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À partir d’avant-hierAnalyses, perspectives

COVID : un journaliste du NYT accuse les scientifiques de “tromperie” sur la thèse de la fuite de laboratoire

Jusqu’à présent, il est impossible de confirmer définitivement l’origine du virus qui a provoqué la pandémie du Covid-19.Ancien journaliste du New York Times, Donald McNeil Jr accuse un groupe d’éminents scientifiques de l’avoir « clairement induit en erreur » concernant l’origine du Covid-19. Selon Donald McNeil Jr, ces experts ont minimisé la possibilité d’une origine artificielle du virus, induisant ainsi en erreur les journalistes et influençant la couverture médiatique.

Plus de quatre ans après le début de la pandémie, l’origine du Covid-19 reste encore inconnue, bien que de nombreuses enquêtes aient été menées. La thèse officielle du gouvernement chinois reste encore aujourd’hui, celle d’une origine naturelle du virus : une zoonose issue de la chauve-souris ou du Pangolin. Une thèse citée dans le rapport de l’OMS publié en mars 2021, largement critiqué parce que les autorités chinoises ont été fortement impliquées dans sa rédaction. En juin 2023, l’Office of the Director of National Intelligence (ODNI) ou bureau du directeur du renseignement national, avait publié un rapport de 10 pages tant attendu, qui fournit de nouveaux détails sur les conclusions de la communauté du renseignement américaine, mais ne permet pas de déterminer de manière définitive si la source du coronavirus est liée à une zoonose issue de la chauve-souris ou du Pangolin ou à un incident survenu dans un laboratoire. Actuellement, Donald McNeil Jr, ancien journaliste du New York Times, a exprimé son scepticisme envers l’hypothèse d’une fuite de laboratoire après avoir été influencé par des virologues épidémiologiques de haut niveau. Selon lui, ces experts lui ont fait croire que la fuite en laboratoire était la théorie la plus plausible. McNeil Jr accuse ces scientifiques de l’avoir induit en erreur dès le début de la pandémie, ce qui a influencé la couverture médiatique et conduit à un débat étouffé sur les origines du virus.

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Covid-19 est bien une création humaine

Restons cette semaine encore aux USA car si leur responsabilité est écrasante à tous les niveaux dans la gestion de la crise de la Covid, certaines de leurs personnalités de poids montrent qu’ils ont à coeur d’en tirer des leçons définitives pour l’avenir. Les apprentis-sorciers du gain de fonction avec des milliards de dollars de détournements issus de nos comptes sociaux ça suffit,

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COVID: une nouvelle étude appuie la thèse de l’accident de laboratoire

L’origine du Covid-19 continue à susciter de nombreuses interrogations, avec des théories divergentes concernant la transmission du virus à l’homme ou une possible fuite de laboratoire. La thèse officielle du gouvernement chinois est, encore aujourd’hui, celle d’une origine naturelle du virus, à partir d’une zoonose issue de la chauve-souris ou du Pangolin. Une récente étude australienne publiée dans la revue universitaire à comité de lecture Risk Analysis remet en question cette hypothèse. Cette étude propose une probabilité plus élevée du COVID-19 provenant d’un laboratoire plutôt que d’une source naturelle.

Une étude de la revue Risk Analysis s’est concentrée sur la probabilité d’une origine non naturelle du Covid-19. Les chercheurs ont trouvé de nouvelles preuves indiquant qu’on ne peut pas écarter l’origine en laboratoire. Les agences de renseignements des États-Unis ont de plus en plus d’éléments pour étayer la thèse de la sortie accidentelle du SARS-Cov-2 “cultivé” au laboratoire P4 de la ville de Wuhan. Cependant, le gouvernement américain est gêné aux entournures. Il y a en effet de fortes présomptions concernant une participation américaine aux recherches de Wuhan. Les origines du Covid-19 restent difficiles à établir parce qu’il y a encore volonté de cacher la vérité.

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Deux laboratoires s’associent pour anticiper les menaces infectieuses

Même si la trame narrative du Covid est morte, les instances sanitaires continuent à maintenir un discours de la peur. Dernièrement, l’Organisation mondiale de la santé a estimé que la “maladie X” pourrait être la prochaine menace sanitaire. Afin de renforcer la surveillance génomique à l’échelle mondiale, deux laboratoires, l’un au Royaume-Uni et l’autre en Afrique du Sud, se sont unis. Cette collaboration vise à maintenir l’attention sur l’importance de la surveillance génomique pour mieux surveiller non seulement le covid, mais aussi d’autres maladies infectieuses telles que le paludisme et le choléra.

Alors que l’urgence Covid n’est plus d’actualité et que la situation sanitaire à l’échelle mondiale s’est nettement améliorée. La surveillance génomique reste au cœur des préoccupations dans la lutte contre les variants du coronavirus. En 2023 , l’OMS avait mis en place un nouveau dispositif appelé Réseau International de Surveillance des Pathogènes pour détecter les éventuelles maladies infectieuses et partager les informations entre les pays et les régions. L’objectif est d’identifier les nouvelles infections le plus tôt possible afin de prévenir une pandémie. Par ailleurs, deux laboratoires du Royaume-Uni et d’Afrique du Sud vont unir leur force afin de partager des ressources et de soutenir les partenaires dans la mise en place de cette surveillance génomique des maladies infectieuses à l’échelle mondiale.

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La Chine connaissait le COVID deux semaines avant d’en informer le monde

La Chine aurait-elle caché la séquence du COVID-19 pendant des semaines avant la publication de la séquence génomique du virus ? Le Wall Street Journal a révélé mercredi qu’un chercheur de Pékin avait tenté de télécharger la séquence génétique du SRAS-CoV-2, le virus à l’origine du COVID, dans une base de données publique basée aux États-Unis environ deux semaines avant que le gouvernement chinois ne publie la séquence de l’agent pathogène. Même si Washington demande la clarté sur les origines du virus, les origines du covid-19 sont difficiles à établir parce qu’il y a eu volonté de cacher la vérité de part et d’autre.

Pékin a toujours refusé de dire la vérité sur les origines de l’épidémie et avait avancé plutôt l’hypothèse d’une origine zoonotique naturelle du virus, cité  dans le rapport de l’OMS publié en mars 2021, largement critiqué parce que les autorités chinoises ont été fortement impliquées dans sa rédaction. Une nouvelle preuve du manque de transparence des autorités chinoises sur les origines du Covid-19 vient d’apparaître. Selon le WSJ, le Comité de l’énergie et du commerce de la Chambre des représentants a reçu des documents du ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS) révélant qu’un laboratoire chinois a séquencé le Covid-19 deux semaines avant la publication de la séquence génomique du virus par Pékin.

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Nouvelle orchestration de la peur autour d’un virus mortel chinois

Selon une étude récemment publiée à Pékin et rapportée par le New York Post.des scientifiques chinois auraient créé un coronavirus mutant 100% mortel baptisé GX_P2V. Cette souche expérimentale a été testée sur des souris « humanisées ». Les animaux infectés seraient morts en seulement 8 jours. Actuellement au Forum économique de Davos, en Suisse, la caste échange déjà sur la «maladie X». L’objectif serait de prévenir l’éventuelle apparition d’une pandémie. Comme toujours, les autorités ne manquent pas une occasion de tenter de ré-insuffler la peur dans la population, en brandissant des études bien choisies.

Une nouvelle souche expérimentale de coronavirus inquièterait la communauté scientifique. Selon un rapport du New York Post, des chercheurs chinois affirment que cette variante, nommée GX_P2V, s’est révélée 100% mortelle pour des souris génétiquement modifiées pour reproduire la constitution génétique humaine. Cette étude, menée à Pékin, soulève des préoccupations quant aux risques potentiels de propagation chez l’homme.

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Les législateurs US interrogent Fauci sur la thèse de la « fuite de laboratoire »

Le Sars-Cov-2 a-t-il été fabriqué en laboratoire ? S’est-il accidentellement échappé du laboratoire de Wuhan ou a-t-il volontairement été disséminé dans un objectif précis ? Tout comme la Chine, l’administration Biden semble entretenir le mensonge.  Le Dr Anthony Fauci, 83 ans, ex conseiller du président américain en matière de crise avait toujours montré son manque d’enthousiasme concernant la réalisation d’une enquête sur l’origine du SARS-CoV-2. Désormais, l’ancien “Monsieur COVID” de la Maison Blanche, est appelé à témoigner devant le Congrès . Cette comparution fait partie de l’enquête en cours menée par les républicains sur les origines de la COVID-19 et la réponse des États-Unis à la pandémie.

Ce fut dans un bureau privé au sous-sol du centre d’accueil du Capitole des Etats-Unis que les membres du Congrès, leurs collaborateurs et le Dr Anthony Fauci ont mené un entretien de 14 heures, étalé sur deux jours, la semaine dernière. Lors de ces séances d’entrevues séparées par des pauses d’une heure, les législateurs dirigés par les républicains ont interrogé l’ancien conseiller médical de la Maison-Blanche sur les origines du Covid-19 et la théorie de « fuite de laboratoire ». Cet interrogatoire prépare le terrain pour une audience publique prévue plus tard cette année, en pleine année électorale. Les tensions politiques entourant le rôle de Fauci dans la réponse gouvernementale à la pandémie sont mises en évidence, et les républicains ont particulièrement insisté sur la théorie de la « fuite de laboratoire ». Le “virus chinois” dont parlait Donald Trump au printemps 2020 pourrait bien être un virus “sino-américain“.

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Danger sanitaire en Europe : ces militaires ukrainiens antibiorésistants

Cela fait longtemps que la Russie alerte la communauté atlantiste, pardon internationale, sur les laboratoires biologiques américains présents en Ukraine (voir notre texte ici). Hier, le ministère russe de la Défense a déclaré être en possession de documents, récupérés dans certains de ces laboratoires des zones libérées par l'armée russe, prouvant une expérimentation réalisée sur les populations locales par le Pentagone.

Avec le recul du Covid, les profits de Big Pharma s’effondrent

Mercredi, Pfizer a annoncé les prévisions de vente de son vaccin Covid-19. La société biopharmaceutique a prévu des bénéfices plutôt faibles. Après cette annonce, les actions des fabricants de vaccins Covid-19 ont chuté. Cette baisse des bénéfices projetée par Pfizer est principalement attribuée à la diminution de la demande de vaccins et de traitements liés au COVID-19.

Pfizer avait annoncé la hausse du prix de son vaccin contre le Covid-19 dès le premier trimestre 2023. Si les activités de Pfizer ont connu un développement remarquable pendant la période de pandémie, la fin de l’état d’urgence sanitaire lié au Covid-19 aux États-Unis a entraîné une diminution significative de ses revenus au deuxième trimestre 2023.

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Qu’en est-il de ces laboratoires américains en Ukraine et en Afrique, dont nous n’avons pas le droit de parler ?

La Russie vient de faire le point aujourd’hui sur l’activité des laboratoires à double finalité, civile et militaire, américains dans le monde, qui sont plus de 400. Leur découverte en Ukraine a provoqué un déplacement de leur activité en 2022 vers les pays d’Afrique. Mais aujourd’hui le risque de santé publique qu’entraîne leur activité, conduit les pays africains à remettre en cause leur coopération dans ce domaine.

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Lucidum: covid-19, le monde de demain?

Par : STRATPOL

L’année 2020 ouvre un nouveau chapitre dans l’histoire de l’humanité, décennie pleine de promesses et de progrès qui se solde

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Quelle Ukraine soutenons-nous?

Le slogan « Soutien à l’Ukraine » continue de fleurir. Ceux qui le promeuvent savent-ils que les Ukrainiens étaient le peuple le

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Les États-Unis ont financé des labos de recherche sur l’anthrax en Ukraine

Le 10 novembre dernier Judicial Watch a affirmé avoir reçu 345 pages de documents de la Defense Threat Reduction Agency révélant que les États-Unis ont financé des activités de recherche sur l’anthrax dans un laboratoire biologique ukrainien en 2018.

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[Redite] Ce petit don discret des industries pharmaceutiques

Par : h16

Article initialement paru le 21.12.2016

Si la période actuelle nous pousse à la charité, elle est aussi propice à rappeler que les individus ne sont pas les seuls à faire des dons, qu’ils soient en nature, en argent ou en temps : on ne le sait pas assez, mais même les firmes les plus capitalistes, celles qui sont d’ailleurs régulièrement pointées du doigt par les gauchistes les plus incultes, font régulièrement des dons. Comme je le présentais il y a deux ans, c’est ainsi le cas des industries pharmaceutiques…

Depuis des temps immémoriaux, l’humanité doit combattre des maladies et des infections qui l’ont durablement affaiblie et ont constamment ralenti son progrès. Les exemples de la peste noire, du choléra ou de la lèpre viennent facilement à l’esprit tant ces fléaux ont touché tous les continents et ont laissé dans les livres et les arts des traces encore visibles de nos jours. Et si ces maladies ont été durablement repoussées dans les pays développés, même actuellement au XXIème siècle, des continents entiers en font encore l’expérience.

C’est tout particulièrement le cas avec les NTD, « neglegted tropical diseases » ou maladies tropicales négligées, qui sont un groupe de diverses maladies tropicales fréquentes au sein des populations à faible revenu dans les régions en développement d’Afrique, d’Asie et d’Amérique. Elles sont causées par divers pathogènes au premier rang desquels les parasites helminthes ou protozoaires, mais également les virus et les bactéries.

On parle ici de vraies saloperies, de pathogènes qui empêchent le développement des fœtus humains ou des enfants, provoquent des infections oculaires abominables, des souffrances insupportables ou des stigmates visibles qui excluent la victime de toute vie en société (on trouve ainsi la cécité des rivières, l’éléphantiasis, le trachome, les parasites intestinaux et la bilharziose, par exemple). Dans ces NTD, les parasites, véritables monstres d’épouvante, ne trouveront aucun défenseur de la cause animale pour s’élever contre leur disparition (encore que, des fois, on se demande), d’autant que le nombre de leurs victimes rend les désastres provoqués par le terrorisme, le socialisme et Christophe Maé véritablement dérisoires puisqu’on parle en dizaine de millions, tous les ans. Le plus triste et le plus absurde dans cette situation est que les traitements pour se débarrasser de ces fléaux existent déjà.

Cependant, devant ce constat effrayant, devant cet entassement macabre de victimes que les médias oublient commodément, tout espoir n’est pas perdu, loin s’en faut, comme en témoigne cette intéressante vidéo.


(C’est en anglais. Cependant, des sous-titres en français, compréhensibles mais très mal écrits, sont heureusement disponibles)

On apprend en effet que, depuis quelques années et la Déclaration de Londres, plusieurs firmes pharmaceutiques se sont lancées dans l’éradication de ces maladies et de ces parasites, en produisant une masse considérable de traitements, en les mettant gratuitement à disposition d’équipes de soignants qui vont, sur place, les administrer et suivre les populations victimes lors de leur traitement de fond.

Le but de cette opération dont la presse ne parle guère est de faire complètement disparaître ces NTD d’ici 2020. D’ici là, 18 milliards de dollars en médicaments auront été distribués. Jusqu’à présent, cette distribution a permis en 2015 à 850 millions d’individus de profiter de ces traitements gratuits et à des millions d’entre eux de se débarrasser de troubles débilitants. Au-delà de ce qui reste, pour le moment, le plus gros don en matière médicale que le monde ait vu, on peut aussi compter sur l’impact sanitaire le plus significatif depuis la disparition de la variole.

En outre, la guérison de ces millions d’individus et la disparition de ces pathologies très incapacitantes entraînera une amélioration très sensible des niveaux de vie des populations concernées : là où, jusqu’à présent, une proportion importante de ces individus était incapable de créer des richesses pour eux-mêmes et pour le reste de la société, on va se retrouver avec une population en bien meilleure santé, bien mieux à même de pourvoir à ses propres besoins.

Et surtout, comment ne pas imaginer que, parmi ces individus, se trouve peut-être le prochain prix Nobel de médecine, de physique ou de chimie, une future médaille Fields qui révolutionneront les sciences humaines et qui, sans ces traitements, n’auraient jamais pu survivre ou seulement voir le jour ?

En tout cas, on peut tirer quelques enseignements de cette initiative : non, l’ensemble de l’Humanité ne baigne pas dans le bonheur, loin s’en faut, mais des individus chaque jour plus nombreux travaillent sans relâche pour qu’au moins, le sort de tous s’améliore. Et plus précisément, oui, les industries pharmaceutiques sont des entreprises capitalistes, oui, elles recherchent avant tout le profit et ne s’en cachent même pas, mais non, elles ne sont pas fermées à la charité, loin s’en faut puisqu’elles participent activement à ce programme. Citons quelques unes de ces « big pharma », pour bien comprendre que ce ne sont pas de petits labos indépendants tenus par des gourous New-age, mais bien Abbott, AstraZeneca, GSK, Merck, Bayer, Sanofi, Pfizer, Novartis, … S’il y a bien des entreprises qui sauront distribuer en masse des produits sanitaires de qualité, ce sont bien ces labos là, n’en déplaisent aux conspirationnistes toujours prêts à les voir derrière l’une ou l’autre machination abominable.

Enfin, notons que cette initiative a été lancée par la Fondation Bill et Melinda Gates. Organisation non gouvernementale instituée à des fins non lucratives, elle est cependant directement issue du capitalisme puisque financée par les dons de Bill Gates, le magnat de l’informatique et du logiciel. Autrement dit, ce sont les consommations de millions d’entreprises et de particuliers, et la richesse qu’ils ont créées qui ont permis à Microsoft, entreprise de Bill Gates, de faire de lui un milliardaire. Ce sont des comportements humains de marché, capitalistes et de recherche du profit personnel qui auront permis à cette entreprise de dégager des bénéfices qui abondent maintenant directement l’une des fondations les plus richement dotées de la planète, fondation qui a lancé la plus vaste offensive contre des maladies millénaires.

À quelques jours de Noël, voilà un message qui, en cette période de fêtes, remet quelque peu les pendules à l’heure, ne trouvez-vous pas ?

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