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À partir d’avant-hierLe courrier des stratèges

Obligation vaccinale : les aumôniers militaires US suspendus saisissent la Cour Suprême

Fin 2021, tous les membres devaient compléter leur parcours vaccinal avant le 28 décembre 2021 sous peine de renvoi. Théoriquement, les membres de l’armée de l’air pouvaient demander une exemption pour des raisons religieuses ou médicales. Malheureusement, cette clause n’a pas respecté. Actuellement, un groupe d’aumôniers militaires a saisi la Cour suprême pour contester les politiques du ministère de la Défense liées à la COVID-19, alléguant qu’elles ont contraint les objecteurs religieux à quitter les forces armées.

Le 10 janvier 2023, le Pentagone avait abrogé l’obligation vaccinale anti- Covid-19 pour les militaires américains, imposée précédemment par le Congrès dans la loi sur la défense nommée National Defense Authorization, qui obligeait le Pentagone à mettre fin au mandat de vaccination contre le Covid-19 des marines et soldats américains. Récemment, les aumôniers militaires ont saisi la Cour suprême, ces derniers affirment que les politiques du ministère de la Défense punissent injustement ceux qui ont soumis des objections religieuses à l’obligation vaccinale COVID-19, entraînant des conséquences professionnelles négatives.

Appel des aumôniers militaires devant la Cour Suprême

Les aumôniers militaires ont déposé un appel devant la Cour suprême après que le quatrième circuit ait rejeté leur affaire. Ils demandent des mesures provisoires pour protéger leur carrière et contester les politiques du ministère de la Défense, qu’ils estiment discriminatoires envers ceux qui ont déposé des objections religieuses à la vaccination obligatoire contre la COVID-19.

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Le CETA au Sénat : guerre de lobbies derrière la farce du protectionnisme

Le Sénat pourrait, à l’occasion d’une “niche parlementaire”, rejeter la ratification du traité de libre-échange avec le Canada. Le motif est simple : vive le protectionnisme qui (paraît-il) protège notre agriculture. La réalité est un peu différente : c’est une guerre des lobbies qui commence. Si la filière bovine s’estime menacée par l’accord, d’autres filières, y compris dans l’agriculture, tire largement profit de ce texte appliqué de manière provisoire. Reste la difficulté d’appliquer des accords qui ne sont pas ratifiés : une manie qui devient dangereuse.

Le CETA (traité de libre-échange avec le Canada) pourrait bien subir un coup dur du Sénat aujourd’hui. Nous vous aidons à remonter le fil de cette affaire, en complément de la capsule ci-dessus qui vous dit tout sur le fond de l’accord.

  • le CETA (traité de libre-échange avec le Canada) a été signé en 2017 et ratifié par l’Assemblée Nationale en 2019
  • le gouvernement ne l’a jamais soumis au vote du Sénat
  • l’accord prévoyait son application provisoire dans l’attente de la ratification complète
  • des sénateurs ont décidé de proposer son rejet dans une proposition de loi examinée à l’occasion d’une niche parlementaire
  • l’initiative est prise par le groupe communiste, assez naturellement opposé au libre-échange
  • des sénateurs républicains soutiennent ce rejet
  • un sénateur républicain a rendu un avis soulignant l’absence de “clause-miroir” sur l’élevage de bovins au Canada : le risque de l’accord consiste donc à permettre une concurrence du boeuf français avec le boeuf canadien, protégé par moins de normes sanitaires
  • un autre sénateur républicain a rendu un avis dans le même sens. Il est lui-même éleveur de boeufs, dans le village de Sébastien Béraud, bien connu de nos lecteurs
  • le lobby des spiritueux se mobilise fortement pour le maintien de l’accord qui, globalement, profite à l’agro-alimentaire français
  • il n’en reste pas moins que Macron a manifestement un problème récurrent avec la ratification des traités. Nous évoquions déjà la semaine dernière le caractère très irrégulier du traité bilatéral avec l’Ukraine (voir l’interview ci-dessous). La ratification du CETA illustre l’absence de consultation du Parlement par Macron, en matière de traités internationaux… en violation de la Constitution

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Jacques Myard détaille l’illégalité et l’inconstitutionnalité de l’accord avec l’Ukraine

L’accord avec l’Ukraine pouvait-il être signé par le Président de la République sans autorisation préalable de l’Assemblée Nationale ? Peut-il entrer en vigueur sans un vote formel de ratification ? Son contenu viole-t-il non seulement notre Constitution mais aussi les traités sur le droit de la guerre dès lors qu’il prévoit la confiscation des avoirs privés russes ? Jacques Myard nous dresse ici un plaidoyer implacable contre les forfaitures commises par le Président de la République dans ce dossier, c’est-à-dire par le passage en force d’un texte en violation de notre Constitution. Il est évident que, face à un tribunal, ce traité n’aurait aucune valeur juridique…

Dans cette très importante interview de Jacques Myard, qui soulève des arguments juridiques peu contestables, on retiendra plusieurs éléments qui semblent condamner lourdement l’accord bilatéral avec l’Ukraine :

  • la Constitution n’autorise pas le Président de la République à signer seul un traité. Il ne peut le faire sans autorisation préalable de l’Assemblée Nationale…
  • ce traité impliquant des dépenses, il doit forcément être soumis à un vote de ratification en bonne et due forme. L’invocation de l’article 50 est ici un cas de forfaiture
  • le traité par lui-même prévoit la confiscation de biens privés, ce qui est contraire à notre bloc de constitutionnalité, mais aussi aux traités sur le droit de la guerre
  • la valeur juridique du traité paraît bien faible
  • il semble être une traduction d’un texte anglais… le Quai d’Orsay ne l’a même pas relu !
  • le Président de la République se rend coupable de forfaiture, au sens juridique du terme, ce qui constitue un motif de destitution…

On rappellera ici les termes de la Constitution de 1958 :

Devant l’une ou l’autre des assemblées, le Gouvernement peut, de sa propre initiative ou à la demande d’un groupe parlementaire au sens de l’article 51-1, faire, sur un sujet déterminé, une déclaration qui donne lieu à débat et peut, s’il le décide, faire l’objet d’un vote sans engager sa responsabilité.

Article 50-1 de la Constitution

Le Président de la République négocie et ratifie les traités.

Il est informé de toute négociation tendant à la conclusion d’un accord international non soumis à ratification.

Article 52 de la Constitution

Les traités de paix, les traités de commerce, les traités ou accords relatifs à l’organisation internationale, ceux qui engagent les finances de l’Etat, ceux qui modifient des dispositions de nature législative, ceux qui sont relatifs à l’état des personnes, ceux qui comportent cession, échange ou adjonction de territoire, ne peuvent être ratifiés ou approuvés qu’en vertu d’une loi.

Ils ne prennent effet qu’après avoir été ratifiés ou approuvés.

Nulle cession, nul échange, nulle adjonction de territoire n’est valable sans le consentement des populations intéressées.

Article 53 de la Constitution

Si le Conseil constitutionnel, saisi par le Président de la République, par le Premier ministre, par le président de l’une ou l’autre assemblée ou par soixante députés ou soixante sénateurs, a déclaré qu’un engagement international comporte une clause contraire à la Constitution, l’autorisation de ratifier ou d’approuver l’engagement international en cause ne peut intervenir qu’après la révision de la Constitution.

Article 54 de la Constitution

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Myard : “Sur l’Ukraine, Attal a servi du salmigondis pour chat”

Nous avons interrogé Jacques Myard sur le débat à l’Assemblée Nationale concernant l’accord bilatéral de coopération militaire avec l’Ukraine. Il relève le mauvais discours de Gabriel Attal, et les prises de position confondantes des groupes de l’Assemblée. En dehors du groupe communiste et du groupe LFI, la parole propre à la politique étrangère française traditionnelle semble s’être perdue.

Nous rappelerons ici l’intervention d’Edouard Husson sur le même sujet.

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Von der Leyen sur un boulevard vers un deuxième mandat… malgré l’opposition des LR !

Si l’on voulait une illustration de l’absence de sens politique de François-Xavier Bellamy (et d’Eric Ciotti réunis), on la trouverait dans l’opposition frontale des LR à la désignation d’Ursula von der Leyen comme cheffe de file du parti populaire européen (PPE) lors du congrès de ce parti à Bucarest. Alors que celle-ci a été élue par 400 voix contre 89, résultat prévisible, LR a maintenu son vote contre. Au Courrier, nous pensons beaucoup de mal d’Ursula von der Leyen et nous déplorons sa probable réélection comme Président de la Commission à l’automne. Mais, quand on est membre du parti de von der Leyen comme Bellamy, s’opposer à une victoire annoncée condamne à l’impuissance pour un nouveau mandat.

C’est évidemment une très mauvaise nouvelle pour tous les démocrates : Ursula von der Leyen rempilera sans doute pour un autre mandat à la tête de la Commission Européenne. Bien entendu, rien n’est acté ni définitif… mais enfin, l’affaire ne se présente pas trop mal pour elle à ce stade. Elle a en effet recueilli 400 voix contre 89 pour reprendre le flambeau… Donc, ni les contrats irréguliers (et gigantesques) signés avec Pfizer, ni ses mouvements d’humeur ou ses débordements autoritaires n’y ont fait : son parti est prêt à remettre le couvert.

Tout son parti ? Non, une bande d’irréductibles opposants a voté “non”, se condamnant à la disgrâce pour cinq ans. Parmi eux, on compte les LR, qui ont jugé que von der Leyen était surtout une alliée de Macron. Les positions sont donc claires. Le pompon serait que les Républicains français ne fassent même pas 5% et disparaissent du PPE. La boucle serait ainsi bouclée.

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Pourquoi Donald Trump est plus fort que jamais dans l’opinion américaine, par Michel Pinton

Par : Rédaction

Les élections « primaires » viennent de commencer aux Etats-Unis. Elles nous présentent une énigme. Comment expliquer que tant de membres du parti républicain choisissent Donald Trump pour être leur champion dans l’affrontement de novembre prochain contre le candidat démocrate ? N’a-t-il pas prouvé, au long de sa présidence passée, si l’on en croit les médias et l’establishment, qu’il était inapte à cette haute fonction ? Fort d’un demi-siècle d’observation des opinions publiques en démocratie, Michel Pinton explique pourquoi l’image de Donald Trump que se fait l’establishment et qu’il propage laisse apparemment indifférents une majorité des Américains.

Les médias, quasi unanimes, l’ont jugé encore plus sévèrement que ses adversaires : il a été, pendant quatre années, un « agent du chaos », gouvernant à coup de décisions irréfléchies, de mesures inappropriées, de volte-faces  aussi brusques que peu fondées. Il chassait ses conseillers avec autant de légèreté qu’il les avait recrutés. Comme si son caractère fantasque n’avait pas suffi à le discréditer, il a terminé son mandat en refusant la défaite, pourtant claire, que lui infligeait le suffrage universel et en essayant de fomenter une insurrection, heureusement avortée, pour rester au pouvoir. Ce faisant, Trump a perpétré le pire des crimes que puisse commettre un responsable politique américain : bafouer la démocratie. Tel est le récit bien établi des médias de l’establishment américain

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Professeur Bellamy & Mister Hyde: chez LR on défend les petites combines de von der Leyen !

Alors qu’il devrait prendre la tête de liste des Républicains pour les élections européennes, François-Xavier Bellamy vient de commettre un faux pas qui pourrait lui coûter cher dans la concurrence à droite. Les députés européens se voyaient proposer de voter pour soutenir la Médiatrice de l’Union Européenne dans son bras de fer avec Ursula von der Leyen. Madame O’Reilly réclame en effet depuis un moment que la présidente de la Commission Européenne fasse connaître les échanges directs qu’elle a pu avoir avec le PDG de Pfizer au moment de la signature du contrat pour les vaccins COVID entre la Commission Européenne et l’entreprise. Une grande partie de la droite au Parlement Européen a voté pour soutenir la Médiatrice.Mais non F.-X Bellamy, aligné sur la majorité du Parti Populaire Européen, qui souhaitera reconduire Madame von der Leyen pour un nouveau, s’ils ont assez de députés le 9 juin 2024. LR et l’Europe, c’est: on est patriote à Paris et fédéraliste européen à Bruxelles.

🔴 Les eurodéputés français Socialistes, Macronistes et Républicains ne veulent pas de la transparence de la part de la Commission von der Leyen sur l’affaire des contrats #Pfizer #PfizerGate #PfizerBioNtech #smsGate :

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Découverte de nouvelles cellules immunitaires contre le cancer et le Covid

Les chercheurs du département d’hématologie et de transplantation de cellules hématopoïétiques à City of Hope, en Californie, aux Etats-Unis, ont fait une grande découverte. Ils ont identifié un nouveau type de cellules immunitaires humaines, capables de tuer les différents types de cancers et de combattre le Covid-19. Les résultats de la recherche préclinique ont été publiés dans la revue Cell.

Des chercheurs ont identifié un nouveau type de cellules immunitaires, les ILC2, initialement connues pour leurs rôles dans les allergies, capable de directement attaquer et éliminer divers types de cancers. Des scientifiques, dirigés par le professeur Jianhua Yu de l’institut City of Hope en Californie, ont découvert que les ILC2 peuvent non seulement éliminer le cancer, y compris les cancers du sang et les tumeurs solides, mais aussi combattre des virus tels que le SRAS-Cov-2, responsable du COVID-19. Cette percée offre une nouvelle voie thérapeutique, permettant la production et l’administration de ces cellules immunitaires sans nécessiter les propres cellules du patient, ouvrant ainsi la voie à des traitements prêts à l’emploi.

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Myard : “Attal est un futur Brutus qui tuera le père”

Jacques Myard, maire de Maisons-Laffitte et ancien député de la cironscription dont Yaël Braun-Pivet est aujourd’hui, réagit pour nous à la nomination de Gabriel Attal comme Premier Ministre. Et il n’y va pas de main morte !

De fait, l’impossibilité constitutionnelle de se présenter à un troiisème mandat mais Emmanuel Macron en difficulté face à ce nouveau Premier Ministre qui pourrait vouloir s’émanciper, le moment venu, de la tutelle présidentielle. Rappelons que nous avons signalé ce matin le strict encadrement dont le Premier Ministre fera l’objet de la part du Président.

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Myard nous explique de quoi la France a besoin pour un déclic du sursaut

Tout le monde connaît Jacques Myard, le maire tonitruant de Maisons-Laffitte. Membre des Républicains, il est probablement le plus souverainiste de tous les adhérents de son parti. Il saisit l’occasion de la sortie de son livre “Bye-bye démocratie” pour nous livrer son diagnostic de l’état de la France, autant sur la scène intérieure que sur la scène internationale. Et surtout pour nous expliquer à quelles conditions la France pourra se relever, selon lui.

Le Courrier ne partage pas le diagnostic pessimiste dressé par Jacques Myard d’un besoin de poigne pour se relever. En revanche, que la France n’ait pas encore “touché le fond” et qu’elle ne puisse connaître de sursaut qu’une fois ce fond touché, nous voulons bien le croire.

En attendant, Jacques Myard dresse des constats utiles :

  • sur l’excès d’Europe
  • sur la crise ukrainienne
  • sur l’extrémisme israélien à Gaza.

Quand Philippe de Villiers inventait le souverainisme mondialisé avec l’argent de la caste

La WorldWide Freedom Initiative qui s’est tenue à Paris le 10 novembre a réuni la fine fleur d’un certain souverainisme auto-proclamé : Charles Gave, André Bercoff, Eric Morillot, mais aussi Florian Philippot, Nicolas Dupont-Aignan, Jean-Frédéric Poisson et Eric Zemmour. L’événement était organisé par l’association Republican Overseas, dirigée par un avocat franco-américain, Randy Yaloz, proche des milieux israéliens, et par le Danube Institute. Ce type de rapprochement entre les “populistes” et les milieux néo-conservateurs attachés au sionisme n’est pas nouveau. Déjà, en 1994, Philippe de Villiers en avait donné un exemple pour les élections européennes, en bénéficiant du soutien financier de Jimmy Goldsmith. Nous rappelons ici le récit que De Villiers lui-même fit de cette extraordinaire incursion de l’influence mondialiste dans la vie politique française.

Certaines coïncidences troublent. Lorsque le Courrier avait souligné l’influence de la finance américaine dans la campagne d’Eric Zemmour, Philippe de Villiers avait fini par faire un communiqué pour dénoncer de la malveillance dans ces propos. La suite a pourtant démontré que nous avions raison.

Il faut dire que Philippe de Villiers n’est pas né de la dernière pluie dans cette démarche où l’on fait passer des vessies pour des lanternes, et où l’on joue aux souverainistes quand on se contente de percevoir l’argent du mondialisme. De ce point de vue, le récit qu’il donne de sa campagne aux européennes de 1994 dans son livre “Le moment est venu de dire ce que j’ai vu” (éditions Albin Michel, 2015) est un aveu circonstancié et détaillé de la façon dont le populisme français s’accommode très bien des soutiens financiers venus de la caste.

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Chine : pas de menace d’agent pathogène malgré le discours alarmiste de l’OMS

Selon de nombreux rapports, les hôpitaux pour enfants de Pékin, du Liaoning et d’autres villes sont bondés d’enfants malades. L’OMS a fait une demande officielle d’informations concernant cette épidémie de pneumonie qui frappe le nord de la Chine. Les autorités chinoises ont reconnu une augmentation de nombre d’enfants malades et hospitalisés. Toutefois, elles ont déclaré qu’il n’y a aucun agent pathogène inhabituel ou nouveau détecté.

L‘OMS demande à la Chine des données sur des cas de « pneumonie non diagnostiquée » L’organisme mondial de la santé a fait cette demande après des signalements de « pneumonie non diagnostiquée » dans le nord de la Chine par ProMed, le réseau de surveillance des épidémies qui avait alerté pour la première fois le monde sur le Covid.

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Face à la pénurie de recrues, l’armée US rappelle les soldats licenciés réticents aux vaccins

Actuellement, l’armée américaine fait face à un problème de recrutement. Confrontée à un manque de personnel, elle a fait appel aux soldats licenciés pour avoir refusé le vaccin COVID-19. En 2022, elle a manqué son objectif de recrutement de 25% d’effectifs. Face à cette situation, 1 900 soldats renvoyés qui ont refusé le vaccin, ont déjà reçu des propositions pour revenir. Par ailleurs, on assiste de plus en plus au déclin de la popularité des carrières militaires auprès des jeunes Américains, comme la méfiance de la génération Z envers les institutions.

Le 10 janvier 2023, le Pentagone avait abrogé l’obligation de vaccination anti- Covid-19 pour les militaires américains, imposée précédemment par le Congrès dans la loi sur la défense nommée National Defense Authorization, qui oblige le Pentagone à mettre fin au mandat de vaccination contre le Covid-19 des marines et soldats américains . U mandat qui avait provoqué le départ de plus de 8.000 personnes des rangs de l’armée américaine, d’après le Pentagone. Bien que présentant une omniprésence marquée sur la scène internationale, l’armée américaine est actuellement confrontée à une problématique majeure pour laquelle elle peine à identifier une solution : l’US army n’arrive plus à recruter.

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