses exploits vous intéresse, tout est sur Github.

Merci George !

CHEFREE M500 – Le robot pâtissier multifonction pour les geeks gourmands

Par : Korben

— Article en partenariat avec Chefree —

Comme tous les geeks, j’adore les gadgets high-tech qui me simplifient la vie. Et quand il s’agit de cuisine, quoi de mieux qu’un robot pâtissier multifonction ultra-performant pour laisser libre cours à sa créativité culinaire sans y passer des heures ?

C’est exactement ce que propose le CHEFREE M500, un concentré de technologie au service de nos papilles ^^.

Avec son imposant bol en inox de 7 litres, ce robot permet de préparer de généreuses quantités, que ce soit pour régaler toute la famille ou préparer le buffet d’une soirée entre amis. Il est entièrement en métal, ce qui lui confère une robustesse à toute épreuve. Vous pouvez enchaîner les préparations sans crainte, il ne bougera pas d’un iota grâce à ses pieds ventouses (Moi aussi j’aimerai avoir des pieds ventouses, je suis jaloux un peu).

Mais la vraie force du M500, c’est son moteur surpuissant de 1800W couplé à un ingénieux système de mélange planétaire. Rigolez pas, c’est comme ça qu’on dit. C’est pas pour mélanger des planètes mais plutôt pour faire des mélanges homogènes. Il vient à bout des pâtes les plus denses en un rien de temps et le résultat est au top ! Ses 10 vitesses s’adaptent à tous les besoins, de simples mélanges aux pétrissages intensifs et grâce au mode pétrissage intelligent, il gère seul le niveau et la durée pour obtenir une pâte nickel, prête à être travaillée.

Livré avec trois accessoires indispensables (batteur, fouet et crochet pétrisseur) en acier inoxydable, il se transforme tour à tour en robot pâtissier, en batteur-mixeur et en pétrisseur surpuissant. De quoi réaliser une multitude de recettes et donner vie à toutes vos envies sucrées ou salées : brioches ultra-moelleuses, mousses au chocolat tellement aériennes que je les ai inscrites au Salon du Bourget de l’année prochaine, pâte à pizza encore plus croustillantes que celles de Mister V… Les possibilités sont infinies !

L’autre jour, j’ai réalisé une délicieuse tarte flambée alsacienne pour ma petite famille (la recette est ici). Un jeu d’enfant avec le M500 ! Pendant qu’il s’occupait de pétrir la pâte en mode intelligent, j’ai eu tout le temps de préparer la garniture en pleurant (oui il s’agit principalement d’oignons). En 15 minutes, tout était prêt à être enfourné. Les mioches ont adoré !

Mon prochain défi, ce sera de faire des croissants avec. Ça a l’air bien long à faire quand même mais je vous mettrais ça sur mes réseaux sociaux, vous vous en doutez. Et visiblement y’a possibilité d’ajouter des accessoires dessus pour fabriquer ses propres pasta ou hacher sa viande…etc Mais rien d’annoncer officiellement donc ne vous enflammez pas trop la dessus.

L’écran tactile est aussi un vrai plus. Tout se contrôle du bout des doigts et le grand plus pour les geeks de la flemme que nous sommes tous, c’est qu’il se nettoie super facilement puisque tous les accessoires passent au lave-vaisselle, un vrai bonheur !

En résumé, le robot pâtissier CHEFREE M500 c’est la nouvelle Ferrari qui trône dans ma cuisine. Rapide, puissante, rouge (!!) et beaucoup plus utile. Le prix pour ce petit bijou est normalement de 300 euros, mais il y a -14% en ce moment sur Amazon, donc ça fait tomber le prix à un peu plus de 257 euros. Si vous faites beaucoup de patisserie, de pizzas maison (ou genre 7 litres de mayonnaises, bloups !), ça vaut le coup ;-).

Nvidia GB200 Blackwell – La nouvelle puce IA qui repousse les limites

Par : Korben

Vous en avez marre de voir votre GPU cracher ses poumons pour faire tourner les derniers modèles d’IA genre Mixtral ou Grok (qui fait tourner ce truc d’ailleurs ???) ? Pas de panique, Nvidia a pensé à vous avec sa nouvelle puce GB200 Blackwell !

Cette petite bête de course, attendue pour la fin d’année, va littéralement exploser les compteurs. On parle de 20 pétaflops de puissance brute pour l’IA, soit 5 fois plus que la génération précédente. De quoi faire tourner des modèles encore plus gigantesques et complexes.

Mais Nvidia ne s’arrête pas là. La firme propose aussi une nouvelle plateforme logicielle baptisée NIM (Nvidia Inference Microservice) pour faciliter le déploiement de l’IA. Fini le casse-tête pour faire tourner vos modèles sur des GPU plus anciens, NIM s’occupe de tout !

Le but ? Transformer Nvidia en véritable écosystème incontournable pour l’IA, du hardware jusqu’au software. Les géants du web comme Microsoft, Meta ou Amazon en salivent sûrement déjà d’avance…

Car la demande pour ces supercalculateurs dopés à l’IA ne faiblit pas. Tout le monde veut sa part du gâteau pour entraîner les IA géantes de demain. GPT-4 et ses 1700 milliards de paramètres ? Une broutille à côté de ce que promet la GB200, capable d’ingurgiter des monstres de 27 000 milliards de paramètres !

Évidemment, mieux vaut prévoir un budget conséquent.

Si la puce Hopper H100 actuelle coûte déjà entre 25 000 et 40 000$, on peut s’attendre à ce que sa grande sœur Blackwell atteigne des sommets. Les serveurs complets équipés de GB200 pourraient allègrement dépasser les 200 000$ pièce. Va falloir booster les contribution Patreon, les gars, si vous voulez que je m’en offre un !

Mais peu importe le prix, la course à l’IA la plus puissante ne fait que commencer et avec Blackwell, Nvidia compte bien rester dans le peloton de tête et continuer à régner sur ce marché en pleine explosion.

Bon et vous attendez quoi pour commander votre GB200, bande riches ? Ah oui c’est vrai, elle n’est pas encore dispo ^^.

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Petit retour d’expérience sur la batterie Anker 737

Par : Korben

— Contient des liens Amazon affiliés sataniques —

Dans le cadre de mon boulot, il arrive que je me déplace un peu partout. J’ai donc besoin de recharger mon ordinateur et mon smartphone assez souvent et depuis n’importe où. Et comme j’habite du côté de Clermont-Ferrand, il arrive aussi parfois que je reste plus longtemps que prévu dans un train sans électricité. (heureusement, j’ai esquivé cette panne-là…)

Mais malheureusement, y’a pas tout le temps de prise de courant à dispo pour voler « emprunter » un peu d’électricité. J’avais donc besoin d’une bonne batterie externe.

Un petit tour sur Internet pour regarder les comparatifs et j’ai fini par trouvé mon bonheur : La batterie Anker 737 (PowerCore 24K). Après quelques semaines d’utilisation, je suis conquis. Tout d’abord, cette batterie affiche une capacité de 24 000 mAh. Elle peut donc prendre l’avion en cabine et permet de recharger entièrement environ 4 ou 5 fois n’importe quel smartphone ou 1,5 / 2 fois n’importe quel ordinateur portable.

Son design compact (15.6 x 5.5 x 5 cm) change un peu des batteries plus plates et allongées auxquelles Anker nous a habitués. On aime ou on n’aime pas et ça dépend comment vous la transportez ou si vous voulez la lancer sur quelqu’un dans une situation d’autodéfense, mais en termes de volume, je dirais que ça prend la même place que mon ancienne Anker PowerCore Speed. Par contre, elle est vachement plus puissante et embarque un peu plus d’électronique, donc fatalement, elle pèse un peu plus lourd. Vous vous en doutez, ce qui n’est pas un souci pour moi puisque je vais plus souvent à la salle que Tibo.

Avec la techno Anker Power Delivery 3.1, elle offre donc une charge rapide de 140 W. En gros en 40 min, elle peut recharger de 50% votre Macbook Pro.

Et niveau recharge sur le courant, c’est la même. Suffit de la brancher sur le secteur et elle se remplie à 100% en un peu plus de 50 minutes. C’est 7 fois plus rapide qu’avec les anciens modèles de batterie que j’avais et ça c’est très appréciable. Sur la 737, il y a 2 ports USB C et un port USB A, donc rien d’exotique et ça vous permettra d’y brancher jusqu’à 3 appareils.

Maintenant, le côté « geek » de cette batterie, c’est son écran qui affiche la quantité de jus disponible, mais également la puissance diffusée en entrée comme en sortie. En effet, la batterie contrôle en temps réel la puissance délivrée et la chaleur produite pour éviter de faire surchauffer ou abimer vos appareils ou la batterie elle-même. Elle est donc beaucoup plus protectrice et « intelligente » que n’importe quelle autre batterie ou qu’un sugar daddy complotiste.

J’ai également des panneaux solaires à la maison, donc je m’en sers pour stocker un peu d’énergie solaire en journée, que je réutilise ensuite quand cette feignasse de soleil est couchée. Puis comme j’ai souvent la flemme de brancher l’ordinateur sur une rallonge ou que ça me saoule de me poser obligatoirement sur la table de salon parce qu’y’a que là que je peux choper une prise pas trop loin, cette batterie est également super pratique pour continuer à m’installer un peu partout pour bosser chez moi quand y’a plus de jus dans l’ordinateur.

Voilà pour moi c’est validé, surtout que Anker est pour moi l’une des meilleures marque en matière d’adaptateur et de batteries externes, même si j’aurais apprécié que ce soit un peu moins lourd.

À découvrir ici.

Test de DisplayLink – Pour résoudre la limitation d’affichage externe des Macs Apple Silicon M1/M2/M3

Par : Korben

— contient des liens affiliés Amazon —

Ça fait un bon moment que je me suis habitué à avoir 3 écrans pour bosser. C’est très pratique notamment lors de mes lives Twitch où je peux partager un écran, suivre les commentaires en live et me garder une zone « off » pour faire des trucs que je ne souhaite pas montrer.

Seulement voilà, que ce soit avec le MacBook Air M2 ou l’iMac M3, comme ceux-ci ne sont pas équipés d’une puce Silicon Pro ou Ultra, impossible de brancher plus de 1 écran.

C’est relou et sur ce coup, je ne remercie pas Apple.

Mais c’était sans compter sur la techno Display Link qui permet de corriger ce désagrément. DisplayLink est une entreprise spécialisée dans le développement de logiciels et de puces qui facilitent la connexion entre les ordinateurs et les écrans qu’ils soient connectés en HDMI, en USB, Ethernet ou même Wi-Fi.

Leur technologie propriétaire est utilisée dans un tas de produits, notamment des docks et autres adaptateur USB-C / Thunderbolt. Leur modèle commercial repose sur la vente de puces et de licences pour leur technologie à des fabricants de matériel informatique, qui intègrent ensuite ces solutions dans leur matos.

Ça faisait un moment que j’en avais entendu parler, mais jusqu’à présent, j’avais toujours réussi à contourner le problème. Mais avec mon iMac M3, c’était mort. J’ai donc investi dans cet adaptateur de marque OWC et voici un petit article pour vous donner mon avis sur ce produit.

Ce boitier qui fait 12 cm sur 6 cm se branche sur un port Thunderbolt ou USB-C et dispose de 2 ports HDMI permettant de brancher 2 écrans 4K sur l’ordinateur. Idéal donc pour les utilisateurs de Mac Apple Silicon M1, M2 ou encore M3. Mais il peut également fonctionner sur les PC si votre ordinateur est incapable de gérer plus de 1 écran externe.

Techniquement, la solution de DisplayLink repose sur une combinaison de matériel et de logiciel. On y trouve donc une puce spéciale, conçue pour encoder et compresser les signaux vidéo. Lorsque l’utilisateur connecte un écran via un de ces adaptateurs, le signal vidéo de l’ordinateur est d’abord compressé via le logiciel DisplayLink puis une fois que le signal arrive aux écrans, la puce DisplayLink décompresse et reconstitue le signal vidéo, assurant que l’image affichée est fidèle à celle d’origine.

Cette méthode de compression et décompression offre une grande flexibilité dans les configurations d’affichage, et garantit une qualité d’image élevée. Bref, c’est plutôt ingénieux et ça rend possible l’utilisation de plusieurs écrans via un seul port USB-C Thunderbolt. Et vous pouvez évidemment faire de la copie d’écran ou de l’affichage étendu comme si c’était nativement.

En plus de sa fonctionnalité principale, l’adaptateur offre également une alimentation, permettant de recharger complètement un MacBook Pro ou MacBook Air M1 tout en faisant fonctionner deux écrans à partir d’un seul port.

Niveau prix, par contre, c’est assez cher, mais on paye la technologie qui se trouve dedans… Celui-ci est vendu un peu plus de 123 euros. Par contre, dès que je l’ai reçu, je l’ai branché, j’ai installé le soft DisplayLink et ça a tout de suite fonctionné. Je n’ai pas eu besoin de faire de paramétrage chelou et ça a même réglé les soucis de résolution que j’avais sur mes écrans externes.

Pour la petite histoire, l’un d’entre eux est 4K, mais l’image se retrouvait être bien baveuse une fois branché en direct sur un Mac avec une puce Silicon. Avec ce boitier d’OWC, ils ont été pris en charge par macOS aussi bien qu’un écran Apple officiel.

Pour info, le boitier que j’ai choisi permet de brancher uniquement 2 écrans supplémentaires mais il existe d’autres boitier DisplayLink qui permettent d’en connecter beaucoup plus. Je vous laisse aller voir ça.

Bref, c’est vraiment un truc indispensable si vous êtes passé un ordinateur Apple M1 / M2 / M3 et que vous galérez avec vos écrans externes. Là, avec ce boitier plus de souci.

Découverte du AK1PLUS – Le Mini PC Intel Alder Lake-N95 de NiPoGi

Par : Korben

Si vous me lisez depuis longtemps, vous savez que je parle très peu matos sur ce site, car je suis du genre à garder mon matériel longtemps. Mais là, j’avais besoin d’un petit PC récent pour faire mes tests sous Windows et Linux.

Pas besoin d’une grosse machine de gamer, ni d’un truc cher, donc je suis parti lurker un peu du côté des Mini PC. Et je suis tombé ce MiniPC AK1PLUS de la marque NiPoGi équipé d’un processeur Alder Lake-N95 (jusqu’à 3,4 GHz), de 16 Go de DDR4 ainsi que d’un SSD M.2 NVMe de 1 TB. Il peut également accueillir 2 écrans 4K et intègre tout le confort moderne en matière de connectivité USB, Ethernet, Wifi et Bluetooth.

Alors oui, je sais que le Alder Lake-N95 c’est vu comme le fond du panier de chez Intel, mais vu que ça ne consomme pas grand-chose et que j’ai pas prévu de faire du gaming dessus (mis à part du Xbox Cloud), je n’en ai rien à faire. Moi j’ai juste besoin d’un truc qui ne prend pas de place, et sur lequel je pourrais faire un dual boot Windows / Linux pour bidouiller.

De base, je trouve que ce AK1PLUS est plutôt cher vu le peu de matos qu’il y a dedans (439 euros au catalogue).

Mais j’avais déjà pris un PC de chez eux et j’en suis content.

Mais hors de question de l’acheter à ce prix là… Toutefois, ce qui m’a vraiment décidé c’est le bon de réduction de 210 € proposé sur Amazon qui fait qu’au final, je l’ai payé 229 euros. Je trouve que c’est son juste prix, surtout qu’à config équivalente, c’est le moins cher rapport à ses concurrents.

Bref, pour une fois, je me suis dit que ce serait sympa de vous le présenter en détail sachant que ça fait bien longtemps que je n’avais pas testé un PC ici.

Dans la toute petite boite, vous trouverez un manuel d’utilisation qui ne sert à rien, un support VESA pour le fixer au mur, derrière un écran ou encore sous un bureau ainsi qu’une alimentation et un câble HDMI.

Au niveau du look de la bête, rien de spécial… C’est une petite boite noire d’environ 13 cm de côté sur 5 cm de haut avec un peu de LEDs bleues qui s’allument quand il fonctionne (ça peut se débrancher facilement si vous ne voulez pas que ça éclaire chez vous). Bref, c’est tout petit, parfait pour les amateurs de minimalisme, car ça peut même se planquer derrière un écran ou dans un tiroir.

Niveau connectivité, y’a un port USB et le bouton d’allumage sur le côté droit afin que ce soit accessible et le reste de la connectique se trouve à l’arrière. Soit au total 4 ports USB, 2 HDMI, 1 Ethernet et une prise casque.

Un truc que j’avais pas capté en achetant ce truc, c’est qu’il dispose d’un socle amovible dans lequel on peut rajouter un SSD. Donc ça fait une bonne extension en matière d’espace disque pour ceux qui ont besoin de place, par exemple si vous voulez vous en faire un média center. Pour ma part, je l’ai retiré pour le moment.

Ensuite au niveau de l’install de l’OS, rien à dire de spécial si ce n’est que c’est livré avec un Windows 11 Pro.

Je m’interrogeais quand même sur la possibilité de mettre un Linux là-dessus, et c’est passé comme une lettre à la poste en dual boot (c’est de l’UEFI). J’ai juste dû passer sur un noyau Linux 6.5.6 pour avoir un bon support du processeur graphique d’Intel qui est quand même récent et donc avoir ainsi une résolution d’écran correcte.

Par contre, attention, si vous vous lancez là-dedans, sachez que le seul port USB réellement bootable est celui qui se trouve à l’arrière. J’ai perdu pas mal de temps à essayer de comprendre pourquoi ma clé USB ne voulait pas booter alors que je l’avais branché dans les ports USB situés à droite de la machine.

Comme j’ai 1 TB sur le Nvme, j’ai divisé le disque en 2 partitions de 500 GB chacune, ce qui sera largement suffisant pour ce que je vais en faire.

Évidemment comme je suis curieux, je l’ai démonté pou voir à quoi ça ressemblait dedans. C’est assez facile, il suffit d’enlever les patins du dessous, qui cachent les vis. Puis de l’ouvrir délicatement par le haut, en prenant garde de ne pas arracher les fils pour les LEDs bleues.

Voici l’intérieur de la bête.

Comme vous le voyez, l’alimentation des LEDs peut être facilement déconnectée. Et ensuite, c’est assez basique, y’a pas grand chose. Un gros radiateur / ventilo vraiment très silencieux. Et un NVme de marque BiWIN… Aucune idée de ce que vaut ce dernier, mais comme on peut le remplacement facilement, je ne suis pas inquiet.

J’ai enlevé le radiateur quand même pour voir le processeur avec sa bonne dose de pâte thermique.

Voilà pour le petit retour côté matos. C’est donc un mini PC silencieux et discret, avec un CPU récent et performant pour peu que vous vous contentiez de faire de la bureautique / internet / mater des films avec.

Ça conviendra bien à ceux qui ont un petit budget, qui veulent un minimum d’encombrement et surtout du silence 🙂 et comme ça supporte très bien Linux, y’a de quoi faire aussi d’autres trucs cool.

Par contre, encore une fois, oubliez les usages qui demandent du GPU. C’est loin d’être un PC avec lequel on peut jouer à des jeux récents ou faire de la 3D.

Notez que d’autres modèles sont également dispo chez NiPoGi avec moins d’espace disque, moins de RAM, donc moins chers (et également de chouettes bons de réduction).

À voir maintenant ce que ça donnera sur le long terme.

Test de l’Ultenic TS1 – L’aspirateur robot intelligent et innovant

Par : Korben

— Test réalisé en partenariat avec Ultenic. L’article contient des liens affiliés.–

Vous connaissez tous ma passion pour les aspirateurs robots. J’adore ces trucs… rien que le concept de l’appareil qui bosse pendant que moi, je fais autre chose, c’est assez jouissif. Et quand on a des enfants qui ne savent pas viser leur bouche quand ils mangent et un chat qui perd ses poils, la maison peut vite devenir un enfer.

L’aspirateur robot, c’est donc le truc indispensable pour mettre un petit coup de propre tous les jours pour éviter de se laisser déborder par la saleté. Et depuis que ça existe, chaque année, de vraies améliorations voient le jour. Je dis « vraies améliorations » car ces petits robots sont de plus en plus « intelligents » et fonctionnent chaque fois encore mieux.

C’est pourquoi aujourd’hui, j’aimerais partager mon expérience de l’aspirateur robot Ultenic TS1, avec vous (+ code promo à la fin de l’article).

À première vue, vous pourriez penser que c’est un aspirateur robot de plus, mais que nenni. Le TS1 combine à la fois une forte puissance d’aspiration et pas mal de fonctionnalités innovantes pour rendre votre maison ou vous appartement toujours plus impeccable sans faire le moindre effort.

Avant tout chose, le TS1 est équipé d’une puissance d’aspiration de 3 000 Pa qui élimine même les déchets et poussières les plus rebelles. J’ai un tapis dans la salle à manger (la bonne idée ^^) et quand l’aspirateur est passé dessus, j’ai constaté qu’il était passé en mode pleine puissance. En effet, le TS1 détecte maintenant les tapis et se règle automatiquement pour les nettoyer au mieux.

Comme je vous le disais, j’ai pas mal de poils de chat également, et sur un aspirateur robot classique, le petit bac à poussière est rapidement rempli. Mais comme le TS1 est livré avec une base aspirante, il transfère automatiquement la poussière dans sa base qui contient un sac plus grand, ce qui fait que le sac est à vider environ tous les 2 mois à 3 mois. Encore un sacré gain de temps, et en plus, il stérilise tout ça avec des UV histoire d’éviter que les bactéries se propagent.

Au niveau de ses déplacements, comme il est assez bas (7,4 cm de haut), il passe facilement sous la plupart des meubles et sait parfaitement contourner les tapis lorsqu’il est en mode serpillère humide. Hé oui, je vous ai pas dis, mais il dispose de 2 mini serpillères qui permettent également de passer un petit coup d’eau pour rendre votre chez-vous encore plus propre.

Il est donc autonome et grâce à sa caméra laser, il esquive enfin les jouets qu’il contourne au lieu de grimper dessus et de finir bloquer. C’est ça pour moi la killer feature. Cette même caméra lui permet également de se déplacer partout et en termes d’autonomie, une session d’aspiration peut durer un peu plus de 2h avant qu’il aille se remettre en charge tout seul.

Il est également fourni avec une télécommande, ce qui permet de le piloter quand on n’a pas l’application à partir de main et bien sûr, il est capable de cartographie tout votre intérieur, ce qui vous permet ensuite de mettre des barrières virtuelles ou de créer des zones de nettoyage. À vous ensuite de programmer tout ça aux heures qui vous convient.

Le Ultenic TS1 est non seulement super efficace pour nettoyer votre maison, mais il est également connectable aux assistants Google, Alexa et Siri. Vous allez pouvoir le contrôler à la voix comme si vous aviez un petit majordome robotique. Royal non ?

Bref, une fois de plus, c’est un bon kif des geeks même si le prix reste encore un peu cher à mon goût… Quoiqu’avec le code promo TS1KORBEN à appliquer à votre panier vendu par Ultenic Europe + le coupon de réduction Amazon de 50 €, ça rend l’aspirateur beaucoup plus abordable au prix de 389,99 euros au lieu de 499,9 €. (promo valide du 17 au 23 juin 2023)

Quoiqu’il en soit, j’apprécie vraiment ses nouvelles fonctions, y compris sa jolie couleur noire, qui change un peu du blanc qu’on retrouve souvent avec ce genre d’appareil.

Si vous êtes intéressés par cet appareil, rendez-vous ici pour en savoir plus.

Revivez l’expérience des anciens geeks avec PCjs

Par : Korben

Mis au point par Jeff Parsons qui a eu le plaisir de découvrir l’informatique dans les années 70/80, PCjs est un code en javascript qui est capable d’émuler toute une série de matos et de logiciels comme la calculatrice TI-57, le premier Space Invaders (1978), évidemment Multiplan d’IBM (1982), Windows 1.0 jusqu’à 95 ou encore des jeux comme Wolfenstein 3D (1992) ou Dune II (1992).

Cela va vous permettre de vive l’expérience de ces vieux coucous avec leurs CPU ultra pas rapides, des sons bippés à couper le souffle et leurs interfaces hautes en couleurs, tout ça sans avoir à quitter votre navigateur. Et oui car tout est accessible directement via ce site : https://www.pcjs.org.

PCjs - émulateur de système d'exploitation vintage des années 80

L’idée évidemment est de préserver un petit peu de ce patrimoine informatique et logiciel et bien sûr de se faire plaisir sans galérer à retrouver de vieilles disquettes ou même un logiciel de virtualisation compatibles.

Voici tout ce que vous allez expérimenter sur PCjs :

  • Calculatrice programmable TI-57 (1978)
  • Ohio Scientific Challenger 1P (1978)
  • Space Invaders (1978)
  • Microsoft Adventure (1981)
  • DONKEY.BAS de PC DOS 1.00 (1981)
  • VisiCalc (1981)
  • Multiplan 1.0 (1982)
  • Executive Suite (1982)
  • PDP-11/70 avec RT-11 4.0 (1982)
  • CP/M-86 (1983)
  • COMPAQ Portable avec graphiques monochromes (1983)
  • Zork I: The Great Underground Empire
  • Exploring the IBM Personal Computer (1983)
  • Adventures in Math (1983)
  • Lotus 1-2-3 (1983)
  • Norton Utilities 2.0 (1983)
  • Fantasy Land EGA Demo (1984)
  • Microsoft Word 1.15 (1984)
  • Nine Princes in Amber (1985)
  • Rogue (1985)
  • Microsoft Windows 1.0 (« Premiere Edition »)
  • Microsoft Windows 1.1 sur CGA (1985)
  • Microsoft Windows 1.1 sur EGA (1985)
  • Balance of Power (1985)
  • IBM OS/2 1.0 (1987)
  • VGA Black Book Tests (par Michael Abrash)
  • Microsoft Windows/386 2.0 (1987)
  • Microsoft QuickPascal 1.00 (1989)
  • Microsoft Windows 3.0 (1990)
  • Life & Death II: The Brain (1990)
  • The Oregon Trail (1990)
  • Commander Keen (1991)
  • Wolfenstein 3D (1992)
  • Dune II (1992)
  • Microsoft Windows 3.1 (1992)
  • Microsoft Windows 95 (1995)
PCjs - simulateur de machine de bureau MS-DOS et Windows 3.0

Toutes les sources du projet sont sur Github et vous pouvez contribuer. Chacune de ces machines est codée entièrement en javascript et utilisent un format XML qui défini les composants à activer ou non, donc vous pouvez aussi vous approprier le truc et créer vos propres machines assez simplement.

L’expérience Cinéma à la maison avec le projecteur XGIMI HORIZON Pro

Par : Korben

— Article rédigé en partenariat avec XGIMI

Ça fait longtemps que je me traine un vieux projecteur, acheté en 2015 et que j’ai déjà réparé plusieurs fois Honnêtement, même s’il est un peu bruyant, et qu’il n’est pas 4K, il fait le taf. Alors bien sûr quand XGIMI m’a proposé de tester le HORIZON Pro, j’ai évidemment accepté car j’étais très curieux de voir toutes les évolutions qu’il y a eu en matière de vidéo projecteur depuis toutes ces années, et je dois vous dire que je n’ai pas été déçu. Pour info, je vous ai également mis un code promo à la fin de l’article qui permet d’obtenir 200 euros de réduction sur l’appareil.

XGIMI est une marque qui a été lancé en 2013 et qui travaille pas mal de partenaires comme Google, Harman Kardon ou encore Texas Instruments. Leur coeur de métier, ce sont les « appareils de divertissement tout-en-un » et leur philosophie c’est « user-first », c’est à dire créer des produits simple à prendre en main et efficaces.

Je sais pas si vous avez un projecteur, alors je vais d’abord vous parler de mon expérience « projo ». J’ai un beau mur blanc à la maison, un chouette canapé, et c’est un grand plaisir de pouvoir voir un film « en grand, comme au cinéma ».

J’habite pas à côté d’un multiplex et le cinéma de quartier a un écran rikiki. Ajoutez à ça les sans gênes qui parlent, les grands mères qui éclairent la salle avec leur smartphone parce qu’elle cherchent un truc dans leur sac à main ou encore les boulets qui tapent dans les sièges avec leurs gros genoux, sans oublier le prix prohibitif du ticket et l’impossibilité de mettre en pause quand on veut faire une pause pipi…

Vous l’aurez compris, je suis plutôt guéri de « l’expérience cinéma » et j’adore mon projecteur à la maison, que j’utilise vraiment pour cette expérience (et pas pour mater la TV de la vie de tous les jours).

On passe au test !

Ça fait donc une petite semaine que j’ai troqué mon vieux coucou contre le XGIMI HORIZON Pro et je ne suis pas déçu de la qualité de l’expérience. C’est encore mieux. Ce projecteur dispose d’un moteur optique 4K, d’une résolution de 3840 x 2160, soit 8,29 millions de pixels.

Autant dire que les films sont encore plus sympa qu’avant même si j’ai découvert à cette occasion que Netflix voulait m’escroquer un forfait supérieur pour de la 4K. Non merci :-).

Habituellement, regarder un film sur un projo quand il fait jour dehors, c’est moyen. Mais avec sa luminosité de 2200 ANSI lumens, c’est parfaitement faisable et tout aussi agréable qu’en soirée. D’ailleurs si vous vous demandez à quelle taille d’écran le HORIZON Pro correspond avec sa résolution, c’est comme si vous aviez une TV de 200 pouces de diagonales (soit 4,42 mètres sur 2,52 mètres). Gigantesque non ?

Vous l’aurez compris, j’ai été impressionné par la qualité de l’image. J’ai fait quelques tests avec des vidéos 4K le HDR-10 (pour un max de contrastes) et X-VUE 2.0 qui permet d’avoir une qualité de fou en terme de rendu d’image, avec des couleurs vives, des noirs profond et même une réduction du « bruit » présent sur l’image (+ de clarté quoi).

La techno MEMC, que je ne connaissais pas avant, vient également améliorer la fluidité de l’image, réduisant la latence, faisant disparaitre les images fantômes et compensant la perte de détail sur l’image. C’est très sympa surtout pour les amateurs de films d’action ou les gamers qui voient ainsi leur expérience visuelle grandement améliorée (on évite la nausée).

Et même si j’ai déjà des lunettes qui filtrent la lumière bleue, et bien sachez que ce projecteur protégera vos petits yeux grâce à sa réduction native de la lumière bleue.

Il s’adapte à toutes les surfaces

Et surtout, au niveau des fonctionnalités de réglage, je me suis régalé. Avant je devais jouer avec les molettes pour régler la netteté de l’image, mais avec ce nouveau projecteur, c’est un autre délire. Comme il est équipé de la technologie d’Adaptation Intelligente de l’Ecran (ISA), il est capable de proposer une mise au pointe entièrement automatique ainsi qu’une correction de la distorsion trapézoïdale (si votre projo n’est pas pile poile en face de votre mur ou que votre mur n’est pas droit). Il dispose même d’un mode de contournement intelligent des obstacles, ce qui permet de régler l’affichage pour qu’il esquive un tableau sur le mur ou une plante verte.

Voici une démo où il esquive le fond vert et fait la mise au point tout seul. Puis je règle l’angle de la projection avec la télécommande.

Pour la hauteur d’affichage, pas de pied réglable par contre. Donc il faudra vous procurer un trépied réglable, un support ou tout simplement un meuble à la bonne hauteur. Moi j’ai juste calé un petit bouquin en dessous pour lui donner la bonne inclinaison.

Ensuite, ce que je peux vous dire qu’il est très silencieux. C’est pas une soufflerie comme d’autres vidéo projecteur de qualité moindre. Et il embarque un système audio Harman Kardon, soit 2 haut-parleurs large bande actifs de 8 W chacun, développés spécifiquement pour lui. Du coup, j’ai pas besoin de brancher d’enceintes ou de mettre un casque pour avoir un son de qualité cinéma DTS-HD et DTS Studio Sound, compatible Dolby Digital.

Et le logiciel ?

Au niveau du soft, c’est de l’Android TV avec bien sûr Google Play pour pouvoir installer toutes les applications que vous voulez (Molotov, Amazon Prime, Netflix, Disney Plus mais également des jeux ou des applications comme Spotify…etc). Comme Android TV embarque un système de commande vocale « OK Google », vous pouvez même piloter le projecteur à la voix. Et si ce n’est pas votre truc, il y a bien sûr une télécommande en plastique et métal avec une bonne prise en main (elle est suffisamment lourde pour ne pas faire toc) et est vraiment très agréable à utiliser.

Et évidemment pour les gamers, le projecteur dispose d’un mode « jeu » avec une latence basse de 35ms et également d’un mode « 3D » pour ceux qui veulent se repasser Avatar avec les lunettes. Enfin, en matière de connectivité, il y a tout ce qu’il faut à savoir un port DC, 2 ports USB, 2 HDMI, 1 port ethernet, 1 connecteur audio, un connecteur optique, le Bluetooth 5.0 et évidemment, il se connecte en Wifi à votre routeur.

Si ça vous intéresse, n’hésitez pas à vous renseigner davantage sur les fonctionnalités et les « spécificités » techniques pour vous faire une idée de tout ce que ce projecteur peut vous offrir.

200 € de réduction

Il est dispo au prix de 1 699 euros sur le site de XGIMI ou sur Amazon et avec le code promo « Korben« , vous pouvez économiser 200 euros et obtenir ce projecteur pour 1499 euros directement sur la page

HORIZON PRO de XGIMI

Offre valable jusqu’au 6 février.

Cuisinez comme un chef avec la friteuse à air polyvalente CHEFREE

Par : Korben

— Article en partenariat avec Ultenic —

Vous avez envie de vous offrir une friteuse à air pour cuisiner plus sainement sans que tout baigne dans l’huile ? Ça tombe bien, voici la petite dernière que j’ai pu tester et elle va surement vous plaire. Son nom : L’AFG01 de CHEFREE.

Une friteuse à air polyvalente

Alors je vous arrête tout de suite, rien à voir avec Xavier Niel. L’AFG01 est une friteuse à air de couleur noire mesurant précisément 42,6 cm de long sur 34,3 cm de large et de 34,7 cm de haut. Elle pèse environ 6 kg et est fabriquée en acier inoxydable ce qui lui donne une belle finition et la rend évidemment résistante à la corrosion.

Au niveau de sa contenance, elle dispose d’une capacité de 6 litres et est dotée d’une puissance de 1660 watts, soit largement moins qu’un four traditionnel

C’est donc une friteuse à air de taille moyenne qui est assez puissante pour cuire rapidement et efficacement toutes sortes d’aliments et pas uniquement des frites. Elle est conçue pour être utilisée en intérieur même pour vos grillades les plus extrêmes et est plutôt silencieuse, ce qui est un plus pour moi qui aime bien écouter de la musique quand je cuisine.

Simplicité d’utilisation

J’ai donc eu l’occasion de tester cet appareil de chez Ultenic depuis quelques semaines, et je dois dire que je suis vraiment content des plats que j’ai cuisinés. Pour vous expliquer un peu mieux le truc, Ultenic est une marque qui possède une sous-marque appelée CHEFREE, spécialisée dans les appareils de cuisine comme ce grill « air fryer » AFG01.

Si vous connaissez déjà les friteuses à air de la marque, sachez que l’AFG01 de CHEFREE est plus polyvalente que les modèles précédents (K10 et K20). En effet, elle dispose de huit fonctions de cuisson différentes : barbecue, crisper, rôtir, cuire, griller, frire, steak et préchauffage (bon, OK ce n’est pas vraiment un mode de cuisson, mais je le compte quand même).

Autant vous dire que vous pouvez tout faire avec cet appareil, qui se comporte comme un mini four ! À titre perso, au même titre que la K10 et la K20, cet appareil me simplifie vraiment la vie tous les jours. Plus besoin d’allumer mon four ou mes plaques de cuisson pour réchauffer un petit truc ou faire cuire une pognée de nuggets…

Les accessoires inclus avec l’AFG01 sont d’ailleurs très utiles. Le panier à frites et la plaque de grill sont plutôt cool pour préparer des croquettes de poulet maison ou des steaks. Et j’ai été agréablement surpris par la qualité de la cuisson notamment au niveau de la viande. Si vous dosez bien la température et le temps de cuisson, le résultat sera tendre et juteux à souhait.

Des résultats de qualité

Je peux donc tout faire cuire avec cette friteuse à air qui je le rappelle a une capacité de 6 litres pour le bac, et de 4 litres pour le panier. Donc ça reste quand même un bon volume pour cuisiner pour 4 personnes.

J’ai par exemple fait des pavés de boeuf et la viande est restée saignante comme je l’aime. Même chose avec les frites qui étaient croustillantes. Bref, on obtient le même résultat qu’avec une friteuse à huile ou un barbecue bien chaud. Manque que l’odeur du feu de bois… par contre, la dégoulinade d’huile de friture ne me manque pas. Et contrairement à ce qu’on pourrait penser, non, la viande ne se dessèche pas.

Une cuisson rapide et efficace

Grâce aux quatre niveaux de chauffage et à sa puissance de 1660 watts, vous pouvez facilement ajuster la chaleur pour cuire la viande à différents stades (saignant, moyen et bien cuit). Elle consomme également 80% d’énergie en moins par rapport aux méthodes de cuisson traditionnelles, ce qui n’est pas négligeable surtout en ce moment.

L’AFG01 est également dotée d’un système de préchauffage qui permet de régler la température en amont. Cela est très utile pour obtenir une cuisson uniforme et un meilleur « croustillant » de vos aliments. Par contre, il faudra être patient (c’est le concept du préchauffage) et attendre quelques minutes avant de mettre les aliments dedans, mais cela en vaut vraiment la peine. Après vous pourrez retourner bidouiller sur le PC, et attendre que ça sonne.

Facile à nettoyer

Concernant le nettoyage de la CHEFREE, c’est également très simple.

Le revêtement anti-adhésif du bac et de la plaque de grill rend le nettoyage rapide et facile. Il suffit de rincer les pièces à l’eau chaude et de les essuyer avec un chiffon doux.

Même si je ne fais pas de « conseil en investissement » (lol), je vous la recommande fortement, car pour un peu plus de 200 €, c’est loin d’être un gadget. Je l’utilise tous les jours avec sa petite soeur la K20 et je ne pourrais plus m’en passer.

Je ne fais plus rien bruler, on mange beaucoup moins gras, je crame moins de gaz et d’électricité, et les frites sont au top, y compris quand je les fais avec de vraies patates coupées en morceaux.

Si j’avais un petit bémol à apporter quand même, c’est qu’elle prend un peu de place et qu’elle peut ne pas être adaptée à tous les espaces de rangement en raison de son couvercle qui s’ouvre par le haut. C’est à prendre en compte si vous avez une petite cuisine. Mais bon, à part ça c’est vraiment top et une fois encore c’est un appareil qui s’appelle « friteuse à air » mais que je considère plutôt comme un mini four super efficace, paramétrable à souhait et polyvalent. Mon prochain projet avec, c’est d’y faire cuire mon propre pain.

60 euros de réduction sur l’AFG01

Et pour encore plus d’économies, profitez du code promo exclusif de 30 euros, valable jusqu’au 24 décembre, en utilisant le code AFG01KORBEN. Mais ce n’est pas tout ! Il y a aussi un coupon de 30 euros disponible sur Amazon.fr. Grâce à ces deux offres, vous pouvez bénéficier d’une remise totale de 60 euros sur votre achat de la CHEFREE, au prix de 159.99 euros seulement.

Comment identifier le CPU (processeur) ou la carte mère de votre PC ?

Par : Korben

Quand on dispose d’un ordinateur sur lequel on ne sait pas grand-chose, soit parce que c’est de la récup, soit parce qu’on l’a acheté d’occasion, il y a 3 façons de déterminer quel est le modèle du processeur, de la carte mère, de la carte graphique, de la mémoire…etc.

  • Méthode N°1 : Trouver le numéro de série du PC et se rendre sur le site du fabricant pour connaitre les specs détaillées.
  • Méthode N°2 : Prendre son plus beau tournevis et démonter la machine pour aller inspecter les composants.
  • Et la méthode N°3 qui est ma préférée : Utiliser un petit soft !

Comment identifier le processeur d’une machine sous Windows 11 ?

Alors sous Windows 10 ou Windows 11, la référence ultime pour ce genre de chose, c’est bien évidemment CPU-Z. Il s’agit donc d’un logiciel gratuit qui va vous permettre de récupérer des tas d’informations sur les composants principaux de votre PC Windows, à savoir le nom, le numéro, le nom de code, les niveaux de cache et j’en passe de votre processeur.

Également toutes les informations concernant la carte mère, avec son chipset, sa marque, son modèle…etc.

Sans oublier ensuite le type de mémoire RAM présente, avec la taille des barrettes, les spécifications remontées par le module SPD…etc ainsi que toutes les informations concernant la carte graphique présente dans votre ordinateur.

Pour télécharger CPU-Z pour Windows, rendez-vous ici sur le site officiel.

Comment identifier la carte mère d’un PC Linux ?

Sous Linux, il y a un clone de CPU-Z qui s’appelle… CPU-X.

Hé oui, y’a de l’idée. Tout est quasiment identique en termes d’interface et l’application open source remonte aussi bien des informations détaillées sur le type de processeurs que vous avez, sur la marque, le modèle et le socket de la carte mère, sans oublier les données concernant les barrettes de RAM ou encore la carte graphique ainsi que la version de l’OS Linux en place.

C’est merveilleux ! Et ça fonctionne sous Debian, Ubuntu, Fedora, FreeBSD…etc. Tout est détaillé sur la page Github du projet, mais pour l’installer sous Ubuntu / Debian ou Mint, il suffit d’ouvrir un terminal et de taper la commande suivante :

sudo apt install cpu-x

Puis de lancer l’application avec la commande :

cpu-x

Et voilà. Si vous avez l’habitude d’utiliser CPU-Z, vous ne serez pas dépaysé avec l’interface de CPU-X.

Télécharger CPU-X pour Linux ici.

Bonne découverte de votre matos à tous !

Comment désinstaller totalement et proprement des drivers NVIDIA / AMD ?

Par : Korben

Vous êtes sous Windows et vous rencontrez des difficultés avec votre carte graphique Nvidia ou AMD. Alors vous vous dites que ce serait bien de désinstaller tout ça proprement et de repartir sur une base fraiche ?

Bonne idée, seulement voilà, les programmes de désinstallation officiels des drivers Nvidia et AMD ne désinstallent jamais totalement tout et il reste des tas de merdouilles comme les clés de bases de registre, certains dossiers, fichiers…etc.

Alors, comment faire pour vraiment faire le ménage et vous retrouver sans ces drivers, un peu comme au premier jour après un formatage et une réinstallation de Windows ?

Et bien, il vous suffit de cliquer ici pour télécharger le programme Display Driver Uninstaller (DDU) qui vous aidera à désinstaller totalement et proprement les drivers AMD/NVIDIA sans rien laisser trainer après son passage.

Avant son utilisation, pensez quand même à faire un petit point de restauration, on ne sait jamais, mais également respecter les quelques règles suivantes édictées par le développeur de DDU :

  • Vous DEVEZ déconnecter votre Internet ou bloquer complètement Windows Update lorsque vous exécutez DDU jusqu’à ce que vous ayez réinstallé vos nouveaux pilotes.
  • DDU doit être utilisé lorsque vous avez un problème de désinstallation/installation d’un pilote ou lorsque vous changez de marque de GPU.
  • DDU ne doit pas être utilisé à chaque fois que vous installez un nouveau pilote, sauf si vous savez ce que vous faites.
  • DDU ne fonctionnera pas sur un lecteur réseau. Veuillez l’installer sur un lecteur local (C :, D : ou autre).
  • L’outil peut être utilisé en mode normal, mais pour une stabilité absolue lors de l’utilisation de DDU, le mode sécurisé est toujours le meilleur.
  • Si vous utilisez DDU en mode normal, nettoyez, redémarrez, nettoyez à nouveau, redémarrez.
  • Faites une sauvegarde ou une restauration du système (mais cela devrait normalement être assez sûr).
  • Il est préférable d’exclure complètement le dossier DDU de tout logiciel de sécurité pour éviter les problèmes.

Bon nettoyage à tous !

Contrôlez les ventilos de votre PC

Par : Korben

Y’a pas que les membres du gouvernement qui brassent de l’air avec leurs petits bras. Il y a aussi votre PC !

Hé oui, car si vous avez été un peu curieux et que vous l’avez ouvert, vous avez sans doute remarqué qu’à l’intérieur se cachaient des petits ventilateurs. Les miens, je leur ai donné des petits noms. Celui de mon CPU s’appelle Élisabeth Borne, celui de ma carte graphique s’appelle Gérald Darmanin, celui de mon alimentation est le bien nommé Bruno Lemaire, et celui que j’ai installé dans ma cheminée pour ramener un peu d’air chaud s’appelle Manuel Valls !

Je vous offre un petit peu d’air frais.

Bon, bref, le truc c’est que si vous êtes sous Windows, bah ça souffle un peu dans tous les sens et vous ne contrôlez rien. Mais ça c’est parce que vous connaissiez pas encore Fan Control.

Fan Control est comme son nom l’indique un logiciel qui permet de surveiller et contrôler tous vos ventilos. Ainsi, vous pouvez créer des profils, spécifier les sources de températures que vous voulez (CPU, GPU, carte mère, disques durs) que vous voulez surveiller et bien sûr spécifier le comportement à adopter pour chacun de vos ventilos en fonction de l’augmentation de température.

Si vous êtes « chaud » pour tester, arrêtez de faire l’hélicoptère avec vos bras et allez cliquer ici (c’est libre et c’est sur Github).

Calculez la bonne puissance pour votre alimentation PC

Par : Korben

Nous sommes à une période charnière où l’Humanité doit payer tout son matériel plus cher. Et dans ce contexte de crise, il n’est pas simple de choisir son alimentation PC.

Au niveau de la consommation brute, que vous preniez une alimentation ultra puissante ou une alimentation calibrée pour le matériel que vous avez, ça ne fera aucune différence. Par contre, plus l’alimentation est balaise, plus elle coute cher. Donc autant choisir une alimentation qui correspond à ce que vous allez lui coller au cul.

Le site Power Supply Calculator d’OuterVision va pouvoir vous aider à calculer pile-poil le bon « wattage » de votre prochaine alimentation. Oui, je sais, on dit « POUISSANCE » et pas wattage. Mais je fais ce que je veux !

Bref, tout ça pour dire que sur ce site, vous pourrez renseigner l’ensemble des informations concernant votre configuration tels que les disques, les CPUs, les GPU, le kit de refroidissement, la RAM…etc. ainsi que le temps d’utilisation moyen de votre ordinateur afin d’obtenir une estimation de puissance requise ainsi que le prix à l’année que cela devrait vous coûter. Pour les débutants, je vous recommande de cliquer sur l’onglet BASIC, y’en aura moins à renseigner.

Sous réserve évidemment de la flambée de prix annoncée. Mais vous pouvez régler le coût du kWh sur le site directement. Et bien sûr, il vous recommande même des références d’alimentation dispo chez Amazon.

Et dans le même style, il existe aussi les calculateurs suivants pour les blocs alim :

Et si vous voulez réduire votre empreinte carbone autrement qu’en arrêtant de prendre des douches, pensez également à réduire soit nombre de composants de votre PC et la puissance ;-). Passer d’un disque dur classique à un SSD est par exemple un bon choix.

Comment se décider quand on hésite entre 2 matériels informatiques ?

Par : Korben

Je ne suis pas un gros gamer et ça fait bien longtemps que j’ai arrêté la course au matériel PC. Donc, je vous avoue que je suis un peu largué quand il s’agit d’acheter un nouveau truc genre Nvme M.2 ou j’sais pas quoi.

Heureusement, au détour d’un stream Twitch, mes chers followers m’ont recommandé un site qui permet de comparer tout ce qui existe actuellement en matériel : UserBenchmarks.

Sur ce site, vous pourrez admirer des listes et des listes de CPU, cartes graphiques, SSD, RAM, clé USB…etc. classés et notés par les utilisateurs. Donc du matos réellement testé sur lequel chacun vient donner son avis. À vous ensuite de faire le tri en fonction de ce qui vous intéresse.

Est-ce le prix, la note du benchmark, la capacité, la vitesse ou la note globale ? À vous de choisir !

Et évidemment, tout est filtrable par constructeur ou caractéristiques matérielles. Le site propose également un soft pour benchmarker votre propre matériel et évidemment, pouvoir contribuer au site avec vos données.

Leur chaine YouTube est également intéressante notamment si vous êtes gamer.

Cependant, ce que je trouve le plus pratique c’est la fonction COMPARE qui permet justement de mettre côte à côte 2 matériels sur lesquels vous ne savez pas vous décider. Ça m’a bien aidé en tout cas, et j’ai pu me décider entre le Samsung 970 Evo Nvme M.2 et le Samsung 980 Pro Nvme M.2 =:-)

Bref, génial pour ne plus se tromper et faire le bon choix en cas d’upgrade de votre machine !

Test de la friteuse à air Ultenic K20 – Plus de puissance, plus de frites 🍟

Par : Korben

— Article en partenariat avec Ultenic —

Fin 2021, je publiais ici même un test détaillé sur la friteuse à air K10 d’Ultenic.

Cela vous a intéressé et que j’ai reçu de nombreuses questions sur le fonctionnement de cette friteuse connectée. Mais il y a un an, j’étais loin d’imaginer que je m’en servirai tous les jours. Oui, car au-delà de l’aspect friteuse à air (sans huile), c’est surtout un mini four vraiment pratique pour faire cuire tout ce qu’on veut très rapidement, de la tartine de pain à faire griller, au bout de viande à cuire en passant par le réchauffage d’aliments de la veille.

J’étais donc très content de cet appareil et voilà qu’Ultenic me propose de tester la friteuse K20, qui prend la suite de la K10. Je vais donc vous faire un article où je compare un peu les deux et/ou je vous présente les trucs que je trouve cool et moins cool dans cette nouvelle version. Pour info, ça fait 15 jours que j’utilise la K20 tous les jours.

Sur le principe général, on est sur la même idée : une friteuse sans huile connectée. La première différence, c’est qu’il y a deux bacs pour faire des cuissons séparées. On passe donc d’un bac unique de 5 litres à 2 paniers de 4 litres, soit un total de 8 litres.

Pas vraiment de place pour mettre une pizza ou un poulet entier par contre, mais comme je ne m’en sers pas pour ça ce n’est pas vraiment un souci pour moi. En ce qui me concerne, je m’en sers pour décongeler des choses, cuire de la viande / poisson ou faire de la friture, et ça me permet de garder libres mes emplacements sur ma cuisinière pour des choses qui mijotent.

Je remplissais rarement la K10, car quand on blinde trop le tiroir, ça a du mal à cuire uniformément. Avec les bacs de la K20, on en met autant, mais ça cuit vachement mieux. D’abord parce que c’est réparti sur les deux emplacements, mais aussi parce que la machine est plus puissante. On passe de 1500 W pour la K10 à 2850 W pour la K20. Du coup, je la trouve carrément plus efficace et rapide.

Avec la K10, quand je préparais un steak frites, il fallait que je fasse cuire les frites en premier, que je les stocke dans plat, puis que je fasse cuire le steak ensuite. Avec la K20, je peux tout lancer en même temps et surtout synchroniser les paniers pour que la cuisson des deux aliments se termine au même moment. Je m’explique.

Admettons que vous en ayez pour 20 min de cuisson pour vos frites et 12 min pour le steak. Vous mettez tout dans la machine et vous synchronisez les paniers. La cuisson des frites débutera, mais celle du steak commencera 8 min après pour que tout se termine au même moment. C’est super pratique.

Il y a moins de programmes que sur la K10, mais ce n’est pas vraiment gênant, car l’essentiel y est : Friture sans huile, Max Crisp, rôtir, cuire au four, réchauffer et déshydrater (pratique pour vos fruits). Pour le reste, il faudra régler la température et la durée. Mais comme avec l’application Ultenic, il est possible d’avoir des recettes et les réglages associés (température / durée), n’importe qui peut s’en sortir à l’aise.

Au niveau du nettoyage, je la trouve plus pratique à laver que la K10, car il y a moins de relief sur les grilles, donc la graisse des aliments ne reste plus coincée sur les pieds en caoutchouc ou sur la grille.

Voilà pour mon retour sur la Ultenic K20. C’est une bonne évolution de la K10 avec plus de puissance et une meilleure facilité de nettoyage. Les deux bacs sont vraiment cool et le fait de pouvoir les synchroniser, c’est un petit plus pratique pour éviter de jongler avec 2 cuissons différentes. En tout cas, avec cet appareil comme avec sa version antérieure, je ne fais plus jamais rien bruler par inattention. Je programme, et ça fait le job à la perfection.

La K10 était connectée au wifi avec l’application, mais on s’est tous rendu compte que ça ne servait pas à grand-chose. C’est pourquoi Ultenic a retiré cet aspect connectable de sa friteuse à air K20 tout en continuant de proposer des tonnes de super recettes dans son application (et dans le livret fourni avec l’appareil).

Concernant le prix, on est à 179,99 € ce qui est de l’ordre du raisonnable pour un objet que j’utilise tous les jours et qui me simplifie vraiment la vie. Je n’ai pas encore pu tester la fonction déshydratation. C’est un mode qui lance une cuisson à 60° pendant 8h d’affiler pour retirer toute l’eau d’un aliment pour ensuite en faciliter la conservation. Mais j’ai quelques pommes qui n’attendent que ça ;-). Je vous mettrais les photos sur Instagram.

Une meilleure lumière pour travailler sur écran avec la ScreenBar Halo de BenQ

Par : Korben

— En partenariat avec BenQ —

Vous ne le savez surement pas, mais je suis assez sensible au manque de lumière. J’ai besoin que ce soit bien éclairé, surtout lorsque je travaille ou que je cuisine, sinon, ça me met de mauvais poil.

Alors bien sûr quand je travaille dans mon bureau, j’ai l’ampoule au plafond qui éclaire un peu, mais ce n’était pas suffisant. Jusqu’à ce que BenQ m’envoie sa ScreenBar Halo.

Pour vous présenter un peu la chose, il s’agit d’une barre de LEDs qui se positionne très simplement au-dessus de l’écran et qui permet comme ça d’éclairer de mon bureau et mon clavier.

Cela vient totalement remplacer la bonne vieille lampe de bureau qui trône depuis des lustres à côté de votre écran et qui prend une place folle sans réellement bien éclairer. Et encore, ça, c’est si vous avez un grand bureau.

Ainsi, sans prendre aucune place supplémentaire si ce n’est un port USB (ou une prise USB), la ScreenBar Halo de BenQ me permet d’avoir une lumière indirecte suffisante pour bosser sur écran dans la bonne humeur sans m’abimer les yeux ou tout simplement lire un document.

Mais cela ne s’arrête pas là puisqu’elle est totalement réglable.

Ce qui est assez magique avec cette lampe c’est qu’on peut tout régler très finement. Tout d’abord, la barre de LED est totalement orientable pour que vous puissiez avoir un maximum de lumière sur le bureau (en moyenne 500 Lux). Ensuite, elle est accompagnée d’un module de commande sans fil (Bluetooth) que vous pouvez poser n’importe où sur le bureau et qui vous permet de régler différentes choses.

Tout d’abord, la luminosité. Vous appuyez sur le petit soleil, puis vous tournez la molette et vous pourrez tamiser la lumière ou la mettre à pleine puissance. Ensuite, l’icône du petit thermomètre permet de changer la température de couleur (les kelvins) pour avoir une lumière très chaude, orangée, jusqu’à une lumière bien froide, bien blanche. Et une fois que vos réglages sont effectués, vous pouvez les mettre en favori en laissant votre doigt appuyé sur l’icône du coeur. Ainsi, la prochaine fois que vous voudrez retrouver les mêmes paramètres, il vous suffira d’appuyer sur le coeur.

Mais le meilleur c’est ce mode automatique (bouton A) qui permet également d’ajuster l’éclairage en fonction de la luminosité ambiante. En effet, d’après leurs études techniques, les chercheurs de BenQ ont déterminé que le meilleur confort visuel pour la plupart des gens se situait autour de 500 lux et 4000 K (kelvins). Ainsi, le capteur intégré permet d’ajuster automatiquement l’éclairage pour qu’il soit le mieux adapté à l’environnement.

Cette ScreenBar Halo s’appelle Halo car elle est également équipée d’une lumière arrière qui permet d’éclairer le mur qui se trouve derrière votre écran, pour vous renvoyer une autre lumière indirecte beaucoup plus douce cette fois. À vous de voir ce qui vous convient le mieux.

Niveau qualité, ne vous y trompez pas, on est sur du haut de gamme avec d’excellents matériaux (métal) et surtout une batteries de tests qui prouvent bien que cette Screenbar est résistante et conçue pour durer, avec plus de 17 ans d’éclairage prévu à hauteur de 8h par jour.

Et au niveau de la lumière, vous le savez, il ne faut pas plaisanter, car une lumière pas adaptée pourraient vraiment vous abimer les yeux. Dans le cas de cette Screenbar Halo, toutes les normes de qualité sont respectés, y compris en ce qui concerne la fameuse lumière bleue. Et vous ne verrez aucun scintillement, ce qui dans mon cas est appréciable lors des streamings.

BenQ retrace toute l’histoire de la conception de cette lampe ici, et on comprend bien que c’est un bijou de technologie qui a fait l’objet de nombreuses recherches et qu’on est bien loin d’une simple lampe de bureau traditionnelle remise au gout du jour.

Et si vous vous inquiétez de savoir si vous pourrez la mettre sur votre écran, pas de panique, ils ont pensé à tout. En effet, son support lui permet de tenir sur des écrans droits ou incurvés (1000R-1800R) allant d’une épaisseur de 0,7 cm à 6 cm et les écrans incurvés, disposant d’une courbure de 1,6 à 4,2 cm. Autant dire que vous êtes tranquille dans la plupart des cas.

Me concernant, j’avais un peu peur par rapport à ma webcam qui trône au même endroit, mais BenQ commercialise également un support de webcam pour sa lampe Halo. Bref, je n’ai pas eu de gros changements dans mon setup de streameur Twitch.

Par contre, j’ai vraiment gagné en confort visuel. La lampe a d’ailleurs été conçue pour ne provoquer aucun reflet sur les écrans, et je peux vous confirmer que c’est exact. Pas de reflet, un bon éclairage, et le mode automatique est clairement celui qui me convient le plus, puisqu’il s’adapte à la luminosité ambiante.

Si vous voulez vous procurer cette lampe de bureau du futur vendue 169 €, vous pouvez passer par Amazon en cliquant ici.

Mais le mieux c’est encore de vous rendre directement sur la boutique BenQ puisque jusqu’au 30 septembre avec le code promo « SCREENBAR10FR« , vous obtiendrez 10% de réduction sur la ScreenBar Halo, soit un peu plus de 152 €.

Un site pour hacker sa trottinette électrique

Par : Korben

Il y a des décennies, si on m’avait dit qu’on pourrait un jour hacker des trottinettes, j’aurais bien rigolé. Et pourtant, ces dernières années, les trottinettes sont devenues électriques, les faisant passer de moyen de transport pour gosse de 3 ans, à arme de catégorie D pour adultes.

C’est dingue ! Perso, je n’ai pas de trottinette, mais ça ne m’empêche pas de partager avec vous le site Scooterhacking qui offre tous les outils et logiciels nécessaires pour configurer, télécharger et flasher un nouveau firmware pour votre trot’ de la muerte.

Alors je vous le dis tout de suite, il n’y a pas tous les modèles de trottinettes sur ce site, mais uniquement les Ninebot et Xiaomi / Mi qui sont « faciles » à modder via un site web.

Ainsi vous pourrez modifier par exemple la possibilité ou non de rouler pendant qu’elle charge, spécifier la taille des roues si vous les avez changé, la puissance et les vitesses associées aux différents modes (éco / normal / full patate), ou encore la puissance de freinage et la récupération d’énergie associée à ce dernier.

Alors évidemment, attention, ce genre de changement peut endommager le moteur ou la batterie de la trottinette, peut dégrader la durée de vie de la machine voire même vous poser des problèmes avec la Polaïce si vous ne respectez pas la réglementation en termes de puissance sur ce genre d’engin de mort.

Bref, mettez un casque, ne roulez pas trop vite et soyez prudent. Parce que bon, se tuer en trottinette, c’est un peu la honte comme mort.

Un carnet Remarkable

Par : Remouk

— Article rédigé par l’ami Remouk (DansTonChat) – Merci à lui —

Pendant longtemps, j’avais toujours sur moi un petit carnet de notes. Pour pas oublier des trucs, noter des paroles, mais aussi pour explorer des pistes de réflexion, mettre à plat des idées. Au boulot pareil, toujours un carnet. Bien sûr, avec le temps et comme tout le monde, je suis passé à des outils informatiques de prise de note, de todo-list, de mindmapping et autre… Sur smartphone, PC, c’est bien plus pratique.

Ceci étant dit, écrire à la main, ça a ce côté immédiat qui reste d’une efficacité redoutable. Ça permet aussi de sortir la tête de l’écran, de gribouiller, faire des croquis, des dessins… Pour réfléchir je préfère. Si vous êtes dans mon cas, alors la tablette Remarkable 2 pourrait vous intéresser. 🤓

Qu’a-t-elle de particulier ? C’est littéralement et uniquement un carnet de notes numérique. C’est à dire qu’elle se concentre sur l’essentiel : elle est faite uniquement (ou presque) pour la prise de note, et elle le fait (super) bien.

L’écran e-ink, de bonne qualité, dispose d’un toucher « papier » : quand vous écrivez avec le stylet, vous avez vraiment l’impression d’écrire sur une feuille. Ça peut sembler idiot, mais ça change vraiment la donne ! Côté lecture et rendu, pareil, on est habitués avec ces technos : ça ressemble à du papier. C’est un peu plus grand que du A5 donc vraiment bien adapté à la prise de notes.

A l’utilisation c’est assez simple : on crée des carnets, on remplit les pages… Et voilà. Pas de navigateur web, d’email, d’applications diverses, de notifications… Rien qui pourrait nous distraire de notre objectif. 🙂 Et c’est une bonne chose !

Mais attention, ça reste un carnet numérique et on vit quand même en 2022, alors on a plein de petites fonctionnalités pratiques qu’on aurait pas sur un carnet papier :

  • Copier / couper / coller (évidemment)
  • Des calques 🙂
  • Différents styles de crayons/stylos/pinceaux
  • Différents templates de page
  • Réorganisation des carnets/pages
  • Conversion des notes en texte brut
  • Utilisation en tant que liseuse
  • Lecture et prise de notes directement sur des documents PDF
  • Synchronisation via le cloud
  • Partage sur Google Drive, Dropbox ou OneDrive
  • Dernière nouveauté sympa : le partage d’écran

Seul bémol à propos des fonctionnalités cloud : il faut souscrire à un abonnement pour pouvoir tout utiliser. La première année est gratuite, offerte avec l’achat de la tablette, mais ensuite c’est 6€/mois (4€/mois pour la version Lite). C’est vraiment le point noir qui n’est pas clairement établi quand on découvre le produit.

À part ça, je trouve la tablette remarquable. 😀 L’interface est super ergonomique, l’objet et ses accessoires sont vraiment de très bonne qualité et bien pensés.

Alors oui, à 350€ le carnet de notes, ça peut sembler élevé, mais c’est un produit soigné et bien foutu, qui comble un besoin assez particulier : à vous de voir si c’est le vôtre. 🙂

Savez-vous ce qu’il y a dans l’air que vous respirez ? Air-Q vous le dira !

Par : Korben

— En partenariat avec AirQ —

Fondée en 2015 en Allemagne, AirQ est une entreprise qui développe et commercialise des capteurs de toutes sortes, notamment des capteurs permettant d’analyser l’air et les gaz contenus dans l’air.

Car vous ne le savez peut-être pas, mais ce qu’on respire chaque jour a un impact. Sur notre santé à long terme bien sûr, mais également sur notre bien être du moment, et même nos performances physiques ou intellectuelles. Si je vous dis pollution, vous allez peut-être penser « usines » et « voitures » quand on parle de qualité de l’air, ça va encore plus loin.

En effet, l’air de nos intérieurs est souvent extrêmement chargé en produits nocifs. Cette pollution provient de nos meubles, des colis que nous recevons, des objets qu’on amasse, des moquettes mal nettoyées…etc. Les facteurs de pollutions sont extrêmement nombreux et c’est pourquoi il faut souvent aérer son domicile ou son bureau même l’hiver.

Mais si vous voulez aller plus loin et savoir exactement ce qu’il y a dans l’air que vous respirez, je vous emmène à la découverte de l’air-Q, l’appareil de mesure de la qualité de l’air grand public le plus performant sur le marché.

Qu’est-ce que l’air-Q ?

Grâce à ces capteurs intelligents, ce petit appareil, qui se connecte au Wifi, est capable de mesurer, surveiller et analyser l’ensemble de votre environnement en temps réel. Ainsi, le air-Q mesure tout un tas de choses comme les polluants atmosphériques (particules fines), le monoxyde de carbone ou encore l’ozone, il peut également surveiller le climat intérieur et même le niveau de bruit.

L’air-Q peut être configuré via un ordinateur, mais c’est surtout grâce à l’application mobile Android / iOS que vous allez pouvoir apprécier la haute précision de l’appareil. Au travers de l’application, vous aurez accès à l’ensemble des mesures prises à intervalle de 2 minutes ainsi qu’à une évaluation en pourcentage de la qualité de l’air sur votre santé et sur vos performances physiques ou intellectuelles. Vous pouvez bien sûr voir le niveau de chaque élément en temps réel, mais également sur des périodes plus longues grâce à l’historique des mesures.

Un assistant virtuel vous signale également lorsque certaines limites sont dépassées et non seulement vous en donne les raisons possibles, mais également des conseils pour y remédier. En cas d’incendie ou de fumée / monoxyde, l’air-Q peut également se mettre à sonner pour vous prévenir. C’est super cool, mais attention, juridiquement, il ne peut pas remplacer un détecteur de fumée ou de monoxyde habituel, car il ne fonctionne pas avec des piles, mais sur secteur. Je trouve également la sonnerie pas très forte même poussée à son maximum, donc il vaut mieux conserver vos détecteurs traditionnels.

Enfin, au niveau du paramétrage sur air-Q, il y a des choses très cools comme la possibilité de stocker les mesures dans le cloud, mais également de régler les indicateurs lumineux en façade pour connaître l’état général ou des mesures plus spécifiques comme les COV ou le taux de particules fines. C’est vous qui choisissez.

Que mesure l’air-Q ?

Je vais passer en revue l’ensemble des mesures prises par le air-Q Basic que j’ai reçu.

Dioxyde de carbone

Il s’agit ici de mesurer le CO₂ contenu dans l’air. Vous le connaissez bien puisque c’est l’un des gaz à effet de serre le plus important. Et malheureusement, trop de CO₂ chez vous va entraîner une certaine fatigue pouvant aller jusqu’à la mort si ça devient trop concentré. Ce gaz est produit lorsque vous brûlez des choses donc si vous avez une cuisinière à gaz, un four à bois, que vous fumez ou que vous aimez allumer des bougies, vous allez en produire. Mais même sans ça, les humains et animaux présents chez vous produiront aussi naturellement ce gaz avec leur respiration.

COV

Cela signifie Composés Organiques Volatils. Ce sont des substances carbonées qui s’évaporent à basse température. Cela peut être produit par les êtres vivants via différents processus de décomposition biologiques, mais sont également produits par tout un tas de colles, des vernis, de solvants, de produits ménagers ou de cosmétiques. Tous les COV ne sont pas toxiques, mais ils ont un effet sur la concentration, le mal de tête, la fatigue, les allergies…etc.

L’humidité relative et absolue

On sous-estime souvent l’humidité, mais si son taux est trop élevé, cela peut nuire à la régulation de la température du corps humain, et favoriser l’apparition de moisissures qui à leur tour provoqueront des allergies, des problèmes respiratoires ou autre. Et si le taux d’humidité est trop bas, vous risquez d’avoir des irritations des muqueuses et des difficultés à respirer. Un bon taux d’humidité relative doit se situer entre 40% et 60%.

L’humidité relative, c’est le rapport entre la densité de la vapeur d’eau et l’humidité maximale. On l’exprime en %.

Alors que l’humidité absolue décrit la densité de la vapeur d’eau, c’est-à-dire la masse de vapeur d’eau contenue dans un volume d’air donné. On l’exprime en g/m³.

Température

La température joue également un rôle sur notre bien être. Entre 23°C et 28°C, vous serez intellectuellement ramolli et au delà votre régulation thermique sera plus difficile. Combinez une température plus élevée avec un taux d’humidité élevé et bonjour les acariens et les moisissures.

Bruit

En ce qui me concerne, je suis très sensible au bruit. Au-dessus de 65 dB le jour, il y a un risque sur la santé si l’exposition est prolongée. Actuellement, dans mon bureau, je suis autour de 13 dB, alors je peux dire que je suis relativement pas mal.

Des pics sonores élevés ou un bruit de fond continu trop élevé va non seulement nuire à votre audition, mais également engendrer du stress ou des acouphènes. Chez moi, le bruit génère immédiatement une forte irritation au niveau de mon humeur.

Particules fines

Les particules sont des particules solides et liquides qui sont en suspension dans l’air. Ce qui fait qu’on les respire. C’est de la poussière qui va avoir un impact sur la santé et cela, peu importe son niveau de concentration. Cela irrite les voies respiratoires, favoriser les allergies, voire même abimer les alvéoles de vos poumons. On distingues différentes tailles de particules fines : PM1, PM2,5 et M10. Les particules les plus fines (PM1, PM2,5) peuvent même passer dans le sang et avoir des effets cancérigènes (comme l’amiante). Ces particules fines peuvent être d’origine naturelle (volcans, feu de forêt, érosion du sol, spores, virus, pollens…etc.), mais également d’origine humaine (trafic routier, élevage intensif, usines, cheminées…etc.). Et tout cela se dépose chez nous avant de se retrouver à nouveau dans l’air au moindre coup d’aspirateur.

Monoxyde de carbone

Le monoxyde de carbone (CO) est sans doute l’un des gaz les plus dangereux. Il provient de la combustion incomplète de carbone. Il est inodore et incolore et au-delà de 170 mg/m3, il commence à entrainer de la fatigue et des vertiges. Au-delà de 460 mg/m3, c’est votre vie qui est en danger. Bref, gaffe à vous si vous avez un poêle à pellet ou une cheminée chez vous.

Dioxyde d’azote

Le NO₂ est émis principalement par des véhicules à moteur ou certaines chaudières. Il est toxique à haute dose, mais comme il pique, on le sent venir. Toutefois, à petite concentration, il peut provoquer des maux de tête, des vertiges ainsi que tout un tas de troubles de santé. Par exemple, j’ai pu constater qu’à certaines heures de la journée, il y avait des pics chez moi probablement dus au trafic routier proche. Dans ce cas, mieux vaut fermer la fenêtre à ces moments-là.

Pression atmosphérique

Cela vous paraîtra étrange, mais la pression atmosphérique a également un impact sur la santé. En effet, certaines personnes sont « météo sensibles » et un changement de pression atmosphérique pour avoir un impact sur leur santé. D’anciennes blessures qui se réveillent, les fameux rhumatismes, des problèmes respiratoires, des migraines et même des allergies.

La pression atmosphérique évolue en fonction des mouvements des masses d’air dans l’atmosphère.

Point de rosée

Enfin le point de rosée, c’est la température à partir de laquelle l’humidité de l’air est de 100% et commencer à se condenser en eau. C’est les coulées d’eau sur les murs ou les fenêtres et cela va provoquer à terme le développement de moisissures et de ses conséquences.

Les autres air-Q

Comme je vous le disais, j’ai reçu l’air-Q Basic d’une valeur de 399 €, mais il existe toute une gamme d’appareils air-Q qui vont de la version basique light (249 €) à la version experte pour les scientifiques avec encore plus de capteurs (629 €). Il est d’ailleurs possible d’ajouter ou de remplacer certains capteurs en fonction de vos besoins et ça, c’est vraiment génial.

J’ai démonté l’appareil et j’ai été bluffé par la qualité de la carte mère et son côté pratique avec tous les emplacements pour ajouter les capteurs. C’est vraiment du bon boulot.

Comment ça s’installe ?

Au niveau de l’installation, c’est hyper simple. Vous pouvez le faire depuis un ordinateur ou un smartphone. Vous vous créez un compte chez AirQ, vous scannez le QR Code de l’appareil, vous lui faites rejoindre votre réseau wifi et le tour est joué.

Conclusion

Cela fait donc quelques semaines que je l’utilise et que je surveille les mesures. Ce que je peux vous dire c’est qu’au niveau des capteurs, on est sûr du très bon qui remonte les infos sans jamais défaillir. L’application mobile est parfois un peu lente je trouve et elle ne rend clairement pas hommage à la qualité de l’appareil. C’est dommage, mais ça s’améliorera probablement au fur et à mesure des mises à jour. En effet, le produit est encore assez jeune.

J’adore le côté customisable des appareils et surtout j’ai beaucoup apprécié toute la littérature aussi bien dans l’application que sur le site, qui m’a permis d’apprendre beaucoup de choses sur les polluants et les gaz notamment leur origine, leur dangerosité, mais surtout comment remédier à leur excès. Ce que je veux dire par là, c’est que air-Q n’est pas simplement un super capteur qui nous bombarde d’infos. C’est avant tout un compagnon qui nous alerte et nous guide. Et ça, c’est vraiment ce que j’ai apprécié dans cet appareil.

Bref, si vous êtes des geeks de la qualité de l’air ou de la santé, c’est certain que ce genre d’objet électronique va vous plaire. D’autant plus que l’appareil est assez ouvert, comme vous avez pu le voir, y compris sur les données collectées qui sont tout simplement stockées sur une carte micro SD et que vous pouvez ensuite vous approprier pour importer ça dans vos propres outils. Au top !

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