Lateo.net - Flux RSS en pagaille (pour en ajouter : @ moi)

🔒
❌ À propos de FreshRSS
Il y a de nouveaux articles disponibles, cliquez pour rafraîchir la page.
À partir d’avant-hierAnalyses, perspectives

Amérique Latine en bref : dérégulation, pauvreté et violence

Argentine : Licenciements publics et dérégulation Le président argentin, Javier Milei, a annoncé qu’il ne renouvellerait pas les contrats des fonctionnaires signés après le 1er janvier 2023. On estime que […]

The post Amérique Latine en bref : dérégulation, pauvreté et violence appeared first on Investig'action.

Californie : contestation majeure contre le projet de nouvelle ville financée par la Silicon Valley

Le projet de California Forever concernant la création d’une nouvelle ville sur des parcelles agricoles de la Bay Area, soutenu par des milliardaires de la Silicon Valley, se heurte à une vive opposition.

Le projet titanesque California Forever, soutenu par des milliardaires, visant à créer une nouvelle ville de 800 millions de dollars dans la région de la baie, se heurte à une vive opposition. Si les partisans du projet ont promis aux habitants de nouveaux emplois, une croissance économique, une communauté dynamique et « piétonne » et des améliorations des infrastructures locales, mais, jusqu’à présent, le projet semble être un échec, les habitants ont exprimé leur mécontentement. Pourtant le projet dépendra du soutien local, crucial pour remporter un vote l’année prochaine.

Ce contenu est réservé aux abonnés

Pour profiter pleinement de l'ensemble de nos contenus, nous vous proposons de découvrir nos offres d'abonnement.

Connectez-vous si vous avez acheté un abonnement et/ou ce contenu.

S'abonner

Accédez à tous nos contenus.
Plus de 5 000 articles.

Acheter l'article

Déverrouillez cet article et obtenez un accès permanent pour le lire.

Bond d’ARM en Bourse : espoirs de reprise dans la tech ?

Par : h16

Un article de Henry Bonner

L’indice Nasdaq, qui regroupe la plupart des actions de technologie, affiche une hausse de 40 % pour l’année. Le rebond de marché montre de l’optimisme pour ce qu’on classe dans la technologie, en dépit du resserrement de l’accès aux crédits.

Le groupe japonais Softbank met à profit ce rebond pour la vente d’environ 5 milliards de dollars de titres d’ARM, dans une introduction en Bourse, hier. Softbank a acheté la société en partenariat avec ses clients en 2016, à une valorisation de 30 milliards de dollars. Au cours de l’été, il a racheté les parts des autres actionnaires pour une valorisation de 64 milliards de dollars.

L’introduction en bourse du fabricant de semi-conducteurs donne à la société une valorisation – après un bond de l’action au cours de la journée – de 68 milliards de dollars. Ainsi, le groupe japonais affiche une réussite, avec un gain de plus de 100 % de la valeur de son investissement depuis l’achat initial, et en ligne avec la valorisation du rachat des parts restantes au cours de l’été.

Par ailleurs, la valorisation dépasse l’offre de rachat de la part de Nvidia, un concurrent d’ARM, au prix de 40 milliards de dollars en 2020.

Le vent d’optimisme pour l’intelligence artificielle et pour la tech en général semble porter fruits. Avec un bénéfice (revenu net) l’an dernier de 500 millions de dollars, la valorisation de la société arrive en ligue avec celle de Nvidia, à plus de 100 fois le bénéfice sur les 12 derniers mois.

Certes, comme le montrent les bénéfices de Nvidia – qui ont grimpé de 2 à 6 milliards de dollars entre le premier et le second trimestre de l’année, la demande pour le traitement de données peut générer des résultats pour les fabricants de semi-conducteurs. Néanmoins, la hausse du titre montre aussi le prolongement de la bulle – en raison du manque de convictions des banques centrales.

La Banque du Japon conserve des mesures d’assouplissement. Aux États-Unis, les analystes attendent de la part de la Fed une pause jusqu’à la fin de l’année, au minimum. Pour la zone euro, la Banque centrale vient d’augmenter le taux à 4 % sur les dépôts. Mais cela reste en-dessous du rythme de progression des prix, actuellement de 5 %.

De plus, les marchés penchent pour une pause avant la fin de l’année, dans le sillage de la Fed. D’ailleurs, voici ce qu’en dit un analyste cité par Reuters:

“Une fois que l’une des grandes banques centrales décide de faire une pause, les autres tendent à la suite. En ce moment, il existe un avis répandu que le cycle de hausses de taux a pris fin pour le moment.”

Regain d’espoir pour les cotations en Bourse

Avec le coup de pouce que donne cette pause des resserrements, l’activité des cotations en Bourse peut aussi bénéficier d’un rebond. Le New York Times rapporte ainsi :

“La cotation d’ARM sort du lot cette année, qui est la pire depuis 2009 pour les cotations en Bourse, selon EquityZen, qui suit les sociétés privées. Depuis le début de l’année, les États-Unis ont eu 73 cotations en Bourse, dont celle d’ARM, qui ont permis de lever 14,8 milliards $ de fonds, d’après l’analyste de cotations, Renaissance Capital. Le montant arrive à une fraction de la performance de 2021, avec 397 entreprises, et 142 milliards $ de levées de fonds.”

L’entrée en Bourse d’ARM, et un succès du même genre pour Instacart, au cours du mois, pourrait entraîner plus d’optimisme pour la tech. En effet, en dépit de l’actuel rebond, beaucoup d’investisseurs en bourse ont encore des pertes en portefeuille, en particulier à cause des actions en vogue lors des confinements.

Prenez l’action Peloton, par exemple, le fabricant de vélos d’appartement :

… Ou encore l’action de logiciel de téléconférence, Zoom :

Beaucoup de startups affichent un effondrement des valorisations, comme le rapporte ainsi le New York Times :

“Bird, une société de trottinettes électriques, est passé d’une valorisation de 2,5 milliards $ à 11 millions $. WeWork, dans la location de bureaux de co-working, passe d’une valorisation de 40 milliards $ à 270 millions $.”

Entre le retour des cotations en Bourse, et un tournant vers des politiques d’assouplissement des banques centrales, les spéculations dans la tech vont peut-être revenir à la mode.

Mon équipe prévoit un dégonflement de la bulle au cours des prochaines années. Néanmoins, entre les périodes d’optimisme – autour de l’intelligence artificielle, par exemple – et les interruptions de hausses de taux par les banques centrales, la perte de valeur risque d’avoir lieu par vagues.

La valorisation des actions en Bourse, tout comme le prix de la pierre, contiennent encore beaucoup d’air après 20 ans de gonflement.

Mon équipe suit de près les marchés et l’économie, et préconise plusieurs placements pour vous préparer à ce genre de période. Pour bénéficier de nos analyses gratuitement, cliquez ici.

J'accepte les BTC, ETH et BCH !

qqefdljudc7c02jhs87f29yymerxpu0zfupuufgvz6

Vous aussi, foutez les banquiers centraux dehors, terrorisez l’État et les banques en utilisant les cryptomonnaies, en les promouvant et pourquoi pas, en faisant un don avec !
BTC : 1BuyJKZLeEG5YkpbGn4QhtNTxhUqtpEGKf
BCH : qqefdljudc7c02jhs87f29yymerxpu0zfupuufgvz6
ETH : 0x8e2827A89419Dbdcc88286f64FED21C3B3dEEcd8

Les lobbyistes de la Silicon Valley Bank avaient combattu les réglementations bancaires au Congrès

Dans les mois qui ont précédé la faillite de la Silicon Valley Bank, les groupes de pression de la banque ont attaqué une proposition exigeant des institutions financières qu’elles augmentent leurs versements au Fonds d’assurance-dépôts qui protège les déposants contre les faillites bancaires.

Source : Jacobin Mag, Julia Rock, David Sirota
Traduit par les lecteurs du site Les-Crises

Un agent de sécurité surveille un client quittant le bureau de la Silicon Valley Bank le 13 mars 2023 à Santa Clara, en Californie. (Justin Sullivan / Getty Images)

Dans les mois qui ont précédé la faillite de la Silicon Valley Bank, les groupes de pression de la banque ont combattu une proposition exigeant des institutions financières qu’elles augmentent leurs versements au Fonds d’assurance-dépôts (FAD), qui protège les déposants des faillites bancaires, selon des documents fédéraux que nous avons examinés.

Alors que les législateurs sont aujourd’hui appelés à élargir l’assurance-dépôts afin d’éviter une crise bancaire de plus grande ampleur, la bataille montre pourquoi cette assurance est restée limitée et pourquoi toute nouvelle initiative visant à obliger les banques à verser davantage d’argent à ce fonds pouvait se heurter à des obstacles à Washington. En d’autres termes, les puissants intérêts bancaires et leurs alliés au Congrès ont clairement fait savoir qu’ils s’opposaient aux mesures qui obligeraient les banques à payer des primes plus élevées pour financer l’assurance des déposants.

Lire la suite

Effondrement de la Silicon Valley Bank : depuis 2008, c’est business as usual

L’effondrement spectaculaire de la Silicon Valley Bank est dû à la corruption, à l’imprudence financière et à de mauvaises décisions. Son renflouement, qui fait écho à celui des riches en 2008, soulève la question suivante : combien de temps encore les Américains vont-ils supporter la corruption, l’imprudence financière et les mauvaises décisions ? Combien de temps encore les Américains vont-ils supporter cela ?

Source : Jacobin Mag, Branko Marcetic
Traduit par les lecteurs du site Les-Crises

Les autorités de régulation américaines ont fermé la Silicon Valley Bank à la suite de son effondrement soudain. (Tayfun Coskun / Anadolu Agency via Getty Images)

De temps à autre, un événement incarne parfaitement tout ce qui ne va pas de nos jours. L’effondrement de la Silicon Valley Bank (SVB) est l’un de ces événements, point culminant de nombreuses années d’imprudence financière, de prétention entrepreneuriale et de décisions politiques corrompues.

Seizième banque américaine en termes d’actifs jusqu’à il y a quelques jours, l’implosion de la SVB est la deuxième pire faillite bancaire de l’histoire des États-Unis et la pire depuis que les dominos de la crise financière mondiale ont commencé à tomber en 2008. Fondée en 1983, la banque était l’institution financière de référence pour la pléthore de start-ups de la Silicon Valley qui se sont répandues comme une épidémie à l’ère de l’argent bon marché, ce qui a été l’une des causes de sa chute.

Lire la suite

Silicon Valley Bank, Silvergate, Signature bank : du rififi chez les bancaires

Par : h16

Voilà, on y est : les premiers effets du resserrement de la politique monétaire de la Federal Reserve se font sentir avec la faillite de la Silicon Valley Bank…

La nouvelle n’a pas eu le temps de faire beaucoup de bruit de ce côté-ci de l’Atlantique, mais on peut raisonnablement estimer que cette faillite pourrait faire parler d’elle dans les prochains jours, notamment si l’on tient compte des ramifications possibles de cette déroute financière.

Dans l’immédiat, la banque californienne, spécialisée dans la bancarisation des start-ups de la Silicon Valley et qui représentait tout de même la 16ème banque aux États-Unis par la taille de ses actifs, a vu ses cours de bourse s’effondrer.

Cet effondrement n’a rien d’étonnant : après une journée de jeudi (8 mars) où la plupart de ses clients se sont rués pour retirer leurs fonds, la banque s’est retrouvée sans liquidités et a été fermée vendredi par l’autorité de régulation bancaire de l’État de Californie qui va maintenant tenter de régler cette situation qu’on imagine complexe pour les millions de clients (particuliers et entreprises) concernés.

Pour résumer, suite à une tentative échouée de levée de fonds lancée par la banque, les investisseurs et les déposants ont réagi à cet échec en commençant à retirer jusqu’à 42 milliards de dollars des dépôts de la banque jeudi dernier, ce qui a provoqué un “bank run” ou panique bancaire.

Silicon Valley Bank (SVB) était en effet très dépendante des taux d’intérêts appliqués par la Fed : spécialisée dans les startups, ses clients étaient généralement d’autant mieux capitalisés que les politiques monétaires accommodantes leur assuraient un flux important d’argent frais. Ces montants étaient investis par SVB dans des titres et obligations de l’État américain (notamment pour des obligations légales), dont la valeur a progressivement diminué à mesure que la politique monétaire s’est faite moins souple et que l’inflation grimpait. D’un côté, les clients de SVB voyaient leurs entrées se tarir, et de l’autre, la valorisation des obligations garantissant les dépôts diminuait ce qui a rapidement conduit la banque à devoir se recapitaliser.

Malheureusement, cette opération a été mal menée : le 8 mars, SVB vend pour 21 milliards d’investissements afin de dégager des liquidités. C’est un échec et ils se retrouvent à devoir emprunter 15 milliards et vendre des actions. Ce n’est pas a priori la débâcle, mais la communication vers la clientèle, purement financière et technique, se résume un peu trop vite à “on n’a plus de liquidités” qui sera rapidement interprété de la pire façon possible.

S’ajoute à cette communication défaillante l’abaissement (pourtant logique, prévisible et mécanique) de la note attribuée à SVB par Moody’s. Là encore, ce n’est pas en soi une catastrophe, mais cela ajoute au tableau, peu reluisant.

Enfin, quelques fonds majeurs, dont celui de Peter Thiel, sentant que les choses pourraient tourner au vinaigre, conseillent dans la foulée à ses clients de retirer leurs fonds de SVB.

L’information, surtout dans la Silicon Valley, voyage vite : ce qui était encore un mouvement peut-être maîtrisable devient alors de la panique et malheureusement, beaucoup des clients de la banque sont des entreprises avec de forts volumes en avoirs (en millions de dollars). Rapidement, les montants sortis sont énormes et bientôt, ils sont effectivement au-dessus des capacités de la banque : suite à cette panique et à la fermeture des bureaux le même jour, la banque se retrouvait vendredi avec un solde de trésorerie négatif d’environ 958 millions de dollars.

Au passage, devra-t-on s’étonner de constater que certains des dirigeants de la banque ont eu la bonne idée de vendre leurs actions avant la débâcle ?

Les jours qui viennent seront maintenant déterminants pour les clients de la SVB : peu pourront espérer récupérer la totalité de leurs fonds. Dans ces clients, quelques noms connus pourraient avoir des difficultés sensibles provoquées par cette faillite rapide.

Les impacts de cette faillite seront de toute façon nombreux : en effet, cette banque n’était pas seulement une banque pour les startups, c’était aussi une banque “retail”, c’est-à-dire pour des clients particuliers de tous types, avec leurs emprunts, leurs comptes courants qui vont donc se retrouver dans des difficultés importantes à partir de lundi (et même avant si l’on en croit certaines vidéos vues sur twitter).

Les comptes clients (particuliers et entreprises) étant fermés, certains salariés ne seront pas payés cette semaine et des pertes d’emploi sont donc à prévoir.

De façon intéressante, le monde de la cryptomonnaie est à lui aussi touché par cette faillite puisque SVB conservait une partie des avoirs nécessaires à valoriser le stable-coin USDC (une cryptomonnaie visant la parité avec le dollar). Ainsi, la compagnie cryptomonétaire Circle (cryptomonnaies) est très exposée à cette faillite à hauteur de plus de 3 milliards de dollars…

Or, dans le monde des cryptomonnaies, la faillite de SVB s’ajoute aux difficultés récentes de Silvergate, une autre banque (traditionnelle) américaine directement en faillite suite à la déroute de FTX évoquée précédemment dans ces colonnes.

Du reste, si on ajoute les récentes difficultés de Signature Bank, elle aussi impliquée dans la sécurisation des avoirs de Tether et de USDC, on commence à se douter que l’apurement des délires de FTX ne fait que commencer dans le monde des cryptos.

Bref, on le comprend : à mesure que la Fed relève ses taux, le stress sur les banques locales et régionales se fait de plus en plus fort et les effets de bord, parfois spectaculaires, commencent à se voir. La mer de financements se retire et on commence à voir qui est à poil.

Quelques questions se posent à présent.

D’une part, l’une des principales causes de la crise financière de 2008 fut l’utilisation de facteurs sociaux pour accorder des prêts (à l’époque, il s’agissait de favoriser l’accession à la propriété). Les leçons de 2008 n’ayant pas été tirées, l’histoire se répète. Au-delà de l’impact évident, majeur du relèvement des taux dans les déboires de SVB, on peut aussi se demander dans quelle mesure l’utilisation des critères ESG dans leur gestion des fonds n’a pas joué, par exemple lors de la fixation des prix de ses prêts. Il y a un an, en tout cas, SVB s’engageait à fond(s) (pour 5 milliards de USD) dans les opérations carbone-neutre et autres grigris écolo-bienséants…

D’autre part, alors que les faillites et autres difficultés bancaires s’accumulent à présent de façon visible, quelle va être la position de la Fed ? Persistera-t-elle dans cet assèchement de l’argent facile en conservant des taux élevés pour combattre l’inflation, déclenchant inévitablement d’autres faillites, ou choisira-t-elle le chemin d’un nouvel assouplissement, signant probablement une mise à mort du dollar par noyade à plus ou moins long terme ?

Aucune de ces deux options n’est politiquement aisée mais les deux garantissent clairement des difficultés à venir.

J'accepte les BTC, ETH et BCH !

qqefdljudc7c02jhs87f29yymerxpu0zfupuufgvz6

Vous aussi, foutez les banquiers centraux dehors, terrorisez l’État et les banques en utilisant les cryptomonnaies, en les promouvant et pourquoi pas, en faisant un don avec !
BTC : 1BuyJKZLeEG5YkpbGn4QhtNTxhUqtpEGKf
BCH : qqefdljudc7c02jhs87f29yymerxpu0zfupuufgvz6
ETH : 0x8e2827A89419Dbdcc88286f64FED21C3B3dEEcd8
 

« Censure, arbitraire, opacité : les réseaux sociaux, nouveaux maîtres du monde ? » – émission en direct

Par : laurent

Suite à l’affaire du « label rouge » de Twitter, Ruptures propose d’élargir le champ en organisant un débat sur le thème « Censure, arbitraire, opacité : les réseaux sociaux, nouveaux maîtres du monde ? »

En direct sur Internet, l’émission a eu lieu le mardi 13 avril à 19h. Elle a été diffusée sur la chaîne YouTube de Ruptures.

Pour cette première, l’équipe de Ruptures échange avec trois journalistes :

Elsa Ferreira, journaliste pigiste spécialisée en culture et technologie, elle écrit notamment pour les sites Makery et CTRLZ ;

Raphaël Grably, chef du service « BFM Tech » de BFM-TV ;

Erwan Seznec, journaliste indépendant, passé par La Tribune et Que Choisir, il contribue aujourd’hui à Marianne et Causeur.

L’émission évoque bien sûr le cas Ruptures/Twitter – les trois invités font partie des rares journalistes à en avoir rendu compte (voir leurs articles ci-dessous) –, mais il s’agit surtout de parler plus largement du pouvoir des grands réseaux sociaux états-uniens et en particulier de leur rôle prééminent dans la circulation de l’information et le contrôle de l’expression publique. En somme, quels sont les enjeux politiques et démocratiques de la situation de quasi-monopole des plateformes californiennes ?

L’équipe de Ruptures

Les articles de nos invités par ordre chronologique :

– « Twitter présente un journal français comme “affilié à la Russie” » – Raphaël Grably (BFM-TV)

– « Quand Twitter invente la bêtise artificielle » – Erwan Seznec (Causeur)

– « Modération des plateformes : y a-t-il un humain sur les réseaux ? » – Elsa Ferreira (CTRLZ)

Cet article « Censure, arbitraire, opacité : les réseaux sociaux, nouveaux maîtres du monde ? » – émission en direct est apparu en premier sur Ruptures.

❌